- Speaker #0
Pour moi, le patron doit être le premier vendeur de sa boîte. Et donc après réflexion, je me suis dit, j'aimerais bien être décoratrice d'intérieur. Et la réflexion de mon père, ça a été, pourquoi pas, mais pourquoi pas décoratrice d'extérieur. Je n'imaginais pas du tout les difficultés d'entrepreneur quand on est jeune. Je ne m'attendais pas, je voyais mon père faire, ça ne me paraissait pas compliqué.
- Speaker #1
Simplicité et travail. Deux mots qui peuvent qualifier l'engagement de Pauline Moquet. Femme de terrain et de relations, l'humain est au cœur de ses actions. Née dans une famille d'entrepreneurs mayennais, elle nous fait le plaisir de nous accueillir à Paris-Nez, dans le Nord Mayenne, dans les locaux de l'entreprise Daniel Moquet, qu'elle co-dirige avec sa sœur Camille et son père Daniel. Le travail en famille est son quotidien. Ici, tout se mélange nous dira-t-elle. À 21 ans, elle lance la première franchise Daniel Moquet à Château-Gontier, avant de rejoindre dix ans plus tard le siège. De ce parcours tout terrain, elle a beaucoup appris et a choisi aujourd'hui de nous partager ce parcours original et passionné. Pauline, bonjour.
- Speaker #0
Bonjour. Du coup, mon parcours, alors pour ma part, j'ai 42 ans, je suis mariée, j'ai deux enfants, deux garçons, Maëlle 16 ans et Martin 13. Comme formation, j'ai fait un BTS aménagement paysager. Alors je dis toujours que ce n'est pas parce que j'étais prédestinée forcément à travailler dans l'entreprise, je pense qu'un peu comme tous les jeunes, je cherchais ma voie. Et au départ, j'ai commencé par faire une formation de géomètre. Et puis en première année de formation, je suis rentrée à la maison en disant que je ne voulais plus être géomètre. Et mon père m'a dit Ok, mais qu'est-ce que tu vas faire ? Et donc après réflexion, je me suis dit, tiens, j'aimerais bien être décoratrice d'intérieur. Et la réflexion de mon père, ça a été, pourquoi pas, mais pourquoi pas décoratrice d'extérieur. D'où mon parcours dans l'aménagement extérieur, dans le paysage. Donc j'ai fait mon BTS et après j'ai fait une année de spécialisation dessin assisté par ordinateur. Et puis pendant cette année de formation, avec un père entrepreneur, il va falloir rentrer sur le marché du travail assez vite quand même. C'est beau les études, mais il va falloir travailler. Et donc j'ai réfléchi ce que je pouvais trouver comme poste. Et donc là, il m'avait proposé de venir travailler avec lui dans son entreprise. Donc là, on parle de ça en 2002. Il m'a dit à ce moment-là, tu n'as qu'à venir travailler avec moi dans l'entreprise à Parigny. A l'époque, une petite entreprise de paysage en local. J'avais 20 ans, travailler avec mon père à cette époque-là, ça ne me faisait pas rêver. Donc ça, j'avais refusé. Mais sa proposition, ça a été à ce moment-là, si tu ne veux pas venir travailler avec moi, tu n'as qu'à créer ton entreprise, faire la même chose que moi, mais dans le sud de Mayenne, à Château-Gontier. Et ça j'ai dit bah oui tiens pourquoi pas. Donc en fait l'idée m'a plu et donc finalement il m'a aidé à créer, enfin on a réfléchi ensemble comment s'implanter à Château-Gonthier pour faire la même chose. Et donc au final avec du recul, c'est à dire que finalement je suis la première duplication de son entreprise. Je pense que derrière l'idée de mon implantation à Château-Gantier, il se disait peut-être qu'il y a une possibilité de développer en réseau. Et donc ça c'était 2002. Donc 2002, j'ai créé l'entreprise à Château-Gantier. J'avais l'objectif de commercialiser tous les verres pour