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Les Petits rats d'Hamelin

Pièges rongeurs : entre histoire et innovations

Pièges rongeurs : entre histoire et innovations

10min |25/02/2025
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Description


Les premiers pièges à rongeurs sont apparus dans les années 1870, avec notamment l’invention du piège à ressort par Étienne Aurouze en 1878. Après une période de fort usage, ils ont été progressivement délaissés à partir des années 1970 avec l’essor des rodenticides à base d’antivitamines K (AVK). Cependant, les évolutions réglementaires récentes ont remis les pièges au cœur des stratégies de lutte.


Une évolution réglementaire qui favorise leur retour

L’ECHA (European Chemical Agency) considère les rodenticides comme des substances préoccupantes et impose une évaluation comparative avant chaque renouvellement d’autorisation. La décision d’exécution (UE) 2024/816 liste plusieurs alternatives non chimiques, incluant les pièges mécaniques, électriques, multi-captures et à CO2. Par ailleurs, l’interdiction de l’appâtage permanent en France renforce leur importance dans la gestion des rongeurs.


Le guide NoCheRo : une validation scientifique des pièges


Le guide NoCheRo (Non-Chemical Rodent Control) définit les critères d’efficacité des pièges mécaniques, alignés sur ceux des rodenticides anticoagulants. Certains pièges, notamment les tapettes SNAP TRAP, sont jugés suffisamment efficaces pour être utilisés par les professionnels et les non-professionnels formés.

Comment bien choisir son piège ?

Le choix du piège dépend de plusieurs critères : espèce ciblée, environnement (intérieur/extérieur), réglementation et technologie. Voici les principales catégories :

  • Nasses : capture vivante, nécessite un contrôle régulier.

  • Pièges multi-captures : adaptés aux environnements sensibles (IAA, pharma), souvent connectés.

  • Pièges mécaniques classiques (tapettes, guillotines, pistons) : action rapide et ciblée.

  • Plaques de colle : efficaces en cas de forte concurrence alimentaire, mais avec des limites éthiques.

  • Pièges à CO2 et électrifiants : élimination rapide et intégration dans des systèmes connectés pour un suivi optimisé.


Vers une lutte intégrée et raisonnée

Les pièges ne sont plus de simples alternatives, mais des outils complémentaires essentiels aux rodenticides. Connectés, stratégiques et conformes aux nouvelles normes, ils s’imposent comme une réponse adaptée aux défis réglementaires et environnementaux de la lutte antiparasitaire.

Conclusion : Avec la fin de l’appâtage permanent et les évolutions technologiques, les pièges à rongeurs retrouvent une place centrale dans la lutte intégrée. L’avenir repose sur une combinaison intelligente de prévention, surveillance et solutions mécaniques adaptées.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description


Les premiers pièges à rongeurs sont apparus dans les années 1870, avec notamment l’invention du piège à ressort par Étienne Aurouze en 1878. Après une période de fort usage, ils ont été progressivement délaissés à partir des années 1970 avec l’essor des rodenticides à base d’antivitamines K (AVK). Cependant, les évolutions réglementaires récentes ont remis les pièges au cœur des stratégies de lutte.


Une évolution réglementaire qui favorise leur retour

L’ECHA (European Chemical Agency) considère les rodenticides comme des substances préoccupantes et impose une évaluation comparative avant chaque renouvellement d’autorisation. La décision d’exécution (UE) 2024/816 liste plusieurs alternatives non chimiques, incluant les pièges mécaniques, électriques, multi-captures et à CO2. Par ailleurs, l’interdiction de l’appâtage permanent en France renforce leur importance dans la gestion des rongeurs.


Le guide NoCheRo : une validation scientifique des pièges


Le guide NoCheRo (Non-Chemical Rodent Control) définit les critères d’efficacité des pièges mécaniques, alignés sur ceux des rodenticides anticoagulants. Certains pièges, notamment les tapettes SNAP TRAP, sont jugés suffisamment efficaces pour être utilisés par les professionnels et les non-professionnels formés.

Comment bien choisir son piège ?

Le choix du piège dépend de plusieurs critères : espèce ciblée, environnement (intérieur/extérieur), réglementation et technologie. Voici les principales catégories :

  • Nasses : capture vivante, nécessite un contrôle régulier.

  • Pièges multi-captures : adaptés aux environnements sensibles (IAA, pharma), souvent connectés.

  • Pièges mécaniques classiques (tapettes, guillotines, pistons) : action rapide et ciblée.

  • Plaques de colle : efficaces en cas de forte concurrence alimentaire, mais avec des limites éthiques.

  • Pièges à CO2 et électrifiants : élimination rapide et intégration dans des systèmes connectés pour un suivi optimisé.


Vers une lutte intégrée et raisonnée

Les pièges ne sont plus de simples alternatives, mais des outils complémentaires essentiels aux rodenticides. Connectés, stratégiques et conformes aux nouvelles normes, ils s’imposent comme une réponse adaptée aux défis réglementaires et environnementaux de la lutte antiparasitaire.

