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Ne me cassez pas le peigne

Quand le bourdonnage devient silence : recentrage, vision et résilience

Quand le bourdonnage devient silence : recentrage, vision et résilience

32min |11/09/2025|

177

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Description

🚹 Retour fracassant du podcast 🚹
AprÚs une pause plus longue que prévue (vacances, restructuration, opération et surtout ras-le-bol du bruit inutile), je reviens avec un épisode sans filtre.
Je t’embarque dans les coulisses de mon Ă©tĂ© : entre cartons, attaques gratuites sur les rĂ©seaux, introspection, et surtout une vĂ©ritĂ© qui dĂ©range → ta rĂ©ussite ne dĂ©pend pas des impĂŽts, de l’État ou de ta voisine
 elle dĂ©pend de TOI.

Dans cet épisode, je te parle :
✹ De pourquoi j’ai tout mis sur pause pour mieux revenir.
✹ De la diffĂ©rence entre travailler dans ton business et travailler sur ton business.
✹ De la puissance du dĂ©veloppement personnel pour propulser ton salon.
✹ Et de pourquoi il est urgent de te dĂ©barrasser de la victimisation et de tes croyances pour avancer.

Un Ă©pisode cash, brut et 100% utile pour toutes celles qui veulent arrĂȘter de tourner en rond et enfin avancer.

