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La gratuité de la vie en héritage

l'inconfort social

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24min |10/04/2025|

3

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La gratuité de la vie en héritage

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24min |10/04/2025|

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Description

Je vais parler de l’inconfort social comme clé vers la croissance personnelle. J’ai partagé mon expérience de sortir seule, mais pas isolée, en me lançant dans des activités culturelles et en rencontrant de nouvelles personnes malgré l’inconfort. J’ai également réfléchi à deux autres expériences: un brunch et un souper de noël où j’ai franchi les limites de ma zone de confort. La satisfaction de surmonter ces moments d’inconfort a été immense, car chaque défi m’a permis de grandir et d’évoluer.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Bienvenue ! Bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing ! Bonne chose ! Bon baguette ! J'ai eu des problèmes financiers avec le père des enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne et nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie, peu importe si vous avez de l'argent ou non, mais c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage des leçons de vie. tiré de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres et des moments de réflexion pour vous aider à chacun de vous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Seul mais... pas isolé, sortir de sa zone de confort pour pouvoir grandir. Je vais vous parler aujourd'hui de mes expériences, une expérience, de deux expériences, que je pense que ça pourrait vous parler à beaucoup d'entre vous. Parce qu'on dit souvent que pour réussir, il faut sortir de sa zone de confort, essayer de nouvelles choses, rencontrer des gens qui partagent nos valeurs. Mais soyons honnêtes, c'est sûr, c'est... pas toujours facile, surtout quand on doit y aller seul. Et c'est pour ça que je vais vous raconter ces deux expériences où j'ai décidé de me lancer dans les connus malgré mes appréhensions. Puis mon objectif, c'est toujours le même, c'est de créer des connexions positives et continuer à grandir. Même si le chemin, parfois, est inconfortable. Et c'est pour ça que j'ai je crois que c'est nécessaire pour pouvoir réussir. Je crois aussi que l'inconfort social, c'est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous parce que c'est un sentiment qui est parfois étrange et parfois même paralysant, qui nous envahit quand on se retrouve seule dans un environnement inconnu. On se sent seul, même si c'est un environnement qui a beaucoup de gens autour de nous, parce qu'on est entouré de visages étrangers. C'est sûr que cet inconfort peut être bien, plus qu'un obstacle aussi, parce que ça prend du courage et la persévérance. Mais il peut devenir aussi une clé précieuse pour notre croissance personnelle parce qu'être seul, ça ne veut pas dire d'être isolé. C'est sortir de sa zone de confort parce que ça peut nous ouvrir à des portes insoupçonnées, des rencontres aussi, des nouvelles rencontres. C'est pour ça que... J'ai décidé d'affronter cet inconfort social. Ce n'est pas la première fois. J'y avais déjà parlé dans un autre podcast. J'avais décidé de parler de ma zone de confort, le sentir d'être invisible dans un groupe. Mais c'est la continuité de ma réflexion parce que j'ai deux autres expériences que je viens de vivre. Pour moi, c'est un... important d'être capable d'éclairer et en même temps vous encourager parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait une fois et puis finalement tout est réglé. Je crois qu'à force de le faire, je crois que je vais m'améliorer. Et c'est pour ça que pour moi, ces deux expériences-là, j'ai décidé de l'affronter parce que... Je me suis retrouvée dans des situations que pour moi, c'était encore de l'inconnu. J'avais le goût de fuir, de rentrer chez moi, me retrouver dans mon... cocon de sécurité, mais j'ai choisi de rester. Puis je vais vous raconter comment ces moments difficiles ont finalement transformé ma vision des choses. Puis en même temps, pourquoi je ne le regrette pas. Puis les avantages aussi que j'ai, la satisfaction que j'ai eue de passer à travers, d'y aller à l'activité. Installez-vous confortablement et laissez-moi vous emmener dans un autre outil de cette croissance personnelle. L'expérience que j'ai vécue, encore, afin de sortir de ma zone de confort, parfois on dit, ah, bien, parce que je ne connais pas les gens, peut-être que ce n'est pas la même nationalité que moi, peut-être. qui ne font pas le même travail que moi. Mais notre cerveau trouve toujours des raisons. Et cette fois-ci, j'ai décidé d'aller dans une activité culturelle qui est organisée par des gens de la même origine que moi, famille que je suis d'origine haïtienne. Et je pensais que peut-être que ça allait m'aider à m'intégrer plus facilement. à tisser des liens dans un milieu inconnu. Mais comme souvent, la réalité était différente. Parce que c'était... pour moi, c'était... c'était la même chose. Parce que c'est... l'inconfort social était la même chose. que si je serais dans un autre milieu. Mais dans ce milieu culturel, que ce n'était pas la première fois que j'avais déjà été, ça s'appelle l'association, voyons, la perle retrouvée, l'association des haïtiens et amis haïtiens du Québec à Montréal. Mais quand je suis arrivée, c'est sûr, j'ai été là pour un brunch. pour le profit pour l'association. Habituellement, je vais avec ma mère ou mes soeurs, mais cette fois-ci, cette journée, bon, il n'y avait pas personne qui était disponible pour y aller. Et vu que je voulais encourager l'association, j'ai décidé d'y aller toute seule. Puis je me suis dit, il faut que je passe à travers. Bon, mon inconfort, si je dois réussir, je dois, je me répète souvent dans ma tête, je dois passer à travers si je veux réussir. Je suis arrivée dans la salle, c'est sûr qu'il y avait beaucoup de monde, tout le monde semblait se connaître, je restais debout, hésitante. hésitante à chercher une table. Ces quelques minutes, ça semblait une éternité parce que j'hésitais. Qu'est-ce que je fais ? Est-ce que je reste ou je m'en vais ? Mais finalement, je me suis installée à une table. Bon, il y avait une table, il n'y avait personne. Je me suis installée à une table seule. Fait que... Je sentais l'inconfort. L'inconfort était vraiment là. Dans ma tête, j'avais beaucoup de questionnements. J'avais l'ambivalence, j'avais l'envie de rentrer chez moi. Je sentais comme la gêne. Qu'est-ce que je fais ? Pourquoi je suis venue ? Quand on se sent inconfortable, on n'est pas bien. Mais j'ai décidé que j'allais rester pareille. Et puis, bon, il y avait de la musique. Et puis, j'essayais de ne pas aller sur mon cellulaire parce que le but, c'était vraiment de pouvoir rencontrer d'autres gens, mais pas de m'accrocher après un cellulaire. Et puis, je regardais les gens et j'écoutais de la musique. Tranquillement, les gens sont venus s'asseoir à ma table et une conversation a commencé à démarrer. Il y a un homme, après une autre femme, après il y a eu des enfants autour de moi. Et j'ai rencontré une femme qui a commencé à me raconter son quotidien, ses défis familiaux et combien elle était contente d'être là parce qu'elle voulait rencontrer des gens, respirer. Elle disait que c'était un peu pour sortir de sa souffrance. Parce que la surcharge de travail avec sa mère s'est tellement rendue lourde qu'elle a besoin de s'alléger, de souffler un peu et rencontrer des gens pour son bien-être mental. Et finalement, nous avons fini par passer un beau moment et nous avons réussi à rire. Et je suis rentrée chez moi, j'étais vraiment satisfaite. d'avoir fait cet effort et puis finalement, on s'est gardé contact. C'est sûr qu'on ne s'appelle pas souvent, mais j'étais vraiment contente d'avoir resté et de m'être amusée. Puis finalement, le