Speaker #0Prends ce qui te parle est un podcast pour les femmes qui ont envie de penser à elles, qui en ont marre de constamment s'épuiser et qui veulent enfin retrouver durablement leur énergie vitale. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Dans ce podcast, je partage avec vous mes connaissances et mes propres expériences afin de semer quelques graines de retour à soi. Sachez que j'ai un cadeau pour vous, le Yoga Pack de secours. Il contient 6 pratiques à thème de 10 minutes. Retrouvez-le dans la description. C'est parti pour l'épisode du jour, alors prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour tout le monde et bienvenue dans l'épisode du jour. J'espère que vous allez bien. En ce mercredi matin, si vous écoutez en tout cas le podcast au moment de sa sortie, alors aujourd'hui ça va être un épisode sur la bienveillance. C'était pas prévu, c'est vraiment un sujet que j'ai envie d'aborder dans ce podcast parce que j'en parle tous les jours de la bienveillance. Je pense qu'il n'y a pas un seul cours de yoga où je ne dis pas en toute bienveillance, soyez à l'écoute de vous, dans le respect de vos limites, dans le non-jugement, etc. Mais alors, parfois, à force de répéter toujours un mot, il finit par ne plus rien dire. Donc ici, j'ai vraiment envie de prendre le temps, et bien dans le podcast, de vous expliquer ce que j'entends par bienveillance, ce que ça veut dire, ce que ça ne veut pas dire, parce qu'il y a beaucoup, beaucoup de choses qui se déguisent en bienveillance, mais qui en fait n'en sont pas. D'ailleurs, dans le monde du développement personnel ces derniers temps, j'ai l'impression que la bienveillance, elle est un peu boudée, comme si c'était quelque chose de pas bien, comme si c'était quelque chose qu'il fallait jeter à la poubelle et arrêter de faire. Et bien moi, je ne suis pas du tout d'accord avec ça. La bienveillance, c'est juste essentiel qu'elle soit ou qu'elle revienne au cœur de nos vies, dans ce monde qui est si dur, qui est si brutal, qui est si violent. C'est tellement... précieux de pouvoir cultiver la bienveillance à l'intérieur de soi. Et je vous le dis directement, la bienveillance, elle commence, comme pour tout, par soi-même. S'accorder de la bienveillance à soi-même avant de pouvoir l'accorder aux autres. Oui, alors ça paraît, je sais que pour beaucoup de personnes, ça paraît bizarre de dire ça. parce que je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui sont très altruistes, très tournées vers les autres, et qui ont tellement difficile à faire preuve de bienveillance envers elles-mêmes. Alors je vais vous raconter une fois de plus cette histoire que vous connaissez déjà, mais histoire de bien enfoncer le clon. Dans les avions, l'hôtesse de l'air, qu'est-ce qu'elle raconte ? Qu'en cas d'accident, il y a des masques à oxygène qui vont descendre du plafond. C'est important de mettre l'oxygène d'abord sur vous, avant n'importe qui d'autre. Même si c'est un bébé, même si c'est vos enfants, même si c'est vos parents. Si vous mettez le masque à oxygène d'abord sur les autres, vous allez vous évanouir. Et vous ne saurez plus le mettre ni sur vous, ni sur personne d'autre. Donc c'est important de prendre le temps de d'abord se le mettre à soi, pour après pouvoir le mettre à vos enfants, à vos parents, à vos amis, à tout l'avion si vous voulez, même aux membres de l'équipage, mais d'abord à vous. On ne sait pas donner aux autres quelque chose qu'on n'a pas. Si vous avez écouté l'épisode sur les petites cuillères, vous ne sauriez pas offrir des petites cuillères aux autres si vous n'en avez plus pour vous. Donc la bienveillance, elle commence vraiment par soi. Alors qu'est-ce que ça veut dire la bienveillance ? C'est vraiment le fait de... Je n'ai pas regardé de définition, je le fais ça vraiment comme ça, au