Metaclassique #313 – Pulper cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #313 – Pulper

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1h00 |29/01/2025
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En 1896, la pianiste, compositrice et pédagogue Marie Jaëll publie La musique et la psychophysiologie. L’année suivante, elle approfondit ses recherches avec Le mécanisme du toucher, ouvrage dans lequel Jaëll étudie le piano « par l’analyse expérimentale de la sensibilité tactile. » Et alors qu’elle se spécialise à penser l’enseignement du piano à partir d’observations physiologiques, en prise avec la passion de l’expérimentation qui a pu échauffer les esprits des premières années du XXè siècle, elle écrit parallèlement des pièces pour le piano qui peuvent toujours s’entendre comme charmantes et doucereuses, mais qui sont aussi les émanations d’une pensée de la fluidité poussée à aussi loin que lui donne à entendre une approche très holistique du corps face au clavier. Entre 1904 et 1912, elle publie quatre autres essais dont les titres font penser à des poèmes, alors même qu’ils sentent bon le laboratoire : L’intelligence et le rythme dans les mouvements artistiquesLe rythme du regard et la dissociation des doigts, ou encore Un nouvel état de conscience : la coloration des sensations tactiles jusqu’à La résonance du toucher et la topographie des pulpes. Pour ce numéro « Pulper » de Metaclassique, nous avons rencontré Noémie Ochoa qui a signé Marie Jaëll. Le toucher pianistique aux Editions Gabriel Foucou et la pianiste Célia Oneto Bensaid qui a enregistré certains cycles de Marie Jaëll pour le premier disque du label Présence Compositrices, dont nous entendrons des extraits, après quelques valses sous les pulpes d’une autre pianiste jaëllienne, Axia Marinescu.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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En 1896, la pianiste, compositrice et pédagogue Marie Jaëll publie La musique et la psychophysiologie. L’année suivante, elle approfondit ses recherches avec Le mécanisme du toucher, ouvrage dans lequel Jaëll étudie le piano « par l’analyse expérimentale de la sensibilité tactile. » Et alors qu’elle se spécialise à penser l’enseignement du piano à partir d’observations physiologiques, en prise avec la passion de l’expérimentation qui a pu échauffer les esprits des premières années du XXè siècle, elle écrit parallèlement des pièces pour le piano qui peuvent toujours s’entendre comme charmantes et doucereuses, mais qui sont aussi les émanations d’une pensée de la fluidité poussée à aussi loin que lui donne à entendre une approche très holistique du corps face au clavier. Entre 1904 et 1912, elle publie quatre autres essais dont les titres font penser à des poèmes, alors même qu’ils sentent bon le laboratoire : L’intelligence et le rythme dans les mouvements artistiquesLe rythme du regard et la dissociation des doigts, ou encore Un nouvel état de conscience : la coloration des sensations tactiles jusqu’à La résonance du toucher et la topographie des pulpes. Pour ce numéro « Pulper » de Metaclassique, nous avons rencontré Noémie Ochoa qui a signé Marie Jaëll. Le toucher pianistique aux Editions Gabriel Foucou et la pianiste Célia Oneto Bensaid qui a enregistré certains cycles de Marie Jaëll pour le premier disque du label Présence Compositrices, dont nous entendrons des extraits, après quelques valses sous les pulpes d’une autre pianiste jaëllienne, Axia Marinescu.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.



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En 1896, la pianiste, compositrice et pédagogue Marie Jaëll publie La musique et la psychophysiologie. L’année suivante, elle approfondit ses recherches avec Le mécanisme du toucher, ouvrage dans lequel Jaëll étudie le piano « par l’analyse expérimentale de la sensibilité tactile. » Et alors qu’elle se spécialise à penser l’enseignement du piano à partir d’observations physiologiques, en prise avec la passion de l’expérimentation qui a pu échauffer les esprits des premières années du XXè siècle, elle écrit parallèlement des pièces pour le piano qui peuvent toujours s’entendre comme charmantes et doucereuses, mais qui sont aussi les émanations d’une pensée de la fluidité poussée à aussi loin que lui donne à entendre une approche très holistique du corps face au clavier. Entre 1904 et 1912, elle publie quatre autres essais dont les titres font penser à des poèmes, alors même qu’ils sentent bon le laboratoire : L’intelligence et le rythme dans les mouvements artistiquesLe rythme du regard et la dissociation des doigts, ou encore Un nouvel état de conscience : la coloration des sensations tactiles jusqu’à La résonance du toucher et la topographie des pulpes. Pour ce numéro « Pulper » de Metaclassique, nous avons rencontré Noémie Ochoa qui a signé Marie Jaëll. Le toucher pianistique aux Editions Gabriel Foucou et la pianiste Célia Oneto Bensaid qui a enregistré certains cycles de Marie Jaëll pour le premier disque du label Présence Compositrices, dont nous entendrons des extraits, après quelques valses sous les pulpes d’une autre pianiste jaëllienne, Axia Marinescu.

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En 1896, la pianiste, compositrice et pédagogue Marie Jaëll publie La musique et la psychophysiologie. L’année suivante, elle approfondit ses recherches avec Le mécanisme du toucher, ouvrage dans lequel Jaëll étudie le piano « par l’analyse expérimentale de la sensibilité tactile. » Et alors qu’elle se spécialise à penser l’enseignement du piano à partir d’observations physiologiques, en prise avec la passion de l’expérimentation qui a pu échauffer les esprits des premières années du XXè siècle, elle écrit parallèlement des pièces pour le piano qui peuvent toujours s’entendre comme charmantes et doucereuses, mais qui sont aussi les émanations d’une pensée de la fluidité poussée à aussi loin que lui donne à entendre une approche très holistique du corps face au clavier. Entre 1904 et 1912, elle publie quatre autres essais dont les titres font penser à des poèmes, alors même qu’ils sentent bon le laboratoire : L’intelligence et le rythme dans les mouvements artistiquesLe rythme du regard et la dissociation des doigts, ou encore Un nouvel état de conscience : la coloration des sensations tactiles jusqu’à La résonance du toucher et la topographie des pulpes. Pour ce numéro « Pulper » de Metaclassique, nous avons rencontré Noémie Ochoa qui a signé Marie Jaëll. Le toucher pianistique aux Editions Gabriel Foucou et la pianiste Célia Oneto Bensaid qui a enregistré certains cycles de Marie Jaëll pour le premier disque du label Présence Compositrices, dont nous entendrons des extraits, après quelques valses sous les pulpes d’une autre pianiste jaëllienne, Axia Marinescu.

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