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Loyoly Talks

Web Stories, the next big thing ?

Web Stories, the next big thing ?

10min |24/10/2024
Play
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Loyoly Talks

Web Stories, the next big thing ?

Web Stories, the next big thing ?

10min |24/10/2024
Play

Description

Comment exploiter ce nouveau levier pour convertir et travailler son bas de funnel. 🚀


Quels sont les avantages ?

Quels formats privilégier ?

Quels KPI suivre ?


Jonathan de Join répond à ces questions au micro de Joseph dans le 6ème épisode de Loyoly Talks.

_______________________________________


L'invité du jour

_______________________________________


Loyoly

_______________________________________


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et c'est quoi un petit peu les différents formats de Web Stories ? C'est quoi ce qui marche le mieux un petit peu ? Tu as des conseils là-dessus ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, déjà pour donner un peu de contexte, on a 200 clients à peu près aujourd'hui dans le monde.

  • Speaker #0

    Oui, dans L'Oréal, il y a M6 aussi que vous avez onboardé il n'y a pas longtemps. Donc oui,

  • Speaker #1

    il y a des secrets. Exactement, on a la chance d'avoir de super refs. En e-com, effectivement, on a une quinzaine de marques dans le groupe L'Oréal. Viti, Lancôme, La Roche-Posay, Garnier, j'en passe. Mais on a aussi... Beaucoup de marques, D&VB, D2C, Labelbook, Les Secrets de Loli, NV Gallery et j'en passe. Et effectivement, ce que nous on conseille, si tu veux, aux marques, quelle qu'elle soit, quelle que soit la taille, c'est d'aller humaniser leur approche, humaniser leur site. Et donc forcément, on leur pousse à créer des stories qui mettent l'humain au centre. Donc ça peut être des stories évidemment très UGC, je pense qu'on en reparlera. Mais ça peut être aussi de montrer des unboxings. Ça peut être aussi de montrer les détails produits. Et en fait, je dirais que ce qui regroupe toutes ces web stories, le conseil que je peux donner en numéro un, c'est que les marques se posent la question de savoir quels sont leurs freins à l'achat. Quels sont les freins à l'achat de leurs consommateurs ? Et finalement, ensuite, quand on note ça sur un papier, quand on va mettre les différentes équipes autour d'une table, on connaît les freins à l'achat. Et derrière, ensuite, on peut y répondre avec un format web story. Sachant qu'en fait si tu veux aujourd'hui le trafic tu le sais aussi bien que moi il est de plus en plus mobile sur le téléphone en fait aujourd'hui les marques elles ont au minimum au grand minimum 70% de trafic mobile minimum mais les gens ne lisent plus le texte donc en fait tu vois tu peux lever les freins d'achat avec du texte mais plus personne ne lit les gens aujourd'hui on est tous on regarde la vidéo mais qu'on ait 60 ans et qu'on soit sur facebook et qu'on ait 16 ans et qu'on soit sur tik tok finalement on consomme de la vidéo courte verticale et donc c'est ça le purpose en fait ok trop bien

  • Speaker #0

    Et du coup, tu as parlé un petit peu des UGC qu'on peut mettre dans les Web Stories. Est-ce qu'il y a un peu d'autres formats que tu conseilles ? Donc UGC, pour ceux qui n'auraient pas le terme, c'est User Generated Content. Concrètement, c'est des vidéos d'utilisateurs finaux, donc créées par des utilisateurs, qui vont justement, comme tu disais, humaniser le parcours d'achat, l'expérience. Et puis, comme tu disais aussi, se faire sentir avec une expérience sur les réseaux sociaux. Donc j'imagine qu'on va aussi pouvoir être... plus actifs sur le site, rester un peu plus longtemps, consommer le contenu. Donc il y a les UGC d'un côté, est-ce qu'il y a d'autres types de contenus peut-être créés par les marques elles-mêmes que tu peux ajouter ?

  • Speaker #1

    En fait oui, c'est tout est un mix si tu veux de contenus qui va performer. On arrive sur une fiche produit par exemple, je sais pas, on va prendre une marque cosmétique, on arrive sur une fiche produit d'une marque cosmétique, la question qu'on va se poser c'est quels sont les ingrédients. Donc on peut montrer tu vois les ingrédients du produit mais ça encore une fois ça doit être incarné. Ça peut être un créateur de contenu, quelqu'un de la communauté, même quelqu'un qui travaille au sein de la marque. On va l'incarner. On va montrer effectivement des UGC. En parallèle, on va montrer des contenus d'influence également. Tout ça, c'est pour incarner la marque, projeter le consommateur. On va montrer une routine, par exemple, se dire Ok, moi là, j'achète une crème de jour, mais qu'est-ce que je pourrais acheter comme produit complémentaire ? Et ça, ça permet de faire du cross-sell. Et ensuite, pour continuer sur le chemin de lever les freins à l'achat, On peut expliquer la politique de retour, la politique de livraison. On peut aussi faire des avis clients. L'idée, ce n'est pas de remplacer les avis clients qui sont avec du texte et des étoiles. Dans tous les cas, il est faux parce qu'on les lit aujourd'hui. Notre cerveau est habitué à ça. On vient compléter tout ça. En fait, aujourd'hui, les gens, encore une fois, ils lisent beaucoup moins. Donc, si on arrive à avoir des avis clients au format vidéo, c'est génial. Encore plus si on a des avis clients avec le produit entre les mains. Moi, je conseille souvent aux marques de se dire, allez voir Amazon. allez sur Amazon, allez sur un produit quel qu'il soit Amazon, regardez les avis clients et regardez les avis clients où il y a juste du texte et ceux où il y a des photos en fait on regarde forcément les photos et on a le texte qui complémente l'image qui complète l'image et c'est parfait et donc c'est ce qu'on essaie aussi d'apporter sur la Revstory Trop bien,

  • Speaker #0

    et du coup ça c'est plutôt sur les fiches produits mais est-ce que ça peut se mettre aussi à d'autres endroits sur le parcours d'achat ?