feeling. C'est vraiment le fait de s'apporter du bien, de s'apporter du doux, de s'apporter du vrai et du juste. C'est ma définition en moi que je suis en train d'inventer sur le moment même, parce que je n'ai pas envie de chercher des définitions, j'ai envie que ça vienne vraiment de mon cœur quand je vous partage ça. Et dans un chemin de retour à soi, la bienveillance, ça va vraiment être de pouvoir s'accepter. tel que l'on est, de ne pas culpabiliser de ce qu'on ressent et d'accepter ce qu'on ressent, de faire une place à ses ressentis, de faire une place à son monde intérieur, de se faire une place à soi, accepter d'être qui on est vraiment. plutôt que qui les autres attendent qu'on soit. Ça, c'est la bienveillance envers soi-même. Respecter son propre rythme, sans se comparer aux autres, ça c'est important aussi. Faire preuve de non-jugement. Et encore une fois, c'est difficile de ne pas juger les autres quand on est très jugeant envers soi-même. Dans le yoga, c'est aussi la base des yamas, des règles personnelles qu'on apprend dans la philosophie du yoga. Le premier des yamas, c'est AIMSA, la non-violence. Et là aussi, la non-violence, elle commence envers soi-même, avant de pouvoir être vraiment non-violent envers les autres. Ça s'applique au niveau de nos paroles, les paroles qu'on peut prononcer. Parfois, on est très dur envers soi-même, avec les mots qu'on utilise envers soi. D'ailleurs, j'en parlerai très bientôt dans un podcast sur le premier accord Toltec, que ta parole soit impeccable. Ça fait partie de ça, de la bienveillance, de la non-violence. la non-violence aussi dans nos actes, évidemment, dans nos gestes, dans nos actions, dans nos comportements, la bienveillance aussi dans nos pensées, parce que nos pensées, elles influencent directement tout ce qui se passe à l'intérieur de nous. Nos pensées, elles influencent nos émotions, elles influencent forcément notre comportement et forcément nos paroles. Alors, dans le yoga, Ce que je trouve très intéressant avec le yoga, c'est que tout ce qu'on vit sur notre tapis, souvent c'est un reflet, c'est un miroir, c'est une métaphore de ce qu'on vit dans notre vie. Et plus on arrive à faire preuve de non-violence, donc ahimsa, ou on va dire même la bienveillance, la vraie bienveillance, plus on arrive à faire preuve de cette bienveillance pour soi-même sur son tapis, et plus on arrive après à l'appliquer dans sa vie. C'est comme un exercice. Sur votre tapis de yoga, par exemple, c'est le fait aussi de ne pas vous comparer aux autres. d'accepter d'être qui vous êtes, avec votre corps à vous, qui a vécu sa vie, qui a sa propre histoire, qui a ses propres traumas, qui a ses propres limitations, et d'accepter d'être dans votre corps à vous et de vivre la séance pour vous, sans vous comparer aux autres, sans regarder, tiens ma voisine, elle est plus souple que moi. Ce qui compte, ce n'est pas d'être souple, c'est ce que ça va vous apporter. Donc, fermer les yeux et ressentez, plutôt que de chercher à bien faire, vous voyez. Ça, c'est vraiment la bienveillance, l'écoute de soi, l'acceptation de soi, le non-jugement. Alors, évidemment, il y a plusieurs choses que ça ne veut pas dire, qui sont parfois confondues. Par exemple, le non-jugement, etc., le fait d'accepter ce qu'on ressent, etc., ça ne veut pas non plus dire... se complaire dans ces choses désagréables qu'on peut ressentir. Ça veut juste dire je l'accueille, je l'accepte, je suis comme je suis, j'ai mes qualités, j'ai mes défauts comme tout le monde sur cette planète et nos défauts ils sont beaux aussi. Nos failles elles sont belles, elles nous donnent du charme, elles nous donnent du chien en fait, vous voyez, elles nous rendent attachants. mais simplement ce chemin de retour à soi avec bienveillance c'est de se regarder avec ça et de se demander