Speaker #0Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous avez passé une belle semaine, une belle semaine d'avant. Il n'y a pas eu de podcast pendant une semaine. Et en réalité, je pense que je vais faire une pause pendant les vacances d'été. Parce que ça va être la première fois où je vais être en congé. Et j'ai pour une fois, pour la première fois depuis des années, j'ai envie de faire moi aussi une petite pause de travail. Et donc, et surtout revenir avec des vrais sujets, comme je le disais. Donc, j'ai décidé de faire une petite pause. Donc, je pense que le podcast va s'arrêter aujourd'hui. Voilà. Et ça va être le dernier épisode de la saison. Et on entendra la saison 3. Déjà. Déjà. Déjà, déjà, déjà. On entendra la saison 3. Et vous aurez la saison 3, donc, soit le 21, soit le 28 août. Voilà, donc pendant cet été, il ne va pas y avoir de podcast, tout simplement parce que pendant l'été, comme dans tout, tout le monde est en vacances, tout le monde est léger, c'est de la légèreté, etc. Je pourrais faire des contenus d'été. mais très sincèrement je n'en ai pas l'envie je n'en ai pas l'envie voilà même si on écoute au bord de la plage au bord de la piscine etc je vais moi même être en congé et je vais avoir un contenu un peu restreint donc moi parler devant un micro pour parler devant un micro ça m'intéresse pas déjà la semaine dernière j'étais un petit peu à court de sujets donc Donc j'ai choisi de ne pas le faire. Et j'ai choisi de ne pas enregistrer. Là, aujourd'hui, j'enregistre parce qu'il m'est arrivé quelque chose de très positif. Et j'ai envie de vous en parler parce que ça m'a donné vraiment, et j'en ai déjà parlé à mes filles, mais ça m'a vraiment donné un coup de pied au cul, pour être tout à fait honnête. que j'avais pas encore envie de déblatérer sur les enculés parce que franchement ça m'intéresse pas que j'avais envie moi aussi d'avoir un petit peu de légèreté et de positivité que la coiffure s'endort l'été voilà donc puisqu'il y a il y a beaucoup de gens qui prennent des vacances, etc. Que les formations s'arrêtent, que moi-même je vais être en congé, et je vous le souhaite, et j'espère que vous le serez vous aussi, que vous serez en congé, que vous aurez du temps pour vous, pour votre famille, pour vos enfants, pour votre tante, votre grand-mère, votre chien, tout ce que vous voulez. et que vous allez revenir en forme le 21 ou le 28 août. Voilà. Donc, je pense que je vais faire maintenant des pauses, que je vais arrêter de me... que je vais arrêter de me... parce qu'en fait, je suis un peu comme vous. Je suis un peu comme vous. Je me rappelle de l'année dernière quand j'ai commencé à faire les podcasts et tout. Je m'étais assise au bord de la terrasse, en fait, depuis ma soirée au bord d'un trottoir, c'était pareil. Et je m'étais dit, je trouve que chaque année, j'ai comme cette espèce d'angoisse de ne pas avoir de clients, etc., de me dire, ça y est, ma vie est foutue. Je n'ai plus de clients, c'est réglé. C'est comme nous quand... en coiffure on a des trous dans notre agenda on se dit ah ça y est ils sont tous partis j'ai augmenté mes prix c'est la catastrophe ils se sont tous barrés ils ont tous compris ils ont tous compris que je voulais faire plus de thunes du coup j'ai plus de clients bref Et en fait, et en fait, et en fait, et en fait, ça n'est pas vrai, ça n'est pas vrai, ça n'est pas vrai, ça n'est pas vrai. Et quand bien même ça le serait, vous êtes capable de vous retourner, de vous dire, mais moi je vais changer ça, je vais faire ça, je vais faire ça. Et en fait, c'est tout le temps ce que je fais. Et arrive le temps où j'ai mis d'énormes actions en place pour mon entreprise, que je fais chaque session de six mois et à chaque soir. c'est le débordage, le débordement. Je suis full complet. Et là, cette année, je suis encore complet. Donc, j'ai décidé que je prenais des vacances. Cancun est complet. Les Lyon sont complets. Mon entreprise va très bien. Mon salon commence les travaux demain. Donc en fait, puis ça c'est un enseignement que j'aimerais que vous puissiez comprendre, mais j'aimerais que vous puissiez tellement le comprendre. La diversification des revenus, des sources de revenus est tellement importante. Moi-même, je ne le comprenais pas, en fait. Et quand on ne le fait pas, on agit comme un salarié. Par exemple, je te donne un exemple. Tu achètes tes murs, c'est une source de revenus. Tu achètes un fonds de commerce, c'est une source de