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Positive - Fertilité, émotions, PMA

144. Ce que ton médecin ne regarde PAS… et qui pourrait pourtant tout changer pour ta fertilité

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25min |08/10/2025
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Description

Dans cet épisode, je te dévoile 5 zones souvent ignorées par les bilans classiques : inflammation silencieuse, homocystéine, thyroïde, microbiote et cortisol.


Tu vas découvrir pourquoi “normal” n’est pas toujours “optimal” pour concevoir, comment interpréter autrement tes analyses, et surtout par où commencer pour reprendre le pouvoir sur ta fertilité.


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent comprendre les vraies clés de leur fertilité.


Découvre Honae, ce lieu d’exception en Belgique, où mes consultations en présentiel transforment des parcours entiers : clique ici pour réserver ton créneau avec moi


💡 Les autres accompagnements :

➡️ Le Cercle 

➡️ Programme d'accompagnement Fertility

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour ! Hello, c'est Mya de Positive Mind Attitude, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui c'est un épisode de... j'aurais presque envie de dire un peu coup de gueule quand même. Alors, tu me connais, tu sais que je suis relativement sans filtre, dans le sens où j'ai envie de te dire en fait ce que tu as besoin d'entendre et pas uniquement ce que tu aurais envie d'entendre. Et donc pour moi, c'est important aussi de pouvoir oser mettre les pieds dans le plat. Cet épisode est consécutif à plusieurs consultations que j'ai pu avoir au centre Onae, comme tu le sais. Je reçois des femmes et des couples, parce que c'est encore mieux si on vient en couple, en présentiel au sein de la première maison de fertilité qui a ouvert ses portes en Belgique, à Waterloo. Mais c'est aussi évidemment quelque chose que je vois très régulièrement dans ma pratique avec des accompagnements en visio. Mais c'est vrai que là, comme c'était du présentiel, ça m'a encore plus marquée. J'avais quand même vraiment envie de mettre les pieds dans le plat avec toi aujourd'hui et je pense que ça te sera vraiment plus qu'utile. En fait, si tu as déjà entendu des phrases qui ont quelque chose comme « tout est normal » , « il n'y a rien d'inquiétant » , « vos analyses sont bonnes » , « tout est correct » , etc. En réalité, cet épisode est vraiment pour toi. Même si on ne t'a pas dit ça, il est quand même pour toi, donc écoute-le jusqu'au bout parce qu'il est vraiment très important. Pourquoi ? Parce qu'en réalité, je vois en permanence, et ça c'est toutes les semaines et c'est même du quotidien, j'ai reçu des messages de femmes qui me disent « on m'a dit que mes analyses étaient ok, on m'a dit que de ce côté-là tout va bien, mais pourtant ça ne marche toujours pas » . Et c'est tout à fait normal évidemment de se poser la question, tu vois, parce que nous en tout cas on fait énormément de prises de sang en tant que femmes, enfin voilà, je veux dire, on fait beaucoup de prises de sang, on fait... beaucoup de rendez-vous médicaux, etc. Et finalement, tu n'obtiens pas ou très peu de réponses et je sais à quel point c'est hyper frustrant. Donc aujourd'hui, j'avais envie de te partager cinq zones, je sais presque on va dire aveugles, que la médecine classique ne regarde pas ou vraiment très très peu ou de manière très superficielle et qui pourtant pourraient faire toute la différence dans ton parcours. Et comme je te le disais, si je te parle de ça, c'est parce que ce sont encore une fois des choses que j'ai vues en consultation. Et où je me suis dit, mais non, on ne peut plus, tu vois, quand on a des personnes qui ont X, c'est même pas X mois, mais dans leur cas, c'était X années de parcours. Et je me dis, mais on ne leur a pas posé la question. On n'a pas été vérifié plus loin. Ce n'est pas possible parce qu'on leur fait vraiment perdre un temps précieux. Et je te laisse imaginer, évidemment, la détresse émotionnelle dans laquelle ça peut nous plonger. Je dis nous parce que j'ai aussi été dans ce cas-là. Et donc, je sais, en étant évidemment aujourd'hui de l'autre côté. Ce que c'est et à quel point on peut évidemment faire gagner un temps précieux. Donc la toute première chose, j'espère que tu es prête et n'hésite pas à mettre sur pause et à réécouter plusieurs fois parce que c'est vraiment un épisode qui est plus qu'important. Donc j'en ai déjà parlé plusieurs fois mais je le redis parce que c'est vraiment important et je veux que tu intègres cette notion là. Ce qui est important c'est d'éviter de tomber dans le piège du tout est normal. Parce que déjà, il faut comprendre que normal, ce n'est absolument pas synonyme d'optimal. Ce sont deux choses différentes. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la médecine conventionnelle telle que tu la connais, elle vit surtout à, en gros, dépister des pathologies, d'accord ? Mais elle n'est pas là pour optimiser la fertilité. Ce sont deux choses complètement différentes. Ça veut dire que tu peux très bien, par exemple, avoir une TSH. Allez, je prends juste l'exemple de la TSH. Tu peux avoir une TSH qui est dans les clous. et qui serait par exemple à 3,8. Mais en réalité, on te dirait que la TSH est dans les clous. Mais en réalité, si on cherche à concevoir, idéalement, il vaut mieux être en dessous de 2,5, voire même dans l'idéal. En tout cas, moi, c'est ce que je recommande parce que c'est issu de la médecine fonctionnelle, qui est une médecine différente de la médecine telle que toi tu la connais. La médecine fonctionnelle va plutôt préconiser des normes qui tournent autour de 1.5. Donc tu vois que finalement tu vas être dans la norme à 3.8, mais en réalité on n'est pas du tout sur des valeurs optimales de santé, ça n'a rien à voir. Donc c'est hyper important de ne pas te fier à ce tout est normal, d'accord ? C'est pareil pour ta vitamine D. L'immense majorité des normes labo te disent que, en gros, si tu es autour de 30, tu es dans la norme. Mais encore une fois, on est en période de préconception. Donc la norme ne vaut rien. Mais j'ai même envie de te dire que, même en dehors de la période de préconception, si tu cherches des valeurs optimales de santé, la norme ne vaut rien. Donc clairement, quand on est dans ton cas, qu'on cherche évidemment à avoir des valeurs optimales de santé, eh bien, il vaut mieux plutôt viser les 70, alors 70 ou 70, je ne sais pas d'où tu m'écoutes, entre, on va dire, je vais mettre à peu près tout le monde d'accord, ah non, j'allais dire 80, mais non, même si je dis 80, les Suisses vont dire 80, mais bon, bref, tu comprends, dans l'idée, c'est de te dire qu'il vaut mieux être entre 70 et 90, ça, c'est vraiment les normes en termes de vitamine D, et c'est... pas du tout des normes qui vont être préconisées par les médecins traditionnels. Donc c'est vraiment important de garder en tête que le but, ce n'est pas d'être dans la norme, mais bien de viser des valeurs optimales de santé. Et en fait, c'est vraiment quelque part ce qui piège énormément de femmes, parce que finalement, dans leurs analyses, on leur dit tout va bien, alors qu'en réalité, les taux ne sont pas du tout optimaux pour concevoir. Et donc ça, c'est vraiment quelque chose où je me dis, Ah non, il faut sortir absolument des valeurs. normes, des valeurs labo, si tu veux, pour vraiment mettre le focus sur des valeurs optimales de santé. Donc ça, c'est vraiment déjà une première chose. Ensuite, ce que j'ai envie de te partager, c'est qu'il y a des zones de manière générale. Là, c'était un petit peu une sorte de mise en garde générique pour te dire, attention, les normes labo, j'en ai déjà parlé, mais on n'y fait pas attention. Ensuite, pour moi, il y a cinq zones, vraiment. dans lesquelles la médecine telle que tu la connais ne s'aventure pas énormément, alors que ça peut vraiment faire toute la différence. Les cinq zones, en fait, je te les donne parce que ce sont les zones sur lesquelles je travaille le plus. Pourquoi je travaille le plus là-dessus ? Tout simplement parce que c'est ce que je rencontre au quotidien, c'est ce qui est vraiment le plus fréquent et qui peut vraiment poser de grosses difficultés, alors que c'est pas... toujours compliqué à corriger en réalité. Une fois qu'on a mis le doigt dessus, ça peut même aller très très vite. Mais il faut encore une fois l'identifier. La première chose à identifier, c'est l'inflammation silencieuse. Parce que toutes les inflammations chroniques, même si elles sont légères, peuvent compliquer l'implantation d'un embryon. Et pas uniquement à ce stade-là, ça peut même aussi compliquer quelque part la qualité ovocitaire. Parce que, je donne toujours une image, c'est que si tu as deux graines et que tu as le choix, pour pouvoir les planter, je suppose que tu ne vas pas aller chercher un terrain qui serait rocailleux, qui serait sec, qui serait vraiment un terrain aride. J'imagine que tu ne vas pas aller choisir cet endroit-là pour aller planter une graine. J'imagine que si on te donne le choix, tu vas plutôt aller chercher un terrain qui est avec une jolie terre, où elle est bien nourrie, où on va lui mettre de l'engrais, où ce n'est pas trop au soleil, mais ce n'est pas... totalement dans l'ombre non plus, où il y a un petit peu d'équilibre entre les deux. Eh bien, la fertilité, c'est exactement la même chose, évidemment. L'inflammation, c'est ce qui va rendre le terrain beaucoup plus aride, quelque part. Et donc, c'est ce qui peut venir compliquer toute la mécanique de la reproduction. Et ça, hélas, on ne la dépiste pas dans les bilans classiques, voire même, on ne va pas y faire attention, parce qu'encore une fois, on va rester sur des normes labo. Et tant que tu restes dans les normes labo, on ne se dit pas que ça peut être problématique. Donc vraiment, c'est hyper important d'aller tester l'inflammation. Tu vois, je te donne un simple exemple, mais une résistance à l'insuline, ça peut complètement dérégler ton ovulation, ça peut nuire à la qualité ovocitaire, alors que finalement, ça ne va pas forcément apparaître comme une réelle pathologie, tu vois. Donc c'est vraiment important d'aller creuser. Il y a des inflammations qui sont, et c'est là que c'est compliqué, donc je parle d'inflammations silencieuses, parce que ce sont des inflammations qui ne vont pas forcément te donner des signaux d'alerte francs et distincts. Donc c'est beaucoup plus sournois que ça, d'où l'importance d'aller les explorer. La deuxième chose, c'est l'homocystéine. L'homocystéine, en réalité, c'est un acide aminé, et quand on a des taux trop élevés, ça va aussi augmenter l'inflammation, ça va réduire la qualité de l'endomètre, ça va altérer la qualité ovocitaire. Et même à long terme, ça joue vraiment un rôle énorme au niveau des pathologies cardiovasculaires, etc. Et donc là, pareil, moi je vois des personnes avec des taux d'homocystéine qui ne sont pas du tout dans les clous, soit trop haute, soit trop basse. Et en réalité, trop haute, c'est vraiment dangereux d'un point de vue cardiovasculaire à long terme, mais trop basse, ça montre que ce n'est pas bon non plus. Donc c'est vraiment, vraiment important d'aller doser ton homocystéine et de veiller à ce qu'elle soit autour de 7%. 7.5, tu vois, et non pas jusqu'à 15, comme l'indiquent les normes labo. Encore une fois, je reviens avec ce que je te disais au début, mais attention, normes labo, quand on est vraiment dans une période de préconception, donc ça a deux fois plus d'importance que pour d'autres cas de figure. D'accord ? Donc le deuxième point, c'est l'homocystéine. Ça, c'est vraiment quelque chose que tu dois tester et auquel tu dois vraiment être attentif. Alors... La troisième chose, c'est pareil, j'en parle souvent parce que c'est quelque chose que je vois beaucoup aujourd'hui, c'est les hormones thyroïdiennes. Je vois énormément de femmes qui ont des problématiques de près ou de loin qui sont liées à la thyroïde. Parfois, ce sont des pathologies qui sont clairement posées, diagnostiquées, pas toujours correctement traitées, mais ça c'est un autre débat. Mais en tout cas, on voit clairement qu'il y a quelque chose au niveau de la thyroïde. Et maintenant, très sincèrement, ce n'est pas le cas de toutes les femmes que j'accompagne. J'ai énormément de femmes où on n'a pas creusé assez loin, on s'est contenté de nouveau de la TSH en se disant « bon, ça va, elle est dans les clous » , alors qu'en réalité, quand on regarde au niveau des cofacteurs, quand on regarde au niveau des anticorps, etc., on voit qu'il y a un problème. Donc c'est vraiment important de ne pas se limiter à ça. Mais je sais qu'aujourd'hui, globalement, c'est ce qu'on fait. Donc surtout, ne te limite pas à la TSH pour observer la thyroïde, parce que la thyroïde, elle joue un rôle énorme, vraiment, au niveau de l'intégralité de ton organisme, mais elle joue vraiment, vraiment un rôle énorme au niveau de ta fertilité. C'est crucial. Une thyroïde qui ne fonctionne pas correctement impacte terriblement la fertilité. Donc c'est vraiment quelque chose qu'il faut absolument, absolument corriger. Le quatrième point, c'est le microbiote intestinal. Alors, le microbiote intestinal, j'en parle beaucoup. Je pourrais même parler du microbiote utérin en réalité, parce qu'il est aussi très important. Mais c'est vrai que je vois de nouveau aussi énormément de personnes qui ont une hypersensibilité intestinale, où on voit qu'il y a parfois même des candidoses. On voit qu'il y a des choses qui sont... En tout cas, diagnostiqués, où on voit qu'il y a un terrain comme ça au niveau des intestins qui