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Sacrée Nana

Pourquoi je continue à me suradapter ? | E032

Pourquoi je continue à me suradapter ? | E032

24min |09/05/2024
Play
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Sacrée Nana

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24min |09/05/2024
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Description

Bienvenue dans ce 32ème épisode dans lequel je te parle de la suradaptation et du sentiment de honte qui l'accompagne souvent...


Cet épisode fait le lien avec le précédent dans lequel j'aborde la thématique des jeux de pouvoir : comment les repérer, comment les déjouer...


Aujourd'hui, je réponds à tes questions sur le sentiment de honte :

  • pourquoi est-il présent ?

  • comment s'en détacher ?

  • quel(s) lien(s) avec les besoins et les attentes ?

  • pourquoi être au clair avec la façon dont on vit nos relations ?


Dans cet épisode, je te livre des clés pour mettre de la conscience sur tout cela et t'aider à sortir de la suradaptation.


Je te souhaite une bonne écoute !



💎 Tu veux révéler ta vraie nature sans craindre le regard des autres ni t’épuiser dans une voie ou des relations qui ne te correspondent pas ?

👉⭕ Rejoins le cercle des Sacrées NaNas




🔹  Pour me rejoindre :

Site Nathalie Alsteen : https://nathaliealsteen.com/ 

Site Congrès Douance : https://www.congres-douance.com/  

Page Facebook : https://www.facebook.com/EmotifsTalentueux 

Compte Instagram : https://www.instagram.com/nathaliealsteen/ 

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Chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCmqee2M-ecaeBt2rwpqfWjQ
Profil Linkedin : https://www.linkedin.com/in/nathaliealsteen/ 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, Sacré-Nana, ravie de te retrouver pour ce nouvel épisode en lien avec la suradaptation, sujet du moment, mais surtout dans lequel on va répondre à la question pourquoi je continue à me suradapter. sachant que je fais le lien avec le précédent épisode. Et dans cet épisode-ci, je vais te parler de honte. Pourquoi il y a de la honte ? Comment on fait pour se détacher de la honte ? Quelles sont les différences entre les besoins et les attentes ? Et en quoi c'est important d'être très au clair avec ça, avec tous ces facteurs extérieurs et avec la façon dont on vit certaines de nos relations ? qui font qu'il va être parfois plus facile de sortir de la suradaptation qu'à d'autres moments. Et dès le moment où tu commences à mettre de la conscience là-dessus, tu vas voir, tout se simplifie nettement et je t'en reparle tout de suite. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, dans le précédent épisode, le 31 de la saison 2, je parle de jeux de pouvoir. Je t'explique toute la manière dont ces jeux de pouvoir peuvent, de façon parfois insidieuse, s'installer. Et puis, comment tu peux les déjouer, en tout cas les repérer. Je reconnecte ça. Au fait, au plus tu vas sortir de ces jeux-là, au plus tu vas te connecter à ta vraie nature. Alors, ce que j'ai envie d'amener dans cette thématique du jour, dans cet épisode, c'est pourquoi je continue à me suradapter, à m'adapter très très fort, parce qu'on peut comprendre intellectuellement et en même temps, je pense qu'en tant que sacrée nana et en lien avec notre facette multi, ça peut expliquer pas mal de choses. Alors, il y en a toute une série, j'ai envie de commencer. par un sentiment qu'on retrouve quand même assez souvent dans notre communauté, c'est le sentiment de honte. en sorte de te rassurer si tu te sens connecté à ça, la honte c'est ce sentiment qui fait qu'on se juge on se juge à titre personnel on se juge de ce que nous devrions être et que nous ne nous sommes pas on se juge d'actes que nous avons posés et que nous n'aurions peut-être pas dû poser dans notre esprit parce que quand on est là-dedans il y a quelque chose qui est extrêmement vulnérable au point de ne pas oser se montrer. Et donc, la honte est vraiment associée, c'est l'inverse de la fierté, elle est vraiment associée à ce besoin de se cacher. Et je vais revenir, ce n'est pas parce qu'on a besoin de se cacher, d'être isolé qu'on est nécessairement dans la honte. Ça, c'est une autre histoire, je vais en reparler juste après. Mais ce qui me semble vraiment important, c'est de pouvoir repérer ce moment de honte. Et ce n'est pas simple, parce que comme justement, quand on est honteux, on a peur d'être mis à nu, mise à nu, on a peur d'être vu, eh bien, on essaye de gérer ça tout seul, toute seule, on essaye de contrôler ça dans notre coin et c'est extrêmement pénible quand on est là-dedans. J'ai été là-dedans pas mal d'années, je le dis vraiment. Je parlais, j'expliquais récemment combien il y a eu une époque à laquelle, pour un oui ou un non, je rougissais parce que je me sentais pas OK, pas... à la hauteur. C'est comme si j'étais prise en défaut. Et la honte, c'est ça. C'est comme si on était... La peur d'être prise en défaut de quelque chose que nous n'avons pas fait ou même quelque chose que nous pensons que nous sommes. C'est pratiquement identitaire. C'est une vibration terriblement basse. Et c'est vraiment important de pouvoir l'identifier et c'est important de pouvoir en sortir. et on peut en sortir en exprimant les choses ça c'est tout un autre aspect je travaille beaucoup ça dans le cercle de Sacré Nana c'est entre autres ce qu'on fait c'est qu'on apprend à se montrer en sécurité parce que c'est important de faire en sécurité dans un espace où on sent la bienveillance dans un espace où on n'est pas jugé pour qui nous sommes et une fois de plus la honte c'est vraiment ça et quand effectivement on s'est senti en décalage par rapport à toutes nos facettes qui ne correspondent pas, ou en tout cas dont nous pensons qu'elles ne correspondent pas à ce que la société attend, elles ne sont pas conformes, alors que dans l'absolu, c'est vraiment quelque chose de fabuleux d'avoir des facettes, d'être singulier, d'avoir des facettes différentes, de voir le monde autrement, parce que moi j'ai l'intime conviction que c'est grâce à ça que nous pouvons apporter notre contribution au monde et que nous pouvons le changer. mais néanmoins ça reste quelque chose de lourd à porter quand on n'a pas été validé quand on n'a pas connaissance de son mode de fonctionnement quand on n'est pas encore au clair avec ses facettes et qu'on n'a pas encore appris à accueillir ses facettes comme étant légitimes il n'y a pas de bonne ou de mauvaise facette il n'y a pas une façon ou une autre d'être à partir du moment où On a un mode de fonctionnement, il nous appartient et ce qui est vraiment important, c'est de pouvoir l'accueillir et nous accueillir tel que nous sommes. Sinon, on va tout le temps être dans l'adaptation et continuer à être dans la suradaptation. Donc, le fait de ne pas avoir été validé participe aussi à ce sentiment de honte parce qu'on a l'impression qu'on n'est jamais OK. Donc, ce qui est vraiment important, c'est tout le besoin de sécurité à développer. C'est l'objet d'un autre épisode de podcast. de s'écouter dans une série de... Je reparle toujours des besoins, mais c'est quand même ça qui revient, un indicateur qui nous permet de vérifier qu'on est à côté de nos besoins. C'est la colère, c'est la frustration. La frustration, c'est le début, avant la colère. La frustration, c'est un truc qui coince, je ne me sens pas bien avec ça. Et puis, au moins, on écoute ça. ou plus on laisse passer du temps en n'écoutant pas ça, ou plus la colère risque de monter et même d'éclater. Il y a parfois des colères froides, il y a des colères où on explose, mais ça, c'est tellement… On a attendu pendant des semaines, des semaines et des semaines, et quand ce n'est pas exprimé, ce n'est pas exprimé, on n'a pas écouté notre propre besoin à titre personnel ou on ne les a pas exprimés face à l'autre dans un contexte particulier. Effectivement, j'aime toujours raconter qu'un de mes tout premiers coachings en entreprise, c'était ça. C'était une dame absolument adorable, mais alors dans une adaptation incroyable, grande intelligence. Elle était l'assistante d'un top manager qu'il appréciait beaucoup. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils lui ont offert un coaching. Ils n'ont pas compris quand un jour elle a explosé, elle aurait déchiré tout le monde. C'était violent. en fait cette violence était à la mesure de le non-respect d'elle-même et de sa non-capacité d'exprimer ses besoins et donc de poser ses limites et de dire à un moment donné stop alors que dans l'absolu tout le monde était prêt mais elle ne disait jamais rien donc voilà c'est quand on est dans cette tension, parce que la colère c'est une tension quand on ne l'écoute pas on ne se laisse pas traverser par la vie on est dans ce masque du perfectionnisme on y revient au syndrome de l'imposteur qui peut très souvent être connecté à ça parce qu'on ne se sent pas à la hauteur Donc voilà, ce sont tous des éléments qui te permettent de repérer pourquoi tu continues à t'adapter, parce que c'est vraiment à lâcher. Et un des premiers aspects, si tu es concerné, si tu te sens connecté à la honte, alors ce n'est pas toujours, on peut être très, très connecté à la honte dans beaucoup de sphères de vie, on peut être connecté à la honte dans une sphère de vie en particulier par rapport à d'autres, dans des circonstances particulières, avec un groupe de personnes, toute une série de personnes avec qui j'ai travaillé. sont particulièrement connectés à la peur d'être vu et à cette honte dans des grands groupes. Voilà. C'est variable et ça dépend d'une personne à l'autre. Je réouvre la parenthèse sur cette honte qui nous donne envie de nous cacher, de nous isoler. à contrario, ce n'est pas parce que tu as besoin de calme et de t'isoler que tu es nécessairement dans la honte. Je fais vraiment cette parenthèse-là parce que ça m'est régulièrement demandé. Tu peux avoir besoin de t'isoler pour te ressourcer, te régénérer ou pour te protéger, pas forcément parce que tu es connecté à la honte. Comme je disais, c'est tout à fait un autre sujet qui pourrait faire aussi l'objet d'un épisode. Mais voilà, ne confonds pas tout et puis parfois, le tout se cumule. ça peut arriver. Alors, je reviens aux besoins, puisque je t'ai parlé de la colère, je referme cette parenthèse-là, je reviens aux besoins. Très souvent, on confond aussi les besoins et les attentes. Un besoin, c'est quelque chose d'infrinsec, quelque chose qui s'apprend. On n'a pas forcément, surtout si tu t'es conformé pendant pas mal d'années, tu n'as pas forcément appris. Si tu as grandi dans une famille où il n'y avait pas de place pour les émotions, tout simplement parce que probablement ils ne savaient pas comment faire, comme dans la mine. tu n'as probablement pas appris à détecter tes besoins personnels et tu as probablement, c'est une hypothèse, mais... imaginer que toute une série de besoins qui correspondent, et peut-être qui ne correspondent pas, mais en tout cas qui semblent correspondre à ton entourage, sont les tiens aussi, que tu fonctionnes comme ta famille, ton environnement, etc. Donc voilà, il y a tout un travail à faire par rapport à ça. Je t'invite vraiment à creuser. Et voilà, ça prend le temps que ça prend. Moi, aujourd'hui, je découvre encore une série de mes besoins auxquels je ne m'étais pas connectée. comme par exemple le fait de sortir de la tête j'aime toujours beaucoup il y a certains sujets qui me passionnent j'ai besoin de chercher de fouiller, de lire c'est une de mes facettes il y a un besoin que j'ai ignoré pendant pas mal d'années c'est celui lié au corps, à la danse à la créativité il y a toute une série de choses en lien avec l'énergie j'étais très connectée à ça quand j'étais enfant parce que ça ne se faisait pas dans ma famille parce que c'était pas considéré comme quelque chose de sérieux pas considéré comme quelque chose avec lequel je pouvais entre parenthèses gagner ma vie j'ai déjà la vie petit à petit j'ai mis ça de côté et