revenus. Tu achètes tes murs, c'est ton fonds de commerce. C'est une double source de revenus. Ensuite, par exemple, moi, j'ai la méthode Lyon qui est mon sort. C'est mon socle, c'est ce qui me fait vivre, c'est ce qui développe mon entreprise, etc. J'ai Cancun en fait, qui est devenu aujourd'hui un événement extraordinaire et qui me permet d'asseoir mon autorité et me permet de... comment vous dire ? de me faire connaître par des gens qui ne me connaissent pas, et me permet de me développer, développer en fait, comment vous dire, ma visibilité en quelque sorte, et ce n'est pas du tout pour ça que je l'ai fait, je vous le dis, je l'ai fait pour apporter une valeur ajoutée à mon travail, et finalement ça s'est transformé en quelque chose auquel je n'imaginais pas. Ensuite je suis en train de monter un salon, donc par exemple le salon, je ne prendrai pas de revenu sur le salon. Le salon en fait va me permettre d'avoir une trésorerie. et d'avoir des dividendes éventuellement à la fin de l'année. C'est pareil pour Lyon, en fait, me donne un salaire. Cancun me donne des dividendes à la fin de l'année, une fois que tout est réglé, etc. Donc, en fait, si je veux développer mes projets, je diversifie mes revenus pour savoir exactement ce que je veux faire. Par exemple, là, mon objectif, c'est d'acheter une maison. On n'y est pas encore pour l'instant, parce que comme je l'ai déjà expliqué précédemment, on est dans de l'autofinancement, d'accord ? Et la maison, le style et tout ça que je veux, c'est quand même une grosse somme. Donc il va me manquer un petit peu, il va me manquer un petit peu par rapport à la maison que j'ai là. Donc, du coup, je suis obligée d'attendre. Mais c'est un projet. Donc, si par exemple, admettons, le salon tourne, que j'arrive à avoir une belle prime en dividende des compagnies, c'est sûr que je vais l'injecter peut-être dans mon achat de maison, peut-être dans un achat local commercial encore, peut-être ouvrir un deuxième salon. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est ça l'objectif. En fait, quand les gens vous disent, ouais, de toute façon, la Véron, elle travaille que pour l'argent, mais va te faire enculer par des sapins, d'accord ? Parce que, oui, parce qu'en fait, les sapins, c'est bien quand ça rentre, mais ça fait mal quand ça ressort. Et donc, du coup, en fait, ce n'est pas vrai. C'est en fait récupérer un certain confort pour se dire, ok, je vis bien toute l'année, c'est bon. Mais en même temps, en fait, comme je sais que je n'aurai pas de retraite, et je vous le dis, je n'en aurai pas, puisque j'ai travaillé en France pendant 10 ans, 12 ans, 12 ou 14, je ne sais plus, bref. en tant que salarié je veux dire, et que j'ai ouvert une entreprise et que pendant la première année, la deuxième année, la troisième année d'ouverture d'entreprise, la retraite n'est pas ouf. En tout cas, ce qu'on cotise, d'accord ? Donc là encore, après je suis partie au Québec. Au Québec, j'ai été un an élue en tant que salariée et ensuite j'ai été indépendante, donc là pareil. Si, pareil, donc en fait moi ma retraite elle n'existe pas. Donc quand Conjac essaye de me faire la morale, pour me dire ouais mais là les coachs ils s'en mettent plein les poches et tatata, en fait j'ai envie de vous glisser un extrait d'accord ? Je ne sais pas si je vais réussir. J'ai réussi, j'ai réussi, j'ai réussi, mais je suis trop à l'aise. Donc j'ai mis un petit extrait de ce... de ce qui a été pour moi, en fait. En fait, ça, honnêtement, je trouve que, vous voyez, par exemple, j'ai mis un petit extrait, d'accord, je ne polimicris pas là-dessus, ce n'est pas le but, mais c'est pour montrer. en fait à quel point aujourd'hui on a un défi parce que moi en tant que en tant que accompagnant d'entreprise vous en tant que coiffeur en fait quand tu commences à facturer ton service parce que tu as une expérience parce que tu as une formation parce que tu as un peu de jugeote parce que en fait on va dire une une vision pour toi même en fait ni au delà de ce que la norme la moyenne te donne tu passes pour un voleur Ah, elle vole ! Il ou elle vole ! Donc, en fait, aujourd'hui, pour être démago, il faudrait être un coiffeur assis sur un trottoir, en train de s'élever et de dire « Oh, oh, oh, moi j'ai beau beau parce que moi j'ai pas d'argent, puis moi je paye trop d'impôts, puis... » Je comprends ce truc-là, ce truc un peu, excusez-moi de ce que je vais dire, je ne fais pas de politique là, mais ce