n'est pas cool, où on voit qu'il y a des inflammations, où on voit qu'il y a des douleurs, il y a des difficultés, il y a parfois même de vraies pathologies qui sont diagnostiquées. Et pour autant, on ne va pas chercher plus loin. Et ça, pour moi, c'est vraiment, vraiment une grave erreur. Parce que dès qu'il y a un déséquilibre au niveau du microbiote, eh bien, ça impacte. terriblement l'implantation embryonnaire. Et ça, c'est vraiment essentiel de s'en rendre compte. Donc aller creuser au niveau du microbiote, en réalité, c'est pas du tout quelque chose de superflu, c'est pas quelque chose d'optionnel, c'est vraiment important. Souvent, et c'est ce qui s'est passé lors des dernières sessions, mais à chaque fois, je questionne, j'ai aussi ce qu'on appelle l'échelle de Bristol, où je vais questionner sur... la qualité des selles, la fréquence, l'apparence, etc. Je pose énormément de questions. Et en fait, je me rends compte que vraiment, au niveau intestinal, ça ne va pas du tout. Et quand on fait des analyses et qu'on creuse un peu plus loin, les analyses viennent confirmer justement ce que j'avais pressenti. Et je vois qu'il y a énormément de choses au niveau intestinal qui ne sont pas correctes. Déjà parce que parfois, il y a des personnes qui ont des intolérances. Mais il y a aussi des personnes qui ont pas mal d'inflammations, qui ont des intestins irritables, qui ont ce qu'on appelle une... perméabilité intestinale. Et donc, c'est vraiment, vraiment important. Alors, je ne te parle même pas des personnes qui ont la maladie de Crohn. Encore une fois, ce n'est pas grave en soi d'avoir cette pathologie-là, même si j'entends évidemment qu'au quotidien, ça nécessite beaucoup d'ajustements, ça nécessite évidemment qu'on régule tout ça. Donc, loin de moi, l'idée de minimiser le ressenti du quotidien et ce qu'il y a à mettre en place, ce n'est pas du tout l'idée, tu t'en doutes. Mais par contre, ce qui est important, c'est de te dire que Ça se régule, on peut corriger tout ça sans que ce soit forcément compliqué. C'est important d'identifier les différentes problématiques qui peuvent se jouer au niveau du microbiote intestinal. Je ne sais pas si ça a déjà été ton cas, si on a creusé de ce côté-là, mais clairement, c'est quelque chose que je fais systématiquement dans mes accompagnements parce que c'est essentiel. D'ailleurs, même dans le programme Fertility, je t'explique en long, en large et en travers tout ce que tu dois savoir à propos de tout ça. Que ce soit d'ailleurs la thyroïde, que ce soit le microbiote, que ce soit tout ça, c'est vraiment vraiment essentiel parce que c'est un petit peu, je donne souvent cette image là, mais c'est un peu comme des grains de sable qui viennent finalement se coincer dans un mécanisme hyper complexe. Parfois, ce n'est pas un seul grain de sable qui vient freiner toute la machine, mais le problème, c'est que les grains de sable, on en a plein. Alors, ils sont tout petits, certes, mais parfois, ils sont un peu plus gros, mais en tout cas, ils viennent progressivement. compliquer la mécanique et parfois ça se coince complètement. Et donc c'est important d'aller faire le tri dans tout ça et d'aller voir où ça coince. Mais je sais que souvent, ce n'est pas fait. Alors il y a aussi autre chose, c'est que c'est intéressant quand même aussi d'aller regarder du côté du cortisol, du stress. Loin de moi, tu le sais. En tout cas, si tu me suis depuis un moment, tu le sais. Si tu me découvres, eh bien je le dis et je le répète encore une fois parce que pour moi c'est important. L'idée, ce n'est pas de te dire que c'est parce que tu y penses trop, que tu es trop stressé, que c'est dans ta tête, etc. Pas du tout, du tout, du tout. En revanche, effectivement, le fait d'être soumise à un stress chronique, je ne te parle pas d'un stress ponctuel, parce que si tu es en PMA, si tu es confronté à l'infertilité, enfin, je veux dire, ce sont des étapes de vie qui sont stressantes, évidemment. Il y a plein d'autres étapes de vie qui sont stressantes, mais l'idée, c'est que ce soit du ponctuel, de l'occasionnel. quand on est sur des choses qui traînent, qui durent et bien Oui, effectivement, ça va impacter ton taux de cortisol et donc ça va dérégler ton ovulation. Ça va dérégler finalement l'équilibre entre les oestrogènes et la progestérone. Ça va dérégler ton sommeil, ça va dérégler plein plein de choses. Et évidemment, tout ça, tu t'en doutes, ça a des répercussions. Alors, il y a plus de 10 ans, ce que je voyais, c'est que je voyais des taux de cortisol qui étaient élevés. Ça veut dire que je voyais des personnes qui avaient du stress, d'accord ? Aujourd'hui, je vois l'inverse. Je vois des taux de cortisol qui ne sont plus vraiment élevés, mais qui sont effondrés. Alors on va se dire, c'est bien, ça veut dire que la personne n'est pas en stress du tout. Et en réalité, c'est beaucoup plus complexe que ça, parce que ça veut dire tout simplement que le corps a lutté, lutté, lutté, lutté, et qu'à un moment donné, il s'est dit, j'en peux plus. Et en fait, il a posé les armes. Mais ça veut dire qu'en faisant ça, finalement, on est passé de l'autre côté et on est passé à un épuisement des glandes surrénales. on est passé dans... Plutôt côté burn-out en réalité. Et ça aussi, ce n'est pas meilleur en réalité parce que ça déséquilibre complètement tout ton axe hormonal. Donc c'est vraiment important. Donc ce que tu dois retenir de ça et ce que tu peux faire finalement, c'est bien de te rappeler quand même que s'il n'y a pas de grossesse ou si la grossesse ne dure pas, déjà ce n'est pas parce que tu stresses trop ou que tu y penses trop. On est bien d'accord là-dessus, ça n'a absolument rien à voir. à culpabiliser par rapport à ça. La première chose que je ferais si j'étais à ta place, c'est de te demander si déjà ces zones-là ont été vérifiées. Et si tu comprends et si tu as des choses qui ont été identifiées. Ça pour moi, c'est déjà vraiment la base. Et ensuite... Pour moi, l'étape d'après, c'est de te dire, ok, est-ce que je comprends ? Est-ce que je sais à quoi ça sert ? Et est-ce que je sais interpréter et optimiser les résultats ? Si la réponse est non, je t'invite vraiment, vraiment, vraiment à aller voir plus loin et à être accompagné. Parce que clairement, l'interprétation d'analyse, le fait de pouvoir établir un plan d'action, évidemment, ça nécessite des compétences bien particulières, ça nécessite des compétences... En hormonologie, en médecine fonctionnelle, ça nécessite des compétences, vraiment j'ai envie de dire globales, parce que, tu le sais, pour moi l'approche complète elle est essentielle. Travailler uniquement sur des analyses sans tenir compte des ressentis de la personne, ça n'a pas de sens non plus parce qu'on ne soigne pas un bilan sanguin, on soigne une personne qui a potentiellement des symptômes, mais pour lesquels personne n'a fait de lien. Donc ça pour moi c'est vraiment essentiel de remettre l'humain au cœur des analyses. et de comprendre et de faire des liens. Et c'est ce qui ressort en réalité des différentes consultations, c'est qu'à chaque fois on me dit, mais c'est incroyable, personne ne m'a posé ces questions-là jusqu'à maintenant, et personne n'a fait les liens avec telle ou telle pathologie que j'ai pourtant depuis des années, tu vois. Et ça pour moi, c'est l'essentiel, c'est la base, et c'est vraiment à ça que sert une approche 360, et c'est ça qui fait toute la différence dans les parcours. Donc ne reste pas avec ça. Si cet épisode t'a parlé, s'il a fait sens pour toi, c'est peut-être qu'il est temps d'aller creuser un peu plus loin. Si t'as envie d'aller creuser, à mon sens en tout cas, il y a deux options. Alors trois peut-être. La première, si tu es en Belgique, c'est viens, réserve une consultation avec moi au sein du centre ONAE. Comme ça, on va pouvoir avancer ensemble. D'accord ? Ça, c'est la première chose. Maintenant, Si tu n'habites pas en Belgique, si tu habites trop loin du centre, la première chose que je te recommande, évidemment, c'est le programme Fertility parce que c'est un accompagnement qui est complet. C'est un accompagnement en ligne que tu peux faire à ton rythme et qui est basé sur les quatre piliers de la fertilité, c'est-à-dire toute la dimension émotionnelle, physiologique, médicale, énergétique. Donc tu vois à quel point le programme est archi complet. Tu peux avancer. à ton aise et en fait tu vas être guidé étape par étape pour optimiser tous ces leviers-là, en sachant en plus qu'une fois par mois, j'organise aussi une session de coaching. Donc même dans ce contexte-là, même dans le cadre d'un accompagnement en ligne, tu n'es pas seul, je suis quand même à tes côtés et ça c'est important de le rappeler. Donc si tout ce que je te dis te parle, pour moi la première chose à faire c'est ça, c'est de rejoindre le programme Fertility. Si vraiment tu me découvres, que tu ne me connais pas encore, que tu dis je préfère découvrir, avancer doucement et découvrir un petit peu l'univers, dans ce cas-là je t'invite vraiment à découvrir le cercle Fertility parce que là c'est mon espace de soutien pour toi qui est continu. Ce n'est pas un programme, c'est un refuge. Ça veut dire que chaque semaine tu vas pouvoir retrouver un audio qui se veut un audio vraiment concret, de conseils qui sont applicables. des réponses à tes questions, des partages d'expériences et évidemment un groupe de soutien pour ne plus avancer seul. La cerise sur le gâteau, en plus, c'est que c'est vraiment un tarif mini. Pour moi, ces deux approches sont vraiment totalement complémentaires. Pourquoi ? Parce que le cercle, il est idéal pour te familiariser avec mon univers et déjà avancer en mettant des bonnes actions en place tout en étant soutenu. C'est vraiment ton refuge. Et fertility, évidemment, eh bien là, il est... Le programme, si tu veux avancer à plus grands pas pour transformer concrètement ton parcours, si tu veux savoir exactement quoi faire, si tu veux comprendre. J'aurais presque envie de te dire redevenir actrice, mais quand je te dis ça, je sais que tu vas me dire mais je fais déjà plein de choses et je sais que tu les fais. Mais peut-être pas dans le bon ordre ou peut-être pas des choses qui sont adaptées à ton profil. Et ça pour moi c'est important parce que c'est aussi quelque chose que j'explique au sein du programme Fertility. C'est qu'il y a plein de profils différents, il y a des choses qui te correspondent, des choses qui te correspondent moins, et donc c'est vraiment essentiel d'avoir toutes ces infos-là. Tu accèdes à des tableaux qui te disent exactement quoi doser, quelles sont les normes que tu dois obtenir, comment faire pour ajuster tout ça. Il y a zéro rétention d'informations. Ce programme, il est fait pour te permettre de comprendre. Et il n'y a pas besoin d'avoir fait médecine pour faire ce programme. Il est archi simple en termes de compréhension, parce que je crois que c'est vraiment un de mes points forts, c'est de transmettre des choses qui pourraient sembler compliquées. et de les expliquer vraiment de façon très simple. Mais pour moi, c'est vraiment essentiel de te dire, voilà, le programme Fertility, tu vas pouvoir avancer à pas de géant parce que ça va te permettre de comprendre. Et quand tu comprends, je te promets que ça change tout. Ça fait toute la différence comparativement au fait d'essayer un petit peu à droite, un petit peu à gauche et d'essayer de trouver éventuellement ce qui peut-être pourrait te correspondre. Là, on n'est pas là-dedans du tout. Tu as des plans d'action qui sont... simple, clair, efficace et ça fait toute la différence. Donc vraiment, je t'invite à rejoindre le programme Fertility ou si tu préfères découvrir et y aller à tout petit pas, mettre juste un orteil dans mon univers, et bien de découvrir le cercle Fertility. En tout cas, quelle que soit l'option que tu choisis, je me fais un plaisir de t'y retrouver. Tu vas retrouver évidemment les liens pour rejoindre tout ça dans la description de cet épisode. Merci beaucoup d'avoir écouté l'épisode. si tu penses que Ce sont des épisodes qui sont utiles, je te remercie vraiment de prendre juste quelques minutes pour venir me noter, d'aller mettre des étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée, d'aller me laisser un commentaire, parce que c'est aussi ce qui permet à mon travail d'être visible auprès des femmes qui en ont besoin. Et pour toi, ça va te prendre quelques secondes, et pour moi, c'est juste énorme le temps que j'y passe pour apporter toujours du contenu qui soit qualitatif, et donc j'ai pour ça évidemment, j'ai besoin d'avoir un petit peu de visibilité, un petit peu de pouvoir toucher en tout cas les personnes qui en ont besoin, parce que ça reste ma mission. Tu sais que c'est quelque chose que je fais depuis longtemps maintenant. Ça fait plus de 12 ans que je travaille sur la fertilité. Le podcast, j'ai encore envie de l'amener à un niveau encore plus important. Et donc pour ça, j'ai besoin de ton aide. Si ne fut-ce qu'un épisode a pu t'aider, je te remercie vraiment de prendre quelques secondes, quelques minutes éventuellement de ton temps. Pour faire ça, tu n'imagines pas à quel point ton aide me serait précieuse. Donc déjà, je te remercie d'avance et puis je te retrouve à très vite au sein d'un programme d'accompagnement. Et d'ici là, comme toujours, prends soin de toi. A très bientôt. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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Dans cet épisode, je te dévoile 5 zones souvent ignorées par les bilans classiques : inflammation silencieuse, homocystéine, thyroïde, microbiote et cortisol.