  • Speaker #1

    En home page, ça fonctionne aussi extrêmement bien parce qu'en fait on va venir créer des carrefours de redirection en se disant en fait quand on arrive sur la home page je vais faire rentrer mes consommateurs par la porte du contenu pour aller sur des pages collection ou sur des pages produits directement et donc on peut présenter une collab on peut présenter un produit on peut présenter un look on peut présenter une routine tu vois on peut présenter toutes et tous ces produits là il faut être très orienté produit quand même tu vois là on n'est pas enfin l'idée c'est pas de faire du contenu très inspirant très institutionnel parce que tu veux quand on est sur un site on est on n'est plus en mode discovery product comme on peut l'être sur le social on a avancé dans le funnel on est quand même dans une démarche soit de réflexion pour acheter soit d'achat pur et dur et donc il faut que notre contenu si tu veux il est quand même une relation très forte aux produits mais avec un côté humanisant et la force de jane c'est que nous sur nos web story je conseille aux gens d'aller sur le site de yay paris qu'une marque de bijoux ou archi où je pense à sundress qui sont des marques clientes qui mettent des stories en beige comme ça les gens pourront les voir et en fait et quand tu vas ouvrir le contenu, nous, on rajoute, si tu veux, des boutons qui épinglent le produit. En fait, quand tu es intéressé, tu peux directement cliquer et basculer sur la fiche produit. Et tu peux même faire autre chose pour aller vraiment directement augmenter tes métriques. C'est que nous, sur Join, on a la capacité d'ajouter un add to cart directement sur la story. C'est top ça. Et donc ça, ce qui permet de se dire quelqu'un qui est, si tu veux, intéressé. On va prendre l'exemple encore une fois d'une routine make-up. Si tu es sur ta home page, que tu présentes une routine. et qu'en fait tu fais défiler au sein d'une même vidéo les différents tags des produits. Si quelqu'un est intéressé par la routine, il peut directement ajouter au panier sa routine. Et ça empêche, si tu veux, de se dire je vais sur une PDP 1, puis une PDP 3 Et là, tu peux assez vite perdre ton consommateur. C'est une façon d'aller augmenter cette métrique qui est, on le sait, clé pour tous les e-commerceurs.

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Et justement, en parlant de métriques, c'est quoi un peu les métriques que tu vas suivre ? Tu as parlé, je crois que tu parles aussi du taux d'engagement. le temps que l'utilisateur va passer aussi sur le contenu, l'ajout au panier, ça va être quoi aussi les autres métriques que tu vas prendre en compte ?

  • Speaker #1

    C'est une très bonne question. Il y a deux catégories de métriques. Tu as des métriques très business, c'est les principales évidemment, c'est celles qu'on craque avec nos marchands en premier temps, c'est de se dire, évidemment, est-ce qu'ajouter du short content à mon site qui va lever en théorie les freins à l'achat, le permet ? Et donc on regarde, évidemment, est-ce qu'il y a un uplift sur la to-cart ? Ça, c'est la métrique principale, parce qu'en fait, ta web story si elle est en PDP, tu as un impact.

  • Speaker #0

    PDP,

  • Speaker #1

    je dis, en anglais c'est pour dire page produit, mais c'est page produit. J'arrête pas de dire PDP en ce moment parce que les marques, notamment L'Oréal, nous disent beaucoup PDP, donc c'est un peu rapide. Donc page produit. Et donc du coup on va avoir avec les web stories un impact direct sur la tout carte, donc c'est ce qu'on regarde. Après il y a évidemment, est-ce qu'on a un uplift du taux de conversion ? Alors forcément le taux de conversion c'est hyper important que les marques aient en tête que un taux de conversion il dépend évidemment de plein de choses si tu as augmenté ton atout car grâce web story mais qu'après au niveau de ton panier il faut par exemple tu es obligé obligatoirement enfin tu dois obligatoirement créer un compte si la personne elle se déchauffe après pour passer à l'achat tout bien qu'il ya plein d'autres facteurs et si on passe pas etc etc tu as les flots de postes à deux d'abord mon panier évidemment mais quand même nous on arrive à on a des benchmark tu vois on peut aller augmenter jusqu'à 8% le taux de conversion Parfait, il y a des marques comme Bocu par exemple, c'est jusqu'à plus de 12%.

  • Speaker #0

    C'est huge.

  • Speaker #1

    C'est huge, mais il faut quand même prendre ça avec des pincettes pour certaines marques. Donc à tout quart, taux de conversion. Et puis après, derrière ça, il y a des métriques un peu plus subtiles que nous on regarde parce qu'en fait, c'est un impact direct sur le business des marques. C'est deux choses. C'est le nombre de retours produits. En gros, il faut dire que quand tu mets des web stories sur une fiche produit, donc tu vas mieux décrire ton produit, on va mieux le voir, on va mieux le comprendre. Donc la personne qui achète… Elle a plus conscience de ce qu'elle va avoir entre les mains. Pareil, si tu mets une story unboxing, à la fois tu projettes la personne dans la next step après achat, mais tu peux lui permettre aussi de comprendre qu'est-ce qu'elle va avoir entre les mains, même en termes de packaging, de colis, etc. Donc tu vas diminuer le taux de retour. Et encore une fois, tous les marchands te le diront, le taux de retour, c'est très important. C'est un impact direct sur l'Ibida, les retours produits. Il n'y a pas de sujet, il faut le traiter, il faut le gérer, c'est du stock, c'est vraiment très galère. Donc, taux de retour produit qui diminue. Et il y a aussi le nombre de tickets aux supports. Au début, nous-mêmes chez Join, on ne s'en était pas aperçus. Mais il faut se dire que quand tu vas exposer des réponses visuelles, vidéos, mobile first à tes prospects qui sont sur ton site, tu vas désengorger ton service client. Et qui répond au service client ? Ce sont des gens, généralement, bien sûr, qu'avec l'IA, il y a plein de choses qui se mettent en place. Néanmoins, il y a quand même du people derrière. Oui, c'est clair. Et donc ça, c'est des métriques un peu plus subtiles que nous. Donc ça, c'est des métriques business. Et puis ensuite, tu as des métriques vraiment... propre au contenu et on va se dire ok c'est quoi le taux de clics sur nos stories donc en fonction de la position on va se dire est ce que ça clique bien est ce que les gens sont intéressés pour cliquer sur le contenu ensuite on va regarder le taux de complétion jusqu'à où les gens vont dans une story ça ça démontre l'intérêt ou pas d'un contenu comme ça on peut le supprimer si vraiment ça ne fonctionne pas ou alors capitaliser dessus et créer d'autres choses pour d'autres fiches produits si ça si ça fonctionne et le taux d'engagement par nous dans nos stories on peut mettre des quiz, des sondages, des formulaires. Alors, ce n'est pas tant sur une fiche produit que c'est intéressant de faire ça parce qu'on est dans une démarche d'achat. Donc, on n'a pas envie de poser des questionnaires aux gens. Mais par exemple, sur un unboxing... avec un petit fascicule un qr code tu scanne et tu peux poser des questions à thé à thé à thé clients dans ce cas là oui le taux d'engagement si tu veux il est très important et je n'irai pas le taux de clic tout clic c'est ce que je te disais tout à l'heure si on rajoute tu vois des boutons dans nos stories pour rediriger vers une page collection par exemple on va on va regarder tout ça donc métriques business métriques contenus d'accord

Chapters

  • 7 formats de Web Stories

    00:00

  • 2 type de metrics à suivre

    06:10

Description

Comment exploiter ce nouveau levier pour convertir et travailler son bas de funnel. 🚀


Quels sont les avantages ?

Quels formats privilégier ?

Quels KPI suivre ?


Jonathan de Join répond à ces questions au micro de Joseph dans le 6ème épisode de Loyoly Talks.

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L'invité du jour

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Loyoly

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et c'est quoi un petit peu les différents formats de Web Stories ? C'est quoi ce qui marche le mieux un petit peu ? Tu as des conseils là-dessus ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, déjà pour donner un peu de contexte, on a 200 clients à peu près aujourd'hui dans le monde.

  • Speaker #0

    Oui, dans L'Oréal, il y a M6 aussi que vous avez onboardé il n'y a pas longtemps. Donc oui,

  • Speaker #1

    il y a des secrets. Exactement, on a la chance d'avoir de super refs. En e-com, effectivement, on a une quinzaine de marques dans le groupe L'Oréal. Viti, Lancôme, La Roche-Posay, Garnier, j'en passe. Mais on a aussi... Beaucoup de marques, D&VB, D2C, Labelbook, Les Secrets de Loli, NV Gallery et j'en passe. Et effectivement, ce que nous on conseille, si tu veux, aux marques, quelle qu'elle soit, quelle que soit la taille, c'est d'aller humaniser leur approche, humaniser leur site. Et donc forcément, on leur pousse à créer des stories qui mettent l'humain au centre. Donc ça peut être des stories évidemment très UGC, je pense qu'on en reparlera. Mais ça peut être aussi de montrer des unboxings. Ça peut être aussi de montrer les détails produits. Et en fait, je dirais que ce qui regroupe toutes ces web stories, le conseil que je peux donner en numéro un, c'est que les marques se posent la question de savoir quels sont leurs freins à l'achat. Quels sont les freins à l'achat de leurs consommateurs ? Et finalement, ensuite, quand on note ça sur un papier, quand on va mettre les différentes équipes autour d'une table, on connaît les freins à l'achat. Et derrière, ensuite, on peut y répondre avec un format web story. Sachant qu'en fait si tu veux aujourd'hui le trafic tu le sais aussi bien que moi il est de plus en plus mobile sur le téléphone en fait aujourd'hui les marques elles ont au minimum au grand minimum 70% de trafic mobile minimum mais les gens ne lisent plus le texte donc en fait tu vois tu peux lever les freins d'achat avec du texte mais plus personne ne lit les gens aujourd'hui on est tous on regarde la vidéo mais qu'on ait 60 ans et qu'on soit sur facebook et qu'on ait 16 ans et qu'on soit sur tik tok finalement on consomme de la vidéo courte verticale et donc c'est ça le purpose en fait ok trop bien

  • Speaker #0

    Et du coup, tu as parlé un petit peu des UGC qu'on peut mettre dans les Web Stories. Est-ce qu'il y a un peu d'autres formats que tu conseilles ? Donc UGC, pour ceux qui n'auraient pas le terme, c'est User Generated Content. Concrètement, c'est des vidéos d'utilisateurs finaux, donc créées par des utilisateurs, qui vont justement, comme tu disais, humaniser le parcours d'achat, l'expérience. Et puis, comme tu disais aussi, se faire sentir avec une expérience sur les réseaux sociaux. Donc j'imagine qu'on va aussi pouvoir être... plus actifs sur le site, rester un peu plus longtemps, consommer le contenu. Donc il y a les UGC d'un côté, est-ce qu'il y a d'autres types de contenus peut-être créés par les marques elles-mêmes que tu peux ajouter ?

  • Speaker #1

    En fait oui, c'est tout est un mix si tu veux de contenus qui va performer. On arrive sur une fiche produit par exemple, je sais pas, on va prendre une marque cosmétique, on arrive sur une fiche produit d'une marque cosmétique, la question qu'on va se poser c'est quels sont les ingrédients. Donc on peut montrer tu vois les ingrédients du produit mais ça encore une fois ça doit être incarné. Ça peut être un créateur de contenu, quelqu'un de la communauté, même quelqu'un qui travaille au sein de la marque. On va l'incarner. On va montrer effectivement des UGC. En parallèle, on va montrer des contenus d'influence également. Tout ça, c'est pour incarner la marque, projeter le consommateur. On va montrer une routine, par exemple, se dire Ok, moi là, j'achète une crème de jour, mais qu'est-ce que je pourrais acheter comme produit complémentaire ? Et ça, ça permet de faire du cross-sell. Et ensuite, pour continuer sur le chemin de lever les freins à l'achat, On peut expliquer la politique de retour, la politique de livraison. On peut aussi faire des avis clients. L'idée, ce n'est pas de remplacer les avis clients qui sont avec du texte et des étoiles. Dans tous les cas, il est faux parce qu'on les lit aujourd'hui. Notre cerveau est habitué à ça. On vient compléter tout ça. En fait, aujourd'hui, les gens, encore une fois, ils lisent beaucoup moins. Donc, si on arrive à avoir des avis clients au format vidéo, c'est génial. Encore plus si on a des avis clients avec le produit entre les mains. Moi, je conseille souvent aux marques de se dire, allez voir Amazon. allez sur Amazon, allez sur un produit quel qu'il soit Amazon, regardez les avis clients et regardez les avis clients où il y a juste du texte et ceux où il y a des photos en fait on regarde forcément les photos et on a le texte qui complémente l'image qui complète l'image et c'est parfait et donc c'est ce qu'on essaie aussi d'apporter sur la Revstory Trop bien,

  • Speaker #0

    et du coup ça c'est plutôt sur les fiches produits mais est-ce que ça peut se mettre aussi à d'autres endroits sur le parcours d'achat ?

  • Speaker #1

    En home page, ça fonctionne aussi extrêmement bien parce qu'en fait on va venir créer des carrefours de redirection en se disant en fait quand on arrive sur la home page je vais faire rentrer mes consommateurs par la porte du contenu pour aller sur des pages collection ou sur des pages produits directement et donc on peut présenter une collab on peut présenter un produit on peut présenter un look on peut présenter une routine tu vois on peut présenter toutes et tous ces produits là il faut être très orienté produit quand même tu vois là on n'est pas enfin l'idée c'est pas de faire du contenu très inspirant très institutionnel parce que tu veux quand on est sur un site on est on n'est plus en mode discovery product comme on peut l'être sur le social on a avancé dans le funnel on est quand même dans une démarche soit de réflexion pour acheter soit d'achat pur et dur et donc il faut que notre contenu si tu veux il est quand même une relation très forte aux produits mais avec un côté humanisant et la force de jane c'est que nous sur nos web story je conseille aux gens d'aller sur le site de yay paris qu'une marque de bijoux ou archi où je pense à sundress qui sont des marques clientes qui mettent des stories en beige comme ça les gens pourront les voir et en fait et quand tu vas ouvrir le contenu, nous, on rajoute, si tu veux, des boutons qui épinglent le produit. En fait, quand tu es intéressé, tu peux directement cliquer et basculer sur la fiche produit. Et tu peux même faire autre chose pour aller vraiment directement augmenter tes métriques. C'est que nous, sur Join, on a la capacité d'ajouter un add to cart directement sur la story. C'est top ça. Et donc ça, ce qui permet de se dire quelqu'un qui est, si tu veux, intéressé. On va prendre l'exemple encore une fois d'une routine make-up. Si tu es sur ta home page, que tu présentes une routine. et qu'en fait tu fais défiler au sein d'une même vidéo les différents tags des produits. Si quelqu'un est intéressé par la routine, il peut directement ajouter au panier sa routine. Et ça empêche, si tu veux, de se dire je vais sur une PDP 1, puis une PDP 3 Et là, tu peux assez vite perdre ton consommateur. C'est une façon d'aller augmenter cette métrique qui est, on le sait, clé pour tous les e-commerceurs.

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Et justement, en parlant de métriques, c'est quoi un peu les métriques que tu vas suivre ? Tu as parlé, je crois que tu parles aussi du taux d'engagement. le temps que l'utilisateur va passer aussi sur le contenu, l'ajout au panier, ça va être quoi aussi les autres métriques que tu vas prendre en compte ?

  • Speaker #1

    C'est une très bonne question. Il y a deux catégories de métriques. Tu as des métriques très business, c'est les principales évidemment, c'est celles qu'on craque avec nos marchands en premier temps, c'est de se dire, évidemment, est-ce qu'ajouter du short content à mon site qui va lever en théorie les freins à l'achat, le permet ? Et donc on regarde, évidemment, est-ce qu'il y a un uplift sur la to-cart ? Ça, c'est la métrique principale, parce qu'en fait, ta web story si elle est en PDP, tu as un impact.

  • Speaker #0

    PDP,

  • Speaker #1

    je dis, en anglais c'est pour dire page produit, mais c'est page produit. J'arrête pas de dire PDP en ce moment parce que les marques, notamment L'Oréal, nous disent beaucoup PDP, donc c'est un peu rapide. Donc page produit. Et donc du coup on va avoir avec les web stories un impact direct sur la tout carte, donc c'est ce qu'on regarde. Après il y a évidemment, est-ce qu'on a un uplift du taux de conversion ? Alors forcément le taux de conversion c'est hyper important que les marques aient en tête que un taux de conversion il dépend évidemment de plein de choses si tu as augmenté ton atout car grâce web story mais qu'après au niveau de ton panier il faut par exemple tu es obligé obligatoirement enfin tu dois obligatoirement créer un compte si la personne elle se déchauffe après pour passer à l'achat tout bien qu'il ya plein d'autres facteurs et si on passe pas etc etc tu as les flots de postes à deux d'abord mon panier évidemment mais quand même nous on arrive à on a des benchmark tu vois on peut aller augmenter jusqu'à 8% le taux de conversion Parfait, il y a des marques comme Bocu par exemple, c'est jusqu'à plus de 12%.

  • Speaker #0

    C'est huge.

  • Speaker #1

    C'est huge, mais il faut quand même prendre ça avec des pincettes pour certaines marques. Donc à tout quart, taux de conversion. Et puis après, derrière ça, il y a des métriques un peu plus subtiles que nous on regarde parce qu'en fait, c'est un impact direct sur le business des marques. C'est deux choses. C'est le nombre de retours produits. En gros, il faut dire que quand tu mets des web stories sur une fiche produit, donc tu vas mieux décrire ton produit, on va mieux le voir, on va mieux le comprendre. Donc la personne qui achète… Elle a plus conscience de ce qu'elle va avoir entre les mains. Pareil, si tu mets une story unboxing, à la fois tu projettes la personne dans la next step après achat, mais tu peux lui permettre aussi de comprendre qu'est-ce qu'elle va avoir entre les mains, même en termes de packaging, de colis, etc. Donc tu vas diminuer le taux de retour. Et encore une fois, tous les marchands te le diront, le taux de retour, c'est très important. C'est un impact direct sur l'Ibida, les retours produits. Il n'y a pas de sujet, il faut le traiter, il faut le gérer, c'est du stock, c'est vraiment très galère. Donc, taux de retour produit qui diminue. Et il y a aussi le nombre de tickets aux supports. Au début, nous-mêmes chez Join, on ne s'en était pas aperçus. Mais il faut se dire que quand tu vas exposer des réponses visuelles, vidéos, mobile first à tes prospects qui sont sur ton site, tu vas désengorger ton service client. Et qui répond au service client ? Ce sont des gens, généralement, bien sûr, qu'avec l'IA, il y a plein de choses qui se mettent en place. Néanmoins, il y a quand même du people derrière. Oui, c'est clair. Et donc ça, c'est des métriques un peu plus subtiles que nous. Donc ça, c'est des métriques business. Et puis ensuite, tu as des métriques vraiment... propre au contenu et on va se dire ok c'est quoi le taux de clics sur nos stories donc en fonction de la position on va se dire est ce que ça clique bien est ce que les gens sont intéressés pour cliquer sur le contenu ensuite on va regarder le taux de complétion jusqu'à où les gens vont dans une story ça ça démontre l'intérêt ou pas d'un contenu comme ça on peut le supprimer si vraiment ça ne fonctionne pas ou alors capitaliser dessus et créer d'autres choses pour d'autres fiches produits si ça si ça fonctionne et le taux d'engagement par nous dans nos stories on peut mettre des quiz, des sondages, des formulaires. Alors, ce n'est pas tant sur une fiche produit que c'est intéressant de faire ça parce qu'on est dans une démarche d'achat. Donc, on n'a pas envie de poser des questionnaires aux gens. Mais par exemple, sur un unboxing... avec un petit fascicule un qr code tu scanne et tu peux poser des questions à thé à thé à thé clients dans ce cas là oui le taux d'engagement si tu veux il est très important et je n'irai pas le taux de clic tout clic c'est ce que je te disais tout à l'heure si on rajoute tu vois des boutons dans nos stories pour rediriger vers une page collection par exemple on va on va regarder tout ça donc métriques business métriques contenus d'accord

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  • 7 formats de Web Stories

    00:00

  • 2 type de metrics à suivre

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Quels sont les avantages ?

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L'invité du jour

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Loyoly

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Transcription

  • Speaker #0

    Et c'est quoi un petit peu les différents formats de Web Stories ? C'est quoi ce qui marche le mieux un petit peu ? Tu as des conseils là-dessus ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, déjà pour donner un peu de contexte, on a 200 clients à peu près aujourd'hui dans le monde.

  • Speaker #0

    Oui, dans L'Oréal, il y a M6 aussi que vous avez onboardé il n'y a pas longtemps. Donc oui,

  • Speaker #1

    il y a des secrets. Exactement, on a la chance d'avoir de super refs. En e-com, effectivement, on a une quinzaine de marques dans le groupe L'Oréal. Viti, Lancôme, La Roche-Posay, Garnier, j'en passe. Mais on a aussi... Beaucoup de marques, D&VB, D2C, Labelbook, Les Secrets de Loli, NV Gallery et j'en passe. Et effectivement, ce que nous on conseille, si tu veux, aux marques, quelle qu'elle soit, quelle que soit la taille, c'est d'aller humaniser leur approche, humaniser leur site. Et donc forcément, on leur pousse à créer des stories qui mettent l'humain au centre. Donc ça peut être des stories évidemment très UGC, je pense qu'on en reparlera. Mais ça peut être aussi de montrer des unboxings. Ça peut être aussi de montrer les détails produits. Et en fait, je dirais que ce qui regroupe toutes ces web stories, le conseil que je peux donner en numéro un, c'est que les marques se posent la question de savoir quels sont leurs freins à l'achat. Quels sont les freins à l'achat de leurs consommateurs ? Et finalement, ensuite, quand on note ça sur un papier, quand on va mettre les différentes équipes autour d'une table, on connaît les freins à l'achat. Et derrière, ensuite, on peut y répondre avec un format web story. Sachant qu'en fait si tu veux aujourd'hui le trafic tu le sais aussi bien que moi il est de plus en plus mobile sur le téléphone en fait aujourd'hui les marques elles ont au minimum au grand minimum 70% de trafic mobile minimum mais les gens ne lisent plus le texte donc en fait tu vois tu peux lever les freins d'achat avec du texte mais plus personne ne lit les gens aujourd'hui on est tous on regarde la vidéo mais qu'on ait 60 ans et qu'on soit sur facebook et qu'on ait 16 ans et qu'on soit sur tik tok finalement on consomme de la vidéo courte verticale et donc c'est ça le purpose en fait ok trop bien

  • Speaker #0

    Et du coup, tu as parlé un petit peu des UGC qu'on peut mettre dans les Web Stories. Est-ce qu'il y a un peu d'autres formats que tu conseilles ? Donc UGC, pour ceux qui n'auraient pas le terme, c'est User Generated Content. Concrètement, c'est des vidéos d'utilisateurs finaux, donc créées par des utilisateurs, qui vont justement, comme tu disais, humaniser le parcours d'achat, l'expérience. Et puis, comme tu disais aussi, se faire sentir avec une expérience sur les réseaux sociaux. Donc j'imagine qu'on va aussi pouvoir être... plus actifs sur le site, rester un peu plus longtemps, consommer le contenu. Donc il y a les UGC d'un côté, est-ce qu'il y a d'autres types de contenus peut-être créés par les marques elles-mêmes que tu peux ajouter ?

  • Speaker #1

    En fait oui, c'est tout est un mix si tu veux de contenus qui va performer. On arrive sur une fiche produit par exemple, je sais pas, on va prendre une marque cosmétique, on arrive sur une fiche produit d'une marque cosmétique, la question qu'on va se poser c'est quels sont les ingrédients. Donc on peut montrer tu vois les ingrédients du produit mais ça encore une fois ça doit être incarné. Ça peut être un créateur de contenu, quelqu'un de la communauté, même quelqu'un qui travaille au sein de la marque. On va l'incarner. On va montrer effectivement des UGC. En parallèle, on va montrer des contenus d'influence également. Tout ça, c'est pour incarner la marque, projeter le consommateur. On va montrer une routine, par exemple, se dire Ok, moi là, j'achète une crème de jour, mais qu'est-ce que je pourrais acheter comme produit complémentaire ? Et ça, ça permet de faire du cross-sell. Et ensuite, pour continuer sur le chemin de lever les freins à l'achat, On peut expliquer la politique de retour, la politique de livraison. On peut aussi faire des avis clients. L'idée, ce n'est pas de remplacer les avis clients qui sont avec du texte et des étoiles. Dans tous les cas, il est faux parce qu'on les lit aujourd'hui. Notre cerveau est habitué à ça. On vient compléter tout ça. En fait, aujourd'hui, les gens, encore une fois, ils lisent beaucoup moins. Donc, si on arrive à avoir des avis clients au format vidéo, c'est génial. Encore plus si on a des avis clients avec le produit entre les mains. Moi, je conseille souvent aux marques de se dire, allez voir Amazon. allez sur Amazon, allez sur un produit quel qu'il soit Amazon, regardez les avis clients et regardez les avis clients où il y a juste du texte et ceux où il y a des photos en fait on regarde forcément les photos et on a le texte qui complémente l'image qui complète l'image et c'est parfait et donc c'est ce qu'on essaie aussi d'apporter sur la Revstory Trop bien,

  • Speaker #0

    et du coup ça c'est plutôt sur les fiches produits mais est-ce que ça peut se mettre aussi à d'autres endroits sur le parcours d'achat ?

