Speaker #0Cette fois, ça y est, la saison MotoGP est officiellement ouverte. L'attente a été longue pour le premier week-end de MotoGP. Le Grand Prix de Thaïlande, qui est maintenant déjà derrière nous. C'est le moment de débriefer. Point de corde, le podcast MotoGP. Bienvenue pour ce nouveau podcast, je suis ravi de vous accueillir, continuez à vous abonner, ça me fait énormément plaisir. Sur YouTube vous êtes de plus en plus nombreux, il y a le pouce bleu, c'est con, je sais c'est un truc d'influenceur mais n'empêche ça m'aide énormément à faire découvrir mes vidéos donc je vous le demande. Les étoiles, ça c'est... et pour les plateformes de podcast audio, vous savez, les évaluations, si vous me donnez la note maximum, il y a énormément de personnes qui pourront rejoindre la communauté et me permettre de proposer de nouveaux épisodes. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Abonnez-vous également là-bas pour recevrez une notif avec les nouveaux épisodes. J'en profite pour remercier ceux qui ont été nombreux à réagir au premier épisode MotoGP Legends sur Casey Stoner. Il y en a un autre, du coup, qui va se préparer pour très bientôt. Et j'aurai une grosse nouvelle au mois d'avril. Vous le saviez, je préparais un premier interview, premier format interview. C'est un pilote belge qui va se trouver en face de moi. Et donc, je peux vous annoncer que tout ça, ça arrive pour le mois d'avril. Bon, en attendant, on passe au sommaire. Le sommaire du jour, le premier rendez-vous de la saison en Thaïlande, le premier week-end de course, on va y revenir. On attendait Marc Marquez, on a eu Marc Marquez. Et on va s'intéresser également aux surprises de cette première course, ceux qu'on attendait pas forcément là et on a eu. Des déceptions aussi, forcément. Il y en a qui sont un peu entre les deux. On va faire un premier point, évidemment, avant de retrouver la prochaine épreuve déjà. Ce sera en Argentine. Première chose qu'on peut dire, c'est que ce week-end n'était pas vraiment passionnant. Domination totale pour Ducati, comme attendu, en particulier pour Marc Marquez. Ça, on l'imaginait, mais à ce point-là, peut-être pas. On espérait voir un premier duel Marquez-Bagnaya, ou même avec d'autres pilotes. Ce duel n'a pas eu lieu. D'ailleurs, le sprint... Bon. On peut commencer par le dire, je n'ai pas grand-chose à vous raconter sur ce qui se passait devant au sprint avec le super départ des frères Marquez. Bagnaglia, qui au début de course, voilà, était derrière, mais plus lent d'une demi-seconde. De ce côté-là, ça nous fait peu de choses intéressantes à analyser, mais c'est derrière. Derrière qu'on a eu Ayogura, quatrième dès les premiers tours. Il va non seulement tenir bon, mais mettre la pression sur Pecco Bagnaglia. Pour un rookie, personne ne s'y attendait. Et justement, on va faire un zoom sur la performance d'Ayogura. Ça mérite sincèrement une petite attention. L'an dernier, Pedro Acosta avait fait la sensation en début de saison. Personne ne voyait un rookie faire mieux. Finalement, cette année, on a eu mieux, en tout cas sur cette première course, puisqu'Ogura a fait ce week-end non seulement une meilleure qualif qu'Acosta l'an dernier, quatrième ensuite au sprint et cinquième en course. Il est aussi la meilleure Aprilia sur la grille. Bagnaglia a d'ailleurs été tout surpris après la course sprint de voir Ogura derrière lui et d'avoir senti la pression. On aurait tort, je trouve, de ne pas lui accorder du crédit à ce jeune pilote. Il a un truc, on le voyait déjà en Moto2. Et sincèrement, ça permet aussi une autre chose, c'est d'être optimiste pour Aprilia. On aurait tellement voulu voir le champion du monde sur cette machine. Ça aurait pu d'ailleurs changer non seulement le sprint, mais aussi la course. Une