L'HARMONIE DE NOTRE ABSENCE cover
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Lumières sur le Quai

L'HARMONIE DE NOTRE ABSENCE

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02min |04/08/2023|

232

Play
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Lumières sur le Quai

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02min |04/08/2023|

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Description

par Paul Vivien

À trop jouer avec le feu, l’Humain ne risquerait-il pas finalement de disparaître ? L’Harmonie De Notre Absence entend montrer les paysages terrestres qui en résulteraient, la beauté d’une Nature qui ne serait plus dérangée par nos activités. Sur un disque qui tourne au ralenti sur une platine vinyle hackée, une maquette filmée en direct donne corps aux images projetées à l’écran. Une invitation à observer, éprouver et à se balader dans un monde que l’on ne connaîtra jamais… .

Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Par le hacking et le réemploi, il crée la rencontre poétique entre les thèmes qui l’inspirent : le comportement animal, les phénomènes naturels, la science-fiction, le design low-tech et les arts forains. Il est l’un des cofondateurs du label OYÉ.

Le travail présenté ici est une maquette de Toulouse créée pour Lumières sur le Quai. Elle a été conçue en collaboration avec des scientifiques membres de l’Atécopol, afin de se rapprocher au mieux de la réalité d’une Terre post-humanité.

Avec la participation de Marc Deconchat, agronome et écologue à l’INRAE; Marieke Van Lichtervelde, géologue au GET, CNRS - UT3 - IRD - OMP; Gabriel Hes, doctorant sur les interactions végétation-climat à l’EDB, CNRS - UT3 - IRD; Emmanuel Discamps, archéologue à TRACES, CNRS - UT2J

En partenariat avec le Roselab
- - - 

Transcription de la pastille sonore :  

Et si l’espèce humaine disparaissait … à quoi ressemblerait la Terre ? Voicil’interprétation poétique de cette hypothèse post-apocalyptique de l’artiste Paul Vivien.
Une platine vinyle a été hackée et transformée en studio de cinéma miniature, avec une maquette sur la face du dessus. Ce paysage vous est peut-être familier : vous aurez reconnu Toulouse et ses monuments, paysage imaginé lors de la résidence de création de l’artiste au Quai des Savoirs et au Roselab. Ce petit diorama rotatif représente ses futurs possibles et est filmé par une caméra macro, qui donne cette vue de drone projetée sur un écran, pour une double lecture. 

Au verso, le diamant est inversée pour lire la musique par le bas. Le 33 tours diffuse du speedcore, un genre musical à la rythmique plutôt agressive mais qui ressemble ici à du vent car lu au ralenti puis remixé. 

Low-tech, l’installation utilise des matériaux naturels et de récupération avec du plastique recyclé pour l’impression 3D.
Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Hacking, détournement et réemploi dialoguent avec les thèmes qui l’inspirent : les phénomènes naturels, la science-fiction, ou encore le design low-tech. Il veut matérialiser dans l’espace réel ses imaginaires virtuels, en son, en lumière et en vidéo.

Face aux signaux d’alarme de plus en plus fréquents d’une imminente fin tragique de notre espèce, causée par les impacts de l’anthropocène sur notre environnement, il s’est interrogé sur la disparition de l’Humanité. Serait-ce vraiment si triste ? De notre point de vue égoïste, forcément. Du point de vue de la Nature : pas vraiment ! Il a donc souhaité proposer sa vision positive de la disparition de l’humanité, en imaginant ce que deviendrait les paysages terrestres après la fin de toute activité humaine. À contrepied des représentations dystopiques, il montre ici son interprétation poétique de la Nature reprenant le dessus sur les restes de nos civilisations. S'il n'y a plus d’humains, seule demeurera alors la beauté de la Nature, vivant dans l’harmonie de notre absence.
- - - 

https://lumieressurlequai.fr/ 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

par Paul Vivien

À trop jouer avec le feu, l’Humain ne risquerait-il pas finalement de disparaître ? L’Harmonie De Notre Absence entend montrer les paysages terrestres qui en résulteraient, la beauté d’une Nature qui ne serait plus dérangée par nos activités. Sur un disque qui tourne au ralenti sur une platine vinyle hackée, une maquette filmée en direct donne corps aux images projetées à l’écran. Une invitation à observer, éprouver et à se balader dans un monde que l’on ne connaîtra jamais… .

Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Par le hacking et le réemploi, il crée la rencontre poétique entre les thèmes qui l’inspirent : le comportement animal, les phénomènes naturels, la science-fiction, le design low-tech et les arts forains. Il est l’un des cofondateurs du label OYÉ.

Le travail présenté ici est une maquette de Toulouse créée pour Lumières sur le Quai. Elle a été conçue en collaboration avec des scientifiques membres de l’Atécopol, afin de se rapprocher au mieux de la réalité d’une Terre post-humanité.

