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La gratuité de la vie en héritage

EPISODE 11 : Respecter les choix de ceux qu' on aime…une leçon d' amour et de tolérance.

EPISODE 11 : Respecter les choix de ceux qu' on aime…une leçon d' amour et de tolérance.

24min |30/03/2025|

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Respecter les choix de ceux qu'on aime, une leçon d'amour et de tolérance. Bienvenue sur La gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon baguette. J'ai eu des problèmes financiers avec le... par les enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne où nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si nous avons d'argent ou non, c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage avec vous des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, de mes rencontres et des moments de réflexion pour aider chacun d'entre nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Je vais vous parler d'une petite anecdote. une discussion qu'on a eue récemment avec les enfants, le défi du non-jugement. J'ai retrouvé aussi une petite citation aussi inspirante, une suggestion qui pourrait vous aider ou aider quelqu'un autour de vous, et une suggestion aussi de lecture. Aujourd'hui, je vais parler d'un sujet qui me touche beaucoup, de famille. Vous savez que j'ai cinq enfants. Et comment respecter le choix de vie de ceux qu'on aime, même quand on est inquiet ou on est en désaccord ? C'est sûr que moi, avec les cinq enfants, c'est sûr que sont chacun différents. Et c'est de savoir aussi comment s'adapter, s'ajuster aussi. parce que lorsqu'on élevait les enfants, avec le père des enfants, on essayait d'aller voir chacun. On pouvait observer chacun les forces des enfants puis d'essayer de... Ils sont complètement différents, le goût est complètement différent aussi. Et c'était capable de renforcer chacun leur personnalité. Pendant les Fêtes, une situation avec mon fils m'a rappelé l'importance de cette tolérance. C'est sûr que j'en aurais beaucoup à vous raconter parce que j'en ai cinq et ils ont passé à travers toutes les différentes étapes de l'enfance. Mais celui-là, je vais vous parler de récemment. Je vais partager avec vous cette histoire. qui me rappelle vraiment l'importance de cette tolérance. Car je pense que peu importe ce qu'on vit, ça peut peut-être résonner avec nous, et ceux qui ont des parents ou des gens qui sont proches. Il y a quelques mois, mon fils est revenu avec moi après une relation difficile avec sa compagne. Au Québec, on appelle ça sa blonde. Bon, les deux, ils s'entendaient bien au début. Et finalement, le couple a été séparé parce qu'il y a eu beaucoup de conflits ensemble. Je ne sais pas trop. Bon, le non-respect, les problèmes à l'alcool et même des menaces. Pour lui, mon garçon, c'était une période difficile parce qu'il l'aimait beaucoup. Et aussi, il était attaché aussi avec ses enfants, parce qu'elle, elle a des enfants, mais lui, il n'a pas d'enfants. Et c'était une période difficile parce qu'il était très attaché aussi avec les enfants. Mais aussi pour moi, parce que mon garçon, ce n'est pas quelqu'un qui parle. Il n'exprime pas vraiment ses émotions. C'est quelqu'un qui aime beaucoup aider, mais il parle très peu. Habituellement, je suis... Tu peux être une personne qui va vraiment leur donner des ordres ou leur dire, non, tu n'as pas le droit de faire ça. Je leur donne le choix avec les conséquences et pour moi, l'important, c'est leur bonheur. Mais je n'ai pas tendance à beaucoup questionner parce que je préfère qu'ils me disent la vérité que me dire des choses que finalement c'est complètement négatif. Mais j'ai toujours choisi, par exemple, de ne pas trop poser de questions, mais je préférais être présente. Je préfère écouter, écouter et les observer. Essayer de comprendre leur raison, leur choix de vie, qu'est-ce qu'ils veulent, c'est quoi leur bonheur, c'est quoi leur défi. Mon but à moi, c'est toujours d'offrir un espace qui est sécurisant. Et ça leur permet un peu de réfléchir parce que moi, je pose des questions pour que la personne puisse prendre ses propres décisions. C'est la même chose aussi pour mon fils parce que j'étais tellement contente quand il avait rencontré sa compagne. Et lorsqu'on a su toutes ces difficultés qu'il a passées à travers... J'ai décidé que c'était correct d'y retourner à la maison. On vit à la maison avec moi. Je me suis dit que ça va être le temps qui va lui permettre de réfléchir. Ça va être son espace de temps. Et puis, ça a duré quelques mois. Et là, j'ai vu qu'il a commencé à pouvoir sortir. Il est allé rester après chez des amis. qui était proche de son travail. Et pour moi, quand je vois que l'enfant va mieux, pour moi, c'est mon bonheur. Quand l'enfant va mieux, il n'est pas en dépression ou en isolement. Récemment, mon garçon, après plusieurs mois, Plusieurs mois, oui. Il a commencé à passer de plus en plus de temps à l'extérieur. Et puis, à dormir à l'extérieur, je le voyais de moins en moins. Et puis, un jour, il m'a dit qu'il avait recommencé à parler avec sa ancienne compagne, qui était d'abord comme une amie. Oui, il m'a dit qu'il était conscient des problèmes passés, mais il m'a assuré que si la relation devenait toxique, À un certain niveau, il va être capable de se retirer. C'est sûr que j'étais inquiète, mais je voyais qu'il était sincère, il semblait vraiment réfléchir. Il m'a dit que sa copine ne buvait plus, qu'elle avait coupé les ponts avec des influences négatives et qu'elle avait aussi suivi une thérapie. C'est correct, c'était son choix. Et je savais que je ne pouvais pas... pas le contraire, le contraire ou le contraindre, l'empêcher ou l'enfermer, tu sais, complètement l'isoler ou l'empêcher de retourner avec vu que c'était son choix. Parce que moi aussi, oui, je sais que dans un couple, oui, on vit des périodes difficiles. Oui, des fois, ça peut être néfaste. Mon garçon le sait. que oui, ça peut être néfaste de retourner avec elle si ça retourne comme dans le passé. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas. Je peux juste prier pour qu'il puisse prendre des bons choix, mais je ne peux pas vivre à sa place. Je sais que c'est difficile à comprendre, mais... C'est vraiment ça. Mais je n'avais pas osé non plus d'aller la voir ou de la parler. Mais récemment, pendant les fêtes, mon garçon m'a dit qu'elle allait inviter sa compagne, sa blonde, avec ses enfants. Et puis, oui, au début, j'étais un petit peu surprise, réticente. Je me demandais comment j'allais... J'allais l'accueillir, qu'est-ce que je dois dire, moi aussi. J'étais blessée par tout ce que j'avais entendu, mais en même temps, je préfère voir mon garçon dans le milieu qu'il est et d'être capable de suivre mon garçon. Pour moi, oui, j'ai accepté. Et puis, oui, je ne regrette pas parce que lors de la fête, c'est sûr qu'il y a eu beaucoup d'enfants, la musique et tout ça. Mais on a eu la chance un petit peu de parler. Elle m'a parlé de ses progrès, ses difficultés qu'elle avait surmontées, ses thérapies qu'elle a dû faire et ses efforts pour créer une vie qui est plus stable. J'étais attentive, oui. Je l'observais. Puis j'observais aussi l'interaction qu'il y avait entre eux. et avec les enfants aussi. Et à ce moment-là, j'ai choisi de garder un esprit ouvert. Après tout, l'important pour moi, c'est d'aider de voir mon garçon s'épanouir. Même si je ne pouvais pas juger la relation, ni le avant, ni le après, mais pour moi, ce n'est pas juste... dans une journée de fête que je peux juger cette situation. Oui, elle était... Voyons, sa copine, elle m'a aidée. Bon, comme avant, c'est une femme qui aime beaucoup aider également, comme mon garçon. Elle m'a aidée à faire à manger. Elle a participé beaucoup. beaucoup avec