Speaker #0Prends ce qui te parle est un podcast pour les femmes qui ont envie de penser à elles, qui en ont marre de constamment s'épuiser et qui veulent enfin retrouver durablement leur énergie vitale. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Dans ce podcast, je partage avec vous mes connaissances et mes propres expériences afin de semer quelques graines de retour à soi. Sachez que j'ai un cadeau pour vous, le Yoga Pack de secours. Il contient 6 pratiques à thème de 10 minutes. Retrouvez-le dans la description. C'est parti pour l'épisode du jour, alors prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien. Je vous reçois aujourd'hui dans le troisième épisode du podcast et je vais vous parler de la théorie des petites cuillères pour gérer son énergie. Des petites cuillères, oui, oui, c'est bien cela que j'ai dit. Alors si vous avez écouté l'épisode précédent sur le stress, vous comprenez maintenant, ou ça vous a rafraîchi la mémoire si vous le saviez déjà. Vous comprenez donc à quel point notre système nerveux est précieux. Et vous comprenez pourquoi, eh bien, parfois, on se déséquilibre quand on est longtemps. soumis au stress quand notre système nerveux est trop souvent activé et à quel point c'est important de récupérer son énergie en passant en mode repos, récupération, etc. Donc si vous n'avez pas écouté l'épisode précédent, le stress c'est quoi, je vous invite fortement à l'écouter avant celui-ci. Admettons que vous soyez en période un peu de déséquilibre, que vous soyez donc dans la phase 2. Du stress, comme on l'a vu dans l'épisode précédent. Donc voilà, l'organisme est soumis au stress une fois, deux fois, trois fois, un peu trop souvent. Il commence tout doucement à tomber en chronicité et l'organisme commence à s'épuiser. Ça devient de plus en plus difficile de récupérer. même si vous apprenez des techniques de relaxation, de détente, etc., ça prend du temps pour rééquilibrer un système nerveux. Et surtout, ce que je vais dire là, c'est ma croyance à moi. J'ai l'impression qu'une fois qu'on a un peu... côtoyer cet état de surménage ou même carrément de burn-out, j'ai l'impression qu'on reste un peu sensible à ça. J'ai quand même l'impression qu'il y a des personnes qui ne vont jamais dans ces états-là, qui gèrent plutôt bien et puis qu'il y a des personnes qui sont un peu sensibles à ça. Et donc, ça reste important, je crois, toute notre vie, de pouvoir être à l'écoute de nous, de pouvoir être à l'écoute de notre énergie. pour justement pouvoir lever le pied, pour pouvoir ajuster au quotidien, pouvoir se respecter et tout simplement prendre soin de soi. Avant d'aller plus loin, je tiens à préciser que si vous êtes en phase 3 du stress, c'est-à-dire que vous êtes malheureusement dans cette période vraiment de burn-out ou dans un état vraiment de dépression ou quelque chose comme ça, évidemment, il faut consulter et tout ce que je vais vous dire ici ne suffira pas. C'est très important de vous faire accompagner. Voilà, je trouve que c'était plus simple pour moi, en tout cas, de vous le déposer ici. avant d'aller plus loin. La théorie des petites cuillères, qu'est-ce que c'est ? Admettons que vous vous réveillez le matin avec, disons comme ça, 10 cuillères. Vous avez 10 petites cuillères dans votre main. Chacune de vos actions va vous coûter une ou plusieurs cuillères. Le but, évidemment, c'est de ne pas vider tout son stock de cuillères trop vite. Parce que sinon, il est midi, on n'a déjà plus de cuillères. Pas cool. Donc, l'idée, c'est vraiment une idée qui permet d'avoir un visuel sur notre énergie, de pouvoir visualiser avec quelque chose de concret. Parce que quand on se demande, tiens, comment est mon énergie aujourd'hui ? On sent bien qu'on est un peu fatigué, plus ou moins fatigué, on sent bien qu'on a un peu des douleurs ou quelque chose comme ça, mais c'est difficile en fait de quantifier. Et là, cette image de couillère, ça devient un peu plus