Avec la participation de Marc Deconchat, agronome et écologue à l’INRAE; Marieke Van Lichtervelde, géologue au GET, CNRS - UT3 - IRD - OMP; Gabriel Hes, doctorant sur les interactions végétation-climat à l’EDB, CNRS - UT3 - IRD; Emmanuel Discamps, archéologue à TRACES, CNRS - UT2J

En partenariat avec le Roselab
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Transcription de la pastille sonore :  

Et si l’espèce humaine disparaissait … à quoi ressemblerait la Terre ? Voicil’interprétation poétique de cette hypothèse post-apocalyptique de l’artiste Paul Vivien.
Une platine vinyle a été hackée et transformée en studio de cinéma miniature, avec une maquette sur la face du dessus. Ce paysage vous est peut-être familier : vous aurez reconnu Toulouse et ses monuments, paysage imaginé lors de la résidence de création de l’artiste au Quai des Savoirs et au Roselab. Ce petit diorama rotatif représente ses futurs possibles et est filmé par une caméra macro, qui donne cette vue de drone projetée sur un écran, pour une double lecture. 

Au verso, le diamant est inversée pour lire la musique par le bas. Le 33 tours diffuse du speedcore, un genre musical à la rythmique plutôt agressive mais qui ressemble ici à du vent car lu au ralenti puis remixé. 

Low-tech, l’installation utilise des matériaux naturels et de récupération avec du plastique recyclé pour l’impression 3D.
Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Hacking, détournement et réemploi dialoguent avec les thèmes qui l’inspirent : les phénomènes naturels, la science-fiction, ou encore le design low-tech. Il veut matérialiser dans l’espace réel ses imaginaires virtuels, en son, en lumière et en vidéo.

Face aux signaux d’alarme de plus en plus fréquents d’une imminente fin tragique de notre espèce, causée par les impacts de l’anthropocène sur notre environnement, il s’est interrogé sur la disparition de l’Humanité. Serait-ce vraiment si triste ? De notre point de vue égoïste, forcément. Du point de vue de la Nature : pas vraiment ! Il a donc souhaité proposer sa vision positive de la disparition de l’humanité, en imaginant ce que deviendrait les paysages terrestres après la fin de toute activité humaine. À contrepied des représentations dystopiques, il montre ici son interprétation poétique de la Nature reprenant le dessus sur les restes de nos civilisations. S'il n'y a plus d’humains, seule demeurera alors la beauté de la Nature, vivant dans l’harmonie de notre absence.
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À trop jouer avec le feu, l’Humain ne risquerait-il pas finalement de disparaître ? L’Harmonie De Notre Absence entend montrer les paysages terrestres qui en résulteraient, la beauté d’une Nature qui ne serait plus dérangée par nos activités. Sur un disque qui tourne au ralenti sur une platine vinyle hackée, une maquette filmée en direct donne corps aux images projetées à l’écran. Une invitation à observer, éprouver et à se balader dans un monde que l’on ne connaîtra jamais… .

Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Par le hacking et le réemploi, il crée la rencontre poétique entre les thèmes qui l’inspirent : le comportement animal, les phénomènes naturels, la science-fiction, le design low-tech et les arts forains. Il est l’un des cofondateurs du label OYÉ.

Le travail présenté ici est une maquette de Toulouse créée pour Lumières sur le Quai. Elle a été conçue en collaboration avec des scientifiques membres de l’Atécopol, afin de se rapprocher au mieux de la réalité d’une Terre post-humanité.

Avec la participation de Marc Deconchat, agronome et écologue à l’INRAE; Marieke Van Lichtervelde, géologue au GET, CNRS - UT3 - IRD - OMP; Gabriel Hes, doctorant sur les interactions végétation-climat à l’EDB, CNRS - UT3 - IRD; Emmanuel Discamps, archéologue à TRACES, CNRS - UT2J

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Transcription de la pastille sonore :  

Et si l’espèce humaine disparaissait … à quoi ressemblerait la Terre ? Voicil’interprétation poétique de cette hypothèse post-apocalyptique de l’artiste Paul Vivien.
Une platine vinyle a été hackée et transformée en studio de cinéma miniature, avec une maquette sur la face du dessus. Ce paysage vous est peut-être familier : vous aurez reconnu Toulouse et ses monuments, paysage imaginé lors de la résidence de création de l’artiste au Quai des Savoirs et au Roselab. Ce petit diorama rotatif représente ses futurs possibles et est filmé par une caméra macro, qui donne cette vue de drone projetée sur un écran, pour une double lecture. 

Au verso, le diamant est inversée pour lire la musique par le bas. Le 33 tours diffuse du speedcore, un genre musical à la rythmique plutôt agressive mais qui ressemble ici à du vent car lu au ralenti puis remixé. 

