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Mouvemental

#38 La régularité ne doit pas être ton unique critère de réussite

#38 La régularité ne doit pas être ton unique critère de réussite

14min |27/01/2025
Play
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14min |27/01/2025
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Description

Dans cet épisode, on parle de ces semaines où tout part de travers, où tu ne sais plus où donner de la tête, où tu te sens en échec parce que tes séances prévues tombent à l'eau... Je te partage pourquoi être OK avec ces moments-là peut transformer ta façon de voir l'activité physique.


Tu découvriras comment poser un cadre qui t’aide à lâcher prise, tout en restant maître de ton engagement sur le long terme. Parce qu’au final, bouger, ce n’est pas une course de quelques mois, mais un mode de vie... pour la vie.


Bonne écoute 🎧


Magali


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


----------------------------

Retrouvez-moi par ici ⤵️

Site Internet

YouTube

Instagram

Facebook

LinkedIn


À propos de moi :

🤸🏻‍♀️ Ma 1ère casquette, c'est l'Activité Physique Adaptée (APA), ça veut dire que je suis capable de vous proposer un accompagnement (physique) adapté à vos besoins, vos capacités et vos envies. En gros, c'est moi qui m'adapte à vous et pas l'inverse !


🦀 Pendant 6 ans, j'ai accompagné plus de 2000 personnes atteintes de cancer à reprendre ou maintenir une activité physique régulière peu importe le moment de leur parcours.


🕵🏻‍♀️ Et pendant tout ce temps, je me suis posée la même question : comment faire pour adopter un mode de vie actif qui soit à la fois RÉGULIER et DURABLE ?


🧠 C'est là que ma 2ème casquette est arrivée : la préparation mentale. Là, ça veut dire que je suis en mesure de vous aider à identifier vos freins et faire évoluer votre mental pour que vous n'abandonniez pas devant les obstacles, que vous ayez un état d'esprit propice à cet objectif et que vous soyez mieux armer au quotidien.


🤓 J'apprends tous les jours que ce soit à travers des formations (PNL, prépa mentale, entretien motivationnel) ou des livres/podcasts/vidéos (neurosciences, communication, psychologie humaine, changement de comportement, pédagogies, marketing, etc.)


🏀 Côté sport, j'ai été passionnée par le basket pendant 15ans avant de devenir une adepte du "multi-activités" ! J'adore varier en fonction de mes journées et de mes envies. Et puis, si vous m'apercevez dans la rue, il y a de grandes chances que je sois sur mon vélo. 🚲


💡 Je m'intéresse particulièrement aux non-sportifs qui veulent réussir à avoir une activité physique régulière pour être aussi bien physiquement que mentalement, et ainsi s'en mettre plein la vue dans toutes les dimensions de leur vie !


