Speaker #0Hello, c'est Amba, je vous accapare pour une petite minute avant votre épisode Taroscope pour vous dire que ce lundi 19 mai, j'ouvre les inscriptions pour la première édition de la formation Cartomancy. Alors vous le savez peut-être, je suis formatrice en énergétique et en Cartomancy notamment. La formation énergétique est déjà à sa cinquième édition, avec une soixantaine d'énergéticiens formés, un taux de réussite à 98% et vous avez été nombreux à me demander ... de créer une formation pour les cartomanciens pour vous aider à implémenter la lecture de cartes et l'utilisation du pendule pour des tirages personnels et ou dans un cadre professionnel. Alors cette formation cartomancie, elle débutera en septembre, elle nous tiendra tout le long de cet automne, une vraie phase de transformation. Si vous voulez y participer, il y a une dizaine de places pour cette première session. Vous pouvez avoir toutes les informations. soit en me suivant sur Instagram, c'est en bas.manipoura, je partage en story tous les jours les informations nécessaires, ou alors directement vous inscrire à la liste d'attente Cartomancy, le lien se trouvera dans la description de l'épisode, pour des inscriptions du coup la semaine du 19 mai, et une fois que toutes les places sont parties, je ferme tout ça, et on se retrouve pour ceux qui souhaitent entreprendre ce chemin de la lecture de cartes tarot professionnelle. Cet automne, pour cette première édition, je vous remercie de votre écoute et je vous laisse avec votre épisode. Bienvenue sur Manipura, un podcast de développement spirituel qui s'adresse à vous, si vous souhaitez vous reconnecter à votre plein pouvoir, en prenant confiance en vos capacités et en étant aligné avec vous-même et l'univers. vers une sphère émotionnelle et mentale équilibrée et un égo sain. Je suis Amba, énergéticienne, tarot, astrologue, et ma mission est de vous aider à développer toutes les ressources déjà en vous. À travers des outils comme l'énergie, l'astrologie et la phantomatie, mon objectif est de vous rendre acteur de votre mieux-être et indépendant sur le chemin de votre spiritualité. Je vous souhaite une excellente écoute. Bonsoir à tous et bienvenue sur le podcast Manipura, j'espère que vous allez bien, que vous vous portez bien. Moi j'ai un petit latté avec moi, j'ai mon chat sur les genoux, je suis prête et motivée à ce qu'on fasse ensemble ce dernier épisode de notre série sur le système nerveux. C'est une série qui nous aura tenu tout le long de ce début d'année, donc il est temps qu'on la finisse. J'ai hâte de vous parler d'autres sujets également, qui ne seront pas en série pour le coup, mais qui sont tout aussi intéressants. remettre un petit peu aussi l'énergie sur le devant de la scène, parler de cartomancie, également parler de sujets un peu plus déroulement de pensée. Mais aujourd'hui, c'est un épisode, je dirais, sur cette série du système nerveux un petit peu fourre-tout. C'est-à-dire qu'on a beaucoup théorisé, on a un peu pratiqué aussi dans cette série système nerveux, mais ce qui m'importe aujourd'hui, c'est vraiment plus de vous donner un petit retour plus personnel, je dirais, sur ce qui m'a aidé moi... Plus particulièrement en espérant que ça puisse vous inspirer ou que vous puissiez choper deux, trois petits trucs qui vous aident comme ça. Légers retours d'expérience sont trop métallés, mais surtout voilà, les petites choses qui m'ont aidée. Et aussi surtout, une des grandes questions que je me suis posée c'est, est la spiritualité là-dedans ? Est l'énergie là-dedans ? Le système nerveux c'est un super outil, mais moi je suis énergéticienne. Comment j'incorpore tout ça dans mes pratiques ? Et j'ai aussi envie de vous parler de tout ce qui peut nous réguler au-delà de nous-mêmes. c'est à dire que dans ces épisodes On a beaucoup parlé d'auto-régulation. Aujourd'hui j'ai aussi envie de vous parler de co-régulation, de comment on se régule aussi via d'autres moyens que juste soi à soi-même. Parce que oui, il y a d'autres moyens évidemment. Donc c'est un peu un épisode fourre-tout déroulage de pensée. J'espère que ça vous aidera. Il y aura à prendre ou à laisser peut-être. Mais je vous propose d'avoir cette conversation ensemble. Enfin pour le coup c'est un peu un monologue, mais n'hésitez pas à lancer la conversation dans les commentaires. Je serais hyper curieuse de savoir si parmi les choses que je vais citer aujourd'hui, il y a des choses qui vous aident à mieux vous réguler, à vous sentir mieux aussi dans votre corps, à mieux comprendre son fonctionnement. Et en quoi, je dirais les petits points clés de cette série sur le système nerveux qui vous ont vraiment aidé. Ça, je serais vraiment curieuse de le savoir, donc n'hésitez pas à me le dire en commentaire. Et en parlant de commentaire, je vous lis deux suites. Un qui m'a été laissé par Chris, qui dit « Un cadeau d'avoir rencontré Amba. » Bienveillante, douce à l'écoute, très professionnelle, j'ai eu l'occasion de faire une guidance, une séance soins actifs, incroyable, mon énergie a refait surface, merci et à bientôt. Merci Chris, avec grand plaisir, merci beaucoup pour ton message, c'est très gentil. Ok, et bien écoutez, on est parti, sans transition, sans trop m'étaler non plus, je pense que j'en ai déjà un petit peu parlé, mais déjà pour... réguler son système nerveux, je pense qu'il faut savoir déjà s'il est dérégulé. Et j'espère que cette série d'épisodes vous a aidé à comprendre les signes de dérégulation. Mais en fait, il faut savoir, et on peut peut-être commencer par ça, que c'est normal d'avoir des dérégulations dans la journée, dans la semaine, dans le mois. Enfin, c'est pas un signe que votre système nerveux est en PLS si vous vous sentez dérégulé de temps en temps. C'est même plutôt une bonne chose parce que ça veut dire que ça fonctionne, ok ? votre neuroception, ce côté alerte au danger potentiel, réaction en chaîne du corps, ça veut dire que le système nerveux est capable de switcher entre les états et c'est plutôt bon signe. Ce qui va nous poser problème, c'est quand la dérégulation reste vraiment pendant un certain temps et on a vraiment du mal pour le coup à switcher dans les autres états. On reste par exemple dans un mode apathique ou on reste dans un mode de mobilisation avec le système dorsal et ou le système sympathique. C'est vraiment ça qui va poser problème. mais On va vraiment faire un point là-dessus, très très important. On n'est pas fait pour être émotionnellement, nerveusement régulé tout le temps. Parce que la dérégulation nous aide aussi. Nos émotions vont nous permettre de voir quand on a dépassé nos limites, quand les autres dépassent nos limites, quand on sent que quelque chose ne fait pas sens pour nous, quand on sent que quelque chose fait sens pour nous. Donc les émotions sont tout autant de points de repère et c'est pour ça qu'en fait c'est hyper important de se laisser traverser. Et c'est sain d'ailleurs de se laisser traverser par ces émotions-là, c'est pas un signe de dérégulation que de ressentir plein de trucs en fait. D'être régulé, ça veut pas dire d'être tout le temps calme. Ça veut dire qu'on est capable de ressentir toute notre palette d'émotions et de revenir à un état régulé