autre surprise que j'ai bien aimée, c'est celle de Jack Miller. Retour chez Pramac, un environnement qu'il connaît bien. Il y a roulé avec Ducati à l'époque, mais la moto, là, il ne la connaît pas. C'est un Yamaha, il la découvre. Et Miller était plutôt... Positif, on va le dire comme ça, avec une moto qui a une belle base, parlant d'ailleurs même de se poser la question d'abandonner l'idée d'un moteur en V4 pour le 4 cylindres en ligne, qui est très bien selon lui. Il est passé par la Q1, il se qualifie ensuite 4ème derrière le trio Ducati, à 3 dixièmes du leader, donc ça vraiment, c'est clairement le point positif. Il fait un bon sprint jusqu'à la chute, voilà. malheureusement un peu habituel pour Jack Miller. Mais là, on a une autre info, celle de l'interview de Jack Miller après la course, qui admet avoir trop forcé, mais surtout, il a ignoré les nombreuses alertes de sa moto qui lui signalaient un petit problème au niveau de l'adhérence. Après, ce n'est pas étonnant qu'il l'ait ignorée, puisque sur beaucoup de motos, il y a eu ces alertes avec les conditions là-bas. La piste était très chaude, donc ce n'est pas vraiment surprenant. Bref, chute en sprint pour Jack Miller. La course, il fait un début excellent. La fin est plus compliquée, il perd en rythme. et se retrouve 11e, mais ça reste un très bon premier résultat, meilleur Yamaha. Et sincèrement, on demande à revoir des choses du côté de Miller, parce qu'on ne s'attendait peut-être pas à le voir performer de cette façon. Il y aura peut-être d'ailleurs quelque chose à faire pour Fabio Quartararo, aller observer les données, les datas de Jack Miller, pour comprendre comment Jack Miller a fait en début de course pour avoir un tel rythme, là où Quartararo était un peu dans les choux, on y reviendra. Une autre bonne note, et c'est une confirmation par rapport au test de pré-saison, Morbidelli, sixième au sprint, quatrième en course, on va le suivre en Argentine. Bedzecki aussi, après un sprint un peu décevant, se retrouvait à la sixième place en course. C'est plutôt intéressant à voir aussi. Mais bon, quand même, sept secondes de la tête et en plus surpassé par un rookie. Donc Bedze a un peu expliqué ce qui s'est passé après la course. Son pneu avant qui montait fortement en température, c'est un problème qu'ont eu beaucoup de pilotes. Il a quasiment... toujours été derrière une autre moto. Ça a bien été son problème puisque la chaleur était forcément importante et difficile à gérer, non seulement physiquement, mais aussi pour la gestion de son pneu avant. Il a eu lui aussi des alertes constamment sur son tableau de bord et ça l'a un peu distrait. Une info intéressante, c'est qu'il explique avoir en présaison fait peu de tours rapides pour tester des choses. Son but, ça va être d'améliorer la possibilité de faire un tour rapide. Pourquoi ? Pour aller se qualifier mieux. et démarrer en s'accrochant au groupe de tête. Là, on pourrait voir de meilleures performances pour lui. Une autre bonne note, celle de Joan Mir avec la Honda qui confirme sa progression. Mir allait directement en Q2, 11e place sur la grille de départ et 9e au sprint, où il a montré de belles choses, c'était intéressant. Il termine à 15 secondes de Marc Marquez, c'est dire s'il reste du travail, mais en course, il va être bluffant à nouveau, dans le rythme, et 7e au moment malheureusement de chuter. On a une explication qui a été donnée par Johan Meir, il aurait été déconcentré par une brûlure à la jambe, brûlure assez sérieuse. Et ce n'est pas le seul pilote à s'être plaint des brûlures, notamment et des conditions là-bas à Buriram. La Honda apparemment chauffait particulièrement fort et ça a été donc compliqué. On a vu une photo d'ailleurs de Alex Rins qui lui était brûlé à l'intérieur de la cuisse. Au sprint aussi, Didier Nantonio lui a carrément quitté la piste et abandonné, brûlé aux mains, aux jambes et même au cou. On se rend compte que les conditions étaient vraiment compliquées. Et là, DJI n'ayant plus aucune chance de prendre des points, il a décidé de quitter la piste. Une autre satisfaction chez Honda, c'est Johan Zarco. Arrivé directement en Q2, on ne s'y attendait pas. On savait que ça allait un peu mieux, mais voilà. Qualifié 12e, il va terminer le sprint juste derrière les points. Dommage, mais en course, ça va être beaucoup mieux. 