Je serai ravie que vous en fassiez partie,


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvementale. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. Si ta régularité est l'unique critère qui justement te permet de savoir si, de manière globale, tu réussis à être physiquement actif ou non, eh bien tu risques de tomber de haut quand tu n'arriveras pas à l'être. Et là je m'adresse vraiment à vous qui essayez justement un maximum d'être actif ou qui avez ce désir-là de faire plus de sport, de faire plus d'activité physique. Et qu'en fait, peut-être que vous mettez beaucoup de charge mentale par rapport à ça. Et ce qui se passe, c'est que si chaque semaine où vous n'arrivez pas à faire ce que vous avez prévu de faire, en termes de séance d'activité physique par exemple, vous allez vous sentir en échec. Et si vous abusez de cette sensation-là, de cette sensation d'échec, vous allez réellement lâcher ce que vous aviez entrepris en termes de démarche par rapport à l'activité physique. Je le dis surtout si... Vous avez du mal en fait à encaisser les échecs, parce que c'est aussi un apprentissage, et ça se fait très bien avec la prépa mentale notamment, mais plus on va réussir à embrasser l'échec d'une certaine manière, plus on va avoir de la facilité justement à rebondir derrière les échecs et presque à les passer comme de simples obstacles, plutôt que justement d'abandonner une fois, on va dire le premier échec sous nos yeux. Donc voilà, si vous n'avez pas forcément de la facilité à... rebondir facilement derrière les échecs ou à supporter en fait le fait de vivre peut-être un échec à vos yeux, et bien du coup c'est d'autant plus intéressant ce que je vais vous dire ensuite. Donc à moins que vous soyez justement des robots ou que votre vie soit, on va dire, tellement linéaire ou au point que toutes vos semaines se ressemblent strictement, il me semble que c'est pas réellement possible de réussir absolument toutes les semaines de l'année à ébriser la sédentarité régulièrement dans la journée. et en plus faire toutes les séances d'activité physique qu'on a prévues. Ou alors franchement, si vous arrivez à faire ça, moi je me questionne un peu sur combien de temps vous allez être capable de tenir ce même rythme-là, donc cette même régularité, toutes les semaines, toutes les semaines, toutes les semaines. Est-ce que vous allez réussir à tenir ça pendant des années ? C'est là où moi je commence à douter. Et la stratégie, c'est vraiment de chercher non pas à... Tout miser sur le moment, sur quelques mois, c'est plutôt de viser beaucoup plus loin sur une période de temps beaucoup plus longue puisque faire de l'activité physique, en fait, c'est pour toute la vie. Ce n'est pas simplement pour un an ou pour quelques mois. Donc voilà pourquoi je trouve que l'épisode que je vous présente aujourd'hui, il a d'autant plus de sens puisqu'on va avoir besoin d'apprendre justement à peut-être envisager les choses différemment quand on est sur des semaines qui sont très très intenses. et où on a peut-être plus de mal justement à faire de l'activité physique. Et en fait, le problème, c'est de croire qu'on est justement en train de lâcher ou même que c'est perdu d'avance si on n'en fait pas pendant quelques jours. Par exemple, si vous aviez prévu de faire trois ou quatre séances dans la semaine d'activité physique, eh bien l'erreur serait de commencer à se dire là, je n'ai pas réussi cette semaine ou je n'ai pas réussi à faire ma première, ma deuxième séance Donc, en fait, ça veut dire que je suis en train de lâcher. Puisque c'est en ayant cette sensation d'avoir perdu d'avance que petit à petit, vous n'allez peut-être pas vous mobiliser ou avoir des comportements qui vont vous faire dépasser justement cette sensation pas très agréable. Pour moi, en fait, ce n'est pas un problème. C'est-à-dire que je sais que passer la période intense en question, ça va revenir pour moi à la normale derrière. Alors, je suis OK, en fait, avec le fait que... certains jours, ça ne sera pas ça. Et certains jours, je ne serai peut-être même pas le meilleur exemple pour vous. C'est-à-dire que je n'illustrerai peut-être pas aussi bien ce que je veux pour vous. Autrement dit, le fait d'être régulier dans votre pratique et d'avoir quelque chose d'assez constant en termes d'exercice physique, semaine après semaine. Mais en fait, je suis OK avec ça. Mais ce qui se passe, c'est que quand toi, tu ne respectes pas ton deal, ton deal de faire tant de séances ou d'être... d'être régulier dans ta pratique semaine après semaine. Là où... J'ai envie de te donner une clé, c'est qu'en fait, tout réside dans ta capacité à être OK avec le fait que parfois, il y a des périodes où ce sera comme ça. Et ce que tu peux te demander, c'est en fait, combien de temps tu es OK avec le fait de ne pas tenir cet engagement que tu as envers toi-même, de ne pas tenir le deal que tu as avec toi-même, tes intentions, etc. Parce qu'en définissant une durée, donc ça peut être une semaine, ça peut être trois jours, peu importe, mais en définissant une durée... Ensuite, vous décidez en même temps, une fois cette durée passée, de ne plus être d'accord avec le fait de ne pas en faire. De ne plus être d'accord de repousser au lendemain ou de ne pas en faire, comme je viens de le dire. Vous vous engagez d'une certaine manière à derrière chercher comment vous remobiliser ou à mettre en place les ressources nécessaires pour justement réussir à se remobiliser. Et en faisant ça, tu ne vivras pas justement cette... période-là très intense pour toi, qui peut être liée peut-être à une charge de travail importante, qui peut être liée avec je ne sais trop quel autre projet perso dans ta vie. Mais en faisant ça, tu ne vivras pas chaque jour cette culpabilité-là de ne pas réussir à tenir, alors qu'en fait, tu as déjà beaucoup de charges mentales avec le truc justement qui t'empêche d'en faire sur ces quelques jours-là dont on est en train de parler. Exemple, récemment... j'ai animé la conférence en ligne Pourquoi c'est si dur de bouger ? et avant d'animer la conférence, j'avais énormément de travail, vraiment beaucoup, beaucoup de travail, au point que je ne pouvais pas décrocher, c'était super intense, parce que pour moi, j'avais envie qu'à la fin de la conférence, je parle d'un gros événement que j'ai prévu d'organiser, qui aura lieu au mois de mars, je vous en reparlerai peut-être après, mais en tout cas, j'avais ce gros truc en tête. et j'avais tellement envie de vous en parler justement pendant la conférence que j'ai eu beaucoup, beaucoup de travail pour que ce soit prêt le moment venu. Mais pour moi, en fait, c'était OK. C'est-à-dire que je me suis mise dans un certain état d'esprit qui faisait que j'étais d'accord que sur un temps donné, puisque je savais que c'était limité dans le temps et que ça n'allait pas être comme ça toutes les semaines, j'étais d'accord que sur les quelques jours, donc en l'occurrence, c'était pendant cinq jours, que pendant ces cinq jours-là, eh bien, j'allais... pas faire ce que je fais d'habitude, j'allais pas pouvoir en faire autant, c'est-à-dire que d'habitude, par exemple, la journée, vu que je passe quand même pas mal de temps derrière l'ordi, je sors le tapis de marche, je marche, etc., parfois je descends les escaliers, enfin, bref, j'essaye de briser la sédentarité, je le fais de manière assez naturelle, globalement, je vais faire des séances de yoga, je vais un peu courir, etc., et là, en fait... J'avais tellement de charge mentale sur ce truc-là, donc avec beaucoup de pression, de stress, que je me mettais aussi à moi-même, mais peu importe, ce n'est pas le sujet. Mais bref, j'avais tellement de charge mentale là-dessus qu'en fait, j'ai fait en sorte de balayer tout le reste sur ces quelques jours pour être 100% focus sur ce que j'avais à faire. Et mon temps était vraiment millimétré. Donc voilà, je n'avais même pas envie de penser à sortir mon tapis et marcher dessus, même si d'habitude, ça m'aide énormément, notamment pour la créativité, pour avancer. Mais là, en fait, ce n'était juste pas le moment et je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ça, bien que dans d'autres circonstances, ça ne me prend pas la tête. Mais en l'occurrence, quand je suis relativement stressée, ce genre de truc peut devenir une charge alors que ça n'est pas forcément d'habitude. Donc voilà, en fait, j'étais juste OK avec le fait de ne pas forcément en faire comme prévu. Et donc, ce que j'ai fait, c'est que je me suis laissée tranquille cette semaine-là, ces quelques jours, ce qui fait que j'ai... pas eu de pression par rapport à ça, à ce niveau, alors que j'aurais quand même pu me dire Ouais, mais attends, Magali, quand même, tu fais une conférence qui s'intitule Pourquoi c'est si dur de bouger ? et toi, tu n'arrives même pas à le faire justement toi-même. Sauf qu'en me fixant un cadre dès le départ et en étant OK avec le fait de ne pas faire ce que je fais d'habitude, j'étais tout simplement en accord avec moi-même. Et c'est parce que j'étais en accord avec moi-même que du coup, je n'étais pas déçue de mon comportement. Et donc, à aucun moment, j'ai remis en cause ma capacité à y arriver, bien que le constat était que je n'en faisais pas comme d'habitude. Donc voyez un petit peu à quel point c'est intéressant de voir qu'un truc qui pourrait me faire culpabiliser de base, c'est-à-dire dévier, déroger de ce que j'ai prévu au départ, finalement, j'arrive à être en accord avec moi-même de ne pas le faire. Et le fait d'être en accord avec moi-même de ne pas le faire... ça crée les bonnes conditions derrière pour que je me remette à le faire facilement. Là est toute la logique de comment on fonctionne aussi au niveau émotionnel, qui fait que si on en rajoute une couche et si on se rajoute de la pression par rapport à ça, derrière, ça va peut-être être plus dur encore de le faire. Je vais encore mieux l'expliquer juste après. Parce qu'en fait, si tu poses le cadre, c'est-à-dire une durée, donc comme je le dis, avec laquelle tu es OK de déroger à ta propre règle, ce qui va se passer, c'est qu'en posant ce cadre-là, tu vas avoir la sensation de contrôler ce qui se passe. Et... déjà, pour la majorité des humains, on a envie et on aime contrôler notre situation, on aime contrôler ce qui se passe. Donc le fait de contrôler ce qui se passe, ça permet de se sentir plus en accord avec soi-même et ça n'impacte pas du coup notre confiance en nos capacités à réussir à le faire ou pas. Puisqu'en fait, là n'est pas la question. La question, c'est vraiment, je suis OK de faire une coupure, là, pendant tant de jours. Par contre, au-delà de ce temps-là, je ne serai plus OK avec ça. Et donc, je vais m'y remettre. Mais le fait de lâcher sur ces quelques jours, pas de pression, je le mets de côté. Je le mets de côté pour ce nombre de jours déterminés. Et ensuite, peut-être que je me remettrai une certaine pression. Et j'espère que vous me suivez d'ailleurs en écoutant. Mais maintenant, il y a quand même une sorte de juste mesure à avoir avec cette idée-là. Parce que si tu es OK toutes les semaines avec le fait de ne pas en faire pendant une semaine... En fait, si ça se transforme en un mois ou deux mois ou trois mois ou six mois, etc., c'est là où ça va devenir un problème. Mais je crois que tu as compris que l'idée, ce n'était pas d'en faire justement une généralité de ce truc-là, mais plutôt de rebondir dans les moments de ce genre où c'est tellement intense qu'à un moment donné, tu es obligé de faire peut-être des compromis ou de faire des choix autres que l'activité physique pour justement ne pas te rajouter une pression à la pression que tu as déjà. Dans cet épisode, j'ai voulu t'enseigner les notions de flexibilité, d'adaptation qui sont vraiment importantes pour réussir à adopter un mode de vie actif qui soit durable. Et j'ai voulu aussi te montrer qu'il était possible de sortir de cette dualité qui est que généralement, on va avoir tendance à se dire j'y arrive ou je n'y arrive pas Mais si on apporte un peu de nuance et si on voit le truc comme j'y arrive un peu j'y arrive beaucoup ou j'y arrive pas trop, etc. Si on nuance un peu plus entre le j'y arrive et j'y arrive pas, derrière, on va être beaucoup plus capable de maintenir nos comportements dans la durée parce que, justement, on aura plus de flexibilité, moins de pression par rapport à ça, moins de culpabilité d'une certaine manière, ou en tout cas de la culpabilité plus contrôlée, si j'ose le dire comme ça. Et on sera capable donc de maintenir nos comportements actifs beaucoup plus longtemps que ce que vous croyez. J'espère que cet épisode vous a rapporté des choses. Pour en revenir un petit peu à l'événement que j'ai voulu présenter la dernière fois, enfin que j'ai présenté sur ma conférence, sachez que vous pouvez le retrouver. C'est un challenge qui s'appelle le challenge osé et qui va bien avec aussi le style de l'épisode que j'ai fait aujourd'hui. Sachez que vous pouvez le retrouver sur le site mouvemental, www.mouvemental.com N'hésitez pas, si d'ailleurs cet épisode vous a inspiré peut-être de nouvelles perspectives ou vous a fait tout simplement du bien, si justement en ce moment vous êtes un peu en train de vous mettre la pression sur votre mode de vie, sur votre pratique d'activité physique. Je le rappelle encore une fois, le but n'étant pas de s'enlever toute pression ou toute culpabilité par rapport à ça, puisque si on va justement à l'extrême inverse, peut-être qu'à un moment donné on n'aura plus le petit truc qui va venir nous botter un petit peu le derrière. Mais en même temps, on ne veut pas que ça devienne une pression telle que justement on se retrouve face à l'incapacité d'avancer et qu'on se retrouve dans une sensation d'échec qui fait qu'on en perd le contrôle et on n'arrive plus du tout à gérer la situation et on finit par abandonner. Donc j'espère que ça vous aura aidé un petit peu par rapport à tout ça. N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et si vous avez bien aimé cet épisode, à justement lui mettre une bonne étoile pour faire en sorte que de plus en plus de personnes écoutent. le podcast Mouvementale. Je vous retrouve très vite pour un nouvel épisode. Ciao ! C'est tout pour aujourd'hui. Enfin, presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, N'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. A bientôt !