concret. Ça peut prendre quelques jours avant de bien comprendre. Donc quelques jours où on va réfléchir à ça. À chaque fois que vous allez faire une action, vous demandez, tiens, je viens de prendre ma douche, est-ce que ça me fatigue ou est-ce que ça m'énergise ? Parce que ça aussi, c'est propre à chaque personne en fonction de qui vous êtes. Par exemple, vous avez entendu le premier épisode où je vous parle du fait d'être introverti ou extraverti, donc la façon du contact avec les autres, est-ce que le contact vous draine ou vous énergise ? C'est propre à chacun et c'est ok. C'est pareil pour tout, en fait, dans la vie. Apprendre à se connaître, c'est aussi ça, c'est aussi se demander qu'est-ce qui me draine, qu'est-ce qui me donne de l'énergie, qu'est-ce qui est OK pour moi, qu'est-ce qui n'est pas OK pour moi, etc. Prendre votre douche le matin, est-ce que ça vous demande une cuillère, est-ce que ça vous demande deux cuillères, ou est-ce qu'au contraire, le fait de prendre votre douche, ça vous rend une cuillère ? Moi, personnellement, quand je prends ma douche le matin, ça me rend une cuillère. Ça me donne de la force, en fait. Le fait de prendre une douche, de savonner, etc., moi, ça me donne de l'énergie. Par contre, il y a d'autres actions qui, clairement, me drainent, en fait. Par exemple, prendre le téléphone et commencer à consulter les mails, les questions, etc., ça peut facilement me coûter une ou deux cuillères. Donc, je vais éviter. tant bien que mal, de le faire le matin, surtout en fait par contre je ne le fais vraiment pas, si je n'ai pas beaucoup de couillères, si je me réveille et que je suis un peu en dette de couillères, et bien là je vais me dire non, aujourd'hui je ne consulte pas mes mails, je ne réponds pas trop aux messages, parce que j'ai très peu d'énergie et je la garde pour mon essentiel. C'est à ça que ça sert cette théorie. Donc vous allez un petit peu vous demander chacune de vos actions, combien de cuillères elles valent, plus ou moins. Le but, évidemment, c'est d'être efficace avec ces petites cuillères. Vous devez prendre votre voiture pour aller au travail. Combien ça vous coûte de petites cuillères ? Passez la journée de travail. Peut-être que vous avez un travail que vous adorez, qui vous donne même une cuillère. Peut-être que vous avez le travail en lui-même. Vous le connaissez, il vous prend peut-être une cuillère parce qu'il y a la journée qui passe, mais ça va. Par contre, peut-être que d'avoir des... conversation sur le temps de midi, des débats politiques, des débats un peu, vous savez, sur la misère du monde qui est réelle, mais voilà, ça peut vous drainer, en fait. Vous voyez, il y a... En fonction, encore une fois, de chaque personne, ça se peut qu'il y ait des conversations qui vous drainent. Donc si c'est le cas, c'est important d'en prendre conscience et de se dire, tiens, à chaque fois que j'ai cette conversation, ça me prend au moins trois cuillères. Alors j'en avais déjà que quatre aujourd'hui, il ne m'en reste plus qu'une pour finir ma journée, aller chercher mon petit à l'école, faire à manger, faire la vaisselle, passer du temps de qualité avec lui. Non. En fait, votre priorité, c'est de passer du temps de qualité avec ceux que vous aimez. Donc peut-être que vous allez vous dire, ok, je vais esquiver cette conversation de la façon qui est bonne pour vous, de façon polie ou de façon cash, peu importe. Mais en tout cas, vous conservez bien précieusement vos quatre cuillères pour terminer la journée avec les choses qui vous tiennent à cœur. C'est à ça vraiment que sert cette théorie, vraiment à prendre conscience de ça. Alors évidemment, il y a aussi des actions qui nous donnent des cuillères, oui, ça je vous l'ai déjà dit. Donc pareil, si le fait d'aller faire une petite balade dans les bois pour vous aérer un petit peu, faites-le, prenez 10 minutes dans votre journée, même à la 10, 15 minutes pour aller vous aérer et récupérer une