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Prends ce qui te parle

Ces 13 habitudes qui éteignent ta lumière

Ces 13 habitudes qui éteignent ta lumière

36min |26/03/2025
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Description

EP 41 | Ces habitudes qui éteignent ta lumière (et que tu fais peut-être sans t’en rendre compte…)


Il y a des gestes, des pensées, des mots qu’on répète au quotidien… et qui nous éloignent petit à petit de notre lumière.

Ce ne sont pas toujours des grandes blessures ou des drames, parfois ce sont juste des habitudes, des mécanismes, qu’on répète sans y penser.


Aujourd’hui, j’ai envie de te partager ces comportements qui t’éteignent, que tu sois en train de te reconstruire après une relation toxique ou que tu sois simplement passée par une période d’épuisement profond où tu t’es oubliée.

Tu vas peut-être te reconnaître… alors si c'est le cas, respire, ne te juge pas, prends simplement ce qui te parle et t'aide à t'élever et surtout... Laisse le reste 🙏🏻


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Prends ce qui te parle, le podcast qui accompagne les femmes à se reconstruire après une relation toxique, se libérer de l'emprise et retrouver confiance en elle. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Vous me suivez peut-être déjà sur Instagram, sur mon compte amanda.reconnexionassoi. Chaque personne est unique, alors ici la bienveillance est un honneur ainsi que la douceur. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour les filles, bienvenue dans cet épisode de la semaine. J'espère que vous allez très très bien. Alors cet épisode, ça va être un peu une suite de l'épisode de la semaine passée qui était l'épisode « Oser sa lumière » . Donc dans l'épisode de la semaine passée, on avait beaucoup parlé du fait d'oser sa lumière, d'oser simplement... être soi, de se permettre d'exprimer nos potentiels au monde, notre unicité et sortir un peu des carcans étroits dans lesquels on se met parfois et où on s'empêche, on s'empêche, où on s'empêche, je vais y arriver, de briller. Donc aujourd'hui, pour cette suite, je vais vous proposer un épisode où je vais vous proposer 13 habitudes qu'on a parfois. Peut-être sans s'en rendre compte vraiment, mais ces habitudes-là, elles viennent éteindre notre lumière. Alors avant de vous proposer ces 13 habitudes que j'ai recensées qui sont loin d'être exhaustives, je tiens à vous rappeler quelque chose, c'est que tout ce que je vais vous dire, peut-être que ça va un peu vous bousculer, peut-être que ça va un peu... Vous savez, c'est vraiment, je pense... Le genre de choses que quand on écoute ce genre d'informations, parfois on se reconnaît dans certains comportements. Et évidemment, c'est des choses qu'on n'aime pas parce qu'on se rend compte, on se dit mais oui, je fais ça, c'est vrai que ça éteint ma lumière, c'est vrai que c'est pas cool, etc. Donc, s'il vous plaît, écoutez ça quand même avec détachement, avec distance. Je vous rappelle que le podcast s'appelle Prends ce qui te parle et laisse tout le reste. Ceci dit, je pense que c'est important aussi parfois de mettre justement le zoom, la lumière sur ces petits comportements-là pour en avoir conscience, pour pouvoir après peut-être s'en libérer. Donc voilà, je vais vous proposer ceci. Les 13 habitudes qui éteignent ta lumière et que tu fais peut-être sans t'en rendre compte. La première de ces habitudes que je te propose, c'est le fait... de se plaindre de tout, se plaindre de tout, tout le temps, critiquer la politique, la météo, t'as vu comme il fait moche, la société, les gens, et puis critiquer des trucs sur lesquels on peut rien faire, t'as vu ça comme c'est moche, ou il fait trop chaud, il fait trop froid, ça brasse de l'air en fait de faire ça, on le fait une fois parce qu'on exprime ce qu'on ressent, d'accord ? Il y a des personnes qui sont quand même spécialistes pour faire ça tout le temps. Et je plaide coupable. Ça m'arrive aussi, évidemment, de me plaindre de tout. Mais vraiment, quand on fait ça, c'est quelque chose qui éteint notre lumière. Imaginez une personne qui est en train de râler, de se plaindre de tout. Puis il y a ceci, puis il y a cela. Il n'y a rien qui va. Le monde va mal. Tcha tcha tchi, tcha tcha tcha. Ça éteint notre lumière. Surtout quand c'est juste des paroles. Alors si c'est quelqu'un qui est révolté, qui met en place des manifestations, des pétitions, que sais-je, des mouvements qui font changer les choses, c'est cool parce qu'il y a une action derrière qui permet de changer. Mais si c'est juste se plaindre pour critiquer, ça brasse du vent et ça éteint la lumière de la personne qui aimait ces vibrations-là, mais ça a tendance un peu à vampiriser les autres aussi. Donc désolée de dire ça comme ça, je sais que ce n'est pas des choses agréables à entendre et peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord avec moi. Je m'en fous. Mais un comportement comme ça, c'est assez vampirisant. C'est un peu, vous savez, vous avez déjà entendu le terme de vampire énergétique. Quand on est face à quelqu'un qui se plaint constamment de tout, c'est usant pour les autres aussi. Et c'est une des raisons pour lesquelles j'ai mis, par exemple, dans mon cadre de cours, pour mes cours de yoga, je fais, en début d'année, je fais signer un papier à mes élèves où j'ai quelques conditions qui, moi, me semblent très logiques. Je sais que la logique n'est pas propre à tout le monde, enfin, qu'on n'a pas toutes la même logique, pardon, c'est plutôt ça que je veux dire. Il y a un des items qui est, au cours de yoga, on ne parle pas de sujets polémiques, de sujets d'actualité, de... de politique, ce genre de choses. Et ici, je profite de cet épisode pour préciser qu'en disant ça, je ne suis pas en train de vouloir mettre un couvercle sur la capacité à penser des gens. Évidemment, chacun fait ce qu'il veut, mais au moins au cours de yoga, où c'est un temps qu'on prend pour soi, et justement pour se défaire un peu de tout ce qui se passe à l'extérieur et qui nous envahit, pour se recentrer à l'intérieur sur ce qui se vit juste. à l'intérieur de soi, ce n'est pas le moment de venir se plaindre de tout, etc. Donc vraiment au cours de yoga, moi je demande qu'on vienne dans une démarche positive et puis après on fait ses révolutions quand on veut, mais pas au cours de yoga. Donc voilà, se plaindre de tout, c'est vraiment quelque chose qui éteint notre lumière et qui nous empêche d'être dans nos potentiels. Sauf si c'est une plainte utile et constructive avec vraiment des actions derrière. Le deuxième point que je vais vous proposer ici, c'est le fait d'être pessimiste et de voir le mal partout. Eh bien oui, on ne sait pas briller quand on est pessimiste et qu'on voit le mal partout. Être pessimiste, c'est quoi ? C'est toujours imaginer le pire, c'est toujours qu'il se passe quelque chose, on ne voit jamais la bonté derrière le geste, on a toujours l'impression que les gens profitent, on voit toujours le côté, vous savez, on a toujours l'impression qu'on va nous arnaquer, Ou il y a toujours, je ne sais pas moi, être pessimiste, voir le mal partout. Voilà un exemple. Donc je reste dans mes cours de yoga. Pour mes cours hebdomadaires, je fais un engagement annuel. C'est la best décision de ma vie que je n'ai jamais prise. Vous n'imaginez pas à quel point je suis alignée avec ce choix. Et comme vraiment, c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie. Bref. Peut-être que je vous expliquerai dans un autre épisode parce que c'est hyper intéressant ce qui s'est passé pour moi en termes de développement personnel quand j'ai pris ce choix, mais ce n'est pas le sujet du jour. Donc bref, je fais un engagement annuel. Pour moi, ça permet vraiment une profondeur, ça permet une connexion, ça permet une fluidité entre les séances, ça permet une progression aussi bien sur le plan physique, mais aussi sur le plan forcément du développement personnel qui, moi, est mon dada. Ça permet aussi une... Une énergie de groupe beaucoup meilleure que quand il y a des personnes qui viennent plic-ploc, ou il y en a qui arrêtent, il y en a qui continuent. Bref, c'était mon choix, il est magnifique, il est merveilleux. Et, par exemple, il y a une personne qui me demandait, « Ah oui, mais bon, si on se blesse ? » Mais tu as l'intention de te blesser, en fait ? Alors, je peux comprendre l'idée, je peux comprendre l'idée, mais ici, je vous prends l'exemple pour vous dire... Pourquoi avoir directement cette idée de si on se blesse ? Vous voyez, ça, c'est une pensée qui est pessimiste, que je peux comprendre. La personne avait certainement ses raisons de penser ça. Mais être optimiste, c'est quoi ? C'est se dire « Waouh, génial ! Pendant un an, on va être tous ensemble, je vais progresser, je vais pouvoir vraiment marquer des changements considérables, je prends un engagement envers moi-même, j'ai un objectif de connexion à moi. » ça va me faire du bien, etc. Pourquoi avoir cette vision de, et si on se blesse, être pessimiste et voir le mal partout, c'est vraiment ça, c'est vraiment, il se passe quelque chose, et plutôt que de voir l'opportunité, ou plutôt de se connecter à tout le beau qui peut se vivre dans ce moment-là, c'est aller chercher la circonstance possible dramatique. C'est vraiment, oui on va partir en vacances, oui mais si l'avion se crache. on va aller en week-end quelque part oui mais s'il pleut ce jour là vous voyez ça c'est vraiment ça nous coupe de notre lumière parce que si on se blesse il y aura toujours une solution à ce moment là en fait c'est pas ça qu'il faut penser si l'avion va pas se cracher mais s'il pleut et bien on dansera sous la pluie vous voyez ce que je veux dire donc être pessimiste voir le mal partout ça nous coupe de notre lumière ça nous permet pas d'être dans notre potentiel et de briller. Troisième chose, critiquer les autres. On ne peut pas briller en éteignant les autres, ce n'est pas possible. Alors on a le droit de ne pas aimer tout le monde. Mais est-ce qu'on a besoin de le répéter ? Est-ce qu'on a besoin de répandre des rumeurs sur cette personne ou de donner notre avis sans qu'on nous les demandait ? Donc j'aimais bien cette citation que j'ai vue sur les réseaux qui disait « Soit cette femme qui mêle à coups... » qui remet la couronne de travers d'une autre femme sans avoir besoin de le crier au monde entier. Donc critiquer les autres, clairement, ça nous coupe de nous. Quand on est là, t'as vu ce qu'elle a dit ? T'as vu ce qu'elle a fait ? Est-ce que t'as pas vu ses vêtements ? Oh, je te raconte pas, et puis celle-là, et puis patati, et puis oh mon Dieu ! Qu'est-ce que ça coupe la lumière et qu'est-ce que c'est énergivore pour les autres aussi. Je vous ai déjà raconté qu'avant ma reconversion professionnelle d'être kiné, d'être prof de yoga, de faire tout ça, j'étais vendeuse dans des magasins de vêtements mais c'était que des blablas, comme ça je ne supporte plus ça. Personnellement quand j'ai quelqu'un en face de moi qui commence à critiquer, c'est pas facile parce qu'on n'a pas toujours facile de mettre ses limites par rapport à ça. Mais on peut toujours dire, écoute, moi, cette conversation ne m'intéresse pas. On peut dire ça, en fait. Mais critiquer les autres, ça nous coupe de notre lumière. Et franchement, encore une fois, c'est énergivore aussi pour les autres personnes à qui on essaye de répandre ces critiques-là. Quatrième point qui nous coupe de notre lumière, c'est le fait de se victimiser. Attention, je précise que si vous avez été victime de quelque chose de grave, c'est très, très important. évidemment de le reconnaître. Parfois, on vit des drames, et oui, on est victime, et quand on est victime, il y a un coupable, et tout ça, c'est très important de le dénoncer, de le nommer, pour pouvoir guérir. Si c'est le cas, c'est important aussi de se faire accompagner par un professionnel, un psychologue, un médecin, que sais-je, un thérapeute. Ce que je veux vous dire ici, dans le fait que se victimiser, ça nous coupe de notre lumière, c'est... Il y a vraiment une différence entre le fait d'avoir été victime et le fait de rester dans la posture de victime et d'utiliser ça pour s'empêcher d'évoluer ou pour s'empêcher de s'ouvrir ou pour s'empêcher simplement de se connecter à sa lumière. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc personne n'est responsable de ce qu'on lui a fait, mais tout le monde est responsable de ce qu'il va en faire. Donc voilà, vraiment sortir du mode victime. Une fois qu'on a guéri, qu'on a fait le deuil, etc. Je le précise encore une fois. Et ce qu'il y a juste en face de la position de victime, c'est quoi ? C'est la position où on est responsable de soi, où on prend ses responsabilités, où on assume ses choix, où on tient ses engagements et où on pose les choses avec attention et on avance vraiment vers soi. Donc c'est vraiment être responsable de soi, de ses faits et gestes. Et où on sort donc de cette posture de victime du genre un peu, vous savez, Calimero, oui mais c'est pas de ma faute, oui mais tu comprends, j'en peux rien, oui mais moi ceci, oui mais à cause de ça, ben moi maintenant je suis comme ça et du coup je sais pas faire ça. C'est pas toujours justifié, voilà. Alors le cinquième point que je vous propose, c'est le fait de prendre tout personnellement. Quelqu'un a oublié de vous dire bonjour. Il fait une petite remarque ou une personne a l'air de mauvaise humeur et puis vous pensez que c'est à cause de vous. Vous prenez tout sur vous. Et il y a tout un épisode de podcast sur ce sujet. C'est l'épisode numéro 9. Si jamais il y avait toute une série sur les accords Toltec. Et c'est l'épisode sur l'accord Toltec. Quoi qu'il arrive, n'en fais jamais une affaire personnelle. Dans cet épisode, je vous raconte vraiment que tout le monde voit la vie à travers ses propres filtres. à travers son propre vécu, à travers ses propres histoires. Et donc vraiment le fait de ne pas prendre les choses personnellement, c'est vraiment se rappeler de ça, de se dire que les comportements, les mots, les actions des autres, ça dit long sur eux, pas sur vous. Et je pense que cet épisode peut vraiment vous aider si jamais vous avez l'impression que vous avez tendance à prendre tout personnellement. Et ça peut vous aider à retrouver votre lumière, puisque le fait de prendre tout personnellement, ça nous coupe de notre feu, de notre aura, de notre radiance. Sixième point, cherchez la validation à l'extérieur. Alors, une personne qui est dans sa lumière, qui est connectée à elle, qui sait qui elle est, c'est une personne qui est dans sa puissance, c'est une personne qui sait qui elle est, qui sait ce qu'elle veut, et c'est une personne qui n'a pas besoin... de la vie des autres. Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'on ne veut pas la vie de nos proches. Oui, Dora ? C'est mon chat qui vient vous dire bonjour. C'est juste arrêter de chercher tout le temps la validation à l'extérieur. Qu'est-ce que tu penses de ma coupe de cheveux ? T'aimes bien ? Et puis alors, si la personne n'aime pas, vous n'aimez plus non plus. Donc, sortir de cette validation qu'on cherche à l'extérieur, vous êtes légitime de naissance. Ce qui compte, c'est parce que les autres pensent de vous, de Ausha, c'est ce que vous, vous voulez. Et quand on a vécu une relation toxique, souvent justement on s'est coupé de ce pouvoir intérieur, de cette validation à se donner à soi-même. Parce qu'on était souvent dans une relation toxique, il y a souvent un peu ce jeu où on se perd et puis c'est l'autre qui choisit pour nous. Alors on ne sait plus ce qu'on aime, on ne sait plus ce qu'on veut. On ne fait plus de choix, on ne prend plus de décisions. Donc il y a vraiment cette notion, si jamais c'est votre cas, de vraiment reprendre votre pouvoir intérieur et d'arrêter d'écouter tous les conseils de tout le monde si vous ne les avez pas sollicités en plus de ça. Et la seule validation qui compte, c'est la vôtre, c'est celle qui vient de votre propre cœur. Petite anecdote, c'est quelque chose que je vois quand même régulièrement aussi dans... par exemple les massages, quand les personnes viennent se faire masser, ça arrive régulièrement qu'après le massage, les personnes veulent mon avis. Et je suis toujours un peu interloqué, je ne comprends pas. Alors, il y a des choses que je ressens dans le massage, évidemment, que parfois j'ai des intuitions, mais on s'en fout. Ce qui compte, c'est parce que moi, j'ai ressenti de vous dans le massage. Vous venez vous faire masser pour vous, ce qui compte, c'est ce que vous avez ressenti dans le massage. Parce qu'un massage, c'est à ça que ça sert aussi. C'est à ressentir son corps de l'intérieur, ça se laissez faire, ça se relaxer, se détendre, se faire du bien, mais en termes vraiment de ressenti, ce qui compte c'est vos ressentis à vous en fait, vous voyez, qu'est-ce que vous avez ressenti dans votre corps, dans vos émotions, dans vos sensations, dans vos pensées, c'est pas qu'est-ce que moi j'ai senti de vous dans mon corps et dans mes pensées, on s'en fout de ça, oui parfois je peux dire, ben j'ai senti en effet que tu avais du mal à te laisser aller, des personnes Je sens bien quand je prends leur bras, que je n'arrive pas à le bouger parce que la personne résiste. Donc voilà, je peux donner des conseils de lâcher prise, je peux discuter à propos de ça, mais on s'en fout de savoir ce que j'ai senti dans votre énergie. Pas du tout, ce n'est pas correct de faire ça. Reconnectez-vous à vos sensations, à vous, et ne cherchez pas la validation à l'extérieur. Voilà, le septième point que je vous propose. J'ai mon chat qui fait la faufole. Le septième point qui nous coupe de notre énergie, c'est le fait de râler, de tirer la tête. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Ça ne me convient pas, Dora, que tu fasses la faufole. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Puis ça y est, vous croisez les bras et vous boudez. Vous faites du boudin. Ça va ? Ben oui, ça va. Il y a quelque chose ? Ben non, il n'y a rien. Pour faire comprendre que vous êtes contrariés. Et que ça ne vous va pas. En fait, je sais que c'est parfois difficile d'exprimer ce qu'on ressent, de dire les choses, etc. Mais honnêtement, il vaut mieux agir, bouger, parler, plutôt que de faire ça, de râler, de tirer la tête. Quand on râle et qu'on tire la tête, on est dans une énergie tellement basse et ça se voit tellement de l'extérieur. C'est une énergie tellement... repoussante en fait, quand quelqu'un est en train de râler comme ça, et je plaide coupable, je vous le rappelle, respirez pendant cet épisode, je sais que c'est pas l'épisode le plus agréable à entendre, mais voilà, râler, tirer la tête, non, ça nous coupe de nous, et vous avez le droit de bouger, vous n'êtes pas un arbre, je sais qu'on parle beaucoup d'enracinement, d'ancrage, etc., mais concrètement, vous n'êtes pas un arbre, vous pouvez bouger si quelque chose ne vous convient pas, vous pouvez parler, vous pouvez agir, et vous pouvez... bouger, vous avez le choix. Mais rester dans un silence, bouder ou faire la tête sans jamais rien exprimer, ça vous enferme dans votre mal-être. Donc voilà. Le huitième point, c'est le fait de ressasser et de tourner en boucle sur le passé. Alors ce point-là, je sais qu'il est très difficile parce que souvent on se dit, ben oui, je sais que c'est pas bon pour moi et que ça me coupe de ma lumière et de mon feu intérieur de ressasser tout le temps la même histoire. Sauf qu'en général, quand il y a le moulin à penser qui est en train de tourner là-haut, ce n'est pas très facile de le contrôler. Donc la meilleure façon de tourner la page sur le passé, c'est de se recentrer sur soi et 100% sur soi et sur son présent. Et au moins essayer de se couper des choses qui entretiennent en fait ce moulin de pensée. Donc par exemple, si c'est lié à une relation qui est terminée, vous pouvez concrètement... Coupez le lien avec la personne, le bloquez sur les réseaux, arrêtez de regarder, c'est déjà une action concrète, puis vous recentrez sur vous, sur votre présent, arrêtez d'espérer de le croiser quelque part, arrêtez d'espérer qu'il vous envoie un message, etc. Concentrez-vous sur le présent et sur le futur éventuellement, mais vraiment refaites des choses pour vous, connectez-vous à vous, à ce qui vous fait du bien, allez boire un verre avec une copine, inscrivez-vous à un cours de théâtre, de danse, vraiment se recentrez sur soi. C'est vraiment ce qui aide au mieux à arrêter de ressasser, de tourner en boucle sur le passé. Le neuvième point, je l'aime beaucoup. C'est un point, enfin je l'aime beaucoup, j'aime beaucoup parler de ce point dans cet épisode. C'est la jalousie. Ça pique, hein ? C'est moche la jalousie. La jalousie, c'est vraiment un sentiment très désagréable, très complexe et qu'on n'avoue pas très facilement. C'est très très très dur d'avouer qu'on est jalouse. Dire je suis jalouse, je ressens de la jalousie, ça pique, ça pique et souvent on dit je suis pas jalouse, c'est juste que je déteste l'injustice. Qui plaît de coupable, attendez je lève bien haut ma main. Non je suis pas jalouse, je déteste l'injustice, je ne supporte pas ça. Ouais, ouais, ouais, l'injustice. En fait la jalousie elle est hyper intéressante, pourquoi ? Parce que quand on apprend à l'écouter, quand on la re... On n'est pas obligé de le reconnaître dans un statut Facebook aux yeux de tous. On peut juste l'avouer à soi-même, se dire bon ok, je reconnais que là j'éprouve de la jalousie. Pourquoi ? Qu'est-ce que cette personne, cette situation, n'importe quoi, qu'est-ce qui me crée ce sentiment-là de jalousie ? Qu'est-ce que j'ai envie d'avoir que je n'ai pas ? Qu'est-ce qui se passe ? Et en fait, cette jalousie, elle peut se transformer en inspiration. Si vraiment on arrive à la comprendre, à la dompter, et qu'on fait un petit effort de travail sur soi, eh bien, elle peut devenir un moteur puissant de transformation. Et quand on arrive à dépasser ça, je ne vous raconte pas à quel point on fait un bond en avant en termes de développement personnel et du coup, à quel point ça allume notre lumière. Parce qu'on passe de la personne qui est jalouse à la personne qui est inspirée et qui, finalement, connecte avec les outils. Par exemple, c'est par rapport à une autre femme. Parce que ça arrive souvent, nous, les femmes, n'est-ce pas ? Même si on dit que non, c'est pas de la jalousie, c'est de la justice. Ça nous arrive très souvent d'être jalouses les unes des autres. Et quand on arrive à dépasser ça et qu'on se dit, ben attends, cette femme-là, j'ai pas envie d'être jalouse d'elle parce qu'en fait, ce qu'elle fait, j'ai envie, en fait, moi aussi, de vivre ça, de ressentir ça, d'avoir ça. Ça va plutôt m'inspirer. Et quand on arrive à dépasser ça au point d'aller connecter avec cette femme-là, ça y est, ça m'épeu. Ça devient une sœur, en fait. Donc voilà. Et c'est beau. Et quand on est dans cette sororité-là, mais qu'est-ce qu'on brille, qu'est-ce qu'on est belle. Il n'y a rien de plus puissant et de plus lumineux que des femmes qui avancent entre elles et qui se soutiennent, en fait, vous voyez. Plutôt que des femmes qui se tirent dans les pattes et puis qui ne veulent pas collaborer ou qui ne veulent pas... Vous voyez, quand... Je ne sais pas, soutenir, alors là je m'égare un petit peu de la jalousie parce que je me suis connectée à la sororité et je suis partie, mais soutenir les autres femmes c'est tellement beau, justement ça allume tellement notre lumière parce qu'en fait on est là pour se soutenir les unes les autres, pour s'entraider, c'est vraiment un sentiment qui est très profond, qui est très vibrant et qui allume vraiment notre lumière. Et contrairement à ce que je disais tout à l'heure... Quand on est éteint et que c'est un peu du vampirisme pour les autres, dans ce cadre-là, ça allume notre lumière à nous, mais ça allume la lumière aux autres. Combien de fois sur les réseaux sociaux, je vois des femmes qui lancent leurs projets, qui font des trucs nouveaux, qui sont super inspirants, mais ça coûte rien de mettre un cœur et d'écrire un petit mot, félicitations, bravo à toi ma belle, ça fait tellement plaisir. Et vous savez, il y a des personnes... qui ne le font pas en fait. Il y a des personnes de qui on pourrait attendre ça parce que c'est nos amis depuis toujours et tout ça. Et ça fait mal en fait de voir qu'il y a des personnes qui ne nous soutiennent pas. Et ça éteint la lumière, ça éteint la lumière de la personne, mais ça éteint la lumière de la relation aussi. Donc voilà, je dépose ça là. Le dixième point qui éteint notre lumière, la comparaison. Avez-vous déjà, c'est peut-être un tout petit peu lié avec la jalousie, mais pas forcément. Avez-vous déjà entendu ce dicton ? La comparaison, c'est du poison. La comparaison c'est du poison, c'est impossible de vous comparer à quelqu'un qui n'a pas votre histoire, votre corps, votre énergie, votre parcours, votre vécu, c'est absurde. Soyez vous-même, toutes les autres sont déjà prises. Ça ne sert à rien de vous comparer ni physiquement, ni sur les talents, ni... Dans les cours de yoga on travaille beaucoup cette notion-là, en tout cas moi j'essaye souvent de rappeler cette notion-là, de dire ne vous... comparez pas aux autres. Parce que si ce qu'on vit sur notre tapis de yoga, c'est vraiment un reflet, un miroir de ce qu'on vit dans notre vie. Et quand au cours de yoga on a envie un peu de se dire, oh mon dieu mais elle, elle arrive bien à faire ça, moi j'arrive pas. Et puis on se pose plein de questions est-ce que je suis nulle, est-ce que je fais mal ? Non. Ne vous comparez pas aux autres, ça éteint votre lumière. Concentrez-vous sur vous, faites grandir votre lumière à vous. Respectez votre... corps et votre énergie à vous et du jour. Demain sera un autre jour. Et c'est vraiment comme ça qu'on entretient sa flamme et qu'on entretient sa lumière. Et dans la vie, pareil, ne vous comparez pas aux autres. Concentrez-vous uniquement sur vous. Acceptez les autres, encouragez-les, etc. Mais voilà, ça ne sert à rien de se comparer à quelqu'un qui n'est pas vous parce que vous êtes la seule personne à avoir marché dans vos chaussures depuis le début de votre vie. Donc, le... 11e petit point que je vous propose, forcément c'est l'hygiène de vie. On ne saurait pas être dans notre lumière, dans notre pleine puissance et dans nos pleins potentiels si on a une hygiène de vie déplorable. Alors je ne vais pas m'étaler ici puisqu'il y a déjà tout un épisode sur le sujet qui est l'épisode 17 qui s'appelle « Oui, clé pour avoir une bonne énergie et un bon état d'esprit » . Donc voilà, une hygiène de vie, vous savez, dormir, manger, boire de l'eau, bouger, tout ça forcément ça contribue à notre lumière et c'est vraiment la base qui se manifeste même sur notre visage, sur notre éclat, sur notre dynamisme, etc. C'est vraiment la base, la base. Ça ne sert à rien de travailler sur tout le reste en vérité si on n'a pas cette base d'une bonne hygiène de vie. Il ne reste plus que deux petits items puisque j'en ai prévu 13 en tout cas. tout pour cet épisode. Donc le douzième que je veux vous proposer, c'est le fait de se minimiser et de s'excuser tout le temps. Se minimiser, c'est du genre vous faire un compliment. Oh, elle est trop belle ta veste. Oh, elle est vieille. En fait, si quelqu'un vous dit que votre veste, elle est trop belle, dites merci. Je trouve aussi. Se minimiser, c'est quand on vous dit je te trouve tellement adorable. J'adore passer du temps avec toi parce que t'étais vraiment gentil. Ah oui mais bon comme tout le monde on est toutes gentilles, vous voyez donc se minimiser c'est un peu ça, c'est vraiment ne pas reconnaître vos potentiels, c'est pas prétentieux d'accepter qu'on a des qualités, d'accepter qu'on a des forces, d'accepter que les gens reconnaissent en nous notre unicité, c'est pas prétentieux on peut dire merci et accepter ça sans que ça devienne de l'arrogance ou de la prétention ou quelque chose comme ça. Donc vraiment arrêter de se minimiser parce que ben... Se minimiser pour moi, c'est limite la définition du fait d'éteindre sa lumière et arrêter de s'excuser tout le temps. Alors, je vous explique un petit peu parce que je trouve que c'est important. C'est important de s'excuser quand on a fait quelque chose de mal. C'est quand même la base du respect d'autrui, du savoir vivre ensemble, de l'humanité et... Je trouve que dans le développement personnel, il y a parfois un peu une confusion avec ces messages-là, quand on parle d'arrêter de s'excuser tout le temps. Il y a des personnes qui ne veulent plus s'excuser, par exemple quand elles sont en retard. Mais c'est juste la moindre des choses, parce que quand on est en retard quelque part, que c'est lié à quelqu'un, ça veut dire qu'il y a une personne derrière qui était là ponctuelle et qui nous attend. Donc en fait, s'excuser, c'est quand même juste la base quand on est un être humain, vous voyez. Si jamais on annule à la dernière minute, ce n'est pas très très cool, c'est la moindre des choses de s'excuser, peu importe pour quelle bonne excuse derrière, parce qu'encore une fois, poser la paix à quelqu'un à la dernière minute, la personne elle mérite le minimum syndical, c'est d'avoir des excuses. Donc quand je vous dis ici que s'excuser tout le temps ça éteint notre lumière, ce n'est pas ce genre d'excuses. Ici je parle du fait de s'excuser d'être soi. Donc arrêtez de s'excuser d'être soi, arrêtez de s'excuser de ressentir, arrêtez de s'excuser d'avoir un avis. Ça, ça éteint notre lumière. Donc les fameux « pardon si, oh j'ai une émotion, pardon, pardon, je suis désolée, oh s'il vous plaît ne m'en voulez pas d'être sensible, je suis désolée d'être comme ça, pardon, pardon, je suis maladroite, pardon » , ça fait de mal à personne en fait, c'est juste qui vous êtes et arrêtez de vous excuser d'être vous. Arrêtez de vous excuser d'avoir des émotions, arrêtez de vous excuser de ressentir d'avoir des besoins, d'avoir un avis, arrêtez de s'excuser tout le temps, c'est vraiment ça, parce que ça, ça est à notre lumière. Par contre, continuez à s'excuser quand on a blessé quelqu'un, même si c'était par maladresse, même si ce n'était pas volontaire, même si ce n'était pas très grave, c'est très important de continuer à s'excuser, je tiens vraiment à le dire. Parce que ça, ça allume notre lumière aussi. Bêtement, on marche dans la rue, on bouscule quelqu'un, même si on n'a pas fait exprès, c'est la moindre des choses de dire pardon. Et il y a des gens qui ne le font plus. Ces gens-là, ils n'ont pas beaucoup de lumière. Donc voilà. Le treizième et dernier petit point que j'ai envie de vous proposer pour l'épisode du jour, c'est le fait de mentir. Le mensonge. Ça, ça éteint bien la lumière. Mentir pour ne pas assumer ses choix. Par peur du conflit, par peur de décevoir, de ne pas être aimé, on commence à raconter une version un peu arrangée des choses. Mais la vérité, elle peut être tellement symbolisée par la lumière. La vérité, c'est tellement la lumière. Donc mentir, c'est tellement éteindre la lumière. Alors il y a tous les mensonges qu'on raconte aux autres, parce qu'on n'ose pas dire la vérité. Ces mensonges, ça peut être aussi à chaque fois qu'on dit oui alors qu'on n'a pas envie et qu'on n'ose pas poser nos limites. C'est une forme de mensonge qui nous éteint, qui nous coupe de notre lumière. Mais il y a aussi tous les mensonges qu'on se raconte à soi-même. Et forcément, quand on se raconte un mensonge à soi-même, ça veut dire qu'on est en train d'étouffer notre vérité, qu'on est en train d'étouffer notre lumière. Donc vraiment mentir, c'est vraiment quelque chose qui nous coupe de notre lumière. Dites la vérité. La première personne avec qui être honnête et sincère, c'est soi-même. Et puis après, dire la vérité aux autres. Voilà. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est tellement important. En tout cas, si on a envie de se connecter à sa lumière, à soi. Et voilà. Donc les filles, j'en ai fini avec mes 13 petits... Petites habitudes, je regarde le temps quand même, 30 minutes. Encore une fois, je vous rappelle que voilà, peut-être que certaines de ces habitudes qui étaient notre lumière, peut-être qu'en les écoutant, peut-être que ça vous a fait tilt à certains endroits. Peut-être que c'est un cri, un petit sentiment un peu désagréable à l'intérieur de vous. Prenez le temps de respirer, de prendre du recul avec ça, de vous demander si vous le prenez, si vous ne le prenez pas. Je vous rappelle que nous sommes ben nombreuses à avoir ces mauvaises petites habitudes sans même nous en rendre compte. Aujourd'hui, vous pouvez choisir simplement de les regarder avec lucidité, pas pour vous juger, mais simplement pour faire un pas de plus vers cette version de vous qui brille. Vraiment. Parce que la lumière, elle ne demande que ça, elle ne demande qu'à s'exprimer, elle ne demande qu'à exister, donc c'est à nous de lui faire de la place. Et moi j'ai aussi beaucoup de ces habitudes-là, et à chaque fois que j'en prends conscience, je suis contente parce que j'ai envie de travailler dessus, parce que moi j'ai envie de me libérer de ces couches-là. Je ne veux plus, ça fait longtemps que je ne veux plus être une personne éteinte, je veux être une personne vivante, je veux être une personne vibrante. Et j'aime bien quand je suis dans cette énergie attractive, quand je suis dans cette énergie d'amour, qui répand de la joie et qui soutient les autres, etc. et qui est pleine d'énergie. C'est pour ça que je fais du développement personnel, que je travaille sur moi. C'est pas pour me flageller ou pour me torturer l'esprit ou quelque chose comme ça. Je pense que ça a très très bien marché depuis des années que je fais tout ça, même si c'est un chemin continu. Donc je vous le dis, pour... que voilà, pour que si jamais là c'est en train de réveiller des petites choses en vous, vous rappelez que c'est pas pour culpabiliser, se sortir mal et se dire oh mince j'ai mal fait pas du tout, c'est vraiment pour petite couche par petite couche, venir peut-être travailler sur ça et s'en rendre compte, c'est aussi pour tout ça que je le partage avec vous et si ça vous parle et que vous avez l'impression que ça peut aider d'autres copines n'hésitez pas à partager cet épisode en story, sur vos réseaux, sur Whatsapp etc. Dernier petit point Si vous avez envie d'aller plus loin dans ce chemin de retour vers votre lumière, vers vos potentiels, vers votre énergie, je vous mets en description de cet épisode la liste d'attente vers mon programme de reconnexion à soi, mon programme vivre qui redémarre bientôt, un programme qui se passe en 12 semaines. Je vous laisse découvrir le programme et tout nouveau, voilà, je vous l'annonce pour la première fois. Dans cet épisode, j'ai entendu vos demandes, vos besoins pour certaines personnes d'être accompagnées de façon individuelle, de façon personnalisée. Donc j'ai ouvert un accompagnement qui s'appelle Reconnexion Boost. C'est un accompagnement en trois séances qui se passe rapidement en 10 à maximum 14 jours. Il y a un petit suivi entre les séances avec éventuellement des méditations, des exercices de journaling, etc. Et c'est vraiment une reconnexion boost. Donc vraiment un coup de boost vers ce retour à soi, vers cette connexion à soi. Je vous mets les infos également en description. Cet accompagnement peut se passer en présentiel à Sera, donc c'est en Belgique, en région liégeoise. Mais on peut aussi le faire par Zoom, à distance, aucun souci. Je vous fais des gros bisous et je vous dis à la semaine prochaine. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !

Description

EP 41 | Ces habitudes qui éteignent ta lumière (et que tu fais peut-être sans t’en rendre compte…)


Il y a des gestes, des pensées, des mots qu’on répète au quotidien… et qui nous éloignent petit à petit de notre lumière.

Ce ne sont pas toujours des grandes blessures ou des drames, parfois ce sont juste des habitudes, des mécanismes, qu’on répète sans y penser.


Aujourd’hui, j’ai envie de te partager ces comportements qui t’éteignent, que tu sois en train de te reconstruire après une relation toxique ou que tu sois simplement passée par une période d’épuisement profond où tu t’es oubliée.

Tu vas peut-être te reconnaître… alors si c'est le cas, respire, ne te juge pas, prends simplement ce qui te parle et t'aide à t'élever et surtout... Laisse le reste 🙏🏻


👉🏻 Liste d'attente programme "VIVRE"


👉🏻 Accompagnement indiviuel "Reconnexion Boost"


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Prends ce qui te parle, le podcast qui accompagne les femmes à se reconstruire après une relation toxique, se libérer de l'emprise et retrouver confiance en elle. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Vous me suivez peut-être déjà sur Instagram, sur mon compte amanda.reconnexionassoi. Chaque personne est unique, alors ici la bienveillance est un honneur ainsi que la douceur. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour les filles, bienvenue dans cet épisode de la semaine. J'espère que vous allez très très bien. Alors cet épisode, ça va être un peu une suite de l'épisode de la semaine passée qui était l'épisode « Oser sa lumière » . Donc dans l'épisode de la semaine passée, on avait beaucoup parlé du fait d'oser sa lumière, d'oser simplement... être soi, de se permettre d'exprimer nos potentiels au monde, notre unicité et sortir un peu des carcans étroits dans lesquels on se met parfois et où on s'empêche, on s'empêche, où on s'empêche, je vais y arriver, de briller. Donc aujourd'hui, pour cette suite, je vais vous proposer un épisode où je vais vous proposer 13 habitudes qu'on a parfois. Peut-être sans s'en rendre compte vraiment, mais ces habitudes-là, elles viennent éteindre notre lumière. Alors avant de vous proposer ces 13 habitudes que j'ai recensées qui sont loin d'être exhaustives, je tiens à vous rappeler quelque chose, c'est que tout ce que je vais vous dire, peut-être que ça va un peu vous bousculer, peut-être que ça va un peu... Vous savez, c'est vraiment, je pense... Le genre de choses que quand on écoute ce genre d'informations, parfois on se reconnaît dans certains comportements. Et évidemment, c'est des choses qu'on n'aime pas parce qu'on se rend compte, on se dit mais oui, je fais ça, c'est vrai que ça éteint ma lumière, c'est vrai que c'est pas cool, etc. Donc, s'il vous plaît, écoutez ça quand même avec détachement, avec distance. Je vous rappelle que le podcast s'appelle Prends ce qui te parle et laisse tout le reste. Ceci dit, je pense que c'est important aussi parfois de mettre justement le zoom, la lumière sur ces petits comportements-là pour en avoir conscience, pour pouvoir après peut-être s'en libérer. Donc voilà, je vais vous proposer ceci. Les 13 habitudes qui éteignent ta lumière et que tu fais peut-être sans t'en rendre compte. La première de ces habitudes que je te propose, c'est le fait... de se plaindre de tout, se plaindre de tout, tout le temps, critiquer la politique, la météo, t'as vu comme il fait moche, la société, les gens, et puis critiquer des trucs sur lesquels on peut rien faire, t'as vu ça comme c'est moche, ou il fait trop chaud, il fait trop froid, ça brasse de l'air en fait de faire ça, on le fait une fois parce qu'on exprime ce qu'on ressent, d'accord ? Il y a des personnes qui sont quand même spécialistes pour faire ça tout le temps. Et je plaide coupable. Ça m'arrive aussi, évidemment, de me plaindre de tout. Mais vraiment, quand on fait ça, c'est quelque chose qui éteint notre lumière. Imaginez une personne qui est en train de râler, de se plaindre de tout. Puis il y a ceci, puis il y a cela. Il n'y a rien qui va. Le monde va mal. Tcha tcha tchi, tcha tcha tcha. Ça éteint notre lumière. Surtout quand c'est juste des paroles. Alors si c'est quelqu'un qui est révolté, qui met en place des manifestations, des pétitions, que sais-je, des mouvements qui font changer les choses, c'est cool parce qu'il y a une action derrière qui permet de changer. Mais si c'est juste se plaindre pour critiquer, ça brasse du vent et ça éteint la lumière de la personne qui aimait ces vibrations-là, mais ça a tendance un peu à vampiriser les autres aussi. Donc désolée de dire ça comme ça, je sais que ce n'est pas des choses agréables à entendre et peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord avec moi. Je m'en fous. Mais un comportement comme ça, c'est assez vampirisant. C'est un peu, vous savez, vous avez déjà entendu le terme de vampire énergétique. Quand on est face à quelqu'un qui se plaint constamment de tout, c'est usant pour les autres aussi. Et c'est une des raisons pour lesquelles j'ai mis, par exemple, dans mon cadre de cours, pour mes cours de yoga, je fais, en début d'année, je fais signer un papier à mes élèves où j'ai quelques conditions qui, moi, me semblent très logiques. Je sais que la logique n'est pas propre à tout le monde, enfin, qu'on n'a pas toutes la même logique, pardon, c'est plutôt ça que je veux dire. Il y a un des items qui est, au cours de yoga, on ne parle pas de sujets polémiques, de sujets d'actualité, de... de politique, ce genre de choses. Et ici, je profite de cet épisode pour préciser qu'en disant ça, je ne suis pas en train de vouloir mettre un couvercle sur la capacité à penser des gens. Évidemment, chacun fait ce qu'il veut, mais au moins au cours de yoga, où c'est un temps qu'on prend pour soi, et justement pour se défaire un peu de tout ce qui se passe à l'extérieur et qui nous envahit, pour se recentrer à l'intérieur sur ce qui se vit juste. à l'intérieur de soi, ce n'est pas le moment de venir se plaindre de tout, etc. Donc vraiment au cours de yoga, moi je demande qu'on vienne dans une démarche positive et puis après on fait ses révolutions quand on veut, mais pas au cours de yoga. Donc voilà, se plaindre de tout, c'est vraiment quelque chose qui éteint notre lumière et qui nous empêche d'être dans nos potentiels. Sauf si c'est une plainte utile et constructive avec vraiment des actions derrière. Le deuxième point que je vais vous proposer ici, c'est le fait d'être pessimiste et de voir le mal partout. Eh bien oui, on ne sait pas briller quand on est pessimiste et qu'on voit le mal partout. Être pessimiste, c'est quoi ? C'est toujours imaginer le pire, c'est toujours qu'il se passe quelque chose, on ne voit jamais la bonté derrière le geste, on a toujours l'impression que les gens profitent, on voit toujours le côté, vous savez, on a toujours l'impression qu'on va nous arnaquer, Ou il y a toujours, je ne sais pas moi, être pessimiste, voir le mal partout. Voilà un exemple. Donc je reste dans mes cours de yoga. Pour mes cours hebdomadaires, je fais un engagement annuel. C'est la best décision de ma vie que je n'ai jamais prise. Vous n'imaginez pas à quel point je suis alignée avec ce choix. Et comme vraiment, c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie. Bref. Peut-être que je vous expliquerai dans un autre épisode parce que c'est hyper intéressant ce qui s'est passé pour moi en termes de développement personnel quand j'ai pris ce choix, mais ce n'est pas le sujet du jour. Donc bref, je fais un engagement annuel. Pour moi, ça permet vraiment une profondeur, ça permet une connexion, ça permet une fluidité entre les séances, ça permet une progression aussi bien sur le plan physique, mais aussi sur le plan forcément du développement personnel qui, moi, est mon dada. Ça permet aussi une... Une énergie de groupe beaucoup meilleure que quand il y a des personnes qui viennent plic-ploc, ou il y en a qui arrêtent, il y en a qui continuent. Bref, c'était mon choix, il est magnifique, il est merveilleux. Et, par exemple, il y a une personne qui me demandait, « Ah oui, mais bon, si on se blesse ? » Mais tu as l'intention de te blesser, en fait ? Alors, je peux comprendre l'idée, je peux comprendre l'idée, mais ici, je vous prends l'exemple pour vous dire... Pourquoi avoir directement cette idée de si on se blesse ? Vous voyez, ça, c'est une pensée qui est pessimiste, que je peux comprendre. La personne avait certainement ses raisons de penser ça. Mais être optimiste, c'est quoi ? C'est se dire « Waouh, génial ! Pendant un an, on va être tous ensemble, je vais progresser, je vais pouvoir vraiment marquer des changements considérables, je prends un engagement envers moi-même, j'ai un objectif de connexion à moi. » ça va me faire du bien, etc. Pourquoi avoir cette vision de, et si on se blesse, être pessimiste et voir le mal partout, c'est vraiment ça, c'est vraiment, il se passe quelque chose, et plutôt que de voir l'opportunité, ou plutôt de se connecter à tout le beau qui peut se vivre dans ce moment-là, c'est aller chercher la circonstance possible dramatique. C'est vraiment, oui on va partir en vacances, oui mais si l'avion se crache. on va aller en week-end quelque part oui mais s'il pleut ce jour là vous voyez ça c'est vraiment ça nous coupe de notre lumière parce que si on se blesse il y aura toujours une solution à ce moment là en fait c'est pas ça qu'il faut penser si l'avion va pas se cracher mais s'il pleut et bien on dansera sous la pluie vous voyez ce que je veux dire donc être pessimiste voir le mal partout ça nous coupe de notre lumière ça nous permet pas d'être dans notre potentiel et de briller. Troisième chose, critiquer les autres. On ne peut pas briller en éteignant les autres, ce n'est pas possible. Alors on a le droit de ne pas aimer tout le monde. Mais est-ce qu'on a besoin de le répéter ? Est-ce qu'on a besoin de répandre des rumeurs sur cette personne ou de donner notre avis sans qu'on nous les demandait ? Donc j'aimais bien cette citation que j'ai vue sur les réseaux qui disait « Soit cette femme qui mêle à coups... » qui remet la couronne de travers d'une autre femme sans avoir besoin de le crier au monde entier. Donc critiquer les autres, clairement, ça nous coupe de nous. Quand on est là, t'as vu ce qu'elle a dit ? T'as vu ce qu'elle a fait ? Est-ce que t'as pas vu ses vêtements ? Oh, je te raconte pas, et puis celle-là, et puis patati, et puis oh mon Dieu ! Qu'est-ce que ça coupe la lumière et qu'est-ce que c'est énergivore pour les autres aussi. Je vous ai déjà raconté qu'avant ma reconversion professionnelle d'être kiné, d'être prof de yoga, de faire tout ça, j'étais vendeuse dans des magasins de vêtements mais c'était que des blablas, comme ça je ne supporte plus ça. Personnellement quand j'ai quelqu'un en face de moi qui commence à critiquer, c'est pas facile parce qu'on n'a pas toujours facile de mettre ses limites par rapport à ça. Mais on peut toujours dire, écoute, moi, cette conversation ne m'intéresse pas. On peut dire ça, en fait. Mais critiquer les autres, ça nous coupe de notre lumière. Et franchement, encore une fois, c'est énergivore aussi pour les autres personnes à qui on essaye de répandre ces critiques-là. Quatrième point qui nous coupe de notre lumière, c'est le fait de se victimiser. Attention, je précise que si vous avez été victime de quelque chose de grave, c'est très, très important. évidemment de le reconnaître. Parfois, on vit des drames, et oui, on est victime, et quand on est victime, il y a un coupable, et tout ça, c'est très important de le dénoncer, de le nommer, pour pouvoir guérir. Si c'est le cas, c'est important aussi de se faire accompagner par un professionnel, un psychologue, un médecin, que sais-je, un thérapeute. Ce que je veux vous dire ici, dans le fait que se victimiser, ça nous coupe de notre lumière, c'est... Il y a vraiment une différence entre le fait d'avoir été victime et le fait de rester dans la posture de victime et d'utiliser ça pour s'empêcher d'évoluer ou pour s'empêcher de s'ouvrir ou pour s'empêcher simplement de se connecter à sa lumière. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc personne n'est responsable de ce qu'on lui a fait, mais tout le monde est responsable de ce qu'il va en faire. Donc voilà, vraiment sortir du mode victime. Une fois qu'on a guéri, qu'on a fait le deuil, etc. Je le précise encore une fois. Et ce qu'il y a juste en face de la position de victime, c'est quoi ? C'est la position où on est responsable de soi, où on prend ses responsabilités, où on assume ses choix, où on tient ses engagements et où on pose les choses avec attention et on avance vraiment vers soi. Donc c'est vraiment être responsable de soi, de ses faits et gestes. Et où on sort donc de cette posture de victime du genre un peu, vous savez, Calimero, oui mais c'est pas de ma faute, oui mais tu comprends, j'en peux rien, oui mais moi ceci, oui mais à cause de ça, ben moi maintenant je suis comme ça et du coup je sais pas faire ça. C'est pas toujours justifié, voilà. Alors le cinquième point que je vous propose, c'est le fait de prendre tout personnellement. Quelqu'un a oublié de vous dire bonjour. Il fait une petite remarque ou une personne a l'air de mauvaise humeur et puis vous pensez que c'est à cause de vous. Vous prenez tout sur vous. Et il y a tout un épisode de podcast sur ce sujet. C'est l'épisode numéro 9. Si jamais il y avait toute une série sur les accords Toltec. Et c'est l'épisode sur l'accord Toltec. Quoi qu'il arrive, n'en fais jamais une affaire personnelle. Dans cet épisode, je vous raconte vraiment que tout le monde voit la vie à travers ses propres filtres. à travers son propre vécu, à travers ses propres histoires. Et donc vraiment le fait de ne pas prendre les choses personnellement, c'est vraiment se rappeler de ça, de se dire que les comportements, les mots, les actions des autres, ça dit long sur eux, pas sur vous. Et je pense que cet épisode peut vraiment vous aider si jamais vous avez l'impression que vous avez tendance à prendre tout personnellement. Et ça peut vous aider à retrouver votre lumière, puisque le fait de prendre tout personnellement, ça nous coupe de notre feu, de notre aura, de notre radiance. Sixième point, cherchez la validation à l'extérieur. Alors, une personne qui est dans sa lumière, qui est connectée à elle, qui sait qui elle est, c'est une personne qui est dans sa puissance, c'est une personne qui sait qui elle est, qui sait ce qu'elle veut, et c'est une personne qui n'a pas besoin... de la vie des autres. Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'on ne veut pas la vie de nos proches. Oui, Dora ? C'est mon chat qui vient vous dire bonjour. C'est juste arrêter de chercher tout le temps la validation à l'extérieur. Qu'est-ce que tu penses de ma coupe de cheveux ? T'aimes bien ? Et puis alors, si la personne n'aime pas, vous n'aimez plus non plus. Donc, sortir de cette validation qu'on cherche à l'extérieur, vous êtes légitime de naissance. Ce qui compte, c'est parce que les autres pensent de vous, de Ausha, c'est ce que vous, vous voulez. Et quand on a vécu une relation toxique, souvent justement on s'est coupé de ce pouvoir intérieur, de cette validation à se donner à soi-même. Parce qu'on était souvent dans une relation toxique, il y a souvent un peu ce jeu où on se perd et puis c'est l'autre qui choisit pour nous. Alors on ne sait plus ce qu'on aime, on ne sait plus ce qu'on veut. On ne fait plus de choix, on ne prend plus de décisions. Donc il y a vraiment cette notion, si jamais c'est votre cas, de vraiment reprendre votre pouvoir intérieur et d'arrêter d'écouter tous les conseils de tout le monde si vous ne les avez pas sollicités en plus de ça. Et la seule validation qui compte, c'est la vôtre, c'est celle qui vient de votre propre cœur. Petite anecdote, c'est quelque chose que je vois quand même régulièrement aussi dans... par exemple les massages, quand les personnes viennent se faire masser, ça arrive régulièrement qu'après le massage, les personnes veulent mon avis. Et je suis toujours un peu interloqué, je ne comprends pas. Alors, il y a des choses que je ressens dans le massage, évidemment, que parfois j'ai des intuitions, mais on s'en fout. Ce qui compte, c'est parce que moi, j'ai ressenti de vous dans le massage. Vous venez vous faire masser pour vous, ce qui compte, c'est ce que vous avez ressenti dans le massage. Parce qu'un massage, c'est à ça que ça sert aussi. C'est à ressentir son corps de l'intérieur, ça se laissez faire, ça se relaxer, se détendre, se faire du bien, mais en termes vraiment de ressenti, ce qui compte c'est vos ressentis à vous en fait, vous voyez, qu'est-ce que vous avez ressenti dans votre corps, dans vos émotions, dans vos sensations, dans vos pensées, c'est pas qu'est-ce que moi j'ai senti de vous dans mon corps et dans mes pensées, on s'en fout de ça, oui parfois je peux dire, ben j'ai senti en effet que tu avais du mal à te laisser aller, des personnes Je sens bien quand je prends leur bras, que je n'arrive pas à le bouger parce que la personne résiste. Donc voilà, je peux donner des conseils de lâcher prise, je peux discuter à propos de ça, mais on s'en fout de savoir ce que j'ai senti dans votre énergie. Pas du tout, ce n'est pas correct de faire ça. Reconnectez-vous à vos sensations, à vous, et ne cherchez pas la validation à l'extérieur. Voilà, le septième point que je vous propose. J'ai mon chat qui fait la faufole. Le septième point qui nous coupe de notre énergie, c'est le fait de râler, de tirer la tête. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Ça ne me convient pas, Dora, que tu fasses la faufole. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Puis ça y est, vous croisez les bras et vous boudez. Vous faites du boudin. Ça va ? Ben oui, ça va. Il y a quelque chose ? Ben non, il n'y a rien. Pour faire comprendre que vous êtes contrariés. Et que ça ne vous va pas. En fait, je sais que c'est parfois difficile d'exprimer ce qu'on ressent, de dire les choses, etc. Mais honnêtement, il vaut mieux agir, bouger, parler, plutôt que de faire ça, de râler, de tirer la tête. Quand on râle et qu'on tire la tête, on est dans une énergie tellement basse et ça se voit tellement de l'extérieur. C'est une énergie tellement... repoussante en fait, quand quelqu'un est en train de râler comme ça, et je plaide coupable, je vous le rappelle, respirez pendant cet épisode, je sais que c'est pas l'épisode le plus agréable à entendre, mais voilà, râler, tirer la tête, non, ça nous coupe de nous, et vous avez le droit de bouger, vous n'êtes pas un arbre, je sais qu'on parle beaucoup d'enracinement, d'ancrage, etc., mais concrètement, vous n'êtes pas un arbre, vous pouvez bouger si quelque chose ne vous convient pas, vous pouvez parler, vous pouvez agir, et vous pouvez... bouger, vous avez le choix. Mais rester dans un silence, bouder ou faire la tête sans jamais rien exprimer, ça vous enferme dans votre mal-être. Donc voilà. Le huitième point, c'est le fait de ressasser et de tourner en boucle sur le passé. Alors ce point-là, je sais qu'il est très difficile parce que souvent on se dit, ben oui, je sais que c'est pas bon pour moi et que ça me coupe de ma lumière et de mon feu intérieur de ressasser tout le temps la même histoire. Sauf qu'en général, quand il y a le moulin à penser qui est en train de tourner là-haut, ce n'est pas très facile de le contrôler. Donc la meilleure façon de tourner la page sur le passé, c'est de se recentrer sur soi et 100% sur soi et sur son présent. Et au moins essayer de se couper des choses qui entretiennent en fait ce moulin de pensée. Donc par exemple, si c'est lié à une relation qui est terminée, vous pouvez concrètement... Coupez le lien avec la personne, le bloquez sur les réseaux, arrêtez de regarder, c'est déjà une action concrète, puis vous recentrez sur vous, sur votre présent, arrêtez d'espérer de le croiser quelque part, arrêtez d'espérer qu'il vous envoie un message, etc. Concentrez-vous sur le présent et sur le futur éventuellement, mais vraiment refaites des choses pour vous, connectez-vous à vous, à ce qui vous fait du bien, allez boire un verre avec une copine, inscrivez-vous à un cours de théâtre, de danse, vraiment se recentrez sur soi. C'est vraiment ce qui aide au mieux à arrêter de ressasser, de tourner en boucle sur le passé. Le neuvième point, je l'aime beaucoup. C'est un point, enfin je l'aime beaucoup, j'aime beaucoup parler de ce point dans cet épisode. C'est la jalousie. Ça pique, hein ? C'est moche la jalousie. La jalousie, c'est vraiment un sentiment très désagréable, très complexe et qu'on n'avoue pas très facilement. C'est très très très dur d'avouer qu'on est jalouse. Dire je suis jalouse, je ressens de la jalousie, ça pique, ça pique et souvent on dit je suis pas jalouse, c'est juste que je déteste l'injustice. Qui plaît de coupable, attendez je lève bien haut ma main. Non je suis pas jalouse, je déteste l'injustice, je ne supporte pas ça. Ouais, ouais, ouais, l'injustice. En fait la jalousie elle est hyper intéressante, pourquoi ? Parce que quand on apprend à l'écouter, quand on la re... On n'est pas obligé de le reconnaître dans un statut Facebook aux yeux de tous. On peut juste l'avouer à soi-même, se dire bon ok, je reconnais que là j'éprouve de la jalousie. Pourquoi ? Qu'est-ce que cette personne, cette situation, n'importe quoi, qu'est-ce qui me crée ce sentiment-là de jalousie ? Qu'est-ce que j'ai envie d'avoir que je n'ai pas ? Qu'est-ce qui se passe ? Et en fait, cette jalousie, elle peut se transformer en inspiration. Si vraiment on arrive à la comprendre, à la dompter, et qu'on fait un petit effort de travail sur soi, eh bien, elle peut devenir un moteur puissant de transformation. Et quand on arrive à dépasser ça, je ne vous raconte pas à quel point on fait un bond en avant en termes de développement personnel et du coup, à quel point ça allume notre lumière. Parce qu'on passe de la personne qui est jalouse à la personne qui est inspirée et qui, finalement, connecte avec les outils. Par exemple, c'est par rapport à une autre femme. Parce que ça arrive souvent, nous, les femmes, n'est-ce pas ? Même si on dit que non, c'est pas de la jalousie, c'est de la justice. Ça nous arrive très souvent d'être jalouses les unes des autres. Et quand on arrive à dépasser ça et qu'on se dit, ben attends, cette femme-là, j'ai pas envie d'être jalouse d'elle parce qu'en fait, ce qu'elle fait, j'ai envie, en fait, moi aussi, de vivre ça, de ressentir ça, d'avoir ça. Ça va plutôt m'inspirer. Et quand on arrive à dépasser ça au point d'aller connecter avec cette femme-là, ça y est, ça m'épeu. Ça devient une sœur, en fait. Donc voilà. Et c'est beau. Et quand on est dans cette sororité-là, mais qu'est-ce qu'on brille, qu'est-ce qu'on est belle. Il n'y a rien de plus puissant et de plus lumineux que des femmes qui avancent entre elles et qui se soutiennent, en fait, vous voyez. Plutôt que des femmes qui se tirent dans les pattes et puis qui ne veulent pas collaborer ou qui ne veulent pas... Vous voyez, quand... Je ne sais pas, soutenir, alors là je m'égare un petit peu de la jalousie parce que je me suis connectée à la sororité et je suis partie, mais soutenir les autres femmes c'est tellement beau, justement ça allume tellement notre lumière parce qu'en fait on est là pour se soutenir les unes les autres, pour s'entraider, c'est vraiment un sentiment qui est très profond, qui est très vibrant et qui allume vraiment notre lumière. Et contrairement à ce que je disais tout à l'heure... Quand on est éteint et que c'est un peu du vampirisme pour les autres, dans ce cadre-là, ça allume notre lumière à nous, mais ça allume la lumière aux autres. Combien de fois sur les réseaux sociaux, je vois des femmes qui lancent leurs projets, qui font des trucs nouveaux, qui sont super inspirants, mais ça coûte rien de mettre un cœur et d'écrire un petit mot, félicitations, bravo à toi ma belle, ça fait tellement plaisir. Et vous savez, il y a des personnes... qui ne le font pas en fait. Il y a des personnes de qui on pourrait attendre ça parce que c'est nos amis depuis toujours et tout ça. Et ça fait mal en fait de voir qu'il y a des personnes qui ne nous soutiennent pas. Et ça éteint la lumière, ça éteint la lumière de la personne, mais ça éteint la lumière de la relation aussi. Donc voilà, je dépose ça là. Le dixième point qui éteint notre lumière, la comparaison. Avez-vous déjà, c'est peut-être un tout petit peu lié avec la jalousie, mais pas forcément. Avez-vous déjà entendu ce dicton ? La comparaison, c'est du poison. La comparaison c'est du poison, c'est impossible de vous comparer à quelqu'un qui n'a pas votre histoire, votre corps, votre énergie, votre parcours, votre vécu, c'est absurde. Soyez vous-même, toutes les autres sont déjà prises. Ça ne sert à rien de vous comparer ni physiquement, ni sur les talents, ni... Dans les cours de yoga on travaille beaucoup cette notion-là, en tout cas moi j'essaye souvent de rappeler cette notion-là, de dire ne vous... comparez pas aux autres. Parce que si ce qu'on vit sur notre tapis de yoga, c'est vraiment un reflet, un miroir de ce qu'on vit dans notre vie. Et quand au cours de yoga on a envie un peu de se dire, oh mon dieu mais elle, elle arrive bien à faire ça, moi j'arrive pas. Et puis on se pose plein de questions est-ce que je suis nulle, est-ce que je fais mal ? Non. Ne vous comparez pas aux autres, ça éteint votre lumière. Concentrez-vous sur vous, faites grandir votre lumière à vous. Respectez votre... corps et votre énergie à vous et du jour. Demain sera un autre jour. Et c'est vraiment comme ça qu'on entretient sa flamme et qu'on entretient sa lumière. Et dans la vie, pareil, ne vous comparez pas aux autres. Concentrez-vous uniquement sur vous. Acceptez les autres, encouragez-les, etc. Mais voilà, ça ne sert à rien de se comparer à quelqu'un qui n'est pas vous parce que vous êtes la seule personne à avoir marché dans vos chaussures depuis le début de votre vie. Donc, le... 11e petit point que je vous propose, forcément c'est l'hygiène de vie. On ne saurait pas être dans notre lumière, dans notre pleine puissance et dans nos pleins potentiels si on a une hygiène de vie déplorable. Alors je ne vais pas m'étaler ici puisqu'il y a déjà tout un épisode sur le sujet qui est l'épisode 17 qui s'appelle « Oui, clé pour avoir une bonne énergie et un bon état d'esprit » . Donc voilà, une hygiène de vie, vous savez, dormir, manger, boire de l'eau, bouger, tout ça forcément ça contribue à notre lumière et c'est vraiment la base qui se manifeste même sur notre visage, sur notre éclat, sur notre dynamisme, etc. C'est vraiment la base, la base. Ça ne sert à rien de travailler sur tout le reste en vérité si on n'a pas cette base d'une bonne hygiène de vie. Il ne reste plus que deux petits items puisque j'en ai prévu 13 en tout cas. tout pour cet épisode. Donc le douzième que je veux vous proposer, c'est le fait de se minimiser et de s'excuser tout le temps. Se minimiser, c'est du genre vous faire un compliment. Oh, elle est trop belle ta veste. Oh, elle est vieille. En fait, si quelqu'un vous dit que votre veste, elle est trop belle, dites merci. Je trouve aussi. Se minimiser, c'est quand on vous dit je te trouve tellement adorable. J'adore passer du temps avec toi parce que t'étais vraiment gentil. Ah oui mais bon comme tout le monde on est toutes gentilles, vous voyez donc se minimiser c'est un peu ça, c'est vraiment ne pas reconnaître vos potentiels, c'est pas prétentieux d'accepter qu'on a des qualités, d'accepter qu'on a des forces, d'accepter que les gens reconnaissent en nous notre unicité, c'est pas prétentieux on peut dire merci et accepter ça sans que ça devienne de l'arrogance ou de la prétention ou quelque chose comme ça. Donc vraiment arrêter de se minimiser parce que ben... Se minimiser pour moi, c'est limite la définition du fait d'éteindre sa lumière et arrêter de s'excuser tout le temps. Alors, je vous explique un petit peu parce que je trouve que c'est important. C'est important de s'excuser quand on a fait quelque chose de mal. C'est quand même la base du respect d'autrui, du savoir vivre ensemble, de l'humanité et... Je trouve que dans le développement personnel, il y a parfois un peu une confusion avec ces messages-là, quand on parle d'arrêter de s'excuser tout le temps. Il y a des personnes qui ne veulent plus s'excuser, par exemple quand elles sont en retard. Mais c'est juste la moindre des choses, parce que quand on est en retard quelque part, que c'est lié à quelqu'un, ça veut dire qu'il y a une personne derrière qui était là ponctuelle et qui nous attend. Donc en fait, s'excuser, c'est quand même juste la base quand on est un être humain, vous voyez. Si jamais on annule à la dernière minute, ce n'est pas très très cool, c'est la moindre des choses de s'excuser, peu importe pour quelle bonne excuse derrière, parce qu'encore une fois, poser la paix à quelqu'un à la dernière minute, la personne elle mérite le minimum syndical, c'est d'avoir des excuses. Donc quand je vous dis ici que s'excuser tout le temps ça éteint notre lumière, ce n'est pas ce genre d'excuses. Ici je parle du fait de s'excuser d'être soi. Donc arrêtez de s'excuser d'être soi, arrêtez de s'excuser de ressentir, arrêtez de s'excuser d'avoir un avis. Ça, ça éteint notre lumière. Donc les fameux « pardon si, oh j'ai une émotion, pardon, pardon, je suis désolée, oh s'il vous plaît ne m'en voulez pas d'être sensible, je suis désolée d'être comme ça, pardon, pardon, je suis maladroite, pardon » , ça fait de mal à personne en fait, c'est juste qui vous êtes et arrêtez de vous excuser d'être vous. Arrêtez de vous excuser d'avoir des émotions, arrêtez de vous excuser de ressentir d'avoir des besoins, d'avoir un avis, arrêtez de s'excuser tout le temps, c'est vraiment ça, parce que ça, ça est à notre lumière. Par contre, continuez à s'excuser quand on a blessé quelqu'un, même si c'était par maladresse, même si ce n'était pas volontaire, même si ce n'était pas très grave, c'est très important de continuer à s'excuser, je tiens vraiment à le dire. Parce que ça, ça allume notre lumière aussi. Bêtement, on marche dans la rue, on bouscule quelqu'un, même si on n'a pas fait exprès, c'est la moindre des choses de dire pardon. Et il y a des gens qui ne le font plus. Ces gens-là, ils n'ont pas beaucoup de lumière. Donc voilà. Le treizième et dernier petit point que j'ai envie de vous proposer pour l'épisode du jour, c'est le fait de mentir. Le mensonge. Ça, ça éteint bien la lumière. Mentir pour ne pas assumer ses choix. Par peur du conflit, par peur de décevoir, de ne pas être aimé, on commence à raconter une version un peu arrangée des choses. Mais la vérité, elle peut être tellement symbolisée par la lumière. La vérité, c'est tellement la lumière. Donc mentir, c'est tellement éteindre la lumière. Alors il y a tous les mensonges qu'on raconte aux autres, parce qu'on n'ose pas dire la vérité. Ces mensonges, ça peut être aussi à chaque fois qu'on dit oui alors qu'on n'a pas envie et qu'on n'ose pas poser nos limites. C'est une forme de mensonge qui nous éteint, qui nous coupe de notre lumière. Mais il y a aussi tous les mensonges qu'on se raconte à soi-même. Et forcément, quand on se raconte un mensonge à soi-même, ça veut dire qu'on est en train d'étouffer notre vérité, qu'on est en train d'étouffer notre lumière. Donc vraiment mentir, c'est vraiment quelque chose qui nous coupe de notre lumière. Dites la vérité. La première personne avec qui être honnête et sincère, c'est soi-même. Et puis après, dire la vérité aux autres. Voilà. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est tellement important. En tout cas, si on a envie de se connecter à sa lumière, à soi. Et voilà. Donc les filles, j'en ai fini avec mes 13 petits... Petites habitudes, je regarde le temps quand même, 30 minutes. Encore une fois, je vous rappelle que voilà, peut-être que certaines de ces habitudes qui étaient notre lumière, peut-être qu'en les écoutant, peut-être que ça vous a fait tilt à certains endroits. Peut-être que c'est un cri, un petit sentiment un peu désagréable à l'intérieur de vous. Prenez le temps de respirer, de prendre du recul avec ça, de vous demander si vous le prenez, si vous ne le prenez pas. Je vous rappelle que nous sommes ben nombreuses à avoir ces mauvaises petites habitudes sans même nous en rendre compte. Aujourd'hui, vous pouvez choisir simplement de les regarder avec lucidité, pas pour vous juger, mais simplement pour faire un pas de plus vers cette version de vous qui brille. Vraiment. Parce que la lumière, elle ne demande que ça, elle ne demande qu'à s'exprimer, elle ne demande qu'à exister, donc c'est à nous de lui faire de la place. Et moi j'ai aussi beaucoup de ces habitudes-là, et à chaque fois que j'en prends conscience, je suis contente parce que j'ai envie de travailler dessus, parce que moi j'ai envie de me libérer de ces couches-là. Je ne veux plus, ça fait longtemps que je ne veux plus être une personne éteinte, je veux être une personne vivante, je veux être une personne vibrante. Et j'aime bien quand je suis dans cette énergie attractive, quand je suis dans cette énergie d'amour, qui répand de la joie et qui soutient les autres, etc. et qui est pleine d'énergie. C'est pour ça que je fais du développement personnel, que je travaille sur moi. C'est pas pour me flageller ou pour me torturer l'esprit ou quelque chose comme ça. Je pense que ça a très très bien marché depuis des années que je fais tout ça, même si c'est un chemin continu. Donc je vous le dis, pour... que voilà, pour que si jamais là c'est en train de réveiller des petites choses en vous, vous rappelez que c'est pas pour culpabiliser, se sortir mal et se dire oh mince j'ai mal fait pas du tout, c'est vraiment pour petite couche par petite couche, venir peut-être travailler sur ça et s'en rendre compte, c'est aussi pour tout ça que je le partage avec vous et si ça vous parle et que vous avez l'impression que ça peut aider d'autres copines n'hésitez pas à partager cet épisode en story, sur vos réseaux, sur Whatsapp etc. Dernier petit point Si vous avez envie d'aller plus loin dans ce chemin de retour vers votre lumière, vers vos potentiels, vers votre énergie, je vous mets en description de cet épisode la liste d'attente vers mon programme de reconnexion à soi, mon programme vivre qui redémarre bientôt, un programme qui se passe en 12 semaines. Je vous laisse découvrir le programme et tout nouveau, voilà, je vous l'annonce pour la première fois. Dans cet épisode, j'ai entendu vos demandes, vos besoins pour certaines personnes d'être accompagnées de façon individuelle, de façon personnalisée. Donc j'ai ouvert un accompagnement qui s'appelle Reconnexion Boost. C'est un accompagnement en trois séances qui se passe rapidement en 10 à maximum 14 jours. Il y a un petit suivi entre les séances avec éventuellement des méditations, des exercices de journaling, etc. Et c'est vraiment une reconnexion boost. Donc vraiment un coup de boost vers ce retour à soi, vers cette connexion à soi. Je vous mets les infos également en description. Cet accompagnement peut se passer en présentiel à Sera, donc c'est en Belgique, en région liégeoise. Mais on peut aussi le faire par Zoom, à distance, aucun souci. Je vous fais des gros bisous et je vous dis à la semaine prochaine. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !

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Description

EP 41 | Ces habitudes qui éteignent ta lumière (et que tu fais peut-être sans t’en rendre compte…)


Il y a des gestes, des pensées, des mots qu’on répète au quotidien… et qui nous éloignent petit à petit de notre lumière.

Ce ne sont pas toujours des grandes blessures ou des drames, parfois ce sont juste des habitudes, des mécanismes, qu’on répète sans y penser.


Aujourd’hui, j’ai envie de te partager ces comportements qui t’éteignent, que tu sois en train de te reconstruire après une relation toxique ou que tu sois simplement passée par une période d’épuisement profond où tu t’es oubliée.

Tu vas peut-être te reconnaître… alors si c'est le cas, respire, ne te juge pas, prends simplement ce qui te parle et t'aide à t'élever et surtout... Laisse le reste 🙏🏻


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Prends ce qui te parle, le podcast qui accompagne les femmes à se reconstruire après une relation toxique, se libérer de l'emprise et retrouver confiance en elle. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Vous me suivez peut-être déjà sur Instagram, sur mon compte amanda.reconnexionassoi. Chaque personne est unique, alors ici la bienveillance est un honneur ainsi que la douceur. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour les filles, bienvenue dans cet épisode de la semaine. J'espère que vous allez très très bien. Alors cet épisode, ça va être un peu une suite de l'épisode de la semaine passée qui était l'épisode « Oser sa lumière » . Donc dans l'épisode de la semaine passée, on avait beaucoup parlé du fait d'oser sa lumière, d'oser simplement... être soi, de se permettre d'exprimer nos potentiels au monde, notre unicité et sortir un peu des carcans étroits dans lesquels on se met parfois et où on s'empêche, on s'empêche, où on s'empêche, je vais y arriver, de briller. Donc aujourd'hui, pour cette suite, je vais vous proposer un épisode où je vais vous proposer 13 habitudes qu'on a parfois. Peut-être sans s'en rendre compte vraiment, mais ces habitudes-là, elles viennent éteindre notre lumière. Alors avant de vous proposer ces 13 habitudes que j'ai recensées qui sont loin d'être exhaustives, je tiens à vous rappeler quelque chose, c'est que tout ce que je vais vous dire, peut-être que ça va un peu vous bousculer, peut-être que ça va un peu... Vous savez, c'est vraiment, je pense... Le genre de choses que quand on écoute ce genre d'informations, parfois on se reconnaît dans certains comportements. Et évidemment, c'est des choses qu'on n'aime pas parce qu'on se rend compte, on se dit mais oui, je fais ça, c'est vrai que ça éteint ma lumière, c'est vrai que c'est pas cool, etc. Donc, s'il vous plaît, écoutez ça quand même avec détachement, avec distance. Je vous rappelle que le podcast s'appelle Prends ce qui te parle et laisse tout le reste. Ceci dit, je pense que c'est important aussi parfois de mettre justement le zoom, la lumière sur ces petits comportements-là pour en avoir conscience, pour pouvoir après peut-être s'en libérer. Donc voilà, je vais vous proposer ceci. Les 13 habitudes qui éteignent ta lumière et que tu fais peut-être sans t'en rendre compte. La première de ces habitudes que je te propose, c'est le fait... de se plaindre de tout, se plaindre de tout, tout le temps, critiquer la politique, la météo, t'as vu comme il fait moche, la société, les gens, et puis critiquer des trucs sur lesquels on peut rien faire, t'as vu ça comme c'est moche, ou il fait trop chaud, il fait trop froid, ça brasse de l'air en fait de faire ça, on le fait une fois parce qu'on exprime ce qu'on ressent, d'accord ? Il y a des personnes qui sont quand même spécialistes pour faire ça tout le temps. Et je plaide coupable. Ça m'arrive aussi, évidemment, de me plaindre de tout. Mais vraiment, quand on fait ça, c'est quelque chose qui éteint notre lumière. Imaginez une personne qui est en train de râler, de se plaindre de tout. Puis il y a ceci, puis il y a cela. Il n'y a rien qui va. Le monde va mal. Tcha tcha tchi, tcha tcha tcha. Ça éteint notre lumière. Surtout quand c'est juste des paroles. Alors si c'est quelqu'un qui est révolté, qui met en place des manifestations, des pétitions, que sais-je, des mouvements qui font changer les choses, c'est cool parce qu'il y a une action derrière qui permet de changer. Mais si c'est juste se plaindre pour critiquer, ça brasse du vent et ça éteint la lumière de la personne qui aimait ces vibrations-là, mais ça a tendance un peu à vampiriser les autres aussi. Donc désolée de dire ça comme ça, je sais que ce n'est pas des choses agréables à entendre et peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord avec moi. Je m'en fous. Mais un comportement comme ça, c'est assez vampirisant. C'est un peu, vous savez, vous avez déjà entendu le terme de vampire énergétique. Quand on est face à quelqu'un qui se plaint constamment de tout, c'est usant pour les autres aussi. Et c'est une des raisons pour lesquelles j'ai mis, par exemple, dans mon cadre de cours, pour mes cours de yoga, je fais, en début d'année, je fais signer un papier à mes élèves où j'ai quelques conditions qui, moi, me semblent très logiques. Je sais que la logique n'est pas propre à tout le monde, enfin, qu'on n'a pas toutes la même logique, pardon, c'est plutôt ça que je veux dire. Il y a un des items qui est, au cours de yoga, on ne parle pas de sujets polémiques, de sujets d'actualité, de... de politique, ce genre de choses. Et ici, je profite de cet épisode pour préciser qu'en disant ça, je ne suis pas en train de vouloir mettre un couvercle sur la capacité à penser des gens. Évidemment, chacun fait ce qu'il veut, mais au moins au cours de yoga, où c'est un temps qu'on prend pour soi, et justement pour se défaire un peu de tout ce qui se passe à l'extérieur et qui nous envahit, pour se recentrer à l'intérieur sur ce qui se vit juste. à l'intérieur de soi, ce n'est pas le moment de venir se plaindre de tout, etc. Donc vraiment au cours de yoga, moi je demande qu'on vienne dans une démarche positive et puis après on fait ses révolutions quand on veut, mais pas au cours de yoga. Donc voilà, se plaindre de tout, c'est vraiment quelque chose qui éteint notre lumière et qui nous empêche d'être dans nos potentiels. Sauf si c'est une plainte utile et constructive avec vraiment des actions derrière. Le deuxième point que je vais vous proposer ici, c'est le fait d'être pessimiste et de voir le mal partout. Eh bien oui, on ne sait pas briller quand on est pessimiste et qu'on voit le mal partout. Être pessimiste, c'est quoi ? C'est toujours imaginer le pire, c'est toujours qu'il se passe quelque chose, on ne voit jamais la bonté derrière le geste, on a toujours l'impression que les gens profitent, on voit toujours le côté, vous savez, on a toujours l'impression qu'on va nous arnaquer, Ou il y a toujours, je ne sais pas moi, être pessimiste, voir le mal partout. Voilà un exemple. Donc je reste dans mes cours de yoga. Pour mes cours hebdomadaires, je fais un engagement annuel. C'est la best décision de ma vie que je n'ai jamais prise. Vous n'imaginez pas à quel point je suis alignée avec ce choix. Et comme vraiment, c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie. Bref. Peut-être que je vous expliquerai dans un autre épisode parce que c'est hyper intéressant ce qui s'est passé pour moi en termes de développement personnel quand j'ai pris ce choix, mais ce n'est pas le sujet du jour. Donc bref, je fais un engagement annuel. Pour moi, ça permet vraiment une profondeur, ça permet une connexion, ça permet une fluidité entre les séances, ça permet une progression aussi bien sur le plan physique, mais aussi sur le plan forcément du développement personnel qui, moi, est mon dada. Ça permet aussi une... Une énergie de groupe beaucoup meilleure que quand il y a des personnes qui viennent plic-ploc, ou il y en a qui arrêtent, il y en a qui continuent. Bref, c'était mon choix, il est magnifique, il est merveilleux. Et, par exemple, il y a une personne qui me demandait, « Ah oui, mais bon, si on se blesse ? » Mais tu as l'intention de te blesser, en fait ? Alors, je peux comprendre l'idée, je peux comprendre l'idée, mais ici, je vous prends l'exemple pour vous dire... Pourquoi avoir directement cette idée de si on se blesse ? Vous voyez, ça, c'est une pensée qui est pessimiste, que je peux comprendre. La personne avait certainement ses raisons de penser ça. Mais être optimiste, c'est quoi ? C'est se dire « Waouh, génial ! Pendant un an, on va être tous ensemble, je vais progresser, je vais pouvoir vraiment marquer des changements considérables, je prends un engagement envers moi-même, j'ai un objectif de connexion à moi. » ça va me faire du bien, etc. Pourquoi avoir cette vision de, et si on se blesse, être pessimiste et voir le mal partout, c'est vraiment ça, c'est vraiment, il se passe quelque chose, et plutôt que de voir l'opportunité, ou plutôt de se connecter à tout le beau qui peut se vivre dans ce moment-là, c'est aller chercher la circonstance possible dramatique. C'est vraiment, oui on va partir en vacances, oui mais si l'avion se crache. on va aller en week-end quelque part oui mais s'il pleut ce jour là vous voyez ça c'est vraiment ça nous coupe de notre lumière parce que si on se blesse il y aura toujours une solution à ce moment là en fait c'est pas ça qu'il faut penser si l'avion va pas se cracher mais s'il pleut et bien on dansera sous la pluie vous voyez ce que je veux dire donc être pessimiste voir le mal partout ça nous coupe de notre lumière ça nous permet pas d'être dans notre potentiel et de briller. Troisième chose, critiquer les autres. On ne peut pas briller en éteignant les autres, ce n'est pas possible. Alors on a le droit de ne pas aimer tout le monde. Mais est-ce qu'on a besoin de le répéter ? Est-ce qu'on a besoin de répandre des rumeurs sur cette personne ou de donner notre avis sans qu'on nous les demandait ? Donc j'aimais bien cette citation que j'ai vue sur les réseaux qui disait « Soit cette femme qui mêle à coups... » qui remet la couronne de travers d'une autre femme sans avoir besoin de le crier au monde entier. Donc critiquer les autres, clairement, ça nous coupe de nous. Quand on est là, t'as vu ce qu'elle a dit ? T'as vu ce qu'elle a fait ? Est-ce que t'as pas vu ses vêtements ? Oh, je te raconte pas, et puis celle-là, et puis patati, et puis oh mon Dieu ! Qu'est-ce que ça coupe la lumière et qu'est-ce que c'est énergivore pour les autres aussi. Je vous ai déjà raconté qu'avant ma reconversion professionnelle d'être kiné, d'être prof de yoga, de faire tout ça, j'étais vendeuse dans des magasins de vêtements mais c'était que des blablas, comme ça je ne supporte plus ça. Personnellement quand j'ai quelqu'un en face de moi qui commence à critiquer, c'est pas facile parce qu'on n'a pas toujours facile de mettre ses limites par rapport à ça. Mais on peut toujours dire, écoute, moi, cette conversation ne m'intéresse pas. On peut dire ça, en fait. Mais critiquer les autres, ça nous coupe de notre lumière. Et franchement, encore une fois, c'est énergivore aussi pour les autres personnes à qui on essaye de répandre ces critiques-là. Quatrième point qui nous coupe de notre lumière, c'est le fait de se victimiser. Attention, je précise que si vous avez été victime de quelque chose de grave, c'est très, très important. évidemment de le reconnaître. Parfois, on vit des drames, et oui, on est victime, et quand on est victime, il y a un coupable, et tout ça, c'est très important de le dénoncer, de le nommer, pour pouvoir guérir. Si c'est le cas, c'est important aussi de se faire accompagner par un professionnel, un psychologue, un médecin, que sais-je, un thérapeute. Ce que je veux vous dire ici, dans le fait que se victimiser, ça nous coupe de notre lumière, c'est... Il y a vraiment une différence entre le fait d'avoir été victime et le fait de rester dans la posture de victime et d'utiliser ça pour s'empêcher d'évoluer ou pour s'empêcher de s'ouvrir ou pour s'empêcher simplement de se connecter à sa lumière. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc personne n'est responsable de ce qu'on lui a fait, mais tout le monde est responsable de ce qu'il va en faire. Donc voilà, vraiment sortir du mode victime. Une fois qu'on a guéri, qu'on a fait le deuil, etc. Je le précise encore une fois. Et ce qu'il y a juste en face de la position de victime, c'est quoi ? C'est la position où on est responsable de soi, où on prend ses responsabilités, où on assume ses choix, où on tient ses engagements et où on pose les choses avec attention et on avance vraiment vers soi. Donc c'est vraiment être responsable de soi, de ses faits et gestes. Et où on sort donc de cette posture de victime du genre un peu, vous savez, Calimero, oui mais c'est pas de ma faute, oui mais tu comprends, j'en peux rien, oui mais moi ceci, oui mais à cause de ça, ben moi maintenant je suis comme ça et du coup je sais pas faire ça. C'est pas toujours justifié, voilà. Alors le cinquième point que je vous propose, c'est le fait de prendre tout personnellement. Quelqu'un a oublié de vous dire bonjour. Il fait une petite remarque ou une personne a l'air de mauvaise humeur et puis vous pensez que c'est à cause de vous. Vous prenez tout sur vous. Et il y a tout un épisode de podcast sur ce sujet. C'est l'épisode numéro 9. Si jamais il y avait toute une série sur les accords Toltec. Et c'est l'épisode sur l'accord Toltec. Quoi qu'il arrive, n'en fais jamais une affaire personnelle. Dans cet épisode, je vous raconte vraiment que tout le monde voit la vie à travers ses propres filtres. à travers son propre vécu, à travers ses propres histoires. Et donc vraiment le fait de ne pas prendre les choses personnellement, c'est vraiment se rappeler de ça, de se dire que les comportements, les mots, les actions des autres, ça dit long sur eux, pas sur vous. Et je pense que cet épisode peut vraiment vous aider si jamais vous avez l'impression que vous avez tendance à prendre tout personnellement. Et ça peut vous aider à retrouver votre lumière, puisque le fait de prendre tout personnellement, ça nous coupe de notre feu, de notre aura, de notre radiance. Sixième point, cherchez la validation à l'extérieur. Alors, une personne qui est dans sa lumière, qui est connectée à elle, qui sait qui elle est, c'est une personne qui est dans sa puissance, c'est une personne qui sait qui elle est, qui sait ce qu'elle veut, et c'est une personne qui n'a pas besoin... de la vie des autres. Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'on ne veut pas la vie de nos proches. Oui, Dora ? C'est mon chat qui vient vous dire bonjour. C'est juste arrêter de chercher tout le temps la validation à l'extérieur. Qu'est-ce que tu penses de ma coupe de cheveux ? T'aimes bien ? Et puis alors, si la personne n'aime pas, vous n'aimez plus non plus. Donc, sortir de cette validation qu'on cherche à l'extérieur, vous êtes légitime de naissance. Ce qui compte, c'est parce que les autres pensent de vous, de Ausha, c'est ce que vous, vous voulez. Et quand on a vécu une relation toxique, souvent justement on s'est coupé de ce pouvoir intérieur, de cette validation à se donner à soi-même. Parce qu'on était souvent dans une relation toxique, il y a souvent un peu ce jeu où on se perd et puis c'est l'autre qui choisit pour nous. Alors on ne sait plus ce qu'on aime, on ne sait plus ce qu'on veut. On ne fait plus de choix, on ne prend plus de décisions. Donc il y a vraiment cette notion, si jamais c'est votre cas, de vraiment reprendre votre pouvoir intérieur et d'arrêter d'écouter tous les conseils de tout le monde si vous ne les avez pas sollicités en plus de ça. Et la seule validation qui compte, c'est la vôtre, c'est celle qui vient de votre propre cœur. Petite anecdote, c'est quelque chose que je vois quand même régulièrement aussi dans... par exemple les massages, quand les personnes viennent se faire masser, ça arrive régulièrement qu'après le massage, les personnes veulent mon avis. Et je suis toujours un peu interloqué, je ne comprends pas. Alors, il y a des choses que je ressens dans le massage, évidemment, que parfois j'ai des intuitions, mais on s'en fout. Ce qui compte, c'est parce que moi, j'ai ressenti de vous dans le massage. Vous venez vous faire masser pour vous, ce qui compte, c'est ce que vous avez ressenti dans le massage. Parce qu'un massage, c'est à ça que ça sert aussi. C'est à ressentir son corps de l'intérieur, ça se laissez faire, ça se relaxer, se détendre, se faire du bien, mais en termes vraiment de ressenti, ce qui compte c'est vos ressentis à vous en fait, vous voyez, qu'est-ce que vous avez ressenti dans votre corps, dans vos émotions, dans vos sensations, dans vos pensées, c'est pas qu'est-ce que moi j'ai senti de vous dans mon corps et dans mes pensées, on s'en fout de ça, oui parfois je peux dire, ben j'ai senti en effet que tu avais du mal à te laisser aller, des personnes Je sens bien quand je prends leur bras, que je n'arrive pas à le bouger parce que la personne résiste. Donc voilà, je peux donner des conseils de lâcher prise, je peux discuter à propos de ça, mais on s'en fout de savoir ce que j'ai senti dans votre énergie. Pas du tout, ce n'est pas correct de faire ça. Reconnectez-vous à vos sensations, à vous, et ne cherchez pas la validation à l'extérieur. Voilà, le septième point que je vous propose. J'ai mon chat qui fait la faufole. Le septième point qui nous coupe de notre énergie, c'est le fait de râler, de tirer la tête. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Ça ne me convient pas, Dora, que tu fasses la faufole. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Puis ça y est, vous croisez les bras et vous boudez. Vous faites du boudin. Ça va ? Ben oui, ça va. Il y a quelque chose ? Ben non, il n'y a rien. Pour faire comprendre que vous êtes contrariés. Et que ça ne vous va pas. En fait, je sais que c'est parfois difficile d'exprimer ce qu'on ressent, de dire les choses, etc. Mais honnêtement, il vaut mieux agir, bouger, parler, plutôt que de faire ça, de râler, de tirer la tête. Quand on râle et qu'on tire la tête, on est dans une énergie tellement basse et ça se voit tellement de l'extérieur. C'est une énergie tellement... repoussante en fait, quand quelqu'un est en train de râler comme ça, et je plaide coupable, je vous le rappelle, respirez pendant cet épisode, je sais que c'est pas l'épisode le plus agréable à entendre, mais voilà, râler, tirer la tête, non, ça nous coupe de nous, et vous avez le droit de bouger, vous n'êtes pas un arbre, je sais qu'on parle beaucoup d'enracinement, d'ancrage, etc., mais concrètement, vous n'êtes pas un arbre, vous pouvez bouger si quelque chose ne vous convient pas, vous pouvez parler, vous pouvez agir, et vous pouvez... bouger, vous avez le choix. Mais rester dans un silence, bouder ou faire la tête sans jamais rien exprimer, ça vous enferme dans votre mal-être. Donc voilà. Le huitième point, c'est le fait de ressasser et de tourner en boucle sur le passé. Alors ce point-là, je sais qu'il est très difficile parce que souvent on se dit, ben oui, je sais que c'est pas bon pour moi et que ça me coupe de ma lumière et de mon feu intérieur de ressasser tout le temps la même histoire. Sauf qu'en général, quand il y a le moulin à penser qui est en train de tourner là-haut, ce n'est pas très facile de le contrôler. Donc la meilleure façon de tourner la page sur le passé, c'est de se recentrer sur soi et 100% sur soi et sur son présent. Et au moins essayer de se couper des choses qui entretiennent en fait ce moulin de pensée. Donc par exemple, si c'est lié à une relation qui est terminée, vous pouvez concrètement... Coupez le lien avec la personne, le bloquez sur les réseaux, arrêtez de regarder, c'est déjà une action concrète, puis vous recentrez sur vous, sur votre présent, arrêtez d'espérer de le croiser quelque part, arrêtez d'espérer qu'il vous envoie un message, etc. Concentrez-vous sur le présent et sur le futur éventuellement, mais vraiment refaites des choses pour vous, connectez-vous à vous, à ce qui vous fait du bien, allez boire un verre avec une copine, inscrivez-vous à un cours de théâtre, de danse, vraiment se recentrez sur soi. C'est vraiment ce qui aide au mieux à arrêter de ressasser, de tourner en boucle sur le passé. Le neuvième point, je l'aime beaucoup. C'est un point, enfin je l'aime beaucoup, j'aime beaucoup parler de ce point dans cet épisode. C'est la jalousie. Ça pique, hein ? C'est moche la jalousie. La jalousie, c'est vraiment un sentiment très désagréable, très complexe et qu'on n'avoue pas très facilement. C'est très très très dur d'avouer qu'on est jalouse. Dire je suis jalouse, je ressens de la jalousie, ça pique, ça pique et souvent on dit je suis pas jalouse, c'est juste que je déteste l'injustice. Qui plaît de coupable, attendez je lève bien haut ma main. Non je suis pas jalouse, je déteste l'injustice, je ne supporte pas ça. Ouais, ouais, ouais, l'injustice. En fait la jalousie elle est hyper intéressante, pourquoi ? Parce que quand on apprend à l'écouter, quand on la re... On n'est pas obligé de le reconnaître dans un statut Facebook aux yeux de tous. On peut juste l'avouer à soi-même, se dire bon ok, je reconnais que là j'éprouve de la jalousie. Pourquoi ? Qu'est-ce que cette personne, cette situation, n'importe quoi, qu'est-ce qui me crée ce sentiment-là de jalousie ? Qu'est-ce que j'ai envie d'avoir que je n'ai pas ? Qu'est-ce qui se passe ? Et en fait, cette jalousie, elle peut se transformer en inspiration. Si vraiment on arrive à la comprendre, à la dompter, et qu'on fait un petit effort de travail sur soi, eh bien, elle peut devenir un moteur puissant de transformation. Et quand on arrive à dépasser ça, je ne vous raconte pas à quel point on fait un bond en avant en termes de développement personnel et du coup, à quel point ça allume notre lumière. Parce qu'on passe de la personne qui est jalouse à la personne qui est inspirée et qui, finalement, connecte avec les outils. Par exemple, c'est par rapport à une autre femme. Parce que ça arrive souvent, nous, les femmes, n'est-ce pas ? Même si on dit que non, c'est pas de la jalousie, c'est de la justice. Ça nous arrive très souvent d'être jalouses les unes des autres. Et quand on arrive à dépasser ça et qu'on se dit, ben attends, cette femme-là, j'ai pas envie d'être jalouse d'elle parce qu'en fait, ce qu'elle fait, j'ai envie, en fait, moi aussi, de vivre ça, de ressentir ça, d'avoir ça. Ça va plutôt m'inspirer. Et quand on arrive à dépasser ça au point d'aller connecter avec cette femme-là, ça y est, ça m'épeu. Ça devient une sœur, en fait. Donc voilà. Et c'est beau. Et quand on est dans cette sororité-là, mais qu'est-ce qu'on brille, qu'est-ce qu'on est belle. Il n'y a rien de plus puissant et de plus lumineux que des femmes qui avancent entre elles et qui se soutiennent, en fait, vous voyez. Plutôt que des femmes qui se tirent dans les pattes et puis qui ne veulent pas collaborer ou qui ne veulent pas... Vous voyez, quand... Je ne sais pas, soutenir, alors là je m'égare un petit peu de la jalousie parce que je me suis connectée à la sororité et je suis partie, mais soutenir les autres femmes c'est tellement beau, justement ça allume tellement notre lumière parce qu'en fait on est là pour se soutenir les unes les autres, pour s'entraider, c'est vraiment un sentiment qui est très profond, qui est très vibrant et qui allume vraiment notre lumière. Et contrairement à ce que je disais tout à l'heure... Quand on est éteint et que c'est un peu du vampirisme pour les autres, dans ce cadre-là, ça allume notre lumière à nous, mais ça allume la lumière aux autres. Combien de fois sur les réseaux sociaux, je vois des femmes qui lancent leurs projets, qui font des trucs nouveaux, qui sont super inspirants, mais ça coûte rien de mettre un cœur et d'écrire un petit mot, félicitations, bravo à toi ma belle, ça fait tellement plaisir. Et vous savez, il y a des personnes... qui ne le font pas en fait. Il y a des personnes de qui on pourrait attendre ça parce que c'est nos amis depuis toujours et tout ça. Et ça fait mal en fait de voir qu'il y a des personnes qui ne nous soutiennent pas. Et ça éteint la lumière, ça éteint la lumière de la personne, mais ça éteint la lumière de la relation aussi. Donc voilà, je dépose ça là. Le dixième point qui éteint notre lumière, la comparaison. Avez-vous déjà, c'est peut-être un tout petit peu lié avec la jalousie, mais pas forcément. Avez-vous déjà entendu ce dicton ? La comparaison, c'est du poison. La comparaison c'est du poison, c'est impossible de vous comparer à quelqu'un qui n'a pas votre histoire, votre corps, votre énergie, votre parcours, votre vécu, c'est absurde. Soyez vous-même, toutes les autres sont déjà prises. Ça ne sert à rien de vous comparer ni physiquement, ni sur les talents, ni... Dans les cours de yoga on travaille beaucoup cette notion-là, en tout cas moi j'essaye souvent de rappeler cette notion-là, de dire ne vous... comparez pas aux autres. Parce que si ce qu'on vit sur notre tapis de yoga, c'est vraiment un reflet, un miroir de ce qu'on vit dans notre vie. Et quand au cours de yoga on a envie un peu de se dire, oh mon dieu mais elle, elle arrive bien à faire ça, moi j'arrive pas. Et puis on se pose plein de questions est-ce que je suis nulle, est-ce que je fais mal ? Non. Ne vous comparez pas aux autres, ça éteint votre lumière. Concentrez-vous sur vous, faites grandir votre lumière à vous. Respectez votre... corps et votre énergie à vous et du jour. Demain sera un autre jour. Et c'est vraiment comme ça qu'on entretient sa flamme et qu'on entretient sa lumière. Et dans la vie, pareil, ne vous comparez pas aux autres. Concentrez-vous uniquement sur vous. Acceptez les autres, encouragez-les, etc. Mais voilà, ça ne sert à rien de se comparer à quelqu'un qui n'est pas vous parce que vous êtes la seule personne à avoir marché dans vos chaussures depuis le début de votre vie. Donc, le... 11e petit point que je vous propose, forcément c'est l'hygiène de vie. On ne saurait pas être dans notre lumière, dans notre pleine puissance et dans nos pleins potentiels si on a une hygiène de vie déplorable. Alors je ne vais pas m'étaler ici puisqu'il y a déjà tout un épisode sur le sujet qui est l'épisode 17 qui s'appelle « Oui, clé pour avoir une bonne énergie et un bon état d'esprit » . Donc voilà, une hygiène de vie, vous savez, dormir, manger, boire de l'eau, bouger, tout ça forcément ça contribue à notre lumière et c'est vraiment la base qui se manifeste même sur notre visage, sur notre éclat, sur notre dynamisme, etc. C'est vraiment la base, la base. Ça ne sert à rien de travailler sur tout le reste en vérité si on n'a pas cette base d'une bonne hygiène de vie. Il ne reste plus que deux petits items puisque j'en ai prévu 13 en tout cas. tout pour cet épisode. Donc le douzième que je veux vous proposer, c'est le fait de se minimiser et de s'excuser tout le temps. Se minimiser, c'est du genre vous faire un compliment. Oh, elle est trop belle ta veste. Oh, elle est vieille. En fait, si quelqu'un vous dit que votre veste, elle est trop belle, dites merci. Je trouve aussi. Se minimiser, c'est quand on vous dit je te trouve tellement adorable. J'adore passer du temps avec toi parce que t'étais vraiment gentil. Ah oui mais bon comme tout le monde on est toutes gentilles, vous voyez donc se minimiser c'est un peu ça, c'est vraiment ne pas reconnaître vos potentiels, c'est pas prétentieux d'accepter qu'on a des qualités, d'accepter qu'on a des forces, d'accepter que les gens reconnaissent en nous notre unicité, c'est pas prétentieux on peut dire merci et accepter ça sans que ça devienne de l'arrogance ou de la prétention ou quelque chose comme ça. Donc vraiment arrêter de se minimiser parce que ben... Se minimiser pour moi, c'est limite la définition du fait d'éteindre sa lumière et arrêter de s'excuser tout le temps. Alors, je vous explique un petit peu parce que je trouve que c'est important. C'est important de s'excuser quand on a fait quelque chose de mal. C'est quand même la base du respect d'autrui, du savoir vivre ensemble, de l'humanité et... Je trouve que dans le développement personnel, il y a parfois un peu une confusion avec ces messages-là, quand on parle d'arrêter de s'excuser tout le temps. Il y a des personnes qui ne veulent plus s'excuser, par exemple quand elles sont en retard. Mais c'est juste la moindre des choses, parce que quand on est en retard quelque part, que c'est lié à quelqu'un, ça veut dire qu'il y a une personne derrière qui était là ponctuelle et qui nous attend. Donc en fait, s'excuser, c'est quand même juste la base quand on est un être humain, vous voyez. Si jamais on annule à la dernière minute, ce n'est pas très très cool, c'est la moindre des choses de s'excuser, peu importe pour quelle bonne excuse derrière, parce qu'encore une fois, poser la paix à quelqu'un à la dernière minute, la personne elle mérite le minimum syndical, c'est d'avoir des excuses. Donc quand je vous dis ici que s'excuser tout le temps ça éteint notre lumière, ce n'est pas ce genre d'excuses. Ici je parle du fait de s'excuser d'être soi. Donc arrêtez de s'excuser d'être soi, arrêtez de s'excuser de ressentir, arrêtez de s'excuser d'avoir un avis. Ça, ça éteint notre lumière. Donc les fameux « pardon si, oh j'ai une émotion, pardon, pardon, je suis désolée, oh s'il vous plaît ne m'en voulez pas d'être sensible, je suis désolée d'être comme ça, pardon, pardon, je suis maladroite, pardon » , ça fait de mal à personne en fait, c'est juste qui vous êtes et arrêtez de vous excuser d'être vous. Arrêtez de vous excuser d'avoir des émotions, arrêtez de vous excuser de ressentir d'avoir des besoins, d'avoir un avis, arrêtez de s'excuser tout le temps, c'est vraiment ça, parce que ça, ça est à notre lumière. Par contre, continuez à s'excuser quand on a blessé quelqu'un, même si c'était par maladresse, même si ce n'était pas volontaire, même si ce n'était pas très grave, c'est très important de continuer à s'excuser, je tiens vraiment à le dire. Parce que ça, ça allume notre lumière aussi. Bêtement, on marche dans la rue, on bouscule quelqu'un, même si on n'a pas fait exprès, c'est la moindre des choses de dire pardon. Et il y a des gens qui ne le font plus. Ces gens-là, ils n'ont pas beaucoup de lumière. Donc voilà. Le treizième et dernier petit point que j'ai envie de vous proposer pour l'épisode du jour, c'est le fait de mentir. Le mensonge. Ça, ça éteint bien la lumière. Mentir pour ne pas assumer ses choix. Par peur du conflit, par peur de décevoir, de ne pas être aimé, on commence à raconter une version un peu arrangée des choses. Mais la vérité, elle peut être tellement symbolisée par la lumière. La vérité, c'est tellement la lumière. Donc mentir, c'est tellement éteindre la lumière. Alors il y a tous les mensonges qu'on raconte aux autres, parce qu'on n'ose pas dire la vérité. Ces mensonges, ça peut être aussi à chaque fois qu'on dit oui alors qu'on n'a pas envie et qu'on n'ose pas poser nos limites. C'est une forme de mensonge qui nous éteint, qui nous coupe de notre lumière. Mais il y a aussi tous les mensonges qu'on se raconte à soi-même. Et forcément, quand on se raconte un mensonge à soi-même, ça veut dire qu'on est en train d'étouffer notre vérité, qu'on est en train d'étouffer notre lumière. Donc vraiment mentir, c'est vraiment quelque chose qui nous coupe de notre lumière. Dites la vérité. La première personne avec qui être honnête et sincère, c'est soi-même. Et puis après, dire la vérité aux autres. Voilà. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est tellement important. En tout cas, si on a envie de se connecter à sa lumière, à soi. Et voilà. Donc les filles, j'en ai fini avec mes 13 petits... Petites habitudes, je regarde le temps quand même, 30 minutes. Encore une fois, je vous rappelle que voilà, peut-être que certaines de ces habitudes qui étaient notre lumière, peut-être qu'en les écoutant, peut-être que ça vous a fait tilt à certains endroits. Peut-être que c'est un cri, un petit sentiment un peu désagréable à l'intérieur de vous. Prenez le temps de respirer, de prendre du recul avec ça, de vous demander si vous le prenez, si vous ne le prenez pas. Je vous rappelle que nous sommes ben nombreuses à avoir ces mauvaises petites habitudes sans même nous en rendre compte. Aujourd'hui, vous pouvez choisir simplement de les regarder avec lucidité, pas pour vous juger, mais simplement pour faire un pas de plus vers cette version de vous qui brille. Vraiment. Parce que la lumière, elle ne demande que ça, elle ne demande qu'à s'exprimer, elle ne demande qu'à exister, donc c'est à nous de lui faire de la place. Et moi j'ai aussi beaucoup de ces habitudes-là, et à chaque fois que j'en prends conscience, je suis contente parce que j'ai envie de travailler dessus, parce que moi j'ai envie de me libérer de ces couches-là. Je ne veux plus, ça fait longtemps que je ne veux plus être une personne éteinte, je veux être une personne vivante, je veux être une personne vibrante. Et j'aime bien quand je suis dans cette énergie attractive, quand je suis dans cette énergie d'amour, qui répand de la joie et qui soutient les autres, etc. et qui est pleine d'énergie. C'est pour ça que je fais du développement personnel, que je travaille sur moi. C'est pas pour me flageller ou pour me torturer l'esprit ou quelque chose comme ça. Je pense que ça a très très bien marché depuis des années que je fais tout ça, même si c'est un chemin continu. Donc je vous le dis, pour... que voilà, pour que si jamais là c'est en train de réveiller des petites choses en vous, vous rappelez que c'est pas pour culpabiliser, se sortir mal et se dire oh mince j'ai mal fait pas du tout, c'est vraiment pour petite couche par petite couche, venir peut-être travailler sur ça et s'en rendre compte, c'est aussi pour tout ça que je le partage avec vous et si ça vous parle et que vous avez l'impression que ça peut aider d'autres copines n'hésitez pas à partager cet épisode en story, sur vos réseaux, sur Whatsapp etc. Dernier petit point Si vous avez envie d'aller plus loin dans ce chemin de retour vers votre lumière, vers vos potentiels, vers votre énergie, je vous mets en description de cet épisode la liste d'attente vers mon programme de reconnexion à soi, mon programme vivre qui redémarre bientôt, un programme qui se passe en 12 semaines. Je vous laisse découvrir le programme et tout nouveau, voilà, je vous l'annonce pour la première fois. Dans cet épisode, j'ai entendu vos demandes, vos besoins pour certaines personnes d'être accompagnées de façon individuelle, de façon personnalisée. Donc j'ai ouvert un accompagnement qui s'appelle Reconnexion Boost. C'est un accompagnement en trois séances qui se passe rapidement en 10 à maximum 14 jours. Il y a un petit suivi entre les séances avec éventuellement des méditations, des exercices de journaling, etc. Et c'est vraiment une reconnexion boost. Donc vraiment un coup de boost vers ce retour à soi, vers cette connexion à soi. Je vous mets les infos également en description. Cet accompagnement peut se passer en présentiel à Sera, donc c'est en Belgique, en région liégeoise. Mais on peut aussi le faire par Zoom, à distance, aucun souci. Je vous fais des gros bisous et je vous dis à la semaine prochaine. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !

Description

EP 41 | Ces habitudes qui éteignent ta lumière (et que tu fais peut-être sans t’en rendre compte…)


Il y a des gestes, des pensées, des mots qu’on répète au quotidien… et qui nous éloignent petit à petit de notre lumière.

Ce ne sont pas toujours des grandes blessures ou des drames, parfois ce sont juste des habitudes, des mécanismes, qu’on répète sans y penser.


Aujourd’hui, j’ai envie de te partager ces comportements qui t’éteignent, que tu sois en train de te reconstruire après une relation toxique ou que tu sois simplement passée par une période d’épuisement profond où tu t’es oubliée.

Tu vas peut-être te reconnaître… alors si c'est le cas, respire, ne te juge pas, prends simplement ce qui te parle et t'aide à t'élever et surtout... Laisse le reste 🙏🏻


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Prends ce qui te parle, le podcast qui accompagne les femmes à se reconstruire après une relation toxique, se libérer de l'emprise et retrouver confiance en elle. Je suis Amanda, professeure de yoga avec une approche de développement personnel. Vous me suivez peut-être déjà sur Instagram, sur mon compte amanda.reconnexionassoi. Chaque personne est unique, alors ici la bienveillance est un honneur ainsi que la douceur. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Bonjour les filles, bienvenue dans cet épisode de la semaine. J'espère que vous allez très très bien. Alors cet épisode, ça va être un peu une suite de l'épisode de la semaine passée qui était l'épisode « Oser sa lumière » . Donc dans l'épisode de la semaine passée, on avait beaucoup parlé du fait d'oser sa lumière, d'oser simplement... être soi, de se permettre d'exprimer nos potentiels au monde, notre unicité et sortir un peu des carcans étroits dans lesquels on se met parfois et où on s'empêche, on s'empêche, où on s'empêche, je vais y arriver, de briller. Donc aujourd'hui, pour cette suite, je vais vous proposer un épisode où je vais vous proposer 13 habitudes qu'on a parfois. Peut-être sans s'en rendre compte vraiment, mais ces habitudes-là, elles viennent éteindre notre lumière. Alors avant de vous proposer ces 13 habitudes que j'ai recensées qui sont loin d'être exhaustives, je tiens à vous rappeler quelque chose, c'est que tout ce que je vais vous dire, peut-être que ça va un peu vous bousculer, peut-être que ça va un peu... Vous savez, c'est vraiment, je pense... Le genre de choses que quand on écoute ce genre d'informations, parfois on se reconnaît dans certains comportements. Et évidemment, c'est des choses qu'on n'aime pas parce qu'on se rend compte, on se dit mais oui, je fais ça, c'est vrai que ça éteint ma lumière, c'est vrai que c'est pas cool, etc. Donc, s'il vous plaît, écoutez ça quand même avec détachement, avec distance. Je vous rappelle que le podcast s'appelle Prends ce qui te parle et laisse tout le reste. Ceci dit, je pense que c'est important aussi parfois de mettre justement le zoom, la lumière sur ces petits comportements-là pour en avoir conscience, pour pouvoir après peut-être s'en libérer. Donc voilà, je vais vous proposer ceci. Les 13 habitudes qui éteignent ta lumière et que tu fais peut-être sans t'en rendre compte. La première de ces habitudes que je te propose, c'est le fait... de se plaindre de tout, se plaindre de tout, tout le temps, critiquer la politique, la météo, t'as vu comme il fait moche, la société, les gens, et puis critiquer des trucs sur lesquels on peut rien faire, t'as vu ça comme c'est moche, ou il fait trop chaud, il fait trop froid, ça brasse de l'air en fait de faire ça, on le fait une fois parce qu'on exprime ce qu'on ressent, d'accord ? Il y a des personnes qui sont quand même spécialistes pour faire ça tout le temps. Et je plaide coupable. Ça m'arrive aussi, évidemment, de me plaindre de tout. Mais vraiment, quand on fait ça, c'est quelque chose qui éteint notre lumière. Imaginez une personne qui est en train de râler, de se plaindre de tout. Puis il y a ceci, puis il y a cela. Il n'y a rien qui va. Le monde va mal. Tcha tcha tchi, tcha tcha tcha. Ça éteint notre lumière. Surtout quand c'est juste des paroles. Alors si c'est quelqu'un qui est révolté, qui met en place des manifestations, des pétitions, que sais-je, des mouvements qui font changer les choses, c'est cool parce qu'il y a une action derrière qui permet de changer. Mais si c'est juste se plaindre pour critiquer, ça brasse du vent et ça éteint la lumière de la personne qui aimait ces vibrations-là, mais ça a tendance un peu à vampiriser les autres aussi. Donc désolée de dire ça comme ça, je sais que ce n'est pas des choses agréables à entendre et peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord avec moi. Je m'en fous. Mais un comportement comme ça, c'est assez vampirisant. C'est un peu, vous savez, vous avez déjà entendu le terme de vampire énergétique. Quand on est face à quelqu'un qui se plaint constamment de tout, c'est usant pour les autres aussi. Et c'est une des raisons pour lesquelles j'ai mis, par exemple, dans mon cadre de cours, pour mes cours de yoga, je fais, en début d'année, je fais signer un papier à mes élèves où j'ai quelques conditions qui, moi, me semblent très logiques. Je sais que la logique n'est pas propre à tout le monde, enfin, qu'on n'a pas toutes la même logique, pardon, c'est plutôt ça que je veux dire. Il y a un des items qui est, au cours de yoga, on ne parle pas de sujets polémiques, de sujets d'actualité, de... de politique, ce genre de choses. Et ici, je profite de cet épisode pour préciser qu'en disant ça, je ne suis pas en train de vouloir mettre un couvercle sur la capacité à penser des gens. Évidemment, chacun fait ce qu'il veut, mais au moins au cours de yoga, où c'est un temps qu'on prend pour soi, et justement pour se défaire un peu de tout ce qui se passe à l'extérieur et qui nous envahit, pour se recentrer à l'intérieur sur ce qui se vit juste. à l'intérieur de soi, ce n'est pas le moment de venir se plaindre de tout, etc. Donc vraiment au cours de yoga, moi je demande qu'on vienne dans une démarche positive et puis après on fait ses révolutions quand on veut, mais pas au cours de yoga. Donc voilà, se plaindre de tout, c'est vraiment quelque chose qui éteint notre lumière et qui nous empêche d'être dans nos potentiels. Sauf si c'est une plainte utile et constructive avec vraiment des actions derrière. Le deuxième point que je vais vous proposer ici, c'est le fait d'être pessimiste et de voir le mal partout. Eh bien oui, on ne sait pas briller quand on est pessimiste et qu'on voit le mal partout. Être pessimiste, c'est quoi ? C'est toujours imaginer le pire, c'est toujours qu'il se passe quelque chose, on ne voit jamais la bonté derrière le geste, on a toujours l'impression que les gens profitent, on voit toujours le côté, vous savez, on a toujours l'impression qu'on va nous arnaquer, Ou il y a toujours, je ne sais pas moi, être pessimiste, voir le mal partout. Voilà un exemple. Donc je reste dans mes cours de yoga. Pour mes cours hebdomadaires, je fais un engagement annuel. C'est la best décision de ma vie que je n'ai jamais prise. Vous n'imaginez pas à quel point je suis alignée avec ce choix. Et comme vraiment, c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie. Bref. Peut-être que je vous expliquerai dans un autre épisode parce que c'est hyper intéressant ce qui s'est passé pour moi en termes de développement personnel quand j'ai pris ce choix, mais ce n'est pas le sujet du jour. Donc bref, je fais un engagement annuel. Pour moi, ça permet vraiment une profondeur, ça permet une connexion, ça permet une fluidité entre les séances, ça permet une progression aussi bien sur le plan physique, mais aussi sur le plan forcément du développement personnel qui, moi, est mon dada. Ça permet aussi une... Une énergie de groupe beaucoup meilleure que quand il y a des personnes qui viennent plic-ploc, ou il y en a qui arrêtent, il y en a qui continuent. Bref, c'était mon choix, il est magnifique, il est merveilleux. Et, par exemple, il y a une personne qui me demandait, « Ah oui, mais bon, si on se blesse ? » Mais tu as l'intention de te blesser, en fait ? Alors, je peux comprendre l'idée, je peux comprendre l'idée, mais ici, je vous prends l'exemple pour vous dire... Pourquoi avoir directement cette idée de si on se blesse ? Vous voyez, ça, c'est une pensée qui est pessimiste, que je peux comprendre. La personne avait certainement ses raisons de penser ça. Mais être optimiste, c'est quoi ? C'est se dire « Waouh, génial ! Pendant un an, on va être tous ensemble, je vais progresser, je vais pouvoir vraiment marquer des changements considérables, je prends un engagement envers moi-même, j'ai un objectif de connexion à moi. » ça va me faire du bien, etc. Pourquoi avoir cette vision de, et si on se blesse, être pessimiste et voir le mal partout, c'est vraiment ça, c'est vraiment, il se passe quelque chose, et plutôt que de voir l'opportunité, ou plutôt de se connecter à tout le beau qui peut se vivre dans ce moment-là, c'est aller chercher la circonstance possible dramatique. C'est vraiment, oui on va partir en vacances, oui mais si l'avion se crache. on va aller en week-end quelque part oui mais s'il pleut ce jour là vous voyez ça c'est vraiment ça nous coupe de notre lumière parce que si on se blesse il y aura toujours une solution à ce moment là en fait c'est pas ça qu'il faut penser si l'avion va pas se cracher mais s'il pleut et bien on dansera sous la pluie vous voyez ce que je veux dire donc être pessimiste voir le mal partout ça nous coupe de notre lumière ça nous permet pas d'être dans notre potentiel et de briller. Troisième chose, critiquer les autres. On ne peut pas briller en éteignant les autres, ce n'est pas possible. Alors on a le droit de ne pas aimer tout le monde. Mais est-ce qu'on a besoin de le répéter ? Est-ce qu'on a besoin de répandre des rumeurs sur cette personne ou de donner notre avis sans qu'on nous les demandait ? Donc j'aimais bien cette citation que j'ai vue sur les réseaux qui disait « Soit cette femme qui mêle à coups... » qui remet la couronne de travers d'une autre femme sans avoir besoin de le crier au monde entier. Donc critiquer les autres, clairement, ça nous coupe de nous. Quand on est là, t'as vu ce qu'elle a dit ? T'as vu ce qu'elle a fait ? Est-ce que t'as pas vu ses vêtements ? Oh, je te raconte pas, et puis celle-là, et puis patati, et puis oh mon Dieu ! Qu'est-ce que ça coupe la lumière et qu'est-ce que c'est énergivore pour les autres aussi. Je vous ai déjà raconté qu'avant ma reconversion professionnelle d'être kiné, d'être prof de yoga, de faire tout ça, j'étais vendeuse dans des magasins de vêtements mais c'était que des blablas, comme ça je ne supporte plus ça. Personnellement quand j'ai quelqu'un en face de moi qui commence à critiquer, c'est pas facile parce qu'on n'a pas toujours facile de mettre ses limites par rapport à ça. Mais on peut toujours dire, écoute, moi, cette conversation ne m'intéresse pas. On peut dire ça, en fait. Mais critiquer les autres, ça nous coupe de notre lumière. Et franchement, encore une fois, c'est énergivore aussi pour les autres personnes à qui on essaye de répandre ces critiques-là. Quatrième point qui nous coupe de notre lumière, c'est le fait de se victimiser. Attention, je précise que si vous avez été victime de quelque chose de grave, c'est très, très important. évidemment de le reconnaître. Parfois, on vit des drames, et oui, on est victime, et quand on est victime, il y a un coupable, et tout ça, c'est très important de le dénoncer, de le nommer, pour pouvoir guérir. Si c'est le cas, c'est important aussi de se faire accompagner par un professionnel, un psychologue, un médecin, que sais-je, un thérapeute. Ce que je veux vous dire ici, dans le fait que se victimiser, ça nous coupe de notre lumière, c'est... Il y a vraiment une différence entre le fait d'avoir été victime et le fait de rester dans la posture de victime et d'utiliser ça pour s'empêcher d'évoluer ou pour s'empêcher de s'ouvrir ou pour s'empêcher simplement de se connecter à sa lumière. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc personne n'est responsable de ce qu'on lui a fait, mais tout le monde est responsable de ce qu'il va en faire. Donc voilà, vraiment sortir du mode victime. Une fois qu'on a guéri, qu'on a fait le deuil, etc. Je le précise encore une fois. Et ce qu'il y a juste en face de la position de victime, c'est quoi ? C'est la position où on est responsable de soi, où on prend ses responsabilités, où on assume ses choix, où on tient ses engagements et où on pose les choses avec attention et on avance vraiment vers soi. Donc c'est vraiment être responsable de soi, de ses faits et gestes. Et où on sort donc de cette posture de victime du genre un peu, vous savez, Calimero, oui mais c'est pas de ma faute, oui mais tu comprends, j'en peux rien, oui mais moi ceci, oui mais à cause de ça, ben moi maintenant je suis comme ça et du coup je sais pas faire ça. C'est pas toujours justifié, voilà. Alors le cinquième point que je vous propose, c'est le fait de prendre tout personnellement. Quelqu'un a oublié de vous dire bonjour. Il fait une petite remarque ou une personne a l'air de mauvaise humeur et puis vous pensez que c'est à cause de vous. Vous prenez tout sur vous. Et il y a tout un épisode de podcast sur ce sujet. C'est l'épisode numéro 9. Si jamais il y avait toute une série sur les accords Toltec. Et c'est l'épisode sur l'accord Toltec. Quoi qu'il arrive, n'en fais jamais une affaire personnelle. Dans cet épisode, je vous raconte vraiment que tout le monde voit la vie à travers ses propres filtres. à travers son propre vécu, à travers ses propres histoires. Et donc vraiment le fait de ne pas prendre les choses personnellement, c'est vraiment se rappeler de ça, de se dire que les comportements, les mots, les actions des autres, ça dit long sur eux, pas sur vous. Et je pense que cet épisode peut vraiment vous aider si jamais vous avez l'impression que vous avez tendance à prendre tout personnellement. Et ça peut vous aider à retrouver votre lumière, puisque le fait de prendre tout personnellement, ça nous coupe de notre feu, de notre aura, de notre radiance. Sixième point, cherchez la validation à l'extérieur. Alors, une personne qui est dans sa lumière, qui est connectée à elle, qui sait qui elle est, c'est une personne qui est dans sa puissance, c'est une personne qui sait qui elle est, qui sait ce qu'elle veut, et c'est une personne qui n'a pas besoin... de la vie des autres. Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'on ne veut pas la vie de nos proches. Oui, Dora ? C'est mon chat qui vient vous dire bonjour. C'est juste arrêter de chercher tout le temps la validation à l'extérieur. Qu'est-ce que tu penses de ma coupe de cheveux ? T'aimes bien ? Et puis alors, si la personne n'aime pas, vous n'aimez plus non plus. Donc, sortir de cette validation qu'on cherche à l'extérieur, vous êtes légitime de naissance. Ce qui compte, c'est parce que les autres pensent de vous, de Ausha, c'est ce que vous, vous voulez. Et quand on a vécu une relation toxique, souvent justement on s'est coupé de ce pouvoir intérieur, de cette validation à se donner à soi-même. Parce qu'on était souvent dans une relation toxique, il y a souvent un peu ce jeu où on se perd et puis c'est l'autre qui choisit pour nous. Alors on ne sait plus ce qu'on aime, on ne sait plus ce qu'on veut. On ne fait plus de choix, on ne prend plus de décisions. Donc il y a vraiment cette notion, si jamais c'est votre cas, de vraiment reprendre votre pouvoir intérieur et d'arrêter d'écouter tous les conseils de tout le monde si vous ne les avez pas sollicités en plus de ça. Et la seule validation qui compte, c'est la vôtre, c'est celle qui vient de votre propre cœur. Petite anecdote, c'est quelque chose que je vois quand même régulièrement aussi dans... par exemple les massages, quand les personnes viennent se faire masser, ça arrive régulièrement qu'après le massage, les personnes veulent mon avis. Et je suis toujours un peu interloqué, je ne comprends pas. Alors, il y a des choses que je ressens dans le massage, évidemment, que parfois j'ai des intuitions, mais on s'en fout. Ce qui compte, c'est parce que moi, j'ai ressenti de vous dans le massage. Vous venez vous faire masser pour vous, ce qui compte, c'est ce que vous avez ressenti dans le massage. Parce qu'un massage, c'est à ça que ça sert aussi. C'est à ressentir son corps de l'intérieur, ça se laissez faire, ça se relaxer, se détendre, se faire du bien, mais en termes vraiment de ressenti, ce qui compte c'est vos ressentis à vous en fait, vous voyez, qu'est-ce que vous avez ressenti dans votre corps, dans vos émotions, dans vos sensations, dans vos pensées, c'est pas qu'est-ce que moi j'ai senti de vous dans mon corps et dans mes pensées, on s'en fout de ça, oui parfois je peux dire, ben j'ai senti en effet que tu avais du mal à te laisser aller, des personnes Je sens bien quand je prends leur bras, que je n'arrive pas à le bouger parce que la personne résiste. Donc voilà, je peux donner des conseils de lâcher prise, je peux discuter à propos de ça, mais on s'en fout de savoir ce que j'ai senti dans votre énergie. Pas du tout, ce n'est pas correct de faire ça. Reconnectez-vous à vos sensations, à vous, et ne cherchez pas la validation à l'extérieur. Voilà, le septième point que je vous propose. J'ai mon chat qui fait la faufole. Le septième point qui nous coupe de notre énergie, c'est le fait de râler, de tirer la tête. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Ça ne me convient pas, Dora, que tu fasses la faufole. Il y a quelque chose qui ne vous convient pas ? Puis ça y est, vous croisez les bras et vous boudez. Vous faites du boudin. Ça va ? Ben oui, ça va. Il y a quelque chose ? Ben non, il n'y a rien. Pour faire comprendre que vous êtes contrariés. Et que ça ne vous va pas. En fait, je sais que c'est parfois difficile d'exprimer ce qu'on ressent, de dire les choses, etc. Mais honnêtement, il vaut mieux agir, bouger, parler, plutôt que de faire ça, de râler, de tirer la tête. Quand on râle et qu'on tire la tête, on est dans une énergie tellement basse et ça se voit tellement de l'extérieur. C'est une énergie tellement... repoussante en fait, quand quelqu'un est en train de râler comme ça, et je plaide coupable, je vous le rappelle, respirez pendant cet épisode, je sais que c'est pas l'épisode le plus agréable à entendre, mais voilà, râler, tirer la tête, non, ça nous coupe de nous, et vous avez le droit de bouger, vous n'êtes pas un arbre, je sais qu'on parle beaucoup d'enracinement, d'ancrage, etc., mais concrètement, vous n'êtes pas un arbre, vous pouvez bouger si quelque chose ne vous convient pas, vous pouvez parler, vous pouvez agir, et vous pouvez... bouger, vous avez le choix. Mais rester dans un silence, bouder ou faire la tête sans jamais rien exprimer, ça vous enferme dans votre mal-être. Donc voilà. Le huitième point, c'est le fait de ressasser et de tourner en boucle sur le passé. Alors ce point-là, je sais qu'il est très difficile parce que souvent on se dit, ben oui, je sais que c'est pas bon pour moi et que ça me coupe de ma lumière et de mon feu intérieur de ressasser tout le temps la même histoire. Sauf qu'en général, quand il y a le moulin à penser qui est en train de tourner là-haut, ce n'est pas très facile de le contrôler. Donc la meilleure façon de tourner la page sur le passé, c'est de se recentrer sur soi et 100% sur soi et sur son présent. Et au moins essayer de se couper des choses qui entretiennent en fait ce moulin de pensée. Donc par exemple, si c'est lié à une relation qui est terminée, vous pouvez concrètement... Coupez le lien avec la personne, le bloquez sur les réseaux, arrêtez de regarder, c'est déjà une action concrète, puis vous recentrez sur vous, sur votre présent, arrêtez d'espérer de le croiser quelque part, arrêtez d'espérer qu'il vous envoie un message, etc. Concentrez-vous sur le présent et sur le futur éventuellement, mais vraiment refaites des choses pour vous, connectez-vous à vous, à ce qui vous fait du bien, allez boire un verre avec une copine, inscrivez-vous à un cours de théâtre, de danse, vraiment se recentrez sur soi. C'est vraiment ce qui aide au mieux à arrêter de ressasser, de tourner en boucle sur le passé. Le neuvième point, je l'aime beaucoup. C'est un point, enfin je l'aime beaucoup, j'aime beaucoup parler de ce point dans cet épisode. C'est la jalousie. Ça pique, hein ? C'est moche la jalousie. La jalousie, c'est vraiment un sentiment très désagréable, très complexe et qu'on n'avoue pas très facilement. C'est très très très dur d'avouer qu'on est jalouse. Dire je suis jalouse, je ressens de la jalousie, ça pique, ça pique et souvent on dit je suis pas jalouse, c'est juste que je déteste l'injustice. Qui plaît de coupable, attendez je lève bien haut ma main. Non je suis pas jalouse, je déteste l'injustice, je ne supporte pas ça. Ouais, ouais, ouais, l'injustice. En fait la jalousie elle est hyper intéressante, pourquoi ? Parce que quand on apprend à l'écouter, quand on la re... On n'est pas obligé de le reconnaître dans un statut Facebook aux yeux de tous. On peut juste l'avouer à soi-même, se dire bon ok, je reconnais que là j'éprouve de la jalousie. Pourquoi ? Qu'est-ce que cette personne, cette situation, n'importe quoi, qu'est-ce qui me crée ce sentiment-là de jalousie ? Qu'est-ce que j'ai envie d'avoir que je n'ai pas ? Qu'est-ce qui se passe ? Et en fait, cette jalousie, elle peut se transformer en inspiration. Si vraiment on arrive à la comprendre, à la dompter, et qu'on fait un petit effort de travail sur soi, eh bien, elle peut devenir un moteur puissant de transformation. Et quand on arrive à dépasser ça, je ne vous raconte pas à quel point on fait un bond en avant en termes de développement personnel et du coup, à quel point ça allume notre lumière. Parce qu'on passe de la personne qui est jalouse à la personne qui est inspirée et qui, finalement, connecte avec les outils. Par exemple, c'est par rapport à une autre femme. Parce que ça arrive souvent, nous, les femmes, n'est-ce pas ? Même si on dit que non, c'est pas de la jalousie, c'est de la justice. Ça nous arrive très souvent d'être jalouses les unes des autres. Et quand on arrive à dépasser ça et qu'on se dit, ben attends, cette femme-là, j'ai pas envie d'être jalouse d'elle parce qu'en fait, ce qu'elle fait, j'ai envie, en fait, moi aussi, de vivre ça, de ressentir ça, d'avoir ça. Ça va plutôt m'inspirer. Et quand on arrive à dépasser ça au point d'aller connecter avec cette femme-là, ça y est, ça m'épeu. Ça devient une sœur, en fait. Donc voilà. Et c'est beau. Et quand on est dans cette sororité-là, mais qu'est-ce qu'on brille, qu'est-ce qu'on est belle. Il n'y a rien de plus puissant et de plus lumineux que des femmes qui avancent entre elles et qui se soutiennent, en fait, vous voyez. Plutôt que des femmes qui se tirent dans les pattes et puis qui ne veulent pas collaborer ou qui ne veulent pas... Vous voyez, quand... Je ne sais pas, soutenir, alors là je m'égare un petit peu de la jalousie parce que je me suis connectée à la sororité et je suis partie, mais soutenir les autres femmes c'est tellement beau, justement ça allume tellement notre lumière parce qu'en fait on est là pour se soutenir les unes les autres, pour s'entraider, c'est vraiment un sentiment qui est très profond, qui est très vibrant et qui allume vraiment notre lumière. Et contrairement à ce que je disais tout à l'heure... Quand on est éteint et que c'est un peu du vampirisme pour les autres, dans ce cadre-là, ça allume notre lumière à nous, mais ça allume la lumière aux autres. Combien de fois sur les réseaux sociaux, je vois des femmes qui lancent leurs projets, qui font des trucs nouveaux, qui sont super inspirants, mais ça coûte rien de mettre un cœur et d'écrire un petit mot, félicitations, bravo à toi ma belle, ça fait tellement plaisir. Et vous savez, il y a des personnes... qui ne le font pas en fait. Il y a des personnes de qui on pourrait attendre ça parce que c'est nos amis depuis toujours et tout ça. Et ça fait mal en fait de voir qu'il y a des personnes qui ne nous soutiennent pas. Et ça éteint la lumière, ça éteint la lumière de la personne, mais ça éteint la lumière de la relation aussi. Donc voilà, je dépose ça là. Le dixième point qui éteint notre lumière, la comparaison. Avez-vous déjà, c'est peut-être un tout petit peu lié avec la jalousie, mais pas forcément. Avez-vous déjà entendu ce dicton ? La comparaison, c'est du poison. La comparaison c'est du poison, c'est impossible de vous comparer à quelqu'un qui n'a pas votre histoire, votre corps, votre énergie, votre parcours, votre vécu, c'est absurde. Soyez vous-même, toutes les autres sont déjà prises. Ça ne sert à rien de vous comparer ni physiquement, ni sur les talents, ni... Dans les cours de yoga on travaille beaucoup cette notion-là, en tout cas moi j'essaye souvent de rappeler cette notion-là, de dire ne vous... comparez pas aux autres. Parce que si ce qu'on vit sur notre tapis de yoga, c'est vraiment un reflet, un miroir de ce qu'on vit dans notre vie. Et quand au cours de yoga on a envie un peu de se dire, oh mon dieu mais elle, elle arrive bien à faire ça, moi j'arrive pas. Et puis on se pose plein de questions est-ce que je suis nulle, est-ce que je fais mal ? Non. Ne vous comparez pas aux autres, ça éteint votre lumière. Concentrez-vous sur vous, faites grandir votre lumière à vous. Respectez votre... corps et votre énergie à vous et du jour. Demain sera un autre jour. Et c'est vraiment comme ça qu'on entretient sa flamme et qu'on entretient sa lumière. Et dans la vie, pareil, ne vous comparez pas aux autres. Concentrez-vous uniquement sur vous. Acceptez les autres, encouragez-les, etc. Mais voilà, ça ne sert à rien de se comparer à quelqu'un qui n'est pas vous parce que vous êtes la seule personne à avoir marché dans vos chaussures depuis le début de votre vie. Donc, le... 11e petit point que je vous propose, forcément c'est l'hygiène de vie. On ne saurait pas être dans notre lumière, dans notre pleine puissance et dans nos pleins potentiels si on a une hygiène de vie déplorable. Alors je ne vais pas m'étaler ici puisqu'il y a déjà tout un épisode sur le sujet qui est l'épisode 17 qui s'appelle « Oui, clé pour avoir une bonne énergie et un bon état d'esprit » . Donc voilà, une hygiène de vie, vous savez, dormir, manger, boire de l'eau, bouger, tout ça forcément ça contribue à notre lumière et c'est vraiment la base qui se manifeste même sur notre visage, sur notre éclat, sur notre dynamisme, etc. C'est vraiment la base, la base. Ça ne sert à rien de travailler sur tout le reste en vérité si on n'a pas cette base d'une bonne hygiène de vie. Il ne reste plus que deux petits items puisque j'en ai prévu 13 en tout cas. tout pour cet épisode. Donc le douzième que je veux vous proposer, c'est le fait de se minimiser et de s'excuser tout le temps. Se minimiser, c'est du genre vous faire un compliment. Oh, elle est trop belle ta veste. Oh, elle est vieille. En fait, si quelqu'un vous dit que votre veste, elle est trop belle, dites merci. Je trouve aussi. Se minimiser, c'est quand on vous dit je te trouve tellement adorable. J'adore passer du temps avec toi parce que t'étais vraiment gentil. Ah oui mais bon comme tout le monde on est toutes gentilles, vous voyez donc se minimiser c'est un peu ça, c'est vraiment ne pas reconnaître vos potentiels, c'est pas prétentieux d'accepter qu'on a des qualités, d'accepter qu'on a des forces, d'accepter que les gens reconnaissent en nous notre unicité, c'est pas prétentieux on peut dire merci et accepter ça sans que ça devienne de l'arrogance ou de la prétention ou quelque chose comme ça. Donc vraiment arrêter de se minimiser parce que ben... Se minimiser pour moi, c'est limite la définition du fait d'éteindre sa lumière et arrêter de s'excuser tout le temps. Alors, je vous explique un petit peu parce que je trouve que c'est important. C'est important de s'excuser quand on a fait quelque chose de mal. C'est quand même la base du respect d'autrui, du savoir vivre ensemble, de l'humanité et... Je trouve que dans le développement personnel, il y a parfois un peu une confusion avec ces messages-là, quand on parle d'arrêter de s'excuser tout le temps. Il y a des personnes qui ne veulent plus s'excuser, par exemple quand elles sont en retard. Mais c'est juste la moindre des choses, parce que quand on est en retard quelque part, que c'est lié à quelqu'un, ça veut dire qu'il y a une personne derrière qui était là ponctuelle et qui nous attend. Donc en fait, s'excuser, c'est quand même juste la base quand on est un être humain, vous voyez. Si jamais on annule à la dernière minute, ce n'est pas très très cool, c'est la moindre des choses de s'excuser, peu importe pour quelle bonne excuse derrière, parce qu'encore une fois, poser la paix à quelqu'un à la dernière minute, la personne elle mérite le minimum syndical, c'est d'avoir des excuses. Donc quand je vous dis ici que s'excuser tout le temps ça éteint notre lumière, ce n'est pas ce genre d'excuses. Ici je parle du fait de s'excuser d'être soi. Donc arrêtez de s'excuser d'être soi, arrêtez de s'excuser de ressentir, arrêtez de s'excuser d'avoir un avis. Ça, ça éteint notre lumière. Donc les fameux « pardon si, oh j'ai une émotion, pardon, pardon, je suis désolée, oh s'il vous plaît ne m'en voulez pas d'être sensible, je suis désolée d'être comme ça, pardon, pardon, je suis maladroite, pardon » , ça fait de mal à personne en fait, c'est juste qui vous êtes et arrêtez de vous excuser d'être vous. Arrêtez de vous excuser d'avoir des émotions, arrêtez de vous excuser de ressentir d'avoir des besoins, d'avoir un avis, arrêtez de s'excuser tout le temps, c'est vraiment ça, parce que ça, ça est à notre lumière. Par contre, continuez à s'excuser quand on a blessé quelqu'un, même si c'était par maladresse, même si ce n'était pas volontaire, même si ce n'était pas très grave, c'est très important de continuer à s'excuser, je tiens vraiment à le dire. Parce que ça, ça allume notre lumière aussi. Bêtement, on marche dans la rue, on bouscule quelqu'un, même si on n'a pas fait exprès, c'est la moindre des choses de dire pardon. Et il y a des gens qui ne le font plus. Ces gens-là, ils n'ont pas beaucoup de lumière. Donc voilà. Le treizième et dernier petit point que j'ai envie de vous proposer pour l'épisode du jour, c'est le fait de mentir. Le mensonge. Ça, ça éteint bien la lumière. Mentir pour ne pas assumer ses choix. Par peur du conflit, par peur de décevoir, de ne pas être aimé, on commence à raconter une version un peu arrangée des choses. Mais la vérité, elle peut être tellement symbolisée par la lumière. La vérité, c'est tellement la lumière. Donc mentir, c'est tellement éteindre la lumière. Alors il y a tous les mensonges qu'on raconte aux autres, parce qu'on n'ose pas dire la vérité. Ces mensonges, ça peut être aussi à chaque fois qu'on dit oui alors qu'on n'a pas envie et qu'on n'ose pas poser nos limites. C'est une forme de mensonge qui nous éteint, qui nous coupe de notre lumière. Mais il y a aussi tous les mensonges qu'on se raconte à soi-même. Et forcément, quand on se raconte un mensonge à soi-même, ça veut dire qu'on est en train d'étouffer notre vérité, qu'on est en train d'étouffer notre lumière. Donc vraiment mentir, c'est vraiment quelque chose qui nous coupe de notre lumière. Dites la vérité. La première personne avec qui être honnête et sincère, c'est soi-même. Et puis après, dire la vérité aux autres. Voilà. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est tellement important. En tout cas, si on a envie de se connecter à sa lumière, à soi. Et voilà. Donc les filles, j'en ai fini avec mes 13 petits... Petites habitudes, je regarde le temps quand même, 30 minutes. Encore une fois, je vous rappelle que voilà, peut-être que certaines de ces habitudes qui étaient notre lumière, peut-être qu'en les écoutant, peut-être que ça vous a fait tilt à certains endroits. Peut-être que c'est un cri, un petit sentiment un peu désagréable à l'intérieur de vous. Prenez le temps de respirer, de prendre du recul avec ça, de vous demander si vous le prenez, si vous ne le prenez pas. Je vous rappelle que nous sommes ben nombreuses à avoir ces mauvaises petites habitudes sans même nous en rendre compte. Aujourd'hui, vous pouvez choisir simplement de les regarder avec lucidité, pas pour vous juger, mais simplement pour faire un pas de plus vers cette version de vous qui brille. Vraiment. Parce que la lumière, elle ne demande que ça, elle ne demande qu'à s'exprimer, elle ne demande qu'à exister, donc c'est à nous de lui faire de la place. Et moi j'ai aussi beaucoup de ces habitudes-là, et à chaque fois que j'en prends conscience, je suis contente parce que j'ai envie de travailler dessus, parce que moi j'ai envie de me libérer de ces couches-là. Je ne veux plus, ça fait longtemps que je ne veux plus être une personne éteinte, je veux être une personne vivante, je veux être une personne vibrante. Et j'aime bien quand je suis dans cette énergie attractive, quand je suis dans cette énergie d'amour, qui répand de la joie et qui soutient les autres, etc. et qui est pleine d'énergie. C'est pour ça que je fais du développement personnel, que je travaille sur moi. C'est pas pour me flageller ou pour me torturer l'esprit ou quelque chose comme ça. Je pense que ça a très très bien marché depuis des années que je fais tout ça, même si c'est un chemin continu. Donc je vous le dis, pour... que voilà, pour que si jamais là c'est en train de réveiller des petites choses en vous, vous rappelez que c'est pas pour culpabiliser, se sortir mal et se dire oh mince j'ai mal fait pas du tout, c'est vraiment pour petite couche par petite couche, venir peut-être travailler sur ça et s'en rendre compte, c'est aussi pour tout ça que je le partage avec vous et si ça vous parle et que vous avez l'impression que ça peut aider d'autres copines n'hésitez pas à partager cet épisode en story, sur vos réseaux, sur Whatsapp etc. Dernier petit point Si vous avez envie d'aller plus loin dans ce chemin de retour vers votre lumière, vers vos potentiels, vers votre énergie, je vous mets en description de cet épisode la liste d'attente vers mon programme de reconnexion à soi, mon programme vivre qui redémarre bientôt, un programme qui se passe en 12 semaines. Je vous laisse découvrir le programme et tout nouveau, voilà, je vous l'annonce pour la première fois. Dans cet épisode, j'ai entendu vos demandes, vos besoins pour certaines personnes d'être accompagnées de façon individuelle, de façon personnalisée. Donc j'ai ouvert un accompagnement qui s'appelle Reconnexion Boost. C'est un accompagnement en trois séances qui se passe rapidement en 10 à maximum 14 jours. Il y a un petit suivi entre les séances avec éventuellement des méditations, des exercices de journaling, etc. Et c'est vraiment une reconnexion boost. Donc vraiment un coup de boost vers ce retour à soi, vers cette connexion à soi. Je vous mets les infos également en description. Cet accompagnement peut se passer en présentiel à Sera, donc c'est en Belgique, en région liégeoise. Mais on peut aussi le faire par Zoom, à distance, aucun souci. Je vous fais des gros bisous et je vous dis à la semaine prochaine. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !

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