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Les Perles de Jade

54. Ploukette va dans un Palace (l’importance de ta vibration)

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24min |15/03/2025|

84

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Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs đŸ€—


Dans cet épisode, je vous explique comment la vibration impacte la perception des autres et donc tout ce que tu vis dans ta vie.


Si tu es ouvert.e Ă  la Loi de l’Attraction, la Manifestation et l’énergĂ©tique, ça devrait te parler.


Moi, Julie, banlieusarde parisienne qui frĂ©quente des lieux luxueux, peu importe ce que je porte
 parce ce que ça fait partie de qui je SUIS.


Belle Ă©coute đŸ’«


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Welcome back ! Je sais, ça fait longtemps que je ne vous avais pas fait d'Ă©pisode, mais ça a Ă©tĂ© tellement un tourbillon dans ma vie que c'est vrai que je n'ai pas trop pris le temps de vous partager un petit peu. Par contre, je le fais quand mĂȘme en story, donc voilĂ , vous ne pouvez pas dire que vous n'ĂȘtes pas au courant de ce qui se passe. Aujourd'hui, j'avais vraiment envie de vous partager quelque chose sur un truc que j'ai rĂ©alisĂ©, donc je le savais dĂ©jĂ . Et si vous faites partie des personnes qui ont dĂ©jĂ  transitĂ© dans mes accompagnements, vous l'avez dĂ©jĂ  entendu. Mais en fait, on peut savoir beaucoup de choses, mais Ă  chaque fois qu'on va les expĂ©rimenter, on va voir des nuances, si on est ouvert, si on est rĂ©ceptif, des nuances qu'on n'avait pas captĂ©es avant. Et c'est aussi ma façon de voir les choses. AprĂšs, encore une fois, on le voit dans mon fonctionnement naturel en HD. J'ai besoin de voir les choses plusieurs fois. intĂ©grer diffĂ©remment Ă  chaque fois un niveau de profondeur diffĂ©rent pour pouvoir ensuite transmettre ce niveau de profondeur aux autres. Et donc, c'est ce que je fais dans mes espaces de coaching. Donc, il y avait plein de concepts que je connaissais dĂ©jĂ , mais j'ai eu tellement de dĂ©clics ces derniĂšres semaines que ça a Ă©tĂ© juste ouf au niveau transformationnel. AprĂšs, pour vous rappeler un petit peu le contexte, aujourd'hui, c'est la pleine lune en vierge, mais c'est aussi une Ă©clipse lunaire. Pleine lune en vierge, la nouvelle lune en vierge, Le 3 septembre, j'Ă©tais Ă  Bali. J'Ă©tais dans une transformation Ă©nergĂ©tique de tout mon ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ . Ceux qui ont Ă©coutĂ© l'Ă©pisode sur Bali savent de quoi je parle, notamment le coup du massage chamanique. Donc lĂ , vraiment, on est en train de clĂŽturer un chapitre de vie qui est assez puissant, que ce soit sur le pro et mĂȘme le perso, j'ai envie de dire. Donc aujourd'hui, je vais aborder juste un sujet spĂ©cifique. Et puis, je verrai comment j'aborde le reste au fur et Ă  mesure. Mais en tout cas, ce que j'avais envie de partager aujourd'hui, c'est un peu une pĂ©pite que j'ai eue en immersion la semaine... C'est la semaine derniĂšre ? Oui, la semaine derniĂšre, je suis partie en immersion, si vous me suivez en souris. Vous le savez, tous les trois mois, je pars en immersion avec mes potes entrepreneurs. Ce sont des potes avec lesquels j'Ă©tais en mastermind en 2022. Le mastermind s'est arrĂȘtĂ©. On Ă©tait dans le mastermind de Julien Musi qui s'appelait Limitless Killing. L'objectif, la promesse, c'Ă©tait de faire 100 000 euros par mois minimum. Donc, Julien Musi a dĂ©cidĂ© de le fermer. Je crois que c'Ă©tait en, je ne sais pas, fin 2022, je pense, qu'il a dĂ©cidĂ© de le fermer. Et en fait, on a continuĂ© de se voir. Non, moi, je n'ai pas pu venir les premiĂšres fois, mais on a commencĂ© Ă  se voir. Non, c'Ă©tait fin 2022. Oui, c'est ça, ça doit ĂȘtre ça. On a continuĂ© de se voir ensuite. Et ça a mis du temps parce qu'ils se voyaient entre eux, ceux qui habitaient Ă  Bordeaux. Et puis, ça s'est agrandi. Donc, il y en a une ou deux qui habitent Ă  Paris, etc. Donc, il y en a un autre qui habite Ă  Ornandor. Bref, ils arrivaient Ă  se rejoindre Ă  chaque fois en petit comitĂ©. Et donc, Ă  un moment donnĂ©, quand ils m'ont proposĂ© de venir, j'ai sautĂ© sur l'opportunitĂ©. Donc, depuis, ça fait maintenant un an et demi. que tous les trois mois, je les rejoins quelque part, que ce soit en France ou en Europe. Je prends l'avion Ă  chaque fois. C'est souvent galĂšre, pour ĂȘtre honnĂȘte, pour aller jusqu'aux Ă©vĂ©nements. Mais bref, je les rejoins. Et il y a vraiment ce truc de... Je n'y vais pas pour apprendre quelque chose, j'y vais pour voir les choses diffĂ©remment. Donc, ça, c'Ă©tait vraiment la petite anecdote, la petite apartĂ© sur mon dĂ©clic. Donc, j'ai eu un dĂ©clic sur quelque chose que je connaissais dĂ©jĂ . C'est-Ă -dire que ce n'est pas ce qu'on dit aux gens qui peut faire la diffĂ©rence. En tout cas, ça peut faire la diffĂ©rence en surface sur les gens qui n'ont peut-ĂȘtre pas le niveau de conscience pour aller au-delĂ  des mots. Mais c'est vraiment ce que l'on vibre et ce qu'on incarne. Et l'exemple que j'avais envie de vous partager aujourd'hui, c'est que je me rappelle encore avoir des amis. C'Ă©tait l'annĂ©e derniĂšre qui me disait « c'est ouf le culot que tu as d'aller dans des palaces » . et d'y aller en mode chill quoi. Parce que ce sont des personnes qui n'ont pas l'habitude d'aller dans des palaces, ça ne veut pas dire que moi j'ai plus l'habitude qu'elles, mais je vais vous expliquer aprĂšs. C'est juste qu'elles, parce qu'elles ont peur, peu importe les raisons, elles ont peur, elles ne se sentent pas Ă  l'aise, etc., elles ne vont pas y aller. Moi, mĂȘme si je n'y vais pas rĂ©guliĂšrement, mĂȘme si avant je n'y allais pas, etc., il y a toujours une premiĂšre fois. Je n'ai pas peur en fait, parce que c'est comme si je savais que c'Ă©tait ma place. Si vous me suivez en story, vous savez que j'ai un goĂ»t pour le luxe et la mode, et le prĂȘt-Ă -porter, etc. Je ne suis pas issue d'une famille aisĂ©e qui a baignĂ© dans le luxe, mais j'ai commencĂ© Ă  frĂ©quenter des gens. qui Ă©tait originaire de familles aisĂ©es et qui baignait dans le luxe Ă  partir de mes 18 ans. Ce qui fait que j'ai captĂ© les codes, puisque si vous avez bien suivi dans mes derniers Ă©pisodes oĂč je racontais un peu mon enfance, j'Ă©tais trĂšs discrĂšte, trĂšs dans l'observation, trĂšs introvertie, et ce qui fait que j'ai dĂ©veloppĂ© un sens de l'observation beaucoup plus poussĂ© que certaines autres personnes. Donc, quand j'ai intĂ©grĂ© mon Ă©cole de commerce, j'ai observĂ© les codes de ces personnes qui, pour moi, vivaient... une vie qui me paraissait inimaginable. Pour moi, c'Ă©tait l'Ă©quivalent de ce qu'on voyait Ă  la tĂ©lĂ© pour les sĂ©ries US. Donc, j'ai frĂ©quentĂ© ce genre de personnes. J'ai frĂ©quentĂ© aussi... J'Ă©tais dans leur lifestyle, c'est-Ă -dire que moi, je ne pouvais pas me le permettre, mais je suivais leur dĂ©lire. C'est-Ă -dire que moi, j'ai commencĂ© Ă  bosser Ă  16 ans, donc j'avais mis de cĂŽtĂ© de l'argent. Donc, les restos un peu guindĂ©s, je les ai dĂ©couverts Ă  leur cĂŽtĂ©. Les endroits branchĂ©s ou sortis, j'ai des dĂ©couvertes Ă  leur cĂŽtĂ©, donc j'ai commencĂ© Ă  baigner dans cette Ă©nergie-lĂ . Ensuite, quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e en 2007, c'Ă©tait ma norme, c'Ă©tait devenu ma norme. MĂȘme quand je travaillais en soirĂ©e dans tout ce qui est Ă©vĂ©nements de la nuit, il y a vraiment cette gestion de clientĂšle VIP, etc. En fait, c'est devenu ma norme, ce genre de code. Ce qui fait que quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e, je ne voulais pas me contenter de ce qui n'Ă©tait pas Ă  mes standards, on va dire. Donc, quand j'allais au resto, je voulais des restos qui Ă©taient bons, peu importe le prix. C'est-Ă -dire, je me rappelle trĂšs bien Ă  Marseille, et donc si mon amie Ă©coute cet Ă©pisode, elle se reconnaĂźtra. On est allĂ© dans un resto, donc j'avais quoi, 22 ans ? On est allĂ© dans un resto. oĂč c'Ă©tait 150 euros par tĂȘte. On Ă©tait les plus jeunes. Et en fait, autour de nous, c'Ă©tait que des personnes aisĂ©es. Et on Ă©tait les deux banlieusardes. Donc, on est issus du 95, toutes les deux. Les deux petites banlieusardes qui allaient au resto, qui n'avaient pas... En fait, c'est comme si on avait les codes en nous, comme si c'Ă©tait notre norme, mais qu'on n'Ă©tait pas nĂ©s au bon endroit. En fait, c'est un peu ce truc-lĂ . Parce qu'elles, comme moi... On sait se comporter dans les Ă©vĂ©nements oĂč ça demande Ă  ĂȘtre positionnĂ© comme quelqu'un qui est assez Ă  l'aise avec des personnes aisĂ©es financiĂšrement, etc. On adopte les codes trĂšs facilement. D'ailleurs, quand je la vois, je me rappelle toujours de toutes les fois oĂč on faisait comme si on venait du mĂȘme milieu que ces personnes-lĂ , pas pour faire semblant vraiment. Mais c'est parce que dans notre attitude, les gens ne voyaient pas la diffĂ©rence entre nous deux, les banlieusards du 95, et eux, les personnes qui sont nĂ©es dans le 16e. Donc, il y avait vraiment ce truc oĂč on incarnait dĂ©jĂ  notre prochaine version. Et mĂȘme elle, quand elle a trouvĂ© ses emplois, elle Ă©tait dans tout ce qui Ă©tait luxe. Des hĂŽtels de luxe, des restos de luxe, etc. Elle est devenue chef de rang assez rapidement, mais parce qu'elle avait la posture. Donc, pour revenir Ă  mon partage, c'est... que les gens, quand ils peuvent ressentir votre vibration, ils vont se caler, pas sur ce que vous dites, mais sur vous vibrer, ce que vous incarnez, qui vous ĂȘtes et comment vous vous comportez, ce que vous faites en fait. C'est ce que vous faites, mais surtout, qu'est-ce que vous vibrez quand vous le faites ? Et l'exemple que j'avais envie de vous partager, c'est que moi, au-delĂ  du fait que je vous fasse des stories oĂč je ne suis pas maquillĂ©e, oĂč je suis en tenue de sport, oĂč je suis en pyjama, oĂč je suis en train de faire le mĂ©nage, etc. c'est qu'est-ce que je vibre quand je fais ce genre de story. C'est-Ă -dire qu'une autre personne ferait ce genre de story, elle ne serait pas forcĂ©ment perçue de la mĂȘme maniĂšre que moi qui fais ce genre de story. Parce que moi, je l'ai fait dans un espace qui est juste pour moi, donc ça ne vibre pas faux, si vous voulez. Hier, je vous parlais justement en story que j'avais eu du mal Ă  trouver un nouveau coach ou une nouvelle mentor parce qu'il y a Ă©normĂ©ment de fausses notes que je perçois de maniĂšre trĂšs subtile qui me bloquent au passage Ă  l'action. Et c'est de maniĂšre Ă©nergĂ©tique que ça me bloque parce que j'ai la carte bleue en main et je suis prĂȘte Ă  embarquer mais Ă©nergĂ©tiquement il y a un truc qui sonne faux. Donc on peut pas l'expliquer avec le mental et lĂ  c'est vraiment on parle d'intuition, on parle de vibrations. Et donc quand je vous parle de qu'est ce qu'on incarne, qu'est ce qu'on vibre, je vous donne un exemple spĂ©cifique. La semaine derniĂšre j'Ă©tais Ă  Meugev. Je voulais avoir une visio avec une de mes clientes. J'avais pas prĂ©vu d'avoir de rendez-vous clients, mais voilĂ , c'Ă©tait un entretien qu'on avait envie d'avoir, on avait envie de se parler. Et donc, c'Ă©tait tout naturellement que je lui ai dit, bah oui, oui, oui, je vais prendre l'appel. Par contre, j'avais pas envie d'ĂȘtre dans ma chambre Ă  Meugeve et j'avais pas envie non plus d'ĂȘtre... Parce que dĂ©jĂ , dans la chambre, j'Ă©tais pas sĂ»re d'avoir un super Wi-Fi et j'avais envie d'honorer cette femme, en fait. J'avais envie d'avoir un Wi-Fi de qualitĂ©, j'avais pas envie d'ĂȘtre saccadĂ©e, j'avais pas envie que la connexion elle coupe, etc. Et donc il y avait un deuxiĂšme spot oĂč je pouvais faire le call, c'est-Ă -dire Ă  cĂŽtĂ© de la boxe, Ă  cĂŽtĂ© de la boxe dans un espace commun. Pour moi, c'Ă©tait pas l'honorer que d'avoir une conversation en visio dans un espace oĂč j'ai du passage devant moi, oĂč les gens peuvent Ă©couter ce que je dis, etc. Donc c'Ă©tait pas... J'avais envie vraiment d'ĂȘtre dans une Ă©nergie de... En fait, cette femme, c'est une queen et j'ai envie de l'honorer. Donc, ce que j'ai fait, c'est que j'ai demandĂ© Ă  un de mes confrĂšres qui a la voiture, si ça ne le dĂ©rangeait pas de m'emmener en voiture avec lui lors de sa balade. Et moi, j'allais me trouver un petit spot oĂč j'allais faire cet appel, mais que je voulais un petit spot sympa dans lequel je puisse me sentir bien, qui Ă©tait calme, etc. Et donc, il m'a dit, je ne sais pas si toi, tu fais ça, mais moi, de temps en temps, je vais bosser dans des palaces. Et j'ai dit, go, moi, je le fais souvent Ă  Paris. Quand je vais chez ma mĂšre, quand je dois travailler, je vais souvent Ă  Paris dans des palaces bosser. Ça m'arrive rĂ©guliĂšrement parce que si je reste chez ma mĂšre, ma mĂšre sera tentĂ©e de me parler beaucoup et je ne serai pas en deep work. Donc quand je vais dans des palaces, en gĂ©nĂ©ral, je ne suis pas trop interrompue. Donc j'aime bien et puis je me sens bien. J'adore le beau. En plus, il y a toute la vibe qui va avec que j'aime beaucoup. Je vais bien me saper, je vais mettre mes petits talons. Je vais m'apprĂȘter. J'adore me mettre dans ce mood-lĂ . Bref, revenons Ă  nos moutons. Donc, Ă  Meugev, il me dit « on va dans un palace, si ça te dit » . J'ai dit « ok » . Donc lui, normalement, il devait se balader, moi je devais faire mon call et on devait se rejoindre aprĂšs. Le palace qu'on a trouvĂ© en premier, c'Ă©tait le Four Seasons. Le Four Seasons Ă  Meugev, qui Ă©tait trĂšs excentrĂ©. Donc on est allĂ© au Four Seasons. Je me suis dit que j'allais peut-ĂȘtre pouvoir commencer la visio un petit peu en retard, parce que mĂȘme si on arrivait Ă  l'heure, ça serait