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Dans cet épisode, on parle de ces semaines où tout part de travers, où tu ne sais plus où donner de la tête, où tu te sens en échec parce que tes séances prévues tombent à l'eau... Je te partage pourquoi être OK avec ces moments-là peut transformer ta façon de voir l'activité physique.


Tu découvriras comment poser un cadre qui t’aide à lâcher prise, tout en restant maître de ton engagement sur le long terme. Parce qu’au final, bouger, ce n’est pas une course de quelques mois, mais un mode de vie... pour la vie.


Bonne écoute 🎧


Magali


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🤸🏻‍♀️ Ma 1ère casquette, c'est l'Activité Physique Adaptée (APA), ça veut dire que je suis capable de vous proposer un accompagnement (physique) adapté à vos besoins, vos capacités et vos envies. En gros, c'est moi qui m'adapte à vous et pas l'inverse !


🦀 Pendant 6 ans, j'ai accompagné plus de 2000 personnes atteintes de cancer à reprendre ou maintenir une activité physique régulière peu importe le moment de leur parcours.


🕵🏻‍♀️ Et pendant tout ce temps, je me suis posée la même question : comment faire pour adopter un mode de vie actif qui soit à la fois RÉGULIER et DURABLE ?


🧠 C'est là que ma 2ème casquette est arrivée : la préparation mentale. Là, ça veut dire que je suis en mesure de vous aider à identifier vos freins et faire évoluer votre mental pour que vous n'abandonniez pas devant les obstacles, que vous ayez un état d'esprit propice à cet objectif et que vous soyez mieux armer au quotidien.


🤓 J'apprends tous les jours que ce soit à travers des formations (PNL, prépa mentale, entretien motivationnel) ou des livres/podcasts/vidéos (neurosciences, communication, psychologie humaine, changement de comportement, pédagogies, marketing, etc.)


🏀 Côté sport, j'ai été passionnée par le basket pendant 15ans avant de devenir une adepte du "multi-activités" ! J'adore varier en fonction de mes journées et de mes envies. Et puis, si vous m'apercevez dans la rue, il y a de grandes chances que je sois sur mon vélo. 🚲


💡 Je m'intéresse particulièrement aux non-sportifs qui veulent réussir à avoir une activité physique régulière pour être aussi bien physiquement que mentalement, et ainsi s'en mettre plein la vue dans toutes les dimensions de leur vie !


