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MaRiEjO Créatrice de bonheur et de positif!

Ép 75 – ANTICONFORMISME : TRUCS POUR RESTER TOI-MÊME !

Ép 75 – ANTICONFORMISME : TRUCS POUR RESTER TOI-MÊME !

19min |05/02/2025|

15

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19min |05/02/2025|

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Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? 

Es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? 

Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? 

Tu es unique et ton unicité est ta force la plus puissante ! 

Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes ! 

On parle d’anticonformisme et d’authenticité. 

Pourquoi être toi-même est crucial ? 

Je vais te montrer comment vivre en couleurs dans un monde en noir et blanc.


Tu as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ?

Je peux t’aider !

Consulte : https://www.mariejoseestlaurent.com/bonheur-101

 

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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? Autrement dit, es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? T'es unique et ton unicité est ta force la plus puissante. Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes. On parle d'anticonformisme et d'authenticité. Pourquoi être toi-même est crucial ? Je vais te montrer comment vivre en couleur dans un monde en noir et blanc. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Dans ma jeunesse, j'étais tellement gênée que je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. Écoute, tout ce que je voulais, moi, c'était de passer inaperçu, éternuée en public, c'était ma mort. Bref, j'étais une petite fille chétive, là, tu sais, qui ne déplaçait pas ben ben derrière. Mais l'univers en a décidé autrement une chance, parce que si j'étais restée, si j'étais restée, oui, dans cette personnalité-là, Mon Dieu, que ma vie aurait été plate. Donc, je dis l'univers parce que, dans ma jeunesse, mon père est devenu maire de la ville. Il a fait deux mandats. Et donc, j'étais connue pour être la fille du maire Ma mère aussi, elle se donnait... Écoute, tout mon primaire, ma mère apportait un gâteau à ma fête. Ma fête, c'est le 10 septembre. Elle apportait un gâteau dans la classe. Et là, c'était le party. Écoute... On mangeait du gâteau, tout ça. Donc, effectivement, j'étais comme la vedette du jour parce que c'était ma fête. J'aimais bien ça. Et ma mère était à la mairesse. Elle offrait toujours des cadeaux à mes professeurs, à la directrice de l'école. Toutes les occasions étaient bonnes pour lui offrir un cadeau. Écoute, la Pâques, Noël, etc. Bref. Et quand mon père a cessé d'être mère, bien, j'étais rendue. Là, les gens, c'était drôle parce qu'ils disaient l'ancienne fille du maire, mais non, c'était la fille de l'ancien maire. En tout cas, bref, on avait bien du fun avec ça. Ça, c'était dans ma jeunesse. Et durant mon secondaire, bien, pour ceux qui m'écoutent depuis longtemps, j'ai eu une scoliose et j'ai porté, oui, un corset orthopédique tout mon secondaire. Et grâce à ça, bien, j'ai eu des traitements de faveur parce que je ne faisais pas d'éducation physique. Tout le monde venait me cogner sur mon corset, toc, toc, toc, pour me dire bonjour. Les regards étaient... tous tournés vers moi, évidemment. J'avais aussi du linge neuf à toutes les semaines parce que mon corset usait mes pantalons. J'étais toujours rendue avec ma mère. Je me souviens, à tous les vendredis, on allait m'acheter du linge neuf. Et j'avais, oui, des vêtements très colorés. Écoute, j'avais des lunettes roses en face. Bref, j'étais différente des autres. Et c'était difficile pour moi de ne pas passer inaperçu. Tu sais, j'aurais pu... être très malheureuse de ça. Si j'avais continué dans la même veine d'être gênée, puis de ne pas sortir de ma coquille, j'aurais été très malheureuse, je me serais renfermée, les gens m'auraient trouvé vraiment plate et vraiment weird, mais non, au contraire, j'ai comme explosé puis ça a fait comme bengale. J'ai ça, j'ai ça, puis coudon, ça va être comme ça. Tellement que, ça me rappelle à un moment donné, C'était l'Halloween, j'étais en secondaire 5 et bien oui, j'avais des vêtements très colorés et là, c'était la mode des couleurs fluo. J'étais en vert fluo et à l'école, tout le monde était déguisé et je m'étais fait demander c'est quoi mon costume alors que je n'étais pas costumée. J'avais trouvé ça bien drôle, mais tu sais, avoir eu l'ancienne attitude, je leur avais envoyé chier et j'aurais fait Ah, il a mon espèce de comique, je ne suis pas déguisé, tu sais que je comprends. Mais non, j'avais juste trouvé ça drôle. Et ça a continué, là. Au cégep, c'est rien passé, vraiment. Au cégep, j'étais plus inaperçue parce que j'étudiais et je faisais ma petite affaire. Mais à l'université, ah ben là, l'université, écoute, là, je détonnais vraiment parce qu'on comprend dessus qu'à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, écoute, c'était tous des petits preppys. Ça arrivait tout en auto de luxe, les Mercedes et compagnie, en habit, etc. Et ça se prenait au sérieux, ce gang-là. Oh my God ! Et moi, je ne me promenais pas au sérieux. Je pense que c'est ça la clé aussi. Moi, j'étais habillée en mou, toutes les couleurs, mes lunettes roses en face. J'avais une coiffure assez douteuse. Je m'étais faite faire une permanente. J'avais les cheveux longs aux fesses. Je m'attachais ça avec un crayon là-dedans, un chignon avec le crayon. Bref, j'avais de l'air diable. Mais je me foutais carrément de tout le monde et de mon allure. Moi, tout ce que je voulais, c'était étudier. Je ne connaissais pas personne. Ça ne me dérangeait pas. Je me foutais de ça. Mon seul but, c'était d'être notaire. Et une fois devenue notaire, oui, j'ai embarqué dans le moule. Nécessairement, je n'avais pas le choix. Il y a des règles à respecter. Il y a un cadre juridique à respecter, un cadre légal. Mais dans ma tenue vestimentaire et dans mon décorum au bureau, mon Dieu, on ne dirait pas que j'étais une notaire. J'étais habillée très colorée. Écoute, moi, je recevais les gens avec le sourire et je faisais mon show. au client, on avait bien du plaisir. C'est pas parce que t'as un diplôme universitaire pis que t'es notaire que t'es obligé d'avoir l'air bête pis d'être habillé en brun pis d'avoir... Tu comprends ce que je veux dire. Et aussi, c'est là que j'ai décidé encore plus de détonner en faisant des chroniques juridiques à la radio et à la télé de mon patelin. J'ai commencé à écrire des livres, des anecdotes notariales. Bref, ma vie, c'est un vrai show, c'était une fête dans mon bureau. Voilà. Et maintenant, tu le sais, j'ai changé de vie. Je suis revenue à ma vraie nature d'artiste. Là, curieusement, je détonne moins parce qu'étant artiste, tous les artistes ont des couleurs, on est coloré. Donc, je détonne un peu moins. Et tout ça pour te dire qu'on est tous uniques. On a tous, je te le dis assez souvent, on a tous des dons, des talents, des compétences, un parcours. Et je te dis, je suis la preuve vivante, il n'est jamais trop tard. pour affirmer ta vraie nature, d'exploser et de dire, regarde, moi, je suis comme ça et je ne me gêne plus pour être ce que je suis, qui je suis. Dans le fond, l'idée, c'est d'être soi-même, partout, tout le temps, avec tout le monde. C'est sûr qu'en étant toi-même, ce n'est pas tout le monde qui va t'aimer, mais les bonnes personnes, elles vont rester. Les bonnes personnes pour toi, ils vont rester, les autres, ils vont s'en aller. Puis c'est correct comme ça, là. On écrème la patente. Puis je te dirais aussi, tu sais, il y en a qui se forgent une personnalité pour, tu sais, pour que tu sais, que, que, que, que, être dans la gang, là, tu sais, là. Mais, mon Dieu, ça doit être tellement forçant de se forger une personnalité qui n'est pas la tienne. En tout cas, moi, je pense que oui, là, je pense que... Et pourquoi être toi ? Pourquoi c'est important ? de se démarquer du lot, c'est parce que tu as des trucs à partager. Tes dons, tes talents, tes compétences, ta personnalité, tout ça doit être partagé. C'est ça qui nous différencie des autres. Je ne sais pas comment on est de milliards sur la planète. Colline, si on était toutes pareilles, ça serait plate en maudit. C'est sûr que si tu as peur de sortir du lot, c'est parce que tu as peur de te faire juger. Je l'ai dit, oui, c'est normal d'avoir peur. C'est normal de te faire juger. On s'en fout. Il faut que tu te foutes de ça et d'être toi. Et c'est une fausse croyance de penser que pour réussir, il faut que tu te fondes dans le moule. Regarde, moi, j'ai été notaire pendant 31 ans et je n'étais pas dans le moule. J'ai même, à quelques reprises, boudé les règles de la Chambre des notaires parce que je trouvais que ça n'avait pas de bon sens. Oui, ils m'ont rabroué, puis j'ai fini par écouter. Mais tu comprends que c'est ça. Donc, c'est comme... On n'est pas obligé de rentrer dans le moule tant que ça. Puis, mon Dieu, essayer d'être quelqu'un d'autre pour plaire, c'est une mauvaise idée. Pourquoi ? Parce que tu n'es pas toi. Dans le fond, si tu essaies d'être quelqu'un d'autre, les gens, ce qu'ils vont aimer, c'est le quelqu'un d'autre. Ce n'est pas toi. Tu comprends ? Ça n'a pas de sens. Être unique, c'est ton super pouvoir. Ce n'est pas