puis très sporadiquement j'ai reconnecté avec beaucoup de bien-être mais vraiment là maintenant je sens que je ne peux plus passer à côté de ça Donc les besoins, c'est quelque chose d'intérieur. Et puis, on a les attentes. Les attentes, c'est ce que nous attendons de notre environnement extérieur, de personne, par exemple. Je vais m'attendre à ce que mon amoureux soit attentif à mon bien-être, au fait qu'il... me pose telle ou telle question, qu'il revienne vers moi, qu'il sache que pour moi, telle ou telle chose est importante. Alors, je dis mon amoureux, mais ça peut être... Il peut y avoir vraiment plein de situations. Je peux avoir l'attente que mes parents me soutiennent sur tous les points de vue parce que c'est mes parents et que les parents, quand ils aiment leurs enfants, ils soutiennent inconditionnellement. Il peut y avoir plein de choses par rapport à ça. Alors... Très souvent, on attend de l'extérieur toute une série de choses. On a l'impression qu'on ne peut pas, on n'est pas conscient de ça. Inconsciemment, on pense qu'on ne va pas pouvoir rencontrer ces besoins-là à titre personnel. Et d'ailleurs, très souvent, on donne à l'autre ce que nous aimerions avoir. C'est loin d'être anodin ces histoires-là. Et ça, c'est vraiment important parce que tu peux exprimer tes attentes à l'extérieur, à la personne qui est face à toi, à une amie, un ami, un amoureux, une amoureuse, un conjoint, un enfant, un parent, un collègue, que sais-je. Dans un cadre professionnel, même un client, tu peux exprimer une attente et tu peux clarifier aussi. le fait que tu valides des projets en fonction de tes besoins et des attentes dans cette relation, si c'est clarifié, décider de continuer ou pas. Mais ce qui est intéressant de savoir aussi, c'est que l'autre, en fonction de ses besoins, il n'est absolument pas obligé de répondre à tes attentes. Parce que si ça ne correspond pas à ses besoins, à il ou à elle, l'autre a le droit aussi. Ce n'est pas forcément évident à entendre. de dire ben non moi je suis pas ok avec ça je peux pas répondre à ça Alors, ça demande déjà un sacré degré de maturité émotionnelle. Je dirais que d'avoir cette capacité déjà de pouvoir repérer nos propres besoins, de repérer ce que nous attendons de l'autre, de pouvoir l'exprimer et de pouvoir entendre que l'autre, et ça demande aussi de l'autre côté, d'ailleurs, cette maturité émotionnelle, de pouvoir entendre que l'autre ne va pas forcément répondre à cette attente-là et à ce qui semble être un besoin nourri de l'extérieur en ce qui me concerne. Voilà, c'est la vie, c'est tout l'espace de cœur développement dans une relation, mais c'est important de pouvoir mettre de la conscience là-dessus et à un moment donné de se rendre compte que ça ne va pas toujours dans ce sens-là et très souvent c'est en lien avec nos blessures, avec notre besoin d'être rempli, comme le besoin de reconnaissance par exemple, parce que quand on a des attentes, très souvent ce que ça nous... ça nous dit, ça nous laisse penser que quand cette attente est rencontrée, ça va dire qu'on nous aime. Alors, je caricature un peu, mais quand nous sommes appréciés, appréciables, etc., que nous sommes aimables, et encore, ce n'est pas parce que c'est rencontré qu'on va réussir à se le dire, si effectivement, à l'intérieur, on n'a pas réussi à nous aimer nous-mêmes. Alors, je vais revenir sur ça, à nous aimer, à nous choisir, à ouvrir le cœur sur nous, comme j'aime dire. et c'est loin d'être anodin si tout ça ce que nous allons chercher à l'extérieur c'est hyper important d'être conscient que c'est d'abord à cultiver à l'intérieur si tu attends de la reconnaissance de quelqu'un et que toi, tu n'as pas appris à te reconnaître dans cette même chose, l'autre va faire miroir, il va juste t'envoyer ce que toi, tu penses de toi, ce que toi, à l'intérêt, c'est même pas penser, ça va plus loin, ce que tu peux être convaincu être, et ça va connecter à ça. Et donc tout le travail, c'est vraiment, tout le processus, c'est un processus de... D'ouverture du cœur. Je préfère parler d'ouverture du cœur que de s'aimer ou de ne pas s'aimer parce que pour moi, c'est trop binaire. Un cœur, il s'ouvre et il se ferme au quotidien. Dans certaines relations, dans certaines circonstances, on va refermer le cœur parce que c'est douloureux et c'est humain et c'est OK. Puis, on va réussir à le réouvrir parce qu'on se sent suffisamment en sécurité, parce qu'on a fait un chemin de conscience et ce cœur peut se réouvrir. et donc quoi de plus tout ça vient de l'intérieur j'aime bien cette citation de Gandhi qui est soit le changement que tu veux voir dans le monde alors l'autre partie c'est chacun qui s'élève élève le monde cette partie là elle est moins nommée mais c'est vraiment ça en fait ça commence par soi c'est ça toute cette ouverture du cœur voilà alors donc ça c'est vraiment interne si je peux dire commence par soi comme je le disais et puis dans la relation qu'est-ce qui fait qu'on continue à se suradapter qu'est-ce qui fait que c'est difficile je pense que c'est intéressant de mettre de la conscience et de choisir à un moment donné tiens, est-ce que je continue à mettre de l'énergie dans telle ou telle relation en tenue de ce que je peux observer alors je vais commencer par ce que je disais juste avant la maturité émotionnelle Il y a des personnes que nous apprécions, nous aimons, qui font partie de notre entourage, de notre famille, des amis de longue date, etc. Mais il se peut que l'évolution au niveau émotionnel, cette fameuse maturité émotionnelle ou ce quotient émotionnel, je rappelle que le quotient émotionnel peut varier toute la vie. contrairement à un quotient intellectuel qui, a priori, reste relativement stable toute la vie, tu nais avec des compétences. Après, tu peux développer avec des aptitudes, mais tu peux développer tes compétences, etc., bien entendu en fonction du milieu dans lequel tu évolues. Mais le côté émotionnel, tu peux tout le temps le travailler. Tu peux choisir de mettre ta conscience sur le développement émotionnel ou pas, émotionnel, spirituel, créatif, etc. Et donc, cette maturité émotionnelle, elle est tellement reliée à cette maturité relationnelle. Donc voilà, ça c'est vraiment essentiel. Et quand tu as face à toi quelqu'un qui n'a pas développé cette... cette maturité émotionnelle au même niveau que la tienne ou en tout cas quelque chose de proche quand l'écart est trop grand ça devient compliqué c'est ce que j'expliquais dans mon livre le livre émotif talentueux être soit autrement dit mon premier puisque je suis en train d'écrire mon deuxième mais il n'y en a toujours qu'un qui est publié à date je parle de des tâches, de niveau de conscience. Et en fait, en gros, je dessine une pyramide avec... Alors, j'ai choisi de mettre 7 niveaux. Et quand il y a un niveau entre toi et la personne, donc, admettons que la personne soit au troisième et toi au cinquième, l'écart devient trop grand. Si vous êtes 3, 4 ou 4, 5 ou 5, 6, celui, entre guillemets, du niveau... J'ai bien entre guillemets parce que ça a un... je ne voudrais pas que ça devienne péjoratif, mais il n'y a pas de posture rose là-dedans. C'est juste la manière d'expliquer. Je n'en ai pas trouvé d'autre. Si tu es au quatrième niveau et que la personne est au troisième, toi, tu vas pouvoir transmettre des choses à la personne qui va apprendre de toi. au troisième et inversement celle qui était au troisième niveau va pouvoir transmettre à un deuxième niveau donc voilà puis on peut presque dire la même chose au niveau du QI puisque il y a une série de personnes qui dans les personnes qui m'écoutaient certaines sont concernées par le haut potentiel on parle d'écart type à 15 souvent on me demande est-ce que il est possible de trancou ou bien de pouvoir s'entendre avec quelqu'un qui n'a pas le même QI et C'est un peu court comme question dans mon besoin d'ouverture, mais est-ce qu'il faut absolument être au potentiel à deux pour pouvoir s'entendre ? Moi, je dis que c'est un facteur qui peut nous rassembler tant on… on est sur des paliers proches, qu'il n'y a pas un écart type d'au moins 15 parce que sinon, ça creuse l'écart. C'est un des éléments qui creusent l'écart. Mais il y en a tant d'autres. Il y a, comme je disais, le côté, la maturité émotionnelle, il y a les projets, il y a les centres d'intérêt, il y a l'histoire de vie. il y a tellement de choses. Donc, dans la relation, il y a tout ça effectivement qui joue. il y a plein de choses qui peuvent creuser les cas mais une fois de plus à toi à voir est-ce que tu considères que ta relation la relation est suffisamment importante et qu'il y a suffisamment de points de jonction c'est que c'est pas très joli c'est bizarre de dire ça dans une relation mais néanmoins ça dit quand même ce que ça dit pour la considérer comme un espace de développement, est-ce que de l'autre côté, il y a également ce choix ou pas ? Alors, parfois, ce n'est pas évident parce que quand tu es au travail, tu n'as pas forcément choisi tes collègues. Tu n'as pas forcément choisi ta famille, quoique certaines personnes diraient que c'est ce que tu viens travailler dans cette vie. Mais en tout cas, la relation est toujours un espace de développement. ou en espace de co-développement. Je pense que c'est utopique de se dire que toutes les relations fonctionnent. Alors, ça peut arriver, bien entendu, mais que toutes les relations fonctionnent comme des bisounours tout le temps. J'ai presque envie de dire que quand c'est le cas, ça vaut la peine de mettre de la conscience et de demander jusqu'où on peut éventuellement se suradapter de nouveau pour que ça fonctionne de cette manière-là ou pas. Ça existe, mais voilà. En tout cas, ce que je trouve intéressant, c'est d'identifier combien tu as de l'énergie dans une relation. Est-ce que tu sens de la joie, de la fluidité, de la légèreté ? Moi, ce sont mes indicateurs. Quand il n'y a pas de joie, de fluidité, de légèreté, la plupart du temps, je me questionne sur le fait que je veuille maintenir cette relation. Alors, pas forcément la couper, mais l'entretenir ou pas. Et je m'autorise aujourd'hui, parce que ça fait partie de ma façon de me choisir, de prendre de la distance avec certaines personnes et de nourrir très ponctuellement cette relation, parce qu'elle peut toujours être importante pour moi, ou pour certaines relations, de prendre de la distance avec douceur. Moi, je ne ressens pas aujourd'hui le besoin de couper des relations. Enfin, plus. Ça a été le cas avant quand j'étais dans des relations toxiques. Et parfois, c'est important. se sent tellement étouffée, accaparée par la relation, on a besoin de la couper à un moment donné, peut-être de la reprendre plus tard ou jamais. Voilà, c'est important de mettre de la conscience là-dessus. Voilà ce que j'avais envie de te dire, de te donner des éléments de raison pour lesquels tu continues à te suradapter. D'ailleurs, si tu as envie de clarifier, ça c'est très général ce que je te dis, mais si tu as envie de clarifier ce qui, toi, te bloque et... de t'autoriser à te choisir. Je pense que c'est vraiment important de pouvoir être accompagnée par rapport à ça. Et je te propose de rejoindre le cercle des sacrées nanas. Donc, on est entre femmes, des femmes qui ont envie de s'autoriser à être qui elles sont avec toutes leurs multiples facettes. Je t'invite à nous rejoindre, à venir voir ce que nous te proposons sur www.émotif-talentueux.com slash cercle tu voilà tu peux nous rejoindre soit pour un mois ou pour plus longtemps c'est toi qui vois le moment le temps dont tu auras besoin il y a plein de ressources il y a toute une série de femmes absolument fabuleuses qui sont là pour s'entraider il y a beaucoup de sécurité dans le cercle donc voilà viens voir ce qu'on fait sur www.émotif-talentueux.com slash cercle à bientôt S

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Bienvenue dans ce 32ème épisode dans lequel je te parle de la suradaptation et du sentiment de honte qui l'accompagne souvent...


