- Speaker #0
Bienvenue dans Success, le podcast qui décrypte le succès des entrepreneurs d'aujourd'hui. Je suis Fanny Lesprit, coach, formatrice, conférencière et entrepreneur depuis 4 ans. J'accompagne les solopreneurs dans leur développement grâce à des méthodes simples et impactantes autour de la communication orale, de l'acquisition de prospects et de la vente. Chaque semaine, mes invités décryptent leur succès pour vous aider à développer le vôtre. Retrouvez-moi sur Instagram, sur YouTube et sur LinkedIn sous le nom de Fanny Lesprit. Bienvenue dans Success. Hello Olga !
- Speaker #1
Salut !
- Speaker #0
Ça va ?
- Speaker #1
Ouais super !
- Speaker #0
Je suis trop contente de t'avoir sur le podcast Success. Franchement j'ai eu que des personnalités incroyables, je crois qu'il manquait que toi à mon panel donc je suis vraiment trop trop trop fière de t'avoir. Je vais te poser une toute première question. Est-ce que tu peux te pitcher, te présenter de la manière dont tu as envie mais surtout voilà nous dire ce que tu fais au quotidien dans la vie ?
- Speaker #1
Tu me tends un piège parce que pitcher c'est ta spécialité, pas la mienne. Je suis Olga Siesko, je suis spécialiste dans le langage corporel. Je donne des conférences, je suis entrepreneur avant tout, femme aussi, entrepreneur, c'est un détail important. Et j'aide les gens à mieux comprendre les autres au-delà des mots sans y passer des années. Voilà. Waouh,
- Speaker #0
ça va, ton pitch il est clair, précis, il est bien travaillé.
- Speaker #1
Merci, merci à toi.
- Speaker #0
T'as ta mission droite au but, trop chouette. Du coup, si je peux te demander, est-ce que tu peux nous retracer dans les grandes lignes, pour ceux qui ne te connaissent pas, ton parcours ? Comment t'en es arrivé à faire ça aujourd'hui, dans ton quotidien d'entre-femmes entrepreneurs, à détecter finalement un petit peu les gestes,
- Speaker #1
la gestuelle,
- Speaker #0
la posture des gens ?
- Speaker #1
Je suis devenue entrepreneur un petit peu par hasard. ou par obligation. Je t'explique, moi j'étais salariée, je donnais des cours en marketing à des BTS en alternance. Un jour un collègue m'a parlé d'un livre, j'ai trouvé ça très intéressant, j'ai acheté le bouquin. C'était un bouquin sur le langage corporel d'un Québécois. Je l'ai contacté, je lui ai dit que j'avais envie d'apprendre. Le temps a passé parce qu'il était donc au Québec et moi salariée en région parisienne. Et un jour il m'a contacté pour me dire qu'il donnait des cours en Suisse. C'était le week-end. Donc j'ai fait cet effort que parfois certains font et d'autres ne font pas. C'est-à-dire qu'en fait j'ai investi dans la formation à raison de un week-end par mois pendant trois ans pour me former, devenir spécialiste, expert. Enfin tu vois ça c'est des titres qu'on te donne, que tu te donnes pas toi-même. Et j'ai étudié le langage corporel. À l'époque, j'avais envie, finalement après, j'ai plus supporté d'être prof. C'était plus ma passion, c'était plus mon envie. Et j'ai gardé le double statut salarié et entrepreneur pendant cinq ans. Le temps que mes prospections d'entrepreneur fonctionnent. Et du coup, ça a mis quand même cinq ans avant que je puisse quitter mon travail. Ah ouais. Et donc, j'ai trouvé ça long. Mais je trouve que c'est important de le dire parce qu'à l'époque, une fille m'avait dit « Tiens, 5 ans, Olga, parce que ça prend toujours du temps de se faire des clients, de gagner suffisamment d'argent. » Enfin, même s'il y a des hauts et des bas, tu le sais bien. Mais voilà, j'ai mis 5 ans et j'avais envie de transmettre aussi ce message pour dire « Soyez patient, ça ne vient pas du jour au lendemain. »
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
Ok.
- Speaker #0
Et du coup, là, aujourd'hui, dans ton quotidien, ça s'articule comment ton business model, entre guillemets ? Du coup, moi, je sais que tu es beaucoup en ligne, mais du coup, pour ceux qui te connaissent.
- Speaker #1
Alors, en fait, mon parcours d'entrepreneur, en fait, j'ai quand même quelques adaptations. J'ai commencé par donner des formations en entreprise en étant sous-traitée par des fédérations professionnelles. Ça m'a fait rencontrer mes futurs clients de conférences. Je n'ai pas choisi d'être conférencière, on m'a proposé de donner des conférences et petit à petit, je n'ai donné que des conférences. Donc on va dire que la partie avant Covid, je tournais beaucoup. J'avais beaucoup de déplacements et je donnais des conférences. Et ensuite, petit à petit, j'ai ressenti le besoin et l'opportunité de développer des formations en ligne. parce que j'avais au parallèle une communauté grandissante sur les réseaux, tous les réseaux, mais surtout sur Facebook à l'époque, et ensuite sur Insta qui a dépassé Facebook. Et là, j'ai développé des formations en ligne que je vends grâce aux réseaux. Et donc, en fait, j'ai cette double casquette d'être avec des entreprises qui me font intervenir en conférence. Et... la plupart du temps des particuliers qui parfois achètent pour... qui sont entrepreneurs, mais tu vois, je vends en one-to-one des formations en ligne. Ok.
- Speaker #0
Autour de toujours la même thématique ?
- Speaker #1
Autour du langage corporel, mais j'ai aussi développé d'autres formations sur le développement personnel. C'est beaucoup moins connu. Je me suis butée sur le fait que quand t'es connue pour quelque chose, c'est très difficile. d'avoir de la crédibilité ou de vendre sur un autre thème, même quand tu as envie. Oui. Tu le fais... Tu fais un coup, mais après c'est difficile de le faire en automatique.
- Speaker #0
De sortir de sa niche,
- Speaker #1
ouais. Parce qu'en fait, le secret, c'est quand même l'automatisation de certains process pour gagner de l'argent régulièrement. Ouais,
- Speaker #0
c'est ça.
- Speaker #1
Voilà. Et depuis peu, je développe un service qui est d'accompagner des personnes qui souhaitent devenir conférencières ou conférenciers, mais pas les accompagner dans la... construction de leur conférence mais de les accompagner sur leur image, leur posture pour qu'on les prenne pour des conférenciers et trouver des clients pour pour obtenir des contrats.
- Speaker #0
Trop bien ouais ouais t'inquiète pas on va en parler de ça et du coup tu peux aussi nous dire parce que bah moi je t'ai rencontré où à Nice parce qu'on est dans le même réseau d'entrepreneurs qu'on a rejoints donc je t'ai rencontré ici je pense que j'étais tombée déjà sur toi sur les réseaux sociaux Mais du coup tu as déménagé parce que beaucoup de choses se faisaient à Paris je pense pour toi aussi à un moment donné à l'époque. Qu'est-ce qui a fait que tu as déménagé dans le sud ou pourquoi tu avais envie ? C'est un peu cette liberté géographique aussi autour de l'entrepreneuriat que je voudrais...
- Speaker #1
Alors, la première raison c'est le climat. Franchement le climat à Nice est extraordinaire. Il y a eu une opportunité de déménager, je suis en couple. Mon conjoint avait envie de déménager. Voilà. En fait, finalement, c'est assez banal. J'ai suivi mon conjoint qui avait cette envie de s'installer dans le sud. J'ai peu de clients à Paris, tu sais. Ah oui ? Ouais. Tu vois, par exemple, là, la semaine prochaine, je vais à Brest. Je vais à Samoens qui est en Haute-Savoie, à Lille. Donc, en fait, j'ai peu d'interventions sur Paris. Tu vois ? Donc, mais... c'est vrai que vivre en région parisienne, j'étais du Val-de-Marne, ça permettait de rayonner très facilement. Tu vas partout en France, alors que quand t'habites à Nice, c'est sûr que tu dois d'abord passer par Paris pour aller ailleurs la plupart du temps. Mais voilà, ma raison principale, c'est le climat. Là, par contre, j'avoue que je trouve ça extraordinaire de se lever le matin et de voir le soleil, la mer. Il y a un état d'esprit comme ça qui est favorable. Et c'est vrai que moi, mes enfants sont grands, tu sais. Aujourd'hui, j'ai des enfants qui ont 23 et 26 ans. Et du coup, j'avais cette possibilité, cette liberté aussi de me dire, je déménage.