après. Par exemple, d'être très en colère ou d'être très triste, ça fait partie de notre expérience en tant qu'humain, ça fait partie des choses qui nous traversent. Par contre, entre se laisser traverser par quelque chose et y habiter tout le temps, dans cette émotion, là, évidemment, il y a un gap. Les émotions ne sont pas faites pour durer. Je crois que normalement, la durée d'une émotion, c'est genre 5 secondes. Ce qui va nourrir l'émotion, c'est plus toutes les réactions en chaîne qu'on a derrière, que ce soit au niveau des pensées, au niveau des appréhensions, des signes de notre corps. Par exemple, si on sent de l'anxiété, il va y avoir cette boule dans le ventre et du coup, on va l'entretenir par la pensée, on va l'entretenir par le focus qu'on en fait de se sentir pas bien et oppressé. Et bien ça, ça va nourrir, alimenter, catalyser l'émotion en un point fixe. Alors qu'une émotion, elle est quand même faite normalement pour être dans une sorte de flot à venir et à repartir. Elle vient, elle transmet une information en particulier et puis après, elle est censée se diluer. Donc ça, c'est un point qui est important pour moi déjà de faire. C'est que quand vous avez envie de pleurer toutes les larmes de votre corps, quand vous avez envie de taper dans un coussin, toutes ces choses-là, c'est de la... De la régulation aussi, parce que vous êtes en train de libérer une énergie, une émotion qui est stockée. Ça ne va peut-être pas forcément traiter le fond, mais en tout cas ça traite la forme. Et de penser que la régulation ce serait de ne plus regarder ses émotions, ou en tout cas essayer de les mettre un peu sous silence et de se mettre sous pression pour ne plus ressentir, c'est clairement pas ça. Là c'est plus de l'oppression que de la régulation. la capacité à réguler ses émotions. C'est la capacité en fait à pouvoir les exprimer toutes, de créer un espace propice pour les exprimer et de pouvoir voir qu'est-ce qu'on en fait aussi. Parce qu'une fois que l'émotion est passée, elle est quand même venue donner une information, c'est peut-être important de voir qu'est-ce qu'on peut en faire, est-ce que ça vaut le coup qu'on s'y arrête. Surtout si c'est quelque chose qui revient de manière récurrente dans certaines situations ou si au contraire ça décrivait simplement un état assez anecdotique. Et c'est important aussi de faire cette différence je pense parce que souvent... Les personnes anxieuses vont penser qu'une émotion qui est très anecdotique, on doit en faire tout un pataquès. Alors souvent c'est juste des choses qui nous traversent et qui font partie de l'expérience parce qu'en fait on est en train d'interagir avec le monde et pas tout a pour vocation à ce qu'on s'y arrête en fait. et cette différence entre qu'est-ce qui vaut le coup d'être processé en dehors de juste libérer l'émotion et où ce ce qu'on peut juste libérer, bon, pas trop s'attarder sur le message, ou en tout cas se dire que ça fait juste partie de l'expérience, cette différence de traitement, je pense qu'elle est possible que quand on apprend à réellement s'écouter et à s'observer. C'est-à-dire, écouter, c'est qu'est-ce qui se passe dans mon corps, et observer, c'est à quel moment ça arrive, quelles sont les situations, etc. Et quand on arrive vraiment à avoir un peu plus d'état de présence, en fait, avec soi-même, on va réussir, de manière assez naturelle, je pense, à faire le tri au fur et à mesure. sur ce qui vaut le coup ou pas qu'on s'arrête. Est-ce que j'ai juste à libérer une émotion, ce qui est déjà un travail en soi, ou est-ce que derrière cette libération il y a quand même un petit truc de qu'est-ce que je peux en faire de cette émotion si elle est vraiment récurrente et elle arrive vraiment dans des situations spécifiques à chaque fois, etc. par exemple. Donc voilà, petit point qui est important, la régulation ça ne veut pas dire être tout le temps dans un état de calme, c'est être capable d'être dans l'expression de ses émotions, de créer des moments qui soient propices à ça pour éviter d'être dans soit une oppression de ses émotions, soit de s'en dissocier complètement et d'essayer de ne plus les voir, de ne pas les regarder. Ressentir l'émotion, agir avec, ça fait partie de la régulation à 1500%. Pourquoi je vous parle de ça ? Parce que, ben voilà, avant de pouvoir travailler sur son système nerveux, je pense qu'il faut aussi vous comprendre quand est-ce qu'on est dérégulé, parce que souvent les gens sont dérégulés mais ne le savent pas. Je prends souvent mon exemple de moi qui suis restée pendant un an ou deux vraiment en loup solitaire, à voir quasiment personne et à être bien dans ma petite grotte de mon chez-moi. clairement j'étais hyper confort mais c'est pas quelque chose d'hyper sain C'est-à-dire que même si je pensais bien me réguler par moi-même, la moindre interaction sociale, pour moi, allait amener une dérégulation. Donc on voit que là, il y a un rapport qui est vraiment pas sain, où en fait, là où je pensais qu'être solitaire, c'était un trait de personnalité, alors ça veut pas dire que je suis non plus la personne qui va adorer être au milieu des fêtes 24h sur 24, mais encore une fois, faut doser. Mais juste, c'est pas un trait de personnalité dans mon cas d'être solitaire, ça a été juste un mécanisme de protection à un certain moment que j'ai pris après pour un trait de personnalité. De même, les gens qui sont très stressés ou qui sont colériques ou qui sont apathiques, c'est pas un trait de personnalité que de dire qu'on est feignant ou qu'on est naturellement stressé, qu'on est naturellement un peu sur ses gonds à chaque fois, c'est pas un trait de personnalité ça, c'est vraiment des signes de dérégulation qui sont tellement... Un état de dérégulation qui est tellement présent en quotidien qu'on a cru en faire un trait de personnalité. Donc avant de vouloir se réguler, déjà je pense que c'est important d'avoir, peut-être de parler à quelqu'un, à un professionnel ou autre, si on n'a vraiment pas la vision, mais de voir quels sont les potentiels signes de dérégulation dans notre quotidien, qui font tellement partie du décor. Par exemple, se dissocier pendant des heures sur son téléphone, ou chercher à fuir toute interaction sociale parce qu'on n'arrive vraiment pas à... On appréhende les rencontres. Bah, c'est pas des choses qui... C'est pas juste je suis quelqu'un de renfermé et quelqu'un de timide. Il peut y avoir de la timidité là-dedans, mais de redouter l'autre, de redouter la connexion, c'est déjà qu'il y a un petit quoi quelque part. Voilà, repérez déjà les signes de dérégulation, je dirais. Dans mon cas, je vais vous donner un petit peu les choses qui m'ont vachement aidée. Vous le savez, j'en ai déjà fait tout un épisode, si vous tapez déréalisation. ou des personnalisations sur le podcast, sur le Manipura, vous allez le trouver. Je vous disais, je vous ai déjà dit plusieurs fois, qu'une de mes manières dont le stress se matérialise, c'est ces épisodes de déréalisation. Clairement, maintenant j'en suis très loin, j'en ai eu quelques-uns au début de l'année, mais je vais vous expliquer. Ce qui m'a aidée, c'est de me dire, ok, en fait cet état de déréalisation, dans mon cas, il arrive quand je suis très fatiguée, ce