Cet épisode fait le lien avec le précédent dans lequel j'aborde la thématique des jeux de pouvoir : comment les repérer, comment les déjouer...


Aujourd'hui, je réponds à tes questions sur le sentiment de honte :

  • pourquoi est-il présent ?

  • comment s'en détacher ?

  • quel(s) lien(s) avec les besoins et les attentes ?

  • pourquoi être au clair avec la façon dont on vit nos relations ?


Dans cet épisode, je te livre des clés pour mettre de la conscience sur tout cela et t'aider à sortir de la suradaptation.


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  • Speaker #0

    Bonjour, Sacré-Nana, ravie de te retrouver pour ce nouvel épisode en lien avec la suradaptation, sujet du moment, mais surtout dans lequel on va répondre à la question pourquoi je continue à me suradapter. sachant que je fais le lien avec le précédent épisode. Et dans cet épisode-ci, je vais te parler de honte. Pourquoi il y a de la honte ? Comment on fait pour se détacher de la honte ? Quelles sont les différences entre les besoins et les attentes ? Et en quoi c'est important d'être très au clair avec ça, avec tous ces facteurs extérieurs et avec la façon dont on vit certaines de nos relations ? qui font qu'il va être parfois plus facile de sortir de la suradaptation qu'à d'autres moments. Et dès le moment où tu commences à mettre de la conscience là-dessus, tu vas voir, tout se simplifie nettement et je t'en reparle tout de suite. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, dans le précédent épisode, le 31 de la saison 2, je parle de jeux de pouvoir. Je t'explique toute la manière dont ces jeux de pouvoir peuvent, de façon parfois insidieuse, s'installer. Et puis, comment tu peux les déjouer, en tout cas les repérer. Je reconnecte ça. Au fait, au plus tu vas sortir de ces jeux-là, au plus tu vas te connecter à ta vraie nature. Alors, ce que j'ai envie d'amener dans cette thématique du jour, dans cet épisode, c'est pourquoi je continue à me suradapter, à m'adapter très très fort, parce qu'on peut comprendre intellectuellement et en même temps, je pense qu'en tant que sacrée nana et en lien avec notre facette multi, ça peut expliquer pas mal de choses. Alors, il y en a toute une série, j'ai envie de commencer. par un sentiment qu'on retrouve quand même assez souvent dans notre communauté, c'est le sentiment de honte. en sorte de te rassurer si tu te sens connecté à ça, la honte c'est ce sentiment qui fait qu'on se juge on se juge à titre personnel on se juge de ce que nous devrions être et que nous ne nous sommes pas on se juge d'actes que nous avons posés et que nous n'aurions peut-être pas dû poser dans notre esprit parce que quand on est là-dedans il y a quelque chose qui est extrêmement vulnérable au point de ne pas oser se montrer. Et donc, la honte est vraiment associée, c'est l'inverse de la fierté, elle est vraiment associée à ce besoin de se cacher. Et je vais revenir, ce n'est pas parce qu'on a besoin de se cacher, d'être isolé qu'on est nécessairement dans la honte. Ça, c'est une autre histoire, je vais en reparler juste après. Mais ce qui me semble vraiment important, c'est de pouvoir repérer ce moment de honte. Et ce n'est pas simple, parce que comme justement, quand on est honteux, on a peur d'être mis à nu, mise à nu, on a peur d'être vu, eh bien, on essaye de gérer ça tout seul, toute seule, on essaye de contrôler ça dans notre coin et c'est extrêmement pénible quand on est là-dedans. J'ai été là-dedans pas mal d'années, je le dis vraiment. Je parlais, j'expliquais récemment combien il y a eu une époque à laquelle, pour un oui ou un non, je rougissais parce que je me sentais pas OK, pas... à la hauteur. C'est comme si j'étais prise en défaut. Et la honte, c'est ça. C'est comme si on était... La peur d'être prise en défaut de quelque chose que nous n'avons pas fait ou même quelque chose que nous pensons que nous sommes. C'est pratiquement identitaire. C'est une vibration terriblement basse. Et c'est vraiment important de pouvoir l'identifier et c'est important de pouvoir en sortir. et on peut en sortir en exprimant les choses ça c'est tout un autre aspect je travaille beaucoup ça dans le cercle de Sacré Nana c'est entre autres ce qu'on fait c'est qu'on apprend à se montrer en sécurité parce que c'est important de faire en sécurité dans un espace où on sent la bienveillance dans un espace où on n'est pas jugé pour qui nous sommes et une fois de plus la honte c'est vraiment ça et quand effectivement on s'est senti en décalage par rapport à toutes nos facettes qui ne correspondent pas, ou en tout cas dont nous pensons qu'elles ne correspondent pas à ce que la société attend, elles ne sont pas conformes, alors que dans l'absolu, c'est vraiment quelque chose de fabuleux d'avoir des facettes, d'être singulier, d'avoir des facettes différentes, de voir le monde autrement, parce que moi j'ai l'intime conviction que c'est grâce à ça que nous pouvons apporter notre contribution au monde et que nous pouvons le changer. mais néanmoins ça reste quelque chose de lourd à porter quand on n'a pas été validé quand on n'a pas connaissance de son mode de fonctionnement quand on n'est pas encore au clair avec ses facettes et qu'on n'a pas encore appris à accueillir ses facettes comme étant légitimes il n'y a pas de bonne ou de mauvaise facette il n'y a pas une façon ou une autre d'être à partir du moment où On a un mode de fonctionnement, il nous appartient et ce qui est vraiment important, c'est de pouvoir l'accueillir et nous accueillir tel que nous sommes. Sinon, on va tout le temps être dans l'adaptation et continuer à être dans la suradaptation. Donc, le fait de ne pas avoir été validé participe aussi à ce sentiment de honte parce qu'on a l'impression qu'on n'est jamais OK. Donc, ce qui est vraiment important, c'est tout le besoin de sécurité à développer. C'est l'objet d'un autre épisode de podcast. de s'écouter dans une série de... Je reparle toujours des besoins, mais c'est quand même ça qui revient, un indicateur qui nous permet de vérifier qu'on est à côté de nos besoins. C'est la colère, c'est la frustration. La frustration, c'est le début, avant la colère. La frustration, c'est un truc qui coince, je ne me sens pas bien avec ça. Et puis, au moins, on écoute ça. ou plus on laisse passer du temps en n'écoutant pas ça, ou plus la colère risque de monter et même d'éclater. Il y a parfois des colères froides, il y a des colères où on explose, mais ça, c'est tellement… On a attendu pendant des semaines, des semaines et des semaines, et quand ce n'est pas exprimé, ce n'est pas exprimé, on n'a pas écouté notre propre besoin à titre personnel ou on ne les a pas exprimés face à l'autre dans un contexte particulier. Effectivement, j'aime toujours raconter qu'un de mes tout premiers coachings en entreprise, c'était ça. C'était une dame absolument adorable, mais alors dans une adaptation incroyable, grande intelligence. Elle était l'assistante d'un top manager qu'il appréciait beaucoup. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils lui ont offert un coaching. Ils n'ont pas compris quand un jour elle a explosé, elle aurait déchiré tout le monde. C'était violent. en fait cette violence était à la mesure de le non-respect d'elle-même et de sa non-capacité d'exprimer ses besoins et donc de poser ses limites et de dire à un moment donné stop alors que dans l'absolu tout le monde était prêt mais elle ne disait jamais rien donc voilà c'est quand on est dans cette tension, parce que la colère c'est une tension quand on ne l'écoute pas on ne se laisse pas traverser par la vie on est dans ce masque du perfectionnisme on y revient au syndrome de l'imposteur qui peut très souvent être connecté à ça parce qu'on ne se sent pas à la hauteur Donc voilà, ce sont tous des éléments qui te permettent de repérer pourquoi tu continues à t'adapter, parce que c'est vraiment à lâcher. Et un des premiers aspects, si tu es concerné, si tu te sens connecté à la honte, alors ce n'est pas toujours, on peut être très, très connecté à la honte dans beaucoup de sphères de vie, on peut être connecté à la honte dans une sphère de vie en particulier par rapport à d'autres, dans des circonstances particulières, avec un groupe de personnes, toute une série de personnes avec qui j'ai travaillé. sont particulièrement connectés à la peur d'être vu et à cette honte dans des grands groupes. Voilà. C'est variable et ça dépend d'une personne à l'autre. Je réouvre la parenthèse sur cette honte qui nous donne envie de nous cacher, de nous isoler. à contrario, ce n'est pas parce que tu as besoin de calme et de t'isoler que tu es nécessairement dans la honte. Je fais vraiment cette parenthèse-là parce que ça m'est régulièrement demandé. Tu peux avoir besoin de t'isoler pour te ressourcer, te régénérer ou pour te protéger, pas forcément parce que tu es connecté à la honte. Comme je disais, c'est tout à fait un autre sujet qui pourrait faire aussi l'objet d'un épisode. Mais voilà, ne confonds pas tout et puis parfois, le tout se cumule. ça peut arriver. Alors, je reviens aux besoins, puisque je t'ai parlé de la colère, je referme cette parenthèse-là, je reviens aux besoins. Très souvent, on confond aussi les besoins et les attentes. Un besoin, c'est quelque chose d'infrinsec, quelque chose qui s'apprend. On n'a pas forcément, surtout si tu t'es conformé pendant pas mal d'années, tu n'as pas forcément appris. Si tu as grandi dans une famille où il n'y avait pas de place pour les émotions, tout simplement parce que probablement ils ne savaient pas comment faire, comme dans la mine. tu n'as probablement pas appris à détecter tes besoins personnels et tu as probablement, c'est une hypothèse, mais... imaginer que toute une série de besoins qui correspondent, et peut-être qui ne correspondent pas, mais en tout cas qui semblent correspondre à ton entourage, sont les tiens aussi, que tu fonctionnes comme ta famille, ton environnement, etc. Donc voilà, il y a tout un travail à faire par rapport à ça. Je t'invite vraiment à creuser. Et voilà, ça prend le temps que ça prend. Moi, aujourd'hui, je découvre encore une série de mes besoins auxquels je ne m'étais pas connectée. comme par exemple le fait de sortir de la tête j'aime toujours beaucoup il y a certains sujets qui me passionnent j'ai besoin de chercher de fouiller, de lire c'est une de mes facettes il y a un besoin que j'ai ignoré pendant pas mal d'années c'est celui lié au corps, à la danse à la créativité il y a toute une série de choses en lien avec l'énergie j'étais très connectée à ça quand j'étais enfant parce que ça ne se faisait pas dans ma famille parce que c'était pas considéré comme quelque chose de sérieux pas considéré comme quelque chose avec lequel je pouvais entre parenthèses gagner ma vie j'ai déjà la vie petit à petit j'ai mis ça de côté et puis très sporadiquement j'ai reconnecté avec beaucoup de bien-être mais vraiment là maintenant je sens que je ne peux plus passer à côté de ça Donc les besoins, c'est quelque chose d'intérieur. Et puis, on a les attentes. Les attentes, c'est ce que nous attendons de notre environnement extérieur, de personne, par exemple. Je vais m'attendre à ce que mon amoureux soit attentif à mon bien-être, au fait qu'il... me pose telle ou telle question, qu'il revienne vers moi, qu'il sache que pour moi, telle ou telle chose est importante. Alors, je dis mon amoureux, mais ça peut être... Il