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Olivier Irion

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09min |08/03/2025
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Description

On passe notre vie Ă  vouloir se rĂ©parer, Ă  guĂ©rir nos blessures, Ă  transformer notre souffrance
 Mais et si rien n’avait besoin d’ĂȘtre changĂ© ? Et si tout ce que nous essayons de fuir avait dĂ©jĂ  sa place, naturellement, dans cet espace intĂ©rieur oĂč tout peut ĂȘtre accueilli ?


Dans ce podcast, je t’invite Ă  dĂ©couvrir une vĂ©ritĂ© libĂ©ratrice : tu es dĂ©jĂ  entier. Il n’y a rien Ă  purifier, rien Ă  enlever, rien Ă  corriger. Le silence en toi embrasse tout, sans rĂ©sistance. Il n’a jamais Ă©tĂ© blessĂ©, il n’a jamais Ă©tĂ© troublĂ©. Repose-toi en lui, et vois que tout est dĂ©jĂ  accompli.


đŸ”„ Es-tu prĂȘt Ă  arrĂȘter de lutter et Ă  simplement ĂȘtre ? đŸ”„


Si tu souhaites rejoindre mon groupe Telegram oĂč je partage des informations de bien-ĂȘtre tous les jours, clique sur le lien ci-dessous :


🔗 https://t.me/irionolivier


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il n'y a rien Ă  guĂ©rir. C'est tellement important Ă  comprendre. Nous les ĂȘtres humains, on croit qu'on est brisĂ©s, mais il n'y a rien Ă  guĂ©rir. Écoute bien. On me dit souvent, mais Olivier, je dois guĂ©rir mes blessures. Je dois transformer mes souffrances. Je dois me libĂ©rer de mon passĂ©. Mais la question que je te pose, c'est qui est-ce qui a besoin de guĂ©rir ? Qui a besoin de guĂ©rir en toi ? Est-ce que c'est ce moi Ă  l'intĂ©rieur qui s'est construit depuis ta naissance ? Souviens-toi un petit peu. Tu es nĂ© et tu n'avais pas encore de nom et de prĂ©nom. Tu ne savais mĂȘme pas que tu avais des parents. Et tout d'un coup, les informations se sont empilĂ©es les unes sur les autres. Est-ce que ce n'est pas, en fin de compte, cet amas d'informations qui a besoin de guĂ©rir ? Toi, tu n'es que le berceau, le receptacle, la conscience, la prĂ©sence, le silence infini dans lequel tout cela se prĂ©sente. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, depuis toujours, j'ai cru que j'Ă©tais mon corps. mon mental mon histoire j'ai cru que j'Ă©tais les blessures que la vie m'a infligĂ© mais si je regarde bien qui est-ce qui souffre qui est-ce qui est touchĂ© par ces douleurs est-ce que c'est vraiment moi ou le personnage que j'ai pris pour ĂȘtre moi-mĂȘme Ça c'est une phrase que mon maĂźtre avait l'habitude de dire Ă  Manama Archi. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Donc le soi pour nous c'est la prĂ©sence, le silence intĂ©rieur. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Et Ă©coute bien ça, c'est le plus important. Il dit, ce qui naĂźt et meurt appartient au rĂȘve. Ce qui a un dĂ©but et une fin appartient Ă  l'illusion. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, j'ai cru que pour ĂȘtre libre, je devais enlever quelque chose en moi. Je devais rĂ©parer quelque chose. Que je devais purifier mon esprit, guĂ©rir mon passĂ©, transformer mes pensĂ©es. Mais dans cette quĂȘte, il y a toujours une idĂ©e qui est cachĂ©e derriĂšre. Maintenant et ici, je ne suis pas encore assez bien. Il manque quelque chose. Je dois changer. Mais est-ce qu'au final c'est vraiment vrai tout ça ? Quand je m'assois en silence et que je dis stop, sans chercher Ă  rĂ©parer quoi que ce soit, quelque chose devient Ă©vident. Tout a dĂ©jĂ  sa place. Tout a sa place. chaque pensĂ©e, chaque Ă©motion, chaque sensation elles surgissent et elles disparaissent en moi mais moi est-ce que je bouge ? non je ne bouge pas, je suis lĂ , immobile, toujours prĂ©sent et lorsque j'arrĂȘte de m'identifier Ă  toutes ces choses-lĂ  je me rends compte que je ne suis que la prĂ©sence dans lequel Toutes ces formes passent. Je ne suis que le ciel bleu dans lequel tous ces nuages passent. Mais le ciel ne se bat pas pour se faire de la place et pour qu'il n'y ait plus de nuages. Il s'en contrefout complĂštement. Moi, en tant que prĂ©sence, rien ne peut me troubler. Sauf si je m'identifie Ă  ce trouble. C'est une autre citation que Ramana nous enseigne. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Et ce qui est immuable, c'est ton silence. C'est toi. C'est juste toi en fait. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Cela inclut nos traumatismes et nos blessures. Si je ne m'identifie pas Ă  elle, et en fait quand je comprends ça, un immense soulagement s'installe en moi, parce que je n'ai plus rien Ă  faire, si ce n'est ĂȘtre exactement tel que je suis, maintenant et ici. J'ai plus besoin de me battre contre mes pensĂ©es, contre mes Ă©motions, contre mes souvenirs, contre ma vie. Je peux tout accueillir, sans rien rejeter. Qui est-ce qui souffre au final ? Ce n'est pas moi, c'est seulement l'idĂ©e que je me suis faite de moi-mĂȘme. Cette idĂ©e qu'il faudrait que je sois autrement, que je sois guĂ©ri, que je sois pur. Cette volontĂ© de guĂ©rir et d'aller mieux, cette dynamique-lĂ . C'est ça la tumeur en fait. Si j'arrĂȘte de vouloir aller mieux, alors ce mieux que je cherchais Ă  atteindre, il est dĂ©jĂ  accompli. La vĂ©ritĂ©, c'est que je suis dĂ©jĂ  parfait tel que je suis, maintenant et ici. LĂ  je te partage un verset de l'Ashtavakra Gita. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. Et ça tous les maĂźtres nous l'enseignent, les grands maĂźtres, les mystiques qui sont rĂ©alisĂ©s. Il suffit de voir pour savoir. Il suffit de voir. Il n'y a absolument plus rien Ă  fuir, rien Ă  rĂ©parer et rien Ă  gagner. Il n'y a que mon propre silence Ă  l'intĂ©rieur. Ce silence qui est vaste, qui est immense. Et qui laisse absolument tout ĂȘtre. Tout. Mes blessures, mes traumatismes, mes dĂ©sirs, mes manques, mon bonheur. Absolument tout. Mon silence, il est Ă  l'intĂ©rieur. Et moi, je suis ce silence. Ce que toi, tu cherches, c'est toi-mĂȘme. Tu ne peux pas chercher quelque chose que tu n'as pas dĂ©jĂ  maintenant. Et toi, tu es la destination de cette quĂȘte qui n'existe pas. C'est pour ça qu'Ă  un moment donnĂ©, je m'arrĂȘte et je me rends compte que je suis la destination. Maintenant, ici, tout peut exister en moi sans que rien ne me dĂ©finisse. La souffrance, en fait, n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e qu'elle ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e la lutte. Je te le rĂ©pĂšte, la souffrance n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e que cette souffrance ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e une souffrance en moi, qui crĂ©e cette lutte Ă  l'intĂ©rieur de moi-mĂȘme. Mais maintenant je peux choisir. Je peux choisir de ne plus lutter. Et je laisse tout ĂȘtre. Absolument tout. Et dans cet accueil, dans ce lĂącher prise, dans cette acceptation, absolument tout se dissout naturellement. Ça c'est un passage du Tao, du Tao Te Ching. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau, elle n'a aucune rĂ©sistance quand elle coule. Elle prend la direction qu'elle prend sans effort. Quand moi, je me rĂ©associe Ă  moi-mĂȘme, sans essayer de faire quoi que ce soit, je suis guidĂ© de la maniĂšre la plus parfaite qu'il soit. Alors maintenant, est-ce que je vais encore essayer de me guĂ©rir de quelque chose ? De me transformer ? Ou est-ce que simplement, je vais me reposer dans ce que je suis dĂ©jĂ  ? Et qu'est-ce que je suis dĂ©jĂ  ? Mais tout simplement moi-mĂȘme, tout simplement moi-mĂȘme, tel que je suis, maintenant et ici. Qui je suis maintenant et ici, tel que je le suis, sans essayer de me changer. Cela est parfait. La Bible nous l'enseigne, la Bible nous dit, je suis ce que je suis. Je suis ce je suis. Il n'y a rien d'autre Ă  savoir. Tout est dĂ©jĂ  parfait, tel que cela est maintenant. Je te remercie pour ton Ă©coute et je te dis Ă  trĂšs vite.

