Speaker #0Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesures-tu ta facilité à t'adapter ? Es-tu du genre à t'effondrer face à un défi ? Veux-tu plus de gouttes pour affronter l'adversité ? La vie est remplie de défis. Adapte-toi, sinon tu vas mourir. C'est aussi simple que ça. Dans cet épisode, je te raconte une histoire de prison et on parle de ce qui fait la différence entre ceux qui coulent et ceux qui rebondissent. Tu constateras que s'adapter, c'est survivre. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, Mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Jadis Nagar autrefois, tu le sais, j'ai été notaire et dans mon travail, ça arrive que du monde doit, en fait, du monde ne peut pas se déplacer. Et je dois, moi, me déplacer pour aller faire signer un document à quelqu'un. Et un jour, on me demande d'aller faire signer un affidavit à un père qui est en prison. La dame m'explique qu'elle s'en va à l'extérieur du pays avec ses enfants et tu le sais. Oui. Maintenant, vu qu'il y a eu énormément d'enlèvements d'enfants, il y a une procédure qui nécessite la signature du parent qui ne voyage pas avec les enfants pour permettre effectivement à l'autre parent de voyager. Et donc, elle m'explique que son ex, parce que c'est son ex, il est en prison. On peut comprendre pourquoi c'est rendu son ex. Et je te fais grâce de toute l'histoire, mais bref, je dois aller faire signer Kevin. sur un document qui permettra à maman et les enfants d'aller en voyage. Et là, elle m'explique qu'il faut que j'appelle au centre de détention, que je parle à un monsieur, un monsieur Intel, blablabla. Puis là, bon, je prends rendez-vous, puis tout. Puis je me dis, ben, coudonc, ça sera une expérience de plus dans ma vie. En fait, j'ai hâte d'y aller. Ça m'intrigue. Tu sais, comme tout le monde, j'ai écouté l'unité 9. Puis ça m'intrigue. Je dis, je vais y aller. Et donc, je prépare le document. J'avais demandé les informations à la madame. Tout le document, il est prêt. J'ai mis ça dans ma valise. Et le jour venu, je pars avec ma valise. J'embarque dans le char, puis je m'en vais. À Amos, parce que oui, je viens d'Amos. J'ai pratiqué à Amos. Tout est à 10 minutes. Donc, j'ai 10 minutes de route à faire avant d'arriver à prison. Et là, pendant ce 10 minutes-là, c'est là que je me pose la question. Il a fait quoi, Kevin, pour se ramasser en prison ? Ah ben, tabarouette. C'est drôle, parce que je n'y avais pas pensé avant. J'aurais pu, mais non, ça ne m'avait même pas traversé l'esprit. Je pensais juste à mon expérience en prison, mais je ne m'étais même pas imaginée, et surtout à Amos, tu comprends que ce n'est pas une prison à sécurité maximale. Je me dis, il y a peut-être... Mais bref, là, durant cette 10 minutes-là, tout le code criminel passe au complet. Il a violé quelqu'un, il a tué quelqu'un, en tout cas, il a dealé de la drogue, bref. Je m'imagine plein d'affaires parce que je suis très professionnelle en matière de spéter des cartoons. Bref. Et là, finalement, là, c'est drôle, j'ai un petit peu peur d'y aller, mais j'y vais pareil parce que j'ai une job à faire. Fait que j'arrive dans le stationnement et là, écoute, je le sais, j'écoute bien des vues dans la vie. Je décide de me stationner de reculons pour pas que ma plaque d'immatriculation se voit. fouille-moi pourquoi, ça m'a passé dans la tête. Et donc, là, finalement, j'entre dans le bâtiment et là, je m'aperçois, parce que quand tu rentres, c'est assez impressionnant, ils te demandent tes keys, puis bon, il faut que tu déposes ton cellulaire, puis tes affaires, puis tu fouilles. Bien, une fouille sur mer, on s'entend. Puis tu rentres dans tout le temps que ça se passe. Je regarde un coin de mur qui est après tout s'effriter, c'est tout en ciment. puis le mur était après, tout s'est frité. Je me disais, ben ouais, il y a moins une avant qu'il y ait un détenu qui se creuse un tunnel avec une cuillère à soupe. Bref, mais depuis ce temps-là, et oui, ce centre de détention a été fermé et il y en a un nouveau maintenant. Bref, le monsieur m'emmène dans un petit cubicule puis il me dit, asseyez-vous là, madame. C'est comme, il y a trois, j'arrive en face de trois cubicules puis moi, le mien est dans le centre. Puis je vois qu'à gauche, il y a quelqu'un qui parle avec... Puis ça parle fort, puis c'est pas le fun. Puis