Je serai ravie que vous en fassiez partie,


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Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvementale. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. Si ta régularité est l'unique critère qui justement te permet de savoir si, de manière globale, tu réussis à être physiquement actif ou non, eh bien tu risques de tomber de haut quand tu n'arriveras pas à l'être. Et là je m'adresse vraiment à vous qui essayez justement un maximum d'être actif ou qui avez ce désir-là de faire plus de sport, de faire plus d'activité physique. Et qu'en fait, peut-être que vous mettez beaucoup de charge mentale par rapport à ça. Et ce qui se passe, c'est que si chaque semaine où vous n'arrivez pas à faire ce que vous avez prévu de faire, en termes de séance d'activité physique par exemple, vous allez vous sentir en échec. Et si vous abusez de cette sensation-là, de cette sensation d'échec, vous allez réellement lâcher ce que vous aviez entrepris en termes de démarche par rapport à l'activité physique. Je le dis surtout si... Vous avez du mal en fait à encaisser les échecs, parce que c'est aussi un apprentissage, et ça se fait très bien avec la prépa mentale notamment, mais plus on va réussir à embrasser l'échec d'une certaine manière, plus on va avoir de la facilité justement à rebondir derrière les échecs et presque à les passer comme de simples obstacles, plutôt que justement d'abandonner une fois, on va dire le premier échec sous nos yeux. Donc voilà, si vous n'avez pas forcément de la facilité à... rebondir facilement derrière les échecs ou à supporter en fait le fait de vivre peut-être un échec à vos yeux, et bien du coup c'est d'autant plus intéressant ce que je vais vous dire ensuite. Donc à moins que vous soyez justement des robots ou que votre vie soit, on va dire, tellement linéaire ou au point que toutes vos semaines se ressemblent strictement, il me semble que c'est pas réellement possible de réussir absolument toutes les semaines de l'année à ébriser la sédentarité régulièrement dans la journée. et en plus faire toutes les séances d'activité physique qu'on a prévues. Ou alors franchement, si vous arrivez à faire ça, moi je me questionne un peu sur combien de temps vous allez être capable de tenir ce même rythme-là, donc cette même régularité, toutes les semaines, toutes les semaines, toutes les semaines. Est-ce que vous allez réussir à tenir ça pendant des années ? C'est là où moi je commence à douter. Et la stratégie, c'est vraiment de chercher non pas à... Tout miser sur le moment, sur quelques mois, c'est plutôt de viser beaucoup plus loin sur une période de temps beaucoup plus longue puisque faire de l'activité physique, en fait, c'est pour toute la vie. Ce n'est pas simplement pour un an ou pour quelques mois. Donc voilà pourquoi je trouve que l'épisode que je vous présente aujourd'hui, il a d'autant plus de sens puisqu'on va avoir besoin d'apprendre justement à peut-être envisager les choses différemment quand on est sur des semaines qui sont très très intenses. et où on a peut-être plus de mal justement à faire de l'activité physique. Et en fait, le problème, c'est de croire qu'on est justement en train de lâcher ou même que c'est perdu d'avance si on n'en fait pas pendant quelques jours. Par exemple, si vous aviez prévu de faire trois ou quatre séances dans la semaine d'activité physique, eh bien l'erreur serait de commencer à se dire là, je n'ai pas réussi cette semaine ou je n'ai pas réussi à faire ma première, ma deuxième séance Donc, en fait, ça veut dire que je suis en train de lâcher. Puisque c'est en ayant cette sensation d'avoir perdu d'avance que petit à petit, vous n'allez peut-être pas vous mobiliser ou avoir des comportements qui vont vous faire dépasser justement cette sensation pas très agréable. Pour moi, en fait, ce n'est pas un problème. C'est-à-dire que je sais que passer la période intense en question, ça va revenir pour moi à la normale derrière. Alors, je suis OK, en fait, avec le fait que... certains jours, ça ne sera pas ça. Et certains jours, je ne serai peut-être même pas le meilleur exemple pour vous. C'est-à-dire que je n'illustrerai peut-être pas aussi bien ce que je veux pour vous. Autrement dit, le fait d'être régulier dans votre pratique et d'avoir quelque chose d'assez constant en termes d'exercice physique, semaine après semaine. Mais en fait, je suis OK avec ça. Mais ce qui se passe, c'est que quand toi, tu ne respectes pas ton deal, ton deal de faire tant de séances ou d'être... d'être régulier dans ta pratique semaine après semaine. Là où... J'ai envie de te donner une clé, c'est qu'en fait, tout réside dans ta capacité à être OK avec le fait que parfois, il y a des périodes où ce sera comme ça. Et ce que tu peux te demander, c'est en fait, combien de temps tu es OK avec le fait de ne pas tenir cet engagement que tu as envers toi-même, de ne pas tenir le deal que tu as avec toi-même, tes intentions, etc. Parce qu'en définissant une durée, donc ça peut être une semaine, ça peut être trois jours, peu importe, mais en définissant une durée... Ensuite, vous décidez en même temps, une fois cette durée passée, de ne plus être d'accord avec le fait de ne pas en faire. De ne plus être d'accord de repousser au lendemain ou de ne pas en faire, comme je viens de le dire. Vous vous engagez d'une certaine manière à derrière chercher comment vous remobiliser ou à mettre en place les ressources nécessaires pour justement réussir à se remobiliser. Et en faisant ça, tu ne vivras pas justement cette... période-là très intense pour toi, qui peut être liée peut-être à une charge de travail importante, qui peut être liée avec je ne sais trop quel autre projet perso dans ta vie. Mais en faisant ça, tu ne vivras pas chaque jour cette culpabilité-là de ne pas réussir à tenir, alors qu'en fait, tu as déjà beaucoup de charges mentales avec le truc justement qui t'empêche d'en faire sur ces quelques jours-là dont on est en train de parler. Exemple, récemment... j'ai animé la conférence en ligne Pourquoi c'est si dur de bouger ? et avant d'animer la conférence, j'avais énormément de travail, vraiment beaucoup, beaucoup de travail, au point que je ne pouvais pas décrocher, c'était super intense, parce que pour moi, j'avais envie qu'à la fin de la conférence, je parle d'un gros événement que j'ai prévu d'organiser, qui aura lieu au mois de mars, je vous en reparlerai peut-être après, mais en tout cas, j'avais ce gros truc en tête. et j'avais tellement envie de vous en parler justement pendant la conférence que j'ai eu beaucoup, beaucoup de travail pour que ce soit prêt le moment venu. Mais pour moi, en fait, c'était OK. C'est-à-dire que je me suis mise dans un certain état d'esprit qui faisait que j'étais d'accord que sur un temps donné, puisque je savais que c'était limité dans le temps et que ça n'allait pas être comme ça toutes les semaines, j'étais d'accord que sur les quelques jours, donc en l'occurrence, c'était pendant cinq jours, que pendant ces cinq jours-là, eh bien, j'allais... pas faire ce que je fais d'habitude, j'allais pas pouvoir en faire autant, c'est-à-dire que d'habitude, par exemple, la journée, vu que je passe quand même pas mal de temps derrière l'ordi, je sors le tapis de marche, je marche, etc., parfois je descends les escaliers, enfin, bref, j'essaye de briser la sédentarité, je le fais de manière assez naturelle, globalement, je vais faire des séances de yoga, je vais un peu courir, etc., et là, en fait... J'avais tellement de charge mentale sur ce truc-là, donc avec beaucoup de pression, de stress, que je me mettais aussi à moi-même, mais peu importe, ce n'est pas le sujet. Mais bref, j'avais tellement de charge mentale là-dessus qu'en fait, j'ai fait en sorte de balayer tout le reste sur ces quelques jours pour être 100% focus sur ce que j'avais à faire. Et mon temps était vraiment millimétré. Donc voilà, je n'avais même pas envie de penser à sortir mon tapis et marcher dessus, même si d'habitude, ça m'aide énormément, notamment pour la créativité, pour avancer. Mais là, en fait, ce n'était juste pas le moment et je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ça, bien que dans d'autres circonstances, ça ne me prend pas la tête. Mais en l'occurrence, quand je suis relativement stressée, ce genre de truc peut devenir une charge alors que ça n'est pas forcément d'habitude. Donc voilà, en fait, j'étais juste OK avec le fait de ne pas forcément en faire comme prévu. Et donc, ce que j'ai fait, c'est que je me suis laissée tranquille cette semaine-là, ces quelques jours, ce qui fait que j'ai... pas eu de pression par rapport à ça, à ce niveau, alors que j'aurais quand même pu me dire Ouais, mais attends, Magali, quand même, tu fais une conférence qui s'intitule Pourquoi c'est si dur de bouger ? et toi, tu n'arrives même pas à le faire justement toi-même. Sauf qu'en me fixant un cadre dès le départ et en étant OK avec le fait de ne pas faire ce que je fais d'habitude, j'étais tout simplement en accord avec moi-même. Et c'est parce que j'étais en accord avec moi-même que du coup, je n'étais pas déçue de mon comportement. Et donc, à aucun moment, j'ai remis en cause ma capacité à y arriver, bien que le constat était que je n'en faisais pas comme d'habitude. Donc voyez un petit peu à quel point c'est intéressant de voir qu'un truc qui pourrait me faire culpabiliser de base, c'est-à-dire dévier, déroger de ce que j'ai prévu au départ, finalement, j'arrive à être en accord avec moi-même de ne pas le faire. Et le fait d'être en accord avec moi-même de ne pas le faire... ça crée les bonnes conditions derrière pour que je me remette à le faire facilement. Là est toute la logique de comment on fonctionne aussi au niveau émotionnel, qui fait que si on en rajoute une couche et si on se rajoute de la pression par rapport à ça, derrière, ça va peut-être être plus dur encore de le faire. Je vais encore mieux l'expliquer juste après. Parce qu'en fait, si tu poses le cadre, c'est-à-dire une durée, donc comme je le dis, avec laquelle tu es OK de déroger à ta propre règle, ce qui va se passer, c'est qu'en posant ce cadre-là, tu vas avoir la sensation de contrôler ce qui se passe. Et... déjà, pour la majorité des humains, on a envie et on aime contrôler notre situation, on aime contrôler ce qui se passe. Donc le fait de contrôler ce qui se passe, ça permet de se sentir plus en accord avec soi-même et ça n'impacte pas du coup notre confiance en nos capacités à réussir à le faire ou pas. Puisqu'en fait, là n'est pas la question. La question, c'est vraiment, je suis OK de faire une coupure, là, pendant tant de jours. Par contre, au-delà de ce temps-là, je ne serai plus OK avec ça. Et donc, je vais m'y remettre. Mais le fait de lâcher sur ces quelques jours, pas de pression, je le mets de côté. Je le mets de côté pour ce nombre de jours déterminés. Et ensuite, peut-être que je me remettrai une certaine pression. Et j'espère que vous me suivez d'ailleurs en écoutant. Mais maintenant, il y a quand même une sorte de juste mesure à avoir avec cette idée-là. Parce que si tu es OK toutes les semaines avec le fait de ne pas en faire pendant une semaine... En fait, si ça se transforme en un mois ou deux mois ou trois mois ou six mois, etc., c'est là où ça va devenir un problème. Mais je crois que tu as compris que l'idée, ce n'était pas d'en faire justement une généralité de ce truc-là, mais plutôt de rebondir dans les moments de ce genre où c'est tellement intense qu'à un moment donné, tu es obligé de faire peut-être des compromis ou de faire des choix autres que l'activité physique pour justement ne pas te rajouter une pression à la pression que tu as déjà. Dans cet épisode, j'ai voulu t'enseigner les notions de flexibilité, d'adaptation qui sont vraiment importantes pour réussir à adopter un mode de vie actif qui soit durable. Et j'ai voulu aussi te montrer qu'il était possible de sortir de cette dualité qui est que généralement, on va avoir tendance à se dire j'y arrive ou je n'y arrive pas Mais si on apporte un peu de nuance et si on voit le truc comme j'y arrive un peu j'y arrive beaucoup ou j'y arrive pas trop, etc. Si on nuance un peu plus entre le j'y arrive et j'y arrive pas, derrière, on va être beaucoup plus capable de maintenir nos comportements dans la durée parce que, justement, on aura plus de flexibilité, moins de pression par rapport à ça, moins de culpabilité d'une certaine manière, ou en tout cas de la culpabilité plus contrôlée, si j'ose le dire comme ça. Et on sera capable donc de maintenir nos comportements actifs beaucoup plus longtemps que ce que vous croyez. J'espère que cet épisode vous a rapporté des choses. Pour en revenir un petit peu à l'événement que j'ai voulu présenter la dernière fois, enfin que j'ai présenté sur ma conférence, sachez que vous pouvez le retrouver. C'est un challenge qui s'appelle le challenge osé et qui va bien avec aussi le style de l'épisode que j'ai fait aujourd'hui. Sachez que vous pouvez le retrouver sur le site mouvemental, www.mouvemental.com N'hésitez pas, si d'ailleurs cet épisode vous a inspiré peut-être de nouvelles perspectives ou vous a fait tout simplement du bien, si justement en ce moment vous êtes un peu en train de vous mettre la pression sur votre mode de vie, sur votre pratique d'activité physique. Je le rappelle encore une fois, le but n'étant pas de s'enlever toute pression ou toute culpabilité par rapport à ça, puisque si on va justement à l'extrême inverse, peut-être qu'à un moment donné on n'aura plus le petit truc qui va venir nous botter un petit peu le derrière. Mais en même temps, on ne veut pas que ça devienne une pression telle que justement on se retrouve face à l'incapacité d'avancer et qu'on se retrouve dans une sensation d'échec qui fait qu'on en perd le contrôle et on n'arrive plus du tout à gérer la situation et on finit par abandonner. Donc j'espère que ça vous aura aidé un petit peu par rapport à tout ça. N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et si vous avez bien aimé cet épisode, à justement lui mettre une bonne étoile pour faire en sorte que de plus en plus de personnes écoutent. le podcast Mouvementale. Je vous retrouve très vite pour un nouvel épisode. Ciao ! C'est tout pour aujourd'hui. Enfin, presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, N'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. A bientôt !

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Description

Dans cet épisode, on parle de ces semaines où tout part de travers, où tu ne sais plus où donner de la tête, où tu te sens en échec parce que tes séances prévues tombent à l'eau... Je te partage pourquoi être OK avec ces moments-là peut transformer ta façon de voir l'activité physique.


Tu découvriras comment poser un cadre qui t’aide à lâcher prise, tout en restant maître de ton engagement sur le long terme. Parce qu’au final, bouger, ce n’est pas une course de quelques mois, mais un mode de vie... pour la vie.


Bonne écoute 🎧


Magali


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


----------------------------

Retrouvez-moi par ici ⤵️

Site Internet

YouTube

Instagram

Facebook

LinkedIn


À propos de moi :

🤸🏻‍♀️ Ma 1ère casquette, c'est l'Activité Physique Adaptée (APA), ça veut dire que je suis capable de vous proposer un accompagnement (physique) adapté à vos besoins, vos capacités et vos envies. En gros, c'est moi qui m'adapte à vous et pas l'inverse !


🦀 Pendant 6 ans, j'ai accompagné plus de 2000 personnes atteintes de cancer à reprendre ou maintenir une activité physique régulière peu importe le moment de leur parcours.


🕵🏻‍♀️ Et pendant tout ce temps, je me suis posée la même question : comment faire pour adopter un mode de vie actif qui soit à la fois RÉGULIER et DURABLE ?


🧠 C'est là que ma 2ème casquette est arrivée : la préparation mentale. Là, ça veut dire que je suis en mesure de vous aider à identifier vos freins et faire évoluer votre mental pour que vous n'abandonniez pas devant les obstacles, que vous ayez un état d'esprit propice à cet objectif et que vous soyez mieux armer au quotidien.


🤓 J'apprends tous les jours que ce soit à travers des formations (PNL, prépa mentale, entretien motivationnel) ou des livres/podcasts/vidéos (neurosciences, communication, psychologie humaine, changement de comportement, pédagogies, marketing, etc.)


🏀 Côté sport, j'ai été passionnée par le basket pendant 15ans avant de devenir une adepte du "multi-activités" ! J'adore varier en fonction de mes journées et de mes envies. Et puis, si vous m'apercevez dans la rue, il y a de grandes chances que je sois sur mon vélo. 🚲


💡 Je m'intéresse particulièrement aux non-sportifs qui veulent réussir à avoir une activité physique régulière pour être aussi bien physiquement que mentalement, et ainsi s'en mettre plein la vue dans toutes les dimensions de leur vie !


Je serai ravie que vous en fassiez partie,


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvementale. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. Si ta régularité est l'unique critère qui justement te permet de savoir si, de manière globale, tu réussis à être physiquement actif ou non, eh bien tu risques de tomber de haut quand tu n'arriveras pas à l'être. Et là je m'adresse vraiment à vous qui essayez justement un maximum d'être actif ou qui avez ce désir-là de faire plus de sport, de faire plus d'activité physique. Et qu'en fait, peut-être que vous mettez beaucoup de charge mentale par rapport à ça. Et ce qui se passe, c'est que si chaque semaine où vous n'arrivez pas à faire ce que vous avez prévu de faire, en termes de séance d'activité physique par exemple, vous allez vous sentir en échec. Et si vous abusez de cette sensation-là, de cette sensation d'échec, vous allez réellement lâcher ce que vous aviez entrepris en termes de démarche par rapport à l'activité physique. Je le dis surtout si... Vous avez du mal en fait à encaisser les échecs, parce que c'est aussi un apprentissage, et ça se fait très bien avec la prépa mentale notamment, mais plus on va réussir à embrasser l'échec d'une certaine manière, plus on va avoir de la facilité justement à rebondir derrière les échecs et presque à les passer comme de simples obstacles, plutôt que justement d'abandonner une fois, on va dire le premier échec sous nos yeux. Donc voilà, si vous n'avez pas forcément de la facilité à... rebondir facilement derrière les échecs ou à supporter en fait le fait de vivre peut-être un échec à vos yeux, et bien du coup c'est d'autant plus intéressant ce que je vais vous dire ensuite. Donc à moins que vous soyez justement des robots ou que votre vie soit, on va dire, tellement linéaire ou au point que toutes vos semaines se ressemblent strictement, il me semble que c'est pas réellement possible de réussir absolument toutes les semaines de l'année à ébriser la sédentarité régulièrement dans la journée. et en plus faire toutes les séances d'activité physique qu'on a prévues. Ou alors franchement, si vous arrivez à faire ça, moi je me questionne un peu sur combien de temps vous allez être capable de tenir ce même rythme-là, donc cette même régularité, toutes les semaines, toutes les semaines, toutes les semaines. Est-ce que vous allez réussir à tenir ça pendant des années ? C'est là où moi je commence à douter. Et la stratégie, c'est vraiment de chercher non pas à... Tout miser sur le moment, sur quelques mois, c'est plutôt de viser beaucoup plus loin sur une période de temps beaucoup plus longue puisque faire de l'activité physique, en fait, c'est pour toute la vie. Ce n'est pas simplement pour un an ou pour quelques mois. Donc voilà pourquoi je trouve que l'épisode que je vous présente aujourd'hui, il a d'autant plus de sens puisqu'on va avoir besoin d'apprendre justement à peut-être envisager les choses différemment quand on est sur des semaines qui sont très très intenses. et où on a peut-être plus de mal justement à faire de l'activité physique. Et en fait, le problème, c'est de croire qu'on est justement en train de lâcher ou même que c'est perdu d'avance si on n'en fait pas pendant quelques jours. Par exemple, si vous aviez prévu de faire trois ou quatre séances dans la semaine d'activité physique, eh bien l'erreur serait de commencer à se dire là, je n'ai pas réussi cette semaine ou je n'ai pas réussi à faire ma première, ma deuxième séance Donc, en fait, ça veut dire que je suis en train de lâcher. Puisque c'est en ayant cette sensation d'avoir perdu d'avance que petit à petit, vous n'allez peut-être pas vous mobiliser ou avoir des comportements qui vont vous faire dépasser justement cette sensation pas très agréable. Pour moi, en fait, ce n'est pas un problème. C'est-à-dire que je sais que passer la période intense en question, ça va revenir pour moi à la normale derrière. Alors, je suis OK, en fait, avec le fait que... certains jours, ça ne sera pas ça. Et certains jours, je ne serai peut-être même pas le meilleur exemple pour vous. C'est-à-dire que je n'illustrerai peut-être pas aussi bien ce que je veux pour vous. Autrement dit, le fait d'être régulier dans votre pratique et d'avoir quelque chose d'assez constant en termes d'exercice physique, semaine après semaine. Mais en fait, je suis OK avec ça. Mais ce qui se passe, c'est que quand toi, tu ne respectes pas ton deal, ton deal de faire tant de séances ou d'être... d'être régulier dans ta pratique semaine après semaine. Là où... J'ai envie de te donner une clé, c'est qu'en fait, tout réside dans ta capacité à être OK avec le fait que parfois, il y a des périodes où ce sera comme ça. Et ce que tu peux te demander, c'est en fait, combien de temps tu es OK avec le fait de ne pas tenir cet engagement que tu as envers toi-même, de ne pas tenir le deal que tu as avec toi-même, tes intentions, etc. Parce qu'en définissant une durée, donc ça peut être une semaine, ça peut être trois jours, peu importe, mais en définissant une durée... Ensuite, vous décidez en même temps, une fois cette durée passée, de ne plus être d'accord avec le fait de ne pas en faire. De ne plus être d'accord de repousser au lendemain ou de ne pas en faire, comme je viens de le dire. Vous vous engagez d'une certaine manière à derrière chercher comment vous remobiliser ou à mettre en place les ressources nécessaires pour justement réussir à se remobiliser. Et en faisant ça, tu ne vivras pas justement cette... période-là très intense pour toi, qui peut être liée peut-être à une charge de travail importante, qui peut être liée avec je ne sais trop quel autre projet perso dans ta vie. Mais en faisant ça, tu ne vivras pas chaque jour cette culpabilité-là de ne pas réussir à tenir, alors qu'en fait, tu as déjà beaucoup de charges mentales avec le truc justement qui t'empêche d'en faire sur ces quelques jours-là dont on est en train de parler. Exemple, récemment... j'ai animé la conférence en ligne Pourquoi c'est si dur de bouger ? et avant d'animer la conférence, j'avais énormément de travail, vraiment beaucoup, beaucoup de travail, au point que je ne pouvais pas décrocher, c'était super intense, parce que pour moi, j'avais envie qu'à la fin de la conférence, je parle d'un gros événement que j'ai prévu d'organiser, qui aura lieu au mois de mars, je vous en reparlerai peut-être après, mais en tout cas, j'avais ce gros truc en tête. et j'avais tellement envie de vous en parler justement pendant la conférence que j'ai eu beaucoup, beaucoup de travail pour que ce soit prêt le moment venu. Mais pour moi, en fait, c'était OK. C'est-à-dire que je me suis mise dans un certain état d'esprit qui faisait que j'étais d'accord que sur un temps donné, puisque je savais que c'était limité dans le temps et que ça n'allait pas être comme ça toutes les semaines, j'étais d'accord que sur les quelques jours, donc en l'occurrence, c'était pendant cinq jours, que pendant ces cinq jours-là, eh bien, j'allais... pas faire ce que je fais d'habitude, j'allais pas pouvoir en faire autant, c'est-à-dire que d'habitude, par exemple, la journée, vu que je passe quand même pas mal de temps derrière l'ordi, je sors le tapis de marche, je marche, etc., parfois je descends les escaliers, enfin, bref, j'essaye de briser la sédentarité, je le fais de manière assez naturelle, globalement, je vais faire des séances de yoga, je vais un peu courir, etc., et là, en fait... J'avais tellement de charge mentale sur ce truc-là, donc avec beaucoup de pression, de stress, que je me mettais aussi à moi-même, mais peu importe, ce n'est pas le sujet. Mais bref, j'avais tellement de charge mentale là-dessus qu'en fait, j'ai fait en sorte de balayer tout le reste sur ces quelques jours pour être 100% focus sur ce que j'avais à faire. Et mon temps était vraiment millimétré. Donc voilà, je n'avais même pas envie de penser à sortir mon tapis et marcher dessus, même si d'habitude, ça m'aide énormément, notamment pour la créativité, pour avancer. Mais là, en fait, ce n'était juste pas le moment et je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ça, bien que dans d'autres circonstances, ça ne me prend pas la tête. Mais en l'occurrence, quand je suis relativement stressée, ce genre de truc peut devenir une charge alors que ça n'est pas forcément d'habitude. Donc voilà, en fait, j'étais juste OK avec le fait de ne pas forcément en faire comme prévu. Et donc, ce que j'ai fait, c'est que je me suis laissée tranquille cette semaine-là, ces quelques jours, ce qui fait que j'ai... pas eu de pression par rapport à ça, à ce niveau, alors que j'aurais quand même pu me dire Ouais, mais attends, Magali, quand même, tu fais une conférence qui s'intitule Pourquoi c'est si dur de bouger ? et toi, tu n'arrives même pas à le faire justement toi-même. Sauf qu'en me fixant un cadre dès le départ et en étant OK avec le fait de ne pas faire ce que je fais d'habitude, j'étais tout simplement en accord avec moi-même. Et c'est parce que j'étais en accord avec moi-même que du coup, je n'étais pas déçue de mon comportement. Et donc, à aucun moment, j'ai remis en cause ma capacité à y arriver, bien que le constat était que je n'en faisais pas comme d'habitude. Donc voyez un petit peu à quel point c'est intéressant de voir qu'un truc qui pourrait me faire culpabiliser de base, c'est-à-dire dévier, déroger de ce que j'ai prévu au départ, finalement, j'arrive à être en accord avec moi-même de ne pas le faire. Et le fait d'être en accord avec moi-même de ne pas le faire... ça crée les bonnes conditions derrière pour que je me remette à le faire facilement. Là est toute la logique de comment on fonctionne aussi au niveau émotionnel, qui fait que si on en rajoute une couche et si on se rajoute de la pression par rapport à ça, derrière, ça va peut-être être plus dur encore de le faire. Je vais encore mieux l'expliquer juste après. Parce qu'en fait, si tu poses le cadre, c'est-à-dire une durée, donc comme je le dis, avec laquelle tu es OK de déroger à ta propre règle, ce qui va se passer, c'est qu'en posant ce cadre-là, tu vas avoir la sensation de contrôler ce qui se passe. Et... déjà, pour la majorité des humains, on a envie et on aime contrôler notre situation, on aime contrôler ce qui se passe. Donc le fait de contrôler ce qui se passe, ça permet de se sentir plus en accord avec soi-même et ça n'impacte pas du coup notre confiance en nos capacités à réussir à le faire ou pas. Puisqu'en fait, là n'est pas la question. La question, c'est vraiment, je suis OK de faire une coupure, là, pendant tant de jours. Par contre, au-delà de ce temps-là, je ne serai plus OK avec ça. Et donc, je vais m'y remettre. Mais le fait de lâcher sur ces quelques jours, pas de pression, je le mets de côté. Je le mets de côté pour ce nombre de jours déterminés. Et ensuite, peut-être que je me remettrai une certaine pression. Et j'espère que vous me suivez d'ailleurs en écoutant. Mais maintenant, il y a quand même une sorte de juste mesure à avoir avec cette idée-là. Parce que si tu es OK toutes les semaines avec le fait de ne pas en faire pendant une semaine... En fait, si ça se transforme en un mois ou deux mois ou trois mois ou six mois, etc., c'est là où ça va devenir un problème. Mais je crois que tu as compris que l'idée, ce n'était pas d'en faire justement une généralité de ce truc-là, mais plutôt de rebondir dans les moments de ce genre où c'est tellement intense qu'à un moment donné, tu es obligé de faire peut-être des compromis ou de faire des choix autres que l'activité physique pour justement ne pas te rajouter une pression à la pression que tu as déjà. Dans cet épisode, j'ai voulu t'enseigner les notions de flexibilité, d'adaptation qui sont vraiment importantes pour réussir à adopter un mode de vie actif qui soit durable. Et j'ai voulu aussi te montrer qu'il était possible de sortir de cette dualité qui est que généralement, on va avoir tendance à se dire j'y arrive ou je n'y arrive pas Mais si on apporte un peu de nuance et si on voit le truc comme j'y arrive un peu j'y arrive beaucoup ou j'y arrive pas trop, etc. Si on nuance un peu plus entre le j'y arrive et j'y arrive pas, derrière, on va être beaucoup plus capable de maintenir nos comportements dans la durée parce que, justement, on aura plus de flexibilité, moins de pression par rapport à ça, moins de culpabilité d'une certaine manière, ou en tout cas de la culpabilité plus contrôlée, si j'ose le dire comme ça. Et on sera capable donc de maintenir nos comportements actifs beaucoup plus longtemps que ce que vous croyez. J'espère que cet épisode vous a rapporté des choses. Pour en revenir un petit peu à l'événement que j'ai voulu présenter la dernière fois, enfin que j'ai présenté sur ma conférence, sachez que vous pouvez le retrouver. C'est un challenge qui s'appelle le challenge osé et qui va bien avec aussi le style de l'épisode que j'ai fait aujourd'hui. Sachez que vous pouvez le retrouver sur le site mouvemental, www.mouvemental.com N'hésitez pas, si d'ailleurs cet épisode vous a inspiré peut-être de nouvelles perspectives ou vous a fait tout simplement du bien, si justement en ce moment vous êtes un peu en train de vous mettre la pression sur votre mode de vie, sur votre pratique d'activité physique. Je le rappelle encore une fois, le but n'étant pas de s'enlever toute pression ou toute culpabilité par rapport à ça, puisque si on va justement à l'extrême inverse, peut-être qu'à un moment donné on n'aura plus le petit truc qui va venir nous botter un petit peu le derrière. Mais en même temps, on ne veut pas que ça devienne une pression telle que justement on se retrouve face à l'incapacité d'avancer et qu'on se retrouve dans une sensation d'échec qui fait qu'on en perd le contrôle et on n'arrive plus du tout à gérer la situation et on finit par abandonner. Donc j'espère que ça vous aura aidé un petit peu par rapport à tout ça. N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et si vous avez bien aimé cet épisode, à justement lui mettre une bonne étoile pour faire en sorte que de plus en plus de personnes écoutent. le podcast Mouvementale. Je vous retrouve très vite pour un nouvel épisode. Ciao ! C'est tout pour aujourd'hui. Enfin, presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, N'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. A bientôt !

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Dans cet épisode, on parle de ces semaines où tout part de travers, où tu ne sais plus où donner de la tête, où tu te sens en échec parce que tes séances prévues tombent à l'eau... Je te partage pourquoi être OK avec ces moments-là peut transformer ta façon de voir l'activité physique.


Tu découvriras comment poser un cadre qui t’aide à lâcher prise, tout en restant maître de ton engagement sur le long terme. Parce qu’au final, bouger, ce n’est pas une course de quelques mois, mais un mode de vie... pour la vie.


Bonne écoute 🎧


Magali


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🤸🏻‍♀️ Ma 1ère casquette, c'est l'Activité Physique Adaptée (APA), ça veut dire que je suis capable de vous proposer un accompagnement (physique) adapté à vos besoins, vos capacités et vos envies. En gros, c'est moi qui m'adapte à vous et pas l'inverse !


🦀 Pendant 6 ans, j'ai accompagné plus de 2000 personnes atteintes de cancer à reprendre ou maintenir une activité physique régulière peu importe le moment de leur parcours.


🕵🏻‍♀️ Et pendant tout ce temps, je me suis posée la même question : comment faire pour adopter un mode de vie actif qui soit à la fois RÉGULIER et DURABLE ?


🧠 C'est là que ma 2ème casquette est arrivée : la préparation mentale. Là, ça veut dire que je suis en mesure de vous aider à identifier vos freins et faire évoluer votre mental pour que vous n'abandonniez pas devant les obstacles, que vous ayez un état d'esprit propice à cet objectif et que vous soyez mieux armer au quotidien.


🤓 J'apprends tous les jours que ce soit à travers des formations (PNL, prépa mentale, entretien motivationnel) ou des livres/podcasts/vidéos (neurosciences, communication, psychologie humaine, changement de comportement, pédagogies, marketing, etc.)


🏀 Côté sport, j'ai été passionnée par le basket pendant 15ans avant de devenir une adepte du "multi-activités" ! J'adore varier en fonction de mes journées et de mes envies. Et puis, si vous m'apercevez dans la rue, il y a de grandes chances que je sois sur mon vélo. 🚲


💡 Je m'intéresse particulièrement aux non-sportifs qui veulent réussir à avoir une activité physique régulière pour être aussi bien physiquement que mentalement, et ainsi s'en mettre plein la vue dans toutes les dimensions de leur vie !


