- Speaker #0
Bonjour à tous et bienvenue dans Paroles d'inscrits, le podcast du CNED mettant en lumière les parcours de formation inspirant de ses inscrits. Dans cet épisode, je reçois les Sisters Eyes, patineuses professionnelles et entraîneurs diplômés d'État. Elles viennent au micro du CNED pour raconter comment le CNED leur a permis d'allier scolarité et carrière sportive de haut niveau. Bonjour les filles !
- Speaker #1
Salut !
- Speaker #0
Bonjour ! Comment ça va ce matin ?
- Speaker #2
Très bien et toi ?
- Speaker #0
Très très bien. Je le disais juste avant, vous êtes... patineuse professionnelle et entraîneur diplômé d'État. Est-ce que vous pouvez vous présenter d'abord ?
- Speaker #2
Alors moi, je m'appelle Cynthia. J'ai fait une carrière de patineuse artistique sur glace. J'ai participé à plusieurs championnats de France de la catégorie minime à junior. Puis après, je suis passée en roller in line, où là, j'ai fait trois fois vice-championne de France, senior de roller in line. Et je suis toujours en compétition. Également, je suis entraîneur diplômé d'État et mannequin en agence.
- Speaker #0
Ça fait beaucoup de choses. Et toi Vicky ?
- Speaker #1
Alors moi c'est Vicky, je suis la sœur de Cynthia, donc je suis la sœur cadette. J'ai commencé le CNET depuis mon plus jeune âge, en même temps que ma carrière sportive de patinage, donc sur glace, puis en roller en ligne. J'ai trois titres de championne de France et j'ai une place de cinquième au championnat d'Europe. Et ensuite, j'ai continué ma passion pour la transmettre avec un diplôme d'entraîneur de roller.
- Speaker #0
Très bien. Ça vous vient d'où ça, le patin, le roller ?
- Speaker #2
C'est notre maman qui a été patineuse sur glace et après elle est passée entraîneur sur glace et de roller quad. Donc en fait, dès notre plus jeune âge, elle nous a mis sur la glace. Dans un premier temps, c'est parce qu'elle n'avait trouvé personne pour nous garder. Donc elle nous a amené à la patinoire avec elle. Donc voilà, au lieu d'être en dehors de la piste, on barbotait sur la piste. Et petit à petit, c'est venu, on voulait être à côté de maman.
- Speaker #0
C'est sympa la garderie finalement.
- Speaker #1
Ouais.
- Speaker #0
Est-ce que vous avez toujours voulu en faire votre métier parce qu'aujourd'hui vous vivez de votre passion ? Ou est-ce qu'à un moment donné, vous avez eu un choix de carrière différent ?
- Speaker #1
Pour ma part, je n'ai jamais pensé plus jeune à ce que je ferais aujourd'hui. Et c'est venu tout naturellement. En fait, je ne me voyais pas enfermée dans un bureau à faire un métier à peu près comme tout le monde. C'est vraiment quelque chose qui est inné chez nous. C'est la musique, les chorégraphies, le challenge sportif. Je ne me vois pas dans autre chose. Et c'était normal pour nous de choisir un métier axé à ça.
- Speaker #2
Pour moi, c'est un peu différent parce que je ne me voyais pas en tant qu'adolescente en faire mon métier plus tard, d'aucune manière d'ailleurs. Donc, j'ai cherché par tous les moyens à rentrer dans le parcours. parcours classique. J'ai poursuivi mes études, j'ai passé mon brevet d'état. Après, j'ai passé un concours d'éducation nationale, mais toujours lié au sport, puis une licence STAPS. J'avais aussi des envies peut-être comptables, mais ce n'était pas bien précis. J'ai travaillé dans un complexe sportif. Pendant plus de dix ans, j'ai été dans une équipe de direction en tant que coordinatrice d'activité. Je gérais tout ce qui se passait, mais finalement, même si c'était sport et qu'il y avait beaucoup d'activités, mon besoin c'était quand même de bouger. Donc voilà, j'étais pas mal derrière un bureau, même si je transmettais ma passion et je verrais ce qui me plaisait beaucoup, finalement c'était pas moi. Donc voilà, s'obstiner dans une voie finalement pour se prendre compte que notre voie de base c'est notre voie tout court quoi.