un petit peu juste. Et comme je vous ai dit, je me suis vraiment mise dans des conditions, j'avais envie d'honorer cette femme, vraiment. Je me suis dit, c'est une queen, je veux honorer mon temps, je veux honorer son temps, je veux honorer la qualitĂ© de notre entretien. Et pour honorer cette qualitĂ©, j'ai besoin de me sentir bien. Et ce n'est pas juste, je me pose dans le lobby, je me branche et j'enchaĂźne l'appel. Non. Donc, je suis arrivĂ©e Ă  10h au Four Seasons avec mon confrĂšre. Et en fait, je suis arrivĂ©e, parce que je n'avais pas prĂ©vu d'aller au Four Seasons, j'avais prĂ©vu d'aller dans un lobby d'hĂŽtel, mais pas forcĂ©ment un palace. lobby d'hĂŽtel chic quoi. Donc j'Ă©tais en basket de course Ă  pied dĂ©gueulasse qui avait de la terre dessus. J'Ă©tais en jogging, en pantalon de jogging avec ma veste de ski verte et j'Ă©tais pas maquillĂ©e, enfin Ă  peine maquillĂ©e, je crois que j'avais juste mis du mascara et j'Ă©tais en suite. Donc j'Ă©tais vraiment en mode sportswear, pas du tout brushingĂ©e, pas du tout, voilĂ , j'Ă©tais pas du tout apprĂȘtĂ©e. Donc, on est arrivĂ© au fourth season. Mon confrĂšre, il fait trĂšs homme mature, il fait trĂšs homme d'affaires. Il a sa petite sacoche, il a des poils gris, des cheveux gris, des poils de barbe gris et des cheveux gris. Enfin, il fait trĂšs homme d'affaires. Moi, vraiment, j'Ă©tais en mode... Enfin, on se dit, c'est qui, elle ? Bref, j'y suis allĂ©e, mais en fait, j'ai pas... J'ai mĂȘme pas pensĂ© de... Je suis en jogging, qu'est-ce qu'ils vont me dire ? En fait, je suis allĂ©e en jogging et c'est mĂȘme moi qui ai parlĂ©. Et je leur ai demandĂ©, voilĂ , est-ce que c'est possible de prendre un petit dĂ©jeuner ? Ils m'ont dit non, non, il faut rĂ©server bien en avance. On est complet, ce n'est pas possible, etc. Et en fait, moi, je me suis dit, en fait, j'avais dĂ©cidĂ© Ă  Gena DĂ©fini que c'Ă©tait lĂ  que je voulais faire mon call. Et puis mĂȘme en termes de timing, je ne voulais pas aller trouver un autre endroit et dire Ă  ma cliente, finalement, il va falloir encore repousser un petit peu notre appel. Donc voilĂ , dĂ©jĂ , j'avais repoussĂ© de 15 minutes pour me sentir Ă  l'aise, avoir le temps de m'installer et tout ça, pour ĂȘtre bien. Bref, du coup. Je leur ai dit « est-ce que c'est possible d'attendre qu'une petite table se libĂšre dans votre lobby ? » Et le mec me dit « en fait, ça ne sera pas libĂ©rĂ© avant une heure » . J'ai dit « c'est OK, moi c'est OK, je peux attendre. Est-ce que c'est possible de commander un cafĂ© au lobby ? » Et ils m'ont dit « non, le bar est fermĂ©, il ouvre Ă  11h » . Donc en gros, pas de cafĂ©, pas de table. J'ai dit, bon, est-ce que c'est OK pour vous que je fasse un rendez-vous dans le lobby ? Et puis quand la table est disponible, vous nous dites et on viendra Ă  table. Donc il accepte, le mec. Donc il nous fait rentrer, on s'installe chacun de notre cĂŽtĂ© dans le lobby. Moi, j'avais besoin de calme, j'avais besoin d'ĂȘtre bien pour accueillir l'appel avec ma cliente. Et en fait, le mec qui nous a dit qu'il n'y avait plus de place, etc., il nous apporte un cafĂ© et une bouteille d'eau. Et on n'a pas pillĂ©. Donc, pour vous dire que quand, en fait, on incarne vraiment une certaine posture et une certaine Ă©nergie, les gens ressentent votre Ă©nergie, votre charisme, votre leadership. Et en fait, ils sont lĂ  en train de se mettre Ă  la... Ă  la hauteur de ce que vous incarnez. C'est-Ă -dire que pour eux, avoir une clientĂšle qui attend dans le lobby parce qu'il n'y a pas de place, etc., ce n'est pas OK. Et d'avoir quelqu'un qui sait que la personne est prĂȘte Ă  attendre parce qu'elle veut rester, etc., et c'est bon, elle n'est pas dans l'attente genre « Ah, j'ai hĂąte, je vais attendre en mode groupie » . En fait, non, j'ai mes rendez-vous Ă  gĂ©rer. Donc voilĂ , aprĂšs mon rendez-vous, je pense que je vais attendre que la table se libĂšre et je suis prĂȘte, etc. Donc il y a vraiment une posture incarnĂ©e de leadership qui probablement se fait ressentir de l'extĂ©rieur. MalgrĂ© ma tenue qui Ă©tait dĂ©goĂ»tasse, il faut se le dire, ce n'Ă©tait pas du tout reprĂ©sentatif du niveau, en tout cas de charisme que j'ai envie d'incarner, en tout cas au niveau vestimentaire et du look, parce que, encore une fois, la mode est dans mes valeurs. Et donc, ils nous ont servi cafĂ©, eau, ils se sont excusĂ©s je ne sais pas combien de fois. Donc bref, du coup, je fais mon appel avec ma cliente, mais je me sentais bien, je me sentais hypĂ©e. Et je trouve que l'Ă©nergie dans laquelle j'Ă©tais pour cet appel Ă©tait juste. Ensuite, j'ai fini mon appel, on a Ă©tĂ© du coup prendre notre table, on Ă©tait les seuls. Donc aprĂšs, il y avait une ou deux, une cliente et je crois qu'un autre client aprĂšs qui sont arrivĂ©s. Mais au dĂ©but, quand on est arrivĂ©, on Ă©tait seuls. C'Ă©tait trop bien, on avait le resto pour nous tout seul, on avait la vue sur les montagnes, etc. Et donc, du coup, on nous sert, je commande mon cappuccino, si vous me suivez, vous savez que je suis cappuccino fan, et je ne regarde pas le prix, je ne regarde mĂȘme pas la carte, rien du tout, je dis juste un cappuccino, etc. Au moment de payer, je paye, et donc je ne regarde pas le prix, et donc quand je reviens, j'ai une copine qui me dit « Mais t'as payĂ© combien en fait ? » le cappuccino Four Seasons. Et je regarde et je dis 12 euros. 12 euros et elle me dit ah ouais c'est cher pour un cappuccino. Et c'est lĂ  que j'ai vu ok en fait mon niveau de conscience et ce que j'incarne est diffĂ©rent de ce qu'elle est en train de me dire. Il n'y a pas une question de supĂ©rioritĂ© et tout encore une fois. Quand on parle de niveau ça peut ĂȘtre plus bas, ça peut ĂȘtre plus haut mais c'est pas en comparaison de c'est mieux ou c'est moins bien. C'est juste un constat. Parce que Pour moi, je n'ai pas payĂ© un cappuccino. J'ai payĂ© une connexion Wi-Fi fluide pour me permettre d'honorer ma cliente, pour honorer notre Ă©change, pour moi me sentir bien, dans une bonne Ă©nergie pour avoir cet appel, pour ĂȘtre au chaud, pour ĂȘtre au calme et pour ensuite avoir une belle vue, pour passer un chouette moment avec mon confrĂšre ensuite. C'est ça en fait que j'ai payĂ©. Et 12 euros pour moi, ce n'est pas cher. Donc, en tout cas, c'est ma perception, c'est que ce n'Ă©tait pas cher parce que tout le confort, comment je me suis sentie, comment j'ai Ă©tĂ© accueillie, comment on m'a servi, le cappuccino qui Ă©tait magnifique, avec le petit ours qui Ă©tait dessinĂ© dessus, etc. J'ai discutĂ© avec le serveur qui m'a fait le petit ours. Enfin, on a sympathisĂ©, c'Ă©tait un grec, etc. On a bien papotĂ© et tout. En fait, tout ça, pour moi, c'est tellement quali que 12 euros, ce n'est pas cher. Donc, encore une fois, c'est une question de perception. Pareil, le soir mĂȘme, on va dans un bar et donc je commande un cocktail. Et j'ai mes potes qui font la blague de « putain, les cocktails Ă  18 boules quoi » . En fait, je m'aperçois encore une fois que moi, je n'ai pas regardĂ© le prix que j'ai payĂ©. Je n'ai mĂȘme pas demandĂ© combien ça coĂ»tait parce que je ne payais pas un cocktail. Je payais un moment avec mes amis, une soirĂ©e oĂč on allait s'Ă©clater avec mes amis. D'ailleurs, si vous me suivez sur Instagram, vous avez vu des extraits de soirĂ©e. En fait, c'est des moments de ouf, la qualitĂ© des Ă©changes, des rires et tout ça. Pour moi, ça n'a pas de prix. Et 18 euros pour cette soirĂ©e-lĂ , pour moi, ce n'Ă©tait pas cher. Encore une fois, c'est une question de perception. Donc, quelle est votre norme ? C'est un peu la conclusion de ce partage-lĂ . Votre pourquoi, votre intention, c'est ce que j'ai tout le temps Ă  mes clientes. C'est quoi ton intention ? Pourquoi tu le fais ? Est-ce que ça a du sens ? Est-ce que c'est en
 en lien avec ta vision, avec ce qui t'inspire le plus, qu'est-ce qui te fait vibrer intĂ©rieurement, qu'est-ce que tu ressens quand tu es en train de vivre ce moment-lĂ , qu'est-ce que tu ressens au moment oĂč tu transformes. Et c'est tout ça, en fait, qui fait que ce n'est pas une question d'argent, ce n'est pas une question de jogging ou de basket pleine de terre, c'est une question de qui tu es quand tu le fais, qu'est-ce que tu ressens, comment tu le fais, et de qui tu es, en fait. Tout simplement, tes normes, tes standards, et qu'est-ce que... comment tu le vibres, et plus tu as de la certitude dans ta posture, et plus ça va se ressentir. Moi, quand je suis arrivĂ©e devant le portier, j'avais la certitude que j'avais ma place au Four Seasons, et je n'avais mĂȘme pas captĂ© ma tenue. En fait, je pense que si j'avais captĂ© comment j'Ă©tais habillĂ©e... parce que je pense que je ne me suis mĂȘme pas vue dans un miroir avant de sortir, parce que j'avais mis mes baskets de marche pour visiter Meugeve, donc pour vous dire, voilĂ . En fait, si je m'Ă©tais vue, mon mental serait venu interfĂ©rer pour dire « Mais meuf, tu ne peux pas aller dans un palace dans cet Ă©tat, tu es dĂ©gollasse ! » Il y avait des traces de boue, en plus, sur mon jogging, parce que j'avais fait une marche avec dans la neige. Enfin, n'importe quoi, vraiment, mon mental m'aurait dit « Mais tu ne peux pas ! » Et en fait, c'est juste qui je suis. Ce que je ressens, c'Ă©tait la certitude de « j'ai ma place dans ce palace, j'ai ma place quoi qu'il arrive, et s'il faut attendre, j'attendrai, parce que je sais que ma place est lĂ  » . Et donc, il y a vraiment cette histoire de posture, parce qu'il y a des personnes qui vont dire « si on attend, laisse tomber, je n'ai pas envie d'attendre » . Ça, c'est aussi une posture. La posture, c'est la certitude que j'ai ma place Ă  cet endroit-lĂ , pour cet appel-lĂ , dans cet espace-lĂ , pour me sentir dans ma pleine puissance, comme un higher self. parce que c'est ici ma place et ce n'est pas ailleurs. Donc voilĂ , une question de certitude. Et ça, vous pouvez l'adapter aussi dans la maniĂšre dont vous vendez. La maniĂšre dont vous vendez, si je vous donne un exemple, j'ai une cliente qui m'avait dit, quand je lui avais proposĂ© de rejoindre le Mastermind en MP, elle m'avait dit, ouais, en fait, ça fait trĂšs prospection, je ne suis pas trĂšs fan, etc. Et en fait, ma posture, c'Ă©tait, non, pour moi, tu peux l'appeler de la prospection, mais pour moi, ce n'est pas de la prospection comme
 ce que tu es en train de dĂ©crire. Pour moi, c'est j'ai pensĂ© Ă  toi pour le mastermind. Il reste une place. Je me suis dit que c'Ă©tait la tienne. VoilĂ , c'est soit tu la prends parce que tu considĂšres que c'est ta place, soit tu ne la prends pas et c'est une autre femme qui veut prendre cette place, qui est en train de procĂ©der au paiement. Mais en fait, la premiĂšre qui paye, la premiĂšre a sa place. Et moi, je me suis dit, pour moi, je ressens que c'est ta place. AprĂšs, c'est Ă  toi de voir si ça rĂ©sonne pour toi ou pas. Tu as le droit de me dire non, tu as le droit de me dire ça ne rĂ©sonne pas du tout, tu as le droit de me dire ça ne m'intĂ©resse pas du tout, c'est ok. Mais moi, c'est ce que je ressens et je m'autorise Ă  te le partager. Et lĂ , je viens dans une posture de puissance. Je n'ai pas un pas dans une posture de je m'excuse de te dĂ©ranger, je m'excuse de te prospecter. Et en plus, je n'ai pas l'impression de faire du forcing parce que tu n'as pas postulĂ© pour le mastermind et c'est moi qui te propose la place. Non, en fait, il n'y a pas cette posture basse, c'est une posture haute avec laquelle je viens. Encore une posture haute, ce n'est pas... forcĂ©ment dans la supĂ©rioritĂ©, genre on s'exagĂšre, mais une posture haute de « en fait, je suis la femme puissante et j'incarne cette femme » . Et la femme puissante, elle te dit « tu as ta place, est-ce que tu as envie de la prendre ? » . Donc, encore une fois, c'est une question d'Ă©nergie, c'est une question de qui on incarne, qui on est, de quel espace ça part. Ça part de l'espace de « je joue petit, je ne suis pas assez, j'en sais pas assez, je manque de lĂ©gitimitĂ©, je me minimise » , ou ça part de « je suis cette femme puissante, je mĂ©rite ce que je vis, je mĂ©rite de faire un appel dans un palace » . Je mĂ©rite d'avoir ma place Ă  la table avec la vue sur les montagnes, quitte Ă  attendre une heure et en plus je me fais chouchouter en attendant. Je mĂ©rite tout ça parce que je suis cette femme-lĂ  dĂ©jĂ , dĂ©jĂ  en fait. VoilĂ , et donc le dĂ©jĂ , ça peut aussi vous amener la rĂ©flexion sur c'est quoi incarner votre higher self ? Ce n'est pas incarner une personne que vous n'ĂȘtes pas, c'est en fait incarner la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ . La femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  et qui joue petit. Et la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ , qui se fait petite parce qu'elle a peur de dĂ©ranger, elle a peur qu'on la juge, elle a peur qu'on la critique, elle a peur que de ne plus ĂȘtre aimĂ©e en fait. Et donc en fait, c'est la femme puissante en mode bulldozer, en mode RAF, j'en ai rien Ă  foutre, je m'emballe avec, je suis qui je suis, que ça dĂ©plaise aux gens qui ne vibrent pas cette vibration. Ce shift-lĂ , souvent ça vient d'un shift quand on rĂ©agit comme ça. C'est ok et ça fera le mĂ©nage et le tri sera juste. pour moi et pour eux. VoilĂ  pour mon partage du jour. Dites-moi sur Instagram si ça rĂ©sonne. N'hĂ©sitez pas Ă  venir me faire un petit feedback sur cet Ă©pisode, me faire un petit coucou pour me partager vos prises de conscience Ă©ventuelles, vos dĂ©clics, vos dĂ©saccords, vos rĂ©flexions. N'hĂ©sitez pas, je vous embrasse et je vous dis Ă  la prochaine.

Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs đŸ€—


Dans cet épisode, je vous explique comment la vibration impacte la perception des autres et donc tout ce que tu vis dans ta vie.


Si tu es ouvert.e Ă  la Loi de l’Attraction, la Manifestation et l’énergĂ©tique, ça devrait te parler.


Moi, Julie, banlieusarde parisienne qui frĂ©quente des lieux luxueux, peu importe ce que je porte
 parce ce que ça fait partie de qui je SUIS.


Belle Ă©coute đŸ’«


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Welcome back ! Je sais, ça fait longtemps que je ne vous avais pas fait d'Ă©pisode, mais ça a Ă©tĂ© tellement un tourbillon dans ma vie que c'est vrai que je n'ai pas trop pris le temps de vous partager un petit peu. Par contre, je le fais quand mĂȘme en story, donc voilĂ , vous ne pouvez pas dire que vous n'ĂȘtes pas au courant de ce qui se passe. Aujourd'hui, j'avais vraiment envie de vous partager quelque chose sur un truc que j'ai rĂ©alisĂ©, donc je le savais dĂ©jĂ . Et si vous faites partie des personnes qui ont dĂ©jĂ  transitĂ© dans mes accompagnements, vous l'avez dĂ©jĂ  entendu. Mais en fait, on peut savoir beaucoup de choses, mais Ă  chaque fois qu'on va les expĂ©rimenter, on va voir des nuances, si on est ouvert, si on est rĂ©ceptif, des nuances qu'on n'avait pas captĂ©es avant. Et c'est aussi ma façon de voir les choses. AprĂšs, encore une fois, on le voit dans mon fonctionnement naturel en HD. J'ai besoin de voir les choses plusieurs fois. intĂ©grer diffĂ©remment Ă  chaque fois un niveau de profondeur diffĂ©rent pour pouvoir ensuite transmettre ce niveau de profondeur aux autres. Et donc, c'est ce que je fais dans mes espaces de coaching. Donc, il y avait plein de concepts que je connaissais dĂ©jĂ , mais j'ai eu tellement de dĂ©clics ces derniĂšres semaines que ça a Ă©tĂ© juste ouf au niveau transformationnel. AprĂšs, pour vous rappeler un petit peu le contexte, aujourd'hui, c'est la pleine lune en vierge, mais c'est aussi une Ă©clipse lunaire. Pleine lune en vierge, la nouvelle lune en vierge, Le 3 septembre, j'Ă©tais Ă  Bali. J'Ă©tais dans une transformation Ă©nergĂ©tique de tout mon ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ . Ceux qui ont Ă©coutĂ© l'Ă©pisode sur Bali savent de quoi je parle, notamment le coup du massage chamanique. Donc lĂ , vraiment, on est en train de clĂŽturer un chapitre de vie qui est assez puissant, que ce soit sur le pro et mĂȘme le perso, j'ai envie de dire. Donc aujourd'hui, je vais aborder juste un sujet spĂ©cifique. Et puis, je verrai comment j'aborde le reste au fur et Ă  mesure. Mais en tout cas, ce que j'avais envie de partager aujourd'hui, c'est un peu une pĂ©pite que j'ai eue en immersion la semaine... C'est la semaine derniĂšre ? Oui, la semaine derniĂšre, je suis partie en immersion, si vous me suivez en souris. Vous le savez, tous les trois mois, je pars en immersion avec mes potes entrepreneurs. Ce sont des potes avec lesquels j'Ă©tais en mastermind en 2022. Le mastermind s'est arrĂȘtĂ©. On Ă©tait dans le mastermind de Julien Musi qui s'appelait Limitless Killing. L'objectif, la promesse, c'Ă©tait de faire 100 000 euros par mois minimum. Donc, Julien Musi a dĂ©cidĂ© de le fermer. Je crois que c'Ă©tait en, je ne sais pas, fin 2022, je pense, qu'il a dĂ©cidĂ© de le fermer. Et en fait, on a continuĂ© de se voir. Non, moi, je n'ai pas pu venir les premiĂšres fois, mais on a commencĂ© Ă  se voir. Non, c'Ă©tait fin 2022. Oui, c'est ça, ça doit ĂȘtre ça. On a continuĂ© de se voir ensuite. Et ça a mis du temps parce qu'ils se voyaient entre eux, ceux qui habitaient Ă  Bordeaux. Et puis, ça s'est agrandi. Donc, il y en a une ou deux qui habitent Ă  Paris, etc. Donc, il y en a un autre qui habite Ă  Ornandor. Bref, ils arrivaient Ă  se rejoindre Ă  chaque fois en petit comitĂ©. Et donc, Ă  un moment donnĂ©, quand ils m'ont proposĂ© de venir, j'ai sautĂ© sur l'opportunitĂ©. Donc, depuis, ça fait maintenant un an et demi. que tous les trois mois, je les rejoins quelque part, que ce soit en France ou en Europe. Je prends l'avion Ă  chaque fois. C'est souvent galĂšre, pour ĂȘtre honnĂȘte, pour aller jusqu'aux Ă©vĂ©nements. Mais bref, je les rejoins. Et il y a vraiment ce truc de... Je n'y vais pas pour apprendre quelque chose, j'y vais pour voir les choses diffĂ©remment. Donc, ça, c'Ă©tait vraiment la petite anecdote, la petite apartĂ© sur mon dĂ©clic. Donc, j'ai eu un dĂ©clic sur quelque chose que je connaissais dĂ©jĂ . C'est-Ă -dire que ce n'est pas ce qu'on dit aux gens qui peut faire la diffĂ©rence. En tout cas, ça peut faire la diffĂ©rence en surface sur les gens qui n'ont peut-ĂȘtre pas le niveau de conscience pour aller au-delĂ  des mots. Mais c'est vraiment ce que l'on vibre et ce qu'on incarne. Et l'exemple que j'avais envie de vous partager aujourd'hui, c'est que je me rappelle encore avoir des amis. C'Ă©tait l'annĂ©e derniĂšre qui me disait « c'est ouf le culot que tu as d'aller dans des palaces » . et d'y aller en mode chill quoi. Parce que ce sont des personnes qui n'ont pas l'habitude d'aller dans des palaces, ça ne veut pas dire que moi j'ai plus l'habitude qu'elles, mais je vais vous expliquer aprĂšs. C'est juste qu'elles, parce qu'elles ont peur, peu importe les raisons, elles ont peur, elles ne se sentent pas Ă  l'aise, etc., elles ne vont pas y aller. Moi, mĂȘme si je n'y vais pas rĂ©guliĂšrement, mĂȘme si avant je n'y allais pas, etc., il y a toujours une premiĂšre fois. Je n'ai pas peur en fait, parce que c'est comme si je savais que c'Ă©tait ma place. Si vous me suivez en story, vous savez que j'ai un goĂ»t pour le luxe et la mode, et le prĂȘt-Ă -porter, etc. Je ne suis pas issue d'une famille aisĂ©e qui a baignĂ© dans le luxe, mais j'ai commencĂ© Ă  frĂ©quenter des gens. qui Ă©tait originaire de familles aisĂ©es et qui baignait dans le luxe Ă  partir de mes 18 ans. Ce qui fait que j'ai captĂ© les codes, puisque si vous avez bien suivi dans mes derniers Ă©pisodes oĂč je racontais un peu mon enfance, j'Ă©tais trĂšs discrĂšte, trĂšs dans l'observation, trĂšs introvertie, et ce qui fait que j'ai dĂ©veloppĂ© un sens de l'observation beaucoup plus poussĂ© que certaines autres personnes. Donc, quand j'ai intĂ©grĂ© mon Ă©cole de commerce, j'ai observĂ© les codes de ces personnes qui, pour moi, vivaient... une vie qui me paraissait inimaginable. Pour moi, c'Ă©tait l'Ă©quivalent de ce qu'on voyait Ă  la tĂ©lĂ© pour les sĂ©ries US. Donc, j'ai frĂ©quentĂ© ce genre de personnes. J'ai frĂ©quentĂ© aussi... J'Ă©tais dans leur lifestyle, c'est-Ă -dire que moi, je ne pouvais pas me le permettre, mais je suivais leur dĂ©lire. C'est-Ă -dire que moi, j'ai commencĂ© Ă  bosser Ă  16 ans, donc j'avais mis de cĂŽtĂ© de l'argent. Donc, les restos un peu guindĂ©s, je les ai dĂ©couverts Ă  leur cĂŽtĂ©. Les endroits branchĂ©s ou sortis, j'ai des dĂ©couvertes Ă  leur cĂŽtĂ©, donc j'ai commencĂ© Ă  baigner dans cette Ă©nergie-lĂ . Ensuite, quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e en 2007, c'Ă©tait ma norme, c'Ă©tait devenu ma norme. MĂȘme quand je travaillais en soirĂ©e dans tout ce qui est Ă©vĂ©nements de la nuit, il y a vraiment cette gestion de clientĂšle VIP, etc. En fait, c'est devenu ma norme, ce genre de code. Ce qui fait que quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e, je ne voulais pas me contenter de ce qui n'Ă©tait pas Ă  mes standards, on va dire. Donc, quand j'allais au resto, je voulais des restos qui Ă©taient bons, peu importe le prix. C'est-Ă -dire, je me rappelle trĂšs bien Ă  Marseille, et donc si mon amie Ă©coute cet Ă©pisode, elle se reconnaĂźtra. On est allĂ© dans un resto, donc j'avais quoi, 22 ans ? On est allĂ© dans un resto. oĂč c'Ă©tait 150 euros par tĂȘte. On Ă©tait les plus jeunes. Et en fait, autour de nous, c'Ă©tait que des personnes aisĂ©es. Et on Ă©tait les deux banlieusardes. Donc, on est issus du 95, toutes les deux. Les deux petites banlieusardes qui allaient au resto, qui n'avaient pas... En fait, c'est comme si on avait les codes en nous, comme si c'Ă©tait notre norme, mais qu'on n'Ă©tait pas nĂ©s au bon endroit. En fait, c'est un peu ce truc-lĂ . Parce qu'elles, comme moi... On sait se comporter dans les Ă©vĂ©nements oĂč ça demande Ă  ĂȘtre positionnĂ© comme quelqu'un qui est assez Ă  l'aise avec des personnes aisĂ©es financiĂšrement, etc. On adopte les codes trĂšs facilement. D'ailleurs, quand je la vois, je me rappelle toujours de toutes les fois oĂč on faisait comme si on venait du mĂȘme milieu que ces personnes-lĂ , pas pour faire semblant vraiment. Mais c'est parce que dans notre attitude, les gens ne voyaient pas la diffĂ©rence entre nous deux, les banlieusards du 95, et eux, les personnes qui sont nĂ©es dans le 16e. Donc, il y avait vraiment ce truc oĂč on incarnait dĂ©jĂ  notre prochaine version. Et mĂȘme elle, quand elle a trouvĂ© ses emplois, elle Ă©tait dans tout ce qui Ă©tait luxe. Des hĂŽtels de luxe, des restos de luxe, etc. Elle est devenue chef de rang assez rapidement, mais parce qu'elle avait la posture. Donc, pour revenir Ă  mon partage, c'est... que les gens, quand ils peuvent ressentir votre vibration, ils vont se caler, pas sur ce que vous dites, mais sur vous vibrer, ce que vous incarnez, qui vous ĂȘtes et comment vous vous comportez, ce que vous faites en fait. C'est ce que vous faites, mais surtout, qu'est-ce que vous vibrez quand vous le faites ? Et l'exemple que j'avais envie de vous partager, c'est que moi, au-delĂ  du fait que je vous fasse des stories oĂč je ne suis pas maquillĂ©e, oĂč je suis en tenue de sport, oĂč je suis en pyjama, oĂč je suis en train de faire le mĂ©nage, etc. c'est qu'est-ce que je vibre quand je fais ce genre de story. C'est-Ă -dire qu'une autre personne ferait ce genre de story, elle ne serait pas forcĂ©ment perçue de la mĂȘme maniĂšre que moi qui fais ce genre de story. Parce que moi, je l'ai fait dans un espace qui est juste pour moi, donc ça ne vibre pas faux, si vous voulez. Hier, je vous parlais justement en story que j'avais eu du mal Ă  trouver un nouveau coach ou une nouvelle mentor parce qu'il y a Ă©normĂ©ment de fausses notes que je perçois de maniĂšre trĂšs subtile qui me bloquent au passage Ă  l'action. Et c'est de maniĂšre Ă©nergĂ©tique que ça me bloque parce que j'ai la carte bleue en main et je suis prĂȘte Ă  embarquer mais Ă©nergĂ©tiquement il y a un truc qui sonne faux. Donc on peut pas l'expliquer avec le mental et lĂ  c'est vraiment on parle d'intuition, on parle de vibrations. Et donc quand je vous parle de qu'est ce qu'on incarne, qu'est ce qu'on vibre, je vous donne un exemple spĂ©cifique. La semaine derniĂšre j'Ă©tais Ă  Meugev. Je voulais avoir une visio avec une de mes clientes. J'avais pas prĂ©vu d'avoir de rendez-vous clients, mais voilĂ , c'Ă©tait un entretien qu'on avait envie d'avoir, on avait envie de se parler. Et donc, c'Ă©tait tout naturellement que je lui ai dit, bah oui, oui, oui, je vais prendre l'appel. Par contre, j'avais pas envie d'ĂȘtre dans ma chambre Ă  Meugeve et j'avais pas envie non plus d'ĂȘtre... Parce que dĂ©jĂ , dans la chambre, j'Ă©tais pas sĂ»re d'avoir un super Wi-Fi et j'avais envie d'honorer cette femme, en fait. J'avais envie d'avoir un Wi-Fi de qualitĂ©, j'avais pas envie d'ĂȘtre saccadĂ©e, j'avais pas envie que la connexion elle coupe, etc. Et donc il y avait un deuxiĂšme spot oĂč je pouvais faire le call, c'est-Ă -dire Ă  cĂŽtĂ© de la boxe, Ă  cĂŽtĂ© de la boxe dans un espace commun. Pour moi, c'Ă©tait pas l'honorer que d'avoir une conversation en visio dans un espace oĂč j'ai du passage devant moi, oĂč les gens peuvent Ă©couter ce que je dis, etc. Donc c'Ă©tait pas... J'avais envie vraiment d'ĂȘtre dans une Ă©nergie de... En fait, cette femme, c'est une queen et j'ai envie de l'honorer. Donc, ce que j'ai fait, c'est que j'ai demandĂ© Ă  un de mes confrĂšres qui a la voiture, si ça ne le dĂ©rangeait pas de m'emmener en voiture avec lui lors de sa balade. Et moi, j'allais me trouver un petit spot oĂč j'allais faire cet appel, mais que je voulais un petit spot sympa dans lequel je puisse me sentir bien, qui Ă©tait calme, etc. Et donc, il m'a dit, je ne sais pas si toi, tu fais ça, mais moi, de temps en temps, je vais bosser dans des palaces. Et j'ai dit, go, moi, je le fais souvent Ă  Paris. Quand je vais chez ma mĂšre, quand je dois travailler, je vais souvent Ă  Paris dans des palaces bosser. Ça m'arrive rĂ©guliĂšrement parce que si je reste chez ma mĂšre, ma mĂšre sera tentĂ©e de me parler beaucoup et je ne serai pas en deep work. Donc quand je vais dans des palaces, en gĂ©nĂ©ral, je ne suis pas trop interrompue. Donc j'aime bien et puis je me sens bien. J'adore le beau. En plus, il y a toute la vibe qui va avec que j'aime beaucoup. Je vais bien me saper, je vais mettre mes petits talons. Je vais m'apprĂȘter. J'adore me mettre dans ce mood-lĂ . Bref, revenons Ă  nos moutons. Donc, Ă  Meugev, il me dit « on va dans un palace, si ça te dit » . J'ai dit « ok » . Donc lui, normalement, il devait se balader, moi je devais faire mon call et on devait se rejoindre aprĂšs. Le palace qu'on a trouvĂ© en premier, c'Ă©tait le Four Seasons. Le Four Seasons Ă  Meugev, qui Ă©tait trĂšs excentrĂ©. Donc on est allĂ© au Four Seasons. Je me suis dit que j'allais peut-ĂȘtre pouvoir commencer la visio un petit peu en retard, parce que mĂȘme si on arrivait Ă  l'heure, ça serait un petit peu juste. Et comme je vous ai dit, je me suis vraiment mise dans des conditions, j'avais envie d'honorer cette femme, vraiment. Je