- Speaker #0
Ouais, trop bien. C'est ce que rapporte l'entrepreneuriat aussi. C'est cette liberté géographique. Donc là, quand tu dis les prochaines destinations que tu vas faire, enfin Brest, je ne sais pas.
- Speaker #1
Oui, ça ne fait pas rêver, c'est vrai. Oh, désolée pour
- Speaker #0
Brest. Non, mais ce que je veux dire, c'est que du coup, tu pars travailler là-bas. Et donc, ma prochaine question, c'est comment tu as fait pour développer un petit peu aussi le fait qu'on… Est-ce que maintenant, on vient te chercher naturellement et c'est eux qui viennent te dire, écoute, il y a quelque chose qui se passe là, il faut que tu viennes à Brest pour donner cette conférence ou est-ce que c'est encore toi qui démarches ? T'en es où actuellement ?
- Speaker #1
Alors… Aujourd'hui et jusqu'à maintenant, je n'ai jamais démarché. Ma démarche, elle reste un peu silencieuse ou passive, c'est-à-dire que je m'astreins à être sur les réseaux, tous les réseaux, en tout cas LinkedIn, Facebook et Insta. Et je considère que LinkedIn est mon réseau de prédilection pour mon business de conférence. J'apprends depuis peu de temps que je devrais... prospecter de manière plus active via LinkedIn aussi. Il faut savoir le faire. Et voilà. Mais jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais eu à prospecter. C'est du bouche à oreille, en fait. Ça, c'est très puissant, le bouche à oreille. Un truc aussi que je... Pour ceux qui connaissent pas ce business ou qui souhaitent le faire, quand tu interviens en conférence dans des fédérations professionnelles, par exemple, ou ton auditoire, fait partie de plusieurs entreprises, là c'est génial parce que c'est plusieurs entreprises qui te voient et qui sont susceptibles de parler de toi et de te faire intervenir. On va te dire, je t'ai vu à tel endroit, je voudrais que tu fasses la même chose. Non seulement, ils sont déjà convaincus, tu n'as même pas à discuter de ta conférence, tu discutes rarement de ton tarif parce qu'ils savent que tu as déjà bossé et que ce que tu vaux et ils ne discutent pas. Et là, tu as de la prospection. Enfin, tu as des prospects, je veux dire. Quand tu interviens au sein du CIC, et que tu n'as que des salariés du CIC, bon, c'est le job aussi, mais là, tu n'as pas de prospects. Puisqu'en fait, ce ne sont que des salariés qui vont, eux, ils ne vont pas te faire intervenir, tu vois. Ouais. Donc, dans le boulot de conférencier, tu as aussi ce côté, quand tu es sollicité par des gens qui font venir plusieurs entreprises, c'est hyper intéressant.
- Speaker #0
Ouais. Et tu as mis combien de temps à comprendre un peu ce fonctionnement, comment ça a fonctionné et tout ? Parce que tu sais, tu as eu ces cinq premières années un peu compliquées à sortir aussi de ton salariat. Et après, on va en parler, mais tu as une belle visibilité sur les réseaux sociaux que tu développes aussi. Finalement, comprendre tout ce jeu un peu de réseaux sociaux et se faire connaître, comment ça a fonctionné pour toi au début ?
- Speaker #1
Au début, puisque tu parles du début, des cinq premières années, je cherchais simplement déjà à gagner ma vie et à ne pas crever la dalle. Normal. Voilà, déjà, juste gagner de l'argent. Et donc, en ce qui me concerne, J'ai donné des formations. Je ne donnais pas de conférences au début. Oui. Tu vois ? Pendant les premières années, déjà, j'ai mis quelques années à obtenir des opportunités de donner des formations.
- Speaker #0
Oui, c'est ça.
- Speaker #1
Mais ce que je ne savais pas et que je sais aujourd'hui et que j'ai envie de transmettre aux gens que j'accompagne, c'est justement vers qui t'adresser pour avoir le plus de chances possibles d'intervenir. Parce que moi, je frappais parce que... ou aux portes des grosses boîtes. Et en fait, c'est pas exactement comme ça qu'il faut faire.
- Speaker #0
Ah ouais, ouais, donc t'as trouvé d'autres méthodes et après, les réseaux sociaux sont aussi rentrés en même temps dans ton monde de fonctionnement.
