Et si vous arrêtiez de porter ce qui ne vous appartient pas ? Parlons Introspection cover
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Parlons Introspection – Clarté intérieure | Estime de soi | Coaching intuitif & numérologie stratégique® | Podcast introspectif

Et si vous arrêtiez de porter ce qui ne vous appartient pas ? Parlons Introspection

Et si vous arrêtiez de porter ce qui ne vous appartient pas ? Parlons Introspection

07min |16/10/2025|

17

Play
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Description

Appel clarté : https://calendly.com/vemilome/appel-clarte-45-mn


Je suis coach Véronique Milome, j'aide les entrepreneuses et le femmes en transition à sortir du flou et du brouillard mental grâce à ma méthode unique qui allie coaching et numérologie stratégique®. Rapidement elles gagnent en clarté, en confiance en elles et prennent de décisions qui leur ressemble.


Découvrez mon univers ici : https://catalysons-vos-atouts.com


Que portez-vous qui ne vous appartient pas ?

Cette question peut sembler anodine… mais elle a bouleversé quelque chose en moi récemment.


Dans cet épisode plus personnel de Parlons Introspection, je vous parle d’un moment fort que j’ai vécu en séance avec une thérapeute énergétique. Ce moment où j’ai réalisé à quel point je continuais — malgré tout le chemin parcouru — à porter des charges émotionnelles qui ne m’appartiennent pas.


Des responsabilités prises trop jeune.

Des émotions contenues pour ne pas déranger.

Des peurs enfouies pour protéger les autres.


Et une posture devenue presque identitaire : celle de ne pas faire de vagues, de ne pas se plaindre, de s’effacer pour être aimée.


Dans cet épisode, je partage ce que cela m’a coûté.

Mais aussi ce que cela m’a permis d’apprendre sur moi, sur les liens, et sur ce que nous choisissons — ou non — de continuer à entretenir dans nos relations.


J’aborde aussi une vérité parfois difficile : il est plus douloureux de faire le deuil d’un lien idéalisé que de celui d’une relation absente.

Et comment, parfois, l’amour de soi commence par accepter de lâcher ce qui nous abîme.


Ce que vous trouverez dans cet épisode :

  • Une réflexion intime sur les schémas relationnels inconscients

  • La différence entre "aimer" et "porter pour l’autre"

  • Un éclairage sur la posture de l’enfant responsable

  • Le processus du deuil d’un idéal relationnel

  • Et cette phrase qui m’a libérée : "Ce n’est pas à toi de porter ça."


Cet épisode s’adresse à toutes celles et ceux qui se sentent souvent "forts pour les autres" mais épuisés intérieurement.

À celles qui ont appris à taire leurs émotions.

Et à celles qui veulent apprendre à se reconnecter à elles-mêmes sans culpabiliser de lâcher ce qui n’est pas à elles.


Vous aimez cet épisode ? Voici comment le soutenir :

  • Laissez-lui 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée

  • Partagez-le autour de vous, à trois personnes que cela pourrait toucher

  • Déposez un commentaire sur YouTube ou Spotify, je lis chaque mot avec attention


Merci pour votre écoute et votre fidélité précieuses.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Véronique