est-ce que j'ai envie de modifier cette part-là de moi pas les parts profondes et immuables évidemment parce que ça on ne peut pas changer on est comme on est mais nos comportements eux ils peuvent changer par exemple la bienveillance, le non-jugement est-ce que vous avez envie d'améliorer ça dans votre vie votre rapport à vous votre rapport au fait de prendre soin de vous. Ça, c'est des choses qu'on peut modifier. Donc le fait de... Le non-jugement, ça ne veut pas dire ah ben ouais, en effet, je remarque que je mange tous les jours n'importe quoi, mais je ne me juge pas et je continue comme ça. Non, ça veut dire, ok, je peux déconner ces derniers temps, je n'ai pas très très bien pris soin de moi, et puis là, je vais faire de mon mieux, en fait, pour améliorer, pour mettre en place des petits quelque chose, des nouvelles habitudes, plus saines, je veux un peu... Voilà, vous voyez étape par étape, petit à petit, à votre rythme à vous et surtout au départ de vous, de ce que votre cœur vous demande, de ce que votre cœur réclame, de ce qui vous semble juste à vous. Autre chose que la bienveillance est parfois mal comprise et d'ailleurs c'est une des raisons pour lesquelles aussi elle est un peu boudée dans le développement personnel et là, je rejoins mes consœurs, mes confrères. C'est que parfois la bienveillance, elle est utilisée un petit peu comme, oh, il faudrait être un petit bisounours qui dit oui, amène à tout, et puis qui n'entre jamais en conflit, qui est d'accord et qui, enfin, vous voyez un petit peu ce truc. un peu, enfin voilà, la bienveillance c'est pas du tout ça, avoir ce comportement-là c'est du laxisme, c'est de la lâcheté, désolé mais voilà, c'est ne pas prendre ses responsabilités donc la bienveillance c'est aussi de pouvoir exprimer ce qu'on ressent exprimer ses besoins et parfois, et bien ça demande aussi de poser ses limites, de dire non de recadrer ce qui doit l'être de réclamer ce qui doit l'être. Ça, ça fait partie aussi de la bienveillance, de la bienveillance envers vous-même. Et à partir du moment où votre intention, elle n'est pas de nuire, évidemment, mais qu'elle est juste de vous exprimer, de vous protéger vous-même, de vous respecter, que ce n'est pas une intention, évidemment, dirigée vers l'autre, eh bien, c'est de la bienveillance. Ça, c'est souvent très, très mal compris. Dans le monde du... Comme je suis prof de yoga, il y a beaucoup de personnes qui viennent parfois parler avec moi de tout ça et qui me disent Ah oui, oui, oui, moi je commence le yoga parce que au moins j'apprends à prendre un peu plus sur moi, je veux prendre sur moi et arrêter de râler finalement. Et alors ça justifie derrière d'accepter des comportements des autres, parfois un peu même toxiques. Alors s'il vous plaît, si vous pensez ça, non, le yoga, c'est absolument pas pour faire ça. Tout ce que je vais vous partager dans le podcast par rapport au retour à soi, la gestion de son stress, la gestion de son énergie, le retour du bien-être, le retour à son authenticité, en aucun cas, il ne s'agit de prendre sur soi, c'est horrible comme... comme expression. Ça, c'est pas du tout de la bienveillance envers soi. On n'a pas à prendre sur soi. Écoutez l'expression comme elle résonne. Prendre sur soi. Non. Alors oui, on peut travailler sur soi, sur des comportements qui se sont installés, qui ne sont pas naturels et qu'on peut modifier, mais on n'a pas à prendre sur soi dans le sens d'accepter l'inacceptable. Donc parfois mettre ses limites, ça fait partie de la bienveillance. On n'est pas obligé de le faire méchamment, on peut le dire gentiment, mais avec fermeté. Dans certains cas, quand les personnes ont le dit une fois, deux fois, normalement une fois ça devrait suffire, mais voilà. C'est difficile, donc parfois on doit le dire une deuxième fois, une troisième