là, le gardien, il me dit... Il me dit... Notaire, il faut attendre pour que M. Kevin arrive parce qu'à gauche, le prisonnier est en train d'apprendre une mauvaise nouvelle de son avocat. Puis il ne faut pas que Kevin rencontre ce gars-là dans le corridor pour venir vous voir parce que ça pourrait dégénérer. Écoute, moi, je suis comme, mon Dieu Seigneur, OK. Pas trop habituée à ce genre de discussion-là, ce genre de malaise-là. Fait que je dis, OK, c'est correct. Mais là, mon cubicule, c'est tout en ciment. La table est en ciment. Il y a même du ciment jusqu'en bas. Donc, tu ne peux pas rien passer en dessous. Puis là, ils ferment la porte. Oh, mon Dieu, ça y est, un panique au village. Parce que moi, je suis très claustrophobe dans la vie. Mais au moins, derrière moi, tu sais, je suis assise dos à la porte. Derrière moi, c'est tout vitré. Fait que là, je dis au monsieur, tu sais, puis écoute, la panique, tu comprends-tu ? Moi, je suis très claustrophobe. Fait que là, je dis, vous allez revenir me chercher, hein ? Vous ne me laisserez pas ici, hein ? Vous n'allez pas m'oublier, hein ? Le monsieur était crampé de rire. Il disait, non, non, il est en terre. Il disait, inquiétez-vous pas, je vais revenir. Fait que j'attends un bon 15-20 minutes avant que Kevin arrive. Durant tout ce temps-là, évidemment, je me pète des cartoons sur son apparence. Il va-t-il avoir l'air d'un pirate avec des tatouages partout ? Il va-t-il avoir l'air d'un soir ? Non. Finalement, le beau Kevin arrive. Il avait l'air plus d'un vendeur de char que d'un prisonnier, je vais te le dire. Un beau petit gars, les yeux bleus, les blonds, bien cute, il sentait bon. Il s'était mis sur son 36, il m'a rencontré, comprends-tu ? Fait que là, avant que Kevin arrive, tu comprends que là, j'entends l'autre beuglant à côté. Puis là, je me pose plein de questions sur leur vie. Comment ça se passe en prison ? Comment ils se sentent en captivité ? Parce que moi, visiblement, je ne vais pas bien parce que j'étouffe. Comment ils font pour ne pas capoter ? En tout cas, bref, je me pose un paquet de questions. Fait que là, finalement, mon petit Kevin, il arrive, puis il s'assoit, puis bon. Fait que là, je rouvre ma valise, puis j'ai dit, tu sais, j'ai demandé, je lui ai dit, tu sais pourquoi je suis là ? Il dit oui, pas de problème. Fait que là, j'ai expliqué, j'ai lu le document, puis je le fais signer, puis on m'avait bien averti de ramasser le crayon, il ne faut pas y laisser rien. Mais tu sais, moi, je le regardais, je me disais, mon Dieu Seigneur, il n'y a vraiment pas l'air d'un criminel dans la vie. pour faire une histoire courte Kevin a été arrêté pour détournement de mineurs parce qu'il tombe en amour avec la gardienne de ses enfants d'où l'ex Et il s'est fait pogner. Donc, c'était pas un gars d'Amos, c'était un gars de... je me souviens plus où. Puis il a été... Il a pogné deux ans, moi, un jour. Puis bon. Depuis ce temps-là, il est sorti, puis il a refait de sa vie, j'imagine. Et je le lui souhaite. Bref, je t'ai raconté cette histoire-là parce que oui, j'ai vécu un inconfort épouvantable juste d'aller visiter un prisonnier en prison. Il a fallu que je prenne sur moi parce que... c'est ça. Parce que j'avais une job à faire, puis il fallait que je passe au-dessus de mon inconfort, de me sentir pris. C'est ça. Bref, toi aussi, tu as peut-être connu un coup dur comme Kevin. Pas une semaine à l'emprison, mais tu comprends. Tu as peut-être de la misère à t'adapter à cette nouvelle vie-là, suite à ce coup dur-là, qui peut être une séparation, un accident, une blessure, peu importe. Je te comprends, évidemment. Parce que je te parlais de ma claustrophobie, mais j'ai aussi vécu un épisode de souffrance extrême avec mon genou, qui n'est toujours pas guéri d'ailleurs. Et il a fallu que je change mon rythme de vie. Moi qui marchais trois jours semaine, trois fois semaine, il a fallu que je m'achète un rameur et que je trouve une autre façon de faire de l'exercice. Et voilà. Et moi, je parle d'adversité. qui peut être n'importe quoi, une séparation, peu importe, un décès, un vol, un viol, peu importe. L'adversité, il faut apprendre de ça. Il ne faut pas le prendre comme une punition, pas en tout. C'est des leçons, en fait. Moi, mon genou, c'est la leçon. C'était, apprends, adapte-toi, puis vis autrement pour faire de