peut y avoir vraiment plein de situations. Je peux avoir l'attente que mes parents me soutiennent sur tous les points de vue parce que c'est mes parents et que les parents, quand ils aiment leurs enfants, ils soutiennent inconditionnellement. Il peut y avoir plein de choses par rapport à ça. Alors... Très souvent, on attend de l'extérieur toute une série de choses. On a l'impression qu'on ne peut pas, on n'est pas conscient de ça. Inconsciemment, on pense qu'on ne va pas pouvoir rencontrer ces besoins-là à titre personnel. Et d'ailleurs, très souvent, on donne à l'autre ce que nous aimerions avoir. C'est loin d'être anodin ces histoires-là. Et ça, c'est vraiment important parce que tu peux exprimer tes attentes à l'extérieur, à la personne qui est face à toi, à une amie, un ami, un amoureux, une amoureuse, un conjoint, un enfant, un parent, un collègue, que sais-je. Dans un cadre professionnel, même un client, tu peux exprimer une attente et tu peux clarifier aussi. le fait que tu valides des projets en fonction de tes besoins et des attentes dans cette relation, si c'est clarifié, décider de continuer ou pas. Mais ce qui est intéressant de savoir aussi, c'est que l'autre, en fonction de ses besoins, il n'est absolument pas obligé de répondre à tes attentes. Parce que si ça ne correspond pas à ses besoins, à il ou à elle, l'autre a le droit aussi. Ce n'est pas forcément évident à entendre. de dire ben non moi je suis pas ok avec ça je peux pas répondre à ça Alors, ça demande déjà un sacré degré de maturité émotionnelle. Je dirais que d'avoir cette capacité déjà de pouvoir repérer nos propres besoins, de repérer ce que nous attendons de l'autre, de pouvoir l'exprimer et de pouvoir entendre que l'autre, et ça demande aussi de l'autre côté, d'ailleurs, cette maturité émotionnelle, de pouvoir entendre que l'autre ne va pas forcément répondre à cette attente-là et à ce qui semble être un besoin nourri de l'extérieur en ce qui me concerne. Voilà, c'est la vie, c'est tout l'espace de cœur développement dans une relation, mais c'est important de pouvoir mettre de la conscience là-dessus et à un moment donné de se rendre compte que ça ne va pas toujours dans ce sens-là et très souvent c'est en lien avec nos blessures, avec notre besoin d'être rempli, comme le besoin de reconnaissance par exemple, parce que quand on a des attentes, très souvent ce que ça nous... ça nous dit, ça nous laisse penser que quand cette attente est rencontrée, ça va dire qu'on nous aime. Alors, je caricature un peu, mais quand nous sommes appréciés, appréciables, etc., que nous sommes aimables, et encore, ce n'est pas parce que c'est rencontré qu'on va réussir à se le dire, si effectivement, à l'intérieur, on n'a pas réussi à nous aimer nous-mêmes. Alors, je vais revenir sur ça, à nous aimer, à nous choisir, à ouvrir le cœur sur nous, comme j'aime dire. et c'est loin d'être anodin si tout ça ce que nous allons chercher à l'extérieur c'est hyper important d'être conscient que c'est d'abord à cultiver à l'intérieur si tu attends de la reconnaissance de quelqu'un et que toi, tu n'as pas appris à te reconnaître dans cette même chose, l'autre va faire miroir, il va juste t'envoyer ce que toi, tu penses de toi, ce que toi, à l'intérêt, c'est même pas penser, ça va plus loin, ce que tu peux être convaincu être, et ça va connecter à ça. Et donc tout le travail, c'est vraiment, tout le processus, c'est un processus de... D'ouverture du cœur. Je préfère parler d'ouverture du cœur que de s'aimer ou de ne pas s'aimer parce que pour moi, c'est trop binaire. Un cœur, il s'ouvre et il se ferme au quotidien. Dans certaines relations, dans certaines circonstances, on va refermer le cœur parce que c'est douloureux et c'est humain et c'est OK. Puis, on va réussir à le réouvrir parce qu'on se sent suffisamment en sécurité, parce qu'on a fait un chemin de conscience et ce cœur peut se réouvrir. et donc quoi de plus tout ça vient de l'intérieur j'aime bien cette citation de Gandhi qui est soit le changement que tu veux voir dans le monde alors l'autre partie c'est chacun qui s'élève élève le monde cette partie là elle est moins nommée mais c'est vraiment ça en fait ça commence par soi c'est ça toute cette ouverture du cœur voilà alors donc ça c'est vraiment interne si je peux dire commence par soi comme je le disais et puis dans la relation qu'est-ce qui fait qu'on continue à se suradapter qu'est-ce qui fait que c'est difficile je pense que c'est intéressant de mettre de la conscience et de choisir à un moment donné tiens, est-ce que je continue à mettre de l'énergie dans telle ou telle relation en tenue de ce que je peux observer alors je vais commencer par ce que je disais juste avant la maturité émotionnelle Il y a des personnes que nous apprécions, nous aimons, qui font partie de notre entourage, de notre famille, des amis de longue date, etc. Mais il se peut que l'évolution au niveau émotionnel, cette fameuse maturité émotionnelle ou ce quotient émotionnel, je rappelle que le quotient émotionnel peut varier toute la vie. contrairement à un quotient intellectuel qui, a priori, reste relativement stable toute la vie, tu nais avec des compétences. Après, tu peux développer avec des aptitudes, mais tu peux développer tes compétences, etc., bien entendu en fonction du milieu dans lequel tu évolues. Mais le côté émotionnel, tu peux tout le temps le travailler. Tu peux choisir de mettre ta conscience sur le développement émotionnel ou pas, émotionnel, spirituel, créatif, etc. Et donc, cette maturité émotionnelle, elle est tellement reliée à cette maturité relationnelle. Donc voilà, ça c'est vraiment essentiel. Et quand tu as face à toi quelqu'un qui n'a pas développé cette... cette maturité émotionnelle au même niveau que la tienne ou en tout cas quelque chose de proche quand l'écart est trop grand ça devient compliqué c'est ce que j'expliquais dans mon livre le livre émotif talentueux être soit autrement dit mon premier puisque je suis en train d'écrire mon deuxième mais il n'y en a toujours qu'un qui est publié à date je parle de des tâches, de niveau de conscience. Et en fait, en gros, je dessine une pyramide avec... Alors, j'ai choisi de mettre 7 niveaux. Et quand il y a un niveau entre toi et la personne, donc, admettons que la personne soit au troisième et toi au cinquième, l'écart devient trop grand. Si vous êtes 3, 4 ou 4, 5 ou 5, 6, celui, entre guillemets, du niveau... J'ai bien entre guillemets parce que ça a un... je ne voudrais pas que ça devienne péjoratif, mais il n'y a pas de posture rose là-dedans. C'est juste la manière d'expliquer. Je n'en ai pas trouvé d'autre. Si tu es au quatrième niveau et que la personne est au troisième, toi, tu vas pouvoir transmettre des choses à la personne qui va apprendre de toi. au troisième et inversement celle qui était au troisième niveau va pouvoir transmettre à un deuxième niveau donc voilà puis on peut presque dire la même chose au niveau du QI puisque il y a une série de personnes qui dans les personnes qui m'écoutaient certaines sont concernées par le haut potentiel on parle d'écart type à 15 souvent on me demande est-ce que il est possible de trancou ou bien de pouvoir s'entendre avec quelqu'un qui n'a pas le même QI et C'est un peu court comme question dans mon besoin d'ouverture, mais est-ce qu'il faut absolument être au potentiel à deux pour pouvoir s'entendre ? Moi, je dis que c'est un facteur qui peut nous rassembler tant on… on est sur des paliers proches, qu'il n'y a pas un écart type d'au moins 15 parce que sinon, ça creuse l'écart. C'est un des éléments qui creusent l'écart. Mais il y en a tant d'autres. Il y a, comme je disais, le côté, la maturité émotionnelle, il y a les projets, il y a les centres d'intérêt, il y a l'histoire de vie. il y a tellement de choses. Donc, dans la relation, il y a tout ça effectivement qui joue. il y a plein de choses qui peuvent creuser les cas mais une fois de plus à toi à voir est-ce que tu considères que ta relation la relation est suffisamment importante et qu'il y a suffisamment de points de jonction c'est que c'est pas très joli c'est bizarre de dire ça dans une relation mais néanmoins ça dit quand même ce que ça dit pour la considérer comme un espace de développement, est-ce que de l'autre côté, il y a également ce choix ou pas ? Alors, parfois, ce n'est pas évident parce que quand tu es au travail, tu n'as pas forcément choisi tes collègues. Tu n'as pas forcément choisi ta famille, quoique certaines personnes diraient que c'est ce que tu viens travailler dans cette vie. Mais en tout cas, la relation est toujours un espace de développement. ou en espace de co-développement. Je pense que c'est utopique de se dire que toutes les relations fonctionnent. Alors, ça peut arriver, bien entendu, mais que toutes les relations fonctionnent comme des bisounours tout le temps. J'ai presque envie de dire que quand c'est le cas, ça vaut la peine de mettre de la conscience et de demander jusqu'où on peut éventuellement se suradapter de nouveau pour que ça fonctionne de cette manière-là ou pas. Ça existe, mais voilà. En tout cas, ce que je trouve intéressant, c'est d'identifier combien tu as de l'énergie dans une relation. Est-ce que tu sens de la joie, de la fluidité, de la légèreté ? Moi, ce sont mes indicateurs. Quand il n'y a pas de joie, de fluidité, de légèreté, la plupart du temps, je me questionne sur le fait que je veuille maintenir cette relation. Alors, pas forcément la couper, mais l'entretenir ou pas. Et je m'autorise aujourd'hui, parce que ça fait partie de ma façon de me choisir, de prendre de la distance avec certaines personnes et de nourrir très ponctuellement cette relation, parce qu'elle peut toujours être importante pour moi, ou pour certaines relations, de prendre de la distance avec douceur. Moi, je ne ressens pas aujourd'hui le besoin de couper des relations. Enfin, plus. Ça a été le cas avant quand j'étais dans des relations toxiques. Et parfois, c'est important. se sent tellement étouffée, accaparée par la relation, on a besoin de la couper à un moment donné, peut-être de la reprendre plus tard ou jamais. Voilà, c'est important de mettre de la conscience là-dessus. Voilà ce que j'avais envie de te dire, de te donner des éléments de raison pour lesquels tu continues à te suradapter. D'ailleurs, si tu as envie de clarifier, ça c'est très général ce que je te dis, mais si tu as envie de clarifier ce qui, toi, te bloque et... de t'autoriser à te choisir. Je pense que c'est vraiment important de pouvoir être accompagnée par rapport à ça. Et je te propose de rejoindre le cercle des sacrées nanas. Donc, on est entre femmes, des femmes qui ont envie de s'autoriser à être qui elles sont avec toutes leurs multiples facettes. Je t'invite à nous rejoindre, à venir voir ce que nous te proposons sur www.émotif-talentueux.com slash cercle tu voilà tu peux nous rejoindre soit pour un mois ou pour plus longtemps c'est toi qui vois le moment le temps dont tu auras besoin il y a plein de ressources il y a toute une série de femmes absolument fabuleuses qui sont là pour s'entraider il y a beaucoup de sécurité dans le cercle donc voilà viens voir ce qu'on fait sur www.émotif-talentueux.com slash cercle à bientôt S

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Bienvenue dans ce 32ème épisode dans lequel je te parle de la suradaptation et du sentiment de honte qui l'accompagne souvent...