petite cuillère. La petite cuillère, c'est vraiment important, surtout si ça vous permet après de rentrer chez vous, dans une meilleure qualité, dans une meilleure présence, etc. Alors en fait, au départ, la théorie des petites cuillères, elle a été inventée par une personne qui avait une maladie chronique, le lupus, je crois. Et cette dame, elle a inventé cette théorie des petites cuillères, tout d'abord pour faire comprendre son quotidien à ses proches, à sa famille, qui ne comprenait pas très bien son niveau de fatigabilité. Et elle expliquait qu'elle devait tout le temps faire des choix par rapport à sa fatigue, parce que les gens qui n'ont pas de maladie chronique ne comprennent pas qu'on puisse se fatiguer comme ça facilement. Cette théorie est tellement bien visuelle, tellement facile à comprendre qu'on l'utilise maintenant aussi dans toutes sortes de maladies chroniques, toutes sortes de troubles dans lesquels on est très vite fatigué. Et ça s'est répandu aussi en termes de gestion du stress, en termes de gestion de son énergie lorsqu'on est en train de rééquilibrer son système nerveux après un surmenage, après un burn-out, quand on a un peu épuisé son système nerveux. On peut aussi utiliser cette théorie des petites cuillères. Et il y a une chose vraiment importante aussi, c'est de savoir que, malheureusement... Je ne sais pas si c'est malheureux ou heureux, mais ce n'est pas si simple que ça. On n'a pas réellement dix petites cuillères. Notre corps humain, il est formidable, il est merveilleux, mais il a aussi la capacité de pouvoir se pousser au-delà de ses limites. Et d'ailleurs, c'est ce qui se passe. Quand on s'épuise, c'est ce que j'ai raconté dans l'épisode précédent, lorsque notre système nerveux est tout le temps soumis au mode action, fuite, combat, mais qu'il ne passe pas suffisamment dans le mode repos, récupération, ça veut dire qu'on est tout le temps en train de donner des petites cuillères, mais qu'on n'en récupère presque jamais. Donc quand vous avez usé vos dix petites cuillères du jour, vous vous dites, oh, ben... Le truc, c'est que c'est possible d'aller chercher dix petites cuillères dans le tiroir de demain et même d'après-demain. Ce qui fait que parfois, malgré qu'on passe une nuit de sommeil, on se réveille le lendemain, en fait, on n'a pas à récupérer parce qu'on est déjà en dette. C'est important d'accepter cette situation. pour pouvoir se dire, d'accord, je suis consciente de l'état dans lequel je suis, j'ai un peu usé mes petites cuillères, j'ai une petite dette de cuillères, et je vais faire de mon mieux pour ne pas trop en user aujourd'hui, parce que je suis en train d'user de la réserve, et pour en récupérer. Comment en récupérer ? Encore une fois, c'est vous qui le savez. et parce que je sais que parfois, on a beau tout savoir à l'intérieur de soi, je ne sais plus ou moins pour quelle raison, mais voilà, il arrive qu'on culpabilise, de se reposer, etc. Donc si vous attendiez que quelqu'un vous le dise, je vais vous le dire aujourd'hui, vous avez le droit... de vous reposer vous avez le droit de prendre un day off vous avez le droit de passer votre dimanche en pyjama sous la couette à vous reposer ou juste à bouquiner encore une fois si ça vous énergise Vous avez le droit de couper votre téléphone 24 heures, de partir marcher à pieds nus dans votre jardin, de juste vous allonger sur le transat et de ne rien faire. Écoutez les petits oiseaux qui chantent. Sauf si c'est quelque chose qui ne vous plaît pas, cela va de soi. Alors je sais qu'on a des obligations et je ne vous dis pas de poser carrément congé et d'arrêter de vivre, mais juste d'être à l'écoute de ça, de prendre conscience de ça. Et aussi, une autre chose, c'est que parfois on est tellement habitué à faire tout vite, dans la précipitation, qu'on sent qu'on n'a plus beaucoup de couillères et malgré tout on continue à partir vite. Et hop, et on y va, et on met le manteau, et on claque