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On n'est pas des robots

61. Guillaume Fond - Bien s'alimenter pour sa santé mentale et ses performances cognitives

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1h12 |09/10/2023
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1h12 |09/10/2023
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Description

C'est absurde de penser que ce qu'on mange n'impacte pas notre cerveau.

Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas qu'il ne se passe rien.

D'ailleurs ça se voit. Comme les kilos en trop.

C'est juste qu'on n'écoute pas.

 

En fonction de ce qu'on mange, on a des pics d'énergie, des baisses d'énergie, des palpitations, on se sent faible, on peine à se concentrer, on est irritable, on tremble, on se sent lourd, on veut dormir. 

Ce que nous mangeons nourrit notre cerveau. Ou l'encrasse.

Ça dépend pas mal de ce qu'on lui donne.

 

Avant de penser à "quoi manger" ça me parait essentiel de comprendre que mal s'alimenter, d’autant plus tous les jours, a FORCÉMENT des conséquences sur comment on se sent, ce qu'on est capable de faire, notre niveau d'énergie, notre état de fatigue.

Ce n’est pas juste une histoire d’augmentation de mon risque d'AVC dans 25 ans.

C'est une histoire de "là j’en chie, parce que mon corps n’a pas ce qu’il lui faut pour fonctionner".

 

J'insiste.

On a normalisé une alimentation qui nous diminue tous les jours.

On ne réalise pas à quel point ce qu’on mange est une source MAJEURE de notre état mental.

Comme ces comportements sont notre baseline, et l'ont toujours été, on ne voit pas que ça nous impacte.

On ne sait pas ce que ça fait de manger SUFFISAMMENT et JUSTE des choses qui sont vraiment bonnes pour notre corps.

 

Maintenant que j'ai dit ça, trouver de vraies infos sur ce qu'il faut ou pas manger pour notre santé mentale, c'est pas de la tarte 🥧.

Les 3 étapes faciles et pas chères pour s'affamer pour perdre 5 kilos avant l'été et ruiner sa santé, ça oui.

Mais des conseils scientifiques et non dogmatiques qui placent la santé avant tout, là… y a plus grand monde.

 

Alors quand je suis tombée sur 📕Bien manger pour ne pas déprimer de Guillaume Fond, qui est psychiatre et chercheur, je me suis dit que je tenais quelque chose.

Je ne me suis pas trompée.

Guillaume m'a fait le plaisir de partager son savoir dans On n'est pas des robots.

 

On a abordé :

  • Les liens réels entre alimentation et cerveau
  • La journée alimentaire type pour la santé mentale
  • Les aliments à éviter, les aliments à ne surtout pas oublier
  • Jeûner / pas jeûner ? Féculent / pas féculent ? Fruits / pas fruits ? Viande / pas viande ?
  • Les premiers résultats de sa vaste étude ALIMENTAL sur les liens entre alimentation et dépression

 

Vous en ressortirez prêt à adopter le régime méditerranéen (et comprendrez vraiment pourquoi).

 

Merci infiniment Guillaume et j'ai hâte de suivre tes prochains travaux.


 

🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici

 

🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :

 

🦾 Retrouver Guillaume:

Description

C'est absurde de penser que ce qu'on mange n'impacte pas notre cerveau.

Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas qu'il ne se passe rien.

D'ailleurs ça se voit. Comme les kilos en trop.

C'est juste qu'on n'écoute pas.

 

En fonction de ce qu'on mange, on a des pics d'énergie, des baisses d'énergie, des palpitations, on se sent faible, on peine à se concentrer, on est irritable, on tremble, on se sent lourd, on veut dormir. 

Ce que nous mangeons nourrit notre cerveau. Ou l'encrasse.

Ça dépend pas mal de ce qu'on lui donne.

 

Avant de penser à "quoi manger" ça me parait essentiel de comprendre que mal s'alimenter, d’autant plus tous les jours, a FORCÉMENT des conséquences sur comment on se sent, ce qu'on est capable de faire, notre niveau d'énergie, notre état de fatigue.

