Speaker #0Les puissantes. Bye. Agatha. Bye. Bonjour les puissantes, c'est avec un immense plaisir que je vous retrouve pour ce nouvel épisode du podcast Femmes Puissantes by Agathe de Power. Ça fait un petit moment que j'ai pas enregistré un épisode, j'ai fait une pause et aujourd'hui j'ai envie de vous partager une aventure extra... ordinaire, mais c'est vraiment le mot que j'ai vécu je suis partie, je viens de revenir d'ailleurs il y a quelques jours je suis partie pendant 10 jours au Kenya et j'ai eu une immersion avec les Maasai pendant une semaine entière j'ai vécu avec des Maasai j'ai vécu quelque chose qui ressemble clairement à Un rêve qu'on a tous eu quand on a regardé l'émission Rendez-vous en Terre inconnue. Une émission, moi je sais, qui à chaque fois a touché mon âme. Quelque chose qui me dépassait, une émotion qui venait du ventre de quelque chose d'ancestral. Et je pense que c'est ce que j'ai touché du doigt, en tout cas, pendant cette semaine d'immersion avec les Maasai. Et comment j'ai pu arriver à avoir la chance, je mesure ô combien j'ai eu cette Ausha de vivre cette expérience extraordinaire grâce à une femme incroyable. Et c'est intéressant parce que j'ai vraiment posé l'intention pour 2025 de rencontrer des femmes qui m'inspirent. Et waouh, on est début mars et je peux dire que cette année est à la hauteur de l'intention posée. À la mesure de ce que j'avais envie d'attirer dans ma vie, des femmes hyper inspirantes, c'est vraiment ce qui arrive depuis le début de l'année. Cette femme s'appelle Alexandra Dugast, son nom, Maasai, c'est Nen Kai, et elle vit, elle est mariée avec un Maasai depuis 7 ans, si je ne me trompe pas, et c'est grâce à elle que j'ai connu cet endroit. Elle m'avait contactée sur Insta et j'ai ouvert ce message. Vous savez, des fois, l'intuition, la vie, que je reçois beaucoup de messages sur Insta. Et celui-ci, je l'ai ouvert. Et j'ai décidé donc en juillet 2024 de m'écouter et de partir avec mon mari et mes deux enfants pour vivre une aventure. Wow ! J'ai envie ici de pouvoir te résumer un peu ce que j'ai ressenti et surtout quelques grands enseignements. que j'ai pu expérimenter, vivre pendant cette semaine-là. Parce qu'en fait, grâce à Alexandra qui vit là-bas, qui est française, elle a pu commencer à me transmettre cette philosophie Maasai, cette façon de vivre incroyable. Et c'est ça que j'ai envie de te partager dans ce podcast. Ce qui est profondément extraordinaire, c'est que sans Alexandra, je n'aurais pas pu accéder à ça. Et c'est la première fois, véritablement, que je rencontre des personnes qui vivent quelque chose pour moi qui était de l'ordre comme d'un mirage. Pour te représenter un peu ça, j'ai envie de te parler d'Avatar. Avatar est ce fameux « I see you » , « je te vois » . Et d'ailleurs, j'en ai fait un atelier que je fais quand je fais les retraites femmes puissantes. C'est un atelier que je fais avec les participantes. I see you. Quand j'ai vu Avatar, et peut-être ça résonne en toi, je parle du premier, ça m'a touchée aussi mon âme. Je me souviens que quand la lumière s'est allumée à la fin du film, j'ai tellement pleuré. Tu sais, la tête, quand... Quand t'as pleuré comme ça, et que t'as la morve qui sort du nez, j'étais dans cet état-là à la fin du premier avatar. Mes tripes, mon âme étaient touchées. Et j'ai toujours gardé ça dans un coin de ma tête. Une des scènes qui m'avait énormément marquée, c'était la connexion avec cet arbre, avec leurs cheveux. Cette connexion, cette communion avec la nature. Bah, c'est pas juste un mirage, ça existe quelque part sur Terre. Chez les Maasai. Chez ce peuple premier, dont d'ailleurs James Cameron s'est largement inspiré pour créer Avatar, ça je l'ai su après, et qui vivent exactement selon ces préceptes-là. Alors déjà les Maasai, loin de nous, cette espèce de folklore qu'on a sur eux, qu'ils seraient des guerriers sanguinaires, pas du tout, c'est pas des guerriers, les Maasai. C'est plutôt des guerriers de lumière. Des guerriers de lumière, et qui sont quasiment végétariens d'ailleurs, sont plutôt des bergers. Ils ne chassent pas d'animaux sauvages. Ils mangent très très rarement de la viande. C'est plutôt pour des occasions, et c'est des petits animaux de leur troupeau, une chèvre, un mouton. Mais ils ne chassent pas. Et ils font partie, et ils sont... partie intégrante de ce grand tout. De ce grand tout, et voilà, je vais essayer de te donner quelques points que tu peux, toi aussi, appliquer dans ton quotidien, parce que c'est vraiment l'idée d'Alexandra et qu'elle m'a