qui fait sens, je me dissocie un petit peu. Il arrive quand j'ai des palpitations, parce que les palpitations, ça me rappelle parfois certaines crises d'angoisse que j'ai pu avoir, et du coup ça me met directement en mode, oh là là, mon dieu, je l'ai déréalisé, alors que c'est une réaction en chaîne, et c'est moi qui crée via le mental cette appréhension de la réaction. Ce qui m'a aidée en tout cas à gérer la déréalisation en début d'année, et ça va beaucoup mieux depuis, c'est de me dire que, déjà, ça je vous en ai déjà parlé, c'est un symptôme de stress parmi tant d'autres. Donc on... On va traiter la déréalisation comme on traite, je ne sais pas, les palpitations ou les sueurs froides. C'est vraiment un état de stress, une conséquence due à une anxiété. Ce qui m'a vachement aidée, c'est de me dire, mais en fait, dans ces moments de déréalisation, j'ai l'impression de me dissocier du monde. En fait, ce qui me fait peur, ce qui me faisait peur, c'est ce côté, si je me dissocie du monde, je ne suis plus raccrochée. Et du coup, je ne suis plus reliée aux autres. Et du coup, je suis seule dans ma bulle et je n'arriverai plus jamais à connecter. C'est ça qui fait peur, en fait, dans la déréalisation, pour ceux qui l'ont déjà vécu. Ce qui m'a aidée, c'est de me dire, mais en fait, à ce moment-là, au contraire, toutes mes antennes sont déployées parce que je cherche à fond à me connecter au monde. Je suis à fond en train d'essayer de me raccrocher à tout ce qu'il y a autour de moi. Et dans ma peur d'être déconnectée des gens, en fait, j'ai une grande... attention et intention à vouloir m'y reconnecter. Donc en fait, dans ces moments de déréalisation, c'est pas des moments où je suis le plus coupée du monde, c'est au contraire les moments où j'essaie de m'y connecter le plus, où je cherche activement et consciemment des points d'ancrage autour de moi de ce que je peux pour pouvoir Me raccrocher au monde. Ça, ça m'a vachement aidée de me dire, mais en fait, c'est pas des moments où je me dissocie du monde, c'est des moments où j'essaie de m'y connecter encore plus. De switcher ce... Même pas ce langage, mais cette compréhension de la déréalisation, ça m'a vachement aidée à être un peu plus en paix et m'accompagner dans ces moments-là. Ça m'a vraiment, vraiment aidée. Ce qui m'a aidée aussi, c'est de... Je vous en ai peut-être déjà parlé, de verbaliser l'angoisse. C'est-à-dire que maintenant... Alors c'est vrai que ça dépend qui m'entoure à l'instant T, mais si je sens une petite montée... Déjà, s'il y a des petites montées, dans telle ou telle situation, c'est ok, c'est normal. Et de respirer avec et de se dire, ok, là, je sens une montée. Une petite montée d'angoisse, je respire avec. Le but, c'est de simplement comprendre que ça fait partie du décor, de tous ces flux qui nous traversent. Et de ne pas se dire, oh mon dieu, il y a la montée, ça ne va pas aller. Non, mais juste, ok, là, clairement, je suis dans un état de stress, je vais le notifier. Je ne vais pas chercher à le fuir, je ne vais pas chercher à mon... Peut-être que ça m'affole un petit peu, mais je ne vais pas chercher à le faire. Je vais respirer avec et je vais rester dans ma situation. Et je respire avec. Et ce qui m'a aidée, c'est de verbaliser l'angoisse. C'est-à-dire, par exemple, dire, quand je suis entourée d'amis ou autres, de dire, là, je me sens angoissée. Je ne sais pas pourquoi, parce que souvent, je ne sais pas pourquoi, lâchant que j'ai une petite angoisse. Mais juste dire ça, ça désamorce le côté, il ne faut pas que les gens le remarquent, il ne faut pas que je fasse remarquer, il faut que j'agisse normalement etc Ça m'est même arrivé de le dire à des gens que je ne connaissais pas trop, que je rencontrais pour la première fois ou autre, de dire ah là je me sens un petit peu angoissée, bon je respire un peu avec et je continue de parler avec toi. Ça peut paraître anodin, mais juste de verbaliser l'angoisse ça permet de désamorcer comme je vous disais ce masque qu'on va essayer de porter et qui au final est... hyper difficile à maintenir, parce qu'on essaye de maintenir un masque, de maintenir un masque, mais du coup on essaye de contenir aussi l'angoisse pour pas qu'elle nous submerge, et je vous laisse deviner, en fait ça fait l'effet inverse, on est complètement supergé après. Donc de verbaliser l'angoisse, franchement, même si au contraire, souvent ça va... Vraiment suffira à désamorcer en se disant mais en fait je vais pas me pressuriser à faire genre, je désamorce le truc et souvent dans la peur de l'angoisse et surtout la peur de pas gérer la situation, ça permet de rajouter un ancrage à la situation que de verbaliser ce qui se passe en nous et du coup ça va mieux quoi. Et vous serez surpris à quel point les gens en face sont hyper compréhensifs et surtout peut-être aussi qui vont... avoir la démarche de vous dire aussi les choses. Quand tu dis ça, ça me fait tout drôle, etc. Ils vont avoir la démarche aussi de partager, au-delà du mental, les émotions que véhicule la conversation, que véhicule le moment. Et du coup, on est sur des rapports humains qui sont hyper cools, ou qui sont beaucoup plus fluides, où on laisse tomber un peu les masques. On est sur quelque chose d'hyper authentique pour le coup, où chacun véhicule un peu ce qu'il traverse, alors en tout cas ce qui lui semble important sur le moment. Moi je trouve ça super cool. Voilà, donc ça, ça m'a pas mal aidée. Et comme je vous disais, d'accepter l'angoisse quand elle arrive, de s'asseoir avec elle, de pas chercher à la rogner, à la pousser, parce que ça franchement je vous dis, et ça on en a parlé dans tous les épisodes, la fuite c'est vraiment le pire truc à faire parce que ce n'est que reporter à plus tard ce qui pose souci, et même C'est même pas reporté à plus tard parce que ça va tellement s'escalader qu'à un moment, vous allez faire face à un mur et vous allez vous le prendre. Donc vraiment, la fuite, c'est vraiment... C'est pas la solution. Ce qui m'a aidée aussi, c'est de me dire... Vous savez, vous avez des... Des moments où vous êtes dans un état de stress, d'anxiété, et vous avez d'autres moments où ça va. Ça, on a souvent tendance à se dire, il y a cette part de moi qui est comme ça, il y a cette part de moi qui est comme ça, et comme si elle ne cohabitait pas. On va en reparler ça dans un prochain épisode, parce que j'ai vraiment envie qu'on parle de ça, des différentes parts de soi et comment elles interagissent, mais enfin bref. Mais souvent, quand on est stressé, la partie de nous... qui est apaisée, elle nous paraît hyper loin. Alors qu'en fait, de prendre conscience qu'on est un être multiple, je suis multiple, et la partie de moi qui se régule, qui arrive à se réguler, elle n'est jamais très loin. Elle est dans le même corps. La partie de moi qui se régule, elle est dans le même corps. Et c'est une erreur que de penser que quand je suis dans un état de stress et d'anxiété, elle est à des années-lumière. Elle n'est jamais très loin. Et souvent, il suffit d'un petit switch pour faire le basculement. Autant pour l'un que pour l'autre. C'est-à-dire que dans des états d'abusement, il suffit d'un petit switch, d'un petit trigger, d'un petit truc qui me déclenche pour