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MaRiEjO Créatrice de bonheur et de positif!

Ép 79 – NOSTALGIE : 10 RAISONS POUR REGARDER EN AVANT !

Ép 79 – NOSTALGIE : 10 RAISONS POUR REGARDER EN AVANT !

20min |05/03/2025|

7

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20min |05/03/2025|

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Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ?

Es-tu du genre à toujours ressasser le passé ? 

Es-tu plutôt du style, comme moi, à regarder en avant ? 

Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d’un frein ? 

La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage ! 

Regretter le passé, c’est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur : ça empêche d’avancer. 

La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. 

Face à eux, on a deux choix : les affronter ou les brailler. 

Aujourd’hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance !


Tu te reconnais dans cet épisode ?

Tu vis beaucoup trop dans le passé ?

Tu aimerais qu’on en discute ensemble ?

 

Pour un accompagnement individuel avec moi : https://www.mariejoseestlaurent.com/passeportbonheur

 

Pour être à l'affût de contenu exclusif, abonne-toi à mon infolettre au : https://www.mariejoseestlaurent.com/

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Tu veux m'écrire? Fais-le au info@mariejoseestlaurent.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ? Es-tu du genre à toujours recenser le passé, hein ? Dans le temps, c'était donc bien plus le fun. Ou t'es plutôt comme moi, du style à regarder en avant ? Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d'un frein ? La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage. Regretter le passé, c'est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur. Ça t'empêche d'avancer. La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. Face à eux, tu as deux choix. Les affronter ou les broyer. Aujourd'hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Tu le sais sans doute, je t'ai déjà parlé beaucoup de ma vie, que je vivais à Amos, que j'ai été notaire pendant 31 ans malgré que je détestais le droit. Bref, j'ai sauté dans le vide et tout ça, tu es déjà au courant. Mais jamais moi, là, ok ? Quand je regarde ma vie d'avant, je me dis, mon Dieu, jamais j'aurais pensé quitter le notariat pour vivre ma vie d'artiste. Jamais non plus j'aurais pu imaginer vendre ma maison à Amos, vendre mon étude de notaire, vendre mon domaine de villégiature dans les Laurentides pour aller vivre ailleurs. Jamais j'ai pensé que j'étais capable de faire ça. J'aurais non plus jamais pensé à quitter mon parrain de 15 000 habitants, où tout le monde me connaît, pour aller vivre dans une grande ville comme Québec, avec les autoroutes, les grands vents et l'absence de notoriété. Ça, c'est quelque chose, écoute, moi à Moss, tout le monde me connaît et ici, personne ne me connaît. D'ailleurs, anecdote, je suis allée à un moment donné à l'épicerie et j'utilise les caisses libre-service et... Pour une raison qui m'est inconnue, probablement, j'étais trop fatiguée, je revenais justement à Damas et j'ai oublié de payer. J'ai payé, j'ai mis ma carte toute, mais je n'ai pas regardé. Bref, le paiement n'a pas passé, puis je suis partie. Et quand je suis revenue à l'épicerie, une semaine après, la gérante m'accoste. Écoute, ce n'était pas drôle, puis là, c'était quasiment, on va appeler la police, puis blablabla. J'ai fait « Wow, wow, wow, attends une minute, je suis notaire dans la vie, jamais j'oserais penser de voler quelqu'un. » Mais elle, elle ne me connaît pas, pour elle, je suis rien qu'une voleuse. Et depuis ce temps, je me fais surveiller quand je vais payer mon épicerie chaussomère. Bref, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver, parce que tu sais que tu changes de ville, tu changes tout. Donc, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver une nouvelle coiffeuse. Une nouvelle massothérapeute, une nouvelle esthéticienne, une nouvelle ostéopathe, une nouvelle kinésithérapeute, un nouveau dentiste, un nouveau médecin, une nouvelle technicienne en manucure. Oui, ça en prend du monde pour maintenir la bonne femme. C'est ça. On appelle ça la maintenance de la bonne femme. Jamais j'aurais pensé aussi me retrouver là où personne ne me connaît et où je dois recommencer à zéro pour me créer de nouveaux amis, des contacts, des relations. Personne ne me connaît ici. Puis en plus, je commence une nouvelle vie, comprends-tu ? Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin un jour d'une orthèse parce que mon genou a décidé de sacrer le camp. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, mon genou a lâché. Puis ça, c'est un petit deuil à faire, le corps. Mon médecin m'avait déjà dit que le corps commençait à sacrer le camp à 30 ans, j'avais pas de série. Mais bon, ça commence. Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin de serguites hygiéniques contre les fuites urinaires. Écoute. Mon médecin m'avait déjà demandé ça, « As-tu des fuites urinaires ? » J'ai dit, « Es-tu folle, toi, des fuites urinaires ? » J'avais 50 ans, j'en ai 56 et je suis rendue là. Bref, ce sont tous des petits deuils que je dois accepter pour vivre ma vraie vie. Je pourrais regretter, brailler ma vie, maudire mes choix, et dire, « Ah, j'aurais jamais dû. » Oui, mais non. Au lieu de ça, je ne vois que du positif. Plutôt que de regarder en arrière. ben il me dira « Ah mordi, j'avais tombé une belle vie, hein, grosse maison, grosse cabane, gros tout » . Ben non, je regarde en avant et j'embrasse mes nouveaux défis qui se présentent à moi, tout simplement. Tu sais, si tu repenses souvent à l'époque où tout allait bien dans ta tête, en ayant un pincement au cœur, en disant « mon Dieu, c'était donc beau dans ce temps-là » , si tu as peur d'avancer parce que c'était mieux avant, entre guillemets, si tu compares constamment ta vie d'aujourd'hui à celle d'hier et que ça te bloque, ben tu es à la bonne place aujourd'hui. Parce que le passé ne revient jamais, on est d'accord là-dessus, et le passé devrait servir juste à voir le chemin parcouru. C'est correct de regarder en arrière, je l'ai souvent dit dans d'autres épisodes, c'est correct de regarder en arrière, mais juste pour voir le chemin que tu as parcouru. Mais toujours regarder en arrière, ça t'empêche d'avancer parce que le temps que tu regardes en arrière, tu ne vois pas en avant, donc tu ne vois pas les opportunités qui se présentent à toi. Chaque changement... Oui, ça implique un petit deuil ou un gros deuil, ça dépend du monde. Mais il faut que tu le vois comme une chance de connaître d'autres choses. Le changement, ce n'est pas juste négatif, il faut que tu le vois positif. C'est des nouveaux défis, des nouvelles rencontres, des nouvelles affaires. Puis on jase, là. Si tu conduis ton char en regardant juste dans le rétroviseur, on s'entend-tu ? Tu vas te ramasser dans le fossé, tu vas te ramasser dans le champ, c'est bien clair. Si tu restes accroché aux vieilles affaires comme ton téléphone à roulettes, tu restes dans le statu quo. Je l'ai déjà dit, essayer de jouer au Monopoly sans bouger ton pion, ça ira pas bien. Mais c'est pas bon, ça, le statu quo. Tu suis pas à la parade, là. Puis tu vas finir tout seul, c'est sûr. Si, parce que là, la finale mondiale du hockey vient de finir, si Sidney Crosby pensait juste à son dernier but raté, on comprend-tu qu'il serait jamais capable de refaire un bon coup dans la vie ? C'est ça. Oui, mon passage du notariat à la vie d'artiste, ça a été un grand saut. J'ai eu peur, j'ai eu le vertige. Oui, oui, j'ai tout sué. Écoute, je ne sais pas, tu es dans l'incertitude. Moi, j'étais au bord du précipice. Oui, j'aurais pu rester assise au bord du précipice et continuer ma vie plate. Mais non, j'ai décidé de sauter dans le vide. Et je reconnais ça. Pour moi, c'était difficile, c'était un inconfort, mais ça a été une belle renaissance aussi. Oui, quitter ma ville natale, ça a été un arrachement, ça a été un détachement. Ça me fait quelque chose de quitter mes racines, mais ça me donne l'opportunité de faire des nouvelles rencontres que j'ai déjà commencées d'ailleurs, avec des gens ici. pour faire des nouvelles affaires, des conférences, des animations, des mariages, vendre ma maison et tout recommencer ailleurs. Bon, c'est sûr que moi, je ne suis pas très attachée aux biens matériels, mais quand même, écoute, tout mon stock a resté dans un container pendant un an. Puis, je ne suis pas morte, je suis encore là. Oui, ça a été vide au début, mais tellement une richesse. Oui, je l'ai dit, je ne suis plus. pauvre aujourd'hui, mais j'ai tellement une vie plus riche de sens. Puis là, je t'ai parlé des changements physiques. Ça peut être n'importe quoi. Tu as perdu une dent. Je perds mes cheveux aussi. J'aurais pu dire ça en introduction. Je perds mes cheveux. Du à tout ça. À mon saut dans le vide, l'hystérectomie totale, tout ça. Ça a fait que j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup moins de cheveux qu'avant. Je t'ai parlé de mon genou. Mes futurs inaires, ça peut tellement être d'autres choses pour toi aussi. Mais qu'est-ce que tu veux ? Ça là, on n'a pas de contrôle là-dessus. À moins de te mettre une perruque et de te faire poser une dent, tu comprends ce que je veux dire ? Tu n'as pas de contrôle sur le fait que ton corps commence à sacrer le camp, sauf que la seule chose que tu peux faire, c'est d'en prendre soin, d'en prendre encore plus soin, puis de t'aider. Comme moi, j'attends avec impatience mon or. repèse au genou qui va me permettre de recommencer à faire de l'exercice. Si on regarde, pourquoi ? Pourquoi il faut accepter le passé au lieu de vivre dedans ? Parce que le passé, c'est passé. On s'entend-tu ? Les souvenirs, prends-les comme des leçons. Les souvenirs, tu as appris des affaires dans le