7e place au classement final. Un tour de plus, sincèrement, je pense qu'il pouvait aller chercher la 6e place. Mais comme beaucoup de... de pilote, il a admis avoir eu très peur de craquer avec le rythme et la chaleur. Donc il a joué la gestion. Après 10 premiers tours compliqués, il a fait une super fin de course. Donc c'est une stratégie à l'intelligence qui, quand ça lui a permis de retrouver un peu de vitesse et un peu de forme par rapport aux autres pilotes, lui a permis également de faire une belle remontée. Zarco fait là son meilleur résultat avec Honda et il est dans ses objectifs. On est moins à la fête du côté de l'autre français, Fabio Quartararo, qui pourtant avait bien commencé dans le rythme et directement en Q2. On était optimiste, qualifié dixième. Le sprint était correct, intéressant, avec une septième place. Sincèrement, l'an dernier, on s'en serait souvent contenté. Mais malgré tout ça, le week-end a été compliqué pour Quartararo, qui avait déjà, lors des tests hivernaux à Buriram, parlé de problèmes avec le pneu avant. Ça a continué tout ce week-end. Pas de solution trouvée et en course, en plus de ça, le pneu arrière. a aussi commencé à poser problème, ce qui fait que cette course devient une course à oublier. On a rapidement vu le pilote français à la 19ème place, il va remonter jusqu'à la 15ème, bon c'est un petit point, mais voilà, j'ai la déclaration d'ailleurs de Fabio Quartararo, je vous la lis, clairement dans les premiers tours on avait vraiment du mal avec le pneu arrière, le pneu avant on le savait, mais on ne pensait pas que ça allait être aussi compliqué avec le pneu arrière. Dès le tour de chauffe, on avait un peu la stratégie de le chauffer, de le pousser dès le début, mais je n'arrivais même pas à tourner pendant deux ou trois tours, c'était assez difficile. On comprend que Fabio Quartararo a vécu un peu l'enfer dans cette course de Burera. Un peu plus décevant selon moi, la performance de Pedro Acosta, pourtant pas si mal à la base, qualifié 7e au sprint 6e, avec une belle bagarre entre coéquipiers avec Brad Binder. La course, un peu dommage, Acosta chute dès le 4e tour alors qu'il était 9e. mais on sentait que ça ne fonctionnait pas. Acosta voudrait mieux comprendre la moto, il attend les datas, parce qu'au niveau des pneus, jamais on n'arrive à amener ces pneus dans une fenêtre qui permet de les faire fonctionner de façon optimale. Binder, de son côté, finit 8e. Bon, KTM doit proposer mieux. De son côté, lui, Binder regrettait son choix de pneus, mais terminait sur une note positive en étant satisfait du résultat dans des conditions un peu difficiles. Mais c'est clair qu'on a vu KTM se chercher, donc voilà, au revoir. Côté de Peko Bagnaya, j'ai envie de dire quand même petite déception, alors pas spécialement de déception de Bagnaya, mais plutôt du fait qu'on n'a pas eu le duel espéré entre Marquez et Bagnaya. Marquez était au-dessus, Peko au langage corporel semblait résigné. Je ne pense pas qu'il soit résigné. Je pense qu'au test hivernaux, ici à Bourirame, il avait compris que c'était compliqué. Que du coup, le constat, c'était que ça restait compliqué ici dans ce week-end de course et que plutôt que de forcer, il a, je