- Paul Raoul
Alors il y avait le morceau du premier album qui s'appelle... euh... Je connais pas bien les noms mais qui s'appelle Tropicana... Girl ! Typical Girl ! C'est drôle sinon c'est un monoprix, pourquoi pas ? Bienvenue dans un Paris Musique Express spécial puisque vous allez écouter les coulisses de l'émission avec des situations très inattendues et même plutôt cocasses. Pour ceux qui ne connaissent pas le principe de Paris Musique Express, c'est une émission au cours de laquelle je me promène avec mon micro dans des événements liés à la musique dans la capitale. Je ne sais jamais qui je vais rencontrer et comment va tourner l'ambiance. Vous vous doutez bien que je fais des montages pour avoir environ 15 minutes de podcast. Et pour ne pas passer les refus, les imprévus dérangeants, même parfois un peu trop décalés. Et justement, durant ce bêtisier, vous allez écouter les quelques moments que j'ai coupés pour ne pas les passer dans l'émission. Voici pour commencer un extrait du dernier Paris Music Express sur l'étrange marché de Noël au Bouillon dans le 20e arrondissement. J'allais descendre voir les exposants du sous-sol du Bouillon. Alors, l'étrange marché des créateurs, c'est également au sous-sol. On va descendre, hein, parce qu'il y a un sous-sol, c'est ça ? Oui, c'est ça, exactement. Mais t'es qui, toi ? Alors, moi, je m'appelle Paul Raoul. Ok. Et j'ai un podcast qui s'appelle Paris Musique Express. Ok. Et alors, l'idée, c'est que je me balade, en fait, dans des lieux insolites musicaux, comme ici, tous les dix jours. Et puis, je rencontre des gens comme toi. Et toi, tu viens faire quoi, ici ? Eh bien, écoute, moi, je suis créatrice, j'organise le... Avec TAGA, alors ? Avec Taga, exact. Exactement, voilà. C'est pas bien, c'est pas bien. Normalement, c'est moi qui est en série. Avec Fred, si vous avez écouté le podcast, il y a quelques jours, Fred, c'est le chanteur du groupe. De Skarface. De Skarface. Dans ma baignoire. Et je suis aussi la chanteuse des Flugs. Ah oui, ah oui. Créatrice, organisatrice, chanteuse. Enfin, je vais te dire, on n'arrête plus le talent. Et je suis aussi avec une des musiciennes de Skarface. Oui, bonjour. Bonjour, ça va ? Oui, bonjour. Merci. C'est Léline. Non, moi, c'est Betty. Betty. Je savais que ça terminait par un I. Oui. Mais bravo à Julie Des flug. Comme quoi. À Julie, voilà. Julie Desflog. C'est pareil. En tout cas, ici, c'est la bonne ambiance. Une super ambiance. On est au Bouillon, ici. C'est très, très rock'n'roll. On s'amuse bien. Et moi, je vais aller au sous-sol. Je vais aller au sous-sol. On va aller voir ce qu'il s'y passe. Quand je me retrouve avec les actrices du spectacle sur les slits au théâtre de la Scala et que j'oublie le nom de la chanson qui a fait connaître le groupe. J'ai remarqué qu'il y avait deux morceaux des slits qui étaient dans le spectacle. Dans tout le spectacle, il y avait deux morceaux des Slits. Il y en avait un troisième. Oui, il y en avait un troisième. Quel morceau a été caché ? Il y avait le morceau du premier album qui s'appelle... Je ne connais pas bien les noms, mais qui s'appelle Tropicana Girl. Typical Girl ! Typical Girl. C'est drôle, sinon c'est un ondule de fruits, pourquoi pas ? Je suis avec Renaud Monfourny, le photographe attitré des arts occupatifs depuis les débuts du magazine et je confonds les prises de vue et nous sommes à Librairie Parallèle. Alors, en fait, il y a des clichés qui sont très très connus de toi. C'est notamment les clichés de Kurt Cobain où le chanteur prend le pistolet pour faire semblant de se tirer dessus. Tu as photographié ça.
- Speaker #1
Là, tu vas faire du montage parce que ce n'est pas du tout moi. Ah bon,
- Paul Raoul
d'accord. Non, ce n'est pas toi.
- Speaker #1
t'as photographié les cordes common ah oui mais pas avec un pistolet t'es persuadé que c'était toi ça c'est des photos en couleur de Youri Lanquette qui l'a faite juste des conditions une fois je l'ai rencontré il m'a raconté ça des conditions rocambolaises je me souviens pas ça n'a rien à voir c'est pas grave ça sera coupé
- Paul Raoul
Paris Music Express en balade avec Paul Raoul. Alors, tu as été photographe attitré des magazines des Inrockuptibles depuis près de 30 ans. Tu étais carrément là au début, n'est-ce pas ?
- Speaker #1
Oui, depuis 1986,
- Paul Raoul
donc ça fait 30 ans,
- Speaker #1
ça, non ?
- Paul Raoul
Et tu étais là aussi à la base avec Jean-Daniel Beauvalet, avec Christophe Chevret, Christian Févret.