🎧 Clique, Ă©coute, et prĂ©pare-toi Ă  remettre les pendules Ă  l’heure.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    ne me cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du dĂ©cor des salons de coiffure prĂ©sentĂ© par Julie Veyron hello hello tout le monde j'espĂšre que vous allez bien comme c'est le retenu aujourd'hui du podcast aprĂšs une longue pause je pensais redĂ©marrer plus tĂŽt et finalement je me suis laissĂ© plus de temps j'avais vraiment besoin en fait de faire une coupure pendant cet Ă©tĂ©. Comme beaucoup d'entre vous qui prenez des vacances, etc., j'avais vraiment besoin de faire une coupure pour savoir exactement les sujets que j'avais envie de traiter, pour essayer de regarder un petit peu ce que je voulais faire, ce que je voulais mettre en place. Restructurer mon entreprise aussi, prendre des vacances, c'est aussi pour la restructuration de l'entreprise, parce que pour moi, je ne fais pas ce mĂ©tier en fait pour vĂ©gĂ©ter. Je suis coach en dĂ©veloppement des entreprises de la coiffure. Et en mĂȘme temps, j'avais vraiment envie de proposer des choses qui soient percutantes, qui soient innovantes. Et j'ai rĂ©flĂ©chi Ă  tout ça pendant cette pĂ©riode de coupure de podcast. Je me suis fait opĂ©rer aussi. Ça a Ă©tĂ© ça aussi, la coupure un peu plus longue. Parce que je me suis opĂ©rĂ©e la semaine derniĂšre, ça va faire une semaine. Mais du coup, pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte avec vous, ça a Ă©tĂ© une opĂ©ration qui Ă©tait prĂ©vue. Mais qui m'a stressĂ©e sa mĂšre. Ça m'a stressĂ©e sa mĂšre. Et moi, en fait, je ne m'Ă©tais pas du tout prĂ©parĂ©e aux suites post-opĂ©ratoires et compagnie. Parce que pour moi, en fait... L'anesthĂ©sie me tuait. J'Ă©tais vraiment dans un Ă©tat d'esprit lĂ  oĂč je ne me suis pas fait opĂ©rer souvent dans ma vie en fait. Et la derniĂšre fois oĂč j'ai vu quelqu'un se faire opĂ©rer, malheureusement, ça n'a pas bien Ă©tĂ©. Donc du coup, je suis restĂ©e un peu sur cette vibe-lĂ  en fait. Et du coup, je me suis prĂ©parĂ©e pendant un mois psychologiquement Ă  cet Ă©vĂ©nement. d'opĂ©ration et du coup j'ai laissĂ© aller le podcast, j'ai tout laissĂ© aller. Par contre je ne me suis pas dĂ©gonflĂ©e en fait. Je ne me suis pas du tout dĂ©gonflĂ©e, je me suis dit bon mais tant pis, fuck, j'y vais quoi. Donc ça a Ă©tĂ© ça, ça a Ă©tĂ© un peu ça. Pendant l'Ă©tĂ© j'ai lĂąchĂ© complĂštement. J'ai instaurĂ© aussi des nouvelles rĂšgles et tout ça pour les rĂ©seaux sociaux. pour la prise de messages, pour les rĂ©ponses aussi, parce que je me suis dit, j'adore ce que je fais, mais il faut savoir qu'en fait, je suis une seule personne Ă  gĂ©rer la construction du salon, Ă  gĂ©rer Cancun, Ă  gĂ©rer ma mĂ©thode. Donc tout ça, en fait, c'est trois entreprises-lĂ . demande Ă©normĂ©ment de temps. En fait, une entreprise demande 100% du temps Ă  une personne. Moi, j'en ai trois. J'ai trois entreprises. Heureusement, je suis accompagnĂ©e pour Cancun. Je suis trĂšs, trĂšs bien accompagnĂ©e, bien heureusement. Je travaille avec des personnes incroyables qui gĂšrent, donc, Myriam, Sandrine, Nadege, qui gĂšrent avec moi. Heureusement, je serais tentĂ©e de vous dire, parce que sinon, ça serait un calvaire, je vous assure. Cette annĂ©e, ça a Ă©tĂ© encore plus gros que l'annĂ©e derniĂšre en termes de gestion. J'ai hĂąte de voir mon bureau se vider. J'ai des cartons partout. VoilĂ , si je devais les compter, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12. 12 d'un cĂŽtĂ©, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 12 de l'autre. J'ai 24 cartons dans mon bureau. j'ai un bureau qui doit faire plus ou moins 8 mĂštres carrĂ©s peut-ĂȘtre Ă  peu prĂšs ce qui est pas beaucoup en dedans enfin Ă  l'intĂ©rieur tu comptes qu'il ya un bureau c'est une planche c'est un arbre et de l'autre cĂŽtĂ© tu t'as mon buffet avec mon imprimante et tout mais tout ça pour dire que en fait c'est quand on moi en fait ça a Ă©tĂ© tellement aussi l'attaque avant la avant les vacances il ya eu tellement d'attaques sur les rĂ©seaux entre une meuf qui se croit, qui fait du business alors qu'elle m'avait appelĂ© la veille pour me demander de redresser son salon, un autre qui fait des podcasts pour tuer la... pour tuer le milieu de la formation et pour se faire monter, tout ça. Bref, tout ça a Ă©tĂ© extrĂȘmement violent, je trouve. Et donc, j'ai dĂ©cidĂ© de faire une pause pour me recentrer sur l'essentiel, c'est-Ă -dire moi. Moi et uniquement moi. Parce qu'Ă  un moment donnĂ©, le bourdonnage, ça suffit, c'est assez. Donc j'ai fait cette longue pause. Aujourd'hui, on est le 6 septembre, c'est un samedi. Je vais organiser aussi pour tourner le podcast dans la semaine pour avoir des vrais week-ends, pour avoir du vrai temps de qualitĂ© parce qu'en fait cette annĂ©e, moi j'habite au bord de la mer des CaraĂŻbes, d'accord ? Je pense que si je l'ai vu 5 fois dans l'annĂ©e, 10 fois, grand max, c'est le maximum. VoilĂ , c'est le maximum depuis le mois de janvier. Je pense que j'ai dĂ» voir la mer 10 fois maximum. Ce qui n'est pas beaucoup quand tu habites Ă ... Ă  10 km de la plus belle mer du monde, que tu puisses l'avoir que 10 fois, c'est pas ouf. Donc tout ça pour dire que je travaille, je suis quelqu'un qui travaille Ă©normĂ©ment, qui met beaucoup de cƓur dans ce qu'elle entreprend, qui a des projets Ă  la seconde, mais qui a dĂ©cidĂ© de faire une pause immense. En tout cas, c'est immense pour moi. Un mois, je pense, ça fait un mois. Un peu plus d'un mois. oĂč je me suis dit, en fait, j'ai pas grand-chose Ă  raconter, il se passera pas grand-chose, tout le monde sera au bord de la mer, il y a 52 Ă©pisodes dĂ©jĂ  qui sont enregistrĂ©s, on va faire un best-of, on va faire un best-of, et on va rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va faire. Donc voilĂ , j'ai pas plus grand-chose Ă  raconter aujourd'hui, puisque c'est le dĂ©but, c'est le dĂ©marrage. J'ai dĂ©cidĂ© de tourner aujourd'hui, parce que sinon je l'aurais pas fait, encore. J'aurais repoussĂ© ça, parce que la mĂ©thode Lyon aujourd'hui c'est 80 personnes, ce qui est beaucoup pour une seule personne. Donc lĂ  aussi, j'ai dĂ©cidĂ© de restructurer mon entreprise, c'est-Ă -dire d'embaucher des gens qui vont travailler avec moi, de collaborer avec des gens qui vont travailler avec moi et qui vont m'apporter leur savoir et qui vont faire que l'entreprise va se dĂ©velopper avec des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes. Pour moi, c'est essentiel. J'ai aussi dĂ©cidĂ©... de diversifier et de mettre des paliers aussi par rapport Ă  tout ça, ce qui va me permettre rĂ©ellement d'apporter encore plus de qualitĂ©, encore plus de savoir, ce qui va me permettre d'avoir un potentiel de crĂ©ation encore plus Ă©levĂ©, parce qu'en fait, ce qu'il faut savoir, c'est que quand on est dĂ©bordĂ©, le potentiel de crĂ©ation, il n'existe plus. En tout cas, pas au sens du terme auquel on s'attend. Donc j'ai dĂ©cidĂ© de réévaluer mon potentiel de crĂ©ation pour pouvoir apporter des nouvelles choses. Ça c'est trĂšs important aussi mĂȘme dans vos salons, c'est essentiel en fait. Si vous ĂȘtes hyper dĂ©bordĂ©, que vous ne mettez pas vos prix Ă  votre juste valeur, etc. Et qu'Ă  un moment donnĂ© vous avez beaucoup de clients et que vous ĂȘtes overbookĂ© du matin au soir, votre potentiel de crĂ©ation est rĂ©duit en fait. votre possibilitĂ© de mettre des nouvelles choses en place pour vos clients est extrĂȘmement rĂ©duit. Donc malheureusement, ça vous empĂȘche aprĂšs de vous dĂ©velopper. Quand on travaille dans son entreprise, c'est bien parce qu'on donne son 100% pour ses clients et c'est merveilleux. Mais quand on travaille sur son entreprise, on donne son 100% Ă  son entreprise. Et quand on donne son 100% Ă  son entreprise, On donne son 100% Ă  ses clients forcĂ©ment, parce qu'on pense Ă  des choses, on a des idĂ©es, on a envie de mettre des choses en place pour leur rĂ©ussite. Et c'est ce que je suis en train de faire aujourd'hui. Il est clair que je ne travaillerai pas dans le salon. Ça c'est 100% clair et net. Je ne coifferai plus, je ne dis pas plus jamais, mais en tout cas, je ne coifferai plus. Ça c'est sĂ»r. Je ferai de la gestion, du management, du dĂ©veloppement, comme je sais le faire. Dans la mĂ©thode, je vais en fait me faire accompagner de gens qui ont des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes et qui vont amener une vision diffĂ©rente et qui vont propulser encore plus, encore plus les gens qui travaillent avec moi. Aujourd'hui, le milieu de la coiffure... a besoin de se renouveler. Pas seulement, Ă  mon avis, en connaissant ces chiffres, etc. J'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment Ă  essayer d'enseigner... mes principes de calcul Ă  mes clients, Ă  mes collaborateurs. Et je me rends compte qu'il n'y a pas que ça pour faire exploser un business. Si ta vision est courte, malheureusement, tu ne peux pas voir sur du long terme, donc tu ne te vois pas Ă©voluer. Si ta vision de l'argent est biaisĂ©e, c'est-Ă -dire que... tu as une vision de l'argent oĂč tu ne te vois pas en gagner, tu ne te vois pas accĂ©der Ă  un niveau de vie supĂ©rieur, oĂč tu ne te vois pas te faire plaisir, oĂč ce n'est que contrainte, oĂč tu vois que les riches c'est des connards, que tout le monde profite des autres, tout ça c'est des mĂ©canismes que... j'ai moi-mĂȘme dĂ©construit et qui m'ont aidĂ© Ă  me dĂ©velopper. Je ne travaille pas pour l'argent, mais je ne travaille pas pour la douleur non plus. Et en fait, aujourd'hui, et ce n'est pas que la coiffure, c'est dans beaucoup de domaines, mais le dĂ©veloppement personnel pour moi est la clĂ© de la rĂ©ussite. Si vous restez lĂ  oĂč vous ĂȘtes, en vous disant que c'est impossible. en vous disant que vous ne pouvez pas, en vous disant que c'est inaccessible, malheureusement, vous n'y accĂ©derez pas. Ce n'est pas de la magie. Je ne crois pas Ă  la magie. Enfin, oui et non. D'accord ? Mais en tout cas, je ne crois pas qu'en tendant les mains, on puisse avoir accĂšs Ă  un niveau de vie supĂ©rieur. Je crois que ça demande du travail. Je crois que ça demande de la persĂ©vĂ©rance. Je crois que ça demande de la technique. Je crois que ça demande de la volontĂ©. Je crois que ça demande de la dĂ©construction. Et aujourd'hui, en fait, encore plus qu'hier, j'ai envie de dĂ©velopper les femmes entrepreneurs. J'ai envie d'amener mon savoir par rapport Ă  tout ça. J'ai envie de crĂ©er un univers. pour les entrepreneurs. Pour moi, en fait, je trouve qu'on est laissĂ© Ă  notre propre sort. Je trouve qu'on est lĂ  Ă  se demander qui, que va penser un tel ou que va penser un tel. Mais on ne se demande jamais, en fait, ce que nous-mĂȘmes, on pense de nous-mĂȘmes. Et surtout, on ne se demande jamais que... ben moi en fait j'ai aucune limite je me suis rendu compte que j'ai fait une introspection j'ai essayĂ© de voir et de comprendre pourquoi moi en fait je pouvais rĂ©ussir et quand j'explique 50 fois la mĂȘme chose Ă  quelqu'un ça marche pas parce qu'il ya des fois il ya ça aussi t'as beau vouloir l'enseigner t'as beau vouloir le donner et t'as des gens en face de toi qui ne sont pas rĂ©ceptifs ou qui ont des croyances tellement immense un manque de confiance tellement important que tu te dis, c'est pas possible, ça rentre pas ou quoi ? Mais c'est pas que ça rentre pas, c'est que ça vient de l'Ă©ducation, ça vient des croyances, ça vient de la volontĂ©, ça vient en fait des schĂ©mas qu'on a construits jusqu'Ă  aujourd'hui qui font que malheureusement, on n'est pas tous Ă©gaux face Ă  la rĂ©ussite. Et j'ai beau le vouloir, parce que moi je le veux pour tout le monde, c'est pas... j'ai pas la... j'ai pas... Excusez-moi, j'ai pas la rĂ©ussite sĂ©lective. Moi, pour moi, j'ai l'impression que tout le monde peut rĂ©ussir. Et en fait, il faut se dĂ©construire pour se reconstruire, pour rĂ©ussir. C'est ce que je me suis rendu compte. Si t'es tout le temps en train de te plaindre, si t'es tout le temps en train de te victimiser, si t'es tout le temps en train de croire qu'un tel rĂ©ussit mieux que toi, ou qu'un tel a une meilleure vie que toi, construis ta victimisation, tu construis ton avenir en fait oĂč tu te dis mais moi je peux pas, moi j'y arriverai pas. En fait la rĂ©ussite pour de vrai et puis c'est ce que j'ai compris c'est de l'Ă©goĂŻsme Ă  proprement parler c'est de l'Ă©goĂŻsme c'est Ă  dire que tu dois t'enfermer Ă  l'intĂ©rieur de toi mĂȘme pour te propulser toi mĂȘme. Si tu le fais pas, si tu le dĂ©veloppe pas de cette façon tu vas toujours ĂȘtre dĂ©stabilisĂ© par les autres. Il y a un truc qui m'a interpellĂ©e pendant ces vacances. J'ai lu un livre qui s'appelle... J'ai commencĂ©, pardon, Ă  lire un livre. J'ai lu plusieurs livres, en fait. J'ai lu trois livres en deux semaines, ce qui est beaucoup, vous me direz. Mais en mĂȘme temps, j'en avais besoin. Et en mĂȘme temps, j'avais pas le temps de le faire pendant que j'Ă©tais en activitĂ©. Et en plus, j'ai commencĂ© le... Ça fait deux mois que j'ai commencĂ© le sport, et lĂ , Ă©videmment, je suis en arrĂȘt comme une grosse conne. Pardon, ça me fait chier, bordel. Je faisais, pendant l'Ă©tĂ©, je faisais six kilomĂštres par jour. par jour pardon, je faisais 6 km par semaine et 4 km par jour d'accord donc je vous laisse additionner combien ça fait. En mĂȘme temps je faisais quatre heures de pilates rĂ©formeurs par semaine donc je vous explique que c'est voilĂ  lĂ  ça fait une semaine que je me suis fait opĂ©rer, une semaine que j'ai pas Ă©tĂ© au sport je pense que mon prof de sport il doit se dire mais elle est oĂč voilĂ  j'Ă©tais trop fiĂšre de moi trop bien trop de beaux rĂ©sultats et tout. Et lĂ , ben voilĂ . Donc quand je pourrai reprendre, je reprendrai. Je me suis fait des livres. Premier livre, KilomĂštre ZĂ©ro, Impact Total. OĂč tu te dis, bordel de merde, en fait, on est tellement impactĂ© par l'extĂ©rieur qu'on oublie de vivre Ă  l'intĂ©rieur. J'ai... tellement Ă©tĂ© impactĂ© par ce livre que ça m'a donnĂ© une prise de conscience oĂč tu te dis c'est vrai qu'en fait on roule on roule en fait et on court vite mais souvent on est sur un tapis roulant c'est Ă  dire qu'on n'avance pas vraiment on court tellement vite pour aller nulle part qu'on ne voit pas qu'on va nulle part et les principes de se dire de lĂącher prise. Si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de gueuler, si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de s'Ă©nerver, si t'as quelqu'un en face de toi qui est frustrĂ©, ben fuck, j'en ai rien Ă  foutre. Parce que la personne la plus importante de mon histoire, c'est moi. Et toutes les croyances qu'on se construit, ben, les scĂ©narios qu'on se fait, sont des inventions... principalement de notre cerveau et de notre tĂȘte. On ne devrait jamais commencer une phrase par « j'imagine que » ou « je pense que » ou « je ressens que » parce que c'est faux. On ne s'attache jamais au fait. On monte une histoire dans notre tĂȘte et on devient prisonnier de cette histoire. Ce qui fait qu'on se paralyse de cette histoire que notre cerveau a créée de toute piĂšce. Et donc, on s'empĂȘche de rĂ©ussir, on s'empĂȘche d'aller de l'avant, on s'empĂȘche de croire en nous. Et ça me touche en fait de le dire parce que ce livre a eu tellement d'impact sur moi, vraiment, oĂč je me suis dit, moi j'ai la chance en fait de rĂ©ussir parce que j'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment sur moi-mĂȘme et qu'aujourd'hui quand je cours, je cours un marathon, c'est-Ă -dire que je vais quelque part, point de dĂ©part, ligne d'arrivĂ©e. Mais il y a eu tellement de moments oĂč je me suis dit, mais lui, il a tellement plus que moi. Ou elle, elle est tellement plus chanceuse que moi. Ou lui, on lui fait tellement plus de propositions que moi, alors qu'en fait, il n'est pas si bien que ça. Alors que je suis responsable. Je suis responsable. Je n'ai pas besoin de rester figĂ©e sur un problĂšme pendant 600 000 ans, en fait. oĂč j'ai pas besoin de rester figĂ©e parce que quelqu'un m'a fait un fuck et du coup j'ai besoin en fait d'avancer pour moi, seulement moi les autres, je m'en carre le cul voilĂ , et donc j'ai lu la suite j'ai lu ah merde j'ai un trou de mĂ©moire sur le titre mais c'est la suite, c'est ah flĂ»te, faut que je le retrouve En tout cas, j'ai lu la suite, je vais essayer de vous le retrouver en mĂȘme temps que je vous parle. J'ai Ă©tĂ©, ça, j'ai chialĂ© tout le long de ce livre. MĂȘme Ă  y penser, Ă  en parler, ça me touche encore. On est avec des blessures, d'accord ? On est avec des blessures et ces blessures, elles vont venir... Attendez, je vous cherche le titre. Respire, c'est ça. Chilu respire. Alors kilomĂštre zĂ©ro et respire, c'est de mode Ankawa, d'accord ? Et j'ai lu Respire et en fait, je me suis rendue compte, enfin moi je le savais dĂ©jĂ  et je vous incite Ă  aller investiguer sur vos blessures. Moi c'est la blessure de l'abandon, ça a toujours Ă©tĂ© ça. J'ai toujours eu peur qu'on m'abandonne, j'ai toujours eu peur qu'on me laisse tomber. J'ai toujours eu peur qu'on me dise que ce n'est pas assez bien, que je ne fais pas assez. En tout cas, j'ai investiguĂ© beaucoup lĂ -dessus et je sais que ça vient quand mĂȘme beaucoup de ma relation que j'avais avec mon pĂšre. Et vraiment, dans ce livre-lĂ , j'ai vraiment eu l'impression que c'est mon pĂšre qui me parlait. RĂ©ellement, en fait. limite qu'il s'excusait du comportement qu'il avait eu avec moi. Vraiment, ça a Ă©tĂ© vraiment quelque chose d'extrĂȘmement percutant. Et je vous incite vraiment Ă , ce ne sont pas ces livres-lĂ , mais au moins Ă  lire, Ă  vous. Ă  vous Ă©duquer lĂ  dessus, Ă  faire en sorte en fait que vous ayez rĂ©ellement une autre vision de l'extĂ©rieur. Souvent on se documente avec les rĂ©seaux sociaux, on se documente avec ce qu'on voit passer comme informations mais on ne vient jamais, en fait on est toujours tous les jours nourris de poubelles, de nĂ©gatifs. LĂ , par exemple, cet Ă©tĂ©, il y a eu des rĂ©formes du gouvernement qui ont voulu... Il y a eu des rĂ©formes du gouvernement, pardon. Et donc, qu'est-ce que ça dit ? Ça dit qu'on vous colle comme ça en plein Ă©tĂ©. Des rĂ©formes comme quoi, on va vous supprimer un jour fĂ©riĂ©, on va faire ceci ou cela. Qu'est-ce que ça vient crĂ©er chez vous ? Ça vient crĂ©er de l'anxiĂ©tĂ©, de la peur, du stress. Quand on n'est pas Ă©duquĂ© au dĂ©veloppement personnel, quand on n'est pas Ă©duquĂ© au fait qu'en tant qu'entrepreneur, ce genre de rĂ©formes, ça ne nous intĂ©resse pas de le savoir. Tu veux supprimer trois jours fĂ©riĂ©s ? Fine, super. Ok, trĂšs bien. tu veux faire des restrictions budgĂ©taires, commence par driver l'État comme si c'Ă©tait une entreprise espĂšce de conno. Parce que, en fait, c'est rĂ©ellement l'État dans lequel la sociĂ©tĂ© veut que vous vous mettiez. Et donc, quand vous ĂȘtes dans cet État-lĂ , vous ne pouvez pas gĂ©rer votre entreprise correctement. Vous ne pouvez pas crĂ©er de la richesse dans votre entreprise. Parce que la richesse Ă  l'extĂ©rieur, vous ne la voyez pas. Vous ne la voyez pas. Vous la voyez minime. Vous voyez le nĂ©gatif. Vous voyez ce qui ne va pas. Et donc, du coup, vous ĂȘtes happĂ© par tout ça. Et je suis sĂ»re que dans les salons, ça doit en parler. Et blablabla, et tatata, et l'Ă©tat, et la nana, et les impĂŽts, et papapa, tĂ©tĂ©tet. Et en fait... Vu que vous vous projetez sur l'extĂ©rieur, vous avez du mal Ă  ressentir Ă  l'intĂ©rieur. Et je vous assure, j'ai eu beau le tourner dans tous les sens, j'ai eu beau faire, refaire, refaire, refaire le schĂ©ma dans ma tĂȘte, la personne qui va vous donner la rĂ©ussite, c'est vous-mĂȘme. C'est vous-mĂȘme. Et c'est donc ce que je vais faire cette annĂ©e. LĂ , maintenant, ça va partir dans ce sens-lĂ . C'est vraiment, en fait, en plus de vous donner les clĂ©s d'un business, c'est-Ă -dire les chiffres, etc., je veux vraiment que vous ayez conscience que, et j'en reçois des gens qui sont dans une agressivitĂ© incroyable, qui sont toujours dans la victimisation. qui se disent que c'est l'extĂ©rieur, c'est les impĂŽts, c'est ceci, c'est cela. il n'y a pas que ça Il n'y a pas que ça. Il y a votre ressenti intĂ©rieur, il y a votre vibration aussi. Il y a tout ce que vous projetez. Il y a votre parole. Il y a les mots, il y a les scĂ©narios que vous vous faites dans la tĂȘte. Il y a les blessures que vous avez aussi Ă  l'intĂ©rieur de vous depuis que vous ĂȘtes petit ou petite. Il y a les douleurs, les doutes, les croyances que vous vous ĂȘtes forgĂ©es avec le temps et qui vous empĂȘchent de rĂ©ussir. LĂ , j'ai Ă©tĂ© sur TikTok. Et en fait, j'ai vu un truc qui m'a un petit peu dĂ©passĂ©e. Il faut savoir que l'opĂ©ration que j'ai subie, puis je n'ai pas honte de le dire, c'est que je me suis fait recoudre les abdos parce que j'avais les abdos avec trois enfants qui ont Ă©tĂ© distendus, ce qui faisait que ça avait une consĂ©quence sur ma digestion, sur... mon apparence et sur mon incontinence. D'accord ? Donc, c'est pas ouf Ă  40 ans. Donc, j'ai dĂ©cidĂ© de me faire opĂ©rer. D'accord ? C'est assimilĂ© Ă  de la chirurgie esthĂ©tique. D'accord ? Mais, c'est surtout de la chirurgie rĂ©paratrice. Mais, tu te fais opĂ©rer par un chirurgien esthĂ©tique. D'accord ? Et lĂ , donc, du coup, j'ai cherchĂ© des infos, j'ai cherchĂ© comment ça se passait, j'ai regardĂ© comment ça allait. J'ai regardĂ© quelles Ă©taient les consĂ©quences. En tout cas, bref. Du coup, TikTok, il vous envoie beaucoup de trucs. Et moi, j'ai vĂ©cu au QuĂ©bec pendant sept ans. Et j'ai regardĂ©, donc, au QuĂ©bec en ce moment, il y a des agences qui proposent aux femmes de se faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, type Colombie, Tunisie, peu importe. Moi, j'habite au Mexique, donc je me fais opĂ©rer lĂ  oĂč j'habite. Je n'ai pas besoin de faire un voyage pour aller me faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, surtout que la rĂ©ussite d'une opĂ©ration, c'est 50% l'opĂ©ration, mĂȘme 40% l'opĂ©ration et 50 Ă  60% les soins post-opĂ©ratoires. Donc, quand tu te fais opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, tu ne bĂ©nĂ©ficies pas des soins post-opĂ©ratoires. Tu es obligĂ© de les faire sur ton pays de rĂ©sidence. Et en plus... tu reprends l'avion alors qu'il y a des risques de difficultĂ©s. La chirurgie comporte toujours des risques. Et lĂ  en fait je vois des filles qui faisaient la promotion de ça. Ah mais c'est le rĂȘve, c'est super, c'est le rĂȘve, allez vous faire opĂ©rer Ă  tel endroit, c'est le rĂȘve. Ce n'est pas le rĂȘve, d'accord ? Et lĂ , en fait, je me dis, Ă  quel point, en fait, tu n'as pas fait ton travail sur toi-mĂȘme pour inciter les gens Ă  faire ce genre de choses, alors que de base, c'est une dĂ©marche personnelle. C'est une dĂ©marche personnelle. C'est-Ă -dire que tu le fais pour toi. À quel point les gens sont... prĂȘts Ă  faire de l'argent, parce que quand ils conseillent, ils amĂšnent des gens, ils ont donc une commission, ça se passe mĂȘme pour la chirurgie esthĂ©tique ici aux Etats-Unis. À quel point, en fait, voyez comme quoi le travail sur soi, ça doit rester personnel, dĂ©veloppement personnel. Donc, pourquoi je fais une parenthĂšse lĂ -dessus ? Parce que ça m'a choquĂ©e, j'ai Ă©tĂ© choquĂ©e parce que j'ai vu une fille que je connaissais. Faire cette promotion de chirurgie-lĂ , parce que je connais le profil de la fille, puis je sais que la fille, c'est quelqu'un qui cherche par tous les moyens Ă  faire de l'argent, alors qu'elle Ă©tait coiffeuse, qu'elle avait des salons, etc. Bref, qui aujourd'hui cherche par tous les moyens Ă  gagner plus d'argent et compagnie. Si tu veux gagner plus d'argent, concentre-toi sur ce que tu sais faire. DĂ©veloppe ce que tu sais faire. Mets en avant ce que tu sais faire. Va pas chercher par tous les moyens Ă  faire de la vente de maquillage par correspondance, de robots de cuisine, de machins, de trucs. Tout ça pour faire 3 francs, 6 sous. Et au final, passer pour une cloche. Si tu veux te dĂ©velopper, si tu veux faire de l'argent, si tu veux ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© Ă  ta juste valeur, perfectionne-toi dans ce que tu sais faire. Rien d'autre. rien d'autre c'est le plus important de se perfectionner dans ce qu'on sait faire d'accord c'est la base de la base je fais un petit parallĂšle lĂ  dessus parce que ça m'a tellement choquĂ© cette semaine oĂč je me suis dit Ă  quel moment en fait tu fais ce genre de choses que tu te permet de mettre la vie des gens en danger pour des questions d'argent donc si et je le redis encore Si le seul but dans la vie c'est de gagner plus d'argent, ça ne sera jamais une assez bonne raison. C'est pour ça que je me suis dit qu'Ă  un moment donnĂ©, si on ne fait pas le switch dans sa tĂȘte en se disant « Moi en fait, je suis coiffeuse, je suis une bonne coiffeuse, je maĂźtrise ce que je fais. » Je sais ce que j'ai envie de donner Ă  mes clients. Mais aujourd'hui, je suis rendue Ă  un autre niveau. Je suis rendue Ă  un niveau oĂč, en plus d'ĂȘtre une bonne coiffeuse, j'ai envie d'ĂȘtre une bonne chef d'entreprise. Et j'ai envie de faire du travail sur moi. J'en ai marre en fait de me faire bouffer par la nĂ©gativitĂ©. J'en ai marre de me faire bouffer par ce que je vois Ă  l'extĂ©rieur. Et j'ai envie de travailler sur moi. Et c'est en faisant ce travail-lĂ  que tu vas devenir plus puissante. Alors voilĂ . C'Ă©tait un retour, un retour sur le podcast. Je vous remercie de m'avoir Ă©coutĂ©e. J'espĂšre que ça vous aura plu. Je vais baser un peu plus sur un peu de tout. Mais voilĂ , les connasses qui veulent t'apprendre Ă  faire du business, j'en ai plus rien Ă  foutre. Les connards, en fait, qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter et qui pensent qu'en faisant... en critiquant le travail des autres, ça va faire monter le leurre, j'en ai plus rien Ă  foutre non plus. Tous ceux, en fait, qui vont croire que, parce que j'ai vu encore, dĂ©brancher son TPE, blablabla, bref, tout ça, j'en ai rien Ă  foutre, ferez bien ce que vous voulez, puis vous verrez bien les consĂ©quences de ce que ça apporte. En attendant, on est dans la derniĂšre ligne droite pour Cancun, on est le 6 septembre, dans deux mois, on y sera, donc...