fois. Parfois s'énerver, c'est aussi de la bienveillance, de la bienveillance envers soi, de la bienveillance envers la vie, parce que la bienveillance, elle est là pour protéger la vie, pour nourrir la vie, pour avancer. Donc voilà ce que j'avais envie de vous dire avec la bienveillance. Le non-jugement, pour moi, ça rejouait vraiment l'enseignement qu'on reçoit du yoga de Ahimsa, la non-violence qui commence par soi et puis bien sûr qui se propage aussi pour les autres. Et cette non-violence, ça ne veut pas dire de se laisser faire, de se laisser marcher sur les pieds et d'accepter tout de tout le monde. Parfois on se dit, je vais faire quelque chose par bienveillance, je vais accepter, j'en ai pas envie, etc. Et en fait, quand on fait ça, qu'est-ce qu'on dégage comme énergie ? Est-ce que ça vous est déjà arrivé de passer du temps avec une personne qui n'avait pas envie d'être là ? Moi, ça m'est arrivé dans les deux sens, que quelqu'un vienne passer du temps avec moi et la personne n'a pas envie, ou que moi, je le fasse aussi, que je dise Ok, j'y vais, j'ai pas envie. Qu'est-ce qui se passe à ce moment-là ? une énergie merdique. Vous savez, on le sent quand quelqu'un n'a pas envie d'être là. Quand quelqu'un rend service à contre-coeur, ça se ressent. Et souvent, on se dit quoi ? Ah ben franchement, pour être comme ça, je préférerais que tu ne viennes pas. Et c'est vrai. C'est vrai. Donc voilà, la bienveillance, ce n'est pas de dire oui à tout. Ce n'est pas de dire amen à tout. Ce n'est pas de s'oublier. Et elle commence vraiment par soi. Alors il y a un autre comportement qui se déguise parfois en bienveillance mais qui n'en est pas du tout. C'est, vous savez, ces petites remarques qui, en fait, sont des pics, qui, en fait, sont des critiques, qui commencent par en toute bienveillance, si je peux me permettre, en général, quand une phrase commence comme ça, on sait que ce qui suit, ça va être tout sauf de la bienveillance. Parce que la bienveillance, eh bien, c'est aussi... comprendre le bon moment pour dire les choses, c'est aussi comprendre que si quelqu'un ne nous a pas demandé notre avis, venir le déposer là comme ça, comme en toute bienveillance, voilà ce que je pense de toi et de ce que tu devrais faire, ben c'est pas toujours reçu comme tel, sauf si la personne bien sûr vous contacte pour ça, et que c'est votre rôle de lui dire dans des cas bien précis, mais en général, Quand quelqu'un vient comme ça spontanément, c'est plutôt pour venir déposer ces petites projections qu'on n'a pas envie d'entendre et qui ne font pas du bien et qui ne font pas avancer les choses et qui ne nourrissent rien du tout que parfois le fait que la personne a exprimé quelque chose mais ce n'était pas quelque chose de bienveillant, ce n'était pas quelque chose qui la concernait directement. Pour ces raisons-là, je comprends que la bienveillance est boudée dans le monde du développement personnel, mais simplement pour le fait que le mot bienveillance est mal utilisé. Voilà. Alors, je ne vais pas m'étaler plus que ça sur le sujet. Par contre, je vais vous lire un petit conte, un petit conte indien. qui exprime justement ceci. Donc voilà, je vous propose de vous mettre en condition pour écouter ce petit conte. Si vous êtes en voiture, ne fermez pas les yeux, s'il vous plaît, mais soyez juste à l'écoute de ce que vous ressentez. Alors c'est parti. Je ne vais pas faire beaucoup de montage son aujourd'hui, donc vous aurez des petits clics, etc. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. Le singe et le serpent. Un méchant serpent vivait aux abords d'un village. L'animal se tapissait sous les larges feuilles de la jungle, d'où il observait, de ses petits yeux jaunes, le vin et vient des villageois qui empruntaient ce chemin pour se rendre au marché. Le serpent s'amusait à les terroriser. Il se jetait brusquement sur les passants pour les mordre cruellement. Les habitants n'osèrent plus passer par cette route et firent un grand détour pour éviter le reptile. Un jour, un sage qui voyageait de ville en ville vint à passer. Le serpent, selon son habitude, se jeta sur lui férocement. L'homme le regarda avec bienveillance et lui demanda, Pourquoi donc veux-tu me faire du mal ? Je poursuis simplement mon chemin sans te déranger en rien. Le serpent, surpris par l'infinie douceur et la force paisible qui émanait de l'homme, réfléchit à ses paroles et s'excusa. Je vois que tu as bon cœur au fond, lui dit le sage. Je voudrais que tu me fasses la promesse de ne plus attaquer personne. Et il lui parla longuement de paix et de non-violence. Les paroles qu'il prononça émurent profondément le serpent et, avant que le sage ne reprenne sa route, il lui fit le serment de ne plus jamais mordre. Bientôt, les villageois remarquèrent que le serpent ne les attaquait plus. ils empruntèrent à nouveau la route qui traversait la forêt peu à peu les passants s'enhardirent voyant l'animal enroulé tranquillement sur une branche ils lui jetèrent des cailloux comme le reptile les ignorait toujours certains le piquèrent avec des bâtons le serpent se contentait de s'éloigner doucement en le voyant aussi inoffensif un des villageois s'empara de lui et le fit tournoyer dans les airs avant de le projeter contre un arbre Le serpent était de plus en plus maltraité. C'était à qui lui donner un coup de pied, à qui lui planter un bâton ou lui jeter une pierre. L'animal souffrait beaucoup, mais il tenait la promesse qu'il avait faite et ne mordait pas. Quelques semaines plus tard, le sage repassa par la route et appela le serpent pour prendre de ses nouvelles. L'homme fut désolé de voir l'étain dans lequel se trouvait le reptile. ce dernier s'était caché dans le feuillage le corps tout endolori recouvert de plaies et de bosses mais que t'est-il arrivé que s'est-il passé lui demanda le singe en le soignant maître se plaignit le serpent blessé vous m'avez dit de ne plus mordre mais regardez ce que les villageois m'ont fait et pourquoi les as-tu laissés faire répondit le singe je t'avais demandé de ne plus mordre mais je ne t'ai jamais dit de ne pas siffler à partir de ce jour-là le serpent fit face à ses agresseurs en sifflant il n'eut plus besoin de mordre et ne fut plus jamais maltraité c'est un conte adia que vous pourrez retrouver facilement sur internet. C'est de là que je le lis. Ce petit conte exprime clairement l'importance d'être bienveillant, de ne pas mordre inutilement les autres, et pour autant de pouvoir se défendre et se faire respecter, parce que ça commence vraiment par soi. Alors voilà, pour clôturer ce petit épisode du jour, eh bien, moi j'ai envie de dire merci à toutes les personnes bienveillantes que je rencontre au quotidien. parce qu'il y en a, il y en a beaucoup. Alors, je vois aussi au quotidien des personnes qui ne le sont pas, et parfois ça me désole de me dire, waouh, ce manque de civilité, parfois ce manque de savoir-vivre, ce manque de gentillesse, vous savez, parfois bêtement, on va au magasin et on voit des comportements, on se dit, mais c'est allurissant. Et puis à côté de ça, il y a aussi des personnes vraiment bienveillantes, qui sont juste... gentilles mais pas de manière déraisonnable, vous voyez qui ont juste une bonté du cœur sans s'oublier elle-même et la gentillesse et bien ça reste une qualité, c'est quelque chose qui devrait revenir à la mode et parfois qui est compris comme une insulte alors que la gentillesse c'est merveilleux, la bienveillance aussi quand elle est réelle, quand elle est sincère, quand elle vient du cœur et quand la personne ne s'oublie pas dans la bienveillance. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !