Speaker #0Hello, hello ! Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode solo, le premier épisode solo de Mordant. Ça fait un petit moment que j'y pense, j'hésitais beaucoup à sauter le pas, je me posais beaucoup la question de la légitimité. Est-ce que mes histoires vont intéresser quelqu'un ? Parce que c'est facile d'être ce côté du micro quand on pose les questions et qu'on écoute, c'est hyper intéressant, mais est-ce que l'inverse va intéresser tout autant ? Je me suis posé la question si c'était quelqu'un d'autre. Et effectivement, les podcasts que j'écoute, par exemple des podcasts format interview ou certains que des épisodes solo, j'adore en fait. Même si ça ne parle pas que de la personne et que de l'autre, il peut y avoir des sujets, mais ça parle de leur expérience et c'est vraiment limite mes épisodes préférés. Donc je me suis dit, pourquoi pas moi ? Et je pense qu'après dix ans d'expérience en ostéopathe, en tant qu'ostéopathe, j'ai ma casquette de formatrice maintenant, j'ai ma casquette de podcasteuse depuis quatre ans. J'ai des casquettes un petit peu aussi dans le côté événementiel, bientôt jury, maman, enfin voilà, en tant que libérale, entrepreneur. Je pense qu'il y a pas mal de choses à dire et aussi on a beaucoup manqué en tant qu'ostéopathe animalier de rôle modèle. Je dis pas que je vais être un rôle modèle mais il n'y avait pas beaucoup d'exemples avant nous, à part certains profs. Et en fait il fallait être un peu proche d'eux, leur poser des questions et tout pour savoir. un peu comment le futur allait s'orienter, mais ce n'était pas évident de se projeter du coup. Et voilà, donc je pense que ces petits épisodes solos, ces journales de bord un petit peu, vont permettre de moi me livrer un petit peu plus sur ma personne, et voilà, raconter un petit peu ma vie de podcasteuse et de toutes ces casquettes, et pourquoi pas aider les gens à me connaître, aider des futurs professionnels, ou me comprendre un petit peu plus en tant que personne. Alors pour le premier épisode, je vais rester sur le sujet du podcast, comme on est sur mon podcast, et je pense que je n'ai pas énormément parlé des coulisses. Même si je dis en descriptif qu'on peut suivre les coulisses de mordant sur mon compte Insta, Mathilde Osteo, c'est vrai que je partage des petites photos par-ci par-là, mais pas non plus de façon très profonde. Et donc voilà pourquoi ces petits épisodes, et voilà pourquoi ce premier épisode. Je vais vous expliquer... pourquoi, comment, quelles ont été mes difficultés, mes émerveillements en tant que podcasteuse, et également peut-être mes projets futurs et des petites anecdotes, si ça me vient pendant cet épisode. Alors j'ai toujours été très très friande des podcasts. Alors je suis ostéopathe animalier, et en tant qu'ostéopathe animalier, on passe énormément de temps en voiture. C'est vrai qu'on peut avoir un cabinet. Certains maintenant, même de plus en plus... ont un cabinet ou travaillent en clinique. Mais il ne reste pas moins qu'on fait quand même pas mal de déplacements à domicile pour la plupart des gens. Et au bout d'un moment, moi, la musique, je ne supporte pas. J'ai une hypersensibilité acoustique qui fait qu'au bout d'un moment, quand il y a trop de son, ça m'énerve. Ça m'énerve, ça m'irrite au plus profond de moi. Et donc, il faut arrêter. Mes proches m'en veulent souvent. D'être sensible comme ça, mais je ne fais pas exprès, c'est vraiment ma nature, c'est vraiment plus fort que moi. Et voilà, donc en voiture, au bout d'un moment, la musique m'énerve. C'est comme ça que j'ai écouté les podcasts. J'ai découvert d'abord les podcasts avec Transfer, c'est un podcast qui existe toujours, c'est un podcast narratif, avec des gens qui vont raconter ce qui leur est arrivé, de façon extraordinaire ou ordinaire, ça dépend des fois, mais en tout cas, à chaque fois, c'est assez prenant comme histoire. Donc je me