moi, c'est pour ça qu'on a eu beaucoup d'échanges. Et mon garçon aussi, c'était beau à voir. C'était beau à voir parce que moi, j'ai pu voir l'entraide qu'il y avait. J'ai pu sentir que mon garçon était bien. Je n'ai pas senti de conflit de mon côté à moi. Mais c'est sûr qu'après leur départ... On a eu une discussion familiale parce que les autres enfants se sont exprimés leur opposition à cette relation. C'est sûr que nous, avec les enfants, les frères et sœurs et moi aussi, on se dit des vraies choses. C'est sûr que parfois, quand vous venez dans la famille, on ne se cache pas des choses. On se dit des fois les vraies choses. Des fois, ça blesse directement, mais on essaye à... On essaye. Écoutez ! Et essayer de trouver des trucs pour aider. Mais cette fois-ci, lorsque mon autre garçon est parti avec sa blonde et ses enfants, les autres se sont mis à parler de la discussion familiale. Ils étaient convaincus que ça allait finir mal et ils ne comprenaient pas pourquoi qu'ils retournaient dans cette relation. On devrait l'éloigner de cette relation toxique. On devrait bannir. On devrait le sortir de là de force. Mais je leur disais, mais qui qu'on est, on ne peut pas juger. On ne peut pas juger les autres. On ne peut pas vivre la situation pour l'autre personne. J'essayais de leur expliquer l'exemple, par exemple, de ne pas juger aussi vite. L'important, c'est de parler avec la personne, c'est de garder contact avec la personne, de suivre l'évolution. j'ai donné l'exemple de Lady Diana ceux qui ne connaissent pas Lady Diana qui était mariée avec le prince Charles d'Angleterre Pour nous, je me rappelle encore la première fois qu'on l'a vue à la télévision. Et on a vu comment elle était belle. Elle semblait gentille. Elle était souriante. On rêvait qu'elle soit notre reine, notre future reine d'Angleterre. Tout de l'extérieur semblait parfait. Mais lorsqu'elle nous raconte... son histoire de vie et qu'elle a dû se séparer, se divorcer, malgré toutes les contraintes. Lady Diana, elle disait qu'à l'intérieur, c'était comme une prison dorée. Elle n'était pas heureuse. Dans le fond, ce que nous voyons de l'extérieur ne révèle pas toute la vérité d'une relation ou d'une situation. J'essaie de leur faire comprendre aux autres que je sais que les enfants, ils disent qu'ils jugent. pas, il veut le protéger, mais en même temps, c'est un jugement aussi. J'essayais de leur dire que leur frère aussi doit tracer son propre chemin. En tant que famille, puis moi en tant que mère, parce que le père n'est plus là, c'est de respecter leurs besoins, essayer de leur soutenir. Les écouter, être raisons, s'ils ont besoin de nous, pas de juger. Puis non plus, je ne veux pas non plus que l'enfant se sente isolé. Je ne veux pas non plus qu'il s'éloigne et qu'on dise, bon, si tu parles avec ton ex, je ne te parlerai plus. Puis je ne veux pas non plus l'encermer et je ne peux pas l'encabanner non plus. Si on est là, je pense que notre rôle de masse est d'être capable de les soutenir, puis leur faire comprendre aussi s'il y a quelque chose, on est toujours là pour les aider. Je crois qu'en tant que parent, l'éducation de nos enfants, c'est pour moi ma philosophie. parental, c'est vraiment de respecter leurs différences, encourager leurs forces, puis les guider dans leurs décisions. Et puis je crois que c'est vrai que c'est un défi. C'est un défi de non-jugement, parce que parler de moments où la personne n'est pas identique à nous, n'a pas la même vision que nous. C'est difficile à entendre parce qu'on aimerait que la personne puisse être en accord avec nous. Le défi du non-jugement, c'est l'importance d'avoir la communication qui est honnête, sans imposer, sans forcer. L'autre, en le respectant pour que chaque personne puisse avoir notre propre opinion. C'est sûr que, comme je disais, il y a beaucoup d'exemples. Moi aussi, je racontais aussi à mes enfants que moi aussi, le fait que je vivais à la campagne, je vivais un petit peu éloignée parce que j'étais... un petit peu hors de la norme et avec plusieurs enfants comme ça, les gens me jugeaient parce qu'ils pensent que je n'étais pas heureuse, parce qu'ils pensent qu'en ayant beaucoup d'enfants, que je n'ai pas le temps pour moi et que je ne suis pas heureuse. Mais c'est le contraire. Les gens, au lieu de juger, de regarder l'apparence, c'est vraiment, pour moi, c'est... de s'approcher et de connaître les raisons des gens et essayer de les comprendre et de se mettre dans leur situation. J'ai trouvé une petite citation. Une citation inspirante, c'est d'un auteur anonyme qui dit que lorsque nous jugeons les choix des autres, Nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Un auteur anonyme. Oui, je vais vous redire la citation parce que je trouve qu'elle est vraiment inspirante et ça nous permet de réfléchir. « Good thing, bonne chose, beau baguette. » La citation suivante d'un auteur anonyme. Lorsque nous jugeons les choix des autres, nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Il y a plusieurs livres qui parlent, voyons, que j'ai été voir, qui inspirent, des petits livres. Voyons, il y a plusieurs livres, mais il y en a un récemment que moi, j'ai pu lire, que je n'ai pas terminé de lire encore, mais le début. C'est le livre de Don Miguel Ruiz, R-U-I-Z. C'est le livre de les quatre accords toltèques. Ça aussi, ça serait bien une bonne fois, je pense, ça serait bien de parler, ça serait une autre division que je pourrais vous en parler un petit peu plus en détail, les quatre accords Toltec, je dois m'impliquer de plus en plus, parce que c'est un livre qui explore les principes de la sagesse, donc ne fait pas de suppositions, ne fait pas une affaire personnelle, ça explique vraiment l'idée de respecter. le choix des autres. Dans le livre, il parle de la sagesse qu'on appelle ancestrale, Toltec, qui propose des principes simples mais puissants pour transformer sa vie et ses relations. Les quatre accords, c'est que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole pour expirer. Pour exprimer la vérité et l'amour et non pour critiquer ou juger, vos mots ont un impact tant sur vous-même que sur les autres. Le deuxième, c'est ne prenez rien personnellement. Ce que les autres disent ou font n'est pas toujours en lien avec vous. C'est souvent le reflet de leur propre réalité, leur croyance et leur expérience. Quatrième accord. Voyons, le troisième accord, c'est ne faites aucune supposition. Beaucoup de malentendus proviennent de suppositions. Posez des questions claires et communiquez ouvertement pour éviter des conflits inutiles. Et le quatrième accord, c'est faites toujours de votre mieux. Votre mieux peut varier selon les jours, mais l'essentiel est de donner le meilleur de vous-même à tout moment. On vous parlait de mon histoire avec... avec l'histoire de mon garçon, ça me rappelle à quel point il est important d'offrir un espace de respect et de non-jugement à ceux qu'on aime. Respecter le choix de vie aussi, c'est une leçon de tolérance familiale parce que chaque enfant est différent. Cela ne signifie pas que nous devons approuver tous leurs choix. mais simplement, nous devons les accompagner avec amour et tolérance. Je termine par une autre citation qui dit, « Le véritable amour, c'est de laisser l'autre vivre sa vie, tout en restant là pour l'accompagner. » Moi, c'est ce que je vous souhaite. à réfléchir. Dans quelle situation pourriez-vous être plus tolérant face Ausha d'une personne qui est proche et d'essayer de faire votre mieux ? Nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines, profiter des belles choses. De la vie, good thing, bonne chose, bon bagage. Nous pouvons profiter de vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et je vous le souhaite. Merci de votre écoute.