un défaut. Au contraire. Écoute, chaque mouton noir qui a pu exister, ça a changé le monde. J'ai des exemples. Si Einstein était resté dans son garage à faire ses petites expériences, puis qu'il n'avait pas partagé ça à personne, on ne serait pas rendu loin sur la Terre. Nelson Mandela aussi, Martin Luther King, bref, il y en a plein. Et en gardant ton authenticité, tu attires, je l'ai dit, les bonnes personnes. Et tu obtiens des bonnes opportunités. Pourquoi ? Parce que ça fit avec ce que t'es, avec ce que tu fais, avec ce que tu connais. Quand tu te promènes dans un champ, un champ de fleurs, mettons, qu'est-ce que tu vas remarquer le plus ? C'est la fleur qui va sortir du lot, qui va être plus haute que les autres. Tu vas faire, regarde la belle fleur. Sinon, les autres, ils passent tout inaperçus. Le mouton noir, pas le mouton noir, le mouton coin, peu importe sa couleur, le mouton là qui est en troupeau, t'en vois l'image là, tu comprends, tu veux que tu mettes dans le troupeau de moutons tout pareil, moi la réponse c'est non, et celui... Du troupeau, on parle toujours du mouton. Le mouton qui sort du troupeau et qui s'éloigne un peu, on comprend-tu qu'il y a une autre vision de la patente ? C'est ça. Se fondre dans la foule, c'est se cacher pour que personne ne te remarque. Mais mon Dieu, pourquoi ? Moi, j'ai de la misère à comprendre ça. Pourquoi tu ne veux pas te faire remarquer alors que tu as tellement de choses à partager ? partager aux gens. Céline Dion était restée à Charlemagne dans sa petite maison avec ses 13 frères et soeurs, sa mère et son père, à chanter à sa table de cuisine parce qu'elle était petite, c'est ça qu'elle faisait. Mais mon Dieu, elle nous aurait-tu privé de tant de talent que ça ? Einstein disparaît, je l'ai dit. Bref, il y a tellement de monde que si il avait décidé de vouloir passer inaperçu... Puis je sais qu'il y en a plein encore sur la planète qui passent inaperçus, alors qu'ils ont tellement de dons, de talents, de compétences. Je suis sûre que toi aussi, tu es comme ça. Tu as plein de choses à partager. Sors du troupeau de grâce. Et pourquoi je te dis tout ça ? Il y a des bénéfices à être anticonformiste. Tu attires des relations qui sont vraies. Pourquoi ? Parce que c'est de toi dont on parle. pas d'un personnage inventé. Donc, les gens vont tomber en amour avec toi, avec ce que tu es, ce que tu fais, ce que tu as. Tu inspires les autres aussi. Tu sais, ça ne sert à rien d'être quelqu'un d'autre. Toi, là, tu peux inspirer d'autres personnes avec ta vérité à toi. Tu vis sans masque. Hein ? Comment le monde, là ? Écoute, rien que les politiciens, on s'entend-tu quand ils sont devant une caméra, ils sont tellement... différent que quand ils sont dans leur salon à leur champêtre devant un game d'hockey, on s'entend. Aussi, tu cultives ta créativité, tu cultives ta vraie nature, tu gagnes en confiance aussi, c'est en étant toi-même, puis en faisant des expériences vis-à-vis les autres que tu vas dire, tu sais, tu vas essayer quelque chose, tu vas dire, ah mon Dieu, ils ont aimé ça, tu vas recommencer, puis tu vas gagner en confiance de jour en jour au fur et à mesure que tu vas avancer, que tu vas évoluer. Puis si tu es toi-même, tu vas faire ce qui te rend... heureuse. Et donc, tu vas t'améliorer aussi là-dedans. Tu brises les stéréotypes. À être comme les autres, ben, tu fais bien, tu comprends ? Mais si tu sors du lot comme la fleur dans le champ, on s'entend-tu que tu brises les stéréotypes ? Moi, j'ai tellement brisé de stéréotypes en étant la notaire pas ordinaire. T'as vu, à Google, Google notaire pas ordinaire, tu vas voir ma face. Parce que j'étais la notaire pas ordinaire de la province de Québec. Donc oui, des stéréotypes. Puis c'était mon but. C'était mon but aussi en faisant des chroniques à la radio, la télé et en écrivant des livres. C'était mon but de montrer aux gens que le notaire, c'est pas juste un vieux grinchois bien brun. Tu sais, c'est ça. Et quand t'es toi-même, tu oses dire oui ou non. Tu dis pas comme les autres. Tu t'affirmes selon ce que tu veux réellement. Et tu deviens aussi un modèle d'authenticité. Hein ? Tu sais, Céline Dion, tout le monde le dit, puis je suis en train de lire un livre sur sa vie. Mon Dieu, Dieu sait que je les ai toutes, mais il y en a un autre, un nouveau qui est, je ne me souviens plus, c'est Thomas quelque chose qui l'a écrit, puis c'est par rapport à ses chansons, il fait une analyse de ses chansons. Puis partout dans le livre, il dit que Céline, en public ou dans la vie privée, elle est la même. Et ça, c'est wow, OK ? C'est ça qu'il faut. Il faut être vraiment authentique tout le temps, partout, avec n'importe qui. Donc, les dix étapes, je te partage ça, les dix étapes pour embrasser ton unicité, ton authenticité, c'est premièrement, c'est accepte qui tu es, accepte d'être qui tu es. Identifie aussi ce qui te rend unique. Il n'est pas juste l'apparence physique, ton rire. ton sens de l'humour, tes dons, tes talents, tes compétences, et assume-les de grâce. Assume tes dons, tes talents, tes compétences. Assume tes choix aussi. Si tu refuses quelque chose, assume-le. Ne regrette pas. Non, non, tu dis non, moi, ça ne colle pas avec moi. Je refuse telle ou telle affaire. Bien, assume. Ignore de grâce le jugement des autres. Les autres, on s'en fout. Il faut que tu regardes en avant. Tu ne regardes pas des côtés qui te regardent. Non, non. Tu regardes ton objectif en avant, puis tu dis, c'est là où je m'en vais. Peu importe qui va penser quoi, on s'en fout. Fais ce qui te passionne aussi. Fais ce qui te passionne toi. Pas Pierre-Jean-Jacques. Non, toi. Qu'est-ce que tu aimes ? Fais-le. Assume tout ce que tu aimes. Entoure-toi aussi des vraies personnes et des personnes vraies, des personnes authentiques. Si tu côtoies des gens qui ne sont pas vrais, tu vas avoir de la misère à être vrai. Tu vas avoir toujours l'idée d'être comme eux autres. Tu comprends ? Et, en étant toi, tu mets de la couleur dans ta vie, tu mets de la couleur dans la vie des autres aussi. Puis, dérange les autres. Ça, c'est le meilleur moyen. Sois toi, dérange les autres. Si tu déranges les autres, ça veut dire que tu es unique. Tu comprends ? Parce que les autres vont dire, voyons, qu'est-ce qu'elle fait là ? Voyons, c'est qui lui ? Qu'est-ce qu'il fait ? Bon, c'est ça. Si tu déranges les autres, c'est parce que tu es unique. Les autres te regardent en voulant dire, mais mon Dieu, qu'est-ce que c'est ça ? Qu'est-ce que c'est ça, ce bibitte-là ? C'est bon, ça. Célèbre tes différences. Oui, tes différences, c'est ce qui te démarque des autres. T'es toi. Puis en étant toi, tu inspires les autres à faire pareil en étant eux-mêmes. C'est extraordinaire. C'est ce que je fais avec toi aujourd'hui. Face à ton authenticité, tu as deux options. La première, c'est que tu la nies, cette authenticité-là, cette unicité-là. Tu te mets un masque pour te fondre dans le décor. Tu n'assumes pas qui tu es. Tu passes inaperçu. Tes dons, tes talents, tes compétences ne sont pas reconnus. Tu passes à côté d'opportunités incroyables de contribuer à la société. Tu prives les autres de ça. Et tu as une vie ordinaire sans plus. Deuxième option. Tu salues ton unicité. Tu brilles par ta différence. Les gens profitent de tes dons, de tes talents, de tes compétences. Tu es connu et reconnu par tout le monde. Une foule d'opportunités te sont présentées et tu en profites à plein. Tu mènes une vie extraordinaire parce que tu contribues au monde et tu participes à l'évolution de la société. Je l'ai dit, quand j'étais jeune, j'étais gênée. Je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. J'étais éternuée en public. C'était ma mort. Mais l'univers en a décidé autrement parce que j'aurais pu, oui, rester comme ça, rester recluse dans mon sous-sol, dans ma salle de jeu à l'époque quand j'étais petite, puis de rester là, puis de faire ma petite affaire. Mais non, l'univers a mis des trucs dans ma vie. Un père, maire de la ville, l'obligation de porter un corset à cause de ma scoliose, c'était toutes les différences, ça, qui me mettaient on the spot. Et dans le fond, moi, tout ce que je voulais, c'était... de ne pas être on the spot. Mais au lieu de me rebuter contre ça, j'ai décidé d'en faire un outil et d'accepter. Parce que oui, dans le fin fond de moi, je voulais avoir des amis, je voulais être aimée de tous. Et donc, au lieu de m'apitoyer sur mon sort, j'en ai profité. Au lieu de me... Aussi comme notaire, au lieu de me former dans le décor notarial de ma vie en brun, j'ai décidé de me démarquer avec ma personnalité. Et, bien, encore aujourd'hui, les gens se rappellent de moi pour ce que je faisais, pour ce que j'étais, pour ce que je disais. Et l'idée, en fait, tout ce que j'essaie de te dire aujourd'hui, c'est que nous sommes tous différents, différentes. Une maudite chance parce que la vie serait vraiment plate sur la Terre. Et donc, tu as une belle personnalité, tu es unique, rappelle-toi-en. Et fais en sorte que cette unicité-là, cette authenticité-là, que le monde... profite. Partage tout ça avec les gens de grâce. T'as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ? Je peux t'aider. Consulte le marijoséselerand.com barre oblique bonheur 101. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de changement.

Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? 

Es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? 

Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? 

Tu es unique et ton unicité est ta force la plus puissante ! 

Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes ! 

On parle d’anticonformisme et d’authenticité. 

Pourquoi être toi-même est crucial ? 

Je vais te montrer comment vivre en couleurs dans un monde en noir et blanc.


Tu as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ?

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  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? Autrement dit, es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? T'es unique et ton unicité est ta force la plus puissante. Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes. On parle d'anticonformisme et d'authenticité. Pourquoi être toi-même est crucial ? Je vais te montrer comment vivre en couleur dans un monde en noir et blanc. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Dans ma jeunesse, j'étais tellement gênée que je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. Écoute, tout ce que je voulais, moi, c'était de passer inaperçu, éternuée en public, c'était ma mort. Bref, j'étais une petite fille chétive, là, tu sais, qui ne déplaçait pas ben ben derrière. Mais l'univers en a décidé autrement une chance, parce que si j'étais restée, si j'étais restée, oui, dans cette personnalité-là, Mon Dieu, que ma vie aurait été plate. Donc, je dis l'univers parce que, dans ma jeunesse, mon père est devenu maire de la ville. Il a fait deux mandats. Et donc, j'étais connue pour être la fille du maire Ma mère aussi, elle se donnait... Écoute, tout mon primaire, ma mère apportait un gâteau à ma fête. Ma fête, c'est le 10 septembre. Elle apportait un gâteau dans la classe. Et là, c'était le party. Écoute... On mangeait du gâteau, tout ça. Donc, effectivement, j'étais comme la vedette du jour parce que c'était ma fête. J'aimais bien ça. Et ma mère était à la mairesse. Elle offrait toujours des cadeaux à mes professeurs, à la directrice de l'école. Toutes les occasions étaient bonnes pour lui offrir un cadeau. Écoute, la Pâques, Noël, etc. Bref. Et quand mon père a cessé d'être mère, bien, j'étais rendue. Là, les gens, c'était drôle parce qu'ils disaient l'ancienne fille du maire, mais non, c'était la fille de l'ancien maire. En tout cas, bref, on avait bien du fun avec ça. Ça, c'était dans ma jeunesse. Et durant mon secondaire, bien, pour ceux qui m'écoutent depuis longtemps, j'ai eu une scoliose et j'ai porté, oui, un corset orthopédique tout mon secondaire. Et grâce à ça, bien, j'ai eu des traitements de faveur parce que je ne faisais pas d'éducation physique. Tout le monde venait me cogner sur mon corset, toc, toc, toc, pour me dire bonjour. Les regards étaient... tous tournés vers moi, évidemment. J'avais aussi du linge neuf à toutes les semaines parce que mon corset usait mes pantalons. J'étais toujours rendue avec ma mère. Je me souviens, à tous les vendredis, on allait m'acheter du linge neuf. Et j'avais, oui, des vêtements très colorés. Écoute, j'avais des lunettes roses en face. Bref, j'étais différente des autres. Et c'était difficile pour moi de ne pas passer inaperçu. Tu sais, j'aurais pu... être très malheureuse de ça. Si j'avais continué dans la même veine d'être gênée, puis de ne pas sortir de ma coquille, j'aurais été très malheureuse, je me serais renfermée, les gens m'auraient trouvé vraiment plate et vraiment weird, mais non, au contraire, j'ai comme explosé puis ça a fait comme bengale. J'ai ça, j'ai ça, puis coudon, ça va être comme ça. Tellement que, ça me rappelle à un moment donné, C'était l'Halloween, j'étais en secondaire 5 et bien oui, j'avais des vêtements très colorés et là, c'était la mode des couleurs fluo. J'étais en vert fluo et à l'école, tout le monde était déguisé et je m'étais fait demander c'est quoi mon costume alors que je n'étais pas costumée. J'avais trouvé ça bien drôle, mais tu sais, avoir eu l'ancienne attitude, je leur avais envoyé chier et j'aurais fait Ah, il a mon espèce de comique, je ne suis pas déguisé, tu sais que je comprends. Mais non, j'avais juste trouvé ça drôle. Et ça a continué, là. Au cégep, c'est rien passé, vraiment. Au cégep, j'étais plus inaperçue parce que j'étudiais et je faisais ma petite affaire. Mais à l'université, ah ben là, l'université, écoute, là, je détonnais vraiment parce qu'on comprend dessus qu'à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, écoute, c'était tous des petits preppys. Ça arrivait tout en auto de luxe, les Mercedes et compagnie, en habit, etc. Et ça se prenait au sérieux, ce gang-là. Oh my God ! Et moi, je ne me promenais pas au sérieux. Je pense que c'est ça la clé aussi. Moi, j'étais habillée en mou, toutes les couleurs, mes lunettes roses en face. J'avais une coiffure assez douteuse. Je m'étais faite faire une permanente. J'avais les cheveux longs aux fesses. Je m'attachais ça avec un crayon là-dedans, un chignon avec le crayon. Bref, j'avais de l'air diable. Mais je me foutais carrément de tout le monde et de mon allure. Moi, tout ce que je voulais, c'était étudier. Je ne connaissais pas personne. Ça ne me dérangeait pas. Je me foutais de ça. Mon seul but, c'était d'être notaire. Et une fois devenue notaire, oui, j'ai embarqué dans le moule. Nécessairement, je n'avais pas le choix. Il y a des règles à respecter. Il y a un cadre juridique à respecter, un cadre légal. Mais dans ma tenue vestimentaire et dans mon décorum au bureau, mon Dieu, on ne dirait pas que j'étais une notaire. J'étais habillée très colorée. Écoute, moi, je recevais les gens avec le sourire et je faisais mon show. au client, on avait bien du plaisir. C'est pas parce que t'as un diplôme universitaire pis que t'es notaire que t'es obligé d'avoir l'air bête pis d'être habillé en brun pis d'avoir... Tu comprends ce que je veux dire. Et aussi, c'est là que j'ai décidé encore plus de détonner en faisant des chroniques juridiques à la radio et à la télé de mon patelin. J'ai commencé à écrire des livres, des anecdotes notariales. Bref, ma vie, c'est un vrai show, c'était une fête dans mon bureau. Voilà. Et maintenant, tu le sais, j'ai changé de vie. Je suis revenue à ma vraie nature d'artiste. Là, curieusement, je détonne moins parce qu'étant artiste, tous les artistes ont des couleurs, on est coloré. Donc, je détonne un peu moins. Et tout ça pour te dire qu'on est tous uniques. On a tous, je te le dis assez souvent, on a tous des dons, des talents, des compétences, un parcours. Et je te dis, je suis la preuve vivante, il n'est jamais trop tard. pour affirmer ta vraie nature, d'exploser et de dire, regarde, moi, je suis comme ça et je ne me gêne plus pour être ce que je suis, qui je suis. Dans le fond, l'idée, c'est d'être soi-même, partout, tout le temps, avec tout le monde. C'est sûr qu'en étant toi-même, ce n'est pas tout le monde qui va t'aimer, mais les bonnes personnes, elles vont rester. Les bonnes personnes pour toi, ils vont rester, les autres, ils vont s'en aller. Puis c'est correct comme ça, là. On écrème la patente. Puis je te dirais aussi, tu sais, il y en a qui se forgent une personnalité pour, tu sais, pour que tu sais, que, que, que, que, être dans la gang, là, tu sais, là. Mais, mon Dieu, ça doit être tellement forçant de se forger une personnalité qui n'est pas la tienne. En tout cas, moi, je pense que oui, là, je pense que... Et pourquoi être toi ? Pourquoi c'est important ? de se démarquer du lot, c'est parce que tu as des trucs à partager. Tes dons, tes talents, tes compétences, ta personnalité, tout ça doit être partagé. C'est ça qui nous différencie des autres. Je ne sais pas comment on est de milliards sur la planète. Colline, si on était toutes pareilles, ça serait plate en maudit. C'est sûr que si tu as peur de sortir du lot, c'est parce que tu as peur de te faire juger. Je l'ai dit, oui, c'est normal d'avoir peur. C'est normal de te faire juger. On s'en fout. Il faut que tu te foutes de ça et d'être toi. Et c'est une fausse croyance de penser que pour réussir, il faut que tu te fondes dans le moule. Regarde, moi, j'ai été notaire pendant 31 ans et je n'étais pas dans le moule. J'ai même, à quelques reprises, boudé les règles de la Chambre des notaires parce que je trouvais que ça n'avait pas de bon sens. Oui, ils m'ont rabroué, puis j'ai fini par écouter. Mais tu comprends que c'est ça. Donc, c'est comme... On n'est pas obligé de rentrer dans le moule tant que ça. Puis, mon Dieu, essayer d'être quelqu'un d'autre pour plaire, c'est une mauvaise idée. Pourquoi ? Parce que tu n'es pas toi. Dans le fond, si tu essaies d'être quelqu'un d'autre, les gens, ce qu'ils vont aimer, c'est le quelqu'un d'autre. Ce n'est pas toi. Tu comprends ? Ça n'a pas de sens. Être unique, c'est ton super pouvoir. Ce n'est pas un défaut. Au contraire. Écoute, chaque mouton noir qui a pu exister, ça a changé le monde. J'ai des exemples. Si Einstein était resté dans son garage à faire ses petites expériences, puis qu'il n'avait pas partagé ça à personne, on ne serait pas rendu loin sur la Terre. Nelson Mandela aussi, Martin Luther King, bref, il y en a