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Le droit d’auteur des communicants

Le droit d’auteur des communicants

32min |10/09/2024
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Description


Bienvenue dans le premier épisode la troisième saison du podcast, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougerat, l’homme que je surnomme, le sage de la communication et avec qui j’ai pris énormément de plaisir de discuter autour du droit d’auteur dans l’écosystème de la communication.


Dans cet épisode, Frédéric me parle avec beaucoup de sincérité et de franchise, mais surtout d’or !


Pourquoi voudriez-vous l’écouter jusqu'au bout? Parce que Frédéric qui est à la fois un communicant avec plus de trente ans d’expérience, un écrivain puisqu’il a déjà publié plusieurs livres dont le Dico de la com, Un Dircom n’est pas un démocrate, l’anthologie de la com, un patron de pas moins de deux agences de com : Cogiteurs et Tenkan Paris, nous parle de sa conception et de sa gestion du droit d’auteur, de la responsabilité des entreprises à faire respecter les droits de leurs collaborateurs, à commencer par le droit d'auteur qu'il reconnait comme un droit très important.

Il ne contente pas de faire une plaidoirie pour les métiers de la com, mais tout aussi pour le droit d’auteur qu’il estime, être un domaine dont on en parle très peu surtout dans l’écosystème de la communication.


Je ne vous spoile pas plus. Continuez votre écoute et laissez-moi vos commentaires !

 

Et surtout partagez-le si vous le trouver intéressant et instructif !

 

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le 3 d'auteur du podcast sur le 3 d'auteur avec tout jeune Michel Arquille.

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode réalisé en partenariat avec Master Studio. Cet épisode qui marque le début de la troisième saison du podcast porte sur un sujet qui me passionne beaucoup, à savoir... le droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. Pour ouvrir le bal sur cette nouvelle saison, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougera, l'homme que je surnomme le sage de la communication. Dans cet épisode, Frédéric nous parle de sa conception et de sa rencontre avec le droit d'auteur, de ses pratiques et de sa gestion de ce dernier. Et comme d'habitude, il apporte énormément de bons conseils. Bonne écoute. Bonjour Frédéric Fougera et bienvenue dans Pau d'auteur.

  • Speaker #0

    Bonjour Marie-Josée, c'est une invitation.

  • Speaker #1

    Frédéric, dans ton normal, je t'aurais demandé de te présenter, mais tous les auditeurs de ce podcast qui me suivent certainement sur les réseaux sociaux savent déjà qui tu es parce que j'ai parlé assez souvent sur toi et sur tes livres, notamment La Com' est un métier et ton dernier livre, L'anthologie de la communication, qui est devenu ma bible, on va dire, de la communication. Merci. Pour ceux qui ne te connaissent pas encore, moi je dirais que tu es le sage de la communication. Donc merci d'avoir accepté.

  • Speaker #0

    C'est un bonheur d'avoir accepté, c'est un honneur de fraternité et de se recevoir dans nos bureaux.

  • Speaker #1

    Frédéric, la première fois que je suis tombée sur l'une de tes interventions, c'était il y a trois ans je dirais, c'est dans le cadre d'un webinaire organisé par une structure en Haïti. Je suis tombée dessus par hasard sur Facebook et depuis, je te suis et ce qui m'a le plus attirée en fait dans tes interventions, c'est vraiment l'intelligibilité avec laquelle tu nous parles de la communication. Et aujourd'hui, on va parler bien sûr de la communication, mais tu dois d'auteur dans l'écosystème de la communication, comme tu aimes si bien le dire. Donc, encore une fois, bienvenue.

  • Speaker #0

    Merci, bienvenue à toi Donna Loco. Tu ne cours pas après, puisque tu m'as rattrapé. On passe à la fin de l'an dernier. Merci pour aussi ce sujet, parce que c'est un sujet qu'on aborde souvent et c'est pourtant un vrai sujet de communication. C'est un sujet qu'on a à côté, qu'on reconnaît, qu'on pourra faire pour ne pas trop s'occuper. Je suis trop intéressé aujourd'hui qu'on ait abordé ce sujet. Dans ton livre,

  • Speaker #1

    l'anthologie de la communication qui est sorti il y a,

  • Speaker #0

    on va dire, trois mois. C'est intéressant. C'est mon dernier bébé.

  • Speaker #1

    Il y a dans la page 32, je te cite, tu dis « En communication, on ne construit pas son travail en volant celui des autres. » Ça, c'est une très grande citation en gras, on va dire. Et en plus petite écriture, tu dis « La première règle éthique du communicant est de respecter les lois de cœur et la propriété intellectuelle beaucoup. » Par cette citation, Frédéric, j'ai envie de te demander comment toi, tu défines le droit d'auteur.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si vous le savez, mais on s'est demandé de s'exprimer, et on a envie d'ouvrir le livre de la com.

  • Speaker #1

    C'est un autre livre que tu as.

  • Speaker #0

    On a produit il n'y a pas si longtemps ça, on en a en fait la première édition, mais la deuxième va sortir, je vais voir ce que j'ai dit sur le droit d'auteur et ma définition des droits d'auteur. Alors, on va voir, c'est pas dévoré parce qu'elle est courte, c'est l'ensemble des droits, donc bénéficier d'un auteur, puis ses ayants droits. relatif à une utilisation ou l'exploitation publique de provisions littéraires ou artistiques. C'est une définition un peu générale, pas suffisamment précise, donc ne soyez pas la contradiction. Mais c'est vrai que le droit d'auteur, c'est quelque part, c'est toute la délégance qui sort d'un cerveau des personnes, en matière de communication notamment, mais généralement de façon artistique, et qui a une valeur. Et cette valeur-même est protégée, elle est modérée. Alors, selon les pays, les associations existent ou pas, elles sont différentes, mais de façon générale, c'est pas finalement le droit d'auteur, la propriété intellectuelle, et c'est ça qu'il faut préserver, protéger. Et c'est notamment, je trouve, une des premières règles éthiques du communicant, c'est de ne pas reprendre la formule d'un autre, de ne pas voler la faute d'eau ou l'accelération d'un autre pour se l'approprier. C'est vraiment soit de créer soi-même et d'avoir... propres compétences ou se faire accompagner ou aller chercher ailleurs ces compétences-là. Mais pour en aller, il faut rappeler leur valeur et il faut en payer les droits.

  • Speaker #1

    Oui, on a tous ces droits d'auteur, mais on ne sait pas forcément comment les faire protéger. En réécoutant certaines de tes interventions, que ce soit en podcast, en relisant des articles, qui ont été écrits sur trois ou des vidéos dans lesquelles tu participes, même le dernier livre que tu as écrit, l'anthologie de la communication, j'ai relevé quelques points qui me paraissent très intéressants, parce qu'il y a presque 30 ans, on va dire plus de 30 ans, tu as commencé dans la communication. Bientôt 40 ans, tu t'es réorientée parce qu'avant, tu faisais du droit. Et à travers de multiples expériences que tu as eues pendant toutes ces années-là, j'ai envie de te demander quand est-ce que le droit d'auteur a pu s'étaler une place dans ta carrière de communicant. Et aujourd'hui, tu n'es pas que communicant, tu n'es pas seulement un ancien salarié. Tu es aujourd'hui un seul employé salarié.

  • Speaker #0

    Je vais répondre précisément à ta question et un tout petit peu corriger mon parcours. Parce qu'en fait, je n'ai jamais évolué dans le droit. J'ai commencé à faire des études de droit, très vite, et je me suis lancé dans la communication. Et c'est dans cette période de cours de droit à l'université qui a été relativement vraie, qu'immédiatement, j'ai été plongé dans les questions de propriété, de droit des marques, de droit des vagues. Et c'était vraiment les sujets qui m'intéressaient étonnamment. Moi je faisais du droit parce que j'avais envie d'être un héros cas, j'avais plutôt envie d'être un héros cas, des faibles, des gens qui n'ont pas les copes, des gens qui n'ont pas l'évaluation, des gens qui n'ont pas la force, qui n'ont pas le savoir pour pouvoir se défendre dans la société. C'est un peu un côté Romain Desboires. Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ces premiers mois d'égypte droit à l'instant, c'était toutes ces questions, c'était certainement lié à un propre, à l'humanité ou à certaines matières qui nous correspondaient dans le cadre, mais c'était vraiment ces questions. lié au droit et à la propriété de marque. Donc, tout de suite, j'ai été très sensibilisé à ces questions qui m'ont tout de suite mis en voie. C'est des valeurs qui, quelque part, on me la vole et le droit est pas bien appliqué. Donc, peut-être qu'il y a une cohérence dans tout ça. Mais en fait, c'est l'idée. Mes premiers sensibles droits, j'ai été confronté à ces questions. Donc, tout de suite, je suis investi en DSA. Dans tes expériences professionnelles,

  • Speaker #1

    est-ce que ça a été puissant ? Par exemple, lors de la signature de tes contrats, de tes rédactions, par exemple, parce que je sais qu'aujourd'hui, il y a plein de gens qui republier des punchlines, comme on dit. On va dire concrètement comment le droit d'auteur a impacté, on va dire, ou encore a intégré ta vie dans la communauté.

  • Speaker #0

    Probablement. Peut-être que ma première rémunération ou une de mes premières rémunérations, c'est l'anastique de voir un magazine et il était sous droit d'auteur et donc il a rémunéré à ceci. Peut-être que c'est une première rémunération. J'ai peut-être évoqué quelques étudiants avant, mais la première génération, c'est le droit d'auteur. Et j'ai très vite été confronté à ce que tu viennes, parce que j'ai déposé des marques, et donc j'ai très vite protégé des marques. Je suis tout de suite construit dans ma future carrière de communicant, sans avoir la réalité de la stratégie, mais déjà en faisant des bases, en éclairant des marques, en déposant des idées, en déposant des concepts. Donc, j'ai à priori plutôt bien compris cette nécessité. de protéger des idées ou des concepts. Maintenant, pour ce qui est de ce que moi j'ai pris, ça reste plutôt du travail de mon éditeur de protéger mes écrits. Alors, je sais qu'il y a par exemple certains de mes livres qui sont copiés, il y a des faux livres qui circulent dans certains pays, donc il y a des gens qui gagnent de l'argent sur un travail de façon illégale. C'est plutôt la rançon du spectateur. et de voir ça dans le futur, même si c'est un dernier versant, on n'a pas d'intérêt sur les réseaux sociaux, c'est vrai que beaucoup d'entre eux s'en farent de ce que je peux écrire, et je le fais aussi pour ça, je ne le fais jamais en quête de droits d'auteur, je ne peux pas protéger ce que je dis, ce que je veux c'est d'être présent, c'est la partie de la promotion de notre profession, c'est vraiment fait pour réunir les primes, les appropriés, les développes, les reprimes, les colores, de façon différente, peu importe. Voilà, c'est ça. Aujourd'hui, tu as deux entreprises en protection, tu dois en parler. En fait,

  • Speaker #1

    tu n'es pas trop préoccupé par le fait que les gens reprennent tes écrits, ils les commercialisent aussi, comme tu l'as dit, dans certains pays. Ça arrive aujourd'hui. En tant que patron de deux entreprises, je le rappelle, TENCON Paris et COGIGER, comment est-ce que toi et ton équipe, ou encore tes équipes, font, comment est-ce que vous faites pour protéger et garantir les lois d'auteur ? propriété, on va dire plus largement la propriété intellectuelle de vos employés.

  • Speaker #0

    Là, la question, elle est très large et en fait, elle... Elle intègre finalement la dimension de ma vie professionnelle, parce que j'ai toujours été extrêmement attentif à ces questions, mais on va être traité en deux temps. Il y a moi en tant que communicant et client, qui font des prestations intellectuelles, artistiques, et dans ce temps-là, j'ai toujours été hyper vigilant, parce que leur droit sera respecté, et que leur nom figure parfaitement. sur l'organisation, exemple, la multifonction du dépôt de la com, et bien, à la fin de ce dépôt, dans la dernière page, l'agitation de couverture, elle est faite par Joséphine, c'est une de mes collaboratrices, c'est elle qui a dessiné cette couverture, je dois dire, je demande à ce qu'il nous passe de ce travail, qu'il soit bien réglé, et même si elle n'a pas été rémunérée pour le faire, elle est... C'est moi,

  • Speaker #1

    moi, la chef a été respectée.

  • Speaker #0

    D'accord. C'est un peu revanché, c'est rien qui a créé cette adhérention artistique et qui a créé cette couverture magnifique, très déco. Donc ça c'est la même façon, en tant que partenaire d'équipe, quand j'ai bossé dans des grandes entreprises, je me suis dit, avant de faire respecter ces droits-là, je vais beaucoup faire appel à des photographes, en France, par exemple, mais une fois qu'on a une photo, les droits des photographes, on ne s'en préoccupe pas beaucoup. Et souvent les photographes, on peut dire entre 3 et 5 ans de l'utilisation des photos, on le négocie pour un jage particulier, pour la presse, sur les réseaux sociaux. Si on négocie les droits, les raisons commerciales, la photo n'a pas le même prix, on va gagner de l'argent avec la photo, puis il y a une juste organisation qui devrait aussi aller aux photographes. Et puis souvent, au bout de 100 ou 500 ans, les droits sont passés, en fait on ne s'en préoccupe pas et on continue d'utiliser les photos. Donc c'est une photo de parco-mètre de dirigeant, ça rendrait un petit point de reprise, et puis c'est une photo dans l'entreprise suivante dans laquelle il est bon. Mais ça n'a aucun droit sur cette photo, elle n'a pas rémunéré le sort de grâce pour le travail qu'elle utilise. C'est un sujet auquel je suis très attentif, et j'essaye de faire respecter les droits de chacun, que ce soit de la classe artistique, que ce soit une photo, que ce soit du webdesign, que ce soit des photos, je suis très attentif. pour les gens qui me faisaient travailler. Maintenant, la question à la même, une double tripe peut-être, c'est mes collaborateurs au sein de mon équipe, le droit n'a pas été respecté autant qu'il le devrait, mais parce qu'il ne l'est pas du tout de façon générale en France, où il est vrai que souvent on considère que à partir du moment où on est salarié d'une équipe, finalement le travail qu'on produit, Le droit d'auteur, en fait, prévoit des choses, ou la propriété intellectuelle prévoit des choses tout à fait différentes. Elle prévoit aussi notamment qu'on puisse céder ses droits en dépendant d'une rémunération ou d'un salaire. En fait, techniquement, on ne les fait pas. C'est une vraie vigilance qu'il faudrait avoir de faire respecter ses droits. par exemple dans le milieu de la communication, elle se peut rendre. Dans tous les grands temps de travail, il devrait y avoir une séduction des droits. ça serait pas mal avérant, mais en tout cas, ça serait conforme au règles du droit qu'on ne respectait pas. C'est vrai que les collaborateurs, par exemple, qui ont le job d'établisseur politique, ne peuvent que décrire des discours, donc il y a une vraie volonté intellectuelle sur ces discours. Si on considère que sa rémunération ne correspond pas à ce droit, alors à quoi correspond sa rémunération ? Qui ne fait que ça ? Peut-être que oui, c'est simple et normal de céder ces droits d'écriture en échange de sa rémunération. Il faut dire que ce soit accepté, qu'il y ait une trace, et que le droit soit respecté. Et là, on est souvent dans des confrontations de droits qui ne sont pas respectés. La troisième facette, c'est celle de ma situation aujourd'hui, en tant que patron d'agence ou associé d'agence. Il se trouve que nos agences aujourd'hui ne sont que d'associés, il n'y a pas encore de salariés. Et il est vrai qu'on n'est pas capable de faire du travail. Et donc, la valeur qui est créée, c'est une valeur collective, et elle revient à sa carrière humaine, où elle partait devant se poser une question de droit moral. ou de droit de sécurité, de pensée, d'accord, un travail qui serait obtenu par l'air des associés et qui devrait lui renseigner à la collectivité. Ce n'est pas notre accord, mais il est vrai qu'on manque de vigilance et d'attention quand on est tué, parce qu'on méconnaît ce droit. On ne cherche pas à l'éviter nécessairement. Mais c'est souvent par une connaissance, parce que c'est pratique aussi de ne pas bien connaître. Mais voilà, dans cette étude, on va pouvoir en parler un peu plus. Il y a des droits qui existent et il y a un moment où on ne peut pas respecter certains droits et pas tous. Parce qu'on est à l'âge où on n'en respecte aucun, sans respecter la loi. On respecte la loi et la loi. Sur cette critique-là,

  • Speaker #1

    je vous pose la question, parce que dans ton cas, vu que dans tes agences, les lois qui sont créées sont collectives. Est-ce que tu penses que tes collaborateurs, tes associés comme tu les appelles, peuvent un jour décider de reprendre une des créations qui ont été créées dans l'entreprise et de l'utiliser à des fins personnelles, commercialisées ? Déjà,

  • Speaker #0

    si nos professionnels, par exemple, à la mesure, l'ouvreur serait la leur, ils auraient effectivement toutes les utilités à la fin. Je pense qu'on ne pourrait pas venir... C'est un accord moral et de respect entre les autres. Au niveau du corps, on ne parle pas à l'égo. Il faut le reconnaître. Les gens se sont protégés au nom de la danse. Par exemple, les nouveaux. D'ailleurs, on a eu des avances. Le nouveau, il est protégé au nom de la danse. C'est-à-dire, il y avait un sujet, je vous l'ai dit, qu'au début, on a déposé la marque. Et donc, c'est la propriété de la personne. Maintenant, il y a des trois autres qui pourraient être revendiqués comme propriétaires de la personne physique au sein des entreprises. C'est une question de vie. Il y a un manque de vigilance et un manque de respect du droit. Alors, on le voit dans les entreprises. Le jour où, éventuellement, il y a un souci, il faut être parfait. une utilisation à une autre fin que les intérêts de l'entreprise. On peut utiliser un travail pour être actuel. La loi l'a prévu, la loi l'organise. Si on ne fait pas la loi avant, il va falloir aller devant des juridictions pour faire respecter chacun ses droits.