- Speaker #1
Oui, il faut pas écorcher son nom, c'est quand même mieux qu'à créer le journal.
- Paul Raoul
Pardon. Il ne faut pas citer de marque, mais on le fait quand même, durant la Sono Expo Porte Maillot. Alors là, en fait, ce qui m'a attiré, c'est de voir des t-shirts de jolies filles, il faut préciser, mais avec des t-shirts Dolby
- Speaker #2
Surround. On n'a pas le droit de...
- Paul Raoul
De mettre des marques. Non,
- Speaker #2
non. On n'a pas le droit de communiquer sur la marque.
- Paul Raoul
D'accord, on ne va pas communiquer sur la marque, je vais faire autrement. Alors, je suis devant la salle qui s'appelle le Grand Bleu. Le Grand Bleu, une musique composée par Eric Serra. Est-ce que vous êtes là en lien justement avec cette salle ?
- Speaker #2
Alors oui, nous, on est là pour faire des écoutes au casque. En fait, la séance, elle est en Dolby Atmos. Donc Eric Serra, il a remixé son album en Dolby Atmos. Et donc nous, on fait juste des écoutes au casque pour avoir une petite idée.
- Paul Raoul
Si on va dans la salle, on va avoir le même son qu'en casque ?
- Speaker #2
C'est la même technologie. Après, dans la salle, il y a plusieurs... Vous allez avoir... Déjà vous allez être dans des fauteuils, il va y avoir plusieurs enceintes, vous allez être assis. Donc forcément c'est pas la même expérience, c'est un peu comme si vous étiez à la maison, là c'est si vous étiez dans la rue.
- Paul Raoul
D'accord, incroyable, superbe. Je peux écouter un peu la musique ?
- Speaker #2
Par contre je pense que vous n'avez pas du tout le droit de diffuser ça.
- Paul Raoul
Non je ne vais pas diffuser la musique.
- Speaker #2
Non mais ce que je viens de dire.
- Paul Raoul
Pourquoi ?
- Speaker #2
Parce que moi je ne suis pas apte à communiquer sur la marque.
- Paul Raoul
Ok, mais tu as cité la marque en plus. Oui.
- Speaker #2
Et après tu l'as cité.
- Paul Raoul
en fait on a parlé du grand bleu surtout d'accord ? non mais t'auras pas de problème pour l'anniversaire du disquaire Born Bad c'est la bonne humeur à la maroquinerie entre les concerts je m'attendais à voir un DJ avec un accent j'ai pas d'accent Fred Dajang Oh putain, qu'est-ce que tu veux ? Ah voilà ! Tu veux un accent ? Ah attention, attention ! Alors voilà ! Attention, attention, attention ! Si tu peux me permettre, voilà Junior qui nous rejoint. Junior, hors clavier de frustration, mais sans prestation et sans clavier ce soir. Mais DJ aussi. Avec toi ? En battle ? Non, non, non, en battle, en battle, en battle. Il s'appelle Fred Campion. Qui t'accueille de moi ! Fred Grosfion, Fred Troupion ou Fred Norfion, c'est comme tu non non non Fred en fait tu es DJ ce soir il faut quand même préciser que Fred c'est aussi le synthé, ils sont un peu énervés c'est le début de la soirée, tu es ici le clavier de frustration et ce soir en fait Marc bien sûr qui est ton ami, t'as invité à faire le DJ set c'est exactement ça, c'est ce soir, c'est mon soir Paris Music Express en balade avec Paul Raoul... Moi je suis venu voir Alvida, que je connais déjà, que j'ai vu beaucoup de fois en live, mais que j'allais voir parce que c'était des copines aussi. Plutôt Sixties hein ? J'irai pas jusque là, je dirais plutôt Power Pop. Salut Estulier alors ? Je suis avec Pat également de Frustration. J'ai voulu te faire punir mais... Non mais tu vois c'est pas... Et en fait ça a complètement foiré mon corps. Ça a fait une rolle. Et alors toi t'es bassiste de Frustration ? Ah ouais ? Non ? C'est comme je te dis... Excusez-moi. On va faire une interview doublée. C'est pour qui ? En fait, ça s'appelle Paris Music Express. C'est juste une chronique immersive dans la soirée. Un micro, ça peut être intimidant. Surtout au festival pop festival Ausha Indépendant. Paris Pop Festival. Et je suis avec... Emmanuel, je ne sais pas si c'est son créateur, Emmanuel, tu es créateur ou le... Programmateur. Est-ce que tu peux te présenter Emmanuel ? Ah oui, je suis Emmanuel,
- Speaker #3
un des cofondateurs du Paris Peuple Passe.
- Paul Raoul
D'accord. Et c'est tout. Alors, c'est cofondateur et aussi organisateur ? Oui,
- Speaker #3
oui, oui, bien sûr.