truc un peu démago en fait, de gauche un peu, vous voyez ? Parce que sans être politique, machin, mais à se dire... dire, oh moi, je préfère vivre simplement et tout donner aux pauvres. Je n'ai rien contre ça. Mais tu peux faire du bénévolat le dimanche après-midi si tu veux, sans problème. Ça ne fera pas de toi une mauvaise personne, de gagner ta vie à l'extérieur. et de te dire mais moi je vais aller faire du bénévolat le dimanche après midi parce que pour moi ça me tient à coeur d'aider les autres en fait quand tu fais ça que tu peux que tu tapes sur la tête des autres en disant ouais mais lui fait sa petite enculé tata en fait Non seulement tu donnes une mauvaise image du métier, c'est-à-dire qu'en fait, tu es en train encore une fois de dire que les coiffeurs sont des enculés à facturer, que les formateurs sont encore plus des enculés à facturer leur formation, que ça devrait être gratuit, qu'il faudrait se former pour quoi ? moins cher parce que le côté des magots en fait ressort tu vois un peu bobo parisien et donc et donc on est tous des enculés en fait dans le métier sans mauvais jeu de mots et donc doit on doit vraiment en fait redescendre un peu de notre planète et se dire voilà moi ben j'ai pas fait d'études alors fuck je vais aller me battre pour un smic et voilà non non non non je suis désolé et donc je parle de ça pour la diversification des revenus pourquoi parce que en fait on ne travaille pas pour l'argent On ne travaille pas pour l'argent. Si tu travailles pour l'argent, change de job, parce que tu vas t'emmerder à un moment donné. Personne ne devrait travailler pour l'argent. Quand tu travailles pour l'argent, c'est que tu es salarié. Quand tu es entrepreneur, tu ne travailles pas pour l'argent. Et je te l'apprends, je ne travaille pas pour l'argent. Je travaille pour mon confort, je travaille pour mes rêves, je travaille pour le développement, je travaille pour mon futur, je travaille pour plein de trucs, mais ça ne s'appelle pas argent en fait. Ça ne s'appelle pas riche, ça ne s'appelle pas fortune, Ça ne s'appelle pas... je ne rêve pas d'avoir une tour à mon nom, je ne rêve pas d'avoir une statue, une rue, tu vois. Je rêve aujourd'hui de revaloriser notre métier, mais de la bonne façon. Et en apprenant que tu dois avoir un socle, mais tu dois aussi avoir des sources de rémunération extérieures à ton socle. Ça, c'est important. Ça, c'est des vrais chefs d'entreprise. Ça, c'est être leader. Connaître sa valeur, c'est être leader. On n'en a rien à foutre que Johnny te fait ça pour trois fois moins cher. Moi aussi, je peux aller acheter un sac. chez H&M qui coûtera 3 fois ou 10 fois ou 15 fois moins cher qu'un sac Vuitton, Hermès ou peu importe. Mais ça, c'est mon problème. Si j'ai envie de mettre le tarif à la pointe, parce que je me dis ça là, si je le paye... c'est parce qu'il ya une qualité derrière c'est parce que je suis certaine du résultat que je vais avoir c'est parce que je suis convaincu que je vais pouvoir me développer encore plus mais j'en ai rien à foutre du prix que je vais payer en fait rien à rien à j'en ai rien à foutre et même quand j'avais pas d'argent j'en avais rien à foutre je te le dis très sincèrement si tu regardes le prix mais que tu regardes pas ce que tu vas pouvoir récupérer de ce prix là Tu vois, c'est comme en coiffure. Tu peux toujours payer quelque chose de moins cher. Toujours. Toujours. Mais tu payes quoi en fait ? Tu payes quoi ? Quand tu payes une belle prestation, je veux te dire, tu payes le produit, tu payes le talent, tu payes les formations, tu payes le salon, tu payes l'emplacement, tu payes le suivi, tu payes la relation client, tu payes le conseil, tu payes le temps, tu payes plein de choses. Tu vois ce que je veux dire ? Tu ne fais pas que payer une prestation, tu payes tout ce qu'il y a autour. Et quand tu fais une formation, c'est pareil. Tu ne fais pas payer que le moment où tu es là. Tu payes tout ce que tu vas vouloir, tout ce qui va découler de cette formation-là à vie. À vie ! De toute ta vie entière. Entière. tu vas pouvoir en fait y gagner un bénéfice à vie. à vie, elle coûte combien ta vie à toi ? Ton confort, tes rêves, tout ce que tu veux en fait obtenir dans ta vie, ta retraite, ton arrêt maladie si à un moment donné tu es malade, la sécurité de tes enfants, l'enseignement de tes enfants, tout ça, ça coûte combien ? Alors arrête-moi tes simagrées espèces de nouilles, parce qu'honnêtement en fait, clairement tu ne comprends pas, tu n'as pas compris, Et quand j'écoute ce fameux podcast, en fait, où on dit, oui, mais moi, je n'ai pas besoin de dévoiler mes comptes en banque, puis moi, je n'ai pas besoin, puis nous, on a décidé de réduire notre effectif parce qu'on en avait pour la santé mentale. Arrête de mentir. Arrête de mentir. Arrête de mentir. Arrête de mentir. Arrête de mentir. Arrête de mentir. Arrête. Tu vois ce que je veux dire ? Si toi, tu sais des choses, moi aussi. Donc, arrête. Tu vois ? S'il vous plaît, arrêtez, arrêtez, arrêtez, arrêtez de taper sur la tête des autres. Tout ça parce que ça vous permet d'avoir une troisième couille. C'est non. Donc diversifiez vos revenus, pas simplement pour vomir de l'argent, mais tout simplement pour avoir une certaine sécurité. et en même temps sécuriser vos enfants sécuriser votre patrimoine sécuriser votre avenir sécuriser plein de trucs un jour tu as une tuile tu revends tu vois ce que je veux dire tu revends tu récupères du tu récupères des fonds bref ton local mon local je l'ai payé un certain prix il n'y a rien dedans c'était ces quatre murs quatre murs de briques de ciment rien quand je vais l'aménager, il va avoir doublé de valeur. Quand le centre commercial va être sorti de terre en face, il va tripler de valeur. Quand je vais l'avoir exploité pendant 5 ans, il va quadrupler de valeur. D'un local que j'ai payé 150 000 euros, je vais pouvoir le revendre 600 000 euros. Tu vois ce que je veux dire ? Tu vois ce que je veux dire ou tu ne vois pas ? Ce n'est pas vouloir de la thune à tout prix. C'est savoir qu'en fait, à la retraite, si tu es normalement constitué, puis que tu es bien, puis que tu as besoin, au moins, au moins, un million à un million cinq, pour pouvoir finir ta vie, correctement, confortablement, un million à un million cinq. Parce que tu te dis, bon, moi, je vais arrêter à 65 ans. Je compte réellement, en fait, me dire que je vais vivre jusqu'à 85 ans, d'accord ? Donc, ça fait quand même 20 ans. 20 ans. 20 ans, d'accord ? 20 ans. 1,5 million divisé par 12, divisé par 20, ça fait 6 000. Tu vois ? Ben ouais, je sais, je vois vraiment gros, mais je me dis c'est ça. C'est ça que je me dis. Si tu veux être bien rémunéré et que tu veux vraiment vivre correctement, il faut que tu aies au moins une liquidité, quelque part, de 1 million à 1,5 million. tu vois et au moins là oui c'est sûr 6000 euros c'est beaucoup mais quand tu enlèves les impôts enlève à peu près 20% d'impôts donc divisé par 20% donc moins de 20% 6250 moins 20% donc ça fait 5000 ça fait 5000 euros tu vois 5000 euros tu vas me dire ouais mais moi je gagne pas 5000 euros oui je comprends je comprends que tu gagnes pas 5000 euros pourquoi tu gagnes pas 5000 euros pourquoi parce que... Tu n'as pas encore ce système-là qui te permet de développer des revenus dans ton entreprise. Et là, quand je dis ça, tu as le poil qui s'est risqué sur les bras. Là, tu te dis, mais moi, je gagne 2 000 euros, je galère, ou alors je gagne 1 500 euros, ou je gagne 1 000 euros et je galère. Comment je peux arriver à gagner 5 000 euros ? En diversifiant tes revenus, je te jure. En diversifiant tes revenus, tu es capable de gagner 5 000 euros. Tu achètes tes biens. Une fois que tu les as payés, tu as déjà une rente en fin de loyer qui t'arrive là, comme ça. Généralement, une SCI, c'est 5 ans, d'accord ? C'est 15 ans, pardon. C'est 15 ans. Donc, au bout de 15 ans, tu as déjà une liberté financière plus importante. Ensuite, tu as les revenus de ton salon. Ensuite, tu peux développer d'autres sources de revenus. Une boutique en ligne, une boutique, peu importe. Il y a possibilité, en fait. Le revenu n'est jamais plafonné quand on est un chef d'entreprise. jamais et quand je dis ça même moi je me dis je vais me faire taper sur les doigts parce qu'on va se dire wow joli oui ouais je comprends je comprends qu'en fait ça peut ça puisse choquer quand on parle d'argent ça peut choquer on peut se dire qu'en fait on les a pas en fait voilà moi j'ai bien moi j'ai quand j'ai commencé la coiffure je gagnais 390 euros première année ensuite 550 euros Et ensuite, 700 euros quand j'étais en BP. Jusqu'à 1000 euros quand j'étais en BP, parce que j'ai fini, j'avais 23 ans. Et en fait, c'est pas... Quand j'avais cette somme-là, on n'était pas riches, mais je ne me rappelle pas qu'on galérait de ouf, en fait. J'avais un enfant, j'avais des aides sociales type APL, allocation familiale et tout ça. Mais je ne me