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On passe notre vie Ă  vouloir se rĂ©parer, Ă  guĂ©rir nos blessures, Ă  transformer notre souffrance
 Mais et si rien n’avait besoin d’ĂȘtre changĂ© ? Et si tout ce que nous essayons de fuir avait dĂ©jĂ  sa place, naturellement, dans cet espace intĂ©rieur oĂč tout peut ĂȘtre accueilli ?


Dans ce podcast, je t’invite Ă  dĂ©couvrir une vĂ©ritĂ© libĂ©ratrice : tu es dĂ©jĂ  entier. Il n’y a rien Ă  purifier, rien Ă  enlever, rien Ă  corriger. Le silence en toi embrasse tout, sans rĂ©sistance. Il n’a jamais Ă©tĂ© blessĂ©, il n’a jamais Ă©tĂ© troublĂ©. Repose-toi en lui, et vois que tout est dĂ©jĂ  accompli.


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    Il n'y a rien Ă  guĂ©rir. C'est tellement important Ă  comprendre. Nous les ĂȘtres humains, on croit qu'on est brisĂ©s, mais il n'y a rien Ă  guĂ©rir. Écoute bien. On me dit souvent, mais Olivier, je dois guĂ©rir mes blessures. Je dois transformer mes souffrances. Je dois me libĂ©rer de mon passĂ©. Mais la question que je te pose, c'est qui est-ce qui a besoin de guĂ©rir ? Qui a besoin de guĂ©rir en toi ? Est-ce que c'est ce moi Ă  l'intĂ©rieur qui s'est construit depuis ta naissance ? Souviens-toi un petit peu. Tu es nĂ© et tu n'avais pas encore de nom et de prĂ©nom. Tu ne savais mĂȘme pas que tu avais des parents. Et tout d'un coup, les informations se sont empilĂ©es les unes sur les autres. Est-ce que ce n'est pas, en fin de compte, cet amas d'informations qui a besoin de guĂ©rir ? Toi, tu n'es que le berceau, le receptacle, la conscience, la prĂ©sence, le silence infini dans lequel tout cela se prĂ©sente. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, depuis toujours, j'ai cru que j'Ă©tais mon corps. mon mental mon histoire j'ai cru que j'Ă©tais les blessures que la vie m'a infligĂ© mais si je regarde bien qui est-ce qui souffre qui est-ce qui est touchĂ© par ces douleurs est-ce que c'est vraiment moi ou le personnage que j'ai pris pour ĂȘtre moi-mĂȘme Ça c'est une phrase que mon maĂźtre avait l'habitude de dire Ă  Manama Archi. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Donc le soi pour nous c'est la prĂ©sence, le silence intĂ©rieur. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Et Ă©coute bien ça, c'est le plus important. Il dit, ce qui naĂźt et meurt appartient au rĂȘve. Ce qui a un dĂ©but et une fin appartient Ă  l'illusion. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, j'ai cru que pour ĂȘtre libre, je devais enlever quelque chose en moi. Je devais rĂ©parer quelque chose. Que je devais purifier mon esprit, guĂ©rir mon passĂ©, transformer mes pensĂ©es. Mais dans cette quĂȘte, il y a toujours une idĂ©e qui est cachĂ©e derriĂšre. Maintenant et ici, je ne suis pas encore assez bien. Il manque quelque chose. Je dois changer. Mais est-ce qu'au final c'est vraiment vrai tout ça ? Quand je m'assois en silence et que je dis stop, sans chercher Ă  rĂ©parer quoi que ce soit, quelque chose devient Ă©vident. Tout a dĂ©jĂ  sa place. Tout a sa place. chaque pensĂ©e, chaque Ă©motion, chaque sensation elles surgissent et elles disparaissent en moi mais moi est-ce que je bouge ? non je ne bouge pas, je suis lĂ , immobile, toujours prĂ©sent et lorsque j'arrĂȘte de m'identifier Ă  toutes ces choses-lĂ  je me rends compte que je ne suis que la prĂ©sence dans lequel Toutes ces formes passent. Je ne suis que le ciel bleu dans lequel tous ces nuages passent. Mais le ciel ne se bat pas pour se faire de la place et pour qu'il n'y ait plus de nuages. Il s'en contrefout complĂštement. Moi, en tant que prĂ©sence, rien ne peut me troubler. Sauf si je m'identifie Ă  ce trouble. C'est une autre citation que Ramana nous enseigne. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Et ce qui est immuable, c'est ton silence. C'est toi. C'est juste toi en fait. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Cela inclut nos traumatismes et nos blessures. Si je ne m'identifie pas Ă  elle, et en fait quand je comprends ça, un immense soulagement s'installe en moi, parce que je n'ai plus rien Ă  faire, si ce n'est ĂȘtre exactement tel que je suis, maintenant et ici. J'ai plus besoin de me battre contre mes pensĂ©es, contre mes Ă©motions, contre mes souvenirs, contre ma vie. Je peux tout accueillir, sans rien rejeter. Qui est-ce qui souffre au final ? Ce n'est pas moi, c'est seulement l'idĂ©e que je me suis faite de moi-mĂȘme. Cette idĂ©e qu'il faudrait que je sois autrement, que je sois guĂ©ri, que je sois pur. Cette volontĂ© de guĂ©rir et d'aller mieux, cette dynamique-lĂ . C'est ça la tumeur en fait. Si j'arrĂȘte de vouloir aller mieux, alors ce mieux que je cherchais Ă  atteindre, il est dĂ©jĂ  accompli. La vĂ©ritĂ©, c'est que je suis dĂ©jĂ  parfait tel que je suis, maintenant et ici. LĂ  je te partage un verset de l'Ashtavakra Gita. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. Et ça tous les maĂźtres nous l'enseignent, les grands maĂźtres, les mystiques qui sont rĂ©alisĂ©s. Il suffit de voir pour savoir. Il suffit de voir. Il n'y a absolument plus rien Ă  fuir, rien Ă  rĂ©parer et rien Ă  gagner. Il n'y a que mon propre silence Ă  l'intĂ©rieur. Ce silence qui est vaste, qui est immense. Et qui laisse absolument tout ĂȘtre. Tout. Mes blessures, mes traumatismes, mes dĂ©sirs, mes manques, mon bonheur. Absolument tout. Mon silence, il est Ă  l'intĂ©rieur. Et moi, je suis ce silence. Ce que toi, tu cherches, c'est toi-mĂȘme. Tu ne peux pas chercher quelque chose que tu n'as pas dĂ©jĂ  maintenant. Et toi, tu es la destination de cette quĂȘte qui n'existe pas. C'est pour ça qu'Ă  un moment donnĂ©, je m'arrĂȘte et je me rends compte que je suis la destination. Maintenant, ici, tout peut exister en moi sans que rien ne me dĂ©finisse. La souffrance, en fait, n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e qu'elle ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e la lutte. Je te le rĂ©pĂšte, la souffrance n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e que cette souffrance ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e une souffrance en moi, qui crĂ©e cette lutte Ă  l'intĂ©rieur de moi-mĂȘme. Mais maintenant je peux choisir. Je peux choisir de ne plus lutter. Et je laisse tout ĂȘtre. Absolument tout. Et dans cet accueil, dans ce lĂącher prise, dans cette acceptation, absolument tout se dissout naturellement. Ça c'est un passage du Tao, du Tao Te Ching. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau, elle n'a aucune rĂ©sistance quand elle coule. Elle prend la direction qu'elle prend sans effort. Quand moi, je me rĂ©associe Ă  moi-mĂȘme, sans essayer de faire quoi que ce soit, je suis guidĂ© de la maniĂšre la plus parfaite qu'il soit. Alors maintenant, est-ce que je vais encore essayer de me guĂ©rir de quelque chose ? De me transformer ? Ou est-ce que simplement, je vais me reposer dans ce que je suis dĂ©jĂ  ? Et qu'est-ce que je suis dĂ©jĂ  ? Mais tout simplement moi-mĂȘme, tout simplement moi-mĂȘme, tel que je suis, maintenant et ici. Qui je suis maintenant et ici, tel que je le suis, sans essayer de me changer. Cela est parfait. La Bible nous l'enseigne, la Bible nous dit, je suis ce que je suis. Je suis ce je suis. Il n'y a rien d'autre Ă  savoir. Tout est dĂ©jĂ  parfait, tel que cela est maintenant. Je te remercie pour ton Ă©coute et je te dis Ă  trĂšs vite.