plein. Et en gardant ton authenticité, tu attires, je l'ai dit, les bonnes personnes. Et tu obtiens des bonnes opportunités. Pourquoi ? Parce que ça fit avec ce que t'es, avec ce que tu fais, avec ce que tu connais. Quand tu te promènes dans un champ, un champ de fleurs, mettons, qu'est-ce que tu vas remarquer le plus ? C'est la fleur qui va sortir du lot, qui va être plus haute que les autres. Tu vas faire, regarde la belle fleur. Sinon, les autres, ils passent tout inaperçus. Le mouton noir, pas le mouton noir, le mouton coin, peu importe sa couleur, le mouton là qui est en troupeau, t'en vois l'image là, tu comprends, tu veux que tu mettes dans le troupeau de moutons tout pareil, moi la réponse c'est non, et celui... Du troupeau, on parle toujours du mouton. Le mouton qui sort du troupeau et qui s'éloigne un peu, on comprend-tu qu'il y a une autre vision de la patente ? C'est ça. Se fondre dans la foule, c'est se cacher pour que personne ne te remarque. Mais mon Dieu, pourquoi ? Moi, j'ai de la misère à comprendre ça. Pourquoi tu ne veux pas te faire remarquer alors que tu as tellement de choses à partager ? partager aux gens. Céline Dion était restée à Charlemagne dans sa petite maison avec ses 13 frères et soeurs, sa mère et son père, à chanter à sa table de cuisine parce qu'elle était petite, c'est ça qu'elle faisait. Mais mon Dieu, elle nous aurait-tu privé de tant de talent que ça ? Einstein disparaît, je l'ai dit. Bref, il y a tellement de monde que si il avait décidé de vouloir passer inaperçu... Puis je sais qu'il y en a plein encore sur la planète qui passent inaperçus, alors qu'ils ont tellement de dons, de talents, de compétences. Je suis sûre que toi aussi, tu es comme ça. Tu as plein de choses à partager. Sors du troupeau de grâce. Et pourquoi je te dis tout ça ? Il y a des bénéfices à être anticonformiste. Tu attires des relations qui sont vraies. Pourquoi ? Parce que c'est de toi dont on parle. pas d'un personnage inventé. Donc, les gens vont tomber en amour avec toi, avec ce que tu es, ce que tu fais, ce que tu as. Tu inspires les autres aussi. Tu sais, ça ne sert à rien d'être quelqu'un d'autre. Toi, là, tu peux inspirer d'autres personnes avec ta vérité à toi. Tu vis sans masque. Hein ? Comment le monde, là ? Écoute, rien que les politiciens, on s'entend-tu quand ils sont devant une caméra, ils sont tellement... différent que quand ils sont dans leur salon à leur champêtre devant un game d'hockey, on s'entend. Aussi, tu cultives ta créativité, tu cultives ta vraie nature, tu gagnes en confiance aussi, c'est en étant toi-même, puis en faisant des expériences vis-à-vis les autres que tu vas dire, tu sais, tu vas essayer quelque chose, tu vas dire, ah mon Dieu, ils ont aimé ça, tu vas recommencer, puis tu vas gagner en confiance de jour en jour au fur et à mesure que tu vas avancer, que tu vas évoluer. Puis si tu es toi-même, tu vas faire ce qui te rend... heureuse. Et donc, tu vas t'améliorer aussi là-dedans. Tu brises les stéréotypes. À être comme les autres, ben, tu fais bien, tu comprends ? Mais si tu sors du lot comme la fleur dans le champ, on s'entend-tu que tu brises les stéréotypes ? Moi, j'ai tellement brisé de stéréotypes en étant la notaire pas ordinaire. T'as vu, à Google, Google notaire pas ordinaire, tu vas voir ma face. Parce que j'étais la notaire pas ordinaire de la province de Québec. Donc oui, des stéréotypes. Puis c'était mon but. C'était mon but aussi en faisant des chroniques à la radio, la télé et en écrivant des livres. C'était mon but de montrer aux gens que le notaire, c'est pas juste un vieux grinchois bien brun. Tu sais, c'est ça. Et quand t'es toi-même, tu oses dire oui ou non. Tu dis pas comme les autres. Tu t'affirmes selon ce que tu veux réellement. Et tu deviens aussi un modèle d'authenticité. Hein ? Tu sais, Céline Dion, tout le monde le dit, puis je suis en train de lire un livre sur sa vie. Mon Dieu, Dieu sait que je les ai toutes, mais il y en a un autre, un nouveau qui est, je ne me souviens plus, c'est Thomas quelque chose qui l'a écrit, puis c'est par rapport à ses chansons, il fait une analyse de ses chansons. Puis partout dans le livre, il dit que Céline, en public ou dans la vie privée, elle est la même. Et ça, c'est wow, OK ? C'est ça qu'il faut. Il faut être vraiment authentique tout le temps, partout, avec n'importe qui. Donc, les dix étapes, je te partage ça, les dix étapes pour embrasser ton unicité, ton authenticité, c'est premièrement, c'est accepte qui tu es, accepte d'être qui tu es. Identifie aussi ce qui te rend unique. Il n'est pas juste l'apparence physique, ton rire. ton sens de l'humour, tes dons, tes talents, tes compétences, et assume-les de grâce. Assume tes dons, tes talents, tes compétences. Assume tes choix aussi. Si tu refuses quelque chose, assume-le. Ne regrette pas. Non, non, tu dis non, moi, ça ne colle pas avec moi. Je refuse telle ou telle affaire. Bien, assume. Ignore de grâce le jugement des autres. Les autres, on s'en fout. Il faut que tu regardes en avant. Tu ne regardes pas des côtés qui te regardent. Non, non. Tu regardes ton objectif en avant, puis tu dis, c'est là où je m'en vais. Peu importe qui va penser quoi, on s'en fout. Fais ce qui te passionne aussi. Fais ce qui te passionne toi. Pas Pierre-Jean-Jacques. Non, toi. Qu'est-ce que tu aimes ? Fais-le. Assume tout ce que tu aimes. Entoure-toi aussi des vraies personnes et des personnes vraies, des personnes authentiques. Si tu côtoies des gens qui ne sont pas vrais, tu vas avoir de la misère à être vrai. Tu vas avoir toujours l'idée d'être comme eux autres. Tu comprends ? Et, en étant toi, tu mets de la couleur dans ta vie, tu mets de la couleur dans la vie des autres aussi. Puis, dérange les autres. Ça, c'est le meilleur moyen. Sois toi, dérange les autres. Si tu déranges les autres, ça veut dire que tu es unique. Tu comprends ? Parce que les autres vont dire, voyons, qu'est-ce qu'elle fait là ? Voyons, c'est qui lui ? Qu'est-ce qu'il fait ? Bon, c'est ça. Si tu déranges les autres, c'est parce que tu es unique. Les autres te regardent en voulant dire, mais mon Dieu, qu'est-ce que c'est ça ? Qu'est-ce que c'est ça, ce bibitte-là ? C'est bon, ça. Célèbre tes différences. Oui, tes différences, c'est ce qui te démarque des autres. T'es toi. Puis en étant toi, tu inspires les autres à faire pareil en étant eux-mêmes. C'est extraordinaire. C'est ce que je fais avec toi aujourd'hui. Face à ton authenticité, tu as deux options. La première, c'est que tu la nies, cette authenticité-là, cette unicité-là. Tu te mets un masque pour te fondre dans le décor. Tu n'assumes pas qui tu es. Tu passes inaperçu. Tes dons, tes talents, tes compétences ne sont pas reconnus. Tu passes à côté d'opportunités incroyables de contribuer à la société. Tu prives les autres de ça. Et tu as une vie ordinaire sans plus. Deuxième option. Tu salues ton unicité. Tu brilles par ta différence. Les gens profitent de tes dons, de tes talents, de tes compétences. Tu es connu et reconnu par tout le monde. Une foule d'opportunités te sont présentées et tu en profites à plein. Tu mènes une vie extraordinaire parce que tu contribues au monde et tu participes à l'évolution de la société. Je l'ai dit, quand j'étais jeune, j'étais gênée. Je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. J'étais éternuée en public. C'était ma mort. Mais l'univers en a décidé autrement parce que j'aurais pu, oui, rester comme ça, rester recluse dans mon sous-sol, dans ma salle de jeu à l'époque quand j'étais petite, puis de rester là, puis de faire ma petite affaire. Mais non, l'univers a mis des trucs dans ma vie. Un père, maire de la ville, l'obligation de porter un corset à cause de ma scoliose, c'était toutes les différences, ça, qui me mettaient on the spot. Et dans le fond, moi, tout ce que je voulais, c'était... de ne pas être on the spot. Mais au lieu de me rebuter contre ça, j'ai décidé d'en faire un outil et d'accepter. Parce que oui, dans le fin fond de moi, je voulais avoir des amis, je voulais être aimée de tous. Et donc, au lieu de m'apitoyer sur mon sort, j'en ai profité. Au lieu de me... Aussi comme notaire, au lieu de me former dans le décor notarial de ma vie en brun, j'ai décidé de me démarquer avec ma personnalité. Et, bien, encore aujourd'hui, les gens se rappellent de moi pour ce que je faisais, pour ce que j'étais, pour ce que je disais. Et l'idée, en fait, tout ce que j'essaie de te dire aujourd'hui, c'est que nous sommes tous différents, différentes. Une maudite chance parce que la vie serait vraiment plate sur la Terre. Et donc, tu as une belle personnalité, tu es unique, rappelle-toi-en. Et fais en sorte que cette unicité-là, cette authenticité-là, que le monde... profite. Partage tout ça avec les gens de grâce. T'as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ? Je peux t'aider. Consulte le marijoséselerand.com barre oblique bonheur 101. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de changement.

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Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? 

Es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? 

Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? 

