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Mise en Lumière Holistique

148. Au-delà de l’assiette : dénouer notre relation à la nourriture.

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33min |23/07/2025|

520

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Description

Bonjour à tous,


Dans cet épisode de Mise en lumière holistique, nous plongeons au cœur de notre rapport à la nourriture, bien au-delà des apparences et des symptômes des troubles du comportement alimentaire (TCA).

La nourriture, souvent perçue simplement comme un besoin physiologique, est en réalité un miroir de notre histoire émotionnelle, de nos blessures, et de notre manière d’aimer ou de nous négliger.


Nous explorons comment la nourriture peut devenir un refuge, un moyen d’expression, un outil de contrôle ou une source de conflit intérieur. Qu’est-ce que notre relation à la nourriture révèle sur notre équilibre émotionnel, notre estime de soi, et notre lien à notre corps ? Comment renouer avec une alimentation apaisée, intuitive, et respectueuse de notre bien-être global ?


Cet épisode invite à une réflexion douce et profonde, pour comprendre les racines invisibles des TCA, et ouvrir la voie vers une guérison holistique — où le corps, l’esprit et l’âme retrouvent harmonie.


Je vous souhaite une belle écoute !

Et n'oubliez jamais, vous êtes précieux ! 


Je suis Véronique Torresin, 

Mentor et Thérapeute Holistique 


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🎙 Retrouvez tous les épisodes de Mise en Lumière Holistique sur YouTube et les plateformes d’écoute 👉 Écouter ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ce n'est pas de la nourriture que j'ai besoin, c'est de paix avec moi-même. Les troubles du comportement alimentaire ne parlent pas que de corps. Ils parlent de contrôle, de vide, de peur, de manque d'amour parfois. Ils parlent surtout, dans ma lettre, que l'on a mis sous silence pendant longtemps et que le corps, lui, ne peut plus contenir. Alors on croit souvent que les troubles alimentaires sont une affaire de volonté, mais en réalité ce sont souvent des mécanismes de survie, des tentatives d'apaiser une douleur que l'on n'a pas prise à nommer. C'est le corps qui crie quand l'âme n'a pas été écoutée. Ce n'est pas une question de régime, de poids ou encore moins de discipline. C'est une histoire bien plus intime, plus complexe. Celle d'un corps qui tente de parler à la place du cœur quand il n'y a plus d'autre chemin. Bonjour et bienvenue sur le podcast Mise en lumière holistique, l'émission qui éclaire votre chemin intérieur vers le bien-être et la transformation. Je suis Véronique Thorezin, mentor spirituel et thérapeute holistique. derrière chaque épisode se cache un peu de mon histoire, de mon parcours avec une maladie inflammatoire neurologique, une sclérose en plaques, de ma résilience, de mes découvertes et apprentissages personnels qui sont devenus aujourd'hui mon expertise en tant que thérapeute dans ce cheminement de spiritualité, de développement personnel, de guérison et surtout de connaissance de soi-même. Venez récupérer des pièces de votre puzzle au travers de l'énergie éthique, de la médecine traditionnelle chinoise, de mindset, de symbolique de maladie, évidemment d'ancrage et de lâcher prise, et bien d'autres pratiques. pour vous permettre d'avancer, de comprendre et d'œuvrer sur vous-même. Chaque semaine, que ce soit seul ou avec des invités inspirants, nous explorerons divers aspects pour vous apporter des clés essentielles de compréhension dans votre épanouissement. Préparez-vous à illuminer votre chemin vers une vie consciente, ancrée et harmonieuse. Je vous souhaite la bienvenue pour ce moment d'écoute où vous découvrirez que vous êtes un corps, mais également une âme et un esprit. Préparez-vous à plonger dans une aventure transformative chaque semaine avec Mise en lumière holistique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Mise en Lumière Holistique, le podcast qui vous accompagne sur le chemin de la conscience, du corps, de l'énergie, des émotions et de tout ce qui, peut-être un jour, vous a coupé de vous-même. Alors aujourd'hui, je vais vous parler des TCA, les troubles du comportement alimentaire. Anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie, des comportements qu'on connaît parfois de l'intérieur ou que l'on a observé de loin sans toujours comprendre. ce qui s'y joue derrière. Ce que je vais vous partager ici ne remplace en aucun cas un accompagnement médical. Je vous le rappelle, ce podcast n'est pas un diagnostic ou un substitut à un accompagnement médical. Ce podcast est là pour vous proposer un autre regard. Un regard émotionnel, symbolique et énergétique. Un regard qui ne nie pas la réalité du trouble, mais qui tente d'en comprendre les racines profondes et invisibles. Parce que les troubles du comportement alimentaire, c'est un sujet qu'on connaît souvent trop bien. qu'on préfère éviter. Mais il ne s'agit pas uniquement d'anorexie, de boulimie ou d'hyperphagie diagnostiquée, il s'agit de cette relation invisible et pourtant constante qu'on entretient avec la nourriture. Ce lien intime, parfois violent, souvent honteux, entre ce que je mange, ce que je ressens et ce que je ne dis pas. Et si au fond, la nourriture était juste le symptôme, une réponse à un manque, à un cri étouffé, à un moyen et parfois le seul. pour gérer une émotion, de survivre, de tenir debout et surtout d'exister. Déjà, nous ne tombons jamais malades par hasard, gardez toujours cela en tête. Ça, c'est mon introduction à ce podcast. Parce qu'un comportement, surtout s'il devient destructeur, est souvent la seule réponse qu'on a trouvée à une douleur qu'on ne savait pas nommer autrement. La maladie n'est pas le problème, non, non, non, elle est la solution. qu'à trouver votre corps à un déséquilibre plus profond. Et si ce corps, en modifiant votre rapport à l'alimentation, ne faisait que vous protéger ? De façon maladroite, évidemment, douloureuse, mais surtout fidèle. Car la maladie vous parle, elle a un message pour vous. Et à vous maintenant de le comprendre, de le décoder. Comprendre que vos mots, M-O-T-S, entendus depuis votre enfance, vont devenir des mots, M-A-U-X, de votre vie d'adulte. Et ce sera tout. mon propos pendant ce podcast. La maladie est là pour vous faire passer un message que vous n'avez pas été capable d'entendre autrement qu'à travers cette maladie et la douleur ressentie à travers votre corps. Le but de ce podcast est de vous apporter des clés de compréhension par rapport à votre parcours, vos ressentis. En cet instant, je suis là pour planter des graines, pour vous éclairer dans votre propre cheminement de guérison et vous faire comprendre que votre corps et ses blocages ou problématiques ne fait que répondre. à votre plan émotionnel et votre plan mental. Et là, je vous laisse découvrir de nombreux épisodes du podcast sur les différents plans de conscience, ou encore comment se forme la maladie du point de vue énergétique. Que la guérison est un choix, ou même, je ne veux pas guérir. Des titres chocs, oui, mais qui peuvent vous parler et encore mieux résonner inconsciemment. Donc aujourd'hui, on va parler énergie, émotions, blessures, organes, chakras, MTC, oui, comme à chaque fois, ma sauce. Et on va relier tout ce que vous avez fragmenté. Surtout, on va le faire sans culpabilité. Donc débranchez votre mental car il risque de ne pas aimer la suite. Oui, il va être démasqué. Parce que ce que vous vivez n'est pas une faiblesse. C'est souvent une stratégie de survie. Qu'on peut venir transformer, ça, c'est la bonne nouvelle. Comme pour toutes les maladies d'ailleurs en général, de toute façon. Alors les TCA ou troubles du comportement alimentaire regroupent différentes formes de souffrance. L'anorexie mentale, où le contrôle devient vital. La boulimie, où l'on se remplit avant d'être vidé. L'hyperphagie, où l'on mange sans faim, parfois sans s'en rendre compte. L'orthorexie, où l'obsession du manger sain devient toxique. Oui, vive les réseaux sociaux ! Et d'autres encore souvent silencieuses et invisibles. Ces troubles ne sont pas une lubie, ce sont de vraies pathologies. souvent en lien avec l'anxiété, l'hypercontrôle, la culpabilité ou une estime de soi très fragile. D'un point de vue neuroscientifique, plusieurs éléments sont en jeu. Le système de récompense est souvent déréglé. La nourriture ou son absence devient un moyen d'avoir une forme de plaisir, de maîtrise, je dirais même de contrôle et d'anesthésie. Le cerveau limbique qui gère vos émotions entre en conflit avec le cortex préfrontal Celui qui juge, qui contrôle, qui exige. Oui, vous vous doutez bien que l'on va parler de votre mental dans cet épisode. Et très souvent, ce corps entre en état de dissociation. On se coupe des sensations, des signaux de faim ou de satiété. On s'anesthésie pour ne pas sentir ce qui fait mal. On se coupe donc de son corps. Encrage, non ? Ah bah si, un peu quand même, beaucoup même passionnément de cet ancrage. On aura l'occasion d'en parler tout le long de cet épisode. Alors les TCA peuvent aussi devenir un mécanisme de survie, donc oui, effectivement ancrage, celui du corps qui crie que les mots ne peuvent pas dire, celui de l'âme qui tente de rester à flot au milieu d'un océan intérieur agité. Donc, comme on a mon habitude, nous irons sur une approche symbolique de décodage énergétique, d'équilibre et surtout de déséquilibre. Ce que le corps exprime quand on le prive, quand on le remplit à outrance, des blessures enfouies derrière ce besoin de contrôle, des émotions non digérées qui s'expriment au travers des organes, selon la médecine traditionnelle chinoise, et le lien profond entre notre estime de soi et notre rapport au corps. Je vous partagerai des pistes, des compréhensions, des images, pas pour vous guérir, mais pour vous offrir des clés, parce que parfois il suffit d'une seule pour entreouvrir une porte. Et si aujourd'hui cette porte, c'était celle de la réconciliation avec vous-même ? Car déjà, quand on dit trouble du comportement alimentaire, on pense souvent aux étiquettes médicales. Oui, anorexie, boulimie, hyperphagie. Mais dans la vraie vie, c'est rarement aussi simple. Un TCA, c'est aussi ce moment où vous mangez alors que vous n'avez pas faim. Ce moment où vous sautez un repas parce que vous vous culpabilisez d'avoir trop mangé hier. Ce paquet de gâteaux engloutis sans même s'en rendre compte. Oups ! je me sens concernée. Cette voix intérieure qui dit je ne mérite pas, je suis nulle, je ne contrôle rien, avec cette tension permanente entre le contrôle et la perte de contrôle. Ce sont des schémas invisibles qui s'installent, une guerre intérieure entre votre corps et votre mental. Et souvent ça n'a rien à voir avec la nourriture. La nourriture devient alors le canal, celui qui apaise, ce qui vide, ce qui remplit. Et ce qui punit. Dans 100% des cas, un TCA, c'est un langage émotionnel et énergétique. C'est pas logique, ce n'est pas rationnel, et ce n'est surtout pas volontaire. C'est la partie la plus blessée en vous qui essaye de rester en vie. Mais rentrons dans le vif du sujet. Que cache vraiment cette faim ? La faim, ce mot que l'on croit comprendre avec la tête. Mais si cette faim n'était pas une affaire de ventre, mais de cœur. Et si ce n'était pas de nourriture que vous manquiez ? mais de reconnaissance, de tendresse, de place ou de considération. Car manger ou se priver sont deux stratégies opposées, mais une même blessure. Que l'on mange trop ou pas du tout, dans les deux cas, il s'agit d'un acte de régulation émotionnelle. C'est une réponse du corps à un trop plein ou à un trop vide intérieur. Manger jusqu'à l'excès, c'est tenter de remplir un vide affectif. Se priver, c'est souvent vouloir reprendre le contrôle d'un chaos émotionnel. Dans les deux cas, la nourriture devient le langage silencieux d'une douleur non écoutée. C'est le corps. qui fait ce qu'il peut pour garder l'équilibre avec les moyens qu'il a. Alors voyons plus précisément le ventre. On parlera du plexus solaire plus tard. Votre ventre, ce lieu de sécurité, ou au contraire, de guerre intérieure. Maladie inflammatoire, bonjour. Le ventre. Du moins, votre plexus solaire, c'est le siège de vos émotions. Et c'est là que nous digérons ce que nous mangeons. Et aussi ce que nous vivons. Un ventre noué, lourd, vide, gonflé, ce n'est pas qu'une question de digestion. C'est le reflet direct d'un monde intérieur agité. Évidemment que je vais évoquer un manque d'amour, de reconnaissance, d'espace d'expression émotionnelle durant votre enfance. Derrière beaucoup de troubles alimentaires, il y a une enfance où l'amour a pu manquer, ou n'a pas été perçu, avec un manque d'écoute, une absence de validation, une interdiction d'exprimer sa colère, sa peur et sa tristesse. Alors ces émotions refoulées ne disparaissent pas, non, elles descendent dans le corps. Et puis un jour, elles se transforment en comportement. C'est ce qu'explique Christian Flech dans sa lecture biologique, c'est-à-dire que la maladie, c'est la solution parfaite à un ressenti non exprimé. Et ici, les troubles alimentaires sont cette solution. Donc, vous comprenez que derrière un trouble alimentaire, il y a toujours une histoire émotionnelle non digérée. Bon, c'est valable pour toutes les autres maladies. traumatisme et même schéma répétitif. Mais pour les TCA, elle a commencé bien avant qu'on ne parle de poids, de corps ou de nourriture. Chez beaucoup de personnes concernées, il y a une faille très profonde liée à la sécurité. Une faille dans la sécurité intérieure. Alors pas forcément des événements traumatisants au sens classique, mais un terreau émotionnel instable. Un environnement où l'on ne pouvait pas exprimer ses émotions. Des parents très contrôlants ou au contraire, très absents. Ne vous inquiétez pas, on va parler de maman à la fin, et ça va faire un peu mal. Une peur de déranger, ou de trop prendre sa place. Une sensation d'être de trop, ou pas normale, ou trop sensible. Et alors le corps devient le terrain d'expression du mal-être. Et la nourriture devient un moyen de reprendre du pouvoir. Dans les TCA, on retrouve souvent deux mouvements opposés. Le besoin de contrôle, ou de fuite. Je m'explique. Le contrôle extrême. qui vient répondre à une peur du chaos, du vide et du rejet, ou alors la perte de contrôle qui surgit comme une forme de soulagement, une échappatoire, une anesthésie émotionnelle. Bon, dans les deux cas, ce sont des stratégies de survie, pas des caprices ni de la faiblesse. Ce sont des mécanismes que le corps et le système nerveux ont mis en place pour vous permettre de tenir. Vous avez d'ailleurs un épisode sur le nerve-vague, si vous souhaitez approfondir. Alors, selon la médecine traductrice chinoise, votre... corps digère vos émotions, normal puisque chaque organe possède sa propre émotion. Voyons d'abord votre axe central, la rate et votre estomac avec l'élémentaire. La rate, c'est la mer intérieure, celle qui vous permet de digérer, de vous recentrer, qui vous apporte de la douceur et surtout de l'ancrage. Et quand la rate est en vide, cela amène une rumination mentale, une obsession de l'alimentation, on suranalyse. Un besoin de sucrer sa vie pour compenser une absence de douceur émotionnelle. On est dans de l'hyper-contrôle mental et de l'alimentation émotionnelle, entraînant un épuisement profond du système digestif émotionnel. On se sent insatisfait, vide et épuisé. Et ça parle aussi de terre intérieure instable, ce manque d'ancrage, de centrage et de calme. Ensuite, il y a le fidèle compagnon de la rate et de l'estomac. En même temps, c'est le général de votre corps, le foie, avec son élément bois. C'est lui qui vous amène mouvement, capacité à s'adapter et à gérer la frustration. Et quand il est bloqué, ce général, il y a de la colère entrée, de la rigidité, des pulsions, des tensions internes, un gros perfectionnisme avec un accès de contrôle. Cela crée donc des stagnations émotionnelles qui demandent à être relâchées. Parfois, via des crises alimentaires. Alors finissons par la base de votre ancrage, les reins, avec son élément l'eau. En lien avec les ressources vitales, votre volonté, évidemment votre ancrage profond. Et quand le chi des reins est affaibli, apparaît alors un manque de volonté, un sentiment d'impuissance. Alors la volonté de votre rein et de votre ancrage n'a absolument rien à voir avec celui de votre mental. Le fameux credo de certains coachs, ouais quand on veut on peut, bah non en fait, phrase très conne d'ailleurs. Mais car quand votre rein est déséquilibré, non on peut pas. Et la volonté de votre mental vous rend encore plus malade. Il faut d'ailleurs vraiment que je fasse un épisode à ce sujet, c'est-à-dire à... comprendre quand ça concerne la volonté du rein ou la volonté de votre mental. Bon, à ce rythme, j'avoue, il va y avoir 10 saisons du podcast. Bon, il apparaît aussi, évidemment, sur votre rein des peurs, des peurs profondes, liées à l'existence, à l'incarnation. Alors, on