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    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour ! Hello, c'est Mya de Positive Mind Attitude, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui c'est un épisode de... j'aurais presque envie de dire un peu coup de gueule quand même. Alors, tu me connais, tu sais que je suis relativement sans filtre, dans le sens où j'ai envie de te dire en fait ce que tu as besoin d'entendre et pas uniquement ce que tu aurais envie d'entendre. Et donc pour moi, c'est important aussi de pouvoir oser mettre les pieds dans le plat. Cet épisode est consécutif à plusieurs consultations que j'ai pu avoir au centre Onae, comme tu le sais. Je reçois des femmes et des couples, parce que c'est encore mieux si on vient en couple, en présentiel au sein de la première maison de fertilité qui a ouvert ses portes en Belgique, à Waterloo. Mais c'est aussi évidemment quelque chose que je vois très régulièrement dans ma pratique avec des accompagnements en visio. Mais c'est vrai que là, comme c'était du présentiel, ça m'a encore plus marquée. J'avais quand même vraiment envie de mettre les pieds dans le plat avec toi aujourd'hui et je pense que ça te sera vraiment plus qu'utile. En fait, si tu as déjà entendu des phrases qui ont quelque chose comme « tout est normal » , « il n'y a rien d'inquiétant » , « vos analyses sont bonnes » , « tout est correct » , etc. En réalité, cet épisode est vraiment pour toi. Même si on ne t'a pas dit ça, il est quand même pour toi, donc écoute-le jusqu'au bout parce qu'il est vraiment très important. Pourquoi ? Parce qu'en réalité, je vois en permanence, et ça c'est toutes les semaines et c'est même du quotidien, j'ai reçu des messages de femmes qui me disent « on m'a dit que mes analyses étaient ok, on m'a dit que de ce côté-là tout va bien, mais pourtant ça ne marche toujours pas » . Et c'est tout à fait normal évidemment de se poser la question, tu vois, parce que nous en tout cas on fait énormément de prises de sang en tant que femmes, enfin voilà, je veux dire, on fait beaucoup de prises de sang, on fait... beaucoup de rendez-vous médicaux, etc. Et finalement, tu n'obtiens pas ou très peu de réponses et je sais à quel point c'est hyper frustrant. Donc aujourd'hui, j'avais envie de te partager cinq zones, je sais presque on va dire aveugles, que la médecine classique ne regarde pas ou vraiment très très peu ou de manière très superficielle et qui pourtant pourraient faire toute la différence dans ton parcours. Et comme je te le disais, si je te parle de ça, c'est parce que ce sont encore une fois des choses que j'ai vues en consultation. Et où je me suis dit, mais non, on ne peut plus, tu vois, quand on a des personnes qui ont X, c'est même pas X mois, mais dans leur cas, c'était X années de parcours. Et je me dis, mais on ne leur a pas posé la question. On n'a pas été vérifié plus loin. Ce n'est pas possible parce qu'on leur fait vraiment perdre un temps précieux. Et je te laisse imaginer, évidemment, la détresse émotionnelle dans laquelle ça peut nous plonger. Je dis nous parce que j'ai aussi été dans ce cas-là. Et donc, je sais, en étant évidemment aujourd'hui de l'autre côté. Ce que c'est et à quel point on peut évidemment faire gagner un temps précieux. Donc la toute première chose, j'espère que tu es prête et n'hésite pas à mettre sur pause et à réécouter plusieurs fois parce que c'est vraiment un épisode qui est plus qu'important. Donc j'en ai déjà parlé plusieurs fois mais je le redis parce que c'est vraiment important et je veux que tu intègres cette notion là. Ce qui est important c'est d'éviter de tomber dans le piège du tout est normal. Parce que déjà, il faut comprendre que normal, ce n'est absolument pas synonyme d'optimal. Ce sont deux choses différentes. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la médecine conventionnelle telle que tu la connais, elle vit surtout à, en gros, dépister des pathologies, d'accord ? Mais elle n'est pas là pour optimiser la fertilité. Ce sont deux choses complètement différentes. Ça veut dire que tu peux très bien, par exemple, avoir une TSH. Allez, je prends juste l'exemple de la TSH. Tu peux avoir une TSH qui est dans les clous. et qui serait par exemple à 3,8. Mais en réalité, on te dirait que la TSH est dans les clous. Mais en réalité, si on cherche à concevoir, idéalement, il vaut mieux être en dessous de 2,5, voire même dans l'idéal. En tout cas, moi, c'est ce que je recommande parce que c'est issu de la médecine fonctionnelle, qui est une médecine différente de la médecine telle que toi tu la connais. La médecine fonctionnelle va plutôt préconiser des normes qui tournent autour de 1.5. Donc tu vois que finalement tu vas être dans la norme à 3.8, mais en réalité on n'est pas du tout sur des valeurs optimales de santé, ça n'a rien à voir. Donc c'est hyper important de ne pas te fier à ce tout est normal, d'accord ? C'est pareil pour ta vitamine D. L'immense majorité des normes labo te disent que, en gros, si tu es autour de 30, tu es dans la norme. Mais encore une fois, on est en période de préconception. Donc la norme ne vaut rien. Mais j'ai même envie de te dire que, même en dehors de la période de préconception, si tu cherches des valeurs optimales de santé, la norme ne vaut rien. Donc clairement, quand on est dans ton cas, qu'on cherche évidemment à avoir des valeurs optimales de santé, eh bien, il vaut mieux plutôt viser les 70, alors 70 ou 70, je ne sais pas d'où tu m'écoutes, entre, on va dire, je vais mettre à peu près tout le monde d'accord, ah non, j'allais dire 80, mais non, même si je dis 80, les Suisses vont dire 80, mais bon, bref, tu comprends, dans l'idée, c'est de te dire qu'il vaut mieux être entre 70 et 90, ça, c'est vraiment les normes en termes de vitamine D, et c'est... pas du tout des normes qui vont être préconisées par les médecins traditionnels. Donc c'est vraiment important de garder en tête que le but, ce n'est pas d'être dans la norme, mais bien de viser des valeurs optimales de santé. Et en fait, c'est vraiment quelque part ce qui piège énormément de femmes, parce que finalement, dans leurs analyses, on leur dit tout va bien, alors qu'en réalité, les taux ne sont pas du tout optimaux pour concevoir. Et donc ça, c'est vraiment quelque chose où je me dis, Ah non, il faut sortir absolument des valeurs. normes, des valeurs labo, si tu veux, pour vraiment mettre le focus sur des valeurs optimales de santé. Donc ça, c'est vraiment déjà une première chose. Ensuite, ce que j'ai envie de te partager, c'est qu'il y a des zones de manière générale. Là, c'était un petit peu une sorte de mise en garde générique pour te dire, attention, les normes labo, j'en ai déjà parlé, mais on n'y fait pas attention. Ensuite, pour moi, il y a cinq zones, vraiment. dans lesquelles la médecine telle que tu la connais ne s'aventure pas énormément, alors que ça peut vraiment faire toute la différence. Les cinq zones, en fait, je te les donne parce que ce sont les zones sur lesquelles je travaille le plus. Pourquoi je travaille le plus là-dessus ? Tout simplement parce que c'est ce que je rencontre au quotidien, c'est ce qui est vraiment le plus fréquent et qui peut vraiment poser de grosses difficultés, alors que c'est pas... toujours compliqué à corriger en réalité. Une fois qu'on a mis le doigt dessus, ça peut même aller très très vite. Mais il faut encore une fois l'identifier. La première chose à identifier, c'est l'inflammation silencieuse. Parce que toutes les inflammations chroniques, même si elles sont légères, peuvent compliquer l'implantation d'un embryon. Et pas uniquement à ce stade-là, ça peut même aussi compliquer quelque part la qualité ovocitaire. Parce que, je donne toujours une image, c'est que si tu as deux graines et que tu as le choix, pour pouvoir les planter, je suppose que tu ne vas pas aller chercher un terrain qui serait rocailleux, qui serait sec, qui serait vraiment un terrain aride. J'imagine que tu ne vas pas aller choisir cet endroit-là pour aller planter une graine. J'imagine que si on te donne le choix, tu vas plutôt aller chercher un terrain qui est avec une jolie terre, où elle est bien nourrie, où on va lui mettre de l'engrais, où ce n'est pas trop au soleil, mais ce n'est pas... totalement dans l'ombre non plus, où il y a un petit peu d'équilibre entre les deux. Eh bien, la fertilité, c'est exactement la même chose, évidemment. L'inflammation, c'est ce qui va rendre le terrain beaucoup plus aride, quelque part. Et donc, c'est ce qui peut venir compliquer toute la mécanique de la reproduction. Et ça, hélas, on ne la dépiste pas dans les bilans classiques, voire même, on ne va pas y faire attention, parce qu'encore une fois, on va rester sur des normes labo. Et tant que tu restes dans les normes labo, on ne se dit pas que ça peut être problématique. Donc vraiment, c'est hyper important d'aller tester l'inflammation. Tu vois, je te donne un simple exemple, mais une résistance à l'insuline, ça peut complètement dérégler ton ovulation, ça peut nuire à la qualité ovocitaire, alors que finalement, ça ne va pas forcément apparaître comme une réelle pathologie, tu vois. Donc c'est vraiment important d'aller creuser. Il y a des inflammations qui sont, et c'est là que c'est compliqué, donc je parle d'inflammations silencieuses, parce que ce sont des inflammations qui ne vont pas forcément te donner des signaux d'alerte francs et distincts. Donc c'est beaucoup plus sournois que ça, d'où l'importance d'aller les explorer. La deuxième chose, c'est l'homocystéine. L'homocystéine, en réalité, c'est un acide aminé, et quand on a des taux trop élevés, ça va aussi augmenter l'inflammation, ça va réduire la qualité de l'endomètre, ça va altérer la qualité ovocitaire. Et même à long terme, ça joue vraiment un rôle énorme au niveau des pathologies cardiovasculaires, etc. Et donc là, pareil, moi je vois des personnes avec des taux d'homocystéine qui ne sont pas du tout dans les clous, soit trop haute, soit trop basse. Et en réalité, trop haute, c'est vraiment dangereux d'un point de vue cardiovasculaire à long terme, mais trop basse, ça montre que ce n'est pas bon non plus. Donc c'est vraiment, vraiment important d'aller doser ton homocystéine et de veiller à ce qu'elle soit autour de 7%. 7.5, tu vois, et non pas jusqu'à 15, comme l'indiquent les normes labo. Encore une fois, je reviens avec ce que je te disais au début, mais attention, normes labo, quand on est vraiment dans une période de préconception, donc ça a deux fois plus d'importance que pour d'autres cas de figure. D'accord ? Donc le deuxième point, c'est l'homocystéine. Ça, c'est vraiment quelque chose que tu dois tester et auquel tu dois vraiment être attentif. Alors... La troisième chose, c'est pareil, j'en parle souvent parce que c'est quelque chose que je vois beaucoup aujourd'hui, c'est les hormones thyroïdiennes. Je vois énormément de femmes qui ont des problématiques de près ou de loin qui sont liées à la thyroïde. Parfois, ce sont des pathologies qui sont clairement posées, diagnostiquées, pas toujours correctement traitées, mais ça c'est un autre débat. Mais en tout cas, on voit clairement qu'il y a quelque chose au niveau de la thyroïde. Et maintenant, très sincèrement, ce n'est pas le cas de toutes les femmes que j'accompagne. J'ai énormément de femmes où on n'a pas creusé assez loin, on s'est contenté de nouveau de la TSH en se disant « bon, ça va, elle est dans les clous » , alors qu'en réalité, quand on regarde au niveau des cofacteurs, quand on regarde au niveau des anticorps, etc., on voit qu'il y a un problème. Donc c'est vraiment important de ne pas se limiter à ça. Mais je sais qu'aujourd'hui, globalement, c'est ce qu'on fait. Donc surtout, ne te limite pas à la TSH pour observer la thyroïde, parce que la thyroïde, elle joue un rôle énorme, vraiment, au niveau de l'intégralité de ton organisme, mais elle joue vraiment, vraiment un rôle énorme au niveau de ta fertilité. C'est crucial. Une thyroïde qui ne fonctionne pas correctement impacte terriblement la fertilité. Donc c'est vraiment quelque chose qu'il faut absolument, absolument corriger. Le quatrième point, c'est le microbiote intestinal. Alors, le microbiote intestinal, j'en parle beaucoup. Je pourrais même parler du microbiote utérin en réalité, parce qu'il est aussi très important. Mais c'est vrai que je vois de nouveau aussi énormément de personnes qui ont une hypersensibilité intestinale, où on voit qu'il y a parfois même des candidoses. On voit qu'il y a des choses qui sont... En tout cas, diagnostiqués, où on voit qu'il y a un terrain comme ça au niveau des intestins qui n'est pas cool, où on voit qu'il y a des inflammations, où on voit qu'il y a des douleurs, il y a des difficultés, il y a parfois même de vraies pathologies qui sont diagnostiquées. Et pour autant, on ne va pas chercher plus loin. Et ça, pour moi, c'est vraiment, vraiment une grave erreur. Parce que dès qu'il y a un déséquilibre au niveau du microbiote, eh bien, ça impacte. terriblement l'implantation embryonnaire. Et ça, c'est vraiment essentiel de s'en rendre compte. Donc aller creuser