- Speaker #0
On va parler de ton historique et ton parcours, ton odyssée autour du monde du podcast. Parce qu'il est arrivé plein de choses. T'es arrivé dans notre écosystème, t'avais en tête un podcast parce qu'à l'époque, t'étais encore notaire, t'étais sur le point de changement de carrière, etc. Ça a été ça comme la première idée. Puis après ça, ça a évolué vers autre chose. Il y a des gens qui nous écoutent que je suis certain qu'ils sont un peu hésitants à savoir. Je me lance-tu ? Je ne me lance pas. Quel sujet je devrais traiter ? Est-ce que mon nom, si je choisis mon nom tout de suite, je vais être pris avec ça après et tout ça ? Tu es passé à travers tout ça, toi. Aujourd'hui, on va profiter de ton expérience à travers tout ça. Au fil de notre discussion, évidemment, ça va te permettre de présenter ton podcast. Ton podcast actuel qui a changé de nom. qui a été mis de l'avant, créatrice de bonheur et de positif. Ça, c'est le nouveau nom qui est là. Depuis combien de temps ?
- Speaker #1
Je l'ai changé de nom, ça doit faire deux mois à peu près.
- Speaker #0
Ça veut dire début 2025, le podcast a changé de nom. Oui. On est rendu sur cette appellation-là. Et puis avant, on avait le fameux « La notaire pas ordinaire » pour les...
- Speaker #1
« Exist toujours » , qui est encore là.
- Speaker #0
Est-ce que tu fais encore des épisodes ?
- Speaker #1
Non. Ça, il faut dire une chose. Moi, j'aime ça recycler. Et dans ma vie, dans mon ancienne vie, je faisais des chroniques juridiques à la radio et à la télé de mon père de chaîne. Et oui, le podcast m'aide énormément parce que je n'ai plus besoin de me déguiser en Ronald McDonald avec du maquillage. Ça va. Et j'ai transposé en podcast. de castes, mes chroniques juridiques, parce que j'ai continué à les faire sur Facebook. Donc, mon podcast, c'est un apport ordinaire, c'est juste du recyclage. J'ai remis en épisode ces chroniques-là. OK. Voilà. Et il faut dire, tu sais, tu dis que le monde hésite, là, mon Dieu Seigneur. J'ai tellement hésité, ça m'a pris deux ans à faire un live sur Facebook, tellement j'avais la chienne. Pourtant, j'étais habituée, j'étais habituée de faire du studio, je faisais de la télé, je faisais de la radio. Ben oui. Pourquoi on dirait que le web me faisait peur, parce que c'est comme tout le monde, c'est que toute la planète n'a aucune idée. Mais, mon Dieu, j'encourage le monde à le faire, parce que ça ne mord pas. Je t'encourage.
- Speaker #0
Il n'y a pas rien d'arrivé de grave. Non,
- Speaker #1
puis c'est que je suis, comment dire, on est parfait dans nos imperfections. Donc, il ne faut pas attendre d'être parfait pour faire les choses, parce qu'on ne les fera jamais. Puis, oui, j'ai changé de nom. mon nouveau podcast, mais avant, il s'appelait « Élimine ta vie » . J'avais fait un an, 52 épisodes d' « Élimine ta vie » . Ensuite, j'avais créé une autre saison, mais j'avais changé de nom pour « La course vers ton bonheur » . Et là, c'était compliqué. Là, j'ai fait non. Je n'avais pas autant d'audience parce que je n'avais pas les mêmes trucs. Là, j'ai dit non. Là, on efface, on recommence. J'ai repris mes épisodes de « La course vers ton bonheur » . Je les ai remis dans « Élimine ta vie » que j'ai changé de nom. pour la course Vector, pour un créatrice de bonheur de positif. Et si moi, j'ai été capable de le faire, tout le monde est capable, parce que moi, je suis nulle. Si j'ai été capable de le faire, tout le monde est capable de le faire.