Cet épisode fait le lien avec le précédent dans lequel j'aborde la thématique des jeux de pouvoir : comment les repérer, comment les déjouer...


Aujourd'hui, je réponds à tes questions sur le sentiment de honte :

  • pourquoi est-il présent ?

  • comment s'en détacher ?

  • quel(s) lien(s) avec les besoins et les attentes ?

  • pourquoi être au clair avec la façon dont on vit nos relations ?


Dans cet épisode, je te livre des clés pour mettre de la conscience sur tout cela et t'aider à sortir de la suradaptation.


Je te souhaite une bonne écoute !



💎 Tu veux révéler ta vraie nature sans craindre le regard des autres ni t’épuiser dans une voie ou des relations qui ne te correspondent pas ?

👉⭕ Rejoins le cercle des Sacrées NaNas




🔹  Pour me rejoindre :

Site Nathalie Alsteen : https://nathaliealsteen.com/ 

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, Sacré-Nana, ravie de te retrouver pour ce nouvel épisode en lien avec la suradaptation, sujet du moment, mais surtout dans lequel on va répondre à la question pourquoi je continue à me suradapter. sachant que je fais le lien avec le précédent épisode. Et dans cet épisode-ci, je vais te parler de honte. Pourquoi il y a de la honte ? Comment on fait pour se détacher de la honte ? Quelles sont les différences entre les besoins et les attentes ? Et en quoi c'est important d'être très au clair avec ça, avec tous ces facteurs extérieurs et avec la façon dont on vit certaines de nos relations ? qui font qu'il va être parfois plus facile de sortir de la suradaptation qu'à d'autres moments. Et dès le moment où tu commences à mettre de la conscience là-dessus, tu vas voir, tout se simplifie nettement et je t'en reparle tout de suite. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, dans le précédent épisode, le 31 de la saison 2, je parle de jeux de pouvoir. Je t'explique toute la manière dont ces jeux de pouvoir peuvent, de façon parfois insidieuse, s'installer. Et puis, comment tu peux les déjouer, en tout cas les repérer. Je reconnecte ça. Au fait, au plus tu vas sortir de ces jeux-là, au plus tu vas te connecter à ta vraie nature. Alors, ce que j'ai envie d'amener dans cette thématique du jour, dans cet épisode, c'est pourquoi je continue à me suradapter, à m'adapter très très fort, parce qu'on peut comprendre intellectuellement et en même temps, je pense qu'en tant que sacrée nana et en lien avec notre facette multi, ça peut expliquer pas mal de choses. Alors, il y en a toute une série, j'ai envie de commencer. par un sentiment qu'on retrouve quand même assez souvent dans notre communauté, c'est le sentiment de honte. en sorte de te rassurer si tu te sens connecté à ça, la honte c'est ce sentiment qui fait qu'on se juge on se juge à titre personnel on se juge de ce que nous devrions être et que nous ne nous sommes pas on se juge d'actes que nous avons posés et que nous n'aurions peut-être pas dû poser dans notre esprit parce que quand on est là-dedans il y a quelque chose qui est extrêmement vulnérable au point de ne pas oser se montrer. Et donc, la honte est vraiment associée, c'est l'inverse de la fierté, elle est vraiment associée à ce besoin de se cacher. Et je vais revenir, ce n'est pas parce qu'on a besoin de se cacher, d'être isolé qu'on est nécessairement dans la honte. Ça, c'est une autre histoire, je vais en reparler juste après. Mais ce qui me semble vraiment important, c'est de pouvoir repérer ce moment de honte. Et ce n'est pas simple, parce que comme justement, quand on est honteux, on a peur d'être mis à nu, mise à nu, on a peur d'être vu, eh bien, on essaye de gérer ça tout seul, toute seule, on essaye de contrôler ça dans notre coin et c'est extrêmement pénible quand on est là-dedans. J'ai été là-dedans pas mal d'années, je le dis vraiment. Je parlais, j'expliquais récemment combien il y a eu une époque à laquelle, pour un oui ou un non, je rougissais parce que je me sentais pas OK, pas... à la hauteur. C'est comme si j'étais prise en défaut. Et la honte, c'est ça. C'est comme si on était... La peur d'être prise en défaut de quelque chose que nous n'avons pas fait ou même quelque chose que nous pensons que nous sommes. C'est pratiquement identitaire. C'est une vibration terriblement basse. Et c'est vraiment important de pouvoir l'identifier et c'est important de pouvoir en sortir. et on peut en sortir en exprimant les choses ça c'est tout un autre aspect je travaille beaucoup ça dans le cercle de Sacré Nana c'est entre autres ce qu'on fait c'est qu'on apprend à se montrer en sécurité parce que c'est important de faire en sécurité dans un espace où on sent la bienveillance dans un espace où on n'est pas jugé pour qui nous sommes et une fois de plus la honte c'est vraiment ça et quand effectivement on s'est senti en décalage par rapport à toutes nos facettes qui ne correspondent pas, ou en tout cas dont nous pensons qu'elles ne correspondent pas à ce que la société attend, elles ne sont pas conformes, alors que dans l'absolu, c'est vraiment quelque chose de fabuleux d'avoir des facettes, d'être singulier, d'avoir des facettes différentes, de voir le monde autrement, parce que moi j'ai l'intime conviction que c'est grâce à ça que nous pouvons apporter notre contribution au monde et que nous pouvons le changer. mais néanmoins ça reste quelque chose de lourd à porter quand on n'a pas été validé quand on n'a pas connaissance de son mode de fonctionnement quand on n'est pas encore au clair avec ses facettes et qu'on n'a pas encore appris à accueillir ses facettes comme étant légitimes il n'y a pas de bonne ou de mauvaise facette il n'y a pas une façon ou une autre d'être à partir du moment où On a un mode de fonctionnement, il nous appartient et ce qui est vraiment important, c'est de pouvoir l'accueillir et nous accueillir tel que nous sommes. Sinon, on va tout le temps être dans l'adaptation et continuer à être dans la suradaptation. Donc, le fait de ne pas avoir été validé participe aussi à ce sentiment de honte parce qu'on a l'impression qu'on n'est jamais OK. Donc, ce qui est vraiment important, c'est tout le besoin de sécurité à développer. C'est l'objet d'un autre épisode de podcast. de s'écouter dans une série de... Je reparle toujours des besoins, mais c'est quand même ça qui revient, un indicateur qui nous permet de vérifier qu'on est à côté de nos besoins. C'est la colère, c'est la frustration. La frustration, c'est le début, avant la colère. La frustration, c'est un truc qui coince, je ne me sens pas bien avec ça. Et puis, au moins, on écoute ça. ou plus on laisse passer du temps en n'écoutant pas ça, ou plus la colère risque de monter et même d'éclater. Il y a parfois des colères froides, il y a des colères où on explose, mais ça, c'est tellement… On a attendu pendant des semaines, des semaines et des semaines, et quand ce n'est pas exprimé, ce n'est pas exprimé, on n'a pas écouté notre propre besoin à titre personnel ou on ne les a pas exprimés face à l'autre dans un contexte particulier. Effectivement, j'aime toujours raconter qu'un de mes tout premiers coachings en entreprise, c'était ça. C'était une dame absolument adorable, mais alors dans une adaptation incroyable, grande intelligence. Elle était l'assistante d'un top manager qu'il appréciait beaucoup. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils lui ont offert un coaching. Ils n'ont pas compris quand un jour elle a explosé, elle aurait déchiré tout le monde. C'était violent. en fait cette violence était à la mesure de le non-respect d'elle-même et de sa non-capacité d'exprimer ses besoins et donc de poser ses limites et de dire à un moment donné stop alors que dans l'absolu tout le monde était prêt mais elle ne disait jamais rien donc voilà c'est quand on est dans cette tension, parce que la colère c'est une tension quand on ne l'écoute pas on ne se laisse pas traverser par la vie on est dans ce masque du perfectionnisme on y revient au syndrome de l'imposteur qui peut très souvent être connecté à ça parce qu'on ne se sent pas à la hauteur Donc voilà, ce sont tous des éléments qui te permettent de repérer pourquoi tu continues à t'adapter, parce que c'est vraiment à lâcher. Et un des premiers aspects, si tu es concerné, si tu te sens connecté à la honte, alors ce n'est pas toujours, on peut être très, très connecté à la honte dans beaucoup de sphères de vie, on peut être connecté à la honte dans une sphère de vie en particulier par rapport à d'autres, dans des circonstances particulières, avec un groupe de personnes, toute une série de personnes avec qui j'ai travaillé. sont particulièrement connectés à la peur d'être vu et à cette honte dans des grands groupes. Voilà. C'est variable et ça dépend d'une personne à l'autre. Je réouvre la parenthèse sur cette honte qui nous donne envie de nous cacher, de nous isoler. à contrario, ce n'est pas parce que tu as besoin de calme et de t'isoler que tu es nécessairement dans la honte. Je fais vraiment cette parenthèse-là parce que ça m'est régulièrement demandé. Tu peux avoir besoin de t'isoler pour te ressourcer, te régénérer ou pour te protéger, pas forcément parce que tu es connecté à la honte. Comme je disais, c'est tout à fait un autre sujet qui pourrait faire aussi l'objet d'un épisode. Mais voilà, ne confonds pas tout et puis parfois, le tout se cumule. ça peut arriver. Alors, je reviens aux besoins, puisque je t'ai parlé de la colère, je referme cette parenthèse-là, je reviens aux besoins. Très souvent, on confond aussi les besoins et les attentes. Un besoin, c'est quelque chose d'infrinsec, quelque chose qui s'apprend. On n'a pas forcément, surtout si tu t'es conformé pendant pas mal d'années, tu n'as pas forcément appris. Si tu as grandi dans une famille où il n'y avait pas de place pour les émotions, tout simplement parce que probablement ils ne savaient pas comment faire, comme dans la mine. tu n'as probablement pas appris à détecter tes besoins personnels et tu as probablement, c'est une hypothèse, mais... imaginer que toute une série de besoins qui correspondent, et peut-être qui ne correspondent pas, mais en tout cas qui semblent correspondre à ton entourage, sont les tiens aussi, que tu fonctionnes comme ta famille, ton environnement, etc. Donc voilà, il y a tout un travail à faire par rapport à ça. Je t'invite vraiment à creuser. Et voilà, ça prend le temps que ça prend. Moi, aujourd'hui, je découvre encore une série de mes besoins auxquels je ne m'étais pas connectée. comme par exemple le fait de sortir de la tête j'aime toujours beaucoup il y a certains sujets qui me passionnent j'ai besoin de chercher de fouiller, de lire c'est une de mes facettes il y a un besoin que j'ai ignoré pendant pas mal d'années c'est celui lié au corps, à la danse à la créativité il y a toute une série de choses en lien avec l'énergie j'étais très connectée à ça quand j'étais enfant parce que ça ne se faisait pas dans ma famille parce que c'était pas considéré comme quelque chose de sérieux pas considéré comme quelque chose avec lequel je pouvais entre parenthèses gagner ma vie j'ai déjà la vie petit à petit j'ai mis ça de côté et puis très sporadiquement j'ai reconnecté avec beaucoup de bien-être mais vraiment là maintenant je sens que je ne peux plus passer à côté de ça Donc les besoins, c'est quelque chose d'intérieur. Et puis, on a les attentes. Les attentes, c'est ce que nous attendons de notre environnement extérieur, de personne, par exemple. Je vais m'attendre à ce que mon amoureux soit attentif à mon bien-être, au fait qu'il... me pose telle