passé, c'est ça. Le passé, ce n'est pas négatif. Le passé, ça passe au travers. Mais nécessairement, il est resté des choses positives de ça. Donc, prenez comme des leçons, puis gardez ça. Tu sais, la vie, là, c'est des chapitres, un après l'autre. Fait qu'il faut que tu avances. C'est sûr que si tu as peur du changement, ça t'empêche d'évoluer complètement. Je l'ai déjà dit souvent, l'inconfort est nécessaire au changement et le changement, c'est ce qui va te permettre d'évoluer dans la vie. Puis chaque fin, c'est un nouveau départ. Tu quittes des affaires, mais c'est pour... L'univers déteste le vide. Si tu lâches quelque chose, l'univers va t'envoyer d'autres choses. Et l'idée, c'est de s'adapter. Si tu t'adaptes au changement, je le sais, l'humain est très réticent au changement, l'humain a de la misère à s'adapter, mais ça se fait par du monde. Si moi je l'ai fait, tout le monde est capable de le faire, parce que moi je suis très réticente au changement, je marche au conditionnement, ça me prend du temps, mais je l'ai fait. Si moi je suis capable, tout le monde est capable de s'adapter et de faire face au changement et d'évoluer. Puis tu sais... Ton futur dépend de ce que tu fais aujourd'hui. Donc, si tu restes sur ton steak et que tu ne fais rien, il ne se passera rien de ton futur. Donc, il faut que tu bouges. Oui, regarde dans le rétroviseur, mais pas trop longtemps. Puis, go with the flow. C'est en avant que ça se passe. Voilà. On vit pour avancer. On ne vit pas pour reculer. De grâce. Comment utiliser la nostalgie pour évoluer et non rester dans le passé ? Je l'ai dit. Il faut accepter le passé parce qu'il est passé. Il n'y a pas juste des affaires négatives dans le passé, il y a des affaires positives, mais on les garde. Après ça, regarde dans le passé ce que tu regrettes. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, les regrets versus les remords. Les regrets, c'est des choses que tu pourrais, si tu poses des actions concrètes, que tu pourrais arrêter d'avoir. Donc, bat-toi le cul et fais ce pourquoi tu regrettes des affaires. Si tu regrettes de ne pas avoir... de ne pas avoir renoué avec une personne, prends le téléphone, t'appelles là. Tu comprends ce que je veux dire ? Bon, c'est ça. Donc, tu peux identifier dans ton passé tes regrets, puis travailler dessus, puis ça sera... Il n'y en aura plus. Je l'ai dit, regarde ton passé pour voir les progrès que tu as fait dans la vie. On évolue tout le monde. Donc, c'est important de savoir où tu étais et où tu es rendu aujourd'hui. Ça, c'est bon, c'est correct de regarder en arrière pour ça. Et aussi, de remercier le passé. Si tu n'avais pas vécu tout ce que tu as vécu dans ton passé, si tu n'avais pas rencontré tous les gens que tu as rencontrés, comme moi, tous mes clients, je les remercie sincèrement. parce qu'il n'aurait pas fait ce que je suis devenue aujourd'hui. Même mon notariat, même si je détestais le droit, je ne regrette pas mon notariat. Il ne faut pas regretter, c'est une perte de temps. Donc, la nostalgie aussi, c'est une perte de temps. Donc, on lâche ça, puis on avance. Les dix, je te partage maintenant, les dix raisons pour lâcher prise sur le passé, je l'ai dit. Le passé, c'est le passé, ça ne change pas. Écoute, tu ne peux pas modifier ce qui est passé. Alors pourquoi dépenser de l'énergie là-dessus, c'est penser ? Ben, il faut vivre le présent. Vivre dans la nostalgie, c'est comme ignorer ce qui est en avant de toi. Tu sais, toutes les belles affaires qui sont en avant de toi. Non, profite du temps maintenant. Si tu as toujours la tête revirée et regardé en arrière, tu ne vois pas ce qui est en avant de toi là. Les gens, les situations, les opportunités de grâce. Et parfois, oui, pourquoi il faut lâcher le passé ? Parce que souvent, on l'idéalise. Avec le temps, le cerveau, c'est « tricky » , le cerveau. Le cerveau, il veut se rappeler juste des belles affaires. C'est sûr que tu vas te rappeler des belles affaires de ton passé, souvent. Mais par contre, les mauvais, ils ne s'en rappellent plus ou ils échangent. Le résultat, c'est que ton passé devient une illusion. Toi, tu penses que ton passé était donc bien merveilleux. Non, non, non. Réfléchis, puis tu vas voir qu'il y a des affaires dans ton passé qui n'étaient peut-être pas si glorieuses que ça. Vivre dans le passé, je l'ai dit, ça bloque ton évolution. Donc, ça t'empêche de te concentrer sur ce qui arrive ici, maintenant, et dans le futur. Oui, une autre raison. Chaque époque a ses défis. Oui, ça se peut qu'on dise « Ah, mon Dieu, c'était donc bien mieux avant » , comme la couche d'ozone qui était intacte, ou les tours de machine qu'on faisait le soir avec nos parents parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire dans la vie. Oui, c'était le fun. Mais il faut aussi admettre que le passé, c'était aussi une intolérance face à l'homosexualité. Il y avait de l'esclavagisme, il y avait du racisme. Tu comprends qu'aujourd'hui, on a plus une ouverture par rapport à tout ça. Donc, tu vois bien que le passé, ce n'est pas juste le fun. Une autre raison pour lâcher le passé, c'est que le changement est inévitable dans la vie. Si tu veux évoluer, il faut que tu embarques dans la parade. Il ne faut pas que tu fasses juste la regarder, sinon ça ne marche pas. Une autre raison, vivre dans le présent, ça va te créer des nouveaux souvenirs. Si tu fais juste recenser tes anciens souvenirs, tu restes chez toi en cabané, tu n'auras plus de souvenirs. Tu vas juste recenser les anciens et tu n'en créeras pas de nouveaux. C'est bien clair. Donc, la vie, ça se vit au jour le jour, dans le moment présent, avec tout ce qui se présente à toi là, les gens, les opportunités, tout ça. Et oui, après ça, tu vas pouvoir regarder en arrière et tu vas t'avoir créé des nouveaux souvenirs. La gratitude, autre raison, la gratitude remplace la nostalgie. Remercie tout ce que tu as eu dans le passé. Merci d'avoir vécu ça, comme je l'ai dit. Moi, je remercie tout ce que j'ai vécu dans mon passé parce que ça m'a forgé tel que je suis maintenant. Et sinon, je ne pourrais pas jaser de ça avec toi aujourd'hui. Je l'ai dit, la nostalgie, ça t'empêche d'agir. Donc, tu sais, mettons, tu déciderais, on jase, mettons, tu déciderais de tenir tête aux nouvelles technologies. Tu dirais Facebook, les réseaux sociaux, téléphone, cellulite, etc. La merde, c'est pas bon. Mais mon Dieu, tu vas te ramasser tout seul à regarder ta TV en bois, puis ton téléphone à roulettes, on s'entend. Et finalement, pourquoi arrêter de recenser le passé ? Parce que ton futur mérite d'être vécu pleinement. Donc, si tu veux une vie épanouie, il faut que tu te concentres sur ce que tu peux construire aujourd'hui pour le partager aux gens. Je l'ai tout le temps dit, on a des dons, des talents, des compétences, un parcours, une vérité qu'on peut partager aux autres. faisons-le, OK ? Et ça, c'est notre contribution. Donc, c'est pour ça qu'il faut arrêter de vivre dans le passé. Il faut vivre ici maintenant et regarder en avant. Bref, oui, je t'ai parlé de ma vie à Amos, ma vie de notaire, la grosse cabane, le gros salaire. J'avais des propriétés dans les Laurentides. J'ai sauté dans le vide suite à une hystérectomie totale. Et tout ça, oui. Et j'ai 56 ans, donc le corps a commencé à sacrer le camp. Tous ces changements-là dans ma vie m'ont apporté des petits deuils à faire de tout le monde que je connais là-bas, mes amis aussi, que je verrai moins souvent, tous ceux qui travaillaient sur la maintenance de la bonne femme. Bref, un paquet de deuils à faire, tu sais, de mon compte en banque où je ne manquais jamais d'argent. Mais je m'ennuierai pas de ma colère constante, de ma dépression constante. On s'entend ça, je m'en ennuierai pas. Bref, oui, aujourd'hui, j'ai une nouvelle vie. Et malgré que cette nouvelle vie-là m'apporte des petits deuils à accepter, j'aime mieux regarder dans le rétroviseur juste pour voir le chemin parcouru. À chaque fois que je prends la voiture et que je m'enligne sur une autoroute, je me dis, dire qu'il n'y a pas si longtemps, j'avais peur de conduire sur une autoroute. Moi, faire 900 kilomètres d'une fripe pour aller quelque part, jamais j'aurais pensé faire ça. Et je le fais, je me trouve bonne. Oui, j'aime ça regarder dans le rétroviseur, pas longtemps, mais pour voir le chemin parcouru et remercier le passé pour ce que j'ai acquis dans le passé, mais aussi remercier. le présent et le futur pour les belles choses qui s'en viennent pour moi. Face à ta nostalgie, tu as deux options. La première, c'est que tu vis dans le passé. Tu refuses tout ce qui est nouveau. Tu te ramasses seule parce que les autres avancent sans toi. Tu accumules des émotions négatives comme la rancœur, la rancune, les regrets. Tu nies le progrès. Tu en veux à la terre entière pour tout ce qui est nouveau en te disant que ça ne vaut pas de la chenoute. Ou, deuxième option, tu remercies le passé, bon et mauvais, pour ce qu'il t'a apporté en frais de souvenirs, d'apprentissage, de relations, etc. Tu préfères de loin regarder en avant sans pour autant renier ton passé. Tu conscientises que ton passé est garant du présent et de l'avenir sans pour autant rester pris dedans. Tu regardes dans le pare-brise de ta vie en jetant parfois un coup d'œil dans le rétroviseur pour constater tes progrès. Tu n'as aucun regret parce que... Tu as su agir sur les situations sur lesquelles tu avais du contrôle. Pour les autres, tu lâches prise quand tu ne peux rien y faire. Tu nages dans le bonheur car tu évolues positivement en étant dans la parade plutôt que de la regarder passer. Tu te reconnais dans cet épisode ? Tu vis beaucoup trop dans le passé ? T'aimerais qu'on en discute ensemble ? Pour un accompagnement individuel avec moi, consulte le marijosé-saloran.com baromlique passeportbonheur. En reprenant la semaine prochaine où je te parle de zone de génie.

Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ?

Es-tu du genre à toujours ressasser le passé ? 

Es-tu plutôt du style, comme moi, à regarder en avant ? 

Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d’un frein ? 

La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage ! 

Regretter le passé, c’est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur : ça empêche d’avancer. 

La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. 

Face à eux, on a deux choix : les affronter ou les brailler. 

Aujourd’hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance !


Tu te reconnais dans cet épisode ?

Tu vis beaucoup trop dans le passé ?

Tu aimerais qu’on en discute ensemble ?

 

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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ? Es-tu du genre à toujours recenser le passé, hein ? Dans le temps, c'était donc bien plus le fun. Ou t'es plutôt comme moi, du style à regarder en avant ? Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d'un frein ? La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage. Regretter le passé, c'est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur. Ça t'empêche d'avancer. La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. Face à eux, tu as deux choix. Les affronter ou les broyer. Aujourd'hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Tu le sais sans doute, je t'ai déjà parlé beaucoup de ma vie, que je vivais à Amos, que j'ai été notaire pendant 31 ans malgré que je détestais le droit. Bref, j'ai sauté dans le vide et tout ça, tu es déjà au courant. Mais jamais moi, là, ok ? Quand je regarde ma vie d'avant, je me dis, mon Dieu, jamais j'aurais pensé quitter le notariat pour vivre ma vie d'artiste. Jamais non plus j'aurais pu imaginer vendre ma maison à Amos, vendre mon étude de notaire, vendre mon domaine de villégiature dans les Laurentides pour aller vivre ailleurs. Jamais j'ai pensé que j'étais capable de faire ça. J'aurais non plus jamais pensé à quitter mon parrain de 15 000 habitants, où tout le monde me connaît, pour aller vivre dans une grande ville comme Québec, avec les autoroutes, les grands vents et l'absence de notoriété. Ça, c'est quelque chose, écoute, moi à Moss, tout le monde me connaît et ici, personne ne me connaît. D'ailleurs, anecdote, je suis allée à un moment donné à l'épicerie et j'utilise les caisses libre-service et... Pour une raison qui m'est inconnue, probablement, j'étais trop fatiguée, je revenais justement à Damas et j'ai oublié de payer. J'ai payé, j'ai mis ma carte toute, mais je n'ai pas regardé. Bref, le paiement n'a pas passé, puis je suis partie. Et quand je suis revenue à l'épicerie, une semaine après, la gérante m'accoste. Écoute, ce n'était pas drôle, puis là, c'était quasiment, on va appeler la police, puis blablabla. J'ai fait « Wow, wow, wow, attends une minute, je suis notaire dans la vie, jamais j'oserais penser de voler quelqu'un. » Mais elle, elle ne me connaît pas, pour elle, je suis rien qu'une voleuse. Et depuis ce temps, je me fais surveiller quand je vais payer mon épicerie chaussomère. Bref, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver, parce que tu sais que tu changes de ville, tu changes tout. Donc, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver une nouvelle coiffeuse. Une nouvelle massothérapeute, une nouvelle esthéticienne, une nouvelle ostéopathe, une nouvelle kinésithérapeute, un nouveau dentiste, un nouveau médecin, une nouvelle technicienne en manucure. Oui, ça en prend du monde pour maintenir la bonne femme. C'est ça. On appelle ça la maintenance de la bonne femme. Jamais j'aurais pensé aussi me retrouver là où personne ne me connaît et où je dois recommencer à zéro pour me créer de nouveaux amis, des contacts, des relations. Personne ne me connaît ici. Puis en plus, je commence une nouvelle vie, comprends-tu ? Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin un jour d'une orthèse parce que mon genou a décidé de sacrer le camp. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, mon genou a lâché. Puis ça, c'est un petit deuil à faire, le corps. Mon médecin m'avait déjà dit que le corps commençait à sacrer le camp à 30 ans, j'avais pas de série. Mais bon, ça commence. Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin de serguites hygiéniques contre les fuites urinaires. Écoute. Mon médecin m'avait déjà demandé ça, « As-tu des fuites urinaires ? » J'ai dit, « Es-tu folle, toi, des fuites urinaires ? » J'avais 50 ans, j'en ai 56 et je suis rendue là. Bref, ce sont tous des petits deuils que je dois accepter pour vivre ma vraie vie. Je pourrais regretter, brailler ma vie, maudire mes choix, et dire, « Ah, j'aurais jamais dû. » Oui, mais non. Au lieu de ça, je ne vois que du positif. Plutôt que de regarder en arrière. ben il me dira « Ah mordi, j'avais tombé une belle vie, hein, grosse maison, grosse cabane, gros tout » . Ben non, je regarde en avant et j'embrasse mes nouveaux défis qui se présentent à moi, tout simplement. Tu sais, si tu repenses souvent à l'époque où tout allait bien dans ta tête, en ayant un pincement au cœur, en disant « mon Dieu, c'était donc beau dans ce temps-là » , si tu as peur d'avancer parce que c'était mieux avant, entre guillemets, si tu compares constamment ta vie d'aujourd'hui à celle d'hier et que ça te bloque, ben tu es à la bonne place aujourd'hui. Parce que le passé ne revient jamais, on est d'accord là-dessus, et le passé devrait servir juste à voir le chemin parcouru. C'est correct de regarder en arrière, je l'ai souvent dit dans d'autres épisodes, c'est correct de regarder en arrière, mais juste pour voir le chemin que tu as parcouru. Mais toujours regarder en arrière, ça t'empêche d'avancer parce que le temps que tu regardes en arrière, tu ne vois pas en avant, donc tu ne vois pas les opportunités qui se présentent à toi. Chaque changement... Oui, ça implique un petit deuil ou un gros deuil, ça dépend du monde. Mais il faut que tu le vois comme une chance de connaître d'autres choses. Le changement, ce n'est pas juste négatif, il faut que tu le vois positif. C'est des nouveaux défis, des nouvelles rencontres, des nouvelles affaires. Puis on jase, là. Si tu conduis ton char en regardant juste dans le rétroviseur, on s'entend-tu ? Tu vas te ramasser dans le fossé, tu vas te ramasser dans le champ, c'est bien clair. Si tu restes accroché aux vieilles affaires comme ton téléphone à roulettes, tu restes dans le statu quo. Je l'ai déjà dit, essayer de jouer au Monopoly sans bouger ton pion, ça ira pas bien. Mais c'est pas bon, ça, le statu quo. Tu suis pas à la parade, là. Puis tu vas finir tout seul, c'est sûr. Si, parce que là, la finale mondiale du hockey vient de finir, si Sidney Crosby pensait juste à son dernier but raté, on comprend-tu qu'il serait jamais capable de refaire un bon coup dans la vie ? C'est ça. Oui, mon passage du notariat à la vie d'artiste, ça a été un grand saut. J'ai eu peur, j'ai eu le vertige. Oui, oui, j'ai tout sué. Écoute, je ne sais pas, tu es dans l'incertitude. Moi, j'étais au bord du précipice. Oui, j'aurais pu rester assise au bord du précipice et continuer ma vie plate. Mais non, j'ai décidé de sauter dans le vide. Et je reconnais ça. Pour moi, c'était difficile, c'était un inconfort, mais ça a été une belle renaissance aussi. Oui, quitter ma ville natale, ça a été un arrachement, ça a été un détachement. Ça me fait quelque chose de quitter mes racines, mais ça me donne l'opportunité de faire des nouvelles rencontres que j'ai déjà commencées d'ailleurs, avec des gens ici. pour faire des nouvelles affaires, des conférences, des animations, des mariages, vendre ma maison et tout recommencer ailleurs. Bon, c'est sûr que moi, je ne suis pas très attachée aux biens matériels, mais quand même, écoute, tout mon stock a resté dans un container pendant un an. Puis, je ne suis pas morte, je suis encore là. Oui, ça a été vide au début, mais tellement une richesse. Oui, je l'ai dit, je ne suis plus. pauvre aujourd'hui, mais j'ai tellement une vie plus riche de sens. Puis là, je t'ai parlé des changements physiques. Ça peut être n'importe quoi. Tu as perdu une dent. Je perds mes cheveux aussi. J'aurais pu dire ça en introduction. Je perds mes cheveux. Du à tout ça. À mon saut dans le vide, l'hystérectomie totale, tout ça. Ça a fait que j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup moins de cheveux qu'avant. Je t'ai parlé de mon genou. Mes futurs inaires, ça peut tellement être d'autres choses pour toi aussi. Mais qu'est-ce que tu veux ? Ça là, on n'a pas de contrôle là-dessus. À moins de te mettre une perruque et de te faire poser une dent, tu comprends ce que je veux dire ? Tu n'as pas de contrôle sur le fait que ton corps commence à sacrer le camp, sauf que la seule chose que tu peux faire, c'est d'en prendre soin, d'en prendre encore plus soin, puis de t'aider. Comme moi, j'attends avec impatience mon or. repèse au genou qui va me permettre de recommencer à faire de l'exercice. Si on regarde, pourquoi ? Pourquoi il faut accepter le passé au lieu de vivre dedans ? Parce que le passé, c'est passé. On s'entend-tu ? Les souvenirs, prends-les comme des leçons. Les souvenirs, tu as appris des affaires dans le passé, c'est ça. Le passé, ce n'est pas négatif. Le passé, ça passe au travers. Mais nécessairement, il est resté des choses positives de ça. Donc, prenez comme des leçons, puis gardez ça. Tu sais, la vie, là, c'est des chapitres, un après l'autre. Fait qu'il faut que tu avances. C'est sûr que si tu as peur du