observe souvent ce vide chez les personnes en grande déconnexion corporelle, ou chez celles ayant vécu des traumatismes. Et du point de vue des centres énergétiques, que révèlent les blocages de vos chakras ? On pourrait penser de suite aux racines ou au plexus. Oui, évidemment, mais pas que. Cela va être plus complexe que ça, car gardez en tête la loi fractale, puisque tous les chakras se retrouvent dans chacun des chakras. Alors, commençons par les fondations, oui. Votre chakra racine, qui symbolise la sécurité, la stabilité, les besoins fondamentaux. Le chakras racine, qui rappelle, si vous êtes en vie sur cette terre, c'est grâce à lui. Alors, donc... quand il est déséquilibré, le rapport à la nourriture devient un substitut à l'ancrage. On cherche à combler un vide existentiel par le plein physique. L'envie de contrôler ou de se restreindre devient alors une manière de reprendre un faux sentiment de stabilité. En lien direct avec la blessure d'abandon, effectivement on cherche une sécurité que l'on n'a pas reçue. Puis vient le chakra sacré, le lieu du plaisir, oui, mais surtout du goût. de vivre. Le goût, quand même, ça fait référence à la nourriture, non ? Eh bien, quand ce chakra sacré est bloqué, le rapport au plaisir devient problématique. Soit on le fuit, soit on l'idéalise. Dans ce monde moderne, ça s'appelle des régimes, oui. Une des plus grandes problématiques de dérèglement énergétique du chakra sacré. Très en lien, d'ailleurs, avec la blessure de rejet, car ce corps devient source de honte. Allez, on continue à monter avec le chakra du plexus solaire. le centre émotionnel de votre identité et de votre estime de soi. Et bien, quand ce chakra est affaibli, vous vous sentez impuissante face à ses comportements. La culpabilité arrive alors après chaque craquage. Remerciez votre mental. Puis du mal à poser aussi vos limites et à exprimer ce que l'on veut vraiment. Cela croise les blessures d'humiliation et d'injustice, souvent vécues dans le même rapport à l'autorité, au regard extérieur, à la performance. Et là... On peut souvent dire merci à un moment, mais j'ai dit, et je le répète, je vous en reparle tout à l'heure. On arrive au centre, au chakra du cœur, lien à l'amour, à la tendresse, à la compassion. Et quand ce chakra du cœur est blessé, cela amène de la difficulté à s'aimer, à se pardonner, à se traiter avec douceur. On entre alors dans de l'auto-jugement constant, avec un besoin de mériter l'amour. Et là, sincèrement, on peut trouver toutes les formes des blessures. Finissons avec le chakra la gorge, lieu de l'expression authentique, de votre vérité personnelle. Et bien quand ce chakra est bloqué, on a de la difficulté à dire non, à exprimer ses besoins, ses émotions. La nourriture devient alors un substitut à la parole. On avale au lieu de s'exprimer. Ici, c'est souvent la blessure de trahison qui peut se cacher. On a appris qu'on ne pouvait pas dire la vérité sans conséquence. Alors... Un trouble du comportement alimentaire, c'est aussi souvent un cri silencieux, d'une ou plusieurs blessures non reconnues. Elle se rejoue inconsciemment dans notre rapport au corps, à la nourriture, au contrôle, au manque, à la honte. Exemple, avec la blessure du rejet. Je ne me sens pas légitime d'exister. Elle se vit souvent très tôt dans l'enfance, avec un sentiment d'être en trop, ou même pas prévu. Ça se traduit dans le TCA par une volonté de disparaître, oui. comme de la restriction de l'anorexie. Un refus de prendre de la place, ça c'est l'obsession de la minceur. Une coupure du corps, comme un territoire d'existence. En lien avec le chakra racine, oui, ancrage et incarnation bonjour, et au rein en MTC avec derrière la peur de vivre et la peur de ne pas être assez. Avec la blessure d'abandon, la grande copine du rejet, je ne peux pas être seule. Vécue avec les liens affectifs précoces, avec l'impression de ne pas être soutenu. Ce traduit dans le TCA par un besoin de remplir un vide affectif. Oui, ça s'appelle de l'écompulsion ou de l'hyperphagie. Un rapport de dépendance à la nourriture, comme une mère de secours. Et là, on est en lien avec le chakra sacré et même la rate et l'estomac. Parce qu'il y a ce besoin de réconfort, de digestion émotionnelle. Sur la blessure d'humiliation, je n'ai pas le droit de me faire plaisir. Né dans des contextes où le plaisir, le corps ou les besoins ont été jugés. Se traduit dans le TCA par une honte de son corps, de ses pulsions et de son poids. Donc, de l'auto-sabotage, des cycles de punition-restriction. En lien avec le chakra du plexus solaire, donc votre valeur personnelle. Et le foie. en MTC avec une colère rentrée et un contrôle excessif. La blessure de trahison traduit « je ne peux faire confiance à personne » , liée à des promesses non tenues ou à des figures d'autorité instables. Ce traduit dans le TCA par un besoin de tout contrôler, donc une alimentation stricte, je ne reparle pas des régimes, ou de l'orthorexie. Une rigidité extrême dans le rapport au corps, en lien avec le chakra de la gorge, c'est-à-dire exprimer sa vérité et poser ses limites. Et à un fois déséquilibré avec de la planification et de la frustration, avec une blessure d'injustice, oui, je dois être parfaite, se vit donc avec une exigence forte sur soi-même, souvent avec un contexte familial dur ou froid. Et se traduit dans le TCA par le perfectionnisme, les règles alimentaires très strictes, qui va cacher quand même de l'anesthésie émotionnelle, et de la suradaptation, reliée au chakra du plexus solaire et à la rate, grâce ou à cause, de ses pensées obsessionnelles et sa rigidité. Alors ces blessures ne sont jamais responsables à elles seules d'Antessia, mais les reconnaître, les nommer, c'est déjà reprendre le pouvoir sur l'invisible qui agit en nous. Je pourrais aussi vous parler de cette peur du manque, de cette peur sourde, viscérale, ou encore de cette peur de disparaître, de ne plus compter pour personne. Mais en réalité, ce qu'on touche là, c'est souvent la peur de vivre. Et si vous saviez le nombre de personnes que je rencontre qui sont mortes intérieurement. Et je ne parle pas seulement d'être éteinte ou fatiguée. Je parle de ce moment où l'élan de vie n'est plus là. Où vivre est devenu trop lourd, trop risqué. Ces peurs, qu'on appelle souvent à tort, irrationnelles, sont inscrites dans les cellules. Et elles ne viennent pas de nulle part, non. Elles sont héritées, inscrites, parfois renforcées par des événements très tôt dans sa vie. Mémoire cellulaire, transgénérationnelle, mémoire émotionnelle, ce sont des couches qui se superposent et que le corps porte en silence. Derrière la peur de manquer, on retrouve souvent des mémoires de guerre, de famine, de privation. Moi-même, je vous ai déjà parlé de mon histoire familiale marquée par la famine. Et c'est parfois le chakra racine qui est complètement contracté, gelé dans l'alerte. Il y a aussi la peur de vivre. Quand vivre a rimé trop tôt avec souffrir, abandon, rejet ou humiliation. Alors on préfère s'anesthésier, ne plus sentir et ressentir. C'est souvent lié à la blessure d'abandon ou de rejet. Et cela peut bloquer l'énergie dans le chakra du cœur et du plexus. Et puis, il y a la peur de disparaître. Alors on mange, on remplit, on occupe l'espace pour ne pas être oublié. On veut être vu, reconnu et exister. Gardez en tête que ce sont des programmes de survie, des mécanismes de protection que le corps a activés très tôt. tôt, dès la petite enfance. Et encore une fois, le corps ne fait jamais rien contre vous. Non, il fait avec vous, avec ce qu'il peut, avec ce qu'il croit juste pour vous protéger. Et parfois ce trouble ne vous appartenait même pas. Et s'il était effectivement ce miroir d'un héritage invisible, un héritage familial, ancestral, karmique, le corps garde la trace de tout ce que vous avez vécu. Chaque cellule est un enregistreur sensible. Traumatisme, émotions refoulées, croyances profondes. Et avec les mémoires cellulaires, certains comportements alimentaires peuvent être liés à des épisodes de famine vécus dans cette vie ou dans d'autres. Des abus ou des violences enregistrées dans la mémoire du corps, des chocs non digérés qui ont créé une peur de manque, de la perte ou de l'existence même. La compulsion alors devient une protection et le refus de manger devient un refus d'incarner la douleur. Vous portez, sans le savoir peut-être, ces histoires de votre lignée. vos mémoires transgénérationnelles. Des générations de femmes qui se sont privées pour nourrir les autres. Des hommes qui ont appris à taire leurs besoins pour survivre. Des non-dits, des fausses couches, des secrets de famille, des morts violentes. Autant de charges émotionnelles que l'enfant peut capter sans les comprendre. Mais qu'il exprimera souvent dans son rapport à la nourriture. Je mange pour combler ce que ma mère n'a jamais reçu. Je me prive pour être loyale à mes ancêtres. qui ont connu la fin. Je me punis pour faire exister une mémoire que personne n'a osé regarder. Dans une approche plus spirituelle, ou alors plus perchée, certains troubles peuvent trouver leur origine dans d'autres vies, dans vos mémoires karmiques. Une vie antérieure marquée par la famine ou la pénitence. Un vœu de chasteté ou de purification par le jeûne. Une expérience de mort liée à la nourriture, surtout à l'empoisonnement, ou même avec un refus de s'incarner. Ces mémoires karmiques peuvent se réactiver dans cette vie pour être guéries, dépassées, du coup transcendées et transmutées. Bon, autant mettre les pieds dans le plat, le rapport au corps et donc à la nourriture, c'est souvent quand même un miroir direct du lien avec votre mère. Je me garde d'ailleurs un épisode entier là-dessus, parce que c'est un sujet central dans tous mes accompagnements, mais ici, j'ai besoin de poser les bases. Dès la naissance, et même avant, puisque lors des 9 mois de grossesse, c'est votre mère qui vous a nourri. par le cordon ombilical dans le ventre. C'est par elle que vous avez reçu vos premiers ressentis, vos premiers touchés, bercements ou vos premières absences. C'est dans cette relation-là que se sont construits votre rapport à l'attachement, votre sentiment de sécurité, votre rapport au corps. Qu'elle soit fusionnelle, absente, intrusive, distante, blessée, toxique, peu importe sa posture, elle a laissé une empreinte énergétique et émotionnelle. Et cette empreinte, elle se rejoue dans votre façon de manger. Manger pour combler l'absence. Se priver pour ne surtout pas devenir comme elle. Rejeter son corps pour rejeter l'image maternelle. Et bien d'autres exemples, car je vais éviter de vous parler de ces réflexions que vous avez sûrement pris dans la face lorsque vous mangez quelque chose, qui vous a sûrement mis au régime pour votre bien et j'en passe. Annick de Sousenel parle de la mère comme un archétype du miroir de l'incarnation. Et elle dit quelque chose de très fort, le refus du corps. Et parfois le refus de s'incarner pleinement dans une vie qui fait peur ou qui ne fait pas de sens. Et là, on touche un point essentiel, le refus du corps. Les TCA, le poids, les obsessions autour de la nourriture, c'est parfois, souvent, un refus inconscient d'incarner sa vie. Et souvent, ça commence avec maman. Alors je vais être directe, toute femme qui commence un chemin de développement personnel passera... à un moment ou à un autre, par la case reprogrammation du lien à sa mère. C'est inévitable. Et ne venez pas me dire, non, mais moi tout va bien avec ma mère. Parce que si je gratte un peu le vernis, je vais voir rapidement des loyautés invisibles, des dynamiques fusionnelles ou le refus même inconscient de prendre votre propre place. Et c'est là aussi que ça fait mal, mais c'est aussi là que ça commence à guérir. Par le chakra racine, pour la sécurité. Par le chakra sacré. pour la relation mère-enfant, la nourriture et le féminin, avec les blessures d'abandon, de trahison et de rejet, et l'équilibre énergétique de l'organe terre en MTC, donc la rate, cette mère symbolique qui digère tout, vos aliments et vos émotions. Un trouble du comportement alimentaire, ce n'est ni une faiblesse, ni un caprice, c'est une tentative d'autoréparation. Un cri du corps, évidemment, un appel du cœur, et surtout une recherche d'amour, de paix et de sécurité intérieure. Alors voyons quelques pistes d'accompagnement holistique, puisque j'ai entendu votre mental répondre « ouais elle est sympa l'autre, mais bon je fais comment moi maintenant ? » Alors voici quelques chemins concrets que vous pouvez explorer seul, mais surtout accompagné, pour ouvrir et réparer cet espace de guérison. Déjà, se reconnecter à votre corps, en douceur, par un yoga doux, ying par exemple, du qigong, de la danse libre, de la respiration consciente. Redonner au corps sa juste place, et non pas comme un ennemi à contrôler, mais comme un allié à écouter. Exprimez vos émotions par de la thérapie verbale, de l'écriture intuitive, de l'art-thérapie, des soins énergétiques, de l'hypnose, tout ce qui permet de libérer ce qui est resté figé dans votre corps. Évidemment, travailler l'ancrage et votre sécurité intérieure quand le corps mange ou se prive, c'est souvent qu'il ne se sent pas. en sécurité. Recréer ce sentiment, c'est retrouver un sol intérieur stable. C'est quand même vos fondations, même quand tout vacille autour. Et ça, c'est ce que je fais très souvent avec l'accompagnement conscience ancrage. Pourquoi j'ai dit très souvent ? C'est tout le temps en fait avec l'accompagnement conscience ancrage. Bref, se réconcilier évidemment avec son enfant intérieur. Apaiser sa relation avec sa mère, ce qui ne veut absolument pas dire se réconcilier avec elle en cas de conflit, non non. Mais c'est aussi se reconnecter à son féminin, ce que de nombreuses femmes ont perdu. Alors, oser revisiter vos blessures, vos carences affectives, vos injonctions, et mettre de l'amour là où il n'y en a pas eu. Évidemment, explorer vos mémoires, cellulaires, transgénérationnelles, karmiques, libérer ce qui ne vous appartient pas, les valises que vous avez héritées en arrivant sur cette terre. mais que vous portez malgré vous. Vous aurez une spiritualité, oui, mais incarnée, non pas la perché, pas pour fuir votre corps, mais au contraire, pour honorer ce temple vivant. Cela reste quand même votre véhicule terrestre, donc autant prendre soin, comme vous le faites sûrement, avec votre propre voiture. Eh bien, c'est pareil. Ce que je veux que vous reteniez de cet épisode, vous n'êtes pas faible, votre corps n'est pas contre vous, et vous n'avez pas à vous. punir pour exister. Votre comportement n'est pas un échec. C'est une tentative, une tentative qui mérite toute votre tendresse. Et si vous écoutez cet épisode et que les troubles alimentaires vous touchent de près ou de loin, je peux vous dire ceci. Vous êtes précieux et précieuse. Vous êtes Dignes, vous avez votre place. Vous méritez la paix. paix et surtout, vous êtes en sécurité, oui, même dans votre propre corps. Alors même si le chemin semble long, chaque prise de conscience est une victoire. Chaque larme peut être une mémoire qui s'allège. Chaque petit pas, c'est déjà un retour vers vous. Alors non, ce podcast n'a pas vocation à vous guérir. Mais si mes mots ont pu vous apporter des clés, alors oui, ce podcast aura déjà rempli sa mission. Merci d'avoir pris le temps, ce temps, avec moi aujourd'hui. Retrouvez d'autres épisodes sur Maison Lumière Holistique, Je ne veux pas guérir, la guérison est un choix, et bien d'autres épisodes sur les émotions, les chakras, l'ancrage, les blessures de l'âme, qui vont venir totalement compléter mon propos d'aujourd'hui. Sinon, je peux aussi vous accompagner dans ce cheminement intérieur, et surtout, n'oubliez jamais, vous êtes précieux et précieuses. À la semaine prochaine. N'hésitez pas à vous inscrire à ma newsletter mensuelle pour recevoir des nouvelles énergétiques tous les mois dans la vérolution. Et lors de votre inscription, récupérez gratuitement mon tout nouvel e-book sur le pouvoir du mental et ses croyances. Une plongée profonde pour comprendre l'impact de nos schémas de pensée et comment les transformer afin de retrouver plus de clarté et d'alignement dans votre vie. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où je partage mon expertise au quotidien et également toutes mes prestations, mon accompagnement Conscience en Crâge sur 3 mois, les initiations Reiki en ligne ou en présentiel et même les soins. audio-hypno-méditatif sur mon site internet www.veronictoraisin.fr Tous les liens pour me retrouver seront dans le descriptif de l'épisode. Vous pouvez écouter tous les autres épisodes sur les différentes plateformes d'écoute ainsi que sur ma chaîne YouTube. Et si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner, commenter, noter et même partager le podcast mise en lumière holistique. A nos prochaines écoutes, à vos prochaines prises de conscience. Merveilleux moment à vous. A très vite pour un prochain épisode. C'est encore une âme et un esprit et n'oubliez jamais d'être précieux.