  • Speaker #1

    Simon, dans tes précédentes expériences en campus, collaborateur ou salarié, dans les entreprises où tu as travaillé, est-ce que tu as déjà eu à confronter, soit à être au parti, ou as-tu confronté un problème à un litige lié aux droits de l'hôte ? Est-ce que tu as déjà eu à gérer une telle crise ? Je sais que dans Paris, on gère souvent des crises. Qu'est-ce que ça t'arrive de gérer une telle crise ?

  • Speaker #0

    Sur ces questions, non, ça ne m'est pas souvent arrivé. Je fais deux exemples, mais ça ne m'est pas souvent arrivé. C'est vrai que ça enlève tout le monde plutôt de me dire que c'est pas vrai. c'est un sujet de communication mais qui est une diversité juridique et qui est traité par une direction juridique. Je vais vous donner deux exemples que je veux citer. Je suis professionnel, je le rappelle parce que je viens de le rappeler. C'est une situation de faute de droits, notamment de tirs et dents, qui sont utilisés pendant 10-15 ans dans une, deux, trois, quatre, cinq entreprises, alors que les droits sont élus pour trois ou cinq ans maximum, et seulement dans l'entreprise qui a élu pour arrêter ses droits. Ça a eu un effacement. soit faire du ménage aux entreprises dans lesquelles j'arrivais, ou alors aller faire des cadres qui auraient quitté l'entreprise et leur demander de ne plus utiliser des images pour lesquelles ils n'ont pas le droit. Ça peut aussi arriver d'ailleurs à la place que des journalistes ou des rédactions utilisent des photos qui, au lieu de les demander, vont les chercher sur Google, quand évidemment l'entreprise lui a dit qu'elle est à l'aide, pour leur prendre l'aide, en fait, c'est la seule. Ce mois, au dernier an, on a réussi et ça rend rose. L'autre exemple que j'ai eu à faire, c'est après les élections de l'Union des compétitions d'agence. Une des agences qui n'a pas été retenue, des membres de l'entreprise ont pas eu le droit de l'agence et l'ont fait développer par une autre agence. C'est-à-dire que s'il y avait un plage d'artiste, il y avait vraiment une idée qui avait été volée. et c'était suivant l'entente de la barbu qui a vraiment impliqué les idées et la création de l'avance. Mais voilà, à part ces deux exemples-là, ça m'est quand même très rarement arrivé, mais parce que c'est rarement des émotions de communication qui ont lieu à ce moment-là, ça devient directement un sujet logique.

  • Speaker #1

    Effectivement, parce qu'en fait, c'est vrai que nous, les communicants, on ne nous assigne pas tous les lois de la boucle. propriété intellectuelle ou même les droits d'auteur si certaines choses sont cultivées et je pense que c'est quelque chose qu'on devrait soumettre à l'agentivé. Et ma prochaine question pour toi, c'est, Frédéric, est-ce que tu crois encore dans une réelle existence des droits d'auteur à l'aide des intelligences artificielles génératives, des annonceurs, des agences de communication ou même des communicants dans leur propre communication utilisent à tout bout de champ l'intelligence artificielle pour en fait des œuvres. Est-ce que toi tu crois en une réelle existence ou encore effectivité des lois de l'ordre dans ce cas-là, dans ce circonstance ?

  • Speaker #0

    pendant une grande sélection qui est vraiment celle, qui est vraiment un enjeu d'avenir, mais qui est vraiment celle à laquelle nous sommes placés, pour dire sur le cas d'un d'un homme, oui c'est vrai, la question du droit et de la société éthique est insuffisamment, vers cette heure, insuffisamment enseignée, et du temps, il y a énormément de sujets de droit, donc on n'est pas des juristes, mais on ne peut pas être ignorant de sujets de droit qui nous concernent. Nous sommes supposés contrôler, appliquer, vérifier, pour que vous puissiez être question de droit, et c'est important dans le métier. Je me suis rempli de ces événements de communication, c'était peut-être d'ailleurs, mais je vais avancer dans le temps. Mais les cultures générales de l'HMA, c'est important de voir les français, notamment sous-alimentation organique. Je vais passer à la question concernant l'intelligence artificielle. Je pense que les autorités publiques, dans certains pays en tout cas, s'occupent de cette question. C'est à qui va faire la production de l'intelligence artificielle ? Est-ce que le fait d'avoir cette compétence de la requête qui fait qu'une œuvre originale sort, et qu'elle est liée à la compétence de la requête, donc quelque part, elle appartiendrait à celui ou celle qui a fait la requête ? Personnellement, je ne crois pas que ça appartienne. La production qui sort appartient bien à la machine qui l'a produite, mais cette machine elle-même ne sait rien d'elle-même, elle sait qu'elle est cachée des informations qu'elle compile, qu'elle rassemble. Donc il y a une énorme question autour de la propriété, effectivement, et des droits qui se posent, et on ne sait pas qui sera capable de la régler. Alors aujourd'hui, on avance un peu, et on fait comme si rien n'était. à un moment ou à un autre, une personne va organiser un logiciel. Ce sont d'ailleurs des jurisprudences qui vont permettre de construire le droit plutôt que des lois ou un gouvernement. Et peut-être qu'à un moment ou à un autre, une personne va avoir le soutien. Une production d'issue d'une intelligence artificielle, ça vient à l'origine d'une illustration, d'un texte qui a été produit par cette personne. Et peut-être que ça permet de commencer à écrire une forme de droit, mais je ne sais pas, c'est très compliqué. compliqué à mettre en oeuvre dans nos vies parce que c'est une telle dimension globale, dans le sens mondial, et surtout les idées partout, comme tous les réseaux, en fait, sont tous une intelligence très capable de découvrir. Si on prend l'intelligence artificielle de Twitter X, qui ressort de toutes les données, au minimum toutes les données qui sont sur Twitter, comment on va les chercher ? Comment d'abord celui qui le produit, comment peut-il savoir si c'est une recomposition ou de la contécoïde, ou quelque chose qui a été... c'est à peu près impossible à dédié, même de bonne foi, on ne peut pas citer quelqu'un ou imaginer que j'ai le droit à avoir quelque chose, ça a certainement un rôle là, donc c'est un sujet extrêmement vaste qui va être un enjeu pour les communicants, et peut-être que ce sera aussi une raison de ne pas utiliser des ressources artificielles pour échapper à des risques, ou alors d'agiter, de valoriser le fait que quelque chose a été produit par de l'intelligence artificielle, au minimum, ce n'est pas une bonne forme.

  • Speaker #1

    Je pense que, en fait, ce que tu as dit tout à l'heure, il y a certains pays, comme tu l'as dit, comme les États-Unis, où ils commencent vraiment à réfléchir sur le sujet. Il y a eu pas mal de poussées pour dire qu'il y a des pays qui commencent quand même à penser au sujet. Je ne sais pas si en France ça va se faire, mais il y a certains pays. personnellement qui suis haïtienne, c'est ma plus grande inquiétude parce qu'il y a des pays où le cadre juridique est inexistant déjà. Donc, avec cette évolution, l'expansion des intérêts sociétals, je pense que ça va être un peu plus difficile encore et d'où la inquiétude que je pose à cette question de l'utilisation de l'IA pour créer alors que, comme tu l'as dit, c'est vraiment un assemblage d'idées qui a été repris. Et ça,

  • Speaker #0

    c'est compliqué. L'exemple que tu as est fabuleux. C'est celui de la voix. Moi, je travaille moi-même à rester, de faire des podcasts, entre toutes les lunes. toi ça m'a pas mal mais d'excellents fils des tribunes sur les orages et le fait probablement bien du coup alors que je pourrais faire des productions mais là c'est moi qui ai utilisé la voix la production de la voix avec une mécontentue mais si vous êtes une chose avec marga mais pour lui à l'autre si utiliser ou si quelqu'un d'autre disait le contenu avec sa robe, on pourrait rester trop stupendieux. Et de la même façon que tu évoques le soir, il y a aussi celui-là. Tellement, tellement de photos instrayables, souvent des photos d'infantilité, des papes qui étaient lucides, un président d'État qui serait arrêté par la police et qui est en prison, des situations qui peuvent être inappropriées, qui peuvent être dégradantes, qui peuvent être humiliantes, qui peuvent même être sympas et drôles, mais en tout cas à l'encontre des gens qui... qui n'ont pas envie de se montrer nécessairement. Et si c'est clair, par exemple, le dessiner une personne, le droit, c'est plus le droit à l'image de la personne. En tout cas, si je te dessine dans une situation, c'est pas ton droit à l'image qui vaut, c'est mon droit au dessin qui prévaut. T'as rien à dire. Sinon, si je prends ta photo et que là, ton droit à l'image est... Tu peux s'arrêter. Tu peux le revendiquer. C'est plus moi qui peux dire, tu peux prétendre que c'est une création photographique ou artistique, là j'ai utilisé ton ouvrage sans t'être chier de toi. Donc avec cette intelligence artificielle, à mêler à de l'intelligence réelle, on peut dire que c'est une création extraordinaire. Mais au niveau de certains droits, notamment celui d'Iva, c'est la propriété. Une question où il n'y a pas encore beaucoup de réponse. En fait,

  • Speaker #1

    toutes ces images-là dont tu colles, on les appelle les deepfakes. C'est vraiment des personnes qui viennent dans des situations dans lesquelles ils n'ont pas su retrouver un livre.

  • Speaker #0

    Oui. C'est ça. Pourquoi ? Parce que vraiment, il n'y a pas nécessairement des grammes. Parfois, le bac, il n'y a pas forcément envie de se voir en mêlant dans une piscine. Donc, une boucle à l'art autour de la taille, c'est pour quelqu'un d'aïe, c'est de sortir. Et c'est aussi par rapport à son histoire,

  • Speaker #1

    par rapport à sa religion, par rapport à ses pensions. Ce qui peut être très sympa pour un enfant, pour un type, moi, qui est mort en plus, c'est vraiment le bon moment.

  • Speaker #2

    Donc le respect à rencontre, on va dire, parce que quand on parle du respect de la route privée, de l'image, il y a le principe du respect aussi qui est mis en avant.

  • Speaker #0

    Que tu utilises ce mot et qu'il rebondit avec ce qu'on a dit en introduction, c'est aussi une question d'éthique.

  • Speaker #1

    et l'éthique c'est en premier place.

  • Speaker #2

    Depuis que tout ce que je viens de dire, c'est des choses là, comment on peut faire pour que les entreprises prennent en compte l'existence et rendent effectif le droit d'auteur des collaborateurs et comment aussi alerter on va dire, parce que le mot il est juste informé, ça serait beaucoup trop simple. les collaborateurs, les salariés, les communicants, leur salarier pour leur dire, ben voilà, vous avez des lois d'auteur, vous avez des... En fait, quand vous créez des choses, quand vous créez une image, quand vous faites du motion design, quand vous êtes UX designer, ben vous détenez en fait des lois sur vos créations. Comment leur faire savoir cette notion ? qui nous est très chère et qui est rémunérable en fait, si je peux utiliser un mot comme ça.

  • Speaker #1

    C'est une valeur, c'est un travail et un travail,

  • Speaker #0

    c'est une valeur qui doit être rémunérée.

  • Speaker #1

    Je pense, dans le défendre, parce que je vais gagner par l'idée de ma réponse, mais peut-être que des personnes comme toi ou comme moi parlons de ce sujet, favorisons la circulation de l'information et donc de ne pas la faire. C'est pour ça que je voulais vraiment merci, merci pour ce sujet. Merci. Tu as cité une de mes phrases de mon livre, et c'est là que je suis sur lesquelles j'interviens ce jour. On peut vraiment intervenir. Le seul fait de participer à ce podcast et de savoir comment le promouvoir après, ça permet de partager ces informations et d'interroger les consciences sur ces questions.

  • Speaker #0

    Je pense que la responsabilité des entreprises est énorme. Les entreprises s'affichent de plus en plus comme voulant être responsables.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que c'est bien de montrer... et le droit dans toutes ces dimensions, dans tous les sens, c'est pour que le droit de ces salariés, les DRA qui l'ont en prise, devraient être bien plus gigantes, bien plus informatifs, bien plus clairvoyants aussi pour permettre à leurs salariés d'en être informés. Je pense que c'est une des compétences des biens comme, donc la personne qui dirige la communication dans l'organisation, va devoir intégrer ces données, pas seulement... faire dans le passé de façon insuffisante, vraiment, c'est vraiment incroyable parce que c'est vraiment sincère, pas seulement pour la protection des pièces à terre qu'elle fait travailler, etc., parce que tout le monde les fait pas, mais c'est pas suffisant, et aussi l'invention interne et collaborative de ces équipes dont il faut tenir compte, ça c'est vraiment, ça fait partie de la compétence des dirigeants de la communication, ils ne doivent pas nous éviter. Après, c'est une aide aussi formidable. pour mettre à l'honneur nos métiers et de promouvoir notre professionnalisme. C'est une dimension professionnelle supplémentaire pour montrer que la communication, c'est la réalité, pour montrer que le droit est communiqué. Communiquer, c'est produire de l'intelligence, que la communication, c'est produire de la valeur, et que celle-là, elle se régulère, et que si elle ne se régulère pas, elle est régulée par la loi, et il y a aussi des conséquences et des risques pour un concours. Tout à part, si vous voulez, la valorisation, la professionnalisation de la communication. et autour au rebond de cette idée de la communauté métier.

  • Speaker #2

    La communauté métier, on est bien d'accord sur cette note. Je te remercie Frédéric Souselat d'avoir accepté de participer à Producteur et merci de me permettre de traiter en fait de ce sujet.

  • Speaker #0

    C'est moi qui te remercie encore une fois. Merci pour ta confiance et pour ton invitation.

  • Speaker #1

    Très heureux d'avoir pu partager mon expérience et ma vision d'un sujet. Je ne sais pas si vous avez été au monde de ce domaine.

  • Speaker #3

    Merci à chacun de vous d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode autour du droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. S'il vous a plu, n'hésitez pas à le partager autour de vous et à le noter 5 étoiles sur la plateforme sur laquelle vous êtes en train de l'écouter. Vous trouverez également le lien de... tous les profils de Frédéric Fougera dans la description de cet épisode. Et je vous rappelle, ce dernier est réalisé en partenariat avec Master Studio. Je vous retrouve prochainement pour un prochain épisode.