que j'aille dans mes états d'affolement. Mais de la même manière, dans mes états d'affolement, il suffit parfois d'un petit switch, d'une petite reprise de conscience, et ça je vais vous en parler, pour revenir dans un état de régulation. Et c'est aussi simple que ça. Donc en fait, je suis un être multiple. Ces différentes facettes de moi, elles ne sont pas du tout déconnectées les unes des autres. non elles sont dans le même corps, dans le même cerveau, dans le même cœur. Et le switch peut se faire aussi facilement de l'un que de l'autre. Je peux arriver dans des états de stress hyper facilement, mais de la même manière, je peux revenir dans des états d'apaisement hyper facilement aussi, parce que la partie de moi qui se régule, elle n'est jamais très loin. Elle n'est pas à des années de lumière, elle est dans le même corps. Donc ça, ça a été important pour moi de me dire aussi que ces parties de moi... Elle switch facilement parce que la partie de moi régulée, elle n'est jamais aussi loin que ça au final. Autre chose, il n'y aura pas de transition dans ce podcast, je vous préviens, c'est vraiment du déroulement de pensée avec mes prises de notes. Autre chose qui m'a aidée, quand vous faites beaucoup de crises d'angoisse, souvent on va avoir la vision de la vie ponctuée par ces crises d'angoisse. C'est-à-dire, quand est-ce que va arriver la prochaine ? Ce qui fait qu'on est en attente du prochain état de stress. Et évidemment, je vous laisse deviner que dans cette phase d'attente, on n'est pas hyper apaisé. On est au contraire en train de se dire, c'est quand le moment où ça va péter ? C'est un petit peu ça l'idée. Ce qui m'a aidée, c'est de me dire de ne pas visualiser ma vie comme ponctuée par mes crises d'angoisse, mais plutôt ponctuée par les moments qui sont entre où je me sens bien. C'est-à-dire, au lieu de me dire, je vais appréhender la prochaine crise d'angoisse, de plutôt ponctuer ma vie sur quand est-ce que sera le prochain état d'apaisement. Et bien, ça permet un switch pour se centrer sur... le rythme qu'on veut en fait, le rythme de l'apaisement, en tout cas le rythme qui nous fait le plus de bien, plutôt que de focus, plutôt que de se centrer sur c'est quand le prochain pic de stress qui va me mettre en angoisse quoi. De visualiser ma vie plutôt ponctuée par mes états d'apaisement plutôt que par les potentiels futurs qui les angoissent. Je ne sais pas si c'est facilement compréhensif expliqué comme ça, mais moi ça m'a beaucoup aidée. Ce qui m'a aidée aussi, bon ça j'en ai parlé dans les derniers épisodes, mais c'est tout ce qui va être de se confronter aux choses petit à petit. C'est-à-dire, par exemple, être entourée, c'était compliqué. Donc, petit à petit, de me désensibiliser en sortant de ma coquille tranquillement, en y allant vraiment étape par étape. Vraiment cette désensibilisation. Ça, je vous en ai déjà parlé dans les précédents épisodes. Et aussi de notifier mes progrès. Ça, c'est hyper important et célébrer vos succès. Par exemple, dès qu'il y a quelque chose que vous aviez redouté et qui se passe bien, notifiez-le, écrivez-le, ça va permettre un point d'ancrage pour la suite, pour quand dans les moments où vous êtes en angoisse, de vous dire « mais la dernière fois j'avais peur de ça et finalement c'était pas si terrible » . Je vous donne un exemple, moi le gros pic des soucis que j'avais eu c'était en janvier 2024, j'ai passé mon mois de décembre à redouter mon mois de janvier, j'ai eu une petite déréalisation le 1er janvier vraiment parce qu'on basculait dans le mois de janvier, une petite peur, une appréhension qui m'a un peu pris la nuit. J'ai respiré et au final ça s'est bien passé. Et tout ce côté de redouter une date ou redouter un moment, au final c'est toute la construction nerveuse qu'on va se faire autour qui crée l'appréhension. Mais quand on est dedans, on se rend compte, ok, là au final ça se passe bien. Peut-être qu'il y a des jours avec et des jours sans, mais ça c'est tous les mois. Et tout va bien au final. Pareillement, une des choses qui m'avait beaucoup impactée, moi c'était le sommeil. J'ai toujours été une très bonne dormeuse. dans la période de 2024 où ça n'allait pas, tout d'un coup, je faisais des nuits horribles et difficiles, c'est de me dire, à chaque nuit que j'appréhendais qu'il se passait bien, de me dire que ça s'est bien passé. Ça s'est bien passé, j'ai bien géré. Il y a eu des petites montées de stress parfois. Il y a eu des petites montées d'angoisse, mais au final, j'ai respiré, ça va. Quand je tournais dans le lit, je me suis levée. J'ai respiré, j'ai surtourné. J'ai géré, en fait. J'arrive à gérer parce que j'essaye de notifier. de pas lutter, de faire avec, essayer de m'accompagner, de faire des petites choses qui me font du bien, etc. Tout ça, de notifier vos efforts, vos avancées, aussi petites que soient-elles, ou même les grandes, de vraiment prendre le temps de les notifier, ça va vous déconditionner de cette appréhension qui peut arriver parfois, et vous déconditionner de vos triggers, de vos déclencheurs. Parce que souvent, quand on est dans des états d'affolement, on s'y fit vachement bien, nos états d'affolement, mais quand vous êtes dans des états où vous arrivez à vous réguler, mais faites-vous la fête, ou en tout cas, vraiment, prenez le temps de noter ou de respirer en vous-même en disant, waouh, j'ai réussi, j'ai géré, bon, j'ai peut-être pas géré tout le long, mais j'ai géré un petit peu déjà, et c'est bien. Vraiment, ça, ça va renforcer votre confiance de pouvoir revenir dans un état de régulation beaucoup plus facilement que ce que vous pensiez. En fait, ce qui se passe et ce qui est trop cool, c'est que tous ces moments que vous prenez à notifier quand vous réussissez à vous réguler, ce sera autant de preuves, entre guillemets, pour les moments, pour la vous ou le vous angoissé, autant de preuves de vous dire j'ai réussi à ce moment-là, là peut-être que j'y arrive pas trop, mais j'ai réussi à ce moment-là. Ça crée vraiment un marqueur de preuves de je suis capable de sortir de cette situation, je l'ai déjà fait. Peut-être là, je n'y arrive pas trop, mais je l'ai déjà fait. Je connais le chemin retour. Tiens, je vais vous en parler de cette notion de chemin de retour. Déjà, une chose, c'est que quand vous êtes anxieux, il y a forcément cet état d'affolement qui fait que vous allez douter de tout. D'où l'importance d'avoir créé des marquages, des repérages, des preuves en amont. Parce que quand on est dans un état d'angoisse, c'est hyper dur de se raisonner. Donc, on doute de tout. On doute de nos capacités, on doute de nos ressources. On a difficilement accès à ça. Ce n'est pas impossible, évidemment. mais quand on est dans un état d'angoisse tout ce qui est mental c'est un petit peu confus il vaut mieux revenir au corps mais voilà dans le mental on doute de tout, on doute de nos ressources on doute de tout ce qu'on est capable de faire et du coup forcément l'état d'affolement fait qu'on pense au pire on se dit que ça va être de pire en pire que ça va jamais s'arranger etc il y a la drama queen qui se réveille quand vous avez la drama queen qui se réveille vous pouvez lui donner un nom, vraiment ça je vous en ai parlé ça peut aider, de