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On passe notre vie Ă  vouloir se rĂ©parer, Ă  guĂ©rir nos blessures, Ă  transformer notre souffrance
 Mais et si rien n’avait besoin d’ĂȘtre changĂ© ? Et si tout ce que nous essayons de fuir avait dĂ©jĂ  sa place, naturellement, dans cet espace intĂ©rieur oĂč tout peut ĂȘtre accueilli ?


Dans ce podcast, je t’invite Ă  dĂ©couvrir une vĂ©ritĂ© libĂ©ratrice : tu es dĂ©jĂ  entier. Il n’y a rien Ă  purifier, rien Ă  enlever, rien Ă  corriger. Le silence en toi embrasse tout, sans rĂ©sistance. Il n’a jamais Ă©tĂ© blessĂ©, il n’a jamais Ă©tĂ© troublĂ©. Repose-toi en lui, et vois que tout est dĂ©jĂ  accompli.


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  • Speaker #0

    Il n'y a rien Ă  guĂ©rir. C'est tellement important Ă  comprendre. Nous les ĂȘtres humains, on croit qu'on est brisĂ©s, mais il n'y a rien Ă  guĂ©rir. Écoute bien. On me dit souvent, mais Olivier, je dois guĂ©rir mes blessures. Je dois transformer mes souffrances. Je dois me libĂ©rer de mon passĂ©. Mais la question que je te pose, c'est qui est-ce qui a besoin de guĂ©rir ? Qui a besoin de guĂ©rir en toi ? Est-ce que c'est ce moi Ă  l'intĂ©rieur qui s'est construit depuis ta naissance ? Souviens-toi un petit peu. Tu es nĂ© et tu n'avais pas encore de nom et de prĂ©nom. Tu ne savais mĂȘme pas que tu avais des parents. Et tout d'un coup, les informations se sont empilĂ©es les unes sur les autres. Est-ce que ce n'est pas, en fin de compte, cet amas d'informations qui a besoin de guĂ©rir ? Toi, tu n'es que le berceau, le receptacle, la conscience, la prĂ©sence, le silence infini dans lequel tout cela se prĂ©sente. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, depuis toujours, j'ai cru que j'Ă©tais mon corps. mon mental mon histoire j'ai cru que j'Ă©tais les blessures que la vie m'a infligĂ© mais si je regarde bien qui est-ce qui souffre qui est-ce qui est touchĂ© par ces douleurs est-ce que c'est vraiment moi ou le personnage que j'ai pris pour ĂȘtre moi-mĂȘme Ça c'est une phrase que mon maĂźtre avait l'habitude de dire Ă  Manama Archi. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Donc le soi pour nous c'est la prĂ©sence, le silence intĂ©rieur. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Et Ă©coute bien ça, c'est le plus important. Il dit, ce qui naĂźt et meurt appartient au rĂȘve. Ce qui a un dĂ©but et une fin appartient Ă  l'illusion. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, j'ai cru que pour ĂȘtre libre, je devais enlever quelque chose en moi. Je devais rĂ©parer quelque chose. Que je devais purifier mon esprit, guĂ©rir mon passĂ©, transformer mes pensĂ©es. Mais dans cette quĂȘte, il y a toujours une idĂ©e qui est cachĂ©e derriĂšre. Maintenant et ici, je ne suis pas encore assez bien. Il manque quelque chose. Je dois changer. Mais est-ce qu'au final c'est vraiment vrai tout ça ? Quand je m'assois en silence et que je dis stop, sans chercher Ă  rĂ©parer quoi que ce soit, quelque chose devient Ă©vident. Tout a dĂ©jĂ  sa place. Tout a sa place. chaque pensĂ©e, chaque Ă©motion, chaque sensation elles surgissent et elles disparaissent en moi mais moi est-ce que je bouge ? non je ne bouge pas, je suis lĂ , immobile, toujours prĂ©sent et lorsque j'arrĂȘte de m'identifier Ă  toutes ces choses-lĂ  je me rends compte que je ne suis que la prĂ©sence dans lequel Toutes ces formes passent. Je ne suis que le ciel bleu dans lequel tous ces nuages passent. Mais le ciel ne se bat pas pour se faire de la place et pour qu'il n'y ait plus de nuages. Il s'en contrefout complĂštement. Moi, en tant que prĂ©sence, rien ne peut me troubler. Sauf si je m'identifie Ă  ce trouble. C'est une autre citation que Ramana nous enseigne. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Et ce qui est immuable, c'est ton silence. C'est toi. C'est juste toi en fait. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Cela inclut nos traumatismes et nos blessures. Si je ne m'identifie pas Ă  elle, et en fait quand je comprends ça, un immense soulagement s'installe en moi, parce que je n'ai plus rien Ă  faire, si ce n'est ĂȘtre exactement tel que je suis, maintenant et ici. J'ai plus besoin de me battre contre mes pensĂ©es, contre mes Ă©motions, contre mes souvenirs, contre ma vie. Je peux tout accueillir, sans rien rejeter. Qui est-ce qui souffre au final ? Ce n'est pas moi, c'est seulement l'idĂ©e que je me suis faite de moi-mĂȘme. Cette idĂ©e qu'il faudrait que je sois autrement, que je sois guĂ©ri, que je sois pur. Cette volontĂ© de guĂ©rir et d'aller mieux, cette dynamique-lĂ . C'est ça la tumeur en fait. Si j'arrĂȘte de vouloir aller mieux, alors ce mieux que je cherchais Ă  atteindre, il est dĂ©jĂ  accompli. La vĂ©ritĂ©, c'est que je suis dĂ©jĂ  parfait tel que je suis, maintenant et ici. LĂ  je te partage un verset de l'Ashtavakra Gita. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. Et ça tous les maĂźtres nous l'enseignent, les grands maĂźtres, les mystiques qui sont rĂ©alisĂ©s. Il suffit de voir pour savoir. Il suffit de voir. Il n'y a absolument plus rien Ă  fuir, rien Ă  rĂ©parer et rien Ă  gagner. Il n'y a que mon propre silence Ă  l'intĂ©rieur. Ce silence qui est vaste, qui est immense. Et qui laisse absolument tout ĂȘtre. Tout. Mes blessures, mes traumatismes, mes dĂ©sirs, mes manques, mon bonheur. Absolument tout. Mon silence, il est Ă  l'intĂ©rieur. Et moi, je suis ce silence. Ce que toi, tu cherches, c'est toi-mĂȘme. Tu ne peux pas chercher quelque chose que tu n'as pas dĂ©jĂ  maintenant. Et toi, tu es la destination de cette quĂȘte qui n'existe pas. C'est pour ça qu'Ă  un moment donnĂ©, je m'arrĂȘte et je me rends compte que je suis la destination. Maintenant, ici, tout peut exister en moi sans que rien ne me dĂ©finisse. La souffrance, en fait, n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e qu'elle ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e la lutte. Je te le rĂ©pĂšte, la souffrance n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e que cette souffrance ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e une souffrance en moi, qui crĂ©e cette lutte Ă  l'intĂ©rieur de moi-mĂȘme. Mais maintenant je peux choisir. Je peux choisir de ne plus lutter. Et je laisse tout ĂȘtre. Absolument tout. Et dans cet accueil, dans ce lĂącher prise, dans cette acceptation, absolument tout se dissout naturellement. Ça c'est un passage du Tao, du Tao Te Ching. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau, elle n'a aucune rĂ©sistance quand elle coule. Elle prend la direction qu'elle prend sans effort. Quand moi, je me rĂ©associe Ă  moi-mĂȘme, sans essayer de faire quoi que ce soit, je suis guidĂ© de la maniĂšre la plus parfaite qu'il soit. Alors maintenant, est-ce que je vais encore essayer de me guĂ©rir de quelque chose ? De me transformer ? Ou est-ce que simplement, je vais me reposer dans ce que je suis dĂ©jĂ  ? Et qu'est-ce que je suis dĂ©jĂ  ? Mais tout simplement moi-mĂȘme, tout simplement moi-mĂȘme, tel que je suis, maintenant et ici. Qui je suis maintenant et ici, tel que je le suis, sans essayer de me changer. Cela est parfait. La Bible nous l'enseigne, la Bible nous dit, je suis ce que je suis. Je suis ce je suis. Il n'y a rien d'autre Ă  savoir. Tout est dĂ©jĂ  parfait, tel que cela est maintenant. Je te remercie pour ton Ă©coute et je te dis Ă  trĂšs vite.

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On passe notre vie Ă  vouloir se rĂ©parer, Ă  guĂ©rir nos blessures, Ă  transformer notre souffrance
 Mais et si rien n’avait besoin d’ĂȘtre changĂ© ? Et si tout ce que nous essayons de fuir avait dĂ©jĂ  sa place, naturellement, dans cet espace intĂ©rieur oĂč tout peut ĂȘtre accueilli ?