    Bonjour et bienvenue dans Parlons Introspection, le podcast qui vous aide à sortir du flou et à retrouver de la clarté quand vos décisions semblent tourner en rond. Je suis Véronique Milome, coach certifié RNCP niveau 7, intuitive et formée à la numérologie stratégique. Ici, je partage des clés simples, des éclairages et des échanges inspirants pour vous aider à décider avec plus de justesse. Je vous souhaite une très bonne écoute. Bonjour à toutes et à tous. Aujourd'hui, j'ai envie de partager quelque chose de plus personnel. Un apprentissage récent qui vient résonner avec un travail entamé depuis longtemps, mais qui a pris une nouvelle forme grâce à une séance que j'ai vécue avec une thérapeute énergétique. Ce que je vais vous livrer ici ne relève pas d'un savoir théorique ou d'une méthode. C'est une expérience intime, une prise de conscience qui m'a profondément touchée. et qui je crois pourra faire écho chez certaines d'entre vous. Ce qui a émergé pendant cette séance, c'est cette phrase « Vous pouvez rendre les fardeaux qui ne vous appartiennent pas » . Cela peut paraître simple, voire évident, mais c'est une prise de conscience quand on se rend compte qu'on porte depuis des années des charges qui ne sont pas les nôtres. Je me suis vue enfant, me suradapter, cacher mes peines, minimiser mes peurs. Ne pas exprimer mes besoins pour ne pas inquiéter, pour ne pas déranger, pour ne pas faire de vagues. En apparence, cela pouvait ressembler à de la maturité ou de la force, mais en réalité c'était une forme de protection, une tentative de ne pas alourdir ce que j'aimais. Ce réflexe, je l'ai longtemps gardé. Il est devenu une posture, puis une part de mon identité. En voulant protéger les autres, j'ai oublié que je pouvais aussi avoir besoin d'aide. Je me suis longtemps tue, effacée, adaptée, et j'ai cru que c'était normal, que c'était ça être forte. Mais la vraie force, c'est peut-être de reconnaître ce qui ne nous appartient pas, et de le rendre, sans colère, juste avec lucidité. Parce que c'est seulement quand on dépose les fardeaux des autres, qu'on peut commencer à prendre soin de soi. Et pourtant, ce n'est pas ma responsabilité de porter ce que d'autres ne peuvent pas ou ne veulent pas regarder. Rendre les fardeaux, ce n'est pas accuser, ce n'est pas rejeter. C'est simplement reconnaître que chacun a la responsabilité de ce qu'il porte ou non. et que moi, j'ai le droit de poser ce qui n'est pas à moi. Ce qui m'a frappée, c'est de voir à quel point cette posture m'a aussi privée d'un droit fondamental, celui d'être aidée, soutenue, rejointe dans ma vulnérabilité. En voulant épargner les autres, j'ai souvent oublié de m'inclure dans l'équation. J'ai appris à me taire, à me faire discrète, à effacer ce qui dépassait, comme si pour être aimée, il fallait devenir transparente. Ne pas faire de bruit, ne pas se plaindre, ne pas hésiter trop fort. Quand je dis cela, je mesure la violence que ça représente. Et je crois que ce sont ces traces-là, souvent invisibles, qui laissent les blessures les plus profondes. Alors, j'ai cherché longtemps à comprendre, à donner du sens, à observer les liens, les comportements, les silences. Cette quête naît d'un besoin de survie. au départ est devenu un moteur puissant. C'est ce qui m'a poussée vers le développement personnel, la communication ou la connaissance de soi. Et aujourd'hui, vers le coaching et la numérologie stratégique ou le human design qui me permettent d'accompagner à mon tour celles et ceux qui cherchent à se retrouver. Mais cette quête m'a aussi appris autre chose récemment, que nos liens sont des choix, parfois inconscients, mais parfois lucides. Ce que nous recherchons dans une relation, qu'elle soit familiale, amicale ou amoureuse, n'est jamais neutre. Nous cherchons de la chaleur, un écho, une reconnaissance ou une sécurité. Et quand ce que nous recevons en retour n'est pas à la hauteur de ce que nous espérions, alors vient le moment de regarder la relation en face, et peut-être de décider de prendre de la distance. Ce moment-là n'est pas simple. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de s'éloigner de quelqu'un, il s'agit de faire le deuil d'un espoir, d'un idéal, de ce qu'on aurait voulu vivre, recevoir ou incarner à deux. Et parfois ce deuil est plus douloureux que celui d'une personne qu'on a perdue. Parce qu'il nous confronte à notre propre illusion. Accepter de s'être trompé. Reconnaître qu'on s'est oublié. qu'on a toléré trop longtemps ce qui heurtait l'être que nous sommes. Ce n'est pas facile, mais c'est un pas vers soi, un vrai. Alors oui, cela prend du temps, pour digérer, pour apaiser, pour faire la paix. Mais un jour, vient le moment de la compassion, pour soi et pour l'autre. Et une forme de paix intérieure, presque silencieuse mais réelle. Tout cela, ces charges qu'on rend. Ces illusions qu'on laisse partir, ces émotions qu'on ose enfin accueillir, cela participe à notre apprentissage, à notre maturité et à notre sagesse. C'est de cela dont je voulais vous parler aujourd'hui. Non pas pour vous donner des réponses, mais peut-être pour vous inviter à vous poser certaines questions. Qu'est-ce que je porte qui ne m'appartient pas ? Qu'est-ce que je n'ose pas exprimer pour ne pas déranger ? Quel lien mériterait d'être repensé ou relâché ? Prenez ce qui résonne, laissez le reste. Et si cela vous parle, vous pourrez m'en faire part ou le partager à d'autres. Je vous remercie pour votre écoute et votre fidélité au travers de tous ces épisodes que je partage avec vous. Rappelez-vous, tout est déjà en vous. Je vous donne rendez-vous jeudi prochain pour un nouvel épisode de Parlons Introspection et d'ici là, portez-vous bien. Si vous avez besoin d'aide dans vos périodes de doute, de transition ou de reconversion, je peux vous accompagner pour y voir plus clair. Grâce à ma méthode spécifique et sur mesure pour vous. Utilisez la partie contact de mon site internet catalysons-vos-atouts.com Vous aimez Parlons Introspection, le podcast qui vous rapproche de votre bien-être en douceur et vous souhaitez le soutenir ? Partagez-le avec trois de vos amis, collègues ou votre famille. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée pour être notifié des nouveaux épisodes. Donnez-lui une note 5 étoiles sur Apple Podcast. Laissez un commentaire et vos impressions sur la chaîne YouTube Parlons Introspection. Je vous remercie chaleureusement pour votre fidélité et votre soutien. Et je vous dis à très vite.

