Metaclassique #311 – Triper cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #311 – Triper

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1h00 |15/01/2025
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Dans Connaissance par les gouffres, Henri Michaux écrit : « Toute drogue modifie vos appuis, l’appui que vous preniez sur vos sens, l’appui que vos sens prenaient sur le monde, l’appui que vous preniez sur votre impression générale d’être, il le cède. »

Henri Michaux est l’une des inspirations du compositeur Fausto Romitelli. Quand, en 1998, l’ensemble bruxellois Musiques nouvelles lui passe commande d’une œuvre qu’il intitule Professor Bad Trip, en référence directe au personnage de bande dessinée inventé par Gianluca Lerici, l’œuvre se veut en plein dans le son, loin du son propre des musiques académiques, même si son élaboration est en dialogue avec les questionnements de la musique spectrale qui domine les débats musicaux de l’époque. Parallèlement à la composition, Romitelli a laissé une œuvre théorique très précise où il cherche à repenser le spectralisme en voulant réorganiser le timbre sur des critères linguistiques.

Pour rentrer en plein dans la matière mentale et sonore de cette œuvre souvent qualifiée d’iconique, nous avons interrogé l’auteur d’un livre dédié à Professor Bad Trip, paru aux éditions Contrechamps, le musicologue Luigi Manfrin (dont les propos seront traduits par Antonella Vignoli). Et puis nous pourrons aussi profiter des expertises de deux proches de Romitelli, le musicologue Alessandro Arbo et le réalisateur informatique Laurent Pottier, qui a travaillé à l’IRCAM avec Romitelli.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans Connaissance par les gouffres, Henri Michaux écrit : « Toute drogue modifie vos appuis, l’appui que vous preniez sur vos sens, l’appui que vos sens prenaient sur le monde, l’appui que vous preniez sur votre impression générale d’être, il le cède. »

Henri Michaux est l’une des inspirations du compositeur Fausto Romitelli. Quand, en 1998, l’ensemble bruxellois Musiques nouvelles lui passe commande d’une œuvre qu’il intitule Professor Bad Trip, en référence directe au personnage de bande dessinée inventé par Gianluca Lerici, l’œuvre se veut en plein dans le son, loin du son propre des musiques académiques, même si son élaboration est en dialogue avec les questionnements de la musique spectrale qui domine les débats musicaux de l’époque. Parallèlement à la composition, Romitelli a laissé une œuvre théorique très précise où il cherche à repenser le spectralisme en voulant réorganiser le timbre sur des critères linguistiques.

Pour rentrer en plein dans la matière mentale et sonore de cette œuvre souvent qualifiée d’iconique, nous avons interrogé l’auteur d’un livre dédié à Professor Bad Trip, paru aux éditions Contrechamps, le musicologue Luigi Manfrin (dont les propos seront traduits par Antonella Vignoli). Et puis nous pourrons aussi profiter des expertises de deux proches de Romitelli, le musicologue Alessandro Arbo et le réalisateur informatique Laurent Pottier, qui a travaillé à l’IRCAM avec Romitelli.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


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Henri Michaux est l’une des inspirations du compositeur Fausto Romitelli. Quand, en 1998, l’ensemble bruxellois Musiques nouvelles lui passe commande d’une œuvre qu’il intitule Professor Bad Trip, en référence directe au personnage de bande dessinée inventé par Gianluca Lerici, l’œuvre se veut en plein dans le son, loin du son propre des musiques académiques, même si son élaboration est en dialogue avec les questionnements de la musique spectrale qui domine les débats musicaux de l’époque. Parallèlement à la composition, Romitelli a laissé une œuvre théorique très précise où il cherche à repenser le spectralisme en voulant réorganiser le timbre sur des critères linguistiques.

Pour rentrer en plein dans la matière mentale et sonore de cette œuvre souvent qualifiée d’iconique, nous avons interrogé l’auteur d’un livre dédié à Professor Bad Trip, paru aux éditions Contrechamps, le musicologue Luigi Manfrin (dont les propos seront traduits par Antonella Vignoli). Et puis nous pourrons aussi profiter des expertises de deux proches de Romitelli, le musicologue Alessandro Arbo et le réalisateur informatique Laurent Pottier, qui a travaillé à l’IRCAM avec Romitelli.

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Dans Connaissance par les gouffres, Henri Michaux écrit : « Toute drogue modifie vos appuis, l’appui que vous preniez sur vos sens, l’appui que vos sens prenaient sur le monde, l’appui que vous preniez sur votre impression générale d’être, il le cède. »

Henri Michaux est l’une des inspirations du compositeur Fausto Romitelli. Quand, en 1998, l’ensemble bruxellois Musiques nouvelles lui passe commande d’une œuvre qu’il intitule Professor Bad Trip, en référence directe au personnage de bande dessinée inventé par Gianluca Lerici, l’œuvre se veut en plein dans le son, loin du son propre des musiques académiques, même si son élaboration est en dialogue avec les questionnements de la musique spectrale qui domine les débats musicaux de l’époque. Parallèlement à la composition, Romitelli a laissé une œuvre théorique très précise où il cherche à repenser le spectralisme en voulant réorganiser le timbre sur des critères linguistiques.

Pour rentrer en plein dans la matière mentale et sonore de cette œuvre souvent qualifiée d’iconique, nous avons interrogé l’auteur d’un livre dédié à Professor Bad Trip, paru aux éditions Contrechamps, le musicologue Luigi Manfrin (dont les propos seront traduits par Antonella Vignoli). Et puis nous pourrons aussi profiter des expertises de deux proches de Romitelli, le musicologue Alessandro Arbo et le réalisateur informatique Laurent Pottier, qui a travaillé à l’IRCAM avec Romitelli.

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