- Speaker #0
Bienvenue dans cet épisode spécial, dans lequel nous allons tenter de concentrer les meilleurs conseils donnés par les sages lors de la première saison. Pour cette première saison, nous avons fait un bon tour dans le nord de la France particulièrement. Nous déplacer nous permet de rencontrer les sages les plus discrets et de les interroger chez eux, là où ils se sentent bien, là où ils sont à l'aise, afin d'avoir une conversation la plus authentique possible. Tout commence début janvier 2024. On commence petit joie avec un déplacement du côté du 8e arrondissement de Paris. Nous sommes début janvier, dans l'huitième enregistrement de Paris, près de la place d'un solustin et de son église. Mais aussi à deux pas du siège social de Free, où j'avais été il y a quelques années pour rencontrer Xavier Guilhem. Nous arrivons dans une arrière-cour parisienne, dans laquelle Angèle Gérard nous a donné les codes d'accès pour rentrer dans son bureau. Nous nous installons avec Nicolas, mon partenaire technique pour les sages, c'est le premier épisode que nous tournons. Nous apprenons à nous connaître, la répartition des rôles, les trucs de chacun pour que le tournage se passe au mieux. Nous tournons également avec la première version de notre matériel. Pour ceux qui connaissent, les fameux micros Yeti, une référence dans le podcast. Une grande dame élégante arrive, c'est Angélique Gérard, l'ancienne directrice de la relation abonnée d'Eufry et concierge spéciale d'Exaviniel, le fondateur et dirigeant d'Eufry. On apprend à se connaître et elle est très bienveillante à notre égard. Malgré la jeunesse du podcast, nous la ressentons très impliquée dans cette interview. Peut-être car elle sait qu'elle est l'inaugure de la podcast. Angélique a le souci du détail et du travail bien fait. A l'issue de l'interview, elle nous donne ses meilleurs conseils pour entreprendre, ayant elle-même sauté le pas après une carrière exceptionnelle chez Free.
- Speaker #1
Alors, je pense que ce serait cultiver la résilience. Parce que... Non, tu veux réagir ?
- Speaker #0
Alors, en fait, ce qui m'intéresse, si je peux me permettre, c'est quoi la résilience ?
- Speaker #1
L'entrepreneuriat personnel exige de faire face à des défis et des revers. Tu le sais toi-même, en tant qu'entrepreneur, tous, on est soumis à ça. Et donc, c'est développer une mentalité résiliente en acceptant que l'échec fasse partie du processus d'apprentissage. Parfois, c'est dur, mais c'est comme ça qu'on apprend à rebondir. Tu vois, la reconnaissance du droit à l'erreur dans nos entreprises, c'est pareil pour un entrepreneur, c'est apprendre à rebondir avec les difficultés, à ajuster les stratégies. Avoir les obstacles comme des opportunités d'évolution personnelle, parce que c'est comme ça que l'on peut effectivement avoir des ambitions et avancer. Et puis, le deuxième conseil, ce serait de pratiquer la gestion du temps et des priorités. Donc, ça peut inclure une planification quotidienne. Il y a beaucoup de gens qui font ça. Moi aussi, je ne vais rien apprendre à ceux qui nous écoutent. C'est la tout doux. Moi, j'ai une tout doux quotidienne, donc la veille. pour le lendemain. Donc, ce soir, je vais rentrer à la maison. Il va me rester ça, ça, ça. Donc, je vais le faire. Et puis, je vais me faire ma tout doux pour demain. Donc, je pense que ça permet aussi d'avoir des objectifs réalisables. C'est une technique de gestion du temps. Et puis, le troisième, c'est d'investir sur son développement personnel. On en a parlé. C'est-à-dire qu'il faut... investir sur soi, que ce soit par le biais de lecture aussi, c'est pas forcément de la formation payante, c'est d'apprendre, on peut avoir des mentors, de l'expérience, et puis effectivement, on peut suivre des modules de formation en e-learning. Donc c'est développer les compétences, cultiver notre confiance en soi, ne pas avoir peur d'explorer des nouvelles idées, de développer, et puis j'ai envie de te dire, j'ai envie de t'en donner un quatrième, c'est cultiver l'art de la curiosité délibérée. C'est-à-dire, aborder la vie avec cette curiosité délibérée, en cherchant activement à découvrir de nouvelles idées, des perspectives, des expériences, en allant vers les gens. C'est encore une forme d'apprentissage, d'être très curieux.