me suis dit, c'est une queen, je veux honorer mon temps, je veux honorer son temps, je veux honorer la qualitĂ© de notre entretien. Et pour honorer cette qualitĂ©, j'ai besoin de me sentir bien. Et ce n'est pas juste, je me pose dans le lobby, je me branche et j'enchaĂźne l'appel. Non. Donc, je suis arrivĂ©e Ă  10h au Four Seasons avec mon confrĂšre. Et en fait, je suis arrivĂ©e, parce que je n'avais pas prĂ©vu d'aller au Four Seasons, j'avais prĂ©vu d'aller dans un lobby d'hĂŽtel, mais pas forcĂ©ment un palace. lobby d'hĂŽtel chic quoi. Donc j'Ă©tais en basket de course Ă  pied dĂ©gueulasse qui avait de la terre dessus. J'Ă©tais en jogging, en pantalon de jogging avec ma veste de ski verte et j'Ă©tais pas maquillĂ©e, enfin Ă  peine maquillĂ©e, je crois que j'avais juste mis du mascara et j'Ă©tais en suite. Donc j'Ă©tais vraiment en mode sportswear, pas du tout brushingĂ©e, pas du tout, voilĂ , j'Ă©tais pas du tout apprĂȘtĂ©e. Donc, on est arrivĂ© au fourth season. Mon confrĂšre, il fait trĂšs homme mature, il fait trĂšs homme d'affaires. Il a sa petite sacoche, il a des poils gris, des cheveux gris, des poils de barbe gris et des cheveux gris. Enfin, il fait trĂšs homme d'affaires. Moi, vraiment, j'Ă©tais en mode... Enfin, on se dit, c'est qui, elle ? Bref, j'y suis allĂ©e, mais en fait, j'ai pas... J'ai mĂȘme pas pensĂ© de... Je suis en jogging, qu'est-ce qu'ils vont me dire ? En fait, je suis allĂ©e en jogging et c'est mĂȘme moi qui ai parlĂ©. Et je leur ai demandĂ©, voilĂ , est-ce que c'est possible de prendre un petit dĂ©jeuner ? Ils m'ont dit non, non, il faut rĂ©server bien en avance. On est complet, ce n'est pas possible, etc. Et en fait, moi, je me suis dit, en fait, j'avais dĂ©cidĂ© Ă  Gena DĂ©fini que c'Ă©tait lĂ  que je voulais faire mon call. Et puis mĂȘme en termes de timing, je ne voulais pas aller trouver un autre endroit et dire Ă  ma cliente, finalement, il va falloir encore repousser un petit peu notre appel. Donc voilĂ , dĂ©jĂ , j'avais repoussĂ© de 15 minutes pour me sentir Ă  l'aise, avoir le temps de m'installer et tout ça, pour ĂȘtre bien. Bref, du coup. Je leur ai dit « est-ce que c'est possible d'attendre qu'une petite table se libĂšre dans votre lobby ? » Et le mec me dit « en fait, ça ne sera pas libĂ©rĂ© avant une heure » . J'ai dit « c'est OK, moi c'est OK, je peux attendre. Est-ce que c'est possible de commander un cafĂ© au lobby ? » Et ils m'ont dit « non, le bar est fermĂ©, il ouvre Ă  11h » . Donc en gros, pas de cafĂ©, pas de table. J'ai dit, bon, est-ce que c'est OK pour vous que je fasse un rendez-vous dans le lobby ? Et puis quand la table est disponible, vous nous dites et on viendra Ă  table. Donc il accepte, le mec. Donc il nous fait rentrer, on s'installe chacun de notre cĂŽtĂ© dans le lobby. Moi, j'avais besoin de calme, j'avais besoin d'ĂȘtre bien pour accueillir l'appel avec ma cliente. Et en fait, le mec qui nous a dit qu'il n'y avait plus de place, etc., il nous apporte un cafĂ© et une bouteille d'eau. Et on n'a pas pillĂ©. Donc, pour vous dire que quand, en fait, on incarne vraiment une certaine posture et une certaine Ă©nergie, les gens ressentent votre Ă©nergie, votre charisme, votre leadership. Et en fait, ils sont lĂ  en train de se mettre Ă  la... Ă  la hauteur de ce que vous incarnez. C'est-Ă -dire que pour eux, avoir une clientĂšle qui attend dans le lobby parce qu'il n'y a pas de place, etc., ce n'est pas OK. Et d'avoir quelqu'un qui sait que la personne est prĂȘte Ă  attendre parce qu'elle veut rester, etc., et c'est bon, elle n'est pas dans l'attente genre « Ah, j'ai hĂąte, je vais attendre en mode groupie » . En fait, non, j'ai mes rendez-vous Ă  gĂ©rer. Donc voilĂ , aprĂšs mon rendez-vous, je pense que je vais attendre que la table se libĂšre et je suis prĂȘte, etc. Donc il y a vraiment une posture incarnĂ©e de leadership qui probablement se fait ressentir de l'extĂ©rieur. MalgrĂ© ma tenue qui Ă©tait dĂ©goĂ»tasse, il faut se le dire, ce n'Ă©tait pas du tout reprĂ©sentatif du niveau, en tout cas de charisme que j'ai envie d'incarner, en tout cas au niveau vestimentaire et du look, parce que, encore une fois, la mode est dans mes valeurs. Et donc, ils nous ont servi cafĂ©, eau, ils se sont excusĂ©s je ne sais pas combien de fois. Donc bref, du coup, je fais mon appel avec ma cliente, mais je me sentais bien, je me sentais hypĂ©e. Et je trouve que l'Ă©nergie dans laquelle j'Ă©tais pour cet appel Ă©tait juste. Ensuite, j'ai fini mon appel, on a Ă©tĂ© du coup prendre notre table, on Ă©tait les seuls. Donc aprĂšs, il y avait une ou deux, une cliente et je crois qu'un autre client aprĂšs qui sont arrivĂ©s. Mais au dĂ©but, quand on est arrivĂ©, on Ă©tait seuls. C'Ă©tait trop bien, on avait le resto pour nous tout seul, on avait la vue sur les montagnes, etc. Et donc, du coup, on nous sert, je commande mon cappuccino, si vous me suivez, vous savez que je suis cappuccino fan, et je ne regarde pas le prix, je ne regarde mĂȘme pas la carte, rien du tout, je dis juste un cappuccino, etc. Au moment de payer, je paye, et donc je ne regarde pas le prix, et donc quand je reviens, j'ai une copine qui me dit « Mais t'as payĂ© combien en fait ? » le cappuccino Four Seasons. Et je regarde et je dis 12 euros. 12 euros et elle me dit ah ouais c'est cher pour un cappuccino. Et c'est lĂ  que j'ai vu ok en fait mon niveau de conscience et ce que j'incarne est diffĂ©rent de ce qu'elle est en train de me dire. Il n'y a pas une question de supĂ©rioritĂ© et tout encore une fois. Quand on parle de niveau ça peut ĂȘtre plus bas, ça peut ĂȘtre plus haut mais c'est pas en comparaison de c'est mieux ou c'est moins bien. C'est juste un constat. Parce que Pour moi, je n'ai pas payĂ© un cappuccino. J'ai payĂ© une connexion Wi-Fi fluide pour me permettre d'honorer ma cliente, pour honorer notre Ă©change, pour moi me sentir bien, dans une bonne Ă©nergie pour avoir cet appel, pour ĂȘtre au chaud, pour ĂȘtre au calme et pour ensuite avoir une belle vue, pour passer un chouette moment avec mon confrĂšre ensuite. C'est ça en fait que j'ai payĂ©. Et 12 euros pour moi, ce n'est pas cher. Donc, en tout cas, c'est ma perception, c'est que ce n'Ă©tait pas cher parce que tout le confort, comment je me suis sentie, comment j'ai Ă©tĂ© accueillie, comment on m'a servi, le cappuccino qui Ă©tait magnifique, avec le petit ours qui Ă©tait dessinĂ© dessus, etc. J'ai discutĂ© avec le serveur qui m'a fait le petit ours. Enfin, on a sympathisĂ©, c'Ă©tait un grec, etc. On a bien papotĂ© et tout. En fait, tout ça, pour moi, c'est tellement quali que 12 euros, ce n'est pas cher. Donc, encore une fois, c'est une question de perception. Pareil, le soir mĂȘme, on va dans un bar et donc je commande un cocktail. Et j'ai mes potes qui font la blague de « putain, les cocktails Ă  18 boules quoi » . En fait, je m'aperçois encore une fois que moi, je n'ai pas regardĂ© le prix que j'ai payĂ©. Je n'ai mĂȘme pas demandĂ© combien ça coĂ»tait parce que je ne payais pas un cocktail. Je payais un moment avec mes amis, une soirĂ©e oĂč on allait s'Ă©clater avec mes amis. D'ailleurs, si vous me suivez sur Instagram, vous avez vu des extraits de soirĂ©e. En fait, c'est des moments de ouf, la qualitĂ© des Ă©changes, des rires et tout ça. Pour moi, ça n'a pas de prix. Et 18 euros pour cette soirĂ©e-lĂ , pour moi, ce n'Ă©tait pas cher. Encore une fois, c'est une question de perception. Donc, quelle est votre norme ? C'est un peu la conclusion de ce partage-lĂ . Votre pourquoi, votre intention, c'est ce que j'ai tout le temps Ă  mes clientes. C'est quoi ton intention ? Pourquoi tu le fais ? Est-ce que ça a du sens ? Est-ce que c'est en
 en lien avec ta vision, avec ce qui t'inspire le plus, qu'est-ce qui te fait vibrer intĂ©rieurement, qu'est-ce que tu ressens quand tu es en train de vivre ce moment-lĂ , qu'est-ce que tu ressens au moment oĂč tu transformes. Et c'est tout ça, en fait, qui fait que ce n'est pas une question d'argent, ce n'est pas une question de jogging ou de basket pleine de terre, c'est une question de qui tu es quand tu le fais, qu'est-ce que tu ressens, comment tu le fais, et de qui tu es, en fait. Tout simplement, tes normes, tes standards, et qu'est-ce que... comment tu le vibres, et plus tu as de la certitude dans ta posture, et plus ça va se ressentir. Moi, quand je suis arrivĂ©e devant le portier, j'avais la certitude que j'avais ma place au Four Seasons, et je n'avais mĂȘme pas captĂ© ma tenue. En fait, je pense que si j'avais captĂ© comment j'Ă©tais habillĂ©e... parce que je pense que je ne me suis mĂȘme pas vue dans un miroir avant de sortir, parce que j'avais mis mes baskets de marche pour visiter Meugeve, donc pour vous dire, voilĂ . En fait, si je m'Ă©tais vue, mon mental serait venu interfĂ©rer pour dire « Mais meuf, tu ne peux pas aller dans un palace dans cet Ă©tat, tu es dĂ©gollasse ! » Il y avait des traces de boue, en plus, sur mon jogging, parce que j'avais fait une marche avec dans la neige. Enfin, n'importe quoi, vraiment, mon mental m'aurait dit « Mais tu ne peux pas ! » Et en fait, c'est juste qui je suis. Ce que je ressens, c'Ă©tait la certitude de « j'ai ma place dans ce palace, j'ai ma place quoi qu'il arrive, et s'il faut attendre, j'attendrai, parce que je sais que ma place est lĂ  » . Et donc, il y a vraiment cette histoire de posture, parce qu'il y a des personnes qui vont dire « si on attend, laisse tomber, je n'ai pas envie d'attendre » . Ça, c'est aussi une posture. La posture, c'est la certitude que j'ai ma place Ă  cet endroit-lĂ , pour cet appel-lĂ , dans cet espace-lĂ , pour me sentir dans ma pleine puissance, comme un higher self. parce que c'est ici ma place et ce n'est pas ailleurs. Donc voilĂ , une question de certitude. Et ça, vous pouvez l'adapter aussi dans la maniĂšre dont vous vendez. La maniĂšre dont vous vendez, si je vous donne un exemple, j'ai une cliente qui m'avait dit, quand je lui avais proposĂ© de rejoindre le Mastermind en MP, elle m'avait dit, ouais, en fait, ça fait trĂšs prospection, je ne suis pas trĂšs fan, etc. Et en fait, ma posture, c'Ă©tait, non, pour moi, tu peux l'appeler de la prospection, mais pour moi, ce n'est pas de la prospection comme
 ce que tu es en train de dĂ©crire. Pour moi, c'est j'ai pensĂ© Ă  toi pour le mastermind. Il reste une place. Je me suis dit que c'Ă©tait la tienne. VoilĂ , c'est soit tu la prends parce que tu considĂšres que c'est ta place, soit tu ne la prends pas et c'est une autre femme qui veut prendre cette place, qui est en train de procĂ©der au paiement. Mais en fait, la premiĂšre qui paye, la premiĂšre a sa place. Et moi, je me suis dit, pour moi, je ressens que c'est ta place. AprĂšs, c'est Ă  toi de voir si ça rĂ©sonne pour toi ou pas. Tu as le droit de me dire non, tu as le droit de me dire ça ne rĂ©sonne pas du tout, tu as le droit de me dire ça ne m'intĂ©resse pas du tout, c'est ok. Mais moi, c'est ce que je ressens et je m'autorise Ă  te le partager. Et lĂ , je viens dans une posture de puissance. Je n'ai pas un pas dans une posture de je m'excuse de te dĂ©ranger, je m'excuse de te prospecter. Et en plus, je n'ai pas l'impression de faire du forcing parce que tu n'as pas postulĂ© pour le mastermind et c'est moi qui te propose la place. Non, en fait, il n'y a pas cette posture basse, c'est une posture haute avec laquelle je viens. Encore une posture haute, ce n'est pas... forcĂ©ment dans la supĂ©rioritĂ©, genre on s'exagĂšre, mais une posture haute de « en fait, je suis la femme puissante et j'incarne cette femme » . Et la femme puissante, elle te dit « tu as ta place, est-ce que tu as envie de la prendre ? » . Donc, encore une fois, c'est une question d'Ă©nergie, c'est une question de qui on incarne, qui on est, de quel espace ça part. Ça part de l'espace de « je joue petit, je ne suis pas assez, j'en sais pas assez, je manque de lĂ©gitimitĂ©, je me minimise » , ou ça part de « je suis cette femme puissante, je mĂ©rite ce que je vis, je mĂ©rite de faire un appel dans un palace » . Je mĂ©rite d'avoir ma place Ă  la table avec la vue sur les montagnes, quitte Ă  attendre une heure et en plus je me fais chouchouter en attendant. Je mĂ©rite tout ça parce que je suis cette femme-lĂ  dĂ©jĂ , dĂ©jĂ  en fait. VoilĂ , et donc le dĂ©jĂ , ça peut aussi vous amener la rĂ©flexion sur c'est quoi incarner votre higher self ? Ce n'est pas incarner une personne que vous n'ĂȘtes pas, c'est en fait incarner la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ . La femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  et qui joue petit. Et la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ , qui se fait petite parce qu'elle a peur de dĂ©ranger, elle a peur qu'on la juge, elle a peur qu'on la critique, elle a peur que de ne plus ĂȘtre aimĂ©e en fait. Et donc en fait, c'est la femme puissante en mode bulldozer, en mode RAF, j'en ai rien Ă  foutre, je m'emballe avec, je suis qui je suis, que ça dĂ©plaise aux gens qui ne vibrent pas cette vibration. Ce shift-lĂ , souvent ça vient d'un shift quand on rĂ©agit comme ça. C'est ok et ça fera le mĂ©nage et le tri sera juste. pour moi et pour eux. VoilĂ  pour mon partage du jour. Dites-moi sur Instagram si ça rĂ©sonne. N'hĂ©sitez pas Ă  venir me faire un petit feedback sur cet Ă©pisode, me faire un petit coucou pour me partager vos prises de conscience Ă©ventuelles, vos dĂ©clics, vos dĂ©saccords, vos rĂ©flexions. N'hĂ©sitez pas, je vous embrasse et je vous dis Ă  la prochaine.