rappelle pas que je galérais. En fait, pourquoi ? Parce que je n'avais aucun objectif de vie. J'avais des rêves, mais je ne les matérialisais pas. Je voulais des choses, mais voilà, il m'a fallu dix ans pour ouvrir mon premier salon parce que je n'avais aucune stratégie financière, aucune. Interdit bancaire, machin, voilà. Donc, je te dis, je ne galérais pas, mais en fait, on galérait. Je viens de me rappeler. Si, si, on galérait. On galérait, en fait, on a galéré vers la fin, surtout, vers la fin, avant que je sois à 27 ans, en fait, quand j'avais 27 ans. Mais quand j'étais jeune, jeune, jeune, jeune, jeune, quand j'avais des petits salaires comme ça, je ne me rappelais pas que je galérais autant. Mais le niveau de vie augmente, les besoins augmentent, les ambitions augmentent. Et vous savez qu'est-ce qu'il y a de pire en fait là-dedans ? C'est la frustration. La frustration de ne pas pouvoir. La frustration en fait de se dire « J'aimerais faire ci, ça, ça, mais je n'ai pas les moyens de le faire. » Et je ne me donne pas les moyens de le faire. Parce que je vous assure que je ne me donnais pas les moyens de le faire. Je regardais ce que j'avais. Je regardais ce que je n'avais pas. Mais je n'étais pas capable de mettre le doigt sur ce que j'aurais. Jamais. Moi, tu m'aurais dit... Et je me suis engueulée avec mon oncle. Une fois. Enfin, engueuler, tout est relatif, on s'entend. Mais parce que je ne me suis jamais vraiment engueulée avec lui. Mais je n'étais pas d'accord cette journée-là, je m'en souviens. Parce que j'avais une vieille voiture, une vieille... J'avais une Fiat Brava que j'avais acheté 450 euros. Pour moi, c'était le bout du monde. Et en fait, on avait beaucoup de réparations à faire dessus. Évidemment, tu te doutes pour le prix. Et il m'a dit, mais pourquoi tu n'achètes pas une voiture neuve ? Parce qu'en fait, je n'ai pas les moyens de m'acheter une voiture neuve. Je n'ai pas le salaire pour m'acheter une voiture neuve. Je ne peux pas m'acheter une voiture. Il me dit, ouais, mais tu aurais beaucoup moins d'emmerdes. Et là, je me suis dit, mais qu'est-ce que t'as ? De toute façon, t'as les moyens. Et toi, tu as des sous. Et puis, de toute façon, ouais, mais lui, il avait quel âge quand il m'a dit ça ? Il avait au moins 40 ans. Il avait au moins 40-45 ans quand il m'a dit ça. Donc il avait à peu près le même âge que moi aujourd'hui. Et aujourd'hui, je tiendrai le même discours. Mais quelqu'un qui ne gagne pas sa vie, en fait, aurait le même discours que moi à l'époque, c'est-à-dire, pour qui tu te prends ? Mais en fait... Moi, j'enseigne à mes enfants aujourd'hui d'avoir mon schéma de 40 ans le plus tôt possible, en fait. Pour se dire qu'effectivement, c'est mieux d'avoir une voiture neuve pour avoir moins d'emmerdes. Effectivement, c'est mieux d'avoir une maison à coûter propriétaire. Effectivement, c'est mieux d'acheter tes murs de salon parce qu'au moins, en fait, tu te fais une rente. Effectivement, c'est mieux de diversifier ses revenus parce qu'au moins, voilà. Tout ça, là... Tout ça, là, c'est des choses que j'aurais aimé savoir à 20 ans. C'est des choses que j'aurais aimé imaginer. C'est des plans, en fait, que j'aurais aimé faire. Et j'aurais aimé avoir une mentalité où je ne me disais pas « Ouais, mais ça va, c'est bon, les... » discours de riches là, machin et tout, mais en fait j'adore les discours de riches, j'adore écouter ça c'est mon c'est mon fonceau d'or pourquoi ? Parce qu'en fait c'est pas la richesse monétaire en fait qui est importante mais c'est la richesse du futur c'est la présilibilité c'est le fait de se dire aujourd'hui j'ai décidé que je n'allais pas bosser que j'allais prendre des vacances que je partais en voyage que je faisais ceci ou cela sans en fait me sentir mal à l'aise de le faire et sans avoir avoir des craintes pour mon futur alors on est à l'abri de rien d'accord on est à l'abri de rien aujourd'hui tu vas bien dans deux mois on te déclenche un truc machin truc bref n'importe quoi Mais au moins, et de la même manière, j'ai souscrit à des assurances vie pour mes enfants, mon mari, etc. Tout ça, là, c'est des choses que je n'aurais pas imaginées. Je me serais dit, ouais, mais là, c'est bon, allez, vivons comme des bohémiens. Mais en fait, c'est nul. C'est nul. C'est nul. Parce qu'en fait, tu n'as pas de vie. Tu vis dans le stress, le doute, le manque. Tu n'as pas de vie. Et ça, c'est des stratégies que j'enseigne aujourd'hui. Parce qu'aujourd'hui, j'aimerais que tout le monde soit comme moi, en fait. À réfléchir. T'achètes pas un local pour te dire que t'es propriétaire d'un local. t'achètes un local parce que tu sais que ça va te ramener des loyers. et que le loyer que tu vas toucher, admettons, 1000 euros, multiplié par 12, multiplié par 20, ça fait 240 000 euros. Tu vois ce que je veux dire ? Tu mets 240 000 euros plus les intérêts que tu vas avoir pendant 20 ans, donc ça va te rapporter environ 260 000. 