au niveau du microbiote, en réalité, c'est pas du tout quelque chose de superflu, c'est pas quelque chose d'optionnel, c'est vraiment important. Souvent, et c'est ce qui s'est passé lors des dernières sessions, mais à chaque fois, je questionne, j'ai aussi ce qu'on appelle l'échelle de Bristol, où je vais questionner sur... la qualité des selles, la fréquence, l'apparence, etc. Je pose énormément de questions. Et en fait, je me rends compte que vraiment, au niveau intestinal, ça ne va pas du tout. Et quand on fait des analyses et qu'on creuse un peu plus loin, les analyses viennent confirmer justement ce que j'avais pressenti. Et je vois qu'il y a énormément de choses au niveau intestinal qui ne sont pas correctes. Déjà parce que parfois, il y a des personnes qui ont des intolérances. Mais il y a aussi des personnes qui ont pas mal d'inflammations, qui ont des intestins irritables, qui ont ce qu'on appelle une... perméabilité intestinale. Et donc, c'est vraiment, vraiment important. Alors, je ne te parle même pas des personnes qui ont la maladie de Crohn. Encore une fois, ce n'est pas grave en soi d'avoir cette pathologie-là, même si j'entends évidemment qu'au quotidien, ça nécessite beaucoup d'ajustements, ça nécessite évidemment qu'on régule tout ça. Donc, loin de moi, l'idée de minimiser le ressenti du quotidien et ce qu'il y a à mettre en place, ce n'est pas du tout l'idée, tu t'en doutes. Mais par contre, ce qui est important, c'est de te dire que Ça se régule, on peut corriger tout ça sans que ce soit forcément compliqué. C'est important d'identifier les différentes problématiques qui peuvent se jouer au niveau du microbiote intestinal. Je ne sais pas si ça a déjà été ton cas, si on a creusé de ce côté-là, mais clairement, c'est quelque chose que je fais systématiquement dans mes accompagnements parce que c'est essentiel. D'ailleurs, même dans le programme Fertility, je t'explique en long, en large et en travers tout ce que tu dois savoir à propos de tout ça. Que ce soit d'ailleurs la thyroïde, que ce soit le microbiote, que ce soit tout ça, c'est vraiment vraiment essentiel parce que c'est un petit peu, je donne souvent cette image là, mais c'est un peu comme des grains de sable qui viennent finalement se coincer dans un mécanisme hyper complexe. Parfois, ce n'est pas un seul grain de sable qui vient freiner toute la machine, mais le problème, c'est que les grains de sable, on en a plein. Alors, ils sont tout petits, certes, mais parfois, ils sont un peu plus gros, mais en tout cas, ils viennent progressivement. compliquer la mécanique et parfois ça se coince complètement. Et donc c'est important d'aller faire le tri dans tout ça et d'aller voir où ça coince. Mais je sais que souvent, ce n'est pas fait. Alors il y a aussi autre chose, c'est que c'est intéressant quand même aussi d'aller regarder du côté du cortisol, du stress. Loin de moi, tu le sais. En tout cas, si tu me suis depuis un moment, tu le sais. Si tu me découvres, eh bien je le dis et je le répète encore une fois parce que pour moi c'est important. L'idée, ce n'est pas de te dire que c'est parce que tu y penses trop, que tu es trop stressé, que c'est dans ta tête, etc. Pas du tout, du tout, du tout. En revanche, effectivement, le fait d'être soumise à un stress chronique, je ne te parle pas d'un stress ponctuel, parce que si tu es en PMA, si tu es confronté à l'infertilité, enfin, je veux dire, ce sont des étapes de vie qui sont stressantes, évidemment. Il y a plein d'autres étapes de vie qui sont stressantes, mais l'idée, c'est que ce soit du ponctuel, de l'occasionnel. quand on est sur des choses qui traînent, qui durent et bien Oui, effectivement, ça va impacter ton taux de cortisol et donc ça va dérégler ton ovulation. Ça va dérégler finalement l'équilibre entre les oestrogènes et la progestérone. Ça va dérégler ton sommeil, ça va dérégler plein plein de choses. Et évidemment, tout ça, tu t'en doutes, ça a des répercussions. Alors, il y a plus de 10 ans, ce que je voyais, c'est que je voyais des taux de cortisol qui étaient élevés. Ça veut dire que je voyais des personnes qui avaient du stress, d'accord ? Aujourd'hui, je vois l'inverse. Je vois des taux de cortisol qui ne sont plus vraiment élevés, mais qui sont effondrés. Alors on va se dire, c'est bien, ça veut dire que la personne n'est pas en stress du tout. Et en réalité, c'est beaucoup plus complexe que ça, parce que ça veut dire tout simplement que le corps a lutté, lutté, lutté, lutté, et qu'à un moment donné, il s'est dit, j'en peux plus. Et en fait, il a posé les armes. Mais ça veut dire qu'en faisant ça, finalement, on est passé de l'autre côté et on est passé à un épuisement des glandes surrénales. on est passé dans... Plutôt côté burn-out en réalité. Et ça aussi, ce n'est pas meilleur en réalité parce que ça déséquilibre complètement tout ton axe hormonal. Donc c'est vraiment important. Donc ce que tu dois retenir de ça et ce que tu peux faire finalement, c'est bien de te rappeler quand même que s'il n'y a pas de grossesse ou si la grossesse ne dure pas, déjà ce n'est pas parce que tu stresses trop ou que tu y penses trop. On est bien d'accord là-dessus, ça n'a absolument rien à voir. à culpabiliser par rapport à ça. La première chose que je ferais si j'étais à ta place, c'est de te demander si déjà ces zones-là ont été vérifiées. Et si tu comprends et si tu as des choses qui ont été identifiées. Ça pour moi, c'est déjà vraiment la base. Et ensuite... Pour moi, l'étape d'après, c'est de te dire, ok, est-ce que je comprends ? Est-ce que je sais à quoi ça sert ? Et est-ce que je sais interpréter et optimiser les résultats ? Si la réponse est non, je t'invite vraiment, vraiment, vraiment à aller voir plus loin et à être accompagné. Parce que clairement, l'interprétation d'analyse, le fait de pouvoir établir un plan d'action, évidemment, ça nécessite des compétences bien particulières, ça nécessite des compétences... En hormonologie, en médecine fonctionnelle, ça nécessite des compétences, vraiment j'ai envie de dire globales, parce que, tu le sais, pour moi l'approche complète elle est essentielle. Travailler uniquement sur des analyses sans tenir compte des ressentis de la personne, ça n'a pas de sens non plus parce qu'on ne soigne pas un bilan sanguin, on soigne une personne qui a potentiellement des symptômes, mais pour lesquels personne n'a fait de lien. Donc ça pour moi c'est vraiment essentiel de remettre l'humain au cœur des analyses. et de comprendre et de faire des liens. Et c'est ce qui ressort en réalité des différentes consultations, c'est qu'à chaque fois on me dit, mais c'est incroyable, personne ne m'a posé ces questions-là jusqu'à maintenant, et personne n'a fait les liens avec telle ou telle pathologie que j'ai pourtant depuis des années, tu vois. Et ça pour moi, c'est l'essentiel, c'est la base, et c'est vraiment à ça que sert une approche 360, et c'est ça qui fait toute la différence dans les parcours. Donc ne reste pas avec ça. Si cet épisode t'a parlé, s'il a fait sens pour toi, c'est peut-être qu'il est temps d'aller creuser un peu plus loin. Si t'as envie d'aller creuser, à mon sens en tout cas, il y a deux options. Alors trois peut-être. La première, si tu es en Belgique, c'est viens, réserve une consultation avec moi au sein du centre ONAE. Comme ça, on va pouvoir avancer ensemble. D'accord ? Ça, c'est la première chose. Maintenant, Si tu n'habites pas en Belgique, si tu habites trop loin du centre, la première chose que je te recommande, évidemment, c'est le programme Fertility parce que c'est un accompagnement qui est complet. C'est un accompagnement en ligne que tu peux faire à ton rythme et qui est basé sur les quatre piliers de la fertilité, c'est-à-dire toute la dimension émotionnelle, physiologique, médicale, énergétique. Donc tu vois à quel point le programme est archi complet. Tu peux avancer. à ton aise et en fait tu vas être guidé étape par étape pour optimiser tous ces leviers-là, en sachant en plus qu'une fois par mois, j'organise aussi une session de coaching. Donc même dans ce contexte-là, même dans le cadre d'un accompagnement en ligne, tu n'es pas seul, je suis quand même à tes côtés et ça c'est important de le rappeler. Donc si tout ce que je te dis te parle, pour moi la première chose à faire c'est ça, c'est de rejoindre le programme Fertility. Si vraiment tu me découvres, que tu ne me connais pas encore, que tu dis je préfère découvrir, avancer doucement et découvrir un petit peu l'univers, dans ce cas-là je t'invite vraiment à découvrir le cercle Fertility parce que là c'est mon espace de soutien pour toi qui est continu. Ce n'est pas un programme, c'est un refuge. Ça veut dire que chaque semaine tu vas pouvoir retrouver un audio qui se veut un audio vraiment concret, de conseils qui sont applicables. des réponses à tes questions, des partages d'expériences et évidemment un groupe de soutien pour ne plus avancer seul. La cerise sur le gâteau, en plus, c'est que c'est vraiment un tarif mini. Pour moi, ces deux approches sont vraiment totalement complémentaires. Pourquoi ? Parce que le cercle, il est idéal pour te familiariser avec mon univers et déjà avancer en mettant des bonnes actions en place tout en étant soutenu. C'est vraiment ton refuge. Et fertility, évidemment, eh bien là, il est... Le programme, si tu veux avancer à plus grands pas pour transformer concrètement ton parcours, si tu veux savoir exactement quoi faire, si tu veux comprendre. J'aurais presque envie de te dire redevenir actrice, mais quand je te dis ça, je sais que tu vas me dire mais je fais déjà plein de choses et je sais que tu les fais. Mais peut-être pas dans le bon ordre ou peut-être pas des choses qui sont adaptées à ton profil. Et ça pour moi c'est important parce que c'est aussi quelque chose que j'explique au sein du programme Fertility. C'est qu'il y a plein de profils différents, il y a des choses qui te correspondent, des choses qui te correspondent moins, et donc c'est vraiment essentiel d'avoir toutes ces infos-là. Tu accèdes à des tableaux qui te disent exactement quoi doser, quelles sont les normes que tu dois obtenir, comment faire pour ajuster tout ça. Il y a zéro rétention d'informations. Ce programme, il est fait pour te permettre de comprendre. Et il n'y a pas besoin d'avoir fait médecine pour faire ce programme. Il est archi simple en termes de compréhension, parce que je crois que c'est vraiment un de mes points forts, c'est de transmettre des choses qui pourraient sembler compliquées. et de les expliquer vraiment de façon très simple. Mais pour moi, c'est vraiment essentiel de te dire, voilà, le programme Fertility, tu vas pouvoir avancer à pas de géant parce que ça va te permettre de comprendre. Et quand tu comprends, je te promets que ça change tout. Ça fait toute la différence comparativement au fait d'essayer un petit peu à droite, un petit peu à gauche et d'essayer de trouver éventuellement ce qui peut-être pourrait te correspondre. Là, on n'est pas là-dedans du tout. Tu as des plans d'action qui sont... simple, clair, efficace et ça fait toute la différence. Donc vraiment, je t'invite à rejoindre le programme Fertility ou si tu préfères découvrir et y aller à tout petit pas, mettre juste un orteil dans mon univers, et bien de découvrir le cercle Fertility. En tout cas, quelle que soit l'option que tu choisis, je me fais un plaisir de t'y retrouver. Tu vas retrouver évidemment les liens pour rejoindre tout ça dans la description de cet épisode. Merci beaucoup d'avoir écouté l'épisode. si tu penses que Ce sont des épisodes qui sont utiles, je te remercie vraiment de prendre juste quelques minutes pour venir me noter, d'aller mettre des étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée, d'aller me laisser un commentaire, parce que c'est aussi ce qui permet à mon travail d'être visible auprès des femmes qui en ont besoin. Et pour toi, ça va te prendre quelques secondes, et pour moi, c'est juste énorme le temps que j'y passe pour apporter toujours du contenu qui soit qualitatif, et donc j'ai pour ça évidemment, j'ai besoin d'avoir un petit peu de visibilité, un petit peu de pouvoir toucher en tout cas les personnes qui en ont besoin, parce que ça reste ma mission. Tu sais que c'est quelque chose que je fais depuis longtemps maintenant. Ça fait plus de 12 ans que je travaille sur la fertilité. Le podcast, j'ai encore envie de l'amener à un niveau encore plus important. Et donc pour ça, j'ai besoin de ton aide. Si ne fut-ce qu'un épisode a pu t'aider, je te remercie vraiment de prendre quelques secondes, quelques minutes éventuellement de ton temps. Pour faire ça, tu n'imagines pas à quel point ton aide me serait précieuse. Donc déjà, je te remercie d'avance et puis je te retrouve à très vite au sein d'un programme d'accompagnement. Et d'ici là, comme toujours, prends soin de toi. A très bientôt. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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Dans cet épisode, je te dévoile 5 zones souvent ignorées par les bilans classiques : inflammation silencieuse, homocystéine, thyroïde, microbiote et cortisol.