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Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs đŸ€—


Dans cet épisode, je vous explique comment la vibration impacte la perception des autres et donc tout ce que tu vis dans ta vie.


Si tu es ouvert.e Ă  la Loi de l’Attraction, la Manifestation et l’énergĂ©tique, ça devrait te parler.


Moi, Julie, banlieusarde parisienne qui frĂ©quente des lieux luxueux, peu importe ce que je porte
 parce ce que ça fait partie de qui je SUIS.


Belle Ă©coute đŸ’«


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Welcome back ! Je sais, ça fait longtemps que je ne vous avais pas fait d'Ă©pisode, mais ça a Ă©tĂ© tellement un tourbillon dans ma vie que c'est vrai que je n'ai pas trop pris le temps de vous partager un petit peu. Par contre, je le fais quand mĂȘme en story, donc voilĂ , vous ne pouvez pas dire que vous n'ĂȘtes pas au courant de ce qui se passe. Aujourd'hui, j'avais vraiment envie de vous partager quelque chose sur un truc que j'ai rĂ©alisĂ©, donc je le savais dĂ©jĂ . Et si vous faites partie des personnes qui ont dĂ©jĂ  transitĂ© dans mes accompagnements, vous l'avez dĂ©jĂ  entendu. Mais en fait, on peut savoir beaucoup de choses, mais Ă  chaque fois qu'on va les expĂ©rimenter, on va voir des nuances, si on est ouvert, si on est rĂ©ceptif, des nuances qu'on n'avait pas captĂ©es avant. Et c'est aussi ma façon de voir les choses. AprĂšs, encore une fois, on le voit dans mon fonctionnement naturel en HD. J'ai besoin de voir les choses plusieurs fois. intĂ©grer diffĂ©remment Ă  chaque fois un niveau de profondeur diffĂ©rent pour pouvoir ensuite transmettre ce niveau de profondeur aux autres. Et donc, c'est ce que je fais dans mes espaces de coaching. Donc, il y avait plein de concepts que je connaissais dĂ©jĂ , mais j'ai eu tellement de dĂ©clics ces derniĂšres semaines que ça a Ă©tĂ© juste ouf au niveau transformationnel. AprĂšs, pour vous rappeler un petit peu le contexte, aujourd'hui, c'est la pleine lune en vierge, mais c'est aussi une Ă©clipse lunaire. Pleine lune en vierge, la nouvelle lune en vierge, Le 3 septembre, j'Ă©tais Ă  Bali. J'Ă©tais dans une transformation Ă©nergĂ©tique de tout mon ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ . Ceux qui ont Ă©coutĂ© l'Ă©pisode sur Bali savent de quoi je parle, notamment le coup du massage chamanique. Donc lĂ , vraiment, on est en train de clĂŽturer un chapitre de vie qui est assez puissant, que ce soit sur le pro et mĂȘme le perso, j'ai envie de dire. Donc aujourd'hui, je vais aborder juste un sujet spĂ©cifique. Et puis, je verrai comment j'aborde le reste au fur et Ă  mesure. Mais en tout cas, ce que j'avais envie de partager aujourd'hui, c'est un peu une pĂ©pite que j'ai eue en immersion la semaine... C'est la semaine derniĂšre ? Oui, la semaine derniĂšre, je suis partie en immersion, si vous me suivez en souris. Vous le savez, tous les trois mois, je pars en immersion avec mes potes entrepreneurs. Ce sont des potes avec lesquels j'Ă©tais en mastermind en 2022. Le mastermind s'est arrĂȘtĂ©. On Ă©tait dans le mastermind de Julien Musi qui s'appelait Limitless Killing. L'objectif, la promesse, c'Ă©tait de faire 100 000 euros par mois minimum. Donc, Julien Musi a dĂ©cidĂ© de le fermer. Je crois que c'Ă©tait en, je ne sais pas, fin 2022, je pense, qu'il a dĂ©cidĂ© de le fermer. Et en fait, on a continuĂ© de se voir. Non, moi, je n'ai pas pu venir les premiĂšres fois, mais on a commencĂ© Ă  se voir. Non, c'Ă©tait fin 2022. Oui, c'est ça, ça doit ĂȘtre ça. On a continuĂ© de se voir ensuite. Et ça a mis du temps parce qu'ils se voyaient entre eux, ceux qui habitaient Ă  Bordeaux. Et puis, ça s'est agrandi. Donc, il y en a une ou deux qui habitent Ă  Paris, etc. Donc, il y en a un autre qui habite Ă  Ornandor. Bref, ils arrivaient Ă  se rejoindre Ă  chaque fois en petit comitĂ©. Et donc, Ă  un moment donnĂ©, quand ils m'ont proposĂ© de venir, j'ai sautĂ© sur l'opportunitĂ©. Donc, depuis, ça fait maintenant un an et demi. que tous les trois mois, je les rejoins quelque part, que ce soit en France ou en Europe. Je prends l'avion Ă  chaque fois. C'est souvent galĂšre, pour ĂȘtre honnĂȘte, pour aller jusqu'aux Ă©vĂ©nements. Mais bref, je les rejoins. Et il y a vraiment ce truc de... Je n'y vais pas pour apprendre quelque chose, j'y vais pour voir les choses diffĂ©remment. Donc, ça, c'Ă©tait vraiment la petite anecdote, la petite apartĂ© sur mon dĂ©clic. Donc, j'ai eu un dĂ©clic sur quelque chose que je connaissais dĂ©jĂ . C'est-Ă -dire que ce n'est pas ce qu'on dit aux gens qui peut faire la diffĂ©rence. En tout cas, ça peut faire la diffĂ©rence en surface sur les gens qui n'ont peut-ĂȘtre pas le niveau de conscience pour aller au-delĂ  des mots. Mais c'est vraiment ce que l'on vibre et ce qu'on incarne. Et l'exemple que j'avais envie de vous partager aujourd'hui, c'est que je me rappelle encore avoir des amis. C'Ă©tait l'annĂ©e derniĂšre qui me disait « c'est ouf le culot que tu as d'aller dans des palaces » . et d'y aller en mode chill quoi. Parce que ce sont des personnes qui n'ont pas l'habitude d'aller dans des palaces, ça ne veut pas dire que moi j'ai plus l'habitude qu'elles, mais je vais vous expliquer aprĂšs. C'est juste qu'elles, parce qu'elles ont peur, peu importe les raisons, elles ont peur, elles ne se sentent pas Ă  l'aise, etc., elles ne vont pas y aller. Moi, mĂȘme si je n'y vais pas rĂ©guliĂšrement, mĂȘme si avant je n'y allais pas, etc., il y a toujours une premiĂšre fois. Je n'ai pas peur en fait, parce que c'est comme si je savais que c'Ă©tait ma place. Si vous me suivez en story, vous savez que j'ai un goĂ»t pour le luxe et la mode, et le prĂȘt-Ă -porter, etc. Je ne suis pas issue d'une famille aisĂ©e qui a baignĂ© dans le luxe, mais j'ai commencĂ© Ă  frĂ©quenter des gens. qui Ă©tait originaire de familles aisĂ©es et qui baignait dans le luxe Ă  partir de mes 18 ans. Ce qui fait que j'ai captĂ© les codes, puisque si vous avez bien suivi dans mes derniers Ă©pisodes oĂč je racontais un peu mon enfance, j'Ă©tais trĂšs discrĂšte, trĂšs dans l'observation, trĂšs introvertie, et ce qui fait que j'ai dĂ©veloppĂ© un sens de l'observation beaucoup plus poussĂ© que certaines autres personnes. Donc, quand j'ai intĂ©grĂ© mon Ă©cole de commerce, j'ai observĂ© les codes de ces personnes qui, pour moi, vivaient... une vie qui me paraissait inimaginable. Pour moi, c'Ă©tait l'Ă©quivalent de ce qu'on voyait Ă  la tĂ©lĂ© pour les sĂ©ries US. Donc, j'ai frĂ©quentĂ© ce genre de personnes. J'ai frĂ©quentĂ© aussi... J'Ă©tais dans leur lifestyle, c'est-Ă -dire que moi, je ne pouvais pas me le permettre, mais je suivais leur dĂ©lire. C'est-Ă -dire que moi, j'ai commencĂ© Ă  bosser Ă  16 ans, donc j'avais mis de cĂŽtĂ© de l'argent. Donc, les restos un peu guindĂ©s, je les ai dĂ©couverts Ă  leur cĂŽtĂ©. Les endroits branchĂ©s ou sortis, j'ai des dĂ©couvertes Ă  leur cĂŽtĂ©, donc j'ai commencĂ© Ă  baigner dans cette Ă©nergie-lĂ . Ensuite, quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e en 2007, c'Ă©tait ma norme, c'Ă©tait devenu ma norme. MĂȘme quand je travaillais en soirĂ©e dans tout ce qui est Ă©vĂ©nements de la nuit, il y a vraiment cette gestion de clientĂšle VIP, etc. En fait, c'est devenu ma norme, ce genre de code. Ce qui fait que quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e, je ne voulais pas me contenter de ce qui n'Ă©tait pas Ă  mes standards, on va dire. Donc, quand j'allais au resto, je voulais des restos qui Ă©taient bons, peu importe le prix. C'est-Ă -dire, je me rappelle trĂšs bien Ă  Marseille, et donc si mon amie Ă©coute cet Ă©pisode, elle se reconnaĂźtra. On est allĂ© dans un resto, donc j'avais quoi, 22 ans ? On est allĂ© dans un resto. oĂč c'Ă©tait 150 euros par tĂȘte. On Ă©tait les plus jeunes. Et en fait, autour de nous, c'Ă©tait que des personnes aisĂ©es. Et on Ă©tait les deux banlieusardes. Donc, on est issus du 95, toutes les deux. Les deux petites banlieusardes qui allaient au resto, qui n'avaient pas... En fait, c'est comme si on avait les codes en nous, comme si c'Ă©tait notre norme, mais qu'on n'Ă©tait pas nĂ©s au bon endroit. En fait, c'est un peu ce truc-lĂ . Parce qu'elles, comme moi... On sait se comporter dans les Ă©vĂ©nements oĂč ça demande Ă  ĂȘtre positionnĂ© comme quelqu'un qui est assez Ă  l'aise avec des personnes aisĂ©es financiĂšrement, etc. On adopte les codes trĂšs facilement. D'ailleurs, quand je la vois, je me rappelle toujours de toutes les fois oĂč on faisait comme si on venait du mĂȘme milieu que ces personnes-lĂ , pas pour faire semblant vraiment. Mais c'est parce que dans notre attitude, les gens ne voyaient pas la diffĂ©rence entre nous deux, les banlieusards du 95, et eux, les personnes qui sont nĂ©es dans le 16e. Donc, il y avait vraiment ce truc oĂč on incarnait dĂ©jĂ  notre prochaine version. Et mĂȘme elle, quand elle a trouvĂ© ses emplois, elle Ă©tait dans tout ce qui Ă©tait luxe. Des hĂŽtels de luxe, des restos de luxe, etc. Elle est devenue chef de rang assez rapidement, mais parce qu'elle avait la posture. Donc, pour revenir Ă  mon partage, c'est... que les gens, quand ils peuvent ressentir votre vibration, ils vont se caler, pas sur ce que vous dites, mais sur vous vibrer, ce que vous incarnez, qui vous ĂȘtes et comment vous vous comportez, ce que vous faites en fait. C'est ce que vous faites, mais surtout, qu'est-ce que vous vibrez quand vous le faites ? Et l'exemple que j'avais envie de vous partager, c'est que moi, au-delĂ  du fait que je vous fasse des stories oĂč je ne suis pas maquillĂ©e, oĂč je suis en tenue de sport, oĂč je suis en pyjama, oĂč je suis en train de faire le mĂ©nage, etc. c'est qu'est-ce que je vibre quand je fais ce genre de story. C'est-Ă -dire qu'une autre personne ferait ce genre de story, elle ne serait pas forcĂ©ment perçue de la mĂȘme maniĂšre que moi qui fais ce genre de story. Parce que moi, je l'ai fait dans un espace qui est juste pour moi, donc ça ne vibre pas faux, si vous voulez. Hier, je vous parlais justement en story que j'avais eu du mal Ă  trouver un nouveau coach ou une nouvelle mentor parce qu'il y a Ă©normĂ©ment de fausses notes que je perçois de maniĂšre trĂšs subtile qui me bloquent au passage Ă  l'action. Et c'est de maniĂšre Ă©nergĂ©tique que ça me bloque parce que j'ai la carte bleue en main et je suis prĂȘte Ă  embarquer mais Ă©nergĂ©tiquement il y a un truc qui sonne faux. Donc on peut pas l'expliquer avec le mental et lĂ  c'est vraiment on parle d'intuition, on parle de vibrations. Et donc quand je vous parle de qu'est ce qu'on incarne, qu'est ce qu'on vibre, je vous donne un exemple spĂ©cifique. La semaine derniĂšre j'Ă©tais Ă  Meugev. Je voulais avoir une visio avec une de mes clientes. J'avais pas prĂ©vu d'avoir de rendez-vous clients, mais voilĂ , c'Ă©tait un entretien qu'on avait envie d'avoir, on avait envie de se parler. Et donc, c'Ă©tait tout naturellement que je lui ai dit, bah oui, oui, oui, je vais prendre l'appel. Par contre, j'avais pas envie d'ĂȘtre dans ma chambre Ă  Meugeve et j'avais pas envie non plus d'ĂȘtre... Parce que dĂ©jĂ , dans la chambre, j'Ă©tais pas sĂ»re d'avoir un super Wi-Fi et j'avais envie d'honorer cette femme, en fait. J'avais envie d'avoir un Wi-Fi de qualitĂ©, j'avais pas envie d'ĂȘtre saccadĂ©e, j'avais pas envie que la connexion elle coupe, etc. Et donc il y avait un deuxiĂšme spot oĂč je pouvais faire le call, c'est-Ă -dire Ă  cĂŽtĂ© de la boxe, Ă  cĂŽtĂ© de la boxe dans un espace commun. Pour moi, c'Ă©tait pas l'honorer que d'avoir une conversation en visio dans un espace oĂč j'ai du passage devant moi, oĂč les gens peuvent Ă©couter ce que je dis, etc. Donc c'Ă©tait pas... J'avais envie vraiment d'ĂȘtre dans une Ă©nergie de... En fait, cette femme, c'est une queen et j'ai envie de l'honorer. Donc, ce que j'ai fait, c'est que j'ai demandĂ© Ă  un de mes confrĂšres qui a la voiture, si ça ne le dĂ©rangeait pas de m'emmener en voiture avec lui lors de sa balade. Et moi, j'allais me trouver un petit spot oĂč j'allais faire cet appel, mais que je voulais un petit spot sympa dans lequel je puisse me sentir bien, qui Ă©tait calme, etc. Et donc, il m'a dit, je ne sais pas si toi, tu fais ça, mais moi, de temps en temps, je vais bosser dans des palaces. Et j'ai dit, go, moi, je le fais souvent Ă  Paris. Quand je vais chez ma mĂšre, quand je dois travailler, je vais souvent Ă  Paris dans des palaces bosser. Ça m'arrive rĂ©guliĂšrement parce que si je reste chez ma mĂšre, ma mĂšre sera tentĂ©e de me parler beaucoup et je ne serai pas en deep work. Donc quand je vais dans des palaces, en gĂ©nĂ©ral, je ne suis pas trop interrompue. Donc j'aime bien et puis je me sens bien. J'adore le beau. En plus, il y a toute la vibe qui va avec que j'aime beaucoup. Je vais bien me saper, je vais mettre mes petits talons. Je vais m'apprĂȘter. J'adore me mettre dans ce mood-lĂ . Bref, revenons Ă  nos moutons. Donc, Ă  Meugev, il me dit « on va dans un palace, si ça te dit » . J'ai dit « ok » . Donc lui, normalement, il devait se balader, moi je devais faire mon call et on devait se rejoindre aprĂšs. Le palace qu'on a trouvĂ© en premier, c'Ă©tait le Four Seasons. Le Four Seasons Ă  Meugev, qui Ă©tait trĂšs excentrĂ©. Donc on est allĂ© au Four Seasons. Je me suis dit que j'allais peut-ĂȘtre pouvoir commencer la visio un petit peu en retard, parce que mĂȘme si on arrivait Ă  l'heure, ça serait un petit peu juste. Et comme je vous ai dit, je me suis vraiment mise dans des conditions, j'avais envie