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Épisode #18: Je ne m’autorise pas à aller mieux : quand la culpabilité devient une prison invisible cover
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Au cœur du deuil animalier

Épisode #18: Je ne m’autorise pas à aller mieux : quand la culpabilité devient une prison invisible

Épisode #18: Je ne m’autorise pas à aller mieux : quand la culpabilité devient une prison invisible

12min |30/07/2025|

75

Play
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Description

Et si derrière ta tristesse… se cachait une culpabilité invisible ?
Celle qui te fait croire que sourire, c’est trahir.
Que si tu vas mieux, c’est que tu oublies.
Que si tu avances, tu abandonnes.


Dans cet épisode profondément introspectif, je t’accompagne pas à pas à travers l’une des émotions les plus taboues du deuil animalier : la culpabilité.

Nous parlerons de ces phrases qui tournent en boucle dans ta tête :

« J’aurais dû faire plus… »
« Je ne l’ai pas assez aimé… »
« Je ne peux pas aller mieux, ce serait injuste… »


Je t’invite à prendre soin de toi.
À mettre des mots sur l’indicible.
À accueillir ta douleur… et peut-être, tout doucement, à la transformer.


Tu y trouveras :

  • Des réflexions profondes sur le lien entre amour, deuil et culpabilité

  • Des temps d’introspection guidée et d’écriture

  • Une visualisation pour renouer avec ton animal

  • Des lectures issues de mon ebook Je me pardonne tout doucement

  • Un espace de respiration, de tendresse… et de libération

🎁 Cet épisode est aussi l’occasion de découvrir mon guide introspectif :
Je me pardonne tout doucement, un ebook pour avancer avec douceur sur ton chemin de guérison.
👉 Disponible ici


💬 Un mot doux pour toi :

Tu ne trahis pas ton animal en allant mieux.
Tu l’honores.


🔔 Pense à t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.