Low-tech, l’installation utilise des matériaux naturels et de récupération avec du plastique recyclé pour l’impression 3D.
Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Hacking, détournement et réemploi dialoguent avec les thèmes qui l’inspirent : les phénomènes naturels, la science-fiction, ou encore le design low-tech. Il veut matérialiser dans l’espace réel ses imaginaires virtuels, en son, en lumière et en vidéo.

Face aux signaux d’alarme de plus en plus fréquents d’une imminente fin tragique de notre espèce, causée par les impacts de l’anthropocène sur notre environnement, il s’est interrogé sur la disparition de l’Humanité. Serait-ce vraiment si triste ? De notre point de vue égoïste, forcément. Du point de vue de la Nature : pas vraiment ! Il a donc souhaité proposer sa vision positive de la disparition de l’humanité, en imaginant ce que deviendrait les paysages terrestres après la fin de toute activité humaine. À contrepied des représentations dystopiques, il montre ici son interprétation poétique de la Nature reprenant le dessus sur les restes de nos civilisations. S'il n'y a plus d’humains, seule demeurera alors la beauté de la Nature, vivant dans l’harmonie de notre absence.
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À trop jouer avec le feu, l’Humain ne risquerait-il pas finalement de disparaître ? L’Harmonie De Notre Absence entend montrer les paysages terrestres qui en résulteraient, la beauté d’une Nature qui ne serait plus dérangée par nos activités. Sur un disque qui tourne au ralenti sur une platine vinyle hackée, une maquette filmée en direct donne corps aux images projetées à l’écran. Une invitation à observer, éprouver et à se balader dans un monde que l’on ne connaîtra jamais… .

Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Par le hacking et le réemploi, il crée la rencontre poétique entre les thèmes qui l’inspirent : le comportement animal, les phénomènes naturels, la science-fiction, le design low-tech et les arts forains. Il est l’un des cofondateurs du label OYÉ.

Le travail présenté ici est une maquette de Toulouse créée pour Lumières sur le Quai. Elle a été conçue en collaboration avec des scientifiques membres de l’Atécopol, afin de se rapprocher au mieux de la réalité d’une Terre post-humanité.

Avec la participation de Marc Deconchat, agronome et écologue à l’INRAE; Marieke Van Lichtervelde, géologue au GET, CNRS - UT3 - IRD - OMP; Gabriel Hes, doctorant sur les interactions végétation-climat à l’EDB, CNRS - UT3 - IRD; Emmanuel Discamps, archéologue à TRACES, CNRS - UT2J

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Et si l’espèce humaine disparaissait … à quoi ressemblerait la Terre ? Voicil’interprétation poétique de cette hypothèse post-apocalyptique de l’artiste Paul Vivien.
Une platine vinyle a été hackée et transformée en studio de cinéma miniature, avec une maquette sur la face du dessus. Ce paysage vous est peut-être familier : vous aurez reconnu Toulouse et ses monuments, paysage imaginé lors de la résidence de création de l’artiste au Quai des Savoirs et au Roselab. Ce petit diorama rotatif représente ses futurs possibles et est filmé par une caméra macro, qui donne cette vue de drone projetée sur un écran, pour une double lecture. 

Au verso, le diamant est inversée pour lire la musique par le bas. Le 33 tours diffuse du speedcore, un genre musical à la rythmique plutôt agressive mais qui ressemble ici à du vent car lu au ralenti puis remixé. 

Low-tech, l’installation utilise des matériaux naturels et de récupération avec du plastique recyclé pour l’impression 3D.
Fasciné par les nouvelles technologies, Paul Vivien explore aussi bien leurs possibilités en tant qu’outil que leur impact sur notre société. Hacking, détournement et réemploi dialoguent avec les thèmes qui l’inspirent : les phénomènes naturels, la science-fiction, ou encore le design low-tech. Il veut matérialiser dans l’espace réel ses imaginaires virtuels, en son, en lumière et en vidéo.

Face aux signaux d’alarme de plus en plus fréquents d’une imminente fin tragique de notre espèce, causée par les impacts de l’anthropocène sur notre environnement, il s’est interrogé sur la disparition de l’Humanité. Serait-ce vraiment si triste ? De notre point de vue égoïste, forcément. Du point de vue de la Nature : pas vraiment ! Il a donc souhaité proposer sa vision positive de la disparition de l’humanité, en imaginant ce que deviendrait les paysages terrestres après la fin de toute activité humaine. À contrepied des représentations dystopiques, il montre ici son interprétation poétique de la Nature reprenant le dessus sur les restes de nos civilisations. S'il n'y a plus d’humains, seule demeurera alors la beauté de la Nature, vivant dans l’harmonie de notre absence.
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