d'honorer cette femme, vraiment. Je me suis dit, c'est une queen, je veux honorer mon temps, je veux honorer son temps, je veux honorer la qualitĂ© de notre entretien. Et pour honorer cette qualitĂ©, j'ai besoin de me sentir bien. Et ce n'est pas juste, je me pose dans le lobby, je me branche et j'enchaĂźne l'appel. Non. Donc, je suis arrivĂ©e Ă  10h au Four Seasons avec mon confrĂšre. Et en fait, je suis arrivĂ©e, parce que je n'avais pas prĂ©vu d'aller au Four Seasons, j'avais prĂ©vu d'aller dans un lobby d'hĂŽtel, mais pas forcĂ©ment un palace. lobby d'hĂŽtel chic quoi. Donc j'Ă©tais en basket de course Ă  pied dĂ©gueulasse qui avait de la terre dessus. J'Ă©tais en jogging, en pantalon de jogging avec ma veste de ski verte et j'Ă©tais pas maquillĂ©e, enfin Ă  peine maquillĂ©e, je crois que j'avais juste mis du mascara et j'Ă©tais en suite. Donc j'Ă©tais vraiment en mode sportswear, pas du tout brushingĂ©e, pas du tout, voilĂ , j'Ă©tais pas du tout apprĂȘtĂ©e. Donc, on est arrivĂ© au fourth season. Mon confrĂšre, il fait trĂšs homme mature, il fait trĂšs homme d'affaires. Il a sa petite sacoche, il a des poils gris, des cheveux gris, des poils de barbe gris et des cheveux gris. Enfin, il fait trĂšs homme d'affaires. Moi, vraiment, j'Ă©tais en mode... Enfin, on se dit, c'est qui, elle ? Bref, j'y suis allĂ©e, mais en fait, j'ai pas... J'ai mĂȘme pas pensĂ© de... Je suis en jogging, qu'est-ce qu'ils vont me dire ? En fait, je suis allĂ©e en jogging et c'est mĂȘme moi qui ai parlĂ©. Et je leur ai demandĂ©, voilĂ , est-ce que c'est possible de prendre un petit dĂ©jeuner ? Ils m'ont dit non, non, il faut rĂ©server bien en avance. On est complet, ce n'est pas possible, etc. Et en fait, moi, je me suis dit, en fait, j'avais dĂ©cidĂ© Ă  Gena DĂ©fini que c'Ă©tait lĂ  que je voulais faire mon call. Et puis mĂȘme en termes de timing, je ne voulais pas aller trouver un autre endroit et dire Ă  ma cliente, finalement, il va falloir encore repousser un petit peu notre appel. Donc voilĂ , dĂ©jĂ , j'avais repoussĂ© de 15 minutes pour me sentir Ă  l'aise, avoir le temps de m'installer et tout ça, pour ĂȘtre bien. Bref, du coup. Je leur ai dit « est-ce que c'est possible d'attendre qu'une petite table se libĂšre dans votre lobby ? » Et le mec me dit « en fait, ça ne sera pas libĂ©rĂ© avant une heure » . J'ai dit « c'est OK, moi c'est OK, je peux attendre. Est-ce que c'est possible de commander un cafĂ© au lobby ? » Et ils m'ont dit « non, le bar est fermĂ©, il ouvre Ă  11h » . Donc en gros, pas de cafĂ©, pas de table. J'ai dit, bon, est-ce que c'est OK pour vous que je fasse un rendez-vous dans le lobby ? Et puis quand la table est disponible, vous nous dites et on viendra Ă  table. Donc il accepte, le mec. Donc il nous fait rentrer, on s'installe chacun de notre cĂŽtĂ© dans le lobby. Moi, j'avais besoin de calme, j'avais besoin d'ĂȘtre bien pour accueillir l'appel avec ma cliente. Et en fait, le mec qui nous a dit qu'il n'y avait plus de place, etc., il nous apporte un cafĂ© et une bouteille d'eau. Et on n'a pas pillĂ©. Donc, pour vous dire que quand, en fait, on incarne vraiment une certaine posture et une certaine Ă©nergie, les gens ressentent votre Ă©nergie, votre charisme, votre leadership. Et en fait, ils sont lĂ  en train de se mettre Ă  la... Ă  la hauteur de ce que vous incarnez. C'est-Ă -dire que pour eux, avoir une clientĂšle qui attend dans le lobby parce qu'il n'y a pas de place, etc., ce n'est pas OK. Et d'avoir quelqu'un qui sait que la personne est prĂȘte Ă  attendre parce qu'elle veut rester, etc., et c'est bon, elle n'est pas dans l'attente genre « Ah, j'ai hĂąte, je vais attendre en mode groupie » . En fait, non, j'ai mes rendez-vous Ă  gĂ©rer. Donc voilĂ , aprĂšs mon rendez-vous, je pense que je vais attendre que la table se libĂšre et je suis prĂȘte, etc. Donc il y a vraiment une posture incarnĂ©e de leadership qui probablement se fait ressentir de l'extĂ©rieur. MalgrĂ© ma tenue qui Ă©tait dĂ©goĂ»tasse, il faut se le dire, ce n'Ă©tait pas du tout reprĂ©sentatif du niveau, en tout cas de charisme que j'ai envie d'incarner, en tout cas au niveau vestimentaire et du look, parce que, encore une fois, la mode est dans mes valeurs. Et donc, ils nous ont servi cafĂ©, eau, ils se sont excusĂ©s je ne sais pas combien de fois. Donc bref, du coup, je fais mon appel avec ma cliente, mais je me sentais bien, je me sentais hypĂ©e. Et je trouve que l'Ă©nergie dans laquelle j'Ă©tais pour cet appel Ă©tait juste. Ensuite, j'ai fini mon appel, on a Ă©tĂ© du coup prendre notre table, on Ă©tait les seuls. Donc aprĂšs, il y avait une ou deux, une cliente et je crois qu'un autre client aprĂšs qui sont arrivĂ©s. Mais au dĂ©but, quand on est arrivĂ©, on Ă©tait seuls. C'Ă©tait trop bien, on avait le resto pour nous tout seul, on avait la vue sur les montagnes, etc. Et donc, du coup, on nous sert, je commande mon cappuccino, si vous me suivez, vous savez que je suis cappuccino fan, et je ne regarde pas le prix, je ne regarde mĂȘme pas la carte, rien du tout, je dis juste un cappuccino, etc. Au moment de payer, je paye, et donc je ne regarde pas le prix, et donc quand je reviens, j'ai une copine qui me dit « Mais t'as payĂ© combien en fait ? » le cappuccino Four Seasons. Et je regarde et je dis 12 euros. 12 euros et elle me dit ah ouais c'est cher pour un cappuccino. Et c'est lĂ  que j'ai vu ok en fait mon niveau de conscience et ce que j'incarne est diffĂ©rent de ce qu'elle est en train de me dire. Il n'y a pas une question de supĂ©rioritĂ© et tout encore une fois. Quand on parle de niveau ça peut ĂȘtre plus bas, ça peut ĂȘtre plus haut mais c'est pas en comparaison de c'est mieux ou c'est moins bien. C'est juste un constat. Parce que Pour moi, je n'ai pas payĂ© un cappuccino. J'ai payĂ© une connexion Wi-Fi fluide pour me permettre d'honorer ma cliente, pour honorer notre Ă©change, pour moi me sentir bien, dans une bonne Ă©nergie pour avoir cet appel, pour ĂȘtre au chaud, pour ĂȘtre au calme et pour ensuite avoir une belle vue, pour passer un chouette moment avec mon confrĂšre ensuite. C'est ça en fait que j'ai payĂ©. Et 12 euros pour moi, ce n'est pas cher. Donc, en tout cas, c'est ma perception, c'est que ce n'Ă©tait pas cher parce que tout le confort, comment je me suis sentie, comment j'ai Ă©tĂ© accueillie, comment on m'a servi, le cappuccino qui Ă©tait magnifique, avec le petit ours qui Ă©tait dessinĂ© dessus, etc. J'ai discutĂ© avec le serveur qui m'a fait le petit ours. Enfin, on a sympathisĂ©, c'Ă©tait un grec, etc. On a bien papotĂ© et tout. En fait, tout ça, pour moi, c'est tellement quali que 12 euros, ce n'est pas cher. Donc, encore une fois, c'est une question de perception. Pareil, le soir mĂȘme, on va dans un bar et donc je commande un cocktail. Et j'ai mes potes qui font la blague de « putain, les cocktails Ă  18 boules quoi » . En fait, je m'aperçois encore une fois que moi, je n'ai pas regardĂ© le prix que j'ai payĂ©. Je n'ai mĂȘme pas demandĂ© combien ça coĂ»tait parce que je ne payais pas un cocktail. Je payais un moment avec mes amis, une soirĂ©e oĂč on allait s'Ă©clater avec mes amis. D'ailleurs, si vous me suivez sur Instagram, vous avez vu des extraits de soirĂ©e. En fait, c'est des moments de ouf, la qualitĂ© des Ă©changes, des rires et tout ça. Pour moi, ça n'a pas de prix. Et 18 euros pour cette soirĂ©e-lĂ , pour moi, ce n'Ă©tait pas cher. Encore une fois, c'est une question de perception. Donc, quelle est votre norme ? C'est un peu la conclusion de ce partage-lĂ . Votre pourquoi, votre intention, c'est ce que j'ai tout le temps Ă  mes clientes. C'est quoi ton intention ? Pourquoi tu le fais ? Est-ce que ça a du sens ? Est-ce que c'est en
 en lien avec ta vision, avec ce qui t'inspire le plus, qu'est-ce qui te fait vibrer intĂ©rieurement, qu'est-ce que tu ressens quand tu es en train de vivre ce moment-lĂ , qu'est-ce que tu ressens au moment oĂč tu transformes. Et c'est tout ça, en fait, qui fait que ce n'est pas une question d'argent, ce n'est pas une question de jogging ou de basket pleine de terre, c'est une question de qui tu es quand tu le fais, qu'est-ce que tu ressens, comment tu le fais, et de qui tu es, en fait. Tout simplement, tes normes, tes standards, et qu'est-ce que... comment tu le vibres, et plus tu as de la certitude dans ta posture, et plus ça va se ressentir. Moi, quand je suis arrivĂ©e devant le portier, j'avais la certitude que j'avais ma place au Four Seasons, et je n'avais mĂȘme pas captĂ© ma tenue. En fait, je pense que si j'avais captĂ© comment j'Ă©tais habillĂ©e... parce que je pense que je ne me suis mĂȘme pas vue dans un miroir avant de sortir, parce que j'avais mis mes baskets de marche pour visiter Meugeve, donc pour vous dire, voilĂ . En fait, si je m'Ă©tais vue, mon mental serait venu interfĂ©rer pour dire « Mais meuf, tu ne peux pas aller dans un palace dans cet Ă©tat, tu es dĂ©gollasse ! » Il y avait des traces de boue, en plus, sur mon jogging, parce que j'avais fait une marche avec dans la neige. Enfin, n'importe quoi, vraiment, mon mental m'aurait dit « Mais tu ne peux pas ! » Et en fait, c'est juste qui je suis. Ce que je ressens, c'Ă©tait la certitude de « j'ai ma place dans ce palace, j'ai ma place quoi qu'il arrive, et s'il faut attendre, j'attendrai, parce que je sais que ma place est lĂ  » . Et donc, il y a vraiment cette histoire de posture, parce qu'il y a des personnes qui vont dire « si on attend, laisse tomber, je n'ai pas envie d'attendre » . Ça, c'est aussi une posture. La posture, c'est la certitude que j'ai ma place Ă  cet endroit-lĂ , pour cet appel-lĂ , dans cet espace-lĂ , pour me sentir dans ma pleine puissance, comme un higher self. parce que c'est ici ma place et ce n'est pas ailleurs. Donc voilĂ , une question de certitude. Et ça, vous pouvez l'adapter aussi dans la maniĂšre dont vous vendez. La maniĂšre dont vous vendez, si je vous donne un exemple, j'ai une cliente qui m'avait dit, quand je lui avais proposĂ© de rejoindre le Mastermind en MP, elle m'avait dit, ouais, en fait, ça fait trĂšs prospection, je ne suis pas trĂšs fan, etc. Et en fait, ma posture, c'Ă©tait, non, pour moi, tu peux l'appeler de la prospection, mais pour moi, ce n'est pas de la prospection comme
 ce que tu es en train de dĂ©crire. Pour moi, c'est j'ai pensĂ© Ă  toi pour le mastermind. Il reste une place. Je me suis dit que c'Ă©tait la tienne. VoilĂ , c'est soit tu la prends parce que tu considĂšres que c'est ta place, soit tu ne la prends pas et c'est une autre femme qui veut prendre cette place, qui est en train de procĂ©der au paiement. Mais en fait, la premiĂšre qui paye, la premiĂšre a sa place. Et moi, je me suis dit, pour moi, je ressens que c'est ta place. AprĂšs, c'est Ă  toi de voir si ça rĂ©sonne pour toi ou pas. Tu as le droit de me dire non, tu as le droit de me dire ça ne rĂ©sonne pas du tout, tu as le droit de me dire ça ne m'intĂ©resse pas du tout, c'est ok. Mais moi, c'est ce que je ressens et je m'autorise Ă  te le partager. Et lĂ , je viens dans une posture de puissance. Je n'ai pas un pas dans une posture de je m'excuse de te dĂ©ranger, je m'excuse de te prospecter. Et en plus, je n'ai pas l'impression de faire du forcing parce que tu n'as pas postulĂ© pour le mastermind et c'est moi qui te propose la place. Non, en fait, il n'y a pas cette posture basse, c'est une posture haute avec laquelle je viens. Encore une posture haute, ce n'est pas... forcĂ©ment dans la supĂ©rioritĂ©, genre on s'exagĂšre, mais une posture haute de « en fait, je suis la femme puissante et j'incarne cette femme » . Et la femme puissante, elle te dit « tu as ta place, est-ce que tu as envie de la prendre ? » . Donc, encore une fois, c'est une question d'Ă©nergie, c'est une question de qui on incarne, qui on est, de quel espace ça part. Ça part de l'espace de « je joue petit, je ne suis pas assez, j'en sais pas assez, je manque de lĂ©gitimitĂ©, je me minimise » , ou ça part de « je suis cette femme puissante, je mĂ©rite ce que je vis, je mĂ©rite de faire un appel dans un palace » . Je mĂ©rite d'avoir ma place Ă  la table avec la vue sur les montagnes, quitte Ă  attendre une heure et en plus je me fais chouchouter en attendant. Je mĂ©rite tout ça parce que je suis cette femme-lĂ  dĂ©jĂ , dĂ©jĂ  en fait. VoilĂ , et donc le dĂ©jĂ , ça peut aussi vous amener la rĂ©flexion sur c'est quoi incarner votre higher self ? Ce n'est pas incarner une personne que vous n'ĂȘtes pas, c'est en fait incarner la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ . La femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  et qui joue petit. Et la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ , qui se fait petite parce qu'elle a peur de dĂ©ranger, elle a peur qu'on la juge, elle a peur qu'on la critique, elle a peur que de ne plus ĂȘtre aimĂ©e en fait. Et donc en fait, c'est la femme puissante en mode bulldozer, en mode RAF, j'en ai rien Ă  foutre, je m'emballe avec, je suis qui je suis, que ça dĂ©plaise aux gens qui ne vibrent pas cette vibration. Ce shift-lĂ , souvent ça vient d'un shift quand on rĂ©agit comme ça. C'est ok et ça fera le mĂ©nage et le tri sera juste. pour moi et pour eux. VoilĂ  pour mon partage du jour. Dites-moi sur Instagram si ça rĂ©sonne. N'hĂ©sitez pas Ă  venir me faire un petit feedback sur cet Ă©pisode, me faire un petit coucou pour me partager vos prises de conscience Ă©ventuelles, vos dĂ©clics, vos dĂ©saccords, vos rĂ©flexions. N'hĂ©sitez pas, je vous embrasse et je vous dis Ă  la prochaine.

Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs đŸ€—


Dans cet épisode, je vous explique comment la vibration impacte la perception des autres et donc tout ce que tu vis dans ta vie.


Si tu es ouvert.e Ă  la Loi de l’Attraction, la Manifestation et l’énergĂ©tique, ça devrait te parler.


Moi, Julie, banlieusarde parisienne qui frĂ©quente des lieux luxueux, peu importe ce que je porte
 parce ce que ça fait partie de qui je SUIS.


Belle Ă©coute đŸ’«


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Welcome back ! Je sais, ça fait longtemps que je ne vous avais pas fait d'Ă©pisode, mais ça a Ă©tĂ© tellement un tourbillon dans ma vie que c'est vrai que je n'ai pas trop pris le temps de vous partager un petit peu. Par contre, je le fais quand mĂȘme en story, donc voilĂ , vous ne pouvez pas dire que vous n'ĂȘtes pas au courant de ce qui se passe. Aujourd'hui, j'avais vraiment envie de vous partager quelque chose sur un truc que j'ai rĂ©alisĂ©, donc je le savais dĂ©jĂ . Et si vous faites partie des personnes qui ont dĂ©jĂ  transitĂ© dans mes accompagnements, vous l'avez dĂ©jĂ  entendu. Mais en fait, on peut savoir beaucoup de choses, mais Ă  chaque fois qu'on va les expĂ©rimenter, on va voir des nuances, si on est ouvert, si on est rĂ©ceptif, des nuances qu'on n'avait pas captĂ©es avant. Et c'est aussi ma façon de voir les choses. AprĂšs, encore une fois, on le voit dans mon fonctionnement naturel en HD. J'ai besoin de voir les choses plusieurs fois. intĂ©grer diffĂ©remment Ă  chaque fois un niveau de profondeur diffĂ©rent pour pouvoir ensuite transmettre ce niveau de profondeur aux autres. Et donc, c'est ce que je fais dans mes espaces de coaching. Donc, il y avait plein de concepts que je connaissais dĂ©jĂ , mais j'ai eu tellement de dĂ©clics ces derniĂšres semaines que ça a Ă©tĂ© juste ouf au niveau transformationnel. AprĂšs, pour vous rappeler un petit peu le contexte, aujourd'hui, c'est la pleine lune en vierge, mais c'est aussi une Ă©clipse lunaire. Pleine lune en vierge, la nouvelle lune en vierge, Le 3 septembre, j'Ă©tais Ă  Bali. J'Ă©tais dans une transformation Ă©nergĂ©tique de tout mon ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ . Ceux qui ont Ă©coutĂ© l'Ă©pisode sur Bali savent de quoi je parle, notamment le coup du massage chamanique. Donc lĂ , vraiment, on est en train de clĂŽturer un chapitre de vie qui est assez puissant, que ce soit sur le pro et mĂȘme le perso, j'ai envie de dire. Donc aujourd'hui, je vais aborder juste un sujet spĂ©cifique. Et puis, je verrai comment j'aborde le reste au fur et Ă  mesure. Mais en tout cas, ce que j'avais envie de partager aujourd'hui, c'est un peu une pĂ©pite que j'ai eue en immersion la semaine... C'est la semaine derniĂšre ? Oui, la semaine derniĂšre, je suis partie en immersion, si vous me suivez en souris. Vous le savez, tous les trois mois, je pars en immersion avec mes potes entrepreneurs. Ce sont des potes avec lesquels j'Ă©tais en mastermind en 2022. Le mastermind s'est arrĂȘtĂ©. On Ă©tait dans le mastermind de Julien Musi qui s'appelait Limitless Killing. L'objectif, la promesse, c'Ă©tait de faire 100 000 euros par mois minimum. Donc, Julien Musi a dĂ©cidĂ© de le fermer. Je crois que c'Ă©tait en, je ne sais pas, fin 2022, je pense, qu'il a dĂ©cidĂ© de le fermer. Et en fait, on a continuĂ© de se voir. Non, moi, je n'ai pas pu venir les premiĂšres fois, mais on a commencĂ© Ă  se voir. Non, c'Ă©tait fin 2022. Oui, c'est ça, ça doit ĂȘtre ça. On a continuĂ© de se voir ensuite. Et ça a mis du temps parce qu'ils se voyaient entre eux, ceux qui habitaient Ă  Bordeaux. Et puis, ça s'est agrandi. Donc, il y en a une ou deux qui habitent Ă  Paris, etc. Donc, il y en a un autre qui habite Ă  Ornandor. Bref, ils arrivaient Ă  se rejoindre Ă  chaque fois en petit comitĂ©. Et donc, Ă  un moment donnĂ©, quand ils m'ont proposĂ© de venir, j'ai sautĂ© sur l'opportunitĂ©. Donc, depuis, ça fait maintenant un an et demi. que tous les trois mois, je les rejoins quelque part, que ce soit en France ou en Europe. Je prends l'avion Ă  chaque fois. C'est souvent galĂšre, pour ĂȘtre honnĂȘte, pour aller jusqu'aux Ă©vĂ©nements. Mais bref, je les rejoins. Et il y a vraiment ce truc de... Je n'y vais pas pour apprendre quelque chose, j'y vais pour voir les choses diffĂ©remment. Donc, ça, c'Ă©tait vraiment la petite anecdote, la petite apartĂ© sur mon dĂ©clic. Donc, j'ai eu un dĂ©clic sur quelque chose que je connaissais dĂ©jĂ . C'est-Ă -dire que ce n'est pas ce qu'on dit aux gens qui peut faire la diffĂ©rence. En tout cas, ça peut faire la diffĂ©rence en surface sur les gens qui n'ont peut-ĂȘtre pas le niveau de conscience pour aller au-delĂ  des mots. Mais c'est vraiment ce que l'on vibre et ce qu'on incarne. Et l'exemple que j'avais envie de vous partager aujourd'hui, c'est que je me rappelle encore avoir des amis. C'Ă©tait l'annĂ©e derniĂšre qui me disait « c'est ouf le culot que tu as d'aller dans des palaces » . et d'y aller en mode chill quoi. Parce que ce sont des personnes qui n'ont pas l'habitude d'aller dans des palaces, ça ne veut pas dire que moi j'ai plus l'habitude qu'elles, mais je vais vous expliquer aprĂšs. C'est juste qu'elles, parce qu'elles ont peur, peu importe les raisons, elles ont peur, elles ne se sentent pas Ă  l'aise, etc., elles ne vont pas y aller. Moi, mĂȘme si je n'y vais pas rĂ©guliĂšrement, mĂȘme si avant je n'y allais pas, etc., il y a toujours une premiĂšre fois. Je n'ai pas peur en fait, parce que c'est comme si je savais que c'Ă©tait ma place. Si vous me suivez en story, vous savez que j'ai un goĂ»t pour le luxe et la mode, et le prĂȘt-Ă -porter, etc. Je ne suis pas issue d'une famille aisĂ©e qui a baignĂ© dans le luxe, mais j'ai commencĂ© Ă  frĂ©quenter des gens. qui Ă©tait originaire de familles aisĂ©es et qui baignait dans le luxe Ă  partir de mes 18 ans. Ce qui fait que j'ai captĂ© les codes, puisque si vous avez bien suivi dans mes derniers Ă©pisodes oĂč je racontais un peu mon enfance, j'Ă©tais trĂšs discrĂšte, trĂšs dans l'observation, trĂšs introvertie, et ce qui fait que j'ai dĂ©veloppĂ© un sens de l'observation beaucoup plus poussĂ© que certaines autres personnes. Donc, quand j'ai intĂ©grĂ© mon Ă©cole de commerce, j'ai observĂ© les codes de ces personnes qui, pour moi, vivaient... une vie qui me paraissait inimaginable. Pour moi, c'Ă©tait l'Ă©quivalent de ce qu'on voyait Ă  la tĂ©lĂ© pour les sĂ©ries US. Donc, j'ai frĂ©quentĂ© ce genre de personnes. J'ai frĂ©quentĂ© aussi... J'Ă©tais dans leur lifestyle, c'est-Ă -dire que moi, je ne pouvais pas me le permettre, mais je suivais leur dĂ©lire. C'est-Ă -dire que moi, j'ai commencĂ© Ă  bosser Ă  16 ans, donc j'avais mis de cĂŽtĂ© de l'argent. Donc, les restos un peu guindĂ©s, je les ai dĂ©couverts Ă  leur cĂŽtĂ©. Les endroits branchĂ©s ou sortis, j'ai des dĂ©couvertes Ă  leur cĂŽtĂ©, donc j'ai commencĂ© Ă  baigner dans cette Ă©nergie-lĂ . Ensuite, quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e en 2007, c'Ă©tait ma norme, c'Ă©tait devenu ma norme. MĂȘme quand je travaillais en soirĂ©e dans tout ce qui est Ă©vĂ©nements de la nuit, il y a vraiment cette gestion de clientĂšle VIP, etc. En fait, c'est devenu ma norme, ce genre de code. Ce qui fait que quand j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre salariĂ©e, je ne voulais pas me contenter de ce qui n'Ă©tait pas Ă  mes standards, on va dire. Donc, quand j'allais au resto, je voulais des restos qui Ă©taient bons, peu importe le prix. C'est-Ă -dire, je me rappelle trĂšs bien Ă  Marseille, et donc si mon amie Ă©coute cet Ă©pisode, elle se reconnaĂźtra. On est allĂ© dans un resto, donc j'avais quoi, 22 ans ? On est allĂ© dans un resto. oĂč c'Ă©tait 150 euros par tĂȘte. On Ă©tait les plus jeunes. Et en fait, autour de nous, c'Ă©tait que des personnes aisĂ©es. Et on Ă©tait les deux banlieusardes. Donc, on est issus du 95, toutes les deux. Les deux petites banlieusardes qui allaient au resto, qui n'avaient pas... En fait, c'est comme si on avait les codes en nous, comme si c'Ă©tait notre norme, mais qu'on n'Ă©tait pas nĂ©s au bon endroit. En fait, c'est un peu ce truc-lĂ . Parce qu'elles, comme moi... On sait se comporter dans les Ă©vĂ©nements oĂč ça demande Ă  ĂȘtre positionnĂ© comme quelqu'un qui est assez Ă  l'aise avec des personnes aisĂ©es financiĂšrement, etc. On adopte les codes trĂšs facilement. D'ailleurs, quand je la vois, je me rappelle toujours de toutes les fois oĂč on faisait comme si on venait du mĂȘme milieu que ces personnes-lĂ , pas pour faire semblant vraiment. Mais c'est parce que dans notre attitude, les gens ne voyaient pas la diffĂ©rence entre nous deux, les banlieusards du 95, et eux, les personnes qui sont nĂ©es dans le 16e. Donc, il y avait vraiment ce truc oĂč on incarnait dĂ©jĂ  notre prochaine version. Et mĂȘme elle, quand elle a trouvĂ© ses emplois, elle Ă©tait dans tout ce qui Ă©tait luxe. Des hĂŽtels de luxe, des restos de luxe, etc. Elle est devenue chef de rang assez rapidement, mais parce qu'elle avait la posture. Donc, pour revenir Ă  mon partage, c'est... que les gens, quand ils peuvent ressentir votre vibration, ils vont se caler, pas sur ce que vous dites, mais sur vous vibrer, ce que vous incarnez, qui vous ĂȘtes et comment vous vous comportez, ce que vous faites en fait. C'est ce que vous faites, mais surtout, qu'est-ce que vous vibrez quand vous le faites ? Et l'exemple que j'avais envie de vous partager, c'est que moi, au-delĂ  du fait que je vous fasse des stories oĂč je ne suis pas maquillĂ©e, oĂč je suis en tenue de sport, oĂč je suis en pyjama, oĂč je suis en train de faire le mĂ©nage, etc. c'est qu'est-ce que je vibre quand je fais ce genre de story. C'est-Ă -dire qu'une autre personne ferait ce genre de story, elle ne serait pas forcĂ©ment perçue de la mĂȘme maniĂšre que moi qui fais ce genre de story. Parce que moi, je l'ai fait dans un espace qui est juste pour moi, donc ça ne vibre pas faux, si vous voulez. Hier, je vous parlais justement en story que j'avais eu du mal Ă  trouver un nouveau coach ou une nouvelle mentor parce qu'il y a Ă©normĂ©ment de fausses notes que je perçois de maniĂšre trĂšs subtile qui me bloquent au passage Ă  l'action. Et c'est de maniĂšre Ă©nergĂ©tique que ça me bloque parce que j'ai la carte bleue en main et je suis prĂȘte Ă  embarquer mais Ă©nergĂ©tiquement il y a un truc qui sonne faux. Donc on peut pas l'expliquer avec le mental et lĂ  c'est vraiment on parle d'intuition, on parle de vibrations. Et donc quand je vous parle de qu'est ce qu'on incarne, qu'est ce qu'on vibre, je vous donne un exemple spĂ©cifique. La semaine derniĂšre j'Ă©tais Ă  Meugev. Je voulais avoir une visio avec une de mes clientes. J'avais pas prĂ©vu d'avoir de rendez-vous clients, mais voilĂ , c'Ă©tait un entretien qu'on avait envie d'avoir, on avait envie de se parler. Et donc, c'Ă©tait tout naturellement que je lui ai dit, bah oui, oui, oui, je vais prendre l'appel. Par contre, j'avais pas envie d'ĂȘtre dans ma chambre Ă  Meugeve et j'avais pas envie non plus d'ĂȘtre... Parce que dĂ©jĂ , dans la chambre, j'Ă©tais pas sĂ»re d'avoir un super Wi-Fi et j'avais envie d'honorer cette femme, en fait. J'avais envie d'avoir un Wi-Fi de qualitĂ©, j'avais pas envie d'ĂȘtre saccadĂ©e, j'avais pas envie que la connexion elle coupe, etc. Et donc il y avait un deuxiĂšme spot oĂč je pouvais faire le call, c'est-Ă -dire Ă  cĂŽtĂ© de la boxe, Ă  cĂŽtĂ© de la boxe dans un espace commun. Pour moi, c'Ă©tait pas l'honorer que d'avoir une conversation en visio dans un espace oĂč j'ai du passage devant moi, oĂč les gens peuvent Ă©couter ce que je dis, etc. Donc c'Ă©tait pas... J'avais envie vraiment d'ĂȘtre dans une Ă©nergie de... En fait, cette femme, c'est une queen et j'ai envie de l'honorer. Donc, ce que j'ai fait, c'est que j'ai demandĂ© Ă  un de mes confrĂšres qui a la voiture, si ça ne le dĂ©rangeait pas de m'emmener en voiture avec lui lors de sa balade. Et moi, j'allais me trouver un petit spot oĂč j'allais faire cet appel, mais que je voulais un petit spot sympa dans lequel je puisse me sentir bien, qui Ă©tait calme, etc. Et donc, il m'a dit, je ne sais pas si toi, tu fais ça, mais moi, de temps en temps, je vais bosser dans des palaces. Et j'ai dit, go, moi, je le fais souvent Ă  Paris. Quand je vais chez ma mĂšre, quand je dois travailler, je vais souvent Ă  Paris dans des palaces bosser. Ça m'arrive rĂ©guliĂšrement parce que si je reste chez ma mĂšre, ma mĂšre sera tentĂ©e de me parler beaucoup et je ne serai pas en deep work. Donc quand je vais dans des palaces, en gĂ©nĂ©ral, je ne suis pas trop interrompue. Donc j'aime bien et puis je me sens bien. J'adore le beau. En plus, il y a toute la vibe qui va avec que j'aime beaucoup. Je vais bien me saper, je vais mettre mes petits talons. Je vais m'apprĂȘter. J'adore me mettre dans ce mood-lĂ . Bref, revenons Ă  nos moutons. Donc, Ă  Meugev, il me dit « on va dans un palace, si ça te dit » . J'ai dit « ok » . Donc lui, normalement, il devait se balader, moi je devais faire mon call et on devait se rejoindre aprĂšs. Le palace qu'on a trouvĂ© en premier, c'Ă©tait le Four Seasons. Le Four Seasons Ă  Meugev, qui Ă©tait trĂšs excentrĂ©. Donc on est allĂ© au Four Seasons. Je me suis dit que j'allais peut-ĂȘtre pouvoir commencer la visio un petit peu en retard, parce que mĂȘme si on arrivait Ă  l'heure, ça serait un petit peu juste. Et comme je vous ai dit, je me suis vraiment mise dans des conditions, j'avais envie d'honorer cette femme, vraiment. Je