la porte dans la voiture, et tchac, et on démarre directement. Quand vous êtes dans un état où vous n'avez plus beaucoup de couillères, c'est possible de faire tout un peu plus lentement. Parce que ça va, votre système nerveux en fait sera plus apaisé, il aura moins l'impression d'être dans une situation d'urgence à fuir ou à combattre. Parce que je vous rappelle que votre système nerveux, lui, ne fait pas la différence avec le vrai danger et juste une situation. Il se dit ok, on s'active, c'est qu'il se passe quelque chose, c'est qu'il y a un danger, je décharge là toutes les hormones du stress. Donc le simple fait de bouger. un peu plus lentement, d'essayer de parler un peu plus lentement, simplement de ralentir, de lever le pied, c'est ça aussi que ça veut dire, pour apaiser votre système nerveux, parce qu'en gros l'histoire des couillères c'est ça, apaiser votre système nerveux pour qu'il vous rende une petite couillère. Votre système nerveux passe en parasympathique, c'est-à-dire le mode récupération, digestion, repos, et il vous rend une petite couillère. Vous voyez, c'est à ça en fait que ça sert. et bien de faire ce travail un petit peu d'introspection, ce travail d'écoute de soi, ce travail de retour à soi. Personnellement, j'utilise encore tout le temps cette théorie de petite cuillère pour être à l'écoute de moi, parce que voilà, comme tout être humain, forcément je passe aussi par des phases de fatigue. Je vous l'ai raconté, je suis aussi moi-même passée par un épisode de très très grande fatigue. et il y a des jours où je me dis, waouh, je n'ai vraiment pas beaucoup de cuillères du tout, je n'ai pas beaucoup de cuillères à l'intérieur de moi, peut-être que j'en ai quatre. Si je dois donner mes cours de yoga, pour moi c'est une priorité, et j'ai envie d'être présente, j'ai envie d'être là, c'est un choix que j'ai fait dans ma vie, que je veux honorer absolument, que je fais le choix de l'honorer vraiment de mon cœur. Donc mes petites cuillères, je les garde pour ça et le reste de ma journée, je vais être cool. Je prends du temps pour moi, je mets mes limites. Ce n'est pas toujours bien compris par tout le monde, mais tant pis. Et voilà, parfois j'éteins mon téléphone, je passe du temps en silence, je vais marcher doucement dans les bois. Ça ne me fait pas dépenser de cuillères, parfois même ça m'en rend une. et quand j'arrive, je suis dans une qualité d'ancrage, dans une qualité de présence, et souvent c'est des moments tellement beaux que ça me rend encore une cuillère. Par contre si je cours dans tous les sens, et que si un jour j'ai quatre cuillères et que je dois donner mes cours de yoga après, si jamais je pars faire mes courses dans la foule, dans l'agitation, que moi ça c'est quelque chose, ça me prend au moins cinq, six cuillères de faire ça, C'est clair que je vais arriver, je ne vais pas savoir donner mes cours ou peut-être que même, c'est comme ça qu'on finit par s'y épuiser, vous voyez. Voilà, donc très important d'être à l'écoute de soi, de se connaître et de prendre soin de son énergie par rapport à soi, vraiment par rapport à soi. Par contre, il y a quand même des petites choses qui sont communes à chaque personne, des sources d'énergie que notre organisme a vraiment besoin pour fonctionner. Donc je vous les redépose tout de même ici avant de clôturer cet épisode. Boire de l'eau. L'eau, c'est le seul liquide dont on a besoin pour être en vie. Buvez-vous suffisamment d'eau. Buvez de l'eau. L'alimentation, cela va de soi, une alimentation saine. Alors c'est un peu paradoxal mais souvent quand on est fatigué, on mange mal, on mange de la nourriture transformée qui est facile à juste réchauffer ou on achète des fast-foods parce que c'est facile sur le moment. Et en effet peut-être que vous allez vous dire oui mais voilà j'ai plus qu'une cuillère, je ne vais pas me faire à manger, je vais commander fast-food. sauf que c'est commencé à rentrer dans un cercle vicieux