brunch était excellent et la musique était très bonne aussi. Et j'étais vraiment satisfaite que j'ai pu faire quelque chose pour l'association. Et la satisfaction que ça m'a donné après, au temps que je suis arrivée dans l'inconnu, et je suis sortie de là, j'étais comme plus souriante, plus légère aussi. Et que c'est ça. Et l'autre expérience récemment, parce que c'est sur ma liste que j'ai décidé de pouvoir faire des activités. plus possible pour sortir de ma zone de confort. La deuxième expérience que j'ai faite, un petit peu différente, c'est récemment, au jour de l'an. J'ai décidé de participer à un souper. À un souper que je devais réserver pour un réveillon de Noël. Et encore une fois, oui, j'étais seule. Habituellement, je vais toujours à une autre. de plage, je connais l'environnement, je connais les gens autour. Mais cette fois-ci, c'était complètement différent, complètement un milieu différent aussi. Il y avait un menu cinq étoiles et c'était pas tellement loin de village, pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Et pour moi, j'ai décidé que oui, j'allais plonger. pour ce nouveau défi. Et c'était la même chose. Les émotions étaient vraiment similaires. Quand je suis arrivée, c'était le même scénario. Je ne connaissais personne. Encore une fois, je voyais les gens se parler entre eux. Pour moi, c'est... Pour moi, c'est comme si tous les gens se connaissaient déjà. Même si je sais que c'était une invitation dans la population, puis dans la population, ça fait que ce n'est pas tout le monde qui se connaissait. Mais pour moi, j'ai encore resté figée. Figée dans mon inconfort, parce que comment parler à des gens lorsqu'on ne connaît pas ? Et c'était le même feeling. Bon, j'ai regardé, j'ai pu observer les gens. Et puis, chance que j'avais le souper parce que je pense que j'aurais retourné. Mais je me suis efforcée. Je me suis efforcée parce que j'ai dit que j'avais un souper et puis j'allais bien m'amuser. Fait que j'ai dû me répéter dans ma tête. Non, Lynn, tu restes. Oui, tu vas être capable de passer à travers. Oui, tu vas rencontrer d'autres personnes peut-être plus tard. Il y aurait de la musique. Pour moi, j'ai dû me répéter plusieurs fois dans ma tête afin d'éviter que je puisse retourner chez moi. C'est que finalement... On m'a placée à une table. OK, après la réception, on m'a placée à une table avec trois coupes. Imaginez, six personnes qui se connaissaient probablement et moi seule au milieu. Mais cette fois encore, j'ai décidé de rester. J'ai choisi de rester parce que je savais que j'étais seule et le but c'était de fêter le réveillon et de bien manger. Et j'ai décidé de rester. Et finalement... Nous avons commencé à nous présenter, à apprendre à discuter, à se présenter chacun de notre tour. Et finalement, je me suis aperçue que les couples qui étaient autour de la table, autour de moi, ne se connaissaient pas. Et moi non plus. Dans le fond, personne ne se connaissait. Mais finalement, on a réussi à se présenter. à dire qu'est-ce qu'on fait dans notre vie, si on a des enfants, si on a des petits-enfants, de quelle région on est. Et j'ai trouvé ça agréable parce que chacun, on avait le... ça s'est fait graduellement, mais tout le monde a eu la place, a eu la chance de se présenter et de se parler. Et finalement, la soirée a pris... Un autre tournant, tout le monde finalement s'est mis à danser, on a ri, puis la gêne s'est évaporée et nous avons passé un excellent moment. Et finalement, même lorsqu'on s'est mis à danser, il y avait d'autres groupes, d'autres tables. Et je suis tous réunis autour de la piste de danse et finalement, on a dansé, on a ri, on a fait les décomptes de la nouvelle année et c'était vraiment, vraiment, vraiment agréable. Et j'ai passé un excellent moment et je ne regrette absolument pas d'avoir osé. Encore une fois, je suis... sortie de la soirée complètement changée, beaucoup plus d'énergie que lorsque j'étais rentrée, moins de gêne aussi. Voici une pensée inspirante d'Éléonore Roosevelt qui dit Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Et Leonard Roosevelt. Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Good thing, bonne chose, bon bagaille. Je vais vous raconter une petite anecdote. qui vont vous faire rire ou je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé. Encore une fois, lors du buffet culturel, et puis ça m'est déjà arrivé aussi dans les buffets aussi également. Je ris, excusez-moi, mais j'y pense encore. En parlant des moments gênants qui parfois finissent... qui peut être drôle parfois, mais je ne sais pas si ça vous a déjà arrivé. Une fois, j'ai été me servir au buffet lors d'un événement. J'étais concentrée dans mon assiette. Il a fallu, vous savez, des fois, parfois, vous voulez faire attention de ne pas faire tomber l'assiette. Ça fait que je revenais. À ma table, j'étais tellement concentrée et j'avais tellement faim aussi. Et là, je suis arrivée pour m'installer à ma table. Je m'assois pour commencer à manger. Puis là, je me lève les yeux. Puis je réalise que, oh, que je ne reconnaissais personne autour de moi. Que j'avais choisi la mauvaise table. Mais évidemment, tout le monde... On me regardait, mais on laissait tout simplement rire. Et finalement, ils ont réalisé que je me suis trompée, mais les gens qui étaient aussi à la table aussi, ils ont bien ri. Et finalement, ça s'est bien terminé. Mais c'est des choses que parfois, ça peut nous arriver. Je vais terminer en vous disant que ces expériences m'ont rappelé une chose essentielle. C'est que sortir de sa zone de confort, oui, c'est inconfortable. Mais en même temps, c'est souvent là le... les plus beaux moments de connexion et de joie qu'on trouve. Parce que si j'aurais resté chez moi ces deux fois, mes deux expériences, j'aurais manqué des opportunités de rencontrer des gens et de créer des souvenirs. Alors, vous qui écoutez en ce moment, osez. Oui. Même si c'est difficile, osez. Même si vous vous sentez mal à l'aise au début, persévérez. Oui, vous pouvez faire des activités seules, vous pouvez sortir seul, mais vous pouvez aussi être surpris de ce que ces moments peuvent vous apporter. Sortir de sa zone de confort. Oui, c'était un exercice qui est exigeant, mais c'est enrichissant. C'est d'oser, puis c'est de... Je sais que c'est difficile parce que pour le pouvoir passer, j'ai dû parler mentalement, j'ai dû me répéter pour pouvoir passer à l'action. Chaque fois que je l'ai faite, j'ai surmonté cette petite voix intérieure qui me disait de faire demi-tour. Mais on a plus à gagner que ce que, par exemple, si j'aurais resté, ce que j'ai perdu, la gêne, l'inconfort. Parce que ce que je retiens, c'est les plus belles connexions, les souvenirs. La satisfaction, le avant et le après. Puis ça se trouve au-delà de notre peur initiale. Oui, c'est la peur osée. Oui, le confort social, c'est l'inconnu. C'est la peur, la peur de ne pas connaître personne, la peur de se sentir rejetée ou la peur de la peur. Mais oui, c'est vrai, c'est intimidant. Ça dure quelques instants, même si parfois dans notre tête, on pense que ça dure des heures, mais ça vaut la peine. Puis même si on commence seul, on finit rarement la soirée sans parler à quelqu'un, sans une nouvelle histoire ou une conversation qui nous touche. Alors, je vous souhaite... que si vous osez à vous lancer dans une activité ou un événement que vous ne connaissez personne, dites-vous au pire, vous serez seul, mais seulement pour un moment. Mais qu'au mieux, il faut rêver quelque chose au moins qui est inattendu et de précieux. qui sait, à force de participer et d'aller souvent dans les activités, vous allez rencontrer des gens et plus vous aurez des gens, plus vous allez être encouragé de sortir de cet inconfort social. J'espère que ça vous a aidé. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines. et profiter des belles choses de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire. Et c'est ce que je vous souhaite et merci de votre écoute.