  • Speaker #1

    Merci beaucoup de m'avoir suivie et on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

Chapters

  • Introduction et retour aprĂšs la pause estivale

    00:00

  • RĂ©flexions sur la restructuration de l'entreprise

    00:28

  • L'impact de l'opĂ©ration chirurgicale sur Julie

    00:56

  • Gestion des entreprises et importance du temps personnel

    02:10

  • DĂ©veloppement personnel et croyances limitantes

    06:08

  • Importance de la vision Ă  long terme pour les entrepreneurs

    09:47

  • Conclusion et remerciements

    14:06

  • ClĂŽture et perspective sur l'avenir

    31:29

Description

🚹 Retour fracassant du podcast 🚹
AprÚs une pause plus longue que prévue (vacances, restructuration, opération et surtout ras-le-bol du bruit inutile), je reviens avec un épisode sans filtre.
Je t’embarque dans les coulisses de mon Ă©tĂ© : entre cartons, attaques gratuites sur les rĂ©seaux, introspection, et surtout une vĂ©ritĂ© qui dĂ©range → ta rĂ©ussite ne dĂ©pend pas des impĂŽts, de l’État ou de ta voisine
 elle dĂ©pend de TOI.

Dans cet épisode, je te parle :
✹ De pourquoi j’ai tout mis sur pause pour mieux revenir.
✹ De la diffĂ©rence entre travailler dans ton business et travailler sur ton business.
✹ De la puissance du dĂ©veloppement personnel pour propulser ton salon.
✹ Et de pourquoi il est urgent de te dĂ©barrasser de la victimisation et de tes croyances pour avancer.

Un Ă©pisode cash, brut et 100% utile pour toutes celles qui veulent arrĂȘter de tourner en rond et enfin avancer.