  • Speaker #4

    Merci.

Description


Bienvenue dans le premier épisode la troisième saison du podcast, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougerat, l’homme que je surnomme, le sage de la communication et avec qui j’ai pris énormément de plaisir de discuter autour du droit d’auteur dans l’écosystème de la communication.


Dans cet épisode, Frédéric me parle avec beaucoup de sincérité et de franchise, mais surtout d’or !


Pourquoi voudriez-vous l’écouter jusqu'au bout? Parce que Frédéric qui est à la fois un communicant avec plus de trente ans d’expérience, un écrivain puisqu’il a déjà publié plusieurs livres dont le Dico de la com, Un Dircom n’est pas un démocrate, l’anthologie de la com, un patron de pas moins de deux agences de com : Cogiteurs et Tenkan Paris, nous parle de sa conception et de sa gestion du droit d’auteur, de la responsabilité des entreprises à faire respecter les droits de leurs collaborateurs, à commencer par le droit d'auteur qu'il reconnait comme un droit très important.

Il ne contente pas de faire une plaidoirie pour les métiers de la com, mais tout aussi pour le droit d’auteur qu’il estime, être un domaine dont on en parle très peu surtout dans l’écosystème de la communication.


Je ne vous spoile pas plus. Continuez votre écoute et laissez-moi vos commentaires !

 

Et surtout partagez-le si vous le trouver intéressant et instructif !

 

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le 3 d'auteur du podcast sur le 3 d'auteur avec tout jeune Michel Arquille.

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode réalisé en partenariat avec Master Studio. Cet épisode qui marque le début de la troisième saison du podcast porte sur un sujet qui me passionne beaucoup, à savoir... le droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. Pour ouvrir le bal sur cette nouvelle saison, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougera, l'homme que je surnomme le sage de la communication. Dans cet épisode, Frédéric nous parle de sa conception et de sa rencontre avec le droit d'auteur, de ses pratiques et de sa gestion de ce dernier. Et comme d'habitude, il apporte énormément de bons conseils. Bonne écoute. Bonjour Frédéric Fougera et bienvenue dans Pau d'auteur.

  • Speaker #0

    Bonjour Marie-Josée, c'est une invitation.

  • Speaker #1

    Frédéric, dans ton normal, je t'aurais demandé de te présenter, mais tous les auditeurs de ce podcast qui me suivent certainement sur les réseaux sociaux savent déjà qui tu es parce que j'ai parlé assez souvent sur toi et sur tes livres, notamment La Com' est un métier et ton dernier livre, L'anthologie de la communication, qui est devenu ma bible, on va dire, de la communication. Merci. Pour ceux qui ne te connaissent pas encore, moi je dirais que tu es le sage de la communication. Donc merci d'avoir accepté.

  • Speaker #0

    C'est un bonheur d'avoir accepté, c'est un honneur de fraternité et de se recevoir dans nos bureaux.

  • Speaker #1

    Frédéric, la première fois que je suis tombée sur l'une de tes interventions, c'était il y a trois ans je dirais, c'est dans le cadre d'un webinaire organisé par une structure en Haïti. Je suis tombée dessus par hasard sur Facebook et depuis, je te suis et ce qui m'a le plus attirée en fait dans tes interventions, c'est vraiment l'intelligibilité avec laquelle tu nous parles de la communication. Et aujourd'hui, on va parler bien sûr de la communication, mais tu dois d'auteur dans l'écosystème de la communication, comme tu aimes si bien le dire. Donc, encore une fois, bienvenue.

  • Speaker #0

    Merci, bienvenue à toi Donna Loco. Tu ne cours pas après, puisque tu m'as rattrapé. On passe à la fin de l'an dernier. Merci pour aussi ce sujet, parce que c'est un sujet qu'on aborde souvent et c'est pourtant un vrai sujet de communication. C'est un sujet qu'on a à côté, qu'on reconnaît, qu'on pourra faire pour ne pas trop s'occuper. Je suis trop intéressé aujourd'hui qu'on ait abordé ce sujet. Dans ton livre,

  • Speaker #1

    l'anthologie de la communication qui est sorti il y a,

  • Speaker #0

    on va dire, trois mois. C'est intéressant. C'est mon dernier bébé.

  • Speaker #1

    Il y a dans la page 32, je te cite, tu dis « En communication, on ne construit pas son travail en volant celui des autres. » Ça, c'est une très grande citation en gras, on va dire. Et en plus petite écriture, tu dis « La première règle éthique du communicant est de respecter les lois de cœur et la propriété intellectuelle beaucoup. » Par cette citation, Frédéric, j'ai envie de te demander comment toi, tu défines le droit d'auteur.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si vous le savez, mais on s'est demandé de s'exprimer, et on a envie d'ouvrir le livre de la com.

  • Speaker #1

    C'est un autre livre que tu as.

  • Speaker #0

    On a produit il n'y a pas si longtemps ça, on en a en fait la première édition, mais la deuxième va sortir, je vais voir ce que j'ai dit sur le droit d'auteur et ma définition des droits d'auteur. Alors, on va voir, c'est pas dévoré parce qu'elle est courte, c'est l'ensemble des droits, donc bénéficier d'un auteur, puis ses ayants droits. relatif à une utilisation ou l'exploitation publique de provisions littéraires ou artistiques. C'est une définition un peu générale, pas suffisamment précise, donc ne soyez pas la contradiction. Mais c'est vrai que le droit d'auteur, c'est quelque part, c'est toute la délégance qui sort d'un cerveau des personnes, en matière de communication notamment, mais généralement de façon artistique, et qui a une valeur. Et cette valeur-même est protégée, elle est modérée. Alors, selon les pays, les associations existent ou pas, elles sont différentes, mais de façon générale, c'est pas finalement le droit d'auteur, la propriété intellectuelle, et c'est ça qu'il faut préserver, protéger. Et c'est notamment, je trouve, une des premières règles éthiques du communicant, c'est de ne pas reprendre la formule d'un autre, de ne pas voler la faute d'eau ou l'accelération d'un autre pour se l'approprier. C'est vraiment soit de créer soi-même et d'avoir... propres compétences ou se faire accompagner ou aller chercher ailleurs ces compétences-là. Mais pour en aller, il faut rappeler leur valeur et il faut en payer les droits.

  • Speaker #1

    Oui, on a tous ces droits d'auteur, mais on ne sait pas forcément comment les faire protéger. En réécoutant certaines de tes interventions, que ce soit en podcast, en relisant des articles, qui ont été écrits sur trois ou des vidéos dans lesquelles tu participes, même le dernier livre que tu as écrit, l'anthologie de la communication, j'ai relevé quelques points qui me paraissent très intéressants, parce qu'il y a presque 30 ans, on va dire plus de 30 ans, tu as commencé dans la communication. Bientôt 40 ans, tu t'es réorientée parce qu'avant, tu faisais du droit. Et à travers de multiples expériences que tu as eues pendant toutes ces années-là, j'ai envie de te demander quand est-ce que le droit d'auteur a pu s'étaler une place dans ta carrière de communicant. Et aujourd'hui, tu n'es pas que communicant, tu n'es pas seulement un ancien salarié. Tu es aujourd'hui un seul employé salarié.

  • Speaker #0

    Je vais répondre précisément à ta question et un tout petit peu corriger mon parcours. Parce qu'en fait, je n'ai jamais évolué dans le droit. J'ai commencé à faire des études de droit, très vite, et je me suis lancé dans la communication. Et c'est dans cette période de cours de droit à l'université qui a été relativement vraie, qu'immédiatement, j'ai été plongé dans les questions de propriété, de droit des marques, de droit des vagues. Et c'était vraiment les sujets qui m'intéressaient étonnamment. Moi je faisais du droit parce que j'avais envie d'être un héros cas, j'avais plutôt envie d'être un héros cas, des faibles, des gens qui n'ont pas les copes, des gens qui n'ont pas l'évaluation, des gens qui n'ont pas la force, qui n'ont pas le savoir pour pouvoir se défendre dans la société. C'est un peu un côté Romain Desboires. Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ces premiers mois d'égypte droit à l'instant, c'était toutes ces questions, c'était certainement lié à un propre, à l'humanité ou à certaines matières qui nous correspondaient dans le cadre, mais c'était vraiment ces questions. lié au droit et à la propriété de marque. Donc, tout de suite, j'ai été très sensibilisé à ces questions qui m'ont tout de suite mis en voie. C'est des valeurs qui, quelque part, on me la vole et le droit est pas bien appliqué. Donc, peut-être qu'il y a une cohérence dans tout ça. Mais en fait, c'est l'idée. Mes premiers sensibles droits, j'ai été confronté à ces questions. Donc, tout de suite, je suis investi en DSA. Dans tes expériences professionnelles,

  • Speaker #1

    est-ce que ça a été puissant ? Par exemple, lors de la signature de tes contrats, de tes rédactions, par exemple, parce que je sais qu'aujourd'hui, il y a plein de gens qui republier des punchlines, comme on dit. On va dire concrètement comment le droit d'auteur a impacté, on va dire, ou encore a intégré ta vie dans la communauté.

  • Speaker #0

    Probablement. Peut-être que ma première rémunération ou une de mes premières rémunérations, c'est l'anastique de voir un magazine et il était sous droit d'auteur et donc il a rémunéré à ceci. Peut-être que c'est une première rémunération. J'ai peut-être évoqué quelques étudiants avant, mais la première génération, c'est le droit d'auteur. Et j'ai très vite été confronté à ce que tu viennes, parce que j'ai déposé des marques, et donc j'ai très vite protégé des marques. Je suis tout de suite construit dans ma future carrière de communicant, sans avoir la réalité de la stratégie, mais déjà en faisant des bases, en éclairant des marques, en déposant des idées, en déposant des concepts. Donc, j'ai à priori plutôt bien compris cette nécessité. de protéger des idées ou des concepts. Maintenant, pour ce qui est de ce que moi j'ai pris, ça reste plutôt du travail de mon éditeur de protéger mes écrits. Alors, je sais qu'il y a par exemple certains de mes livres qui sont copiés, il y a des faux livres qui circulent dans certains pays, donc il y a des gens qui gagnent de l'argent sur un travail de façon illégale. C'est plutôt la rançon du spectateur. et de voir ça dans le futur, même si c'est un dernier versant, on n'a pas d'intérêt sur les réseaux sociaux, c'est vrai que beaucoup d'entre eux s'en farent de ce que je peux écrire, et je le fais aussi pour ça, je ne le fais jamais en quête de droits d'auteur, je ne peux pas protéger ce que je dis, ce que je veux c'est d'être présent, c'est la partie de la promotion de notre profession, c'est vraiment fait pour réunir les primes, les appropriés, les développes, les reprimes, les colores, de façon différente, peu importe. Voilà, c'est ça. Aujourd'hui, tu as deux entreprises en protection, tu dois en parler. En fait,

  • Speaker #1

    tu n'es pas trop préoccupé par le fait que les gens reprennent tes écrits, ils les commercialisent aussi, comme tu l'as dit, dans certains pays. Ça arrive aujourd'hui. En tant que patron de deux entreprises, je le rappelle, TENCON Paris et COGIGER, comment est-ce que toi et ton équipe, ou encore tes équipes, font, comment est-ce que vous faites pour protéger et garantir les lois d'auteur ? propriété, on va dire plus largement la propriété intellectuelle de vos employés.

  • Speaker #0

    Là, la question, elle est très large et en fait, elle... Elle intègre finalement la dimension de ma vie professionnelle, parce que j'ai toujours été extrêmement attentif à ces questions, mais on va être traité en deux temps. Il y a moi en tant que communicant et client, qui font des prestations intellectuelles, artistiques, et dans ce temps-là, j'ai toujours été hyper vigilant, parce que leur droit sera respecté, et que leur nom figure parfaitement. sur l'organisation, exemple, la multifonction du dépôt de la com, et bien, à la fin de ce dépôt, dans la dernière page, l'agitation de couverture, elle est faite par Joséphine, c'est une de mes collaboratrices, c'est elle qui a dessiné cette couverture, je dois dire, je demande à ce qu'il nous passe de ce travail, qu'il soit bien réglé, et même si elle n'a pas été rémunérée pour le faire, elle est... C'est moi,

  • Speaker #1

    moi, la chef a été respectée.

  • Speaker #0

    D'accord. C'est un peu revanché, c'est rien qui a créé cette adhérention artistique et qui a créé cette couverture magnifique, très déco. Donc ça c'est la même façon, en tant que partenaire d'équipe, quand j'ai bossé dans des grandes entreprises, je me suis dit, avant de faire respecter ces droits-là, je vais beaucoup faire appel à des photographes, en France, par exemple, mais une fois qu'on a une photo, les droits des photographes, on ne s'en préoccupe pas beaucoup. Et souvent les photographes, on peut dire entre 3 et 5 ans de l'utilisation des photos, on le négocie pour un jage particulier, pour la presse, sur les réseaux sociaux. Si on négocie les droits, les raisons commerciales, la photo n'a pas le même prix, on va gagner de l'argent avec la photo, puis il y a une juste organisation qui devrait aussi aller aux photographes. Et puis souvent, au bout de 100 ou 500 ans, les droits sont passés, en fait on ne s'en préoccupe pas et on continue d'utiliser les photos. Donc c'est une photo de parco-mètre de dirigeant, ça rendrait un petit point de reprise, et puis c'est une photo dans l'entreprise suivante dans laquelle il est bon. Mais ça n'a aucun droit sur cette photo, elle n'a pas rémunéré le sort de grâce pour le travail qu'elle utilise. C'est un sujet auquel je suis très attentif, et j'essaye de faire respecter les droits de chacun, que ce soit de la classe artistique, que ce soit une photo, que ce soit du webdesign, que ce soit des photos, je suis très attentif. pour les gens qui me faisaient travailler. Maintenant, la question à la même, une double tripe peut-être, c'est mes collaborateurs au sein de mon équipe, le droit n'a pas été respecté autant qu'il le devrait, mais parce qu'il ne l'est pas du tout de façon générale en France, où il est vrai que souvent on considère que à partir du moment où on est salarié d'une équipe, finalement le travail qu'on produit, Le droit d'auteur, en fait, prévoit des choses, ou la propriété intellectuelle prévoit des choses tout à fait différentes. Elle prévoit aussi notamment qu'on puisse céder ses droits en dépendant d'une rémunération ou d'un salaire. En fait, techniquement, on ne les fait pas. C'est une vraie vigilance qu'il faudrait avoir de faire respecter ses droits. par exemple dans le milieu de la communication, elle se peut rendre. Dans tous les grands temps de travail, il devrait y avoir une séduction des droits. ça serait pas mal avérant, mais en tout cas, ça serait conforme au règles du droit qu'on ne respectait pas. C'est vrai que les collaborateurs, par exemple, qui ont le job d'établisseur politique, ne peuvent que décrire des discours, donc il y a une vraie volonté intellectuelle sur ces discours. Si on considère que sa rémunération ne correspond pas à ce droit, alors à quoi correspond sa rémunération ? Qui ne fait que ça ? Peut-être que oui, c'est simple et normal de céder ces droits d'écriture en échange de sa rémunération. Il faut dire que ce soit accepté, qu'il y ait une trace, et que le droit soit respecté. Et là, on est souvent dans des confrontations de droits qui ne sont pas respectés. La troisième facette, c'est celle de ma situation aujourd'hui, en tant que patron d'agence ou associé d'agence. Il se trouve que nos agences aujourd'hui ne sont que d'associés, il n'y a pas encore de salariés. Et il est vrai qu'on n'est pas capable de faire du travail. Et donc, la valeur qui est créée, c'est une valeur collective, et elle revient à sa carrière humaine, où elle partait devant se poser une question de droit moral. ou de droit de sécurité, de pensée, d'accord, un travail qui serait obtenu par l'air des associés et qui devrait lui renseigner à la collectivité. Ce n'est pas notre accord, mais il est vrai qu'on manque de vigilance et d'attention quand on est tué, parce qu'on méconnaît ce droit. On ne cherche pas à l'éviter nécessairement. Mais c'est souvent par une connaissance, parce que c'est pratique aussi de ne pas bien connaître. Mais voilà, dans cette étude, on va pouvoir en parler un peu plus. Il y a des droits qui existent et il y a un moment où on ne peut pas respecter certains droits et pas tous. Parce qu'on est à l'âge où on n'en respecte aucun, sans respecter la loi. On respecte la loi et la loi. Sur cette critique-là,

  • Speaker #1

    je vous pose la question, parce que dans ton cas, vu que dans tes agences, les lois qui sont créées sont collectives. Est-ce que tu penses que tes collaborateurs, tes associés comme tu les appelles, peuvent un jour décider de reprendre une des créations qui ont été créées dans l'entreprise et de l'utiliser à des fins personnelles, commercialisées ? Déjà,

  • Speaker #0

    si nos professionnels, par exemple, à la mesure, l'ouvreur serait la leur, ils auraient effectivement toutes les utilités à la fin. Je pense qu'on ne pourrait pas venir... C'est un accord moral et de respect entre les autres. Au niveau du corps, on ne parle pas à l'égo. Il faut le reconnaître. Les gens se sont protégés au nom de la danse. Par exemple, les nouveaux. D'ailleurs, on a eu des avances. Le nouveau, il est protégé au nom de la danse. C'est-à-dire, il y avait un sujet, je vous l'ai dit, qu'au début, on a déposé la marque. Et donc, c'est la propriété de la personne. Maintenant, il y a des trois autres qui pourraient être revendiqués comme propriétaires de la personne physique au sein des entreprises. C'est une question de vie. Il y a un manque de vigilance et un manque de respect du droit. Alors, on le voit dans les entreprises. Le jour où, éventuellement, il y a un souci, il faut être parfait. une utilisation à une autre fin que les intérêts de l'entreprise. On peut utiliser un travail pour être actuel. La loi l'a prévu, la loi l'organise. Si on ne fait pas la loi avant, il va falloir aller devant des juridictions pour faire respecter chacun ses droits.