vous dire elle va toujours aller dans la direction du pire Une fois que vous avez capté la direction à chaque fois, par exemple moi c'était, si je suis dans un état d'angoisse permanent, je pourrais plus travailler, je pourrais plus accompagner, je pourrais plus tout y cointir à état d'affolement. Même si dans l'état d'affolement, c'est difficile de casser ce discours intérieur, au moins de le notifier, juste de le notifier d'ailleurs, ça aide à le désamorcer, parce qu'il y a ce côté, ah, je la connais cette direction, ça m'a fait exactement la même chose la dernière fois. Et pourtant, quelques jours après, j'étais capable de tenir mes rendez-vous, j'étais capable de faire ci, j'étais capable de faire ça. Quand vous êtes dans ce drama intérieur, quand vous êtes dans cet affolement intérieur, c'est pas l'idée d'en sortir, mais juste de le notifier. Ça permet de se dire, ah, je connais la direction qu'on essaye de me faire prendre, je vois un petit peu le chemin, là c'est toujours un peu le même d'ailleurs, parce que c'est toujours évidemment les mêmes peurs qui reviennent pour tout un chacun. Dans ces moments-là, c'est pas tant l'idée de vous raisonner, parce que c'est difficile de se raisonner sur le moment, C'est plus... D'avoir vraiment la foi et la confiance, c'est là aussi que peut-être la spiritualité peut rentrer en jeu, que c'est un état impermanent et que ça va tranquillement se décanter aussi. C'est l'idée de croire aveuglement cette foi inébranlable que, dans tous les cas, cette direction-là, elle vient d'un état d'affolement et elle va s'apaiser une fois que l'état d'affolement sera passé. Ça demande un petit peu de pratique parfois, d'écouter cette petite étincelle. surtout quand on est dans cet état d'affolement mais plutôt que de suivre cette petite voix cette drama queen qui dit regarde vers quoi on va regarde le mur que tu vas te prendre, regarde ce qui va se passer regarde ça juste essayer de se centrer sur cette petite étincelle qui se dit ça va passer, il faut juste que je respire avec ça, c'est pas évident au début mais au final plus on fait ce chemin plus on gagne en confiance et plus on est capable de reconnecter à nos ressources justement pour nous réguler Et aussi de se dire, quand on est dans cet état d'affolement, ok, là, dans ma tête, dans mon corps, c'est la panique, mais là, je suis en sécurité, là où je suis, tout va bien. C'est juste une panique dans mon corps, en fait. Mais en soi, dans l'état présent, actuel des choses, tout va bien, je suis en sécurité. Tout ça, c'est des choses où on construit notre confiance, et ça se fait, encore une fois, avec tous les conseils des précédents podcasts. Mais le moment où l'état d'affolement passe, de notifier l'illusion dans laquelle vous aviez été emporté. Dès que vous revenez dans un état d'anxiété, juste de réaliser cet état d'anxiété pour ce qu'il est, mettre une petite marque, un petit point de repère, une petite note à l'intérieur de vous-même. Et au fur et à mesure de l'expérience et du vécu de cet état, de plus en plus vous allez être capable de vous réancrer plus rapidement dans la régulation. En fait, ce que j'essaye de vous expliquer, c'est de notifier les moments entre les moments où c'est hyper chargé et les moments où vous vous déchargez. Entre les moments où c'est l'affolement et les moments où ça ne l'est plus. Et de vraiment notifier ce switch, c'est ça qui va créer cette adaptation, cette capacité, cette flexibilité entre les états. Et je voulais vous parler de ça, ce fameux chemin retour dont je vous parlais, ce côté quand on revient à soi. Il y a un truc qui est hyper important et que je pensais, je me disais mais mon dieu ça va me prendre un temps fou de revenir dans un état de régulation tellement je me suis perdue dans la dérégulation pendant des années ou des mois etc. Et bien c'est faux, cette croyance elle est complètement fausse, au contraire, le chemin retour c'est plus facile parce que moins il y a de grippe à votre anxiété, moins il y a de grippe auquel peut s'attacher votre anxiété, moins vous dévalez la pente. et plus vous pouvez remonter facilement. Le chemin retour, Il est différent que le chemin allé dans l'anxiété. Le chemin de retour, il est différent parce que vous êtes capable de vous voir à l'extérieur. Donc vous avez moins cette attache, ces choses qui vous agrippent. Et du coup, vraiment, le chemin retour est plus rapide. Je ne sais pas si vous comprenez ce que j'essaye de vous transmettre là. Mais souvent, on croit que, je ne sais pas, parce que j'étais dans un état anxieux pendant six mois, je vais mettre tout autant de temps, voire plus, pour en sortir. Ça va être long, ça va être un périple, etc. Mais non, plus on rajoute de la conscience, Plus c'est rapide, et en fait, le chemin retour n'est pas plus long, voire même est plus court. Donc vraiment, prenez confiance là-dessus. Moins vous donnez du poids à ces pensées anxieuses, moins la charge qui vient avec aura de grippe sur vous. Même si cette charge, vous la ressentez dans votre corps, moins vous la croyez, même si elle est là, moins vous vous laissez emporter par la dramakouine intérieure. Plus vous observez son discours en disant je connais la direction, là je l'ai déjà eu plusieurs fois, etc. Je connais la chanson. Plus vous vous détachez de ça, de ce discours de la drama queen, et plus c'est facile de revenir. Je ne sais pas si c'est extrêmement clair ce que j'essaie de vous partager, mais je trouve ça important. Plus vous portez attention à votre corps, plus vous êtes capable aussi de revenir à l'état de régulation, parce que souvent c'est le mental qui s'affole. Et dans ce cas-là, mieux vaut revenir au corps, parce qu'au corps il y a moins de complexité. Il y a moins ces chemins neuronaux qui vont là, qui vont ci, qui vont... Non, c'est juste, ok, dans mon corps, revenir à la sensation juste, je me sens oppressée. Ce n'est pas une sensation agréable, on est d'accord. Mais c'est juste revenir à ce que c'est une sensation dans le corps. C'est juste une sensation dans le corps. Et de là, mon mental s'affole, mon mental crée une histoire. Et de revenir à l'idée que c'est une histoire que mon mental crée, mais au final, quand on revient au corps, c'est juste une sensation dans le corps avec laquelle je peux respirer, avec laquelle... Je peux au final être dans un côté de non-luthe pour juste vivre cette sensation et la remettre dans un contexte de ce n'est qu'une sensation dans le corps. Et ça ne peut être que ça au final, si je ne suis pas l'histoire que le mental crée à partir d'elle. Bon, c'était un point un peu chaotique, mais c'était un point important à mon sens. Et pour continuer sur la partie un peu spiritualité, énergétique, etc. En fait, quand je me suis intéressée, enfin quand toute cette théorie autour du système nerveux m'a vachement aidée, je me suis dit, quelle est la place de l'énergie là-dedans ? Si j'arrive à avoir des techniques pour réguler mon système nerveux, etc. Quelle est la place de l'énergie là-dedans ? Et bien, il n'y a pas de secret, quand j'étais moins régulée, forcément, j'étais dans un état un peu plus de déconnexion. C'est-à-dire que j'étais en état sympathique ou en état parasympathique dorsal. Mes soins étaient