Tu es unique et ton unicité est ta force la plus puissante ! 

Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes ! 

On parle d’anticonformisme et d’authenticité. 

Pourquoi être toi-même est crucial ? 

Je vais te montrer comment vivre en couleurs dans un monde en noir et blanc.


Tu as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ?

Je peux t’aider !

Consulte : https://www.mariejoseestlaurent.com/bonheur-101

 

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  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? Autrement dit, es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? T'es unique et ton unicité est ta force la plus puissante. Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes. On parle d'anticonformisme et d'authenticité. Pourquoi être toi-même est crucial ? Je vais te montrer comment vivre en couleur dans un monde en noir et blanc. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Dans ma jeunesse, j'étais tellement gênée que je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. Écoute, tout ce que je voulais, moi, c'était de passer inaperçu, éternuée en public, c'était ma mort. Bref, j'étais une petite fille chétive, là, tu sais, qui ne déplaçait pas ben ben derrière. Mais l'univers en a décidé autrement une chance, parce que si j'étais restée, si j'étais restée, oui, dans cette personnalité-là, Mon Dieu, que ma vie aurait été plate. Donc, je dis l'univers parce que, dans ma jeunesse, mon père est devenu maire de la ville. Il a fait deux mandats. Et donc, j'étais connue pour être la fille du maire Ma mère aussi, elle se donnait... Écoute, tout mon primaire, ma mère apportait un gâteau à ma fête. Ma fête, c'est le 10 septembre. Elle apportait un gâteau dans la classe. Et là, c'était le party. Écoute... On mangeait du gâteau, tout ça. Donc, effectivement, j'étais comme la vedette du jour parce que c'était ma fête. J'aimais bien ça. Et ma mère était à la mairesse. Elle offrait toujours des cadeaux à mes professeurs, à la directrice de l'école. Toutes les occasions étaient bonnes pour lui offrir un cadeau. Écoute, la Pâques, Noël, etc. Bref. Et quand mon père a cessé d'être mère, bien, j'étais rendue. Là, les gens, c'était drôle parce qu'ils disaient l'ancienne fille du maire, mais non, c'était la fille de l'ancien maire. En tout cas, bref, on avait bien du fun avec ça. Ça, c'était dans ma jeunesse. Et durant mon secondaire, bien, pour ceux qui m'écoutent depuis longtemps, j'ai eu une scoliose et j'ai porté, oui, un corset orthopédique tout mon secondaire. Et grâce à ça, bien, j'ai eu des traitements de faveur parce que je ne faisais pas d'éducation physique. Tout le monde venait me cogner sur mon corset, toc, toc, toc, pour me dire bonjour. Les regards étaient... tous tournés vers moi, évidemment. J'avais aussi du linge neuf à toutes les semaines parce que mon corset usait mes pantalons. J'étais toujours rendue avec ma mère. Je me souviens, à tous les vendredis, on allait m'acheter du linge neuf. Et j'avais, oui, des vêtements très colorés. Écoute, j'avais des lunettes roses en face. Bref, j'étais différente des autres. Et c'était difficile pour moi de ne pas passer inaperçu. Tu sais, j'aurais pu... être très malheureuse de ça. Si j'avais continué dans la même veine d'être gênée, puis de ne pas sortir de ma coquille, j'aurais été très malheureuse, je me serais renfermée, les gens m'auraient trouvé vraiment plate et vraiment weird, mais non, au contraire, j'ai comme explosé puis ça a fait comme bengale. J'ai ça, j'ai ça, puis coudon, ça va être comme ça. Tellement que, ça me rappelle à un moment donné, C'était l'Halloween, j'étais en secondaire 5 et bien oui, j'avais des vêtements très colorés et là, c'était la mode des couleurs fluo. J'étais en vert fluo et à l'école, tout le monde était déguisé et je m'étais fait demander c'est quoi mon costume alors que je n'étais pas costumée. J'avais trouvé ça bien drôle, mais tu sais, avoir eu l'ancienne attitude, je leur avais envoyé chier et j'aurais fait Ah, il a mon espèce de comique, je ne suis pas déguisé, tu sais que je comprends. Mais non, j'avais juste trouvé ça drôle. Et ça a continué, là. Au cégep, c'est rien passé, vraiment. Au cégep, j'étais plus inaperçue parce que j'étudiais et je faisais ma petite affaire. Mais à l'université, ah ben là, l'université, écoute, là, je détonnais vraiment parce qu'on comprend dessus qu'à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, écoute, c'était tous des petits preppys. Ça arrivait tout en auto de luxe, les Mercedes et compagnie, en habit, etc. Et ça se prenait au sérieux, ce gang-là. Oh my God ! Et moi, je ne me promenais pas au sérieux. Je pense que c'est ça la clé aussi. Moi, j'étais habillée en mou, toutes les couleurs, mes lunettes roses en face. J'avais une coiffure assez douteuse. Je m'étais faite faire une permanente. J'avais les cheveux longs aux fesses. Je m'attachais ça avec un crayon là-dedans, un chignon avec le crayon. Bref, j'avais de l'air diable. Mais je me foutais carrément de tout le monde et de mon allure. Moi, tout ce que je voulais, c'était étudier. Je ne connaissais pas personne. Ça ne me dérangeait pas. Je me foutais de ça. Mon seul but, c'était d'être notaire. Et une fois devenue notaire, oui, j'ai embarqué dans le moule. Nécessairement, je n'avais pas le choix. Il y a des règles à respecter. Il y a un cadre juridique à respecter, un cadre légal. Mais dans ma tenue vestimentaire et dans mon décorum au bureau, mon Dieu, on ne dirait pas que j'étais une notaire. J'étais habillée très colorée. Écoute, moi, je recevais les gens avec le sourire et je faisais mon show. au client, on avait bien du plaisir. C'est pas parce que t'as un diplôme universitaire pis que t'es notaire que t'es obligé d'avoir l'air bête pis d'être habillé en brun pis d'avoir... Tu comprends ce que je veux dire. Et aussi, c'est là que j'ai décidé encore plus de détonner en faisant des chroniques juridiques à la radio et à la télé de mon patelin. J'ai commencé à écrire des livres, des anecdotes notariales. Bref, ma vie, c'est un vrai show, c'était une fête dans mon bureau. Voilà. Et maintenant, tu le sais, j'ai changé de vie. Je suis revenue à ma vraie nature d'artiste. Là, curieusement, je détonne moins parce qu'étant artiste, tous les artistes ont des couleurs, on est coloré. Donc, je détonne un peu moins. Et tout ça pour te dire qu'on est tous uniques. On a tous, je te le dis assez souvent, on a tous des dons, des talents, des compétences, un parcours. Et je te dis, je suis la preuve vivante, il n'est jamais trop tard. pour affirmer ta vraie nature, d'exploser et de dire, regarde, moi, je suis comme ça et je ne me gêne plus pour être ce que je suis, qui je suis. Dans le fond, l'idée, c'est d'être soi-même, partout, tout le temps, avec tout le monde. C'est sûr qu'en étant toi-même, ce n'est pas tout le monde qui va t'aimer, mais les bonnes personnes, elles vont rester. Les bonnes personnes pour toi, ils vont rester, les autres, ils vont s'en aller. Puis c'est correct comme ça, là. On écrème la patente. Puis je te dirais aussi, tu sais, il y en a qui se forgent une personnalité pour, tu sais, pour que tu sais, que, que, que, que, être dans la gang, là, tu sais, là. Mais, mon Dieu, ça doit être tellement forçant de se forger une personnalité qui n'est pas la tienne. En tout cas, moi, je pense que oui, là, je pense que... Et pourquoi être toi ? Pourquoi c'est important ? de se démarquer du lot, c'est parce que tu as des trucs à partager. Tes dons, tes talents, tes compétences, ta personnalité, tout ça doit être partagé. C'est ça qui nous différencie des autres. Je ne sais pas comment on est de milliards sur la planète. Colline, si on était toutes pareilles, ça serait plate en maudit. C'est sûr que si tu as peur de sortir du lot, c'est parce que tu as peur de te faire juger. Je l'ai dit, oui, c'est normal d'avoir peur. C'est normal de te faire juger. On s'en fout. Il faut que tu te foutes de ça et d'être toi. Et c'est une fausse croyance de penser que pour réussir, il faut que tu te fondes dans le moule. Regarde, moi, j'ai été notaire pendant 31 ans et je n'étais pas dans le moule. J'ai même, à quelques reprises, boudé les règles de la Chambre des notaires parce que je trouvais que ça n'avait pas de bon sens. Oui, ils m'ont rabroué, puis j'ai fini par écouter. Mais tu comprends que c'est ça. Donc, c'est comme... On n'est pas obligé de rentrer dans le moule tant que ça. Puis, mon Dieu, essayer d'être quelqu'un d'autre pour plaire, c'est une mauvaise idée. Pourquoi ? Parce que tu n'es pas toi. Dans le fond, si tu essaies d'être quelqu'un d'autre, les gens, ce qu'ils vont aimer, c'est le quelqu'un d'autre. Ce n'est pas toi. Tu comprends ? Ça n'a pas de sens. Être unique, c'est ton super pouvoir. Ce n'est pas un défaut. Au contraire. Écoute, chaque mouton noir qui a pu exister, ça a changé le monde. J'ai des exemples. Si Einstein était resté dans son garage à faire ses petites expériences, puis qu'il n'avait pas partagé ça à personne, on ne serait pas rendu loin sur la Terre. Nelson Mandela aussi, Martin Luther King, bref, il y en a plein. Et en gardant ton authenticité, tu attires, je l'ai dit, les bonnes personnes. Et tu obtiens des bonnes opportunités. Pourquoi ? Parce que ça fit avec ce que t'es, avec ce que tu fais, avec ce que tu connais. Quand tu te promènes dans un champ, un champ de fleurs, mettons, qu'est-ce que tu vas remarquer le plus ? C'est la fleur qui va sortir du lot, qui va être plus haute que les autres. Tu vas faire, regarde la belle fleur. Sinon, les autres, ils passent tout inaperçus. Le mouton noir, pas le mouton noir, le mouton coin, peu importe sa couleur, le mouton là qui est en troupeau, t'en vois l'image là, tu comprends, tu veux que tu mettes dans le troupeau de moutons tout pareil, moi la réponse c'est non, et celui... Du troupeau, on parle toujours du mouton. Le mouton qui sort du troupeau et qui s'éloigne un peu, on comprend-tu qu'il y a une autre vision de la patente ? C'est ça. Se fondre dans la foule, c'est se cacher pour que personne ne te remarque. Mais mon Dieu, pourquoi ? Moi, j'ai de la misère à comprendre ça. Pourquoi tu ne veux pas te faire remarquer alors que tu as tellement de choses à partager ? partager aux gens. Céline Dion était restée à Charlemagne dans sa petite maison avec ses 13 frères et soeurs, sa mère et son père, à chanter à sa table de cuisine parce qu'elle était petite, c'est ça qu'elle faisait. Mais mon Dieu, elle nous aurait-tu privé de tant de talent que ça ? Einstein disparaît, je l'ai dit. Bref, il y a tellement de monde que si il avait décidé de vouloir passer inaperçu... Puis je sais qu'il y en a plein encore sur la planète qui passent inaperçus, alors qu'ils ont tellement de dons, de talents, de compétences. Je suis sûre que toi aussi, tu es comme ça. Tu as plein de choses à partager. Sors du troupeau de grâce. Et pourquoi je te dis tout ça ? Il y a des bénéfices à être anticonformiste. Tu attires des relations qui sont vraies. Pourquoi ? Parce que c'est de toi dont on parle. pas d'un personnage inventé. Donc, les gens vont tomber en amour avec toi, avec ce que tu es, ce que tu fais, ce que tu as. Tu inspires les autres aussi. Tu sais, ça ne sert à rien d'être quelqu'un d'autre. Toi, là, tu peux inspirer d'autres personnes avec ta vérité à toi. Tu vis sans masque. Hein ? Comment le monde, là ? Écoute, rien que les politiciens, on s'entend-tu quand ils sont devant une caméra, ils sont tellement... différent que quand ils sont dans leur salon à leur champêtre devant un game d'hockey, on s'entend. Aussi, tu cultives ta créativité, tu cultives ta vraie nature, tu gagnes en confiance aussi, c'est en étant toi-même, puis en faisant des expériences vis-à-vis les autres que tu vas dire, tu sais, tu vas essayer quelque chose, tu vas dire, ah mon Dieu, ils ont aimé ça, tu vas recommencer, puis tu vas gagner en confiance de jour en jour au fur et à mesure que tu vas avancer, que tu vas évoluer. Puis si tu es toi-même, tu vas faire ce qui te rend... heureuse. Et donc, tu vas t'améliorer aussi là-dedans. Tu brises les stéréotypes. À être comme les autres, ben, tu fais bien, tu comprends ? Mais si tu sors du lot comme la fleur dans le champ, on s'entend-tu que tu brises les stéréotypes ? Moi, j'ai tellement brisé de stéréotypes en étant la notaire pas ordinaire. T'as vu, à Google, Google notaire pas ordinaire, tu vas voir ma face. Parce que j'étais la notaire pas ordinaire de la province de Québec. Donc oui, des stéréotypes. Puis c'était mon but. C'était mon but aussi en faisant des chroniques à la radio, la télé et en écrivant des livres. C'était mon but de montrer aux gens que le notaire, c'est pas juste un vieux grinchois bien brun. Tu sais, c'est ça. Et quand t'es toi-même, tu oses dire oui ou non. Tu dis pas comme les autres. Tu t'affirmes selon ce que tu veux réellement. Et tu deviens aussi un modèle d'authenticité. Hein ? Tu sais, Céline Dion, tout le monde le dit, puis je suis en train de lire un livre sur sa vie. Mon Dieu, Dieu sait que je les ai toutes, mais il y en a un autre, un nouveau qui est, je ne me souviens plus, c'est Thomas quelque chose qui l'a écrit, puis c'est par rapport à ses chansons, il fait une analyse de ses chansons. Puis partout dans le livre, il dit que Céline, en public ou dans la vie privée, elle est la même. Et ça, c'est wow, OK ? C'est ça qu'il faut. Il faut être vraiment authentique tout le temps, partout, avec n'importe qui. Donc, les dix étapes, je te partage ça, les dix étapes pour embrasser ton unicité, ton authenticité, c'est premièrement, c'est accepte qui tu es, accepte d'être qui tu es. Identifie aussi ce qui te rend unique. Il n'est pas juste l'apparence physique, ton rire. ton sens de l'humour, tes dons, tes talents, tes compétences, et assume-les de grâce. Assume tes dons, tes talents, tes compétences. Assume tes choix aussi. Si tu refuses quelque chose, assume-le. Ne regrette pas. Non, non, tu dis non, moi, ça ne colle pas avec moi. Je refuse telle ou telle affaire. Bien, assume. Ignore de grâce le jugement des autres. Les autres, on s'en fout. Il faut que tu regardes en avant. Tu ne regardes pas des côtés qui te regardent. Non, non. Tu regardes ton objectif en avant, puis tu dis, c'est là où je m'en vais. Peu importe qui va penser quoi, on s'en fout. Fais ce qui te passionne aussi. Fais ce qui te passionne toi. Pas Pierre-Jean-Jacques. Non, toi. Qu'est-ce que tu aimes ? Fais-le. Assume tout ce que tu aimes. Entoure-toi aussi des vraies personnes et des personnes vraies, des personnes authentiques. Si tu côtoies des gens qui ne sont pas vrais, tu vas avoir de la misère à être vrai. Tu vas avoir toujours l'idée d'être comme eux autres. Tu comprends ? Et, en étant toi, tu mets de la couleur dans ta vie, tu mets de la couleur dans la vie des autres aussi. Puis, dérange les autres. Ça, c'est le meilleur moyen. Sois toi, dérange les autres. Si tu déranges les autres, ça veut dire que tu es unique. Tu comprends ? Parce que les autres vont dire, voyons, qu'est-ce qu'elle fait là ? Voyons, c'est qui lui ? Qu'est-ce qu'il fait ? Bon, c'est ça. Si tu déranges les autres, c'est parce que tu es unique. Les autres te regardent en voulant dire, mais mon Dieu, qu'est-ce que c'est ça ? Qu'est-ce que c'est ça, ce bibitte-là ? C'est bon, ça. Célèbre tes différences. Oui, tes différences, c'est ce qui te démarque des autres. T'es toi. Puis en étant toi, tu inspires les autres à faire pareil en étant eux-mêmes. C'est extraordinaire. C'est ce que je fais avec toi aujourd'hui. Face à ton authenticité, tu as deux options. La première, c'est que tu la nies, cette authenticité-là, cette unicité-là. Tu te mets un masque pour te fondre dans le décor. Tu n'assumes pas qui tu es. Tu passes inaperçu. Tes dons, tes talents, tes compétences ne sont pas reconnus. Tu passes à côté d'opportunités incroyables de contribuer à la société. Tu prives les autres de ça. Et tu as une vie ordinaire sans plus. Deuxième option. Tu salues ton unicité. Tu brilles par ta différence. Les gens profitent de tes dons, de tes talents, de tes compétences. Tu es connu et reconnu par tout le monde. Une foule d'opportunités te sont présentées et tu en profites à plein. Tu mènes une vie extraordinaire parce que tu contribues au monde et tu participes à l'évolution de la société. Je l'ai dit, quand j'étais jeune, j'étais gênée. Je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. J'étais éternuée en public. C'était ma mort. Mais l'univers en a décidé autrement parce que j'aurais pu, oui, rester comme ça, rester recluse dans mon sous-sol, dans ma salle de jeu à l'époque quand j'étais petite, puis de rester là, puis de faire ma petite affaire. Mais non, l'univers a mis des trucs dans ma vie. Un père, maire de la ville, l'obligation de porter un corset à cause de ma scoliose, c'était toutes les différences, ça, qui me mettaient on the spot. Et dans le fond, moi, tout ce que je voulais, c'était... de ne pas être on the spot. Mais au lieu de me rebuter contre ça, j'ai décidé d'en faire un outil et d'accepter. Parce que oui, dans le fin fond de moi, je voulais avoir des amis, je voulais être aimée de tous. Et donc, au lieu de m'apitoyer sur mon sort, j'en ai profité. Au lieu de me... Aussi comme notaire, au lieu de me former dans le décor notarial de ma vie en brun, j'ai décidé de me démarquer avec ma personnalité. Et, bien, encore aujourd'hui, les gens se rappellent de moi pour ce que je faisais, pour ce que j'étais, pour ce que je disais. Et l'idée, en fait, tout ce que j'essaie de te dire aujourd'hui, c'est que nous sommes tous différents, différentes. Une maudite chance parce que la vie serait vraiment plate sur la Terre. Et donc, tu as une belle personnalité, tu es unique, rappelle-toi-en. Et fais en sorte que cette unicité-là, cette authenticité-là, que le monde... profite. Partage tout ça avec les gens de grâce. T'as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ? Je peux t'aider. Consulte le marijoséselerand.com barre oblique bonheur 101. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de changement.

Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? 

Es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? 

Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? 

Tu es unique et ton unicité est ta force la plus puissante ! 

Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes ! 

On parle d’anticonformisme et d’authenticité. 

Pourquoi être toi-même est crucial ? 