Dans ce podcast, je t’invite Ă  dĂ©couvrir une vĂ©ritĂ© libĂ©ratrice : tu es dĂ©jĂ  entier. Il n’y a rien Ă  purifier, rien Ă  enlever, rien Ă  corriger. Le silence en toi embrasse tout, sans rĂ©sistance. Il n’a jamais Ă©tĂ© blessĂ©, il n’a jamais Ă©tĂ© troublĂ©. Repose-toi en lui, et vois que tout est dĂ©jĂ  accompli.


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Transcription

  • Speaker #0

    Il n'y a rien Ă  guĂ©rir. C'est tellement important Ă  comprendre. Nous les ĂȘtres humains, on croit qu'on est brisĂ©s, mais il n'y a rien Ă  guĂ©rir. Écoute bien. On me dit souvent, mais Olivier, je dois guĂ©rir mes blessures. Je dois transformer mes souffrances. Je dois me libĂ©rer de mon passĂ©. Mais la question que je te pose, c'est qui est-ce qui a besoin de guĂ©rir ? Qui a besoin de guĂ©rir en toi ? Est-ce que c'est ce moi Ă  l'intĂ©rieur qui s'est construit depuis ta naissance ? Souviens-toi un petit peu. Tu es nĂ© et tu n'avais pas encore de nom et de prĂ©nom. Tu ne savais mĂȘme pas que tu avais des parents. Et tout d'un coup, les informations se sont empilĂ©es les unes sur les autres. Est-ce que ce n'est pas, en fin de compte, cet amas d'informations qui a besoin de guĂ©rir ? Toi, tu n'es que le berceau, le receptacle, la conscience, la prĂ©sence, le silence infini dans lequel tout cela se prĂ©sente. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, depuis toujours, j'ai cru que j'Ă©tais mon corps. mon mental mon histoire j'ai cru que j'Ă©tais les blessures que la vie m'a infligĂ© mais si je regarde bien qui est-ce qui souffre qui est-ce qui est touchĂ© par ces douleurs est-ce que c'est vraiment moi ou le personnage que j'ai pris pour ĂȘtre moi-mĂȘme Ça c'est une phrase que mon maĂźtre avait l'habitude de dire Ă  Manama Archi. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Donc le soi pour nous c'est la prĂ©sence, le silence intĂ©rieur. Le soi n'a ni blessure ni chaĂźne. Et Ă©coute bien ça, c'est le plus important. Il dit, ce qui naĂźt et meurt appartient au rĂȘve. Ce qui a un dĂ©but et une fin appartient Ă  l'illusion. Moi, en tant qu'ĂȘtre humain, j'ai cru que pour ĂȘtre libre, je devais enlever quelque chose en moi. Je devais rĂ©parer quelque chose. Que je devais purifier mon esprit, guĂ©rir mon passĂ©, transformer mes pensĂ©es. Mais dans cette quĂȘte, il y a toujours une idĂ©e qui est cachĂ©e derriĂšre. Maintenant et ici, je ne suis pas encore assez bien. Il manque quelque chose. Je dois changer. Mais est-ce qu'au final c'est vraiment vrai tout ça ? Quand je m'assois en silence et que je dis stop, sans chercher Ă  rĂ©parer quoi que ce soit, quelque chose devient Ă©vident. Tout a dĂ©jĂ  sa place. Tout a sa place. chaque pensĂ©e, chaque Ă©motion, chaque sensation elles surgissent et elles disparaissent en moi mais moi est-ce que je bouge ? non je ne bouge pas, je suis lĂ , immobile, toujours prĂ©sent et lorsque j'arrĂȘte de m'identifier Ă  toutes ces choses-lĂ  je me rends compte que je ne suis que la prĂ©sence dans lequel Toutes ces formes passent. Je ne suis que le ciel bleu dans lequel tous ces nuages passent. Mais le ciel ne se bat pas pour se faire de la place et pour qu'il n'y ait plus de nuages. Il s'en contrefout complĂštement. Moi, en tant que prĂ©sence, rien ne peut me troubler. Sauf si je m'identifie Ă  ce trouble. C'est une autre citation que Ramana nous enseigne. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Ne cherche pas Ă  changer quoi que ce soit. DĂ©couvre simplement ce qui est immuable en toi. Et ce qui est immuable, c'est ton silence. C'est toi. C'est juste toi en fait. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Tout ce qui est peut ĂȘtre tel qu'il est. Cela inclut nos traumatismes et nos blessures. Si je ne m'identifie pas Ă  elle, et en fait quand je comprends ça, un immense soulagement s'installe en moi, parce que je n'ai plus rien Ă  faire, si ce n'est ĂȘtre exactement tel que je suis, maintenant et ici. J'ai plus besoin de me battre contre mes pensĂ©es, contre mes Ă©motions, contre mes souvenirs, contre ma vie. Je peux tout accueillir, sans rien rejeter. Qui est-ce qui souffre au final ? Ce n'est pas moi, c'est seulement l'idĂ©e que je me suis faite de moi-mĂȘme. Cette idĂ©e qu'il faudrait que je sois autrement, que je sois guĂ©ri, que je sois pur. Cette volontĂ© de guĂ©rir et d'aller mieux, cette dynamique-lĂ . C'est ça la tumeur en fait. Si j'arrĂȘte de vouloir aller mieux, alors ce mieux que je cherchais Ă  atteindre, il est dĂ©jĂ  accompli. La vĂ©ritĂ©, c'est que je suis dĂ©jĂ  parfait tel que je suis, maintenant et ici. LĂ  je te partage un verset de l'Ashtavakra Gita. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. L'illusion est de croire que tu es incomplet. La rĂ©alitĂ© est que tu es entier. Et ça tous les maĂźtres nous l'enseignent, les grands maĂźtres, les mystiques qui sont rĂ©alisĂ©s. Il suffit de voir pour savoir. Il suffit de voir. Il n'y a absolument plus rien Ă  fuir, rien Ă  rĂ©parer et rien Ă  gagner. Il n'y a que mon propre silence Ă  l'intĂ©rieur. Ce silence qui est vaste, qui est immense. Et qui laisse absolument tout ĂȘtre. Tout. Mes blessures, mes traumatismes, mes dĂ©sirs, mes manques, mon bonheur. Absolument tout. Mon silence, il est Ă  l'intĂ©rieur. Et moi, je suis ce silence. Ce que toi, tu cherches, c'est toi-mĂȘme. Tu ne peux pas chercher quelque chose que tu n'as pas dĂ©jĂ  maintenant. Et toi, tu es la destination de cette quĂȘte qui n'existe pas. C'est pour ça qu'Ă  un moment donnĂ©, je m'arrĂȘte et je me rends compte que je suis la destination. Maintenant, ici, tout peut exister en moi sans que rien ne me dĂ©finisse. La souffrance, en fait, n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e qu'elle ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e la lutte. Je te le rĂ©pĂšte, la souffrance n'a jamais Ă©tĂ© un problĂšme. C'est seulement l'idĂ©e que cette souffrance ne devrait pas ĂȘtre lĂ  qui crĂ©e une souffrance en moi, qui crĂ©e cette lutte Ă  l'intĂ©rieur de moi-mĂȘme. Mais maintenant je peux choisir. Je peux choisir de ne plus lutter. Et je laisse tout ĂȘtre. Absolument tout. Et dans cet accueil, dans ce lĂącher prise, dans cette acceptation, absolument tout se dissout naturellement. Ça c'est un passage du Tao, du Tao Te Ching. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau du fleuve n'a pas besoin d'ĂȘtre guidĂ©e pour rejoindre l'ocĂ©an. L'eau, elle n'a aucune rĂ©sistance quand elle coule. Elle prend la direction qu'elle prend sans effort. Quand moi, je me rĂ©associe Ă  moi-mĂȘme, sans essayer de faire quoi que ce soit, je suis guidĂ© de la maniĂšre la plus parfaite qu'il soit. Alors maintenant, est-ce que je vais encore essayer de me guĂ©rir de quelque chose ? De me transformer ? Ou est-ce que simplement, je vais me reposer dans ce que je suis dĂ©jĂ  ? Et qu'est-ce que je suis dĂ©jĂ  ? Mais tout simplement moi-mĂȘme, tout simplement moi-mĂȘme, tel que je suis, maintenant et ici. Qui je suis maintenant et ici, tel que je le suis, sans essayer de me changer. Cela est parfait. La Bible nous l'enseigne, la Bible nous dit, je suis ce que je suis. Je suis ce je suis. Il n'y a rien d'autre Ă  savoir. Tout est dĂ©jĂ  parfait, tel que cela est maintenant. Je te remercie pour ton Ă©coute et je te dis Ă  trĂšs vite.

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