l'exercice. Puis... Quand j'étais en prison, ça fait drôle de dire ça de même, mais quand j'ai visité Kevin en prison, j'ai pris sur moi et je me suis dit, je suis capable de me contrôler. J'ai appris que j'étais capable, dans une situation donnée, de contrôler ma claustrophobie. Oui, l'adversité, il faut apprendre à vivre. En fait, il faut apprendre à vivre avec les conséquences de ça. Il faut lâcher prise parce que souvent, on n'a pas de contrôle sur ce qui arrive. Et il faut lâcher prise. Puis si, effectivement, ce qui arrive, tu n'as pas de contrôle. Si tu t'es fait domper, si tu as fait un accident, peu importe ce qui t'est arrivé, tu lâches prise sur les choses que tu ne peux pas contrôler. Et la seule chose que tu peux faire, c'est d'accepter. Parce que si tu n'acceptes pas, tu te rends tout simplement esclave de la situation. Tu résistes. puis tu résistes, mais il y a des batteurs qui méritent pas d'être nés, visiblement. Si je fais une analogie avec ça, l'adversité versus le lâcher prise, une branche d'arbre au vent, si elle est rigide, elle va casser. Donc, si tu es souple dans ta vie, tu vas t'adapter à la situation. C'est ça que je veux dire. la résilience, parce que tout est une question de résilience là-dedans, c'est comme un muscle, plus tu l'exerces, plus il devient fort et tu as deux choix face à l'adversité. Tu te bats contre des moulins avant, autrement dit, tu te bats contre quelque chose sur lequel tu n'as pas de contrôle, ou tu acceptes et tu t'adaptes. Moi, je te l'ai dit, enfermée dans mon cubicule en prison, j'étais en panique, et sérieusement, j'avais de la misère à respirer. Bien, j'ai pris sur moi, et je me suis adaptée, parce que sinon, j'aurais hyper ventilé, j'aurais perdu connaissance, et j'aurais été tellement humiliée de ne pas être capable de faire ma job. Kevin, lui, c'est un gars... ordinaire, où il y a eu une erreur de jugement, il a lâché prise parce qu'il n'avait pas le choix. Il s'est fait mettre en prison et il a fallu qu'il s'adapte à sa situation en prison. Voilà, là, je vais t'énumérer des trucs pour t'aider à survivre aux intempéries de la vie. Si t'arrives à un coup dur, accepte que tu ne peux pas changer. Ça ne donne rien de te battre contre ça. Tu ne peux pas changer. Respire avant d'agir. de pogner les nerfs, réfléchis donc. Réfléchis aux conséquences de tes actes que tu t'apprêtais à poser. Des fois, c'est mieux de réfléchir avant qu'après. Apprends de tes erreurs. Oui, des fois, l'adversité vient de nous, des paroles, des gestes, des situations que nous-mêmes, on a créées. Donc, si c'est le cas, apprends et admets aussi que c'est de ta faute et si ce ne l'est pas. L'âge prise, tout simplement, transforme la situation ou le drame en enseignement. Elle essaie de trouver une leçon à ça. Visiblement, Kevin a trouvé une leçon à ne plus baiser avec des jeunes filles. Et moi, mon genou, parce que mon genou, il faut dire, je ne l'ai pas dit, mais je l'ai poussé trop. Et donc, voilà, j'ai récolté ce que j'ai semé. Nie pas la réalité. Non. Être dans le déni, ça ne sert absolument à rien. T'es mieux d'affronter l'adversité ou la situation plate dans laquelle tu nages et affrontes la réalité plutôt que de nier. Comme ça, tu vas pouvoir t'adapter plus vite. Donne-toi le droit de flancher aussi. Si tu mets un genou à terre, ce n'est pas grave. Tu as le droit. Puis, tu as le droit aussi de prendre le temps. Remonte de cette situation-là à ton rythme. Ce n'est pas une course. Trouve un sens à cette épreuve-là aussi. Sois résiliente. Reste ancrée aussi dans l'instant présent. On parle souvent de ça, on est fatigué avec ça, mais c'est sûr que ne retourne pas dans le passé de grâce, ça ne donne rien. Puis, ne projette-toi pas trop dans le futur non plus. Vis le moment présent, ce qui va t'aider à t'ancrer dans ta vie, dans ce que tu vis, et de t'adapter plus facilement. Valorise aussi ta progression. Regarde la progression où tu es rendu. Si tu regardes dans le passé, c'est juste pour te comparer comment tu as progressé. Pas plus que ça, sinon ce n'est pas le fun. et rappelle-toi que rien ne dure tu vois Kevin il est sorti de prison puis moi dans deux semaines je vais recevoir ma piqûre d'acide hyalurique ou quelque chose de même. Ce n'est pas de la cortisone. Et qui va me permettre d'avoir moins mal et de recommencer peut-être à