  • Speaker #1

    Simon, dans tes précédentes expériences en campus, collaborateur ou salarié, dans les entreprises où tu as travaillé, est-ce que tu as déjà eu à confronter, soit à être au parti, ou as-tu confronté un problème à un litige lié aux droits de l'hôte ? Est-ce que tu as déjà eu à gérer une telle crise ? Je sais que dans Paris, on gère souvent des crises. Qu'est-ce que ça t'arrive de gérer une telle crise ?

  • Speaker #0

    Sur ces questions, non, ça ne m'est pas souvent arrivé. Je fais deux exemples, mais ça ne m'est pas souvent arrivé. C'est vrai que ça enlève tout le monde plutôt de me dire que c'est pas vrai. c'est un sujet de communication mais qui est une diversité juridique et qui est traité par une direction juridique. Je vais vous donner deux exemples que je veux citer. Je suis professionnel, je le rappelle parce que je viens de le rappeler. C'est une situation de faute de droits, notamment de tirs et dents, qui sont utilisés pendant 10-15 ans dans une, deux, trois, quatre, cinq entreprises, alors que les droits sont élus pour trois ou cinq ans maximum, et seulement dans l'entreprise qui a élu pour arrêter ses droits. Ça a eu un effacement. soit faire du ménage aux entreprises dans lesquelles j'arrivais, ou alors aller faire des cadres qui auraient quitté l'entreprise et leur demander de ne plus utiliser des images pour lesquelles ils n'ont pas le droit. Ça peut aussi arriver d'ailleurs à la place que des journalistes ou des rédactions utilisent des photos qui, au lieu de les demander, vont les chercher sur Google, quand évidemment l'entreprise lui a dit qu'elle est à l'aide, pour leur prendre l'aide, en fait, c'est la seule. Ce mois, au dernier an, on a réussi et ça rend rose. L'autre exemple que j'ai eu à faire, c'est après les élections de l'Union des compétitions d'agence. Une des agences qui n'a pas été retenue, des membres de l'entreprise ont pas eu le droit de l'agence et l'ont fait développer par une autre agence. C'est-à-dire que s'il y avait un plage d'artiste, il y avait vraiment une idée qui avait été volée. et c'était suivant l'entente de la barbu qui a vraiment impliqué les idées et la création de l'avance. Mais voilà, à part ces deux exemples-là, ça m'est quand même très rarement arrivé, mais parce que c'est rarement des émotions de communication qui ont lieu à ce moment-là, ça devient directement un sujet logique.

  • Speaker #1

    Effectivement, parce qu'en fait, c'est vrai que nous, les communicants, on ne nous assigne pas tous les lois de la boucle. propriété intellectuelle ou même les droits d'auteur si certaines choses sont cultivées et je pense que c'est quelque chose qu'on devrait soumettre à l'agentivé. Et ma prochaine question pour toi, c'est, Frédéric, est-ce que tu crois encore dans une réelle existence des droits d'auteur à l'aide des intelligences artificielles génératives, des annonceurs, des agences de communication ou même des communicants dans leur propre communication utilisent à tout bout de champ l'intelligence artificielle pour en fait des œuvres. Est-ce que toi tu crois en une réelle existence ou encore effectivité des lois de l'ordre dans ce cas-là, dans ce circonstance ?

  • Speaker #0

    pendant une grande sélection qui est vraiment celle, qui est vraiment un enjeu d'avenir, mais qui est vraiment celle à laquelle nous sommes placés, pour dire sur le cas d'un d'un homme, oui c'est vrai, la question du droit et de la société éthique est insuffisamment, vers cette heure, insuffisamment enseignée, et du temps, il y a énormément de sujets de droit, donc on n'est pas des juristes, mais on ne peut pas être ignorant de sujets de droit qui nous concernent. Nous sommes supposés contrôler, appliquer, vérifier, pour que vous puissiez être question de droit, et c'est important dans le métier. Je me suis rempli de ces événements de communication, c'était peut-être d'ailleurs, mais je vais avancer dans le temps. Mais les cultures générales de l'HMA, c'est important de voir les français, notamment sous-alimentation organique. Je vais passer à la question concernant l'intelligence artificielle. Je pense que les autorités publiques, dans certains pays en tout cas, s'occupent de cette question. C'est à qui va faire la production de l'intelligence artificielle ? Est-ce que le fait d'avoir cette compétence de la requête qui fait qu'une œuvre originale sort, et qu'elle est liée à la compétence de la requête, donc quelque part, elle appartiendrait à celui ou celle qui a fait la requête ? Personnellement, je ne crois pas que ça appartienne. La production qui sort appartient bien à la machine qui l'a produite, mais cette machine elle-même ne sait rien d'elle-même, elle sait qu'elle est cachée des informations qu'elle compile, qu'elle rassemble. Donc il y a une énorme question autour de la propriété, effectivement, et des droits qui se posent, et on ne sait pas qui sera capable de la régler. Alors aujourd'hui, on avance un peu, et on fait comme si rien n'était. à un moment ou à un autre, une personne va organiser un logiciel. Ce sont d'ailleurs des jurisprudences qui vont permettre de construire le droit plutôt que des lois ou un gouvernement. Et peut-être qu'à un moment ou à un autre, une personne va avoir le soutien. Une production d'issue d'une intelligence artificielle, ça vient à l'origine d'une illustration, d'un texte qui a été produit par cette personne. Et peut-être que ça permet de commencer à écrire une forme de droit, mais je ne sais pas, c'est très compliqué. compliqué à mettre en oeuvre dans nos vies parce que c'est une telle dimension globale, dans le sens mondial, et surtout les idées partout, comme tous les réseaux, en fait, sont tous une intelligence très capable de découvrir. Si on prend l'intelligence artificielle de Twitter X, qui ressort de toutes les données, au minimum toutes les données qui sont sur Twitter, comment on va les chercher ? Comment d'abord celui qui le produit, comment peut-il savoir si c'est une recomposition ou de la contécoïde, ou quelque chose qui a été... c'est à peu près impossible à dédié, même de bonne foi, on ne peut pas citer quelqu'un ou imaginer que j'ai le droit à avoir quelque chose, ça a certainement un rôle là, donc c'est un sujet extrêmement vaste qui va être un enjeu pour les communicants, et peut-être que ce sera aussi une raison de ne pas utiliser des ressources artificielles pour échapper à des risques, ou alors d'agiter, de valoriser le fait que quelque chose a été produit par de l'intelligence artificielle, au minimum, ce n'est pas une bonne forme.

  • Speaker #1

    Je pense que, en fait, ce que tu as dit tout à l'heure, il y a certains pays, comme tu l'as dit, comme les États-Unis, où ils commencent vraiment à réfléchir sur le sujet. Il y a eu pas mal de poussées pour dire qu'il y a des pays qui commencent quand même à penser au sujet. Je ne sais pas si en France ça va se faire, mais il y a certains pays. personnellement qui suis haïtienne, c'est ma plus grande inquiétude parce qu'il y a des pays où le cadre juridique est inexistant déjà. Donc, avec cette évolution, l'expansion des intérêts sociétals, je pense que ça va être un peu plus difficile encore et d'où la inquiétude que je pose à cette question de l'utilisation de l'IA pour créer alors que, comme tu l'as dit, c'est vraiment un assemblage d'idées qui a été repris. Et ça,

  • Speaker #0

    c'est compliqué. L'exemple que tu as est fabuleux. C'est celui de la voix. Moi, je travaille moi-même à rester, de faire des podcasts, entre toutes les lunes. toi ça m'a pas mal mais d'excellents fils des tribunes sur les orages et le fait probablement bien du coup alors que je pourrais faire des productions mais là c'est moi qui ai utilisé la voix la production de la voix avec une mécontentue mais si vous êtes une chose avec marga mais pour lui à l'autre si utiliser ou si quelqu'un d'autre disait le contenu avec sa robe, on pourrait rester trop stupendieux. Et de la même façon que tu évoques le soir, il y a aussi celui-là. Tellement, tellement de photos instrayables, souvent des photos d'infantilité, des papes qui étaient lucides, un président d'État qui serait arrêté par la police et qui est en prison, des situations qui peuvent être inappropriées, qui peuvent être dégradantes, qui peuvent être humiliantes, qui peuvent même être sympas et drôles, mais en tout cas à l'encontre des gens qui... qui n'ont pas envie de se montrer nécessairement. Et si c'est clair, par exemple, le dessiner une personne, le droit, c'est plus le droit à l'image de la personne. En tout cas, si je te dessine dans une situation, c'est pas ton droit à l'image qui vaut, c'est mon droit au dessin qui prévaut. T'as rien à dire. Sinon, si je prends ta photo et que là, ton droit à l'image est... Tu peux s'arrêter. Tu peux le revendiquer. C'est plus moi qui peux dire, tu peux prétendre que c'est une création photographique ou artistique, là j'ai utilisé ton ouvrage sans t'être chier de toi. Donc avec cette intelligence artificielle, à mêler à de l'intelligence réelle, on peut dire que c'est une création extraordinaire. Mais au niveau de certains droits, notamment celui d'Iva, c'est la propriété. Une question où il n'y a pas encore beaucoup de réponse. En fait,

  • Speaker #1

    toutes ces images-là dont tu colles, on les appelle les deepfakes. C'est vraiment des personnes qui viennent dans des situations dans lesquelles ils n'ont pas su retrouver un livre.

  • Speaker #0

    Oui. C'est ça. Pourquoi ? Parce que vraiment, il n'y a pas nécessairement des grammes. Parfois, le bac, il n'y a pas forcément envie de se voir en mêlant dans une piscine. Donc, une boucle à l'art autour de la taille, c'est pour quelqu'un d'aïe, c'est de sortir. Et c'est aussi par rapport à son histoire,

  • Speaker #1

    par rapport à sa religion, par rapport à ses pensions. Ce qui peut être très sympa pour un enfant, pour un type, moi, qui est mort en plus, c'est vraiment le bon moment.

  • Speaker #2

    Donc le respect à rencontre, on va dire, parce que quand on parle du respect de la route privée, de l'image, il y a le principe du respect aussi qui est mis en avant.

  • Speaker #0

    Que tu utilises ce mot et qu'il rebondit avec ce qu'on a dit en introduction, c'est aussi une question d'éthique.

  • Speaker #1

    et l'éthique c'est en premier place.

  • Speaker #2

    Depuis que tout ce que je viens de dire, c'est des choses là, comment on peut faire pour que les entreprises prennent en compte l'existence et rendent effectif le droit d'auteur des collaborateurs et comment aussi alerter on va dire, parce que le mot il est juste informé, ça serait beaucoup trop simple. les collaborateurs, les salariés, les communicants, leur salarier pour leur dire, ben voilà, vous avez des lois d'auteur, vous avez des... En fait, quand vous créez des choses, quand vous créez une image, quand vous faites du motion design, quand vous êtes UX designer, ben vous détenez en fait des lois sur vos créations. Comment leur faire savoir cette notion ? qui nous est très chère et qui est rémunérable en fait, si je peux utiliser un mot comme ça.

  • Speaker #1

    C'est une valeur, c'est un travail et un travail,

  • Speaker #0

    c'est une valeur qui doit être rémunérée.

  • Speaker #1

    Je pense, dans le défendre, parce que je vais gagner par l'idée de ma réponse, mais peut-être que des personnes comme toi ou comme moi parlons de ce sujet, favorisons la circulation de l'information et donc de ne pas la faire. C'est pour ça que je voulais vraiment merci, merci pour ce sujet. Merci. Tu as cité une de mes phrases de mon livre, et c'est là que je suis sur lesquelles j'interviens ce jour. On peut vraiment intervenir. Le seul fait de participer à ce podcast et de savoir comment le promouvoir après, ça permet de partager ces informations et d'interroger les consciences sur ces questions.

  • Speaker #0

    Je pense que la responsabilité des entreprises est énorme. Les entreprises s'affichent de plus en plus comme voulant être responsables.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que c'est bien de montrer... et le droit dans toutes ces dimensions, dans tous les sens, c'est pour que le droit de ces salariés, les DRA qui l'ont en prise, devraient être bien plus gigantes, bien plus informatifs, bien plus clairvoyants aussi pour permettre à leurs salariés d'en être informés. Je pense que c'est une des compétences des biens comme, donc la personne qui dirige la communication dans l'organisation, va devoir intégrer ces données, pas seulement... faire dans le passé de façon insuffisante, vraiment, c'est vraiment incroyable parce que c'est vraiment sincère, pas seulement pour la protection des pièces à terre qu'elle fait travailler, etc., parce que tout le monde les fait pas, mais c'est pas suffisant, et aussi l'invention interne et collaborative de ces équipes dont il faut tenir compte, ça c'est vraiment, ça fait partie de la compétence des dirigeants de la communication, ils ne doivent pas nous éviter. Après, c'est une aide aussi formidable. pour mettre à l'honneur nos métiers et de promouvoir notre professionnalisme. C'est une dimension professionnelle supplémentaire pour montrer que la communication, c'est la réalité, pour montrer que le droit est communiqué. Communiquer, c'est produire de l'intelligence, que la communication, c'est produire de la valeur, et que celle-là, elle se régulère, et que si elle ne se régulère pas, elle est régulée par la loi, et il y a aussi des conséquences et des risques pour un concours. Tout à part, si vous voulez, la valorisation, la professionnalisation de la communication. et autour au rebond de cette idée de la communauté métier.

  • Speaker #2

    La communauté métier, on est bien d'accord sur cette note. Je te remercie Frédéric Souselat d'avoir accepté de participer à Producteur et merci de me permettre de traiter en fait de ce sujet.

  • Speaker #0

    C'est moi qui te remercie encore une fois. Merci pour ta confiance et pour ton invitation.

  • Speaker #1

    Très heureux d'avoir pu partager mon expérience et ma vision d'un sujet. Je ne sais pas si vous avez été au monde de ce domaine.

  • Speaker #3

    Merci à chacun de vous d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode autour du droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. S'il vous a plu, n'hésitez pas à le partager autour de vous et à le noter 5 étoiles sur la plateforme sur laquelle vous êtes en train de l'écouter. Vous trouverez également le lien de... tous les profils de Frédéric Fougera dans la description de cet épisode. Et je vous rappelle, ce dernier est réalisé en partenariat avec Master Studio. Je vous retrouve prochainement pour un prochain épisode.

  • Speaker #4

    Merci.