Chapters

  • Introduction au podcast et présentation de Véronique Milome

    00:00

  • Une expérience personnelle révélatrice avec une thérapeute énergétique

    00:30

  • Prise de conscience sur les fardeaux émotionnels

    01:01

  • Reconnaître et rendre les fardeaux qui ne nous appartiennent pas

    02:03

  • Réflexions sur les relations et le deuil des attentes

    03:55

  • Questions introspectives pour les auditeurs

    05:53

  • Conclusion et invitation à la réflexion personnelle

    06:17

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Je suis coach Véronique Milome, j'aide les entrepreneuses et le femmes en transition à sortir du flou et du brouillard mental grâce à ma méthode unique qui allie coaching et numérologie stratégique®. Rapidement elles gagnent en clarté, en confiance en elles et prennent de décisions qui leur ressemble.


Découvrez mon univers ici : https://catalysons-vos-atouts.com


Que portez-vous qui ne vous appartient pas ?

Cette question peut sembler anodine… mais elle a bouleversé quelque chose en moi récemment.


Dans cet épisode plus personnel de Parlons Introspection, je vous parle d’un moment fort que j’ai vécu en séance avec une thérapeute énergétique. Ce moment où j’ai réalisé à quel point je continuais — malgré tout le chemin parcouru — à porter des charges émotionnelles qui ne m’appartiennent pas.


Des responsabilités prises trop jeune.

Des émotions contenues pour ne pas déranger.

Des peurs enfouies pour protéger les autres.


Et une posture devenue presque identitaire : celle de ne pas faire de vagues, de ne pas se plaindre, de s’effacer pour être aimée.


Dans cet épisode, je partage ce que cela m’a coûté.

Mais aussi ce que cela m’a permis d’apprendre sur moi, sur les liens, et sur ce que nous choisissons — ou non — de continuer à entretenir dans nos relations.


J’aborde aussi une vérité parfois difficile : il est plus douloureux de faire le deuil d’un lien idéalisé que de celui d’une relation absente.

Et comment, parfois, l’amour de soi commence par accepter de lâcher ce qui nous abîme.


Ce que vous trouverez dans cet épisode :

  • Une réflexion intime sur les schémas relationnels inconscients

  • La différence entre "aimer" et "porter pour l’autre"

  • Un éclairage sur la posture de l’enfant responsable

  • Le processus du deuil d’un idéal relationnel

  • Et cette phrase qui m’a libérée : "Ce n’est pas à toi de porter ça."


Cet épisode s’adresse à toutes celles et ceux qui se sentent souvent "forts pour les autres" mais épuisés intérieurement.

À celles qui ont appris à taire leurs émotions.

Et à celles qui veulent apprendre à se reconnecter à elles-mêmes sans culpabiliser de lâcher ce qui n’est pas à elles.


Vous aimez cet épisode ? Voici comment le soutenir :

  • Laissez-lui 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée

  • Partagez-le autour de vous, à trois personnes que cela pourrait toucher

  • Déposez un commentaire sur YouTube ou Spotify, je lis chaque mot avec attention


Merci pour votre écoute et votre fidélité précieuses.


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Transcription

  • Véronique

    Bonjour et bienvenue dans Parlons Introspection, le podcast qui vous aide à sortir du flou et à retrouver de la clarté quand vos décisions semblent tourner en rond. Je suis Véronique Milome, coach certifié RNCP niveau 7, intuitive et formée à la numérologie stratégique. Ici, je partage des clés simples, des éclairages et des échanges inspirants pour vous aider à décider avec plus de justesse. Je vous souhaite une très bonne écoute. Bonjour à toutes et à tous. Aujourd'hui, j'ai envie de partager quelque chose de plus personnel. Un apprentissage récent qui vient résonner avec un travail entamé depuis longtemps, mais qui a pris une nouvelle forme grâce à une séance que j'ai vécue avec une thérapeute énergétique. Ce que je vais vous livrer ici ne relève pas d'un savoir théorique ou d'une méthode. C'est une expérience intime, une prise de conscience qui m'a profondément touchée. et qui je crois pourra faire écho chez certaines d'entre vous. Ce qui a émergé pendant cette séance, c'est cette phrase « Vous pouvez rendre les fardeaux qui ne vous appartiennent pas » . Cela peut paraître simple, voire évident, mais c'est une prise de conscience quand on se rend compte qu'on porte depuis des années des charges qui ne sont pas les nôtres. Je me suis vue enfant, me suradapter, cacher mes peines, minimiser mes peurs. Ne pas exprimer mes besoins pour ne pas inquiéter, pour ne pas déranger, pour ne pas faire de vagues. En apparence, cela pouvait ressembler à de la maturité ou de la force, mais en réalité c'était une forme de protection, une tentative de ne pas alourdir ce que j'aimais. Ce réflexe, je l'ai longtemps gardé. Il est devenu une posture, puis une part de mon identité. En voulant protéger les autres, j'ai oublié que je pouvais aussi avoir besoin d'aide. Je me suis longtemps tue, effacée, adaptée, et j'ai cru que c'était normal, que c'était ça être forte. Mais la vraie force, c'est peut-être de reconnaître ce qui ne nous appartient pas, et de le rendre, sans colère, juste avec lucidité. Parce que c'est seulement quand on dépose les fardeaux des autres, qu'on peut commencer à prendre soin de soi. Et pourtant, ce n'est pas ma responsabilité de porter ce que d'autres ne peuvent pas ou ne veulent pas regarder. Rendre les fardeaux, ce n'est pas accuser, ce n'est pas rejeter. C'est simplement reconnaître que chacun a la responsabilité de ce qu'il porte ou non. et que moi, j'ai le droit de poser ce qui n'est pas à moi. Ce qui m'a frappée, c'est de voir à quel point cette posture m'a aussi privée d'un droit fondamental, celui d'être aidée, soutenue, rejointe dans ma vulnérabilité. En voulant épargner les autres, j'ai souvent oublié de m'inclure dans l'équation. J'ai appris à me taire, à me faire discrète, à effacer ce qui dépassait, comme si pour être aimée, il fallait devenir transparente. Ne pas faire de bruit, ne pas se plaindre, ne pas hésiter trop fort. Quand je dis cela, je mesure la violence que ça représente. Et je crois que ce sont ces traces-là, souvent invisibles, qui laissent les blessures les plus profondes. Alors, j'ai cherché longtemps à comprendre, à donner du sens, à observer les liens, les comportements, les silences. Cette quête naît d'un besoin de survie. au départ est devenu un moteur puissant. C'est ce qui m'a poussée vers le développement personnel, la communication ou la connaissance de soi. Et aujourd'hui, vers le coaching et la numérologie stratégique ou le human design qui me permettent d'accompagner à mon tour celles et ceux qui cherchent à se retrouver. Mais cette quête m'a aussi appris autre chose récemment, que nos liens sont des choix, parfois inconscients, mais parfois lucides. Ce que nous recherchons dans une relation, qu'elle soit familiale, amicale ou amoureuse, n'est jamais neutre. Nous cherchons de la chaleur, un écho, une reconnaissance ou une sécurité. Et quand ce que nous recevons en retour n'est pas à la hauteur de ce que nous espérions, alors vient le moment de regarder la relation en face, et peut-être de décider de prendre de la distance. Ce moment-là n'est pas simple. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de s'éloigner de quelqu'un, il s'agit de faire le deuil d'un espoir, d'un idéal, de ce qu'on aurait voulu vivre, recevoir ou incarner à deux. Et parfois ce deuil est plus douloureux que celui d'une personne qu'on a perdue. Parce qu'il nous confronte à notre propre illusion. Accepter de s'être trompé. Reconnaître qu'on s'est oublié. qu'on a toléré trop longtemps ce qui heurtait l'être que nous sommes. Ce n'est pas facile, mais c'est un pas vers soi, un vrai. Alors oui, cela prend du temps, pour digérer, pour apaiser, pour faire la paix. Mais un jour, vient le moment de la compassion, pour soi et pour l'autre. Et une forme de paix intérieure, presque silencieuse mais réelle. Tout cela, ces charges qu'on rend. Ces illusions qu'on laisse partir, ces émotions qu'on ose enfin accueillir, cela participe à notre apprentissage, à notre maturité et à notre sagesse. C'est de cela dont je voulais vous parler aujourd'hui. Non pas pour vous donner des réponses, mais peut-être pour vous inviter à vous poser certaines questions. Qu'est-ce que je porte qui ne m'appartient pas ? Qu'est-ce que je n'ose pas exprimer pour ne pas déranger ? Quel lien mériterait d'être repensé ou relâché ? Prenez ce qui résonne, laissez le reste. Et si cela vous parle, vous pourrez m'en faire part ou le partager à d'autres. Je vous remercie pour votre écoute et votre fidélité au travers de tous ces épisodes que je partage avec vous. Rappelez-vous, tout est déjà en vous. Je vous donne rendez-vous jeudi prochain pour un nouvel épisode de Parlons Introspection et d'ici là, portez-vous bien. Si vous avez besoin d'aide dans vos périodes de doute, de transition ou de reconversion, je peux vous accompagner pour y voir plus clair. Grâce à ma méthode spécifique et sur mesure pour vous. Utilisez la partie contact de mon site internet catalysons-vos-atouts.com Vous aimez Parlons Introspection, le podcast qui vous rapproche de votre bien-être en douceur et vous souhaitez le soutenir ? Partagez-le avec trois de vos amis, collègues ou votre famille. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée pour être notifié des nouveaux épisodes. Donnez-lui une note 5 étoiles sur Apple Podcast. Laissez un commentaire et vos impressions sur la chaîne YouTube Parlons Introspection. Je vous remercie chaleureusement pour votre fidélité et votre soutien. Et je vous dis à très vite.

Chapters

  • Introduction au podcast et présentation de Véronique Milome

    00:00

  • Une expérience personnelle révélatrice avec une thérapeute énergétique

    00:30

  • Prise de conscience sur les fardeaux émotionnels

    01:01

  • Reconnaître et rendre les fardeaux qui ne nous appartiennent pas

    02:03

  • Réflexions sur les relations et le deuil des attentes

    03:55

  • Questions introspectives pour les auditeurs

    05:53

  • Conclusion et invitation à la réflexion personnelle

    06:17

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Je suis coach Véronique Milome, j'aide les entrepreneuses et le femmes en transition à sortir du flou et du brouillard mental grâce à ma méthode unique qui allie coaching et numérologie stratégique®. Rapidement elles gagnent en clarté, en confiance en elles et prennent de décisions qui leur ressemble.


Découvrez mon univers ici : https://catalysons-vos-atouts.com


Que portez-vous qui ne vous appartient pas ?

Cette question peut sembler anodine… mais elle a bouleversé quelque chose en moi récemment.


Dans cet épisode plus personnel de Parlons Introspection, je vous parle d’un moment fort que j’ai vécu en séance avec une thérapeute énergétique. Ce moment où j’ai réalisé à quel point je continuais — malgré tout le chemin parcouru — à porter des charges émotionnelles qui ne m’appartiennent pas.


Des responsabilités prises trop jeune.

Des émotions contenues pour ne pas déranger.

Des peurs enfouies pour protéger les autres.


Et une posture devenue presque identitaire : celle de ne pas faire de vagues, de ne pas se plaindre, de s’effacer pour être aimée.


Dans cet épisode, je partage ce que cela m’a coûté.

Mais aussi ce que cela m’a permis d’apprendre sur moi, sur les liens, et sur ce que nous choisissons — ou non — de continuer à entretenir dans nos relations.


J’aborde aussi une vérité parfois difficile : il est plus douloureux de faire le deuil d’un lien idéalisé que de celui d’une relation absente.

Et comment, parfois, l’amour de soi commence par accepter de lâcher ce qui nous abîme.


Ce que vous trouverez dans cet épisode :

  • Une réflexion intime sur les schémas relationnels inconscients

  • La différence entre "aimer" et "porter pour l’autre"

  • Un éclairage sur la posture de l’enfant responsable

  • Le processus du deuil d’un idéal relationnel

  • Et cette phrase qui m’a libérée : "Ce n’est pas à toi de porter ça."


Cet épisode s’adresse à toutes celles et ceux qui se sentent souvent "forts pour les autres" mais épuisés intérieurement.

À celles qui ont appris à taire leurs émotions.

Et à celles qui veulent apprendre à se reconnecter à elles-mêmes sans culpabiliser de lâcher ce qui n’est pas à elles.


Vous aimez cet épisode ? Voici comment le soutenir :

  • Laissez-lui 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée

  • Partagez-le autour de vous, à trois personnes que cela pourrait toucher

  • Déposez un commentaire sur YouTube ou Spotify, je lis chaque mot avec attention


Merci pour votre écoute et votre fidélité précieuses.


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Transcription

  • Véronique

    Bonjour et bienvenue dans Parlons Introspection, le podcast qui vous aide à sortir du flou et à retrouver de la clarté quand vos décisions semblent tourner en rond. Je suis Véronique Milome, coach certifié RNCP niveau 7, intuitive et formée à la numérologie stratégique. Ici, je partage des clés simples, des éclairages et des échanges inspirants pour vous aider à décider avec plus de justesse. Je vous souhaite une très bonne écoute. Bonjour à toutes et à tous. Aujourd'hui, j'ai envie de partager quelque chose de plus personnel. Un apprentissage récent qui vient résonner avec un travail entamé depuis longtemps, mais qui a pris une nouvelle forme grâce à une séance que j'ai vécue avec une thérapeute énergétique. Ce que je vais vous livrer ici ne relève pas d'un savoir théorique ou d'une méthode. C'est une expérience intime, une prise de conscience qui m'a profondément touchée. et qui je crois pourra faire écho chez certaines d'entre vous. Ce qui a émergé pendant cette séance, c'est cette phrase « Vous pouvez rendre les fardeaux qui ne vous appartiennent pas » . Cela peut paraître simple, voire évident, mais c'est une prise de conscience quand on se rend compte qu'on porte depuis des années des charges qui ne sont pas les nôtres. Je me suis vue enfant, me suradapter, cacher mes peines, minimiser mes peurs. Ne pas exprimer mes besoins pour ne pas inquiéter, pour ne pas déranger, pour ne pas faire de vagues. En apparence, cela pouvait ressembler à de la maturité ou de la force, mais en réalité c'était une forme de protection, une tentative de ne pas alourdir ce que j'aimais. Ce réflexe, je l'ai longtemps gardé. Il est devenu une posture, puis une part de mon identité. En voulant protéger les autres, j'ai oublié que je pouvais aussi avoir besoin d'aide. Je me suis longtemps tue, effacée, adaptée, et j'ai cru que c'était normal, que c'était ça être forte. Mais la vraie force, c'est peut-être de reconnaître ce qui ne nous appartient pas, et de le rendre, sans colère, juste avec lucidité. Parce que c'est seulement quand on dépose les fardeaux des autres, qu'on peut commencer à prendre soin de soi. Et pourtant, ce n'est pas ma responsabilité de porter ce que d'autres ne peuvent pas ou ne veulent pas regarder. Rendre les fardeaux, ce n'est pas accuser, ce n'est pas rejeter. C'est simplement reconnaître que chacun a la responsabilité de ce qu'il porte ou non. et que moi, j'ai le droit de poser ce qui n'est pas à moi. Ce qui m'a frappée, c'est de voir à quel point cette posture m'a aussi privée d'un droit fondamental, celui d'être aidée, soutenue, rejointe dans ma vulnérabilité. En voulant épargner les autres, j'ai souvent oublié de m'inclure dans l'équation. J'ai appris à me taire, à me faire discrète, à effacer ce qui dépassait, comme si pour être aimée, il fallait devenir transparente. Ne pas faire de bruit, ne pas se plaindre, ne pas hésiter trop fort. Quand je dis cela, je mesure la violence que ça représente. Et je crois que ce sont ces traces-là, souvent invisibles, qui laissent les blessures les plus profondes. Alors, j'ai cherché longtemps à comprendre, à donner du sens, à observer les liens, les comportements, les silences. Cette quête naît d'un besoin de survie. au départ est devenu un moteur puissant. C'est ce qui m'a poussée vers le développement personnel, la communication ou la connaissance de soi. Et aujourd'hui, vers le coaching et la numérologie stratégique ou le human design qui me permettent d'accompagner à mon tour celles et ceux qui cherchent à se retrouver. Mais cette quête m'a aussi appris autre chose récemment, que nos liens sont des choix, parfois inconscients, mais parfois lucides. Ce que nous recherchons dans une relation, qu'elle soit familiale, amicale ou amoureuse, n'est jamais neutre. Nous cherchons de la chaleur, un écho, une reconnaissance ou une sécurité. Et quand ce que nous recevons en retour n'est pas à la hauteur de ce que nous espérions, alors vient le moment de regarder la relation en face, et peut-être de décider de prendre de la distance. Ce moment-là n'est pas simple. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de s'éloigner de quelqu'un, il s'agit de faire le deuil d'un espoir, d'un idéal, de ce qu'on aurait voulu vivre, recevoir ou incarner à deux. Et parfois ce deuil est plus douloureux que celui d'une personne qu'on a perdue. Parce qu'il nous confronte à notre propre illusion. Accepter de s'être trompé. Reconnaître qu'on s'est oublié. qu'on a toléré trop longtemps ce qui heurtait l'être que nous sommes. Ce n'est pas facile, mais c'est un pas vers soi, un vrai. Alors oui, cela prend du temps, pour digérer, pour apaiser, pour faire la paix. Mais un jour, vient le moment de la compassion, pour soi et pour l'autre. Et une forme de paix intérieure, presque silencieuse mais réelle. Tout cela, ces charges qu'on rend. Ces illusions qu'on laisse partir, ces émotions qu'on ose enfin accueillir, cela participe à notre apprentissage, à notre maturité et à notre sagesse. C'est de cela dont je voulais vous parler aujourd'hui. Non pas pour vous donner des réponses, mais peut-être pour vous inviter à vous poser certaines questions. Qu'est-ce que je porte qui ne m'appartient pas ? Qu'est-ce que je n'ose pas exprimer pour ne pas déranger ? Quel lien mériterait d'être repensé ou relâché ? Prenez ce qui résonne, laissez le reste. Et si cela vous parle, vous pourrez m'en faire part ou le partager à d'autres. Je vous remercie pour votre écoute et votre fidélité au travers de tous ces épisodes que je partage avec vous. Rappelez-vous, tout est déjà en vous. Je vous donne rendez-vous jeudi prochain pour un nouvel épisode de Parlons Introspection et d'ici là, portez-vous bien. Si vous avez besoin d'aide dans vos périodes de doute, de transition ou de reconversion, je peux vous accompagner pour y voir plus clair. Grâce à ma méthode spécifique et sur mesure pour vous. Utilisez la partie contact de mon site internet catalysons-vos-atouts.com Vous aimez Parlons Introspection, le podcast qui vous rapproche de votre bien-être en douceur et vous souhaitez le soutenir ? Partagez-le avec trois de vos amis, collègues ou votre famille. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée pour être notifié des nouveaux épisodes. Donnez-lui une note 5 étoiles sur Apple Podcast. Laissez un commentaire et vos impressions sur la chaîne YouTube Parlons Introspection. Je vous remercie chaleureusement pour votre fidélité et votre soutien. Et je vous dis à très vite.