Et si ce podcast résonne pour toi, laisse un commentaire ou partage-le à une personne qui en aurait besoin.
Merci de faire vivre cette parole si précieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toi, et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Au cœur du deuil animalier. Je m'appelle Malicia, je suis la créatrice d'Annie Deuil sur Instagram et de ce podcast, Au cœur du deuil animalier. Et j'accompagne les Annie Deuillers qui vivent la perte de leur animal à travers un chemin de douceur, d'introspection et de transformation. Ma mission ? C'est d'ouvrir un espace d'écoute, de vérité, où le deuil animalier est reconnu comme il le mérite. Profond, bouleversant, mais porteur de guérison. Je crois que nos émotions, aussi douloureuses soient-elles, sont des messagères, et qu'en les accueillant, on peut retrouver la paix. Dans ce podcast, je parle du lien unique entre l'humain et l'animal, de la fin de vie. du sagrin, du vide, mais aussi de l'amour, de la mémoire et de tout ce qui nous reste après. Aujourd'hui, je te propose un épisode fort, un épisode court, mais un épisode profond. Un moment que tu peux vivre à ton rythme, comme une parenthèse sacrée pour toi et comme l'histoire que tu partages avec ton animal. Le titre de cet épisode c'est « Je ne m'autorise pas à aller mieux quand la culpabilité devient une prison invisible. » Peut-être que toi aussi, depuis son départ, tu ressens ça. Ce tiraillement entre ton besoin d'avancer et ta peur de l'oublier. Entre ta douleur et cette petite voix qui te dit que tu devrais déjà aller mieux. ou que tu n'as pas le droit d'aller mieux. Aujourd'hui, je vais t'accompagner pour traverser cette émotion qu'on nomme culpabilité. On va la regarder en face avec douceur. On va explorer pourquoi elle s'installe, comment elle s'exprime, et surtout, comment t'en libérer sans jamais trahir ton amour. Ce podcast n'a pas de prétention. thérapeutique, mais il est un espace de permission, permission de pleurer, permission de te questionner, permission peut-être de commencer à te pardonner. Alors respire doucement, installe-toi confortablement et laisse-moi t'accompagner. Alors commençons par le commencement. Qu'est-ce que la culpabilité ? C'est une émotion complexe. Elle naît souvent quand on pense avoir mal fait. Ou pas fait assez. Dans le cadre du deuil animalier, elle surgit de façon fulgurante. Parfois, elle s'installe doucement, comme une brume qui envahit tout. Tu sais, cette phrase silencieuse qui tourne en boucle dans ta tête. J'aurais dû faire plus, j'aurais dû voir les signes, je n'aurais pas dû partir en week-end, j'aurais dû être là, je n'aurais pas dû prendre cette décision. C'est souvent insidieux, ça devient lourd, très lourd. Parce que cette culpabilité, elle ne vient pas seulement du moment de sa mort, elle vient aussi du moment où tu recommences à vivre. Tu vois de quoi je veux parler ? Et là, un autre dialogue intérieur commence. Comment je peux rire alors qu'il n'est plus là ? Est-ce que ça veut dire que je l'oublie, que je ne l'aimais pas assez ? On confond souvent avancer et trahir. Et pourtant, ces deux choses n'ont rien à voir. Mais cette culpabilité, elle est renforcée par une chose, le manque de reconnaissance de ce deuil dans notre société. Combien de fois t'a-t-on dit « mais c'est qu'un animal » alors que pour toi, c'était un membre de ta famille, ton pilier, ton refuge ? Alors oui ! Cette douleur, elle est réelle. Et la culpabilité ? devient un moyen de prolonger le lien, presque comme une preuve d'amour. Mais à quel prix ? On va maintenant explorer les différentes formes que peut prendre la culpabilité. Tu vas peut-être te reconnaître dans certaines. La culpabilité de ne pas avoir été là au bon moment. Celle d'avoir choisi l'euthanasie même si c'était la bonne décision. Tu te demandes encore si tu aurais pu attendre. La culpabilité d'avoir continué ta vie, sortir, rire, partir en vacances. La culpabilité de penser à accueillir un autre animal. La culpabilité... de te reconstruire. Et puis il y a celle plus subtile de reprendre ta place dans la vie. Tu sais, ce moment où tu souris à nouveau et où ton cœur se serre juste après, comme si tu étais en train d'abandonner un peu plus ton animal. Je vais te proposer un petit moment d'introspection. Ferme les yeux un instant et demande-toi de quoi est-ce que je me sens coupable ? Qu'est-ce que je ne m'autorise pas depuis qu'il est parti ? Reste quelques secondes avec ces questions. Accueille ce qui vient, même si c'est flou et même si c'est douloureux. Ce qu'on oublie souvent, c'est que la culpabilité crée une prison. Une prison invisible, certes, mais redoutablement efficace. Elle te fait croire que souffrir est une preuve d'amour, que tant que tu as mal, tu restes loyal, et que si tu commences à aller mieux, alors tu trahis. Mais ce n'est pas vrai. Souffrir n'est pas aimer, rester enfermé dans la douleur n'est pas plus noble que d'oser respirer à nouveau. La culpabilité est une boucle. Tu te sens mal, tu t'en veux d'aller bien, et alors tu te fais du mal, et tu repars pour un tour. Et pourtant, ton animal, lui, t'a aimé vivant. Il ne t'a jamais demandé de te sacrifier, il t'a regardé avec amour, même quand tu faisais des erreurs. Il t'a aimé dans ta lumière, pas dans ta douleur. Je vais te proposer un exercice. Prends un carnet ou juste ton imagination. Écris une lettre à ton animal. Dis-lui tout, vraiment tout. Dis-lui ce que tu regrettes. Dis-lui ce que tu ressens. Et ensuite, imagine sa réponse. Qu'est-ce qu'il te dirait s'il te voyait t'empêcher de vivre ? Laisse-le te regarder. Laisse sa sagesse t'apaiser. C'est exactement pour cela que j'ai écrit un guide introspectif. Je me pardonne tout doucement. Un guide rempli de douceur, de réflexion et de silence. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t'accompagner, pas à pas, vers le pardon. Pas celui des autres, le tien. Celui qui te dit « tu as fait de ton mieux » . Tu n'es pas une mauvaise personne parce que tu vis encore et tu as le droit d'être en vie. Dans ce guide, je t'invite à plonger en toi avec tendresse, à écrire, à te questionner, à ressentir et à faire la paix doucement. Alors maintenant, je vais te poser une vraie question. Est-ce que tu t'autorises à aller mieux ? Pas à tout oublier, pas à remplacer non plus, mais juste à aller mieux. à respirer plus librement, à sourire sans te punir après. Ton animal ne t'a pas aimé pour que tu t'éteignes, il t'a aimé vivant. Et il continue de vivre dans chaque instant que tu choisis d'honorer. Tu peux avancer avec lui, pas sans lui. Il vit en toi, il est là, dans tes souvenirs, dans ton cœur. et dans ce que tu vas faire de cet amour. Alors, aujourd'hui, je te propose de te libérer. Pas pour oublier, mais pour mieux l'honorer. Parce que tu n'as pas à porter ta peine comme une croix. Tu peux la transformer en force, en lumière. Tu peux choisir de vivre pour deux. À partir d'aujourd'hui, Tu peux te dire, je ne te trahis pas en allant mieux, je t'honore. Je choisis de sourire pour toi. Je choisis d'aimer encore grâce à toi. Merci d'avoir pris ce temps avec moi. Merci d'avoir osé poser un regard sincère sur cette culpabilité qui t'empêchait d'avancer. Et si tu ressens que ce chemin peut continuer plus loin, je t'invite à découvrir mon e-book « Je me pardonne tout doucement » . Il est là, comme un guide silencieux, comme une main sur ton cœur. Tu peux le retrouver en description de cet épisode. Et si ce podcast t'a touché, N'hésite pas à le partager, à l'envoyer à quelqu'un qui en aurait besoin. Tu n'es pas seul, tu as le droit d'aller mieux, et si je peux être sincère, tu es déjà en train de le faire. A très vite pour un prochain épisode d'Au cœur du deuil animalier.