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Description


Bienvenue dans le premier épisode la troisième saison du podcast, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougerat, l’homme que je surnomme, le sage de la communication et avec qui j’ai pris énormément de plaisir de discuter autour du droit d’auteur dans l’écosystème de la communication.


Dans cet épisode, Frédéric me parle avec beaucoup de sincérité et de franchise, mais surtout d’or !


Pourquoi voudriez-vous l’écouter jusqu'au bout? Parce que Frédéric qui est à la fois un communicant avec plus de trente ans d’expérience, un écrivain puisqu’il a déjà publié plusieurs livres dont le Dico de la com, Un Dircom n’est pas un démocrate, l’anthologie de la com, un patron de pas moins de deux agences de com : Cogiteurs et Tenkan Paris, nous parle de sa conception et de sa gestion du droit d’auteur, de la responsabilité des entreprises à faire respecter les droits de leurs collaborateurs, à commencer par le droit d'auteur qu'il reconnait comme un droit très important.

Il ne contente pas de faire une plaidoirie pour les métiers de la com, mais tout aussi pour le droit d’auteur qu’il estime, être un domaine dont on en parle très peu surtout dans l’écosystème de la communication.


Je ne vous spoile pas plus. Continuez votre écoute et laissez-moi vos commentaires !

 

Et surtout partagez-le si vous le trouver intéressant et instructif !

 

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le 3 d'auteur du podcast sur le 3 d'auteur avec tout jeune Michel Arquille.

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode réalisé en partenariat avec Master Studio. Cet épisode qui marque le début de la troisième saison du podcast porte sur un sujet qui me passionne beaucoup, à savoir... le droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. Pour ouvrir le bal sur cette nouvelle saison, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougera, l'homme que je surnomme le sage de la communication. Dans cet épisode, Frédéric nous parle de sa conception et de sa rencontre avec le droit d'auteur, de ses pratiques et de sa gestion de ce dernier. Et comme d'habitude, il apporte énormément de bons conseils. Bonne écoute. Bonjour Frédéric Fougera et bienvenue dans Pau d'auteur.

  • Speaker #0

    Bonjour Marie-Josée, c'est une invitation.

  • Speaker #1

    Frédéric, dans ton normal, je t'aurais demandé de te présenter, mais tous les auditeurs de ce podcast qui me suivent certainement sur les réseaux sociaux savent déjà qui tu es parce que j'ai parlé assez souvent sur toi et sur tes livres, notamment La Com' est un métier et ton dernier livre, L'anthologie de la communication, qui est devenu ma bible, on va dire, de la communication. Merci. Pour ceux qui ne te connaissent pas encore, moi je dirais que tu es le sage de la communication. Donc merci d'avoir accepté.

  • Speaker #0

    C'est un bonheur d'avoir accepté, c'est un honneur de fraternité et de se recevoir dans nos bureaux.

  • Speaker #1

    Frédéric, la première fois que je suis tombée sur l'une de tes interventions, c'était il y a trois ans je dirais, c'est dans le cadre d'un webinaire organisé par une structure en Haïti. Je suis tombée dessus par hasard sur Facebook et depuis, je te suis et ce qui m'a le plus attirée en fait dans tes interventions, c'est vraiment l'intelligibilité avec laquelle tu nous parles de la communication. Et aujourd'hui, on va parler bien sûr de la communication, mais tu dois d'auteur dans l'écosystème de la communication, comme tu aimes si bien le dire. Donc, encore une fois, bienvenue.

  • Speaker #0

    Merci, bienvenue à toi Donna Loco. Tu ne cours pas après, puisque tu m'as rattrapé. On passe à la fin de l'an dernier. Merci pour aussi ce sujet, parce que c'est un sujet qu'on aborde souvent et c'est pourtant un vrai sujet de communication. C'est un sujet qu'on a à côté, qu'on reconnaît, qu'on pourra faire pour ne pas trop s'occuper. Je suis trop intéressé aujourd'hui qu'on ait abordé ce sujet. Dans ton livre,

  • Speaker #1

    l'anthologie de la communication qui est sorti il y a,

  • Speaker #0

    on va dire, trois mois. C'est intéressant. C'est mon dernier bébé.

  • Speaker #1

    Il y a dans la page 32, je te cite, tu dis « En communication, on ne construit pas son travail en volant celui des autres. » Ça, c'est une très grande citation en gras, on va dire. Et en plus petite écriture, tu dis « La première règle éthique du communicant est de respecter les lois de cœur et la propriété intellectuelle beaucoup. » Par cette citation, Frédéric, j'ai envie de te demander comment toi, tu défines le droit d'auteur.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si vous le savez, mais on s'est demandé de s'exprimer, et on a envie d'ouvrir le livre de la com.

  • Speaker #1

    C'est un autre livre que tu as.

  • Speaker #0

    On a produit il n'y a pas si longtemps ça, on en a en fait la première édition, mais la deuxième va sortir, je vais voir ce que j'ai dit sur le droit d'auteur et ma définition des droits d'auteur. Alors, on va voir, c'est pas dévoré parce qu'elle est courte, c'est l'ensemble des droits, donc bénéficier d'un auteur, puis ses ayants droits. relatif à une utilisation ou l'exploitation publique de provisions littéraires ou artistiques. C'est une définition un peu générale, pas suffisamment précise, donc ne soyez pas la contradiction. Mais c'est vrai que le droit d'auteur, c'est quelque part, c'est toute la délégance qui sort d'un cerveau des personnes, en matière de communication notamment, mais généralement de façon artistique, et qui a une valeur. Et cette valeur-même est protégée, elle est modérée. Alors, selon les pays, les associations existent ou pas, elles sont différentes, mais de façon générale, c'est pas finalement le droit d'auteur, la propriété intellectuelle, et c'est ça qu'il faut préserver, protéger. Et c'est notamment, je trouve, une des premières règles éthiques du communicant, c'est de ne pas reprendre la formule d'un autre, de ne pas voler la faute d'eau ou l'accelération d'un autre pour se l'approprier. C'est vraiment soit de créer soi-même et d'avoir... propres compétences ou se faire accompagner ou aller chercher ailleurs ces compétences-là. Mais pour en aller, il faut rappeler leur valeur et il faut en payer les droits.

  • Speaker #1

    Oui, on a tous ces droits d'auteur, mais on ne sait pas forcément comment les faire protéger. En réécoutant certaines de tes interventions, que ce soit en podcast, en relisant des articles, qui ont été écrits sur trois ou des vidéos dans lesquelles tu participes, même le dernier livre que tu as écrit, l'anthologie de la communication, j'ai relevé quelques points qui me paraissent très intéressants, parce qu'il y a presque 30 ans, on va dire plus de 30 ans, tu as commencé dans la communication. Bientôt 40 ans, tu t'es réorientée parce qu'avant, tu faisais du droit. Et à travers de multiples expériences que tu as eues pendant toutes ces années-là, j'ai envie de te demander quand est-ce que le droit d'auteur a pu s'étaler une place dans ta carrière de communicant. Et aujourd'hui, tu n'es pas que communicant, tu n'es pas seulement un ancien salarié. Tu es aujourd'hui un seul employé salarié.

  • Speaker #0

    Je vais répondre précisément à ta question et un tout petit peu corriger mon parcours. Parce qu'en fait, je n'ai jamais évolué dans le droit. J'ai commencé à faire des études de droit, très vite, et je me suis lancé dans la communication. Et c'est dans cette période de cours de droit à l'université qui a été relativement vraie, qu'immédiatement, j'ai été plongé dans les questions de propriété, de droit des marques, de droit des vagues. Et c'était vraiment les sujets qui m'intéressaient étonnamment. Moi je faisais du droit parce que j'avais envie d'être un héros cas, j'avais plutôt envie d'être un héros cas, des faibles, des gens qui n'ont pas les copes, des gens qui n'ont pas l'évaluation, des gens qui n'ont pas la force, qui n'ont pas le savoir pour pouvoir se défendre dans la société. C'est un peu un côté Romain Desboires. Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ces premiers mois d'égypte droit à l'instant, c'était toutes ces questions, c'était certainement lié à un propre, à l'humanité ou à certaines matières qui nous correspondaient dans le cadre, mais c'était vraiment ces questions. lié au droit et à la propriété de marque. Donc, tout de suite, j'ai été très sensibilisé à ces questions qui m'ont tout de suite mis en voie. C'est des valeurs qui, quelque part, on me la vole et le droit est pas bien appliqué. Donc, peut-être qu'il y a une cohérence dans tout ça. Mais en fait, c'est l'idée. Mes premiers sensibles droits, j'ai été confronté à ces questions. Donc, tout de suite, je suis investi en DSA. Dans tes expériences professionnelles,

  • Speaker #1

    est-ce que ça a été puissant ? Par exemple, lors de la signature de tes contrats, de tes rédactions, par exemple, parce que je sais qu'aujourd'hui, il y a plein de gens qui republier des punchlines, comme on dit. On va dire concrètement comment le droit d'auteur a impacté, on va dire, ou encore a intégré ta vie dans la communauté.

  • Speaker #0

    Probablement. Peut-être que ma première rémunération ou une de mes premières rémunérations, c'est l'anastique de voir un magazine et il était sous droit d'auteur et donc il a rémunéré à ceci. Peut-être que c'est une première rémunération. J'ai peut-être évoqué quelques étudiants avant, mais la première génération, c'est le droit d'auteur. Et j'ai très vite été confronté à ce que tu viennes, parce que j'ai déposé des marques, et donc j'ai très vite protégé des marques. Je suis tout de suite construit dans ma future carrière de communicant, sans avoir la réalité de la stratégie, mais déjà en faisant des bases, en éclairant des marques, en déposant des idées, en déposant des concepts. Donc, j'ai à priori plutôt bien compris cette nécessité. de protéger des idées ou des concepts. Maintenant, pour ce qui est de ce que moi j'ai pris, ça reste plutôt du travail de mon éditeur de protéger mes écrits. Alors, je sais qu'il y a par exemple certains de mes livres qui sont copiés, il y a des faux livres qui circulent dans certains pays, donc il y a des gens qui gagnent de l'argent sur un travail de façon illégale. C'est plutôt la rançon du spectateur. et de voir ça dans le futur, même si c'est un dernier versant, on n'a pas d'intérêt sur les réseaux sociaux, c'est vrai que beaucoup d'entre eux s'en farent de ce que je peux écrire, et je le fais aussi pour ça, je ne le fais jamais en quête de droits d'auteur, je ne peux pas protéger ce que je dis, ce que je veux c'est d'être présent, c'est la partie de la promotion de notre profession, c'est vraiment fait pour réunir les primes, les appropriés, les développes, les reprimes, les colores, de façon différente, peu importe. Voilà, c'est ça. Aujourd'hui, tu as deux entreprises en protection, tu dois en parler. En fait,

  • Speaker #1

    tu n'es pas trop préoccupé par le fait que les gens reprennent tes écrits, ils les commercialisent aussi, comme tu l'as dit, dans certains pays. Ça arrive aujourd'hui. En tant que patron de deux entreprises, je le rappelle, TENCON Paris et COGIGER, comment est-ce que toi et ton équipe, ou encore tes équipes, font, comment est-ce que vous faites pour protéger et garantir les lois d'auteur ? propriété, on va dire plus largement la propriété intellectuelle de vos employés.

  • Speaker #0

    Là, la question, elle est très large et en fait, elle... Elle intègre finalement la dimension de ma vie professionnelle, parce que j'ai toujours été extrêmement attentif à ces questions, mais on va être traité en deux temps. Il y a moi en tant que communicant et client, qui font des prestations intellectuelles, artistiques, et dans ce temps-là, j'ai toujours été hyper vigilant, parce que leur droit sera respecté, et que leur nom figure parfaitement. sur l'organisation, exemple, la multifonction du dépôt de la com, et bien, à la fin de ce dépôt, dans la dernière page, l'agitation de couverture, elle est faite par Joséphine, c'est une de mes collaboratrices, c'est elle qui a dessiné cette couverture, je dois dire, je demande à ce qu'il nous passe de ce travail, qu'il soit bien réglé, et même si elle n'a pas été rémunérée pour le faire, elle est... C'est moi,

  • Speaker #1

    moi, la chef a été respectée.

  • Speaker #0

    D'accord. C'est un peu revanché, c'est rien qui a créé cette adhérention artistique et qui a créé cette couverture magnifique, très déco. Donc ça c'est la même façon, en tant que partenaire d'équipe, quand j'ai bossé dans des grandes entreprises, je me suis dit, avant de faire respecter ces droits-là, je vais beaucoup faire appel à des photographes, en France, par exemple, mais une fois qu'on a une photo, les droits des photographes, on ne s'en préoccupe pas beaucoup. Et souvent les photographes, on peut dire entre 3 et 5 ans de l'utilisation des photos, on le négocie pour un jage particulier, pour la presse, sur les réseaux sociaux. Si on négocie les droits, les raisons commerciales, la photo n'a pas le même prix, on va gagner de l'argent avec la photo, puis il y a une juste organisation qui devrait aussi aller aux photographes. Et puis souvent, au bout de 100 ou 500 ans, les droits sont passés, en fait on ne s'en préoccupe pas et on continue d'utiliser les photos. Donc c'est une photo de parco-mètre de dirigeant, ça rendrait un petit point de reprise, et puis c'est une photo dans l'entreprise suivante dans laquelle il est bon. Mais ça n'a aucun droit sur cette photo, elle n'a pas rémunéré le sort de grâce pour le travail qu'elle utilise. C'est un sujet auquel je suis très attentif, et j'essaye de faire respecter les droits de chacun, que ce soit de la classe artistique, que ce soit une photo, que ce soit du webdesign, que ce soit des photos, je suis très attentif. pour les gens qui me faisaient travailler. Maintenant, la question à la même, une double tripe peut-être, c'est mes collaborateurs au sein de mon équipe, le droit n'a pas été respecté autant qu'il le devrait, mais parce qu'il ne l'est pas du tout de façon générale en France, où il est vrai que souvent on considère que à partir du moment où on est salarié d'une équipe, finalement le travail qu'on produit, Le droit d'auteur, en fait, prévoit des choses, ou la propriété intellectuelle prévoit des choses tout à fait différentes. Elle prévoit aussi notamment qu'on puisse céder ses droits en dépendant d'une rémunération ou d'un salaire. En fait, techniquement, on ne les fait pas. C'est une vraie vigilance qu'il faudrait avoir de faire respecter ses droits. par exemple dans le milieu de la communication, elle se peut rendre. Dans tous les grands temps de travail, il devrait y avoir une séduction des droits. ça serait pas mal avérant, mais en tout cas, ça serait conforme au règles du droit qu'on ne respectait pas. C'est vrai que les collaborateurs, par exemple, qui ont le job d'établisseur politique, ne peuvent que décrire des discours, donc il y a une vraie volonté intellectuelle sur ces discours. Si on considère que sa rémunération ne correspond pas à ce droit, alors à quoi correspond sa rémunération ? Qui ne fait que ça ? Peut-être que oui, c'est simple et normal de céder ces droits d'écriture en échange de sa rémunération. Il faut dire que ce soit accepté, qu'il y ait une trace, et que le droit soit respecté. Et là, on est souvent dans des confrontations de droits qui ne sont pas respectés. La troisième facette, c'est celle de ma situation aujourd'hui, en tant que patron d'agence ou associé d'agence. Il se trouve que nos agences aujourd'hui ne sont que d'associés, il n'y a pas encore de salariés. Et il est vrai qu'on n'est pas capable de faire du travail. Et donc, la valeur qui est créée, c'est une valeur collective, et elle revient à sa carrière humaine, où elle partait devant se poser une question de droit moral. ou de droit de sécurité, de pensée, d'accord, un travail qui serait obtenu par l'air des associés et qui devrait lui renseigner à la collectivité. Ce n'est pas notre accord, mais il est vrai qu'on manque de vigilance et d'attention quand on est tué, parce qu'on méconnaît ce droit. On ne cherche pas à l'éviter nécessairement. Mais c'est souvent par une connaissance, parce que c'est pratique aussi de ne pas bien connaître. Mais voilà, dans cette étude, on va pouvoir en parler un peu plus. Il y a des droits qui existent et il y a un moment où on ne peut pas respecter certains droits et pas tous. Parce qu'on est à l'âge où on n'en respecte aucun, sans respecter la loi. On respecte la loi et la loi. Sur cette critique-là,

  • Speaker #1

    je vous pose la question, parce que dans ton cas, vu que dans tes agences, les lois qui sont créées sont collectives. Est-ce que tu penses que tes collaborateurs, tes associés comme tu les appelles, peuvent un jour décider de reprendre une des créations qui ont été créées dans l'entreprise et de l'utiliser à des fins personnelles, commercialisées ? Déjà,

  • Speaker #0

    si nos professionnels, par exemple, à la mesure, l'ouvreur serait la leur, ils auraient effectivement toutes les utilités à la fin. Je pense qu'on ne pourrait pas venir... C'est un accord moral et de respect entre les autres. Au niveau du corps, on ne parle pas à l'égo. Il faut le reconnaître. Les gens se sont protégés au nom de la danse. Par exemple, les nouveaux. D'ailleurs, on a eu des avances. Le nouveau, il est protégé au nom de la danse. C'est-à-dire, il y avait un sujet, je vous l'ai dit, qu'au début, on a déposé la marque. Et donc, c'est la propriété de la personne. Maintenant, il y a des trois autres qui pourraient être revendiqués comme propriétaires de la personne physique au sein des entreprises. C'est une question de vie. Il y a un manque de vigilance et un manque de respect du droit. Alors, on le voit dans les entreprises. Le jour où, éventuellement, il y a un souci, il faut être parfait. une utilisation à une autre fin que les intérêts de l'entreprise. On peut utiliser un travail pour être actuel. La loi l'a prévu, la loi l'organise. Si on ne fait pas la loi avant, il va falloir aller devant des juridictions pour faire respecter chacun ses droits.