- Speaker #0
Voilà maintenant parti pour Lille avec Nicolas. Nous nous retrouvons en gare du Nord pour prendre le train qui nous emmène à Lille en seulement 1h02. Nous partons pour une longue journée. Nous allons interroger Henri Clabat, le patriarche de la famille Clabat, la thèse de l'héberge en français OVH, ainsi que Thierry Mullier, l'ancien président de l'AFM. l'association féminin de Mullier, la structure mère de la famille Mullier, qui possède entre autres des Gatelons, Laura Merlin, Kiyami ou encore autre chose. Dans le train, Nicolas en profite pour me former à des méthodes d'interview. Comment arriver à faire rebondir un invité ? L'inviter à se livrer davantage. Je me rends compte que c'est un vrai métier, derrière l'aspect d'un échange naturel et informel. Pour cette fois, j'ai la chance de connaître depuis longtemps mes deux invités, du temps où je vivais dans le nord de la France. Il se trouve que nous avons rendez-vous pour chacun d'entre eux à Croix-et-Roubaix. des villes frontalières, une terre d'entrepreneuriat où de nombreuses familles ont créé des groupes d'ampleur mondiale, dont Bernard Arnault avec LVMH. Nous avons d'abord rendez-vous avec Henri. Et nous nous retrouvons donc au siège social d'OVH à Roubaix. C'est aussi ici que la R&D d'OVH se fait, dont Henri est responsable. Et donc nous passons différents portiques de sécurité avant de pouvoir accéder à la salle où nous allons interviewer Henri. Henri arrive et nous accueille avec un grand sourire et sa blouse de chimiste avec son badge et ses stylos. Avant l'interview, il tient à nous faire passer un moment spécial. Nous faire rentrer dans la zone de R&D secrète. où il développe les futurs produits stratégiques d'Auverge, dont notamment un système de refroidissement des serveurs, sa fierté et envié par les GAFA. À la fin de l'interview, Henri nous livre ses meilleurs conseils.
- Speaker #2
Pour créer, évidemment, il faut avoir des idées, quelque chose à savoir faire, mais surtout il faut regarder comment je peux avoir des clients. C'est la première chose, avoir des idées et avoir des clients. comme ça, et regarder qui peut être votre client. On a développé, Marie-Lise, on a développé comme ça, qu'on n'avait pas de client. On avait des produits, on a dit, ok, on va essayer faire expo, maison et objets à Paris, comme ça, on ne savait pas comment ça fonctionnait. Le métier non plus, on n'a pas connu, c'est la céramique, diffuser des parfums, développer, il faut bosser. C'est le douzième conseil, travail. Il ne faut pas compter pour l'argent. je ne sais pas, 5 ans facilement. Il faut bosser. Si tu en gagnes ce week, c'est déjà bien. Tu peux manger. Oui, tu peux manger et s'occuper avec tes équipes. À partir du moment où tu commences à voir les gens, il faut vivre avec eux. Ensemble, être proche des gens.
- Speaker #0
Donc, les clients et le travail, essentiellement.
- Speaker #2
Le travail et proche des gens.
- Speaker #0
Nous sommes chez OVH avec Nicolas, avec toujours la même question. Qu'est-ce que tu en as pensé ? Nous sommes coupés par un SMS surprise. C'est la concierge de François Hollande. Le président est d'accord pour nous accorder une interview de 30 minutes. Seulement un mois après la création du podcast, c'est du jamais vu. Une confiance accordée probablement de par la qualité des échanges et l'explication de tout le travail d'interview en amont. Excité par cette nouvelle, nous nous accordons un petit restaurant avec Nicolas, à quelques mètres du siège de l'AFM, l'association familiale Millier, où Thierry Millier nous accueille en début d'après-midi. Nous arrivons au siège de l'AFM. endroit que j'ai bien connu, qui rit et a été mon associé pendant plusieurs années. Nous faisions des réunions ici. Nicolas prépare l'installation technique, pendant que je me remets dans l'interview, qui va commencer dans quelques minutes.