rappelle avoir découvert le monde du podcast avec ça. Après, j'ai plutôt écouté des formats interview comme InPower, après avec la maternité plutôt Bliss, la matricence, et voilà. Les locomotives à fond maintenant, business, le côté femme, expérience de vie, j'adore. Et voilà, et je change en fonction de mes envies, des sorties. Il y a quatre ans, c'était... C'était déjà un peu courant. C'était quand même assez courant. Je ne suis pas précurseuse. Mais maintenant, c'est très courant les podcasts. Un peu tous les influenceurs qui font leurs petits podcasts. Et c'est très facile à créer. Clairement, on prend un enregistreur, des micros. On balance sur les plateformes. Et voilà. Après, c'est compliqué de garder la motivation, le travail. Voilà. Donc, il faut savoir avoir en tête ça. Et je n'avais pas en tête tout ça. Donc, je reviens à mes moutons. Pourquoi j'ai fait le podcast ? Parce que de base, je suis beaucoup en voiture, j'écoutais beaucoup les podcasts. Et un jour, j'ai été invitée sur le podcast de Chou, de Maud Fédière, qui a le podcast Chou, chacun son chien. Et c'est un de ses premiers épisodes. D'ailleurs, n'allez pas écouter mon épisode avec elle, il doit tenir 20-30 minutes. Je développe pas du tout, j'étais pas du tout à l'aise. Et encore ce truc de légitimité, quoi, à me poser les questions et j'y répondais. je développe pas plus que ça parce que j'ai toujours l'impression que ce que je vais raconter ça va intéresser personne et que ça va pas être pertinent et que ça va être médiocre en fait, c'est toujours ce truc là. Alors que je me rends compte que l'image que je donne actuellement n'est pas celle que je me fais de moi-même. Souvent on me pose des questions et je peux être... comme un peu un modèle pour certaines étudiantes en ostéopathie ou jeunes ostéo. Je ne dis pas que je le suis, je dis que c'est les retours que j'ai. Donc voilà, moi je ne le trouve pas du tout, parce que si vous étiez à ma place, vous verrez toutes les insécurités et la fatigue que j'ai. Ce n'est pas du tout ce que je ressens, mais c'est les retours que j'ai. Et voilà, donc ce podcast va aussi vous aider et peut-être faire transparaître un peu plus de moi et de mon ressenti de l'intérieur. Et voilà, n'allez pas écouter cet épisode. En fait, après cet épisode, ou avant, je ne me rappelle plus trop comment, mais en tout cas, après, c'est sûr, j'ai posé plein de questions à Maud pour comment créer son podcast, en fait, et elle m'a beaucoup aidée, donc je le remercie assez régulièrement. On est toujours en contact, d'ailleurs, et on s'aide mutuellement, donc ça a été une très très belle connaissance. Et donc, je me suis dit, allez, pendant un long moment, elle m'avait quand même bien dit que c'était compliqué. En fait, ce n'est pas compliqué à démarrer, mais c'est compliqué à tenir. Elle m'avait bien précisé, je sautais pas le pas, mais j'avais plein d'idées en tête. Donc il y a Chou, podcast, qui a été un modèle pour moi en tant que podcast, et aussi et surtout la santé d'Étienne Bullidon, qui est un ostéopathe humain, qui a son podcast, Ostéopathe humain, ostéopathe de l'équipe de basket d'Asvel de Lyon. Et voilà, son podcast est hyper intéressant aussi, je vous écoute, allez l'écouter si vous ne le faites toujours pas, mais je pense que si. Et voilà, donc je me suis dit, un peu de chien, un peu d'ostéo, un peu de bien-être animal, j'aimerais bien réunir tous les sujets et en faire un podcast, ça n'existe pas, et donc mon cerveau tournait à fond les ballons avec plein d'idées, sans se mettre à l'action, et puis un jour je me suis dit, allez hop, why not, je suis allée voir des petits tutos, comment lancer son podcast, quel matériel acheter, et je me suis lancée. Je me suis lancée avec un épisode toutes les trois semaines. J'ai tenu, je pense, un an comme ça. Après... Plus ou moins un mois, il y a des fois où j'ai eu des trous de plusieurs mois. Après j'ai eu