- Speaker #1
Et les réseaux sociaux sont arrivés petit à petit, au fur et à mesure, et j'ai tâtonné, j'ai testé, j'ai fait comme tout le monde. Tu sais, la première fois que je me suis mise sur Facebook, j'étais déjà à mon compte. Ouais. Et c'était parce que je ne voulais pas laisser la place à un pseudo concurrent, qui finalement n'en était pas un. Mais c'est le fait de ne pas vouloir laisser ma place à quelqu'un, lui laisser le champ libre, qui m'a entraîné à créer mon premier compte Facebook.
- Speaker #0
Et du coup, tu as commencé à développer les réseaux sociaux. Aujourd'hui, tu as une belle communauté, tu dis que tu as testé plein de choses et que tu as essayé de comprendre comment ça marchait. Il y en a plein qui font ça au quotidien et ça fait peut-être déjà deux, trois, quatre, cinq ans qu'ils se sont lancés tu vois et qui se disent mais moi non plus j'ai toujours pas compris alors toi qu'est ce que tu aurais compris que les autres n'ont toujours pas compris aujourd'hui parce que tu es quand même très présente et j'ai aussi l'impression Olga d'un point de vue extérieur que ça fait partie puis on en a discuté déjà tous les deux ça fait partie un peu de ton hygiène de vie tu sais que tu dois poster entre guillemets il n'y a pas des matins où tu te dis ah non j'ai la flemme nanana enfin tu vois tu le fais quand même comme si tu devais le faire et tu es toujours au rendez-vous.
- Speaker #1
Alors, tu as raison parce qu'au début, les premières années, je faisais un petit peu, pas au petit bonheur la chance, mais je postais avec mes envies, mon amour, etc. Aujourd'hui, ce n'est plus tout à fait pareil parce que c'est moins fun dans le sens où il y a plus d'enjeux, il y a plus de monde. Et du coup, plus de jugement aussi, plus de choses à traiter. Et donc, j'ai dû transformer un peu ma façon d'être et de faire sur les réseaux. Et quand tu dis que je poste régulièrement, c'est vrai que maintenant, je m'astreins à utiliser un outil de programmation. Alors, tu as des outils gratuits en passant par Facebook et qui te permettent de programmer sur Facebook et Insta. C'est pas ça que j'utilise. Parce qu'il y en a d'autres qui sont pour moi plus simples, même si je dois payer. Et en fait, je programme mes postes. Alors parfois, j'ai trois jours d'avance, parfois j'ai trois semaines d'avance, ça dépend. Mais je programme mes postes et j'essaye finalement d'avoir une présence très régulière. Ce qui enlève un peu de spontanéité aussi, parce que je dois prévoir à l'avance qu'est-ce que je vais dire, quelle vidéo je vais faire. Et donc ça suppose aussi que je prépare des vidéos, donc chose que je ne faisais pas avant, mais je suis un peu aussi la mode, c'est-à-dire que je prépare des reels à l'avance. Donc maintenant je suis filmée avec un caméraman, je discute, on tourne des reels, je poste les reels à l'avance, alors qu'avant, au tout début, je faisais beaucoup beaucoup de live. sur Facebook.
- Speaker #0
Oui, c'est vrai.
- Speaker #1
Beaucoup de lives sur Facebook, ça m'animait, j'aimais ça. Je connaissais quasiment tous les gens de ma communauté. Ah ouais ? Mais, tu vois, je me disais j'ai du mal à sourire dans le sens où j'ai dû me détacher. de ce côté communauté, même si j'aime ma communauté, je n'ai plus du tout la main et les relations que j'avais avant, parce qu'il y a trop de monde en fait, c'est devenu un business. Avec amour, mais c'est devenu un business. Oui,
- Speaker #0
c'est normal, maintenant tu as fait grossir tes communautés, tu as compris un petit peu comment aussi gagner en visibilité, donc forcément ça grossit, tu ne peux plus être disponible pour tout le monde, enfin ça paraît logique. Ok et du coup si on continue juste sur cette partie un peu réseaux sociaux et business et puis après je te poserai des questions aussi sur ta thématique à toi mais sur ce truc de réseaux sociaux, toi tu fais beaucoup, en fait t'es beaucoup en personal branding donc c'est toi ta propre marque puisque demain tu disparais, ça risque d'être compliqué de continuer à faire vivre Olga Siesko, en tout cas sur une durée très indéterminée. Et du coup, ce personal brand, toi, tu l'associes à beaucoup se montrer en face cam, faire des vidéos avec des sous-titres, utiliser un peu des hooks pour attirer l'attention. Ou alors, tu fais des choses spontanément sans vraiment te poser trop de questions aussi.
- Speaker #1
Je suis moins spontanée qu'avant. Ouais. Puisqu'en fait, je suis obligée de programmer. Donc, ça enlève le côté spontané. Je sais que je peux faire des lives si je veux. Mais en ce moment, je ne suis pas très organisée pour ça. Donc, voilà. Il y a une question que tu m'as posée, je n'ai pas vraiment répondu. Tu m'as dit qu'est-ce que tu as compris, que d'autres n'auraient peut-être pas compris, etc. Je ne sais pas ce que les gens ont compris ou pas. Mais moi, ce que je comprends, c'est que je dois faire très attention et toujours me poser la question sur pourquoi les personnes me suivent en fait et est-ce que mon poste répond à ça je peux pas répondre tout le temps ouais mais j'essaye de respecter un peu ma promesse tu vois ma promesse étant quelque chose qui fait que on s'est abonnés à ma page ok tu vois ouais car que des fois moi je vois des gens galérer qui me disent je perce pas bon ok je parfois Le problème, il est qu'on ne comprend pas ce que fait la personne. Oui, c'est vrai. Ou qu'elle ne poste pas ce pour quoi elle est censée être là. Voilà. Et du coup, on peut faire ce qu'on veut, mais ensuite, il ne faut pas s'étonner. Enfin, voilà, il y a une réflexion à faire là-dessus.
- Speaker #0
Oui, je vois ce que tu veux dire. Oui, tu réponds vraiment à la demande. ils ont soif de connaître un peu plus sur ce que tu proposes.
- Speaker #1
Mais c'est compliqué, les réseaux. Et puis, voilà, c'est compliqué. Oui,
- Speaker #0
oui, oui. Mais toi, tu fais un bon mix aussi. Tu fais un petit peu des partages personnels. Puis, il y a pas mal de choses sur ta thématique. Et ta thématique, je pense qu'elle est tellement intéressante, un peu dans le développement personnel et tout. C'est tellement intéressant, justement, on va y venir, que je pense que la communauté, ils ont envie de savoir encore plus. Après, toi... Comment tu fais pour trouver tes idées ? Parce qu'au bout d'un moment, tu peux dire, c'est bon, j'ai déjà raconté mille fois.
- Speaker #1
Je me le dis tout le temps.
- Speaker #0
En plus, tu le répètes en conférence. Tu fais tes conférences, tu fais tes formations. Tu l'as dit en formation en ligne plus sur les réseaux sociaux. C'est comme si moi, de toute façon, je le fais pareil que toi. Sur le pitch, tu le sais. On re-répète. Est-ce qu'au bout d'un moment, tu n'étais pas lassée ?
- Speaker #1
Si. parfois je suis lassée parfois je suis lassée parfois comme je t'ai dit et je crois que ça concerne beaucoup de gens qui sont entrepreneurs et sur le web je suis lassée dans le sens où j'ai envie de parler aux gens de d'autres choses parce que parfois ça me touche toi par exemple c'est arrivé que je découvre des choses qui ont changé ma vie au niveau de l'alimentation ça m'a permis de me sentir mieux dans mon corps dans mon équilibre. Je me suis rendu compte que ce que tu manges peut avoir un impact sur ta posture, ta manière d'être, ton mental. Et moi j'aime faire grandir les gens. Et du coup, quand j'ai parlé de ça, il y a des gens qui ont adhéré, mais il y en a beaucoup qui en ont rien à foutre et qui n'ont pas du tout adhéré à tout ça. Et donc c'est ça, c'est cet équilibre qui est quand même difficile. Parce que quand tu as envie de parler d'autres choses, faut faire attention. Jusqu'à quel point tu vas pour ne pas non plus perdre trop de gens.
- Speaker #0
Oui, c'est ça. Sauf si tu prends vraiment la décision de bifurquer complètement, quoi.