- Speaker #0
Et dans cette expérience, à quel moment le CNED intervient dans votre scolarité ?
- Speaker #1
Alors moi, depuis le plus jeune âge, je n'ai jamais été sur les bancs de l'école. Donc mes parents m'ont directement mis au CNED.
- Speaker #0
Ok.
- Speaker #2
Moi, ça a été un tout petit peu différent, mais ça a été rapide aussi. J'ai fait CP à l'école et puis un ou deux mois au CE1. Et puis, je suis passée en distanciel avec le CNED.
- Speaker #0
Et comment vous avez découvert le CNED ?
- Speaker #1
Nos parents ont déjà fait une partie de leur scolarité au CNED. Oh,
- Speaker #0
des anciens knédiens aussi !
- Speaker #2
Cette famille !
- Speaker #0
C'est trop chouette !
- Speaker #1
Donc, notre maman, elle a fini environ sa scolarité à partir du lycée pour faire ses compétitions et ses voyages.
- Speaker #2
Notre papa a préparé un BTS avec le CNED. Également, dans notre entourage, on avait une patineuse qui était passée au CNED. Donc voilà, le CNED était autour de nous.
- Speaker #0
Et pourquoi vous avez voulu aussi, vous, faire une scolarité via le CNED ?
- Speaker #2
Alors, nous personnellement, en tant qu'enfants, à cette époque-là, on ne l'a pas choisi. C'est nos parents qui ont choisi pour nous, pour plusieurs raisons. Donc, notre maman a changé de lieu d'entraînement. Donc, les patinoires, il n'y en a pas à toutes les rues. Donc, on était province Paris. Moi, je voulais continuer à m'entraîner avec elle. Donc, c'est-à-dire être avec elle en permanence. Et en parallèle, à l'école, ça ne se passait pas bien. Je me faisais harceler parce que j'étais dans la même classe que mes... mes camarades de patinage, mes concurrentes. Donc voilà, le harcèlement, l'éloignement géographique du travail de ma mère a fait que je suis passée sur le CNED.
- Speaker #0
Ok, et toi Vicky ?
- Speaker #1
Moi, suite à ça, mes parents ont suivi directement avec ma scolarité.
- Speaker #0
Ils vous ont mis toutes les deux ensemble aussi pour une question d'organisation peut-être ?
- Speaker #2
Oui, puisqu'en fait, dans un premier temps, ce sont nos parents qui nous ont assistés sur les cours. On est entrés sur des petites classes, donc nos parents nous faisaient les cours, toutes les deux. Et puis après, par la suite, on a appris en autonomie, on a gagné en autonomie. Et pour les classes importantes, fin collège, lycée, on a eu des professeurs particuliers.
- Speaker #0
Quel diplôme vous avez passé toutes les deux avec le CNED ?
- Speaker #1
Moi, j'ai passé le bac.
- Speaker #2
Un bac ES.
- Speaker #1
Oui, un bac ES.
- Speaker #2
On a passé toutes les deux un bac ES. Après moi j'ai enchaîné avec la préparation du tronc commun du brevet d'état de patinage artistique premier degré. Et après j'ai aussi préparé le concours éducateur territorial des activités physiques et sportives avec le CNED. A la base en fait je voulais vraiment faire des études supérieures avec le CNED.
- Speaker #0
Mais c'est bien parce qu'au moins ça te donne déjà la méthodologie pour ensuite apprendre la distance différemment. J'adore avoir les petits coulisses. Comment se passaient vos journées entre les entraînements, la compétition et les études ?
- Speaker #2
Alors la plus longue période qu'on a pu avoir, c'était en fait, on faisait deux heures de cours le matin. On faisait une heure de route pour aller s'entraîner à la patinoire. On s'entraînait le midi, parfois l'après-midi, mais c'était plutôt rare, donc on s'entraînait le midi. On refaisait une heure de route dans l'autre sens pour rentrer à la maison. On mangeait dans la voiture pour ne pas perdre de temps. Parfois, on avançait dans nos devoirs et on rentrait l'après-midi, on faisait deux, trois heures de cours. Et après, on était libres, soit en plus. Évidemment, pour faire simple, on avait toutes les deux une activité en plus du patinage. Donc moi, je faisais de l'athlétisme, de la danse. Donc le soir, on allait à nos activités.
