Speaker #0Hi, c'est Jessie. Je vais commencer officiellement mon podcast ce soir. Je crois qu'on est le 30 mars. Donc je suis née le 30 avril, donc je trouve que ça fait du sens. J'étais en train de faire mes notes vocales, on va dire ça comme ça. En gros, je parle et je laisse le truc écrire à ma place, parce que j'ai la flemme d'écrire mes pensées. Et je me suis dit, en vrai, je veux faire un podcast. Là, personne ne veut m'écouter. Et franchement, dans les moments comme ça, à chaque fois que je me sens mal, je crée des belles choses. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais quand il y avait le Covid, j'ai créé un site web et tout. Il y a un autre moment où je me sentais mal, j'étais quelque chose de bien. Par exemple, quand c'était le chaos en terminale et tout, je n'avais pas vraiment de maman ni de papa. J'ai commencé les stories de Jessie, où je faisais les stories. J'ai commencé aussi la mode. Vraiment, j'ai commencé à défiler. J'avoue que j'ai eu longtemps peur de faire mon podcast en me disant « Les gens sauront trop de choses sur moi. » Ce ne sera pas vraiment intimiste et tout. Mais en vrai, je me dis que le monde est tellement grand. En soi, il y a très peu de probabilités que les gens qui écoutent ce podcast me connaissent. Vraiment, du coup. Et je pense que les gens de Snap ou d'Instagram, en vrai, ne me connaissent pas vraiment de toute façon. Et je pense que même mes amis ne me connaissent pas vraiment, et même moi, je ne me connais pas vraiment. Je pense qu'au final, personne ne me connaît. Même moi, je ne me connais pas, je dirais. Puisque j'évolue tellement vite. Quand je regarde mes photos d'il y a un an, et puis je me regarde maintenant, je me dis, waouh, j'en ai fait du chemin. Quand je regarde, je me dis, ah, j'habitais là avant. J'avais cette tête, je faisais ça comme travail. J'étais dans ces lieux-là, j'avais telle voiture. Franchement, je me regardais et je me disais « waouh » . J'ai regardé mes memories snap et tout, je fais « aaaah » . Et pourtant, à ce moment-là, j'étais quand même bien, j'étais heureuse dans ma tête, alors que je vivais des trucs tellement difficiles. Je me dis « là, je suis une version que je n'estimais même pas pouvoir arriver » . Je ne sais pas si ça se dit, mais je n'imaginais pas pouvoir arriver là où j'en suis maintenant. Et je me dis, waouh, waouh. Et là, je souffre des fois. Je me dis, oh, la vie est trop difficile et tout. Alors qu'il y a quelques années, je me sentais heureuse dans ma misère, alors que j'étais vraiment misérable. Mais alors, comparativement à maintenant, tu vois, vous voyez. Donc, je me dis que je me lance. Et puis, on verra. Je me suis dit, même si aujourd'hui, mon premier audio ne sera peut-être pas très structuré pour vous, je ne sais pas si je vais vous tutoyer, vous voyez, je ne sais pas. Parce qu'au final, là, je regarde juste mes rideaux, en soi. Voilà, je regarde ma pizza, que j'ai faite quand même, du chorizo, j'ai fait la pâte moi-même, et tout, et tout. Mais j'avoue que je suis dans une phase, en fait, j'ai un peu comme une boule au ventre, et en même temps... J'ai la gorge serrée, j'ai du mal à manger. La nourriture passe mal dans ma bouche. J'ai du mal à beaucoup manger. J'adore quand j'ai faim, je suis faible parce que je ne mange pas beaucoup. Mais je n'ai pas beaucoup d'appétit. En gros, je vous raconte. Je raconte l'histoire. Ce sera vraiment le bordel. On va dire que c'est l'intro. Je l'ai appelé cette vidéo, cette audio-là, l'intro. L'intro bordélique parce que vous ne me connaissez pas. Et après, on fera des podcasts, des vidéos, des audios plus structurés. Mais là, c'est un peu le bordel dans ma tête. Après, je trouve que c'est bon de savoir que tout n'est pas parfait en soi. En gros, je vous explique. Je pense que c'est pour ça que je me sens un peu mal. En gros, là, je sors avec un gars et le gars, il est complètement off. Au début, il se sentait mal, il avait des problèmes dans sa vie, des problèmes de paye. Ensuite, il m'a dit qu'il avait... Un problème... En gros, il travaille trop, c'est ça qu'il me dit. Je le crois, hein. Mais mes potes ne le croient pas. Moi, je le crois, j'ai envie de rester avec lui. C'est quelqu'un que j'apprécie. Ok, ça fait pas longtemps. Je suis quelqu'un, à chaque fois, à chaque fois que j'entends un mot, je me dis c'est l'homme de ma vie, je veux me marier avec lui. Cran, cran, cran. Je me vois déjà avec des enfants, bague au doigt. Cran, cran, cran. Petite maison, villa, piscine. voyage en famille, tout ça. Bref, je me vois déjà avec le gars. Donc, en soi, je suis connu depuis un mois et demi. Mais je suis quelqu'un, je donne la chance aux gens. À tort ou à raison, je ne sais pas. Mais je trouve que ça ne sert à rien de le quitter une nouvelle fois pour revenir. Clairement pas. On s'est déjà quitté. Enfin, j'ai déjà quitté il y a deux semaines. Mais ça ne servait à rien, parce que... Au bout de deux jours, il a dit, il ne voulait pas aller, moi j'ai fondu. Il m'a dit, alors tu veux rester avec moi ou tu veux rester seule ou aller avec d'autres gens ? Il dit, je veux toi. Clairement, clairement, franchement, quand il n'est pas off, il est juste parfait. Je n'ai rien à lui redire, il est parfait, content. On ne parle pas la même langue, mais je trouve qu'il me comprend bien mieux que des gens qui parlent français. Je me retrouve mieux en lui que d'autres personnes qui parlent français. Et pour moi, la langue, ce n'est pas une barrière. Mais franchement, je pense que je vais créer un podcast là aujourd'hui. Je me dis que j'enregistre et puis un time, je vais faire... En vrai, je pense que pour le montage... Mais je parle assez fluidement donc je pense juste sur l'intro avec une petite musique en bail comme ça et une intro. Ça c'est bon, moi je sais pas. Bon bref, je me présente maintenant. Du coup moi c'est Jessie et je vis en Guadeloupe. Et avant 2025, en gros je voulais faire un podcast qui s'appelle L'été au Balmacéaf. Et en fait ce soir, comme par hasard, j'ai écrit une note dans mon téléphone qui s'écrit... Je crois que j'ai appelé ça « note à moi-même » , quoi. Un truc comme ça. Donc quand je termine, c'est grave, c'est grave en fait. C'est ce projet-là en fait que je voulais faire et que je n'ai pas fait. En gros, j'ai envie de me libérer la parole et je trouve que j'ai tellement de choses à dire. Bon, aujourd'hui, ce ne sera pas un mot de conseil, c'est vraiment juste déballer mon trou plein d'émotions. On va juste parler. Et je me dis qu'il y a peut-être des gens qui se reconnaîtront en moi. Et peut-être. Parce que je pense qu'à travers chaque expérience, il y a toujours quelqu'un qui peut se sentir proche de cette expérience. Peut-être pas de la même façon, mais d'une autre manière. Mais bon, sachez que vous n'êtes pas seul. Et que vous regardez le chemin accompli et pas juste regarder. l'endroit où on est. Et là je me dis quand même j'en ai fait des choses. J'en ai fait des choses. Même aujourd'hui ce matin j'ai participé à un vide grenier et tout. C'était bien en fait. J'ai jamais pensé que j'aurais pu assister à ça, participer, mettre la main dedans. J'ai pas fait énormément de choses comme j'aurais imaginé et tout mais j'ai quand même fait beaucoup de choses. J'ai quand même fait quelque chose. J'aurais pu rien faire. Et je pense que même des fois, rien faire, c'est quelque chose. C'est positif, c'est se reposer aussi. Des fois, je me sens coupable de dormir. C'est mauvais. Mais bon. Je dirais qu'aussi, j'ai une sorte de complexe de la bonne élève. Ça, c'est dur à gérer. Parce que j'ai toujours été une bonne élève. 17, 18 de moyenne. Et quand j'ai 16, c'est que j'ai une mauvaise moyenne. Et je dois un peu calculer ma courbe de progression. C'est-à-dire qu'au premier trimestre, je dois commencer genre à 15 et demi. Deuxième trimestre, être à 16 et demi. Comme ça, après le trimestre, on est à 17 et demi. Enfin, voilà, je suis toujours dans le calcul, la planification, structurer toute ma vie. Et des fois, c'est compliqué quand il y a quelque chose qui ne va pas dans ce sens. On est en mode, what the fuck ? Pourquoi ça ne fait pas comme... J'ai calculé. Et là, je suis en paralysie. complète, souvent. C'est compliqué la vie. Mais bon, en tout cas, c'est un projet qui me tenait à cœur, faire mon podcast. Et le suivant, j'ai une phase de ma vie où je me dis, en septembre, j'ai pas de boulot. Clairement, je n'ai pas de boulot. Théoriquement, je n'ai pas de boulot. Et je me dis qu'en soi, je n'ai rien à perdre. En fait, donc je me dis maintenant, je teste tout ce qui est possible. Clairement, je n'ai rien à perdre. Donc en soi, je n'aurai rien. J'aurai un diplôme, mais je n'aurai pas de boulot. Je vais postuler, bien sûr, histoire de... Je n'ai pas envie de postuler pour juste travailler. J'ai envie d'avoir une mission un peu... humanitaire, un truc qui bouleverse la planète, je sais pas moi. Un truc qui a du sens pour moi. C'est ça la génération, la nouvelle génération. Je crois que c'est Z dans laquelle je suis. Je suis née en 2003. Je crois que je suis génération Z. Je crois. Donc franchement, je voulais commencer ce podcast. Ça c'est l'intro bordélique. L'intro bordélique de l'étape Ma soeur parce que après, ça ira mieux. Ne vous inquiétez pas, je ferai des audios un peu plus joyeux avec des petits conseils et tout. Mais là, c'est juste un déballage d'émotions. Et je pense que vous devriez faire pareil. Franchement, que ça soit à l'écrit ou via une expression artistique, la danse, le mouvement, le chant. la peinture, la poterie, qu'est-ce que vous voulez. Mais je pense que c'est important de lâcher prise et d'envoyer ses émotions. Peu importe comment, mais de les envoyer. Pas juste les contenir. Tout le temps, on a envie de les mettre dans une case, de les comprendre. Mais des fois, je pense qu'elles n'ont pas besoin d'être comprises, juste d'être exprimées. Je dirais que des fois, mes amis, je n'ai pas besoin de... Quand je leur parle, je n'attends pas de réponse. J'attends juste qu'on m'écoute, qu'on me dise je te comprends, je t'écoute. Je suis là si tu veux en parler. J'ai pas besoin qu'on me dise quoi faire. J'ai pas besoin qu'on me dise voici ce que je pense. Non, non, je m'en fous. J'ai juste qu'on m'écoute. Du coup, vous serez mes amis. Voilà. Vous serez mes nouveaux amis. Vous serez ma communauté de Let's Talk by Myself. Ok ? Franchement, j'avais déjà fait le logo des gens. C'est juste que j'avoue, quand j'ai regardé l'Internet, comment faire au podcast, j'ai vu un faible hébergement. Je me dis, là, Jessie, tu as quand même bien procrastiné. Voilà. Voilà. Je pense que tu peux prendre le temps de faire des recherches. Voilà, quitte à faire un montage très très simple et tout, pas faire grand chose, je pense pas que t'es parce que bon, c'est pas un texte appris. Voilà, mais je n'ai tout le temps de quoi dire et ça, vous savez, quand on connait Jessie... En tout cas, vous allez remarquer que j'ai fait beaucoup d'accent. Aujourd'hui, c'est l'accent africain, je sais pas. La vérité, c'est l'accent espagnol qui vient, mais c'est pas de ma faute. En vrai, à force de me connaître, vous allez comprendre. c'est parce que je parle à beaucoup de gens de cultures différentes et j'écoute beaucoup d'accents différents. Voilà, je regarde beaucoup de vidéos, que ce soit en espagnol, en anglais, ou en français avec des Africains, ou vraiment en anglais avec des Africains, ou voilà, des Anglais-Américains, des