260 000, je m'excuse, mais c'est un bel apport pour une maison, par exemple. Voyez ce que je veux dire ? C'est un bel apport pour une retraite, c'est un bel apport pour plein de trucs. C'est un beau complément de vie. En même temps, tu as une entreprise qui roule, donc qui te rémunère. En plus de ça, tu as monté, du coup, avec cet argent, tu peux acheter des loyers, des appartements locatifs. etc et tu transformes en fait ton truc et tu te dis en fait moi aujourd'hui mais j'ai envie d'investir et de vivre de mon métier de ne plus avoir de stress c'est à dire que je sais que si par exemple j'ai une baisse d'activité mais j'ai mon loyer si je sais que j'ai une baisse d'activité mais j'ai cette autre entreprise si je sais que vous voyez ce que je veux dire moi je veux enseigner la sécurité voilà j'en ai rien à en fait qu'on pense que Ouais, ils s'en foutent plein les poches, etc. C'est pas l'argent qui est important. De toute façon, c'est pas le... Comment vous dire ? C'est pas l'argent qui fait le projet. C'est le projet qui fait l'argent. Donc, en fait, vous devez être animé par ce que vous faites, animé par ce que vous mettez en place. On ne peut pas faire quelque chose si on n'aime pas ce qu'on fait. Si on n'aime pas ce qu'on fait, en fait, on devient aigri, on devient mal à l'aise, on est mal. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc, ça, c'est vraiment mon ancien aimant de l'eau. Et je voulais vous raconter une histoire vite fait, avant que le temps soit écoulé. Et bien en fait, j'ai décidé de perdre du poids et de faire du sport. Ce qui n'était pas gagné de base parce que là par contre, je n'avais aucune motivation. Je ne voyais pas du tout la valeur ajoutée. D'accord ? Je ne voyais vraiment pas ça. Donc, j'essayais de m'auto-persuader que je me sentais bien. Mais en fait, je ne me sentais pas bien du tout. Bref. Problème de santé, difficulté à respirer, cholestérol. Donc je ne me sentais pas bien du tout en fait, avec mon surpoids. Pas ouf. Donc je vais pour voir l'endocrinologue parce que je pensais que j'avais un problème de thyroïde. En fait, je n'avais pas de problème de thyroïde, j'avais un problème de poids. Et donc, il me prescrit en fait un médicament et en même temps pour le cholestérol et en même temps tout ça. Il me dit, il faut faire du sport et il faut manger mieux. Comique, j'aime la charcuterie, j'aime les gâteaux apéro, j'aime la saucisse, j'aime le saucisson. Comment on fait quoi ? Donc là, je frille dans mon cerveau et je décide de faire ce qu'on m'a dit. Je décide vraiment de faire ce qu'on m'a dit et donc je prends la mesure de ça et comme dans chaque chose que je fais, je m'investis à fond. J'ai une certaine discipline, donc j'y vais. Très bien. Donc là, j'y vais. J'ai commencé à 78,9. Ce matin, je me suis pesée, je fais 73,5. Donc quand même pas mal, d'accord ? Et mon objectif est de 62, à peu près. 62, je serai bien, d'accord ? Donc il me reste un petit chemin de 10 kilos à faire. En tout, j'en aurais perdu 15. quand même quelques-uns. Et en même temps, je fais du sport. Donc en même temps, je raffermis. Je fais 3 à 5 heures de sport par semaine. Et j'ai décidé que le vendredi, je sais que vous en avez rien à foutre, mais je vous le dis quand même. Et le vendredi, je pars me faire faire des massages pour les jambes parce que quand tu restes assis toute la journée, tu as la circulation qui n'est pas ouf. Donc, je vais me faire masser les jambes. et donc je décide que j'y vais en hubert le beurre et que je reviens à pied il ya six kilomètres d'accord donc je fais tous les vendredis 6 km à pied avec le casque sur les oreilles tout ça est hyper motivé donc je fais mes kilomètres la bref machin bon j'arrive vendredi, le centre esthétique est au port et le port il y a des magasins et moi j'ai un problème avec la déco et en plus chez moi c'est devenu un entrepôt. En ce moment, je pense que je vais aller louer un box parce que là, c'est plus possible. Il y a trop de choses. Et du coup, là, je décide d'acheter trois serviettes de bain, deux jetées de canapé. 