pense, assuré, en espérant trouver des solutions pour retrouver le rythme de Marquez dans les prochains week-ends de course, ce qui serait assez intelligent de sa part, plutôt que d'aller perdre des points en essayant de surpiloter. Bon, il était réaliste, je vous lis la déclaration de Pecco. J'ai essayé, mais j'étais comme au cinéma, j'étais là derrière, j'ai essayé de les rattraper et je n'ai pas pu. Il y a eu cet incident aussi plus tôt dans le week-end, forcément, il faut que je fasse une parenthèse là-dessus, Bagnaglia qui a dû passer par la Q1. C'est un peu injuste. Alors d'abord, il a été gêné par Morbidelli pendant son tour rapide. On ne va rien dire sur cette mauvaise habitude de Morbidelli. Mais ce n'est pas le plus grave. En fait, le problème, c'est que Bagnaia a été victime d'un cafouillage de drapeau jaune dans son tour, le tour qu'il qualifiait pour la Q2. Ce tour a donc été annulé, alors que la direction de course a ensuite avoué que c'était une erreur humaine. Sauf que le problème, c'est que dans le règlement, rien ne permet, malgré l'erreur humaine, de valider. Le tour rapide de Peko Banyaya. Du coup, ce tour est annulé et il passe par la Q1 de façon… Voilà, c'est injuste, donc je pense que tout le monde sera d'accord qu'il y a quelque chose à faire. Je ne sais pas, on peut changer peut-être cette règle d'une façon ou d'une autre. Il va y avoir une exception qui peut être créée parce que là, clairement, ce qui aurait dû se passer, c'est que ce tour soit finalement validé par la direction de course. C'est un peu rigolo. En termes de résultats, je ne pense pas que ça aurait changé énormément la course. Marquez était au-dessus. La question maintenant, est-ce que Pecco va avoir du répondant ? Est-ce qu'il va aussi trouver des solutions ? Parce que c'est sûr qu'on va travailler dans ce sens-là. Il va falloir réagir très vite, parce que sinon, cette saison, pour nous, risque de devenir d'un ennui mortel. Je veux dire, qu'on soit fan de Marquez ou non, d'ailleurs. Ce sera beau de le voir gagner, mais s'il part devant et qu'il ne se passe rien, ce n'est pas vraiment ce qu'on veut. Pour terminer, vous vous en doutez. On va rester chez Ducati. Ils ont un peu fait course ensemble, donc je vais en parler en duo. Les frères Marquez, Alex qui confirme sa forme hivernale, très bien. Très bien, signant la première position sur la grille. Super sprint d'Alex Marquez qui finit second. Il n'aurait pas pu jouer la victoire, mais un très bon second. Et puis en course, il a remis ça. Et puis les circonstances ont fait qu'il a même mené une grosse partie de la course, sans regret à l'arrivée, puisqu'Alex Marquez disait avoir trop détérioré son pneu arrière pour finalement suivre Marc. après son dépassement. Bref, pour lui, c'était le week-end parfait à Peuchot Sprint. Autre week-end absolument parfait, c'est celui de Marc Marquez. Il a survolé le sprint, la course également. Je vais éviter les détails inutiles. On va tout de suite aller sur ce moment étonnant qu'on a vu, en se demandant, mais tiens, qu'est-ce qui peut se passer ? On a cru un problème. Marquez se relève, perd de la vitesse et laisse passer son frère. Rapidement, on comprend que c'est ce qu'on a déjà vu, la gestion de la pression du pneu avant. Pour ceux qui ne le comprendraient pas, en fait, c'est... C'est très simple. La pression du pneu avant, il y a un minimum à respecter pour 60% de la course. Je pense que de mémoire, c'est 1.8 à vérifier. Si ce n'est pas le cas, il y a une sanction qui est attribuée et on parle de 16 secondes. Autant dire qu'avec 16 secondes, la course est ruinée. En étant devant, Marquez avait un pneu qui chauffait forcément moins. Du coup, la pression a baissé et un témoin s'est allumé sur sa moto, ce qui l'exposait à cette fameuse sanction. Donc, la