Noirs-Américains, enfin j'écoute tellement de choses différentes. Des fois je regarde même des trucs. qu'indien ou pakistanais ou je ne sais pas quoi, arabe et tout. Et franchement, j'ai écouté ma musique différente que ça fait que voilà. Et d'ailleurs, avec mon... Moi, j'aime bien l'appeler Doudou. On l'appelle Doudou, ok ? À titre F à tout à dix. Parce que Tati, elle l'appelle Doudou, tu vois. Moi, j'aime bien comment elle l'appelle Doudou. Je ne sais pas son prénom parce qu'en fait, elle ne l'appelle pas Doudou parce que je pense qu'elle appelle tout le monde Doudou comme ça. Mais à sa communauté, il s'appelle Doudou. Et du coup, j'aime bien parce qu'il n'a pas dix mille surnoms. Son copain, c'est juste Doudou. Et du coup, j'aime bien que ce n'est pas son mec, son copain, c'est Doudou. Tout le monde dit. Ah oui, on ne voit pas Doudou, il est là, il va bien. C'est trop ça, pour moi c'est Doudou. Après, il ne comprend pas Doudou, mon mec, parce qu'il n'est pas par français. Il me donne des surnoms aussi dans sa langue. Depuis il parle portugais, espagnol, anglais, italien. Mais il parle pas français. André, c'est ton bonjour, mon amour. Ça j'adore. J'enregistre l'audio, j'ai fait une capture d'écran. Et je l'ai enregistré dans mon téléphone. Un peu de bonheur dans ce monde brut, ok ? Un peu de bonheur, ok ? Donc, ouais, il a fait ça et je trouve ça trop romantique. des fois à la nuit je vais m'endormir visiblement j'écoute au moins deux trois fois et je souris comme ça bête moi je suis à base aïe aïe aïe ahlala franchement intro bordélique bon vous allez comprendre j'ai une personne qui parle dans tout les fameux cana il dit haha non bah c'est une petite présentation de moi en gros petite présentation et sinon qu'est ce que je peux vous dire d'autre sur moi ben Ben voilà, là, je réfléchis à ma vie. J'ai un petit projet pro que je veux lancer. J'essaie de regarder comment je m'organise pour le faire. Alors, de base, je suis quelqu'un qui parle beaucoup de mes projets. Mais là, j'avoue que ce projet-là, je n'ai pas trop envie d'en parler parce qu'en gros, c'est con. Mais je trouve que des fois, quand tu en parles aux gens, les gens, ils se trouvent tout le temps des frustrations qu'eux, ils ont pour que tu ne le fasses pas. Ils vont te dire, mais oui, mais c'est dangereux, mais c'est par exemple ce qu'il faut faire, il te faut une licence, il te faut beaucoup d'argent, quelqu'un, quelqu'un. Ils ont peut-être raison, je ne dis pas le contraire, mais juste encourage-moi en fait à faire des recherches, à me documenter, ne me dis pas c'est compliqué. Tout est compliqué dans la vie. Comme dirait mon père, même Chilan, c'est trop son water, c'est compliqué. Voilà, tout est compliqué dans la vie. Jeter sa poubelle, c'est compliqué. Balayer, c'est compliqué. Enfin, tout est compliqué. Conduire une voiture, c'est compliqué. Tout est compliqué à la base. Même les chaussettes, même marcher. La première fois qu'on a marché, c'était compliqué. Tout est compliqué quand c'est nouveau, de toute façon. Donc, voilà, une fois que tu as pris le pli, voilà, ça ira, moi, je me dis... Donc, en fait, je n'en parle pas beaucoup. En tout cas, ce que j'ai décidé de faire, c'est d'en parler qu'aux gens qui pouvaient m'aider. Les gens qui ont entrepris, les gens qui sont dans le domaine, mais les gens qui n'ont pas créé d'entreprise, je n'en parle pas. Je trouve qu'ils n'ont pas d'intérêt à mon projet. Les gens qui ne sont pas dans le tourisme aussi. Donc j'ai décidé que les gens qui ne sont pas ouverts d'esprit, je ne vois pas la peine. Je n'ai pas besoin d'aide. Je n'ai pas besoin que quelqu'un fasse des recherches pour moi, fasse la veille. Ça, je sais faire en vrai. Faire la veille, suite de marché, personas, cibles, définir les objectifs, faire la communication, faire mon planning. Ça, je