Speaker #0Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un épisode... Un peu particulier quand même, parce qu'on est le 15 octobre, et le 15 octobre, c'est la journée du deuil périnatel. Donc c'est un épisode, je ne peux pas dire que j'ai hésité à faire, parce que ce n'est pas tout à fait vrai, tu sais que j'aime parler de tous les sujets qui ont trait à la fertilité, et j'aime aussi contribuer à briser les tabous, et pour moi, ça reste important de pouvoir en parler. Je sais que c'est un épisode qui va toucher à quelque chose d'intime, de douloureux, mais aussi très important parce qu'encore une fois, il y a un vrai tabou autour de ça. Ces fameux trois mois sous silence, tu vois. Et c'est vrai que généralement, moi, je te parle de la PMA, je te parle de la fertilité, je te parle des traitements, je te parle de tout ça parce que ça reste évidemment, j'ai presque envie de dire mon cœur de métier. Évidemment, je mets le focus sur la fertilité. J'ai aussi envie, en tout cas ça me tient à cœur, de te parler aussi des fois où la grossesse s'arrête. Et peu importe que ça s'arrête à 5 semaines, à 10 semaines, à 20 semaines, peu importe, ce que tu vis à ce moment-là, c'est vraiment une cassure intérieure. Et trop souvent, en plus, cette cassure intérieure, tu la vis toute seule. Et je sais de quoi je parle parce que je l'ai vécu moi-même à deux reprises. Et donc, c'est un sujet qui me tient quand même vraiment à cœur de pouvoir en parler. Et voilà, je pense que je te partagerai aussi probablement, je ne sais pas encore, je me laisse libre cours par rapport à cet épisode, mais comme toujours, la liberté étant une de mes valeurs fondamentales. Mes épisodes de podcast ne sont jamais scriptés. Moi, je me mets parfois des mots-clés quand il y a des choses techniques où je me dis « tiens, ça je dois absolument dire » . Je vais me noter des mots-clés pour être sûre de n'oublier aucun concept, mais je ne scripte jamais mes épisodes. Et ici, c'est pareil. Et là, je n'ai même aucun mot-clé parce que je sais que je vais te parler du deuil périménatal. Je sais que je vais te parler des arrêts de grossesse parce que je déteste véritablement le mot fausse couche. C'est pour moi une expression qui n'a absolument pas sa place parce qu'il n'y a absolument rien de faux dans ce que tu traverses ou dans ce que tu as traversé. et donc pour moi c'est important de... de nommer les choses correctement. Tout comme je n'apprécie pas non plus le mot infertilité inexpliquée, je préfère parler de bilan muet, je n'aime pas non plus le terme de grossesse gériatrique, je préfère parler de grossesse précieuse, pour celle qui, tiens-toi bien, concerne les grossesses d'après 35 ans. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est comme ça, c'est l'univers médical. Mais il y a plein de terminologies qui ne sont pas du tout adaptées. Ici, puisqu'on est sur le côté, en cette journée particulière du deuil périnatal, pour moi, l'arrêt de grossesse est beaucoup plus parlant, finalement, que le mot fausse couche. Je sais que c'est vraiment un événement qui est très, très difficile, parce qu'à un moment donné, tu vas entendre ces mots. C'est quand tu as eu, justement, cette joie du test positif, de cette prise de sang, de tout ça. souvent Tu vas entendre ces mots, c'est que le cœur ne bat plus. Ou alors évidemment, si c'est trop tôt et que tu n'as pas encore entendu le cœur, tu l'auras compris quand tu auras évidemment perdu du sang. Et à ce moment-là, on a vraiment l'impression que le monde se fige en fait. Alors que ce qui est paradoxal, c'est que tout autour de toi continue. Les gens continuent à aller au travail, tu vas croiser des gens qui vont rire dans la rue. Tu vas croiser, évidemment, tu vas entendre plein de discussions, comme si tout était normal, parce que la vie continue évidemment, mais alors que toi, à cet instant-là, tout s'arrête, tu vois. Toi, t'es là dans un corps qui devient presque, j'ai envie de dire, une sorte de paradoxe, tu vois, parce que... Hormonalement parlant, tu es encore enceinte, tu as tes hormones qui sont toujours là, les bêtages CG qui sont toujours très élevés. Parfois, tu as un ventre qui est encore rond, évidemment, mais tu ne l'es plus vraiment. Donc, tu as encore les symptômes, mais tu sais qu'à l'intérieur, ce n'est plus vraiment ça. Donc, c'est vrai que ce moment-là, il