  • Speaker #1

    Simon, dans tes précédentes expériences en campus, collaborateur ou salarié, dans les entreprises où tu as travaillé, est-ce que tu as déjà eu à confronter, soit à être au parti, ou as-tu confronté un problème à un litige lié aux droits de l'hôte ? Est-ce que tu as déjà eu à gérer une telle crise ? Je sais que dans Paris, on gère souvent des crises. Qu'est-ce que ça t'arrive de gérer une telle crise ?

  • Speaker #0

    Sur ces questions, non, ça ne m'est pas souvent arrivé. Je fais deux exemples, mais ça ne m'est pas souvent arrivé. C'est vrai que ça enlève tout le monde plutôt de me dire que c'est pas vrai. c'est un sujet de communication mais qui est une diversité juridique et qui est traité par une direction juridique. Je vais vous donner deux exemples que je veux citer. Je suis professionnel, je le rappelle parce que je viens de le rappeler. C'est une situation de faute de droits, notamment de tirs et dents, qui sont utilisés pendant 10-15 ans dans une, deux, trois, quatre, cinq entreprises, alors que les droits sont élus pour trois ou cinq ans maximum, et seulement dans l'entreprise qui a élu pour arrêter ses droits. Ça a eu un effacement. soit faire du ménage aux entreprises dans lesquelles j'arrivais, ou alors aller faire des cadres qui auraient quitté l'entreprise et leur demander de ne plus utiliser des images pour lesquelles ils n'ont pas le droit. Ça peut aussi arriver d'ailleurs à la place que des journalistes ou des rédactions utilisent des photos qui, au lieu de les demander, vont les chercher sur Google, quand évidemment l'entreprise lui a dit qu'elle est à l'aide, pour leur prendre l'aide, en fait, c'est la seule. Ce mois, au dernier an, on a réussi et ça rend rose. L'autre exemple que j'ai eu à faire, c'est après les élections de l'Union des compétitions d'agence. Une des agences qui n'a pas été retenue, des membres de l'entreprise ont pas eu le droit de l'agence et l'ont fait développer par une autre agence. C'est-à-dire que s'il y avait un plage d'artiste, il y avait vraiment une idée qui avait été volée. et c'était suivant l'entente de la barbu qui a vraiment impliqué les idées et la création de l'avance. Mais voilà, à part ces deux exemples-là, ça m'est quand même très rarement arrivé, mais parce que c'est rarement des émotions de communication qui ont lieu à ce moment-là, ça devient directement un sujet logique.

  • Speaker #1

    Effectivement, parce qu'en fait, c'est vrai que nous, les communicants, on ne nous assigne pas tous les lois de la boucle. propriété intellectuelle ou même les droits d'auteur si certaines choses sont cultivées et je pense que c'est quelque chose qu'on devrait soumettre à l'agentivé. Et ma prochaine question pour toi, c'est, Frédéric, est-ce que tu crois encore dans une réelle existence des droits d'auteur à l'aide des intelligences artificielles génératives, des annonceurs, des agences de communication ou même des communicants dans leur propre communication utilisent à tout bout de champ l'intelligence artificielle pour en fait des œuvres. Est-ce que toi tu crois en une réelle existence ou encore effectivité des lois de l'ordre dans ce cas-là, dans ce circonstance ?

  • Speaker #0

    pendant une grande sélection qui est vraiment celle, qui est vraiment un enjeu d'avenir, mais qui est vraiment celle à laquelle nous sommes placés, pour dire sur le cas d'un d'un homme, oui c'est vrai, la question du droit et de la société éthique est insuffisamment, vers cette heure, insuffisamment enseignée, et du temps, il y a énormément de sujets de droit, donc on n'est pas des juristes, mais on ne peut pas être ignorant de sujets de droit qui nous concernent. Nous sommes supposés contrôler, appliquer, vérifier, pour que vous puissiez être question de droit, et c'est important dans le métier. Je me suis rempli de ces événements de communication, c'était peut-être d'ailleurs, mais je vais avancer dans le temps. Mais les cultures générales de l'HMA, c'est important de voir les français, notamment sous-alimentation organique. Je vais passer à la question concernant l'intelligence artificielle. Je pense que les autorités publiques, dans certains pays en tout cas, s'occupent de cette question. C'est à qui va faire la production de l'intelligence artificielle ? Est-ce que le fait d'avoir cette compétence de la requête qui fait qu'une œuvre originale sort, et qu'elle est liée à la compétence de la requête, donc quelque part, elle appartiendrait à celui ou celle qui a fait la requête ? Personnellement, je ne crois pas que ça appartienne. La production qui sort appartient bien à la machine qui l'a produite, mais cette machine elle-même ne sait rien d'elle-même, elle sait qu'elle est cachée des informations qu'elle compile, qu'elle rassemble. Donc il y a une énorme question autour de la propriété, effectivement, et des droits qui se posent, et on ne sait pas qui sera capable de la régler. Alors aujourd'hui, on avance un peu, et on fait comme si rien n'était. à un moment ou à un autre, une personne va organiser un logiciel. Ce sont d'ailleurs des jurisprudences qui vont permettre de construire le droit plutôt que des lois ou un gouvernement. Et peut-être qu'à un moment ou à un autre, une personne va avoir le soutien. Une production d'issue d'une intelligence artificielle, ça vient à l'origine d'une illustration, d'un texte qui a été produit par cette personne. Et peut-être que ça permet de commencer à écrire une forme de droit, mais je ne sais pas, c'est très compliqué. compliqué à mettre en oeuvre dans nos vies parce que c'est une telle dimension globale, dans le sens mondial, et surtout les idées partout, comme tous les réseaux, en fait, sont tous une intelligence très capable de découvrir. Si on prend l'intelligence artificielle de Twitter X, qui ressort de toutes les données, au minimum toutes les données qui sont sur Twitter, comment on va les chercher ? Comment d'abord celui qui le produit, comment peut-il savoir si c'est une recomposition ou de la contécoïde, ou quelque chose qui a été... c'est à peu près impossible à dédié, même de bonne foi, on ne peut pas citer quelqu'un ou imaginer que j'ai le droit à avoir quelque chose, ça a certainement un rôle là, donc c'est un sujet extrêmement vaste qui va être un enjeu pour les communicants, et peut-être que ce sera aussi une raison de ne pas utiliser des ressources artificielles pour échapper à des risques, ou alors d'agiter, de valoriser le fait que quelque chose a été produit par de l'intelligence artificielle, au minimum, ce n'est pas une bonne forme.

  • Speaker #1

    Je pense que, en fait, ce que tu as dit tout à l'heure, il y a certains pays, comme tu l'as dit, comme les États-Unis, où ils commencent vraiment à réfléchir sur le sujet. Il y a eu pas mal de poussées pour dire qu'il y a des pays qui commencent quand même à penser au sujet. Je ne sais pas si en France ça va se faire, mais il y a certains pays. personnellement qui suis haïtienne, c'est ma plus grande inquiétude parce qu'il y a des pays où le cadre juridique est inexistant déjà. Donc, avec cette évolution, l'expansion des intérêts sociétals, je pense que ça va être un peu plus difficile encore et d'où la inquiétude que je pose à cette question de l'utilisation de l'IA pour créer alors que, comme tu l'as dit, c'est vraiment un assemblage d'idées qui a été repris. Et ça,

  • Speaker #0

    c'est compliqué. L'exemple que tu as est fabuleux. C'est celui de la voix. Moi, je travaille moi-même à rester, de faire des podcasts, entre toutes les lunes. toi ça m'a pas mal mais d'excellents fils des tribunes sur les orages et le fait probablement bien du coup alors que je pourrais faire des productions mais là c'est moi qui ai utilisé la voix la production de la voix avec une mécontentue mais si vous êtes une chose avec marga mais pour lui à l'autre si utiliser ou si quelqu'un d'autre disait le contenu avec sa robe, on pourrait rester trop stupendieux. Et de la même façon que tu évoques le soir, il y a aussi celui-là. Tellement, tellement de photos instrayables, souvent des photos d'infantilité, des papes qui étaient lucides, un président d'État qui serait arrêté par la police et qui est en prison, des situations qui peuvent être inappropriées, qui peuvent être dégradantes, qui peuvent être humiliantes, qui peuvent même être sympas et drôles, mais en tout cas à l'encontre des gens qui... qui n'ont pas envie de se montrer nécessairement. Et si c'est clair, par exemple, le dessiner une personne, le droit, c'est plus le droit à l'image de la personne. En tout cas, si je te dessine dans une situation, c'est pas ton droit à l'image qui vaut, c'est mon droit au dessin qui prévaut. T'as rien à dire. Sinon, si je prends ta photo et que là, ton droit à l'image est... Tu peux s'arrêter. Tu peux le revendiquer. C'est plus moi qui peux dire, tu peux prétendre que c'est une création photographique ou artistique, là j'ai utilisé ton ouvrage sans t'être chier de toi. Donc avec cette intelligence artificielle, à mêler à de l'intelligence réelle, on peut dire que c'est une création extraordinaire. Mais au niveau de certains droits, notamment celui d'Iva, c'est la propriété. Une question où il n'y a pas encore beaucoup de réponse. En fait,

  • Speaker #1

    toutes ces images-là dont tu colles, on les appelle les deepfakes. C'est vraiment des personnes qui viennent dans des situations dans lesquelles ils n'ont pas su retrouver un livre.

  • Speaker #0

    Oui. C'est ça. Pourquoi ? Parce que vraiment, il n'y a pas nécessairement des grammes. Parfois, le bac, il n'y a pas forcément envie de se voir en mêlant dans une piscine. Donc, une boucle à l'art autour de la taille, c'est pour quelqu'un d'aïe, c'est de sortir. Et c'est aussi par rapport à son histoire,

  • Speaker #1

    par rapport à sa religion, par rapport à ses pensions. Ce qui peut être très sympa pour un enfant, pour un type, moi, qui est mort en plus, c'est vraiment le bon moment.

  • Speaker #2

    Donc le respect à rencontre, on va dire, parce que quand on parle du respect de la route privée, de l'image, il y a le principe du respect aussi qui est mis en avant.

  • Speaker #0

    Que tu utilises ce mot et qu'il rebondit avec ce qu'on a dit en introduction, c'est aussi une question d'éthique.

  • Speaker #1

    et l'éthique c'est en premier place.

  • Speaker #2

    Depuis que tout ce que je viens de dire, c'est des choses là, comment on peut faire pour que les entreprises prennent en compte l'existence et rendent effectif le droit d'auteur des collaborateurs et comment aussi alerter on va dire, parce que le mot il est juste informé, ça serait beaucoup trop simple. les collaborateurs, les salariés, les communicants, leur salarier pour leur dire, ben voilà, vous avez des lois d'auteur, vous avez des... En fait, quand vous créez des choses, quand vous créez une image, quand vous faites du motion design, quand vous êtes UX designer, ben vous détenez en fait des lois sur vos créations. Comment leur faire savoir cette notion ? qui nous est très chère et qui est rémunérable en fait, si je peux utiliser un mot comme ça.

  • Speaker #1

    C'est une valeur, c'est un travail et un travail,

  • Speaker #0

    c'est une valeur qui doit être rémunérée.

  • Speaker #1

    Je pense, dans le défendre, parce que je vais gagner par l'idée de ma réponse, mais peut-être que des personnes comme toi ou comme moi parlons de ce sujet, favorisons la circulation de l'information et donc de ne pas la faire. C'est pour ça que je voulais vraiment merci, merci pour ce sujet. Merci. Tu as cité une de mes phrases de mon livre, et c'est là que je suis sur lesquelles j'interviens ce jour. On peut vraiment intervenir. Le seul fait de participer à ce podcast et de savoir comment le promouvoir après, ça permet de partager ces informations et d'interroger les consciences sur ces questions.

  • Speaker #0

    Je pense que la responsabilité des entreprises est énorme. Les entreprises s'affichent de plus en plus comme voulant être responsables.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que c'est bien de montrer... et le droit dans toutes ces dimensions, dans tous les sens, c'est pour que le droit de ces salariés, les DRA qui l'ont en prise, devraient être bien plus gigantes, bien plus informatifs, bien plus clairvoyants aussi pour permettre à leurs salariés d'en être informés. Je pense que c'est une des compétences des biens comme, donc la personne qui dirige la communication dans l'organisation, va devoir intégrer ces données, pas seulement... faire dans le passé de façon insuffisante, vraiment, c'est vraiment incroyable parce que c'est vraiment sincère, pas seulement pour la protection des pièces à terre qu'elle fait travailler, etc., parce que tout le monde les fait pas, mais c'est pas suffisant, et aussi l'invention interne et collaborative de ces équipes dont il faut tenir compte, ça c'est vraiment, ça fait partie de la compétence des dirigeants de la communication, ils ne doivent pas nous éviter. Après, c'est une aide aussi formidable. pour mettre à l'honneur nos métiers et de promouvoir notre professionnalisme. C'est une dimension professionnelle supplémentaire pour montrer que la communication, c'est la réalité, pour montrer que le droit est communiqué. Communiquer, c'est produire de l'intelligence, que la communication, c'est produire de la valeur, et que celle-là, elle se régulère, et que si elle ne se régulère pas, elle est régulée par la loi, et il y a aussi des conséquences et des risques pour un concours. Tout à part, si vous voulez, la valorisation, la professionnalisation de la communication. et autour au rebond de cette idée de la communauté métier.

  • Speaker #2

    La communauté métier, on est bien d'accord sur cette note. Je te remercie Frédéric Souselat d'avoir accepté de participer à Producteur et merci de me permettre de traiter en fait de ce sujet.

  • Speaker #0

    C'est moi qui te remercie encore une fois. Merci pour ta confiance et pour ton invitation.

  • Speaker #1

    Très heureux d'avoir pu partager mon expérience et ma vision d'un sujet. Je ne sais pas si vous avez été au monde de ce domaine.

  • Speaker #3

    Merci à chacun de vous d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode autour du droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. S'il vous a plu, n'hésitez pas à le partager autour de vous et à le noter 5 étoiles sur la plateforme sur laquelle vous êtes en train de l'écouter. Vous trouverez également le lien de... tous les profils de Frédéric Fougera dans la description de cet épisode. Et je vous rappelle, ce dernier est réalisé en partenariat avec Master Studio. Je vous retrouve prochainement pour un prochain épisode.

  • Speaker #4

    Merci.