Conclusion : Avec la fin de l’appâtage permanent et les évolutions technologiques, les pièges à rongeurs retrouvent une place centrale dans la lutte intégrée. L’avenir repose sur une combinaison intelligente de prévention, surveillance et solutions mécaniques adaptées.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Une évolution réglementaire qui favorise leur retour

L’ECHA (European Chemical Agency) considère les rodenticides comme des substances préoccupantes et impose une évaluation comparative avant chaque renouvellement d’autorisation. La décision d’exécution (UE) 2024/816 liste plusieurs alternatives non chimiques, incluant les pièges mécaniques, électriques, multi-captures et à CO2. Par ailleurs, l’interdiction de l’appâtage permanent en France renforce leur importance dans la gestion des rongeurs.


Le guide NoCheRo : une validation scientifique des pièges


Le guide NoCheRo (Non-Chemical Rodent Control) définit les critères d’efficacité des pièges mécaniques, alignés sur ceux des rodenticides anticoagulants. Certains pièges, notamment les tapettes SNAP TRAP, sont jugés suffisamment efficaces pour être utilisés par les professionnels et les non-professionnels formés.

Comment bien choisir son piège ?

Le choix du piège dépend de plusieurs critères : espèce ciblée, environnement (intérieur/extérieur), réglementation et technologie. Voici les principales catégories :

  • Nasses : capture vivante, nécessite un contrôle régulier.

  • Pièges multi-captures : adaptés aux environnements sensibles (IAA, pharma), souvent connectés.

  • Pièges mécaniques classiques (tapettes, guillotines, pistons) : action rapide et ciblée.

  • Plaques de colle : efficaces en cas de forte concurrence alimentaire, mais avec des limites éthiques.

  • Pièges à CO2 et électrifiants : élimination rapide et intégration dans des systèmes connectés pour un suivi optimisé.


Vers une lutte intégrée et raisonnée

Les pièges ne sont plus de simples alternatives, mais des outils complémentaires essentiels aux rodenticides. Connectés, stratégiques et conformes aux nouvelles normes, ils s’imposent comme une réponse adaptée aux défis réglementaires et environnementaux de la lutte antiparasitaire.

Conclusion : Avec la fin de l’appâtage permanent et les évolutions technologiques, les pièges à rongeurs retrouvent une place centrale dans la lutte intégrée. L’avenir repose sur une combinaison intelligente de prévention, surveillance et solutions mécaniques adaptées.


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Les premiers pièges à rongeurs sont apparus dans les années 1870, avec notamment l’invention du piège à ressort par Étienne Aurouze en 1878. Après une période de fort usage, ils ont été progressivement délaissés à partir des années 1970 avec l’essor des rodenticides à base d’antivitamines K (AVK). Cependant, les évolutions réglementaires récentes ont remis les pièges au cœur des stratégies de lutte.


Une évolution réglementaire qui favorise leur retour

L’ECHA (European Chemical Agency) considère les rodenticides comme des substances préoccupantes et impose une évaluation comparative avant chaque renouvellement d’autorisation. La décision d’exécution (UE) 2024/816 liste plusieurs alternatives non chimiques, incluant les pièges mécaniques, électriques, multi-captures et à CO2. Par ailleurs, l’interdiction de l’appâtage permanent en France renforce leur importance dans la gestion des rongeurs.


Le guide NoCheRo : une validation scientifique des pièges


Le guide NoCheRo (Non-Chemical Rodent Control) définit les critères d’efficacité des pièges mécaniques, alignés sur ceux des rodenticides anticoagulants. Certains pièges, notamment les tapettes SNAP TRAP, sont jugés suffisamment efficaces pour être utilisés par les professionnels et les non-professionnels formés.

Comment bien choisir son piège ?

Le choix du piège dépend de plusieurs critères : espèce ciblée, environnement (intérieur/extérieur), réglementation et technologie. Voici les principales catégories :

  • Nasses : capture vivante, nécessite un contrôle régulier.

  • Pièges multi-captures : adaptés aux environnements sensibles (IAA, pharma), souvent connectés.

  • Pièges mécaniques classiques (tapettes, guillotines, pistons) : action rapide et ciblée.

  • Plaques de colle : efficaces en cas de forte concurrence alimentaire, mais avec des limites éthiques.

  • Pièges à CO2 et électrifiants : élimination rapide et intégration dans des systèmes connectés pour un suivi optimisé.


Vers une lutte intégrée et raisonnée

Les pièges ne sont plus de simples alternatives, mais des outils complémentaires essentiels aux rodenticides. Connectés, stratégiques et conformes aux nouvelles normes, ils s’imposent comme une réponse adaptée aux défis réglementaires et environnementaux de la lutte antiparasitaire.

Conclusion : Avec la fin de l’appâtage permanent et les évolutions technologiques, les pièges à rongeurs retrouvent une place centrale dans la lutte intégrée. L’avenir repose sur une combinaison intelligente de prévention, surveillance et solutions mécaniques adaptées.


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