Description

Et si derrière ta tristesse… se cachait une culpabilité invisible ?
Celle qui te fait croire que sourire, c’est trahir.
Que si tu vas mieux, c’est que tu oublies.
Que si tu avances, tu abandonnes.


Dans cet épisode profondément introspectif, je t’accompagne pas à pas à travers l’une des émotions les plus taboues du deuil animalier : la culpabilité.

Nous parlerons de ces phrases qui tournent en boucle dans ta tête :

« J’aurais dû faire plus… »
« Je ne l’ai pas assez aimé… »
« Je ne peux pas aller mieux, ce serait injuste… »


Je t’invite à prendre soin de toi.
À mettre des mots sur l’indicible.
À accueillir ta douleur… et peut-être, tout doucement, à la transformer.


Tu y trouveras :

  • Des réflexions profondes sur le lien entre amour, deuil et culpabilité

  • Des temps d’introspection guidée et d’écriture

  • Une visualisation pour renouer avec ton animal

  • Des lectures issues de mon ebook Je me pardonne tout doucement

  • Un espace de respiration, de tendresse… et de libération

🎁 Cet épisode est aussi l’occasion de découvrir mon guide introspectif :
Je me pardonne tout doucement, un ebook pour avancer avec douceur sur ton chemin de guérison.
👉 Disponible ici


💬 Un mot doux pour toi :

Tu ne trahis pas ton animal en allant mieux.
Tu l’honores.


🔔 Pense à t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.