parce que c'est de la nourriture qui en fait ne vous rend pas de cuillères. La nourriture elle est faite aussi pour vous rendre des cuillères, pour vous donner de l'énergie. Donc c'est tout de même important de manger sainement. Alors voilà, vous allez me dire, oui mais comment est-ce qu'on fait quand on n'a pas beaucoup d'énergie pour cuisiner ? C'est toute une organisation peut-être à revoir, peut-être préparer de la soupe, peut-être congeler. Vous voyez ou faire un deal, ok je mange un peu fast-food mais je vais quand même manger des fruits et au moins une petite soupe dans ma journée parce que c'est vraiment important. Une autre source d'énergie qui est vraiment importante et qui doit vraiment être quotidienne, c'est le fait de s'exposer à la lumière du jour. Alors oui, on est en Belgique, vous allez rigoler, vous allez dire quelle lumière en fait, elle est où ? Il y en a. Et elle passe à travers les nuages, vous, vous voyez du gris, mais quand vous êtes dehors, votre peau, elle capte. Elle capte quand même la lumière du jour, c'est quelque chose de vraiment très très important. bougez au moins un petit peu et comme je vous le disais tout à l'heure vous pouvez bouger doucement vous n'êtes pas obligé de partir faire un sprint, vous n'êtes pas obligé de bouger pendant même trois quarts d'heure mais au moins bougez un petit peu, mettez votre organisme en mouvement, il en a vraiment besoin Alors pour les personnes qui font du yoga, de la méditation ou même toute autre pratique comme ça, un peu de retour à soi où on mobilise son énergie, c'est ça que ça veut dire, évidemment, installez une petite routine pour vous. parce que c'est aussi ça qui va vous rendre une cuillère, c'est aussi ça qui permet à votre système nerveux de passer en mode repos-récupération. Pensez à ça par rapport au système nerveux, repos-récupération, je récupère quoi ? Une petite cuillère, une énergie, vous voyez. Alors aussi, je profite de ce podcast pour déposer quelque chose. Parfois, dans les personnes qui viennent au cours de yoga, chacun fait ce qu'il veut, ce n'est pas un reproche encore une fois, c'est vraiment je dépose ça là et vous voyez comment ça résonne avec vous. Mais parfois, il y a des personnes qui annulent leur séance du jour, qui disent voilà je ne viendrai pas aujourd'hui, je suis trop fatiguée. Alors, c'est bien, ok, la personne respecte ses petites cuillères. Elle n'a plus assez de petites cuillères pour venir à son cours de yoga. Eh bien, ça, normalement, ça ne devrait pas arriver. Allez à votre cours de yoga, de méditation, de tai chi, de peinture. de danse, de théâtre, de peu importe ce que vous avez choisi de faire pour vous, pour votre bien-être, ça doit être une priorité. Si vous n'avez que quatre couillères, vous devez en garder une pour vous déplacer jusque là, parce que c'est normalement une activité qui va vous rendre une cuillère. C'est une activité qui vous permet de vous connecter à vous, d'être à l'écoute de vous, pour justement le lendemain avoir un peu plus de cuillères et pouvoir être un peu plus à l'écoute de tout ça, de tout ce qui se joue en vous, de ce qui vous draine, de ce qui vous énergise, de votre capacité à mettre des limites, de votre capacité à faire des choix. C'est vraiment pour vous que vous le faites et ça doit être une priorité. Voilà, donc je dépose cela, vous en faites ce que vous voulez, comme pour tout le reste. Eh bien, j'ai l'impression que j'ai fait le tour pour cet épisode du jour. J'espère qu'il vous a plu, qu'il a planté des petites graines, libre à vous de les planter, de les arroser, d'en prendre soin ou pas. Maintenant, plus tard, jamais, c'est vous qui savez. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Je vous dis à la semaine prochaine. On est parti pour un épisode. par semaine. Je me réjouis de vous lire en commentaire. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. S'il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !