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Lumières sur le Quai

HARA

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01min |14/09/2022|

1324

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01min |14/09/2022|

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Description

par Guillaume Marmin | Lumières sur le Quai 2022  

Dans la tradition japonaise, le HARA est le siège des émotions et la partie profonde de l'être sensible. C'est aussi la source principale du souffle vital. C'est cette essence spirituelle, cette vitalité séminale que Guillaume Marmin et le compositeur Frédéric Marolleau ont voulu restituer à travers une projection de matière-lumière immersive, une expérience intérieure empruntant à l'hypnose, à la contemplation active, à la physicalité du son et à notre soif d'abstraction.

Guillaume Marmin explore les liens entre lumière, son et espace. Son travail s’inscrit dans un renouveau de la création visuelle en s’affranchissant des formes classiques de narration. Qu'il s'agisse de questionnements scientifiques nourris par des collaborations avec des chercheurs ou de symbolisme mystérieux, ses installations et performances mettent en scène notre rapport à la lumière.

HARA est constituée d'un panneau central découpé au laser. Cette structure est révélée par un vidéoprojecteur et une programmation permettant de mapper précisément les zones qui laissent passer la lumière. Un brouillard diffus permet de matérialiser les faisceaux lumineux dans l'obscurité.

- - - 

Transcription de la pastille sonore :  

Le container auquel vous faites face vous invite à une immersion dans l’installation "HARA" imaginée par Guillaume Marmin. “Hara” est un terme japonais qui signifie “ventre”, le ventre étant considéré là-bas comme le siège des émotions, alors que nos sociétés occidentales ont tendance à associer les émotions au cerveau.

Guillaume Marmin a spécialement créé cette œuvre pour être vécue dans un container, devenant alors une véritable expérience immersive à l’intérieur de ces ventres du monde industriel, voyageant en bateau à travers le globe et dans lesquels s'entassent des tonnes de vivres. En illuminant ces ventres de métal, l’artiste fait écho au mythe biblique de Jonas qui trouve la lumière divine dans le ventre de la baleine.

Avec cette projection son et lumière se rapprochant de l’hypnose, Guillaume Marmin nous transporte à travers de nombreuses émotions. Via ses installations et performances, il recherche un langage composé d’un alphabet de rythmes, de contrastes et de figures en mouvement. Il est continuellement à la recherche de nouveaux outils à expérimenter, d’observations à faire et utilise des outils modernes à la lueur de connaissances et de croyances anciennes ou lointaines.

Dans cette œuvre, l’association d’un panneau central découpé au laser à une vidéoprojection permet de définir précisément les zones révélées par la lumière et celles qui resteront dans l’ombre. Les rayons lumineux sont déviés par les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air qui forment un épais brouillard dans lequel vous baignez. Quant à l’univers sonore de "HARA", il est l'œuvre de la violoniste Christelle Lassort et du compositeur Frédéric Marolleau. Tous les trois ont créé cette installation qui vient jouer sur les évidences et perturber nos repères.  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

par Guillaume Marmin | Lumières sur le Quai 2022  

Dans la tradition japonaise, le HARA est le siège des émotions et la partie profonde de l'être sensible. C'est aussi la source principale du souffle vital. C'est cette essence spirituelle, cette vitalité séminale que Guillaume Marmin et le compositeur Frédéric Marolleau ont voulu restituer à travers une projection de matière-lumière immersive, une expérience intérieure empruntant à l'hypnose, à la contemplation active, à la physicalité du son et à notre soif d'abstraction.

Guillaume Marmin explore les liens entre lumière, son et espace. Son travail s’inscrit dans un renouveau de la création visuelle en s’affranchissant des formes classiques de narration. Qu'il s'agisse de questionnements scientifiques nourris par des collaborations avec des chercheurs ou de symbolisme mystérieux, ses installations et performances mettent en scène notre rapport à la lumière.

HARA est constituée d'un panneau central découpé au laser. Cette structure est révélée par un vidéoprojecteur et une programmation permettant de mapper précisément les zones qui laissent passer la lumière. Un brouillard diffus permet de matérialiser les faisceaux lumineux dans l'obscurité.

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Transcription de la pastille sonore :  

Le container auquel vous faites face vous invite à une immersion dans l’installation "HARA" imaginée par Guillaume Marmin. “Hara” est un terme japonais qui signifie “ventre”, le ventre étant considéré là-bas comme le siège des émotions, alors que nos sociétés occidentales ont tendance à associer les émotions au cerveau.

Guillaume Marmin a spécialement créé cette œuvre pour être vécue dans un container, devenant alors une véritable expérience immersive à l’intérieur de ces ventres du monde industriel, voyageant en bateau à travers le globe et dans lesquels s'entassent des tonnes de vivres. En illuminant ces ventres de métal, l’artiste fait écho au mythe biblique de Jonas qui trouve la lumière divine dans le ventre de la baleine.

Avec cette projection son et lumière se rapprochant de l’hypnose, Guillaume Marmin nous transporte à travers de nombreuses émotions. Via ses installations et performances, il recherche un langage composé d’un alphabet de rythmes, de contrastes et de figures en mouvement. Il est continuellement à la recherche de nouveaux outils à expérimenter, d’observations à faire et utilise des outils modernes à la lueur de connaissances et de croyances anciennes ou lointaines.

Dans cette œuvre, l’association d’un panneau central découpé au laser à une vidéoprojection permet de définir précisément les zones révélées par la lumière et celles qui resteront dans l’ombre. Les rayons lumineux sont déviés par les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air qui forment un épais brouillard dans lequel vous baignez. Quant à l’univers sonore de "HARA", il est l'œuvre de la violoniste Christelle Lassort et du compositeur Frédéric Marolleau. Tous les trois ont créé cette installation qui vient jouer sur les évidences et perturber nos repères.  