un peu moins efficaces, mes soins énergétiques, parce que forcément je perds la connexion en fait. Mon corps est dans un état de survie, quelle que soit la manière dont ça s'est manifesté. En fait pour faire des soins, il faut quand même être dans un état régulé, sécure, parce que évidemment on accompagne la personne aussi dans un état régulé et sécure. Ça ne veut pas dire qu'il faut être... parfaitement régulée pour faire des soins énergétiques, c'est de comprendre que plus on est dans un état de survie, plus forcément on arrive dans un état de déconnexion. Donc en fait, toute cette théorie autour du système nerveux, ça m'a aidée à être plus performante avec mes soins, à mieux comprendre les états qui me traversent, pas que énergétiques, mais aussi nerveux, pour pouvoir faire cohabiter tout ce petit monde-là. Et au-delà de ça, Donc là, c'est comment le système nerveux, toute la théorie sur le système nerveux a aidé ma pratique de l'énergie. Mais comment l'énergie a aidé ma pratique du système nerveux ? Alors, l'énergie rejoint, mais par un outil différent, tout le côté un peu somatique. C'est-à-dire que ça apporte une écoute du corps. Moi, quand j'en parle au corps des personnes, dans les soins, que je retranscris des messages, etc., ça permet un dialogue avec le corps qui nous reconnecte justement à ce qui se passe dans ce corps. Au lieu du coup d'être dans notre tête, d'être dans nos pensées, dans nos ruminations, d'être toujours dans des distractions, d'être dans un autopilote, d'être focus sur le passé ou de prévoir le futur. Au lieu d'être dans notre tête, on va revenir au corps avec l'énergie éthique. Ça va permettre justement de se reconnecter au moment présent, de notifier ce qui se passe dans le corps, de voir comment on souhaite réagir à ce qui se passe dans le corps. de créer des directions, une intention à notre énergie, de laisser les choses être, de laisser les choses partir aussi, et d'être hyper curieux justement sur ce qui se passe en nous, sur l'exploration de nos flux énergétiques et comment on peut jouer avec. C'est tout ça que permet l'énergie éthique. En fait, au début, vraiment, je me disais, ok, toute cette théorie et toutes ces pratiques sur le système nerveux, ça m'a vachement aidée à des moments où j'en avais trop besoin. Mais comment je relis ça à ma pratique de l'énergie éthique ? C'est comme ça que les deux se sont répondus. La pratique sur le système nerveux, sur comment être mieux en connexion, être dans un état sécuritaire pour créer des vrais, des moments de connexion de qualité. Parce que forcément, quand j'étais en... en mode survie, j'étais beaucoup plus déconnectée, c'était beaucoup plus difficile de faire des soins. C'est pas impossible, parce qu'on est humain et qu'on peut passer des mauvaises journées, mais c'est un peu plus difficile forcément quand c'est des états qui durent longtemps. Donc le système nerveux, la théorie système nerveux m'a servi à ça et l'énergie, elle m'a servi vraiment tout le côté un peu plus somatique qu'on retrouve aussi dans le système nerveux d'écoute du corps plutôt que d'être dans la tête. Parce que quand je fais un soin, alors certes, il y a le mental de la personne qui est là. Même quand je fais mon autossoin, il y a mon mental, etc. Ça fait partie de vous, ça fait partie de nous. L'idée, c'est pas de... J'ai eu beaucoup ça avec les élèves en ce moment. Il y a ce côté où, quand on commence l'énergie éthique, on diabolise vachement le mental. Et c'est pour ça que j'ai fait plein d'épisodes sur la régulation de l'ego, etc. Pour dédiaboliser ça, le mental, c'est pas quelque chose qu'il faut supprimer, annuler. De toute façon, c'est pas possible. mais plutôt de l'emmener avec nous, dans notre compréhension de soi, parce que le mental, lui, son rôle, c'est juste de remplir les vides, de remplir les blancs, de remplir les questions sans réponse, et bien de l'emmener dans un état où on sent sécurité dans notre corps, pour lui montrer juste, ok, je sais que ça, ça t'affole, je sais que ça, ça te met pas bien, je sais que ça, tu sais pas trop où te positionner et ça t'inquiète, mais viens, je t'emmène avec moi dans l'exploration du corps, et à partir de là, on va se poser. Et tu vas voir, juste en s'écoutant, Parfois les choses se délient, et parfois elles ne se délient pas, mais juste je suis là avec toi et on va s'écouter autrement que dans un état d'affolement ou dans un état de précipitation ou dans un état d'autopilote. Voilà pour ce point-ci d'écoute du corps. Évidemment toutes les techniques de cohérence cardiaque, toutes ces techniques de pleine conscience aident énormément. toutes les techniques somatiques donc les techniques somatiques c'est vraiment des techniques où on va se centrer sur le corps, le corps en mouvement les sensations du corps, etc., etc., le toucher, il y a plein de choses. Le corps est toujours moins chargé que le mental. Dans le corps, il y a des sensations, parfois désagréables, mais ce n'est pas chargé comme le mental, où il y a plein de trucs qui se précipitent, etc. Donc c'est toujours une bonne idée que de revenir au corps. Quelque chose aussi dont je voulais vous parler très très rapidement, sur le mental justement, ce côté très chargé du mental. C'est un point qui est une vérité, voilà, j'enfonce un peu les portes ouvertes, mais vous le savez bien, on n'est pas fait, en tant qu'humain, pour recevoir autant d'informations que ce qu'on reçoit actuellement. Même quand vous avez l'impression d'avoir une pratique raisonnée de votre téléphone portable, de, je ne sais pas, la télé, les journaux, etc., quand même, on n'est pas fait pour recevoir autant d'informations en même temps. L'humain a toujours vécu... Enfin voilà, en général, on sait ce qui se passe dans le village. Allez, à la limite, le village voisin, mais c'était bien tout. Alors ça veut pas dire qu'il faut se couper du monde et... et se couper de toutes les sources d'informations. Mais c'est juste pour que vous puissiez comprendre que parfois, ce n'est pas vous qui ne savez pas vous réguler. C'est juste qu'il y a beaucoup de choses, en fait. Il y a beaucoup trop de choses. Il y a beaucoup trop de choses qui se bousculent. Et c'est hyper difficile de faire le tri. Et ça, ça amène à un problème, je dirais, de société un peu plus globale où souvent, les gens se responsabilisent de ouf. Sur le fait de travailler sur eux-mêmes, souvent j'ai des personnes qui me disent « je vais d'abord travailler sur moi, je ne vais pas demander de l'aide aux autres parce qu'il faut d'abord que je règle ça en moi, etc. » Et ça crée plein de personnes qui se sentent extrêmement seules dans leur coin. Donc un groupe de personnes, mais qui se sentent seules. En fait, le problème dans cette hyper responsabilisation des individus à... faire de la thérapie. Alors c'est bien que beaucoup de gens aient conscience de faire des thérapies, évidemment. Mais c'est de comprendre que ce n'est pas tout le temps la faute de l'individu si on est dérégulé. On est dans un système avec une crise climatique, avec des tropas collectifs, avec des systèmes qui sont complètement aberrants et inhumains. C'est normal de se sentir dérégulé dans un monde qui l'est. C'est normal de ne pas être dans un état d'équanimité