transmis. C'est de pouvoir aussi emporter quelque chose de leur philosophie dans notre quotidien d'occidental. Parce que ouais, on ne peut pas changer le monde, mais on peut être le changement qu'on veut voir dans le monde, et je pense que ça peut aider. Un des principes, un des premiers principes Maasai qui m'a marqué de ouf, c'est cette phrase Je t'aime mais pas plus que je ne m'aime moi. Waouh, je la répète pour que tu processes dessus. Je t'aime mais pas plus que je ne m'aime moi. Waouh, c'est pas du tout politiquement correct ça, hein, dans notre pays développé, plein de guillemets, occidental. On est plutôt dans cette idée, on a complètement perverti d'ailleurs cette notion d'égocentrisme, d'égoïsme. C'est mal, c'est pas bien. On a l'impression comme ça que c'est quelque chose de par notre passé judéo-chrétien qui est hyper honteux quoi, ok ? Alors que c'est tout le contraire, on devrait être dans une société beaucoup plus égocentrique au sens de tout part de moi. narcissique je dirais. Ben ouais, narcissique dans un sens noble du terme. Si tu reprends par exemple Narcisse, alors jusqu'à peu de temps moi j'ai cru qu'en fait Narcisse il s'était juste noyé dans son reflet quoi, tellement il se kiffait. Mais c'est pas ça du tout. En fait Narcisse il s'est reconnu dans l'eau. Il s'est reconnu lui-même et il a fusionné avec son soi profond. C'est ça l'essence de Narcisse en fait. Et c'est ça la base pour moi. C'est ce à quoi on devrait tous tendre. Je t'aime mais pas plus que je ne m'aime moi. Et c'est tellement énorme. C'est tellement énorme. C'est-à-dire que ce n'est pas l'idée de je me sacrifie tout pour les autres et je m'oublie dans les autres. D'ailleurs, la plupart du temps, quand on s'oublie dans les autres, ce n'est même pas dans un acte de bonté. Soyons honnêtes, on se regarde là, deux secondes. C'est parce qu'on attend de la reconnaissance. On attend d'être aimé en retour. C'est la façon dont on a appris à être aimé. Je me sacrifie, je donne tout. Le nombre de nanas que je coach qui me disent, mais je lui ai tout donné. Après tout ce que j'ai fait pour toi. Et là, on voit qu'on est dans de l'amour conditionné plus plus. On n'est pas du tout dans quelque chose d'inconditionnel. On donne parce qu'on veut recevoir en retour. Et en fait, à partir du moment où je suis la personne la plus importante pour moi, quand tu vois un Maasai, il va te dire je me trouve beau. Aucun Maasai ne se trouve pas beau. Ça n'existe pas. Et ce n'est pas juste une théorie, il le vibre. Il se trouve beau, il s'aime. eux d'abord profondément et c'est grâce à cet amour sans condition qu'ils ont pour eux qu'ils sont capables d'être dans cet amour avec l'autre. Pourquoi ? Et ça c'est une autre nouvelle notion que tu peux noter qui est hyper importante parce qu'ils ont cette conscience que nous sommes tous absolument tous interconnectés. Tu es mon prolongement. On est comme les branches d'un arbre. On est tous interconnectés. Donc, si je te fais du mal, je me fais du mal. Waouh, c'est énorme. Et ce n'est pas du tout un truc new age, niang niang. C'est réellement vibrer, ressenti. Ça se ressent quand on les regarde évoluer. Et je peux te dire qu'après avoir passé cette semaine entière d'immersion, plus de 12 heures par jour avec eux, On ne peut pas mentir là-bas. On ne peut pas jouer un rôle. On ressent que c'est vibré. Ça, c'est hyper important. Tu es mon prolongement. L'autre est moi. Et moi est l'autre. Tu vois ? Et ça, c'est immense. Et je ressens là, en l'ayant pris avec moi et ramené comme ça en France, que ma façon d'être à l'autre, je sens qu'elle a un peu bougé. Qu'elle a un peu bougé dans cette conscience de l'autre. Pas dans l'idée de sauver les autres, parce que la main qui peut t'aider, comme a dit ma grand-mère, est celle située au bout de ton bras. C'est pas l'idée de sauver les autres. Personne ne sauve personne. On se sauve soi-même. Mais qu'on fait tous partie d'un grand tout. Comme, regarde ta main, comme les cinq doigts d'une main. On est tous interconnectés. Donc ça, c'est vraiment ce deuxième principe Maasai. Le troisième, ça serait pas de jugement. D'ailleurs, j'ai mis ça serait parce que c'est un peu conditionnel, mais non, c'est pas de jugement. Le juge ment. Il y a un juge et il y a quelqu'un qui ment dans l'histoire. La bienveillance, c'est quelque chose qui n'est absolument pas perverti chez les Maasai. J'ai vécu avec mon mari et mes enfants, j'ai vécu avec eux pendant une semaine. Et on a fait tout un tas de rituels, plusieurs rituels avec eux. Des rituels qu'ils font depuis