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Dans la tradition japonaise, le HARA est le siège des émotions et la partie profonde de l'être sensible. C'est aussi la source principale du souffle vital. C'est cette essence spirituelle, cette vitalité séminale que Guillaume Marmin et le compositeur Frédéric Marolleau ont voulu restituer à travers une projection de matière-lumière immersive, une expérience intérieure empruntant à l'hypnose, à la contemplation active, à la physicalité du son et à notre soif d'abstraction.

Guillaume Marmin explore les liens entre lumière, son et espace. Son travail s’inscrit dans un renouveau de la création visuelle en s’affranchissant des formes classiques de narration. Qu'il s'agisse de questionnements scientifiques nourris par des collaborations avec des chercheurs ou de symbolisme mystérieux, ses installations et performances mettent en scène notre rapport à la lumière.

HARA est constituée d'un panneau central découpé au laser. Cette structure est révélée par un vidéoprojecteur et une programmation permettant de mapper précisément les zones qui laissent passer la lumière. Un brouillard diffus permet de matérialiser les faisceaux lumineux dans l'obscurité.

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Transcription de la pastille sonore :  

Le container auquel vous faites face vous invite à une immersion dans l’installation "HARA" imaginée par Guillaume Marmin. “Hara” est un terme japonais qui signifie “ventre”, le ventre étant considéré là-bas comme le siège des émotions, alors que nos sociétés occidentales ont tendance à associer les émotions au cerveau.

Guillaume Marmin a spécialement créé cette œuvre pour être vécue dans un container, devenant alors une véritable expérience immersive à l’intérieur de ces ventres du monde industriel, voyageant en bateau à travers le globe et dans lesquels s'entassent des tonnes de vivres. En illuminant ces ventres de métal, l’artiste fait écho au mythe biblique de Jonas qui trouve la lumière divine dans le ventre de la baleine.

Avec cette projection son et lumière se rapprochant de l’hypnose, Guillaume Marmin nous transporte à travers de nombreuses émotions. Via ses installations et performances, il recherche un langage composé d’un alphabet de rythmes, de contrastes et de figures en mouvement. Il est continuellement à la recherche de nouveaux outils à expérimenter, d’observations à faire et utilise des outils modernes à la lueur de connaissances et de croyances anciennes ou lointaines.

Dans cette œuvre, l’association d’un panneau central découpé au laser à une vidéoprojection permet de définir précisément les zones révélées par la lumière et celles qui resteront dans l’ombre. Les rayons lumineux sont déviés par les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air qui forment un épais brouillard dans lequel vous baignez. Quant à l’univers sonore de "HARA", il est l'œuvre de la violoniste Christelle Lassort et du compositeur Frédéric Marolleau. Tous les trois ont créé cette installation qui vient jouer sur les évidences et perturber nos repères.  


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Dans la tradition japonaise, le HARA est le siège des émotions et la partie profonde de l'être sensible. C'est aussi la source principale du souffle vital. C'est cette essence spirituelle, cette vitalité séminale que Guillaume Marmin et le compositeur Frédéric Marolleau ont voulu restituer à travers une projection de matière-lumière immersive, une expérience intérieure empruntant à l'hypnose, à la contemplation active, à la physicalité du son et à notre soif d'abstraction.

Guillaume Marmin explore les liens entre lumière, son et espace. Son travail s’inscrit dans un renouveau de la création visuelle en s’affranchissant des formes classiques de narration. Qu'il s'agisse de questionnements scientifiques nourris par des collaborations avec des chercheurs ou de symbolisme mystérieux, ses installations et performances mettent en scène notre rapport à la lumière.

HARA est constituée d'un panneau central découpé au laser. Cette structure est révélée par un vidéoprojecteur et une programmation permettant de mapper précisément les zones qui laissent passer la lumière. Un brouillard diffus permet de matérialiser les faisceaux lumineux dans l'obscurité.

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Transcription de la pastille sonore :  

Le container auquel vous faites face vous invite à une immersion dans l’installation "HARA" imaginée par Guillaume Marmin. “Hara” est un terme japonais qui signifie “ventre”, le ventre étant considéré là-bas comme le siège des émotions, alors que nos sociétés occidentales ont tendance à associer les émotions au cerveau.

Guillaume Marmin a spécialement créé cette œuvre pour être vécue dans un container, devenant alors une véritable expérience immersive à l’intérieur de ces ventres du monde industriel, voyageant en bateau à travers le globe et dans lesquels s'entassent des tonnes de vivres. En illuminant ces ventres de métal, l’artiste fait écho au mythe biblique de Jonas qui trouve la lumière divine dans le ventre de la baleine.

Avec cette projection son et lumière se rapprochant de l’hypnose, Guillaume Marmin nous transporte à travers de nombreuses émotions. Via ses installations et performances, il recherche un langage composé d’un alphabet de rythmes, de contrastes et de figures en mouvement. Il est continuellement à la recherche de nouveaux outils à expérimenter, d’observations à faire et utilise des outils modernes à la lueur de connaissances et de croyances anciennes ou lointaines.

Dans cette œuvre, l’association d’un panneau central découpé au laser à une vidéoprojection permet de définir précisément les zones révélées par la lumière et celles qui resteront dans l’ombre. Les rayons lumineux sont déviés par les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air qui forment un épais brouillard dans lequel vous baignez. Quant à l’univers sonore de "HARA", il est l'œuvre de la violoniste Christelle Lassort et du compositeur Frédéric Marolleau. Tous les trois ont créé cette installation qui vient jouer sur les évidences et perturber nos repères.  


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