Je vais te montrer comment vivre en couleurs dans un monde en noir et blanc.


Tu as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ?

Je peux t’aider !

Consulte : https://www.mariejoseestlaurent.com/bonheur-101

 

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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien chiffres-tu ton anticonformisme ? Autrement dit, es-tu un mouton blanc qui fait comme les autres ou un mouton noir qui détonne des autres ? Veux-tu te démarquer tout en restant toi-même ? T'es unique et ton unicité est ta force la plus puissante. Bienvenue dans cet épisode où on brise les codes. On parle d'anticonformisme et d'authenticité. Pourquoi être toi-même est crucial ? Je vais te montrer comment vivre en couleur dans un monde en noir et blanc. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Dans ma jeunesse, j'étais tellement gênée que je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. Écoute, tout ce que je voulais, moi, c'était de passer inaperçu, éternuée en public, c'était ma mort. Bref, j'étais une petite fille chétive, là, tu sais, qui ne déplaçait pas ben ben derrière. Mais l'univers en a décidé autrement une chance, parce que si j'étais restée, si j'étais restée, oui, dans cette personnalité-là, Mon Dieu, que ma vie aurait été plate. Donc, je dis l'univers parce que, dans ma jeunesse, mon père est devenu maire de la ville. Il a fait deux mandats. Et donc, j'étais connue pour être la fille du maire Ma mère aussi, elle se donnait... Écoute, tout mon primaire, ma mère apportait un gâteau à ma fête. Ma fête, c'est le 10 septembre. Elle apportait un gâteau dans la classe. Et là, c'était le party. Écoute... On mangeait du gâteau, tout ça. Donc, effectivement, j'étais comme la vedette du jour parce que c'était ma fête. J'aimais bien ça. Et ma mère était à la mairesse. Elle offrait toujours des cadeaux à mes professeurs, à la directrice de l'école. Toutes les occasions étaient bonnes pour lui offrir un cadeau. Écoute, la Pâques, Noël, etc. Bref. Et quand mon père a cessé d'être mère, bien, j'étais rendue. Là, les gens, c'était drôle parce qu'ils disaient l'ancienne fille du maire, mais non, c'était la fille de l'ancien maire. En tout cas, bref, on avait bien du fun avec ça. Ça, c'était dans ma jeunesse. Et durant mon secondaire, bien, pour ceux qui m'écoutent depuis longtemps, j'ai eu une scoliose et j'ai porté, oui, un corset orthopédique tout mon secondaire. Et grâce à ça, bien, j'ai eu des traitements de faveur parce que je ne faisais pas d'éducation physique. Tout le monde venait me cogner sur mon corset, toc, toc, toc, pour me dire bonjour. Les regards étaient... tous tournés vers moi, évidemment. J'avais aussi du linge neuf à toutes les semaines parce que mon corset usait mes pantalons. J'étais toujours rendue avec ma mère. Je me souviens, à tous les vendredis, on allait m'acheter du linge neuf. Et j'avais, oui, des vêtements très colorés. Écoute, j'avais des lunettes roses en face. Bref, j'étais différente des autres. Et c'était difficile pour moi de ne pas passer inaperçu. Tu sais, j'aurais pu... être très malheureuse de ça. Si j'avais continué dans la même veine d'être gênée, puis de ne pas sortir de ma coquille, j'aurais été très malheureuse, je me serais renfermée, les gens m'auraient trouvé vraiment plate et vraiment weird, mais non, au contraire, j'ai comme explosé puis ça a fait comme bengale. J'ai ça, j'ai ça, puis coudon, ça va être comme ça. Tellement que, ça me rappelle à un moment donné, C'était l'Halloween, j'étais en secondaire 5 et bien oui, j'avais des vêtements très colorés et là, c'était la mode des couleurs fluo. J'étais en vert fluo et à l'école, tout le monde était déguisé et je m'étais fait demander c'est quoi mon costume alors que je n'étais pas costumée. J'avais trouvé ça bien drôle, mais tu sais, avoir eu l'ancienne attitude, je leur avais envoyé chier et j'aurais fait Ah, il a mon espèce de comique, je ne suis pas déguisé, tu sais que je comprends. Mais non, j'avais juste trouvé ça drôle. Et ça a continué, là. Au cégep, c'est rien passé, vraiment. Au cégep, j'étais plus inaperçue parce que j'étudiais et je faisais ma petite affaire. Mais à l'université, ah ben là, l'université, écoute, là, je détonnais vraiment parce qu'on comprend dessus qu'à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, écoute, c'était tous des petits preppys. Ça arrivait tout en auto de luxe, les Mercedes et compagnie, en habit, etc. Et ça se prenait au sérieux, ce gang-là. Oh my God ! Et moi, je ne me promenais pas au sérieux. Je pense que c'est ça la clé aussi. Moi, j'étais habillée en mou, toutes les couleurs, mes lunettes roses en face. J'avais une coiffure assez douteuse. Je m'étais faite faire une permanente. J'avais les cheveux longs aux fesses. Je m'attachais ça avec un crayon là-dedans, un chignon avec le crayon. Bref, j'avais de l'air diable. Mais je me foutais carrément de tout le monde et de mon allure. Moi, tout ce que je voulais, c'était étudier. Je ne connaissais pas personne. Ça ne me dérangeait pas. Je me foutais de ça. Mon seul but, c'était d'être notaire. Et une fois devenue notaire, oui, j'ai embarqué dans le moule. Nécessairement, je n'avais pas le choix. Il y a des règles à respecter. Il y a un cadre juridique à respecter, un cadre légal. Mais dans ma tenue vestimentaire et dans mon décorum au bureau, mon Dieu, on ne dirait pas que j'étais une notaire. J'étais habillée très colorée. Écoute, moi, je recevais les gens avec le sourire et je faisais mon show. au client, on avait bien du plaisir. C'est pas parce que t'as un diplôme universitaire pis que t'es notaire que t'es obligé d'avoir l'air bête pis d'être habillé en brun pis d'avoir... Tu comprends ce que je veux dire. Et aussi, c'est là que j'ai décidé encore plus de détonner en faisant des chroniques juridiques à la radio et à la télé de mon patelin. J'ai commencé à écrire des livres, des anecdotes notariales. Bref, ma vie, c'est un vrai show, c'était une fête dans mon bureau. Voilà. Et maintenant, tu le sais, j'ai changé de vie. Je suis revenue à ma vraie nature d'artiste. Là, curieusement, je détonne moins parce qu'étant artiste, tous les artistes ont des couleurs, on est coloré. Donc, je détonne un peu moins. Et tout ça pour te dire qu'on est tous uniques. On a tous, je te le dis assez souvent, on a tous des dons, des talents, des compétences, un parcours. Et je te dis, je suis la preuve vivante, il n'est jamais trop tard. pour affirmer ta vraie nature, d'exploser et de dire, regarde, moi, je suis comme ça et je ne me gêne plus pour être ce que je suis, qui je suis. Dans le fond, l'idée, c'est d'être soi-même, partout, tout le temps, avec tout le monde. C'est sûr qu'en étant toi-même, ce n'est pas tout le monde qui va t'aimer, mais les bonnes personnes, elles vont rester. Les bonnes personnes pour toi, ils vont rester, les autres, ils vont s'en aller. Puis c'est correct comme ça, là. On écrème la patente. Puis je te dirais aussi, tu sais, il y en a qui se forgent une personnalité pour, tu sais, pour que tu sais, que, que, que, que, être dans la gang, là, tu sais, là. Mais, mon Dieu, ça doit être tellement forçant de se forger une personnalité qui n'est pas la tienne. En tout cas, moi, je pense que oui, là, je pense que... Et pourquoi être toi ? Pourquoi c'est important ? de se démarquer du lot, c'est parce que tu as des trucs à partager. Tes dons, tes talents, tes compétences, ta personnalité, tout ça doit être partagé. C'est ça qui nous différencie des autres. Je ne sais pas comment on est de milliards sur la planète. Colline, si on était toutes pareilles, ça serait plate en maudit. C'est sûr que si tu as peur de sortir du lot, c'est parce que tu as peur de te faire juger. Je l'ai dit, oui, c'est normal d'avoir peur. C'est normal de te faire juger. On s'en fout. Il faut que tu te foutes de ça et d'être toi. Et c'est une fausse croyance de penser que pour réussir, il faut que tu te fondes dans le moule. Regarde, moi, j'ai été notaire pendant 31 ans et je n'étais pas dans le moule. J'ai même, à quelques reprises, boudé les règles de la Chambre des notaires parce que je trouvais que ça n'avait pas de bon sens. Oui, ils m'ont rabroué, puis j'ai fini par écouter. Mais tu comprends que c'est ça. Donc, c'est comme... On n'est pas obligé de rentrer dans le moule tant que ça. Puis, mon Dieu, essayer d'être quelqu'un d'autre pour plaire, c'est une mauvaise idée. Pourquoi ? Parce que tu n'es pas toi. Dans le fond, si tu essaies d'être quelqu'un d'autre, les gens, ce qu'ils vont aimer, c'est le quelqu'un d'autre. Ce n'est pas toi. Tu comprends ? Ça n'a pas de sens. Être unique, c'est ton super pouvoir. Ce n'est pas un défaut. Au contraire. Écoute, chaque mouton noir qui a pu exister, ça a changé le monde. J'ai des exemples. Si Einstein était resté dans son garage à faire ses petites expériences, puis qu'il n'avait pas partagé ça à personne, on ne serait pas rendu loin sur la Terre. Nelson Mandela aussi, Martin Luther King, bref, il y en a plein. Et en gardant