y a un avant et un après. Et ce que j'ai vraiment envie de te dire d'entrée de jeu, C'est que c'est pas ta faute, d'accord ? Et ça, pour moi, c'est essentiel de t'en parler parce que t'as rien fait de mal. C'est pas que tu as trop stressé, c'est pas que tu as mal mangé, c'est pas que tu as trop bougé ou que c'est un échec. Tu n'as pas échoué en réalité, d'accord ? Et je sais que, encore une fois, pour l'avoir vécu à deux reprises, ce qui rend ces arrêts de grossesse encore plus difficiles, je trouve, c'est le silence, tu vois ? Déjà... C'est le silence médical dans un premier temps parce qu'on va te dire que ça arrive souvent, vous savez, c'est une grossesse sur quatre, comme si ça allait suffire à apaiser ta douleur. C'est comme si c'était fréquent, alors du coup j'ai pas mal. Non, c'est n'importe quoi. Évidemment que t'as mal et évidemment que le fait de savoir que ça concerne une grossesse sur quatre, ça n'enlève rien à ta douleur en réalité. Ensuite, il y a un énorme silence social parce que... Soit les gens ne sont pas au courant et dans ce cas-là, tu es obligé, que ce soit au travail ou dans ta vie perso, de reprendre ta vie là où elle était juste avant. Parce que personne n'est au courant de rien et tu dois continuer à faire bonne figure et je trouve que c'est vraiment, vraiment très, très dur. Mais aussi parce que même finalement, parfois, quand les gens sont au courant, c'est qu'il y a un silence social. Un silence social qui s'installe, pourquoi ? Parce que personne ne sait quoi dire, tu vois. Les gens sont... Ou alors les gens sont maladroits, ce qui n'est pas forcément mieux. Tu vas entendre ou tu as probablement entendu des choses du style « mais t'en auras un autre » , « ah bah c'est que c'était pas le bon moment » . Et puis c'est une bonne nouvelle parce que ça montre que tu peux tomber enceinte. Tu vois, c'est des phrases qui sont hyper hyper hyper maladroites. Le « oui mais c'était pas un vrai bébé » , tu vois. Évidemment que si, parce qu'en réalité... Même si je sais que l'intention derrière ça, c'est d'essayer de te rassurer, c'est d'essayer de t'apaiser, mais en réalité, c'est des phrases qui vont nier complètement ce que tu es en train de vivre et la douleur que tu ressens. Et je pourrais même dire que c'est en train de nier ton deuil, parce que pour moi, c'est véritablement un deuil. Alors, ce n'est pas le deuil du bébé que tu as eu dans tes bras, en tout cas, pas dans le cadre d'un arrêt de grossesse qui se veut précoce. Mais c'est en tout cas le deuil d'un bébé que tu as porté dans ton cœur. Parce que même s'il n'y a pas forcément eu d'accouchement, il y a évidemment le deuil de tout ce que tu as pu projeter, tu vois. De ce prénom, de cette chambre, de ces annonces que tu allais pouvoir faire, de plein de choses, tu vois. Et ce deuil-là, ce qui est vraiment compliqué, c'est qu'il n'est pas reconnu, il n'est pas visible. Et toi, tu vas ravaler ta douleur finalement parce que tu vas devoir reprendre le boulot, tu vas continuer les réunions de famille, tu vas continuer les sorties entre amis parce que probablement que personne ou très peu de gens sont au courant. Et tu vas afficher un masque finalement sur ton visage, sauf que toi, à l'intérieur, tu t'éteins chaque jour un petit peu plus parce que c'est très compliqué évidemment de vivre ça. Alors, ce qui se passe, c'est que tu vas avoir quelque chose souvent. qui vient te coller, qui vient te bousculer dans ces moments-là, c'est cette notion de culpabilité. C'est terrible. Quand on vit un arrêt de grossesse, on se repasse tout le film dans la tête en se disant « Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Et si j'avais fait ça plus tôt ? Et si j'avais pris plus de repos ? Et si j'avais pris peut-être moins de repos ? Si j'avais bougé plus ? Si j'avais fait ci ? Si j'avais fait ça ? » Et en fait, on va se refaire tout le film en essayant de trouver quelque chose qu'on aurait pu changer. La vérité, c'est que le corps a souvent ces raisons que la science ne maîtrise pas. Alors peut-être que dans 10 ans, dans 15 ans, dans 20 ans, ce sera autrement, ce sera autre chose, peut-être qu'on pourra faire plus de choses, mais aujourd'hui c'est compliqué. Et c'est pas toi qui va créer ça, d'accord ? C'est pas... Toi, je sais que tu as fait tout ce que tu pouvais, avec les moyens que tu avais, avec les