Je serai ravie que vous en fassiez partie,


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvementale. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. Si ta régularité est l'unique critère qui justement te permet de savoir si, de manière globale, tu réussis à être physiquement actif ou non, eh bien tu risques de tomber de haut quand tu n'arriveras pas à l'être. Et là je m'adresse vraiment à vous qui essayez justement un maximum d'être actif ou qui avez ce désir-là de faire plus de sport, de faire plus d'activité physique. Et qu'en fait, peut-être que vous mettez beaucoup de charge mentale par rapport à ça. Et ce qui se passe, c'est que si chaque semaine où vous n'arrivez pas à faire ce que vous avez prévu de faire, en termes de séance d'activité physique par exemple, vous allez vous sentir en échec. Et si vous abusez de cette sensation-là, de cette sensation d'échec, vous allez réellement lâcher ce que vous aviez entrepris en termes de démarche par rapport à l'activité physique. Je le dis surtout si... Vous avez du mal en fait à encaisser les échecs, parce que c'est aussi un apprentissage, et ça se fait très bien avec la prépa mentale notamment, mais plus on va réussir à embrasser l'échec d'une certaine manière, plus on va avoir de la facilité justement à rebondir derrière les échecs et presque à les passer comme de simples obstacles, plutôt que justement d'abandonner une fois, on va dire le premier échec sous nos yeux. Donc voilà, si vous n'avez pas forcément de la facilité à... rebondir facilement derrière les échecs ou à supporter en fait le fait de vivre peut-être un échec à vos yeux, et bien du coup c'est d'autant plus intéressant ce que je vais vous dire ensuite. Donc à moins que vous soyez justement des robots ou que votre vie soit, on va dire, tellement linéaire ou au point que toutes vos semaines se ressemblent strictement, il me semble que c'est pas réellement possible de réussir absolument toutes les semaines de l'année à ébriser la sédentarité régulièrement dans la journée. et en plus faire toutes les séances d'activité physique qu'on a prévues. Ou alors franchement, si vous arrivez à faire ça, moi je me questionne un peu sur combien de temps vous allez être capable de tenir ce même rythme-là, donc cette même régularité, toutes les semaines, toutes les semaines, toutes les semaines. Est-ce que vous allez réussir à tenir ça pendant des années ? C'est là où moi je commence à douter. Et la stratégie, c'est vraiment de chercher non pas à... Tout miser sur le moment, sur quelques mois, c'est plutôt de viser beaucoup plus loin sur une période de temps beaucoup plus longue puisque faire de l'activité physique, en fait, c'est pour toute la vie. Ce n'est pas simplement pour un an ou pour quelques mois. Donc voilà pourquoi je trouve que l'épisode que je vous présente aujourd'hui, il a d'autant plus de sens puisqu'on va avoir besoin d'apprendre justement à peut-être envisager les choses différemment quand on est sur des semaines qui sont très très intenses. et où on a peut-être plus de mal justement à faire de l'activité physique. Et en fait, le problème, c'est de croire qu'on est justement en train de lâcher ou même que c'est perdu d'avance si on n'en fait pas pendant quelques jours. Par exemple, si vous aviez prévu de faire trois ou quatre séances dans la semaine d'activité physique, eh bien l'erreur serait de commencer à se dire là, je n'ai pas réussi cette semaine ou je n'ai pas réussi à faire ma première, ma deuxième séance Donc, en fait, ça veut dire que je suis en train de lâcher. Puisque c'est en ayant cette sensation d'avoir perdu d'avance que petit à petit, vous n'allez peut-être pas vous mobiliser ou avoir des comportements qui vont vous faire dépasser justement cette sensation pas très agréable. Pour moi, en fait, ce n'est pas un problème. C'est-à-dire que je sais que passer la période intense en question, ça va revenir pour moi à la normale derrière. Alors, je suis OK, en fait, avec le fait que... certains jours, ça ne sera pas ça. Et certains jours, je ne serai peut-être même pas le meilleur exemple pour vous. C'est-à-dire que je n'illustrerai peut-être pas aussi bien ce que je veux pour vous. Autrement dit, le fait d'être régulier dans votre pratique et d'avoir quelque chose d'assez constant en termes d'exercice physique, semaine après semaine. Mais en fait, je suis OK avec ça. Mais ce qui se passe, c'est que quand toi, tu ne respectes pas ton deal, ton deal de faire tant de séances ou d'être... d'être régulier dans ta pratique semaine après semaine. Là où... J'ai envie de te donner une clé, c'est qu'en fait, tout réside dans ta capacité à être OK avec le fait que parfois, il y a des périodes où ce sera comme ça. Et ce que tu peux te demander, c'est en fait, combien de temps tu es OK avec le fait de ne pas tenir cet engagement que tu as envers toi-même, de ne pas tenir le deal que tu as avec toi-même, tes intentions, etc. Parce qu'en définissant une durée, donc ça peut être une semaine, ça peut être trois jours, peu importe, mais en définissant une durée... Ensuite, vous décidez en même temps, une fois cette durée passée, de ne plus être d'accord avec le fait de ne pas en faire. De ne plus être d'accord de repousser au lendemain ou de ne pas en faire, comme je viens de le dire. Vous vous engagez d'une certaine manière à derrière chercher comment vous remobiliser ou à mettre en place les ressources nécessaires pour justement réussir à se remobiliser. Et en faisant ça, tu ne vivras pas justement cette... période-là très intense pour toi, qui peut être liée peut-être à une charge de travail importante, qui peut être liée avec je ne sais trop quel autre projet perso dans ta vie. Mais en faisant ça, tu ne vivras pas chaque jour cette culpabilité-là de ne pas réussir à tenir, alors qu'en fait, tu as déjà beaucoup de charges mentales avec le truc justement qui t'empêche d'en faire sur ces quelques jours-là dont on est en train de parler. Exemple, récemment... j'ai animé la conférence en ligne Pourquoi c'est si dur de bouger ? et avant d'animer la conférence, j'avais énormément de travail, vraiment beaucoup, beaucoup de travail, au point que je ne pouvais pas décrocher, c'était super intense, parce que pour moi, j'avais envie qu'à la fin de la conférence, je parle d'un gros événement que j'ai prévu d'organiser, qui aura lieu au mois de mars, je vous en reparlerai peut-être après, mais en tout cas, j'avais ce gros truc en tête. et j'avais tellement envie de vous en parler justement pendant la conférence que j'ai eu beaucoup, beaucoup de travail pour que ce soit prêt le moment venu. Mais pour moi, en fait, c'était OK. C'est-à-dire que je me suis mise dans un certain état d'esprit qui faisait que j'étais d'accord que sur un temps donné, puisque je savais que c'était limité dans le temps et que ça n'allait pas être comme ça toutes les semaines, j'étais d'accord que sur les quelques jours, donc en l'occurrence, c'était pendant cinq jours, que pendant ces cinq jours-là, eh bien, j'allais... pas faire ce que je fais d'habitude, j'allais pas pouvoir en faire autant, c'est-à-dire que d'habitude, par exemple, la journée, vu que je passe quand même pas mal de temps derrière l'ordi, je sors le tapis de marche, je marche, etc., parfois je descends les escaliers, enfin, bref, j'essaye de briser la sédentarité, je le fais de manière assez naturelle, globalement, je vais faire des séances de yoga, je vais un peu courir, etc., et là, en fait... J'avais tellement de charge mentale sur ce truc-là, donc avec beaucoup de pression, de stress, que je me mettais aussi à moi-même, mais peu importe, ce n'est pas le sujet. Mais bref, j'avais tellement de charge mentale là-dessus qu'en fait, j'ai fait en sorte de balayer tout le reste sur ces quelques jours pour être 100% focus sur ce que j'avais à faire. Et mon temps était vraiment millimétré. Donc voilà, je n'avais même pas envie de penser à sortir mon tapis et marcher dessus, même si d'habitude, ça m'aide énormément, notamment pour la créativité, pour avancer. Mais là, en fait, ce n'était juste pas le moment et je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ça, bien que dans d'autres circonstances, ça ne me prend pas la tête. Mais en l'occurrence, quand je suis relativement stressée, ce genre de truc peut devenir une charge alors que ça n'est pas forcément d'habitude. Donc voilà, en fait, j'étais juste OK avec le fait de ne pas forcément en faire comme prévu. Et donc, ce que j'ai fait, c'est que je me suis laissée tranquille cette semaine-là, ces quelques jours, ce qui fait que j'ai... pas eu de pression par rapport à ça, à ce niveau, alors que j'aurais quand même pu me dire Ouais, mais attends, Magali, quand même, tu fais une conférence qui s'intitule Pourquoi c'est si dur de bouger ? et toi, tu n'arrives même pas à le faire justement toi-même. Sauf qu'en me fixant un cadre dès le départ et en étant OK avec le fait de ne pas faire ce que je fais d'habitude, j'étais tout simplement en accord avec moi-même. Et c'est parce que j'étais en accord avec moi-même que du coup, je n'étais pas déçue de mon comportement. Et donc, à aucun moment, j'ai remis en cause ma capacité à y arriver, bien que le constat était que je n'en faisais pas comme d'habitude. Donc voyez un petit peu à quel point c'est intéressant de voir qu'un truc qui pourrait me faire culpabiliser de base, c'est-à-dire dévier, déroger de ce que j'ai prévu au départ, finalement, j'arrive à être en accord avec moi-même de ne pas le faire. Et le fait d'être en accord avec moi-même de ne pas le faire... ça crée les bonnes conditions derrière pour que je me remette à le faire facilement. Là est toute la logique de comment on fonctionne aussi au niveau émotionnel, qui fait que si on en rajoute une couche et si on se rajoute de la pression par rapport à ça, derrière, ça va peut-être être plus dur encore de le faire. Je vais encore mieux l'expliquer juste après. Parce qu'en fait, si tu poses le cadre, c'est-à-dire une durée, donc comme je le dis, avec laquelle tu es OK de déroger à ta propre règle, ce qui va se passer, c'est qu'en posant ce cadre-là, tu vas avoir la sensation de contrôler ce qui se passe. Et... déjà, pour la majorité des humains, on a envie et on aime contrôler notre situation, on aime contrôler ce qui se passe. Donc le fait de contrôler ce qui se passe, ça permet de se sentir plus en accord avec soi-même et ça n'impacte pas du coup notre confiance en nos capacités à réussir à le faire ou pas. Puisqu'en fait, là n'est pas la question. La question, c'est vraiment, je suis OK de faire une coupure, là, pendant tant de jours. Par contre, au-delà de ce temps-là, je ne serai plus OK avec ça. Et donc, je vais m'y remettre. Mais le fait de lâcher sur ces quelques jours, pas de pression, je le mets de côté. Je le mets de côté pour ce nombre de jours déterminés. Et ensuite, peut-être que je me remettrai une certaine pression. Et j'espère que vous me suivez d'ailleurs en écoutant. Mais maintenant, il y a quand même une sorte de juste mesure à avoir avec cette idée-là. Parce que si tu es OK toutes les semaines avec le fait de ne pas en faire pendant une semaine... En fait, si ça se transforme en un mois ou deux mois ou trois mois ou six mois, etc., c'est là où ça va devenir un problème. Mais je crois que tu as compris que l'idée, ce n'était pas d'en faire justement une généralité de ce truc-là, mais plutôt de rebondir dans les moments de ce genre où c'est tellement intense qu'à un moment donné, tu es obligé de faire peut-être des compromis ou de faire des choix autres que l'activité physique pour justement ne pas te rajouter une pression à la pression que tu as déjà. Dans cet épisode, j'ai voulu t'enseigner les notions de flexibilité, d'adaptation qui sont vraiment importantes pour réussir à adopter un mode de vie actif qui soit durable. Et j'ai voulu aussi te montrer qu'il était possible de sortir de cette dualité qui est que généralement, on va avoir tendance à se dire j'y arrive ou je n'y arrive pas Mais si on apporte un peu de nuance et si on voit le truc comme j'y arrive un peu j'y arrive beaucoup ou j'y arrive pas trop, etc. Si on nuance un peu plus entre le j'y arrive et j'y arrive pas, derrière, on va être beaucoup plus capable de maintenir nos comportements dans la durée parce que, justement, on aura plus de flexibilité, moins de pression par rapport à ça, moins de culpabilité d'une certaine manière, ou en tout cas de la culpabilité plus contrôlée, si j'ose le dire comme ça. Et on sera capable donc de maintenir nos comportements actifs beaucoup plus longtemps que ce que vous croyez. J'espère que cet épisode vous a rapporté des choses. Pour en revenir un petit peu à l'événement que j'ai voulu présenter la dernière fois, enfin que j'ai présenté sur ma conférence, sachez que vous pouvez le retrouver. C'est un challenge qui s'appelle le challenge osé et qui va bien avec aussi le style de l'épisode que j'ai fait aujourd'hui. Sachez que vous pouvez le retrouver sur le site mouvemental, www.mouvemental.com N'hésitez pas, si d'ailleurs cet épisode vous a inspiré peut-être de nouvelles perspectives ou vous a fait tout simplement du bien, si justement en ce moment vous êtes un peu en train de vous mettre la pression sur votre mode de vie, sur votre pratique d'activité physique. Je le rappelle encore une fois, le but n'étant pas de s'enlever toute pression ou toute culpabilité par rapport à ça, puisque si on va justement à l'extrême inverse, peut-être qu'à un moment donné on n'aura plus le petit truc qui va venir nous botter un petit peu le derrière. Mais en même temps, on ne veut pas que ça devienne une pression telle que justement on se retrouve face à l'incapacité d'avancer et qu'on se retrouve dans une sensation d'échec qui fait qu'on en perd le contrôle et on n'arrive plus du tout à gérer la situation et on finit par abandonner. Donc j'espère que ça vous aura aidé un petit peu par rapport à tout ça. N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires et si vous avez bien aimé cet épisode, à justement lui mettre une bonne étoile pour faire en sorte que de plus en plus de personnes écoutent. le podcast Mouvementale. Je vous retrouve très vite pour un nouvel épisode. Ciao ! C'est tout pour aujourd'hui. Enfin, presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, N'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. A bientôt !

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