me suis dit, c'est une queen, je veux honorer mon temps, je veux honorer son temps, je veux honorer la qualitĂ© de notre entretien. Et pour honorer cette qualitĂ©, j'ai besoin de me sentir bien. Et ce n'est pas juste, je me pose dans le lobby, je me branche et j'enchaĂźne l'appel. Non. Donc, je suis arrivĂ©e Ă  10h au Four Seasons avec mon confrĂšre. Et en fait, je suis arrivĂ©e, parce que je n'avais pas prĂ©vu d'aller au Four Seasons, j'avais prĂ©vu d'aller dans un lobby d'hĂŽtel, mais pas forcĂ©ment un palace. lobby d'hĂŽtel chic quoi. Donc j'Ă©tais en basket de course Ă  pied dĂ©gueulasse qui avait de la terre dessus. J'Ă©tais en jogging, en pantalon de jogging avec ma veste de ski verte et j'Ă©tais pas maquillĂ©e, enfin Ă  peine maquillĂ©e, je crois que j'avais juste mis du mascara et j'Ă©tais en suite. Donc j'Ă©tais vraiment en mode sportswear, pas du tout brushingĂ©e, pas du tout, voilĂ , j'Ă©tais pas du tout apprĂȘtĂ©e. Donc, on est arrivĂ© au fourth season. Mon confrĂšre, il fait trĂšs homme mature, il fait trĂšs homme d'affaires. Il a sa petite sacoche, il a des poils gris, des cheveux gris, des poils de barbe gris et des cheveux gris. Enfin, il fait trĂšs homme d'affaires. Moi, vraiment, j'Ă©tais en mode... Enfin, on se dit, c'est qui, elle ? Bref, j'y suis allĂ©e, mais en fait, j'ai pas... J'ai mĂȘme pas pensĂ© de... Je suis en jogging, qu'est-ce qu'ils vont me dire ? En fait, je suis allĂ©e en jogging et c'est mĂȘme moi qui ai parlĂ©. Et je leur ai demandĂ©, voilĂ , est-ce que c'est possible de prendre un petit dĂ©jeuner ? Ils m'ont dit non, non, il faut rĂ©server bien en avance. On est complet, ce n'est pas possible, etc. Et en fait, moi, je me suis dit, en fait, j'avais dĂ©cidĂ© Ă  Gena DĂ©fini que c'Ă©tait lĂ  que je voulais faire mon call. Et puis mĂȘme en termes de timing, je ne voulais pas aller trouver un autre endroit et dire Ă  ma cliente, finalement, il va falloir encore repousser un petit peu notre appel. Donc voilĂ , dĂ©jĂ , j'avais repoussĂ© de 15 minutes pour me sentir Ă  l'aise, avoir le temps de m'installer et tout ça, pour ĂȘtre bien. Bref, du coup. Je leur ai dit « est-ce que c'est possible d'attendre qu'une petite table se libĂšre dans votre lobby ? » Et le mec me dit « en fait, ça ne sera pas libĂ©rĂ© avant une heure » . J'ai dit « c'est OK, moi c'est OK, je peux attendre. Est-ce que c'est possible de commander un cafĂ© au lobby ? » Et ils m'ont dit « non, le bar est fermĂ©, il ouvre Ă  11h » . Donc en gros, pas de cafĂ©, pas de table. J'ai dit, bon, est-ce que c'est OK pour vous que je fasse un rendez-vous dans le lobby ? Et puis quand la table est disponible, vous nous dites et on viendra Ă  table. Donc il accepte, le mec. Donc il nous fait rentrer, on s'installe chacun de notre cĂŽtĂ© dans le lobby. Moi, j'avais besoin de calme, j'avais besoin d'ĂȘtre bien pour accueillir l'appel avec ma cliente. Et en fait, le mec qui nous a dit qu'il n'y avait plus de place, etc., il nous apporte un cafĂ© et une bouteille d'eau. Et on n'a pas pillĂ©. Donc, pour vous dire que quand, en fait, on incarne vraiment une certaine posture et une certaine Ă©nergie, les gens ressentent votre Ă©nergie, votre charisme, votre leadership. Et en fait, ils sont lĂ  en train de se mettre Ă  la... Ă  la hauteur de ce que vous incarnez. C'est-Ă -dire que pour eux, avoir une clientĂšle qui attend dans le lobby parce qu'il n'y a pas de place, etc., ce n'est pas OK. Et d'avoir quelqu'un qui sait que la personne est prĂȘte Ă  attendre parce qu'elle veut rester, etc., et c'est bon, elle n'est pas dans l'attente genre « Ah, j'ai hĂąte, je vais attendre en mode groupie » . En fait, non, j'ai mes rendez-vous Ă  gĂ©rer. Donc voilĂ , aprĂšs mon rendez-vous, je pense que je vais attendre que la table se libĂšre et je suis prĂȘte, etc. Donc il y a vraiment une posture incarnĂ©e de leadership qui probablement se fait ressentir de l'extĂ©rieur. MalgrĂ© ma tenue qui Ă©tait dĂ©goĂ»tasse, il faut se le dire, ce n'Ă©tait pas du tout reprĂ©sentatif du niveau, en tout cas de charisme que j'ai envie d'incarner, en tout cas au niveau vestimentaire et du look, parce que, encore une fois, la mode est dans mes valeurs. Et donc, ils nous ont servi cafĂ©, eau, ils se sont excusĂ©s je ne sais pas combien de fois. Donc bref, du coup, je fais mon appel avec ma cliente, mais je me sentais bien, je me sentais hypĂ©e. Et je trouve que l'Ă©nergie dans laquelle j'Ă©tais pour cet appel Ă©tait juste. Ensuite, j'ai fini mon appel, on a Ă©tĂ© du coup prendre notre table, on Ă©tait les seuls. Donc aprĂšs, il y avait une ou deux, une cliente et je crois qu'un autre client aprĂšs qui sont arrivĂ©s. Mais au dĂ©but, quand on est arrivĂ©, on Ă©tait seuls. C'Ă©tait trop bien, on avait le resto pour nous tout seul, on avait la vue sur les montagnes, etc. Et donc, du coup, on nous sert, je commande mon cappuccino, si vous me suivez, vous savez que je suis cappuccino fan, et je ne regarde pas le prix, je ne regarde mĂȘme pas la carte, rien du tout, je dis juste un cappuccino, etc. Au moment de payer, je paye, et donc je ne regarde pas le prix, et donc quand je reviens, j'ai une copine qui me dit « Mais t'as payĂ© combien en fait ? » le cappuccino Four Seasons. Et je regarde et je dis 12 euros. 12 euros et elle me dit ah ouais c'est cher pour un cappuccino. Et c'est lĂ  que j'ai vu ok en fait mon niveau de conscience et ce que j'incarne est diffĂ©rent de ce qu'elle est en train de me dire. Il n'y a pas une question de supĂ©rioritĂ© et tout encore une fois. Quand on parle de niveau ça peut ĂȘtre plus bas, ça peut ĂȘtre plus haut mais c'est pas en comparaison de c'est mieux ou c'est moins bien. C'est juste un constat. Parce que Pour moi, je n'ai pas payĂ© un cappuccino. J'ai payĂ© une connexion Wi-Fi fluide pour me permettre d'honorer ma cliente, pour honorer notre Ă©change, pour moi me sentir bien, dans une bonne Ă©nergie pour avoir cet appel, pour ĂȘtre au chaud, pour ĂȘtre au calme et pour ensuite avoir une belle vue, pour passer un chouette moment avec mon confrĂšre ensuite. C'est ça en fait que j'ai payĂ©. Et 12 euros pour moi, ce n'est pas cher. Donc, en tout cas, c'est ma perception, c'est que ce n'Ă©tait pas cher parce que tout le confort, comment je me suis sentie, comment j'ai Ă©tĂ© accueillie, comment on m'a servi, le cappuccino qui Ă©tait magnifique, avec le petit ours qui Ă©tait dessinĂ© dessus, etc. J'ai discutĂ© avec le serveur qui m'a fait le petit ours. Enfin, on a sympathisĂ©, c'Ă©tait un grec, etc. On a bien papotĂ© et tout. En fait, tout ça, pour moi, c'est tellement quali que 12 euros, ce n'est pas cher. Donc, encore une fois, c'est une question de perception. Pareil, le soir mĂȘme, on va dans un bar et donc je commande un cocktail. Et j'ai mes potes qui font la blague de « putain, les cocktails Ă  18 boules quoi » . En fait, je m'aperçois encore une fois que moi, je n'ai pas regardĂ© le prix que j'ai payĂ©. Je n'ai mĂȘme pas demandĂ© combien ça coĂ»tait parce que je ne payais pas un cocktail. Je payais un moment avec mes amis, une soirĂ©e oĂč on allait s'Ă©clater avec mes amis. D'ailleurs, si vous me suivez sur Instagram, vous avez vu des extraits de soirĂ©e. En fait, c'est des moments de ouf, la qualitĂ© des Ă©changes, des rires et tout ça. Pour moi, ça n'a pas de prix. Et 18 euros pour cette soirĂ©e-lĂ , pour moi, ce n'Ă©tait pas cher. Encore une fois, c'est une question de perception. Donc, quelle est votre norme ? C'est un peu la conclusion de ce partage-lĂ . Votre pourquoi, votre intention, c'est ce que j'ai tout le temps Ă  mes clientes. C'est quoi ton intention ? Pourquoi tu le fais ? Est-ce que ça a du sens ? Est-ce que c'est en
 en lien avec ta vision, avec ce qui t'inspire le plus, qu'est-ce qui te fait vibrer intĂ©rieurement, qu'est-ce que tu ressens quand tu es en train de vivre ce moment-lĂ , qu'est-ce que tu ressens au moment oĂč tu transformes. Et c'est tout ça, en fait, qui fait que ce n'est pas une question d'argent, ce n'est pas une question de jogging ou de basket pleine de terre, c'est une question de qui tu es quand tu le fais, qu'est-ce que tu ressens, comment tu le fais, et de qui tu es, en fait. Tout simplement, tes normes, tes standards, et qu'est-ce que... comment tu le vibres, et plus tu as de la certitude dans ta posture, et plus ça va se ressentir. Moi, quand je suis arrivĂ©e devant le portier, j'avais la certitude que j'avais ma place au Four Seasons, et je n'avais mĂȘme pas captĂ© ma tenue. En fait, je pense que si j'avais captĂ© comment j'Ă©tais habillĂ©e... parce que je pense que je ne me suis mĂȘme pas vue dans un miroir avant de sortir, parce que j'avais mis mes baskets de marche pour visiter Meugeve, donc pour vous dire, voilĂ . En fait, si je m'Ă©tais vue, mon mental serait venu interfĂ©rer pour dire « Mais meuf, tu ne peux pas aller dans un palace dans cet Ă©tat, tu es dĂ©gollasse ! » Il y avait des traces de boue, en plus, sur mon jogging, parce que j'avais fait une marche avec dans la neige. Enfin, n'importe quoi, vraiment, mon mental m'aurait dit « Mais tu ne peux pas ! » Et en fait, c'est juste qui je suis. Ce que je ressens, c'Ă©tait la certitude de « j'ai ma place dans ce palace, j'ai ma place quoi qu'il arrive, et s'il faut attendre, j'attendrai, parce que je sais que ma place est lĂ  » . Et donc, il y a vraiment cette histoire de posture, parce qu'il y a des personnes qui vont dire « si on attend, laisse tomber, je n'ai pas envie d'attendre » . Ça, c'est aussi une posture. La posture, c'est la certitude que j'ai ma place Ă  cet endroit-lĂ , pour cet appel-lĂ , dans cet espace-lĂ , pour me sentir dans ma pleine puissance, comme un higher self. parce que c'est ici ma place et ce n'est pas ailleurs. Donc voilĂ , une question de certitude. Et ça, vous pouvez l'adapter aussi dans la maniĂšre dont vous vendez. La maniĂšre dont vous vendez, si je vous donne un exemple, j'ai une cliente qui m'avait dit, quand je lui avais proposĂ© de rejoindre le Mastermind en MP, elle m'avait dit, ouais, en fait, ça fait trĂšs prospection, je ne suis pas trĂšs fan, etc. Et en fait, ma posture, c'Ă©tait, non, pour moi, tu peux l'appeler de la prospection, mais pour moi, ce n'est pas de la prospection comme
 ce que tu es en train de dĂ©crire. Pour moi, c'est j'ai pensĂ© Ă  toi pour le mastermind. Il reste une place. Je me suis dit que c'Ă©tait la tienne. VoilĂ , c'est soit tu la prends parce que tu considĂšres que c'est ta place, soit tu ne la prends pas et c'est une autre femme qui veut prendre cette place, qui est en train de procĂ©der au paiement. Mais en fait, la premiĂšre qui paye, la premiĂšre a sa place. Et moi, je me suis dit, pour moi, je ressens que c'est ta place. AprĂšs, c'est Ă  toi de voir si ça rĂ©sonne pour toi ou pas. Tu as le droit de me dire non, tu as le droit de me dire ça ne rĂ©sonne pas du tout, tu as le droit de me dire ça ne m'intĂ©resse pas du tout, c'est ok. Mais moi, c'est ce que je ressens et je m'autorise Ă  te le partager. Et lĂ , je viens dans une posture de puissance. Je n'ai pas un pas dans une posture de je m'excuse de te dĂ©ranger, je m'excuse de te prospecter. Et en plus, je n'ai pas l'impression de faire du forcing parce que tu n'as pas postulĂ© pour le mastermind et c'est moi qui te propose la place. Non, en fait, il n'y a pas cette posture basse, c'est une posture haute avec laquelle je viens. Encore une posture haute, ce n'est pas... forcĂ©ment dans la supĂ©rioritĂ©, genre on s'exagĂšre, mais une posture haute de « en fait, je suis la femme puissante et j'incarne cette femme » . Et la femme puissante, elle te dit « tu as ta place, est-ce que tu as envie de la prendre ? » . Donc, encore une fois, c'est une question d'Ă©nergie, c'est une question de qui on incarne, qui on est, de quel espace ça part. Ça part de l'espace de « je joue petit, je ne suis pas assez, j'en sais pas assez, je manque de lĂ©gitimitĂ©, je me minimise » , ou ça part de « je suis cette femme puissante, je mĂ©rite ce que je vis, je mĂ©rite de faire un appel dans un palace » . Je mĂ©rite d'avoir ma place Ă  la table avec la vue sur les montagnes, quitte Ă  attendre une heure et en plus je me fais chouchouter en attendant. Je mĂ©rite tout ça parce que je suis cette femme-lĂ  dĂ©jĂ , dĂ©jĂ  en fait. VoilĂ , et donc le dĂ©jĂ , ça peut aussi vous amener la rĂ©flexion sur c'est quoi incarner votre higher self ? Ce n'est pas incarner une personne que vous n'ĂȘtes pas, c'est en fait incarner la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ . La femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  et qui joue petit. Et la femme que vous ĂȘtes dĂ©jĂ , qui se fait petite parce qu'elle a peur de dĂ©ranger, elle a peur qu'on la juge, elle a peur qu'on la critique, elle a peur que de ne plus ĂȘtre aimĂ©e en fait. Et donc en fait, c'est la femme puissante en mode bulldozer, en mode RAF, j'en ai rien Ă  foutre, je m'emballe avec, je suis qui je suis, que ça dĂ©plaise aux gens qui ne vibrent pas cette vibration. Ce shift-lĂ , souvent ça vient d'un shift quand on rĂ©agit comme ça. C'est ok et ça fera le mĂ©nage et le tri sera juste. pour moi et pour eux. VoilĂ  pour mon partage du jour. Dites-moi sur Instagram si ça rĂ©sonne. N'hĂ©sitez pas Ă  venir me faire un petit feedback sur cet Ă©pisode, me faire un petit coucou pour me partager vos prises de conscience Ă©ventuelles, vos dĂ©clics, vos dĂ©saccords, vos rĂ©flexions. N'hĂ©sitez pas, je vous embrasse et je vous dis Ă  la prochaine.

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