connaissances que tu avais, avec les ressources que tu avais à ce moment-là. Et ça, c'est déjà énorme, tu vois ? Tu n'as absolument rien fait de mal, et tu n'as absolument rien fait pour mériter ça, d'accord ? Et ça je te le dis parce que moi c'était quelque chose que... Enfin c'est une phrase qui m'est tombée dessus à un moment où je ne m'attendais pas du tout à ça, mais je me suis vraiment demandé ce que j'avais fait de mal pour mériter un truc pareil, tu vois ? Et j'avais envie justement de te parler de ça. Alors tu vas me dire, ok, mais c'est effectivement super, super, super dur, mais comment est-ce qu'on se relève de quelque chose comme ça ? Alors déjà, ce que je voudrais te dire par rapport à ça, c'est que se relever, ça ne veut pas dire oublier, tu vois. On ne tourne pas la page d'un arrêt de grossesse, on n'oublie pas un arrêt de grossesse, on n'oublie pas la date, on n'oublie pas ce qu'on a ressenti, on n'oublie rien de ça. Mais on apprend à vivre avec, tu vois. Et pour apprendre à vivre avec, déjà, il faut pouvoir reconnaître ce que tu ressens. parce que Ok, tu vas ressentir de la tristesse et ça, tu l'auras probablement identifié. Mais souvent, ce n'est pas juste de la tristesse qu'on ressent. Il peut y avoir de la colère parce que tu vas trouver ça injuste. Tu peux avoir de la peur à l'idée de ce qui t'attend dans les prochains jours, les prochaines semaines. Mais aussi de la peur à l'idée de recommencer. Tu pourrais même ressentir de la honte, tu vois, de te dire les autres y arrivent et moi pas. Et du coup, je me sens honteuse. Alors ça ne devrait pas, évidemment, mais on ne commande pas nos émotions. Les émotions, elles sont là pour t'envoyer un message. Et si tu la ressens, c'est qu'il y a quelque chose à les décrypter. Donc j'ai envie de te dire que toutes ces émotions-là, c'est normal. La seule chose que tu as à faire, c'est de les écouter, de les identifier. La deuxième chose que je t'invite à faire, c'est quelque part de donner une place à ce bébé. Parce que pour moi, il a existé. Il a existé dans ta réalité à toi, il a existé dans ton ventre, il a existé dans tes pensées, il a existé de plein de manières différentes. Et donc, moi, j'aime bien le geste symbolique. Alors, ça peut être le fait d'écrire une lettre, ça peut être le fait de planter un arbre ou de t'acheter une plante, tu vois, si tu es en appart et que tu n'as pas de jardin. Peu importe, tu vois, mais je pense qu'il y a plein. de symbolique que tu peux faire autour de ça. Et au-delà du côté symbolique, pour moi, quand je parle de symbolique, c'est vraiment pour ses vertus thérapeutiques. Je crois que ça a un vrai effet d'en passer par là parce que c'est vraiment reconnaître l'existence de cet enfant. Ensuite, c'est de ne surtout pas rester seul parce que l'isolement, ça va amplifier ta douleur. Entoure-toi de personnes qui comprennent. Entoure-toi de personnes qui peuvent te soutenir. C'est aussi pour ça, tu vois, que dans le coaching éclosion, il y a un vrai groupe de soutien. Et c'est aussi pour ça que dans le programme Le Cercle Fertility, c'est pareil, il y a aussi un véritable groupe d'échange. Parce que c'est essentiel d'être entouré de femmes qui comprennent et pas de personnes qui vont justement te sortir des phrases hyper maladroites du style « t'en feras un autre » et puis « c'était pas encore un vrai bébé » et puis de toute façon c'était tellement tôt que bon... c'est pas si grave, etc le fait d'être entouré de femmes qui savent exactement ce que toi tu vis ça fait toute la différence ce que j'aurais envie aussi de te donner comme conseil c'est de prendre soin de ton corps parce que même si toi tu vas probablement te sentir vide ton corps il a vécu une grossesse il a vécu une perte et donc il a besoin de douceur pas de performance pas de récupération rapide pas d'échéance le but c'est pas une course contre la montre le but c'est d'apporter à ton corps énormément de douceur énormément de soutien, de bienveillance de ressources, ça il va en avoir besoin ton corps il est pas cassé il est pas ton corps ne t'a pas trahi quelque part c'est vraiment important de te dire que ton corps il a fait du mieux qu'il pouvait avec les moyens dont il avait à ce moment là et que Merci. Ok, parfois c'est la faute à pas de chance, parfois c'est lié à tout un tas de déséquilibres, mais en aucun cas ce n'est de ta faute et en aucun cas ce n'est de la faute de ton corps. Il fait du mieux qu'il peut avec ce qu'il a, tu vois. Donc il a vraiment besoin de beaucoup, beaucoup, beaucoup de bienveillance. Et puis progressivement, tu vas voir que, alors ça ne va pas se faire tout de suite, ça ne va pas se faire du jour au lendemain, mais tu vas voir qu'un jour à la fois, la vie reprend le dessus en réalité, tu vois. Et vraiment, ce que j'aimerais que tu saches, c'est que tu n'as pas besoin d'aller bien tout de suite. Tu as le droit de pleurer, tu as le droit d'être en colère, tu as le droit de ne pas avoir envie d'en parler, tu as le droit d'avoir envie d'en parler, tu as le droit de rire, de pleurer, de retenter, d'espérer. Tu as le droit de faire tout ça, tu vois, tu as le droit de croire que ce n'est pas fini. Et vraiment, encore une fois, j'insiste là-dessus, mais ce n'est pas parce que ta grossesse s'est arrêtée que ton corps t'a trahi, tu vois. Ce n'est pas du tout. Encore une fois, il a fait ce qu'il pouvait avec ce qu'il avait. Parce qu'il y a toi, il y a ton envie, il y a l'envie de ton chéri si tu es en couple. Mais il y a aussi l'embryon qui doit être capable de se développer, lui aussi, de faire ce qu'il peut avec les moyens qu'il a. Et parfois, il y a des malformations chromosomiques qui font qu'il n'a pas les ressources pour se développer comme on le voudrait, évidemment. Personne n'a trahi personne en réalité, tu vois. Alors si jamais tu as vécu ça, si jamais cet épisode t'a touché, j'aimerais que tu prennes le temps d'honorer ce que tu ressens, tu vois. Si tu sens que tu as besoin d'un espace finalement pour te reconstruire en douceur, eh bien je t'invite à rejoindre soit le coaching Éclosion pour avoir un suivi véritablement personnel où on va regarder ensemble tout un tas de choses et optimiser tout ce qu'on peut optimiser. pour faire en sorte que ton corps ait les ressources pour la fois d'après, pour quand tu seras prête à remettre le couvert. Soit je t'invite à découvrir au minimum le Cercle Fertility parce que c'est vraiment un lieu de soutien où tu peux déposer, partager, respirer. Il y a plein de ressources, d'échanges bienveillants. C'est vraiment essentiel de comprendre que tu n'es pas seul et que tu n'as rien raté, tu vois. Je sais que ce que tu as vécu, c'est terrible et c'est très compliqué, mais laisse-moi te dire une chose, c'est que oui, ça va laisser des traces, mais c'est un peu comme une cicatrice quelque part, tu vois. La cicatrice, quand elle est bien soignée, elle laisse une trace, mais elle n'est plus du tout douloureuse, tu vois. On la voit, on sait qu'elle est là, mais on vit avec et on peut très bien vivre avec. Et je te parle encore une fois en connaissance de cause. Donc, évidemment... tout ce que je te souhaite c'est de prendre soin de toi c'est d'accueillir tes émotions c'est de faire preuve de beaucoup de douceur et de bienveillance envers toi-même mais c'est aussi surtout de ne pas rester seule dans ces épreuves et de te rendre compte que tu n'es pas seule et que tu peux être entourée et vivre les choses complètement différemment et quand tu te sentiras prête de capitaliser pour la suite de l'aventure qui t'attend parce que il y a plein de merveilleuses choses qui t'attendent même si Je sais qu'aujourd'hui, c'est peut-être un peu compliqué à imaginer, mais je suis convaincue qu'il y a de très très très jolies choses qui t'attendent. On se retrouve très vite évidemment pour un prochain épisode. Si cet épisode t'a parlé, vraiment, je te serais infiniment reconnaissante d'aller me laisser un petit message, un petit commentaire, d'aller mettre quelque chose, une étoile, tu vois, enfin plusieurs étoiles, si cet épisode te parle, te plaît, parce que tu sais, ça me tient vraiment à cœur, ça me prend... évidemment énormément de temps d'enregistrer tout ça mais ça me tient vraiment à coeur surtout de t'accompagner, de t'aider et je me dis que si un seul de ces épisodes de podcast aura pu t'aider dans ce parcours et bien alors ma mission est accomplie on se retrouve très bientôt pour un tout nouvel épisode et d'ici là comme toujours, prends soin de toi, à très bientôt merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout, si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils Télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.