- Speaker #0
Bien, écoute, les gens vont avoir le plaisir de te découvrir. Ils vont avoir le plaisir aussi, après cet épisode-ci, d'aller voir les podcasts. Je vais les mettre dans les notes d'épisode. Les deux podcasts, parce que même un podcast sur la notaire pas ordinaire, c'est quand même... C'est quand même intéressant à jeter un coup d'œil. Et même, il y a peut-être des gens que ça intéresse. Donc, allez-y si jamais ça vous donne envie d'aller découvrir ça. Et évidemment, il y aura aussi le podcast actuel « Créatrice de bonheur positif » qui va être là aussi dans les notes d'épisode. Ceci dit, là, tu nous dis, moi, s'il y a des gens qui hésitent, si moi, j'ai réussi, c'est sûr que tout le monde peut le faire. Ça veut dire que quand t'es arrivé dans le monde du podcast, il y avait des choses qui te bloquaient, il y avait des choses qui te rebutaient, qui disaient « Oh my God, non, ça le fera pas. » C'est ça. C'était quoi le thinking derrière ? En fait,
- Speaker #1
le médium du podcast, ça me plaisait énormément parce que je l'ai dit, c'est du audio, puis bon, on n'a pas besoin de… On peut le faire en pyjama si on veut. Le micro ne m'importune pas, mais toute la technique en arrière. Et moi, je suis chanceuse, j'ai une adjointe. Martine, que je salue, c'est elle qui fait mon édition de tous mes podcasts. C'est elle qui gère la mécanique en arrière. Mais ce n'est pas tout le monde qui a ce morceau-là. Mais moi, parce que j'ai tellement de projets que je n'ai pas le temps de toute façon de le faire. Je me trouve très chanceuse. J'ai quelqu'un qui le fait pour moi. Mais moi, Colline, écoute, c'est ça, moi, qui me rebute au plus haut point. Tout, tout. La machine en arrière, la technique, puis tout.
- Speaker #0
Est-ce que Martine était là au départ ?
- Speaker #1
Ah oui, Martine, c'est parce que c'était en 80 avec moi. Martine a fait mon édition de tout. Mes livres que je fais, mes conférences, elle a fait tout. Donc, c'est elle, l'ingénieur en arrière qui fait le truc.
- Speaker #0
OK. Donc, toi, quand t'es arrivée dans notre écosystème, Il y avait déjà une Martine qui était là. Fait que tu t'es dit, ce que je vais faire, c'est que je vais lui donner accès à tout ce qu'on a dans notre académie. Elle va pouvoir s'occuper de toute la partie « plate » pour toi. En tout cas, il y en a qui adorent ça. C'est ça, exact. Il y en a plein de gens qui trippent à faire des montages, adorent faire toute la technique derrière, aller mettre de la musique, toutes ces choses-là. Il y en a qui, vraiment, prennent beaucoup de plaisir à faire ça. Mais ce n'est pas ton cas. Fait que toi, tu es plus Allume le micro, je vais parler. Il n'y a pas de problème. Donne-moi une caméra. Il n'y a pas de trouble. Donne-moi une scène. Mais aller faire les trucs derrière, elle leur dit pas vraiment. Donc, Martine était là.
- Speaker #1
C'est drôle parce que le dernier épisode que j'ai enregistré, mon 82e, c'est justement sur les ondes de génie. Moi, ma zone de génie, c'est en avant de la caméra, en avant de la radio, de micro, parler, tout ça. Tu vois, Martine, sa zone de génie, c'est l'arrière. Moi, je pense qu'on a des moyens, bien sûr. On peut s'adjoindre des gens qui ont des zones de génie qui viennent combler celles qu'on n'a pas.
- Speaker #0
Exact, exactement. Bon, on a parlé de Notaire ordinaire. C'est un podcast qui vit seul en soi. Il n'y a pas eu de suite à ça. C'est ça, c'est là, that's it. Maintenant, l'autre podcast, celui qui est là présentement. s'appelle maintenant Créatrice de bonheur et de positif. Il a changé de nom deux fois, lui. Oui. Il était là initialement sous un autre nom. Après ça, Illumine ta vie. Après ça, il a été tourné en... C'est quoi le deuxième nom ?
- Speaker #1
La course vers ton bonheur.