Description

Je vais parler de l’inconfort social comme clé vers la croissance personnelle. J’ai partagé mon expérience de sortir seule, mais pas isolée, en me lançant dans des activités culturelles et en rencontrant de nouvelles personnes malgré l’inconfort. J’ai également réfléchi à deux autres expériences: un brunch et un souper de noël où j’ai franchi les limites de ma zone de confort. La satisfaction de surmonter ces moments d’inconfort a été immense, car chaque défi m’a permis de grandir et d’évoluer.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Bienvenue ! Bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing ! Bonne chose ! Bon baguette ! J'ai eu des problèmes financiers avec le père des enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne et nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie, peu importe si vous avez de l'argent ou non, mais c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage des leçons de vie. tiré de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres et des moments de réflexion pour vous aider à chacun de vous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Seul mais... pas isolé, sortir de sa zone de confort pour pouvoir grandir. Je vais vous parler aujourd'hui de mes expériences, une expérience, de deux expériences, que je pense que ça pourrait vous parler à beaucoup d'entre vous. Parce qu'on dit souvent que pour réussir, il faut sortir de sa zone de confort, essayer de nouvelles choses, rencontrer des gens qui partagent nos valeurs. Mais soyons honnêtes, c'est sûr, c'est... pas toujours facile, surtout quand on doit y aller seul. Et c'est pour ça que je vais vous raconter ces deux expériences où j'ai décidé de me lancer dans les connus malgré mes appréhensions. Puis mon objectif, c'est toujours le même, c'est de créer des connexions positives et continuer à grandir. Même si le chemin, parfois, est inconfortable. Et c'est pour ça que j'ai je crois que c'est nécessaire pour pouvoir réussir. Je crois aussi que l'inconfort social, c'est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous parce que c'est un sentiment qui est parfois étrange et parfois même paralysant, qui nous envahit quand on se retrouve seule dans un environnement inconnu. On se sent seul, même si c'est un environnement qui a beaucoup de gens autour de nous, parce qu'on est entouré de visages étrangers. C'est sûr que cet inconfort peut être bien, plus qu'un obstacle aussi, parce que ça prend du courage et la persévérance. Mais il peut devenir aussi une clé précieuse pour notre croissance personnelle parce qu'être seul, ça ne veut pas dire d'être isolé. C'est sortir de sa zone de confort parce que ça peut nous ouvrir à des portes insoupçonnées, des rencontres aussi, des nouvelles rencontres. C'est pour ça que... J'ai décidé d'affronter cet inconfort social. Ce n'est pas la première fois. J'y avais déjà parlé dans un autre podcast. J'avais décidé de parler de ma zone de confort, le sentir d'être invisible dans un groupe. Mais c'est la continuité de ma réflexion parce que j'ai deux autres expériences que je viens de vivre. Pour moi, c'est un... important d'être capable d'éclairer et en même temps vous encourager parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait une fois et puis finalement tout est réglé. Je crois qu'à force de le faire, je crois que je vais m'améliorer. Et c'est pour ça que pour moi, ces deux expériences-là, j'ai décidé de l'affronter parce que... Je me suis retrouvée dans des situations que pour moi, c'était encore de l'inconnu. J'avais le goût de fuir, de rentrer chez moi, me retrouver dans mon... cocon de sécurité, mais j'ai choisi de rester. Puis je vais vous raconter comment ces moments difficiles ont finalement transformé ma vision des choses. Puis en même temps, pourquoi je ne le regrette pas. Puis les avantages aussi que j'ai, la satisfaction que j'ai eue de passer à travers, d'y aller à l'activité. Installez-vous confortablement et laissez-moi vous emmener dans un autre outil de cette croissance personnelle. L'expérience que j'ai vécue, encore, afin de sortir de ma zone de confort, parfois on dit, ah, bien, parce que je ne connais pas les gens, peut-être que ce n'est pas la même nationalité que moi, peut-être. qui ne font pas le même travail que moi. Mais notre cerveau trouve toujours des raisons. Et cette fois-ci, j'ai décidé d'aller dans une activité culturelle qui est organisée par des gens de la même origine que moi, famille que je suis d'origine haïtienne. Et je pensais que peut-être que ça allait m'aider à m'intégrer plus facilement. à tisser des liens dans un milieu inconnu. Mais comme souvent, la réalité était différente. Parce que c'était... pour moi, c'était... c'était la même chose. Parce que c'est... l'inconfort social était la même chose. que si je serais dans un autre milieu. Mais dans ce milieu culturel, que ce n'était pas la première fois que j'avais déjà été, ça s'appelle l'association, voyons, la perle retrouvée, l'association des haïtiens et amis haïtiens du Québec à Montréal. Mais quand je suis arrivée, c'est sûr, j'ai été là pour un brunch. pour le profit pour l'association. Habituellement, je vais avec ma mère ou mes soeurs, mais cette fois-ci, cette journée, bon, il n'y avait pas personne qui était disponible pour y aller. Et vu que je voulais encourager l'association, j'ai décidé d'y aller toute seule. Puis je me suis dit, il faut que je passe à travers. Bon, mon inconfort, si je dois réussir, je dois, je me répète souvent dans ma tête, je dois passer à travers si je veux réussir. Je suis arrivée dans la salle, c'est sûr qu'il y avait beaucoup de monde, tout le monde semblait se connaître, je restais debout, hésitante. hésitante à chercher une table. Ces quelques minutes, ça semblait une éternité parce que j'hésitais. Qu'est-ce que je fais ? Est-ce que je reste ou je m'en vais ? Mais finalement, je me suis installée à une table. Bon, il y avait une table, il n'y avait personne. Je me suis installée à une table seule. Fait que... Je sentais l'inconfort. L'inconfort était vraiment là. Dans ma tête, j'avais beaucoup de questionnements. J'avais l'ambivalence, j'avais l'envie de rentrer chez moi. Je sentais comme la gêne. Qu'est-ce que je fais ? Pourquoi je suis venue ? Quand on se sent inconfortable, on n'est pas bien. Mais j'ai décidé que j'allais rester pareille. Et puis, bon, il y avait de la musique. Et puis, j'essayais de ne pas aller sur mon cellulaire parce que le but, c'était vraiment de pouvoir rencontrer d'autres gens, mais pas de m'accrocher après un cellulaire. Et puis, je regardais les gens et j'écoutais de la musique. Tranquillement, les gens sont venus s'asseoir à ma table et une conversation a commencé à démarrer. Il y a un homme, après une autre femme, après il y a eu des enfants autour de moi. Et j'ai rencontré une femme qui a commencé à me raconter son quotidien, ses défis familiaux et combien elle était contente d'être là parce qu'elle voulait rencontrer des gens, respirer. Elle disait que c'était un peu pour sortir de sa souffrance. Parce que la surcharge de travail avec sa mère s'est tellement rendue lourde qu'elle a besoin de s'alléger, de souffler un peu et rencontrer des gens pour son bien-être mental. Et finalement, nous avons fini par passer un beau moment et nous avons réussi à rire. Et je suis rentrée chez moi, j'étais vraiment satisfaite. d'avoir fait cet effort et puis finalement, on s'est gardé contact. C'est sûr qu'on ne s'appelle pas souvent, mais j'étais vraiment contente d'avoir resté et de m'être amusée. Puis finalement, le brunch était excellent et la musique était très bonne aussi. Et j'étais vraiment satisfaite que j'ai pu faire quelque chose pour l'association. Et la satisfaction que ça m'a donné après, au temps que je