Description

Bonjour à tous,


Dans cet épisode de Mise en lumière holistique, nous plongeons au cœur de notre rapport à la nourriture, bien au-delà des apparences et des symptômes des troubles du comportement alimentaire (TCA).

La nourriture, souvent perçue simplement comme un besoin physiologique, est en réalité un miroir de notre histoire émotionnelle, de nos blessures, et de notre manière d’aimer ou de nous négliger.


Nous explorons comment la nourriture peut devenir un refuge, un moyen d’expression, un outil de contrôle ou une source de conflit intérieur. Qu’est-ce que notre relation à la nourriture révèle sur notre équilibre émotionnel, notre estime de soi, et notre lien à notre corps ? Comment renouer avec une alimentation apaisée, intuitive, et respectueuse de notre bien-être global ?


Cet épisode invite à une réflexion douce et profonde, pour comprendre les racines invisibles des TCA, et ouvrir la voie vers une guérison holistique — où le corps, l’esprit et l’âme retrouvent harmonie.


Je vous souhaite une belle écoute !

Et n'oubliez jamais, vous êtes précieux ! 


Je suis Véronique Torresin, 

Mentor et Thérapeute Holistique 


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🎙 Retrouvez tous les épisodes de Mise en Lumière Holistique sur YouTube et les plateformes d’écoute 👉 Écouter ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ce n'est pas de la nourriture que j'ai besoin, c'est de paix avec moi-même. Les troubles du comportement alimentaire ne parlent pas que de corps. Ils parlent de contrôle, de vide, de peur, de manque d'amour parfois. Ils parlent surtout, dans ma lettre, que l'on a mis sous silence pendant longtemps et que le corps, lui, ne peut plus contenir. Alors on croit souvent que les troubles alimentaires sont une affaire de volonté, mais en réalité ce sont souvent des mécanismes de survie, des tentatives d'apaiser une douleur que l'on n'a pas prise à nommer. C'est le corps qui crie quand l'âme n'a pas été écoutée. Ce n'est pas une question de régime, de poids ou encore moins de discipline. C'est une histoire bien plus intime, plus complexe. Celle d'un corps qui tente de parler à la place du cœur quand il n'y a plus d'autre chemin. Bonjour et bienvenue sur le podcast Mise en lumière holistique, l'émission qui éclaire votre chemin intérieur vers le bien-être et la transformation. Je suis Véronique Thorezin, mentor spirituel et thérapeute holistique. derrière chaque épisode se cache un peu de mon histoire, de mon parcours avec une maladie inflammatoire neurologique, une sclérose en plaques, de ma résilience, de mes découvertes et apprentissages personnels qui sont devenus aujourd'hui mon expertise en tant que thérapeute dans ce cheminement de spiritualité, de développement personnel, de guérison et surtout de connaissance de soi-même. Venez récupérer des pièces de votre puzzle au travers de l'énergie éthique, de la médecine traditionnelle chinoise, de mindset, de symbolique de maladie, évidemment d'ancrage et de lâcher prise, et bien d'autres pratiques. pour vous permettre d'avancer, de comprendre et d'œuvrer sur vous-même. Chaque semaine, que ce soit seul ou avec des invités inspirants, nous explorerons divers aspects pour vous apporter des clés essentielles de compréhension dans votre épanouissement. Préparez-vous à illuminer votre chemin vers une vie consciente, ancrée et harmonieuse. Je vous souhaite la bienvenue pour ce moment d'écoute où vous découvrirez que vous êtes un corps, mais également une âme et un esprit. Préparez-vous à plonger dans une aventure transformative chaque semaine avec Mise en lumière holistique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Mise en Lumière Holistique, le podcast qui vous accompagne sur le chemin de la conscience, du corps, de l'énergie, des émotions et de tout ce qui, peut-être un jour, vous a coupé de vous-même. Alors aujourd'hui, je vais vous parler des TCA, les troubles du comportement alimentaire. Anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie, des comportements qu'on connaît parfois de l'intérieur ou que l'on a observé de loin sans toujours comprendre. ce qui s'y joue derrière. Ce que je vais vous partager ici ne remplace en aucun cas un accompagnement médical. Je vous le rappelle, ce podcast n'est pas un diagnostic ou un substitut à un accompagnement médical. Ce podcast est là pour vous proposer un autre regard. Un regard émotionnel, symbolique et énergétique. Un regard qui ne nie pas la réalité du trouble, mais qui tente d'en comprendre les racines profondes et invisibles. Parce que les troubles du comportement alimentaire, c'est un sujet qu'on connaît souvent trop bien. qu'on préfère éviter. Mais il ne s'agit pas uniquement d'anorexie, de boulimie ou d'hyperphagie diagnostiquée, il s'agit de cette relation invisible et pourtant constante qu'on entretient avec la nourriture. Ce lien intime, parfois violent, souvent honteux, entre ce que je mange, ce que je ressens et ce que je ne dis pas. Et si au fond, la nourriture était juste le symptôme, une réponse à un manque, à un cri étouffé, à un moyen et parfois le seul. pour gérer une émotion, de survivre, de tenir debout et surtout d'exister. Déjà, nous ne tombons jamais malades par hasard, gardez toujours cela en tête. Ça, c'est mon introduction à ce podcast. Parce qu'un comportement, surtout s'il devient destructeur, est souvent la seule réponse qu'on a trouvée à une douleur qu'on ne savait pas nommer autrement. La maladie n'est pas le problème, non, non, non, elle est la solution. qu'à trouver votre corps à un déséquilibre plus profond. Et si ce corps, en modifiant votre rapport à l'alimentation, ne faisait que vous protéger ? De façon maladroite, évidemment, douloureuse, mais surtout fidèle. Car la maladie vous parle, elle a un message pour vous. Et à vous maintenant de le comprendre, de le décoder. Comprendre que vos mots, M-O-T-S, entendus depuis votre enfance, vont devenir des mots, M-A-U-X, de votre vie d'adulte. Et ce sera tout. mon propos pendant ce podcast. La maladie est là pour vous faire passer un message que vous n'avez pas été capable d'entendre autrement qu'à travers cette maladie et la douleur ressentie à travers votre corps. Le but de ce podcast est de vous apporter des clés de compréhension par rapport à votre parcours, vos ressentis. En cet instant, je suis là pour planter des graines, pour vous éclairer dans votre propre cheminement de guérison et vous faire comprendre que votre corps et ses blocages ou problématiques ne fait que répondre. à votre plan émotionnel et votre plan mental. Et là, je vous laisse découvrir de nombreux épisodes du podcast sur les différents plans de conscience, ou encore comment se forme la maladie du point de vue énergétique. Que la guérison est un choix, ou même, je ne veux pas guérir. Des titres chocs, oui, mais qui peuvent vous parler et encore mieux résonner inconsciemment. Donc aujourd'hui, on va parler énergie, émotions, blessures, organes, chakras, MTC, oui, comme à chaque fois, ma sauce. Et on va relier tout ce que vous avez fragmenté. Surtout, on va le faire sans culpabilité. Donc débranchez votre mental car il risque de ne pas aimer la suite. Oui, il va être démasqué. Parce que ce que vous vivez n'est pas une faiblesse. C'est souvent une stratégie de survie. Qu'on peut venir transformer, ça, c'est la bonne nouvelle. Comme pour toutes les maladies d'ailleurs en général, de toute façon. Alors les TCA ou troubles du comportement alimentaire regroupent différentes formes de souffrance. L'anorexie mentale, où le contrôle devient vital. La boulimie, où l'on se remplit avant d'être vidé. L'hyperphagie, où l'on mange sans faim, parfois sans s'en rendre compte. L'orthorexie, où l'obsession du manger sain devient toxique. Oui, vive les réseaux sociaux ! Et d'autres encore souvent silencieuses et invisibles. Ces troubles ne sont pas une lubie, ce sont de vraies pathologies. souvent en lien avec l'anxiété, l'hypercontrôle, la culpabilité ou une estime de soi très fragile. D'un point de vue neuroscientifique, plusieurs éléments sont en jeu. Le système de récompense est souvent déréglé. La nourriture ou son absence devient un moyen d'avoir une forme de plaisir, de maîtrise, je dirais même de contrôle et d'anesthésie. Le cerveau limbique qui gère vos émotions entre en conflit avec le cortex préfrontal Celui qui juge, qui contrôle, qui exige. Oui, vous vous doutez bien que l'on va parler de votre mental dans cet épisode. Et très souvent, ce corps entre en état de dissociation. On se coupe des sensations, des signaux de faim ou de satiété. On s'anesthésie pour ne pas sentir ce qui fait mal. On se coupe donc de son corps. Encrage, non ? Ah bah si, un peu quand même, beaucoup même passionnément de cet ancrage. On aura l'occasion d'en parler tout le long de cet épisode. Alors les TCA peuvent aussi devenir un mécanisme de survie, donc oui, effectivement ancrage, celui du corps qui crie que les mots ne peuvent pas dire, celui de l'âme qui tente de rester à flot au milieu d'un océan intérieur agité. Donc, comme on a mon habitude, nous irons sur une approche symbolique de décodage énergétique, d'équilibre et surtout de déséquilibre. Ce que le corps exprime quand on le prive, quand on le remplit à outrance, des blessures enfouies derrière ce besoin de contrôle, des émotions non digérées qui s'expriment au travers des organes, selon la médecine traditionnelle chinoise, et le lien profond entre notre estime de soi et notre rapport au corps. Je vous partagerai des pistes, des compréhensions, des images, pas pour vous guérir, mais pour vous offrir des clés, parce que parfois il suffit d'une seule pour entreouvrir une porte. Et si aujourd'hui cette porte, c'était celle de la réconciliation avec vous-même ? Car déjà, quand on dit trouble du comportement alimentaire, on pense souvent aux étiquettes médicales. Oui, anorexie, boulimie, hyperphagie. Mais dans la vraie vie, c'est rarement aussi simple. Un TCA, c'est aussi ce moment où vous mangez alors que vous n'avez pas faim. Ce moment où vous sautez un repas parce que vous vous culpabilisez d'avoir trop mangé hier. Ce paquet de gâteaux engloutis sans même s'en rendre compte. Oups ! je me sens concernée. Cette voix intérieure qui dit je ne mérite pas, je suis nulle, je ne contrôle rien, avec cette tension permanente entre le contrôle et la perte de contrôle. Ce sont des schémas invisibles qui s'installent, une guerre intérieure entre votre corps et votre mental. Et souvent ça n'a rien à voir avec la nourriture. La nourriture devient alors le canal, celui qui apaise, ce qui vide, ce qui remplit. Et ce qui punit. Dans 100% des cas, un TCA, c'est un langage émotionnel et énergétique. C'est pas logique, ce n'est pas rationnel, et ce n'est surtout pas volontaire. C'est la partie la plus blessée en vous qui essaye de rester en vie. Mais rentrons dans le vif du sujet. Que cache vraiment cette faim ? La faim, ce mot que l'on croit comprendre avec la tête. Mais si cette faim n'était pas une affaire de ventre, mais de cœur. Et si ce n'était pas de nourriture que vous manquiez ? mais de reconnaissance, de tendresse, de place ou de considération. Car manger ou se priver sont deux stratégies opposées, mais une même blessure. Que l'on mange trop ou pas du tout, dans les deux cas, il s'agit d'un acte de régulation émotionnelle. C'est une réponse du corps à un trop plein ou à un trop vide intérieur. Manger jusqu'à l'excès, c'est tenter de remplir un vide affectif. Se priver, c'est souvent vouloir reprendre le contrôle d'un chaos émotionnel. Dans les deux cas, la nourriture devient le langage silencieux d'une douleur non écoutée. C'est le corps. qui fait ce qu'il peut pour garder l'équilibre avec les moyens qu'il a. Alors voyons plus précisément le ventre. On parlera du plexus solaire plus tard. Votre ventre, ce lieu de sécurité, ou au contraire, de guerre intérieure. Maladie inflammatoire, bonjour. Le ventre. Du moins, votre plexus solaire, c'est le siège de vos émotions. Et c'est là que nous digérons ce que nous mangeons. Et aussi ce que nous vivons. Un ventre noué, lourd, vide, gonflé, ce n'est pas qu'une question de digestion. C'est le reflet direct d'un monde intérieur agité. Évidemment que je vais évoquer un manque d'amour, de reconnaissance, d'espace d'expression émotionnelle durant votre enfance. Derrière beaucoup de troubles alimentaires, il y a une enfance où l'amour a pu manquer, ou n'a pas été perçu, avec un manque d'écoute, une absence de validation, une interdiction d'exprimer sa colère, sa peur et sa tristesse. Alors ces émotions refoulées ne disparaissent pas, non, elles descendent dans le corps. Et puis un jour, elles se transforment en comportement. C'est ce qu'explique Christian Flech dans sa lecture biologique, c'est-à-dire que la maladie, c'est la solution parfaite à un ressenti non exprimé. Et ici, les troubles alimentaires sont cette solution. Donc, vous comprenez que derrière un trouble alimentaire, il y a toujours une histoire émotionnelle non digérée. Bon, c'est valable pour toutes les autres maladies. traumatisme et même schéma répétitif. Mais pour les TCA, elle a commencé bien avant qu'on ne parle de poids, de corps ou de nourriture. Chez beaucoup de personnes concernées, il y a une faille très profonde liée à la sécurité. Une faille dans la sécurité intérieure. Alors pas forcément des événements traumatisants au sens classique, mais un terreau émotionnel instable. Un environnement où l'on ne pouvait pas exprimer ses émotions. Des parents très contrôlants ou au contraire, très absents. Ne vous inquiétez pas, on va parler de maman à la fin, et ça va faire un peu mal. Une peur de déranger, ou de trop prendre sa place. Une sensation d'être de trop, ou pas normale, ou trop sensible. Et alors le corps devient le terrain d'expression du mal-être. Et la nourriture devient un moyen de reprendre du pouvoir. Dans les TCA, on retrouve souvent deux mouvements opposés. Le besoin de contrôle, ou de fuite. Je m'explique. Le contrôle extrême. qui vient répondre à une peur du chaos, du vide et du rejet, ou alors la perte de contrôle qui surgit comme une forme de soulagement, une échappatoire, une anesthésie émotionnelle. Bon, dans les deux cas, ce sont des stratégies de survie, pas des caprices ni de la faiblesse. Ce sont des mécanismes que le corps et le système nerveux ont mis en place pour vous permettre de tenir. Vous avez d'ailleurs un épisode sur le nerve-vague, si vous souhaitez approfondir. Alors, selon la médecine traductrice chinoise, votre... corps digère vos émotions, normal puisque chaque organe possède sa propre émotion. Voyons d'abord votre axe central, la rate et votre estomac avec l'élémentaire. La rate, c'est la mer intérieure, celle qui vous permet de digérer, de vous recentrer, qui vous apporte de la douceur et surtout de l'ancrage. Et quand la rate est en vide, cela amène une rumination mentale, une obsession de l'alimentation, on suranalyse. Un besoin de sucrer sa vie pour compenser une absence de douceur émotionnelle. On est dans de l'hyper-contrôle mental et de l'alimentation émotionnelle, entraînant un épuisement profond du système digestif émotionnel. On se sent insatisfait, vide et épuisé. Et ça parle aussi de terre intérieure instable, ce manque d'ancrage, de centrage et de calme. Ensuite, il y a le fidèle compagnon de la rate et de l'estomac. En même temps, c'est le général de votre corps, le foie, avec son élément bois. C'est lui qui vous amène mouvement, capacité à s'adapter et à gérer la frustration. Et quand il est bloqué, ce général, il y a de la colère entrée, de la rigidité, des pulsions, des tensions internes, un gros perfectionnisme avec un accès de contrôle. Cela crée donc des stagnations émotionnelles qui demandent à être relâchées. Parfois, via des crises alimentaires. Alors finissons par la base de votre ancrage, les reins, avec son élément l'eau. En lien avec les ressources vitales, votre volonté, évidemment votre ancrage profond. Et quand le chi des reins est affaibli, apparaît alors un manque de volonté, un sentiment d'impuissance. Alors la volonté de votre rein et de votre ancrage n'a absolument rien à voir avec celui de votre mental. Le fameux credo de certains coachs, ouais quand on veut on peut, bah non en fait, phrase très conne d'ailleurs. Mais car quand votre rein est déséquilibré, non on peut pas. Et la volonté de votre mental vous rend encore plus malade. Il faut d'ailleurs vraiment que je fasse un épisode à ce sujet, c'est-à-dire à... comprendre quand ça concerne la volonté du rein ou la volonté de votre mental. Bon, à ce rythme, j'avoue, il va y avoir 10 saisons du podcast. Bon, il apparaît aussi, évidemment, sur votre rein des peurs, des peurs profondes, liées à l'existence, à l'incarnation. Alors, on observe souvent ce vide chez les personnes en grande déconnexion corporelle, ou chez celles ayant vécu des traumatismes. Et du point de vue