démarrer les chantiers en mars 2003. J'ai fait quelque chose que j'ai faite. Alors, je n'imaginais pas du tout les difficultés d'entrepreneur. Quand on est jeune, je ne m'attendais pas. Je voyais mon père faire, ça ne me paraissait pas compliqué. J'avais l'impression que c'était assez facile. Commercialement, du coup, je n'ai pas une formation de commerce, j'ai une formation de technique. Je suis allée avec lui en accompagnement en vente, sans formation. Et puis, au bout d'un moment, je me suis dit, c'est bon, j'ai compris, j'y vais. Donc, ça s'est bien passé. La difficulté pour moi, ça a été le recrutement et le management. Parce que ça fait 20 ans maintenant, donc je n'avais pas d'expérience. J'étais jeune, une femme, donc je n'avais pas toutes les qualités de base. Il fallait trouver des salariés qui veulent bien travailler avec moi. C'est ça qui a été le plus dur pour moi, les six premiers mois de créer l'équipe. J'avais comme objectif de recruter deux personnes. Déjà à l'époque, il n'y avait que 5% de chômage à Châteaugontier. Donc ça a été ça le plus compliqué. Mais au bout de six mois, j'avais réussi à créer une équipe et l'entreprise était démarrée. Et au bout d'un an, ça s'était bien passé. J'étais dans les objectifs de chiffre parce que forcément, j'étais allée voir les banquiers. Mais bon, à 21 ans, ils m'avaient prêté sous condition de bancaire. Mon père était caution. Et finalement, c'était le début de l'histoire du réseau puisque... Donc ça, 2004, et comme mon père dit souvent, ça lui a plu de ma compagnie à créer une entreprise et à me former. Donc en fait, il est allé au salon de la franchise. à Paris. Et c'est là qu'il a rencontré des consultants qui lui ont... En fait, ils ont monté les contrats de franchise et on lui a expliqué comment lancer un réseau. Et donc c'est le début de l'histoire. L'enseigne c'est Daniel Moquet et donc on a trois marques. Donc la première historique c'est Daniel Moquet Signe vos allées, où là on fait des allées, des cours et des terrasses à destination des particuliers. Donc en fait notre métier c'est de rénover tous les accès des particuliers, donc ça peut être très bien l'allée qui va à la porte d'entrée, la descente de garage ou la terrasse, enfin le revêtement de terrasse. Et pour ça on a une gamme large de produits qui correspond à tous les styles. et tous les budgets des clients. Donc on est capable de s'adapter et de proposer de rénover. Donc on fait de la rénovation, mais aussi du neuf, donc chez les particuliers. Donc ça, la première enseigne, et donc on a 250 entreprises réparties sur toute la France. On a lancé en 2019 le réseau Daniel Moquet-Singvaux Clôtures, où là on fait des clôtures portail et pergola à destination des mêmes clients. Donc pareil, avec une gamme large de produits qui correspondent à tous les styles. Et puis enfin, on vient de lancer la troisième marque qui s'appelle Daniel Moquet-Singvaux Jardins. où là on fait de la taille, de l'entretien et de la création paysagère. Donc en fait c'est plutôt la partie végétale et avec le service à la personne, puisqu'en fait quand on intervient chez les particuliers, ils peuvent bénéficier du crédit d'impôt de 50% sur les travaux d'entretien. Et on a 400 points de vente en France. donc notre objectif c'est que partout en France un client qui souhaite renover et embellir ses extérieurs puisse trouver un entrepreneur à Jocke et Thiel
- Speaker #1
Et dans votre parcours d'entrepreneur puisque vous avez démarré toute jeune qu'est-ce qui vous a pu vous aider et qu'est-ce qui a été peut-être plus difficile ?