mon bébé l'année dernière, donc j'ai eu aussi des petits trous. Mais voilà, ça s'espace. Là cette année, j'ai pas eu beaucoup d'épisodes, un tous les deux mois à peu près. Et là je vais essayer de tenir tous les mois. Voilà, ne pas trop se mettre de pression. Mais c'est vraiment quelque chose que j'adore. Il faut vraiment que j'arrive après à le caler dans mon emploi du temps. C'est quelque chose qui prend. énormément de temps, c'est un truc de folie. Ce qui prend le moins de temps finalement, c'est de faire l'interview avec la personne. Parce que mon cerveau a plein d'idées, plein de sujets, de tables rondes, d'interviews en tête. Franchement, ça, ça fuse. J'ai une liste, enfin, j'ai plein de listes sur mes notes de l'iPhone. Après, il faut contacter la personne, il faut qu'elle réponde, il faut qu'elle soit OK. Il faut trouver un rendez-vous. Et ensuite, il faut monter l'épisode, ça, ça prend quand même plusieurs heures. Vraiment parce que je fais deux écoutes à chaque fois, j'enlève les tics de langage, j'enlève les bégaiements, j'enlève les petites parties qu'on veut enlever. Ensuite il faut créer l'intro, la conclusion, pourquoi pas trouver un sponsor. Dernièrement aussi j'ai essayé de trouver des sponsors pour m'aider un petit peu financièrement. Et voilà, et après il faut faire le texte du résumé sur l'hébergeur, il faut faire une miniature, il faut préparer aussi la publication. sur les réseaux avec plusieurs images, un petit texte aussi qui est un peu plus petit, un peu différent de celui sur Spotify ou Deezer par exemple. Et voilà. Donc en fait, toute la mise en page derrière est encore plus longue. Et le montage, la mise en page, tout ça, c'est extrêmement long. Et c'est une partie que j'adore faire. À chaque fois, je me fais avoir en me disant, tiens, je vais faire ça là, j'ai un petit peu de temps, là, là, là. Et voilà. Donc je ne suis pas organisée podcast. À chaque fois, je faisais ça dans mes temps morts, entre les couilles. cours et les consultations. Ce qui fait que, voilà, c'est un peu n'importe comment. Ça passait sans bébé, mais avec un bébé, c'est vrai que c'est tant d'axes. Et donc là, j'essaye, je vais essayer de faire une journée par semaine, c'est que pour ça. Sachant en plus que cet été, j'ai trouvé une petite agence qui s'occupe de moi, c'est trop cool, au niveau des sponsors. Donc elle va essayer de me trouver des sponsors pour chaque épisode afin d'avoir un petit pécule. Pour m'aider, quoi, pour mon travail, parce qu'un podcast, c'est pas comme YouTube. Il n'y a pas du tout de revenu à l'écoute. D'ailleurs, les écoutes sont cachées. On ne peut pas savoir combien... Moi, je peux savoir, mais vous, vous ne voyez pas combien de fois l'épisode a été écouté. C'est quelque chose d'assez opaque. Il n'y a pas de revenu au nombre d'écoutes et il n'y a pas non plus d'algorithme. Quand on est sur un podcast ou de Deezer, il n'y a rien qui met en avant le truc secteur animalier. Enfin, il y a, mais c'est très très faible. en fait il n'y a pas un espèce de d'algorithme qui fait que ça tourne et qu'on tombe par hasard sur un épisode. Il faut vraiment déjà écouter quelques épisodes podcast pour que ça en mette en avant certains autres. Mais je pense que je suis vraiment trop loin, trop loin dans les abysses pour qu'on mette mon épisode en avant. Mais je ne continue pas de rêver. Je sais que c'est très compliqué, qu'il faut avoir aussi un réseau et que c'est pas que la qualité de l'épisode. Il faut avoir un réseau, que ça boume quelque part. Je ne rêve pas vraiment officiellement de ça, mais c'est un rêve que... que j'aimerais bien avoir un jour, mais je pense que je ne mets pas les moyens pour, puisque comme ce n'est pas financièrement rentable, c'est dur de se mettre à fond dedans et de perdre du temps, alors que je pourrais mettre ce temps pour des consultations, des cours ou quelque chose de concrètement rentable. Donc voilà, pour