ou telle question, qu'il revienne vers moi, qu'il sache que pour moi, telle ou telle chose est importante. Alors, je dis mon amoureux, mais ça peut être... Il peut y avoir vraiment plein de situations. Je peux avoir l'attente que mes parents me soutiennent sur tous les points de vue parce que c'est mes parents et que les parents, quand ils aiment leurs enfants, ils soutiennent inconditionnellement. Il peut y avoir plein de choses par rapport à ça. Alors... Très souvent, on attend de l'extérieur toute une série de choses. On a l'impression qu'on ne peut pas, on n'est pas conscient de ça. Inconsciemment, on pense qu'on ne va pas pouvoir rencontrer ces besoins-là à titre personnel. Et d'ailleurs, très souvent, on donne à l'autre ce que nous aimerions avoir. C'est loin d'être anodin ces histoires-là. Et ça, c'est vraiment important parce que tu peux exprimer tes attentes à l'extérieur, à la personne qui est face à toi, à une amie, un ami, un amoureux, une amoureuse, un conjoint, un enfant, un parent, un collègue, que sais-je. Dans un cadre professionnel, même un client, tu peux exprimer une attente et tu peux clarifier aussi. le fait que tu valides des projets en fonction de tes besoins et des attentes dans cette relation, si c'est clarifié, décider de continuer ou pas. Mais ce qui est intéressant de savoir aussi, c'est que l'autre, en fonction de ses besoins, il n'est absolument pas obligé de répondre à tes attentes. Parce que si ça ne correspond pas à ses besoins, à il ou à elle, l'autre a le droit aussi. Ce n'est pas forcément évident à entendre. de dire ben non moi je suis pas ok avec ça je peux pas répondre à ça Alors, ça demande déjà un sacré degré de maturité émotionnelle. Je dirais que d'avoir cette capacité déjà de pouvoir repérer nos propres besoins, de repérer ce que nous attendons de l'autre, de pouvoir l'exprimer et de pouvoir entendre que l'autre, et ça demande aussi de l'autre côté, d'ailleurs, cette maturité émotionnelle, de pouvoir entendre que l'autre ne va pas forcément répondre à cette attente-là et à ce qui semble être un besoin nourri de l'extérieur en ce qui me concerne. Voilà, c'est la vie, c'est tout l'espace de cœur développement dans une relation, mais c'est important de pouvoir mettre de la conscience là-dessus et à un moment donné de se rendre compte que ça ne va pas toujours dans ce sens-là et très souvent c'est en lien avec nos blessures, avec notre besoin d'être rempli, comme le besoin de reconnaissance par exemple, parce que quand on a des attentes, très souvent ce que ça nous... ça nous dit, ça nous laisse penser que quand cette attente est rencontrée, ça va dire qu'on nous aime. Alors, je caricature un peu, mais quand nous sommes appréciés, appréciables, etc., que nous sommes aimables, et encore, ce n'est pas parce que c'est rencontré qu'on va réussir à se le dire, si effectivement, à l'intérieur, on n'a pas réussi à nous aimer nous-mêmes. Alors, je vais revenir sur ça, à nous aimer, à nous choisir, à ouvrir le cœur sur nous, comme j'aime dire. et c'est loin d'être anodin si tout ça ce que nous allons chercher à l'extérieur c'est hyper important d'être conscient que c'est d'abord à cultiver à l'intérieur si tu attends de la reconnaissance de quelqu'un et que toi, tu n'as pas appris à te reconnaître dans cette même chose, l'autre va faire miroir, il va juste t'envoyer ce que toi, tu penses de toi, ce que toi, à l'intérêt, c'est même pas penser, ça va plus loin, ce que tu peux être convaincu être, et ça va connecter à ça. Et donc tout le travail, c'est vraiment, tout le processus, c'est un processus de... D'ouverture du cœur. Je préfère parler d'ouverture du cœur que de s'aimer ou de ne pas s'aimer parce que pour moi, c'est trop binaire. Un cœur, il s'ouvre et il se ferme au quotidien. Dans certaines relations, dans certaines circonstances, on va refermer le cœur parce que c'est douloureux et c'est humain et c'est OK. Puis, on va réussir à le réouvrir parce qu'on se sent suffisamment en sécurité, parce qu'on a fait un chemin de conscience et ce cœur peut se réouvrir. et donc quoi de plus tout ça vient de l'intérieur j'aime bien cette citation de Gandhi qui est soit le changement que tu veux voir dans le monde alors l'autre partie c'est chacun qui s'élève élève le monde cette partie là elle est moins nommée mais c'est vraiment ça en fait ça commence par soi c'est ça toute cette ouverture du cœur voilà alors donc ça c'est vraiment interne si je peux dire commence par soi comme je le disais et puis dans la relation qu'est-ce qui fait qu'on continue à se suradapter qu'est-ce qui fait que c'est difficile je pense que c'est intéressant de mettre de la conscience et de choisir à un moment donné tiens, est-ce que je continue à mettre de l'énergie dans telle ou telle relation en tenue de ce que je peux observer alors je vais commencer par ce que je disais juste avant la maturité émotionnelle Il y a des personnes que nous apprécions, nous aimons, qui font partie de notre entourage, de notre famille, des amis de longue date, etc. Mais il se peut que l'évolution au niveau émotionnel, cette fameuse maturité émotionnelle ou ce quotient émotionnel, je rappelle que le quotient émotionnel peut varier toute la vie. contrairement à un quotient intellectuel qui, a priori, reste relativement stable toute la vie, tu nais avec des compétences. Après, tu peux développer avec des aptitudes, mais tu peux développer tes compétences, etc., bien entendu en fonction du milieu dans lequel tu évolues. Mais le côté émotionnel, tu peux tout le temps le travailler. Tu peux choisir de mettre ta conscience sur le développement émotionnel ou pas, émotionnel, spirituel, créatif, etc. Et donc, cette maturité émotionnelle, elle est tellement reliée à cette maturité relationnelle. Donc voilà, ça c'est vraiment essentiel. Et quand tu as face à toi quelqu'un qui n'a pas développé cette... cette maturité émotionnelle au même niveau que la tienne ou en tout cas quelque chose de proche quand l'écart est trop grand ça devient compliqué c'est ce que j'expliquais dans mon livre le livre émotif talentueux être soit autrement dit mon premier puisque je suis en train d'écrire mon deuxième mais il n'y en a toujours qu'un qui est publié à date je parle de des tâches, de niveau de conscience. Et en fait, en gros, je dessine une pyramide avec... Alors, j'ai choisi de mettre 7 niveaux. Et quand il y a un niveau entre toi et la personne, donc, admettons que la personne soit au troisième et toi au cinquième, l'écart devient trop grand. Si vous êtes 3, 4 ou 4, 5 ou 5, 6, celui, entre guillemets, du niveau... J'ai bien entre guillemets parce que ça a un... je ne voudrais pas que ça devienne péjoratif, mais il n'y a pas de posture rose là-dedans. C'est juste la manière d'expliquer. Je n'en ai pas trouvé d'autre. Si tu es au quatrième niveau et que la personne est au troisième, toi, tu vas pouvoir transmettre des choses à la personne qui va apprendre de toi. au troisième et inversement celle qui était au troisième niveau va pouvoir transmettre à un deuxième niveau donc voilà puis on peut presque dire la même chose au niveau du QI puisque il y a une série de personnes qui dans les personnes qui m'écoutaient certaines sont concernées par le haut potentiel on parle d'écart type à 15 souvent on me demande est-ce que il est possible de trancou ou bien de pouvoir s'entendre avec quelqu'un qui n'a pas le même QI et C'est un peu court comme question dans mon besoin d'ouverture, mais est-ce qu'il faut absolument être au potentiel à deux pour pouvoir s'entendre ? Moi, je dis que c'est un facteur qui peut nous rassembler tant on… on est sur des paliers proches, qu'il n'y a pas un écart type d'au moins 15 parce que sinon, ça creuse l'écart. C'est un des éléments qui creusent l'écart. Mais il y en a tant d'autres. Il y a, comme je disais, le côté, la maturité émotionnelle, il y a les projets, il y a les centres d'intérêt, il y a l'histoire de vie. il y a tellement de choses. Donc, dans la relation, il y a tout ça effectivement qui joue. il y a plein de choses qui peuvent creuser les cas mais une fois de plus à toi à voir est-ce que tu considères que ta relation la relation est suffisamment importante et qu'il y a suffisamment de points de jonction c'est que c'est pas très joli c'est bizarre de dire ça dans une relation mais néanmoins ça dit quand même ce que ça dit pour la considérer comme un espace de développement, est-ce que de l'autre côté, il y a également ce choix ou pas ? Alors, parfois, ce n'est pas évident parce que quand tu es au travail, tu n'as pas forcément choisi tes collègues. Tu n'as pas forcément choisi ta famille, quoique certaines personnes diraient que c'est ce que tu viens travailler dans cette vie. Mais en tout cas, la relation est toujours un espace de développement. ou en espace de co-développement. Je pense que c'est utopique de se dire que toutes les relations fonctionnent. Alors, ça peut arriver, bien entendu, mais que toutes les relations fonctionnent comme des bisounours tout le temps. J'ai presque envie de dire que quand c'est le cas, ça vaut la peine de mettre de la conscience et de demander jusqu'où on peut éventuellement se suradapter de nouveau pour que ça fonctionne de cette manière-là ou pas. Ça existe, mais voilà. En tout cas, ce que je trouve intéressant, c'est d'identifier combien tu as de l'énergie dans une relation. Est-ce que tu sens de la joie, de la fluidité, de la légèreté ? Moi, ce sont mes indicateurs. Quand il n'y a pas de joie, de fluidité, de légèreté, la plupart du temps, je me questionne sur le fait que je veuille maintenir cette relation. Alors, pas forcément la couper, mais l'entretenir ou pas. Et je m'autorise aujourd'hui, parce que ça fait partie de ma façon de me choisir, de prendre de la distance avec certaines personnes et de nourrir très ponctuellement cette relation, parce qu'elle peut toujours être importante pour moi, ou pour certaines relations, de prendre de la distance avec douceur. Moi, je ne ressens pas aujourd'hui le besoin de couper des relations. Enfin, plus. Ça a été le cas avant quand j'étais dans des relations toxiques. Et parfois, c'est important. se sent tellement étouffée, accaparée par la relation, on a besoin de la couper à un moment donné, peut-être de la reprendre plus tard ou jamais. Voilà, c'est important de mettre de la conscience là-dessus. Voilà ce que j'avais envie de te dire, de te donner des éléments de raison pour lesquels tu continues à te suradapter. D'ailleurs, si tu as envie de clarifier, ça c'est très général ce que je te dis, mais si tu as envie de clarifier ce qui, toi, te bloque et... de t'autoriser à te choisir. Je pense que c'est vraiment important de pouvoir être accompagnée par rapport à ça. Et je te propose de rejoindre le cercle des sacrées nanas. Donc, on est entre femmes, des femmes qui ont envie de s'autoriser à être qui elles sont avec toutes leurs multiples facettes. Je t'invite à nous rejoindre, à venir voir ce que nous te proposons sur www.émotif-talentueux.com slash cercle tu voilà tu peux nous rejoindre soit pour un mois ou pour plus longtemps c'est toi qui vois le moment le temps dont tu auras besoin il y a plein de ressources il y a toute une série de femmes absolument fabuleuses qui sont là pour s'entraider il y a beaucoup de sécurité dans le cercle donc voilà viens voir ce qu'on fait sur www.émotif-talentueux.com slash cercle à bientôt S

Description

Bienvenue dans ce 32ème épisode dans lequel je te parle de la suradaptation et du sentiment de honte qui l'accompagne souvent...