- Speaker #0
La course vers ton bonheur. Puis après ça, maintenant, Créatrice de bonheur et de positif. C'était quoi le... Premièrement, la réflexion qu'il y a eu dans Illumine ta vie au départ. Puis qu'est-ce qui a mené à un changement puis à un autre changement ensuite ? C'est quoi le processus créatif derrière ?
- Speaker #1
« Illumine ta vie » , en fait, parce que moi, je dis toujours aux gens que je partage mes dons, mes talents et mes compétences pour aider les gens à atteindre le bonheur ou améliorer leur vie positivement. Puis « Illumine ta vie » a juste pas pris. Puis là, le deuxième, pour la deuxième année, je me suis dit, bon, qu'est-ce que je pourrais faire ? Un passeport vers le bonheur, puis là, je revenais de voyage. En tout cas, ça me parlait aussi. Sauf qu'on a fait un hot seat avec trois épisodes de mon podcast et les commentaires, c'était « Illumine ta vie » . Ça ne dit pas grand-chose. Et la croûte de bonheur non plus. Donc, voilà. Alors, finalement, on a décidé, j'ai décidé de dire, on va nommer les vraies affaires. Donc, Marie-Jo, c'est moi. Et je suis créatrice de bonheur et de position. Tout simplement parce que je travaille beaucoup aussi au niveau de la motivation. Et donc, les sujets sont très divers. Dans mes podcasts, je parle de tout. Écoute, ça va de la ménopause au deuil. Ça va de... d'euthanasier un chien à la vie de couple. Tu comprends ? C'est très large. Mon personnage est très large. Mais l'idée en arrière, c'est de toujours trouver du positif. C'est ça, l'idée. Et de dire aux gens, même si tu vis quelque chose de plate, regarde, il y a du positif. Vois-le de façon positive. C'est ça, en gros, mon podcast.
- Speaker #0
OK. Ça fait que c'est ce qui a mené à ton changement de nom. Tu parlais d'un hottie. Je serais curieux de t'entendre parce que... peut-être qu'il y a des gens qui se posent la question, c'est quoi c'est un hot seat ? Parce que tu l'as mentionné rapidement. Un hot seat, dans le fond, c'est nos membres du Club Momentum qui déposent trois épisodes de podcast pour fin d'analyse par leur père, par leurs collègues du Club Momentum. Puis dans une séance Zoom, ces gens-là leur font un retour. Toi, tu as vécu cette expérience-là. Dis-moi, qu'est-ce que tu as été chercher outre, évidemment, le feedback que le changement de nom n'était peut-être pas ce que tu t'attendais au niveau de l'impact ? que c'était supposé d'avoir et que ça t'a amené à un nouveau changement de nombre. Déjà en soi, c'est très positif comme retour. Mais qu'est-ce qu'il y a eu d'autre dans ce processus-là, que tu as vécu ?
- Speaker #1
Tout d'abord, il faut toujours prendre ça de façon constructive. Parce que c'est sûr, on est jugé. Les gens qui sont podcasteurs, podcasteuses, qui viennent écouter nos affaires, là, on est jugé sur le contenu, sur le son, sur un paquet d'affaires. On m'a dit que j'avais des ajustements à faire au niveau du chanson, ce que j'ai fait. Parce que ça n'allait pas passer d'épée. Bon, bien, j'ai ajouté un truc sur le micro, sur le seringue. Ensuite... Ensuite, on m'a confirmé que le contenu de mon podcast était intéressant. Cependant, il était trop long. Parce que moi, dans mes épisodes, je mettais énormément de citations. Et ça faisait quasiment deux épisodes dans un. Les épisodes étaient 30 minutes et plus. Et là, je les ai ramenés à 20-22. En enlevant ça, voilà. Donc, ça a été les remarques construites que j'ai reçues avec ce hot seat-là.