changement, ça t'empêche d'évoluer complètement. Je l'ai déjà dit souvent, l'inconfort est nécessaire au changement et le changement, c'est ce qui va te permettre d'évoluer dans la vie. Puis chaque fin, c'est un nouveau départ. Tu quittes des affaires, mais c'est pour... L'univers déteste le vide. Si tu lâches quelque chose, l'univers va t'envoyer d'autres choses. Et l'idée, c'est de s'adapter. Si tu t'adaptes au changement, je le sais, l'humain est très réticent au changement, l'humain a de la misère à s'adapter, mais ça se fait par du monde. Si moi je l'ai fait, tout le monde est capable de le faire, parce que moi je suis très réticente au changement, je marche au conditionnement, ça me prend du temps, mais je l'ai fait. Si moi je suis capable, tout le monde est capable de s'adapter et de faire face au changement et d'évoluer. Puis tu sais... Ton futur dépend de ce que tu fais aujourd'hui. Donc, si tu restes sur ton steak et que tu ne fais rien, il ne se passera rien de ton futur. Donc, il faut que tu bouges. Oui, regarde dans le rétroviseur, mais pas trop longtemps. Puis, go with the flow. C'est en avant que ça se passe. Voilà. On vit pour avancer. On ne vit pas pour reculer. De grâce. Comment utiliser la nostalgie pour évoluer et non rester dans le passé ? Je l'ai dit. Il faut accepter le passé parce qu'il est passé. Il n'y a pas juste des affaires négatives dans le passé, il y a des affaires positives, mais on les garde. Après ça, regarde dans le passé ce que tu regrettes. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, les regrets versus les remords. Les regrets, c'est des choses que tu pourrais, si tu poses des actions concrètes, que tu pourrais arrêter d'avoir. Donc, bat-toi le cul et fais ce pourquoi tu regrettes des affaires. Si tu regrettes de ne pas avoir... de ne pas avoir renoué avec une personne, prends le téléphone, t'appelles là. Tu comprends ce que je veux dire ? Bon, c'est ça. Donc, tu peux identifier dans ton passé tes regrets, puis travailler dessus, puis ça sera... Il n'y en aura plus. Je l'ai dit, regarde ton passé pour voir les progrès que tu as fait dans la vie. On évolue tout le monde. Donc, c'est important de savoir où tu étais et où tu es rendu aujourd'hui. Ça, c'est bon, c'est correct de regarder en arrière pour ça. Et aussi, de remercier le passé. Si tu n'avais pas vécu tout ce que tu as vécu dans ton passé, si tu n'avais pas rencontré tous les gens que tu as rencontrés, comme moi, tous mes clients, je les remercie sincèrement. parce qu'il n'aurait pas fait ce que je suis devenue aujourd'hui. Même mon notariat, même si je détestais le droit, je ne regrette pas mon notariat. Il ne faut pas regretter, c'est une perte de temps. Donc, la nostalgie aussi, c'est une perte de temps. Donc, on lâche ça, puis on avance. Les dix, je te partage maintenant, les dix raisons pour lâcher prise sur le passé, je l'ai dit. Le passé, c'est le passé, ça ne change pas. Écoute, tu ne peux pas modifier ce qui est passé. Alors pourquoi dépenser de l'énergie là-dessus, c'est penser ? Ben, il faut vivre le présent. Vivre dans la nostalgie, c'est comme ignorer ce qui est en avant de toi. Tu sais, toutes les belles affaires qui sont en avant de toi. Non, profite du temps maintenant. Si tu as toujours la tête revirée et regardé en arrière, tu ne vois pas ce qui est en avant de toi là. Les gens, les situations, les opportunités de grâce. Et parfois, oui, pourquoi il faut lâcher le passé ? Parce que souvent, on l'idéalise. Avec le temps, le cerveau, c'est « tricky » , le cerveau. Le cerveau, il veut se rappeler juste des belles affaires. C'est sûr que tu vas te rappeler des belles affaires de ton passé, souvent. Mais par contre, les mauvais, ils ne s'en rappellent plus ou ils échangent. Le résultat, c'est que ton passé devient une illusion. Toi, tu penses que ton passé était donc bien merveilleux. Non, non, non. Réfléchis, puis tu vas voir qu'il y a des affaires dans ton passé qui n'étaient peut-être pas si glorieuses que ça. Vivre dans le passé, je l'ai dit, ça bloque ton évolution. Donc, ça t'empêche de te concentrer sur ce qui arrive ici, maintenant, et dans le futur. Oui, une autre raison. Chaque époque a ses défis. Oui, ça se peut qu'on dise « Ah, mon Dieu, c'était donc bien mieux avant » , comme la couche d'ozone qui était intacte, ou les tours de machine qu'on faisait le soir avec nos parents parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire dans la vie. Oui, c'était le fun. Mais il faut aussi admettre que le passé, c'était aussi une intolérance face à l'homosexualité. Il y avait de l'esclavagisme, il y avait du racisme. Tu comprends qu'aujourd'hui, on a plus une ouverture par rapport à tout ça. Donc, tu vois bien que le passé, ce n'est pas juste le fun. Une autre raison pour lâcher le passé, c'est que le changement est inévitable dans la vie. Si tu veux évoluer, il faut que tu embarques dans la parade. Il ne faut pas que tu fasses juste la regarder, sinon ça ne marche pas. Une autre raison, vivre dans le présent, ça va te créer des nouveaux souvenirs. Si tu fais juste recenser tes anciens souvenirs, tu restes chez toi en cabané, tu n'auras plus de souvenirs. Tu vas juste recenser les anciens et tu n'en créeras pas de nouveaux. C'est bien clair. Donc, la vie, ça se vit au jour le jour, dans le moment présent, avec tout ce qui se présente à toi là, les gens, les opportunités, tout ça. Et oui, après ça, tu vas pouvoir regarder en arrière et tu vas t'avoir créé des nouveaux souvenirs. La gratitude, autre raison, la gratitude remplace la nostalgie. Remercie tout ce que tu as eu dans le passé. Merci d'avoir vécu ça, comme je l'ai dit. Moi, je remercie tout ce que j'ai vécu dans mon passé parce que ça m'a forgé tel que je suis maintenant. Et sinon, je ne pourrais pas jaser de ça avec toi aujourd'hui. Je l'ai dit, la nostalgie, ça t'empêche d'agir. Donc, tu sais, mettons, tu déciderais, on jase, mettons, tu déciderais de tenir tête aux nouvelles technologies. Tu dirais Facebook, les réseaux sociaux, téléphone, cellulite, etc. La merde, c'est pas bon. Mais mon Dieu, tu vas te ramasser tout seul à regarder ta TV en bois, puis ton téléphone à roulettes, on s'entend. Et finalement, pourquoi arrêter de recenser le passé ? Parce que ton futur mérite d'être vécu pleinement. Donc, si tu veux une vie épanouie, il faut que tu te concentres sur ce que tu peux construire aujourd'hui pour le partager aux gens. Je l'ai tout le temps dit, on a des dons, des talents, des compétences, un parcours, une vérité qu'on peut partager aux autres. faisons-le, OK ? Et ça, c'est notre contribution. Donc, c'est pour ça qu'il faut arrêter de vivre dans le passé. Il faut vivre ici maintenant et regarder en avant. Bref, oui, je t'ai parlé de ma vie à Amos, ma vie de notaire, la grosse cabane, le gros salaire. J'avais des propriétés dans les Laurentides. J'ai sauté dans le vide suite à une hystérectomie totale. Et tout ça, oui. Et j'ai 56 ans, donc le corps a commencé à sacrer le camp. Tous ces changements-là dans ma vie m'ont apporté des petits deuils à faire de tout le monde que je connais là-bas, mes amis aussi, que je verrai moins souvent, tous ceux qui travaillaient sur la maintenance de la bonne femme. Bref, un paquet de deuils à faire, tu sais, de mon compte en banque où je ne manquais jamais d'argent. Mais je m'ennuierai pas de ma colère constante, de ma dépression constante. On s'entend ça, je m'en ennuierai pas. Bref, oui, aujourd'hui, j'ai une nouvelle vie. Et malgré que cette nouvelle vie-là m'apporte des petits deuils à accepter, j'aime mieux regarder dans le rétroviseur juste pour voir le chemin parcouru. À chaque fois que je prends la voiture et que je m'enligne sur une autoroute, je me dis, dire qu'il n'y a pas si longtemps, j'avais peur de conduire sur une autoroute. Moi, faire 900 kilomètres d'une fripe pour aller quelque part, jamais j'aurais pensé faire ça. Et je le fais, je me trouve bonne. Oui, j'aime ça regarder dans le rétroviseur, pas longtemps, mais pour voir le chemin parcouru et remercier le passé pour ce que j'ai acquis dans le passé, mais aussi remercier. le présent et le futur pour les belles choses qui s'en viennent pour moi. Face à ta nostalgie, tu as deux options. La première, c'est que tu vis dans le passé. Tu refuses tout ce qui est nouveau. Tu te ramasses seule parce que les autres avancent sans toi. Tu accumules des émotions négatives comme la rancœur, la rancune, les regrets. Tu nies le progrès. Tu en veux à la terre entière pour tout ce qui est nouveau en te disant que ça ne vaut pas de la chenoute. Ou, deuxième option, tu remercies le passé, bon et mauvais, pour ce qu'il t'a apporté en frais de souvenirs, d'apprentissage, de relations, etc. Tu préfères de loin regarder en avant sans pour autant renier ton passé. Tu conscientises que ton passé est garant du présent et de l'avenir sans pour autant rester pris dedans. Tu regardes dans le pare-brise de ta vie en jetant parfois un coup d'œil dans le rétroviseur pour constater tes progrès. Tu n'as aucun regret parce que... Tu as su agir sur les situations sur lesquelles tu avais du contrôle. Pour les autres, tu lâches prise quand tu ne peux rien y faire. Tu nages dans le bonheur car tu évolues positivement en étant dans la parade plutôt que de la regarder passer. Tu te reconnais dans cet épisode ? Tu vis beaucoup trop dans le passé ? T'aimerais qu'on en discute ensemble ? Pour un accompagnement individuel avec moi, consulte le marijosé-saloran.com baromlique passeportbonheur. En reprenant la semaine prochaine où je te parle de zone de génie.