Ce n’est pas juste une histoire d’augmentation de mon risque d'AVC dans 25 ans.

C'est une histoire de "là j’en chie, parce que mon corps n’a pas ce qu’il lui faut pour fonctionner".

 

J'insiste.

On a normalisé une alimentation qui nous diminue tous les jours.

On ne réalise pas à quel point ce qu’on mange est une source MAJEURE de notre état mental.

Comme ces comportements sont notre baseline, et l'ont toujours été, on ne voit pas que ça nous impacte.

On ne sait pas ce que ça fait de manger SUFFISAMMENT et JUSTE des choses qui sont vraiment bonnes pour notre corps.

 

Maintenant que j'ai dit ça, trouver de vraies infos sur ce qu'il faut ou pas manger pour notre santé mentale, c'est pas de la tarte 🥧.

Les 3 étapes faciles et pas chères pour s'affamer pour perdre 5 kilos avant l'été et ruiner sa santé, ça oui.

Mais des conseils scientifiques et non dogmatiques qui placent la santé avant tout, là… y a plus grand monde.

 

Alors quand je suis tombée sur 📕Bien manger pour ne pas déprimer de Guillaume Fond, qui est psychiatre et chercheur, je me suis dit que je tenais quelque chose.

Je ne me suis pas trompée.

Guillaume m'a fait le plaisir de partager son savoir dans On n'est pas des robots.

 

On a abordé :

  • Les liens réels entre alimentation et cerveau
  • La journée alimentaire type pour la santé mentale
  • Les aliments à éviter, les aliments à ne surtout pas oublier
  • Jeûner / pas jeûner ? Féculent / pas féculent ? Fruits / pas fruits ? Viande / pas viande ?
  • Les premiers résultats de sa vaste étude ALIMENTAL sur les liens entre alimentation et dépression

 

Vous en ressortirez prêt à adopter le régime méditerranéen (et comprendrez vraiment pourquoi).

 

Merci infiniment Guillaume et j'ai hâte de suivre tes prochains travaux.


 

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Description

C'est absurde de penser que ce qu'on mange n'impacte pas notre cerveau.

Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas qu'il ne se passe rien.

D'ailleurs ça se voit. Comme les kilos en trop.

C'est juste qu'on n'écoute pas.

 

En fonction de ce qu'on mange, on a des pics d'énergie, des baisses d'énergie, des palpitations, on se sent faible, on peine à se concentrer, on est irritable, on tremble, on se sent lourd, on veut dormir. 

Ce que nous mangeons nourrit notre cerveau. Ou l'encrasse.

Ça dépend pas mal de ce qu'on lui donne.

 

Avant de penser à "quoi manger" ça me parait essentiel de comprendre que mal s'alimenter, d’autant plus tous les jours, a FORCÉMENT des conséquences sur comment on se sent, ce qu'on est capable de faire, notre niveau d'énergie, notre état de fatigue.

Ce n’est pas juste une histoire d’augmentation de mon risque d'AVC dans 25 ans.

C'est une histoire de "là j’en chie, parce que mon corps n’a pas ce qu’il lui faut pour fonctionner".

 

J'insiste.

On a normalisé une alimentation qui nous diminue tous les jours.

On ne réalise pas à quel point ce qu’on mange est une source MAJEURE de notre état mental.

Comme ces comportements sont notre baseline, et l'ont toujours été, on ne voit pas que ça nous impacte.

On ne sait pas ce que ça fait de manger SUFFISAMMENT et JUSTE des choses qui sont vraiment bonnes pour notre corps.

 

Maintenant que j'ai dit ça, trouver de vraies infos sur ce qu'il faut ou pas manger pour notre santé mentale, c'est pas de la tarte 🥧.

Les 3 étapes faciles et pas chères pour s'affamer pour perdre 5 kilos avant l'été et ruiner sa santé, ça oui.