- Speaker #3
Il doit se faire confiance, et il doit beaucoup travailler, il doit avoir du plaisir, et il doit considérer le temps long. Et donc, je ne vais pas dire ne pas être trop pressé,
- Speaker #2
mais...
- Speaker #3
Il y a un tas de choses que le temps trop rapide ne permet pas,
- Speaker #2
en particulier en matière d'expérience.
- Speaker #0
Nous voilà maintenant en mi-février et nous allons vers Chabine pour rencontrer Frédéric Gess. Je récupère Nicolas en voiture. Une trentaine de minutes de route, on tente de se débriefier les derniers éléments avec Nicolas. Et puis parler de Frédéric que je connais depuis plus de dix ans. Frédéric est l'ancienne directrice générale de Reus Entreprends et de la Ligue contre le cancer. Elle était ma voisine de bureau lors de la création de ma première entreprise à Roubaix dans le nord de la France. Nous la retrouvons aujourd'hui chez elle, où elle a installé ses bureaux et sa nouvelle entreprise, Usquora. Elle nous accueille avec son grand sourire et nous invite à nous installer. Nous allons environ la moitié du temps chez l'invité, et à chaque fois, nous devons nous adapter à son environnement sans trop le déranger, dans un temps record de 30 minutes de préparation, toujours prévu avant l'interview. Entre ces nombreux rendez-vous, elle nous accorde un moment pour l'enregistrer. À la fin de l'interview, Frédéric nous dérive ses meilleurs conseils.
- Speaker #4
Alors oui, les conseils, je pourrais les donner en tant que jeune entrepreneur moi-même, surtout, plutôt qu'ancienne dirigeante ou je ne sais quoi. Je pense que c'est vraiment l'expérience qui fait la différence. Le premier conseil, même si c'est un conseil que je donne depuis des années, évidemment, c'est celui de ne pas rester seule, de se faire accompagner. Moi-même, pour ma petite entreprise, c'est la première chose que j'ai fait avant de démarrer, c'était d'appeler des dirigeants que j'admire beaucoup pour leur demander d'être mes mentors et de constituer un petit board, un petit comité stratégique qui m'aide aujourd'hui et qui accompagne progressivement le développement de mes activités. Donc vraiment, ne pas rester seule, se faire accompagner. Le deuxième conseil qu'il faudrait que je m'applique un peu mieux à moi-même, c'est prendre soin de soi. parce que l'entrepreneuriat, on le dit tout le temps, mais c'est bien de le répéter, ce n'est pas un sprint. C'est sur la durée que ça se joue et c'est épuisant et c'est un peu le grand huit. Donc, il faut vraiment garder ce soin de soi parce que pour être en capacité de prendre soin de ses clients, de prendre soin de son activité, il faut déjà être en capacité de prendre soin de soi. Le troisième conseil que je donnerais, c'est... D'aller là où ton cœur te porte. Parce que je me dis qu'en fait, on ne peut pas vraiment se planter si on va là où on a le cœur d'aller, où vraiment on sent qu'on est à notre juste place. Parce que déjà, c'est là où les clients vont dire oui, vont venir te voir parce qu'ils sentent ça, ils sentent que tu es aligné et que tu donnes ce que tu as à donner. Et puis finalement, je me dis, même si tu échoues, ce ne sera pas un échec parce que tu auras appris et au moins tu auras... Expérimenter et t'auras osé essayer.