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Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ?

Es-tu du genre à toujours ressasser le passé ? 

Es-tu plutôt du style, comme moi, à regarder en avant ? 

Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d’un frein ? 

La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage ! 

Regretter le passé, c’est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur : ça empêche d’avancer. 

La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. 

Face à eux, on a deux choix : les affronter ou les brailler. 

Aujourd’hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance !


Tu te reconnais dans cet épisode ?

Tu vis beaucoup trop dans le passé ?

Tu aimerais qu’on en discute ensemble ?

 

Pour un accompagnement individuel avec moi : https://www.mariejoseestlaurent.com/passeportbonheur

 

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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ? Es-tu du genre à toujours recenser le passé, hein ? Dans le temps, c'était donc bien plus le fun. Ou t'es plutôt comme moi, du style à regarder en avant ? Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d'un frein ? La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage. Regretter le passé, c'est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur. Ça t'empêche d'avancer. La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. Face à eux, tu as deux choix. Les affronter ou les broyer. Aujourd'hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Tu le sais sans doute, je t'ai déjà parlé beaucoup de ma vie, que je vivais à Amos, que j'ai été notaire pendant 31 ans malgré que je détestais le droit. Bref, j'ai sauté dans le vide et tout ça, tu es déjà au courant. Mais jamais moi, là, ok ? Quand je regarde ma vie d'avant, je me dis, mon Dieu, jamais j'aurais pensé quitter le notariat pour vivre ma vie d'artiste. Jamais non plus j'aurais pu imaginer vendre ma maison à Amos, vendre mon étude de notaire, vendre mon domaine de villégiature dans les Laurentides pour aller vivre ailleurs. Jamais j'ai pensé que j'étais capable de faire ça. J'aurais non plus jamais pensé à quitter mon parrain de 15 000 habitants, où tout le monde me connaît, pour aller vivre dans une grande ville comme Québec, avec les autoroutes, les grands vents et l'absence de notoriété. Ça, c'est quelque chose, écoute, moi à Moss, tout le monde me connaît et ici, personne ne me connaît. D'ailleurs, anecdote, je suis allée à un moment donné à l'épicerie et j'utilise les caisses libre-service et... Pour une raison qui m'est inconnue, probablement, j'étais trop fatiguée, je revenais justement à Damas et j'ai oublié de payer. J'ai payé, j'ai mis ma carte toute, mais je n'ai pas regardé. Bref, le paiement n'a pas passé, puis je suis partie. Et quand je suis revenue à l'épicerie, une semaine après, la gérante m'accoste. Écoute, ce n'était pas drôle, puis là, c'était quasiment, on va appeler la police, puis blablabla. J'ai fait « Wow, wow, wow, attends une minute, je suis notaire dans la vie, jamais j'oserais penser de voler quelqu'un. » Mais elle, elle ne me connaît pas, pour elle, je suis rien qu'une voleuse. Et depuis ce temps, je me fais surveiller quand je vais payer mon épicerie chaussomère. Bref, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver, parce que tu sais que tu changes de ville, tu changes tout. Donc, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver une nouvelle coiffeuse. Une nouvelle massothérapeute, une nouvelle esthéticienne, une nouvelle ostéopathe, une nouvelle kinésithérapeute, un nouveau dentiste, un nouveau médecin, une nouvelle technicienne en manucure. Oui, ça en prend du monde pour maintenir la bonne femme. C'est ça. On appelle ça la maintenance de la bonne femme. Jamais j'aurais pensé aussi me retrouver là où personne ne me connaît et où je dois recommencer à zéro pour me créer de nouveaux amis, des contacts, des relations. Personne ne me connaît ici. Puis en plus, je commence une nouvelle vie, comprends-tu ? Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin un jour d'une orthèse parce que mon genou a décidé de sacrer le camp. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, mon genou a lâché. Puis ça, c'est un petit deuil à faire, le corps. Mon médecin m'avait déjà dit que le corps commençait à sacrer le camp à 30 ans, j'avais pas de série. Mais bon, ça commence. Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin de serguites hygiéniques contre les fuites urinaires. Écoute. Mon médecin m'avait déjà demandé ça, « As-tu des fuites urinaires ? » J'ai dit, « Es-tu folle, toi, des fuites urinaires ? » J'avais 50 ans, j'en ai 56 et je suis rendue là. Bref, ce sont tous des petits deuils que je dois accepter pour vivre ma vraie vie. Je pourrais regretter, brailler ma vie, maudire mes choix, et dire, « Ah, j'aurais jamais dû. » Oui, mais non. Au lieu de ça, je ne vois que du positif. Plutôt que de regarder en arrière. ben il me dira « Ah mordi, j'avais tombé une belle vie, hein, grosse maison, grosse cabane, gros tout » . Ben non, je regarde en avant et j'embrasse mes nouveaux défis qui se présentent à moi, tout simplement. Tu sais, si tu repenses souvent à l'époque où tout allait bien dans ta tête, en ayant un pincement au cœur, en disant « mon Dieu, c'était donc beau dans ce temps-là » , si tu as peur d'avancer parce que c'était mieux avant, entre guillemets, si tu compares constamment ta vie d'aujourd'hui à celle d'hier et que ça te bloque, ben tu es à la bonne place aujourd'hui. Parce que le passé ne revient jamais, on est d'accord là-dessus, et le passé devrait servir juste à voir le chemin parcouru. C'est correct de regarder en arrière, je l'ai souvent dit dans d'autres épisodes, c'est correct de regarder en arrière, mais juste pour voir le chemin que tu as parcouru. Mais toujours regarder en arrière, ça t'empêche d'avancer parce que le temps que tu regardes en arrière, tu ne vois pas en avant, donc tu ne vois pas les opportunités qui se présentent à toi. Chaque changement... Oui, ça implique un petit deuil ou un gros deuil, ça dépend du monde. Mais il faut que tu le vois comme une chance de connaître d'autres choses. Le changement, ce n'est pas juste négatif, il faut que tu le vois positif. C'est des nouveaux défis, des nouvelles rencontres, des nouvelles affaires. Puis on jase, là. Si tu conduis ton char en regardant juste dans le rétroviseur, on s'entend-tu ? Tu vas te ramasser dans le fossé, tu vas te ramasser dans le champ, c'est bien clair. Si tu restes accroché aux vieilles affaires comme ton téléphone à roulettes, tu restes dans le statu quo. Je l'ai déjà dit, essayer de jouer au Monopoly sans bouger ton pion, ça ira pas bien. Mais c'est pas bon, ça, le statu quo. Tu suis pas à la parade, là. Puis tu vas finir tout seul, c'est sûr. Si, parce que là, la finale mondiale du hockey vient de finir, si Sidney Crosby pensait juste à son dernier but raté, on comprend-tu qu'il serait jamais capable de refaire un bon coup dans la vie ? C'est ça. Oui, mon passage du notariat à la vie d'artiste, ça a été un grand saut. J'ai eu peur, j'ai eu le vertige. Oui, oui, j'ai tout sué. Écoute, je ne sais pas, tu es dans l'incertitude. Moi, j'étais au bord du précipice. Oui, j'aurais pu rester assise au bord du précipice et continuer ma vie plate. Mais non, j'ai décidé de sauter dans le vide. Et je reconnais ça. Pour moi, c'était difficile, c'était un inconfort, mais ça a été une belle renaissance aussi. Oui, quitter ma ville natale, ça a été un arrachement, ça a été un détachement. Ça me fait quelque chose de quitter mes racines, mais ça me donne l'opportunité de faire des nouvelles rencontres que j'ai déjà commencées d'ailleurs, avec des gens ici. pour faire des nouvelles affaires, des conférences, des animations, des mariages, vendre ma maison et tout recommencer ailleurs. Bon, c'est sûr que moi, je ne suis pas très attachée aux biens matériels, mais quand même, écoute, tout mon stock a resté dans un container pendant un an. Puis, je ne suis pas morte, je suis encore là. Oui, ça a été vide au début, mais tellement une richesse. Oui, je l'ai dit, je ne suis plus. pauvre aujourd'hui, mais j'ai tellement une vie plus riche de sens. Puis là, je t'ai parlé des changements physiques. Ça peut être n'importe quoi. Tu as perdu une dent. Je perds mes cheveux aussi. J'aurais pu dire ça en introduction. Je perds mes cheveux. Du à tout ça. À mon saut dans le vide, l'hystérectomie totale, tout ça. Ça a fait que j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup moins de cheveux qu'avant. Je t'ai parlé de mon genou. Mes futurs inaires, ça peut tellement être d'autres choses pour toi aussi. Mais qu'est-ce que tu veux ? Ça là, on n'a pas de contrôle là-dessus. À moins de te mettre une perruque et de te faire poser une dent, tu comprends ce que je veux dire ? Tu n'as pas de contrôle sur le fait que ton corps commence à sacrer le camp, sauf que la seule chose que tu peux faire, c'est d'en prendre soin, d'en prendre encore plus soin, puis de t'aider. Comme moi, j'attends avec impatience mon or. repèse au genou qui va me permettre de recommencer à faire de l'exercice. Si on regarde, pourquoi ? Pourquoi il faut accepter le passé au lieu de vivre dedans ? Parce que le passé, c'est passé. On s'entend-tu ? Les souvenirs, prends-les comme des leçons. Les souvenirs, tu as appris des affaires dans le passé, c'est ça. Le passé, ce n'est pas négatif. Le passé, ça passe au travers. Mais nécessairement, il est resté des choses positives de ça. Donc, prenez comme des leçons, puis gardez ça. Tu sais, la vie, là, c'est des chapitres, un après l'autre. Fait qu'il faut que tu avances. C'est sûr que si tu as peur du changement, ça