marcher. Donc, rien ne dure éternellement. Et là, je te partage 10 étapes pour t'adapter à l'adversité. Accueille le choc sans jugement. Ça ne sert à rien de dire, on sait bien elle, puis lui, puis gnagnin, puis tu comprends, ça ne donne rien. Fait que, accueille la situation, point. Nomme ce que tu ressens, effectivement. Nomme-les les émotions que tu as. C'est important de conscientiser comment tu te sens. Si tu conscientises, évidemment, tu vas pouvoir travailler sur tout ça. Ensuite, analyse la situation objectivement. Donc, sans jugement, analyse froidement ce qui est arrivé. Pourquoi c'est arrivé ? Qu'est-ce que tu aurais pu changer ? si tu aurais pu changer quelque chose et comment t'adapter à ça, comment faire avec, en fait. Identifie ce que tu contrôles. Oui, parce que ce que tu ne contrôles pas, tu le sais, tu ne peux rien faire dessus. Établis un nouveau plan de match. C'est évident. Moi, il a fallu que je m'établisse un nouveau plan de match avec mon genou. Kevin, nécessairement, a fallu qu'il établisse un nouveau plan de match quand il s'est fait emmener en prison. Tu comprends ce que je veux dire. Entoure-toi des bonnes personnes. C'est sûr que si tu restes dans ton caca, ça n'ira pas bien. Et si les gens... autour de toi sont négatifs ou ils vivent dans le jugement et sont toujours en train de te reprocher quelque chose. Ce n'est pas bon, ça. Donc, il faut que tu t'entoures de bonnes et belles personnes autour de toi, positives. Redéfinis ta vision à court terme. Autrement dit, ne va pas penser trop loin. Moi, à court terme, évidemment, j'ai dit, bon, bien là, il faut que je donne le temps à mon genou de revenir. Puis, ça a pris du temps. Puis, j'ai été patiente. Qu'est-ce que tu voulais ? Je ne pouvais pas rien faire d'autre. Puis, quand j'ai vu que mon genou était assez fort, là, je me suis mis à faire du rameur. Rebondir avec une nouvelle énergie. Bien, tu sais, quand je disais, apprends de ça, apprends de ce qui est arrivé, bien, nécessairement, il faut que tu changes ton thinking, il faut que tu changes ton mindset. Donc, nécessairement, ça va t'amener une nouvelle énergie. Et moi, pour faire un parallèle avec moi, bien, mon genou, Quand j'ai recommencé à faire du rameur, oui, ça m'a ramené dans une nouvelle énergie. Je me suis dit, ah, bien, coudonc, ce n'est pas comme la marche, mais ça va faire. Ça va faire pareil, une énergie positive. Intègre l'apprentissage et avance, justement, ce qui t'est arrivé. Prends-le comme une leçon et apprends de cette leçon-là. Si leçon, il y a, il n'y a pas toujours, mais au moins, analyse et conscientise pourquoi c'est arrivé. accepte et lâche prise sur ce que tu ne peux pas contrôler. Oui, j'ai été notaire en prison, claustrophobe, je ne filais pas bien. Et oui, je marchais trois fois semaine avant que mon genou me lâche. Oui, je suis claustrophobe à outrance. Et oui, mon genou a lâché. Oui, tout ce que je voulais quand je suis allée en prison, c'était d'en sortir avec dignité et non pas sur une civière. Et oui, je voulais recommencer à faire de l'exercice pour ne pas trop engraisser et me tenir en forme. J'ai réalisé en prison que prendre sur moi était la solution parce qu'il n'y en avait pas d'autre, à moins d'hyperventiler, de pogner les nerfs et de faire une folle de moi. et j'ai découvert aussi que pour mon genou, le rameur était un excellent exercice, donc je me suis adaptée. Dans les deux cas, je me suis adaptée à la situation. Donc, en prison, je n'ai pas paniqué, j'ai réfléchi, j'ai accepté mon sort parce que je savais qu'il était temporaire et j'ai lâché prise. Et mon genou aussi, j'ai lâché prise parce qu'il fallait que je donne du temps au temps. Face aux intempéries de la vie, tu as deux options. La première, c'est que tu les subis, ces intempéries-là. Tu deviens morose, tu perds tous tes amis parce que tu n'es plus du monde. Tu es en beau joual vert à l'année et tu meurs de colère. Ou, deuxième option, tu conscientises la situation, tu réfléchis à tes options, tu acceptes la situation, tu changes tes habitudes, tu relèves le défi avec brio, tu es fière de toi, tu réussis ta vie malgré tout. Tu veux plus de trucs du genre ? Que dirais-tu de te joindre à la communauté Illumine ta vie ? Des ateliers enrichissants qui t'aident à trouver ta voix. Abonne-toi à l'un ou l'autre des programmes Illumine ta vie