3 bougies et un sambon. Donc je me retrouve avec 10 kilos de trucs et un petit sac à dos sur les épaules où rien ne rentre. À peine un jeté de canapé. Tout le reste, je l'ai sur les bras. Et à Zara, homme, t'as des sacs en papier. D'accord ? Donc là, je me dis, fuck. Putain, je ne me suis pas encore contrôlée, je n'ai pas réfléchi. Vous savez, moi, je suis un peu du genre... Tu sais, tu achètes un gros truc, puis tu as ta voiture, puis tu dis non, mais ça va rentrer. Et en fait, ça ne rentre pas. Moi, c'est mon truc. Tu achètes un tableau, tu achètes un truc, un frigo, peu importe. Ouais, ça va rentrer dans la voiture. En fait, ça ne rentre pas. Ça ne rentre jamais. Mais je suis persuadée que ça va rentrer. Et là, en fait, c'est ce qui s'est passé. Ouais, ça va rentrer, t'inquiète. Et en fait, ce n'est pas rentré du tout. Donc, je vais avec mes sacs, mes poches et tout. Quand je m'en rends compte, je me dis bon, si les poches, elles pètent, Je m'arrêterai, je prendrai un taxi. Donc là, je commence à marcher péniblement. J'accroche les Ausha la sangle de mon sac à dos pour avoir moins de poids. Et là, j'avance péniblement. Mais quand je vous dis péniblement, c'est péniblement. Mais j'ai quand même mon casque sur les oreilles, Là j'arrive au bout de la route de la zone hôtelière, donc je marche, poche qui pète. Évidemment, c'était prévisible, une poche en papier, en craft, ça pète. Donc là, j'arrive et comme par hasard, j'arrive devant un supermarché. Je rentre dans le supermarché, déjà la meuf elle comprend pas pourquoi je rentre et tout, je dis parce que j'ai bêté ma poche, je vais m'acheter un sac en tissu, un truc de plage que je puisse rentrer et tout. Oui mais vous avez votre facture ? Oui j'ai ma facture, je pense pas que vous ayez des trucs de Zara ici, donc oui ma facture, bref. Donc je rentre et tout, je m'achète une bouteille d'eau au passage et je fais la queue, j'achète mon sac, un sac épouvantable, je vous le mettrai dans le mail. Je mets toutes mes affaires à l'intérieur et je pars. 10 kilos sur les épaules, plus le sac à dos. Imagine. Et là, je me dis, si j'arrive à tel endroit, je prendrai le taxi. Je me suis mis des objectifs. Je marche, j'arrive à tel endroit et je me dis, non, maintenant que je suis arrivée là, je ne vais pas arrêter là. Je vais aller jusqu'au bout. Et je suis allée jusqu'au bout. J'ai marché mes 6 km avec mes 10 kg, mon sac de plage chelou, remonté comme une pendule de ouf, parce que je me suis dit, ce n'est pas vrai que je vais abandonner. Je n'abandonnerai pas, quoi qu'il arrive. Je regardais les bancs, je regardais les bancs, je faisais, je ne m'arrêterai même pas sur le banc, je ne m'assois pas. Genre, je continue et je ne baisse pas les bras. combien on aurait déjà baissé les bras ? Plein. Et là, j'arrive chez moi, genre le goût de la victoire et tout, mon mari me regarde à aimer ça, qui me dit, mais elle est complètement folle, alors qu'on a une bagnole, on en a même deux. Qu'est-ce que tu fous ? Mais là, c'est en fait, dans ma tête, je me dis, c'est mon dépassement personnel. C'est mon objectif personnel. C'est moi, c'est moi avec moi, c'est mon truc à moi, c'est ce que je veux. Et là... Et là, en fait, je m'assois deux secondes chez moi, j'ai perdu 100 litres de flotte au moins, j'étais trempée, c'était catastrophique. Et là, je me suis fait une réflexion, et que je vais vous faire là, parce que mon histoire de ça, ça vous en avez rien à foutre. En fait, ce que j'ai vécu, c'est l'entrepreneuriat. C'est-à-dire, je vous le dis, en fait... Tu commences un truc, tu es hyper motivé, tu vis au pays des bisounours, tu sais que ça va passer, ça va rentrer, mais ça ne rentre pas. Là, tu continues à avancer parce que tu as décidé d'entreprendre. Donc tu te dis, voilà, si les poches elles pètent, je verrai ce que je ferai. Soit j'abandonnerai, soit je trouverai une solution en chemin. Là, j'ai trouvé une solution en chemin. Bancal, tu vois, mais pas ouf. Mais j'ai trouvé une solution qui m'a permis de continuer à avancer. Je me suis donné des objectifs, des points. Je suis allée jusqu'à mes objectifs. Je n'ai pas lâché. Je suis allée jusqu'au bout. Je suis allée jusqu'au bout de mon objectif et de mon point. C'est ça l'entreprenariat. En fait, tu commences toujours quelque part. Tu rencontres toujours des obstacles. Tu vas toujours trouver ça difficile. Ça va être difficile, ça va être compliqué, ça va être dur. Tu vas être essoufflé. Il y a des jours où tu vas vouloir abandonner, tu vas baisser les bras. Ça va être compliqué. Mais à un moment donné, tu vas te dire, j'ai pas fait tout ça pour rien. J'ai pas envie d'être déçue de moi-même. Je suis motivée pour le faire. Et quoi qu'il arrive, j'ai jusqu'au bout. Et quand t'arrives à ton objectif, t'es fière. T'es fière. Voilà. Et c'est comme ça que je me suis sentie. Et c'est comme ça qu'on doit se sentir. Oui, il y aura des trucs. Oui, il y aura des choses. Il y aura des trous, des trucs. Mais ça va être ça. Je vous en raconte une autre vite fait, rapidement. J'ai signé mes travaux, je ne sais plus quand, vendredi. J'ai signé les travaux du salon, on commence demain, lundi. J'ai eu trois devis. Un devis du gars qui m'a fait la maison, les travaux. Un devis d'un gars que je ne connaissais pas, mais qui somme toute me trouvait sympathique. Et un devis d'une autre entreprise. le gars qui m'a fait les travaux de la maison les finitions sont pas ouf le délai pour avoir des réparations x ou y c'est pas dingue et lui en fait clairement il travaille pour le pognon il travaille pour l'argent donc il a mis un milliard de temps à me faire un devis à chaque fois il me demande de la thune machin truc donc à un moment donné je les mets de côté Je l'ai mis de côté, solide. C'est-à-dire qu'en fait, il m'a supplié. Et en fait, moi, j'ai compris après que, en fait, lui, cet argent-là, en fait, il en avait besoin pour X ou Y raisons. Mais ce n'était pas son but de faire un beau projet avec moi. Lui, ce qu'il voulait, c'est la tuile. C'est pour ça que je voulais vous dire, mais sincèrement, très honnêtement, quelqu'un qui travaille pour l'argent, ça se sent. Ça se voit. Ça se renifle. Quelqu'un qui travaille pour son ambition personnelle, quelqu'un qui travaille pour la fame, ça se renifle aussi. D'accord ? J'en ai vu, moi, des formateurs qui travaillaient juste pour leur égo personnel, qui n'avaient rien à foutre des gens avec qui ils travaillaient et qui ils formaient. Des gens qui travaillent pour les autres. tourner vers les autres, qui ont envie d'aider, qui sont en fait dévoués à leur clientèle. Ça se ressent aussi. De la même manière que les abrutis, ça se ressent. Donc, ce n'est pas l'argent qui fait le projet, mais c'est le projet qui fait l'argent. Je le redis encore. Parce que j'ai refusé de travailler avec le gars. Et alors qu'il m'a fait le tartinade, oui, mais je vais faire ça, oui, mais je t'offre ça, oui, mais j'en ai rien à foutre. Moi, je veux un salon fini. Je veux un salon opérationnel. Je veux un salon au top. Peu importe. Je n'ai pas envie de l'armoyer, en fait. Le business, ce n'est pas l'armoyer. Le business, c'est avancer. Le business, c'est avoir des objectifs. Le business, c'est faire des choix. C'est se choisir. Ce n'est pas avoir de l'émotionnel de la personne qui est en face, le prestataire de service qui est en face. Ce n'est pas ça. C'est se choisir et choisir la meilleure voie pour son entreprise sans jamais rien lâcher. C'est ça le truc. Can you feel it ? Can you feel it ? Can you feel it ? Voilà. Vous comprenez ? C'est ça que j'ai derrière moi. J'adore Jackson. Jackson, c'est mon modèle. Je suis fan de Michael Jackson. Et mettez-moi le en story si vous avez écouté ce podcast jusqu'à la fin. J'aurais dû m'appeler Michael si j'avais été un garçon. C'est mon père qui avait choisi. Si je vous dis comment s'appelle mon frère. Mais finalement, je suis une fille. Donc je m'appelle Julie. Voilà, parce que ma mère a choisi. Et donc, je suis fan de Michael Jackson comme mon père était fan de Michael Jackson. Et j'espère qu'ils se sont retrouvés là-haut. Donc, dites-moi en story comment j'aurais dû m'appeler si j'avais été là. J'attends vos stories. Et je vous souhaite un bel été. On se retrouve fin août. Voilà. Sauf surprise. Mais j'espère que vous aimez les podcasts. J'espère que ça vous amène quelque chose. J'adore le faire, mais je n'ai pas parlé pour rien dire. Je vous remercie. Que ce soit une belle journée, une belle semaine, de belles vacances. Profitez bien et tout ça. Voyez-moi demain, je commence à 6h du matin. 6h30. 6h. 6h. 6h. Je commence à 6h du matin pour travailler, faire des appels. Quel que soit le... Vous voyez que... Vous croyez vraiment que si je travaillais pour là-dessus... Je fais ça ? Non, non, non, il me reste deux semaines de travail et après c'est vacances. Voilà, merci beaucoup,