l'organisation podcast, j'ai commencé avec des personnes que je connaissais. Le début de mes invités, ça va être mon entourage. professionnels ou des personnes, des clients ou des consoeurs que j'avais déjà rencontrés. Le premier épisode, ah non, je dis n'importe quoi, parce que le premier épisode, c'est avec Dr Nacophil, je crois qu'on ne s'était jamais rencontrés, mais je dis ça parce que j'avais l'impression, comme je la suivais sur les réseaux et de temps en temps, on échangeait via des stories. Donc, je remercie Mélanie Coquel, qui a accepté de participer à mon premier épisode. Après, c'était Tanguy Toupet, donc je le connaissais parce que j'étais l'ostéo de Azote. Amélie Gardel, donc des sujets beaucoup plus techniques sur la tensegrité, ça c'était des collègues de travail, des collègues consoeurs éloignés, bien sûr on est toutes à notre compte en libéral, donc on est toutes seules dans notre petit taf, mais on se connaît par rapport à l'école, aux formations qu'on fait à côté, etc. Et après, petit à petit, j'ai un petit peu ouvert et j'ai même voyagé, par exemple... Coralie et Swan, je suis allée à Montpellier pour aller faire sa petite chienne qui a 12 ans maintenant et qui est paralysée des postérieurs et qui a des petites roulettes. Il y a des sujets techniques comme la tensegrité, les approches tissulaires en osteopathie, des sujets un peu plus techniques en véto, orthopédie, NAC, etc. Mais ça reste quand même assez accessible pour tout le monde, que ce soit professionnels, étudiants ou particuliers. C'est vrai qu'au début, c'était assez dur de trouver ce positionnement. Est-ce que je fais un truc très technique pour les pros ? Où est-ce que j'ouvre ? Et je me suis dit que ce serait dommage de faire vraiment de très niche-niche. Déjà que c'est un niche l'ostéopathie animale, mais si en plus je reste là-dessus, je trouve que c'était too much. Alors qu'il y a plein de choses hyper intéressantes. Et j'aime beaucoup aussi le côté lifestyle, quotidien des pros, de savoir un peu comment eux perçoivent la santé animale, quel est leur prisme, ce sur quoi ils vont faire très attention. Et voilà, je suis très ouverte à toutes les... Toutes les façons de voir, tant que l'animal est respecté et qu'on ne fait pas de mal à personne, moi je suis ouverte en fait, je ne suis pas du tout manichéenne, ce n'est pas soit noire, soit blanche, je suis assez ouverte et je vais donner le micro aux personnes respectueuses, ça il n'y a pas de souci. Et je me rends compte que je parle, je parle. Pour une ancienne timide, c'est vraiment fou. Quand j'ai commencé le podcast, je n'étais vraiment pas à l'aise à l'oral, j'ai toujours été une grande timide, à l'école je ne participais jamais. Même à l'école d'ostéopathie, j'étais encore très timide, je devenais toute rouge s'il fallait me lever, faire un exposé ou quoi. Ça n'a jamais été quelque chose avec laquelle j'étais à l'aise. Et pourtant, j'ai lancé un podcast. Alors ça m'a mis vraiment un coup de pied au cul à chaque interview, j'étais vraiment pas super à l'aise. Mais une fois que la conversation a été lancée, j'oubliais tout ça et ça passait mieux. Et là, c'est marrant de me dire que j'ai lancé le micro. Je me suis dit je vais rien dire sur le podcast et au final, là, ça fait 15 minutes. D'ailleurs, en parlant des invités, si jamais il y en a que vous avez en tête, vous aimeriez entendre sur Mordant, n'hésitez pas à me les partager sur Instagram, à me faire votre retour, à laisser des avis, des étoiles, comme je l'ai dit tout à l'heure. C'est pas un média, c'est pas une plateforme qui est rémunératrice et on est vraiment solo. Je suis solo dans ma pratique de l'ostéopathie animale et aussi dans mon podcast. Donc ça fait... Ça fait très peu de feedback au retour et de blabla avec les collègues, même si j'ai des conversations WhatsApp avec les copines ostéo. C'est toujours bien d'avoir des retours sur