- Speaker #0
La sportive !
- Speaker #2
Et voilà. Par contre, ce qu'on aimait bien, nous, c'était étendre sur la semaine, en fait. Du lundi au samedi.
- Speaker #0
D'accord. Quand tu dis ça, c'est à la différence des classes, peut-être de vos camarades qui étaient en... En cours en présentiel, qu'il y avait école du lundi au vendredi, vous vous étendiez la semaine jusqu'au samedi ?
- Speaker #2
Voilà, on préférait en faire un petit peu tous les jours.
- Speaker #1
Et je tiens à rajouter une chose aussi, c'est qu'en dehors de notre sport et de nos loisirs, on avait aussi beaucoup de préparation physique qu'on faisait en plus de notre sport. Donc ça nous permettait aussi de dégager du temps pour travailler des axes que notre sport ne pouvait pas nous apporter.
- Speaker #0
D'accord. Et pendant les compétitions, comment ça se passe pour les études ?
- Speaker #2
On faisait pause. On faisait pause tout simplement. On laissait les devoirs à la maison, on partait en compétition. En revenant de compétition, on avait un jour off et puis après on se remettait tranquillement. De toute façon, on avait des parents qui étaient assez cool. Ils nous ont laissé indépendants, autonomes. On savait ce qu'on avait à faire. Même si des fois on négociait, on faisait les choses.
- Speaker #0
Vous aviez la même méthodologie de travail ?
- Speaker #1
Moi non, je ne pense pas que j'ai la même méthodologie que toi.
- Speaker #0
Alors c'est quoi ta méthodologie ?
- Speaker #1
Alors moi déjà en premier lieu, il faut que je lise tout pour avoir une forme globale des exercices, des textes à avoir, etc. Et pour les choses à apprendre, c'est que du par cœur, du rabâchage. Il fallait que je me le mette dans le crâne et que je lise 15 fois, 20 fois. Et qu'après que je fasse au moins 50 000 exercices, ça c'est ce que j'avais besoin moi pour comprendre les choses.
- Speaker #0
Ok, et toi ?
- Speaker #2
Moi, j'avais une grande mémoire, donc j'essayais d'être bien concentrée. La première fois que je lisais le document, je m'en rappelais peut-être à 80%. Et je n'étais pas du tout du genre à relire et relire les cours. Je voyais mes copines en parallèle qui fichaient, qui mettaient des mots-clés, etc. Non, moi, ce n'était pas mon genre, en fait. Et ce que j'aimais, c'était que je lisais le cours une fois, les maximum deux fois sur les paragraphes importants. Et je cherchais en dehors du cours, à travers des vidéos sur Internet, des films, des livres, des magazines qui parlaient du sujet que j'étudiais.
- Speaker #0
Je faisais beaucoup ça aussi au CNED, aller voir des expos quand ta ville le permet, aller faire des musées et vraiment enrichir, surtout en histoire. Moi, j'étais en ES et en histoire et en éco, je faisais énormément ça aussi. Est-ce que vous vous entraîniez de ce fait, comme vous étiez toutes les deux à distance, ou est-ce qu'au contraire c'était chacune faisait son cours de son côté et on se retrouvait ensuite pour aller patiner ?
- Speaker #1
Bah, étant plus jeune, Cynthia m'a aidée pour les langues. Pour tout ce qui était anglais et espagnol, mais vu qu'on n'était pas dans les mêmes classes, on ne s'entraînait pas vraiment sur les mêmes exercices.
- Speaker #2
Oui, c'était plutôt comme je suis l'aînée et que j'avais des facilités d'apprentissage, des bonnes notes en anglais et en espagnol. Surtout en espagnol, parce que j'avais une très bonne prof, j'ai eu des très bonnes profs. Du coup, c'est moi qui ai joué le rôle du professeur d'anglais et d'espagnol avec ma sœur.