🎧 Clique, Ă©coute, et prĂ©pare-toi Ă  remettre les pendules Ă  l’heure.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    ne me cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du dĂ©cor des salons de coiffure prĂ©sentĂ© par Julie Veyron hello hello tout le monde j'espĂšre que vous allez bien comme c'est le retenu aujourd'hui du podcast aprĂšs une longue pause je pensais redĂ©marrer plus tĂŽt et finalement je me suis laissĂ© plus de temps j'avais vraiment besoin en fait de faire une coupure pendant cet Ă©tĂ©. Comme beaucoup d'entre vous qui prenez des vacances, etc., j'avais vraiment besoin de faire une coupure pour savoir exactement les sujets que j'avais envie de traiter, pour essayer de regarder un petit peu ce que je voulais faire, ce que je voulais mettre en place. Restructurer mon entreprise aussi, prendre des vacances, c'est aussi pour la restructuration de l'entreprise, parce que pour moi, je ne fais pas ce mĂ©tier en fait pour vĂ©gĂ©ter. Je suis coach en dĂ©veloppement des entreprises de la coiffure. Et en mĂȘme temps, j'avais vraiment envie de proposer des choses qui soient percutantes, qui soient innovantes. Et j'ai rĂ©flĂ©chi Ă  tout ça pendant cette pĂ©riode de coupure de podcast. Je me suis fait opĂ©rer aussi. Ça a Ă©tĂ© ça aussi, la coupure un peu plus longue. Parce que je me suis opĂ©rĂ©e la semaine derniĂšre, ça va faire une semaine. Mais du coup, pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte avec vous, ça a Ă©tĂ© une opĂ©ration qui Ă©tait prĂ©vue. Mais qui m'a stressĂ©e sa mĂšre. Ça m'a stressĂ©e sa mĂšre. Et moi, en fait, je ne m'Ă©tais pas du tout prĂ©parĂ©e aux suites post-opĂ©ratoires et compagnie. Parce que pour moi, en fait... L'anesthĂ©sie me tuait. J'Ă©tais vraiment dans un Ă©tat d'esprit lĂ  oĂč je ne me suis pas fait opĂ©rer souvent dans ma vie en fait. Et la derniĂšre fois oĂč j'ai vu quelqu'un se faire opĂ©rer, malheureusement, ça n'a pas bien Ă©tĂ©. Donc du coup, je suis restĂ©e un peu sur cette vibe-lĂ  en fait. Et du coup, je me suis prĂ©parĂ©e pendant un mois psychologiquement Ă  cet Ă©vĂ©nement. d'opĂ©ration et du coup j'ai laissĂ© aller le podcast, j'ai tout laissĂ© aller. Par contre je ne me suis pas dĂ©gonflĂ©e en fait. Je ne me suis pas du tout dĂ©gonflĂ©e, je me suis dit bon mais tant pis, fuck, j'y vais quoi. Donc ça a Ă©tĂ© ça, ça a Ă©tĂ© un peu ça. Pendant l'Ă©tĂ© j'ai lĂąchĂ© complĂštement. J'ai instaurĂ© aussi des nouvelles rĂšgles et tout ça pour les rĂ©seaux sociaux. pour la prise de messages, pour les rĂ©ponses aussi, parce que je me suis dit, j'adore ce que je fais, mais il faut savoir qu'en fait, je suis une seule personne Ă  gĂ©rer la construction du salon, Ă  gĂ©rer Cancun, Ă  gĂ©rer ma mĂ©thode. Donc tout ça, en fait, c'est trois entreprises-lĂ . demande Ă©normĂ©ment de temps. En fait, une entreprise demande 100% du temps Ă  une personne. Moi, j'en ai trois. J'ai trois entreprises. Heureusement, je suis accompagnĂ©e pour Cancun. Je suis trĂšs, trĂšs bien accompagnĂ©e, bien heureusement. Je travaille avec des personnes incroyables qui gĂšrent, donc, Myriam, Sandrine, Nadege, qui gĂšrent avec moi. Heureusement, je serais tentĂ©e de vous dire, parce que sinon, ça serait un calvaire, je vous assure. Cette annĂ©e, ça a Ă©tĂ© encore plus gros que l'annĂ©e derniĂšre en termes de gestion. J'ai hĂąte de voir mon bureau se vider. J'ai des cartons partout. VoilĂ , si je devais les compter, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12. 12 d'un cĂŽtĂ©, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 12 de l'autre. J'ai 24 cartons dans mon bureau. j'ai un bureau qui doit faire plus ou moins 8 mĂštres carrĂ©s peut-ĂȘtre Ă  peu prĂšs ce qui est pas beaucoup en dedans enfin Ă  l'intĂ©rieur tu comptes qu'il ya un bureau c'est une planche c'est un arbre et de l'autre cĂŽtĂ© tu t'as mon buffet avec mon imprimante et tout mais tout ça pour dire que en fait c'est quand on moi en fait ça a Ă©tĂ© tellement aussi l'attaque avant la avant les vacances il ya eu tellement d'attaques sur les rĂ©seaux entre une meuf qui se croit, qui fait du business alors qu'elle m'avait appelĂ© la veille pour me demander de redresser son salon, un autre qui fait des podcasts pour tuer la... pour tuer le milieu de la formation et pour se faire monter, tout ça. Bref, tout ça a Ă©tĂ© extrĂȘmement violent, je trouve. Et donc, j'ai dĂ©cidĂ© de faire une pause pour me recentrer sur l'essentiel, c'est-Ă -dire moi. Moi et uniquement moi. Parce qu'Ă  un moment donnĂ©, le bourdonnage, ça suffit, c'est assez. Donc j'ai fait cette longue pause. Aujourd'hui, on est le 6 septembre, c'est un samedi. Je vais organiser aussi pour tourner le podcast dans la semaine pour avoir des vrais week-ends, pour avoir du vrai temps de qualitĂ© parce qu'en fait cette annĂ©e, moi j'habite au bord de la mer des CaraĂŻbes, d'accord ? Je pense que si je l'ai vu 5 fois dans l'annĂ©e, 10 fois, grand max, c'est le maximum. VoilĂ , c'est le maximum depuis le mois de janvier. Je pense que j'ai dĂ» voir la mer 10 fois maximum. Ce qui n'est pas beaucoup quand tu habites Ă ... Ă  10 km de la plus belle mer du monde, que tu puisses l'avoir que 10 fois, c'est pas ouf. Donc tout ça pour dire que je travaille, je suis quelqu'un qui travaille Ă©normĂ©ment, qui met beaucoup de cƓur dans ce qu'elle entreprend, qui a des projets Ă  la seconde, mais qui a dĂ©cidĂ© de faire une pause immense. En tout cas, c'est immense pour moi. Un mois, je pense, ça fait un mois. Un peu plus d'un mois. oĂč je me suis dit, en fait, j'ai pas grand-chose Ă  raconter, il se passera pas grand-chose, tout le monde sera au bord de la mer, il y a 52 Ă©pisodes dĂ©jĂ  qui sont enregistrĂ©s, on va faire un best-of, on va faire un best-of, et on va rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va faire. Donc voilĂ , j'ai pas plus grand-chose Ă  raconter aujourd'hui, puisque c'est le dĂ©but, c'est le dĂ©marrage. J'ai dĂ©cidĂ© de tourner aujourd'hui, parce que sinon je l'aurais pas fait, encore. J'aurais repoussĂ© ça, parce que la mĂ©thode Lyon aujourd'hui c'est 80 personnes, ce qui est beaucoup pour une seule personne. Donc lĂ  aussi, j'ai dĂ©cidĂ© de restructurer mon entreprise, c'est-Ă -dire d'embaucher des gens qui vont travailler avec moi, de collaborer avec des gens qui vont travailler avec moi et qui vont m'apporter leur savoir et qui vont faire que l'entreprise va se dĂ©velopper avec des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes. Pour moi, c'est essentiel. J'ai aussi dĂ©cidĂ©... de diversifier et de mettre des paliers aussi par rapport Ă  tout ça, ce qui va me permettre rĂ©ellement d'apporter encore plus de qualitĂ©, encore plus de savoir, ce qui va me permettre d'avoir un potentiel de crĂ©ation encore plus Ă©levĂ©, parce qu'en fait, ce qu'il faut savoir, c'est que quand on est dĂ©bordĂ©, le potentiel de crĂ©ation, il n'existe plus. En tout cas, pas au sens du terme auquel on s'attend. Donc j'ai dĂ©cidĂ© de réévaluer mon potentiel de crĂ©ation pour pouvoir apporter des nouvelles choses. Ça c'est trĂšs important aussi mĂȘme dans vos salons, c'est essentiel en fait. Si vous ĂȘtes hyper dĂ©bordĂ©, que vous ne mettez pas vos prix Ă  votre juste valeur, etc. Et qu'Ă  un moment donnĂ© vous avez beaucoup de clients et que vous ĂȘtes overbookĂ© du matin au soir, votre potentiel de crĂ©ation est rĂ©duit en fait. votre possibilitĂ© de mettre des nouvelles choses en place pour vos clients est extrĂȘmement rĂ©duit. Donc malheureusement, ça vous empĂȘche aprĂšs de vous dĂ©velopper. Quand on travaille dans son entreprise, c'est bien parce qu'on donne son 100% pour ses clients et c'est merveilleux. Mais quand on travaille sur son entreprise, on donne son 100% Ă  son entreprise. Et quand on donne son 100% Ă  son entreprise, On donne son 100% Ă  ses clients forcĂ©ment, parce qu'on pense Ă  des choses, on a des idĂ©es, on a envie de mettre des choses en place pour leur rĂ©ussite. Et c'est ce que je suis en train de faire aujourd'hui. Il est clair que je ne travaillerai pas dans le salon. Ça c'est 100% clair et net. Je ne coifferai plus, je ne dis pas plus jamais, mais en tout cas, je ne coifferai plus. Ça c'est sĂ»r. Je ferai de la gestion, du management, du dĂ©veloppement, comme je sais le faire. Dans la mĂ©thode, je vais en fait me faire accompagner de gens qui ont des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes et qui vont amener une vision diffĂ©rente et qui vont propulser encore plus, encore plus les gens qui travaillent avec moi. Aujourd'hui, le milieu de la coiffure... a besoin de se renouveler. Pas seulement, Ă  mon avis, en connaissant ces chiffres, etc. J'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment Ă  essayer d'enseigner... mes principes de calcul Ă  mes clients, Ă  mes collaborateurs. Et je me rends compte qu'il n'y a pas que ça pour faire exploser un business. Si ta vision est courte, malheureusement, tu ne peux pas voir sur du long terme, donc tu ne te vois pas Ă©voluer. Si ta vision de l'argent est biaisĂ©e, c'est-Ă -dire que... tu as une vision de l'argent oĂč tu ne te vois pas en gagner, tu ne te vois pas accĂ©der Ă  un niveau de vie supĂ©rieur, oĂč tu ne te vois pas te faire plaisir, oĂč ce n'est que contrainte, oĂč tu vois que les riches c'est des connards, que tout le monde profite des autres, tout ça c'est des mĂ©canismes que... j'ai moi-mĂȘme dĂ©construit et qui m'ont aidĂ© Ă  me dĂ©velopper. Je ne travaille pas pour l'argent, mais je ne travaille pas pour la douleur non plus. Et en fait, aujourd'hui, et ce n'est pas que la coiffure, c'est dans beaucoup de domaines, mais le dĂ©veloppement personnel pour moi est la clĂ© de la rĂ©ussite. Si vous restez lĂ  oĂč vous ĂȘtes, en vous disant que c'est impossible. en vous disant que vous ne pouvez pas, en vous disant que c'est inaccessible, malheureusement, vous n'y accĂ©derez pas. Ce n'est pas de la magie. Je ne crois pas Ă  la magie. Enfin, oui et non. D'accord ? Mais en tout cas, je ne crois pas qu'en tendant les mains, on puisse avoir accĂšs Ă  un niveau de vie supĂ©rieur. Je crois que ça demande du travail. Je crois que ça demande de la persĂ©vĂ©rance. Je crois que ça demande de la technique. Je crois que ça demande de la volontĂ©. Je crois que ça demande de la dĂ©construction. Et aujourd'hui, en fait, encore plus qu'hier, j'ai envie de dĂ©velopper les femmes entrepreneurs. J'ai envie d'amener mon savoir par rapport Ă  tout ça. J'ai envie de crĂ©er un univers. pour les entrepreneurs. Pour moi, en fait, je trouve qu'on est laissĂ© Ă  notre propre sort. Je trouve qu'on est lĂ  Ă  se demander qui, que va penser un tel ou que va penser un tel. Mais on ne se demande jamais, en fait, ce que nous-mĂȘmes, on pense de nous-mĂȘmes. Et surtout, on ne se demande jamais que... ben moi en fait j'ai aucune limite je me suis rendu compte que j'ai fait une introspection j'ai essayĂ© de voir et de comprendre pourquoi moi en fait je pouvais rĂ©ussir et quand j'explique 50 fois la mĂȘme chose Ă  quelqu'un ça marche pas parce qu'il ya des fois il ya ça aussi t'as beau vouloir l'enseigner t'as beau vouloir le donner et t'as des gens en face de toi qui ne sont pas rĂ©ceptifs ou qui ont des croyances tellement immense un manque de confiance tellement important que tu te dis, c'est pas possible, ça rentre pas ou quoi ? Mais c'est pas que ça rentre pas, c'est que ça vient de l'Ă©ducation, ça vient des croyances, ça vient de la volontĂ©, ça vient en fait des schĂ©mas qu'on a construits jusqu'Ă  aujourd'hui qui font que malheureusement, on n'est pas tous Ă©gaux face Ă  la rĂ©ussite. Et j'ai beau le vouloir, parce que moi je le veux pour tout le monde, c'est pas... j'ai pas la... j'ai pas... Excusez-moi, j'ai pas la rĂ©ussite sĂ©lective. Moi, pour moi, j'ai l'impression que tout le monde peut rĂ©ussir. Et en fait, il faut se dĂ©construire pour se reconstruire, pour rĂ©ussir. C'est ce que je me suis rendu compte. Si t'es tout le temps en train de te plaindre, si t'es tout le temps en train de te victimiser, si t'es tout le temps en train de croire qu'un tel rĂ©ussit mieux que toi, ou qu'un tel a une meilleure vie que toi, construis ta victimisation, tu construis ton avenir en fait oĂč tu te dis mais moi je peux pas, moi j'y arriverai pas. En fait la rĂ©ussite pour de vrai et puis c'est ce que j'ai compris c'est de l'Ă©goĂŻsme Ă  proprement parler c'est de l'Ă©goĂŻsme c'est Ă  dire que tu dois t'enfermer Ă  l'intĂ©rieur de toi mĂȘme pour te propulser toi mĂȘme. Si tu le fais pas, si tu le dĂ©veloppe pas de cette façon tu vas toujours ĂȘtre dĂ©stabilisĂ© par les autres. Il y a un truc qui m'a interpellĂ©e pendant ces vacances. J'ai lu un livre qui s'appelle... J'ai commencĂ©, pardon, Ă  lire un livre. J'ai lu plusieurs livres, en fait. J'ai lu trois livres en deux semaines, ce qui est beaucoup, vous me direz. Mais en mĂȘme temps, j'en avais besoin. Et en mĂȘme temps, j'avais pas le temps de le faire pendant que j'Ă©tais en activitĂ©. Et en plus, j'ai commencĂ© le... Ça fait deux mois que j'ai commencĂ© le sport, et lĂ , Ă©videmment, je suis en arrĂȘt comme une grosse conne. Pardon, ça me fait chier, bordel. Je faisais, pendant l'Ă©tĂ©, je faisais six kilomĂštres par jour. par jour pardon, je faisais 6 km par semaine et 4 km par jour d'accord donc je vous laisse additionner combien ça fait. En mĂȘme temps je faisais quatre heures de pilates rĂ©formeurs par semaine donc je vous explique que c'est voilĂ  lĂ  ça fait une semaine que je me suis fait opĂ©rer, une semaine que j'ai pas Ă©tĂ© au sport je pense que mon prof de sport il doit se dire mais elle est oĂč voilĂ  j'Ă©tais trop fiĂšre de moi trop bien trop de beaux rĂ©sultats et tout. Et lĂ , ben voilĂ . Donc quand je pourrai reprendre, je reprendrai. Je me suis fait des livres. Premier livre, KilomĂštre ZĂ©ro, Impact Total. OĂč tu te dis, bordel de merde, en fait, on est tellement impactĂ© par l'extĂ©rieur qu'on oublie de vivre Ă  l'intĂ©rieur. J'ai... tellement Ă©tĂ© impactĂ© par ce livre que ça m'a donnĂ© une prise de conscience oĂč tu te dis c'est vrai qu'en fait on roule on roule en fait et on court vite mais souvent on est sur un tapis roulant c'est Ă  dire qu'on n'avance pas vraiment on court tellement vite pour aller nulle part qu'on ne voit pas qu'on va nulle part et les principes de se dire de lĂącher prise. Si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de gueuler, si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de s'Ă©nerver, si t'as quelqu'un en face de toi qui est frustrĂ©, ben fuck, j'en ai rien Ă  foutre. Parce que la personne la plus importante de mon histoire, c'est moi. Et toutes les croyances qu'on se construit, ben, les scĂ©narios qu'on se fait, sont des inventions... principalement de notre cerveau et de notre tĂȘte. On ne devrait jamais commencer une phrase par « j'imagine que » ou « je pense que » ou « je ressens que » parce que c'est faux. On ne s'attache jamais au fait. On monte une histoire dans notre tĂȘte et on devient prisonnier de cette histoire. Ce qui fait qu'on se paralyse de cette histoire que notre cerveau a créée de toute piĂšce. Et donc, on s'empĂȘche de rĂ©ussir, on s'empĂȘche d'aller de l'avant, on s'empĂȘche de croire en nous. Et ça me touche en fait de le dire parce que ce livre a eu tellement d'impact sur moi, vraiment, oĂč je me suis dit, moi j'ai la chance en fait de rĂ©ussir parce que j'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment sur moi-mĂȘme et qu'aujourd'hui quand je cours, je cours un marathon, c'est-Ă -dire que je vais quelque part, point de dĂ©part, ligne d'arrivĂ©e. Mais il y a eu tellement de moments oĂč je me suis dit, mais lui, il a tellement plus que moi. Ou elle, elle est tellement plus chanceuse que moi. Ou lui, on lui fait tellement plus de propositions que moi, alors qu'en fait, il n'est pas si bien que ça. Alors que je suis responsable. Je suis responsable. Je n'ai pas besoin de rester figĂ©e sur un problĂšme pendant 600 000 ans, en fait. oĂč j'ai pas besoin de rester figĂ©e parce que quelqu'un m'a fait un fuck et du coup j'ai besoin en fait d'avancer pour moi, seulement moi les autres, je m'en carre le cul voilĂ , et donc j'ai lu la suite j'ai lu ah merde j'ai un trou de mĂ©moire sur le titre mais c'est la suite, c'est ah flĂ»te, faut que je le retrouve En tout cas, j'ai lu la suite, je vais essayer de vous le retrouver en mĂȘme temps que je vous parle. J'ai Ă©tĂ©, ça, j'ai chialĂ© tout le long de ce livre. MĂȘme Ă  y penser, Ă  en parler, ça me touche encore. On est avec des blessures, d'accord ? On est avec des blessures et ces blessures, elles vont venir... Attendez, je vous cherche le titre. Respire, c'est ça. Chilu respire. Alors kilomĂštre zĂ©ro et respire, c'est de mode Ankawa, d'accord ? Et j'ai lu Respire et en fait, je me suis rendue compte, enfin moi je le savais dĂ©jĂ  et je vous incite Ă  aller investiguer sur vos blessures. Moi c'est la blessure de l'abandon, ça a toujours Ă©tĂ© ça. J'ai toujours eu peur qu'on m'abandonne, j'ai toujours eu peur qu'on me laisse tomber. J'ai toujours eu peur qu'on me dise que ce n'est pas assez bien, que je ne fais pas assez. En tout cas, j'ai investiguĂ© beaucoup lĂ -dessus et je sais que ça vient quand mĂȘme beaucoup de ma relation que j'avais avec mon pĂšre. Et vraiment, dans ce livre-lĂ , j'ai vraiment eu l'impression que c'est mon pĂšre qui me parlait. RĂ©ellement, en fait. limite qu'il s'excusait du comportement qu'il avait eu avec moi. Vraiment, ça a Ă©tĂ© vraiment quelque chose d'extrĂȘmement percutant. Et je vous incite vraiment Ă , ce ne sont pas ces livres-lĂ , mais au moins Ă  lire, Ă  vous. Ă  vous Ă©duquer lĂ  dessus, Ă  faire en sorte en fait que vous ayez rĂ©ellement une autre vision de l'extĂ©rieur. Souvent on se documente avec les rĂ©seaux sociaux, on se documente avec ce qu'on voit passer comme informations mais on ne vient jamais, en fait on est toujours tous les jours nourris de poubelles, de nĂ©gatifs. LĂ , par exemple, cet Ă©tĂ©, il y a eu des rĂ©formes du gouvernement qui ont voulu... Il y a eu des rĂ©formes du gouvernement, pardon. Et donc, qu'est-ce que ça dit ? Ça dit qu'on vous colle comme ça en plein Ă©tĂ©. Des rĂ©formes comme quoi, on va vous supprimer un jour fĂ©riĂ©, on va faire ceci ou cela. Qu'est-ce que ça vient crĂ©er chez vous ? Ça vient crĂ©er de l'anxiĂ©tĂ©, de la peur, du stress. Quand on n'est pas Ă©duquĂ© au dĂ©veloppement personnel, quand on n'est pas Ă©duquĂ© au fait qu'en tant qu'entrepreneur, ce genre de rĂ©formes, ça ne nous intĂ©resse pas de le savoir. Tu veux supprimer trois jours fĂ©riĂ©s ? Fine, super. Ok, trĂšs bien. tu veux faire des restrictions budgĂ©taires, commence par driver l'État comme si c'Ă©tait une entreprise espĂšce de conno. Parce que, en fait, c'est rĂ©ellement l'État dans lequel la sociĂ©tĂ© veut que vous vous mettiez. Et donc, quand vous ĂȘtes dans cet État-lĂ , vous ne pouvez pas gĂ©rer votre entreprise correctement. Vous ne pouvez pas crĂ©er de la richesse dans votre entreprise. Parce que la richesse Ă  l'extĂ©rieur, vous ne la voyez pas. Vous ne la voyez pas. Vous la voyez minime. Vous voyez le nĂ©gatif. Vous voyez ce qui ne va pas. Et donc, du coup, vous ĂȘtes happĂ© par tout ça. Et je suis sĂ»re que dans les salons, ça doit en parler. Et blablabla, et tatata, et l'Ă©tat, et la nana, et les impĂŽts, et papapa, tĂ©tĂ©tet. Et en fait... Vu que vous vous projetez sur l'extĂ©rieur, vous avez du mal Ă  ressentir Ă  l'intĂ©rieur. Et je vous assure, j'ai eu beau le tourner dans tous les sens, j'ai eu beau faire, refaire, refaire, refaire le schĂ©ma dans ma tĂȘte, la personne qui va vous donner la rĂ©ussite, c'est vous-mĂȘme. C'est vous-mĂȘme. Et c'est donc ce que je vais faire cette annĂ©e. LĂ , maintenant, ça va partir dans ce sens-lĂ . C'est vraiment, en fait, en plus de vous donner les clĂ©s d'un business, c'est-Ă -dire les chiffres, etc., je veux vraiment que vous ayez conscience que, et j'en reçois des gens qui sont dans une agressivitĂ© incroyable, qui sont toujours dans la victimisation. qui se disent que c'est l'extĂ©rieur, c'est les impĂŽts, c'est ceci, c'est cela. il n'y a pas que ça Il n'y a pas que ça. Il y a votre ressenti intĂ©rieur, il y a votre vibration aussi. Il y a tout ce que vous projetez. Il y a votre parole. Il y a les mots, il y a les scĂ©narios que vous vous faites dans la tĂȘte. Il y a les blessures que vous avez aussi Ă  l'intĂ©rieur de vous depuis que vous ĂȘtes petit ou petite. Il y a les douleurs, les doutes, les croyances que vous vous ĂȘtes forgĂ©es avec le temps et qui vous empĂȘchent de rĂ©ussir. LĂ , j'ai Ă©tĂ© sur TikTok. Et en fait, j'ai vu un truc qui m'a un petit peu dĂ©passĂ©e. Il faut savoir que l'opĂ©ration que j'ai subie, puis je n'ai pas honte de le dire, c'est que je me suis fait recoudre les abdos parce que j'avais les abdos avec trois enfants qui ont Ă©tĂ© distendus, ce qui faisait que ça avait une consĂ©quence sur ma digestion, sur... mon apparence et sur mon incontinence. D'accord ? Donc, c'est pas ouf Ă  40 ans. Donc, j'ai dĂ©cidĂ© de me faire opĂ©rer. D'accord ? C'est assimilĂ© Ă  de la chirurgie esthĂ©tique. D'accord ? Mais, c'est surtout de la chirurgie rĂ©paratrice. Mais, tu te fais opĂ©rer par un chirurgien esthĂ©tique. D'accord ? Et lĂ , donc, du coup, j'ai cherchĂ© des infos, j'ai cherchĂ© comment ça se passait, j'ai regardĂ© comment ça allait. J'ai regardĂ© quelles Ă©taient les consĂ©quences. En tout cas, bref. Du coup, TikTok, il vous envoie beaucoup de trucs. Et moi, j'ai vĂ©cu au QuĂ©bec pendant sept ans. Et j'ai regardĂ©, donc, au QuĂ©bec en ce moment, il y a des agences qui proposent aux femmes de se faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, type Colombie, Tunisie, peu importe. Moi, j'habite au Mexique, donc je me fais opĂ©rer lĂ  oĂč j'habite. Je n'ai pas besoin de faire un voyage pour aller me faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, surtout que la rĂ©ussite d'une opĂ©ration, c'est 50% l'opĂ©ration, mĂȘme 40% l'opĂ©ration et 50 Ă  60% les soins post-opĂ©ratoires. Donc, quand tu te fais opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, tu ne bĂ©nĂ©ficies pas des soins post-opĂ©ratoires. Tu es obligĂ© de les faire sur ton pays de rĂ©sidence. Et en plus... tu reprends l'avion alors qu'il y a des risques de difficultĂ©s. La chirurgie comporte toujours des risques. Et lĂ  en fait je vois des filles qui faisaient la promotion de ça. Ah mais c'est le rĂȘve, c'est super, c'est le rĂȘve, allez vous faire opĂ©rer Ă  tel endroit, c'est le rĂȘve. Ce n'est pas le rĂȘve, d'accord ? Et lĂ , en fait, je me dis, Ă  quel point, en fait, tu n'as pas fait ton travail sur toi-mĂȘme pour inciter les gens Ă  faire ce genre de choses, alors que de base, c'est une dĂ©marche personnelle. C'est une dĂ©marche personnelle. C'est-Ă -dire que tu le fais pour toi. À quel point les gens sont... prĂȘts Ă  faire de l'argent, parce que quand ils conseillent, ils amĂšnent des gens, ils ont donc une commission, ça se passe mĂȘme pour la chirurgie esthĂ©tique ici aux Etats-Unis. À quel point, en fait, voyez comme quoi le travail sur soi, ça doit rester personnel, dĂ©veloppement personnel. Donc, pourquoi je fais une parenthĂšse lĂ -dessus ? Parce que ça m'a choquĂ©e, j'ai Ă©tĂ© choquĂ©e parce que j'ai vu une fille que je connaissais. Faire cette promotion de chirurgie-lĂ , parce que je connais le profil de la fille, puis je sais que la fille, c'est quelqu'un qui cherche par tous les moyens Ă  faire de l'argent, alors qu'elle Ă©tait coiffeuse, qu'elle avait des salons, etc. Bref, qui aujourd'hui cherche par tous les moyens Ă  gagner plus d'argent et compagnie. Si tu veux gagner plus d'argent, concentre-toi sur ce que tu sais faire. DĂ©veloppe ce que tu sais faire. Mets en avant ce que tu sais faire. Va pas chercher par tous les moyens Ă  faire de la vente de maquillage par correspondance, de robots de cuisine, de machins, de trucs. Tout ça pour faire 3 francs, 6 sous. Et au final, passer pour une cloche. Si tu veux te dĂ©velopper, si tu veux faire de l'argent, si tu veux ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© Ă  ta juste valeur, perfectionne-toi dans ce que tu sais faire. Rien d'autre. rien d'autre c'est le plus important de se perfectionner dans ce qu'on sait faire d'accord c'est la base de la base je fais un petit parallĂšle lĂ  dessus parce que ça m'a tellement choquĂ© cette semaine oĂč je me suis dit Ă  quel moment en fait tu fais ce genre de choses que tu te permet de mettre la vie des gens en danger pour des questions d'argent donc si et je le redis encore Si le seul but dans la vie c'est de gagner plus d'argent, ça ne sera jamais une assez bonne raison. C'est pour ça que je me suis dit qu'Ă  un moment donnĂ©, si on ne fait pas le switch dans sa tĂȘte en se disant « Moi en fait, je suis coiffeuse, je suis une bonne coiffeuse, je maĂźtrise ce que je fais. » Je sais ce que j'ai envie de donner Ă  mes clients. Mais aujourd'hui, je suis rendue Ă  un autre niveau. Je suis rendue Ă  un niveau oĂč, en plus d'ĂȘtre une bonne coiffeuse, j'ai envie d'ĂȘtre une bonne chef d'entreprise. Et j'ai envie de faire du travail sur moi. J'en ai marre en fait de me faire bouffer par la nĂ©gativitĂ©. J'en ai marre de me faire bouffer par ce que je vois Ă  l'extĂ©rieur. Et j'ai envie de travailler sur moi. Et c'est en faisant ce travail-lĂ  que tu vas devenir plus puissante. Alors voilĂ . C'Ă©tait un retour, un retour sur le podcast. Je vous remercie de m'avoir Ă©coutĂ©e. J'espĂšre que ça vous aura plu. Je vais baser un peu plus sur un peu de tout. Mais voilĂ , les connasses qui veulent t'apprendre Ă  faire du business, j'en ai plus rien Ă  foutre. Les connards, en fait, qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter et qui pensent qu'en faisant... en critiquant le travail des autres, ça va faire monter le leurre, j'en ai plus rien Ă  foutre non plus. Tous ceux, en fait, qui vont croire que, parce que j'ai vu encore, dĂ©brancher son TPE, blablabla, bref, tout ça, j'en ai rien Ă  foutre, ferez bien ce que vous voulez, puis vous verrez bien les consĂ©quences de ce que ça apporte. En attendant, on est dans la derniĂšre ligne droite pour Cancun, on est le 6 septembre, dans deux mois, on y sera, donc...

  • Speaker #1

    Merci beaucoup de m'avoir suivie et on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

Chapters

  • Introduction et retour aprĂšs la pause estivale

    00:00

  • RĂ©flexions sur la restructuration de l'entreprise

    00:28

  • L'impact de l'opĂ©ration chirurgicale sur Julie

    00:56

  • Gestion des entreprises et importance du temps personnel

    02:10

  • DĂ©veloppement personnel et croyances limitantes

    06:08

  • Importance de la vision Ă  long terme pour les entrepreneurs

    09:47

  • Conclusion et remerciements

    14:06

  • ClĂŽture et perspective sur l'avenir

    31:29

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Description

🚹 Retour fracassant du podcast 🚹
AprÚs une pause plus longue que prévue (vacances, restructuration, opération et surtout ras-le-bol du bruit inutile), je reviens avec un épisode sans filtre.
Je t’embarque dans les coulisses de mon Ă©tĂ© : entre cartons, attaques gratuites sur les rĂ©seaux, introspection, et surtout une vĂ©ritĂ© qui dĂ©range → ta rĂ©ussite ne dĂ©pend pas des impĂŽts, de l’État ou de ta voisine
 elle dĂ©pend de TOI.