Chapters

  • Introduction au podcast et présentation de Véronique Milome

    00:00

  • Une expérience personnelle révélatrice avec une thérapeute énergétique

    00:30

  • Prise de conscience sur les fardeaux émotionnels

    01:01

  • Reconnaître et rendre les fardeaux qui ne nous appartiennent pas

    02:03

  • Réflexions sur les relations et le deuil des attentes

    03:55

  • Questions introspectives pour les auditeurs

    05:53

  • Conclusion et invitation à la réflexion personnelle

    06:17

Description

Appel clarté : https://calendly.com/vemilome/appel-clarte-45-mn


Je suis coach Véronique Milome, j'aide les entrepreneuses et le femmes en transition à sortir du flou et du brouillard mental grâce à ma méthode unique qui allie coaching et numérologie stratégique®. Rapidement elles gagnent en clarté, en confiance en elles et prennent de décisions qui leur ressemble.


Découvrez mon univers ici : https://catalysons-vos-atouts.com


Que portez-vous qui ne vous appartient pas ?

Cette question peut sembler anodine… mais elle a bouleversé quelque chose en moi récemment.


Dans cet épisode plus personnel de Parlons Introspection, je vous parle d’un moment fort que j’ai vécu en séance avec une thérapeute énergétique. Ce moment où j’ai réalisé à quel point je continuais — malgré tout le chemin parcouru — à porter des charges émotionnelles qui ne m’appartiennent pas.


Des responsabilités prises trop jeune.

Des émotions contenues pour ne pas déranger.

Des peurs enfouies pour protéger les autres.


Et une posture devenue presque identitaire : celle de ne pas faire de vagues, de ne pas se plaindre, de s’effacer pour être aimée.


Dans cet épisode, je partage ce que cela m’a coûté.

Mais aussi ce que cela m’a permis d’apprendre sur moi, sur les liens, et sur ce que nous choisissons — ou non — de continuer à entretenir dans nos relations.


J’aborde aussi une vérité parfois difficile : il est plus douloureux de faire le deuil d’un lien idéalisé que de celui d’une relation absente.

Et comment, parfois, l’amour de soi commence par accepter de lâcher ce qui nous abîme.


Ce que vous trouverez dans cet épisode :

  • Une réflexion intime sur les schémas relationnels inconscients

  • La différence entre "aimer" et "porter pour l’autre"

  • Un éclairage sur la posture de l’enfant responsable

  • Le processus du deuil d’un idéal relationnel

  • Et cette phrase qui m’a libérée : "Ce n’est pas à toi de porter ça."


Cet épisode s’adresse à toutes celles et ceux qui se sentent souvent "forts pour les autres" mais épuisés intérieurement.

À celles qui ont appris à taire leurs émotions.

Et à celles qui veulent apprendre à se reconnecter à elles-mêmes sans culpabiliser de lâcher ce qui n’est pas à elles.