Cet épisode fait le lien avec le précédent dans lequel j'aborde la thématique des jeux de pouvoir : comment les repérer, comment les déjouer...


Aujourd'hui, je réponds à tes questions sur le sentiment de honte :

  • pourquoi est-il présent ?

  • comment s'en détacher ?

  • quel(s) lien(s) avec les besoins et les attentes ?

  • pourquoi être au clair avec la façon dont on vit nos relations ?


Dans cet épisode, je te livre des clés pour mettre de la conscience sur tout cela et t'aider à sortir de la suradaptation.


Je te souhaite une bonne écoute !



💎 Tu veux révéler ta vraie nature sans craindre le regard des autres ni t’épuiser dans une voie ou des relations qui ne te correspondent pas ?

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, Sacré-Nana, ravie de te retrouver pour ce nouvel épisode en lien avec la suradaptation, sujet du moment, mais surtout dans lequel on va répondre à la question pourquoi je continue à me suradapter. sachant que je fais le lien avec le précédent épisode. Et dans cet épisode-ci, je vais te parler de honte. Pourquoi il y a de la honte ? Comment on fait pour se détacher de la honte ? Quelles sont les différences entre les besoins et les attentes ? Et en quoi c'est important d'être très au clair avec ça, avec tous ces facteurs extérieurs et avec la façon dont on vit certaines de nos relations ? qui font qu'il va être parfois plus facile de sortir de la suradaptation qu'à d'autres moments. Et dès le moment où tu commences à mettre de la conscience là-dessus, tu vas voir, tout se simplifie nettement et je t'en reparle tout de suite. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, dans le précédent épisode, le 31 de la saison 2, je parle de jeux de pouvoir. Je t'explique toute la manière dont ces jeux de pouvoir peuvent, de façon parfois insidieuse, s'installer. Et puis, comment tu peux les déjouer, en tout cas les repérer. Je reconnecte ça. Au fait, au plus tu vas sortir de ces jeux-là, au plus tu vas te connecter à ta vraie nature. Alors, ce que j'ai envie d'amener dans cette thématique du jour, dans cet épisode, c'est pourquoi je continue à me suradapter, à m'adapter très très fort, parce qu'on peut comprendre intellectuellement et en même temps, je pense qu'en tant que sacrée nana et en lien avec notre facette multi, ça peut expliquer pas mal de choses. Alors, il y en a toute une série, j'ai envie de commencer. par un sentiment qu'on retrouve quand même assez souvent dans notre communauté, c'est le sentiment de honte. en sorte de te rassurer si tu te sens connecté à ça, la honte c'est ce sentiment qui fait qu'on se juge on se juge à titre personnel on se juge de ce que nous devrions être et que nous ne nous sommes pas on se juge d'actes que nous avons posés et que nous n'aurions peut-être pas dû poser dans notre esprit parce que quand on est là-dedans il y a quelque chose qui est extrêmement vulnérable au point de ne pas oser se montrer. Et donc, la honte est vraiment associée, c'est l'inverse de la fierté, elle est vraiment associée à ce besoin de se cacher. Et je vais revenir, ce n'est pas parce qu'on a besoin de se cacher, d'être isolé qu'on est nécessairement dans la honte. Ça, c'est une autre histoire, je vais en reparler juste après. Mais ce qui me semble vraiment important, c'est de pouvoir repérer ce moment de honte. Et ce n'est pas simple, parce que comme justement, quand on est honteux, on a peur d'être mis à nu, mise à nu, on a peur d'être vu, eh bien, on essaye de gérer ça tout seul, toute seule, on essaye de contrôler ça dans notre coin et c'est extrêmement pénible quand on est là-dedans. J'ai été là-dedans pas mal d'années, je le dis vraiment. Je parlais, j'expliquais récemment combien il y a eu une époque à laquelle, pour un oui ou un non, je rougissais parce que je me sentais pas OK, pas... à la hauteur. C'est comme si j'étais prise en défaut. Et la honte, c'est ça. C'est comme si on était... La peur d'être prise en défaut de quelque chose que nous n'avons pas fait ou même quelque chose que nous pensons que nous sommes. C'est pratiquement identitaire. C'est une vibration terriblement basse. Et c'est vraiment important de pouvoir l'identifier et c'est important de pouvoir en sortir. et on peut en sortir en exprimant les choses ça c'est tout un autre aspect je travaille beaucoup ça dans le cercle de Sacré Nana c'est entre autres ce qu'on fait c'est qu'on apprend à se montrer en sécurité parce que c'est important de faire en sécurité dans un espace où on sent la bienveillance dans un espace où on n'est pas jugé pour qui nous sommes et une fois de plus la honte c'est vraiment ça et quand effectivement on s'est senti en décalage par rapport à toutes nos facettes qui ne correspondent pas, ou en tout cas dont nous pensons qu'elles ne correspondent pas à ce que la société attend, elles ne sont pas conformes, alors que dans l'absolu, c'est vraiment quelque chose de fabuleux d'avoir des facettes, d'être singulier, d'avoir des facettes différentes, de voir le monde autrement, parce que moi j'ai l'intime conviction que c'est grâce à ça que nous pouvons apporter notre contribution au monde et que nous pouvons le changer. mais néanmoins ça reste quelque chose de lourd à porter quand on n'a pas été validé quand on n'a pas connaissance de son mode de fonctionnement quand on n'est pas encore au clair avec ses facettes et qu'on n'a pas encore appris à accueillir ses facettes comme étant légitimes il n'y a pas de bonne ou de mauvaise facette il n'y a pas une façon ou une autre d'être à partir du moment où On a un mode de fonctionnement, il nous appartient et ce qui est vraiment important, c'est de pouvoir l'accueillir et nous accueillir tel que nous sommes. Sinon, on va tout le temps être dans l'adaptation et continuer à être dans la suradaptation. Donc, le fait de ne pas avoir été validé participe aussi à ce sentiment de honte parce qu'on a l'impression qu'on n'est jamais OK. Donc, ce qui est vraiment important, c'est tout le besoin de sécurité à développer. C'est l'objet d'un autre épisode de podcast. de s'écouter dans une série de... Je reparle toujours des besoins, mais c'est quand même ça qui revient, un indicateur qui nous permet de vérifier qu'on est à côté de nos besoins. C'est la colère, c'est la frustration. La frustration, c'est le début, avant la colère. La frustration, c'est un truc qui coince, je ne me sens pas bien avec ça. Et puis, au moins, on écoute ça. ou plus on laisse passer du temps en n'écoutant pas ça, ou plus la colère risque de monter et même d'éclater. Il y a parfois des colères froides, il y a des colères où on explose, mais ça, c'est tellement… On a attendu pendant des semaines, des semaines et des semaines, et quand ce n'est pas exprimé, ce n'est pas exprimé, on n'a pas écouté notre propre besoin à titre personnel ou on ne les a pas exprimés face à l'autre dans un contexte particulier. Effectivement, j'aime toujours raconter qu'un de mes tout premiers coachings en entreprise, c'était ça. C'était une dame absolument adorable, mais alors dans une adaptation incroyable, grande intelligence. Elle était l'assistante d'un top manager qu'il appréciait beaucoup. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils lui ont offert un coaching. Ils n'ont pas compris quand un jour elle a explosé, elle aurait déchiré tout le monde. C'était violent. en fait cette violence était à la mesure de le non-respect d'elle-même et de sa non-capacité d'exprimer ses besoins et donc de poser ses limites et de dire à un moment donné stop alors que dans l'absolu tout le monde était prêt mais elle ne disait jamais rien donc voilà c'est quand on est dans cette tension, parce que la colère c'est une tension quand on ne l'écoute pas on ne se laisse pas traverser par la vie on est dans ce masque du perfectionnisme on y revient au syndrome de l'imposteur qui peut très souvent être connecté à ça parce qu'on ne se sent pas à la hauteur Donc voilà, ce sont tous des éléments qui te permettent de repérer pourquoi tu continues à t'adapter, parce que c'est vraiment à lâcher. Et un des premiers aspects, si tu es concerné, si tu te sens connecté à la honte, alors ce n'est pas toujours, on peut être très, très connecté à la honte dans beaucoup de sphères de vie, on peut être connecté à la honte dans une sphère de vie en particulier par rapport à d'autres, dans des circonstances particulières, avec un groupe de personnes, toute une série de personnes avec qui j'ai travaillé. sont particulièrement connectés à la peur d'être vu et à cette honte dans des grands groupes. Voilà. C'est variable et ça dépend d'une personne à l'autre. Je réouvre la parenthèse sur cette honte qui nous donne envie de nous cacher, de nous isoler. à contrario, ce n'est pas parce que tu as besoin de calme et de t'isoler que tu es nécessairement dans la honte. Je fais vraiment cette parenthèse-là parce que ça m'est régulièrement demandé. Tu peux avoir besoin de t'isoler pour te ressourcer, te régénérer ou pour te protéger, pas forcément parce que tu es connecté à la honte. Comme je disais, c'est tout à fait un autre sujet qui pourrait faire aussi l'objet d'un épisode. Mais voilà, ne confonds pas tout et puis parfois, le tout se cumule. ça peut arriver. Alors, je reviens aux besoins, puisque je t'ai parlé de la colère, je referme cette parenthèse-là, je reviens aux besoins. Très souvent, on confond aussi les besoins et les attentes. Un besoin, c'est quelque chose d'infrinsec, quelque chose qui s'apprend. On n'a pas forcément, surtout si tu t'es conformé pendant pas mal d'années, tu n'as pas forcément appris. Si tu as grandi dans une famille où il n'y avait pas de place pour les émotions, tout simplement parce que probablement ils ne savaient pas comment faire, comme dans la mine. tu n'as probablement pas appris à détecter tes besoins personnels et tu as probablement, c'est une hypothèse, mais... imaginer que toute une série de besoins qui correspondent, et peut-être qui ne correspondent pas, mais en tout cas qui semblent correspondre à ton entourage, sont les tiens aussi, que tu fonctionnes comme ta famille, ton environnement, etc. Donc voilà, il y a tout un travail à faire par rapport à ça. Je t'invite vraiment à creuser. Et voilà, ça prend le temps que ça prend. Moi, aujourd'hui, je découvre encore une série de mes besoins auxquels je ne m'étais pas connectée. comme par exemple le fait de sortir de la tête j'aime toujours beaucoup il y a certains sujets qui me passionnent j'ai besoin de chercher de fouiller, de lire c'est une de mes facettes il y a un besoin que j'ai ignoré pendant pas mal d'années c'est celui lié au corps, à la danse à la créativité il y a toute une série de choses en lien avec l'énergie j'étais très connectée à ça quand j'étais enfant parce que ça ne se faisait pas dans ma famille parce que c'était pas considéré comme quelque chose de sérieux pas considéré comme quelque chose avec lequel je pouvais entre parenthèses gagner ma vie j'ai déjà la vie petit à petit j'ai mis ça de côté et puis très sporadiquement j'ai reconnecté avec beaucoup de bien-être mais vraiment là maintenant je sens que je ne peux plus passer à côté de ça Donc les besoins, c'est quelque chose d'intérieur. Et puis, on a les attentes. Les attentes, c'est ce que nous attendons de notre environnement extérieur, de personne, par exemple. Je vais m'attendre à ce que mon amoureux soit attentif à mon bien-être, au fait qu'il... me pose telle ou telle