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  • Speaker #0

    Bonjour ! Respecter les choix de ceux qu'on aime, une leçon d'amour et de tolérance. Bienvenue sur La gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon baguette. J'ai eu des problèmes financiers avec le... par les enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne où nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si nous avons d'argent ou non, c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage avec vous des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, de mes rencontres et des moments de réflexion pour aider chacun d'entre nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Je vais vous parler d'une petite anecdote. une discussion qu'on a eue récemment avec les enfants, le défi du non-jugement. J'ai retrouvé aussi une petite citation aussi inspirante, une suggestion qui pourrait vous aider ou aider quelqu'un autour de vous, et une suggestion aussi de lecture. Aujourd'hui, je vais parler d'un sujet qui me touche beaucoup, de famille. Vous savez que j'ai cinq enfants. Et comment respecter le choix de vie de ceux qu'on aime, même quand on est inquiet ou on est en désaccord ? C'est sûr que moi, avec les cinq enfants, c'est sûr que sont chacun différents. Et c'est de savoir aussi comment s'adapter, s'ajuster aussi. parce que lorsqu'on élevait les enfants, avec le père des enfants, on essayait d'aller voir chacun. On pouvait observer chacun les forces des enfants puis d'essayer de... Ils sont complètement différents, le goût est complètement différent aussi. Et c'était capable de renforcer chacun leur personnalité. Pendant les Fêtes, une situation avec mon fils m'a rappelé l'importance de cette tolérance. C'est sûr que j'en aurais beaucoup à vous raconter parce que j'en ai cinq et ils ont passé à travers toutes les différentes étapes de l'enfance. Mais celui-là, je vais vous parler de récemment. Je vais partager avec vous cette histoire. qui me rappelle vraiment l'importance de cette tolérance. Car je pense que peu importe ce qu'on vit, ça peut peut-être résonner avec nous, et ceux qui ont des parents ou des gens qui sont proches. Il y a quelques mois, mon fils est revenu avec moi après une relation difficile avec sa compagne. Au Québec, on appelle ça sa blonde. Bon, les deux, ils s'entendaient bien au début. Et finalement, le couple a été séparé parce qu'il y a eu beaucoup de conflits ensemble. Je ne sais pas trop. Bon, le non-respect, les problèmes à l'alcool et même des menaces. Pour lui, mon garçon, c'était une période difficile parce qu'il l'aimait beaucoup. Et aussi, il était attaché aussi avec ses enfants, parce qu'elle, elle a des enfants, mais lui, il n'a pas d'enfants. Et c'était une période difficile parce qu'il était très attaché aussi avec les enfants. Mais aussi pour moi, parce que mon garçon, ce n'est pas quelqu'un qui parle. Il n'exprime pas vraiment ses émotions. C'est quelqu'un qui aime beaucoup aider, mais il parle très peu. Habituellement, je suis... Tu peux être une personne qui va vraiment leur donner des ordres ou leur dire, non, tu n'as pas le droit de faire ça. Je leur donne le choix avec les conséquences et pour moi, l'important, c'est leur bonheur. Mais je n'ai pas tendance à beaucoup questionner parce que je préfère qu'ils me disent la vérité que me dire des choses que finalement c'est complètement négatif. Mais j'ai toujours choisi, par exemple, de ne pas trop poser de questions, mais je préférais être présente. Je préfère écouter, écouter et les observer. Essayer de comprendre leur raison, leur choix de vie, qu'est-ce qu'ils veulent, c'est quoi leur bonheur, c'est quoi leur défi. Mon but à moi, c'est toujours d'offrir un espace qui est sécurisant. Et ça leur permet un peu de réfléchir parce que moi, je pose des questions pour que la personne puisse prendre ses propres décisions. C'est la même chose aussi pour mon fils parce que j'étais tellement contente quand il avait rencontré sa compagne. Et lorsqu'on a su toutes ces difficultés qu'il a passées à travers... J'ai décidé que c'était correct d'y retourner à la maison. On vit à la maison avec moi. Je me suis dit que ça va être le temps qui va lui permettre de réfléchir. Ça va être son espace de temps. Et puis, ça a duré quelques mois. Et là, j'ai vu qu'il a commencé à pouvoir sortir. Il est allé rester après chez des amis. qui était proche de son travail. Et pour moi, quand je vois que l'enfant va mieux, pour moi, c'est mon bonheur. Quand l'enfant va mieux, il n'est pas en dépression ou en isolement. Récemment, mon garçon, après plusieurs mois, Plusieurs mois, oui. Il a commencé à passer de plus en plus de temps à l'extérieur. Et puis, à dormir à l'extérieur, je le voyais de moins en moins. Et puis, un jour, il m'a dit qu'il avait recommencé à parler avec sa ancienne compagne, qui était d'abord comme une amie. Oui, il m'a dit qu'il était conscient des problèmes passés, mais il m'a assuré que si la relation devenait toxique, À un certain niveau, il va être capable de se retirer. C'est sûr que j'étais inquiète, mais je voyais qu'il était sincère, il semblait vraiment réfléchir. Il m'a dit que sa copine ne buvait plus, qu'elle avait coupé les ponts avec des influences négatives et qu'elle avait aussi suivi une thérapie. C'est correct, c'était son choix. Et je savais que je ne pouvais pas... pas le contraire, le contraire ou le contraindre, l'empêcher ou l'enfermer, tu sais, complètement l'isoler ou l'empêcher de retourner avec vu que c'était son choix. Parce que moi aussi, oui, je sais que dans un couple, oui, on vit des périodes difficiles. Oui, des fois, ça peut être néfaste. Mon garçon le sait. que oui, ça peut être néfaste de retourner avec elle si ça retourne comme dans le passé. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas. Je peux juste prier pour qu'il puisse prendre des bons choix, mais je ne peux pas vivre à sa place. Je sais que c'est difficile à comprendre, mais... C'est vraiment ça. Mais je n'avais pas osé non plus d'aller la voir ou de la parler. Mais récemment, pendant les fêtes, mon garçon m'a dit qu'elle allait inviter sa compagne, sa blonde, avec ses enfants. Et puis, oui, au début, j'étais un petit peu surprise, réticente. Je me demandais comment j'allais... J'allais l'accueillir, qu'est-ce que je dois dire, moi aussi. J'étais blessée par tout ce que j'avais entendu, mais en même temps, je préfère voir mon garçon dans le milieu qu'il est et d'être capable de suivre mon garçon. Pour moi, oui, j'ai accepté. Et puis, oui, je ne regrette pas parce que lors de la fête, c'est sûr qu'il y a eu beaucoup d'enfants, la musique et tout ça. Mais on a eu la chance un petit peu de parler. Elle m'a parlé de ses progrès, ses difficultés qu'elle avait surmontées, ses thérapies qu'elle a dû faire et ses efforts pour créer une vie qui est plus stable. J'étais attentive, oui. Je l'observais. Puis j'observais aussi l'interaction qu'il y avait entre eux. et avec les enfants aussi. Et à ce moment-là, j'ai choisi de garder un esprit ouvert. Après tout, l'important pour moi, c'est d'aider de voir mon garçon s'épanouir. Même si je ne pouvais pas juger la relation, ni le avant, ni le après, mais pour moi, ce n'est pas juste... dans une journée de fête que je peux juger cette situation. Oui, elle était... Voyons, sa copine, elle m'a aidée. Bon, comme avant, c'est une femme qui aime beaucoup aider également, comme mon garçon. Elle m'a aidée à faire à manger. Elle a participé beaucoup. beaucoup avec moi, c'est pour ça qu'on a eu beaucoup d'échanges. Et mon garçon aussi, c'était beau à voir. C'était beau à voir parce que moi, j'ai