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Transcription

  • Véronique

    Bonjour et bienvenue dans Parlons Introspection, le podcast qui vous aide à sortir du flou et à retrouver de la clarté quand vos décisions semblent tourner en rond. Je suis Véronique Milome, coach certifié RNCP niveau 7, intuitive et formée à la numérologie stratégique. Ici, je partage des clés simples, des éclairages et des échanges inspirants pour vous aider à décider avec plus de justesse. Je vous souhaite une très bonne écoute. Bonjour à toutes et à tous. Aujourd'hui, j'ai envie de partager quelque chose de plus personnel. Un apprentissage récent qui vient résonner avec un travail entamé depuis longtemps, mais qui a pris une nouvelle forme grâce à une séance que j'ai vécue avec une thérapeute énergétique. Ce que je vais vous livrer ici ne relève pas d'un savoir théorique ou d'une méthode. C'est une expérience intime, une prise de conscience qui m'a profondément touchée. et qui je crois pourra faire écho chez certaines d'entre vous. Ce qui a émergé pendant cette séance, c'est cette phrase « Vous pouvez rendre les fardeaux qui ne vous appartiennent pas » . Cela peut paraître simple, voire évident, mais c'est une prise de conscience quand on se rend compte qu'on porte depuis des années des charges qui ne sont pas les nôtres. Je me suis vue enfant, me suradapter, cacher mes peines, minimiser mes peurs. Ne pas exprimer mes besoins pour ne pas inquiéter, pour ne pas déranger, pour ne pas faire de vagues. En apparence, cela pouvait ressembler à de la maturité ou de la force, mais en réalité c'était une forme de protection, une tentative de ne pas alourdir ce que j'aimais. Ce réflexe, je l'ai longtemps gardé. Il est devenu une posture, puis une part de mon identité. En voulant protéger les autres, j'ai oublié que je pouvais aussi avoir besoin d'aide. Je me suis longtemps tue, effacée, adaptée, et j'ai cru que c'était normal, que c'était ça être forte. Mais la vraie force, c'est peut-être de reconnaître ce qui ne nous appartient pas, et de le rendre, sans colère, juste avec lucidité. Parce que c'est seulement quand on dépose les fardeaux des autres, qu'on peut commencer à prendre soin de soi. Et pourtant, ce n'est pas ma responsabilité de porter ce que d'autres ne peuvent pas ou ne veulent pas regarder. Rendre les fardeaux, ce n'est pas accuser, ce n'est pas rejeter. C'est simplement reconnaître que chacun a la responsabilité de ce qu'il porte ou non. et que moi, j'ai le droit de poser ce qui n'est pas à moi. Ce qui m'a frappée, c'est de voir à quel point cette posture m'a aussi privée d'un droit fondamental, celui d'être aidée, soutenue, rejointe dans ma vulnérabilité. En voulant épargner les autres, j'ai souvent oublié de m'inclure dans l'équation. J'ai appris à me taire, à me faire discrète, à effacer ce qui dépassait, comme si pour être aimée, il fallait devenir transparente. Ne pas faire de bruit, ne pas se plaindre, ne pas hésiter trop fort. Quand je dis cela, je mesure la violence que ça représente. Et je crois que ce sont ces traces-là, souvent invisibles, qui laissent les blessures les plus profondes. Alors, j'ai cherché longtemps à comprendre, à donner du sens, à observer les liens, les comportements, les silences. Cette quête naît d'un besoin de survie. au départ est devenu un moteur puissant. C'est ce qui m'a poussée vers le développement personnel, la communication ou la connaissance de soi. Et aujourd'hui, vers le coaching et la numérologie stratégique ou le human design qui me permettent d'accompagner à mon tour celles et ceux qui cherchent à se retrouver. Mais cette quête m'a aussi appris autre chose récemment, que nos liens sont des choix, parfois inconscients, mais parfois lucides. Ce que nous recherchons dans une relation, qu'elle soit familiale, amicale ou amoureuse, n'est jamais neutre. Nous cherchons de la chaleur, un écho, une reconnaissance ou une sécurité. Et quand ce que nous recevons en retour n'est pas à la hauteur de ce que nous espérions, alors vient le moment de regarder la relation en face, et peut-être de décider de prendre de la distance. Ce moment-là n'est pas simple. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de s'éloigner de quelqu'un, il s'agit de faire le deuil d'un espoir, d'un idéal, de ce qu'on aurait voulu vivre, recevoir ou incarner à deux. Et parfois ce deuil est plus douloureux que celui d'une personne qu'on a perdue. Parce qu'il nous confronte à notre propre illusion. Accepter de s'être trompé. Reconnaître qu'on s'est oublié. qu'on a toléré trop longtemps ce qui heurtait l'être que nous sommes. Ce n'est pas facile, mais c'est un pas vers soi, un vrai. Alors oui, cela prend du temps, pour digérer, pour apaiser, pour faire la paix. Mais un jour, vient le moment de la compassion, pour soi et pour l'autre. Et une forme de paix intérieure, presque silencieuse mais réelle. Tout cela, ces charges qu'on rend. Ces illusions qu'on laisse partir, ces émotions qu'on ose enfin accueillir, cela participe à notre apprentissage, à notre maturité et à notre sagesse. C'est de cela dont je voulais vous parler aujourd'hui. Non pas pour vous donner des réponses, mais peut-être pour vous inviter à vous poser certaines questions. Qu'est-ce que je porte qui ne m'appartient pas ? Qu'est-ce que je n'ose pas exprimer pour ne pas déranger ? Quel lien mériterait d'être repensé ou relâché ? Prenez ce qui résonne, laissez le reste. Et si cela vous parle, vous pourrez m'en faire part ou le partager à d'autres. Je vous remercie pour votre écoute et votre fidélité au travers de tous ces épisodes que je partage avec vous. Rappelez-vous, tout est déjà en vous. Je vous donne rendez-vous jeudi prochain pour un nouvel épisode de Parlons Introspection et d'ici là, portez-vous bien. Si vous avez besoin d'aide dans vos périodes de doute, de transition ou de reconversion, je peux vous accompagner pour y voir plus clair. Grâce à ma méthode spécifique et sur mesure pour vous. Utilisez la partie contact de mon site internet catalysons-vos-atouts.com Vous aimez Parlons Introspection, le podcast qui vous rapproche de votre bien-être en douceur et vous souhaitez le soutenir ? Partagez-le avec trois de vos amis, collègues ou votre famille. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute préférée pour être notifié des nouveaux épisodes. Donnez-lui une note 5 étoiles sur Apple Podcast. Laissez un commentaire et vos impressions sur la chaîne YouTube Parlons Introspection. Je vous remercie chaleureusement pour votre fidélité et votre soutien. Et je vous dis à très vite.

Chapters

  • Introduction au podcast et présentation de Véronique Milome

    00:00

  • Une expérience personnelle révélatrice avec une thérapeute énergétique

    00:30

  • Prise de conscience sur les fardeaux émotionnels

    01:01

  • Reconnaître et rendre les fardeaux qui ne nous appartiennent pas

    02:03

  • Réflexions sur les relations et le deuil des attentes

    03:55

  • Questions introspectives pour les auditeurs

    05:53

  • Conclusion et invitation à la réflexion personnelle

    06:17

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