des centres énergétiques, que révèlent les blocages de vos chakras ? On pourrait penser de suite aux racines ou au plexus. Oui, évidemment, mais pas que. Cela va être plus complexe que ça, car gardez en tête la loi fractale, puisque tous les chakras se retrouvent dans chacun des chakras. Alors, commençons par les fondations, oui. Votre chakra racine, qui symbolise la sécurité, la stabilité, les besoins fondamentaux. Le chakras racine, qui rappelle, si vous êtes en vie sur cette terre, c'est grâce à lui. Alors, donc... quand il est déséquilibré, le rapport à la nourriture devient un substitut à l'ancrage. On cherche à combler un vide existentiel par le plein physique. L'envie de contrôler ou de se restreindre devient alors une manière de reprendre un faux sentiment de stabilité. En lien direct avec la blessure d'abandon, effectivement on cherche une sécurité que l'on n'a pas reçue. Puis vient le chakra sacré, le lieu du plaisir, oui, mais surtout du goût. de vivre. Le goût, quand même, ça fait référence à la nourriture, non ? Eh bien, quand ce chakra sacré est bloqué, le rapport au plaisir devient problématique. Soit on le fuit, soit on l'idéalise. Dans ce monde moderne, ça s'appelle des régimes, oui. Une des plus grandes problématiques de dérèglement énergétique du chakra sacré. Très en lien, d'ailleurs, avec la blessure de rejet, car ce corps devient source de honte. Allez, on continue à monter avec le chakra du plexus solaire. le centre émotionnel de votre identité et de votre estime de soi. Et bien, quand ce chakra est affaibli, vous vous sentez impuissante face à ses comportements. La culpabilité arrive alors après chaque craquage. Remerciez votre mental. Puis du mal à poser aussi vos limites et à exprimer ce que l'on veut vraiment. Cela croise les blessures d'humiliation et d'injustice, souvent vécues dans le même rapport à l'autorité, au regard extérieur, à la performance. Et là... On peut souvent dire merci à un moment, mais j'ai dit, et je le répète, je vous en reparle tout à l'heure. On arrive au centre, au chakra du cœur, lien à l'amour, à la tendresse, à la compassion. Et quand ce chakra du cœur est blessé, cela amène de la difficulté à s'aimer, à se pardonner, à se traiter avec douceur. On entre alors dans de l'auto-jugement constant, avec un besoin de mériter l'amour. Et là, sincèrement, on peut trouver toutes les formes des blessures. Finissons avec le chakra la gorge, lieu de l'expression authentique, de votre vérité personnelle. Et bien quand ce chakra est bloqué, on a de la difficulté à dire non, à exprimer ses besoins, ses émotions. La nourriture devient alors un substitut à la parole. On avale au lieu de s'exprimer. Ici, c'est souvent la blessure de trahison qui peut se cacher. On a appris qu'on ne pouvait pas dire la vérité sans conséquence. Alors... Un trouble du comportement alimentaire, c'est aussi souvent un cri silencieux, d'une ou plusieurs blessures non reconnues. Elle se rejoue inconsciemment dans notre rapport au corps, à la nourriture, au contrôle, au manque, à la honte. Exemple, avec la blessure du rejet. Je ne me sens pas légitime d'exister. Elle se vit souvent très tôt dans l'enfance, avec un sentiment d'être en trop, ou même pas prévu. Ça se traduit dans le TCA par une volonté de disparaître, oui. comme de la restriction de l'anorexie. Un refus de prendre de la place, ça c'est l'obsession de la minceur. Une coupure du corps, comme un territoire d'existence. En lien avec le chakra racine, oui, ancrage et incarnation bonjour, et au rein en MTC avec derrière la peur de vivre et la peur de ne pas être assez. Avec la blessure d'abandon, la grande copine du rejet, je ne peux pas être seule. Vécue avec les liens affectifs précoces, avec l'impression de ne pas être soutenu. Ce traduit dans le TCA par un besoin de remplir un vide affectif. Oui, ça s'appelle de l'écompulsion ou de l'hyperphagie. Un rapport de dépendance à la nourriture, comme une mère de secours. Et là, on est en lien avec le chakra sacré et même la rate et l'estomac. Parce qu'il y a ce besoin de réconfort, de digestion émotionnelle. Sur la blessure d'humiliation, je n'ai pas le droit de me faire plaisir. Né dans des contextes où le plaisir, le corps ou les besoins ont été jugés. Se traduit dans le TCA par une honte de son corps, de ses pulsions et de son poids. Donc, de l'auto-sabotage, des cycles de punition-restriction. En lien avec le chakra du plexus solaire, donc votre valeur personnelle. Et le foie. en MTC avec une colère rentrée et un contrôle excessif. La blessure de trahison traduit « je ne peux faire confiance à personne » , liée à des promesses non tenues ou à des figures d'autorité instables. Ce traduit dans le TCA par un besoin de tout contrôler, donc une alimentation stricte, je ne reparle pas des régimes, ou de l'orthorexie. Une rigidité extrême dans le rapport au corps, en lien avec le chakra de la gorge, c'est-à-dire exprimer sa vérité et poser ses limites. Et à un fois déséquilibré avec de la planification et de la frustration, avec une blessure d'injustice, oui, je dois être parfaite, se vit donc avec une exigence forte sur soi-même, souvent avec un contexte familial dur ou froid. Et se traduit dans le TCA par le perfectionnisme, les règles alimentaires très strictes, qui va cacher quand même de l'anesthésie émotionnelle, et de la suradaptation, reliée au chakra du plexus solaire et à la rate, grâce ou à cause, de ses pensées obsessionnelles et sa rigidité. Alors ces blessures ne sont jamais responsables à elles seules d'Antessia, mais les reconnaître, les nommer, c'est déjà reprendre le pouvoir sur l'invisible qui agit en nous. Je pourrais aussi vous parler de cette peur du manque, de cette peur sourde, viscérale, ou encore de cette peur de disparaître, de ne plus compter pour personne. Mais en réalité, ce qu'on touche là, c'est souvent la peur de vivre. Et si vous saviez le nombre de personnes que je rencontre qui sont mortes intérieurement. Et je ne parle pas seulement d'être éteinte ou fatiguée. Je parle de ce moment où l'élan de vie n'est plus là. Où vivre est devenu trop lourd, trop risqué. Ces peurs, qu'on appelle souvent à tort, irrationnelles, sont inscrites dans les cellules. Et elles ne viennent pas de nulle part, non. Elles sont héritées, inscrites, parfois renforcées par des événements très tôt dans sa vie. Mémoire cellulaire, transgénérationnelle, mémoire émotionnelle, ce sont des couches qui se superposent et que le corps porte en silence. Derrière la peur de manquer, on retrouve souvent des mémoires de guerre, de famine, de privation. Moi-même, je vous ai déjà parlé de mon histoire familiale marquée par la famine. Et c'est parfois le chakra racine qui est complètement contracté, gelé dans l'alerte. Il y a aussi la peur de vivre. Quand vivre a rimé trop tôt avec souffrir, abandon, rejet ou humiliation. Alors on préfère s'anesthésier, ne plus sentir et ressentir. C'est souvent lié à la blessure d'abandon ou de rejet. Et cela peut bloquer l'énergie dans le chakra du cœur et du plexus. Et puis, il y a la peur de disparaître. Alors on mange, on remplit, on occupe l'espace pour ne pas être oublié. On veut être vu, reconnu et exister. Gardez en tête que ce sont des programmes de survie, des mécanismes de protection que le corps a activés très tôt. tôt, dès la petite enfance. Et encore une fois, le corps ne fait jamais rien contre vous. Non, il fait avec vous, avec ce qu'il peut, avec ce qu'il croit juste pour vous protéger. Et parfois ce trouble ne vous appartenait même pas. Et s'il était effectivement ce miroir d'un héritage invisible, un héritage familial, ancestral, karmique, le corps garde la trace de tout ce que vous avez vécu. Chaque cellule est un enregistreur sensible. Traumatisme, émotions refoulées, croyances profondes. Et avec les mémoires cellulaires, certains comportements alimentaires peuvent être liés à des épisodes de famine vécus dans cette vie ou dans d'autres. Des abus ou des violences enregistrées dans la mémoire du corps, des chocs non digérés qui ont créé une peur de manque, de la perte ou de l'existence même. La compulsion alors devient une protection et le refus de manger devient un refus d'incarner la douleur. Vous portez, sans le savoir peut-être, ces histoires de votre lignée. vos mémoires transgénérationnelles. Des générations de femmes qui se sont privées pour nourrir les autres. Des hommes qui ont appris à taire leurs besoins pour survivre. Des non-dits, des fausses couches, des secrets de famille, des morts violentes. Autant de charges émotionnelles que l'enfant peut capter sans les comprendre. Mais qu'il exprimera souvent dans son rapport à la nourriture. Je mange pour combler ce que ma mère n'a jamais reçu. Je me prive pour être loyale à mes ancêtres. qui ont connu la fin. Je me punis pour faire exister une mémoire que personne n'a osé regarder. Dans une approche plus spirituelle, ou alors plus perchée, certains troubles peuvent trouver leur origine dans d'autres vies, dans vos mémoires karmiques. Une vie antérieure marquée par la famine ou la pénitence. Un vœu de chasteté ou de purification par le jeûne. Une expérience de mort liée à la nourriture, surtout à l'empoisonnement, ou même avec un refus de s'incarner. Ces mémoires karmiques peuvent se réactiver dans cette vie pour être guéries, dépassées, du coup transcendées et transmutées. Bon, autant mettre les pieds dans le plat, le rapport au corps et donc à la nourriture, c'est souvent quand même un miroir direct du lien avec votre mère. Je me garde d'ailleurs un épisode entier là-dessus, parce que c'est un sujet central dans tous mes accompagnements, mais ici, j'ai besoin de poser les bases. Dès la naissance, et même avant, puisque lors des 9 mois de grossesse, c'est votre mère qui vous a nourri. par le cordon ombilical dans le ventre. C'est par elle que vous avez reçu vos premiers ressentis, vos premiers touchés, bercements ou vos premières absences. C'est dans cette relation-là que se sont construits votre rapport à l'attachement, votre sentiment de sécurité, votre rapport au corps. Qu'elle soit fusionnelle, absente, intrusive, distante, blessée, toxique, peu importe sa posture, elle a laissé une empreinte énergétique et émotionnelle. Et cette empreinte, elle se rejoue dans votre façon de manger. Manger pour combler l'absence. Se priver pour ne surtout pas devenir comme elle. Rejeter son corps pour rejeter l'image maternelle. Et bien d'autres exemples, car je vais éviter de vous parler de ces réflexions que vous avez sûrement pris dans la face lorsque vous mangez quelque chose, qui vous a sûrement mis au régime pour votre bien et j'en passe. Annick de Sousenel parle de la mère comme un archétype du miroir de l'incarnation. Et elle dit quelque chose de très fort, le refus du corps. Et parfois le refus de s'incarner pleinement dans une vie qui fait peur ou qui ne fait pas de sens. Et là, on touche un point essentiel, le refus du corps. Les TCA, le poids, les obsessions autour de la nourriture, c'est parfois, souvent, un refus inconscient d'incarner sa vie. Et souvent, ça commence avec maman. Alors je vais être directe, toute femme qui commence un chemin de développement personnel passera... à un moment ou à un autre, par la case reprogrammation du lien à sa mère. C'est inévitable. Et ne venez pas me dire, non, mais moi tout va bien avec ma mère. Parce que si je gratte un peu le vernis, je vais voir rapidement des loyautés invisibles, des dynamiques fusionnelles ou le refus même inconscient de prendre votre propre place. Et c'est là aussi que ça fait mal, mais c'est aussi là que ça commence à guérir. Par le chakra racine, pour la sécurité. Par le chakra sacré. pour la relation mère-enfant, la nourriture et le féminin, avec les blessures d'abandon, de trahison et de rejet, et l'équilibre énergétique de l'organe terre en MTC, donc la rate, cette mère symbolique qui digère tout, vos aliments et vos émotions. Un trouble du comportement alimentaire, ce n'est ni une faiblesse, ni un caprice, c'est une tentative d'autoréparation. Un cri du corps, évidemment, un appel du cœur, et surtout une recherche d'amour, de paix et de sécurité intérieure. Alors voyons quelques pistes d'accompagnement holistique, puisque j'ai entendu votre mental répondre « ouais elle est sympa l'autre, mais bon je fais comment moi maintenant ? » Alors voici quelques chemins concrets que vous pouvez explorer seul, mais surtout accompagné, pour ouvrir et réparer cet espace de guérison. Déjà, se reconnecter à votre corps, en douceur, par un yoga doux, ying par exemple, du qigong, de la danse libre, de la respiration consciente. Redonner au corps sa juste place, et non pas comme un ennemi à contrôler, mais comme un allié à écouter. Exprimez vos émotions par de la thérapie verbale, de l'écriture intuitive, de l'art-thérapie, des soins énergétiques, de l'hypnose, tout ce qui permet de libérer ce qui est resté figé dans votre corps. Évidemment, travailler l'ancrage et votre sécurité intérieure quand le corps mange ou se prive, c'est souvent qu'il ne se sent pas. en sécurité. Recréer ce sentiment, c'est retrouver un sol intérieur stable. C'est quand même vos fondations, même quand tout vacille autour. Et ça, c'est ce que je fais très souvent avec l'accompagnement conscience ancrage. Pourquoi j'ai dit très souvent ? C'est tout le temps en fait avec l'accompagnement conscience ancrage. Bref, se réconcilier évidemment avec son enfant intérieur. Apaiser sa relation avec sa mère, ce qui ne veut absolument pas dire se réconcilier avec elle en cas de conflit, non non. Mais c'est aussi se reconnecter à son féminin, ce que de nombreuses femmes ont perdu. Alors, oser revisiter vos blessures, vos carences affectives, vos injonctions, et mettre de l'amour là où il n'y en a pas eu. Évidemment, explorer vos mémoires, cellulaires, transgénérationnelles, karmiques, libérer ce qui ne vous appartient pas, les valises que vous avez héritées en arrivant sur cette terre. mais que vous portez malgré vous. Vous aurez une spiritualité, oui, mais incarnée, non pas la perché, pas pour fuir votre corps, mais au contraire, pour honorer ce temple vivant. Cela reste quand même votre véhicule terrestre, donc autant prendre soin, comme vous le faites sûrement, avec votre propre voiture. Eh bien, c'est pareil. Ce que je veux que vous reteniez de cet épisode, vous n'êtes pas faible, votre corps n'est pas contre vous, et vous n'avez pas à vous. punir pour exister. Votre comportement n'est pas un échec. C'est une tentative, une tentative qui mérite toute votre tendresse. Et si vous écoutez cet épisode et que les troubles alimentaires vous touchent de près ou de loin, je peux vous dire ceci. Vous êtes précieux et précieuse. Vous êtes Dignes, vous avez votre place. Vous méritez la paix. paix et surtout, vous êtes en sécurité, oui, même dans votre propre corps. Alors même si le chemin semble long, chaque prise de conscience est une victoire. Chaque larme peut être une mémoire qui s'allège. Chaque petit pas, c'est déjà un retour vers vous. Alors non, ce podcast n'a pas vocation à vous guérir. Mais si mes mots ont pu vous apporter des clés, alors oui, ce podcast aura déjà rempli sa mission. Merci d'avoir pris le temps, ce temps, avec moi aujourd'hui. Retrouvez d'autres épisodes sur Maison Lumière Holistique, Je ne veux pas guérir, la guérison est un choix, et bien d'autres épisodes sur les émotions, les chakras, l'ancrage, les blessures de l'âme, qui vont venir totalement compléter mon propos d'aujourd'hui. Sinon, je peux aussi vous accompagner dans ce cheminement intérieur, et surtout, n'oubliez jamais, vous êtes précieux et précieuses. À la semaine prochaine. N'hésitez pas à vous inscrire à ma newsletter mensuelle pour recevoir des nouvelles énergétiques tous les mois dans la vérolution. Et lors de votre inscription, récupérez gratuitement mon tout nouvel e-book sur le pouvoir du mental et ses croyances. Une plongée profonde pour comprendre l'impact de nos schémas de pensée et comment les transformer afin de retrouver plus de clarté et d'alignement dans votre vie. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où je partage mon expertise au quotidien et également toutes mes prestations, mon accompagnement Conscience en Crâge sur 3 mois, les initiations Reiki en ligne ou en présentiel et même les soins. audio-hypno-méditatif sur mon site internet www.veronictoraisin.fr Tous les liens pour me retrouver seront dans le descriptif de l'épisode. Vous pouvez écouter tous les autres épisodes sur les différentes plateformes d'écoute ainsi que sur ma chaîne YouTube. Et si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner, commenter, noter et même partager le podcast mise en lumière holistique. A nos prochaines écoutes, à vos prochaines prises de conscience. Merveilleux moment à vous. A très vite pour un prochain épisode. C'est encore une âme et un esprit et n'oubliez jamais d'être précieux.

