undefined cover
undefined cover
Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ? cover
Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ? cover
Les podcasts du CERIF

Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ?

Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ?

51min |04/03/2025
Play
undefined cover
undefined cover
Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ? cover
Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ? cover
Les podcasts du CERIF

Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ?

Conversation avec Ferghane Azihari : islam ou islamisme ?

51min |04/03/2025
Play

Description

Je recevais Ferghane Azihari essayiste et chroniqueur, auteur de plusieurs articles critiques passionnants sur le postcolonialisme et l'islam.


1. Critique de la lecture géopolitique de l’islamisme

• Fergan Azihari conteste l’idée que l’islamisme serait uniquement une réaction aux erreurs de l’Occident.

• Il reproche à certains politistes une approche tiers-mondiste et néo-orientaliste qui minimiserait le rôle du religieux.

2. L’importance du fait religieux

• Azihari souligne que la modernité a sous-estimé le rôle du religieux dans l’histoire.

• Il critique l’influence de la vision marxiste qui réduit la religion à une simple conséquence des conditions matérielles.

3. L’islam et l’hostilité à l’altérité

• Il affirme que l’islam entretient depuis ses origines un rapport conflictuel avec les cultures extérieures.

• Il critique un certain arabo-centrisme, empêchant l’intégration des influences culturelles extérieures.

4. La distinction islam/islamisme remise en question

• L’essayiste estime que cette distinction est une construction occidentale récente qui n’a pas d’équivalent en arabe.

• Il y voit une volonté politique d’éviter la stigmatisation des musulmans, mais juge cette distinction artificielle et trompeuse.

5. L’islam peut-il se réformer ?

• Il se montre sceptique quant à une réforme interne de l’islam mais estime que les musulmans peuvent s’en détacher.

• Il critique l’idée que l’islam serait une composante essentielle de l’identité des peuples musulmans.

6. L’université et la connaissance de l’islam

• Il déplore que les études universitaires sur l’islam soient biaisées par une approche postcoloniale (notamment via Edward Saïd).

• Il appelle à un réarmement intellectuel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Je recevais Ferghane Azihari essayiste et chroniqueur, auteur de plusieurs articles critiques passionnants sur le postcolonialisme et l'islam.


1. Critique de la lecture géopolitique de l’islamisme

• Fergan Azihari conteste l’idée que l’islamisme serait uniquement une réaction aux erreurs de l’Occident.

• Il reproche à certains politistes une approche tiers-mondiste et néo-orientaliste qui minimiserait le rôle du religieux.

2. L’importance du fait religieux

• Azihari souligne que la modernité a sous-estimé le rôle du religieux dans l’histoire.

• Il critique l’influence de la vision marxiste qui réduit la religion à une simple conséquence des conditions matérielles.

3. L’islam et l’hostilité à l’altérité

• Il affirme que l’islam entretient depuis ses origines un rapport conflictuel avec les cultures extérieures.

• Il critique un certain arabo-centrisme, empêchant l’intégration des influences culturelles extérieures.

4. La distinction islam/islamisme remise en question

• L’essayiste estime que cette distinction est une construction occidentale récente qui n’a pas d’équivalent en arabe.

• Il y voit une volonté politique d’éviter la stigmatisation des musulmans, mais juge cette distinction artificielle et trompeuse.

5. L’islam peut-il se réformer ?

• Il se montre sceptique quant à une réforme interne de l’islam mais estime que les musulmans peuvent s’en détacher.

• Il critique l’idée que l’islam serait une composante essentielle de l’identité des peuples musulmans.

6. L’université et la connaissance de l’islam

• Il déplore que les études universitaires sur l’islam soient biaisées par une approche postcoloniale (notamment via Edward Saïd).

• Il appelle à un réarmement intellectuel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Je recevais Ferghane Azihari essayiste et chroniqueur, auteur de plusieurs articles critiques passionnants sur le postcolonialisme et l'islam.


1. Critique de la lecture géopolitique de l’islamisme

• Fergan Azihari conteste l’idée que l’islamisme serait uniquement une réaction aux erreurs de l’Occident.

• Il reproche à certains politistes une approche tiers-mondiste et néo-orientaliste qui minimiserait le rôle du religieux.

2. L’importance du fait religieux

• Azihari souligne que la modernité a sous-estimé le rôle du religieux dans l’histoire.

• Il critique l’influence de la vision marxiste qui réduit la religion à une simple conséquence des conditions matérielles.

3. L’islam et l’hostilité à l’altérité

• Il affirme que l’islam entretient depuis ses origines un rapport conflictuel avec les cultures extérieures.

• Il critique un certain arabo-centrisme, empêchant l’intégration des influences culturelles extérieures.

4. La distinction islam/islamisme remise en question

• L’essayiste estime que cette distinction est une construction occidentale récente qui n’a pas d’équivalent en arabe.

• Il y voit une volonté politique d’éviter la stigmatisation des musulmans, mais juge cette distinction artificielle et trompeuse.

5. L’islam peut-il se réformer ?

• Il se montre sceptique quant à une réforme interne de l’islam mais estime que les musulmans peuvent s’en détacher.

• Il critique l’idée que l’islam serait une composante essentielle de l’identité des peuples musulmans.

6. L’université et la connaissance de l’islam

• Il déplore que les études universitaires sur l’islam soient biaisées par une approche postcoloniale (notamment via Edward Saïd).

• Il appelle à un réarmement intellectuel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Je recevais Ferghane Azihari essayiste et chroniqueur, auteur de plusieurs articles critiques passionnants sur le postcolonialisme et l'islam.


1. Critique de la lecture géopolitique de l’islamisme

• Fergan Azihari conteste l’idée que l’islamisme serait uniquement une réaction aux erreurs de l’Occident.

• Il reproche à certains politistes une approche tiers-mondiste et néo-orientaliste qui minimiserait le rôle du religieux.

2. L’importance du fait religieux

• Azihari souligne que la modernité a sous-estimé le rôle du religieux dans l’histoire.

• Il critique l’influence de la vision marxiste qui réduit la religion à une simple conséquence des conditions matérielles.

3. L’islam et l’hostilité à l’altérité

• Il affirme que l’islam entretient depuis ses origines un rapport conflictuel avec les cultures extérieures.

• Il critique un certain arabo-centrisme, empêchant l’intégration des influences culturelles extérieures.

4. La distinction islam/islamisme remise en question

• L’essayiste estime que cette distinction est une construction occidentale récente qui n’a pas d’équivalent en arabe.

• Il y voit une volonté politique d’éviter la stigmatisation des musulmans, mais juge cette distinction artificielle et trompeuse.

5. L’islam peut-il se réformer ?

• Il se montre sceptique quant à une réforme interne de l’islam mais estime que les musulmans peuvent s’en détacher.

• Il critique l’idée que l’islam serait une composante essentielle de l’identité des peuples musulmans.

6. L’université et la connaissance de l’islam

• Il déplore que les études universitaires sur l’islam soient biaisées par une approche postcoloniale (notamment via Edward Saïd).

• Il appelle à un réarmement intellectuel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like