suis arrivée dans l'inconnu, et je suis sortie de là, j'étais comme plus souriante, plus légère aussi. Et que c'est ça. Et l'autre expérience récemment, parce que c'est sur ma liste que j'ai décidé de pouvoir faire des activités. plus possible pour sortir de ma zone de confort. La deuxième expérience que j'ai faite, un petit peu différente, c'est récemment, au jour de l'an. J'ai décidé de participer à un souper. À un souper que je devais réserver pour un réveillon de Noël. Et encore une fois, oui, j'étais seule. Habituellement, je vais toujours à une autre. de plage, je connais l'environnement, je connais les gens autour. Mais cette fois-ci, c'était complètement différent, complètement un milieu différent aussi. Il y avait un menu cinq étoiles et c'était pas tellement loin de village, pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Et pour moi, j'ai décidé que oui, j'allais plonger. pour ce nouveau défi. Et c'était la même chose. Les émotions étaient vraiment similaires. Quand je suis arrivée, c'était le même scénario. Je ne connaissais personne. Encore une fois, je voyais les gens se parler entre eux. Pour moi, c'est... Pour moi, c'est comme si tous les gens se connaissaient déjà. Même si je sais que c'était une invitation dans la population, puis dans la population, ça fait que ce n'est pas tout le monde qui se connaissait. Mais pour moi, j'ai encore resté figée. Figée dans mon inconfort, parce que comment parler à des gens lorsqu'on ne connaît pas ? Et c'était le même feeling. Bon, j'ai regardé, j'ai pu observer les gens. Et puis, chance que j'avais le souper parce que je pense que j'aurais retourné. Mais je me suis efforcée. Je me suis efforcée parce que j'ai dit que j'avais un souper et puis j'allais bien m'amuser. Fait que j'ai dû me répéter dans ma tête. Non, Lynn, tu restes. Oui, tu vas être capable de passer à travers. Oui, tu vas rencontrer d'autres personnes peut-être plus tard. Il y aurait de la musique. Pour moi, j'ai dû me répéter plusieurs fois dans ma tête afin d'éviter que je puisse retourner chez moi. C'est que finalement... On m'a placée à une table. OK, après la réception, on m'a placée à une table avec trois coupes. Imaginez, six personnes qui se connaissaient probablement et moi seule au milieu. Mais cette fois encore, j'ai décidé de rester. J'ai choisi de rester parce que je savais que j'étais seule et le but c'était de fêter le réveillon et de bien manger. Et j'ai décidé de rester. Et finalement... Nous avons commencé à nous présenter, à apprendre à discuter, à se présenter chacun de notre tour. Et finalement, je me suis aperçue que les couples qui étaient autour de la table, autour de moi, ne se connaissaient pas. Et moi non plus. Dans le fond, personne ne se connaissait. Mais finalement, on a réussi à se présenter. à dire qu'est-ce qu'on fait dans notre vie, si on a des enfants, si on a des petits-enfants, de quelle région on est. Et j'ai trouvé ça agréable parce que chacun, on avait le... ça s'est fait graduellement, mais tout le monde a eu la place, a eu la chance de se présenter et de se parler. Et finalement, la soirée a pris... Un autre tournant, tout le monde finalement s'est mis à danser, on a ri, puis la gêne s'est évaporée et nous avons passé un excellent moment. Et finalement, même lorsqu'on s'est mis à danser, il y avait d'autres groupes, d'autres tables. Et je suis tous réunis autour de la piste de danse et finalement, on a dansé, on a ri, on a fait les décomptes de la nouvelle année et c'était vraiment, vraiment, vraiment agréable. Et j'ai passé un excellent moment et je ne regrette absolument pas d'avoir osé. Encore une fois, je suis... sortie de la soirée complètement changée, beaucoup plus d'énergie que lorsque j'étais rentrée, moins de gêne aussi. Voici une pensée inspirante d'Éléonore Roosevelt qui dit Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Et Leonard Roosevelt. Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Good thing, bonne chose, bon bagaille. Je vais vous raconter une petite anecdote. qui vont vous faire rire ou je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé. Encore une fois, lors du buffet culturel, et puis ça m'est déjà arrivé aussi dans les buffets aussi également. Je ris, excusez-moi, mais j'y pense encore. En parlant des moments gênants qui parfois finissent... qui peut être drôle parfois, mais je ne sais pas si ça vous a déjà arrivé. Une fois, j'ai été me servir au buffet lors d'un événement. J'étais concentrée dans mon assiette. Il a fallu, vous savez, des fois, parfois, vous voulez faire attention de ne pas faire tomber l'assiette. Ça fait que je revenais. À ma table, j'étais tellement concentrée et j'avais tellement faim aussi. Et là, je suis arrivée pour m'installer à ma table. Je m'assois pour commencer à manger. Puis là, je me lève les yeux. Puis je réalise que, oh, que je ne reconnaissais personne autour de moi. Que j'avais choisi la mauvaise table. Mais évidemment, tout le monde... On me regardait, mais on laissait tout simplement rire. Et finalement, ils ont réalisé que je me suis trompée, mais les gens qui étaient aussi à la table aussi, ils ont bien ri. Et finalement, ça s'est bien terminé. Mais c'est des choses que parfois, ça peut nous arriver. Je vais terminer en vous disant que ces expériences m'ont rappelé une chose essentielle. C'est que sortir de sa zone de confort, oui, c'est inconfortable. Mais en même temps, c'est souvent là le... les plus beaux moments de connexion et de joie qu'on trouve. Parce que si j'aurais resté chez moi ces deux fois, mes deux expériences, j'aurais manqué des opportunités de rencontrer des gens et de créer des souvenirs. Alors, vous qui écoutez en ce moment, osez. Oui. Même si c'est difficile, osez. Même si vous vous sentez mal à l'aise au début, persévérez. Oui, vous pouvez faire des activités seules, vous pouvez sortir seul, mais vous pouvez aussi être surpris de ce que ces moments peuvent vous apporter. Sortir de sa zone de confort. Oui, c'était un exercice qui est exigeant, mais c'est enrichissant. C'est d'oser, puis c'est de... Je sais que c'est difficile parce que pour le pouvoir passer, j'ai dû parler mentalement, j'ai dû me répéter pour pouvoir passer à l'action. Chaque fois que je l'ai faite, j'ai surmonté cette petite voix intérieure qui me disait de faire demi-tour. Mais on a plus à gagner que ce que, par exemple, si j'aurais resté, ce que j'ai perdu, la gêne, l'inconfort. Parce que ce que je retiens, c'est les plus belles connexions, les souvenirs. La satisfaction, le avant et le après. Puis ça se trouve au-delà de notre peur initiale. Oui, c'est la peur osée. Oui, le confort social, c'est l'inconnu. C'est la peur, la peur de ne pas connaître personne, la peur de se sentir rejetée ou la peur de la peur. Mais oui, c'est vrai, c'est intimidant. Ça dure quelques instants, même si parfois dans notre tête, on pense que ça dure des heures, mais ça vaut la peine. Puis même si on commence seul, on finit rarement la soirée sans parler à quelqu'un, sans une nouvelle histoire ou une conversation qui nous touche. Alors, je vous souhaite... que si vous osez à vous lancer dans une activité ou un événement que vous ne connaissez personne, dites-vous au pire, vous serez seul, mais seulement pour un moment. Mais qu'au mieux, il faut rêver quelque chose au moins qui est inattendu et de précieux. qui sait, à force de participer et d'aller souvent dans les activités, vous allez rencontrer des gens et plus vous aurez des gens, plus vous allez être encouragé de sortir de cet inconfort social. J'espère que ça vous a aidé. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines. et profiter des belles choses de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire. Et c'est ce que je vous souhaite et merci de votre écoute.