- Speaker #0
Ça t'a permis de réaligner certaines choses. Ça t'a fait découvrir peut-être un regard différent sur les choses. Est-ce que dans les auditeurs qui t'écoutent, les gens qui te reviennent, parce que, tu sais, on le dit un petit peu, on a passé là-dessus rapidement, mais tu donnes aussi des conférences, tu donnes des formations, etc. Donc, tu as à rencontrer des gens régulièrement par rapport à… les gens qui viennent vers toi pour se transformer. Est-ce que les gens, en général, les retours qu'ils te faisaient, est-ce que c'est des retours qui étaient similaires à ceux du hot seat ou les gens te donnent d'autres retours ? Quels sont les retours que tu reçois de la part des auditeurs, auditrices qui reviennent vers toi quand tu les rencontres dans les conférences ou dans les spectacles ?
- Speaker #1
C'est plus général. C'est plus général au niveau du contenu. Oui, tu m'as aidé dans telle affaire. Ça m'a vraiment allumé. Oui. C'est plus au niveau du contenu. Effectivement, ça m'amène aussi des retours d'engagement, nécessairement, parce qu'à la fin de chaque épisode, on a un appel à l'action. Donc, selon le sujet que je présente, je leur dis, regarde, si tu penses à ça, par le bien de parler, je peux t'aider. Donc, il y a toujours un... Et ça fonctionne. Les gens... Merci. Peut-être l'approche aussi que j'ai, parce que j'ai pratiqué pendant 31 ans le notariat, donc nécessairement, je suis habituée de parler aux gens, je suis habituée d'avoir de la compassion pour les gens. Donc, c'est sûr que mon approche facilite le contact.
- Speaker #0
OK. Et donc, les gens, quand ils retournent vers toi, par exemple, dans les conférences, parce que je te dis ça parce que je sais qu'on s'est déjà croisés dans des salons, on participe dans les mêmes salons dans certains cas. Donc, les gens retournent vers toi. Est-ce que ça arrive régulièrement que les gens vont vers toi et disent « Hey, j'ai écouté ton podcast » ou « Je t'ai découvert par rapport à ton podcast » , etc. ? Est-ce que c'est des choses qui arrivent régulièrement ?
- Speaker #1
Oui, absolument. Absolument. Et c'est drôle parce que dans mon parfum, à l'époque, je vivais à Amos, tout le monde me connaissait. Là, ici, à Québec, personne ne me connaît, mais je me fais connaître d'une autre manière. Et c'est vraiment le fun parce que là, c'est vraiment juste ce que je fais, ce que les gens... entendre ce que les gens voient sur les réseaux sociaux, sur les podcasts. Donc, c'est vraiment par ça ma nouvelle vie que les gens me découvrent. Et j'adore ça.
- Speaker #0
Très cool. Tu nous as rejoints au sein du Club des élites. Ça fait bientôt un an que tu es là avec nous dans le Club des élites. C'est un regroupement de podcasteurs qui veulent vraiment axer un peu plus leur podcast envers leur business. de ton côté, là, il y a eu les changements de nom, il y a eu, tu sais, on a parti avec le notaire, on n'est plus notaire, on est... Bref, il y a eu un paquet de trucs qui se sont passés là-dedans. Qu'est-ce que t'es venu chercher au sein des élites ? Quand t'es arrivé chez nous, tu t'es dit, OK, j'y vais, je fais le saut. Qu'est-ce que t'es venu chercher de ce côté-là ? Bien,
- Speaker #1
écoute, on m'a vendu, ou j'ai compris que les élites, c'était beaucoup pour vraiment monétiser, une coche de plus, monétiser vraiment le podcast. c'est ça qui m'a accrochée parce qu'effectivement faire du podcast pour faire du podcast du podcast, c'est une chose, mais on veut que ça rapporte parce que c'est quand même du temps qu'on met là-dedans. Donc, oui, c'est une façon de... J'aime pas le mot accrocher, mais d'attirer des gens dans notre univers. Et donc, les élites, bien, c'est ça. C'est qu'on apprend d'autres choses de plus qui font en sorte que ça peut encore plus nous rapporter au niveau monétaire le podcast. Parce que c'est une porte d'entrée, dans le fond, de ce qu'on fait, là.
- Speaker #0
Exact. Ça fait partie de ton marketing. Si tu regardes en arrière, parce que tu avais fait plein d'autres choses avant de tenter le coup avec le podcast, si tu regardes en arrière, qu'est-ce que tu dirais que le podcast t'amène de différent de toutes les autres actions que tu avais prises avant pour ton marketing ?