sais tout faire. En vrai, c'est mon métier, donc je sais faire. Franchement, ça, ce n'est pas le souci. Mais oui, j'ai un projet pour allier mes trois passions, comme dirait Josiane Piché. L'e-commerce, la Guadeloupe et le voyage. Je vais beaucoup mieux. les commerces, la Guadeloupe, le voyage, j'ai fait beaucoup mieux. Voilà, donc c'est un peu le principe de mon projet. Mais bon, pour le moment, vu que je ne sais pas comment je vais faire pour le lancer dans toutes les étapes, je fais vraiment les recherches, ça me motive. J'ai commencé ça mercredi, là on est dimanche. Je trouve que j'ai déjà beaucoup avancé et tout. Après, il essaye de me dire qu'il faut mieux travailler tous les jours un petit peu, que se mettre pendant six heures dessus. Donc voilà, il ne faut pas s'oublier. Surtout que je n'ai pas que ça à faire, j'ai aussi le travail de l'école, le travail au travail. Il y a aussi la maison qu'il faut s'occuper, le sport, son visage, ses cheveux. Il y a pas mal de petites choses aussi à faire autour. Il faut que j'arrive justement à pas juste m'enfermer dans quelque chose, mais de mourir au monde en même temps. Comme bientôt, il y a le festival du Nouveau-Rocard, le festival du film et tout, un peu caribéen et tout. Donc ça, j'aimerais bien y aller. Franchement, il y a pas mal de petits trucs qui vont arriver bientôt, culturellement, Guadeloupe. J'aime bien le mois d'avril, de toute façon, c'est mon mois. Je me dis que ça peut être simple de commencer le podcast maintenant, 30 mars, finir 30 avril, un mois avant. De toute façon, j'aurai toujours des concepts. En vrai, en ce moment, je n'ai pas envie d'écouter des podcasts, j'ai envie de faire le mien. J'ai envie d'être actrice de ma propre vie. J'en ai marre que la vie me dirige. Et de toute façon, si je ne le fais pas, les gens le feront pour moi. Ils vont choisir ce qu'ils veulent pour moi. Donc, je pense que c'est le bon moment de commencer. Et pour moi, le bon moment, c'est tout le temps. Voilà. Voilà, bon moment, c'est tout le temps. Après, j'aime bien la numérologie, tout ça, mais le bon moment, c'est tout le temps. C'est le moment où on se sent. Et puis, voilà, je me dis que déjà, j'enregistre. Ça va me motiver. Et puis, au moins, Si j'ai beaucoup de contenu, je pourrais le publier régulièrement aussi. Parce que je trouve que des fois, c'est un peu la démotivation. C'est-à-dire, je n'ai rien à dire. Des fois, tu n'as rien à dire. Et du coup, je trouve que ce n'est pas la bonne chose de se dire, « Ah, je n'ai rien à dire, donc je ne le fais pas. » Bon mieux, je pense enregistrer quand on a beaucoup de trucs à dire. On enregistre, après, on va monter. Je vais monter, je vais monter. En plus, je paye CapCut. Voilà, en plus, là, c'est un truc simple à faire. Et puis voilà, souvent, on est en mode stratégie, stratégie, stratégie. À un moment donné, il faut se lancer. Ouais, j'ai vu que vous pouvez faire des audios d'à peu près la même durée et tout. Mais bon, c'est compliqué, les gens. Là, on va juste être en mode tranquille. En tout cas, j'espère que mon premier podcast... vous aura plu n'hésitez pas à liker à mettre des avis voilà je pense que je vais créer un compte pour le podcast voilà pour communiquer dessus comme ça je pourrais répondre aux messages directement sur ce compte donc quand ça sera publié j'aurai créé le compte Donc, je le mettrai dans la description du podcast, ok ? Donc, bisous, bisous. Et j'espère qu'on se reverra très, très vite. Et pour cela, tu dois t'abonner. Bien sûr que tu vas t'abonner. Je pense que tu as kiffé. Sinon, tu ne serais pas resté jusqu'à la fin, pas vrai ? Bisous bisous, passe une bonne nuit ou passe une bonne journée, ça dépend du moment dans lequel tu écoutes mon podcast, ok ? Je sais, je sais, je sais. Donc bisous bisous, c'était Jessie de Little By Myself.