Description


Bienvenue dans le premier épisode la troisième saison du podcast, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougerat, l’homme que je surnomme, le sage de la communication et avec qui j’ai pris énormément de plaisir de discuter autour du droit d’auteur dans l’écosystème de la communication.


Dans cet épisode, Frédéric me parle avec beaucoup de sincérité et de franchise, mais surtout d’or !


Pourquoi voudriez-vous l’écouter jusqu'au bout? Parce que Frédéric qui est à la fois un communicant avec plus de trente ans d’expérience, un écrivain puisqu’il a déjà publié plusieurs livres dont le Dico de la com, Un Dircom n’est pas un démocrate, l’anthologie de la com, un patron de pas moins de deux agences de com : Cogiteurs et Tenkan Paris, nous parle de sa conception et de sa gestion du droit d’auteur, de la responsabilité des entreprises à faire respecter les droits de leurs collaborateurs, à commencer par le droit d'auteur qu'il reconnait comme un droit très important.

Il ne contente pas de faire une plaidoirie pour les métiers de la com, mais tout aussi pour le droit d’auteur qu’il estime, être un domaine dont on en parle très peu surtout dans l’écosystème de la communication.


Je ne vous spoile pas plus. Continuez votre écoute et laissez-moi vos commentaires !

 

Et surtout partagez-le si vous le trouver intéressant et instructif !

 

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le 3 d'auteur du podcast sur le 3 d'auteur avec tout jeune Michel Arquille.

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode réalisé en partenariat avec Master Studio. Cet épisode qui marque le début de la troisième saison du podcast porte sur un sujet qui me passionne beaucoup, à savoir... le droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. Pour ouvrir le bal sur cette nouvelle saison, j'ai l'honneur de recevoir Frédéric Fougera, l'homme que je surnomme le sage de la communication. Dans cet épisode, Frédéric nous parle de sa conception et de sa rencontre avec le droit d'auteur, de ses pratiques et de sa gestion de ce dernier. Et comme d'habitude, il apporte énormément de bons conseils. Bonne écoute. Bonjour Frédéric Fougera et bienvenue dans Pau d'auteur.

  • Speaker #0

    Bonjour Marie-Josée, c'est une invitation.

  • Speaker #1

    Frédéric, dans ton normal, je t'aurais demandé de te présenter, mais tous les auditeurs de ce podcast qui me suivent certainement sur les réseaux sociaux savent déjà qui tu es parce que j'ai parlé assez souvent sur toi et sur tes livres, notamment La Com' est un métier et ton dernier livre, L'anthologie de la communication, qui est devenu ma bible, on va dire, de la communication. Merci. Pour ceux qui ne te connaissent pas encore, moi je dirais que tu es le sage de la communication. Donc merci d'avoir accepté.

  • Speaker #0

    C'est un bonheur d'avoir accepté, c'est un honneur de fraternité et de se recevoir dans nos bureaux.

  • Speaker #1

    Frédéric, la première fois que je suis tombée sur l'une de tes interventions, c'était il y a trois ans je dirais, c'est dans le cadre d'un webinaire organisé par une structure en Haïti. Je suis tombée dessus par hasard sur Facebook et depuis, je te suis et ce qui m'a le plus attirée en fait dans tes interventions, c'est vraiment l'intelligibilité avec laquelle tu nous parles de la communication. Et aujourd'hui, on va parler bien sûr de la communication, mais tu dois d'auteur dans l'écosystème de la communication, comme tu aimes si bien le dire. Donc, encore une fois, bienvenue.

  • Speaker #0

    Merci, bienvenue à toi Donna Loco. Tu ne cours pas après, puisque tu m'as rattrapé. On passe à la fin de l'an dernier. Merci pour aussi ce sujet, parce que c'est un sujet qu'on aborde souvent et c'est pourtant un vrai sujet de communication. C'est un sujet qu'on a à côté, qu'on reconnaît, qu'on pourra faire pour ne pas trop s'occuper. Je suis trop intéressé aujourd'hui qu'on ait abordé ce sujet. Dans ton livre,

  • Speaker #1

    l'anthologie de la communication qui est sorti il y a,

  • Speaker #0

    on va dire, trois mois. C'est intéressant. C'est mon dernier bébé.

  • Speaker #1

    Il y a dans la page 32, je te cite, tu dis « En communication, on ne construit pas son travail en volant celui des autres. » Ça, c'est une très grande citation en gras, on va dire. Et en plus petite écriture, tu dis « La première règle éthique du communicant est de respecter les lois de cœur et la propriété intellectuelle beaucoup. » Par cette citation, Frédéric, j'ai envie de te demander comment toi, tu défines le droit d'auteur.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si vous le savez, mais on s'est demandé de s'exprimer, et on a envie d'ouvrir le livre de la com.

  • Speaker #1

    C'est un autre livre que tu as.

  • Speaker #0

    On a produit il n'y a pas si longtemps ça, on en a en fait la première édition, mais la deuxième va sortir, je vais voir ce que j'ai dit sur le droit d'auteur et ma définition des droits d'auteur. Alors, on va voir, c'est pas dévoré parce qu'elle est courte, c'est l'ensemble des droits, donc bénéficier d'un auteur, puis ses ayants droits. relatif à une utilisation ou l'exploitation publique de provisions littéraires ou artistiques. C'est une définition un peu générale, pas suffisamment précise, donc ne soyez pas la contradiction. Mais c'est vrai que le droit d'auteur, c'est quelque part, c'est toute la délégance qui sort d'un cerveau des personnes, en matière de communication notamment, mais généralement de façon artistique, et qui a une valeur. Et cette valeur-même est protégée, elle est modérée. Alors, selon les pays, les associations existent ou pas, elles sont différentes, mais de façon générale, c'est pas finalement le droit d'auteur, la propriété intellectuelle, et c'est ça qu'il faut préserver, protéger. Et c'est notamment, je trouve, une des premières règles éthiques du communicant, c'est de ne pas reprendre la formule d'un autre, de ne pas voler la faute d'eau ou l'accelération d'un autre pour se l'approprier. C'est vraiment soit de créer soi-même et d'avoir... propres compétences ou se faire accompagner ou aller chercher ailleurs ces compétences-là. Mais pour en aller, il faut rappeler leur valeur et il faut en payer les droits.

  • Speaker #1

    Oui, on a tous ces droits d'auteur, mais on ne sait pas forcément comment les faire protéger. En réécoutant certaines de tes interventions, que ce soit en podcast, en relisant des articles, qui ont été écrits sur trois ou des vidéos dans lesquelles tu participes, même le dernier livre que tu as écrit, l'anthologie de la communication, j'ai relevé quelques points qui me paraissent très intéressants, parce qu'il y a presque 30 ans, on va dire plus de 30 ans, tu as commencé dans la communication. Bientôt 40 ans, tu t'es réorientée parce qu'avant, tu faisais du droit. Et à travers de multiples expériences que tu as eues pendant toutes ces années-là, j'ai envie de te demander quand est-ce que le droit d'auteur a pu s'étaler une place dans ta carrière de communicant. Et aujourd'hui, tu n'es pas que communicant, tu n'es pas seulement un ancien salarié. Tu es aujourd'hui un seul employé salarié.

  • Speaker #0

    Je vais répondre précisément à ta question et un tout petit peu corriger mon parcours. Parce qu'en fait, je n'ai jamais évolué dans le droit. J'ai commencé à faire des études de droit, très vite, et je me suis lancé dans la communication. Et c'est dans cette période de cours de droit à l'université qui a été relativement vraie, qu'immédiatement, j'ai été plongé dans les questions de propriété, de droit des marques, de droit des vagues. Et c'était vraiment les sujets qui m'intéressaient étonnamment. Moi je faisais du droit parce que j'avais envie d'être un héros cas, j'avais plutôt envie d'être un héros cas, des faibles, des gens qui n'ont pas les copes, des gens qui n'ont pas l'évaluation, des gens qui n'ont pas la force, qui n'ont pas le savoir pour pouvoir se défendre dans la société. C'est un peu un côté Romain Desboires. Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ces premiers mois d'égypte droit à l'instant, c'était toutes ces questions, c'était certainement lié à un propre, à l'humanité ou à certaines matières qui nous correspondaient dans le cadre, mais c'était vraiment ces questions. lié au droit et à la propriété de marque. Donc, tout de suite, j'ai été très sensibilisé à ces questions qui m'ont tout de suite mis en voie. C'est des valeurs qui, quelque part, on me la vole et le droit est pas bien appliqué. Donc, peut-être qu'il y a une cohérence dans tout ça. Mais en fait, c'est l'idée. Mes premiers sensibles droits, j'ai été confronté à ces questions. Donc, tout de suite, je suis investi en DSA. Dans tes expériences professionnelles,

  • Speaker #1

    est-ce que ça a été puissant ? Par exemple, lors de la signature de tes contrats, de tes rédactions, par exemple, parce que je sais qu'aujourd'hui, il y a plein de gens qui republier des punchlines, comme on dit. On va dire concrètement comment le droit d'auteur a impacté, on va dire, ou encore a intégré ta vie dans la communauté.

  • Speaker #0

    Probablement. Peut-être que ma première rémunération ou une de mes premières rémunérations, c'est l'anastique de voir un magazine et il était sous droit d'auteur et donc il a rémunéré à ceci. Peut-être que c'est une première rémunération. J'ai peut-être évoqué quelques étudiants avant, mais la première génération, c'est le droit d'auteur. Et j'ai très vite été confronté à ce que tu viennes, parce que j'ai déposé des marques, et donc j'ai très vite protégé des marques. Je suis tout de suite construit dans ma future carrière de communicant, sans avoir la réalité de la stratégie, mais déjà en faisant des bases, en éclairant des marques, en déposant des idées, en déposant des concepts. Donc, j'ai à priori plutôt bien compris cette nécessité. de protéger des idées ou des concepts. Maintenant, pour ce qui est de ce que moi j'ai pris, ça reste plutôt du travail de mon éditeur de protéger mes écrits. Alors, je sais qu'il y a par exemple certains de mes livres qui sont copiés, il y a des faux livres qui circulent dans certains pays, donc il y a des gens qui gagnent de l'argent sur un travail de façon illégale. C'est plutôt la rançon du spectateur. et de voir ça dans le futur, même si c'est un dernier versant, on n'a pas d'intérêt sur les réseaux sociaux, c'est vrai que beaucoup d'entre eux s'en farent de ce que je peux écrire, et je le fais aussi pour ça, je ne le fais jamais en quête de droits d'auteur, je ne peux pas protéger ce que je dis, ce que je veux c'est d'être présent, c'est la partie de la promotion de notre profession, c'est vraiment fait pour réunir les primes, les appropriés, les développes, les reprimes, les colores, de façon différente, peu importe. Voilà, c'est ça. Aujourd'hui, tu as deux entreprises en protection, tu dois en parler. En fait,

  • Speaker #1

    tu n'es pas trop préoccupé par le fait que les gens reprennent tes écrits, ils les commercialisent aussi, comme tu l'as dit, dans certains pays. Ça arrive aujourd'hui. En tant que patron de deux entreprises, je le rappelle, TENCON Paris et COGIGER, comment est-ce que toi et ton équipe, ou encore tes équipes, font, comment est-ce que vous faites pour protéger et garantir les lois d'auteur ? propriété, on va dire plus largement la propriété intellectuelle de vos employés.

  • Speaker #0

    Là, la question, elle est très large et en fait, elle... Elle intègre finalement la dimension de ma vie professionnelle, parce que j'ai toujours été extrêmement attentif à ces questions, mais on va être traité en deux temps. Il y a moi en tant que communicant et client, qui font des prestations intellectuelles, artistiques, et dans ce temps-là, j'ai toujours été hyper vigilant, parce que leur droit sera respecté, et que leur nom figure parfaitement. sur l'organisation, exemple, la multifonction du dépôt de la com, et bien, à la fin de ce dépôt, dans la dernière page, l'agitation de couverture, elle est faite par Joséphine, c'est une de mes collaboratrices, c'est elle qui a dessiné cette couverture, je dois dire, je demande à ce qu'il nous passe de ce travail, qu'il soit bien réglé, et même si elle n'a pas été rémunérée pour le faire, elle est... C'est moi,

  • Speaker #1

    moi, la chef a été respectée.

  • Speaker #0

    D'accord. C'est un peu revanché, c'est rien qui a créé cette adhérention artistique et qui a créé cette couverture magnifique, très déco. Donc ça c'est la même façon, en tant que partenaire d'équipe, quand j'ai bossé dans des grandes entreprises, je me suis dit, avant de faire respecter ces droits-là, je vais beaucoup faire appel à des photographes, en France, par exemple, mais une fois qu'on a une photo, les droits des photographes, on ne s'en préoccupe pas beaucoup. Et souvent les photographes, on peut dire entre 3 et 5 ans de l'utilisation des photos, on le négocie pour un jage particulier, pour la presse, sur les réseaux sociaux. Si on négocie les droits, les raisons commerciales, la photo n'a pas le même prix, on va gagner de l'argent avec la photo, puis il y a une juste organisation qui devrait aussi aller aux photographes. Et puis souvent, au bout de 100 ou 500 ans, les droits sont passés, en fait on ne s'en préoccupe pas et on continue d'utiliser les photos. Donc c'est une photo de parco-mètre de dirigeant, ça rendrait un petit point de reprise, et puis c'est une photo dans l'entreprise suivante dans laquelle il est bon. Mais ça n'a aucun droit sur cette photo, elle n'a pas rémunéré le sort de grâce pour le travail qu'elle utilise. C'est un sujet auquel je suis très attentif, et j'essaye de faire respecter les droits de chacun, que ce soit de la classe artistique, que ce soit une photo, que ce soit du webdesign, que ce soit des photos, je suis très attentif. pour les gens qui me faisaient travailler. Maintenant, la question à la même, une double tripe peut-être, c'est mes collaborateurs au sein de mon équipe, le droit n'a pas été respecté autant qu'il le devrait, mais parce qu'il ne l'est pas du tout de façon générale en France, où il est vrai que souvent on considère que à partir du moment où on est salarié d'une équipe, finalement le travail qu'on produit, Le droit d'auteur, en fait, prévoit des choses, ou la propriété intellectuelle prévoit des choses tout à fait différentes. Elle prévoit aussi notamment qu'on puisse céder ses droits en dépendant d'une rémunération ou d'un salaire. En fait, techniquement, on ne les fait pas. C'est une vraie vigilance qu'il faudrait avoir de faire respecter ses droits. par exemple dans le milieu de la communication, elle se peut rendre. Dans tous les grands temps de travail, il devrait y avoir une séduction des droits. ça serait pas mal avérant, mais en tout cas, ça serait conforme au règles du droit qu'on ne respectait pas. C'est vrai que les collaborateurs, par exemple, qui ont le job d'établisseur politique, ne peuvent que décrire des discours, donc il y a une vraie volonté intellectuelle sur ces discours. Si on considère que sa rémunération ne correspond pas à ce droit, alors à quoi correspond sa rémunération ? Qui ne fait que ça ? Peut-être que oui, c'est simple et normal de céder ces droits d'écriture en échange de sa rémunération. Il faut dire que ce soit accepté, qu'il y ait une trace, et que le droit soit respecté. Et là, on est souvent dans des confrontations de droits qui ne sont pas respectés. La troisième facette, c'est celle de ma situation aujourd'hui, en tant que patron d'agence ou associé d'agence. Il se trouve que nos agences aujourd'hui ne sont que d'associés, il n'y a pas encore de salariés. Et il est vrai qu'on n'est pas capable de faire du travail. Et donc, la valeur qui est créée, c'est une valeur collective, et elle revient à sa carrière humaine, où elle partait devant se poser une question de droit moral. ou de droit de sécurité, de pensée, d'accord, un travail qui serait obtenu par l'air des associés et qui devrait lui renseigner à la collectivité. Ce n'est pas notre accord, mais il est vrai qu'on manque de vigilance et d'attention quand on est tué, parce qu'on méconnaît ce droit. On ne cherche pas à l'éviter nécessairement. Mais c'est souvent par une connaissance, parce que c'est pratique aussi de ne pas bien connaître. Mais voilà, dans cette étude, on va pouvoir en parler un peu plus. Il y a des droits qui existent et il y a un moment où on ne peut pas respecter certains droits et pas tous. Parce qu'on est à l'âge où on n'en respecte aucun, sans respecter la loi. On respecte la loi et la loi. Sur cette critique-là,

  • Speaker #1

    je vous pose la question, parce que dans ton cas, vu que dans tes agences, les lois qui sont créées sont collectives. Est-ce que tu penses que tes collaborateurs, tes associés comme tu les appelles, peuvent un jour décider de reprendre une des créations qui ont été créées dans l'entreprise et de l'utiliser à des fins personnelles, commercialisées ? Déjà,

  • Speaker #0

    si nos professionnels, par exemple, à la mesure, l'ouvreur serait la leur, ils auraient effectivement toutes les utilités à la fin. Je pense qu'on ne pourrait pas venir... C'est un accord moral et de respect entre les autres. Au niveau du corps, on ne parle pas à l'égo. Il faut le reconnaître. Les gens se sont protégés au nom de la danse. Par exemple, les nouveaux. D'ailleurs, on a eu des avances. Le nouveau, il est protégé au nom de la danse. C'est-à-dire, il y avait un sujet, je vous l'ai dit, qu'au début, on a déposé la marque. Et donc, c'est la propriété de la personne. Maintenant, il y a des trois autres qui pourraient être revendiqués comme propriétaires de la personne physique au sein des entreprises. C'est une question de vie. Il y a un manque de vigilance et un manque de respect du droit. Alors, on le voit dans les entreprises. Le jour où, éventuellement, il y a un souci, il faut être parfait. une utilisation à une autre fin que les intérêts de l'entreprise. On peut utiliser un travail pour être actuel. La loi l'a prévu, la loi l'organise. Si on ne fait pas la loi avant, il va falloir aller devant des juridictions pour faire respecter chacun ses droits.