- Speaker #0
Quels souvenirs gardez-vous de l'accompagnement et des relations ? avec les responsables pédagogiques du CNED ?
- Speaker #1
Alors moi, pour ma part, j'ai très bien vécu l'accompagnement qui m'a été donné au CNED avec tous les professeurs.
- Speaker #0
Et toi ?
- Speaker #2
Moi, j'ai fait un long parcours. J'ai eu souvent le CNED au téléphone, aussi bien les personnes responsables, les responsables, les conseillers, les professeurs. Et ils ont toujours été disponibles à mon écoute, attentifs. Ils m'ont toujours aidée, ils m'ont toujours... même proposer des solutions que je ne savais pas qu'elles existaient. Notamment quand je préparais l'année des championnats de France Junior sur glace, il y avait 5, 6 voire 7 compétitions dans l'année. Donc c'est des gros week-ends. Ça a impacté beaucoup ma scolarité. Et là, le CNED m'a proposé de faire ma première en deux ans. Donc je ne savais pas que c'était possible tout court et même possible au CNED. Donc bien sûr, j'ai accepté.
- Speaker #0
Oui, puisqu'il y a un volume aussi de contrôles continu à rendre. Il y a quand même pas mal de devoirs. Donc effectivement, quand tu es absente sur de longues périodes, C'est bien de savoir que tu peux étaler et que c'est vraiment adapté finalement à ta pratique. Et c'est tout l'avantage du CNED.
- Speaker #2
Oui, le CNED s'adapte parfaitement. Pour aussi bien les sportifs, les artistes, les gens qui ont besoin que les cours s'adaptent, que les professeurs soient leur écoute, le CNED c'est parfait.
- Speaker #0
Est-ce que vous côtoyez d'autres sportifs qui étaient scolarisés au CNED ? Dans vos équipes peut-être de patinage ou de roller ?
- Speaker #2
Hum... Non, je n'en ai pas le souvenir. Une très jeune, mais sinon, non.
- Speaker #1
Moi, pareil, je n'en ai pas le souvenir.
- Speaker #2
Après, on n'en a pas vraiment parlé. En fait, c'était en tant qu'enfant, ado. Salut, ça va ? Est-ce que tu es au CNED ? Non, on était plus sur la performance sportive.
- Speaker #0
La compète, la compète !
- Speaker #2
C'est ça.
- Speaker #0
Si vous pouviez donner des conseils pour mener une carrière sportive et poursuivre sa scolarité à distance, aux gens qui vont écouter ce podcast, qui sont peut-être dans ce cas, quels seraient ces conseils ? Que vous auriez... peut-être aimer entendre avant de mêler les deux ?
- Speaker #2
Dans un premier temps, il faut bien se connaître. Il faut s'observer, il faut s'analyser, voir les temps où on est le plus concentré, le matin, l'après-midi. Est-ce qu'on est capable de digérer une journée de 8 heures de cours ou est-ce qu'au contraire, on a besoin de l'étaler du lundi au samedi ? Donc, à partir de là, on établit son planning et bien sûr, on supporte le planning du CNED et on adapte les deux. Une fois que ça c'est déterminé, il faut travailler, travailler à fond, travailler sans relâche, bien s'entourer. L'entourage est très important. Aidez-vous, entourez-vous des personnes qui vont vous aider à réussir, peu importe le choix que vous faites. Mettez à l'écart les personnes négatives qui ne croiront pas en vous.
- Speaker #0
Et toi ?
- Speaker #1
Pour être honnête, ta réponse était très correcte par rapport à ce que je pense. Un conseil c'est aussi... Se donner une discipline personnelle, sachant du coup notre façon de fonctionner. On se dit, le matin, comme dit Cynthia, tu es plus performant pour retenir, analyser les choses. Et bien, il ne faut pas rater ce matin qui est important pour soi. Donc, il faut vraiment se donner une discipline qu'on doit respecter et pas le prendre du tout comme une sorte de contrainte ou autre. Ou au contraire, du coup... Il faut se laisser le temps de l'accepter et de se dire, cette discipline, je dois l'adopter. Et donc, il ne faut pas le prendre comme quelque chose de négatif.