des siècles et des siècles, grâce encore une fois à Alexandra qui a facilité tout ça. Et je peux te dire que, aussi bien mon mari que moi, on a lâché de gros gros machins là-bas. Tu sens qu'il y a un accueil total, inconditionnel de ton émotion. C'est incroyable. Et en même temps, un espèce de soutien, une force comme ça. Je pense aussi que ça vient de cette connexion à la Terre, au grand tout. Eux, ils appellent ça Enkai, une déesse, qui serait l'univers, la force, tu mets le mot que tu veux. Ils sont tellement interconnectés et connectés que, en fait, vu que tu es mon prolongement, si je te juge, je me juge. Ça, c'est énorme. Et une autre clé, encore la quatrième, pas de comparaison. Pas de comparaison. Et même entre les hommes. Parce que nous, on voit qu'en Occident, on est beaucoup comme ça sur la comparaison entre les hommes, entre les femmes. Là, il n'y a pas de comparaison. On est vraiment dans un soutien mutuel. Je vais te donner un exemple. Les hommes à ça, ils sont connus pour sauter très haut comme ça. Ce n'est pas juste pour sauter d'ailleurs. C'est pour maintenir cette connexion au grand tout, à l'au-delà. à ce qui est plus grand qu'eux. Et il y en a qui sautent plus haut que d'autres et tu ne sens pas du tout de comparaison, de crispation, il n'y a rien. Il n'y a rien de tout ça. Et ça va avec une autre clé qui est juste après, pas de compétition. Mais vraiment, pas de compétition. Tu es mon prolongement, je suis ton prolongement. Si tu réussis, si tu brilles, je brille aussi car nous sommes tous interconnectés. Mais waouh, waouh, waouh, waouh. Moi, c'est mon rêve de sororité, ça. C'est l'essence même de Femmes Puissantes. C'est vraiment l'idée de s'inspirer. Si elle l'a fait, je peux le faire, mais pas dans quelque chose d'écrasant, mais dans quelque chose qui t'inspire, qui te porte à pouvoir te transcender, à donner le plus grand de toi, tu vois. Et ça, c'est immense. C'est immense. Ouais, waouh. Je sens que je n'ai pas encore tout processé du voyage en terre Massaï, mais j'ai envie de t'amener une dernière clé encore. Il y a vraiment cette idée que tout est parfait. Tout est parfait, le plan est parfait, et la vie va dans ton sens. La vie, c'est Enkai pour eux. Tout ce qui t'arrive, de bien, de mal, de douloureux, de joyeux, finalement, quelque part, ils arrivent à lisser tout ça. Dans une idée que tout ce qui t'arrive a un sens, et c'est Enkai qui, quelque part, l'a designé. pour ton bien. La vie n'est pas contre toi, la vie est avec toi, sans aucune condition. T'imagines le truc ? C'est immense. Tu es littéralement porté, porté dans ce flot de la vie et je le ressens tellement. Je le ressens tellement aujourd'hui que tout est absolument parfait. Fais aujourd'hui peut-être un sort de bilan comme ça de ta vie, des événements douloureux que tu as pu avoir. Si tu travailles sur toi, si tu te fais accompagner, certainement aujourd'hui tu commences à en découvrir le sens. Ou si tu ne l'as pas découvert, il n'y a pas de time, il faut te faire coacher là. Pour donner du sens à tout ça, transformer le plomb en or, parce que tout est parfait et la vie va dans ton sens à partir du moment où tu te choisis. Je t'aime et pas plus que je ne m'aime moi. Et où tu retrouves cette capacité, cette capacité, audace d'aller dans ton flot, le tien, par amour pour toi. Voilà les puissantes. J'ai essayé de vous transmettre quelques clés que j'ai reçues pendant ce séjour incroyable en terre massaille. Les infos, les nouvelles femmes puissantes, eh bien, il va y avoir le 11 mars noté sur vos agendas. Le lancement de la prochaine retraite femme puissante. Youhou ! Ça y est, on y est. Le 11 mars, lancement officiel de la prochaine retraite femme puissante qui aura lieu au mois de juillet. Ah ah ! Vous l'avez en avant-première. Ça sera fin juillet. Donc, notez vraiment sur vos agendas. Vous allez découvrir dans le film de lancement la collaboration que je vais avoir sur cette retraite qui s'annonce le feu. C'est vraiment le mot que j'ai envie de donner comme atmosphère, révélation de puissance. Voilà. Et également, par rapport à ce que je vous disais sur les Maasai, il y aura une retraite prévue. Alors, ce n'est pas tout de suite pour celle-ci. Ça sera fin novembre 2026. Mais évidemment, je vous en reparlerai. Voilà les puissantes. C'était un immense plaisir pour moi de passer ce temps avec vous. Je retrouve à quel point j'adore ce module de podcast, ce côté un peu plus intimiste avec vous. Je vous embrasse bien bien fort et n'oubliez pas, vous êtes à chaque instant les femmes de votre vie.