  • Speaker #1

    En home page, ça fonctionne aussi extrêmement bien parce qu'en fait on va venir créer des carrefours de redirection en se disant en fait quand on arrive sur la home page je vais faire rentrer mes consommateurs par la porte du contenu pour aller sur des pages collection ou sur des pages produits directement et donc on peut présenter une collab on peut présenter un produit on peut présenter un look on peut présenter une routine tu vois on peut présenter toutes et tous ces produits là il faut être très orienté produit quand même tu vois là on n'est pas enfin l'idée c'est pas de faire du contenu très inspirant très institutionnel parce que tu veux quand on est sur un site on est on n'est plus en mode discovery product comme on peut l'être sur le social on a avancé dans le funnel on est quand même dans une démarche soit de réflexion pour acheter soit d'achat pur et dur et donc il faut que notre contenu si tu veux il est quand même une relation très forte aux produits mais avec un côté humanisant et la force de jane c'est que nous sur nos web story je conseille aux gens d'aller sur le site de yay paris qu'une marque de bijoux ou archi où je pense à sundress qui sont des marques clientes qui mettent des stories en beige comme ça les gens pourront les voir et en fait et quand tu vas ouvrir le contenu, nous, on rajoute, si tu veux, des boutons qui épinglent le produit. En fait, quand tu es intéressé, tu peux directement cliquer et basculer sur la fiche produit. Et tu peux même faire autre chose pour aller vraiment directement augmenter tes métriques. C'est que nous, sur Join, on a la capacité d'ajouter un add to cart directement sur la story. C'est top ça. Et donc ça, ce qui permet de se dire quelqu'un qui est, si tu veux, intéressé. On va prendre l'exemple encore une fois d'une routine make-up. Si tu es sur ta home page, que tu présentes une routine. et qu'en fait tu fais défiler au sein d'une même vidéo les différents tags des produits. Si quelqu'un est intéressé par la routine, il peut directement ajouter au panier sa routine. Et ça empêche, si tu veux, de se dire je vais sur une PDP 1, puis une PDP 3 Et là, tu peux assez vite perdre ton consommateur. C'est une façon d'aller augmenter cette métrique qui est, on le sait, clé pour tous les e-commerceurs.

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Et justement, en parlant de métriques, c'est quoi un peu les métriques que tu vas suivre ? Tu as parlé, je crois que tu parles aussi du taux d'engagement. le temps que l'utilisateur va passer aussi sur le contenu, l'ajout au panier, ça va être quoi aussi les autres métriques que tu vas prendre en compte ?

  • Speaker #1

    C'est une très bonne question. Il y a deux catégories de métriques. Tu as des métriques très business, c'est les principales évidemment, c'est celles qu'on craque avec nos marchands en premier temps, c'est de se dire, évidemment, est-ce qu'ajouter du short content à mon site qui va lever en théorie les freins à l'achat, le permet ? Et donc on regarde, évidemment, est-ce qu'il y a un uplift sur la to-cart ? Ça, c'est la métrique principale, parce qu'en fait, ta web story si elle est en PDP, tu as un impact.

  • Speaker #0

    PDP,

  • Speaker #1

    je dis, en anglais c'est pour dire page produit, mais c'est page produit. J'arrête pas de dire PDP en ce moment parce que les marques, notamment L'Oréal, nous disent beaucoup PDP, donc c'est un peu rapide. Donc page produit. Et donc du coup on va avoir avec les web stories un impact direct sur la tout carte, donc c'est ce qu'on regarde. Après il y a évidemment, est-ce qu'on a un uplift du taux de conversion ? Alors forcément le taux de conversion c'est hyper important que les marques aient en tête que un taux de conversion il dépend évidemment de plein de choses si tu as augmenté ton atout car grâce web story mais qu'après au niveau de ton panier il faut par exemple tu es obligé obligatoirement enfin tu dois obligatoirement créer un compte si la personne elle se déchauffe après pour passer à l'achat tout bien qu'il ya plein d'autres facteurs et si on passe pas etc etc tu as les flots de postes à deux d'abord mon panier évidemment mais quand même nous on arrive à on a des benchmark tu vois on peut aller augmenter jusqu'à 8% le taux de conversion Parfait, il y a des marques comme Bocu par exemple, c'est jusqu'à plus de 12%.

  • Speaker #0

    C'est huge.

  • Speaker #1

    C'est huge, mais il faut quand même prendre ça avec des pincettes pour certaines marques. Donc à tout quart, taux de conversion. Et puis après, derrière ça, il y a des métriques un peu plus subtiles que nous on regarde parce qu'en fait, c'est un impact direct sur le business des marques. C'est deux choses. C'est le nombre de retours produits. En gros, il faut dire que quand tu mets des web stories sur une fiche produit, donc tu vas mieux décrire ton produit, on va mieux le voir, on va mieux le comprendre. Donc la personne qui achète… Elle a plus conscience de ce qu'elle va avoir entre les mains. Pareil, si tu mets une story unboxing, à la fois tu projettes la personne dans la next step après achat, mais tu peux lui permettre aussi de comprendre qu'est-ce qu'elle va avoir entre les mains, même en termes de packaging, de colis, etc. Donc tu vas diminuer le taux de retour. Et encore une fois, tous les marchands te le diront, le taux de retour, c'est très important. C'est un impact direct sur l'Ibida, les retours produits. Il n'y a pas de sujet, il faut le traiter, il faut le gérer, c'est du stock, c'est vraiment très galère. Donc, taux de retour produit qui diminue. Et il y a aussi le nombre de tickets aux supports. Au début, nous-mêmes chez Join, on ne s'en était pas aperçus. Mais il faut se dire que quand tu vas exposer des réponses visuelles, vidéos, mobile first à tes prospects qui sont sur ton site, tu vas désengorger ton service client. Et qui répond au service client ? Ce sont des gens, généralement, bien sûr, qu'avec l'IA, il y a plein de choses qui se mettent en place. Néanmoins, il y a quand même du people derrière. Oui, c'est clair. Et donc ça, c'est des métriques un peu plus subtiles que nous. Donc ça, c'est des métriques business. Et puis ensuite, tu as des métriques vraiment... propre au contenu et on va se dire ok c'est quoi le taux de clics sur nos stories donc en fonction de la position on va se dire est ce que ça clique bien est ce que les gens sont intéressés pour cliquer sur le contenu ensuite on va regarder le taux de complétion jusqu'à où les gens vont dans une story ça ça démontre l'intérêt ou pas d'un contenu comme ça on peut le supprimer si vraiment ça ne fonctionne pas ou alors capitaliser dessus et créer d'autres choses pour d'autres fiches produits si ça si ça fonctionne et le taux d'engagement par nous dans nos stories on peut mettre des quiz, des sondages, des formulaires. Alors, ce n'est pas tant sur une fiche produit que c'est intéressant de faire ça parce qu'on est dans une démarche d'achat. Donc, on n'a pas envie de poser des questionnaires aux gens. Mais par exemple, sur un unboxing... avec un petit fascicule un qr code tu scanne et tu peux poser des questions à thé à thé à thé clients dans ce cas là oui le taux d'engagement si tu veux il est très important et je n'irai pas le taux de clic tout clic c'est ce que je te disais tout à l'heure si on rajoute tu vois des boutons dans nos stories pour rediriger vers une page collection par exemple on va on va regarder tout ça donc métriques business métriques contenus d'accord

Chapters

  • 7 formats de Web Stories

    00:00

  • 2 type de metrics à suivre

    06:10

Description

Comment exploiter ce nouveau levier pour convertir et travailler son bas de funnel. 🚀


Quels sont les avantages ?

