undefined cover
undefined cover
Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie > cover
Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie > cover
LesVoyagesHeures

Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie >

Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie >

50min |07/06/2024
Play
undefined cover
undefined cover
Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie > cover
Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie > cover
LesVoyagesHeures

Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie >

Stève Wilifrid Mounguengui - Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde, Ed du Mauconduit < Roman, Poésie >

50min |07/06/2024
Play

Description

Puisque Stève Wilifrid Mounguengui se présente comme un enfant du fleuve, c’est à bord de notre bateau ivre de ses livres que je vous invite à embarquer aujourd’hui. De « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde » (Editions du Mauconduit) à « Cahiers d’adieu à la Mélancolie » (La Kainfristanaise) en passant par « L’énigme des ruines » (La Kainfristanaise), l’écrivain nous entraine, de la source qui jaillit aux méandres du fleuve dans un voyage vers les fleuves de la terre et de la vie, puisque ces eaux se confondent. Elles nous façonnent, elles nous habitent, elles nous animent. 


Si pour Stève Wilifrid Mounguengui « l’oubli c’est la mort de la mort » il nous invite à considérer « la ruine » comme « la trace, le murmure, la parole laissée » qu’elle soit d’encre, de papier ou de pierre. 


Stève Wilifrid Mounguengui vous invite à lire « D’où vient la rage » d’Oxik paru chez la Kainfristanaise et « Je suis l’homme aussi » d’Emné Nasereddine, dessins de Poline Harbali paru chez L’Appeau-strophe


Je remercie Stève Wilifrid Mounguengui pour cet échange ainsi qu’Agnès Cornélie, la libraire de la librairie Calypso qui a abrité ce voyage entre ses murs 32 rue Gassendi dans le 14e arrondissement de Paris. 


Entretien réalisé par Camille Lucidi le 17 avril 2024. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

  • Les sources des rivières poésie et roman

    00:00

  • Ce, celle qui habite « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde

    02:00

  • La marche et l’imagination

    05:06

  • « Le diseur de ruines » « L’éclusier de l’oubli »

    08:49

  • Le fleuve de l’écriture entre courants, strates et sédiments

    13:14

  • Saisons d’écoute entre les vivants et les disparus

    19:36

  • L’écriture et le rite du deuil

    24:10

  • Quand le fleuve fait littérature

    27:48

  • Extrait lu par Stève Wilifrid Mounguengui de « Cahiers d’adieu à la Mélancolie  »

    32:23

  • Extrait lu de « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde »

    35:30

  • Angle mort de la mélancolie

    38:39

  • La librairie Calypso à Paris

    41:45

  • La Kainfristanaise

    44:09

  • Invitation à lire

    47:57

Description

Puisque Stève Wilifrid Mounguengui se présente comme un enfant du fleuve, c’est à bord de notre bateau ivre de ses livres que je vous invite à embarquer aujourd’hui. De « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde » (Editions du Mauconduit) à « Cahiers d’adieu à la Mélancolie » (La Kainfristanaise) en passant par « L’énigme des ruines » (La Kainfristanaise), l’écrivain nous entraine, de la source qui jaillit aux méandres du fleuve dans un voyage vers les fleuves de la terre et de la vie, puisque ces eaux se confondent. Elles nous façonnent, elles nous habitent, elles nous animent. 


Si pour Stève Wilifrid Mounguengui « l’oubli c’est la mort de la mort » il nous invite à considérer « la ruine » comme « la trace, le murmure, la parole laissée » qu’elle soit d’encre, de papier ou de pierre. 


Stève Wilifrid Mounguengui vous invite à lire « D’où vient la rage » d’Oxik paru chez la Kainfristanaise et « Je suis l’homme aussi » d’Emné Nasereddine, dessins de Poline Harbali paru chez L’Appeau-strophe


Je remercie Stève Wilifrid Mounguengui pour cet échange ainsi qu’Agnès Cornélie, la libraire de la librairie Calypso qui a abrité ce voyage entre ses murs 32 rue Gassendi dans le 14e arrondissement de Paris. 


Entretien réalisé par Camille Lucidi le 17 avril 2024. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

  • Les sources des rivières poésie et roman

    00:00

  • Ce, celle qui habite « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde

    02:00

  • La marche et l’imagination

    05:06

  • « Le diseur de ruines » « L’éclusier de l’oubli »

    08:49

  • Le fleuve de l’écriture entre courants, strates et sédiments

    13:14

  • Saisons d’écoute entre les vivants et les disparus

    19:36

  • L’écriture et le rite du deuil

    24:10

  • Quand le fleuve fait littérature

    27:48

  • Extrait lu par Stève Wilifrid Mounguengui de « Cahiers d’adieu à la Mélancolie  »

    32:23

  • Extrait lu de « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde »

    35:30

  • Angle mort de la mélancolie

    38:39

  • La librairie Calypso à Paris

    41:45

  • La Kainfristanaise

    44:09

  • Invitation à lire

    47:57

Share

Embed

You may also like

Description

Puisque Stève Wilifrid Mounguengui se présente comme un enfant du fleuve, c’est à bord de notre bateau ivre de ses livres que je vous invite à embarquer aujourd’hui. De « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde » (Editions du Mauconduit) à « Cahiers d’adieu à la Mélancolie » (La Kainfristanaise) en passant par « L’énigme des ruines » (La Kainfristanaise), l’écrivain nous entraine, de la source qui jaillit aux méandres du fleuve dans un voyage vers les fleuves de la terre et de la vie, puisque ces eaux se confondent. Elles nous façonnent, elles nous habitent, elles nous animent. 


Si pour Stève Wilifrid Mounguengui « l’oubli c’est la mort de la mort » il nous invite à considérer « la ruine » comme « la trace, le murmure, la parole laissée » qu’elle soit d’encre, de papier ou de pierre. 


Stève Wilifrid Mounguengui vous invite à lire « D’où vient la rage » d’Oxik paru chez la Kainfristanaise et « Je suis l’homme aussi » d’Emné Nasereddine, dessins de Poline Harbali paru chez L’Appeau-strophe


Je remercie Stève Wilifrid Mounguengui pour cet échange ainsi qu’Agnès Cornélie, la libraire de la librairie Calypso qui a abrité ce voyage entre ses murs 32 rue Gassendi dans le 14e arrondissement de Paris. 


Entretien réalisé par Camille Lucidi le 17 avril 2024. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

  • Les sources des rivières poésie et roman

    00:00

  • Ce, celle qui habite « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde

    02:00

  • La marche et l’imagination

    05:06

  • « Le diseur de ruines » « L’éclusier de l’oubli »

    08:49

  • Le fleuve de l’écriture entre courants, strates et sédiments

    13:14

  • Saisons d’écoute entre les vivants et les disparus

    19:36

  • L’écriture et le rite du deuil

    24:10

  • Quand le fleuve fait littérature

    27:48

  • Extrait lu par Stève Wilifrid Mounguengui de « Cahiers d’adieu à la Mélancolie  »

    32:23

  • Extrait lu de « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde »

    35:30

  • Angle mort de la mélancolie

    38:39

  • La librairie Calypso à Paris

    41:45

  • La Kainfristanaise

    44:09

  • Invitation à lire

    47:57

Description

Puisque Stève Wilifrid Mounguengui se présente comme un enfant du fleuve, c’est à bord de notre bateau ivre de ses livres que je vous invite à embarquer aujourd’hui. De « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde » (Editions du Mauconduit) à « Cahiers d’adieu à la Mélancolie » (La Kainfristanaise) en passant par « L’énigme des ruines » (La Kainfristanaise), l’écrivain nous entraine, de la source qui jaillit aux méandres du fleuve dans un voyage vers les fleuves de la terre et de la vie, puisque ces eaux se confondent. Elles nous façonnent, elles nous habitent, elles nous animent. 


Si pour Stève Wilifrid Mounguengui « l’oubli c’est la mort de la mort » il nous invite à considérer « la ruine » comme « la trace, le murmure, la parole laissée » qu’elle soit d’encre, de papier ou de pierre. 


Stève Wilifrid Mounguengui vous invite à lire « D’où vient la rage » d’Oxik paru chez la Kainfristanaise et « Je suis l’homme aussi » d’Emné Nasereddine, dessins de Poline Harbali paru chez L’Appeau-strophe


Je remercie Stève Wilifrid Mounguengui pour cet échange ainsi qu’Agnès Cornélie, la libraire de la librairie Calypso qui a abrité ce voyage entre ses murs 32 rue Gassendi dans le 14e arrondissement de Paris. 


Entretien réalisé par Camille Lucidi le 17 avril 2024. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

  • Les sources des rivières poésie et roman

    00:00

  • Ce, celle qui habite « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde

    02:00

  • La marche et l’imagination

    05:06

  • « Le diseur de ruines » « L’éclusier de l’oubli »

    08:49

  • Le fleuve de l’écriture entre courants, strates et sédiments

    13:14

  • Saisons d’écoute entre les vivants et les disparus

    19:36

  • L’écriture et le rite du deuil

    24:10

  • Quand le fleuve fait littérature

    27:48

  • Extrait lu par Stève Wilifrid Mounguengui de « Cahiers d’adieu à la Mélancolie  »

    32:23

  • Extrait lu de « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde »

    35:30

  • Angle mort de la mélancolie

    38:39

  • La librairie Calypso à Paris

    41:45

  • La Kainfristanaise

    44:09

  • Invitation à lire

    47:57

Share

Embed

You may also like