t'empêche d'évoluer complètement. Je l'ai déjà dit souvent, l'inconfort est nécessaire au changement et le changement, c'est ce qui va te permettre d'évoluer dans la vie. Puis chaque fin, c'est un nouveau départ. Tu quittes des affaires, mais c'est pour... L'univers déteste le vide. Si tu lâches quelque chose, l'univers va t'envoyer d'autres choses. Et l'idée, c'est de s'adapter. Si tu t'adaptes au changement, je le sais, l'humain est très réticent au changement, l'humain a de la misère à s'adapter, mais ça se fait par du monde. Si moi je l'ai fait, tout le monde est capable de le faire, parce que moi je suis très réticente au changement, je marche au conditionnement, ça me prend du temps, mais je l'ai fait. Si moi je suis capable, tout le monde est capable de s'adapter et de faire face au changement et d'évoluer. Puis tu sais... Ton futur dépend de ce que tu fais aujourd'hui. Donc, si tu restes sur ton steak et que tu ne fais rien, il ne se passera rien de ton futur. Donc, il faut que tu bouges. Oui, regarde dans le rétroviseur, mais pas trop longtemps. Puis, go with the flow. C'est en avant que ça se passe. Voilà. On vit pour avancer. On ne vit pas pour reculer. De grâce. Comment utiliser la nostalgie pour évoluer et non rester dans le passé ? Je l'ai dit. Il faut accepter le passé parce qu'il est passé. Il n'y a pas juste des affaires négatives dans le passé, il y a des affaires positives, mais on les garde. Après ça, regarde dans le passé ce que tu regrettes. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, les regrets versus les remords. Les regrets, c'est des choses que tu pourrais, si tu poses des actions concrètes, que tu pourrais arrêter d'avoir. Donc, bat-toi le cul et fais ce pourquoi tu regrettes des affaires. Si tu regrettes de ne pas avoir... de ne pas avoir renoué avec une personne, prends le téléphone, t'appelles là. Tu comprends ce que je veux dire ? Bon, c'est ça. Donc, tu peux identifier dans ton passé tes regrets, puis travailler dessus, puis ça sera... Il n'y en aura plus. Je l'ai dit, regarde ton passé pour voir les progrès que tu as fait dans la vie. On évolue tout le monde. Donc, c'est important de savoir où tu étais et où tu es rendu aujourd'hui. Ça, c'est bon, c'est correct de regarder en arrière pour ça. Et aussi, de remercier le passé. Si tu n'avais pas vécu tout ce que tu as vécu dans ton passé, si tu n'avais pas rencontré tous les gens que tu as rencontrés, comme moi, tous mes clients, je les remercie sincèrement. parce qu'il n'aurait pas fait ce que je suis devenue aujourd'hui. Même mon notariat, même si je détestais le droit, je ne regrette pas mon notariat. Il ne faut pas regretter, c'est une perte de temps. Donc, la nostalgie aussi, c'est une perte de temps. Donc, on lâche ça, puis on avance. Les dix, je te partage maintenant, les dix raisons pour lâcher prise sur le passé, je l'ai dit. Le passé, c'est le passé, ça ne change pas. Écoute, tu ne peux pas modifier ce qui est passé. Alors pourquoi dépenser de l'énergie là-dessus, c'est penser ? Ben, il faut vivre le présent. Vivre dans la nostalgie, c'est comme ignorer ce qui est en avant de toi. Tu sais, toutes les belles affaires qui sont en avant de toi. Non, profite du temps maintenant. Si tu as toujours la tête revirée et regardé en arrière, tu ne vois pas ce qui est en avant de toi là. Les gens, les situations, les opportunités de grâce. Et parfois, oui, pourquoi il faut lâcher le passé ? Parce que souvent, on l'idéalise. Avec le temps, le cerveau, c'est « tricky » , le cerveau. Le cerveau, il veut se rappeler juste des belles affaires. C'est sûr que tu vas te rappeler des belles affaires de ton passé, souvent. Mais par contre, les mauvais, ils ne s'en rappellent plus ou ils échangent. Le résultat, c'est que ton passé devient une illusion. Toi, tu penses que ton passé était donc bien merveilleux. Non, non, non. Réfléchis, puis tu vas voir qu'il y a des affaires dans ton passé qui n'étaient peut-être pas si glorieuses que ça. Vivre dans le passé, je l'ai dit, ça bloque ton évolution. Donc, ça t'empêche de te concentrer sur ce qui arrive ici, maintenant, et dans le futur. Oui, une autre raison. Chaque époque a ses défis. Oui, ça se peut qu'on dise « Ah, mon Dieu, c'était donc bien mieux avant » , comme la couche d'ozone qui était intacte, ou les tours de machine qu'on faisait le soir avec nos parents parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire dans la vie. Oui, c'était le fun. Mais il faut aussi admettre que le passé, c'était aussi une intolérance face à l'homosexualité. Il y avait de l'esclavagisme, il y avait du racisme. Tu comprends qu'aujourd'hui, on a plus une ouverture par rapport à tout ça. Donc, tu vois bien que le passé, ce n'est pas juste le fun. Une autre raison pour lâcher le passé, c'est que le changement est inévitable dans la vie. Si tu veux évoluer, il faut que tu embarques dans la parade. Il ne faut pas que tu fasses juste la regarder, sinon ça ne marche pas. Une autre raison, vivre dans le présent, ça va te créer des nouveaux souvenirs. Si tu fais juste recenser tes anciens souvenirs, tu restes chez toi en cabané, tu n'auras plus de souvenirs. Tu vas juste recenser les anciens et tu n'en créeras pas de nouveaux. C'est bien clair. Donc, la vie, ça se vit au jour le jour, dans le moment présent, avec tout ce qui se présente à toi là, les gens, les opportunités, tout ça. Et oui, après ça, tu vas pouvoir regarder en arrière et tu vas t'avoir créé des nouveaux souvenirs. La gratitude, autre raison, la gratitude remplace la nostalgie. Remercie tout ce que tu as eu dans le passé. Merci d'avoir vécu ça, comme je l'ai dit. Moi, je remercie tout ce que j'ai vécu dans mon passé parce que ça m'a forgé tel que je suis maintenant. Et sinon, je ne pourrais pas jaser de ça avec toi aujourd'hui. Je l'ai dit, la nostalgie, ça t'empêche d'agir. Donc, tu sais, mettons, tu déciderais, on jase, mettons, tu déciderais de tenir tête aux nouvelles technologies. Tu dirais Facebook, les réseaux sociaux, téléphone, cellulite, etc. La merde, c'est pas bon. Mais mon Dieu, tu vas te ramasser tout seul à regarder ta TV en bois, puis ton téléphone à roulettes, on s'entend. Et finalement, pourquoi arrêter de recenser le passé ? Parce que ton futur mérite d'être vécu pleinement. Donc, si tu veux une vie épanouie, il faut que tu te concentres sur ce que tu peux construire aujourd'hui pour le partager aux gens. Je l'ai tout le temps dit, on a des dons, des talents, des compétences, un parcours, une vérité qu'on peut partager aux autres. faisons-le, OK ? Et ça, c'est notre contribution. Donc, c'est pour ça qu'il faut arrêter de vivre dans le passé. Il faut vivre ici maintenant et regarder en avant. Bref, oui, je t'ai parlé de ma vie à Amos, ma vie de notaire, la grosse cabane, le gros salaire. J'avais des propriétés dans les Laurentides. J'ai sauté dans le vide suite à une hystérectomie totale. Et tout ça, oui. Et j'ai 56 ans, donc le corps a commencé à sacrer le camp. Tous ces changements-là dans ma vie m'ont apporté des petits deuils à faire de tout le monde que je connais là-bas, mes amis aussi, que je verrai moins souvent, tous ceux qui travaillaient sur la maintenance de la bonne femme. Bref, un paquet de deuils à faire, tu sais, de mon compte en banque où je ne manquais jamais d'argent. Mais je m'ennuierai pas de ma colère constante, de ma dépression constante. On s'entend ça, je m'en ennuierai pas. Bref, oui, aujourd'hui, j'ai une nouvelle vie. Et malgré que cette nouvelle vie-là m'apporte des petits deuils à accepter, j'aime mieux regarder dans le rétroviseur juste pour voir le chemin parcouru. À chaque fois que je prends la voiture et que je m'enligne sur une autoroute, je me dis, dire qu'il n'y a pas si longtemps, j'avais peur de conduire sur une autoroute. Moi, faire 900 kilomètres d'une fripe pour aller quelque part, jamais j'aurais pensé faire ça. Et je le fais, je me trouve bonne. Oui, j'aime ça regarder dans le rétroviseur, pas longtemps, mais pour voir le chemin parcouru et remercier le passé pour ce que j'ai acquis dans le passé, mais aussi remercier. le présent et le futur pour les belles choses qui s'en viennent pour moi. Face à ta nostalgie, tu as deux options. La première, c'est que tu vis dans le passé. Tu refuses tout ce qui est nouveau. Tu te ramasses seule parce que les autres avancent sans toi. Tu accumules des émotions négatives comme la rancœur, la rancune, les regrets. Tu nies le progrès. Tu en veux à la terre entière pour tout ce qui est nouveau en te disant que ça ne vaut pas de la chenoute. Ou, deuxième option, tu remercies le passé, bon et mauvais, pour ce qu'il t'a apporté en frais de souvenirs, d'apprentissage, de relations, etc. Tu préfères de loin regarder en avant sans pour autant renier ton passé. Tu conscientises que ton passé est garant du présent et de l'avenir sans pour autant rester pris dedans. Tu regardes dans le pare-brise de ta vie en jetant parfois un coup d'œil dans le rétroviseur pour constater tes progrès. Tu n'as aucun regret parce que... Tu as su agir sur les situations sur lesquelles tu avais du contrôle. Pour les autres, tu lâches prise quand tu ne peux rien y faire. Tu nages dans le bonheur car tu évolues positivement en étant dans la parade plutôt que de la regarder passer. Tu te reconnais dans cet épisode ? Tu vis beaucoup trop dans le passé ? T'aimerais qu'on en discute ensemble ? Pour un accompagnement individuel avec moi, consulte le marijosé-saloran.com baromlique passeportbonheur. En reprenant la semaine prochaine où je te parle de zone de génie.

Description

Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ?

Es-tu du genre à toujours ressasser le passé ? 

Es-tu plutôt du style, comme moi, à regarder en avant ? 

Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d’un frein ? 

La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage ! 

Regretter le passé, c’est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur : ça empêche d’avancer. 

La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. 

Face à eux, on a deux choix : les affronter ou les brailler. 

Aujourd’hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance !


Tu te reconnais dans cet épisode ?

Tu vis beaucoup trop dans le passé ?

Tu aimerais qu’on en discute ensemble ?

 

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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ta nostalgie ? Es-tu du genre à toujours recenser le passé, hein ? Dans le temps, c'était donc bien plus le fun. Ou t'es plutôt comme moi, du style à regarder en avant ? Veux-tu apprendre à te servir du passé comme un outil au lieu d'un frein ? La nostalgie devrait être un tremplin, pas un ancrage. Regretter le passé, c'est comme conduire en regardant seulement dans le rétroviseur. Ça t'empêche d'avancer. La vie est remplie de petits ou de gros deuils à faire. Face à eux, tu as deux choix. Les affronter ou les broyer. Aujourd'hui, je te parle de la nostalgie inutile et comment la transformer en moteur de croissance. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Tu le sais sans doute, je t'ai déjà parlé beaucoup de ma vie, que je vivais à Amos, que j'ai été notaire pendant 31 ans malgré que je détestais le droit. Bref, j'ai sauté dans le vide et tout ça, tu es déjà au courant. Mais jamais moi, là, ok ? Quand je regarde ma vie d'avant, je me dis, mon Dieu, jamais j'aurais pensé quitter le notariat pour vivre ma vie d'artiste. Jamais non plus j'aurais pu imaginer vendre ma maison à Amos, vendre mon étude de notaire, vendre mon domaine de villégiature dans les Laurentides pour aller vivre ailleurs. Jamais j'ai pensé que j'étais capable de faire ça. J'aurais non plus jamais pensé à quitter mon parrain de 15 000 habitants, où tout le monde me connaît, pour aller vivre dans une grande ville comme Québec, avec les autoroutes, les grands vents et l'absence de notoriété. Ça, c'est quelque chose, écoute, moi à Moss, tout le monde me connaît et ici, personne ne me connaît. D'ailleurs, anecdote, je suis allée à un moment donné à l'épicerie et j'utilise les caisses libre-service et... Pour une raison qui m'est inconnue, probablement, j'étais trop fatiguée, je revenais justement à Damas et j'ai oublié de payer. J'ai payé, j'ai mis ma carte toute, mais je n'ai pas regardé. Bref, le paiement n'a pas passé, puis je suis partie. Et quand je suis revenue à l'épicerie, une semaine après, la gérante m'accoste. Écoute, ce n'était pas drôle, puis là, c'était quasiment, on va appeler la police, puis blablabla. J'ai fait « Wow, wow, wow, attends une minute, je suis notaire dans la vie, jamais j'oserais penser de voler quelqu'un. » Mais elle, elle ne me connaît pas, pour elle, je suis rien qu'une voleuse. Et depuis ce temps, je me fais surveiller quand je vais payer mon épicerie chaussomère. Bref, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver, parce que tu sais que tu changes de ville, tu changes tout. Donc, je n'aurais jamais pensé devoir me trouver une nouvelle coiffeuse. Une nouvelle massothérapeute, une nouvelle esthéticienne, une nouvelle ostéopathe, une nouvelle kinésithérapeute, un nouveau dentiste, un nouveau médecin, une nouvelle technicienne en manucure. Oui, ça en prend du monde pour maintenir la bonne femme. C'est ça. On appelle ça la maintenance de la bonne femme. Jamais j'aurais pensé aussi me retrouver là où personne ne me connaît et où je dois recommencer à zéro pour me créer de nouveaux amis, des contacts, des relations. Personne ne me connaît ici. Puis en plus, je commence une nouvelle vie, comprends-tu ? Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin un jour d'une orthèse parce que mon genou a décidé de sacrer le camp. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, mon genou a lâché. Puis ça, c'est un petit deuil à faire, le corps. Mon médecin m'avait déjà dit que le corps commençait à sacrer le camp à 30 ans, j'avais pas de série. Mais bon, ça commence. Jamais j'aurais pensé aussi avoir besoin de serguites hygiéniques contre les fuites urinaires. Écoute. Mon médecin m'avait déjà demandé ça, « As-tu des fuites urinaires ? » J'ai dit, « Es-tu folle, toi, des fuites urinaires ? » J'avais 50 ans, j'en ai 56 et je suis rendue là. Bref, ce sont tous des petits deuils que je dois accepter pour vivre ma vraie vie. Je pourrais regretter, brailler ma vie, maudire mes choix, et dire, « Ah, j'aurais jamais dû. » Oui, mais non. Au lieu de ça, je ne vois que du positif. Plutôt que de regarder en arrière. ben il me dira « Ah mordi, j'avais tombé une belle vie, hein, grosse maison, grosse cabane, gros tout » . Ben non, je regarde en avant et j'embrasse mes nouveaux défis qui se présentent à moi, tout simplement. Tu sais, si tu repenses souvent à l'époque où tout allait bien dans ta tête, en ayant un pincement au cœur, en disant « mon Dieu, c'était donc beau dans ce temps-là » , si tu as peur d'avancer parce que c'était mieux avant, entre guillemets, si tu compares constamment ta vie d'aujourd'hui à celle d'hier et que ça te bloque, ben tu es à la bonne place aujourd'hui. Parce que le passé ne revient jamais, on est d'accord là-dessus, et le passé devrait servir juste à voir le chemin parcouru. C'est correct de regarder en arrière, je l'ai souvent dit dans d'autres épisodes, c'est correct de regarder en arrière, mais juste pour voir le chemin que tu as parcouru. Mais toujours regarder en arrière, ça t'empêche d'avancer parce que le temps que tu regardes en arrière, tu ne vois pas en avant, donc tu ne vois pas les opportunités qui se présentent à toi. Chaque changement... Oui, ça implique un petit deuil ou un gros deuil, ça dépend du monde. Mais il faut que tu le vois comme une chance de connaître d'autres choses. Le changement, ce n'est pas juste négatif, il faut que tu le vois positif. C'est des nouveaux défis, des nouvelles rencontres, des nouvelles affaires. Puis on jase, là. Si tu conduis ton char en regardant juste dans le rétroviseur, on s'entend-tu ? Tu vas te ramasser dans le fossé, tu vas te ramasser dans le champ, c'est bien clair. Si tu restes accroché aux vieilles affaires comme ton téléphone à roulettes, tu restes dans le statu quo. Je l'ai déjà dit, essayer de jouer au Monopoly sans bouger ton pion, ça ira pas bien. Mais c'est pas bon, ça, le statu quo. Tu suis pas à la parade, là. Puis tu vas finir tout seul, c'est sûr. Si, parce que là, la finale mondiale du hockey vient de finir, si Sidney Crosby pensait juste à son dernier but raté, on comprend-tu qu'il serait jamais capable de refaire un bon coup dans la vie ? C'est ça. Oui, mon passage du notariat à la vie d'artiste, ça a été un grand saut. J'ai eu peur, j'ai eu le vertige. Oui, oui, j'ai tout sué. Écoute, je ne sais pas, tu es dans l'incertitude. Moi, j'étais au bord du précipice. Oui, j'aurais pu rester assise au bord du précipice et continuer ma vie plate. Mais non, j'ai décidé de sauter dans le vide. Et je reconnais ça. Pour moi, c'était difficile, c'était un inconfort, mais ça a été une belle renaissance aussi. Oui, quitter ma ville natale, ça a été un arrachement, ça a été un détachement. Ça me fait quelque chose de quitter mes racines, mais ça me donne l'opportunité de faire des nouvelles rencontres que j'ai déjà commencées d'ailleurs, avec des gens ici. pour faire des nouvelles affaires, des conférences, des animations, des mariages, vendre ma maison et tout recommencer ailleurs. Bon, c'est sûr que moi, je ne suis pas très attachée aux biens matériels, mais quand même, écoute, tout mon stock a resté dans un container pendant un an. Puis, je ne suis pas morte, je suis encore là. Oui, ça a été vide au début, mais tellement une richesse. Oui, je l'ai dit, je ne suis plus. pauvre aujourd'hui, mais j'ai tellement une vie plus riche de sens. Puis là, je t'ai parlé des changements physiques. Ça peut être n'importe quoi. Tu as perdu une dent. Je perds mes cheveux aussi. J'aurais pu dire ça en introduction. Je perds mes cheveux. Du à tout ça. À mon saut dans le vide, l'hystérectomie totale, tout ça. Ça a fait que j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup moins de cheveux qu'avant. Je t'ai parlé de mon genou. Mes futurs inaires, ça peut tellement être d'autres choses pour toi aussi. Mais qu'est-ce que tu veux ? Ça là, on n'a pas de contrôle là-dessus. À moins de te mettre une perruque et de te faire poser une dent, tu comprends ce que je veux dire ? Tu n'as pas de contrôle sur le fait que ton corps commence à sacrer le camp, sauf que la seule chose que tu peux faire, c'est d'en prendre soin, d'en prendre encore plus soin, puis de t'aider. Comme moi, j'attends avec impatience mon or. repèse au genou qui va me permettre de recommencer à faire de l'exercice. Si on regarde, pourquoi ? Pourquoi il faut accepter le passé au lieu de vivre dedans ? Parce que le passé, c'est passé. On s'entend-tu ? Les souvenirs, prends-les comme des leçons. Les souvenirs, tu as appris des affaires dans le passé, c'est ça. Le passé, ce n'est pas négatif. Le passé, ça passe au travers. Mais nécessairement, il est resté des choses positives de ça. Donc, prenez comme des leçons, puis gardez ça. Tu sais, la vie, là, c'est des chapitres, un après l'autre. Fait qu'il faut que tu avances. C'est sûr que si tu as peur du changement, ça t'empêche d'évoluer complètement. Je l'ai déjà dit souvent, l'inconfort est nécessaire au changement et le changement, c'est ce qui va te permettre d'évoluer dans la vie. Puis chaque fin, c'est un nouveau départ. Tu quittes des affaires, mais c'est pour... L'univers déteste le vide. Si tu lâches quelque chose, l'univers va t'envoyer d'autres choses. Et l'idée, c'est de s'adapter. Si tu t'adaptes au changement, je le sais, l'humain est très réticent au changement, l'humain a de la misère à s'adapter, mais ça se fait par du monde. Si moi je l'ai fait, tout le monde est capable de le faire, parce que moi je suis très réticente au changement, je marche au conditionnement, ça me prend du temps, mais je l'ai fait. Si moi je suis capable, tout le monde est capable de s'adapter et de faire face au changement et d'évoluer. Puis tu sais... Ton futur dépend de ce que tu fais aujourd'hui. Donc, si tu restes sur ton steak et que tu ne fais rien, il ne se passera rien de ton futur. Donc, il faut que tu bouges. Oui, regarde dans le rétroviseur, mais pas trop longtemps. Puis, go with the flow. C'est en avant que ça se passe. Voilà. On vit pour avancer. On ne vit pas pour reculer. De grâce. Comment utiliser la nostalgie pour évoluer et non rester dans le passé ? Je l'ai dit. Il faut accepter le passé parce qu'il est passé. Il n'y a pas juste des affaires négatives dans le passé, il y a des affaires positives, mais on les garde. Après ça, regarde dans le passé ce que tu regrettes. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, les regrets versus les remords. Les regrets, c'est des choses que tu pourrais, si tu poses des actions concrètes, que tu pourrais arrêter d'avoir. Donc, bat-toi le cul et fais ce pourquoi tu regrettes des affaires. Si tu regrettes de ne pas avoir... de ne pas avoir renoué avec une personne, prends le téléphone, t'appelles là. Tu comprends ce que je veux dire ? Bon, c'est ça. Donc, tu peux identifier dans ton passé tes regrets, puis travailler dessus, puis ça sera... Il n'y en aura plus. Je l'ai dit, regarde ton passé pour voir les progrès que tu as fait dans la vie. On évolue tout le monde. Donc, c'est important de savoir où tu étais et où tu es rendu aujourd'hui. Ça, c'est bon, c'est correct de regarder en arrière pour ça. Et aussi, de remercier le passé. Si tu n'avais pas vécu tout ce que tu as vécu dans ton passé, si tu n'avais pas rencontré tous les gens que tu as rencontrés, comme moi, tous mes clients, je les remercie sincèrement. parce qu'il n'aurait pas fait ce que je suis devenue aujourd'hui. Même mon notariat, même si je détestais le droit, je ne regrette pas mon notariat. Il ne faut pas regretter, c'est une perte de temps. Donc, la nostalgie aussi, c'est une perte de temps. Donc, on lâche ça, puis on avance. Les dix, je te partage maintenant, les dix raisons pour lâcher prise sur le passé, je l'ai dit. Le passé, c'est le passé, ça ne change pas. Écoute, tu ne peux pas modifier ce qui est passé. Alors pourquoi dépenser de l'énergie là-dessus, c'est penser ? Ben, il faut vivre le présent. Vivre dans la nostalgie, c'est comme ignorer ce qui est en avant de toi. Tu sais, toutes les belles affaires qui sont en avant de toi. Non, profite du temps maintenant. Si tu as toujours la tête revirée et regardé en arrière, tu ne vois pas ce qui est en avant de toi là. Les gens, les situations, les opportunités de grâce. Et parfois, oui, pourquoi il faut lâcher le passé ? Parce que souvent, on l'idéalise. Avec le temps, le cerveau, c'est « tricky » , le cerveau. Le cerveau, il veut se rappeler juste des belles affaires. C'est sûr que tu vas te rappeler des belles affaires de ton passé, souvent. Mais par contre, les mauvais, ils ne s'en rappellent plus ou ils échangent. Le résultat, c'est que ton passé devient une illusion. Toi, tu penses que ton passé était donc bien merveilleux. Non, non, non. Réfléchis, puis tu vas voir qu'il y a des affaires dans ton passé qui n'étaient peut-être pas si glorieuses que ça. Vivre dans le passé, je l'ai dit, ça bloque ton évolution. Donc, ça t'empêche de te concentrer sur ce qui arrive ici, maintenant, et dans le futur. Oui, une autre raison. Chaque époque a ses défis. Oui, ça se peut qu'on dise « Ah, mon Dieu, c'était donc bien mieux avant » , comme la couche d'ozone qui était intacte, ou les tours de machine qu'on faisait le soir avec nos parents parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire dans la vie. Oui, c'était le fun. Mais il faut aussi admettre que le passé, c'était aussi une intolérance face à l'homosexualité. Il y avait de l'esclavagisme, il y avait du racisme. Tu comprends qu'aujourd'hui, on a plus une ouverture par rapport à tout ça. Donc, tu vois bien que le passé, ce n'est pas juste le fun. Une autre raison pour lâcher le passé, c'est que le changement est inévitable dans la vie. Si tu veux évoluer, il faut que tu embarques dans la parade. Il ne faut pas que tu fasses juste la regarder, sinon ça ne marche pas. Une autre raison, vivre dans le présent, ça va te créer des nouveaux souvenirs. Si tu fais juste recenser tes anciens souvenirs, tu restes chez toi en cabané, tu n'auras plus de souvenirs. Tu vas juste recenser les anciens et tu n'en créeras pas de nouveaux. C'est bien clair. Donc, la vie, ça se vit au jour le jour, dans le moment présent, avec tout ce qui se présente à toi là, les gens, les opportunités, tout ça. Et oui, après ça, tu vas pouvoir regarder en arrière et tu vas t'avoir créé des nouveaux souvenirs. La gratitude, autre raison, la gratitude remplace la nostalgie. Remercie tout ce que tu as eu dans le passé. Merci d'avoir vécu ça, comme je l'ai dit. Moi, je remercie tout ce que j'ai vécu dans mon passé parce que ça m'a forgé tel que je suis maintenant. Et sinon, je ne pourrais pas jaser de ça avec toi aujourd'hui. Je l'ai dit, la nostalgie, ça t'empêche d'agir. Donc, tu sais, mettons, tu déciderais, on jase, mettons, tu déciderais de tenir tête aux nouvelles technologies. Tu dirais Facebook, les réseaux sociaux, téléphone, cellulite, etc. La merde, c'est pas bon. Mais mon Dieu, tu vas te ramasser tout seul à regarder ta TV en bois, puis ton téléphone à roulettes, on s'entend. Et finalement, pourquoi arrêter de recenser le passé ? Parce que ton futur mérite d'être vécu pleinement. Donc, si tu veux une vie épanouie, il faut que tu te concentres sur ce que tu peux construire aujourd'hui pour le partager aux gens. Je l'ai tout le temps dit, on a des dons, des talents, des compétences, un parcours, une vérité qu'on peut partager aux autres. faisons-le, OK ? Et ça, c'est notre contribution. Donc, c'est pour ça qu'il faut arrêter de vivre dans le passé. Il faut vivre ici maintenant et regarder en avant. Bref, oui, je t'ai parlé de ma vie à Amos, ma vie de notaire, la grosse cabane, le gros salaire. J'avais des propriétés dans les Laurentides. J'ai sauté dans le vide suite à une hystérectomie totale. Et tout ça, oui. Et j'ai 56 ans, donc le corps a commencé à sacrer le camp. Tous ces changements-là dans ma vie m'ont apporté des petits deuils à faire de tout le monde que je connais là-bas, mes amis aussi, que je verrai moins souvent, tous ceux qui travaillaient sur la maintenance de la bonne femme. Bref, un paquet de deuils à faire, tu sais, de mon compte en banque où je ne manquais jamais d'argent. Mais je m'ennuierai pas de ma colère constante, de ma dépression constante. On s'entend ça, je m'en ennuierai pas. Bref, oui, aujourd'hui, j'ai une nouvelle vie. Et malgré que cette nouvelle vie-là m'apporte des petits deuils à accepter, j'aime mieux regarder dans le rétroviseur juste pour voir le chemin parcouru. À chaque fois que je prends la voiture et que je m'enligne sur une autoroute, je me dis, dire qu'il n'y a pas si longtemps, j'avais peur de conduire sur une autoroute. Moi, faire 900 kilomètres d'une fripe pour aller quelque part, jamais j'aurais pensé faire ça. Et je le fais, je me trouve bonne. Oui, j'aime ça regarder dans le rétroviseur, pas longtemps, mais pour voir le chemin parcouru et remercier le passé pour ce que j'ai acquis dans le passé, mais aussi remercier. le présent et le futur pour les belles choses qui s'en viennent pour moi. Face à ta nostalgie, tu as deux options. La première, c'est que tu vis dans le passé. Tu refuses tout ce qui est nouveau. Tu te ramasses seule parce que les autres avancent sans toi. Tu accumules des émotions négatives comme la rancœur, la rancune, les regrets. Tu nies le progrès. Tu en veux à la terre entière pour tout ce qui est nouveau en te disant que ça ne vaut pas de la chenoute. Ou, deuxième option, tu remercies le passé, bon et mauvais, pour ce qu'il t'a apporté en frais de souvenirs, d'apprentissage, de relations, etc. Tu préfères de loin regarder en avant sans pour autant renier ton passé. Tu conscientises que ton passé est garant du présent et de l'avenir sans pour autant rester pris dedans. Tu regardes dans le pare-brise de ta vie en jetant parfois un coup d'œil dans le rétroviseur pour constater tes progrès. Tu n'as aucun regret parce que... Tu as su agir sur les situations sur lesquelles tu avais du contrôle. Pour les autres, tu lâches prise quand tu ne peux rien y faire. Tu nages dans le bonheur car tu évolues positivement en étant dans la parade plutôt que de la regarder passer. Tu te reconnais dans cet épisode ? Tu vis beaucoup trop dans le passé ? T'aimerais qu'on en discute ensemble ? Pour un accompagnement individuel avec moi, consulte le marijosé-saloran.com baromlique passeportbonheur. En reprenant la semaine prochaine où je te parle de zone de génie.

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