- Speaker #1
Bien, c'est sûr que ça va être biaisant un peu parce qu'avant, j'avais mes chroniques juridiques sur Facebook, mais là, c'est la notaire. Mais je te dirais qu'avec, maintenant, avec le podcast… on atteint une proximité. Parce que, va-le-pas, quand tu parles dans un micro, tu ne vois pas les gens qui se parlent. Donc, tu sais, tu parles à du monde, mais tu es tout ça chez toi. Donc, ça amène une confidence. Ça amène une ambiance de confidence. Et tu te livres beaucoup plus que si on jase comme on fait là, toi et moi, Marco. Donc, la confidence amène encore plus de proximité, d'intimité, je dirais. Ça, ça attire le monde parce que les gens, ils s'associent à nous. Tu sais, de faire une pub statique sur Facebook ou sur Instagram, ça ne dit pas tout. il n'y a pas d'émotion, il n'y a rien. Dans le podcast, on l'aperçoit, on la ressent, l'émotion de la personne. Puis là, celui ou celle qui écoute le podcast se sent interpellé beaucoup plus.
- Speaker #0
Quelqu'un qui fait des lives, comme toi, tu en as fait des lives, tu fais des conférences, tu es habitué d'avoir... Comme quand on est sur scène, je donne des conférences aussi, tu donnes des conférences. Quand on est sur scène, on est en train de... parler, on voit la réaction des gens devant nous, on voit les visages qui se transforment à certains mots qu'on va dire, puis on sent qu'on a une brise quand on s'en va dans tel truc, dans telle partie de notre conférence, on sent qu'il y a une certaine émotion qui est générée et tout ça. On n'a pas ça avec le podcast, tu l'as dit, c'est comme t'allumes un micro, tu parles, mais les gens sont pas là. Est-ce que c'est difficile pour toi ? Est-ce que ça a été une adaptation de ton côté ?
- Speaker #1
J'avoue que oui. Mais j'avais quand même, je faisais des lives aussi, mais tu sais, en fait, je ne faisais pas des lives. J'enregistrais et je les mettais sur Facebook après. Donc, je n'avais pas ce feedback-là. Et effectivement, je suis tout d'accord, c'est vrai. C'est vrai que quand on est en conférence, un oiseau, peu importe, tu as le feedback. Oui, quand tu vois quelqu'un sourire, tu fais, ah, ta marouette, ils vont faire un bout là-dessus parce que ça résonne, tu sais, chez les gens. Là, tu ne l'as pas. Fait que tu dois l'inventer. Tu dis qu'on a rien. Mais moi, je suis comme Jean-Marc Parent, le humoriste, qui dit qu'il y a des bonhommes en attente. Moi, je fais des parenthèses dans la vie. C'est fou. J'en fais beaucoup parce que moi-même, je m'allume avec plein d'affaires. Des fois, je vais du coq à l'âne, puis je reviens, puis oui,
- Speaker #0
c'est ça. Comment tu as réussi justement à un peu vaincre ou en tout cas, tout le moins vivre avec cette... cette espèce de solitude qu'il y a quand on anime un podcast versus si on prend les... Même les lives, tu sais, à la limite, si tu fais un live sur Facebook, bien, tu as toujours des commentaires qui vont être là, tu as des pouces en l'air qui vont être là, tu as des réactions, même chose sur YouTube, etc. Si tu fais une conférence, bien, tu les as directement devant toi. Donc, ça a été quoi, toi, tes trucs ou tes façons de vivre avec ou d'apprendre à tout le moins de pouvoir... Merci. Le meilleur mot, c'est vraiment ça, vivre avec, parce que dans le fond, je pense qu'on ne s'habitue vraiment jamais au fait de ne pas avoir personne derrière. C'est vraiment de vivre avec.
- Speaker #1
Je vais dire quelque chose de bizarre, mais quand j'étais petite, Vadis, dans Guerre autrefois, je faisais du théâtre et je jouais des rôles dans ma salle de jeu. Je dirais que je fais un peu la piste, parce que je réalise en te parlant. Je fais un peu la même chose. Je m'imagine une autre histoire.