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Description

Bonjour à tous,


Dans cet épisode de Mise en lumière holistique, nous plongeons au cœur de notre rapport à la nourriture, bien au-delà des apparences et des symptômes des troubles du comportement alimentaire (TCA).

La nourriture, souvent perçue simplement comme un besoin physiologique, est en réalité un miroir de notre histoire émotionnelle, de nos blessures, et de notre manière d’aimer ou de nous négliger.


Nous explorons comment la nourriture peut devenir un refuge, un moyen d’expression, un outil de contrôle ou une source de conflit intérieur. Qu’est-ce que notre relation à la nourriture révèle sur notre équilibre émotionnel, notre estime de soi, et notre lien à notre corps ? Comment renouer avec une alimentation apaisée, intuitive, et respectueuse de notre bien-être global ?


Cet épisode invite à une réflexion douce et profonde, pour comprendre les racines invisibles des TCA, et ouvrir la voie vers une guérison holistique — où le corps, l’esprit et l’âme retrouvent harmonie.


Je vous souhaite une belle écoute !

Et n'oubliez jamais, vous êtes précieux ! 


Je suis Véronique Torresin, 

Mentor et Thérapeute Holistique 


📖 Cadeau : Téléchargez gratuitement mon eBook sur le Pouvoir du Mental et ses croyances 👉 Lien


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🎙 Retrouvez tous les épisodes de Mise en Lumière Holistique sur YouTube et les plateformes d’écoute 👉 Écouter ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ce n'est pas de la nourriture que j'ai besoin, c'est de paix avec moi-même. Les troubles du comportement alimentaire ne parlent pas que de corps. Ils parlent de contrôle, de vide, de peur, de manque d'amour parfois. Ils parlent surtout, dans ma lettre, que l'on a mis sous silence pendant longtemps et que le corps, lui, ne peut plus contenir. Alors on croit souvent que les troubles alimentaires sont une affaire de volonté, mais en réalité ce sont souvent des mécanismes de survie, des tentatives d'apaiser une douleur que l'on n'a pas prise à nommer. C'est le corps qui crie quand l'âme n'a pas été écoutée. Ce n'est pas une question de régime, de poids ou encore moins de discipline. C'est une histoire bien plus intime, plus complexe. Celle d'un corps qui tente de parler à la place du cœur quand il n'y a plus d'autre chemin. Bonjour et bienvenue sur le podcast Mise en lumière holistique, l'émission qui éclaire votre chemin intérieur vers le bien-être et la transformation. Je suis Véronique Thorezin, mentor spirituel et thérapeute holistique. derrière chaque épisode se cache un peu de mon histoire, de mon parcours avec une maladie inflammatoire neurologique, une sclérose en plaques, de ma résilience, de mes découvertes et apprentissages personnels qui sont devenus aujourd'hui mon expertise en tant que thérapeute dans ce cheminement de spiritualité, de développement personnel, de guérison et surtout de connaissance de soi-même. Venez récupérer des pièces de votre puzzle au travers de l'énergie éthique, de la médecine traditionnelle chinoise, de mindset, de symbolique de maladie, évidemment d'ancrage et de lâcher prise, et bien d'autres pratiques. pour vous permettre d'avancer, de comprendre et d'œuvrer sur vous-même. Chaque semaine, que ce soit seul ou avec des invités inspirants, nous explorerons divers aspects pour vous apporter des clés essentielles de compréhension dans votre épanouissement. Préparez-vous à illuminer votre chemin vers une vie consciente, ancrée et harmonieuse. Je vous souhaite la bienvenue pour ce moment d'écoute où vous découvrirez que vous êtes un corps, mais également une âme et un esprit. Préparez-vous à plonger dans une aventure transformative chaque semaine avec Mise en lumière holistique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Mise en Lumière Holistique, le podcast qui vous accompagne sur le chemin de la conscience, du corps, de l'énergie, des émotions et de tout ce qui, peut-être un jour, vous a coupé de vous-même. Alors aujourd'hui, je vais vous parler des TCA, les troubles du comportement alimentaire. Anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie, des comportements qu'on connaît parfois de l'intérieur ou que l'on a observé de loin sans toujours comprendre. ce qui s'y joue derrière. Ce que je vais vous partager ici ne remplace en aucun cas un accompagnement médical. Je vous le rappelle, ce podcast n'est pas un diagnostic ou un substitut à un accompagnement médical. Ce podcast est là pour vous proposer un autre regard. Un regard émotionnel, symbolique et énergétique. Un regard qui ne nie pas la réalité du trouble, mais qui tente d'en comprendre les racines profondes et invisibles. Parce que les troubles du comportement alimentaire, c'est un sujet qu'on connaît souvent trop bien. qu'on préfère éviter. Mais il ne s'agit pas uniquement d'anorexie, de boulimie ou d'hyperphagie diagnostiquée, il s'agit de cette relation invisible et pourtant constante qu'on entretient avec la nourriture. Ce lien intime, parfois violent, souvent honteux, entre ce que je mange, ce que je ressens et ce que je ne dis pas. Et si au fond, la nourriture était juste le symptôme, une réponse à un manque, à un cri étouffé, à un moyen et parfois le seul. pour gérer une émotion, de survivre, de tenir debout et surtout d'exister. Déjà, nous ne tombons jamais malades par hasard, gardez toujours cela en tête. Ça, c'est mon introduction à ce podcast. Parce qu'un comportement, surtout s'il devient destructeur, est souvent la seule réponse qu'on a trouvée à une douleur qu'on ne savait pas nommer autrement. La maladie n'est pas le problème, non, non, non, elle est la solution. qu'à trouver votre corps à un déséquilibre plus profond. Et si ce corps, en modifiant votre rapport à l'alimentation, ne faisait que vous protéger ? De façon maladroite, évidemment, douloureuse, mais surtout fidèle. Car la maladie vous parle, elle a un message pour vous. Et à vous maintenant de le comprendre, de le décoder. Comprendre que vos mots, M-O-T-S, entendus depuis votre enfance, vont devenir des mots, M-A-U-X, de votre vie d'adulte. Et ce sera tout. mon propos pendant ce podcast. La maladie est là pour vous faire passer un message que vous n'avez pas été capable d'entendre autrement qu'à travers cette maladie et la douleur ressentie à travers votre corps. Le but de ce podcast est de vous apporter des clés de compréhension par rapport à votre parcours, vos ressentis. En cet instant, je suis là pour planter des graines, pour vous éclairer dans votre propre cheminement de guérison et vous faire comprendre que votre corps et ses blocages ou problématiques ne fait que répondre. à votre plan émotionnel et votre plan mental. Et là, je vous laisse découvrir de nombreux épisodes du podcast sur les différents plans de conscience, ou encore comment se forme la maladie du point de vue énergétique. Que la guérison est un choix, ou même, je ne veux pas guérir. Des titres chocs, oui, mais qui peuvent vous parler et encore mieux résonner inconsciemment. Donc aujourd'hui, on va parler énergie, émotions, blessures, organes, chakras, MTC, oui, comme à chaque fois, ma sauce. Et on va relier tout ce que vous avez fragmenté. Surtout, on va le faire sans culpabilité. Donc débranchez votre mental car il risque de ne pas aimer la suite. Oui, il va être démasqué. Parce que ce que vous vivez n'est pas une faiblesse. C'est souvent une stratégie de survie. Qu'on peut venir transformer, ça, c'est la bonne nouvelle. Comme pour toutes les maladies d'ailleurs en général, de toute façon. Alors les TCA ou troubles du comportement alimentaire regroupent différentes formes de souffrance. L'anorexie mentale, où le contrôle devient vital. La boulimie, où l'on se remplit avant d'être vidé. L'hyperphagie, où l'on mange sans faim, parfois sans s'en rendre compte. L'orthorexie, où l'obsession du manger sain devient toxique. Oui, vive les réseaux sociaux ! Et d'autres encore souvent silencieuses et invisibles. Ces troubles ne sont pas une lubie, ce sont de vraies pathologies. souvent en lien avec l'anxiété, l'hypercontrôle, la culpabilité ou une estime de soi très fragile. D'un point de vue neuroscientifique, plusieurs éléments sont en jeu. Le système de récompense est souvent déréglé. La nourriture ou son absence devient un moyen d'avoir une forme de plaisir, de maîtrise, je dirais même de contrôle et d'anesthésie. Le cerveau limbique qui gère vos émotions entre en conflit avec le cortex préfrontal Celui qui juge, qui contrôle, qui exige. Oui, vous vous doutez bien que l'on va parler de votre mental dans cet épisode. Et très souvent, ce corps entre en état de dissociation. On se coupe des sensations, des signaux de faim ou de satiété. On s'anesthésie pour ne pas sentir ce qui fait mal. On se coupe donc de son corps. Encrage, non ? Ah bah si, un peu quand même, beaucoup même passionnément de cet ancrage. On aura l'occasion d'en parler tout le long de cet épisode. Alors les TCA peuvent aussi devenir un mécanisme de survie, donc oui, effectivement ancrage, celui du corps qui crie que les mots ne peuvent pas dire, celui de l'âme qui tente de rester à flot au milieu d'un océan intérieur agité. Donc, comme on a mon habitude, nous irons sur une approche symbolique de décodage énergétique, d'équilibre et surtout de déséquilibre. Ce que le corps exprime quand on le prive, quand on le remplit à outrance, des blessures enfouies derrière ce besoin de contrôle, des émotions non digérées qui s'expriment au travers des organes, selon la médecine traditionnelle chinoise, et le lien profond entre notre estime de soi et notre rapport au corps. Je vous partagerai des pistes, des compréhensions, des images, pas pour vous guérir, mais pour vous offrir des clés, parce que parfois il suffit d'une seule pour entreouvrir une porte. Et si aujourd'hui cette porte, c'était celle de la réconciliation avec vous-même ? Car déjà, quand on dit trouble du comportement alimentaire, on pense souvent aux étiquettes médicales. Oui, anorexie, boulimie, hyperphagie. Mais dans la vraie vie, c'est rarement aussi simple. Un TCA, c'est aussi ce moment où vous mangez alors que vous n'avez pas faim. Ce moment où vous sautez un repas parce que vous vous culpabilisez d'avoir trop mangé hier. Ce paquet de gâteaux engloutis sans même s'en rendre compte. Oups ! je me sens concernée. Cette voix intérieure qui dit je ne mérite pas, je suis nulle, je ne contrôle rien, avec cette tension permanente entre le contrôle et la perte de contrôle. Ce sont des schémas invisibles qui s'installent, une guerre intérieure entre votre corps et votre mental. Et souvent ça n'a rien à voir avec la nourriture. La nourriture devient alors le canal, celui qui apaise, ce qui vide, ce qui remplit. Et ce qui punit. Dans 100% des cas, un TCA, c'est un langage émotionnel et énergétique. C'est pas logique, ce n'est pas rationnel, et ce n'est surtout pas volontaire. C'est la partie la plus blessée en vous qui essaye de rester en vie. Mais rentrons dans le vif du sujet. Que cache vraiment cette faim ? La faim, ce mot que l'on croit comprendre avec la tête. Mais si cette faim n'était pas une affaire de ventre, mais de cœur. Et si ce n'était pas de nourriture que vous manquiez ? mais de reconnaissance, de tendresse, de place ou de considération. Car manger ou se priver sont deux stratégies opposées, mais une même blessure. Que l'on mange trop ou pas du tout, dans les deux cas, il s'agit d'un acte de régulation émotionnelle. C'est une réponse du corps à un trop plein ou à un trop vide intérieur. Manger jusqu'à l'excès, c'est tenter de remplir un vide affectif. Se priver, c'est souvent vouloir reprendre le contrôle d'un chaos émotionnel. Dans les deux cas, la nourriture devient le langage silencieux d'une douleur non écoutée. C'est le corps. qui fait ce qu'il peut pour garder l'équilibre avec les moyens qu'il a. Alors voyons plus précisément le ventre. On parlera du plexus solaire plus tard. Votre ventre, ce lieu de sécurité, ou au contraire, de guerre intérieure. Maladie inflammatoire, bonjour. Le ventre. Du moins, votre plexus solaire, c'est le siège de vos émotions. Et c'est là que nous digérons ce que nous mangeons. Et aussi ce que nous vivons. Un ventre noué, lourd, vide, gonflé, ce n'est pas qu'une question de digestion. C'est le reflet direct d'un monde intérieur agité. Évidemment que je vais évoquer un manque d'amour, de reconnaissance, d'espace d'expression émotionnelle durant votre enfance. Derrière beaucoup de troubles alimentaires, il y a une enfance où l'amour a pu manquer, ou n'a pas été perçu, avec un manque d'écoute, une absence de validation, une interdiction d'exprimer sa colère, sa peur et sa tristesse. Alors ces émotions refoulées ne disparaissent pas, non, elles descendent dans le corps. Et puis un jour, elles se transforment en comportement. C'est ce qu'explique Christian Flech dans sa lecture biologique, c'est-à-dire que la maladie, c'est la solution parfaite à un ressenti non exprimé. Et ici, les troubles alimentaires sont cette solution. Donc, vous comprenez que derrière un trouble alimentaire, il y a toujours une histoire émotionnelle non digérée. Bon, c'est valable pour toutes les autres maladies. traumatisme et même schéma répétitif. Mais pour les TCA, elle a commencé bien avant qu'on ne parle de poids, de corps ou de nourriture. Chez beaucoup de personnes concernées, il y a une faille très profonde liée à la sécurité. Une faille dans la sécurité intérieure. Alors pas forcément des événements traumatisants au sens classique, mais un terreau émotionnel instable. Un environnement où l'on ne pouvait pas exprimer ses émotions. Des parents très contrôlants ou au contraire, très absents. Ne vous inquiétez pas, on va parler de maman à la fin, et ça va faire un peu mal. Une peur de déranger, ou de trop prendre sa place. Une sensation d'être de trop, ou pas normale, ou trop sensible. Et alors le corps devient le terrain d'expression du mal-être. Et la nourriture devient un moyen de reprendre du pouvoir. Dans les TCA, on retrouve souvent deux mouvements opposés. Le besoin de contrôle, ou de fuite. Je m'explique. Le contrôle extrême. qui vient répondre à une peur du chaos, du vide et du rejet, ou alors la perte de contrôle qui surgit comme une forme de soulagement, une échappatoire, une anesthésie émotionnelle. Bon, dans les deux cas, ce sont des stratégies de survie, pas des caprices ni de la faiblesse. Ce sont des mécanismes que le corps et le système nerveux ont mis en place pour vous permettre de tenir. Vous avez d'ailleurs un épisode sur le nerve-vague, si vous souhaitez approfondir. Alors, selon la médecine traductrice chinoise, votre... corps digère vos émotions, normal puisque chaque organe possède sa propre émotion. Voyons d'abord votre axe central, la rate et votre estomac avec l'élémentaire. La rate, c'est la mer intérieure, celle qui vous permet de digérer, de vous recentrer, qui vous apporte de la douceur et surtout de l'ancrage. Et quand la rate est en vide, cela amène une rumination mentale, une obsession de l'alimentation, on suranalyse. Un besoin de sucrer sa vie pour compenser une absence de douceur émotionnelle. On est dans de l'hyper-contrôle mental et de l'alimentation émotionnelle, entraînant un épuisement profond du système digestif émotionnel. On se sent insatisfait, vide et épuisé. Et ça parle aussi de terre intérieure instable, ce manque d'ancrage, de centrage et de calme. Ensuite, il y a le fidèle compagnon de la rate et de l'estomac. En même temps, c'est le général de votre corps, le foie, avec son élément bois. C'est lui qui vous amène mouvement, capacité à s'adapter et à gérer la frustration. Et quand il est bloqué, ce général, il y a de la colère entrée, de la rigidité, des pulsions, des tensions internes, un gros perfectionnisme avec un accès de contrôle. Cela crée donc des stagnations émotionnelles qui demandent à être relâchées. Parfois, via des crises alimentaires. Alors finissons par la base de votre ancrage, les reins, avec son élément l'eau. En lien avec les ressources vitales, votre volonté, évidemment votre ancrage profond. Et quand le chi des reins est affaibli, apparaît alors un manque de volonté, un sentiment d'impuissance. Alors la volonté de votre rein et de votre ancrage n'a absolument rien à voir avec celui de votre mental. Le fameux credo de certains coachs, ouais quand on veut on peut, bah non en fait, phrase très conne d'ailleurs. Mais car quand votre rein est déséquilibré, non on peut pas. Et la volonté de votre mental vous rend encore plus malade. Il faut d'ailleurs vraiment que je fasse un épisode à ce sujet, c'est-à-dire à... comprendre quand ça concerne la volonté du rein ou la volonté de votre mental. Bon, à ce rythme, j'avoue, il va y avoir 10 saisons du podcast. Bon, il apparaît aussi, évidemment, sur votre rein des peurs, des peurs profondes, liées à l'existence, à l'incarnation. Alors, on observe souvent ce vide chez les personnes en grande déconnexion corporelle, ou chez celles ayant vécu des traumatismes. Et du point de vue des centres énergétiques, que révèlent les blocages de vos chakras ? On pourrait penser de suite aux racines ou au plexus. Oui, évidemment, mais pas que. Cela va être plus complexe que ça, car gardez en tête la loi fractale, puisque tous les chakras se retrouvent dans chacun des chakras. Alors, commençons par les fondations, oui. Votre chakra racine, qui symbolise la sécurité, la stabilité, les besoins fondamentaux. Le chakras racine, qui rappelle, si vous êtes en vie sur cette terre, c'est grâce à lui. Alors, donc... quand il est déséquilibré, le rapport à la nourriture devient un substitut à l'ancrage. On cherche à combler un vide existentiel par le plein physique. L'envie de contrôler ou de se restreindre devient alors une manière de reprendre un faux sentiment de stabilité. En lien direct avec la blessure d'abandon, effectivement on cherche une sécurité que l'on n'a pas reçue. Puis vient le chakra sacré, le lieu du plaisir, oui, mais surtout du goût. de vivre. Le goût, quand même, ça fait référence à la nourriture, non ? Eh bien, quand ce chakra sacré est bloqué, le rapport au plaisir devient problématique. Soit on le fuit, soit on l'idéalise. Dans ce monde moderne, ça s'appelle des régimes, oui. Une des plus grandes problématiques de dérèglement énergétique du chakra sacré. Très en lien, d'ailleurs, avec la blessure de rejet, car ce corps devient source de honte. Allez, on continue à monter avec le chakra du plexus solaire. le centre émotionnel de votre identité et de votre estime de soi. Et bien, quand ce chakra est affaibli, vous vous sentez impuissante face à ses comportements. La culpabilité arrive alors après chaque craquage. Remerciez votre mental. Puis du mal à poser aussi vos limites et à exprimer ce que l'on veut vraiment. Cela croise les blessures d'humiliation et d'injustice, souvent vécues dans le même rapport à l'autorité, au regard extérieur, à la performance. Et là... On peut souvent dire merci à un moment, mais j'ai dit, et je le répète, je vous en reparle tout à l'heure. On arrive au centre, au chakra du cœur, lien à l'amour, à la tendresse, à la compassion. Et quand ce chakra du cœur est blessé, cela amène de la difficulté à s'aimer, à se pardonner, à se traiter avec douceur. On entre alors dans de l'auto-jugement constant, avec un besoin de mériter l'amour. Et là, sincèrement, on peut trouver toutes les formes des blessures. Finissons avec le chakra la gorge, lieu de l'expression authentique, de votre vérité personnelle. Et bien quand ce chakra est bloqué, on a de la difficulté à dire non, à exprimer ses besoins, ses émotions. La nourriture devient alors un substitut à la parole. On avale au lieu de s'exprimer. Ici, c'est souvent la blessure de trahison qui peut se cacher. On a appris qu'on ne pouvait pas dire la vérité sans conséquence. Alors... Un trouble du comportement alimentaire, c'est aussi souvent un cri silencieux, d'une ou plusieurs blessures non reconnues. Elle se rejoue inconsciemment dans notre rapport au corps, à la nourriture, au contrôle, au manque, à la honte. Exemple, avec la blessure du rejet. Je ne me sens pas légitime d'exister. Elle se vit souvent très tôt dans l'enfance, avec un sentiment d'être en trop, ou même pas prévu. Ça se traduit dans le TCA par une volonté de disparaître, oui. comme de la restriction de l'anorexie. Un refus de prendre de la place, ça c'est l'obsession de la minceur. Une coupure du corps, comme un territoire d'existence. En lien avec le chakra racine, oui, ancrage et incarnation bonjour, et au rein en MTC avec derrière la peur de vivre et la peur de ne pas être assez. Avec la blessure d'abandon, la grande copine du rejet, je ne peux pas être seule. Vécue avec les liens affectifs précoces, avec l'impression de ne pas être soutenu. Ce traduit dans le TCA par un besoin de remplir un vide affectif. Oui, ça s'appelle de l'écompulsion ou de l'hyperphagie. Un rapport de dépendance à la nourriture, comme une mère de secours. Et là, on est en lien avec le chakra sacré et même la rate et l'estomac. Parce qu'il y a ce besoin de réconfort, de digestion émotionnelle. Sur la blessure d'humiliation, je n'ai pas le droit de me faire plaisir. Né dans des contextes où le plaisir, le corps ou les besoins ont été jugés. Se traduit dans le TCA par une honte de son corps, de ses pulsions et de son poids. Donc, de l'auto-sabotage, des cycles de punition-restriction. En lien avec le chakra du plexus solaire, donc votre valeur personnelle. Et le foie. en MTC avec une colère rentrée et un contrôle excessif. La blessure de trahison traduit « je ne peux faire confiance à personne » , liée à des promesses non tenues ou à des figures d'autorité instables. Ce traduit dans le TCA par un besoin de tout contrôler, donc une alimentation stricte, je ne reparle pas des régimes, ou de l'orthorexie. Une rigidité extrême dans le rapport au corps, en lien avec le chakra de la gorge, c'est-à-dire exprimer sa vérité et poser ses limites. Et à un fois déséquilibré avec de la planification et de la frustration, avec une blessure d'injustice, oui, je dois être parfaite, se vit donc avec une exigence forte sur soi-même, souvent avec un contexte familial dur ou froid. Et se traduit dans le TCA par le perfectionnisme, les règles alimentaires très strictes, qui va cacher quand même de l'anesthésie émotionnelle, et de la suradaptation, reliée au chakra du plexus solaire et à la rate, grâce ou à cause, de ses pensées obsessionnelles et sa rigidité. Alors ces blessures ne sont jamais responsables à elles seules d'Antessia, mais les reconnaître, les nommer, c'est déjà reprendre le pouvoir sur l'invisible qui agit en nous. Je pourrais aussi vous parler de cette peur du manque, de cette peur sourde, viscérale, ou encore de cette peur de disparaître, de ne plus compter pour personne. Mais en réalité, ce qu'on touche là, c'est souvent la peur de vivre. Et si vous saviez le nombre de personnes que je rencontre qui sont mortes intérieurement. Et je ne parle pas seulement d'être éteinte ou fatiguée. Je parle de ce moment où l'élan de vie n'est plus là. Où vivre est devenu trop lourd, trop risqué. Ces peurs, qu'on appelle souvent à tort, irrationnelles, sont inscrites dans les cellules. Et elles ne viennent pas de nulle part, non. Elles sont héritées, inscrites, parfois renforcées par des événements très tôt dans sa vie. Mémoire cellulaire, transgénérationnelle, mémoire émotionnelle, ce sont des couches qui se superposent et que le corps porte en silence. Derrière la peur de manquer, on retrouve souvent des mémoires de guerre, de famine, de privation. Moi-même, je vous ai déjà parlé de mon histoire familiale marquée par la famine. Et c'est parfois le chakra racine qui est complètement contracté, gelé dans l'alerte. Il y a aussi la peur de vivre. Quand vivre a rimé trop tôt avec souffrir, abandon, rejet ou humiliation. Alors on préfère s'anesthésier, ne plus sentir et ressentir. C'est souvent lié à la blessure d'abandon ou de rejet. Et cela peut bloquer l'énergie dans le chakra du cœur et du plexus. Et puis, il y a la peur de disparaître. Alors on mange, on remplit, on occupe l'espace pour ne pas être oublié. On veut être vu, reconnu et exister. Gardez en tête que ce sont des programmes de survie, des mécanismes de protection que le corps a activés très tôt. tôt, dès la petite enfance. Et encore une fois, le corps ne fait jamais rien contre vous. Non, il fait avec vous, avec ce qu'il peut, avec ce qu'il croit juste pour vous protéger. Et parfois ce trouble ne vous appartenait même pas. Et s'il était effectivement ce miroir d'un héritage invisible, un héritage familial, ancestral, karmique, le corps garde la trace de tout ce que vous avez vécu. Chaque cellule est un enregistreur sensible. Traumatisme, émotions refoulées, croyances profondes. Et avec les mémoires cellulaires, certains comportements alimentaires peuvent être liés à des épisodes de famine vécus dans cette vie ou dans d'autres. Des abus ou des violences enregistrées dans la mémoire du corps, des chocs non digérés qui ont créé une peur de manque, de la perte ou de l'existence même. La compulsion alors devient une protection et le refus de manger devient un refus d'incarner la douleur. Vous portez, sans le savoir peut-être, ces histoires de votre lignée. vos mémoires transgénérationnelles. Des générations de femmes qui se sont privées pour nourrir les autres. Des hommes qui ont appris à taire leurs besoins pour survivre. Des non-dits, des fausses couches, des secrets de famille, des morts violentes. Autant de charges émotionnelles que l'enfant peut capter sans les comprendre. Mais qu'il exprimera souvent dans son rapport à la nourriture. Je mange pour combler ce que ma mère n'a jamais reçu. Je me prive pour être loyale à mes ancêtres. qui ont connu la fin. Je me punis pour faire exister une mémoire que personne n'a osé regarder. Dans une approche plus spirituelle, ou alors plus perchée, certains troubles peuvent trouver leur origine dans d'autres vies, dans vos mémoires karmiques. Une vie antérieure marquée par la famine ou la pénitence. Un vœu de chasteté ou de purification par le jeûne. Une expérience de mort liée à la nourriture, surtout à l'empoisonnement, ou même avec un refus de s'incarner. Ces mémoires karmiques peuvent se réactiver dans cette vie pour être guéries, dépassées, du coup transcendées et transmutées. Bon, autant mettre les pieds dans le plat, le rapport au corps et donc à la nourriture, c'est souvent quand même un miroir direct du lien avec votre mère. Je me garde d'ailleurs un épisode entier là-dessus, parce que c'est un sujet central dans tous mes accompagnements, mais ici, j'ai besoin de poser les bases. Dès la naissance, et même avant, puisque lors des 9 mois de grossesse, c'est votre mère qui vous a nourri. par le cordon ombilical dans le ventre. C'est par elle que vous avez reçu vos premiers ressentis, vos premiers touchés, bercements ou vos premières absences. C'est dans cette relation-là que se sont construits votre rapport à l'attachement, votre sentiment de sécurité, votre rapport au corps. Qu'elle soit fusionnelle, absente, intrusive, distante, blessée, toxique, peu importe sa posture, elle a laissé une empreinte énergétique et émotionnelle. Et cette empreinte, elle se rejoue dans votre façon de manger. Manger pour combler l'absence. Se priver pour ne surtout pas devenir comme elle. Rejeter son corps pour rejeter l'image maternelle. Et bien d'autres exemples, car je vais éviter de vous parler de ces réflexions que vous avez sûrement pris dans la face lorsque vous mangez quelque chose, qui vous a sûrement mis au régime pour votre bien et j'en passe. Annick de Sousenel parle de la mère comme un archétype du miroir de l'incarnation. Et elle dit quelque chose de très fort, le refus du corps. Et parfois le refus de s'incarner pleinement dans une vie qui fait peur ou qui ne fait pas de sens. Et là, on touche un point essentiel, le refus du corps. Les TCA, le poids, les obsessions autour de la nourriture, c'est parfois, souvent, un refus inconscient d'incarner sa vie. Et souvent, ça commence avec maman. Alors je vais être directe, toute femme qui commence un chemin de développement personnel passera... à un moment ou à un autre, par la case reprogrammation du lien à sa mère. C'est inévitable. Et ne venez pas me dire, non, mais moi tout va bien avec ma mère. Parce que si je gratte un peu le vernis, je vais voir rapidement des loyautés invisibles, des dynamiques fusionnelles ou le refus même inconscient de prendre votre propre place. Et c'est là aussi que ça fait mal, mais c'est aussi là que ça commence à guérir. Par le chakra racine, pour la sécurité. Par le chakra sacré. pour la relation mère-enfant, la nourriture et le féminin, avec les blessures d'abandon, de trahison et de rejet, et l'équilibre énergétique de l'organe terre en MTC, donc la rate, cette mère symbolique qui digère tout, vos aliments et vos émotions. Un trouble du comportement alimentaire, ce n'est ni une faiblesse, ni un caprice, c'est une tentative d'autoréparation. Un cri du corps, évidemment, un appel du cœur, et surtout une recherche d'amour, de paix et de sécurité intérieure. Alors voyons quelques pistes d'accompagnement holistique, puisque j'ai entendu votre mental répondre « ouais elle est sympa l'autre, mais bon je fais comment moi maintenant ? » Alors voici quelques chemins concrets que vous pouvez explorer seul, mais surtout accompagné, pour ouvrir et réparer cet espace de guérison. Déjà, se reconnecter à votre corps, en douceur, par un yoga doux, ying par exemple, du qigong, de la danse libre, de la respiration consciente. Redonner au corps sa juste place, et non pas comme un ennemi à contrôler, mais comme un allié à écouter. Exprimez vos émotions par de la thérapie verbale, de l'écriture intuitive, de l'art-thérapie, des soins énergétiques, de l'hypnose, tout ce qui permet de libérer ce qui est resté figé dans votre corps. Évidemment, travailler l'ancrage et votre sécurité intérieure quand le corps mange ou se prive, c'est souvent qu'il ne se sent pas. en sécurité. Recréer ce sentiment, c'est retrouver un sol intérieur stable. C'est quand même vos fondations, même quand tout vacille autour. Et ça, c'est ce que je fais très souvent avec l'accompagnement conscience ancrage. Pourquoi j'ai dit très souvent ? C'est tout le temps en fait avec l'accompagnement conscience ancrage. Bref, se réconcilier évidemment avec son enfant intérieur. Apaiser sa relation avec sa mère, ce qui ne veut absolument pas dire se réconcilier avec elle en cas de conflit, non non. Mais c'est aussi se reconnecter à son féminin, ce que de nombreuses femmes ont perdu. Alors, oser revisiter vos blessures, vos carences affectives, vos injonctions, et mettre de l'amour là où il n'y en a pas eu. Évidemment, explorer vos mémoires, cellulaires, transgénérationnelles, karmiques, libérer ce qui ne vous appartient pas, les valises que vous avez héritées en arrivant sur cette terre. mais que vous portez malgré vous. Vous aurez une spiritualité, oui, mais incarnée, non pas la perché, pas pour fuir votre corps, mais au contraire, pour honorer ce temple vivant. Cela reste quand même votre véhicule terrestre, donc autant prendre soin, comme vous le faites sûrement, avec votre propre voiture. Eh bien, c'est pareil. Ce que je veux que vous reteniez de cet épisode, vous n'êtes pas faible, votre corps n'est pas contre vous, et vous n'avez pas à vous. punir pour exister. Votre comportement n'est pas un échec. C'est une tentative, une tentative qui mérite toute votre tendresse. Et si vous écoutez cet épisode et que les troubles alimentaires vous touchent de près ou de loin, je peux vous dire ceci. Vous êtes précieux et précieuse. Vous êtes Dignes, vous avez votre place. Vous méritez la paix. paix et surtout, vous êtes en sécurité, oui, même dans votre propre corps. Alors même si le chemin semble long, chaque prise de conscience est une victoire. Chaque larme peut être une mémoire qui s'allège. Chaque petit pas, c'est déjà un retour vers vous. Alors non, ce podcast n'a pas vocation à vous guérir. Mais si mes mots ont pu vous apporter des clés, alors oui, ce podcast aura déjà rempli sa mission. Merci d'avoir pris le temps, ce temps, avec moi aujourd'hui. Retrouvez d'autres épisodes sur Maison Lumière Holistique, Je ne veux pas guérir, la guérison est un choix, et bien d'autres épisodes sur les émotions, les chakras, l'ancrage, les blessures de l'âme, qui vont venir totalement compléter mon propos d'aujourd'hui. Sinon, je peux aussi vous accompagner dans ce cheminement intérieur, et surtout, n'oubliez jamais, vous êtes précieux et précieuses. À la semaine prochaine. N'hésitez pas à vous inscrire à ma newsletter mensuelle pour recevoir des nouvelles énergétiques tous les mois dans la vérolution. Et lors de votre inscription, récupérez gratuitement mon tout nouvel e-book sur le pouvoir du mental et ses croyances. Une plongée profonde pour comprendre l'impact de nos schémas de pensée et comment les transformer afin de retrouver plus de clarté et d'alignement dans votre vie. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où je partage mon expertise au quotidien et également toutes mes prestations, mon accompagnement Conscience en Crâge sur 3 mois, les initiations Reiki en ligne ou en présentiel et même les soins. audio-hypno-méditatif sur mon site internet www.veronictoraisin.fr Tous les liens pour me retrouver seront dans le descriptif de l'épisode. Vous pouvez écouter tous les autres épisodes sur les différentes plateformes d'écoute ainsi que sur ma chaîne YouTube. Et si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner, commenter, noter et même partager le podcast mise en lumière holistique. A nos prochaines écoutes, à vos prochaines prises de conscience. Merveilleux moment à vous. A très vite pour un prochain épisode. C'est encore une âme et un esprit et n'oubliez jamais d'être précieux.