- Speaker #0
Mais elle vient d'où cette discipline ? Parce que j'ai vraiment l'impression que c'est une question qui est très récurrente pour tous les gens qui passent par le CNED. L'entourage demande souvent, où est-ce que tu trouvais cette détermination ? Où est-ce que vous la trouviez, vous, cette détermination ?
- Speaker #2
Le sport et l'entraîneur. Parce que notre maman, en fait... très tôt, elle nous a laissé autonomes. Avant de patiner, vous devez faire un échauffement au sol. Une fois que vous êtes sur la glace, vous devez faire un échauffement. Tout ça, on les faisait en autonomie. Elle nous a montré, elle nous a appris. Mais dès l'âge de peut-être 9, 10 ans, tout ça, on les faisait seules. Donc, avec un œil, bien sûr, la maman avait un œil sur nous. Mais on était très tôt, très autonomes. Et le sport aide beaucoup et le coach aide beaucoup.
- Speaker #0
Donc, vous étiez déjà dans cette dynamique dans le sport et finalement, vous l'avez appliqué. Euh,
- Speaker #2
au cours.
- Speaker #1
Mais aussi, c'est une éducation qui a été donnée, surtout, parce que nos parents ont montré l'exemple, comme dit Cynthia, et c'est surtout un terme d'éducation.
- Speaker #2
Mais après, ça marche aussi dans les deux sens. Le sport apporte au CNED et le CNED apporte au sport. Les deux sont liés, en fait. Quand vous avez les deux dans l'équation, ça s'entraide.
- Speaker #0
Et puis finalement, après, ça fait partie de ta routine et tous les jours, c'est la même chose. Et puis, tu as ton petit planning et tu t'y fais.
- Speaker #2
Exactement.
- Speaker #0
Bon, et parlons de la suite. Quels sont vos projets et envies futures ? Que ce soit dans le pro, dans le perso. Vas-y, Vicky.
- Speaker #1
On n'a pas les mêmes projets, mais c'est toujours, comment dirais-je, ensemble et associés. Moi, personnellement, je veux travailler pour... Donc, je travaille déjà avec des artistes, mais je veux faire une tournée avec un artiste en tant que patineuse pour ses musiques et ses scènes. Et plus tard, quand je ne serai plus à... apte à patiner, j'aimerais bien avoir ma troupe de rollers avec mes filles, mes patineuses et mes patineurs que je coacherais et que je pourrais envoyer sur les prestations que je ne pourrais plus faire.
- Speaker #0
D'accord, et toi Cynthia ?
- Speaker #2
Moi, je suis toujours dans une... Vicky et moi, nous sommes toujours dans une dynamique de compétition de rollers in line donc il y a toujours ce parcours sportif et en parallèle, oui, parce qu'on est auto-entrepreneurs, on travaille à notre compte, donc faire tout ce qui est show, tout ce qui est spot télé, défilé, clip. Moi, j'aime bien lier mon sport à l'image. La photo, la vidéo. Et oui, travailler avec des artistes, bien sûr, on l'a déjà fait par la suite, mais c'est quelque chose qu'on apprécie beaucoup. Et à terme, dans un terme très loin, mais pas si loin que ça, pourquoi pas avoir notre petite structure de roller.
- Speaker #0
Merci beaucoup, les filles, d'être venues raconter votre parcours. On vous souhaite beaucoup de réussite pour la suite. Et puis, je rappelle qu'on peut vous suivre sur les réseaux sociaux. Sur Instagram et TikTok, c'est sisters-ice et sur YouTube, sistersice.
- Speaker #1
On te remercie aussi, on a été ravis de pouvoir faire cette interview avec toi.
- Speaker #2
Merci pour l'accueil.
- Speaker #0
Avec plaisir et merci aussi à vous de nous avoir écoutés. Si vous souhaitez entamer un parcours de reconversion professionnelle, des études ou suivre votre cursus scolaire à distance, rendez-vous sur kned.fr pour retrouver l'ensemble des formations du CNED et découvrir d'autres paroles d'inscrits. On se donne rendez-vous prochainement pour de nouveaux épisodes et témoignages sur le podcast Paroles d'inscrits. A très vite !