dans un monde qui est profondément injuste. Donc de vous dire, alors c'est cool que beaucoup de gens se responsabilisent à faire de la thérapie et à regarder en eux-mêmes quels sont les problèmes, etc. Mais juste de savoir qu'au global, c'est normal que votre système soit dérégulé parce que le monde l'est également. Donc en fait, votre système même, je dirais qu'il est sain. Parce qu'il répond dans un mode survie, parce que le système lui demande d'être dans un mode survie. Tout est fait dans nos sociétés pour qu'on soit et qu'on reste dans un mode de survie. Donc qu'importe tous les outils, toutes les séances de thérapie qu'on fait, de juste savoir que dans la régulation de votre système nerveux, le système nerveux fonctionne plutôt bien au final parfois, parce que le monde autour de lui peut sembler profondément insécure. Il y a aussi ce point à prendre en compte, que c'est un problème de société, où on va responsabiliser les individus pour un souci collectif. On va culpabiliser les individus pour quelque chose qui ne sont pas de leur fait, ou qui ne sont pas de leur faute, qu'ils ne peuvent pas fixer, qu'ils ne peuvent pas réparer, d'eux-mêmes seuls, parce que c'est un mal-être global. D'où l'importance, parce qu'il y a une réponse quand même à ça, je vous rassure. Et la réponse, c'est... Tout le contraire de l'individualité, de régler ses problèmes tout seul, c'est le collectif. C'est de recréer un sentiment de communauté, de recréer des espaces communautaires où justement on n'est pas noyé dans l'information, mais au moins on est utile à un groupe assez défini, assez défini pour voir nos actions du quotidien, voir les résultats de ces actions quotidiennes, parce que ce qui valorise l'être humain aussi en communauté, c'est J'agis de telle manière et ça a un impact sur le collectif. Et ça, ça fait profondément du bien. Et on a besoin de retrouver cet espace de communauté, que ce soit par des groupes, des associations, un voisinage, qu'importe. On a besoin de recréer ce climat-là, parce qu'on est des êtres qui aussi se régulent via l'autre et se régulent face aussi à l'utilité, à l'impact qu'on peut avoir avec un groupe ou vis-à-vis du groupe. Donc juste pour dire que c'est pas à vous tout le temps d'être responsable, enfin c'est pas juste je suis dérégulée et c'est à moi de me réguler seule dans mon coin. Non, en fait, l'impact du collectif, il est réel, mais aussi les bienfaits d'une communauté, il est essentiel, il peut vraiment aider. Et ça, ça m'a aussi beaucoup aidée pour Manipura et pour cette sphère spirituelle, etc., de me dire, à ma petite échelle avec Manipura, ou qu'importe. que ce soit hors de Manipura aussi, on s'en fiche bien, mais de créer un espace où les gens se rassemblent via valeurs communes, via croyances communes, et créer ce sentiment de communauté à travers nous. Par exemple, c'est beaucoup via la spiritualité ou via l'énergie, parce que c'est des choses qui nous parlent, mais ça aurait pu être pour d'autres. ça peut être l'écologie, pour d'autres ça peut être des mouvements un peu plus sociaux avec des impacts, je ne sais pas moi, des maraudes pour les personnes sans domicile fixe. Enfin je ne sais pas, c'est vraiment de rassembler les gens autour de valeurs et d'objectifs communs, ça aide énormément à réguler l'individu en plus d'avoir un impact positif sur le groupe. Ne vous dites pas qu'il faut que vous régliez tout tout tout seul et que toute dérégulation et de votre fait, parce que c'est faux. Et un dernier point un peu relié là-dessus, c'est c'est normal d'être dérégulé, encore une fois, je le redis, c'est pas une fragilité de votre part, c'est aussi que vous êtes en train d'apprendre par un état de stress, par un état de colère, par un état de tristesse qui se passe en vous, et comment revenir à un état de sécurité, un état d'ancrage. malgré tous les mouvements du quotidien qui font partie de la vie. Être régulé, ce n'est pas arrêter de se laisser être traversé par la vie, c'est plutôt comment s'ancrer à travers tous ces états que propose la vie. Et pour revenir encore une fois sur ce côté où on est accaparé par plein d'informations, il faut vous dire que ça, c'est un secret pour personne, plus on nous bourre d'informations, plus c'est difficile d'avoir un... Un œil critique, plus c'est difficile de prendre du recul. Et au-delà de ça, on nous apprend beaucoup dans nos sociétés, depuis petit, qu'est-ce que tu vas faire plus tard, qu'est-ce que tu vas faire là, qu'est-ce que... A voir loin, à se projeter loin. Et toutes ces mécaniques, ça nous a enlevé l'essentiel qui est de revenir à soi, de se regarder soi, de se questionner soi, de questionner notre corps, de questionner comment ça fait sens pour nous et en nous. Donc à force d'observer loin, d'observer plus, d'observer large, on oublie d'aller et de revenir à l'essentiel, une vision un petit peu plus, soit antérieure, ou un peu plus concentrée. Ce n'est pas obligé que ce soit tout le temps le cas. En fait, on pense que pour se relier à plus grand ou plus loin, il faut regarder plus grand ou plus loin. Mais souvent pour se... relié à plus grand et plus loin, il faut commencer par le point de départ et c'est nous-mêmes. Je vais un petit peu loin, mais je trouve ça important de se dire que aussi, la dérégulation qu'on peut ressentir, c'est beaucoup une histoire d'éducation, de mode de vie de nos sociétés, et de comment on nous a éduqués à nous éloigner du corps, tout simplement. Ça, c'est vraiment quelque chose d'assez ancré, d'assez profond. Tout ce qu'on peut avoir comme information, juste en questionnant le corps, C'est un délire quoi. Moi je dis souvent aux élèves quand elles ne savent pas quelque chose, demande à ton corps qu'est-ce qu'il dit, qu'est-ce qu'il a envie de dire. Parfois c'est un peu difficile de repérer une réponse. Mais en fait, c'est même pas tant d'avoir une réponse claire, nette, sur papier, avec une phrase construite. C'est juste, vous allez sentir dans le corps quand quelque chose ne fait pas sens pour vous. Vous allez vous sentir mal, vous allez sentir que vous vous dévalorisez ou que vous ne faites pas attention à vos ressources, à votre énergie, à ce qui vous nourrit. Dès que vous abandonnez le corps, il y a quelque chose qui ne fait pas sens, il y a quelque chose qui n'est pas logique ou qui ne fait pas sens pour vous. Et le corps est un pendule, un point de repère incroyable de savoir, évidemment, si vous êtes là où vous devez être ou s'il y a un truc qui ne fait pas sens. Et ça ne veut pas dire qu'au moindre inconfort, il faut changer les choses, mais si vous avez un inconfort qui persiste et qui amène une dégradation, de la manière dont vous vous nourrissez, de vos ressources, etc. Quand je dis de vous nourrir, c'est tous les plans possibles et imaginables, émotionnellement, énergétiquement, l'alimentaire, les ressources de votre énergie, etc. Bref, vous le sentez quand quelque chose ne fait pas sens. Et souvent, on n'écoute pas le corps. Mais le corps sait, le corps vous dit, le corps parle, ça je ne vous apprends rien. Et c'est tout ce que permet l'énergie encore une fois. Moi, je dis souvent qu'en tant qu'énergéticien, on est simplement une antenne relais. des messages du corps ou des messages de