ton authenticité, tu attires, je l'ai dit, les bonnes personnes. Et tu obtiens des bonnes opportunités. Pourquoi ? Parce que ça fit avec ce que t'es, avec ce que tu fais, avec ce que tu connais. Quand tu te promènes dans un champ, un champ de fleurs, mettons, qu'est-ce que tu vas remarquer le plus ? C'est la fleur qui va sortir du lot, qui va être plus haute que les autres. Tu vas faire, regarde la belle fleur. Sinon, les autres, ils passent tout inaperçus. Le mouton noir, pas le mouton noir, le mouton coin, peu importe sa couleur, le mouton là qui est en troupeau, t'en vois l'image là, tu comprends, tu veux que tu mettes dans le troupeau de moutons tout pareil, moi la réponse c'est non, et celui... Du troupeau, on parle toujours du mouton. Le mouton qui sort du troupeau et qui s'éloigne un peu, on comprend-tu qu'il y a une autre vision de la patente ? C'est ça. Se fondre dans la foule, c'est se cacher pour que personne ne te remarque. Mais mon Dieu, pourquoi ? Moi, j'ai de la misère à comprendre ça. Pourquoi tu ne veux pas te faire remarquer alors que tu as tellement de choses à partager ? partager aux gens. Céline Dion était restée à Charlemagne dans sa petite maison avec ses 13 frères et soeurs, sa mère et son père, à chanter à sa table de cuisine parce qu'elle était petite, c'est ça qu'elle faisait. Mais mon Dieu, elle nous aurait-tu privé de tant de talent que ça ? Einstein disparaît, je l'ai dit. Bref, il y a tellement de monde que si il avait décidé de vouloir passer inaperçu... Puis je sais qu'il y en a plein encore sur la planète qui passent inaperçus, alors qu'ils ont tellement de dons, de talents, de compétences. Je suis sûre que toi aussi, tu es comme ça. Tu as plein de choses à partager. Sors du troupeau de grâce. Et pourquoi je te dis tout ça ? Il y a des bénéfices à être anticonformiste. Tu attires des relations qui sont vraies. Pourquoi ? Parce que c'est de toi dont on parle. pas d'un personnage inventé. Donc, les gens vont tomber en amour avec toi, avec ce que tu es, ce que tu fais, ce que tu as. Tu inspires les autres aussi. Tu sais, ça ne sert à rien d'être quelqu'un d'autre. Toi, là, tu peux inspirer d'autres personnes avec ta vérité à toi. Tu vis sans masque. Hein ? Comment le monde, là ? Écoute, rien que les politiciens, on s'entend-tu quand ils sont devant une caméra, ils sont tellement... différent que quand ils sont dans leur salon à leur champêtre devant un game d'hockey, on s'entend. Aussi, tu cultives ta créativité, tu cultives ta vraie nature, tu gagnes en confiance aussi, c'est en étant toi-même, puis en faisant des expériences vis-à-vis les autres que tu vas dire, tu sais, tu vas essayer quelque chose, tu vas dire, ah mon Dieu, ils ont aimé ça, tu vas recommencer, puis tu vas gagner en confiance de jour en jour au fur et à mesure que tu vas avancer, que tu vas évoluer. Puis si tu es toi-même, tu vas faire ce qui te rend... heureuse. Et donc, tu vas t'améliorer aussi là-dedans. Tu brises les stéréotypes. À être comme les autres, ben, tu fais bien, tu comprends ? Mais si tu sors du lot comme la fleur dans le champ, on s'entend-tu que tu brises les stéréotypes ? Moi, j'ai tellement brisé de stéréotypes en étant la notaire pas ordinaire. T'as vu, à Google, Google notaire pas ordinaire, tu vas voir ma face. Parce que j'étais la notaire pas ordinaire de la province de Québec. Donc oui, des stéréotypes. Puis c'était mon but. C'était mon but aussi en faisant des chroniques à la radio, la télé et en écrivant des livres. C'était mon but de montrer aux gens que le notaire, c'est pas juste un vieux grinchois bien brun. Tu sais, c'est ça. Et quand t'es toi-même, tu oses dire oui ou non. Tu dis pas comme les autres. Tu t'affirmes selon ce que tu veux réellement. Et tu deviens aussi un modèle d'authenticité. Hein ? Tu sais, Céline Dion, tout le monde le dit, puis je suis en train de lire un livre sur sa vie. Mon Dieu, Dieu sait que je les ai toutes, mais il y en a un autre, un nouveau qui est, je ne me souviens plus, c'est Thomas quelque chose qui l'a écrit, puis c'est par rapport à ses chansons, il fait une analyse de ses chansons. Puis partout dans le livre, il dit que Céline, en public ou dans la vie privée, elle est la même. Et ça, c'est wow, OK ? C'est ça qu'il faut. Il faut être vraiment authentique tout le temps, partout, avec n'importe qui. Donc, les dix étapes, je te partage ça, les dix étapes pour embrasser ton unicité, ton authenticité, c'est premièrement, c'est accepte qui tu es, accepte d'être qui tu es. Identifie aussi ce qui te rend unique. Il n'est pas juste l'apparence physique, ton rire. ton sens de l'humour, tes dons, tes talents, tes compétences, et assume-les de grâce. Assume tes dons, tes talents, tes compétences. Assume tes choix aussi. Si tu refuses quelque chose, assume-le. Ne regrette pas. Non, non, tu dis non, moi, ça ne colle pas avec moi. Je refuse telle ou telle affaire. Bien, assume. Ignore de grâce le jugement des autres. Les autres, on s'en fout. Il faut que tu regardes en avant. Tu ne regardes pas des côtés qui te regardent. Non, non. Tu regardes ton objectif en avant, puis tu dis, c'est là où je m'en vais. Peu importe qui va penser quoi, on s'en fout. Fais ce qui te passionne aussi. Fais ce qui te passionne toi. Pas Pierre-Jean-Jacques. Non, toi. Qu'est-ce que tu aimes ? Fais-le. Assume tout ce que tu aimes. Entoure-toi aussi des vraies personnes et des personnes vraies, des personnes authentiques. Si tu côtoies des gens qui ne sont pas vrais, tu vas avoir de la misère à être vrai. Tu vas avoir toujours l'idée d'être comme eux autres. Tu comprends ? Et, en étant toi, tu mets de la couleur dans ta vie, tu mets de la couleur dans la vie des autres aussi. Puis, dérange les autres. Ça, c'est le meilleur moyen. Sois toi, dérange les autres. Si tu déranges les autres, ça veut dire que tu es unique. Tu comprends ? Parce que les autres vont dire, voyons, qu'est-ce qu'elle fait là ? Voyons, c'est qui lui ? Qu'est-ce qu'il fait ? Bon, c'est ça. Si tu déranges les autres, c'est parce que tu es unique. Les autres te regardent en voulant dire, mais mon Dieu, qu'est-ce que c'est ça ? Qu'est-ce que c'est ça, ce bibitte-là ? C'est bon, ça. Célèbre tes différences. Oui, tes différences, c'est ce qui te démarque des autres. T'es toi. Puis en étant toi, tu inspires les autres à faire pareil en étant eux-mêmes. C'est extraordinaire. C'est ce que je fais avec toi aujourd'hui. Face à ton authenticité, tu as deux options. La première, c'est que tu la nies, cette authenticité-là, cette unicité-là. Tu te mets un masque pour te fondre dans le décor. Tu n'assumes pas qui tu es. Tu passes inaperçu. Tes dons, tes talents, tes compétences ne sont pas reconnus. Tu passes à côté d'opportunités incroyables de contribuer à la société. Tu prives les autres de ça. Et tu as une vie ordinaire sans plus. Deuxième option. Tu salues ton unicité. Tu brilles par ta différence. Les gens profitent de tes dons, de tes talents, de tes compétences. Tu es connu et reconnu par tout le monde. Une foule d'opportunités te sont présentées et tu en profites à plein. Tu mènes une vie extraordinaire parce que tu contribues au monde et tu participes à l'évolution de la société. Je l'ai dit, quand j'étais jeune, j'étais gênée. Je voulais passer entre la peinture et le G-PROC. J'étais éternuée en public. C'était ma mort. Mais l'univers en a décidé autrement parce que j'aurais pu, oui, rester comme ça, rester recluse dans mon sous-sol, dans ma salle de jeu à l'époque quand j'étais petite, puis de rester là, puis de faire ma petite affaire. Mais non, l'univers a mis des trucs dans ma vie. Un père, maire de la ville, l'obligation de porter un corset à cause de ma scoliose, c'était toutes les différences, ça, qui me mettaient on the spot. Et dans le fond, moi, tout ce que je voulais, c'était... de ne pas être on the spot. Mais au lieu de me rebuter contre ça, j'ai décidé d'en faire un outil et d'accepter. Parce que oui, dans le fin fond de moi, je voulais avoir des amis, je voulais être aimée de tous. Et donc, au lieu de m'apitoyer sur mon sort, j'en ai profité. Au lieu de me... Aussi comme notaire, au lieu de me former dans le décor notarial de ma vie en brun, j'ai décidé de me démarquer avec ma personnalité. Et, bien, encore aujourd'hui, les gens se rappellent de moi pour ce que je faisais, pour ce que j'étais, pour ce que je disais. Et l'idée, en fait, tout ce que j'essaie de te dire aujourd'hui, c'est que nous sommes tous différents, différentes. Une maudite chance parce que la vie serait vraiment plate sur la Terre. Et donc, tu as une belle personnalité, tu es unique, rappelle-toi-en. Et fais en sorte que cette unicité-là, cette authenticité-là, que le monde... profite. Partage tout ça avec les gens de grâce. T'as envie de te démarquer et de saluer ton authenticité une fois pour toutes ? Je peux t'aider. Consulte le marijoséselerand.com barre oblique bonheur 101. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de changement.

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