Tu vas découvrir pourquoi “normal” n’est pas toujours “optimal” pour concevoir, comment interpréter autrement tes analyses, et surtout par où commencer pour reprendre le pouvoir sur ta fertilité.


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent comprendre les vraies clés de leur fertilité.


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    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour ! Hello, c'est Mya de Positive Mind Attitude, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui c'est un épisode de... j'aurais presque envie de dire un peu coup de gueule quand même. Alors, tu me connais, tu sais que je suis relativement sans filtre, dans le sens où j'ai envie de te dire en fait ce que tu as besoin d'entendre et pas uniquement ce que tu aurais envie d'entendre. Et donc pour moi, c'est important aussi de pouvoir oser mettre les pieds dans le plat. Cet épisode est consécutif à plusieurs consultations que j'ai pu avoir au centre Onae, comme tu le sais. Je reçois des femmes et des couples, parce que c'est encore mieux si on vient en couple, en présentiel au sein de la première maison de fertilité qui a ouvert ses portes en Belgique, à Waterloo. Mais c'est aussi évidemment quelque chose que je vois très régulièrement dans ma pratique avec des accompagnements en visio. Mais c'est vrai que là, comme c'était du présentiel, ça m'a encore plus marquée. J'avais quand même vraiment envie de mettre les pieds dans le plat avec toi aujourd'hui et je pense que ça te sera vraiment plus qu'utile. En fait, si tu as déjà entendu des phrases qui ont quelque chose comme « tout est normal » , « il n'y a rien d'inquiétant » , « vos analyses sont bonnes » , « tout est correct » , etc. En réalité, cet épisode est vraiment pour toi. Même si on ne t'a pas dit ça, il est quand même pour toi, donc écoute-le jusqu'au bout parce qu'il est vraiment très important. Pourquoi ? Parce qu'en réalité, je vois en permanence, et ça c'est toutes les semaines et c'est même du quotidien, j'ai reçu des messages de femmes qui me disent « on m'a dit que mes analyses étaient ok, on m'a dit que de ce côté-là tout va bien, mais pourtant ça ne marche toujours pas » . Et c'est tout à fait normal évidemment de se poser la question, tu vois, parce que nous en tout cas on fait énormément de prises de sang en tant que femmes, enfin voilà, je veux dire, on fait beaucoup de prises de sang, on fait... beaucoup de rendez-vous médicaux, etc. Et finalement, tu n'obtiens pas ou très peu de réponses et je sais à quel point c'est hyper frustrant. Donc aujourd'hui, j'avais envie de te partager cinq zones, je sais presque on va dire aveugles, que la médecine classique ne regarde pas ou vraiment très très peu ou de manière très superficielle et qui pourtant pourraient faire toute la différence dans ton parcours. Et comme je te le disais, si je te parle de ça, c'est parce que ce sont encore une fois des choses que j'ai vues en consultation. Et où je me suis dit, mais non, on ne peut plus, tu vois, quand on a des personnes qui ont X, c'est même pas X mois, mais dans leur cas, c'était X années de parcours. Et je me dis, mais on ne leur a pas posé la question. On n'a pas été vérifié plus loin. Ce n'est pas possible parce qu'on leur fait vraiment perdre un temps précieux. Et je te laisse imaginer, évidemment, la détresse émotionnelle dans laquelle ça peut nous plonger. Je dis nous parce que j'ai aussi été dans ce cas-là. Et donc, je sais, en étant évidemment aujourd'hui de l'autre côté. Ce que c'est et à quel point on peut évidemment faire gagner un temps précieux. Donc la toute première chose, j'espère que tu es prête et n'hésite pas à mettre sur pause et à réécouter plusieurs fois parce que c'est vraiment un épisode qui est plus qu'important. Donc j'en ai déjà parlé plusieurs fois mais je le redis parce que c'est vraiment important et je veux que tu intègres cette notion là. Ce qui est important c'est d'éviter de tomber dans le piège du tout est normal. Parce que déjà, il faut comprendre que normal, ce n'est absolument pas synonyme d'optimal. Ce sont deux choses différentes. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la médecine conventionnelle telle que tu la connais, elle vit surtout à, en gros, dépister des pathologies, d'accord ? Mais elle n'est pas là pour optimiser la fertilité. Ce sont deux choses complètement différentes. Ça veut dire que tu peux très bien, par exemple, avoir une TSH. Allez, je prends juste l'exemple de la TSH. Tu peux avoir une TSH qui est dans les clous. et qui serait par exemple à 3,8. Mais en réalité, on te dirait que la TSH est dans les clous. Mais en réalité, si on cherche à concevoir, idéalement, il vaut mieux être en dessous de 2,5, voire même dans l'idéal. En tout cas, moi, c'est ce que je recommande parce que c'est issu de la médecine fonctionnelle, qui est une médecine différente de la médecine telle que toi tu la connais. La médecine fonctionnelle va plutôt préconiser des normes qui tournent autour de 1.5. Donc tu vois que finalement tu vas être dans la norme à 3.8, mais en réalité on n'est pas du tout sur des valeurs optimales de santé, ça n'a rien à voir. Donc c'est hyper important de ne pas te fier à ce tout est normal, d'accord ? C'est pareil pour ta vitamine D. L'immense majorité des normes labo te disent que, en gros, si tu es autour de 30, tu es dans la norme. Mais encore une fois, on est en période de préconception. Donc la norme ne vaut rien. Mais j'ai même envie de te dire que, même en dehors de la période de préconception, si tu cherches des valeurs optimales de santé, la norme ne vaut rien. Donc clairement, quand on est dans ton cas, qu'on cherche évidemment à avoir des valeurs optimales de santé, eh bien, il vaut mieux plutôt viser les 70, alors 70 ou 70, je ne sais pas d'où tu m'écoutes, entre, on va dire, je vais mettre à peu près tout le monde d'accord, ah non, j'allais dire 80, mais non, même si je dis 80, les Suisses vont dire 80, mais bon, bref, tu comprends, dans l'idée, c'est de te dire qu'il vaut mieux être entre 70 et 90, ça, c'est vraiment les normes en termes de vitamine D, et c'est... pas du tout des normes qui vont être préconisées par les médecins traditionnels. Donc c'est vraiment important de garder en tête que le but, ce n'est pas d'être dans la norme, mais bien de viser des valeurs optimales de santé. Et en fait, c'est vraiment quelque part ce qui piège énormément de femmes, parce que finalement, dans leurs analyses, on leur dit tout va bien, alors qu'en réalité, les taux ne sont pas du tout optimaux pour concevoir. Et donc ça, c'est vraiment quelque chose où je me dis, Ah non, il faut sortir absolument des valeurs. normes, des valeurs labo, si tu veux, pour vraiment mettre le focus sur des valeurs optimales de santé. Donc ça, c'est vraiment déjà une première chose. Ensuite, ce que j'ai envie de te partager, c'est qu'il y a des zones de manière générale. Là, c'était un petit peu une sorte de mise en garde générique pour te dire, attention, les normes labo, j'en ai déjà parlé, mais on n'y fait pas attention. Ensuite, pour moi, il y a cinq zones, vraiment. dans lesquelles la médecine telle que tu la connais ne s'aventure pas énormément, alors que ça peut vraiment faire toute la différence. Les cinq zones, en fait, je te les donne parce que ce sont les zones sur lesquelles je travaille le plus. Pourquoi je travaille le plus là-dessus ? Tout simplement parce que c'est ce que je rencontre au quotidien, c'est ce qui est vraiment le plus fréquent et qui peut vraiment poser de grosses difficultés, alors que c'est pas... toujours compliqué à corriger en réalité. Une fois qu'on a mis le doigt dessus, ça peut même aller très très vite. Mais il faut encore une fois l'identifier. La première chose à identifier, c'est l'inflammation silencieuse. Parce que toutes les inflammations chroniques, même si elles sont légères, peuvent compliquer l'implantation d'un embryon. Et pas uniquement à ce stade-là, ça peut même aussi compliquer quelque part la qualité ovocitaire. Parce que, je donne toujours une image, c'est que si tu as deux graines et que tu as le choix, pour pouvoir les planter, je suppose que tu ne vas pas aller chercher un terrain qui serait rocailleux, qui serait sec, qui serait vraiment un terrain aride. J'imagine que tu ne vas pas aller choisir cet endroit-là pour aller planter une graine. J'imagine que si on te donne le choix, tu vas plutôt aller chercher un terrain qui est avec une jolie terre, où elle est bien nourrie, où on va lui mettre de l'engrais, où ce n'est pas trop au soleil, mais ce n'est pas... totalement dans l'ombre non plus, où il y a un petit peu d'équilibre entre les deux. Eh bien, la fertilité, c'est exactement la même chose, évidemment. L'inflammation, c'est ce qui va rendre le terrain beaucoup plus aride, quelque part. Et donc, c'est ce qui peut venir compliquer toute la mécanique de la reproduction. Et ça, hélas, on ne la dépiste pas dans les bilans classiques, voire même, on ne va pas y faire attention, parce qu'encore une fois, on va rester sur des normes labo. Et tant que tu restes dans les normes labo, on ne se dit pas que ça peut être problématique. Donc vraiment, c'est hyper important d'aller tester l'inflammation. Tu vois, je te donne un simple exemple, mais une résistance à l'insuline, ça peut complètement dérégler ton ovulation, ça peut nuire à la qualité ovocitaire, alors que finalement, ça ne va pas forcément apparaître comme une réelle pathologie, tu vois. Donc c'est vraiment important d'aller creuser. Il y a des inflammations qui sont, et c'est là que c'est compliqué, donc je parle d'inflammations silencieuses, parce que ce sont des inflammations qui ne vont pas forcément te donner des signaux d'alerte francs et distincts. Donc c'est beaucoup plus sournois que ça, d'où l'importance d'aller les explorer. La deuxième chose, c'est l'homocystéine. L'homocystéine, en réalité, c'est un acide aminé, et quand on a des taux trop élevés, ça va aussi augmenter l'inflammation, ça va réduire la qualité de l'endomètre, ça va altérer la qualité ovocitaire. Et même à long terme, ça joue vraiment un rôle énorme au niveau des pathologies cardiovasculaires, etc. Et donc là, pareil, moi je vois des personnes avec des taux d'homocystéine qui ne sont pas du tout dans les clous, soit trop haute, soit trop basse. Et en réalité, trop haute, c'est vraiment dangereux d'un point de vue cardiovasculaire à long terme, mais trop basse, ça montre que ce n'est pas bon non plus. Donc c'est vraiment, vraiment important d'aller doser ton homocystéine et de veiller à ce qu'elle soit autour de 7%. 7.5, tu vois, et non pas jusqu'à 15, comme l'indiquent les normes labo. Encore une fois, je reviens avec ce que je te disais au début, mais attention, normes labo, quand on est vraiment dans une période de préconception, donc ça a deux fois plus d'importance que pour d'autres cas de figure. D'accord ? Donc le deuxième point, c'est l'homocystéine. Ça, c'est vraiment quelque chose que tu dois tester et auquel tu dois vraiment être attentif. Alors... La troisième chose, c'est pareil, j'en parle souvent parce que c'est quelque chose que je vois beaucoup aujourd'hui, c'est les hormones thyroïdiennes. Je vois énormément de femmes qui ont des problématiques de près ou de loin qui sont liées à la thyroïde. Parfois, ce sont des pathologies qui sont clairement posées, diagnostiquées, pas toujours correctement traitées, mais ça c'est un autre débat. Mais en tout cas, on voit clairement qu'il y a quelque chose au niveau de la thyroïde. Et maintenant, très sincèrement, ce n'est pas le cas de toutes les femmes que j'accompagne. J'ai énormément de femmes où on n'a pas creusé assez loin, on s'est contenté de nouveau de la TSH en se disant « bon, ça va, elle est dans les clous » , alors qu'en réalité, quand on regarde au niveau des cofacteurs, quand on regarde au niveau des anticorps, etc., on voit qu'il y a un problème. Donc c'est vraiment important de ne pas se limiter à ça. Mais je sais qu'aujourd'hui, globalement, c'est ce qu'on fait. Donc surtout, ne te limite pas à la TSH pour observer la thyroïde, parce que la thyroïde, elle joue un rôle énorme, vraiment, au niveau de l'intégralité de ton organisme, mais elle joue vraiment, vraiment un rôle énorme au niveau de ta fertilité. C'est crucial. Une thyroïde qui ne fonctionne pas correctement impacte terriblement la fertilité. Donc c'est vraiment quelque chose qu'il faut absolument, absolument corriger. Le quatrième point, c'est le microbiote intestinal. Alors, le microbiote intestinal, j'en parle beaucoup. Je pourrais même parler du microbiote utérin en réalité, parce qu'il est aussi très important. Mais c'est vrai que je vois de nouveau aussi énormément de personnes qui ont une hypersensibilité intestinale, où on voit qu'il y a parfois même des candidoses. On voit qu'il y a des choses qui sont... En tout cas, diagnostiqués, où on voit qu'il y a un terrain comme ça au niveau des intestins qui n'est pas cool, où on voit qu'il y a des inflammations, où on voit qu'il y a des douleurs, il y a des difficultés, il y a parfois même de vraies pathologies qui sont diagnostiquées. Et pour autant, on ne va pas chercher plus loin. Et ça, pour moi, c'est vraiment, vraiment une grave erreur. Parce que dès qu'il y a un