- Speaker #0
OK.
- Speaker #1
Oui. Oui, ça ne va pas dans ma tête, c'est dangereux. Mais oui, c'est vraiment...
- Speaker #0
Il y a des libérules.
- Speaker #1
Mon Dieu, c'est vraiment une histoire calme. C'est fou. Mais oui, ça me fait réaliser que, oui, je m'invente à une autre histoire. Donc, mais ça se fait de seule, OK ? Je le réalise en même temps que je te parle. Fait que, oui, je reproduis ce que je reproduisais quand j'étais petite. Puis, mon autre histoire, il est là, il est imaginaire. et Ça me donne encore plus le temps, je te dirais, de me livrer encore plus.
- Speaker #0
Oui, je comprends.
- Speaker #1
Je pense que c'est ça la clé, c'est qu'il faut s'imaginer un auditoire en avant.
- Speaker #0
Bien, tu sais, en même temps, c'est ça qu'on... Toi, tu as la référence de soit théâtre, soit scène, avoir des gens devant toi, tout ça. Tu as cette référence-là parce que c'est déjà arrivé des dizaines, des centaines de fois dans ta vie. tu es capable d'avoir une image claire de « je suis sur une scène, je suis en train de parler, j'ai des gens devant moi » et de t'imaginer cette situation-là, c'est facile parce que tu as des référents. Pour les gens qui ne l'ont jamais fait, mais qui veulent animer un podcast, souvent on va leur dire « mets-toi une photo de la personne que tu veux viser » ou une représentation graphique, ce n'est pas obligé d'être la photo de Ginette que tu veux vraiment viser avec ton podcast, mais une Ginette que tu trouverais sur le web et qui, à ton avis, a une image. qui reflète un peu la ginette que tu cherches à rejoindre, puis tu la mets devant toi, puis tu fais comme si tu y parles. C'est exactement ça. C'est un excellent truc.
- Speaker #1
Absolument. Si les gens sont visuels un peu, moi, j'ai une imagination débordante. Mais si la personne a besoin d'avoir quelque chose de physiquement là, Une poupée, une photo, n'importe quoi. Mais oui. Oui,
- Speaker #0
exactement. Je les voyais sans bon. Oui, tout à fait. Le système D. Voilà. Marie-Josée, j'aimerais qu'en terminant, j'aimerais qu'on parle un peu de résultats. Oui. Podcast, 80 épisodes déjà au-delà de réaliser, si on exclut la notaire pas ordinaire. Oui. On est rendu au-dessus de 100 probablement à ce niveau-là. Donc, parle-moi de résultats. Parle-moi de retour. Parle-moi de comment... CACA ! qu'est-ce que tu observes comme retour que tu as eu, qu'il soit monétaire ou non, peu importe. S'il y a au niveau monétaire, go, on y va là-dessus. Si tu es à l'aise de parler de ça, on y va. Mais sinon, les engagements et tout ça, parle-moi de résultats.