question, qu'il revienne vers moi, qu'il sache que pour moi, telle ou telle chose est importante. Alors, je dis mon amoureux, mais ça peut être... Il peut y avoir vraiment plein de situations. Je peux avoir l'attente que mes parents me soutiennent sur tous les points de vue parce que c'est mes parents et que les parents, quand ils aiment leurs enfants, ils soutiennent inconditionnellement. Il peut y avoir plein de choses par rapport à ça. Alors... Très souvent, on attend de l'extérieur toute une série de choses. On a l'impression qu'on ne peut pas, on n'est pas conscient de ça. Inconsciemment, on pense qu'on ne va pas pouvoir rencontrer ces besoins-là à titre personnel. Et d'ailleurs, très souvent, on donne à l'autre ce que nous aimerions avoir. C'est loin d'être anodin ces histoires-là. Et ça, c'est vraiment important parce que tu peux exprimer tes attentes à l'extérieur, à la personne qui est face à toi, à une amie, un ami, un amoureux, une amoureuse, un conjoint, un enfant, un parent, un collègue, que sais-je. Dans un cadre professionnel, même un client, tu peux exprimer une attente et tu peux clarifier aussi. le fait que tu valides des projets en fonction de tes besoins et des attentes dans cette relation, si c'est clarifié, décider de continuer ou pas. Mais ce qui est intéressant de savoir aussi, c'est que l'autre, en fonction de ses besoins, il n'est absolument pas obligé de répondre à tes attentes. Parce que si ça ne correspond pas à ses besoins, à il ou à elle, l'autre a le droit aussi. Ce n'est pas forcément évident à entendre. de dire ben non moi je suis pas ok avec ça je peux pas répondre à ça Alors, ça demande déjà un sacré degré de maturité émotionnelle. Je dirais que d'avoir cette capacité déjà de pouvoir repérer nos propres besoins, de repérer ce que nous attendons de l'autre, de pouvoir l'exprimer et de pouvoir entendre que l'autre, et ça demande aussi de l'autre côté, d'ailleurs, cette maturité émotionnelle, de pouvoir entendre que l'autre ne va pas forcément répondre à cette attente-là et à ce qui semble être un besoin nourri de l'extérieur en ce qui me concerne. Voilà, c'est la vie, c'est tout l'espace de cœur développement dans une relation, mais c'est important de pouvoir mettre de la conscience là-dessus et à un moment donné de se rendre compte que ça ne va pas toujours dans ce sens-là et très souvent c'est en lien avec nos blessures, avec notre besoin d'être rempli, comme le besoin de reconnaissance par exemple, parce que quand on a des attentes, très souvent ce que ça nous... ça nous dit, ça nous laisse penser que quand cette attente est rencontrée, ça va dire qu'on nous aime. Alors, je caricature un peu, mais quand nous sommes appréciés, appréciables, etc., que nous sommes aimables, et encore, ce n'est pas parce que c'est rencontré qu'on va réussir à se le dire, si effectivement, à l'intérieur, on n'a pas réussi à nous aimer nous-mêmes. Alors, je vais revenir sur ça, à nous aimer, à nous choisir, à ouvrir le cœur sur nous, comme j'aime dire. et c'est loin d'être anodin si tout ça ce que nous allons chercher à l'extérieur c'est hyper important d'être conscient que c'est d'abord à cultiver à l'intérieur si tu attends de la reconnaissance de quelqu'un et que toi, tu n'as pas appris à te reconnaître dans cette même chose, l'autre va faire miroir, il va juste t'envoyer ce que toi, tu penses de toi, ce que toi, à l'intérêt, c'est même pas penser, ça va plus loin, ce que tu peux être convaincu être, et ça va connecter à ça. Et donc tout le travail, c'est vraiment, tout le processus, c'est un processus de... D'ouverture du cœur. Je préfère parler d'ouverture du cœur que de s'aimer ou de ne pas s'aimer parce que pour moi, c'est trop binaire. Un cœur, il s'ouvre et il se ferme au quotidien. Dans certaines relations, dans certaines circonstances, on va refermer le cœur parce que c'est douloureux et c'est humain et c'est OK. Puis, on va réussir à le réouvrir parce qu'on se sent suffisamment en sécurité, parce qu'on a fait un chemin de conscience et ce cœur peut se réouvrir. et donc quoi de plus tout ça vient de l'intérieur j'aime bien cette citation de Gandhi qui est soit le changement que tu veux voir dans le monde alors l'autre partie c'est chacun qui s'élève élève le monde cette partie là elle est moins nommée mais c'est vraiment ça en fait ça commence par soi c'est ça toute cette ouverture du cœur voilà alors donc ça c'est vraiment interne si je peux dire commence par soi comme je le disais et puis dans la relation qu'est-ce qui fait qu'on continue à se suradapter qu'est-ce qui fait que c'est difficile je pense que c'est intéressant de mettre de la conscience et de choisir à un moment donné tiens, est-ce que je continue à mettre de l'énergie dans telle ou telle relation en tenue de ce que je peux observer alors je vais commencer par ce que je disais juste avant la maturité émotionnelle Il y a des personnes que nous apprécions, nous aimons, qui font partie de notre entourage, de notre famille, des amis de longue date, etc. Mais il se peut que l'évolution au niveau émotionnel, cette fameuse maturité émotionnelle ou ce quotient émotionnel, je rappelle que le quotient émotionnel peut varier toute la vie. contrairement à un quotient intellectuel qui, a priori, reste relativement stable toute la vie, tu nais avec des compétences. Après, tu peux développer avec des aptitudes, mais tu peux développer tes compétences, etc., bien entendu en fonction du milieu dans lequel tu évolues. Mais le côté émotionnel, tu peux tout le temps le travailler. Tu peux choisir de mettre ta conscience sur le développement émotionnel ou pas, émotionnel, spirituel, créatif, etc. Et donc, cette maturité émotionnelle, elle est tellement reliée à cette maturité relationnelle. Donc voilà, ça c'est vraiment essentiel. Et quand tu as face à toi quelqu'un qui n'a pas développé cette... cette maturité émotionnelle au même niveau que la tienne ou en tout cas quelque chose de proche quand l'écart est trop grand ça devient compliqué c'est ce que j'expliquais dans mon livre le livre émotif talentueux être soit autrement dit mon premier puisque je suis en train d'écrire mon deuxième mais il n'y en a toujours qu'un qui est publié à date je parle de des tâches, de niveau de conscience. Et en fait, en gros, je dessine une pyramide avec... Alors, j'ai choisi de mettre 7 niveaux. Et quand il y a un niveau entre toi et la personne, donc, admettons que la personne soit au troisième et toi au cinquième, l'écart devient trop grand. Si vous êtes 3, 4 ou 4, 5 ou 5, 6, celui, entre guillemets, du niveau... J'ai bien entre guillemets parce que ça a un... je ne voudrais pas que ça devienne péjoratif, mais il n'y a pas de posture rose là-dedans. C'est juste la manière d'expliquer. Je n'en ai pas trouvé d'autre. Si tu es au quatrième niveau et que la personne est au troisième, toi, tu vas pouvoir transmettre des choses à la personne qui va apprendre de toi. au troisième et inversement celle qui était au troisième niveau va pouvoir transmettre à un deuxième niveau donc voilà puis on peut presque dire la même chose au niveau du QI puisque il y a une série de personnes qui dans les personnes qui m'écoutaient certaines sont concernées par le haut potentiel on parle d'écart type à 15 souvent on me demande est-ce que il est possible de trancou ou bien de pouvoir s'entendre avec quelqu'un qui n'a pas le même QI et C'est un peu court comme question dans mon besoin d'ouverture, mais est-ce qu'il faut absolument être au potentiel à deux pour pouvoir s'entendre ? Moi, je dis que c'est un facteur qui peut nous rassembler tant on… on est sur des paliers proches, qu'il n'y a pas un écart type d'au moins 15 parce que sinon, ça creuse l'écart. C'est un des éléments qui creusent l'écart. Mais il y en a tant d'autres. Il y a, comme je disais, le côté, la maturité émotionnelle, il y a les projets, il y a les centres d'intérêt, il y a l'histoire de vie. il y a tellement de choses. Donc, dans la relation, il y a tout ça effectivement qui joue. il y a plein de choses qui peuvent creuser les cas mais une fois de plus à toi à voir est-ce que tu considères que ta relation la relation est suffisamment importante et qu'il y a suffisamment de points de jonction c'est que c'est pas très joli c'est bizarre de dire ça dans une relation mais néanmoins ça dit quand même ce que ça dit pour la considérer comme un espace de développement, est-ce que de l'autre côté, il y a également ce choix ou pas ? Alors, parfois, ce n'est pas évident parce que quand tu es au travail, tu n'as pas forcément choisi tes collègues. Tu n'as pas forcément choisi ta famille, quoique certaines personnes diraient que c'est ce que tu viens travailler dans cette vie. Mais en tout cas, la relation est toujours un espace de développement. ou en espace de co-développement. Je pense que c'est utopique de se dire que toutes les relations fonctionnent. Alors, ça peut arriver, bien entendu, mais que toutes les relations fonctionnent comme des bisounours tout le temps. J'ai presque envie de dire que quand c'est le cas, ça vaut la peine de mettre de la conscience et de demander jusqu'où on peut éventuellement se suradapter de nouveau pour que ça fonctionne de cette manière-là ou pas. Ça existe, mais voilà. En tout cas, ce que je trouve intéressant, c'est d'identifier combien tu as de l'énergie dans une relation. Est-ce que tu sens de la joie, de la fluidité, de la légèreté ? Moi, ce sont mes indicateurs. Quand il n'y a pas de joie, de fluidité, de légèreté, la plupart du temps, je me questionne sur le fait que je veuille maintenir cette relation. Alors, pas forcément la couper, mais l'entretenir ou pas. Et je m'autorise aujourd'hui, parce que ça fait partie de ma façon de me choisir, de prendre de la distance avec certaines personnes et de nourrir très ponctuellement cette relation, parce qu'elle peut toujours être importante pour moi, ou pour certaines relations, de prendre de la distance avec douceur. Moi, je ne ressens pas aujourd'hui le besoin de couper des relations. Enfin, plus. Ça a été le cas avant quand j'étais dans des relations toxiques. Et parfois, c'est important. se sent tellement étouffée, accaparée par la relation, on a besoin de la couper à un moment donné, peut-être de la reprendre plus tard ou jamais. Voilà, c'est important de mettre de la conscience là-dessus. Voilà ce que j'avais envie de te dire, de te donner des éléments de raison pour lesquels tu continues à te suradapter. D'ailleurs, si tu as envie de clarifier, ça c'est très général ce que je te dis, mais si tu as envie de clarifier ce qui, toi, te bloque et... de t'autoriser à te choisir. Je pense que c'est vraiment important de pouvoir être accompagnée par rapport à ça. Et je te propose de rejoindre le cercle des sacrées nanas. Donc, on est entre femmes, des femmes qui ont envie de s'autoriser à être qui elles sont avec toutes leurs multiples facettes. Je t'invite à nous rejoindre, à venir voir ce que nous te proposons sur www.émotif-talentueux.com slash cercle tu voilà tu peux nous rejoindre soit pour un mois ou pour plus longtemps c'est toi qui vois le moment le temps dont tu auras besoin il y a plein de ressources il y a toute une série de femmes absolument fabuleuses qui sont là pour s'entraider il y a beaucoup de sécurité dans le cercle donc voilà viens voir ce qu'on fait sur www.émotif-talentueux.com slash cercle à bientôt S

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