Description

Bonjour à tous,


Dans cet épisode de Mise en lumière holistique, nous plongeons au cœur de notre rapport à la nourriture, bien au-delà des apparences et des symptômes des troubles du comportement alimentaire (TCA).

La nourriture, souvent perçue simplement comme un besoin physiologique, est en réalité un miroir de notre histoire émotionnelle, de nos blessures, et de notre manière d’aimer ou de nous négliger.


Nous explorons comment la nourriture peut devenir un refuge, un moyen d’expression, un outil de contrôle ou une source de conflit intérieur. Qu’est-ce que notre relation à la nourriture révèle sur notre équilibre émotionnel, notre estime de soi, et notre lien à notre corps ? Comment renouer avec une alimentation apaisée, intuitive, et respectueuse de notre bien-être global ?


Cet épisode invite à une réflexion douce et profonde, pour comprendre les racines invisibles des TCA, et ouvrir la voie vers une guérison holistique — où le corps, l’esprit et l’âme retrouvent harmonie.


Je vous souhaite une belle écoute !

Et n'oubliez jamais, vous êtes précieux ! 


Je suis Véronique Torresin, 

Mentor et Thérapeute Holistique 


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🎙 Retrouvez tous les épisodes de Mise en Lumière Holistique sur YouTube et les plateformes d’écoute 👉 Écouter ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ce n'est pas de la nourriture que j'ai besoin, c'est de paix avec moi-même. Les troubles du comportement alimentaire ne parlent pas que de corps. Ils parlent de contrôle, de vide, de peur, de manque d'amour parfois. Ils parlent surtout, dans ma lettre, que l'on a mis sous silence pendant longtemps et que le corps, lui, ne peut plus contenir. Alors on croit souvent que les troubles alimentaires sont une affaire de volonté, mais en réalité ce sont souvent des mécanismes de survie, des tentatives d'apaiser une douleur que l'on n'a pas prise à nommer. C'est le corps qui crie quand l'âme n'a pas été écoutée. Ce n'est pas une question de régime, de poids ou encore moins de discipline. C'est une histoire bien plus intime, plus complexe. Celle d'un corps qui tente de parler à la place du cœur quand il n'y a plus d'autre chemin. Bonjour et bienvenue sur le podcast Mise en lumière holistique, l'émission qui éclaire votre chemin intérieur vers le bien-être et la transformation. Je suis Véronique Thorezin, mentor spirituel et thérapeute holistique. derrière chaque épisode se cache un peu de mon histoire, de mon parcours avec une maladie inflammatoire neurologique, une sclérose en plaques, de ma résilience, de mes découvertes et apprentissages personnels qui sont devenus aujourd'hui mon expertise en tant que thérapeute dans ce cheminement de spiritualité, de développement personnel, de guérison et surtout de connaissance de soi-même. Venez récupérer des pièces de votre puzzle au travers de l'énergie éthique, de la médecine traditionnelle chinoise, de mindset, de symbolique de maladie, évidemment d'ancrage et de lâcher prise, et bien d'autres pratiques. pour vous permettre d'avancer, de comprendre et d'œuvrer sur vous-même. Chaque semaine, que ce soit seul ou avec des invités inspirants, nous explorerons divers aspects pour vous apporter des clés essentielles de compréhension dans votre épanouissement. Préparez-vous à illuminer votre chemin vers une vie consciente, ancrée et harmonieuse. Je vous souhaite la bienvenue pour ce moment d'écoute où vous découvrirez que vous êtes un corps, mais également une âme et un esprit. Préparez-vous à plonger dans une aventure transformative chaque semaine avec Mise en lumière holistique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Mise en Lumière Holistique, le podcast qui vous accompagne sur le chemin de la conscience, du corps, de l'énergie, des émotions et de tout ce qui, peut-être un jour, vous a coupé de vous-même. Alors aujourd'hui, je vais vous parler des TCA, les troubles du comportement alimentaire. Anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie, des comportements qu'on connaît parfois de l'intérieur ou que l'on a observé de loin sans toujours comprendre. ce qui s'y joue derrière. Ce que je vais vous partager ici ne remplace en aucun cas un accompagnement médical. Je vous le rappelle, ce podcast n'est pas un diagnostic ou un substitut à un accompagnement médical. Ce podcast est là pour vous proposer un autre regard. Un regard émotionnel, symbolique et énergétique. Un regard qui ne nie pas la réalité du trouble, mais qui tente d'en comprendre les racines profondes et invisibles. Parce que les troubles du comportement alimentaire, c'est un sujet qu'on connaît souvent trop bien. qu'on préfère éviter. Mais il ne s'agit pas uniquement d'anorexie, de boulimie ou d'hyperphagie diagnostiquée, il s'agit de cette relation invisible et pourtant constante qu'on entretient avec la nourriture. Ce lien intime, parfois violent, souvent honteux, entre ce que je mange, ce que je ressens et ce que je ne dis pas. Et si au fond, la nourriture était juste le symptôme, une réponse à un manque, à un cri étouffé, à un moyen et parfois le seul. pour gérer une émotion, de survivre, de tenir debout et surtout d'exister. Déjà, nous ne tombons jamais malades par hasard, gardez toujours cela en tête. Ça, c'est mon introduction à ce podcast. Parce qu'un comportement, surtout s'il devient destructeur, est souvent la seule réponse qu'on a trouvée à une douleur qu'on ne savait pas nommer autrement. La maladie n'est pas le problème, non, non, non, elle est la solution. qu'à trouver votre corps à un déséquilibre plus profond. Et si ce corps, en modifiant votre rapport à l'alimentation, ne faisait que vous protéger ? De façon maladroite, évidemment, douloureuse, mais surtout fidèle. Car la maladie vous parle, elle a un message pour vous. Et à vous maintenant de le comprendre, de le décoder. Comprendre que vos mots, M-O-T-S, entendus depuis votre enfance, vont devenir des mots, M-A-U-X, de votre vie d'adulte. Et ce sera tout. mon propos pendant ce podcast. La maladie est là pour vous faire passer un message que vous n'avez pas été capable d'entendre autrement qu'à travers cette maladie et la douleur ressentie à travers votre corps. Le but de ce podcast est de vous apporter des clés de compréhension par rapport à votre parcours, vos ressentis. En cet instant, je suis là pour planter des graines, pour vous éclairer dans votre propre cheminement de guérison et vous faire comprendre que votre corps et ses blocages ou problématiques ne fait que répondre. à votre plan émotionnel et votre plan mental. Et là, je vous laisse découvrir de nombreux épisodes du podcast sur les différents plans de conscience, ou encore comment se forme la maladie du point de vue énergétique. Que la guérison est un choix, ou même, je ne veux pas guérir. Des titres chocs, oui, mais qui peuvent vous parler et encore mieux résonner inconsciemment. Donc aujourd'hui, on va parler énergie, émotions, blessures, organes, chakras, MTC, oui, comme à chaque fois, ma sauce. Et on va relier tout ce que vous avez fragmenté. Surtout, on va le faire sans culpabilité. Donc débranchez votre mental car il risque de ne pas aimer la suite. Oui, il va être démasqué. Parce que ce que vous vivez n'est pas une faiblesse. C'est souvent une stratégie de survie. Qu'on peut venir transformer, ça, c'est la bonne nouvelle. Comme pour toutes les maladies d'ailleurs en général, de toute façon. Alors les TCA ou troubles du comportement alimentaire regroupent différentes formes de souffrance. L'anorexie mentale, où le contrôle devient vital. La boulimie, où l'on se remplit avant d'être vidé. L'hyperphagie, où l'on mange sans faim, parfois sans s'en rendre compte. L'orthorexie, où l'obsession du manger sain devient toxique. Oui, vive les réseaux sociaux ! Et d'autres encore souvent silencieuses et invisibles. Ces troubles ne sont pas une lubie, ce sont de vraies pathologies. souvent en lien avec l'anxiété, l'hypercontrôle, la culpabilité ou une estime de soi très fragile. D'un point de vue neuroscientifique, plusieurs éléments sont en jeu. Le système de récompense est souvent déréglé. La nourriture ou son absence devient un moyen d'avoir une forme de plaisir, de maîtrise, je dirais même de contrôle et d'anesthésie. Le cerveau limbique qui gère vos émotions entre en conflit avec le cortex préfrontal Celui qui juge, qui contrôle, qui exige. Oui, vous vous doutez bien que l'on va parler de votre mental dans cet épisode. Et très souvent, ce corps entre en état de dissociation. On se coupe des sensations, des signaux de faim ou de satiété. On s'anesthésie pour ne pas sentir ce qui fait mal. On se coupe donc de son corps. Encrage, non ? Ah bah si, un peu quand même, beaucoup même passionnément de cet ancrage. On aura l'occasion d'en parler tout le long de cet épisode. Alors les TCA peuvent aussi devenir un mécanisme de survie, donc oui, effectivement ancrage, celui du corps qui crie que les mots ne peuvent pas dire, celui de l'âme qui tente de rester à flot au milieu d'un océan intérieur agité. Donc, comme on a mon habitude, nous irons sur une approche symbolique de décodage énergétique, d'équilibre et surtout de déséquilibre. Ce que le corps exprime quand on le prive, quand on le remplit à outrance, des blessures enfouies derrière ce besoin de contrôle, des émotions non digérées qui s'expriment au travers des organes, selon la médecine traditionnelle chinoise, et le lien profond entre notre estime de soi et notre rapport au corps. Je vous partagerai des pistes, des compréhensions, des images, pas pour vous guérir, mais pour vous offrir des clés, parce que parfois il suffit d'une seule pour entreouvrir une porte. Et si aujourd'hui cette porte, c'était celle de la réconciliation avec vous-même ? Car déjà, quand on dit trouble du comportement alimentaire, on pense souvent aux étiquettes médicales. Oui, anorexie, boulimie, hyperphagie. Mais dans la vraie vie, c'est rarement aussi simple. Un TCA, c'est aussi ce moment où vous mangez alors que vous n'avez pas faim. Ce moment où vous sautez un repas parce que vous vous culpabilisez d'avoir trop mangé hier. Ce paquet de gâteaux engloutis sans même s'en rendre compte. Oups ! je me sens concernée. Cette voix intérieure qui dit je ne mérite pas, je suis nulle, je ne contrôle rien, avec cette tension permanente entre le contrôle et la perte de contrôle. Ce sont des schémas invisibles qui s'installent, une guerre intérieure entre votre corps et votre mental. Et souvent ça n'a rien à voir avec la nourriture. La nourriture devient alors le canal, celui qui apaise, ce qui vide, ce qui remplit. Et ce qui punit. Dans 100% des cas, un TCA, c'est un langage émotionnel et énergétique. C'est pas logique, ce n'est pas rationnel, et ce n'est surtout pas volontaire. C'est la partie la plus blessée en vous qui essaye de rester en vie. Mais rentrons dans le vif du sujet. Que cache vraiment cette faim ? La faim, ce mot que l'on croit comprendre avec la tête. Mais si cette faim n'était pas une affaire de ventre, mais de cœur. Et si ce n'était pas de nourriture que vous manquiez ? mais de reconnaissance, de tendresse, de place ou de considération. Car manger ou se priver sont deux stratégies opposées, mais une même blessure. Que l'on mange trop ou pas du tout, dans les deux cas, il s'agit d'un acte de régulation émotionnelle. C'est une réponse du corps à un trop plein ou à un trop vide intérieur. Manger jusqu'à l'excès, c'est tenter de remplir un vide affectif. Se priver, c'est souvent vouloir reprendre le contrôle d'un chaos émotionnel. Dans les deux cas, la nourriture devient le langage silencieux d'une douleur non écoutée. C'est le corps. qui fait ce qu'il peut pour garder l'équilibre avec les moyens qu'il a. Alors voyons plus précisément le ventre. On parlera du plexus solaire plus tard. Votre ventre, ce lieu de sécurité, ou au contraire, de guerre intérieure. Maladie inflammatoire, bonjour. Le ventre. Du moins, votre plexus solaire, c'est le siège de vos émotions. Et c'est là que nous digérons ce que nous mangeons. Et aussi ce que nous vivons. Un ventre noué, lourd, vide, gonflé, ce n'est pas qu'une question de digestion. C'est le reflet direct d'un monde intérieur agité. Évidemment que je vais évoquer un manque d'amour, de reconnaissance, d'espace d'expression émotionnelle durant votre enfance. Derrière beaucoup de troubles alimentaires, il y a une enfance où l'amour a pu manquer, ou n'a pas été perçu, avec un manque d'écoute, une absence de validation, une interdiction d'exprimer sa colère, sa peur et sa tristesse. Alors ces émotions refoulées ne disparaissent pas, non, elles descendent dans le corps. Et puis un jour, elles se transforment en comportement. C'est ce qu'explique Christian Flech dans sa lecture biologique, c'est-à-dire que la maladie, c'est la solution parfaite à un ressenti non exprimé. Et ici, les troubles alimentaires sont cette solution. Donc, vous comprenez que derrière un trouble alimentaire, il y a toujours une histoire émotionnelle non digérée. Bon, c'est valable pour toutes les autres maladies. traumatisme et même schéma répétitif. Mais pour les TCA, elle a commencé bien avant qu'on ne parle de poids, de corps ou de nourriture. Chez beaucoup de personnes concernées, il y a une faille très profonde liée à la sécurité. Une faille dans la sécurité intérieure. Alors pas forcément des événements traumatisants au sens classique, mais un terreau émotionnel instable. Un environnement où l'on ne pouvait pas exprimer ses émotions. Des parents très contrôlants ou au contraire, très absents. Ne vous inquiétez pas, on va parler de maman à la fin, et ça va faire un peu mal. Une peur de déranger, ou de trop prendre sa place. Une sensation d'être de trop, ou pas normale, ou trop sensible. Et alors le corps devient le terrain d'expression du mal-être. Et la nourriture devient un moyen de reprendre du pouvoir. Dans les TCA, on retrouve souvent deux mouvements opposés. Le besoin de contrôle, ou de fuite. Je m'explique. Le contrôle extrême. qui vient répondre à une peur du chaos, du vide et du rejet, ou alors la perte de contrôle qui surgit comme une forme de soulagement, une échappatoire, une anesthésie émotionnelle. Bon, dans les deux cas, ce sont des stratégies de survie, pas des caprices ni de la faiblesse. Ce sont des mécanismes que le corps et le système nerveux ont mis en place pour vous permettre de tenir. Vous avez d'ailleurs un épisode sur le nerve-vague, si vous souhaitez approfondir. Alors, selon la médecine traductrice chinoise, votre... corps digère vos émotions, normal puisque chaque organe possède sa propre émotion. Voyons d'abord votre axe central, la rate et votre estomac avec l'élémentaire. La rate, c'est la mer intérieure, celle qui vous permet de digérer, de vous recentrer, qui vous apporte de la douceur et surtout de l'ancrage. Et quand la rate est en vide, cela amène une rumination mentale, une obsession de l'alimentation, on suranalyse. Un besoin de sucrer sa vie pour compenser une absence de douceur émotionnelle. On est dans de l'hyper-contrôle mental et de l'alimentation émotionnelle, entraînant un épuisement profond du système digestif émotionnel. On se sent insatisfait, vide et épuisé. Et ça parle aussi de terre intérieure instable, ce manque d'ancrage, de centrage et de calme. Ensuite, il y a le fidèle compagnon de la rate et de l'estomac. En même temps, c'est le général de votre corps, le foie, avec son élément bois. C'est lui qui vous amène mouvement, capacité à s'adapter et à gérer la frustration. Et quand il est bloqué, ce général, il y a de la colère entrée, de la rigidité, des pulsions, des tensions internes, un gros perfectionnisme avec un accès de contrôle. Cela crée donc des stagnations émotionnelles qui demandent à être relâchées. Parfois, via des crises alimentaires. Alors finissons par la base de votre ancrage, les reins, avec son élément l'eau. En lien avec les ressources vitales, votre volonté, évidemment votre ancrage profond. Et quand le chi des reins est affaibli, apparaît alors un manque de volonté, un sentiment d'impuissance. Alors la volonté de votre rein et de votre ancrage n'a absolument rien à voir avec celui de votre mental. Le fameux credo de certains coachs, ouais quand on veut on peut, bah non en fait, phrase très conne d'ailleurs. Mais car quand votre rein est déséquilibré, non on peut pas. Et la volonté de votre mental vous rend encore plus malade. Il faut d'ailleurs vraiment que je fasse un épisode à ce sujet, c'est-à-dire à... comprendre quand ça concerne la volonté du rein ou la volonté de votre mental. Bon, à ce rythme, j'avoue, il va y avoir 10 saisons du podcast. Bon, il apparaît aussi, évidemment, sur votre rein des peurs, des peurs profondes, liées à l'existence, à l'incarnation. Alors, on observe souvent ce vide chez les personnes en grande déconnexion corporelle, ou chez celles ayant vécu des traumatismes. Et du point de vue des centres énergétiques, que révèlent les blocages de vos chakras ? On pourrait penser de suite aux racines ou au plexus. Oui, évidemment, mais pas que. Cela va être plus complexe que ça, car gardez en tête la loi fractale, puisque tous les chakras se retrouvent dans chacun des chakras. Alors, commençons par les fondations, oui. Votre chakra racine, qui symbolise la sécurité, la stabilité, les besoins fondamentaux. Le chakras racine, qui rappelle, si vous êtes en vie sur cette terre, c'est grâce à lui. Alors, donc... quand il est déséquilibré, le rapport à la nourriture devient un substitut à l'ancrage. On cherche à combler un vide existentiel par le plein physique. L'envie de contrôler ou de se restreindre devient alors une manière de reprendre un faux sentiment de stabilité. En lien direct avec la blessure d'abandon, effectivement on cherche une sécurité que l'on n'a pas reçue. Puis vient le chakra sacré, le lieu du plaisir, oui, mais surtout du goût. de vivre. Le goût, quand même, ça fait référence à la nourriture, non ? Eh bien, quand ce chakra sacré est bloqué, le rapport au plaisir devient problématique. Soit on le fuit, soit on l'idéalise. Dans ce monde moderne, ça s'appelle des régimes, oui. Une des plus grandes problématiques de dérèglement énergétique du chakra sacré. Très en lien, d'ailleurs, avec la blessure de rejet, car ce corps devient source de honte. Allez, on continue à monter avec le chakra du plexus solaire. le centre émotionnel de votre identité et de votre estime de soi. Et bien, quand ce chakra est affaibli, vous vous sentez impuissante face à ses comportements. La culpabilité arrive alors après chaque craquage. Remerciez votre mental. Puis du mal à poser aussi vos limites et à exprimer ce que l'on veut vraiment. Cela croise les blessures d'humiliation et d'injustice, souvent vécues dans le même rapport à l'autorité, au regard extérieur, à la performance. Et là... On peut souvent dire merci à un moment, mais j'ai dit, et je le répète, je vous en reparle tout à l'heure. On arrive au centre, au chakra du cœur, lien à l'amour, à la tendresse, à la compassion. Et quand ce chakra du cœur est blessé, cela amène de la difficulté à s'aimer, à se pardonner, à se traiter avec douceur. On entre alors dans de l'auto-jugement constant, avec un besoin de mériter l'amour. Et là, sincèrement, on peut trouver toutes les formes des blessures. Finissons avec le chakra la gorge, lieu de l'expression authentique, de votre vérité personnelle. Et bien quand ce chakra est bloqué, on a de la difficulté à dire non, à exprimer ses besoins, ses émotions. La nourriture devient alors un substitut à la parole. On avale au lieu de s'exprimer. Ici, c'est souvent la blessure de trahison qui peut se cacher. On a appris qu'on ne pouvait pas dire la vérité sans conséquence. Alors... Un trouble du comportement alimentaire, c'est aussi souvent un cri silencieux, d'une ou plusieurs blessures non reconnues. Elle se rejoue inconsciemment dans notre rapport au corps, à la nourriture, au contrôle, au manque, à la honte. Exemple, avec la blessure du rejet. Je ne me sens pas légitime d'exister. Elle se vit souvent très tôt dans l'enfance, avec un sentiment d'être en trop, ou même pas prévu. Ça se traduit dans le TCA par une volonté de disparaître, oui. comme de la restriction de l'anorexie. Un refus de prendre de la place, ça c'est l'obsession de la minceur. Une coupure du corps, comme un territoire d'existence. En lien avec le chakra racine, oui, ancrage et incarnation bonjour, et au rein en MTC avec derrière la peur de vivre et la peur de ne pas être assez. Avec la blessure d'abandon, la grande copine du rejet, je ne peux pas être seule. Vécue avec les liens affectifs précoces, avec l'impression de ne pas être soutenu. Ce traduit dans le TCA par un besoin de remplir un vide affectif. Oui, ça s'appelle de l'écompulsion ou de l'hyperphagie. Un rapport de dépendance à la nourriture, comme une mère de secours. Et là, on est en lien avec le chakra sacré et même la rate et l'estomac. Parce qu'il y a ce besoin de réconfort, de digestion émotionnelle. Sur la blessure d'humiliation, je n'ai pas le droit de me faire plaisir. Né dans des contextes où le plaisir, le corps ou les besoins ont été jugés. Se traduit dans le TCA par une honte de son corps, de ses pulsions et de son poids. Donc, de l'auto-sabotage, des cycles de punition-restriction. En lien avec le chakra du plexus solaire, donc votre valeur personnelle. Et le foie. en MTC avec une colère rentrée et un contrôle excessif. La blessure de trahison traduit « je ne peux faire confiance à personne » , liée à des promesses non tenues ou à des figures d'autorité instables. Ce traduit dans le TCA par un besoin de tout contrôler, donc une alimentation stricte, je ne reparle pas des régimes, ou de l'orthorexie. Une rigidité extrême dans le rapport au corps, en lien avec le chakra de la gorge, c'est-à-dire exprimer sa vérité et poser ses limites. Et à un fois déséquilibré avec de la planification et de la frustration, avec une blessure d'injustice, oui, je dois être parfaite, se vit donc avec une exigence forte sur soi-même, souvent avec un contexte familial dur ou froid. Et se traduit dans le TCA par le perfectionnisme, les règles alimentaires très strictes, qui va cacher quand même de l'anesthésie émotionnelle, et de la suradaptation, reliée au chakra du plexus solaire et à la rate, grâce ou à cause, de ses pensées obsessionnelles et sa rigidité. Alors ces blessures ne sont jamais responsables à elles seules d'Antessia, mais les reconnaître, les nommer, c'est déjà reprendre le pouvoir sur l'invisible qui agit en nous. Je pourrais aussi vous parler de cette peur du manque, de cette peur sourde, viscérale, ou encore de cette peur de disparaître, de ne plus compter pour personne. Mais en réalité, ce qu'on touche là, c'est souvent la peur de vivre. Et si vous saviez le nombre de personnes que je rencontre qui sont mortes intérieurement. Et je ne parle pas seulement d'être éteinte ou fatiguée. Je parle de ce moment où l'élan de vie n'est plus là. Où vivre est devenu trop lourd, trop risqué. Ces peurs, qu'on appelle souvent à tort, irrationnelles, sont inscrites dans les cellules. Et elles ne viennent pas de nulle part, non. Elles sont héritées, inscrites, parfois renforcées par des événements très tôt dans sa vie. Mémoire cellulaire, transgénérationnelle, mémoire émotionnelle, ce sont des couches qui se superposent et que le corps porte en silence. Derrière la peur de manquer, on retrouve souvent des mémoires de guerre, de famine, de privation. Moi-même, je vous ai déjà parlé de mon histoire familiale marquée par la famine. Et c'est parfois le chakra racine qui est complètement contracté, gelé dans l'alerte. Il y a aussi la peur de vivre. Quand vivre a rimé trop tôt avec souffrir, abandon, rejet ou humiliation. Alors on préfère s'anesthésier, ne plus sentir et ressentir. C'est souvent lié à la blessure d'abandon ou de rejet. Et cela peut bloquer l'énergie dans le chakra du cœur et du plexus. Et puis, il y a la peur de disparaître. Alors on mange, on remplit, on occupe l'espace pour ne pas être oublié. On veut être vu, reconnu et exister. Gardez en tête que ce sont des programmes de survie, des mécanismes de protection que le corps a activés très tôt. tôt, dès la petite enfance. Et encore une fois, le corps ne fait jamais rien contre vous. Non, il fait avec vous, avec ce qu'il peut, avec ce qu'il croit juste pour vous protéger. Et parfois ce trouble ne vous appartenait même pas. Et s'il était effectivement ce miroir d'un héritage invisible, un héritage familial, ancestral, karmique, le corps garde la trace de tout ce que vous avez vécu. Chaque cellule est un enregistreur sensible. Traumatisme, émotions refoulées, croyances profondes. Et avec les mémoires cellulaires, certains comportements alimentaires peuvent être liés à des épisodes de famine vécus dans cette vie ou dans d'autres. Des abus ou des violences enregistrées dans la mémoire du corps, des chocs non digérés qui ont créé une peur de manque, de la perte ou de l'existence même. La compulsion alors devient une protection et le refus de manger devient un refus d'incarner la douleur. Vous portez, sans le savoir peut-être, ces histoires de votre lignée. vos mémoires transgénérationnelles. Des générations de femmes qui se sont privées pour nourrir les autres. Des hommes qui ont appris à taire leurs besoins pour survivre. Des non-dits, des fausses couches, des secrets de famille, des morts violentes. Autant de charges émotionnelles que l'enfant peut capter sans les comprendre. Mais qu'il exprimera souvent dans son rapport à la nourriture. Je mange pour combler ce que ma mère n'a jamais reçu. Je me prive pour être loyale à mes ancêtres. qui ont connu la fin. Je me punis pour faire exister une mémoire que personne n'a osé regarder. Dans une approche plus spirituelle, ou alors plus perchée, certains troubles peuvent trouver leur origine dans d'autres vies, dans vos mémoires karmiques. Une vie antérieure marquée par la famine ou la pénitence. Un vœu de chasteté ou de purification par le jeûne. Une expérience de mort liée à la nourriture, surtout à l'empoisonnement, ou même avec un refus de s'incarner. Ces mémoires karmiques peuvent se réactiver dans cette vie pour être guéries, dépassées, du coup transcendées et transmutées. Bon, autant mettre les pieds dans le plat, le rapport au corps et donc à la nourriture, c'est souvent quand même un miroir direct du lien avec votre mère. Je me garde d'ailleurs un épisode entier là-dessus, parce que c'est un sujet central dans tous mes accompagnements, mais ici, j'ai besoin de poser les bases. Dès la naissance, et même avant, puisque lors des 9 mois de grossesse, c'est votre mère qui vous a nourri. par le cordon ombilical dans le ventre. C'est par elle que vous avez reçu vos premiers ressentis, vos premiers touchés, bercements ou vos premières absences. C'est dans cette relation-là que se sont construits votre rapport à l'attachement, votre sentiment de sécurité, votre rapport au corps. Qu'elle soit fusionnelle, absente, intrusive, distante, blessée, toxique, peu importe sa posture, elle a laissé une empreinte énergétique et émotionnelle. Et cette empreinte, elle se rejoue dans votre façon de manger. Manger pour combler l'absence. Se priver pour ne surtout pas devenir comme elle. Rejeter son corps pour rejeter l'image maternelle. Et bien d'autres exemples, car je vais éviter de vous parler de ces réflexions que vous avez sûrement pris dans la face lorsque vous mangez quelque chose, qui vous a sûrement mis au régime pour votre bien et j'en passe. Annick de Sousenel parle de la mère comme un archétype du miroir de l'incarnation. Et elle dit quelque chose de très fort, le refus du corps. Et parfois le refus de s'incarner pleinement dans une vie qui fait peur ou qui ne fait pas de sens. Et là, on touche un point essentiel, le refus du corps. Les TCA, le poids, les obsessions autour de la nourriture, c'est parfois, souvent, un refus inconscient d'incarner sa vie. Et souvent, ça commence avec maman. Alors je vais être directe, toute femme qui commence un chemin de développement personnel passera... à un moment ou à un autre, par la case reprogrammation du lien à sa mère. C'est inévitable. Et ne venez pas me dire, non, mais moi tout va bien avec ma mère. Parce que si je gratte un peu le vernis, je vais voir rapidement des loyautés invisibles, des dynamiques fusionnelles ou le refus même inconscient de prendre votre propre place. Et c'est là aussi que ça fait mal, mais c'est aussi là que ça commence à guérir. Par le chakra racine, pour la sécurité. Par le chakra sacré. pour la relation mère-enfant, la nourriture et le féminin, avec les blessures d'abandon, de trahison et de rejet, et l'équilibre énergétique de l'organe terre en MTC, donc la rate, cette mère symbolique qui digère tout, vos aliments et vos émotions. Un trouble du comportement alimentaire, ce n'est ni une faiblesse, ni un caprice, c'est une tentative d'autoréparation. Un cri du corps, évidemment, un appel du cœur, et surtout une recherche d'amour, de paix et de sécurité intérieure. Alors voyons quelques pistes d'accompagnement holistique, puisque j'ai entendu votre mental répondre « ouais elle est sympa l'autre, mais bon je fais comment moi maintenant ? » Alors voici quelques chemins concrets que vous pouvez explorer seul, mais surtout accompagné, pour ouvrir et réparer cet espace de guérison. Déjà, se reconnecter à votre corps, en douceur, par un yoga doux, ying par exemple, du qigong, de la danse libre, de la respiration consciente. Redonner au corps sa juste place, et non pas comme un ennemi à contrôler, mais comme un allié à écouter. Exprimez vos émotions par de la thérapie verbale, de l'écriture intuitive, de l'art-thérapie, des soins énergétiques, de l'hypnose, tout ce qui permet de libérer ce qui est resté figé dans votre corps. Évidemment, travailler l'ancrage et votre sécurité intérieure quand le corps mange ou se prive, c'est souvent qu'il ne se sent pas. en sécurité. Recréer ce sentiment, c'est retrouver un sol intérieur stable. C'est quand même vos fondations, même quand tout vacille autour. Et ça, c'est ce que je fais très souvent avec l'accompagnement conscience ancrage. Pourquoi j'ai dit très souvent ? C'est tout le temps en fait avec l'accompagnement conscience ancrage. Bref, se réconcilier évidemment avec son enfant intérieur. Apaiser sa relation avec sa mère, ce qui ne veut absolument pas dire se réconcilier avec elle en cas de conflit, non non. Mais c'est aussi se reconnecter à son féminin, ce que de nombreuses femmes ont perdu. Alors, oser revisiter vos blessures, vos carences affectives, vos injonctions, et mettre de l'amour là où il n'y en a pas eu. Évidemment, explorer vos mémoires, cellulaires, transgénérationnelles, karmiques, libérer ce qui ne vous appartient pas, les valises que vous avez héritées en arrivant sur cette terre. mais que vous portez malgré vous. Vous aurez une spiritualité, oui, mais incarnée, non pas la perché, pas pour fuir votre corps, mais au contraire, pour honorer ce temple vivant. Cela reste quand même votre véhicule terrestre, donc autant prendre soin, comme vous le faites sûrement, avec votre propre voiture. Eh bien, c'est pareil. Ce que je veux que vous reteniez de cet épisode, vous n'êtes pas faible, votre corps n'est pas contre vous, et vous n'avez pas à vous. punir pour exister. Votre comportement n'est pas un échec. C'est une tentative, une tentative qui mérite toute votre tendresse. Et si vous écoutez cet épisode et que les troubles alimentaires vous touchent de près ou de loin, je peux vous dire ceci. Vous êtes précieux et précieuse. Vous êtes Dignes, vous avez votre place. Vous méritez la paix. paix et surtout, vous êtes en sécurité, oui, même dans votre propre corps. Alors même si le chemin semble long, chaque prise de conscience est une victoire. Chaque larme peut être une mémoire qui s'allège. Chaque petit pas, c'est déjà un retour vers vous. Alors non, ce podcast n'a pas vocation à vous guérir. Mais si mes mots ont pu vous apporter des clés, alors oui, ce podcast aura déjà rempli sa mission. Merci d'avoir pris le temps, ce temps, avec moi aujourd'hui. Retrouvez d'autres épisodes sur Maison Lumière Holistique, Je ne veux pas guérir, la guérison est un choix, et bien d'autres épisodes sur les émotions, les chakras, l'ancrage, les blessures de l'âme, qui vont venir totalement compléter mon propos d'aujourd'hui. Sinon, je peux aussi vous accompagner dans ce cheminement intérieur, et surtout, n'oubliez jamais, vous êtes précieux et précieuses. À la semaine prochaine. N'hésitez pas à vous inscrire à ma newsletter mensuelle pour recevoir des nouvelles énergétiques tous les mois dans la vérolution. Et lors de votre inscription, récupérez gratuitement mon tout nouvel e-book sur le pouvoir du mental et ses croyances. Une plongée profonde pour comprendre l'impact de nos schémas de pensée et comment les transformer afin de retrouver plus de clarté et d'alignement dans votre vie. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où je partage mon expertise au quotidien et également toutes mes prestations, mon accompagnement Conscience en Crâge sur 3 mois, les initiations Reiki en ligne ou en présentiel et même les soins. audio-hypno-méditatif sur mon site internet www.veronictoraisin.fr Tous les liens pour me retrouver seront dans le descriptif de l'épisode. Vous pouvez écouter tous les autres épisodes sur les différentes plateformes d'écoute ainsi que sur ma chaîne YouTube. Et si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner, commenter, noter et même partager le podcast mise en lumière holistique. A nos prochaines écoutes, à vos prochaines prises de conscience. Merveilleux moment à vous. A très vite pour un prochain épisode. C'est encore une âme et un esprit et n'oubliez jamais d'être précieux.

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