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Description

Je vais parler de l’inconfort social comme clé vers la croissance personnelle. J’ai partagé mon expérience de sortir seule, mais pas isolée, en me lançant dans des activités culturelles et en rencontrant de nouvelles personnes malgré l’inconfort. J’ai également réfléchi à deux autres expériences: un brunch et un souper de noël où j’ai franchi les limites de ma zone de confort. La satisfaction de surmonter ces moments d’inconfort a été immense, car chaque défi m’a permis de grandir et d’évoluer.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Bienvenue ! Bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing ! Bonne chose ! Bon baguette ! J'ai eu des problèmes financiers avec le père des enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne et nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie, peu importe si vous avez de l'argent ou non, mais c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage des leçons de vie. tiré de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres et des moments de réflexion pour vous aider à chacun de vous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Seul mais... pas isolé, sortir de sa zone de confort pour pouvoir grandir. Je vais vous parler aujourd'hui de mes expériences, une expérience, de deux expériences, que je pense que ça pourrait vous parler à beaucoup d'entre vous. Parce qu'on dit souvent que pour réussir, il faut sortir de sa zone de confort, essayer de nouvelles choses, rencontrer des gens qui partagent nos valeurs. Mais soyons honnêtes, c'est sûr, c'est... pas toujours facile, surtout quand on doit y aller seul. Et c'est pour ça que je vais vous raconter ces deux expériences où j'ai décidé de me lancer dans les connus malgré mes appréhensions. Puis mon objectif, c'est toujours le même, c'est de créer des connexions positives et continuer à grandir. Même si le chemin, parfois, est inconfortable. Et c'est pour ça que j'ai je crois que c'est nécessaire pour pouvoir réussir. Je crois aussi que l'inconfort social, c'est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous parce que c'est un sentiment qui est parfois étrange et parfois même paralysant, qui nous envahit quand on se retrouve seule dans un environnement inconnu. On se sent seul, même si c'est un environnement qui a beaucoup de gens autour de nous, parce qu'on est entouré de visages étrangers. C'est sûr que cet inconfort peut être bien, plus qu'un obstacle aussi, parce que ça prend du courage et la persévérance. Mais il peut devenir aussi une clé précieuse pour notre croissance personnelle parce qu'être seul, ça ne veut pas dire d'être isolé. C'est sortir de sa zone de confort parce que ça peut nous ouvrir à des portes insoupçonnées, des rencontres aussi, des nouvelles rencontres. C'est pour ça que... J'ai décidé d'affronter cet inconfort social. Ce n'est pas la première fois. J'y avais déjà parlé dans un autre podcast. J'avais décidé de parler de ma zone de confort, le sentir d'être invisible dans un groupe. Mais c'est la continuité de ma réflexion parce que j'ai deux autres expériences que je viens de vivre. Pour moi, c'est un... important d'être capable d'éclairer et en même temps vous encourager parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait une fois et puis finalement tout est réglé. Je crois qu'à force de le faire, je crois que je vais m'améliorer. Et c'est pour ça que pour moi, ces deux expériences-là, j'ai décidé de l'affronter parce que... Je me suis retrouvée dans des situations que pour moi, c'était encore de l'inconnu. J'avais le goût de fuir, de rentrer chez moi, me retrouver dans mon... cocon de sécurité, mais j'ai choisi de rester. Puis je vais vous raconter comment ces moments difficiles ont finalement transformé ma vision des choses. Puis en même temps, pourquoi je ne le regrette pas. Puis les avantages aussi que j'ai, la satisfaction que j'ai eue de passer à travers, d'y aller à l'activité. Installez-vous confortablement et laissez-moi vous emmener dans un autre outil de cette croissance personnelle. L'expérience que j'ai vécue, encore, afin de sortir de ma zone de confort, parfois on dit, ah, bien, parce que je ne connais pas les gens, peut-être que ce n'est pas la même nationalité que moi, peut-être. qui ne font pas le même travail que moi. Mais notre cerveau trouve toujours des raisons. Et cette fois-ci, j'ai décidé d'aller dans une activité culturelle qui est organisée par des gens de la même origine que moi, famille que je suis d'origine haïtienne. Et je pensais que peut-être que ça allait m'aider à m'intégrer plus facilement. à tisser des liens dans un milieu inconnu. Mais comme souvent, la réalité était différente. Parce que c'était... pour moi, c'était... c'était la même chose. Parce que c'est... l'inconfort social était la même chose. que si je serais dans un autre milieu. Mais dans ce milieu culturel, que ce n'était pas la première fois que j'avais déjà été, ça s'appelle l'association, voyons, la perle retrouvée, l'association des haïtiens et amis haïtiens du Québec à Montréal. Mais quand je suis arrivée, c'est sûr, j'ai été là pour un brunch. pour le profit pour l'association. Habituellement, je vais avec ma mère ou mes soeurs, mais cette fois-ci, cette journée, bon, il n'y avait pas personne qui était disponible pour y aller. Et vu que je voulais encourager l'association, j'ai décidé d'y aller toute seule. Puis je me suis dit, il faut que je passe à travers. Bon, mon inconfort, si je dois réussir, je dois, je me répète souvent dans ma tête, je dois passer à travers si je veux réussir. Je suis arrivée dans la salle, c'est sûr qu'il y avait beaucoup de monde, tout le monde semblait se connaître, je restais debout, hésitante. hésitante à chercher une table. Ces quelques minutes, ça semblait une éternité parce que j'hésitais. Qu'est-ce que je fais ? Est-ce que je reste ou je m'en vais ? Mais finalement, je me suis installée à une table. Bon, il y avait une table, il n'y avait personne. Je me suis installée à une table seule. Fait que... Je sentais l'inconfort. L'inconfort était vraiment là. Dans ma tête, j'avais beaucoup de questionnements. J'avais l'ambivalence, j'avais l'envie de rentrer chez moi. Je sentais comme la gêne. Qu'est-ce que je fais ? Pourquoi je suis venue ? Quand on se sent inconfortable, on n'est pas bien. Mais j'ai décidé que j'allais rester pareille. Et puis, bon, il y avait de la musique. Et puis, j'essayais de ne pas aller sur mon cellulaire parce que le but, c'était vraiment de pouvoir rencontrer d'autres gens, mais pas de m'accrocher après un cellulaire. Et puis, je regardais les gens et j'écoutais de la musique. Tranquillement, les gens sont venus s'asseoir à ma table et une conversation a commencé à démarrer. Il y a un homme, après une autre femme, après il y a eu des enfants autour de moi. Et j'ai rencontré une femme qui a commencé à me raconter son quotidien, ses défis familiaux et combien elle était contente d'être là parce qu'elle voulait rencontrer des gens, respirer. Elle disait que c'était un peu pour sortir de sa souffrance. Parce que la surcharge de travail avec sa mère s'est tellement rendue lourde qu'elle a besoin de s'alléger, de souffler un peu et rencontrer des gens pour son bien-être mental. Et finalement, nous avons fini par passer un beau moment et nous avons réussi à rire. Et je suis rentrée chez moi, j'étais vraiment satisfaite. d'avoir fait cet effort et puis finalement, on s'est gardé contact. C'est sûr qu'on ne s'appelle pas souvent, mais j'étais vraiment contente d'avoir resté et de m'être amusée. Puis finalement, le brunch était excellent et la musique était très bonne aussi. Et j'étais vraiment satisfaite que j'ai pu faire quelque chose pour l'association. Et la satisfaction que ça m'a