- Speaker #0
Ce qui m'a aidée, c'est mes parents. Je n'étais pas toute seule, c'est-à-dire que sur toutes les problématiques que je pouvais rencontrer, j'appelais. Donc au début, mon père devait venir toutes les semaines. Ça me rassurait en fait. Et puis quand j'avais des discussions à prendre, je l'appelais. Alors, l'avantage c'est que j'étais toute seule. C'était mon entreprise, donc j'appelais pour avoir des conseils, mais s'ils n'étaient pas d'accord, c'est moi qui prenais la décision. Alors, des fois je ne l'écoutais pas, et donc je me plantais, et donc vous ne pouvez m'en prendre qu'à moi-même. Mais au moins j'avais eu l'échange avant, et puis j'ai fait des erreurs comme tous les entrepreneurs, mais je n'ai pas eu le sentiment de solitude qu'on pourrait peut-être avoir. Donc ça, c'est sur la partie opérationnelle. Et puis sur la partie administrative, c'est pareil, je n'avais pas d'expérience. Et là, c'est ma mère qui venait m'aider. Elle venait une fois par mois faire la... À 20 ans, je n'avais jamais géré de papier personnel, en fait. Enfin, c'était une nouveauté pour tout, quoi. Donc, j'ai été vraiment aidée par mes parents parce que c'est pareil dans mon entourage, les copains, ils étaient encore à l'école en fait. Donc, j'étais un peu en décalage sur les difficultés de ce que je vivais. Mais c'était d'échanger. Et puis après, comme le réseau de franchise s'est monté, on échangeait entre franchisés. On est adhérent de la Fédération du Paysage, donc aussi par ce biais-là, participer à des réunions sur le métier, d'avoir de l'information, tout l'entourage qu'on peut avoir dans l'entreprise, les comptables, les banquiers, c'est des conseils. J'ai été franchisée pendant 10 ans à Stade Montier, tout en ayant un œil sur la franchise. J'ai géré mon entreprise comme un franchisé classique. Je participais au développement du réseau, mais mon père m'avait donné toujours comme objectif qu'un jour, je viendrais l'aider à la tête de réseau. J'avais un peu peur de ça parce que forcément les franchisés étaient plus vieux que moi, avec des expériences et des bagages en termes de commerce, management. En fait, nos premiers franchisés, c'est des cadres qui avaient des postes à responsabilité. Donc je me disais, oh là là, comment je vais gérer tout ça ? Et puis le fait de faire ça pendant dix ans, j'avais la légitimité et j'étais le modèle à suivre. J'ai géré mon entreprise qui marchait bien. C'est en 2012 que j'ai vendu mon entreprise à Château-Gontier pour revenir à la tête de réseau. Mes premières missions dans le réseau de franchise, ça a été le recrutement. Quand je suis arrivée, on avait 80 franchisés. Le plus dur était quand même fait. On a accéléré les choses. sur leur partie recrutement et sur la partie formation et transmission du savoir-faire, parce que mes premiers rôles, c'était ça, c'était de recruter et de former les franchisés par le biais de mon expertise et mon expérience que j'avais vécue à Châteaubonty. Alors pour vous dire qu'on est une vraie entreprise familiale, puisque ma mère travaille dans l'entreprise, donc ma mère, elle a toujours accompagné mon père comme femme d'entrepreneur. Donc elle avait un travail à l'extérieur, elle était kiné à l'hôpital. Et donc elle a toujours travaillé, je crois, trois quarts, elle faisait trois quarts temps à l'hôpital et puis un quart temps pour l'aider sur la partie administrative et puis je verrais la famille. Et puis petit à petit, l'entreprise grossissant, elle faisait un mi-temps à l'hôpital et un gros mi-temps à l'entreprise. Pour au final, je crois que c'est en 2007 qu'elle a arrêté complètement l'hôpital pour travailler à temps plein sur l'entreprise, pour l'aider au développement du réseau. Donc ma mère travaille en entreprise et j'ai ma sœur, Camille, qui est plus jeune que moi, qui a trois ans de moins. Et alors elle, son parcours, elle n'a jamais voulu apprendre le métier de paysagiste. Elle est partie faire des études de comptabilité. Alors mon père, il nous a toujours associés à l'entreprise. C'est-à-dire qu'on était là aux présentations de bilan. Donc comme c'était le métier de Camille, ça, ça l'intéressait. Et donc elle a fait son expérience dans des cabinets extérieurs. Et c'est en 2012. En fait, on est arrivés toutes les deux en même temps, en septembre 2012, dans l'entreprise. Donc, elle, sur la partie administrative et financière. Parce qu'en fait, quand elle est arrivée, c'était pour écrire, parce qu'elle est diplômée d'expertise comptable. Et donc, elle est arrivée pour écrire son mémoire. Donc, ce qu'on dit toujours, c'est que mon père, il n'a pas réussi à l'attirer sur la partie métier. Mais au moment d'écrire son mémoire, il lui a dit, ce serait bien que tu choisisses un thème sur la franchise. Et en fait, son thème de mémoire, c'était comment exporter une franchise internationale. Donc c'est