décision tombe, il va laisser passer son frère et en se trouvant... Derrière la moto d'Alex Marquez, il bénéficie de l'air chaud tout simplement et là le pneu va remonter en pression. C'est un risque quand même, on était à Bourg-et-Rame, il faisait extrêmement chaud, les pilotes se sont plaints. Pour la condition physique, c'est extrême. Rester dans le feu de la moto précédente par 36 degrés, Marquez l'a fait, c'est-à-dire la forme qu'il a en ce moment. Et puis, un brin de réussite, il en faut dans les bons moments. La réussite, c'est qu'Alex Marquez devant lui avait un bon rythme, ce qui a permis de... de ne pas voir Peco Bagnaia revenir pour là peut-être tenter quelque chose. Marquez était ravi, premier week-end en rouge, et pour lui ça fait taire ce qui remettait en question le chouette Ducati. Les conclusions de ce premier week-end, Marquez est le grand favori, on n'a aucun doute là-dessus. Son frère est dans le rythme, donc il va falloir voir s'il va le garder au fur et à mesure des semaines, ce qui va compliquer la tâche de Peco Bagnaia, puisqu'on l'a vu, les Marquez roulent quasiment en équipe. Donc Bagnaia lui va devoir répondre rapidement, si ce n'est pas le cas. Marquez va vite se trouver intouchable la bonne surprise à Yogura évidemment on va le suivre ce pilote autre bonne surprise pour moi c'est Aprilia on en a peu parlé finalement, je trouve qu'on peut être optimiste, la moto semble bien fonctionner et on sait qu'elle va encore s'améliorer on peut avoir des regrets d'ailleurs Roger Martin sur cette machine c'est peut-être lui qui serait venu embêter Marc Marquez KTM, de son côté, doit régler des problèmes d'usure de pneus pour pouvoir espérer mieux. Et Acosta, lui, va devoir rester sur sa moto. On a hâte de voir la suite pour Honda aussi, avec ce petit mieux intéressant. Et puis Miller, qui lui a montré que la Yamaha pouvait avoir du rythme. On va suivre ça de très près. Pour terminer, je dirais seulement de ne pas vendre trop vite le championnat à Marc Marquez, intouchable. Il y a encore des ajustements d'ici le retour en Europe. Si Marquez garde cette domination quand on va arriver en Europe, là, je pense que les autres pourront s'inquiéter. Mais pour l'instant, on n'a vécu qu'une seule course. Bagnaglia peut revenir, on peut trouver des solutions. Aprilia peut être dans le coup et trouver là aussi des solutions. D'ici le prochain rendez-vous déjà, ça se passera en Argentine du 14 au 16 mars à Termas del Riondo. qui était annulée l'an dernier à cause du climat politique et réduction des coûts. Ça ne permettait pas d'assurer la bonne organisation de l'épreuve. C'est ce qui avait été communiqué à ce moment-là. Bon, c'est étonnant parce que le climat politique n'a pas exactement changé et la course aura bien lieu sur ce très beau circuit argentin. Et on se donne rendez-vous là-bas. Voilà, je vous laisse avec cette question si vous voulez répondre dans les commentaires. Pensez-vous que Peco Bagnaia a la capacité de répondre à Marc Marquez, ce qui me semble être la question essentielle pour les... prochaine semaine de course MotoGP. En attendant, merci d'avoir suivi cet épisode jusqu'au bout. Continuez à vous abonner, le pouce bleu et évidemment les évaluations si vous écoutez sur les plateformes de podcast audio. Si vous me donnez la note de 5 étoiles, ça me permet d'être suggéré à de nouvelles personnes qui, comme vous, rejoindront la communauté Pointe-Corde. A bientôt ! Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pointe-Corde. Pour ne pas manquer le suivant, abonnez-vous dès maintenant ! Pointe corde sur YouTube et toutes les plateformes de podcast audio. Spotify, Apple Podcasts, Deezer et encore bien d'autres. Suivez également Pointe corde sur les réseaux sociaux, Instagram et Facebook.