donné après, au temps que je suis arrivée dans l'inconnu, et je suis sortie de là, j'étais comme plus souriante, plus légère aussi. Et que c'est ça. Et l'autre expérience récemment, parce que c'est sur ma liste que j'ai décidé de pouvoir faire des activités. plus possible pour sortir de ma zone de confort. La deuxième expérience que j'ai faite, un petit peu différente, c'est récemment, au jour de l'an. J'ai décidé de participer à un souper. À un souper que je devais réserver pour un réveillon de Noël. Et encore une fois, oui, j'étais seule. Habituellement, je vais toujours à une autre. de plage, je connais l'environnement, je connais les gens autour. Mais cette fois-ci, c'était complètement différent, complètement un milieu différent aussi. Il y avait un menu cinq étoiles et c'était pas tellement loin de village, pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Et pour moi, j'ai décidé que oui, j'allais plonger. pour ce nouveau défi. Et c'était la même chose. Les émotions étaient vraiment similaires. Quand je suis arrivée, c'était le même scénario. Je ne connaissais personne. Encore une fois, je voyais les gens se parler entre eux. Pour moi, c'est... Pour moi, c'est comme si tous les gens se connaissaient déjà. Même si je sais que c'était une invitation dans la population, puis dans la population, ça fait que ce n'est pas tout le monde qui se connaissait. Mais pour moi, j'ai encore resté figée. Figée dans mon inconfort, parce que comment parler à des gens lorsqu'on ne connaît pas ? Et c'était le même feeling. Bon, j'ai regardé, j'ai pu observer les gens. Et puis, chance que j'avais le souper parce que je pense que j'aurais retourné. Mais je me suis efforcée. Je me suis efforcée parce que j'ai dit que j'avais un souper et puis j'allais bien m'amuser. Fait que j'ai dû me répéter dans ma tête. Non, Lynn, tu restes. Oui, tu vas être capable de passer à travers. Oui, tu vas rencontrer d'autres personnes peut-être plus tard. Il y aurait de la musique. Pour moi, j'ai dû me répéter plusieurs fois dans ma tête afin d'éviter que je puisse retourner chez moi. C'est que finalement... On m'a placée à une table. OK, après la réception, on m'a placée à une table avec trois coupes. Imaginez, six personnes qui se connaissaient probablement et moi seule au milieu. Mais cette fois encore, j'ai décidé de rester. J'ai choisi de rester parce que je savais que j'étais seule et le but c'était de fêter le réveillon et de bien manger. Et j'ai décidé de rester. Et finalement... Nous avons commencé à nous présenter, à apprendre à discuter, à se présenter chacun de notre tour. Et finalement, je me suis aperçue que les couples qui étaient autour de la table, autour de moi, ne se connaissaient pas. Et moi non plus. Dans le fond, personne ne se connaissait. Mais finalement, on a réussi à se présenter. à dire qu'est-ce qu'on fait dans notre vie, si on a des enfants, si on a des petits-enfants, de quelle région on est. Et j'ai trouvé ça agréable parce que chacun, on avait le... ça s'est fait graduellement, mais tout le monde a eu la place, a eu la chance de se présenter et de se parler. Et finalement, la soirée a pris... Un autre tournant, tout le monde finalement s'est mis à danser, on a ri, puis la gêne s'est évaporée et nous avons passé un excellent moment. Et finalement, même lorsqu'on s'est mis à danser, il y avait d'autres groupes, d'autres tables. Et je suis tous réunis autour de la piste de danse et finalement, on a dansé, on a ri, on a fait les décomptes de la nouvelle année et c'était vraiment, vraiment, vraiment agréable. Et j'ai passé un excellent moment et je ne regrette absolument pas d'avoir osé. Encore une fois, je suis... sortie de la soirée complètement changée, beaucoup plus d'énergie que lorsque j'étais rentrée, moins de gêne aussi. Voici une pensée inspirante d'Éléonore Roosevelt qui dit Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Et Leonard Roosevelt. Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Good thing, bonne chose, bon bagaille. Je vais vous raconter une petite anecdote. qui vont vous faire rire ou je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé. Encore une fois, lors du buffet culturel, et puis ça m'est déjà arrivé aussi dans les buffets aussi également. Je ris, excusez-moi, mais j'y pense encore. En parlant des moments gênants qui parfois finissent... qui peut être drôle parfois, mais je ne sais pas si ça vous a déjà arrivé. Une fois, j'ai été me servir au buffet lors d'un événement. J'étais concentrée dans mon assiette. Il a fallu, vous savez, des fois, parfois, vous voulez faire attention de ne pas faire tomber l'assiette. Ça fait que je revenais. À ma table, j'étais tellement concentrée et j'avais tellement faim aussi. Et là, je suis arrivée pour m'installer à ma table. Je m'assois pour commencer à manger. Puis là, je me lève les yeux. Puis je réalise que, oh, que je ne reconnaissais personne autour de moi. Que j'avais choisi la mauvaise table. Mais évidemment, tout le monde... On me regardait, mais on laissait tout simplement rire. Et finalement, ils ont réalisé que je me suis trompée, mais les gens qui étaient aussi à la table aussi, ils ont bien ri. Et finalement, ça s'est bien terminé. Mais c'est des choses que parfois, ça peut nous arriver. Je vais terminer en vous disant que ces expériences m'ont rappelé une chose essentielle. C'est que sortir de sa zone de confort, oui, c'est inconfortable. Mais en même temps, c'est souvent là le... les plus beaux moments de connexion et de joie qu'on trouve. Parce que si j'aurais resté chez moi ces deux fois, mes deux expériences, j'aurais manqué des opportunités de rencontrer des gens et de créer des souvenirs. Alors, vous qui écoutez en ce moment, osez. Oui. Même si c'est difficile, osez. Même si vous vous sentez mal à l'aise au début, persévérez. Oui, vous pouvez faire des activités seules, vous pouvez sortir seul, mais vous pouvez aussi être surpris de ce que ces moments peuvent vous apporter. Sortir de sa zone de confort. Oui, c'était un exercice qui est exigeant, mais c'est enrichissant. C'est d'oser, puis c'est de... Je sais que c'est difficile parce que pour le pouvoir passer, j'ai dû parler mentalement, j'ai dû me répéter pour pouvoir passer à l'action. Chaque fois que je l'ai faite, j'ai surmonté cette petite voix intérieure qui me disait de faire demi-tour. Mais on a plus à gagner que ce que, par exemple, si j'aurais resté, ce que j'ai perdu, la gêne, l'inconfort. Parce que ce que je retiens, c'est les plus belles connexions, les souvenirs. La satisfaction, le avant et le après. Puis ça se trouve au-delà de notre peur initiale. Oui, c'est la peur osée. Oui, le confort social, c'est l'inconnu. C'est la peur, la peur de ne pas connaître personne, la peur de se sentir rejetée ou la peur de la peur. Mais oui, c'est vrai, c'est intimidant. Ça dure quelques instants, même si parfois dans notre tête, on pense que ça dure des heures, mais ça vaut la peine. Puis même si on commence seul, on finit rarement la soirée sans parler à quelqu'un, sans une nouvelle histoire ou une conversation qui nous touche. Alors, je vous souhaite... que si vous osez à vous lancer dans une activité ou un événement que vous ne connaissez personne, dites-vous au pire, vous serez seul, mais seulement pour un moment. Mais qu'au mieux, il faut rêver quelque chose au moins qui est inattendu et de précieux. qui sait, à force de participer et d'aller souvent dans les activités, vous allez rencontrer des gens et plus vous aurez des gens, plus vous allez être encouragé de sortir de cet inconfort social. J'espère que ça vous a aidé. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines. et profiter des belles choses de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire. Et c'est ce que je vous souhaite et merci de votre écoute.