  • Speaker #1

    Simon, dans tes précédentes expériences en campus, collaborateur ou salarié, dans les entreprises où tu as travaillé, est-ce que tu as déjà eu à confronter, soit à être au parti, ou as-tu confronté un problème à un litige lié aux droits de l'hôte ? Est-ce que tu as déjà eu à gérer une telle crise ? Je sais que dans Paris, on gère souvent des crises. Qu'est-ce que ça t'arrive de gérer une telle crise ?

  • Speaker #0

    Sur ces questions, non, ça ne m'est pas souvent arrivé. Je fais deux exemples, mais ça ne m'est pas souvent arrivé. C'est vrai que ça enlève tout le monde plutôt de me dire que c'est pas vrai. c'est un sujet de communication mais qui est une diversité juridique et qui est traité par une direction juridique. Je vais vous donner deux exemples que je veux citer. Je suis professionnel, je le rappelle parce que je viens de le rappeler. C'est une situation de faute de droits, notamment de tirs et dents, qui sont utilisés pendant 10-15 ans dans une, deux, trois, quatre, cinq entreprises, alors que les droits sont élus pour trois ou cinq ans maximum, et seulement dans l'entreprise qui a élu pour arrêter ses droits. Ça a eu un effacement. soit faire du ménage aux entreprises dans lesquelles j'arrivais, ou alors aller faire des cadres qui auraient quitté l'entreprise et leur demander de ne plus utiliser des images pour lesquelles ils n'ont pas le droit. Ça peut aussi arriver d'ailleurs à la place que des journalistes ou des rédactions utilisent des photos qui, au lieu de les demander, vont les chercher sur Google, quand évidemment l'entreprise lui a dit qu'elle est à l'aide, pour leur prendre l'aide, en fait, c'est la seule. Ce mois, au dernier an, on a réussi et ça rend rose. L'autre exemple que j'ai eu à faire, c'est après les élections de l'Union des compétitions d'agence. Une des agences qui n'a pas été retenue, des membres de l'entreprise ont pas eu le droit de l'agence et l'ont fait développer par une autre agence. C'est-à-dire que s'il y avait un plage d'artiste, il y avait vraiment une idée qui avait été volée. et c'était suivant l'entente de la barbu qui a vraiment impliqué les idées et la création de l'avance. Mais voilà, à part ces deux exemples-là, ça m'est quand même très rarement arrivé, mais parce que c'est rarement des émotions de communication qui ont lieu à ce moment-là, ça devient directement un sujet logique.

  • Speaker #1

    Effectivement, parce qu'en fait, c'est vrai que nous, les communicants, on ne nous assigne pas tous les lois de la boucle. propriété intellectuelle ou même les droits d'auteur si certaines choses sont cultivées et je pense que c'est quelque chose qu'on devrait soumettre à l'agentivé. Et ma prochaine question pour toi, c'est, Frédéric, est-ce que tu crois encore dans une réelle existence des droits d'auteur à l'aide des intelligences artificielles génératives, des annonceurs, des agences de communication ou même des communicants dans leur propre communication utilisent à tout bout de champ l'intelligence artificielle pour en fait des œuvres. Est-ce que toi tu crois en une réelle existence ou encore effectivité des lois de l'ordre dans ce cas-là, dans ce circonstance ?

  • Speaker #0

    pendant une grande sélection qui est vraiment celle, qui est vraiment un enjeu d'avenir, mais qui est vraiment celle à laquelle nous sommes placés, pour dire sur le cas d'un d'un homme, oui c'est vrai, la question du droit et de la société éthique est insuffisamment, vers cette heure, insuffisamment enseignée, et du temps, il y a énormément de sujets de droit, donc on n'est pas des juristes, mais on ne peut pas être ignorant de sujets de droit qui nous concernent. Nous sommes supposés contrôler, appliquer, vérifier, pour que vous puissiez être question de droit, et c'est important dans le métier. Je me suis rempli de ces événements de communication, c'était peut-être d'ailleurs, mais je vais avancer dans le temps. Mais les cultures générales de l'HMA, c'est important de voir les français, notamment sous-alimentation organique. Je vais passer à la question concernant l'intelligence artificielle. Je pense que les autorités publiques, dans certains pays en tout cas, s'occupent de cette question. C'est à qui va faire la production de l'intelligence artificielle ? Est-ce que le fait d'avoir cette compétence de la requête qui fait qu'une œuvre originale sort, et qu'elle est liée à la compétence de la requête, donc quelque part, elle appartiendrait à celui ou celle qui a fait la requête ? Personnellement, je ne crois pas que ça appartienne. La production qui sort appartient bien à la machine qui l'a produite, mais cette machine elle-même ne sait rien d'elle-même, elle sait qu'elle est cachée des informations qu'elle compile, qu'elle rassemble. Donc il y a une énorme question autour de la propriété, effectivement, et des droits qui se posent, et on ne sait pas qui sera capable de la régler. Alors aujourd'hui, on avance un peu, et on fait comme si rien n'était. à un moment ou à un autre, une personne va organiser un logiciel. Ce sont d'ailleurs des jurisprudences qui vont permettre de construire le droit plutôt que des lois ou un gouvernement. Et peut-être qu'à un moment ou à un autre, une personne va avoir le soutien. Une production d'issue d'une intelligence artificielle, ça vient à l'origine d'une illustration, d'un texte qui a été produit par cette personne. Et peut-être que ça permet de commencer à écrire une forme de droit, mais je ne sais pas, c'est très compliqué. compliqué à mettre en oeuvre dans nos vies parce que c'est une telle dimension globale, dans le sens mondial, et surtout les idées partout, comme tous les réseaux, en fait, sont tous une intelligence très capable de découvrir. Si on prend l'intelligence artificielle de Twitter X, qui ressort de toutes les données, au minimum toutes les données qui sont sur Twitter, comment on va les chercher ? Comment d'abord celui qui le produit, comment peut-il savoir si c'est une recomposition ou de la contécoïde, ou quelque chose qui a été... c'est à peu près impossible à dédié, même de bonne foi, on ne peut pas citer quelqu'un ou imaginer que j'ai le droit à avoir quelque chose, ça a certainement un rôle là, donc c'est un sujet extrêmement vaste qui va être un enjeu pour les communicants, et peut-être que ce sera aussi une raison de ne pas utiliser des ressources artificielles pour échapper à des risques, ou alors d'agiter, de valoriser le fait que quelque chose a été produit par de l'intelligence artificielle, au minimum, ce n'est pas une bonne forme.

  • Speaker #1

    Je pense que, en fait, ce que tu as dit tout à l'heure, il y a certains pays, comme tu l'as dit, comme les États-Unis, où ils commencent vraiment à réfléchir sur le sujet. Il y a eu pas mal de poussées pour dire qu'il y a des pays qui commencent quand même à penser au sujet. Je ne sais pas si en France ça va se faire, mais il y a certains pays. personnellement qui suis haïtienne, c'est ma plus grande inquiétude parce qu'il y a des pays où le cadre juridique est inexistant déjà. Donc, avec cette évolution, l'expansion des intérêts sociétals, je pense que ça va être un peu plus difficile encore et d'où la inquiétude que je pose à cette question de l'utilisation de l'IA pour créer alors que, comme tu l'as dit, c'est vraiment un assemblage d'idées qui a été repris. Et ça,

  • Speaker #0

    c'est compliqué. L'exemple que tu as est fabuleux. C'est celui de la voix. Moi, je travaille moi-même à rester, de faire des podcasts, entre toutes les lunes. toi ça m'a pas mal mais d'excellents fils des tribunes sur les orages et le fait probablement bien du coup alors que je pourrais faire des productions mais là c'est moi qui ai utilisé la voix la production de la voix avec une mécontentue mais si vous êtes une chose avec marga mais pour lui à l'autre si utiliser ou si quelqu'un d'autre disait le contenu avec sa robe, on pourrait rester trop stupendieux. Et de la même façon que tu évoques le soir, il y a aussi celui-là. Tellement, tellement de photos instrayables, souvent des photos d'infantilité, des papes qui étaient lucides, un président d'État qui serait arrêté par la police et qui est en prison, des situations qui peuvent être inappropriées, qui peuvent être dégradantes, qui peuvent être humiliantes, qui peuvent même être sympas et drôles, mais en tout cas à l'encontre des gens qui... qui n'ont pas envie de se montrer nécessairement. Et si c'est clair, par exemple, le dessiner une personne, le droit, c'est plus le droit à l'image de la personne. En tout cas, si je te dessine dans une situation, c'est pas ton droit à l'image qui vaut, c'est mon droit au dessin qui prévaut. T'as rien à dire. Sinon, si je prends ta photo et que là, ton droit à l'image est... Tu peux s'arrêter. Tu peux le revendiquer. C'est plus moi qui peux dire, tu peux prétendre que c'est une création photographique ou artistique, là j'ai utilisé ton ouvrage sans t'être chier de toi. Donc avec cette intelligence artificielle, à mêler à de l'intelligence réelle, on peut dire que c'est une création extraordinaire. Mais au niveau de certains droits, notamment celui d'Iva, c'est la propriété. Une question où il n'y a pas encore beaucoup de réponse. En fait,

  • Speaker #1

    toutes ces images-là dont tu colles, on les appelle les deepfakes. C'est vraiment des personnes qui viennent dans des situations dans lesquelles ils n'ont pas su retrouver un livre.

  • Speaker #0

    Oui. C'est ça. Pourquoi ? Parce que vraiment, il n'y a pas nécessairement des grammes. Parfois, le bac, il n'y a pas forcément envie de se voir en mêlant dans une piscine. Donc, une boucle à l'art autour de la taille, c'est pour quelqu'un d'aïe, c'est de sortir. Et c'est aussi par rapport à son histoire,

  • Speaker #1

    par rapport à sa religion, par rapport à ses pensions. Ce qui peut être très sympa pour un enfant, pour un type, moi, qui est mort en plus, c'est vraiment le bon moment.

  • Speaker #2

    Donc le respect à rencontre, on va dire, parce que quand on parle du respect de la route privée, de l'image, il y a le principe du respect aussi qui est mis en avant.

  • Speaker #0

    Que tu utilises ce mot et qu'il rebondit avec ce qu'on a dit en introduction, c'est aussi une question d'éthique.

  • Speaker #1

    et l'éthique c'est en premier place.

  • Speaker #2

    Depuis que tout ce que je viens de dire, c'est des choses là, comment on peut faire pour que les entreprises prennent en compte l'existence et rendent effectif le droit d'auteur des collaborateurs et comment aussi alerter on va dire, parce que le mot il est juste informé, ça serait beaucoup trop simple. les collaborateurs, les salariés, les communicants, leur salarier pour leur dire, ben voilà, vous avez des lois d'auteur, vous avez des... En fait, quand vous créez des choses, quand vous créez une image, quand vous faites du motion design, quand vous êtes UX designer, ben vous détenez en fait des lois sur vos créations. Comment leur faire savoir cette notion ? qui nous est très chère et qui est rémunérable en fait, si je peux utiliser un mot comme ça.

  • Speaker #1

    C'est une valeur, c'est un travail et un travail,

  • Speaker #0

    c'est une valeur qui doit être rémunérée.

  • Speaker #1

    Je pense, dans le défendre, parce que je vais gagner par l'idée de ma réponse, mais peut-être que des personnes comme toi ou comme moi parlons de ce sujet, favorisons la circulation de l'information et donc de ne pas la faire. C'est pour ça que je voulais vraiment merci, merci pour ce sujet. Merci. Tu as cité une de mes phrases de mon livre, et c'est là que je suis sur lesquelles j'interviens ce jour. On peut vraiment intervenir. Le seul fait de participer à ce podcast et de savoir comment le promouvoir après, ça permet de partager ces informations et d'interroger les consciences sur ces questions.

  • Speaker #0

    Je pense que la responsabilité des entreprises est énorme. Les entreprises s'affichent de plus en plus comme voulant être responsables.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que c'est bien de montrer... et le droit dans toutes ces dimensions, dans tous les sens, c'est pour que le droit de ces salariés, les DRA qui l'ont en prise, devraient être bien plus gigantes, bien plus informatifs, bien plus clairvoyants aussi pour permettre à leurs salariés d'en être informés. Je pense que c'est une des compétences des biens comme, donc la personne qui dirige la communication dans l'organisation, va devoir intégrer ces données, pas seulement... faire dans le passé de façon insuffisante, vraiment, c'est vraiment incroyable parce que c'est vraiment sincère, pas seulement pour la protection des pièces à terre qu'elle fait travailler, etc., parce que tout le monde les fait pas, mais c'est pas suffisant, et aussi l'invention interne et collaborative de ces équipes dont il faut tenir compte, ça c'est vraiment, ça fait partie de la compétence des dirigeants de la communication, ils ne doivent pas nous éviter. Après, c'est une aide aussi formidable. pour mettre à l'honneur nos métiers et de promouvoir notre professionnalisme. C'est une dimension professionnelle supplémentaire pour montrer que la communication, c'est la réalité, pour montrer que le droit est communiqué. Communiquer, c'est produire de l'intelligence, que la communication, c'est produire de la valeur, et que celle-là, elle se régulère, et que si elle ne se régulère pas, elle est régulée par la loi, et il y a aussi des conséquences et des risques pour un concours. Tout à part, si vous voulez, la valorisation, la professionnalisation de la communication. et autour au rebond de cette idée de la communauté métier.

  • Speaker #2

    La communauté métier, on est bien d'accord sur cette note. Je te remercie Frédéric Souselat d'avoir accepté de participer à Producteur et merci de me permettre de traiter en fait de ce sujet.

  • Speaker #0

    C'est moi qui te remercie encore une fois. Merci pour ta confiance et pour ton invitation.

  • Speaker #1

    Très heureux d'avoir pu partager mon expérience et ma vision d'un sujet. Je ne sais pas si vous avez été au monde de ce domaine.

  • Speaker #3

    Merci à chacun de vous d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode autour du droit d'auteur dans l'écosystème de la communication. S'il vous a plu, n'hésitez pas à le partager autour de vous et à le noter 5 étoiles sur la plateforme sur laquelle vous êtes en train de l'écouter. Vous trouverez également le lien de... tous les profils de Frédéric Fougera dans la description de cet épisode. Et je vous rappelle, ce dernier est réalisé en partenariat avec Master Studio. Je vous retrouve prochainement pour un prochain épisode.

  • Speaker #4

    Merci.

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