déséquilibre au niveau du microbiote, eh bien, ça impacte. terriblement l'implantation embryonnaire. Et ça, c'est vraiment essentiel de s'en rendre compte. Donc aller creuser au niveau du microbiote, en réalité, c'est pas du tout quelque chose de superflu, c'est pas quelque chose d'optionnel, c'est vraiment important. Souvent, et c'est ce qui s'est passé lors des dernières sessions, mais à chaque fois, je questionne, j'ai aussi ce qu'on appelle l'échelle de Bristol, où je vais questionner sur... la qualité des selles, la fréquence, l'apparence, etc. Je pose énormément de questions. Et en fait, je me rends compte que vraiment, au niveau intestinal, ça ne va pas du tout. Et quand on fait des analyses et qu'on creuse un peu plus loin, les analyses viennent confirmer justement ce que j'avais pressenti. Et je vois qu'il y a énormément de choses au niveau intestinal qui ne sont pas correctes. Déjà parce que parfois, il y a des personnes qui ont des intolérances. Mais il y a aussi des personnes qui ont pas mal d'inflammations, qui ont des intestins irritables, qui ont ce qu'on appelle une... perméabilité intestinale. Et donc, c'est vraiment, vraiment important. Alors, je ne te parle même pas des personnes qui ont la maladie de Crohn. Encore une fois, ce n'est pas grave en soi d'avoir cette pathologie-là, même si j'entends évidemment qu'au quotidien, ça nécessite beaucoup d'ajustements, ça nécessite évidemment qu'on régule tout ça. Donc, loin de moi, l'idée de minimiser le ressenti du quotidien et ce qu'il y a à mettre en place, ce n'est pas du tout l'idée, tu t'en doutes. Mais par contre, ce qui est important, c'est de te dire que Ça se régule, on peut corriger tout ça sans que ce soit forcément compliqué. C'est important d'identifier les différentes problématiques qui peuvent se jouer au niveau du microbiote intestinal. Je ne sais pas si ça a déjà été ton cas, si on a creusé de ce côté-là, mais clairement, c'est quelque chose que je fais systématiquement dans mes accompagnements parce que c'est essentiel. D'ailleurs, même dans le programme Fertility, je t'explique en long, en large et en travers tout ce que tu dois savoir à propos de tout ça. Que ce soit d'ailleurs la thyroïde, que ce soit le microbiote, que ce soit tout ça, c'est vraiment vraiment essentiel parce que c'est un petit peu, je donne souvent cette image là, mais c'est un peu comme des grains de sable qui viennent finalement se coincer dans un mécanisme hyper complexe. Parfois, ce n'est pas un seul grain de sable qui vient freiner toute la machine, mais le problème, c'est que les grains de sable, on en a plein. Alors, ils sont tout petits, certes, mais parfois, ils sont un peu plus gros, mais en tout cas, ils viennent progressivement. compliquer la mécanique et parfois ça se coince complètement. Et donc c'est important d'aller faire le tri dans tout ça et d'aller voir où ça coince. Mais je sais que souvent, ce n'est pas fait. Alors il y a aussi autre chose, c'est que c'est intéressant quand même aussi d'aller regarder du côté du cortisol, du stress. Loin de moi, tu le sais. En tout cas, si tu me suis depuis un moment, tu le sais. Si tu me découvres, eh bien je le dis et je le répète encore une fois parce que pour moi c'est important. L'idée, ce n'est pas de te dire que c'est parce que tu y penses trop, que tu es trop stressé, que c'est dans ta tête, etc. Pas du tout, du tout, du tout. En revanche, effectivement, le fait d'être soumise à un stress chronique, je ne te parle pas d'un stress ponctuel, parce que si tu es en PMA, si tu es confronté à l'infertilité, enfin, je veux dire, ce sont des étapes de vie qui sont stressantes, évidemment. Il y a plein d'autres étapes de vie qui sont stressantes, mais l'idée, c'est que ce soit du ponctuel, de l'occasionnel. quand on est sur des choses qui traînent, qui durent et bien Oui, effectivement, ça va impacter ton taux de cortisol et donc ça va dérégler ton ovulation. Ça va dérégler finalement l'équilibre entre les oestrogènes et la progestérone. Ça va dérégler ton sommeil, ça va dérégler plein plein de choses. Et évidemment, tout ça, tu t'en doutes, ça a des répercussions. Alors, il y a plus de 10 ans, ce que je voyais, c'est que je voyais des taux de cortisol qui étaient élevés. Ça veut dire que je voyais des personnes qui avaient du stress, d'accord ? Aujourd'hui, je vois l'inverse. Je vois des taux de cortisol qui ne sont plus vraiment élevés, mais qui sont effondrés. Alors on va se dire, c'est bien, ça veut dire que la personne n'est pas en stress du tout. Et en réalité, c'est beaucoup plus complexe que ça, parce que ça veut dire tout simplement que le corps a lutté, lutté, lutté, lutté, et qu'à un moment donné, il s'est dit, j'en peux plus. Et en fait, il a posé les armes. Mais ça veut dire qu'en faisant ça, finalement, on est passé de l'autre côté et on est passé à un épuisement des glandes surrénales. on est passé dans... Plutôt côté burn-out en réalité. Et ça aussi, ce n'est pas meilleur en réalité parce que ça déséquilibre complètement tout ton axe hormonal. Donc c'est vraiment important. Donc ce que tu dois retenir de ça et ce que tu peux faire finalement, c'est bien de te rappeler quand même que s'il n'y a pas de grossesse ou si la grossesse ne dure pas, déjà ce n'est pas parce que tu stresses trop ou que tu y penses trop. On est bien d'accord là-dessus, ça n'a absolument rien à voir. à culpabiliser par rapport à ça. La première chose que je ferais si j'étais à ta place, c'est de te demander si déjà ces zones-là ont été vérifiées. Et si tu comprends et si tu as des choses qui ont été identifiées. Ça pour moi, c'est déjà vraiment la base. Et ensuite... Pour moi, l'étape d'après, c'est de te dire, ok, est-ce que je comprends ? Est-ce que je sais à quoi ça sert ? Et est-ce que je sais interpréter et optimiser les résultats ? Si la réponse est non, je t'invite vraiment, vraiment, vraiment à aller voir plus loin et à être accompagné. Parce que clairement, l'interprétation d'analyse, le fait de pouvoir établir un plan d'action, évidemment, ça nécessite des compétences bien particulières, ça nécessite des compétences... En hormonologie, en médecine fonctionnelle, ça nécessite des compétences, vraiment j'ai envie de dire globales, parce que, tu le sais, pour moi l'approche complète elle est essentielle. Travailler uniquement sur des analyses sans tenir compte des ressentis de la personne, ça n'a pas de sens non plus parce qu'on ne soigne pas un bilan sanguin, on soigne une personne qui a potentiellement des symptômes, mais pour lesquels personne n'a fait de lien. Donc ça pour moi c'est vraiment essentiel de remettre l'humain au cœur des analyses. et de comprendre et de faire des liens. Et c'est ce qui ressort en réalité des différentes consultations, c'est qu'à chaque fois on me dit, mais c'est incroyable, personne ne m'a posé ces questions-là jusqu'à maintenant, et personne n'a fait les liens avec telle ou telle pathologie que j'ai pourtant depuis des années, tu vois. Et ça pour moi, c'est l'essentiel, c'est la base, et c'est vraiment à ça que sert une approche 360, et c'est ça qui fait toute la différence dans les parcours. Donc ne reste pas avec ça. Si cet épisode t'a parlé, s'il a fait sens pour toi, c'est peut-être qu'il est temps d'aller creuser un peu plus loin. Si t'as envie d'aller creuser, à mon sens en tout cas, il y a deux options. Alors trois peut-être. La première, si tu es en Belgique, c'est viens, réserve une consultation avec moi au sein du centre ONAE. Comme ça, on va pouvoir avancer ensemble. D'accord ? Ça, c'est la première chose. Maintenant, Si tu n'habites pas en Belgique, si tu habites trop loin du centre, la première chose que je te recommande, évidemment, c'est le programme Fertility parce que c'est un accompagnement qui est complet. C'est un accompagnement en ligne que tu peux faire à ton rythme et qui est basé sur les quatre piliers de la fertilité, c'est-à-dire toute la dimension émotionnelle, physiologique, médicale, énergétique. Donc tu vois à quel point le programme est archi complet. Tu peux avancer. à ton aise et en fait tu vas être guidé étape par étape pour optimiser tous ces leviers-là, en sachant en plus qu'une fois par mois, j'organise aussi une session de coaching. Donc même dans ce contexte-là, même dans le cadre d'un accompagnement en ligne, tu n'es pas seul, je suis quand même à tes côtés et ça c'est important de le rappeler. Donc si tout ce que je te dis te parle, pour moi la première chose à faire c'est ça, c'est de rejoindre le programme Fertility. Si vraiment tu me découvres, que tu ne me connais pas encore, que tu dis je préfère découvrir, avancer doucement et découvrir un petit peu l'univers, dans ce cas-là je t'invite vraiment à découvrir le cercle Fertility parce que là c'est mon espace de soutien pour toi qui est continu. Ce n'est pas un programme, c'est un refuge. Ça veut dire que chaque semaine tu vas pouvoir retrouver un audio qui se veut un audio vraiment concret, de conseils qui sont applicables. des réponses à tes questions, des partages d'expériences et évidemment un groupe de soutien pour ne plus avancer seul. La cerise sur le gâteau, en plus, c'est que c'est vraiment un tarif mini. Pour moi, ces deux approches sont vraiment totalement complémentaires. Pourquoi ? Parce que le cercle, il est idéal pour te familiariser avec mon univers et déjà avancer en mettant des bonnes actions en place tout en étant soutenu. C'est vraiment ton refuge. Et fertility, évidemment, eh bien là, il est... Le programme, si tu veux avancer à plus grands pas pour transformer concrètement ton parcours, si tu veux savoir exactement quoi faire, si tu veux comprendre. J'aurais presque envie de te dire redevenir actrice, mais quand je te dis ça, je sais que tu vas me dire mais je fais déjà plein de choses et je sais que tu les fais. Mais peut-être pas dans le bon ordre ou peut-être pas des choses qui sont adaptées à ton profil. Et ça pour moi c'est important parce que c'est aussi quelque chose que j'explique au sein du programme Fertility. C'est qu'il y a plein de profils différents, il y a des choses qui te correspondent, des choses qui te correspondent moins, et donc c'est vraiment essentiel d'avoir toutes ces infos-là. Tu accèdes à des tableaux qui te disent exactement quoi doser, quelles sont les normes que tu dois obtenir, comment faire pour ajuster tout ça. Il y a zéro rétention d'informations. Ce programme, il est fait pour te permettre de comprendre. Et il n'y a pas besoin d'avoir fait médecine pour faire ce programme. Il est archi simple en termes de compréhension, parce que je crois que c'est vraiment un de mes points forts, c'est de transmettre des choses qui pourraient sembler compliquées. et de les expliquer vraiment de façon très simple. Mais pour moi, c'est vraiment essentiel de te dire, voilà, le programme Fertility, tu vas pouvoir avancer à pas de géant parce que ça va te permettre de comprendre. Et quand tu comprends, je te promets que ça change tout. Ça fait toute la différence comparativement au fait d'essayer un petit peu à droite, un petit peu à gauche et d'essayer de trouver éventuellement ce qui peut-être pourrait te correspondre. Là, on n'est pas là-dedans du tout. Tu as des plans d'action qui sont... simple, clair, efficace et ça fait toute la différence. Donc vraiment, je t'invite à rejoindre le programme Fertility ou si tu préfères découvrir et y aller à tout petit pas, mettre juste un orteil dans mon univers, et bien de découvrir le cercle Fertility. En tout cas, quelle que soit l'option que tu choisis, je me fais un plaisir de t'y retrouver. Tu vas retrouver évidemment les liens pour rejoindre tout ça dans la description de cet épisode. Merci beaucoup d'avoir écouté l'épisode. si tu penses que Ce sont des épisodes qui sont utiles, je te remercie vraiment de prendre juste quelques minutes pour venir me noter, d'aller mettre des étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée, d'aller me laisser un commentaire, parce que c'est aussi ce qui permet à mon travail d'être visible auprès des femmes qui en ont besoin. Et pour toi, ça va te prendre quelques secondes, et pour moi, c'est juste énorme le temps que j'y passe pour apporter toujours du contenu qui soit qualitatif, et donc j'ai pour ça évidemment, j'ai besoin d'avoir un petit peu de visibilité, un petit peu de pouvoir toucher en tout cas les personnes qui en ont besoin, parce que ça reste ma mission. Tu sais que c'est quelque chose que je fais depuis longtemps maintenant. Ça fait plus de 12 ans que je travaille sur la fertilité. Le podcast, j'ai encore envie de l'amener à un niveau encore plus important. Et donc pour ça, j'ai besoin de ton aide. Si ne fut-ce qu'un épisode a pu t'aider, je te remercie vraiment de prendre quelques secondes, quelques minutes éventuellement de ton temps. Pour faire ça, tu n'imagines pas à quel point ton aide me serait précieuse. Donc déjà, je te remercie d'avance et puis je te retrouve à très vite au sein d'un programme d'accompagnement. Et d'ici là, comme toujours, prends soin de toi. A très bientôt. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

Dans cet épisode, je te dévoile 5 zones souvent ignorées par les bilans classiques : inflammation silencieuse, homocystéine, thyroïde, microbiote et cortisol.