Description

Je vais parler de l’inconfort social comme clé vers la croissance personnelle. J’ai partagé mon expérience de sortir seule, mais pas isolée, en me lançant dans des activités culturelles et en rencontrant de nouvelles personnes malgré l’inconfort. J’ai également réfléchi à deux autres expériences: un brunch et un souper de noël où j’ai franchi les limites de ma zone de confort. La satisfaction de surmonter ces moments d’inconfort a été immense, car chaque défi m’a permis de grandir et d’évoluer.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Bienvenue ! Bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing ! Bonne chose ! Bon baguette ! J'ai eu des problèmes financiers avec le père des enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne et nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie, peu importe si vous avez de l'argent ou non, mais c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage des leçons de vie. tiré de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres et des moments de réflexion pour vous aider à chacun de vous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Je vais parler de l'inconfort social, une clé vers la croissance personnelle. Seul mais... pas isolé, sortir de sa zone de confort pour pouvoir grandir. Je vais vous parler aujourd'hui de mes expériences, une expérience, de deux expériences, que je pense que ça pourrait vous parler à beaucoup d'entre vous. Parce qu'on dit souvent que pour réussir, il faut sortir de sa zone de confort, essayer de nouvelles choses, rencontrer des gens qui partagent nos valeurs. Mais soyons honnêtes, c'est sûr, c'est... pas toujours facile, surtout quand on doit y aller seul. Et c'est pour ça que je vais vous raconter ces deux expériences où j'ai décidé de me lancer dans les connus malgré mes appréhensions. Puis mon objectif, c'est toujours le même, c'est de créer des connexions positives et continuer à grandir. Même si le chemin, parfois, est inconfortable. Et c'est pour ça que j'ai je crois que c'est nécessaire pour pouvoir réussir. Je crois aussi que l'inconfort social, c'est un sujet qui touche beaucoup d'entre nous parce que c'est un sentiment qui est parfois étrange et parfois même paralysant, qui nous envahit quand on se retrouve seule dans un environnement inconnu. On se sent seul, même si c'est un environnement qui a beaucoup de gens autour de nous, parce qu'on est entouré de visages étrangers. C'est sûr que cet inconfort peut être bien, plus qu'un obstacle aussi, parce que ça prend du courage et la persévérance. Mais il peut devenir aussi une clé précieuse pour notre croissance personnelle parce qu'être seul, ça ne veut pas dire d'être isolé. C'est sortir de sa zone de confort parce que ça peut nous ouvrir à des portes insoupçonnées, des rencontres aussi, des nouvelles rencontres. C'est pour ça que... J'ai décidé d'affronter cet inconfort social. Ce n'est pas la première fois. J'y avais déjà parlé dans un autre podcast. J'avais décidé de parler de ma zone de confort, le sentir d'être invisible dans un groupe. Mais c'est la continuité de ma réflexion parce que j'ai deux autres expériences que je viens de vivre. Pour moi, c'est un... important d'être capable d'éclairer et en même temps vous encourager parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait une fois et puis finalement tout est réglé. Je crois qu'à force de le faire, je crois que je vais m'améliorer. Et c'est pour ça que pour moi, ces deux expériences-là, j'ai décidé de l'affronter parce que... Je me suis retrouvée dans des situations que pour moi, c'était encore de l'inconnu. J'avais le goût de fuir, de rentrer chez moi, me retrouver dans mon... cocon de sécurité, mais j'ai choisi de rester. Puis je vais vous raconter comment ces moments difficiles ont finalement transformé ma vision des choses. Puis en même temps, pourquoi je ne le regrette pas. Puis les avantages aussi que j'ai, la satisfaction que j'ai eue de passer à travers, d'y aller à l'activité. Installez-vous confortablement et laissez-moi vous emmener dans un autre outil de cette croissance personnelle. L'expérience que j'ai vécue, encore, afin de sortir de ma zone de confort, parfois on dit, ah, bien, parce que je ne connais pas les gens, peut-être que ce n'est pas la même nationalité que moi, peut-être. qui ne font pas le même travail que moi. Mais notre cerveau trouve toujours des raisons. Et cette fois-ci, j'ai décidé d'aller dans une activité culturelle qui est organisée par des gens de la même origine que moi, famille que je suis d'origine haïtienne. Et je pensais que peut-être que ça allait m'aider à m'intégrer plus facilement. à tisser des liens dans un milieu inconnu. Mais comme souvent, la réalité était différente. Parce que c'était... pour moi, c'était... c'était la même chose. Parce que c'est... l'inconfort social était la même chose. que si je serais dans un autre milieu. Mais dans ce milieu culturel, que ce n'était pas la première fois que j'avais déjà été, ça s'appelle l'association, voyons, la perle retrouvée, l'association des haïtiens et amis haïtiens du Québec à Montréal. Mais quand je suis arrivée, c'est sûr, j'ai été là pour un brunch. pour le profit pour l'association. Habituellement, je vais avec ma mère ou mes soeurs, mais cette fois-ci, cette journée, bon, il n'y avait pas personne qui était disponible pour y aller. Et vu que je voulais encourager l'association, j'ai décidé d'y aller toute seule. Puis je me suis dit, il faut que je passe à travers. Bon, mon inconfort, si je dois réussir, je dois, je me répète souvent dans ma tête, je dois passer à travers si je veux réussir. Je suis arrivée dans la salle, c'est sûr qu'il y avait beaucoup de monde, tout le monde semblait se connaître, je restais debout, hésitante. hésitante à chercher une table. Ces quelques minutes, ça semblait une éternité parce que j'hésitais. Qu'est-ce que je fais ? Est-ce que je reste ou je m'en vais ? Mais finalement, je me suis installée à une table. Bon, il y avait une table, il n'y avait personne. Je me suis installée à une table seule. Fait que... Je sentais l'inconfort. L'inconfort était vraiment là. Dans ma tête, j'avais beaucoup de questionnements. J'avais l'ambivalence, j'avais l'envie de rentrer chez moi. Je sentais comme la gêne. Qu'est-ce que je fais ? Pourquoi je suis venue ? Quand on se sent inconfortable, on n'est pas bien. Mais j'ai décidé que j'allais rester pareille. Et puis, bon, il y avait de la musique. Et puis, j'essayais de ne pas aller sur mon cellulaire parce que le but, c'était vraiment de pouvoir rencontrer d'autres gens, mais pas de m'accrocher après un cellulaire. Et puis, je regardais les gens et j'écoutais de la musique. Tranquillement, les gens sont venus s'asseoir à ma table et une conversation a commencé à démarrer. Il y a un homme, après une autre femme, après il y a eu des enfants autour de moi. Et j'ai rencontré une femme qui a commencé à me raconter son quotidien, ses défis familiaux et combien elle était contente d'être là parce qu'elle voulait rencontrer des gens, respirer. Elle disait que c'était un peu pour sortir de sa souffrance. Parce que la surcharge de travail avec sa mère s'est tellement rendue lourde qu'elle a besoin de s'alléger, de souffler un peu et rencontrer des gens pour son bien-être mental. Et finalement, nous avons fini par passer un beau moment et nous avons réussi à rire. Et je suis rentrée chez moi, j'étais vraiment satisfaite. d'avoir fait cet effort et puis finalement, on s'est gardé contact. C'est sûr qu'on ne s'appelle pas souvent, mais j'étais vraiment contente d'avoir resté et de m'être amusée. Puis finalement, le brunch était excellent et la musique était très bonne aussi. Et j'étais vraiment satisfaite que j'ai pu faire quelque chose pour l'association. Et la satisfaction que ça m'a donné après, au temps que je suis arrivée dans l'inconnu, et je suis sortie de là, j'étais comme plus souriante, plus légère aussi. Et que c'est ça. Et l'autre expérience récemment, parce que c'est sur ma liste que j'ai décidé de pouvoir faire des activités. plus possible pour sortir de ma zone de confort. La deuxième expérience que j'ai faite, un petit peu différente, c'est récemment, au jour de l'an. J'ai décidé de participer à un souper. À un souper que je devais réserver pour un réveillon de Noël. Et encore une fois, oui, j'étais seule. Habituellement, je vais toujours à une autre. de plage, je connais l'environnement, je connais les gens autour. Mais cette fois-ci, c'était complètement différent, complètement un milieu différent aussi. Il y avait un menu cinq étoiles et c'était pas tellement loin de village, pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Et pour moi, j'ai décidé que oui, j'allais plonger. pour ce nouveau défi. Et c'était la même chose. Les émotions étaient vraiment similaires. Quand je suis arrivée, c'était le même scénario. Je ne connaissais personne. Encore une fois, je voyais les gens se parler entre eux. Pour moi, c'est... Pour moi, c'est comme si tous les gens se connaissaient déjà. Même si je sais que c'était une invitation dans la population, puis dans la population, ça fait que ce n'est pas tout le monde qui se connaissait. Mais pour moi, j'ai encore resté figée. Figée dans mon inconfort, parce que comment parler à des gens lorsqu'on ne connaît pas ? Et c'était le même feeling. Bon, j'ai regardé, j'ai pu observer les gens. Et puis, chance que j'avais le souper parce que je pense que j'aurais retourné. Mais je me suis efforcée. Je me suis efforcée parce que j'ai dit que j'avais un souper et puis j'allais bien m'amuser. Fait que j'ai dû me répéter dans ma tête. Non, Lynn, tu restes. Oui, tu vas être capable de passer à travers. Oui, tu vas rencontrer d'autres personnes peut-être plus tard. Il y aurait de la musique. Pour moi, j'ai dû me répéter plusieurs fois dans ma tête afin d'éviter que je puisse retourner chez moi. C'est que finalement... On m'a placée à une table. OK, après la réception, on m'a placée à une table avec trois coupes. Imaginez, six personnes qui se connaissaient probablement et moi seule au milieu. Mais cette fois encore, j'ai décidé de rester. J'ai choisi de rester parce que je savais que j'étais seule et le but c'était de fêter le réveillon et de bien manger. Et j'ai décidé de rester. Et finalement... Nous avons commencé à nous présenter, à apprendre à discuter, à se présenter chacun de notre tour. Et finalement, je me suis aperçue que les couples qui étaient autour de la table, autour de moi, ne se connaissaient pas. Et moi non plus. Dans le fond, personne ne se connaissait. Mais finalement, on a réussi à se présenter. à dire qu'est-ce qu'on fait dans notre vie, si on a des enfants, si on a des petits-enfants, de quelle région on est. Et j'ai trouvé ça agréable parce que chacun, on avait le... ça s'est fait graduellement, mais tout le monde a eu la place, a eu la chance de se présenter et de se parler. Et finalement, la soirée a pris... Un autre tournant, tout le monde finalement s'est mis à danser, on a ri, puis la gêne s'est évaporée et nous avons passé un excellent moment. Et finalement, même lorsqu'on s'est mis à danser, il y avait d'autres groupes, d'autres tables. Et je suis tous réunis autour de la piste de danse et finalement, on a dansé, on a ri, on a fait les décomptes de la nouvelle année et c'était vraiment, vraiment, vraiment agréable. Et j'ai passé un excellent moment et je ne regrette absolument pas d'avoir osé. Encore une fois, je suis... sortie de la soirée complètement changée, beaucoup plus d'énergie que lorsque j'étais rentrée, moins de gêne aussi. Voici une pensée inspirante d'Éléonore Roosevelt qui dit Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Et Leonard Roosevelt. Le confort est agréable, mais l'inconfort est le taureau de la croissance. Good thing, bonne chose, bon bagaille. Je vais vous raconter une petite anecdote. qui vont vous faire rire ou je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé. Encore une fois, lors du buffet culturel, et puis ça m'est déjà arrivé aussi dans les buffets aussi également. Je ris, excusez-moi, mais j'y pense encore. En parlant des moments gênants qui parfois finissent... qui peut être drôle parfois, mais je ne sais pas si ça vous a déjà arrivé. Une fois, j'ai été me servir au buffet lors d'un événement. J'étais concentrée dans mon assiette. Il a fallu, vous savez, des fois, parfois, vous voulez faire attention de ne pas faire tomber l'assiette. Ça fait que je revenais. À ma table, j'étais tellement concentrée et j'avais tellement faim aussi. Et là, je suis arrivée pour m'installer à ma table. Je m'assois pour commencer à manger. Puis là, je me lève les yeux. Puis je réalise que, oh, que je ne reconnaissais personne autour de moi. Que j'avais choisi la mauvaise table. Mais évidemment, tout le monde... On me regardait, mais on laissait tout simplement rire. Et finalement, ils ont réalisé que je me suis trompée, mais les gens qui étaient aussi à la table aussi, ils ont bien ri. Et finalement, ça s'est bien terminé. Mais c'est des choses que parfois, ça peut nous arriver. Je vais terminer en vous disant que ces expériences m'ont rappelé une chose essentielle. C'est que sortir de sa zone de confort, oui, c'est inconfortable. Mais en même temps, c'est souvent là le... les plus beaux moments de connexion et de joie qu'on trouve. Parce que si j'aurais resté chez moi ces deux fois, mes deux expériences, j'aurais manqué des opportunités de rencontrer des gens et de créer des souvenirs. Alors, vous qui écoutez en ce moment, osez. Oui. Même si c'est difficile, osez. Même si vous vous sentez mal à l'aise au début, persévérez. Oui, vous pouvez faire des activités seules, vous pouvez sortir seul, mais vous pouvez aussi être surpris de ce que ces moments peuvent vous apporter. Sortir de sa zone de confort. Oui, c'était un exercice qui est exigeant, mais c'est enrichissant. C'est d'oser, puis c'est de... Je sais que c'est difficile parce que pour le pouvoir passer, j'ai dû parler mentalement, j'ai dû me répéter pour pouvoir passer à l'action. Chaque fois que je l'ai faite, j'ai surmonté cette petite voix intérieure qui me disait de faire demi-tour. Mais on a plus à gagner que ce que, par exemple, si j'aurais resté, ce que j'ai perdu, la gêne, l'inconfort. Parce que ce que je retiens, c'est les plus belles connexions, les souvenirs. La satisfaction, le avant et le après. Puis ça se trouve au-delà de notre peur initiale. Oui, c'est la peur osée. Oui, le confort social, c'est l'inconnu. C'est la peur, la peur de ne pas connaître personne, la peur de se sentir rejetée ou la peur de la peur. Mais oui, c'est vrai, c'est intimidant. Ça dure quelques instants, même si parfois dans notre tête, on pense que ça dure des heures, mais ça vaut la peine. Puis même si on commence seul, on finit rarement la soirée sans parler à quelqu'un, sans une nouvelle histoire ou une conversation qui nous touche. Alors, je vous souhaite... que si vous osez à vous lancer dans une activité ou un événement que vous ne connaissez personne, dites-vous au pire, vous serez seul, mais seulement pour un moment. Mais qu'au mieux, il faut rêver quelque chose au moins qui est inattendu et de précieux. qui sait, à force de participer et d'aller souvent dans les activités, vous allez rencontrer des gens et plus vous aurez des gens, plus vous allez être encouragé de sortir de cet inconfort social. J'espère que ça vous a aidé. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines. et profiter des belles choses de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire. Et c'est ce que je vous souhaite et merci de votre écoute.

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