Mais des conseils scientifiques et non dogmatiques qui placent la santé avant tout, là… y a plus grand monde.

 

Alors quand je suis tombée sur 📕Bien manger pour ne pas déprimer de Guillaume Fond, qui est psychiatre et chercheur, je me suis dit que je tenais quelque chose.

Je ne me suis pas trompée.

Guillaume m'a fait le plaisir de partager son savoir dans On n'est pas des robots.

 

On a abordé :

  • Les liens réels entre alimentation et cerveau
  • La journée alimentaire type pour la santé mentale
  • Les aliments à éviter, les aliments à ne surtout pas oublier
  • Jeûner / pas jeûner ? Féculent / pas féculent ? Fruits / pas fruits ? Viande / pas viande ?
  • Les premiers résultats de sa vaste étude ALIMENTAL sur les liens entre alimentation et dépression

 

Vous en ressortirez prêt à adopter le régime méditerranéen (et comprendrez vraiment pourquoi).

 

Merci infiniment Guillaume et j'ai hâte de suivre tes prochains travaux.


 

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C'est absurde de penser que ce qu'on mange n'impacte pas notre cerveau.

Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas qu'il ne se passe rien.

D'ailleurs ça se voit. Comme les kilos en trop.

C'est juste qu'on n'écoute pas.

 

En fonction de ce qu'on mange, on a des pics d'énergie, des baisses d'énergie, des palpitations, on se sent faible, on peine à se concentrer, on est irritable, on tremble, on se sent lourd, on veut dormir. 

Ce que nous mangeons nourrit notre cerveau. Ou l'encrasse.

Ça dépend pas mal de ce qu'on lui donne.

 

Avant de penser à "quoi manger" ça me parait essentiel de comprendre que mal s'alimenter, d’autant plus tous les jours, a FORCÉMENT des conséquences sur comment on se sent, ce qu'on est capable de faire, notre niveau d'énergie, notre état de fatigue.

Ce n’est pas juste une histoire d’augmentation de mon risque d'AVC dans 25 ans.

C'est une histoire de "là j’en chie, parce que mon corps n’a pas ce qu’il lui faut pour fonctionner".

 

J'insiste.

On a normalisé une alimentation qui nous diminue tous les jours.

On ne réalise pas à quel point ce qu’on mange est une source MAJEURE de notre état mental.

Comme ces comportements sont notre baseline, et l'ont toujours été, on ne voit pas que ça nous impacte.

On ne sait pas ce que ça fait de manger SUFFISAMMENT et JUSTE des choses qui sont vraiment bonnes pour notre corps.

 

Maintenant que j'ai dit ça, trouver de vraies infos sur ce qu'il faut ou pas manger pour notre santé mentale, c'est pas de la tarte 🥧.

Les 3 étapes faciles et pas chères pour s'affamer pour perdre 5 kilos avant l'été et ruiner sa santé, ça oui.

Mais des conseils scientifiques et non dogmatiques qui placent la santé avant tout, là… y a plus grand monde.

 

Alors quand je suis tombée sur 📕Bien manger pour ne pas déprimer de Guillaume Fond, qui est psychiatre et chercheur, je me suis dit que je tenais quelque chose.

Je ne me suis pas trompée.

Guillaume m'a fait le plaisir de partager son savoir dans On n'est pas des robots.

 

On a abordé :

  • Les liens réels entre alimentation et cerveau
  • La journée alimentaire type pour la santé mentale
  • Les aliments à éviter, les aliments à ne surtout pas oublier
  • Jeûner / pas jeûner ? Féculent / pas féculent ? Fruits / pas fruits ? Viande / pas viande ?
  • Les premiers résultats de sa vaste étude ALIMENTAL sur les liens entre alimentation et dépression

 

Vous en ressortirez prêt à adopter le régime méditerranéen (et comprendrez vraiment pourquoi).

 

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