Tu vas découvrir pourquoi “normal” n’est pas toujours “optimal” pour concevoir, comment interpréter autrement tes analyses, et surtout par où commencer pour reprendre le pouvoir sur ta fertilité.


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent comprendre les vraies clés de leur fertilité.


Découvre Honae, ce lieu d’exception en Belgique, où mes consultations en présentiel transforment des parcours entiers : clique ici pour réserver ton créneau avec moi


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➡️ Le Cercle 

➡️ Programme d'accompagnement Fertility

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  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour ! Hello, c'est Mya de Positive Mind Attitude, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui c'est un épisode de... j'aurais presque envie de dire un peu coup de gueule quand même. Alors, tu me connais, tu sais que je suis relativement sans filtre, dans le sens où j'ai envie de te dire en fait ce que tu as besoin d'entendre et pas uniquement ce que tu aurais envie d'entendre. Et donc pour moi, c'est important aussi de pouvoir oser mettre les pieds dans le plat. Cet épisode est consécutif à plusieurs consultations que j'ai pu avoir au centre Onae, comme tu le sais. Je reçois des femmes et des couples, parce que c'est encore mieux si on vient en couple, en présentiel au sein de la première maison de fertilité qui a ouvert ses portes en Belgique, à Waterloo. Mais c'est aussi évidemment quelque chose que je vois très régulièrement dans ma pratique avec des accompagnements en visio. Mais c'est vrai que là, comme c'était du présentiel, ça m'a encore plus marquée. J'avais quand même vraiment envie de mettre les pieds dans le plat avec toi aujourd'hui et je pense que ça te sera vraiment plus qu'utile. En fait, si tu as déjà entendu des phrases qui ont quelque chose comme « tout est normal » , « il n'y a rien d'inquiétant » , « vos analyses sont bonnes » , « tout est correct » , etc. En réalité, cet épisode est vraiment pour toi. Même si on ne t'a pas dit ça, il est quand même pour toi, donc écoute-le jusqu'au bout parce qu'il est vraiment très important. Pourquoi ? Parce qu'en réalité, je vois en permanence, et ça c'est toutes les semaines et c'est même du quotidien, j'ai reçu des messages de femmes qui me disent « on m'a dit que mes analyses étaient ok, on m'a dit que de ce côté-là tout va bien, mais pourtant ça ne marche toujours pas » . Et c'est tout à fait normal évidemment de se poser la question, tu vois, parce que nous en tout cas on fait énormément de prises de sang en tant que femmes, enfin voilà, je veux dire, on fait beaucoup de prises de sang, on fait... beaucoup de rendez-vous médicaux, etc. Et finalement, tu n'obtiens pas ou très peu de réponses et je sais à quel point c'est hyper frustrant. Donc aujourd'hui, j'avais envie de te partager cinq zones, je sais presque on va dire aveugles, que la médecine classique ne regarde pas ou vraiment très très peu ou de manière très superficielle et qui pourtant pourraient faire toute la différence dans ton parcours. Et comme je te le disais, si je te parle de ça, c'est parce que ce sont encore une fois des choses que j'ai vues en consultation. Et où je me suis dit, mais non, on ne peut plus, tu vois, quand on a des personnes qui ont X, c'est même pas X mois, mais dans leur cas, c'était X années de parcours. Et je me dis, mais on ne leur a pas posé la question. On n'a pas été vérifié plus loin. Ce n'est pas possible parce qu'on leur fait vraiment perdre un temps précieux. Et je te laisse imaginer, évidemment, la détresse émotionnelle dans laquelle ça peut nous plonger. Je dis nous parce que j'ai aussi été dans ce cas-là. Et donc, je sais, en étant évidemment aujourd'hui de l'autre côté. Ce que c'est et à quel point on peut évidemment faire gagner un temps précieux. Donc la toute première chose, j'espère que tu es prête et n'hésite pas à mettre sur pause et à réécouter plusieurs fois parce que c'est vraiment un épisode qui est plus qu'important. Donc j'en ai déjà parlé plusieurs fois mais je le redis parce que c'est vraiment important et je veux que tu intègres cette notion là. Ce qui est important c'est d'éviter de tomber dans le piège du tout est normal. Parce que déjà, il faut comprendre que normal, ce n'est absolument pas synonyme d'optimal. Ce sont deux choses différentes. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la médecine conventionnelle telle que tu la connais, elle vit surtout à, en gros, dépister des pathologies, d'accord ? Mais elle n'est pas là pour optimiser la fertilité. Ce sont deux choses complètement différentes. Ça veut dire que tu peux très bien, par exemple, avoir une TSH. Allez, je prends juste l'exemple de la TSH. Tu peux avoir une TSH qui est dans les clous. et qui serait par exemple à 3,8. Mais en réalité, on te dirait que la TSH est dans les clous. Mais en réalité, si on cherche à concevoir, idéalement, il vaut mieux être en dessous de 2,5, voire même dans l'idéal. En tout cas, moi, c'est ce que je recommande parce que c'est issu de la médecine fonctionnelle, qui est une médecine différente de la médecine telle que toi tu la connais. La médecine fonctionnelle va plutôt préconiser des normes qui tournent autour de 1.5. Donc tu vois que finalement tu vas être dans la norme à 3.8, mais en réalité on n'est pas du tout sur des valeurs optimales de santé, ça n'a rien à voir. Donc c'est hyper important de ne pas te fier à ce tout est normal, d'accord ? C'est pareil pour ta vitamine D. L'immense majorité des normes labo te disent que, en gros, si tu es autour de 30, tu es dans la norme. Mais encore une fois, on est en période de préconception. Donc la norme ne vaut rien. Mais j'ai même envie de te dire que, même en dehors de la période de préconception, si tu cherches des valeurs optimales de santé, la norme ne vaut rien. Donc clairement, quand on est dans ton cas, qu'on cherche évidemment à avoir des valeurs optimales de santé, eh bien, il vaut mieux plutôt viser les 70, alors 70 ou 70, je ne sais pas d'où tu m'écoutes, entre, on va dire, je vais mettre à peu près tout le monde d'accord, ah non, j'allais dire 80, mais non, même si je dis 80, les Suisses vont dire 80, mais bon, bref, tu comprends, dans l'idée, c'est de te dire qu'il vaut mieux être entre 70 et 90, ça, c'est vraiment les normes en termes de vitamine D, et c'est... pas du tout des normes qui vont être préconisées par les médecins traditionnels. Donc c'est vraiment important de garder en tête que le but, ce n'est pas d'être dans la norme, mais bien de viser des valeurs optimales de santé. Et en fait, c'est vraiment quelque part ce qui piège énormément de femmes, parce que finalement, dans leurs analyses, on leur dit tout va bien, alors qu'en réalité, les taux ne sont pas du tout optimaux pour concevoir. Et donc ça, c'est vraiment quelque chose où je me dis, Ah non, il faut sortir absolument des valeurs. normes, des valeurs labo, si tu veux, pour vraiment mettre le focus sur des valeurs optimales de santé. Donc ça, c'est vraiment déjà une première chose. Ensuite, ce que j'ai envie de te partager, c'est qu'il y a des zones de manière générale. Là, c'était un petit peu une sorte de mise en garde générique pour te dire, attention, les normes labo, j'en ai déjà parlé, mais on n'y fait pas attention. Ensuite, pour moi, il y a cinq zones, vraiment. dans lesquelles la médecine telle que tu la connais ne s'aventure pas énormément, alors que ça peut vraiment faire toute la différence. Les cinq zones, en fait, je te les donne parce que ce sont les zones sur lesquelles je travaille le plus. Pourquoi je travaille le plus là-dessus ? Tout simplement parce que c'est ce que je rencontre au quotidien, c'est ce qui est vraiment le plus fréquent et qui peut vraiment poser de grosses difficultés, alors que c'est pas... toujours compliqué à corriger en réalité. Une fois qu'on a mis le doigt dessus, ça peut même aller très très vite. Mais il faut encore une fois l'identifier. La première chose à identifier, c'est l'inflammation silencieuse. Parce que toutes les inflammations chroniques, même si elles sont légères, peuvent compliquer l'implantation d'un embryon. Et pas uniquement à ce stade-là, ça peut même aussi compliquer quelque part la qualité ovocitaire. Parce que, je donne toujours une image, c'est que si tu as deux graines et que tu as le choix, pour pouvoir les planter, je suppose que tu ne vas pas aller chercher un terrain qui serait rocailleux, qui serait sec, qui serait vraiment un terrain aride. J'imagine que tu ne vas pas aller choisir cet endroit-là pour aller planter une graine. J'imagine que si on te donne le choix, tu vas plutôt aller chercher un terrain qui est avec une jolie terre, où elle est bien nourrie, où on va lui mettre de l'engrais, où ce n'est pas trop au soleil, mais ce n'est pas... totalement dans l'ombre non plus, où il y a un petit peu d'équilibre entre les deux. Eh bien, la fertilité, c'est exactement la même chose, évidemment. L'inflammation, c'est ce qui va rendre le terrain beaucoup plus aride, quelque part. Et donc, c'est ce qui peut venir compliquer toute la mécanique de la reproduction. Et ça, hélas, on ne la dépiste pas dans les bilans classiques, voire même, on ne va pas y faire attention, parce qu'encore une fois, on va rester sur des normes labo. Et tant que tu restes dans les normes labo, on ne se dit pas que ça peut être problématique. Donc vraiment, c'est hyper important d'aller tester l'inflammation. Tu vois, je te donne un simple exemple, mais une résistance à l'insuline, ça peut complètement dérégler ton ovulation, ça peut nuire à la qualité ovocitaire, alors que finalement, ça ne va pas forcément apparaître comme une réelle pathologie, tu vois. Donc c'est vraiment important d'aller creuser. Il y a des inflammations qui sont, et c'est là que c'est compliqué, donc je parle d'inflammations silencieuses, parce que ce sont des inflammations qui ne vont pas forcément te donner des signaux d'alerte francs et distincts. Donc c'est beaucoup plus sournois que ça, d'où l'importance d'aller les explorer. La deuxième chose, c'est l'homocystéine. L'homocystéine, en réalité, c'est un acide aminé, et quand on a des taux trop élevés, ça va aussi augmenter l'inflammation, ça va réduire la qualité de l'endomètre, ça va altérer la qualité ovocitaire. Et même à long terme, ça joue vraiment un rôle énorme au niveau des pathologies cardiovasculaires, etc. Et donc là, pareil, moi je vois des personnes avec des taux d'homocystéine qui ne sont pas du tout dans les clous, soit trop haute, soit trop basse. Et en réalité, trop haute, c'est vraiment dangereux d'un point de vue cardiovasculaire à long terme, mais trop basse, ça montre que ce n'est pas bon non plus. Donc c'est vraiment, vraiment important d'aller doser ton homocystéine et de veiller à ce qu'elle soit autour de 7%. 7.5, tu vois, et non pas jusqu'à 15, comme l'indiquent les normes labo. Encore une fois, je reviens avec ce que je te disais au début, mais attention, normes labo, quand on est vraiment dans une période de préconception, donc ça a deux fois plus d'importance que pour d'autres cas de figure. D'accord ? Donc le deuxième point, c'est l'homocystéine. Ça, c'est vraiment quelque chose que tu dois tester et auquel tu dois vraiment être attentif. Alors... La troisième chose, c'est pareil, j'en parle souvent parce que c'est quelque chose que je vois beaucoup aujourd'hui, c'est les hormones thyroïdiennes. Je vois énormément de femmes qui ont des problématiques de près ou de loin qui sont liées à la thyroïde. Parfois, ce sont des pathologies qui sont clairement posées, diagnostiquées, pas toujours correctement traitées, mais ça c'est un autre débat. Mais en tout cas, on voit clairement qu'il y a quelque chose au niveau de la thyroïde. Et maintenant, très sincèrement, ce n'est pas le cas de toutes les femmes que j'accompagne. J'ai énormément de femmes où on n'a pas creusé assez loin, on s'est contenté de nouveau de la TSH en se disant « bon, ça va, elle est dans les clous » , alors qu'en réalité, quand on regarde au niveau des cofacteurs, quand on regarde au niveau des anticorps, etc., on voit qu'il y a un problème. Donc c'est vraiment important de ne pas se limiter à ça. Mais je sais qu'aujourd'hui, globalement, c'est ce qu'on fait. Donc surtout, ne te limite pas à la TSH pour observer la thyroïde, parce que la thyroïde, elle joue un rôle énorme, vraiment, au niveau de l'intégralité de ton organisme, mais elle joue vraiment, vraiment un rôle énorme au niveau de ta fertilité. C'est crucial. Une thyroïde qui ne fonctionne pas correctement impacte terriblement la fertilité. Donc c'est vraiment quelque chose qu'il faut absolument, absolument corriger. Le quatrième point, c'est le microbiote intestinal. Alors, le microbiote intestinal, j'en parle beaucoup. Je pourrais même parler du microbiote utérin en réalité, parce qu'il est aussi très important. Mais c'est vrai que je vois de nouveau aussi énormément de personnes qui ont une hypersensibilité intestinale, où on voit qu'il y a parfois même des candidoses. On voit qu'il y a des choses qui sont... En tout cas, diagnostiqués, où on voit qu'il y a un terrain comme ça au niveau des intestins qui n'est pas cool, où on voit qu'il y a des inflammations, où on voit qu'il y a des douleurs, il y a des difficultés, il y a