Quels formats privilégier ?

Quels KPI suivre ?


Jonathan de Join répond à ces questions au micro de Joseph dans le 6ème épisode de Loyoly Talks.

_______________________________________


L'invité du jour

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Loyoly

_______________________________________


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et c'est quoi un petit peu les différents formats de Web Stories ? C'est quoi ce qui marche le mieux un petit peu ? Tu as des conseils là-dessus ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, déjà pour donner un peu de contexte, on a 200 clients à peu près aujourd'hui dans le monde.

  • Speaker #0

    Oui, dans L'Oréal, il y a M6 aussi que vous avez onboardé il n'y a pas longtemps. Donc oui,

  • Speaker #1

    il y a des secrets. Exactement, on a la chance d'avoir de super refs. En e-com, effectivement, on a une quinzaine de marques dans le groupe L'Oréal. Viti, Lancôme, La Roche-Posay, Garnier, j'en passe. Mais on a aussi... Beaucoup de marques, D&VB, D2C, Labelbook, Les Secrets de Loli, NV Gallery et j'en passe. Et effectivement, ce que nous on conseille, si tu veux, aux marques, quelle qu'elle soit, quelle que soit la taille, c'est d'aller humaniser leur approche, humaniser leur site. Et donc forcément, on leur pousse à créer des stories qui mettent l'humain au centre. Donc ça peut être des stories évidemment très UGC, je pense qu'on en reparlera. Mais ça peut être aussi de montrer des unboxings. Ça peut être aussi de montrer les détails produits. Et en fait, je dirais que ce qui regroupe toutes ces web stories, le conseil que je peux donner en numéro un, c'est que les marques se posent la question de savoir quels sont leurs freins à l'achat. Quels sont les freins à l'achat de leurs consommateurs ? Et finalement, ensuite, quand on note ça sur un papier, quand on va mettre les différentes équipes autour d'une table, on connaît les freins à l'achat. Et derrière, ensuite, on peut y répondre avec un format web story. Sachant qu'en fait si tu veux aujourd'hui le trafic tu le sais aussi bien que moi il est de plus en plus mobile sur le téléphone en fait aujourd'hui les marques elles ont au minimum au grand minimum 70% de trafic mobile minimum mais les gens ne lisent plus le texte donc en fait tu vois tu peux lever les freins d'achat avec du texte mais plus personne ne lit les gens aujourd'hui on est tous on regarde la vidéo mais qu'on ait 60 ans et qu'on soit sur facebook et qu'on ait 16 ans et qu'on soit sur tik tok finalement on consomme de la vidéo courte verticale et donc c'est ça le purpose en fait ok trop bien

  • Speaker #0

    Et du coup, tu as parlé un petit peu des UGC qu'on peut mettre dans les Web Stories. Est-ce qu'il y a un peu d'autres formats que tu conseilles ? Donc UGC, pour ceux qui n'auraient pas le terme, c'est User Generated Content. Concrètement, c'est des vidéos d'utilisateurs finaux, donc créées par des utilisateurs, qui vont justement, comme tu disais, humaniser le parcours d'achat, l'expérience. Et puis, comme tu disais aussi, se faire sentir avec une expérience sur les réseaux sociaux. Donc j'imagine qu'on va aussi pouvoir être... plus actifs sur le site, rester un peu plus longtemps, consommer le contenu. Donc il y a les UGC d'un côté, est-ce qu'il y a d'autres types de contenus peut-être créés par les marques elles-mêmes que tu peux ajouter ?

  • Speaker #1

    En fait oui, c'est tout est un mix si tu veux de contenus qui va performer. On arrive sur une fiche produit par exemple, je sais pas, on va prendre une marque cosmétique, on arrive sur une fiche produit d'une marque cosmétique, la question qu'on va se poser c'est quels sont les ingrédients. Donc on peut montrer tu vois les ingrédients du produit mais ça encore une fois ça doit être incarné. Ça peut être un créateur de contenu, quelqu'un de la communauté, même quelqu'un qui travaille au sein de la marque. On va l'incarner. On va montrer effectivement des UGC. En parallèle, on va montrer des contenus d'influence également. Tout ça, c'est pour incarner la marque, projeter le consommateur. On va montrer une routine, par exemple, se dire Ok, moi là, j'achète une crème de jour, mais qu'est-ce que je pourrais acheter comme produit complémentaire ? Et ça, ça permet de faire du cross-sell. Et ensuite, pour continuer sur le chemin de lever les freins à l'achat, On peut expliquer la politique de retour, la politique de livraison. On peut aussi faire des avis clients. L'idée, ce n'est pas de remplacer les avis clients qui sont avec du texte et des étoiles. Dans tous les cas, il est faux parce qu'on les lit aujourd'hui. Notre cerveau est habitué à ça. On vient compléter tout ça. En fait, aujourd'hui, les gens, encore une fois, ils lisent beaucoup moins. Donc, si on arrive à avoir des avis clients au format vidéo, c'est génial. Encore plus si on a des avis clients avec le produit entre les mains. Moi, je conseille souvent aux marques de se dire, allez voir Amazon. allez sur Amazon, allez sur un produit quel qu'il soit Amazon, regardez les avis clients et regardez les avis clients où il y a juste du texte et ceux où il y a des photos en fait on regarde forcément les photos et on a le texte qui complémente l'image qui complète l'image et c'est parfait et donc c'est ce qu'on essaie aussi d'apporter sur la Revstory Trop bien,

  • Speaker #0

    et du coup ça c'est plutôt sur les fiches produits mais est-ce que ça peut se mettre aussi à d'autres endroits sur le parcours d'achat ?

  • Speaker #1

    En home page, ça fonctionne aussi extrêmement bien parce qu'en fait on va venir créer des carrefours de redirection en se disant en fait quand on arrive sur la home page je vais faire rentrer mes consommateurs par la porte du contenu pour aller sur des pages collection ou sur des pages produits directement et donc on peut présenter une collab on peut présenter un produit on peut présenter un look on peut présenter une routine tu vois on peut présenter toutes et tous ces produits là il faut être très orienté produit quand même tu vois là on n'est pas enfin l'idée c'est pas de faire du contenu très inspirant très institutionnel parce que tu veux quand on est sur un site on est on n'est plus en mode discovery product comme on peut l'être sur le social on a avancé dans le funnel on est quand même dans une démarche soit de réflexion pour acheter soit d'achat pur et dur et donc il faut que notre contenu si tu veux il est quand même une relation très forte aux produits mais avec un côté humanisant et la force de jane c'est que nous sur nos web story je conseille aux gens d'aller sur le site de yay paris qu'une marque de bijoux ou archi où je pense à sundress qui sont des marques clientes qui mettent des stories en beige comme ça les gens pourront les voir et en fait et quand tu vas ouvrir le contenu, nous, on rajoute, si tu veux, des boutons qui épinglent le produit. En fait, quand tu es intéressé, tu peux directement cliquer et basculer sur la fiche produit. Et tu peux même faire autre chose pour aller vraiment directement augmenter tes métriques. C'est que nous, sur Join, on a la capacité d'ajouter un add to cart directement sur la story. C'est top ça. Et donc ça, ce qui permet de se dire quelqu'un qui est, si tu veux, intéressé. On va prendre l'exemple encore une fois d'une routine make-up. Si tu es sur ta home page, que tu présentes une routine. et qu'en fait tu fais défiler au sein d'une même vidéo les différents tags des produits. Si quelqu'un est intéressé par la routine, il peut directement ajouter au panier sa routine. Et ça empêche, si tu veux, de se dire je vais sur une PDP 1, puis une PDP 3 Et là, tu peux assez vite perdre ton consommateur. C'est une façon d'aller augmenter cette métrique qui est, on le sait, clé pour tous les e-commerceurs.

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Et justement, en parlant de métriques, c'est quoi un peu les métriques que tu vas suivre ? Tu as parlé, je crois que tu parles aussi du taux d'engagement. le temps que l'utilisateur va passer aussi sur le contenu, l'ajout au panier, ça va être quoi aussi les autres métriques que tu vas prendre en compte ?

  • Speaker #1

    C'est une très bonne question. Il y a deux catégories de métriques. Tu as des métriques très business, c'est les principales évidemment, c'est celles qu'on craque avec nos marchands en premier temps, c'est de se dire, évidemment, est-ce qu'ajouter du short content à mon site qui va lever en théorie les freins à l'achat, le permet ? Et donc on regarde, évidemment, est-ce qu'il y a un uplift sur la to-cart ? Ça, c'est la métrique principale, parce qu'en fait, ta web story si elle est en PDP, tu as un impact.

  • Speaker #0

    PDP,

  • Speaker #1

    je dis, en anglais c'est pour dire page produit, mais c'est page produit. J'arrête pas de dire PDP en ce moment parce que les marques, notamment L'Oréal, nous disent beaucoup PDP, donc c'est un peu rapide. Donc page produit. Et donc du coup on va avoir avec les web stories un impact direct sur la tout carte, donc c'est ce qu'on regarde. Après il y a évidemment, est-ce qu'on a un uplift du taux de conversion ? Alors forcément le taux de conversion c'est hyper important que les marques aient en tête que un taux de conversion il dépend évidemment de plein de choses si tu as augmenté ton atout car grâce web story mais qu'après au niveau de ton panier il faut par exemple tu es obligé obligatoirement enfin tu dois obligatoirement créer un compte si la personne elle se déchauffe après pour passer à l'achat tout bien qu'il ya plein d'autres facteurs et si on passe pas etc etc tu as les flots de postes à deux d'abord mon panier évidemment mais quand même nous on arrive à on a des benchmark tu vois on peut aller augmenter jusqu'à 8% le taux de conversion Parfait, il y a des marques comme Bocu par exemple, c'est jusqu'à plus de 12%.

  • Speaker #0

    C'est huge.

  • Speaker #1

    C'est huge, mais il faut quand même prendre ça avec des pincettes pour certaines marques. Donc à tout quart, taux de conversion. Et puis après, derrière ça, il y a des métriques un peu plus subtiles que nous on regarde parce qu'en fait, c'est un impact direct sur le business des marques. C'est deux choses. C'est le nombre de retours produits. En gros, il faut dire que quand tu mets des web stories sur une fiche produit, donc tu vas mieux décrire ton produit, on va mieux le voir, on va mieux le comprendre. Donc la personne qui achète… Elle a plus conscience de ce qu'elle va avoir entre les mains. Pareil, si tu mets une story unboxing, à la fois tu projettes la personne dans la next step après achat, mais tu peux lui permettre aussi de comprendre qu'est-ce qu'elle va avoir entre les mains, même en termes de packaging, de colis, etc. Donc tu vas diminuer le taux de retour. Et encore une fois, tous les marchands te le diront, le taux de retour, c'est très important. C'est un impact direct sur l'Ibida, les retours produits. Il n'y a pas de sujet, il faut le traiter, il faut le gérer, c'est du stock, c'est vraiment très galère. Donc, taux de retour produit qui diminue. Et il y a aussi le nombre de tickets aux supports. Au début, nous-mêmes chez Join, on ne s'en était pas aperçus. Mais il faut se dire que quand tu vas exposer des réponses visuelles, vidéos, mobile first à tes prospects qui sont sur ton site, tu vas désengorger ton service client. Et qui répond au service client ? Ce sont des gens, généralement, bien sûr, qu'avec l'IA, il y a plein de choses qui se mettent en place. Néanmoins, il y a quand même du people derrière. Oui, c'est clair. Et donc ça, c'est des métriques un peu plus subtiles que nous. Donc ça, c'est des métriques business. Et puis ensuite, tu as des métriques vraiment... propre au contenu et on va se dire ok c'est quoi le taux de clics sur nos stories donc en fonction de la position on va se dire est ce que ça clique bien est ce que les gens sont intéressés pour cliquer sur le contenu ensuite on va regarder le taux de complétion jusqu'à où les gens vont dans une story ça ça démontre l'intérêt ou pas d'un contenu comme ça on peut le supprimer si vraiment ça ne fonctionne pas ou alors capitaliser dessus et créer d'autres choses pour d'autres fiches produits si ça si ça fonctionne et le taux d'engagement par nous dans nos stories on peut mettre des quiz, des sondages, des formulaires. Alors, ce n'est pas tant sur une fiche produit que c'est intéressant de faire ça parce qu'on est dans une démarche d'achat. Donc, on n'a pas envie de poser des questionnaires aux gens. Mais par exemple, sur un unboxing... avec un petit fascicule un qr code tu scanne et tu peux poser des questions à thé à thé à thé clients dans ce cas là oui le taux d'engagement si tu veux il est très important et je n'irai pas le taux de clic tout clic c'est ce que je te disais tout à l'heure si on rajoute tu vois des boutons dans nos stories pour rediriger vers une page collection par exemple on va on va regarder tout ça donc métriques business métriques contenus d'accord

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  • 7 formats de Web Stories

    00:00

  • 2 type de metrics à suivre

    06:10

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