pour ça qu'elle est rentrée dans l'entreprise, pour s'occuper de la partie administrative et financière, et pour écrire son mémoire sur l'international. Et donc au départ, c'était pas forcément, c'était temporaire. Enfin, je pense que dans sa tête, c'était temporaire pour repartir après peut-être en cabinet. Puis finalement, elle est restée et ça nous va bien. Donc en clair, on est trois associés. Donc les tâches, comment elles sont réparties ? Mon père, il s'occupe de la partie produits techniques, les fournisseurs. Il adore l'innovation toujours. chercher et faire évoluer les produits. Donc moi je m'occupe du commerce et de la communication. Et puis Camille, elle, administrative et financière, et puis la partie internationale. Alors, on est tous les quatre à travailler. Alors, je n'ai pas d'autres frères et sœurs. Donc, comme ça, tout le monde travaille. Et puis, on a nos maris aussi. Donc, mon mari, il est rentré dans l'entreprise en 2012 pour que je le forme. Et finalement, maintenant, c'est lui qui gère. Il est franchisé, il gère le site pilote de Paris Nier. et puis le mari de Camille il est rentré pour être associé avec mon mari sur l'entreprise pilote et là maintenant il gère son site à Laval, donc en fait nos deux maris sont franchisés, ce qui nous permet d'avoir un oeil sur l'activité parce que des fois on pourrait se dire qu'en tant que franchiseur on est loin du terrain, maintenant on a nos maris qui on sait exactement leur quotidien et on échange sur leurs problématiques de leur gestion d'entreprise. Pour Travailler en famille, chez nous, ça se passe bien parce que chacun a ses missions. Et finalement, on a la capacité à prendre des décisions dans notre cercle de compétences. Je vous disais tout à l'heure, mon père s'occupe des produits, ou alors il s'occupe de l'innovation. On le laisse un peu agir dans son périmètre. Moi, je m'occupe du commerce et de la communication, c'est pareil. On me donne des budgets parce que c'est moi qui dépense le plus. Et puis Camille, sur la partie administrative et financière, c'est ses compétences. En plus, ce qui nous va bien, c'est que moi, je n'aime pas ce que fait ma sœur et elle n'aime pas ce que je fais. Donc au final, je n'ai pas de risque d'aller empiéter. Et on a besoin des uns des autres. C'est-à-dire que c'est des métiers différents, mais qui doivent bien fonctionner. Donc ça, c'est la première chose. Et puis on se fait confiance. et on a la chance que notre père il nous a rapidement fait confiance et on a toujours échangé sur les prises de décision ça et on a On a fait beaucoup de formations, pris des consultants pour pouvoir avoir une fois par an, on faisait ce qu'on appelait un séminaire famille. Où on partait ? C'était un mélange entre vacances et pro, mais on travaillait en fait. Donc on choisissait un lieu où on partait en famille, donc nos maris participaient aussi, même s'ils n'étaient pas forcément dans le codire, et puis nos enfants. Donc en fait, on avait les moments de... Alors c'est ça, dans une entreprise familiale, tout se mélange. On peut très bien parler le dimanche midi autour du poulet de travail, et puis changer vite de sujet. de perso. On a fait ça depuis le début. Les deux ans, on fait un séminaire famille pour se mettre d'accord sur la stratégie. qui fait quoi, pour que chacun se sente bien à sa place, qu'on arrive à se dire les choses, parce qu'effectivement, des fois, il y a le perso. Le fait de bien se connaître, c'est aussi qu'on connaît les caractères des uns et des autres, donc on sait quand est-ce qu'il faut s'arrêter. Alors ça n'empêche que, des fois, peut-être pour les salariés, c'est un peu perturbant, parce qu'il peut y avoir des engueulades au bureau, mais... mais c'est la sphère familiale qui arrive et la sphère prof, tout se mélange. Voilà, ça c'est notre mode de fonctionnement à nous. Alors moi je suis animée par le développement, bien le commerce, d'avoir toujours des nouveaux clients. Et puis le travail en équipe, là c'est ce que je me disais en fait, quand on a une problématique, c'est d'échanger avec les équipes, puisque la bonne idée elle vient généralement pas de soi, après on la met en application et on la met en œuvre, mais c'est du travail collectif en fait. Et donc ça c'est vraiment chouette d'avoir une équipe avec qui on peut travailler. que tout le monde travaille dans le même sens. Moi je crois qu'un bon leader c'est quelqu'un qui est avec ses équipes sur le terrain, mais qui sait aussi prendre du recul. Parce que si on a tout le temps la tête dans le guidon et baissé, il faut savoir prendre du recul pour redéfinir des stratégies et puis voir plus clair et surtout plus loin. On doit donner une vision, définir la stratégie, vers quoi on veut aller. Et puis surtout aussi proche de ses équipes. d'être humain, d'avoir des ambitions, mais dans la convivialité.