pu voir l'entraide qu'il y avait. J'ai pu sentir que mon garçon était bien. Je n'ai pas senti de conflit de mon côté à moi. Mais c'est sûr qu'après leur départ... On a eu une discussion familiale parce que les autres enfants se sont exprimés leur opposition à cette relation. C'est sûr que nous, avec les enfants, les frères et sœurs et moi aussi, on se dit des vraies choses. C'est sûr que parfois, quand vous venez dans la famille, on ne se cache pas des choses. On se dit des fois les vraies choses. Des fois, ça blesse directement, mais on essaye à... On essaye. Écoutez ! Et essayer de trouver des trucs pour aider. Mais cette fois-ci, lorsque mon autre garçon est parti avec sa blonde et ses enfants, les autres se sont mis à parler de la discussion familiale. Ils étaient convaincus que ça allait finir mal et ils ne comprenaient pas pourquoi qu'ils retournaient dans cette relation. On devrait l'éloigner de cette relation toxique. On devrait bannir. On devrait le sortir de là de force. Mais je leur disais, mais qui qu'on est, on ne peut pas juger. On ne peut pas juger les autres. On ne peut pas vivre la situation pour l'autre personne. J'essayais de leur expliquer l'exemple, par exemple, de ne pas juger aussi vite. L'important, c'est de parler avec la personne, c'est de garder contact avec la personne, de suivre l'évolution. j'ai donné l'exemple de Lady Diana ceux qui ne connaissent pas Lady Diana qui était mariée avec le prince Charles d'Angleterre Pour nous, je me rappelle encore la première fois qu'on l'a vue à la télévision. Et on a vu comment elle était belle. Elle semblait gentille. Elle était souriante. On rêvait qu'elle soit notre reine, notre future reine d'Angleterre. Tout de l'extérieur semblait parfait. Mais lorsqu'elle nous raconte... son histoire de vie et qu'elle a dû se séparer, se divorcer, malgré toutes les contraintes. Lady Diana, elle disait qu'à l'intérieur, c'était comme une prison dorée. Elle n'était pas heureuse. Dans le fond, ce que nous voyons de l'extérieur ne révèle pas toute la vérité d'une relation ou d'une situation. J'essaie de leur faire comprendre aux autres que je sais que les enfants, ils disent qu'ils jugent. pas, il veut le protéger, mais en même temps, c'est un jugement aussi. J'essayais de leur dire que leur frère aussi doit tracer son propre chemin. En tant que famille, puis moi en tant que mère, parce que le père n'est plus là, c'est de respecter leurs besoins, essayer de leur soutenir. Les écouter, être raisons, s'ils ont besoin de nous, pas de juger. Puis non plus, je ne veux pas non plus que l'enfant se sente isolé. Je ne veux pas non plus qu'il s'éloigne et qu'on dise, bon, si tu parles avec ton ex, je ne te parlerai plus. Puis je ne veux pas non plus l'encermer et je ne peux pas l'encabanner non plus. Si on est là, je pense que notre rôle de masse est d'être capable de les soutenir, puis leur faire comprendre aussi s'il y a quelque chose, on est toujours là pour les aider. Je crois qu'en tant que parent, l'éducation de nos enfants, c'est pour moi ma philosophie. parental, c'est vraiment de respecter leurs différences, encourager leurs forces, puis les guider dans leurs décisions. Et puis je crois que c'est vrai que c'est un défi. C'est un défi de non-jugement, parce que parler de moments où la personne n'est pas identique à nous, n'a pas la même vision que nous. C'est difficile à entendre parce qu'on aimerait que la personne puisse être en accord avec nous. Le défi du non-jugement, c'est l'importance d'avoir la communication qui est honnête, sans imposer, sans forcer. L'autre, en le respectant pour que chaque personne puisse avoir notre propre opinion. C'est sûr que, comme je disais, il y a beaucoup d'exemples. Moi aussi, je racontais aussi à mes enfants que moi aussi, le fait que je vivais à la campagne, je vivais un petit peu éloignée parce que j'étais... un petit peu hors de la norme et avec plusieurs enfants comme ça, les gens me jugeaient parce qu'ils pensent que je n'étais pas heureuse, parce qu'ils pensent qu'en ayant beaucoup d'enfants, que je n'ai pas le temps pour moi et que je ne suis pas heureuse. Mais c'est le contraire. Les gens, au lieu de juger, de regarder l'apparence, c'est vraiment, pour moi, c'est... de s'approcher et de connaître les raisons des gens et essayer de les comprendre et de se mettre dans leur situation. J'ai trouvé une petite citation. Une citation inspirante, c'est d'un auteur anonyme qui dit que lorsque nous jugeons les choix des autres, Nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Un auteur anonyme. Oui, je vais vous redire la citation parce que je trouve qu'elle est vraiment inspirante et ça nous permet de réfléchir. « Good thing, bonne chose, beau baguette. » La citation suivante d'un auteur anonyme. Lorsque nous jugeons les choix des autres, nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Il y a plusieurs livres qui parlent, voyons, que j'ai été voir, qui inspirent, des petits livres. Voyons, il y a plusieurs livres, mais il y en a un récemment que moi, j'ai pu lire, que je n'ai pas terminé de lire encore, mais le début. C'est le livre de Don Miguel Ruiz, R-U-I-Z. C'est le livre de les quatre accords toltèques. Ça aussi, ça serait bien une bonne fois, je pense, ça serait bien de parler, ça serait une autre division que je pourrais vous en parler un petit peu plus en détail, les quatre accords Toltec, je dois m'impliquer de plus en plus, parce que c'est un livre qui explore les principes de la sagesse, donc ne fait pas de suppositions, ne fait pas une affaire personnelle, ça explique vraiment l'idée de respecter. le choix des autres. Dans le livre, il parle de la sagesse qu'on appelle ancestrale, Toltec, qui propose des principes simples mais puissants pour transformer sa vie et ses relations. Les quatre accords, c'est que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole pour expirer. Pour exprimer la vérité et l'amour et non pour critiquer ou juger, vos mots ont un impact tant sur vous-même que sur les autres. Le deuxième, c'est ne prenez rien personnellement. Ce que les autres disent ou font n'est pas toujours en lien avec vous. C'est souvent le reflet de leur propre réalité, leur croyance et leur expérience. Quatrième accord. Voyons, le troisième accord, c'est ne faites aucune supposition. Beaucoup de malentendus proviennent de suppositions. Posez des questions claires et communiquez ouvertement pour éviter des conflits inutiles. Et le quatrième accord, c'est faites toujours de votre mieux. Votre mieux peut varier selon les jours, mais l'essentiel est de donner le meilleur de vous-même à tout moment. On vous parlait de mon histoire avec... avec l'histoire de mon garçon, ça me rappelle à quel point il est important d'offrir un espace de respect et de non-jugement à ceux qu'on aime. Respecter le choix de vie aussi, c'est une leçon de tolérance familiale parce que chaque enfant est différent. Cela ne signifie pas que nous devons approuver tous leurs choix. mais simplement, nous devons les accompagner avec amour et tolérance. Je termine par une autre citation qui dit, « Le véritable amour, c'est de laisser l'autre vivre sa vie, tout en restant là pour l'accompagner. » Moi, c'est ce que je vous souhaite. à réfléchir. Dans quelle situation pourriez-vous être plus tolérant face Ausha d'une personne qui est proche et d'essayer de faire votre mieux ? Nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines, profiter des belles choses. De la vie, good thing, bonne chose, bon bagage. Nous pouvons profiter de vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et je vous le souhaite. Merci de votre écoute.

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  • Speaker #0

    Bonjour ! Respecter les choix de ceux qu'on aime, une leçon d'amour et de tolérance. Bienvenue sur La gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon baguette. J'ai eu des problèmes financiers avec le... par les enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne où nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si nous avons d'argent ou non, c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage avec vous des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, de mes rencontres et des moments de réflexion pour aider chacun d'entre nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Je vais vous parler d'une petite anecdote. une discussion qu'on a eue récemment avec les enfants, le défi du non-jugement. J'ai retrouvé aussi une petite citation aussi inspirante, une suggestion qui pourrait vous aider ou aider quelqu'un autour de vous, et une suggestion aussi de lecture. Aujourd'hui, je vais parler d'un sujet qui me touche beaucoup, de famille. Vous savez que j'ai cinq enfants. Et comment respecter le choix de vie de ceux qu'on aime, même quand on est inquiet ou on est en désaccord ? C'est sûr que moi, avec les cinq enfants, c'est sûr que sont chacun différents. Et c'est de savoir aussi comment s'adapter, s'ajuster aussi. parce que lorsqu'on élevait les enfants, avec le père des enfants, on essayait d'aller voir chacun. On pouvait observer chacun les forces des enfants puis d'essayer de... Ils sont complètement différents, le goût est complètement différent aussi. Et c'était capable de renforcer chacun leur personnalité. Pendant les Fêtes, une situation avec mon fils m'a rappelé l'importance de cette tolérance. C'est sûr que j'en aurais beaucoup à vous raconter parce que j'en ai cinq et ils ont passé à travers toutes les différentes étapes de l'enfance. Mais celui-là, je vais vous parler de récemment. Je vais partager avec vous cette histoire. qui me rappelle vraiment l'importance de cette tolérance. Car je pense que peu importe ce qu'on vit, ça peut peut-être résonner avec nous, et ceux qui ont des parents ou des gens qui sont proches. Il y a quelques mois, mon fils est revenu avec moi après une relation difficile avec sa compagne. Au Québec, on appelle ça sa blonde. Bon, les deux, ils s'entendaient bien au début. Et finalement, le couple a été séparé parce qu'il y a eu beaucoup de conflits ensemble. Je ne sais pas trop. Bon, le non-respect, les problèmes à l'alcool et même des menaces. Pour lui, mon garçon, c'était une période difficile parce qu'il l'aimait beaucoup. Et aussi, il était attaché aussi avec ses enfants, parce qu'elle, elle a des enfants, mais lui, il n'a pas d'enfants. Et c'était une période difficile parce qu'il était très attaché aussi avec les enfants. Mais aussi pour moi, parce que mon garçon, ce n'est pas quelqu'un qui parle. Il n'exprime pas vraiment ses émotions. C'est quelqu'un qui aime beaucoup aider, mais il parle très peu. Habituellement, je suis... Tu peux être une personne qui va vraiment leur donner des ordres ou leur dire, non, tu n'as pas le droit de faire ça. Je leur donne le choix avec les conséquences et pour moi, l'important, c'est leur bonheur. Mais je n'ai pas tendance à beaucoup questionner parce que je préfère qu'ils me disent la vérité que me dire des choses que finalement c'est complètement négatif. Mais j'ai toujours choisi, par exemple, de ne pas trop poser de questions, mais je préférais être présente. Je préfère écouter, écouter et les observer. Essayer de comprendre leur raison, leur choix de vie, qu'est-ce qu'ils veulent, c'est quoi leur bonheur, c'est quoi leur défi. Mon but à moi, c'est toujours d'offrir un espace qui est sécurisant. Et ça leur permet un peu de réfléchir parce que moi, je pose des questions pour que la personne puisse prendre ses propres décisions. C'est la même chose aussi pour mon fils parce que j'étais tellement contente quand il avait rencontré sa compagne. Et lorsqu'on a su toutes ces difficultés qu'il a passées à travers... J'ai décidé que c'était correct d'y retourner à la maison. On vit à la maison avec moi. Je me suis dit que ça va être le temps qui va lui permettre de réfléchir. Ça va être son espace de temps. Et puis, ça a duré quelques mois. Et là, j'ai vu qu'il a commencé à pouvoir sortir. Il est allé rester après chez des amis. qui était proche de son travail. Et pour moi, quand je vois que l'enfant va mieux, pour moi, c'est mon bonheur. Quand l'enfant va mieux, il n'est pas en dépression ou en isolement. Récemment, mon garçon, après plusieurs mois, Plusieurs mois, oui. Il a commencé à passer de plus en plus de temps à l'extérieur. Et puis, à dormir à l'extérieur, je le voyais de moins en moins. Et puis, un jour, il m'a dit qu'il avait recommencé à parler avec sa ancienne compagne, qui était d'abord comme une amie. Oui, il m'a dit qu'il était conscient des problèmes passés, mais il m'a assuré que si la relation devenait toxique, À un certain niveau, il va être capable de se retirer. C'est sûr que j'étais inquiète, mais je voyais qu'il était sincère, il semblait vraiment réfléchir. Il m'a dit que sa copine ne buvait plus, qu'elle avait coupé les ponts avec des influences négatives et qu'elle avait aussi suivi une thérapie. C'est correct, c'était son choix. Et je savais que je ne pouvais pas... pas le contraire, le contraire ou le contraindre, l'empêcher ou l'enfermer, tu sais, complètement l'isoler ou l'empêcher de retourner avec vu que c'était son choix. Parce que moi aussi, oui, je sais que dans un couple, oui, on vit des périodes difficiles. Oui, des fois, ça peut être néfaste. Mon garçon le sait. que oui, ça peut être néfaste de retourner avec elle si ça retourne comme dans le passé. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas. Je peux juste prier pour qu'il puisse prendre des bons choix, mais je ne peux pas vivre à sa place. Je sais que c'est difficile à comprendre, mais... C'est vraiment ça. Mais je n'avais pas osé non plus d'aller la voir ou de la parler. Mais récemment, pendant les fêtes, mon garçon m'a dit qu'elle allait inviter sa compagne, sa blonde, avec ses enfants. Et puis, oui, au début, j'étais un petit peu surprise, réticente. Je me demandais comment j'allais... J'allais l'accueillir, qu'est-ce que je dois dire, moi aussi. J'étais blessée par tout ce que j'avais entendu, mais en même temps, je préfère voir mon garçon dans le milieu qu'il est et d'être capable de suivre mon garçon. Pour moi, oui, j'ai accepté. Et puis, oui, je ne regrette pas parce que lors de la fête, c'est sûr qu'il y a eu beaucoup d'enfants, la musique et tout ça. Mais on a eu la chance un petit peu de parler. Elle m'a parlé de ses progrès, ses difficultés qu'elle avait surmontées, ses thérapies qu'elle a dû faire et ses efforts pour créer une vie qui est plus stable. J'étais attentive, oui. Je l'observais. Puis j'observais aussi l'interaction qu'il y avait entre eux. et avec les enfants aussi. Et à ce moment-là, j'ai choisi de garder un esprit ouvert. Après tout, l'important pour moi, c'est d'aider de voir mon garçon s'épanouir. Même si je ne pouvais pas juger la relation, ni le avant, ni le après, mais pour moi, ce n'est pas juste... dans une journée de fête que je peux juger cette situation. Oui, elle était... Voyons, sa copine, elle m'a aidée. Bon, comme avant, c'est une femme qui aime beaucoup aider également, comme mon garçon. Elle m'a aidée à faire à manger. Elle a participé beaucoup. beaucoup avec moi, c'est pour ça qu'on a eu beaucoup d'échanges. Et mon garçon aussi, c'était beau à voir. C'était beau à voir parce que moi, j'ai pu voir l'entraide qu'il y avait. J'ai pu sentir que mon garçon était bien. Je n'ai pas senti de conflit de mon côté à moi. Mais c'est sûr qu'après leur départ... On a eu une discussion familiale parce que les autres enfants se sont exprimés leur opposition à cette relation. C'est sûr que nous, avec les enfants, les frères et sœurs et moi aussi, on se dit des vraies choses. C'est sûr que parfois, quand vous venez dans la famille, on ne se cache pas des choses. On se dit des fois les vraies choses. Des fois, ça blesse directement, mais on essaye à... On essaye. Écoutez ! Et essayer de trouver des trucs pour aider. Mais cette fois-ci, lorsque mon autre garçon est parti avec sa blonde et ses enfants, les autres se sont mis à parler de la discussion familiale. Ils étaient convaincus que ça allait finir mal et ils ne comprenaient pas pourquoi qu'ils retournaient dans cette relation. On devrait l'éloigner de cette relation toxique. On devrait bannir. On devrait le sortir de là de force. Mais je leur disais, mais qui qu'on est, on ne peut pas juger. On ne peut pas juger les autres. On ne peut pas vivre la situation pour l'autre personne. J'essayais de leur expliquer l'exemple, par exemple, de ne pas juger aussi vite. L'important, c'est de parler avec la personne, c'est de garder contact avec la personne, de suivre l'évolution. j'ai donné l'exemple de Lady Diana ceux qui ne connaissent pas Lady Diana qui était mariée avec le prince Charles d'Angleterre Pour nous, je me rappelle encore la première fois qu'on l'a vue à la télévision. Et on a vu comment elle était belle. Elle semblait gentille. Elle était souriante. On rêvait qu'elle soit notre reine, notre future reine d'Angleterre. Tout de l'extérieur semblait parfait. Mais lorsqu'elle nous raconte... son histoire de vie et qu'elle a dû se séparer, se divorcer, malgré toutes les contraintes. Lady Diana, elle disait qu'à l'intérieur, c'était comme une prison dorée. Elle n'était pas heureuse. Dans le fond, ce que nous voyons de l'extérieur ne révèle pas toute la vérité d'une relation ou d'une situation. J'essaie de leur faire comprendre aux autres que je sais que les enfants, ils disent qu'ils jugent. pas, il veut le protéger, mais en même temps, c'est un jugement aussi. J'essayais de leur dire que leur frère aussi doit tracer son propre chemin. En tant que famille, puis moi en tant que mère, parce que le père n'est plus là, c'est de respecter leurs besoins, essayer de leur soutenir. Les écouter, être raisons, s'ils ont besoin de nous, pas de juger. Puis non plus, je ne veux pas non plus que l'enfant se sente isolé. Je ne veux pas non plus qu'il s'éloigne et qu'on dise, bon, si tu parles avec ton ex, je ne te parlerai plus. Puis je ne veux pas non plus l'encermer et je ne peux pas l'encabanner non plus. Si on est là, je pense que notre rôle de masse est d'être capable de les soutenir, puis leur faire comprendre aussi s'il y a quelque chose, on est toujours là pour les aider. Je crois qu'en tant que parent, l'éducation de nos enfants, c'est pour moi ma philosophie. parental, c'est vraiment de respecter leurs différences, encourager leurs forces, puis les guider dans leurs décisions. Et puis je crois que c'est vrai que c'est un défi. C'est un défi de non-jugement, parce que parler de moments où la personne n'est pas identique à nous, n'a pas la même vision que nous. C'est difficile à entendre parce qu'on aimerait que la personne puisse être en accord avec nous. Le défi du non-jugement, c'est l'importance d'avoir la communication qui est honnête, sans imposer, sans forcer. L'autre, en le respectant pour que chaque personne puisse avoir notre propre opinion. C'est sûr que, comme je disais, il y a beaucoup d'exemples. Moi aussi, je racontais aussi à mes enfants que moi aussi, le fait que je vivais à la campagne, je vivais un petit peu éloignée parce que j'étais... un petit peu hors de la norme et avec plusieurs enfants comme ça, les gens me jugeaient parce qu'ils pensent que je n'étais pas heureuse, parce qu'ils pensent qu'en ayant beaucoup d'enfants, que je n'ai pas le temps pour moi et que je ne suis pas heureuse. Mais c'est le contraire. Les gens, au lieu de juger, de regarder l'apparence, c'est vraiment, pour moi, c'est... de s'approcher et de connaître les raisons des gens et essayer de les comprendre et de se mettre dans leur situation. J'ai trouvé une petite citation. Une citation inspirante, c'est d'un auteur anonyme qui dit que lorsque nous jugeons les choix des autres, Nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Un auteur anonyme. Oui, je vais vous redire la citation parce que je trouve qu'elle est vraiment inspirante et ça nous permet de réfléchir. « Good thing, bonne chose, beau baguette. » La citation suivante d'un auteur anonyme. Lorsque nous jugeons les choix des autres, nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Il y a plusieurs livres qui parlent, voyons, que j'ai été voir, qui inspirent, des petits livres. Voyons, il y a plusieurs livres, mais il y en a un récemment que moi, j'ai pu lire, que je n'ai pas terminé de lire encore, mais le début. C'est le livre de Don Miguel Ruiz, R-U-I-Z. C'est le livre de les quatre accords toltèques. Ça aussi, ça serait bien une bonne fois, je pense, ça serait bien de parler, ça serait une autre division que je pourrais vous en parler un petit peu plus en détail, les quatre accords Toltec, je dois m'impliquer de plus en plus, parce que c'est un livre qui explore les principes de la sagesse, donc ne fait pas de suppositions, ne fait pas une affaire personnelle, ça explique vraiment l'idée de respecter. le choix des autres. Dans le livre, il parle de la sagesse qu'on appelle ancestrale, Toltec, qui propose des principes simples mais puissants pour transformer sa vie et ses relations. Les quatre accords, c'est que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole pour expirer. Pour exprimer la vérité et l'amour et non pour critiquer ou juger, vos mots ont un impact tant sur vous-même que sur les autres. Le deuxième, c'est ne prenez rien personnellement. Ce que les autres disent ou font n'est pas toujours en lien avec vous. C'est souvent le reflet de leur propre réalité, leur croyance et leur expérience. Quatrième accord. Voyons, le troisième accord, c'est ne faites aucune supposition. Beaucoup de malentendus proviennent de suppositions. Posez des questions claires et communiquez ouvertement pour éviter des conflits inutiles. Et le quatrième accord, c'est faites toujours de votre mieux. Votre mieux peut varier selon les jours, mais l'essentiel est de donner le meilleur de vous-même à tout moment. On vous parlait de mon histoire avec... avec l'histoire de mon garçon, ça me rappelle à quel point il est important d'offrir un espace de respect et de non-jugement à ceux qu'on aime. Respecter le choix de vie aussi, c'est une leçon de tolérance familiale parce que chaque enfant est différent. Cela ne signifie pas que nous devons approuver tous leurs choix. mais simplement, nous devons les accompagner avec amour et tolérance. Je termine par une autre citation qui dit, « Le véritable amour, c'est de laisser l'autre vivre sa vie, tout en restant là pour l'accompagner. » Moi, c'est ce que je vous souhaite. à réfléchir. Dans quelle situation pourriez-vous être plus tolérant face Ausha d'une personne qui est proche et d'essayer de faire votre mieux ? Nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines, profiter des belles choses. De la vie, good thing, bonne chose, bon bagage. Nous pouvons profiter de vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et je vous le souhaite. Merci de votre écoute.

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    Bonjour ! Respecter les choix de ceux qu'on aime, une leçon d'amour et de tolérance. Bienvenue sur La gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon baguette. J'ai eu des problèmes financiers avec le... par les enfants. Nous avons élevé les enfants à la campagne où nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si nous avons d'argent ou non, c'est possible de passer à travers les épreuves. Je partage avec vous des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, de mes rencontres et des moments de réflexion pour aider chacun d'entre nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing, bonne chose, bon baguette. Je vais vous parler d'une petite anecdote. une discussion qu'on a eue récemment avec les enfants, le défi du non-jugement. J'ai retrouvé aussi une petite citation aussi inspirante, une suggestion qui pourrait vous aider ou aider quelqu'un autour de vous, et une suggestion aussi de lecture. Aujourd'hui, je vais parler d'un sujet qui me touche beaucoup, de famille. Vous savez que j'ai cinq enfants. Et comment respecter le choix de vie de ceux qu'on aime, même quand on est inquiet ou on est en désaccord ? C'est sûr que moi, avec les cinq enfants, c'est sûr que sont chacun différents. Et c'est de savoir aussi comment s'adapter, s'ajuster aussi. parce que lorsqu'on élevait les enfants, avec le père des enfants, on essayait d'aller voir chacun. On pouvait observer chacun les forces des enfants puis d'essayer de... Ils sont complètement différents, le goût est complètement différent aussi. Et c'était capable de renforcer chacun leur personnalité. Pendant les Fêtes, une situation avec mon fils m'a rappelé l'importance de cette tolérance. C'est sûr que j'en aurais beaucoup à vous raconter parce que j'en ai cinq et ils ont passé à travers toutes les différentes étapes de l'enfance. Mais celui-là, je vais vous parler de récemment. Je vais partager avec vous cette histoire. qui me rappelle vraiment l'importance de cette tolérance. Car je pense que peu importe ce qu'on vit, ça peut peut-être résonner avec nous, et ceux qui ont des parents ou des gens qui sont proches. Il y a quelques mois, mon fils est revenu avec moi après une relation difficile avec sa compagne. Au Québec, on appelle ça sa blonde. Bon, les deux, ils s'entendaient bien au début. Et finalement, le couple a été séparé parce qu'il y a eu beaucoup de conflits ensemble. Je ne sais pas trop. Bon, le non-respect, les problèmes à l'alcool et même des menaces. Pour lui, mon garçon, c'était une période difficile parce qu'il l'aimait beaucoup. Et aussi, il était attaché aussi avec ses enfants, parce qu'elle, elle a des enfants, mais lui, il n'a pas d'enfants. Et c'était une période difficile parce qu'il était très attaché aussi avec les enfants. Mais aussi pour moi, parce que mon garçon, ce n'est pas quelqu'un qui parle. Il n'exprime pas vraiment ses émotions. C'est quelqu'un qui aime beaucoup aider, mais il parle très peu. Habituellement, je suis... Tu peux être une personne qui va vraiment leur donner des ordres ou leur dire, non, tu n'as pas le droit de faire ça. Je leur donne le choix avec les conséquences et pour moi, l'important, c'est leur bonheur. Mais je n'ai pas tendance à beaucoup questionner parce que je préfère qu'ils me disent la vérité que me dire des choses que finalement c'est complètement négatif. Mais j'ai toujours choisi, par exemple, de ne pas trop poser de questions, mais je préférais être présente. Je préfère écouter, écouter et les observer. Essayer de comprendre leur raison, leur choix de vie, qu'est-ce qu'ils veulent, c'est quoi leur bonheur, c'est quoi leur défi. Mon but à moi, c'est toujours d'offrir un espace qui est sécurisant. Et ça leur permet un peu de réfléchir parce que moi, je pose des questions pour que la personne puisse prendre ses propres décisions. C'est la même chose aussi pour mon fils parce que j'étais tellement contente quand il avait rencontré sa compagne. Et lorsqu'on a su toutes ces difficultés qu'il a passées à travers... J'ai décidé que c'était correct d'y retourner à la maison. On vit à la maison avec moi. Je me suis dit que ça va être le temps qui va lui permettre de réfléchir. Ça va être son espace de temps. Et puis, ça a duré quelques mois. Et là, j'ai vu qu'il a commencé à pouvoir sortir. Il est allé rester après chez des amis. qui était proche de son travail. Et pour moi, quand je vois que l'enfant va mieux, pour moi, c'est mon bonheur. Quand l'enfant va mieux, il n'est pas en dépression ou en isolement. Récemment, mon garçon, après plusieurs mois, Plusieurs mois, oui. Il a commencé à passer de plus en plus de temps à l'extérieur. Et puis, à dormir à l'extérieur, je le voyais de moins en moins. Et puis, un jour, il m'a dit qu'il avait recommencé à parler avec sa ancienne compagne, qui était d'abord comme une amie. Oui, il m'a dit qu'il était conscient des problèmes passés, mais il m'a assuré que si la relation devenait toxique, À un certain niveau, il va être capable de se retirer. C'est sûr que j'étais inquiète, mais je voyais qu'il était sincère, il semblait vraiment réfléchir. Il m'a dit que sa copine ne buvait plus, qu'elle avait coupé les ponts avec des influences négatives et qu'elle avait aussi suivi une thérapie. C'est correct, c'était son choix. Et je savais que je ne pouvais pas... pas le contraire, le contraire ou le contraindre, l'empêcher ou l'enfermer, tu sais, complètement l'isoler ou l'empêcher de retourner avec vu que c'était son choix. Parce que moi aussi, oui, je sais que dans un couple, oui, on vit des périodes difficiles. Oui, des fois, ça peut être néfaste. Mon garçon le sait. que oui, ça peut être néfaste de retourner avec elle si ça retourne comme dans le passé. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas. Je peux juste prier pour qu'il puisse prendre des bons choix, mais je ne peux pas vivre à sa place. Je sais que c'est difficile à comprendre, mais... C'est vraiment ça. Mais je n'avais pas osé non plus d'aller la voir ou de la parler. Mais récemment, pendant les fêtes, mon garçon m'a dit qu'elle allait inviter sa compagne, sa blonde, avec ses enfants. Et puis, oui, au début, j'étais un petit peu surprise, réticente. Je me demandais comment j'allais... J'allais l'accueillir, qu'est-ce que je dois dire, moi aussi. J'étais blessée par tout ce que j'avais entendu, mais en même temps, je préfère voir mon garçon dans le milieu qu'il est et d'être capable de suivre mon garçon. Pour moi, oui, j'ai accepté. Et puis, oui, je ne regrette pas parce que lors de la fête, c'est sûr qu'il y a eu beaucoup d'enfants, la musique et tout ça. Mais on a eu la chance un petit peu de parler. Elle m'a parlé de ses progrès, ses difficultés qu'elle avait surmontées, ses thérapies qu'elle a dû faire et ses efforts pour créer une vie qui est plus stable. J'étais attentive, oui. Je l'observais. Puis j'observais aussi l'interaction qu'il y avait entre eux. et avec les enfants aussi. Et à ce moment-là, j'ai choisi de garder un esprit ouvert. Après tout, l'important pour moi, c'est d'aider de voir mon garçon s'épanouir. Même si je ne pouvais pas juger la relation, ni le avant, ni le après, mais pour moi, ce n'est pas juste... dans une journée de fête que je peux juger cette situation. Oui, elle était... Voyons, sa copine, elle m'a aidée. Bon, comme avant, c'est une femme qui aime beaucoup aider également, comme mon garçon. Elle m'a aidée à faire à manger. Elle a participé beaucoup. beaucoup avec moi, c'est pour ça qu'on a eu beaucoup d'échanges. Et mon garçon aussi, c'était beau à voir. C'était beau à voir parce que moi, j'ai pu voir l'entraide qu'il y avait. J'ai pu sentir que mon garçon était bien. Je n'ai pas senti de conflit de mon côté à moi. Mais c'est sûr qu'après leur départ... On a eu une discussion familiale parce que les autres enfants se sont exprimés leur opposition à cette relation. C'est sûr que nous, avec les enfants, les frères et sœurs et moi aussi, on se dit des vraies choses. C'est sûr que parfois, quand vous venez dans la famille, on ne se cache pas des choses. On se dit des fois les vraies choses. Des fois, ça blesse directement, mais on essaye à... On essaye. Écoutez ! Et essayer de trouver des trucs pour aider. Mais cette fois-ci, lorsque mon autre garçon est parti avec sa blonde et ses enfants, les autres se sont mis à parler de la discussion familiale. Ils étaient convaincus que ça allait finir mal et ils ne comprenaient pas pourquoi qu'ils retournaient dans cette relation. On devrait l'éloigner de cette relation toxique. On devrait bannir. On devrait le sortir de là de force. Mais je leur disais, mais qui qu'on est, on ne peut pas juger. On ne peut pas juger les autres. On ne peut pas vivre la situation pour l'autre personne. J'essayais de leur expliquer l'exemple, par exemple, de ne pas juger aussi vite. L'important, c'est de parler avec la personne, c'est de garder contact avec la personne, de suivre l'évolution. j'ai donné l'exemple de Lady Diana ceux qui ne connaissent pas Lady Diana qui était mariée avec le prince Charles d'Angleterre Pour nous, je me rappelle encore la première fois qu'on l'a vue à la télévision. Et on a vu comment elle était belle. Elle semblait gentille. Elle était souriante. On rêvait qu'elle soit notre reine, notre future reine d'Angleterre. Tout de l'extérieur semblait parfait. Mais lorsqu'elle nous raconte... son histoire de vie et qu'elle a dû se séparer, se divorcer, malgré toutes les contraintes. Lady Diana, elle disait qu'à l'intérieur, c'était comme une prison dorée. Elle n'était pas heureuse. Dans le fond, ce que nous voyons de l'extérieur ne révèle pas toute la vérité d'une relation ou d'une situation. J'essaie de leur faire comprendre aux autres que je sais que les enfants, ils disent qu'ils jugent. pas, il veut le protéger, mais en même temps, c'est un jugement aussi. J'essayais de leur dire que leur frère aussi doit tracer son propre chemin. En tant que famille, puis moi en tant que mère, parce que le père n'est plus là, c'est de respecter leurs besoins, essayer de leur soutenir. Les écouter, être raisons, s'ils ont besoin de nous, pas de juger. Puis non plus, je ne veux pas non plus que l'enfant se sente isolé. Je ne veux pas non plus qu'il s'éloigne et qu'on dise, bon, si tu parles avec ton ex, je ne te parlerai plus. Puis je ne veux pas non plus l'encermer et je ne peux pas l'encabanner non plus. Si on est là, je pense que notre rôle de masse est d'être capable de les soutenir, puis leur faire comprendre aussi s'il y a quelque chose, on est toujours là pour les aider. Je crois qu'en tant que parent, l'éducation de nos enfants, c'est pour moi ma philosophie. parental, c'est vraiment de respecter leurs différences, encourager leurs forces, puis les guider dans leurs décisions. Et puis je crois que c'est vrai que c'est un défi. C'est un défi de non-jugement, parce que parler de moments où la personne n'est pas identique à nous, n'a pas la même vision que nous. C'est difficile à entendre parce qu'on aimerait que la personne puisse être en accord avec nous. Le défi du non-jugement, c'est l'importance d'avoir la communication qui est honnête, sans imposer, sans forcer. L'autre, en le respectant pour que chaque personne puisse avoir notre propre opinion. C'est sûr que, comme je disais, il y a beaucoup d'exemples. Moi aussi, je racontais aussi à mes enfants que moi aussi, le fait que je vivais à la campagne, je vivais un petit peu éloignée parce que j'étais... un petit peu hors de la norme et avec plusieurs enfants comme ça, les gens me jugeaient parce qu'ils pensent que je n'étais pas heureuse, parce qu'ils pensent qu'en ayant beaucoup d'enfants, que je n'ai pas le temps pour moi et que je ne suis pas heureuse. Mais c'est le contraire. Les gens, au lieu de juger, de regarder l'apparence, c'est vraiment, pour moi, c'est... de s'approcher et de connaître les raisons des gens et essayer de les comprendre et de se mettre dans leur situation. J'ai trouvé une petite citation. Une citation inspirante, c'est d'un auteur anonyme qui dit que lorsque nous jugeons les choix des autres, Nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Un auteur anonyme. Oui, je vais vous redire la citation parce que je trouve qu'elle est vraiment inspirante et ça nous permet de réfléchir. « Good thing, bonne chose, beau baguette. » La citation suivante d'un auteur anonyme. Lorsque nous jugeons les choix des autres, nous oublions souvent qu'ils suivent un chemin que nous ne connaissons pas. Le respect est la clé de toute relation humaine. Il y a plusieurs livres qui parlent, voyons, que j'ai été voir, qui inspirent, des petits livres. Voyons, il y a plusieurs livres, mais il y en a un récemment que moi, j'ai pu lire, que je n'ai pas terminé de lire encore, mais le début. C'est le livre de Don Miguel Ruiz, R-U-I-Z. C'est le livre de les quatre accords toltèques. Ça aussi, ça serait bien une bonne fois, je pense, ça serait bien de parler, ça serait une autre division que je pourrais vous en parler un petit peu plus en détail, les quatre accords Toltec, je dois m'impliquer de plus en plus, parce que c'est un livre qui explore les principes de la sagesse, donc ne fait pas de suppositions, ne fait pas une affaire personnelle, ça explique vraiment l'idée de respecter. le choix des autres. Dans le livre, il parle de la sagesse qu'on appelle ancestrale, Toltec, qui propose des principes simples mais puissants pour transformer sa vie et ses relations. Les quatre accords, c'est que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole pour expirer. Pour exprimer la vérité et l'amour et non pour critiquer ou juger, vos mots ont un impact tant sur vous-même que sur les autres. Le deuxième, c'est ne prenez rien personnellement. Ce que les autres disent ou font n'est pas toujours en lien avec vous. C'est souvent le reflet de leur propre réalité, leur croyance et leur expérience. Quatrième accord. Voyons, le troisième accord, c'est ne faites aucune supposition. Beaucoup de malentendus proviennent de suppositions. Posez des questions claires et communiquez ouvertement pour éviter des conflits inutiles. Et le quatrième accord, c'est faites toujours de votre mieux. Votre mieux peut varier selon les jours, mais l'essentiel est de donner le meilleur de vous-même à tout moment. On vous parlait de mon histoire avec... avec l'histoire de mon garçon, ça me rappelle à quel point il est important d'offrir un espace de respect et de non-jugement à ceux qu'on aime. Respecter le choix de vie aussi, c'est une leçon de tolérance familiale parce que chaque enfant est différent. Cela ne signifie pas que nous devons approuver tous leurs choix. mais simplement, nous devons les accompagner avec amour et tolérance. Je termine par une autre citation qui dit, « Le véritable amour, c'est de laisser l'autre vivre sa vie, tout en restant là pour l'accompagner. » Moi, c'est ce que je vous souhaite. à réfléchir. Dans quelle situation pourriez-vous être plus tolérant face Ausha d'une personne qui est proche et d'essayer de faire votre mieux ? Nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines, profiter des belles choses. De la vie, good thing, bonne chose, bon bagage. Nous pouvons profiter de vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et je vous le souhaite. Merci de votre écoute.

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