- Speaker #0
Nous arrivons fin février. Normalement, nous avons rendez-vous avec Catherine Barba. Je ne connais pas personnellement Catherine, mais c'est une star dans le milieu du web et de l'innovation en France, de par son parcours et surtout son énergie. Catherine est cofondatrice de IFRAN et de l'école Envie, sa nouvelle aventure entrepreneuriale. Elle nous accueille chez elle avec une magnifique vue sur la tour Eiffel, un appartement qui donne de l'ambition. Catherine y a installé ses bureaux de Envie, où elle accueille son équipe le matin. Nicolas arrive tout juste pour l'interview, les aléas du direct. Mais nous arrivons en 15 minutes. à déployer le setup technique. Tout est prêt pour commencer. Ah oui, avant de commencer, nous lui avons apporté un bouquet de fleurs. Ce sera l'anniversaire. À la fin de l'interview, Catherine nous délivre ses meilleurs conseils.
- Speaker #5
Alors d'abord, viens chez Envie. Tu viens te former chez Envie et fis ça. Non, non, mais sauf si tu veux faire une startup, mais si tu veux être à ton compte, être indépendant,
- Speaker #1
et que tu veux que ta boîte...
- Speaker #0
Les bases d'une boîte rentable.
- Speaker #5
Les bases d'une boîte rentable et aller choper la... power patate, mais viens chez moi. Viens chez Envie. Premier conseil. Le deuxième conseil, c'est aider un mentor, des mentors, un board, des gens autour de toi qui vont te permettre d'avoir ce ping-pong intellectuel ou te permettre de regarder, d'avoir un regard de côté sur ton business, parce que on ne fait rien tout seul. Ça, c'est impensif, mais tout ce que tu vas faire, c'est grâce, part, pour, avec les autres. Donc, entoure-toi bien, choisis bien.
- Speaker #1
Et puis,
- Speaker #5
prends du plaisir. Essaye de prendre du plaisir, tu vois. Il y a une totale absurdité du monde, de la violence du monde aujourd'hui. Il y a vraiment beaucoup de raisons de pleurer, mais ose la joie.
- Speaker #0
Le temps file. Nous voilà maintenant fin mâle et de retour en Terre Nordice. Cette fois-ci, nous avons privilégié la voiture. C'est parti pour deux grosses heures de route. Nous arrivons dans le Nord-Pas-de-Calais et plus précisément autour de l'île, à Alen-les-Eubourdins. Aujourd'hui, c'est Guillaume Lemonry, le fondateur de H2O Home, qui nous accueille. Une entreprise leader sur son marché, qui frôle les 100 millions d'euros de CA. Tant n'ayant une politique RSE pensée depuis sa création en 1998. Nous arrivons au siège social, un bâtiment passif au niveau environnemental, où l'on peut voir un potager à l'entrée. Guillaume nous accueille dans son bureau, avec son pull patagonien. Nous remarquons tout de suite un grand tableau marqué Respire qui est la devise de l'entreprise. Si l'homme revient, il a déjà 12 ans, quand j'ai rencontré Guillaume. Le tableau était déjà là. L'interview commence. À la fin de l'interview, Guillaume nous livre sa meilleure conseille.
- Speaker #6
J'en ai dit un que je vais donc conclure répété de croire en soi pour croire en soi, il faut se bien se connaître. Dans mes valeurs, respire, que j'ai écrit il y a une vingtaine d'années, le dernier E de respire, c'est esprit de corps, esprit de corps D. Donc, c'est vraiment... J'adore. Parce qu'on peut mettre de la compète là-dedans. On peut mettre de l'envie de se dépasser. Mais par contre, c'est aussi la plongée sous-marine que je pratique. Quand on part à 5, on revient à 5. Sinon, c'est qu'il y a un problème. Donc, pensez à cette mutualisation et pensez au fêter. Mais ça, je pense que c'est instinctif chez beaucoup de personnes. Ce n'est pas un grand effort, mais vraiment de ne pas attendre de ce ROI donné. Sans compter. C'est pas une chanson, ça. D'un pied noir qu'on adore tous. Enfin,
- Speaker #0
voilà. Donc, apprendre à se connaître, esprit de cordée.