Et si ce podcast résonne pour toi, laisse un commentaire ou partage-le à une personne qui en aurait besoin.
Merci de faire vivre cette parole si précieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toi, et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Au cœur du deuil animalier. Je m'appelle Malicia, je suis la créatrice d'Annie Deuil sur Instagram et de ce podcast, Au cœur du deuil animalier. Et j'accompagne les Annie Deuillers qui vivent la perte de leur animal à travers un chemin de douceur, d'introspection et de transformation. Ma mission ? C'est d'ouvrir un espace d'écoute, de vérité, où le deuil animalier est reconnu comme il le mérite. Profond, bouleversant, mais porteur de guérison. Je crois que nos émotions, aussi douloureuses soient-elles, sont des messagères, et qu'en les accueillant, on peut retrouver la paix. Dans ce podcast, je parle du lien unique entre l'humain et l'animal, de la fin de vie. du sagrin, du vide, mais aussi de l'amour, de la mémoire et de tout ce qui nous reste après. Aujourd'hui, je te propose un épisode fort, un épisode court, mais un épisode profond. Un moment que tu peux vivre à ton rythme, comme une parenthèse sacrée pour toi et comme l'histoire que tu partages avec ton animal. Le titre de cet épisode c'est « Je ne m'autorise pas à aller mieux quand la culpabilité devient une prison invisible. » Peut-être que toi aussi, depuis son départ, tu ressens ça. Ce tiraillement entre ton besoin d'avancer et ta peur de l'oublier. Entre ta douleur et cette petite voix qui te dit que tu devrais déjà aller mieux. ou que tu n'as pas le droit d'aller mieux. Aujourd'hui, je vais t'accompagner pour traverser cette émotion qu'on nomme culpabilité. On va la regarder en face avec douceur. On va explorer pourquoi elle s'installe, comment elle s'exprime, et surtout, comment t'en libérer sans jamais trahir ton amour. Ce podcast n'a pas de prétention. thérapeutique, mais il est un espace de permission, permission de pleurer, permission de te questionner, permission peut-être de commencer à te pardonner. Alors respire doucement, installe-toi confortablement et laisse-moi t'accompagner. Alors commençons par le commencement. Qu'est-ce que la culpabilité ? C'est une émotion complexe. Elle naît souvent quand on pense avoir mal fait. Ou pas fait assez. Dans le cadre du deuil animalier, elle surgit de façon fulgurante. Parfois, elle s'installe doucement, comme une brume qui envahit tout. Tu sais, cette phrase silencieuse qui tourne en boucle dans ta tête. J'aurais dû faire plus, j'aurais dû voir les signes, je n'aurais pas dû partir en week-end, j'aurais dû être là, je n'aurais pas dû prendre cette décision. C'est souvent insidieux, ça devient lourd, très lourd. Parce que cette culpabilité, elle ne vient pas seulement du moment de sa mort, elle vient aussi du moment où tu recommences à vivre. Tu vois de quoi je veux parler ? Et là, un autre dialogue intérieur commence. Comment je peux rire alors qu'il n'est plus là ? Est-ce que ça veut dire que je l'oublie, que je ne l'aimais pas assez ? On confond souvent avancer et trahir. Et pourtant, ces deux choses n'ont rien à voir. Mais cette culpabilité, elle est renforcée par une chose, le manque de reconnaissance de ce deuil dans notre société. Combien de fois t'a-t-on dit « mais c'est qu'un animal » alors que pour toi, c'était un membre de ta famille, ton pilier, ton refuge ? Alors oui ! Cette douleur, elle est réelle. Et la culpabilité ? devient un moyen de prolonger le lien, presque comme une preuve d'amour. Mais à quel prix ? On va maintenant explorer les différentes formes que peut prendre la culpabilité. Tu vas peut-être te reconnaître dans certaines. La culpabilité de ne pas avoir été là au bon moment. Celle d'avoir choisi l'euthanasie même si c'était la bonne décision. Tu te demandes encore si tu aurais pu attendre. La culpabilité d'avoir continué ta vie, sortir, rire, partir en vacances. La culpabilité de penser à accueillir un autre animal. La culpabilité... de te reconstruire. Et puis il y a celle plus subtile de reprendre ta place dans la vie. Tu sais, ce moment où tu souris à nouveau et où ton cœur se serre juste après, comme si tu étais en train d'abandonner un peu plus ton animal. Je vais te proposer un petit moment d'introspection. Ferme les yeux un instant et demande-toi de quoi est-ce que je me sens coupable ? Qu'est-ce que je ne m'autorise pas depuis qu'il est parti ? Reste quelques secondes avec ces questions. Accueille ce qui vient, même si c'est flou et même si c'est douloureux. Ce qu'on oublie souvent, c'est que la culpabilité crée une prison. Une prison invisible, certes, mais redoutablement efficace. Elle te fait croire que souffrir est une preuve d'amour, que tant que tu as mal, tu restes loyal, et que si tu commences à aller mieux, alors tu trahis. Mais ce n'est pas vrai. Souffrir n'est pas aimer, rester enfermé dans la douleur n'est pas plus noble que d'oser respirer à nouveau. La culpabilité est une boucle. Tu te sens mal, tu t'en veux d'aller bien, et alors tu te fais du mal, et tu repars pour un tour. Et pourtant, ton animal, lui, t'a aimé vivant. Il ne t'a jamais demandé de te sacrifier, il t'a regardé avec amour, même quand tu faisais des erreurs. Il t'a aimé dans ta lumière, pas dans ta douleur. Je vais te proposer un exercice. Prends un carnet ou juste ton imagination. Écris une lettre à ton animal. Dis-lui tout, vraiment tout. Dis-lui ce que tu regrettes. Dis-lui ce que tu ressens. Et ensuite, imagine sa réponse. Qu'est-ce qu'il te dirait s'il te voyait t'empêcher de vivre ? Laisse-le te regarder. Laisse sa sagesse t'apaiser. C'est exactement pour cela que j'ai écrit un guide introspectif. Je me pardonne tout doucement. Un guide rempli de douceur, de réflexion et de silence. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t'accompagner, pas à pas, vers le pardon. Pas celui des autres, le tien. Celui qui te dit « tu as fait de ton mieux » . Tu n'es pas une mauvaise personne parce que tu vis encore et tu as le droit d'être en vie. Dans ce guide, je t'invite à plonger en toi avec tendresse, à écrire, à te questionner, à ressentir et à faire la paix doucement. Alors maintenant, je vais te poser une vraie question. Est-ce que tu t'autorises à aller mieux ? Pas à tout oublier, pas à remplacer non plus, mais juste à aller mieux. à respirer plus librement, à sourire sans te punir après. Ton animal ne t'a pas aimé pour que tu t'éteignes, il t'a aimé vivant. Et il continue de vivre dans chaque instant que tu choisis d'honorer. Tu peux avancer avec lui, pas sans lui. Il vit en toi, il est là, dans tes souvenirs, dans ton cœur. et dans ce que tu vas faire de cet amour. Alors, aujourd'hui, je te propose de te libérer. Pas pour oublier, mais pour mieux l'honorer. Parce que tu n'as pas à porter ta peine comme une croix. Tu peux la transformer en force, en lumière. Tu peux choisir de vivre pour deux. À partir d'aujourd'hui, Tu peux te dire, je ne te trahis pas en allant mieux, je t'honore. Je choisis de sourire pour toi. Je choisis d'aimer encore grâce à toi. Merci d'avoir pris ce temps avec moi. Merci d'avoir osé poser un regard sincère sur cette culpabilité qui t'empêchait d'avancer. Et si tu ressens que ce chemin peut continuer plus loin, je t'invite à découvrir mon e-book « Je me pardonne tout doucement » . Il est là, comme un guide silencieux, comme une main sur ton cœur. Tu peux le retrouver en description de cet épisode. Et si ce podcast t'a touché, N'hésite pas à le partager, à l'envoyer à quelqu'un qui en aurait besoin. Tu n'es pas seul, tu as le droit d'aller mieux, et si je peux être sincère, tu es déjà en train de le faire. A très vite pour un prochain épisode d'Au cœur du deuil animalier.

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Et si derrière ta tristesse… se cachait une culpabilité invisible ?
Celle qui te fait croire que sourire, c’est trahir.
Que si tu vas mieux, c’est que tu oublies.
Que si tu avances, tu abandonnes.


Dans cet épisode profondément introspectif, je t’accompagne pas à pas à travers l’une des émotions les plus taboues du deuil animalier : la culpabilité.

Nous parlerons de ces phrases qui tournent en boucle dans ta tête :

« J’aurais dû faire plus… »
« Je ne l’ai pas assez aimé… »
« Je ne peux pas aller mieux, ce serait injuste… »


Je t’invite à prendre soin de toi.
À mettre des mots sur l’indicible.
À accueillir ta douleur… et peut-être, tout doucement, à la transformer.


Tu y trouveras :

  • Des réflexions profondes sur le lien entre amour, deuil et culpabilité

  • Des temps d’introspection guidée et d’écriture

  • Une visualisation pour renouer avec ton animal

  • Des lectures issues de mon ebook Je me pardonne tout doucement

  • Un espace de respiration, de tendresse… et de libération

🎁 Cet épisode est aussi l’occasion de découvrir mon guide introspectif :
Je me pardonne tout doucement, un ebook pour avancer avec douceur sur ton chemin de guérison.
👉 Disponible ici


💬 Un mot doux pour toi :

Tu ne trahis pas ton animal en allant mieux.
Tu l’honores.


🔔 Pense à t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.

Et si ce podcast résonne pour toi, laisse un commentaire ou partage-le à une personne qui en aurait besoin.
Merci de faire vivre cette parole si précieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toi, et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Au cœur du deuil animalier. Je m'appelle Malicia, je suis la créatrice d'Annie Deuil sur Instagram et de ce podcast, Au cœur du deuil animalier. Et j'accompagne les Annie Deuillers qui vivent la perte de leur animal à travers un chemin de douceur, d'introspection et de transformation. Ma mission ? C'est d'ouvrir un espace d'écoute, de vérité, où le deuil animalier est reconnu comme il le mérite. Profond, bouleversant, mais porteur de guérison. Je crois que nos émotions, aussi douloureuses soient-elles, sont des messagères, et qu'en les accueillant, on peut retrouver la paix. Dans ce podcast, je parle du lien unique entre l'humain et l'animal, de la fin de vie. du sagrin, du vide, mais aussi de l'amour, de la mémoire et de tout ce qui nous reste après. Aujourd'hui, je te propose un épisode fort, un épisode court, mais un épisode profond. Un moment que tu peux vivre à ton rythme, comme une parenthèse sacrée pour toi et comme l'histoire que tu partages avec ton animal. Le titre de cet épisode c'est « Je ne m'autorise pas à aller mieux quand la culpabilité devient une prison invisible. » Peut-être que toi aussi, depuis son départ, tu ressens ça. Ce tiraillement entre ton besoin d'avancer et ta peur de l'oublier. Entre ta douleur et cette petite voix qui te dit que tu devrais déjà aller mieux. ou que tu n'as pas le droit d'aller mieux. Aujourd'hui, je vais t'accompagner pour traverser cette émotion qu'on nomme culpabilité. On va la regarder en face avec douceur. On va explorer pourquoi elle s'installe, comment elle s'exprime, et surtout, comment t'en libérer sans jamais trahir ton amour. Ce podcast n'a pas de prétention. thérapeutique, mais il est un espace de permission, permission de pleurer, permission de te questionner, permission peut-être de commencer à te pardonner. Alors respire doucement, installe-toi confortablement et laisse-moi t'accompagner. Alors commençons par le commencement. Qu'est-ce que la culpabilité ? C'est une émotion complexe. Elle naît souvent quand on pense avoir mal fait. Ou pas fait assez. Dans le cadre du deuil animalier, elle surgit de façon fulgurante. Parfois, elle s'installe doucement, comme une brume qui envahit tout. Tu sais, cette phrase silencieuse qui tourne en boucle dans ta tête. J'aurais dû faire plus, j'aurais dû voir les signes, je n'aurais pas dû partir en week-end, j'aurais dû être là, je n'aurais pas dû prendre cette décision. C'est souvent insidieux, ça devient lourd, très lourd. Parce que cette culpabilité, elle ne vient pas seulement du moment de sa mort, elle vient aussi du moment où tu recommences à vivre. Tu vois de quoi je veux parler ? Et là, un autre dialogue intérieur commence. Comment je peux rire alors qu'il n'est plus là ? Est-ce que ça veut dire que je l'oublie, que je ne l'aimais pas assez ? On confond souvent avancer et trahir. Et pourtant, ces deux choses n'ont rien à voir. Mais cette culpabilité, elle est renforcée par une chose, le manque de reconnaissance de ce deuil dans notre société. Combien de fois t'a-t-on dit « mais c'est qu'un animal » alors que pour toi, c'était un membre de ta famille, ton pilier, ton refuge ? Alors oui ! Cette douleur, elle est réelle. Et la culpabilité ? devient un moyen de prolonger le lien, presque comme une preuve d'amour. Mais à quel prix ? On va maintenant explorer les différentes formes que peut prendre la culpabilité. Tu vas peut-être te reconnaître dans certaines. La culpabilité de ne pas avoir été là au bon moment. Celle d'avoir choisi l'euthanasie même si c'était la bonne décision. Tu te demandes encore si tu aurais pu attendre. La culpabilité d'avoir continué ta vie, sortir, rire, partir en vacances. La culpabilité de penser à accueillir un autre animal. La culpabilité... de te reconstruire. Et puis il y a celle plus subtile de reprendre ta place dans la vie. Tu sais, ce moment où tu souris à nouveau et où ton cœur se serre juste après, comme si tu étais en train d'abandonner un peu plus ton animal. Je vais te proposer un petit moment d'introspection. Ferme les yeux un instant et demande-toi de quoi est-ce que je me sens coupable ? Qu'est-ce que je ne m'autorise pas depuis qu'il est parti ? Reste quelques secondes avec ces questions. Accueille ce qui vient, même si c'est flou et même si c'est douloureux. Ce qu'on oublie souvent, c'est que la culpabilité crée une prison. Une prison invisible, certes, mais redoutablement efficace. Elle te fait croire que souffrir est une preuve d'amour, que tant que tu as mal, tu restes loyal, et que si tu commences à aller mieux, alors tu trahis. Mais ce n'est pas vrai. Souffrir n'est pas aimer, rester enfermé dans la douleur n'est pas plus noble que d'oser respirer à nouveau. La culpabilité est une boucle. Tu te sens mal, tu t'en veux d'aller bien, et alors tu te fais du mal, et tu repars pour un tour. Et pourtant, ton animal, lui, t'a aimé vivant. Il ne t'a jamais demandé de te sacrifier, il t'a regardé avec amour, même quand tu faisais des erreurs. Il t'a aimé dans ta lumière, pas dans ta douleur. Je vais te proposer un exercice. Prends un carnet ou juste ton imagination. Écris une lettre à ton animal. Dis-lui tout, vraiment tout. Dis-lui ce que tu regrettes. Dis-lui ce que tu ressens. Et ensuite, imagine sa réponse. Qu'est-ce qu'il te dirait s'il te voyait t'empêcher de vivre ? Laisse-le te regarder. Laisse sa sagesse t'apaiser. C'est exactement pour cela que j'ai écrit un guide introspectif. Je me pardonne tout doucement. Un guide rempli de douceur, de réflexion et de silence. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t'accompagner, pas à pas, vers le pardon. Pas celui des autres, le tien. Celui qui te dit « tu as fait de ton mieux » . Tu n'es pas une mauvaise personne parce que tu vis encore et tu as le droit d'être en vie. Dans ce guide, je t'invite à plonger en toi avec tendresse, à écrire, à te questionner, à ressentir et à faire la paix doucement. Alors maintenant, je vais te poser une vraie question. Est-ce que tu t'autorises à aller mieux ? Pas à tout oublier, pas à remplacer non plus, mais juste à aller mieux. à respirer plus librement, à sourire sans te punir après. Ton animal ne t'a pas aimé pour que tu t'éteignes, il t'a aimé vivant. Et il continue de vivre dans chaque instant que tu choisis d'honorer. Tu peux avancer avec lui, pas sans lui. Il vit en toi, il est là, dans tes souvenirs, dans ton cœur. et dans ce que tu vas faire de cet amour. Alors, aujourd'hui, je te propose de te libérer. Pas pour oublier, mais pour mieux l'honorer. Parce que tu n'as pas à porter ta peine comme une croix. Tu peux la transformer en force, en lumière. Tu peux choisir de vivre pour deux. À partir d'aujourd'hui, Tu peux te dire, je ne te trahis pas en allant mieux, je t'honore. Je choisis de sourire pour toi. Je choisis d'aimer encore grâce à toi. Merci d'avoir pris ce temps avec moi. Merci d'avoir osé poser un regard sincère sur cette culpabilité qui t'empêchait d'avancer. Et si tu ressens que ce chemin peut continuer plus loin, je t'invite à découvrir mon e-book « Je me pardonne tout doucement » . Il est là, comme un guide silencieux, comme une main sur ton cœur. Tu peux le retrouver en description de cet épisode. Et si ce podcast t'a touché, N'hésite pas à le partager, à l'envoyer à quelqu'un qui en aurait besoin. Tu n'es pas seul, tu as le droit d'aller mieux, et si je peux être sincère, tu es déjà en train de le faire. A très vite pour un prochain épisode d'Au cœur du deuil animalier.

Description

Et si derrière ta tristesse… se cachait une culpabilité invisible ?
Celle qui te fait croire que sourire, c’est trahir.
Que si tu vas mieux, c’est que tu oublies.
Que si tu avances, tu abandonnes.


Dans cet épisode profondément introspectif, je t’accompagne pas à pas à travers l’une des émotions les plus taboues du deuil animalier : la culpabilité.

Nous parlerons de ces phrases qui tournent en boucle dans ta tête :

« J’aurais dû faire plus… »
« Je ne l’ai pas assez aimé… »
« Je ne peux pas aller mieux, ce serait injuste… »


Je t’invite à prendre soin de toi.
À mettre des mots sur l’indicible.
À accueillir ta douleur… et peut-être, tout doucement, à la transformer.


Tu y trouveras :

  • Des réflexions profondes sur le lien entre amour, deuil et culpabilité

  • Des temps d’introspection guidée et d’écriture

  • Une visualisation pour renouer avec ton animal

  • Des lectures issues de mon ebook Je me pardonne tout doucement

  • Un espace de respiration, de tendresse… et de libération

🎁 Cet épisode est aussi l’occasion de découvrir mon guide introspectif :
Je me pardonne tout doucement, un ebook pour avancer avec douceur sur ton chemin de guérison.
👉 Disponible ici


💬 Un mot doux pour toi :

Tu ne trahis pas ton animal en allant mieux.
Tu l’honores.


🔔 Pense à t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.

Et si ce podcast résonne pour toi, laisse un commentaire ou partage-le à une personne qui en aurait besoin.
Merci de faire vivre cette parole si précieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toi, et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Au cœur du deuil animalier. Je m'appelle Malicia, je suis la créatrice d'Annie Deuil sur Instagram et de ce podcast, Au cœur du deuil animalier. Et j'accompagne les Annie Deuillers qui vivent la perte de leur animal à travers un chemin de douceur, d'introspection et de transformation. Ma mission ? C'est d'ouvrir un espace d'écoute, de vérité, où le deuil animalier est reconnu comme il le mérite. Profond, bouleversant, mais porteur de guérison. Je crois que nos émotions, aussi douloureuses soient-elles, sont des messagères, et qu'en les accueillant, on peut retrouver la paix. Dans ce podcast, je parle du lien unique entre l'humain et l'animal, de la fin de vie. du sagrin, du vide, mais aussi de l'amour, de la mémoire et de tout ce qui nous reste après. Aujourd'hui, je te propose un épisode fort, un épisode court, mais un épisode profond. Un moment que tu peux vivre à ton rythme, comme une parenthèse sacrée pour toi et comme l'histoire que tu partages avec ton animal. Le titre de cet épisode c'est « Je ne m'autorise pas à aller mieux quand la culpabilité devient une prison invisible. » Peut-être que toi aussi, depuis son départ, tu ressens ça. Ce tiraillement entre ton besoin d'avancer et ta peur de l'oublier. Entre ta douleur et cette petite voix qui te dit que tu devrais déjà aller mieux. ou que tu n'as pas le droit d'aller mieux. Aujourd'hui, je vais t'accompagner pour traverser cette émotion qu'on nomme culpabilité. On va la regarder en face avec douceur. On va explorer pourquoi elle s'installe, comment elle s'exprime, et surtout, comment t'en libérer sans jamais trahir ton amour. Ce podcast n'a pas de prétention. thérapeutique, mais il est un espace de permission, permission de pleurer, permission de te questionner, permission peut-être de commencer à te pardonner. Alors respire doucement, installe-toi confortablement et laisse-moi t'accompagner. Alors commençons par le commencement. Qu'est-ce que la culpabilité ? C'est une émotion complexe. Elle naît souvent quand on pense avoir mal fait. Ou pas fait assez. Dans le cadre du deuil animalier, elle surgit de façon fulgurante. Parfois, elle s'installe doucement, comme une brume qui envahit tout. Tu sais, cette phrase silencieuse qui tourne en boucle dans ta tête. J'aurais dû faire plus, j'aurais dû voir les signes, je n'aurais pas dû partir en week-end, j'aurais dû être là, je n'aurais pas dû prendre cette décision. C'est souvent insidieux, ça devient lourd, très lourd. Parce que cette culpabilité, elle ne vient pas seulement du moment de sa mort, elle vient aussi du moment où tu recommences à vivre. Tu vois de quoi je veux parler ? Et là, un autre dialogue intérieur commence. Comment je peux rire alors qu'il n'est plus là ? Est-ce que ça veut dire que je l'oublie, que je ne l'aimais pas assez ? On confond souvent avancer et trahir. Et pourtant, ces deux choses n'ont rien à voir. Mais cette culpabilité, elle est renforcée par une chose, le manque de reconnaissance de ce deuil dans notre société. Combien de fois t'a-t-on dit « mais c'est qu'un animal » alors que pour toi, c'était un membre de ta famille, ton pilier, ton refuge ? Alors oui ! Cette douleur, elle est réelle. Et la culpabilité ? devient un moyen de prolonger le lien, presque comme une preuve d'amour. Mais à quel prix ? On va maintenant explorer les différentes formes que peut prendre la culpabilité. Tu vas peut-être te reconnaître dans certaines. La culpabilité de ne pas avoir été là au bon moment. Celle d'avoir choisi l'euthanasie même si c'était la bonne décision. Tu te demandes encore si tu aurais pu attendre. La culpabilité d'avoir continué ta vie, sortir, rire, partir en vacances. La culpabilité de penser à accueillir un autre animal. La culpabilité... de te reconstruire. Et puis il y a celle plus subtile de reprendre ta place dans la vie. Tu sais, ce moment où tu souris à nouveau et où ton cœur se serre juste après, comme si tu étais en train d'abandonner un peu plus ton animal. Je vais te proposer un petit moment d'introspection. Ferme les yeux un instant et demande-toi de quoi est-ce que je me sens coupable ? Qu'est-ce que je ne m'autorise pas depuis qu'il est parti ? Reste quelques secondes avec ces questions. Accueille ce qui vient, même si c'est flou et même si c'est douloureux. Ce qu'on oublie souvent, c'est que la culpabilité crée une prison. Une prison invisible, certes, mais redoutablement efficace. Elle te fait croire que souffrir est une preuve d'amour, que tant que tu as mal, tu restes loyal, et que si tu commences à aller mieux, alors tu trahis. Mais ce n'est pas vrai. Souffrir n'est pas aimer, rester enfermé dans la douleur n'est pas plus noble que d'oser respirer à nouveau. La culpabilité est une boucle. Tu te sens mal, tu t'en veux d'aller bien, et alors tu te fais du mal, et tu repars pour un tour. Et pourtant, ton animal, lui, t'a aimé vivant. Il ne t'a jamais demandé de te sacrifier, il t'a regardé avec amour, même quand tu faisais des erreurs. Il t'a aimé dans ta lumière, pas dans ta douleur. Je vais te proposer un exercice. Prends un carnet ou juste ton imagination. Écris une lettre à ton animal. Dis-lui tout, vraiment tout. Dis-lui ce que tu regrettes. Dis-lui ce que tu ressens. Et ensuite, imagine sa réponse. Qu'est-ce qu'il te dirait s'il te voyait t'empêcher de vivre ? Laisse-le te regarder. Laisse sa sagesse t'apaiser. C'est exactement pour cela que j'ai écrit un guide introspectif. Je me pardonne tout doucement. Un guide rempli de douceur, de réflexion et de silence. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t'accompagner, pas à pas, vers le pardon. Pas celui des autres, le tien. Celui qui te dit « tu as fait de ton mieux » . Tu n'es pas une mauvaise personne parce que tu vis encore et tu as le droit d'être en vie. Dans ce guide, je t'invite à plonger en toi avec tendresse, à écrire, à te questionner, à ressentir et à faire la paix doucement. Alors maintenant, je vais te poser une vraie question. Est-ce que tu t'autorises à aller mieux ? Pas à tout oublier, pas à remplacer non plus, mais juste à aller mieux. à respirer plus librement, à sourire sans te punir après. Ton animal ne t'a pas aimé pour que tu t'éteignes, il t'a aimé vivant. Et il continue de vivre dans chaque instant que tu choisis d'honorer. Tu peux avancer avec lui, pas sans lui. Il vit en toi, il est là, dans tes souvenirs, dans ton cœur. et dans ce que tu vas faire de cet amour. Alors, aujourd'hui, je te propose de te libérer. Pas pour oublier, mais pour mieux l'honorer. Parce que tu n'as pas à porter ta peine comme une croix. Tu peux la transformer en force, en lumière. Tu peux choisir de vivre pour deux. À partir d'aujourd'hui, Tu peux te dire, je ne te trahis pas en allant mieux, je t'honore. Je choisis de sourire pour toi. Je choisis d'aimer encore grâce à toi. Merci d'avoir pris ce temps avec moi. Merci d'avoir osé poser un regard sincère sur cette culpabilité qui t'empêchait d'avancer. Et si tu ressens que ce chemin peut continuer plus loin, je t'invite à découvrir mon e-book « Je me pardonne tout doucement » . Il est là, comme un guide silencieux, comme une main sur ton cœur. Tu peux le retrouver en description de cet épisode. Et si ce podcast t'a touché, N'hésite pas à le partager, à l'envoyer à quelqu'un qui en aurait besoin. Tu n'es pas seul, tu as le droit d'aller mieux, et si je peux être sincère, tu es déjà en train de le faire. A très vite pour un prochain épisode d'Au cœur du deuil animalier.

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