- Speaker #1
Bien, c'est sûr que les résultats, ils pourraient être encore meilleurs. Moi, je suis toujours en amélioration continue. Et c'est drôle parce que j'ai eu un coaching avec Lucie et qui est spécialisée en... plein d'affaires. Et on a convenu que je parlais beaucoup aux joueurs, mais il faut que je parle au-dessus pour avoir encore plus d'engagement. Ça, c'est un conseil que je donne aux gens, parce que je l'ai eu et je le partage. Quand on est dans le jeu, on a bien beau dire « je, je, je suis, je fais ça, je suis beau, je suis foin, je suis belle, je suis extraordinaire, je fais plein d'affaires, je peux t'aider, da-da-da-da. » Si tu parles au-dessus. dessus, t'es plus en compassion. Parce que j'ai été en compassion toute ma vie. Vous me direz, en 31 ans de notariat, j'ai été en compassion tout le temps. J'avais comme oublié ça parce que, on va se le dire, les artistes, on a besoin d'amour dans la vie. Et je sais que j'ai besoin énormément d'amour. Donc, j'étais un peu transposée le dessus au jeu. Et maintenant, j'ai changé, écoute, cette semaine, j'ai changé ma façon de faire mon marketing. Et j'ai déjà des engagements plus forts et en plus grand nombre en changeant ce thinking-là de parler au-dessus et parler au-nous. Et ça, je suis la preuve que ça fonctionne vraiment. Parce que dans le fond, les gens, ils s'en foutent de ce que tu as, de ce que tu as de quitter, de ce que tu offres. De toute façon, ils veulent avoir le bénéfice. Donc, ils veulent avoir... C'est quoi, moi, je vais avoir si je t'écoute ? tu sais quoi, je vais en voir si j'utilise ces services. C'est ça. Et voilà. Et l'autre chose que je peux dire, parce que l'amélioration continue, c'est vraiment très important. Tu nous le fais avec toutes les activités qu'il y a sur l'Académie du podcast, les élites, le momentum, etc. Et l'autre chose que je veux dire, j'écoute beaucoup de formations ailleurs aussi, et le cerveau 1, le cerveau 2, je ne sais pas si tu as déjà entendu, le cerveau 2, Un qui fait appel aux émotions, cerveau. Deux, il faut que tu réfléchisses. Mes pubs étaient aussi avec ma face. Hein ? Ma face ? Ma face avec mes lunettes rouges, mes ongles rouges, mais c'est pas ça. Tout le monde va l'avoir. Eux autres, ils vont avoir l'émotion qu'eux autres vont ressentir s'ils prennent mes services ou mes produits. Et là, j'ai tout changé mes publicités pour justement mettre des images où c'est une émotion qu'on ressent pour que ce soit le cerveau 1 qui soit interpellé et non pas le cerveau 2. qu'il faut qu'ils réfléchissent. Ils réfléchissent pas bon. Il faut qu'ils réfléchissent trop. Après ça, ils embarquent pas. Donc, ça vaut un, émotion, bingo.
- Speaker #0
C'est intéressant. Tu t'es nommée Lucie. Lucie qui est une de nos académiciennes de la première heure avec qui tu fais des collaborations maintenant. C'est une des discussions qu'on avait eues à l'époque avec Lucie, justement. Premièrement, la mise en place correcte de son personna. Ensuite de ça... la façon de communiquer. Tout ce que tu dis là, dans le fond, c'est comme une passation des pouvoirs, dans le fond, si on peut dire. Parce que c'est toutes des choses qu'on avait regardées ensemble. Puis quand tu parles des différents sujets de tes épisodes de podcast, de t'adresser à la problématique de la personne, à ce qu'ils vivent comme défis et tout ça, moi, ça me rappelle le premier coaching des élites qu'on a eu ensemble il y a déjà 8-10 mois peut-être. et on parlait de ça justement, on avait discuté de ça ensemble, donc ben oui, effectivement, c'est tous des bons trucs que tu nous as donnés, puis clairement c'est des choses qui vont générer de l'engagement, ça c'est sûr et certain Marie-Josée, merci beaucoup merci de ce beau moment qu'on a passé ensemble continue de faire ce que tu fais parce que vraiment, tu l'as dit j'ai une belle face, j'ai des belles lunettes rouges et je suis pétillant donc t'inspires les gens, tu les amènes à se transformer de façon positive puis à avoir davantage de bonheur dans leur vie. Et ça, avec tout ce qui se passe ces temps-ci, encore... Je ne dirais pas encore plus, parce que il me semble qu'on réussit toujours à battre la dernière affaire qu'on a faite de plate. En tant que société, on est dans une époque où on a un peu besoin beaucoup de « qu'est-ce que tu fais ? »
- Speaker #1
Marco, merci infiniment. Je termine en disant une chose. Arrêtez d'écouter les nouvelles. Moi, ça fait depuis la pandémie que je ne regarde plus, je n'écoute plus les nouvelles. Je sors bien assez vite si la terre explose. Je ne m'emporte que mieux. Voilà, c'est mon mot de la fin.
- Speaker #0
Oui, exactement. Merci beaucoup encore une fois. On se reparle dans deux heures. On aura des élèves dans deux heures. Merci. Ciao, ciao.
- Speaker #1
Bye, bye.