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LOKKO magazine culture et société MONTPELLIER

Pascal Le Brun-Cordier : "La ville doit être une œuvre commune et démocratique"

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43min |27/06/2024
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Description

Pascal Le Brun-Cordier : « La ville doit être une œuvre commune et démocratique »

"J’ai d’autres projets". C’est par cette formule lapidaire que Pascal Le Brun-Cordier commente sa décision de ne pas répondre à l’appel à candidatures de la ville, pour la future Zat 2025, qui a préféré lancer une consultation plutôt que de reconduire le fondateur de la manifestation. Une page se tourne pour Pascal Le Brun-Cordier, initiateur de ces Zones artistiques temporaires, se déplaçant d’un quartier à l’autre sur un week-end depuis 2010 : "On a essayé d’inventer quelque chose qui ne soit pas un festival, avec des créations contextuelles venant résonner avec le lieu". Il évoque les 10 ZAT qu’il a conçues pour Genre urbain s'inscrivant dans le mouvement de l’urbanisme culturel dont il est un des fondateurs.

"On ne doit pas donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs"

"Loin du marketing territorial, il s’agit d’imaginer des récits alternatifs sur la ville pour les rendre plus vivables, vivantes et vibrantes, en impliquant les artistes et les habitants. On ne doit pas réserver la fabrication de la ville aux experts. Donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs. La ville doit être une œuvre commune et démocratique. C’est une question ouverte à tous".

Enfin, il donne l’exemple de l’"épicerie rose" à Nanterre, une ancienne épicerie-boulangerie devenue un tiers-lieu à partir duquel s’est organisée une manifestation d’enfants après la suppression de jeux dans l’espace public.


Interview Valérie Hernandez. Une co-production LOKKO et radio FM Plus.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pascal Le Brun-Cordier : « La ville doit être une œuvre commune et démocratique »

"J’ai d’autres projets". C’est par cette formule lapidaire que Pascal Le Brun-Cordier commente sa décision de ne pas répondre à l’appel à candidatures de la ville, pour la future Zat 2025, qui a préféré lancer une consultation plutôt que de reconduire le fondateur de la manifestation. Une page se tourne pour Pascal Le Brun-Cordier, initiateur de ces Zones artistiques temporaires, se déplaçant d’un quartier à l’autre sur un week-end depuis 2010 : "On a essayé d’inventer quelque chose qui ne soit pas un festival, avec des créations contextuelles venant résonner avec le lieu". Il évoque les 10 ZAT qu’il a conçues pour Genre urbain s'inscrivant dans le mouvement de l’urbanisme culturel dont il est un des fondateurs.

"On ne doit pas donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs"

"Loin du marketing territorial, il s’agit d’imaginer des récits alternatifs sur la ville pour les rendre plus vivables, vivantes et vibrantes, en impliquant les artistes et les habitants. On ne doit pas réserver la fabrication de la ville aux experts. Donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs. La ville doit être une œuvre commune et démocratique. C’est une question ouverte à tous".

Enfin, il donne l’exemple de l’"épicerie rose" à Nanterre, une ancienne épicerie-boulangerie devenue un tiers-lieu à partir duquel s’est organisée une manifestation d’enfants après la suppression de jeux dans l’espace public.


Interview Valérie Hernandez. Une co-production LOKKO et radio FM Plus.


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Pascal Le Brun-Cordier : « La ville doit être une œuvre commune et démocratique »

"J’ai d’autres projets". C’est par cette formule lapidaire que Pascal Le Brun-Cordier commente sa décision de ne pas répondre à l’appel à candidatures de la ville, pour la future Zat 2025, qui a préféré lancer une consultation plutôt que de reconduire le fondateur de la manifestation. Une page se tourne pour Pascal Le Brun-Cordier, initiateur de ces Zones artistiques temporaires, se déplaçant d’un quartier à l’autre sur un week-end depuis 2010 : "On a essayé d’inventer quelque chose qui ne soit pas un festival, avec des créations contextuelles venant résonner avec le lieu". Il évoque les 10 ZAT qu’il a conçues pour Genre urbain s'inscrivant dans le mouvement de l’urbanisme culturel dont il est un des fondateurs.

"On ne doit pas donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs"

"Loin du marketing territorial, il s’agit d’imaginer des récits alternatifs sur la ville pour les rendre plus vivables, vivantes et vibrantes, en impliquant les artistes et les habitants. On ne doit pas réserver la fabrication de la ville aux experts. Donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs. La ville doit être une œuvre commune et démocratique. C’est une question ouverte à tous".

Enfin, il donne l’exemple de l’"épicerie rose" à Nanterre, une ancienne épicerie-boulangerie devenue un tiers-lieu à partir duquel s’est organisée une manifestation d’enfants après la suppression de jeux dans l’espace public.


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Pascal Le Brun-Cordier : « La ville doit être une œuvre commune et démocratique »

"J’ai d’autres projets". C’est par cette formule lapidaire que Pascal Le Brun-Cordier commente sa décision de ne pas répondre à l’appel à candidatures de la ville, pour la future Zat 2025, qui a préféré lancer une consultation plutôt que de reconduire le fondateur de la manifestation. Une page se tourne pour Pascal Le Brun-Cordier, initiateur de ces Zones artistiques temporaires, se déplaçant d’un quartier à l’autre sur un week-end depuis 2010 : "On a essayé d’inventer quelque chose qui ne soit pas un festival, avec des créations contextuelles venant résonner avec le lieu". Il évoque les 10 ZAT qu’il a conçues pour Genre urbain s'inscrivant dans le mouvement de l’urbanisme culturel dont il est un des fondateurs.

"On ne doit pas donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs"

"Loin du marketing territorial, il s’agit d’imaginer des récits alternatifs sur la ville pour les rendre plus vivables, vivantes et vibrantes, en impliquant les artistes et les habitants. On ne doit pas réserver la fabrication de la ville aux experts. Donner seulement les clefs de la ville aux promoteurs. La ville doit être une œuvre commune et démocratique. C’est une question ouverte à tous".

Enfin, il donne l’exemple de l’"épicerie rose" à Nanterre, une ancienne épicerie-boulangerie devenue un tiers-lieu à partir duquel s’est organisée une manifestation d’enfants après la suppression de jeux dans l’espace public.


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