- Speaker #1
Si vous deviez définir l'entreprenariat en un mot ?
- Speaker #0
Je dirais dynamisme.
- Speaker #1
Et donc, si vous deviez donner des conseils à une personne qui réfléchit à se lancer dans l'entreprenariat, qu'est-ce que vous auriez envie de lui dire ?
- Speaker #0
Moi je crois que c'est de se faire entourer et il y a plein de réseaux d'échange. Je suis adhérente au CJD et c'est vrai que c'est une école de l'entrepreneuriat. Ce matin j'étais à une réunion en visite des entreprises et on rentre dans les problématiques d'avoir un œil extérieur. Alors on ne fait pas du tout le même métier, c'est-à-dire qu'il y a toute activité différente. Finalement, être entrepreneur, il y a le produit qui change, mais nos métiers sont les mêmes. On a trois grands métiers en tant qu'entrepreneur. Le premier, c'est le commerce, c'est-à-dire qu'il y a un peu le choix, il faut trouver des clients. Et c'est vrai que c'est quand même la mission principale du patron. On peut avoir des commerciaux, mais pour moi, le patron doit être le premier vendeur de sa boîte. Le deuxième, c'est le management, puisque souvent on a besoin d'une équipe pour travailler, on ne peut pas travailler tout seul. Et puis la troisième, c'est la partie gestion administrative, parce qu'il faut faire du chiffre, mais après, c'est quand même la rentabilité. Si on veut durer dans le temps, il faut gagner de l'argent, sinon ça ne dure pas. Donc, c'est ces trois grands piliers qui sont importants.
- Speaker #1
Et alors, nous sommes en Mayenne. un département où l'entrepreneuriat est particulièrement dynamique. Est-ce que vous pouvez nous parler justement de ce lien avec la Mayenne ?
- Speaker #0
Alors, c'est vrai qu'on est très attachés à la Mayenne et notamment au Nord Mayenne. On est un réseau national. Alors, souvent, on travaille, on a beaucoup de partenaires, en fait, de fournisseurs locaux. Alors, on dit toujours... Quand on présente à nos franchisés un nouveau partenaire, un nouveau fournisseur, on explique pourquoi on travaille avec eux. Et puis toujours le plus, c'est que c'est un Mayennais. Donc forcément, ils savent qu'on est attaché à notre région. Et puis c'est vrai que pour nous, c'est beaucoup plus facile de travailler avec des agences locales que d'aller chercher des agences parisiennes. en fait on a beaucoup de compétences dans tous les domaines donc avant d'aller chercher des partenaires n'importe où on regarde si c'est pas possible de trouver la pépite en Mayenne et
- Speaker #1
si vous deviez définir la Mayenne en un mot ? simplicité merci beaucoup, merci Pauline pour tous ces échanges merci pour ce partage d'expérience et à très bientôt pour un nouvel épisode merci à vous Osons la Mayenne, c'est fini pour aujourd'hui. Merci de nous avoir suivis dans ce nouvel épisode de ces femmes extraordinaires qui osent entreprendre. À très bientôt pour un nouvel épisode.
- Speaker #0
Osons,
- Speaker #1
parcours féminin d'entrepreneurs engagés, un podcast être communication en partenariat avec le MEDEF de la Mayenne.