- Speaker #6
Ouais, et puis après, forcément, ça va ramener de la simplicité. Et donc, de l'antidépression, quoi. Quitter toi-même et que tu sais quitter tout ça, c'est les fameuses discussions qu'on avait tout à l'heure. Tu vas rester simple. Tu vas normalement pas trop... pas trop partir dans ce monde je pensais au moment où on parle des influenceurs qui j'espère arrivent en 2.0 ou 3.0, troisième génération parce que là la première génération, bonjour donc tu vas revenir à des choses où tu vas plus courir après ça Tous, on va tous passer par là. Tous ceux qui ont un peu trop d'ambition, ils vont tous, à un moment donné, au moment où ils vont toucher du doigt ce qu'ils avaient voulu et rêvé pendant des années, s'apercevoir qu'ils sont seuls. Et tout l'argent qu'on veut, on est seul. Donc autant vivre avec soi-même bien.
- Speaker #0
L'argent n'emplace pas les gens.
- Speaker #6
L'argent, il t'isole. J'aurais fini par t'isoler. Bon, voilà, c'était un des points.
- Speaker #0
Nous arrivons au tournage du dernier épisode des Sages de la saison. Après plusieurs discussions avec Alain Quezac, il accepte une interview. C'est un homme discret et qui a toujours une difficulté à se raconter par rapport à son humilité. Il y a même peur d'ennuyer des gens, me racontent-ils. Pourtant, Alain Cazac est connu pour être le coup fondateur d'Euro-LCG, devenu Abbas, avec Jacques Seguela, qui est monté à 16 000 collaborateurs dans le monde. Mais il y a également l'ex-président de PSG, Paris Saint-Germain. Nous arrivons à Garches en voiture avec Joyce. Joyce est un nouvel arrivant dans l'équipe des Sages. En effet, Nicolas est parti vivre aux Etats-Unis, à San Francisco, et ne peut donc plus assurer les tournages. Joyce, l'une de ses connaissances, s'occupera de l'enregistrement de l'aujourd'hui, et nous enverrons la bande-son aux Etats-Unis. chez Nicolas qui se fera du montage. Alain nous accueille chez lui, dans son bureau, bardé de souvenirs du PSG, des articles de journaux, des maillots, et même une carte postale signée par Kylian Mbappé. Nous reparlons brièvement un carnet du mentoring qu'il a fait pour mon ancienne entreprise, ou encore de connaissances communes comme Olivier Gouard ou Mathieu Réca, qui ont également été invités dans les sages. Alain nous accueille chaleureusement, en fin de matinée, et nous commençons l'interview. A la fin de l'interview, Alain nous raconte ses meilleurs conseils.
- Speaker #3
Premièrement, écoute ta petite musique intérieure. Quand j'ai dit qu'une carrière c'est un mélange de rationnel et d'envie, le rationnel c'est bien, je serai avocat parce que, parce que, parce que... Et pourquoi pas l'envie. Il faut que tu aies envie. Envie d'avoir envie, envie, envie, envie. Ça c'est le premier conseil. Le deuxième c'est de travailler. Et le troisième c'est d'aimer les autres. Et moi, j'ai fait une conférence avant que je sois handicapé, et les mecs qui m'interrogeaient m'ont dit, tiens, monsieur Cazac... Qu'est-ce que vous souhaiteriez que soit écrit sur votre tombe ? Alors je lui ai dit des questions pas très drôles, mais bon, j'ai essayé de ne pas en faire. Et j'ai dit, ben, deux choses, je ne sais pas si c'est vrai. He cared en anglais, c'est-à-dire, il prenait soin, il aimait les autres. Et deuxièmement, He was reliable il était fiable. C'est une qualité essentielle pour moi, être fiable. Quand je dis rendez-vous à 11h, je n'appelle pas son sujet, un drame. Je n'avais pas la veille pour dire non, j'annule le rendez-vous, j'ai autre chose de mieux à faire, on se voit dans 15 jours. La fiabilité.
- Speaker #0
C'est déjà la fin de la saison 1. Il reste encore un épisode que nous sortirons dans deux semaines qui sera un échange entre Nicolas et moi-même. Un épisode débrief, sans filtre, dans lequel nous allons casser notre propre carapace. Merci pour votre écoute et une excellente journée.