Dans cet épisode, je te parle :
✹ De pourquoi j’ai tout mis sur pause pour mieux revenir.
✹ De la diffĂ©rence entre travailler dans ton business et travailler sur ton business.
✹ De la puissance du dĂ©veloppement personnel pour propulser ton salon.
✹ Et de pourquoi il est urgent de te dĂ©barrasser de la victimisation et de tes croyances pour avancer.

Un Ă©pisode cash, brut et 100% utile pour toutes celles qui veulent arrĂȘter de tourner en rond et enfin avancer.

🎧 Clique, Ă©coute, et prĂ©pare-toi Ă  remettre les pendules Ă  l’heure.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    ne me cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du dĂ©cor des salons de coiffure prĂ©sentĂ© par Julie Veyron hello hello tout le monde j'espĂšre que vous allez bien comme c'est le retenu aujourd'hui du podcast aprĂšs une longue pause je pensais redĂ©marrer plus tĂŽt et finalement je me suis laissĂ© plus de temps j'avais vraiment besoin en fait de faire une coupure pendant cet Ă©tĂ©. Comme beaucoup d'entre vous qui prenez des vacances, etc., j'avais vraiment besoin de faire une coupure pour savoir exactement les sujets que j'avais envie de traiter, pour essayer de regarder un petit peu ce que je voulais faire, ce que je voulais mettre en place. Restructurer mon entreprise aussi, prendre des vacances, c'est aussi pour la restructuration de l'entreprise, parce que pour moi, je ne fais pas ce mĂ©tier en fait pour vĂ©gĂ©ter. Je suis coach en dĂ©veloppement des entreprises de la coiffure. Et en mĂȘme temps, j'avais vraiment envie de proposer des choses qui soient percutantes, qui soient innovantes. Et j'ai rĂ©flĂ©chi Ă  tout ça pendant cette pĂ©riode de coupure de podcast. Je me suis fait opĂ©rer aussi. Ça a Ă©tĂ© ça aussi, la coupure un peu plus longue. Parce que je me suis opĂ©rĂ©e la semaine derniĂšre, ça va faire une semaine. Mais du coup, pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte avec vous, ça a Ă©tĂ© une opĂ©ration qui Ă©tait prĂ©vue. Mais qui m'a stressĂ©e sa mĂšre. Ça m'a stressĂ©e sa mĂšre. Et moi, en fait, je ne m'Ă©tais pas du tout prĂ©parĂ©e aux suites post-opĂ©ratoires et compagnie. Parce que pour moi, en fait... L'anesthĂ©sie me tuait. J'Ă©tais vraiment dans un Ă©tat d'esprit lĂ  oĂč je ne me suis pas fait opĂ©rer souvent dans ma vie en fait. Et la derniĂšre fois oĂč j'ai vu quelqu'un se faire opĂ©rer, malheureusement, ça n'a pas bien Ă©tĂ©. Donc du coup, je suis restĂ©e un peu sur cette vibe-lĂ  en fait. Et du coup, je me suis prĂ©parĂ©e pendant un mois psychologiquement Ă  cet Ă©vĂ©nement. d'opĂ©ration et du coup j'ai laissĂ© aller le podcast, j'ai tout laissĂ© aller. Par contre je ne me suis pas dĂ©gonflĂ©e en fait. Je ne me suis pas du tout dĂ©gonflĂ©e, je me suis dit bon mais tant pis, fuck, j'y vais quoi. Donc ça a Ă©tĂ© ça, ça a Ă©tĂ© un peu ça. Pendant l'Ă©tĂ© j'ai lĂąchĂ© complĂštement. J'ai instaurĂ© aussi des nouvelles rĂšgles et tout ça pour les rĂ©seaux sociaux. pour la prise de messages, pour les rĂ©ponses aussi, parce que je me suis dit, j'adore ce que je fais, mais il faut savoir qu'en fait, je suis une seule personne Ă  gĂ©rer la construction du salon, Ă  gĂ©rer Cancun, Ă  gĂ©rer ma mĂ©thode. Donc tout ça, en fait, c'est trois entreprises-lĂ . demande Ă©normĂ©ment de temps. En fait, une entreprise demande 100% du temps Ă  une personne. Moi, j'en ai trois. J'ai trois entreprises. Heureusement, je suis accompagnĂ©e pour Cancun. Je suis trĂšs, trĂšs bien accompagnĂ©e, bien heureusement. Je travaille avec des personnes incroyables qui gĂšrent, donc, Myriam, Sandrine, Nadege, qui gĂšrent avec moi. Heureusement, je serais tentĂ©e de vous dire, parce que sinon, ça serait un calvaire, je vous assure. Cette annĂ©e, ça a Ă©tĂ© encore plus gros que l'annĂ©e derniĂšre en termes de gestion. J'ai hĂąte de voir mon bureau se vider. J'ai des cartons partout. VoilĂ , si je devais les compter, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12. 12 d'un cĂŽtĂ©, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 12 de l'autre. J'ai 24 cartons dans mon bureau. j'ai un bureau qui doit faire plus ou moins 8 mĂštres carrĂ©s peut-ĂȘtre Ă  peu prĂšs ce qui est pas beaucoup en dedans enfin Ă  l'intĂ©rieur tu comptes qu'il ya un bureau c'est une planche c'est un arbre et de l'autre cĂŽtĂ© tu t'as mon buffet avec mon imprimante et tout mais tout ça pour dire que en fait c'est quand on moi en fait ça a Ă©tĂ© tellement aussi l'attaque avant la avant les vacances il ya eu tellement d'attaques sur les rĂ©seaux entre une meuf qui se croit, qui fait du business alors qu'elle m'avait appelĂ© la veille pour me demander de redresser son salon, un autre qui fait des podcasts pour tuer la... pour tuer le milieu de la formation et pour se faire monter, tout ça. Bref, tout ça a Ă©tĂ© extrĂȘmement violent, je trouve. Et donc, j'ai dĂ©cidĂ© de faire une pause pour me recentrer sur l'essentiel, c'est-Ă -dire moi. Moi et uniquement moi. Parce qu'Ă  un moment donnĂ©, le bourdonnage, ça suffit, c'est assez. Donc j'ai fait cette longue pause. Aujourd'hui, on est le 6 septembre, c'est un samedi. Je vais organiser aussi pour tourner le podcast dans la semaine pour avoir des vrais week-ends, pour avoir du vrai temps de qualitĂ© parce qu'en fait cette annĂ©e, moi j'habite au bord de la mer des CaraĂŻbes, d'accord ? Je pense que si je l'ai vu 5 fois dans l'annĂ©e, 10 fois, grand max, c'est le maximum. VoilĂ , c'est le maximum depuis le mois de janvier. Je pense que j'ai dĂ» voir la mer 10 fois maximum. Ce qui n'est pas beaucoup quand tu habites Ă ... Ă  10 km de la plus belle mer du monde, que tu puisses l'avoir que 10 fois, c'est pas ouf. Donc tout ça pour dire que je travaille, je suis quelqu'un qui travaille Ă©normĂ©ment, qui met beaucoup de cƓur dans ce qu'elle entreprend, qui a des projets Ă  la seconde, mais qui a dĂ©cidĂ© de faire une pause immense. En tout cas, c'est immense pour moi. Un mois, je pense, ça fait un mois. Un peu plus d'un mois. oĂč je me suis dit, en fait, j'ai pas grand-chose Ă  raconter, il se passera pas grand-chose, tout le monde sera au bord de la mer, il y a 52 Ă©pisodes dĂ©jĂ  qui sont enregistrĂ©s, on va faire un best-of, on va faire un best-of, et on va rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va faire. Donc voilĂ , j'ai pas plus grand-chose Ă  raconter aujourd'hui, puisque c'est le dĂ©but, c'est le dĂ©marrage. J'ai dĂ©cidĂ© de tourner aujourd'hui, parce que sinon je l'aurais pas fait, encore. J'aurais repoussĂ© ça, parce que la mĂ©thode Lyon aujourd'hui c'est 80 personnes, ce qui est beaucoup pour une seule personne. Donc lĂ  aussi, j'ai dĂ©cidĂ© de restructurer mon entreprise, c'est-Ă -dire d'embaucher des gens qui vont travailler avec moi, de collaborer avec des gens qui vont travailler avec moi et qui vont m'apporter leur savoir et qui vont faire que l'entreprise va se dĂ©velopper avec des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes. Pour moi, c'est essentiel. J'ai aussi dĂ©cidĂ©... de diversifier et de mettre des paliers aussi par rapport Ă  tout ça, ce qui va me permettre rĂ©ellement d'apporter encore plus de qualitĂ©, encore plus de savoir, ce qui va me permettre d'avoir un potentiel de crĂ©ation encore plus Ă©levĂ©, parce qu'en fait, ce qu'il faut savoir, c'est que quand on est dĂ©bordĂ©, le potentiel de crĂ©ation, il n'existe plus. En tout cas, pas au sens du terme auquel on s'attend. Donc j'ai dĂ©cidĂ© de réévaluer mon potentiel de crĂ©ation pour pouvoir apporter des nouvelles choses. Ça c'est trĂšs important aussi mĂȘme dans vos salons, c'est essentiel en fait. Si vous ĂȘtes hyper dĂ©bordĂ©, que vous ne mettez pas vos prix Ă  votre juste valeur, etc. Et qu'Ă  un moment donnĂ© vous avez beaucoup de clients et que vous ĂȘtes overbookĂ© du matin au soir, votre potentiel de crĂ©ation est rĂ©duit en fait. votre possibilitĂ© de mettre des nouvelles choses en place pour vos clients est extrĂȘmement rĂ©duit. Donc malheureusement, ça vous empĂȘche aprĂšs de vous dĂ©velopper. Quand on travaille dans son entreprise, c'est bien parce qu'on donne son 100% pour ses clients et c'est merveilleux. Mais quand on travaille sur son entreprise, on donne son 100% Ă  son entreprise. Et quand on donne son 100% Ă  son entreprise, On donne son 100% Ă  ses clients forcĂ©ment, parce qu'on pense Ă  des choses, on a des idĂ©es, on a envie de mettre des choses en place pour leur rĂ©ussite. Et c'est ce que je suis en train de faire aujourd'hui. Il est clair que je ne travaillerai pas dans le salon. Ça c'est 100% clair et net. Je ne coifferai plus, je ne dis pas plus jamais, mais en tout cas, je ne coifferai plus. Ça c'est sĂ»r. Je ferai de la gestion, du management, du dĂ©veloppement, comme je sais le faire. Dans la mĂ©thode, je vais en fait me faire accompagner de gens qui ont des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes et qui vont amener une vision diffĂ©rente et qui vont propulser encore plus, encore plus les gens qui travaillent avec moi. Aujourd'hui, le milieu de la coiffure... a besoin de se renouveler. Pas seulement, Ă  mon avis, en connaissant ces chiffres, etc. J'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment Ă  essayer d'enseigner... mes principes de calcul Ă  mes clients, Ă  mes collaborateurs. Et je me rends compte qu'il n'y a pas que ça pour faire exploser un business. Si ta vision est courte, malheureusement, tu ne peux pas voir sur du long terme, donc tu ne te vois pas Ă©voluer. Si ta vision de l'argent est biaisĂ©e, c'est-Ă -dire que... tu as une vision de l'argent oĂč tu ne te vois pas en gagner, tu ne te vois pas accĂ©der Ă  un niveau de vie supĂ©rieur, oĂč tu ne te vois pas te faire plaisir, oĂč ce n'est que contrainte, oĂč tu vois que les riches c'est des connards, que tout le monde profite des autres, tout ça c'est des mĂ©canismes que... j'ai moi-mĂȘme dĂ©construit et qui m'ont aidĂ© Ă  me dĂ©velopper. Je ne travaille pas pour l'argent, mais je ne travaille pas pour la douleur non plus. Et en fait, aujourd'hui, et ce n'est pas que la coiffure, c'est dans beaucoup de domaines, mais le dĂ©veloppement personnel pour moi est la clĂ© de la rĂ©ussite. Si vous restez lĂ  oĂč vous ĂȘtes, en vous disant que c'est impossible. en vous disant que vous ne pouvez pas, en vous disant que c'est inaccessible, malheureusement, vous n'y accĂ©derez pas. Ce n'est pas de la magie. Je ne crois pas Ă  la magie. Enfin, oui et non. D'accord ? Mais en tout cas, je ne crois pas qu'en tendant les mains, on puisse avoir accĂšs Ă  un niveau de vie supĂ©rieur. Je crois que ça demande du travail. Je crois que ça demande de la persĂ©vĂ©rance. Je crois que ça demande de la technique. Je crois que ça demande de la volontĂ©. Je crois que ça demande de la dĂ©construction. Et aujourd'hui, en fait, encore plus qu'hier, j'ai envie de dĂ©velopper les femmes entrepreneurs. J'ai envie d'amener mon savoir par rapport Ă  tout ça. J'ai envie de crĂ©er un univers. pour les entrepreneurs. Pour moi, en fait, je trouve qu'on est laissĂ© Ă  notre propre sort. Je trouve qu'on est lĂ  Ă  se demander qui, que va penser un tel ou que va penser un tel. Mais on ne se demande jamais, en fait, ce que nous-mĂȘmes, on pense de nous-mĂȘmes. Et surtout, on ne se demande jamais que... ben moi en fait j'ai aucune limite je me suis rendu compte que j'ai fait une introspection j'ai essayĂ© de voir et de comprendre pourquoi moi en fait je pouvais rĂ©ussir et quand j'explique 50 fois la mĂȘme chose Ă  quelqu'un ça marche pas parce qu'il ya des fois il ya ça aussi t'as beau vouloir l'enseigner t'as beau vouloir le donner et t'as des gens en face de toi qui ne sont pas rĂ©ceptifs ou qui ont des croyances tellement immense un manque de confiance tellement important que tu te dis, c'est pas possible, ça rentre pas ou quoi ? Mais c'est pas que ça rentre pas, c'est que ça vient de l'Ă©ducation, ça vient des croyances, ça vient de la volontĂ©, ça vient en fait des schĂ©mas qu'on a construits jusqu'Ă  aujourd'hui qui font que malheureusement, on n'est pas tous Ă©gaux face Ă  la rĂ©ussite. Et j'ai beau le vouloir, parce que moi je le veux pour tout le monde, c'est pas... j'ai pas la... j'ai pas... Excusez-moi, j'ai pas la rĂ©ussite sĂ©lective. Moi, pour moi, j'ai l'impression que tout le monde peut rĂ©ussir. Et en fait, il faut se dĂ©construire pour se reconstruire, pour rĂ©ussir. C'est ce que je me suis rendu compte. Si t'es tout le temps en train de te plaindre, si t'es tout le temps en train de te victimiser, si t'es tout le temps en train de croire qu'un tel rĂ©ussit mieux que toi, ou qu'un tel a une meilleure vie que toi, construis ta victimisation, tu construis ton avenir en fait oĂč tu te dis mais moi je peux pas, moi j'y arriverai pas. En fait la rĂ©ussite pour de vrai et puis c'est ce que j'ai compris c'est de l'Ă©goĂŻsme Ă  proprement parler c'est de l'Ă©goĂŻsme c'est Ă  dire que tu dois t'enfermer Ă  l'intĂ©rieur de toi mĂȘme pour te propulser toi mĂȘme. Si tu le fais pas, si tu le dĂ©veloppe pas de cette façon tu vas toujours ĂȘtre dĂ©stabilisĂ© par les autres. Il y a un truc qui m'a interpellĂ©e pendant ces vacances. J'ai lu un livre qui s'appelle... J'ai commencĂ©, pardon, Ă  lire un livre. J'ai lu plusieurs livres, en fait. J'ai lu trois livres en deux semaines, ce qui est beaucoup, vous me direz. Mais en mĂȘme temps, j'en avais besoin. Et en mĂȘme temps, j'avais pas le temps de le faire pendant que j'Ă©tais en activitĂ©. Et en plus, j'ai commencĂ© le... Ça fait deux mois que j'ai commencĂ© le sport, et lĂ , Ă©videmment, je suis en arrĂȘt comme une grosse conne. Pardon, ça me fait chier, bordel. Je faisais, pendant l'Ă©tĂ©, je faisais six kilomĂštres par jour. par jour pardon, je faisais 6 km par semaine et 4 km par jour d'accord donc je vous laisse additionner combien ça fait. En mĂȘme temps je faisais quatre heures de pilates rĂ©formeurs par semaine donc je vous explique que c'est voilĂ  lĂ  ça fait une semaine que je me suis fait opĂ©rer, une semaine que j'ai pas Ă©tĂ© au sport je pense que mon prof de sport il doit se dire mais elle est oĂč voilĂ  j'Ă©tais trop fiĂšre de moi trop bien trop de beaux rĂ©sultats et tout. Et lĂ , ben voilĂ . Donc quand je pourrai reprendre, je reprendrai. Je me suis fait des livres. Premier livre, KilomĂštre ZĂ©ro, Impact Total. OĂč tu te dis, bordel de merde, en fait, on est tellement impactĂ© par l'extĂ©rieur qu'on oublie de vivre Ă  l'intĂ©rieur. J'ai... tellement Ă©tĂ© impactĂ© par ce livre que ça m'a donnĂ© une prise de conscience oĂč tu te dis c'est vrai qu'en fait on roule on roule en fait et on court vite mais souvent on est sur un tapis roulant c'est Ă  dire qu'on n'avance pas vraiment on court tellement vite pour aller nulle part qu'on ne voit pas qu'on va nulle part et les principes de se dire de lĂącher prise. Si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de gueuler, si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de s'Ă©nerver, si t'as quelqu'un en face de toi qui est frustrĂ©, ben fuck, j'en ai rien Ă  foutre. Parce que la personne la plus importante de mon histoire, c'est moi. Et toutes les croyances qu'on se construit, ben, les scĂ©narios qu'on se fait, sont des inventions... principalement de notre cerveau et de notre tĂȘte. On ne devrait jamais commencer une phrase par « j'imagine que » ou « je pense que » ou « je ressens que » parce que c'est faux. On ne s'attache jamais au fait. On monte une histoire dans notre tĂȘte et on devient prisonnier de cette histoire. Ce qui fait qu'on se paralyse de cette histoire que notre cerveau a créée de toute piĂšce. Et donc, on s'empĂȘche de rĂ©ussir, on s'empĂȘche d'aller de l'avant, on s'empĂȘche de croire en nous. Et ça me touche en fait de le dire parce que ce livre a eu tellement d'impact sur moi, vraiment, oĂč je me suis dit, moi j'ai la chance en fait de rĂ©ussir parce que j'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment sur moi-mĂȘme et qu'aujourd'hui quand je cours, je cours un marathon, c'est-Ă -dire que je vais quelque part, point de dĂ©part, ligne d'arrivĂ©e. Mais il y a eu tellement de moments oĂč je me suis dit, mais lui, il a tellement plus que moi. Ou elle, elle est tellement plus chanceuse que moi. Ou lui, on lui fait tellement plus de propositions que moi, alors qu'en fait, il n'est pas si bien que ça. Alors que je suis responsable. Je suis responsable. Je n'ai pas besoin de rester figĂ©e sur un problĂšme pendant 600 000 ans, en fait. oĂč j'ai pas besoin de rester figĂ©e parce que quelqu'un m'a fait un fuck et du coup j'ai besoin en fait d'avancer pour moi, seulement moi les autres, je m'en carre le cul voilĂ , et donc j'ai lu la suite j'ai lu ah merde j'ai un trou de mĂ©moire sur le titre mais c'est la suite, c'est ah flĂ»te, faut que je le retrouve En tout cas, j'ai lu la suite, je vais essayer de vous le retrouver en mĂȘme temps que je vous parle. J'ai Ă©tĂ©, ça, j'ai chialĂ© tout le long de ce livre. MĂȘme Ă  y penser, Ă  en parler, ça me touche encore. On est avec des blessures, d'accord ? On est avec des blessures et ces blessures, elles vont venir... Attendez, je vous cherche le titre. Respire, c'est ça. Chilu respire. Alors kilomĂštre zĂ©ro et respire, c'est de mode Ankawa, d'accord ? Et j'ai lu Respire et en fait, je me suis rendue compte, enfin moi je le savais dĂ©jĂ  et je vous incite Ă  aller investiguer sur vos blessures. Moi c'est la blessure de l'abandon, ça a toujours Ă©tĂ© ça. J'ai toujours eu peur qu'on m'abandonne, j'ai toujours eu peur qu'on me laisse tomber. J'ai toujours eu peur qu'on me dise que ce n'est pas assez bien, que je ne fais pas assez. En tout cas, j'ai investiguĂ© beaucoup lĂ -dessus et je sais que ça vient quand mĂȘme beaucoup de ma relation que j'avais avec mon pĂšre. Et vraiment, dans ce livre-lĂ , j'ai vraiment eu l'impression que c'est mon pĂšre qui me parlait. RĂ©ellement, en fait. limite qu'il s'excusait du comportement qu'il avait eu avec moi. Vraiment, ça a Ă©tĂ© vraiment quelque chose d'extrĂȘmement percutant. Et je vous incite vraiment Ă , ce ne sont pas ces livres-lĂ , mais au moins Ă  lire, Ă  vous. Ă  vous Ă©duquer lĂ  dessus, Ă  faire en sorte en fait que vous ayez rĂ©ellement une autre vision de l'extĂ©rieur. Souvent on se documente avec les rĂ©seaux sociaux, on se documente avec ce qu'on voit passer comme informations mais on ne vient jamais, en fait on est toujours tous les jours nourris de poubelles, de nĂ©gatifs. LĂ , par exemple, cet Ă©tĂ©, il y a eu des rĂ©formes du gouvernement qui ont voulu... Il y a eu des rĂ©formes du gouvernement, pardon. Et donc, qu'est-ce que ça dit ? Ça dit qu'on vous colle comme ça en plein Ă©tĂ©. Des rĂ©formes comme quoi, on va vous supprimer un jour fĂ©riĂ©, on va faire ceci ou cela. Qu'est-ce que ça vient crĂ©er chez vous ? Ça vient crĂ©er de l'anxiĂ©tĂ©, de la peur, du stress. Quand on n'est pas Ă©duquĂ© au dĂ©veloppement personnel, quand on n'est pas Ă©duquĂ© au fait qu'en tant qu'entrepreneur, ce genre de rĂ©formes, ça ne nous intĂ©resse pas de le savoir. Tu veux supprimer trois jours fĂ©riĂ©s ? Fine, super. Ok, trĂšs bien. tu veux faire des restrictions budgĂ©taires, commence par driver l'État comme si c'Ă©tait une entreprise espĂšce de conno. Parce que, en fait, c'est rĂ©ellement l'État dans lequel la sociĂ©tĂ© veut que vous vous mettiez. Et donc, quand vous ĂȘtes dans cet État-lĂ , vous ne pouvez pas gĂ©rer votre entreprise correctement. Vous ne pouvez pas crĂ©er de la richesse dans votre entreprise. Parce que la richesse Ă  l'extĂ©rieur, vous ne la voyez pas. Vous ne la voyez pas. Vous la voyez minime. Vous voyez le nĂ©gatif. Vous voyez ce qui ne va pas. Et donc, du coup, vous ĂȘtes happĂ© par tout ça. Et je suis sĂ»re que dans les salons, ça doit en parler. Et blablabla, et tatata, et l'Ă©tat, et la nana, et les impĂŽts, et papapa, tĂ©tĂ©tet. Et en fait... Vu que vous vous projetez sur l'extĂ©rieur, vous avez du mal Ă  ressentir Ă  l'intĂ©rieur. Et je vous assure, j'ai eu beau le tourner dans tous les sens, j'ai eu beau faire, refaire, refaire, refaire le schĂ©ma dans ma tĂȘte, la personne qui va vous donner la rĂ©ussite, c'est vous-mĂȘme. C'est vous-mĂȘme. Et c'est donc ce que je vais faire cette annĂ©e. LĂ , maintenant, ça va partir dans ce sens-lĂ . C'est vraiment, en fait, en plus de vous donner les clĂ©s d'un business, c'est-Ă -dire les chiffres, etc., je veux vraiment que vous ayez conscience que, et j'en reçois des gens qui sont dans une agressivitĂ© incroyable, qui sont toujours dans la victimisation. qui se disent que c'est l'extĂ©rieur, c'est les impĂŽts, c'est ceci, c'est cela. il n'y a pas que ça Il n'y a pas que ça. Il y a votre ressenti intĂ©rieur, il y a votre vibration aussi. Il y a tout ce que vous projetez. Il y a votre parole. Il y a les mots, il y a les scĂ©narios que vous vous faites dans la tĂȘte. Il y a les blessures que vous avez aussi Ă  l'intĂ©rieur de vous depuis que vous ĂȘtes petit ou petite. Il y a les douleurs, les doutes, les croyances que vous vous ĂȘtes forgĂ©es avec le temps et qui vous empĂȘchent de rĂ©ussir. LĂ , j'ai Ă©tĂ© sur TikTok. Et en fait, j'ai vu un truc qui m'a un petit peu dĂ©passĂ©e. Il faut savoir que l'opĂ©ration que j'ai subie, puis je n'ai pas honte de le dire, c'est que je me suis fait recoudre les abdos parce que j'avais les abdos avec trois enfants qui ont Ă©tĂ© distendus, ce qui faisait que ça avait une consĂ©quence sur ma digestion, sur... mon apparence et sur mon incontinence. D'accord ? Donc, c'est pas ouf Ă  40 ans. Donc, j'ai dĂ©cidĂ© de me faire opĂ©rer. D'accord ? C'est assimilĂ© Ă  de la chirurgie esthĂ©tique. D'accord ? Mais, c'est surtout de la chirurgie rĂ©paratrice. Mais, tu te fais opĂ©rer par un chirurgien esthĂ©tique. D'accord ? Et lĂ , donc, du coup, j'ai cherchĂ© des infos, j'ai cherchĂ© comment ça se passait, j'ai regardĂ© comment ça allait. J'ai regardĂ© quelles Ă©taient les consĂ©quences. En tout cas, bref. Du coup, TikTok, il vous envoie beaucoup de trucs. Et moi, j'ai vĂ©cu au QuĂ©bec pendant sept ans. Et j'ai regardĂ©, donc, au QuĂ©bec en ce moment, il y a des agences qui proposent aux femmes de se faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, type Colombie, Tunisie, peu importe. Moi, j'habite au Mexique, donc je me fais opĂ©rer lĂ  oĂč j'habite. Je n'ai pas besoin de faire un voyage pour aller me faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, surtout que la rĂ©ussite d'une opĂ©ration, c'est 50% l'opĂ©ration, mĂȘme 40% l'opĂ©ration et 50 Ă  60% les soins post-opĂ©ratoires. Donc, quand tu te fais opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, tu ne bĂ©nĂ©ficies pas des soins post-opĂ©ratoires. Tu es obligĂ© de les faire sur ton pays de rĂ©sidence. Et en plus... tu reprends l'avion alors qu'il y a des risques de difficultĂ©s. La chirurgie comporte toujours des risques. Et lĂ  en fait je vois des filles qui faisaient la promotion de ça. Ah mais c'est le rĂȘve, c'est super, c'est le rĂȘve, allez vous faire opĂ©rer Ă  tel endroit, c'est le rĂȘve. Ce n'est pas le rĂȘve, d'accord ? Et lĂ , en fait, je me dis, Ă  quel point, en fait, tu n'as pas fait ton travail sur toi-mĂȘme pour inciter les gens Ă  faire ce genre de choses, alors que de base, c'est une dĂ©marche personnelle. C'est une dĂ©marche personnelle. C'est-Ă -dire que tu le fais pour toi. À quel point les gens sont... prĂȘts Ă  faire de l'argent, parce que quand ils conseillent, ils amĂšnent des gens, ils ont donc une commission, ça se passe mĂȘme pour la chirurgie esthĂ©tique ici aux Etats-Unis. À quel point, en fait, voyez comme quoi le travail sur soi, ça doit rester personnel, dĂ©veloppement personnel. Donc, pourquoi je fais une parenthĂšse lĂ -dessus ? Parce que ça m'a choquĂ©e, j'ai Ă©tĂ© choquĂ©e parce que j'ai vu une fille que je connaissais. Faire cette promotion de chirurgie-lĂ , parce que je connais le profil de la fille, puis je sais que la fille, c'est quelqu'un qui cherche par tous les moyens Ă  faire de l'argent, alors qu'elle Ă©tait coiffeuse, qu'elle avait des salons, etc. Bref, qui aujourd'hui cherche par tous les moyens Ă  gagner plus d'argent et compagnie. Si tu veux gagner plus d'argent, concentre-toi sur ce que tu sais faire. DĂ©veloppe ce que tu sais faire. Mets en avant ce que tu sais faire. Va pas chercher par tous les moyens Ă  faire de la vente de maquillage par correspondance, de robots de cuisine, de machins, de trucs. Tout ça pour faire 3 francs, 6 sous. Et au final, passer pour une cloche. Si tu veux te dĂ©velopper, si tu veux faire de l'argent, si tu veux ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© Ă  ta juste valeur, perfectionne-toi dans ce que tu sais faire. Rien d'autre. rien d'autre c'est le plus important de se perfectionner dans ce qu'on sait faire d'accord c'est la base de la base je fais un petit parallĂšle lĂ  dessus parce que ça m'a tellement choquĂ© cette semaine oĂč je me suis dit Ă  quel moment en fait tu fais ce genre de choses que tu te permet de mettre la vie des gens en danger pour des questions d'argent donc si et je le redis encore Si le seul but dans la vie c'est de gagner plus d'argent, ça ne sera jamais une assez bonne raison. C'est pour ça que je me suis dit qu'Ă  un moment donnĂ©, si on ne fait pas le switch dans sa tĂȘte en se disant « Moi en fait, je suis coiffeuse, je suis une bonne coiffeuse, je maĂźtrise ce que je fais. » Je sais ce que j'ai envie de donner Ă  mes clients. Mais aujourd'hui, je suis rendue Ă  un autre niveau. Je suis rendue Ă  un niveau oĂč, en plus d'ĂȘtre une bonne coiffeuse, j'ai envie d'ĂȘtre une bonne chef d'entreprise. Et j'ai envie de faire du travail sur moi. J'en ai marre en fait de me faire bouffer par la nĂ©gativitĂ©. J'en ai marre de me faire bouffer par ce que je vois Ă  l'extĂ©rieur. Et j'ai envie de travailler sur moi. Et c'est en faisant ce travail-lĂ  que tu vas devenir plus puissante. Alors voilĂ . C'Ă©tait un retour, un retour sur le podcast. Je vous remercie de m'avoir Ă©coutĂ©e. J'espĂšre que ça vous aura plu. Je vais baser un peu plus sur un peu de tout. Mais voilĂ , les connasses qui veulent t'apprendre Ă  faire du business, j'en ai plus rien Ă  foutre. Les connards, en fait, qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter et qui pensent qu'en faisant... en critiquant le travail des autres, ça va faire monter le leurre, j'en ai plus rien Ă  foutre non plus. Tous ceux, en fait, qui vont croire que, parce que j'ai vu encore, dĂ©brancher son TPE, blablabla, bref, tout ça, j'en ai rien Ă  foutre, ferez bien ce que vous voulez, puis vous verrez bien les consĂ©quences de ce que ça apporte. En attendant, on est dans la derniĂšre ligne droite pour Cancun, on est le 6 septembre, dans deux mois, on y sera, donc...

  • Speaker #1

    Merci beaucoup de m'avoir suivie et on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

Chapters

  • Introduction et retour aprĂšs la pause estivale

    00:00

  • RĂ©flexions sur la restructuration de l'entreprise

    00:28

  • L'impact de l'opĂ©ration chirurgicale sur Julie

    00:56

  • Gestion des entreprises et importance du temps personnel

    02:10

  • DĂ©veloppement personnel et croyances limitantes

    06:08

  • Importance de la vision Ă  long terme pour les entrepreneurs

    09:47

  • Conclusion et remerciements

    14:06

  • ClĂŽture et perspective sur l'avenir

    31:29

Description

🚹 Retour fracassant du podcast 🚹
AprÚs une pause plus longue que prévue (vacances, restructuration, opération et surtout ras-le-bol du bruit inutile), je reviens avec un épisode sans filtre.
Je t’embarque dans les coulisses de mon Ă©tĂ© : entre cartons, attaques gratuites sur les rĂ©seaux, introspection, et surtout une vĂ©ritĂ© qui dĂ©range → ta rĂ©ussite ne dĂ©pend pas des impĂŽts, de l’État ou de ta voisine
 elle dĂ©pend de TOI.

Dans cet épisode, je te parle :
✹ De pourquoi j’ai tout mis sur pause pour mieux revenir.
✹ De la diffĂ©rence entre travailler dans ton business et travailler sur ton business.
✹ De la puissance du dĂ©veloppement personnel pour propulser ton salon.
✹ Et de pourquoi il est urgent de te dĂ©barrasser de la victimisation et de tes croyances pour avancer.

Un Ă©pisode cash, brut et 100% utile pour toutes celles qui veulent arrĂȘter de tourner en rond et enfin avancer.

🎧 Clique, Ă©coute, et prĂ©pare-toi Ă  remettre les pendules Ă  l’heure.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    ne me cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du dĂ©cor des salons de coiffure prĂ©sentĂ© par Julie Veyron hello hello tout le monde j'espĂšre que vous allez bien comme c'est le retenu aujourd'hui du podcast aprĂšs une longue pause je pensais redĂ©marrer plus tĂŽt et finalement je me suis laissĂ© plus de temps j'avais vraiment besoin en fait de faire une coupure pendant cet Ă©tĂ©. Comme beaucoup d'entre vous qui prenez des vacances, etc., j'avais vraiment besoin de faire une coupure pour savoir exactement les sujets que j'avais envie de traiter, pour essayer de regarder un petit peu ce que je voulais faire, ce que je voulais mettre en place. Restructurer mon entreprise aussi, prendre des vacances, c'est aussi pour la restructuration de l'entreprise, parce que pour moi, je ne fais pas ce mĂ©tier en fait pour vĂ©gĂ©ter. Je suis coach en dĂ©veloppement des entreprises de la coiffure. Et en mĂȘme temps, j'avais vraiment envie de proposer des choses qui soient percutantes, qui soient innovantes. Et j'ai rĂ©flĂ©chi Ă  tout ça pendant cette pĂ©riode de coupure de podcast. Je me suis fait opĂ©rer aussi. Ça a Ă©tĂ© ça aussi, la coupure un peu plus longue. Parce que je me suis opĂ©rĂ©e la semaine derniĂšre, ça va faire une semaine. Mais du coup, pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte avec vous, ça a Ă©tĂ© une opĂ©ration qui Ă©tait prĂ©vue. Mais qui m'a stressĂ©e sa mĂšre. Ça m'a stressĂ©e sa mĂšre. Et moi, en fait, je ne m'Ă©tais pas du tout prĂ©parĂ©e aux suites post-opĂ©ratoires et compagnie. Parce que pour moi, en fait... L'anesthĂ©sie me tuait. J'Ă©tais vraiment dans un Ă©tat d'esprit lĂ  oĂč je ne me suis pas fait opĂ©rer souvent dans ma vie en fait. Et la derniĂšre fois oĂč j'ai vu quelqu'un se faire opĂ©rer, malheureusement, ça n'a pas bien Ă©tĂ©. Donc du coup, je suis restĂ©e un peu sur cette vibe-lĂ  en fait. Et du coup, je me suis prĂ©parĂ©e pendant un mois psychologiquement Ă  cet Ă©vĂ©nement. d'opĂ©ration et du coup j'ai laissĂ© aller le podcast, j'ai tout laissĂ© aller. Par contre je ne me suis pas dĂ©gonflĂ©e en fait. Je ne me suis pas du tout dĂ©gonflĂ©e, je me suis dit bon mais tant pis, fuck, j'y vais quoi. Donc ça a Ă©tĂ© ça, ça a Ă©tĂ© un peu ça. Pendant l'Ă©tĂ© j'ai lĂąchĂ© complĂštement. J'ai instaurĂ© aussi des nouvelles rĂšgles et tout ça pour les rĂ©seaux sociaux. pour la prise de messages, pour les rĂ©ponses aussi, parce que je me suis dit, j'adore ce que je fais, mais il faut savoir qu'en fait, je suis une seule personne Ă  gĂ©rer la construction du salon, Ă  gĂ©rer Cancun, Ă  gĂ©rer ma mĂ©thode. Donc tout ça, en fait, c'est trois entreprises-lĂ . demande Ă©normĂ©ment de temps. En fait, une entreprise demande 100% du temps Ă  une personne. Moi, j'en ai trois. J'ai trois entreprises. Heureusement, je suis accompagnĂ©e pour Cancun. Je suis trĂšs, trĂšs bien accompagnĂ©e, bien heureusement. Je travaille avec des personnes incroyables qui gĂšrent, donc, Myriam, Sandrine, Nadege, qui gĂšrent avec moi. Heureusement, je serais tentĂ©e de vous dire, parce que sinon, ça serait un calvaire, je vous assure. Cette annĂ©e, ça a Ă©tĂ© encore plus gros que l'annĂ©e derniĂšre en termes de gestion. J'ai hĂąte de voir mon bureau se vider. J'ai des cartons partout. VoilĂ , si je devais les compter, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12. 12 d'un cĂŽtĂ©, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 12 de l'autre. J'ai 24 cartons dans mon bureau. j'ai un bureau qui doit faire plus ou moins 8 mĂštres carrĂ©s peut-ĂȘtre Ă  peu prĂšs ce qui est pas beaucoup en dedans enfin Ă  l'intĂ©rieur tu comptes qu'il ya un bureau c'est une planche c'est un arbre et de l'autre cĂŽtĂ© tu t'as mon buffet avec mon imprimante et tout mais tout ça pour dire que en fait c'est quand on moi en fait ça a Ă©tĂ© tellement aussi l'attaque avant la avant les vacances il ya eu tellement d'attaques sur les rĂ©seaux entre une meuf qui se croit, qui fait du business alors qu'elle m'avait appelĂ© la veille pour me demander de redresser son salon, un autre qui fait des podcasts pour tuer la... pour tuer le milieu de la formation et pour se faire monter, tout ça. Bref, tout ça a Ă©tĂ© extrĂȘmement violent, je trouve. Et donc, j'ai dĂ©cidĂ© de faire une pause pour me recentrer sur l'essentiel, c'est-Ă -dire moi. Moi et uniquement moi. Parce qu'Ă  un moment donnĂ©, le bourdonnage, ça suffit, c'est assez. Donc j'ai fait cette longue pause. Aujourd'hui, on est le 6 septembre, c'est un samedi. Je vais organiser aussi pour tourner le podcast dans la semaine pour avoir des vrais week-ends, pour avoir du vrai temps de qualitĂ© parce qu'en fait cette annĂ©e, moi j'habite au bord de la mer des CaraĂŻbes, d'accord ? Je pense que si je l'ai vu 5 fois dans l'annĂ©e, 10 fois, grand max, c'est le maximum. VoilĂ , c'est le maximum depuis le mois de janvier. Je pense que j'ai dĂ» voir la mer 10 fois maximum. Ce qui n'est pas beaucoup quand tu habites Ă ... Ă  10 km de la plus belle mer du monde, que tu puisses l'avoir que 10 fois, c'est pas ouf. Donc tout ça pour dire que je travaille, je suis quelqu'un qui travaille Ă©normĂ©ment, qui met beaucoup de cƓur dans ce qu'elle entreprend, qui a des projets Ă  la seconde, mais qui a dĂ©cidĂ© de faire une pause immense. En tout cas, c'est immense pour moi. Un mois, je pense, ça fait un mois. Un peu plus d'un mois. oĂč je me suis dit, en fait, j'ai pas grand-chose Ă  raconter, il se passera pas grand-chose, tout le monde sera au bord de la mer, il y a 52 Ă©pisodes dĂ©jĂ  qui sont enregistrĂ©s, on va faire un best-of, on va faire un best-of, et on va rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va faire. Donc voilĂ , j'ai pas plus grand-chose Ă  raconter aujourd'hui, puisque c'est le dĂ©but, c'est le dĂ©marrage. J'ai dĂ©cidĂ© de tourner aujourd'hui, parce que sinon je l'aurais pas fait, encore. J'aurais repoussĂ© ça, parce que la mĂ©thode Lyon aujourd'hui c'est 80 personnes, ce qui est beaucoup pour une seule personne. Donc lĂ  aussi, j'ai dĂ©cidĂ© de restructurer mon entreprise, c'est-Ă -dire d'embaucher des gens qui vont travailler avec moi, de collaborer avec des gens qui vont travailler avec moi et qui vont m'apporter leur savoir et qui vont faire que l'entreprise va se dĂ©velopper avec des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes. Pour moi, c'est essentiel. J'ai aussi dĂ©cidĂ©... de diversifier et de mettre des paliers aussi par rapport Ă  tout ça, ce qui va me permettre rĂ©ellement d'apporter encore plus de qualitĂ©, encore plus de savoir, ce qui va me permettre d'avoir un potentiel de crĂ©ation encore plus Ă©levĂ©, parce qu'en fait, ce qu'il faut savoir, c'est que quand on est dĂ©bordĂ©, le potentiel de crĂ©ation, il n'existe plus. En tout cas, pas au sens du terme auquel on s'attend. Donc j'ai dĂ©cidĂ© de réévaluer mon potentiel de crĂ©ation pour pouvoir apporter des nouvelles choses. Ça c'est trĂšs important aussi mĂȘme dans vos salons, c'est essentiel en fait. Si vous ĂȘtes hyper dĂ©bordĂ©, que vous ne mettez pas vos prix Ă  votre juste valeur, etc. Et qu'Ă  un moment donnĂ© vous avez beaucoup de clients et que vous ĂȘtes overbookĂ© du matin au soir, votre potentiel de crĂ©ation est rĂ©duit en fait. votre possibilitĂ© de mettre des nouvelles choses en place pour vos clients est extrĂȘmement rĂ©duit. Donc malheureusement, ça vous empĂȘche aprĂšs de vous dĂ©velopper. Quand on travaille dans son entreprise, c'est bien parce qu'on donne son 100% pour ses clients et c'est merveilleux. Mais quand on travaille sur son entreprise, on donne son 100% Ă  son entreprise. Et quand on donne son 100% Ă  son entreprise, On donne son 100% Ă  ses clients forcĂ©ment, parce qu'on pense Ă  des choses, on a des idĂ©es, on a envie de mettre des choses en place pour leur rĂ©ussite. Et c'est ce que je suis en train de faire aujourd'hui. Il est clair que je ne travaillerai pas dans le salon. Ça c'est 100% clair et net. Je ne coifferai plus, je ne dis pas plus jamais, mais en tout cas, je ne coifferai plus. Ça c'est sĂ»r. Je ferai de la gestion, du management, du dĂ©veloppement, comme je sais le faire. Dans la mĂ©thode, je vais en fait me faire accompagner de gens qui ont des spĂ©cialitĂ©s diffĂ©rentes et qui vont amener une vision diffĂ©rente et qui vont propulser encore plus, encore plus les gens qui travaillent avec moi. Aujourd'hui, le milieu de la coiffure... a besoin de se renouveler. Pas seulement, Ă  mon avis, en connaissant ces chiffres, etc. J'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment Ă  essayer d'enseigner... mes principes de calcul Ă  mes clients, Ă  mes collaborateurs. Et je me rends compte qu'il n'y a pas que ça pour faire exploser un business. Si ta vision est courte, malheureusement, tu ne peux pas voir sur du long terme, donc tu ne te vois pas Ă©voluer. Si ta vision de l'argent est biaisĂ©e, c'est-Ă -dire que... tu as une vision de l'argent oĂč tu ne te vois pas en gagner, tu ne te vois pas accĂ©der Ă  un niveau de vie supĂ©rieur, oĂč tu ne te vois pas te faire plaisir, oĂč ce n'est que contrainte, oĂč tu vois que les riches c'est des connards, que tout le monde profite des autres, tout ça c'est des mĂ©canismes que... j'ai moi-mĂȘme dĂ©construit et qui m'ont aidĂ© Ă  me dĂ©velopper. Je ne travaille pas pour l'argent, mais je ne travaille pas pour la douleur non plus. Et en fait, aujourd'hui, et ce n'est pas que la coiffure, c'est dans beaucoup de domaines, mais le dĂ©veloppement personnel pour moi est la clĂ© de la rĂ©ussite. Si vous restez lĂ  oĂč vous ĂȘtes, en vous disant que c'est impossible. en vous disant que vous ne pouvez pas, en vous disant que c'est inaccessible, malheureusement, vous n'y accĂ©derez pas. Ce n'est pas de la magie. Je ne crois pas Ă  la magie. Enfin, oui et non. D'accord ? Mais en tout cas, je ne crois pas qu'en tendant les mains, on puisse avoir accĂšs Ă  un niveau de vie supĂ©rieur. Je crois que ça demande du travail. Je crois que ça demande de la persĂ©vĂ©rance. Je crois que ça demande de la technique. Je crois que ça demande de la volontĂ©. Je crois que ça demande de la dĂ©construction. Et aujourd'hui, en fait, encore plus qu'hier, j'ai envie de dĂ©velopper les femmes entrepreneurs. J'ai envie d'amener mon savoir par rapport Ă  tout ça. J'ai envie de crĂ©er un univers. pour les entrepreneurs. Pour moi, en fait, je trouve qu'on est laissĂ© Ă  notre propre sort. Je trouve qu'on est lĂ  Ă  se demander qui, que va penser un tel ou que va penser un tel. Mais on ne se demande jamais, en fait, ce que nous-mĂȘmes, on pense de nous-mĂȘmes. Et surtout, on ne se demande jamais que... ben moi en fait j'ai aucune limite je me suis rendu compte que j'ai fait une introspection j'ai essayĂ© de voir et de comprendre pourquoi moi en fait je pouvais rĂ©ussir et quand j'explique 50 fois la mĂȘme chose Ă  quelqu'un ça marche pas parce qu'il ya des fois il ya ça aussi t'as beau vouloir l'enseigner t'as beau vouloir le donner et t'as des gens en face de toi qui ne sont pas rĂ©ceptifs ou qui ont des croyances tellement immense un manque de confiance tellement important que tu te dis, c'est pas possible, ça rentre pas ou quoi ? Mais c'est pas que ça rentre pas, c'est que ça vient de l'Ă©ducation, ça vient des croyances, ça vient de la volontĂ©, ça vient en fait des schĂ©mas qu'on a construits jusqu'Ă  aujourd'hui qui font que malheureusement, on n'est pas tous Ă©gaux face Ă  la rĂ©ussite. Et j'ai beau le vouloir, parce que moi je le veux pour tout le monde, c'est pas... j'ai pas la... j'ai pas... Excusez-moi, j'ai pas la rĂ©ussite sĂ©lective. Moi, pour moi, j'ai l'impression que tout le monde peut rĂ©ussir. Et en fait, il faut se dĂ©construire pour se reconstruire, pour rĂ©ussir. C'est ce que je me suis rendu compte. Si t'es tout le temps en train de te plaindre, si t'es tout le temps en train de te victimiser, si t'es tout le temps en train de croire qu'un tel rĂ©ussit mieux que toi, ou qu'un tel a une meilleure vie que toi, construis ta victimisation, tu construis ton avenir en fait oĂč tu te dis mais moi je peux pas, moi j'y arriverai pas. En fait la rĂ©ussite pour de vrai et puis c'est ce que j'ai compris c'est de l'Ă©goĂŻsme Ă  proprement parler c'est de l'Ă©goĂŻsme c'est Ă  dire que tu dois t'enfermer Ă  l'intĂ©rieur de toi mĂȘme pour te propulser toi mĂȘme. Si tu le fais pas, si tu le dĂ©veloppe pas de cette façon tu vas toujours ĂȘtre dĂ©stabilisĂ© par les autres. Il y a un truc qui m'a interpellĂ©e pendant ces vacances. J'ai lu un livre qui s'appelle... J'ai commencĂ©, pardon, Ă  lire un livre. J'ai lu plusieurs livres, en fait. J'ai lu trois livres en deux semaines, ce qui est beaucoup, vous me direz. Mais en mĂȘme temps, j'en avais besoin. Et en mĂȘme temps, j'avais pas le temps de le faire pendant que j'Ă©tais en activitĂ©. Et en plus, j'ai commencĂ© le... Ça fait deux mois que j'ai commencĂ© le sport, et lĂ , Ă©videmment, je suis en arrĂȘt comme une grosse conne. Pardon, ça me fait chier, bordel. Je faisais, pendant l'Ă©tĂ©, je faisais six kilomĂštres par jour. par jour pardon, je faisais 6 km par semaine et 4 km par jour d'accord donc je vous laisse additionner combien ça fait. En mĂȘme temps je faisais quatre heures de pilates rĂ©formeurs par semaine donc je vous explique que c'est voilĂ  lĂ  ça fait une semaine que je me suis fait opĂ©rer, une semaine que j'ai pas Ă©tĂ© au sport je pense que mon prof de sport il doit se dire mais elle est oĂč voilĂ  j'Ă©tais trop fiĂšre de moi trop bien trop de beaux rĂ©sultats et tout. Et lĂ , ben voilĂ . Donc quand je pourrai reprendre, je reprendrai. Je me suis fait des livres. Premier livre, KilomĂštre ZĂ©ro, Impact Total. OĂč tu te dis, bordel de merde, en fait, on est tellement impactĂ© par l'extĂ©rieur qu'on oublie de vivre Ă  l'intĂ©rieur. J'ai... tellement Ă©tĂ© impactĂ© par ce livre que ça m'a donnĂ© une prise de conscience oĂč tu te dis c'est vrai qu'en fait on roule on roule en fait et on court vite mais souvent on est sur un tapis roulant c'est Ă  dire qu'on n'avance pas vraiment on court tellement vite pour aller nulle part qu'on ne voit pas qu'on va nulle part et les principes de se dire de lĂącher prise. Si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de gueuler, si t'as quelqu'un en face de toi qui a envie de s'Ă©nerver, si t'as quelqu'un en face de toi qui est frustrĂ©, ben fuck, j'en ai rien Ă  foutre. Parce que la personne la plus importante de mon histoire, c'est moi. Et toutes les croyances qu'on se construit, ben, les scĂ©narios qu'on se fait, sont des inventions... principalement de notre cerveau et de notre tĂȘte. On ne devrait jamais commencer une phrase par « j'imagine que » ou « je pense que » ou « je ressens que » parce que c'est faux. On ne s'attache jamais au fait. On monte une histoire dans notre tĂȘte et on devient prisonnier de cette histoire. Ce qui fait qu'on se paralyse de cette histoire que notre cerveau a créée de toute piĂšce. Et donc, on s'empĂȘche de rĂ©ussir, on s'empĂȘche d'aller de l'avant, on s'empĂȘche de croire en nous. Et ça me touche en fait de le dire parce que ce livre a eu tellement d'impact sur moi, vraiment, oĂč je me suis dit, moi j'ai la chance en fait de rĂ©ussir parce que j'ai travaillĂ© Ă©normĂ©ment sur moi-mĂȘme et qu'aujourd'hui quand je cours, je cours un marathon, c'est-Ă -dire que je vais quelque part, point de dĂ©part, ligne d'arrivĂ©e. Mais il y a eu tellement de moments oĂč je me suis dit, mais lui, il a tellement plus que moi. Ou elle, elle est tellement plus chanceuse que moi. Ou lui, on lui fait tellement plus de propositions que moi, alors qu'en fait, il n'est pas si bien que ça. Alors que je suis responsable. Je suis responsable. Je n'ai pas besoin de rester figĂ©e sur un problĂšme pendant 600 000 ans, en fait. oĂč j'ai pas besoin de rester figĂ©e parce que quelqu'un m'a fait un fuck et du coup j'ai besoin en fait d'avancer pour moi, seulement moi les autres, je m'en carre le cul voilĂ , et donc j'ai lu la suite j'ai lu ah merde j'ai un trou de mĂ©moire sur le titre mais c'est la suite, c'est ah flĂ»te, faut que je le retrouve En tout cas, j'ai lu la suite, je vais essayer de vous le retrouver en mĂȘme temps que je vous parle. J'ai Ă©tĂ©, ça, j'ai chialĂ© tout le long de ce livre. MĂȘme Ă  y penser, Ă  en parler, ça me touche encore. On est avec des blessures, d'accord ? On est avec des blessures et ces blessures, elles vont venir... Attendez, je vous cherche le titre. Respire, c'est ça. Chilu respire. Alors kilomĂštre zĂ©ro et respire, c'est de mode Ankawa, d'accord ? Et j'ai lu Respire et en fait, je me suis rendue compte, enfin moi je le savais dĂ©jĂ  et je vous incite Ă  aller investiguer sur vos blessures. Moi c'est la blessure de l'abandon, ça a toujours Ă©tĂ© ça. J'ai toujours eu peur qu'on m'abandonne, j'ai toujours eu peur qu'on me laisse tomber. J'ai toujours eu peur qu'on me dise que ce n'est pas assez bien, que je ne fais pas assez. En tout cas, j'ai investiguĂ© beaucoup lĂ -dessus et je sais que ça vient quand mĂȘme beaucoup de ma relation que j'avais avec mon pĂšre. Et vraiment, dans ce livre-lĂ , j'ai vraiment eu l'impression que c'est mon pĂšre qui me parlait. RĂ©ellement, en fait. limite qu'il s'excusait du comportement qu'il avait eu avec moi. Vraiment, ça a Ă©tĂ© vraiment quelque chose d'extrĂȘmement percutant. Et je vous incite vraiment Ă , ce ne sont pas ces livres-lĂ , mais au moins Ă  lire, Ă  vous. Ă  vous Ă©duquer lĂ  dessus, Ă  faire en sorte en fait que vous ayez rĂ©ellement une autre vision de l'extĂ©rieur. Souvent on se documente avec les rĂ©seaux sociaux, on se documente avec ce qu'on voit passer comme informations mais on ne vient jamais, en fait on est toujours tous les jours nourris de poubelles, de nĂ©gatifs. LĂ , par exemple, cet Ă©tĂ©, il y a eu des rĂ©formes du gouvernement qui ont voulu... Il y a eu des rĂ©formes du gouvernement, pardon. Et donc, qu'est-ce que ça dit ? Ça dit qu'on vous colle comme ça en plein Ă©tĂ©. Des rĂ©formes comme quoi, on va vous supprimer un jour fĂ©riĂ©, on va faire ceci ou cela. Qu'est-ce que ça vient crĂ©er chez vous ? Ça vient crĂ©er de l'anxiĂ©tĂ©, de la peur, du stress. Quand on n'est pas Ă©duquĂ© au dĂ©veloppement personnel, quand on n'est pas Ă©duquĂ© au fait qu'en tant qu'entrepreneur, ce genre de rĂ©formes, ça ne nous intĂ©resse pas de le savoir. Tu veux supprimer trois jours fĂ©riĂ©s ? Fine, super. Ok, trĂšs bien. tu veux faire des restrictions budgĂ©taires, commence par driver l'État comme si c'Ă©tait une entreprise espĂšce de conno. Parce que, en fait, c'est rĂ©ellement l'État dans lequel la sociĂ©tĂ© veut que vous vous mettiez. Et donc, quand vous ĂȘtes dans cet État-lĂ , vous ne pouvez pas gĂ©rer votre entreprise correctement. Vous ne pouvez pas crĂ©er de la richesse dans votre entreprise. Parce que la richesse Ă  l'extĂ©rieur, vous ne la voyez pas. Vous ne la voyez pas. Vous la voyez minime. Vous voyez le nĂ©gatif. Vous voyez ce qui ne va pas. Et donc, du coup, vous ĂȘtes happĂ© par tout ça. Et je suis sĂ»re que dans les salons, ça doit en parler. Et blablabla, et tatata, et l'Ă©tat, et la nana, et les impĂŽts, et papapa, tĂ©tĂ©tet. Et en fait... Vu que vous vous projetez sur l'extĂ©rieur, vous avez du mal Ă  ressentir Ă  l'intĂ©rieur. Et je vous assure, j'ai eu beau le tourner dans tous les sens, j'ai eu beau faire, refaire, refaire, refaire le schĂ©ma dans ma tĂȘte, la personne qui va vous donner la rĂ©ussite, c'est vous-mĂȘme. C'est vous-mĂȘme. Et c'est donc ce que je vais faire cette annĂ©e. LĂ , maintenant, ça va partir dans ce sens-lĂ . C'est vraiment, en fait, en plus de vous donner les clĂ©s d'un business, c'est-Ă -dire les chiffres, etc., je veux vraiment que vous ayez conscience que, et j'en reçois des gens qui sont dans une agressivitĂ© incroyable, qui sont toujours dans la victimisation. qui se disent que c'est l'extĂ©rieur, c'est les impĂŽts, c'est ceci, c'est cela. il n'y a pas que ça Il n'y a pas que ça. Il y a votre ressenti intĂ©rieur, il y a votre vibration aussi. Il y a tout ce que vous projetez. Il y a votre parole. Il y a les mots, il y a les scĂ©narios que vous vous faites dans la tĂȘte. Il y a les blessures que vous avez aussi Ă  l'intĂ©rieur de vous depuis que vous ĂȘtes petit ou petite. Il y a les douleurs, les doutes, les croyances que vous vous ĂȘtes forgĂ©es avec le temps et qui vous empĂȘchent de rĂ©ussir. LĂ , j'ai Ă©tĂ© sur TikTok. Et en fait, j'ai vu un truc qui m'a un petit peu dĂ©passĂ©e. Il faut savoir que l'opĂ©ration que j'ai subie, puis je n'ai pas honte de le dire, c'est que je me suis fait recoudre les abdos parce que j'avais les abdos avec trois enfants qui ont Ă©tĂ© distendus, ce qui faisait que ça avait une consĂ©quence sur ma digestion, sur... mon apparence et sur mon incontinence. D'accord ? Donc, c'est pas ouf Ă  40 ans. Donc, j'ai dĂ©cidĂ© de me faire opĂ©rer. D'accord ? C'est assimilĂ© Ă  de la chirurgie esthĂ©tique. D'accord ? Mais, c'est surtout de la chirurgie rĂ©paratrice. Mais, tu te fais opĂ©rer par un chirurgien esthĂ©tique. D'accord ? Et lĂ , donc, du coup, j'ai cherchĂ© des infos, j'ai cherchĂ© comment ça se passait, j'ai regardĂ© comment ça allait. J'ai regardĂ© quelles Ă©taient les consĂ©quences. En tout cas, bref. Du coup, TikTok, il vous envoie beaucoup de trucs. Et moi, j'ai vĂ©cu au QuĂ©bec pendant sept ans. Et j'ai regardĂ©, donc, au QuĂ©bec en ce moment, il y a des agences qui proposent aux femmes de se faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, type Colombie, Tunisie, peu importe. Moi, j'habite au Mexique, donc je me fais opĂ©rer lĂ  oĂč j'habite. Je n'ai pas besoin de faire un voyage pour aller me faire opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, surtout que la rĂ©ussite d'une opĂ©ration, c'est 50% l'opĂ©ration, mĂȘme 40% l'opĂ©ration et 50 Ă  60% les soins post-opĂ©ratoires. Donc, quand tu te fais opĂ©rer Ă  l'Ă©tranger, tu ne bĂ©nĂ©ficies pas des soins post-opĂ©ratoires. Tu es obligĂ© de les faire sur ton pays de rĂ©sidence. Et en plus... tu reprends l'avion alors qu'il y a des risques de difficultĂ©s. La chirurgie comporte toujours des risques. Et lĂ  en fait je vois des filles qui faisaient la promotion de ça. Ah mais c'est le rĂȘve, c'est super, c'est le rĂȘve, allez vous faire opĂ©rer Ă  tel endroit, c'est le rĂȘve. Ce n'est pas le rĂȘve, d'accord ? Et lĂ , en fait, je me dis, Ă  quel point, en fait, tu n'as pas fait ton travail sur toi-mĂȘme pour inciter les gens Ă  faire ce genre de choses, alors que de base, c'est une dĂ©marche personnelle. C'est une dĂ©marche personnelle. C'est-Ă -dire que tu le fais pour toi. À quel point les gens sont... prĂȘts Ă  faire de l'argent, parce que quand ils conseillent, ils amĂšnent des gens, ils ont donc une commission, ça se passe mĂȘme pour la chirurgie esthĂ©tique ici aux Etats-Unis. À quel point, en fait, voyez comme quoi le travail sur soi, ça doit rester personnel, dĂ©veloppement personnel. Donc, pourquoi je fais une parenthĂšse lĂ -dessus ? Parce que ça m'a choquĂ©e, j'ai Ă©tĂ© choquĂ©e parce que j'ai vu une fille que je connaissais. Faire cette promotion de chirurgie-lĂ , parce que je connais le profil de la fille, puis je sais que la fille, c'est quelqu'un qui cherche par tous les moyens Ă  faire de l'argent, alors qu'elle Ă©tait coiffeuse, qu'elle avait des salons, etc. Bref, qui aujourd'hui cherche par tous les moyens Ă  gagner plus d'argent et compagnie. Si tu veux gagner plus d'argent, concentre-toi sur ce que tu sais faire. DĂ©veloppe ce que tu sais faire. Mets en avant ce que tu sais faire. Va pas chercher par tous les moyens Ă  faire de la vente de maquillage par correspondance, de robots de cuisine, de machins, de trucs. Tout ça pour faire 3 francs, 6 sous. Et au final, passer pour une cloche. Si tu veux te dĂ©velopper, si tu veux faire de l'argent, si tu veux ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© Ă  ta juste valeur, perfectionne-toi dans ce que tu sais faire. Rien d'autre. rien d'autre c'est le plus important de se perfectionner dans ce qu'on sait faire d'accord c'est la base de la base je fais un petit parallĂšle lĂ  dessus parce que ça m'a tellement choquĂ© cette semaine oĂč je me suis dit Ă  quel moment en fait tu fais ce genre de choses que tu te permet de mettre la vie des gens en danger pour des questions d'argent donc si et je le redis encore Si le seul but dans la vie c'est de gagner plus d'argent, ça ne sera jamais une assez bonne raison. C'est pour ça que je me suis dit qu'Ă  un moment donnĂ©, si on ne fait pas le switch dans sa tĂȘte en se disant « Moi en fait, je suis coiffeuse, je suis une bonne coiffeuse, je maĂźtrise ce que je fais. » Je sais ce que j'ai envie de donner Ă  mes clients. Mais aujourd'hui, je suis rendue Ă  un autre niveau. Je suis rendue Ă  un niveau oĂč, en plus d'ĂȘtre une bonne coiffeuse, j'ai envie d'ĂȘtre une bonne chef d'entreprise. Et j'ai envie de faire du travail sur moi. J'en ai marre en fait de me faire bouffer par la nĂ©gativitĂ©. J'en ai marre de me faire bouffer par ce que je vois Ă  l'extĂ©rieur. Et j'ai envie de travailler sur moi. Et c'est en faisant ce travail-lĂ  que tu vas devenir plus puissante. Alors voilĂ . C'Ă©tait un retour, un retour sur le podcast. Je vous remercie de m'avoir Ă©coutĂ©e. J'espĂšre que ça vous aura plu. Je vais baser un peu plus sur un peu de tout. Mais voilĂ , les connasses qui veulent t'apprendre Ă  faire du business, j'en ai plus rien Ă  foutre. Les connards, en fait, qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter et qui pensent qu'en faisant... en critiquant le travail des autres, ça va faire monter le leurre, j'en ai plus rien Ă  foutre non plus. Tous ceux, en fait, qui vont croire que, parce que j'ai vu encore, dĂ©brancher son TPE, blablabla, bref, tout ça, j'en ai rien Ă  foutre, ferez bien ce que vous voulez, puis vous verrez bien les consĂ©quences de ce que ça apporte. En attendant, on est dans la derniĂšre ligne droite pour Cancun, on est le 6 septembre, dans deux mois, on y sera, donc...

  • Speaker #1

    Merci beaucoup de m'avoir suivie et on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

Chapters

  • Introduction et retour aprĂšs la pause estivale

    00:00

  • RĂ©flexions sur la restructuration de l'entreprise

    00:28

  • L'impact de l'opĂ©ration chirurgicale sur Julie

    00:56

  • Gestion des entreprises et importance du temps personnel

    02:10

  • DĂ©veloppement personnel et croyances limitantes

    06:08

  • Importance de la vision Ă  long terme pour les entrepreneurs

    09:47

  • Conclusion et remerciements

    14:06

  • ClĂŽture et perspective sur l'avenir

    31:29

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