l'univers. C'est pas nous qui faisons les messages, clairement pas. On est vraiment une antenne relais pour toutes les personnes qui ont encore un petit peu de mal à le faire eux-mêmes. Et tout le rôle de l'énergéticien, c'est quand même de rendre la personne autonome, en fait, au fur et à mesure. C'est pour ça que quand vous prenez rendez-vous avec moi, vous avez deux types de soins. Vous avez le soin passif et le soin actif. Le soin passif, c'est vrai que c'est un soin, voilà, vous voulez que je fasse tout, entre guillemets, et je fais tout, et puis basta. C'est vraiment, voilà, si vous êtes fatigué ou si vous avez besoin d'être dans cet état de régénération, mais qu'on prenne soin de vous, c'est parfait. Mais il y a aussi cette possibilité du soin actif. J'aime bien l'appeler comme ça parce que là, j'ai vraiment à cœur de vous rendre autonome, en fait, et de vous montrer qu'au fur et à mesure, vous n'aurez plus besoin de cette antenne relais que je suis pour comprendre les messages de votre corps et même de commencer à être conscient des mouvements dans votre corps pour pouvoir les travailler par vous-même. Et c'est pour ça aussi, je pars sur un truc un peu plus perso, mais que je me sens tellement animée par la mission, si c'en est une, de former les gens à l'énergie, parce qu'au-delà de juste former des gens, c'est aider les gens à être plus à leur écoute et à être plus autonome aussi dans tous les mouvements de leur corps pour mieux se guider eux-mêmes dans la vie. Et ça, je trouve ça extrêmement valorisant en fait. Donc si j'apporte une... petite pierre à l'édifice pour que les gens puissent mieux écouter leur corps et être leur propre guide, voire après, pour ceux qui deviennent énergéticiens, aider les autres à ça, et bien en fait, ce que ça crée, c'est une foule de personnes plus conscientes. Je m'éloigne un petit peu du sujet du système nerveux, mais j'avais fait toute une newsletter là-dessus, ou alors c'était sur Instagram, je ne sais plus. En tout cas, je disais, quelle est la place de l'énergie éthique dans ce monde ? qui a grandement besoin d'aide, qui a grandement besoin que tout le monde s'implique, etc. Quelle est la place de l'énergie dans un monde où... Est-ce que l'énergie n'est pas au final une pratique un peu égoïste où chacun se regarde le nombril, chacun regarde son corps et puis basta ? Je disais, je crois que c'était sur Instagram, que pour moi, non c'est faux. L'énergie n'est pas du tout désuète par rapport à tous les défis qu'on a de conscience collective en fait. Chaque personne qui reprend plus conscience d'elle-même, C'est tout autant, c'est une nouvelle personne qui va aider le collectif à mieux s'écouter et à ne plus accepter ce qui ne fait plus sens pour lui. Et pour moi, c'est ça la pratique, la transmission énergétique, c'est pour ça que j'adore l'enseigner. C'est pour aider tout un chacun à reconnecter à sa propre lumière, pour éclairer les autres et jusqu'à ce qu'ils arrivent eux aussi à briller de la leur. Je suis un peu partie loin, mais voilà, se réguler, c'est vraiment aider tout un chacun à le faire. par miroir aussi, par effet miroir, et toutes ces petites actions individuelles, par les soins énergétiques, par les guidances, etc., c'est aussi des actions collectives de prise de conscience, de reprise de conscience. L'énergie, c'est vraiment pas une pratique égoïste individuelle, et c'est une pratique qui peut... extrêmement bien se complémentariser avec le système nerveux parce que c'est un outil comme un autre qui vient répondre à l'écoute de soi. L'énergie, je trouve que c'est un outil hyper puissant parce que ça nous aide à la connexion à nous-mêmes mais ça nous aide aussi à la connexion au monde et au monde dans un plan beaucoup plus vaste, dans un plan subtil. Donc l'idée qu'on est tous reliés, l'idée que tout est une énergie qui circule, l'idée que le travail de notre énergie impacte forcément L'énergie des autres, de nos proches, de ceux qui sont autour de nous, c'est une pratique profondément collective. Et c'est en ça que je la trouve essentielle. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'autres pratiques qui peuvent faire la même chose. Il y en a plein d'autres, certainement. Mais voilà, pour moi, l'énergie me permet en tout cas de mieux me réguler dans mon corps. Et le système nerveux, toute la compréhension du système nerveux le permet aussi, tout en me permettant cette connexion au monde, aux autres. Et me réguler via moi-même, via les autres, via le collectif, la communauté. Je rajouterais ça, c'est que si vous avez du mal à vous réguler vous-même, les autres peuvent le faire. Une communauté peut le faire, ou la spiritualité peut le faire. C'est tout autant de voies de connexion et de régulation possibles, en attendant que vous, vous réussissiez à le faire par vous-même. Parfois on se régule, moi je sais que parfois je me régule via ma spiritualité, en faisant mes prières, etc. Quand j'ai du mal à me reconnecter à moi-même, quand j'ai du mal à me réguler par moi-même, de me reconnecter à plus grand, ce n'est pas fuir, c'est placer ma foi, ma régulation dans quelque chose d'extérieur à moi qui va m'aider comme une béquille ou qui va m'aider comme un soutien en tout cas le temps que j'y arrive pour moi de nouveau. C'est à ça qu'on peut aussi relier la foi. Il n'y a pas besoin d'avoir la foi dans un dogme, dans quelque chose de précis, dans une religion. C'est simplement la foi que beaucoup plus grand peut nous aider aussi à réguler notre microcosme, notre nous. Voilà, je suis partie en live complet. Mais écoutez, n'est-ce pas là une bonne chose pour clôturer notre série sur le système nerveux qui nous aura tenu en haleine ? J'espère que ça vous a plu cette série. J'avais très envie de la faire mais j'avais hâte qu'elle se finisse pour qu'on puisse aller sur autre chose. mais voilà, je pense que c'était essentiel important, nécessaire, tout ça donc merci de m'avoir écoutée le long de cette série, si ça vous a plu n'hésitez pas à partager, dites moi l'épisode qui vous a le plus aidé celui que vous avez préféré ou celui qui vous emportait un peu plus avec vous je serais hyper curieuse, moi si ce genre de format long c'est toujours votre délire à ce que j'ai vu quand j'ai demandé sur Instagram c'était le cas, je demande beaucoup l'avis d'Instagram donc Si vous voulez donner votre avis, vraiment, n'hésitez pas à venir nous rejoindre. C'est en bas pour Manipura sur Instagram. Je vous laisse là-dessus. Cet épisode est déjà bien assez long. Je vous remercie de votre écoute. Prenez bien soin de vous surtout. Moi, je vous régule à distance si ce n'est pas le cas, si vous n'êtes pas régulés. Je vous envoie plein de vibes de régulation. Prenez bien soin de vous. C'était en bas de Manipura. À l'épisode prochain. Peace. Manipura, c'est déjà terminé pour aujourd'hui. Je vous remercie de votre écoute et si cela vous a plu, n'hésitez pas à partager ou à laisser un avis sur votre plateforme d'écoute. Pour continuer vos explorations, vous pouvez accéder gratuitement au contenu Manipura sur la newsletter, les réseaux sociaux ou le site internet en cliquant sur le lien dans la description de l'épisode. Quant à moi, je vous dis à la prochaine et surtout, de bien se modeler.