son travail pour s'améliorer et avoir d'autres idées aussi. Donc n'hésitez pas, les petites étoiles, à vous abonner, à faire des retours, à le partager sur Insta ou bien même juste à m'envoyer un petit message pour me dire ce que vous en avez pensé. Franchement, ça fait vraiment toujours très très très plaisir. Et même si c'est quelque chose qui prend énormément de temps et qui n'est pas lucratif, je vais continuer. Enfin, pour le moment, je pense que continuer, c'est quelque chose qui me passionne. La solitude qu'on a dans ce métier, je l'ai un petit peu moins parce que je vais chercher à rencontrer des gens que je n'aurais jamais rencontrés, je pense, dans un autre cadre. Donc, c'est une bonne excuse pour rencontrer des gens, pour leur poser plein de questions sur comment ils ont fait, comment ils voient la vie. Et voilà, donc je pense que je vais continuer. Et avec ces épisodes et avec l'agence qui maintenant m'aide à trouver des sponsors, ça me motive beaucoup parce que je ne suis plus seule dans le projet. En fait, on est deux. Et ça donne un petit élan moteur, un nouvel élan pour cette cinquième saison. N'hésitez pas à me dire si vous avez aimé ce nouveau format. J'ai déjà des petites idées en tête pour les prochains thèmes des épisodes solo. Mais si vous en avez, n'hésitez pas à m'en faire part sur... par message, par MP, arrobas mathilde-ostéo, et j'essaierai de caler ça entre l'épisode, l'interview, une fois par mois. Donc là, ce que je vais faire, ce que je vous disais, c'est que je vais essayer de garder la fréquence un par mois, un à chaque début du mois. Là, j'ai commencé avec la table ronde sur la fin de vie animale. Les tables rondes, c'est un sujet, c'est la deuxième que je fais, uniquement j'en avais fait une l'année dernière sur le côté business. À chaque fois que je fais des sondages sur les épisodes, c'est celui qui revient de loin devant. Donc voilà, merci beaucoup pour vos retours d'ailleurs, ça me fait énormément plaisir. La table ronde, c'est un épisode qui a été apprécié. Après, c'est vraiment pas facile parce qu'il faut trouver un endroit réel. On ne peut pas le faire à distance, il faut que tous les participants soient là. Il faut trouver un petit rendez-vous qui aille aux agendas de tout le monde. Donc c'est vraiment complexe. Mais c'est vraiment hyper intéressant. Donc il y a eu celui sur le business. Là, le 1er septembre, c'était sur la fin de vie. Et demain, je vais enregistrer sur la maternité en étant libérale, ostéo-animalier ou masseuse. C'est un sujet qui va toucher énormément d'auditrices. Donc la fréquence que j'aimerais avoir, c'est un épisode par mois, au début du mois. Et puis pour les épisodes solo, on verra en fonction de mon temps, de mes envies, des sujets et de vos retours. Voilà, je vais attendre aussi le premier retour parce que là je me lance. J'avoue que j'ai un peu peur de me dire, voilà, je parle toute seule de ma vie pendant 20 minutes. Est-ce que quelqu'un va m'écouter ? Est-ce que ça va plaire à quelqu'un ? donc n'hésitez pas. à me faire vos retours. Et si c'est quelque chose qui vous plaît, je pourrais vous parler d'autres choses, de, je ne sais pas, une journée type en tant qu'ostéopathe animalier, les débuts de l'ostéopathie animale, les difficultés qu'on peut rencontrer et qui peuvent être de plus en plus nombreuses avec le temps, le côté formateur, ou alors des consultations what the fuck ou des consultations où j'ai eu des difficultés que j'ai adorées. Voilà, il y a plein de trucs possibles à faire. Donc voilà, n'hésitez pas à me dire et je serai ravie de continuer ces petites chroniques. Merci beaucoup pour votre écoute, je crois que j'ai pas beaucoup respiré pendant ces 20 minutes, il faut que je m'entraîne à parler toute seule en faisant des petites pauses et en breathing breath out. Mais merci beaucoup si vous avez été jusqu'au bout de cet épisode solo et à bientôt dans Mordant !