parfois même de vraies pathologies qui sont diagnostiquées. Et pour autant, on ne va pas chercher plus loin. Et ça, pour moi, c'est vraiment, vraiment une grave erreur. Parce que dès qu'il y a un déséquilibre au niveau du microbiote, eh bien, ça impacte. terriblement l'implantation embryonnaire. Et ça, c'est vraiment essentiel de s'en rendre compte. Donc aller creuser au niveau du microbiote, en réalité, c'est pas du tout quelque chose de superflu, c'est pas quelque chose d'optionnel, c'est vraiment important. Souvent, et c'est ce qui s'est passé lors des dernières sessions, mais à chaque fois, je questionne, j'ai aussi ce qu'on appelle l'échelle de Bristol, où je vais questionner sur... la qualité des selles, la fréquence, l'apparence, etc. Je pose énormément de questions. Et en fait, je me rends compte que vraiment, au niveau intestinal, ça ne va pas du tout. Et quand on fait des analyses et qu'on creuse un peu plus loin, les analyses viennent confirmer justement ce que j'avais pressenti. Et je vois qu'il y a énormément de choses au niveau intestinal qui ne sont pas correctes. Déjà parce que parfois, il y a des personnes qui ont des intolérances. Mais il y a aussi des personnes qui ont pas mal d'inflammations, qui ont des intestins irritables, qui ont ce qu'on appelle une... perméabilité intestinale. Et donc, c'est vraiment, vraiment important. Alors, je ne te parle même pas des personnes qui ont la maladie de Crohn. Encore une fois, ce n'est pas grave en soi d'avoir cette pathologie-là, même si j'entends évidemment qu'au quotidien, ça nécessite beaucoup d'ajustements, ça nécessite évidemment qu'on régule tout ça. Donc, loin de moi, l'idée de minimiser le ressenti du quotidien et ce qu'il y a à mettre en place, ce n'est pas du tout l'idée, tu t'en doutes. Mais par contre, ce qui est important, c'est de te dire que Ça se régule, on peut corriger tout ça sans que ce soit forcément compliqué. C'est important d'identifier les différentes problématiques qui peuvent se jouer au niveau du microbiote intestinal. Je ne sais pas si ça a déjà été ton cas, si on a creusé de ce côté-là, mais clairement, c'est quelque chose que je fais systématiquement dans mes accompagnements parce que c'est essentiel. D'ailleurs, même dans le programme Fertility, je t'explique en long, en large et en travers tout ce que tu dois savoir à propos de tout ça. Que ce soit d'ailleurs la thyroïde, que ce soit le microbiote, que ce soit tout ça, c'est vraiment vraiment essentiel parce que c'est un petit peu, je donne souvent cette image là, mais c'est un peu comme des grains de sable qui viennent finalement se coincer dans un mécanisme hyper complexe. Parfois, ce n'est pas un seul grain de sable qui vient freiner toute la machine, mais le problème, c'est que les grains de sable, on en a plein. Alors, ils sont tout petits, certes, mais parfois, ils sont un peu plus gros, mais en tout cas, ils viennent progressivement. compliquer la mécanique et parfois ça se coince complètement. Et donc c'est important d'aller faire le tri dans tout ça et d'aller voir où ça coince. Mais je sais que souvent, ce n'est pas fait. Alors il y a aussi autre chose, c'est que c'est intéressant quand même aussi d'aller regarder du côté du cortisol, du stress. Loin de moi, tu le sais. En tout cas, si tu me suis depuis un moment, tu le sais. Si tu me découvres, eh bien je le dis et je le répète encore une fois parce que pour moi c'est important. L'idée, ce n'est pas de te dire que c'est parce que tu y penses trop, que tu es trop stressé, que c'est dans ta tête, etc. Pas du tout, du tout, du tout. En revanche, effectivement, le fait d'être soumise à un stress chronique, je ne te parle pas d'un stress ponctuel, parce que si tu es en PMA, si tu es confronté à l'infertilité, enfin, je veux dire, ce sont des étapes de vie qui sont stressantes, évidemment. Il y a plein d'autres étapes de vie qui sont stressantes, mais l'idée, c'est que ce soit du ponctuel, de l'occasionnel. quand on est sur des choses qui traînent, qui durent et bien Oui, effectivement, ça va impacter ton taux de cortisol et donc ça va dérégler ton ovulation. Ça va dérégler finalement l'équilibre entre les oestrogènes et la progestérone. Ça va dérégler ton sommeil, ça va dérégler plein plein de choses. Et évidemment, tout ça, tu t'en doutes, ça a des répercussions. Alors, il y a plus de 10 ans, ce que je voyais, c'est que je voyais des taux de cortisol qui étaient élevés. Ça veut dire que je voyais des personnes qui avaient du stress, d'accord ? Aujourd'hui, je vois l'inverse. Je vois des taux de cortisol qui ne sont plus vraiment élevés, mais qui sont effondrés. Alors on va se dire, c'est bien, ça veut dire que la personne n'est pas en stress du tout. Et en réalité, c'est beaucoup plus complexe que ça, parce que ça veut dire tout simplement que le corps a lutté, lutté, lutté, lutté, et qu'à un moment donné, il s'est dit, j'en peux plus. Et en fait, il a posé les armes. Mais ça veut dire qu'en faisant ça, finalement, on est passé de l'autre côté et on est passé à un épuisement des glandes surrénales. on est passé dans... Plutôt côté burn-out en réalité. Et ça aussi, ce n'est pas meilleur en réalité parce que ça déséquilibre complètement tout ton axe hormonal. Donc c'est vraiment important. Donc ce que tu dois retenir de ça et ce que tu peux faire finalement, c'est bien de te rappeler quand même que s'il n'y a pas de grossesse ou si la grossesse ne dure pas, déjà ce n'est pas parce que tu stresses trop ou que tu y penses trop. On est bien d'accord là-dessus, ça n'a absolument rien à voir. à culpabiliser par rapport à ça. La première chose que je ferais si j'étais à ta place, c'est de te demander si déjà ces zones-là ont été vérifiées. Et si tu comprends et si tu as des choses qui ont été identifiées. Ça pour moi, c'est déjà vraiment la base. Et ensuite... Pour moi, l'étape d'après, c'est de te dire, ok, est-ce que je comprends ? Est-ce que je sais à quoi ça sert ? Et est-ce que je sais interpréter et optimiser les résultats ? Si la réponse est non, je t'invite vraiment, vraiment, vraiment à aller voir plus loin et à être accompagné. Parce que clairement, l'interprétation d'analyse, le fait de pouvoir établir un plan d'action, évidemment, ça nécessite des compétences bien particulières, ça nécessite des compétences... En hormonologie, en médecine fonctionnelle, ça nécessite des compétences, vraiment j'ai envie de dire globales, parce que, tu le sais, pour moi l'approche complète elle est essentielle. Travailler uniquement sur des analyses sans tenir compte des ressentis de la personne, ça n'a pas de sens non plus parce qu'on ne soigne pas un bilan sanguin, on soigne une personne qui a potentiellement des symptômes, mais pour lesquels personne n'a fait de lien. Donc ça pour moi c'est vraiment essentiel de remettre l'humain au cœur des analyses. et de comprendre et de faire des liens. Et c'est ce qui ressort en réalité des différentes consultations, c'est qu'à chaque fois on me dit, mais c'est incroyable, personne ne m'a posé ces questions-là jusqu'à maintenant, et personne n'a fait les liens avec telle ou telle pathologie que j'ai pourtant depuis des années, tu vois. Et ça pour moi, c'est l'essentiel, c'est la base, et c'est vraiment à ça que sert une approche 360, et c'est ça qui fait toute la différence dans les parcours. Donc ne reste pas avec ça. Si cet épisode t'a parlé, s'il a fait sens pour toi, c'est peut-être qu'il est temps d'aller creuser un peu plus loin. Si t'as envie d'aller creuser, à mon sens en tout cas, il y a deux options. Alors trois peut-être. La première, si tu es en Belgique, c'est viens, réserve une consultation avec moi au sein du centre ONAE. Comme ça, on va pouvoir avancer ensemble. D'accord ? Ça, c'est la première chose. Maintenant, Si tu n'habites pas en Belgique, si tu habites trop loin du centre, la première chose que je te recommande, évidemment, c'est le programme Fertility parce que c'est un accompagnement qui est complet. C'est un accompagnement en ligne que tu peux faire à ton rythme et qui est basé sur les quatre piliers de la fertilité, c'est-à-dire toute la dimension émotionnelle, physiologique, médicale, énergétique. Donc tu vois à quel point le programme est archi complet. Tu peux avancer. à ton aise et en fait tu vas être guidé étape par étape pour optimiser tous ces leviers-là, en sachant en plus qu'une fois par mois, j'organise aussi une session de coaching. Donc même dans ce contexte-là, même dans le cadre d'un accompagnement en ligne, tu n'es pas seul, je suis quand même à tes côtés et ça c'est important de le rappeler. Donc si tout ce que je te dis te parle, pour moi la première chose à faire c'est ça, c'est de rejoindre le programme Fertility. Si vraiment tu me découvres, que tu ne me connais pas encore, que tu dis je préfère découvrir, avancer doucement et découvrir un petit peu l'univers, dans ce cas-là je t'invite vraiment à découvrir le cercle Fertility parce que là c'est mon espace de soutien pour toi qui est continu. Ce n'est pas un programme, c'est un refuge. Ça veut dire que chaque semaine tu vas pouvoir retrouver un audio qui se veut un audio vraiment concret, de conseils qui sont applicables. des réponses à tes questions, des partages d'expériences et évidemment un groupe de soutien pour ne plus avancer seul. La cerise sur le gâteau, en plus, c'est que c'est vraiment un tarif mini. Pour moi, ces deux approches sont vraiment totalement complémentaires. Pourquoi ? Parce que le cercle, il est idéal pour te familiariser avec mon univers et déjà avancer en mettant des bonnes actions en place tout en étant soutenu. C'est vraiment ton refuge. Et fertility, évidemment, eh bien là, il est... Le programme, si tu veux avancer à plus grands pas pour transformer concrètement ton parcours, si tu veux savoir exactement quoi faire, si tu veux comprendre. J'aurais presque envie de te dire redevenir actrice, mais quand je te dis ça, je sais que tu vas me dire mais je fais déjà plein de choses et je sais que tu les fais. Mais peut-être pas dans le bon ordre ou peut-être pas des choses qui sont adaptées à ton profil. Et ça pour moi c'est important parce que c'est aussi quelque chose que j'explique au sein du programme Fertility. C'est qu'il y a plein de profils différents, il y a des choses qui te correspondent, des choses qui te correspondent moins, et donc c'est vraiment essentiel d'avoir toutes ces infos-là. Tu accèdes à des tableaux qui te disent exactement quoi doser, quelles sont les normes que tu dois obtenir, comment faire pour ajuster tout ça. Il y a zéro rétention d'informations. Ce programme, il est fait pour te permettre de comprendre. Et il n'y a pas besoin d'avoir fait médecine pour faire ce programme. Il est archi simple en termes de compréhension, parce que je crois que c'est vraiment un de mes points forts, c'est de transmettre des choses qui pourraient sembler compliquées. et de les expliquer vraiment de façon très simple. Mais pour moi, c'est vraiment essentiel de te dire, voilà, le programme Fertility, tu vas pouvoir avancer à pas de géant parce que ça va te permettre de comprendre. Et quand tu comprends, je te promets que ça change tout. Ça fait toute la différence comparativement au fait d'essayer un petit peu à droite, un petit peu à gauche et d'essayer de trouver éventuellement ce qui peut-être pourrait te correspondre. Là, on n'est pas là-dedans du tout. Tu as des plans d'action qui sont... simple, clair, efficace et ça fait toute la différence. Donc vraiment, je t'invite à rejoindre le programme Fertility ou si tu préfères découvrir et y aller à tout petit pas, mettre juste un orteil dans mon univers, et bien de découvrir le cercle Fertility. En tout cas, quelle que soit l'option que tu choisis, je me fais un plaisir de t'y retrouver. Tu vas retrouver évidemment les liens pour rejoindre tout ça dans la description de cet épisode. Merci beaucoup d'avoir écouté l'épisode. si tu penses que Ce sont des épisodes qui sont utiles, je te remercie vraiment de prendre juste quelques minutes pour venir me noter, d'aller mettre des étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée, d'aller me laisser un commentaire, parce que c'est aussi ce qui permet à mon travail d'être visible auprès des femmes qui en ont besoin. Et pour toi, ça va te prendre quelques secondes, et pour moi, c'est juste énorme le temps que j'y passe pour apporter toujours du contenu qui soit qualitatif, et donc j'ai pour ça évidemment, j'ai besoin d'avoir un petit peu de visibilité, un petit peu de pouvoir toucher en tout cas les personnes qui en ont besoin, parce que ça reste ma mission. Tu sais que c'est quelque chose que je fais depuis longtemps maintenant. Ça fait plus de 12 ans que je travaille sur la fertilité. Le podcast, j'ai encore envie de l'amener à un niveau encore plus important. Et donc pour ça, j'ai besoin de ton aide. Si ne fut-ce qu'un épisode a pu t'aider, je te remercie vraiment de prendre quelques secondes, quelques minutes éventuellement de ton temps. Pour faire ça, tu n'imagines pas à quel point ton aide me serait précieuse. Donc déjà, je te remercie d'avance et puis je te retrouve à très vite au sein d'un programme d'accompagnement. Et d'ici là, comme toujours, prends soin de toi. A très bientôt. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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