- Paul Raoul
Alors, ça consiste en quoi ? Tu fais quoi ? Tu fais la programmation, la production ? Ah bon ? Tu devais être coupé. Ah d'accord. C'est pas un direct. Ok, ok. Non, t'en fais pas. Il y a des trucs, tu vois. Je prends comme ça, un peu dépourvu. Ah oui, après, tu vois. Et moi, je coupe parce que ça dure un quart d'heure. Et en fait, tout à l'heure, je vais interroger Philippe Lavergne, tout ça. Il n'est pas là. Oui, d'accord. Il y a deux autres du groupe, mais Philippe n'est pas là. Ah ok, c'est pas grave. Je vais poser les questions aux deux autres groupes. Donc, tu vois, en fait, cool. Puisque vraiment, on coupe. Des râteaux, j'en ai eu plusieurs. En voici un avec un DJ célèbre dont je tairai le nom pour l'occasion. Je fais un podcast qui s'appelle Paris Music Express. Je vais avec mon micro dans des lieux un peu insolites. Et donc là, je vais avec mon micro ici. pour parler de musique, etc. Et je rencontre Hubert. Je peux quand même poser une ou deux questions à Hubert ? Non, là franchement pas maintenant. Là c'est pas l'idée en fait. On commence le truc. D'accord, c'est juste que... On va rediscuter. C'est pas possible ? Non. Dommage. On va faire un peu... On va en faire une de la même. D'accord. Ok. Il n'y a pas de vide du truc. Ouais, ouais. Je vais tout le monde faire. Je vais tout le monde faire. Là je l'en sors. En plus je viens de me faire... Tu sais que là je viens de me tabler 15 jours de me faire des vidéos. Et je demande des... T'en as marre. d'accord alors combien de fois nous retrouvons l'intervue et moi avec un trou de mémoire ça se passe cette fois-ci à la librairie de Paris Place Clichy D'accord, alors pourquoi en fait c'est faux ? Parce que la légende dit, puisque c'est peut-être une légende après tout, dit qu'effectivement Factory aurait dépensé un fric fou pour la pochette parce que Peter Saville avait un caprice, il voulait faire une pochette avec le fameux slide, on va dire, informatique, et ça a coûté très très cher. Alors c'est un mythe, c'est une légende, c'est quelque chose qui n'est pas vrai ?
- Speaker #3
En fait, ce n'est pas tout à fait vrai, c'est vrai juste sur les premiers, les 10 000 ou 20 000 premiers 45 tours. parce que c'est un maxi 45 tours mais dès les 50 000 exemplaires ils avaient tout rectifié à l'usine ils avaient tout transformé et donc ils ont gagné beaucoup d'argent avec et en fait c'est une légende que comment s'appelle-t-il le patron de factory
- Paul Raoul
Alan attend attend comment il s'appelle le patron de factory déjà il est connu non attends c'est l'autre tu couperas bien sûr Moi c'est pareil, j'ai un trou là.
- Speaker #3
Alan Wilson. Anthony !
- Paul Raoul
Anthony ! Anthony !
- Speaker #3
J'ai rien avisé moi.
- Paul Raoul
Anthony, c'est pas Anthony ? Anthony, c'est pas Anthony ? En fait il était animateur chez... Tony Wilson. Donc on repart avec Tony Wilson.
- Speaker #3
En fait c'est une légende, Tony Wilson le patron Factory. Il savait très bien où était son intérêt. Donc, il a perpétué le mythe parce que l'histoire des losers magnifiques, c'était génial par rapport à l'histoire de New Order.
- Paul Raoul
C'est une belle histoire du coup. Alors, quand je viens à l'improviste, j'échange parfois ma place, comme dans ces circonstances, contre une bière. Bien sûr, à boire avec modération. Et ça se passe à la convention David Bowie à la Java dans le 10e. Alors moi, en fait, c'est pas le numéro. Il fallait réserver ? Moi, je m'appelle Paul Raoul. Mais je suis pas dedans. Je m'appelle Paul Raoul, je suis pas dedans. C'est moi. C'est moi. On a le monsieur qui a été appelé Isa. Le monsieur, il a pas réservé. Il a pas réservé. Ça engage. c'est vrai qu'est-ce que j'ai comme gage ? elle a un terrain vodka majeure à souterra oh non on peut vous payer une bière si vous voulez alors là alors là 156 en fait je m'appelle Paul Raoul et je fais une petite... c'est Raoul je fais une... en fait je suis animateur animateur pour Paris Musique Express c'est une émission immersive qui dure pas longtemps, c'est une chronique qui est émise à Rennes, sur une radio de Rennes, c'est son podcast. Ok, et voilà. Je regarde si j'ai rien oublié. Tatatatata. Et bien c'est tout. C'est la fin de ce 29e épisode de Paris Musique Express. Un épisode très détendu pour bien députer l'année. Mille merci à vous d'être restés jusqu'au bout. Merci à toutes les personnes rencontrées lors des 28 émissions de Paris Musique Express. Si vous voulez, vous pouvez me laisser un avis sur les plateformes d'écoute. Déposez 5 étoiles sur Spotify par exemple. Et pour ne rater aucun épisode, surtout abonnez-vous. Si vous connaissez des endroits insolites musicaux, dites-le moi en commentaire ou sur les réseaux sociaux. de Paris Music Express. Je vous donne rendez-vous bientôt pour un nouvel épisode. Portez-vous bien, bye bye, et puis belle année 2025.