- Speaker #1
Oui, bien sûr. En fait, ça dépend aussi pourquoi tu es sur les réseaux sociaux. Moi, clairement, aujourd'hui, je l'assume complètement. Je suis sur les réseaux sociaux pour mon travail. Oui. Tu vois ?
- Speaker #0
Oui, c'est bien. Tu as ce truc-là quand même de je fais la part des choses en fait. C'est pas pour mon égo,
- Speaker #1
je m'en fous. C'est pas pour... Je fais pour mon travail, ça fait partie de mon travail. Oui,
- Speaker #0
mais qu'est-ce que tu dirais aux gens qui... Ah, j'ai la flemme, c'est pas... Tu sais, il y en a beaucoup qui me disent c'est pas écologique pour moi de poster parce que... Tu vois ? Et ils galèrent dans leur business, ils galèrent à... vivre de leur passion parce que toi c'est tu me disais au départ c'est vraiment une passion et taffes tu en as fait a fait en sorte d'en vivre au final et ils sont pas prêts à faire le taf c'est comme si on me disait ben j'ai pas envie de faire ma compta ça me fait chier mais à un moment donné il faut juste le faire en fait ouais à moins que tu la fasses faire par oui mais au
- Speaker #1
début mais Bah en fait quelqu'un qui a pas envie d'être sur les réseaux déjà soit tu trouves la manière de d'être sur les réseaux une manière qui te convient Parce que moi, finalement, aujourd'hui, depuis plusieurs années, je n'ai pas très envie de me montrer en live, je veux dire. Et donc, ça fait... Alors qu'avant, je faisais tout le temps des lives. Donc, aujourd'hui, je respecte cette façon de... Plein de fois, je me dis, tiens, peut-être que je ferais bien une vidéo de ce que je mange ou de ma salle de bain, etc. Mais tu vois, je n'ose pas. J'ose pas parce que je suis pas assez bien coiffée, parce que je suis pas assez maquillée, parce que j'ai pas envie de me montrer comme ça. Et du coup, je me dis bon, bah tant pis, je me respecte. Tu vois, je me force pas. Et chacun doit trouver son équilibre, un équilibre qui fonctionne. Parce que si jamais, par exemple, je découvrais que quand je me mets dans la salle de bain, tu vois, je l'ai pas testé. Faudrait peut-être que je... Si je me mets dans la salle de bain ou que je commence à partager... le plat que je vais faire ce soir et que je vois que ça explose, peut-être que je vais revoir mon jugement. Je vais me dire, si quand je monte mon assiette de brocoli, je vends, je vais peut-être le faire. Mais j'ai l'impression que les gens qui me suivent n'ont pas besoin de voir ce que je mange. Oui, oui, oui. Tu vois ? Donc, je ne le fais pas. Mais ce que je veux dire, c'est qu'il faut trouver ce qu'on est capable de faire, ce qu'on a envie de faire. et ce que les gens qui te suivent souhaitent de toi.
- Speaker #0
Ouais, c'est ça.
- Speaker #1
Tu vois ? Par contre, moi, je vois parfois des gens qui se prennent pour des influenceurs. C'est pas négatif ce que je suis en train de dire. Oui. Mais des influenceurs dans le sens qu'ils vont mettre systématiquement le repas qu'ils mangent, systématiquement là où ils vont prendre le petit-déj, dans quel hôtel, dans quel parc, leur... Enfin bon, bref, leur vie. Et en fait...
- Speaker #0
parfois on n'en a rien à faire de ça tu vois et du coup parfois je suis pas sûr que ça leur sert oui sauf si dans la story il ya un conseil lié à leur thématique et que c'est juste un moment inspirationnel mais oui mais si c'est juste pour montrer le plat que tu as mangé à midi bon j'avoue
- Speaker #1
que ça peut paraître un peu léger ouais mais c'est vrai que quand tu fais des live par exemple où tu es dans ta vie de tous les jours et que tu dis voilà j'ai appris ça et finalement tu peux en tirer ça bon bah je parle pas de ce genre de partage parce que là ça reste cadré tu vois.
- Speaker #0
Dernière question pour clôturer cette partie un petit peu pourquoi tu as arrêté les lives du coup c'est que c'est juste ça fait plus trop sens pour toi enfin ça t'anime moins ?
- Speaker #1
Alors je me suis pas posé la question mais si je réfléchis Il y a plusieurs paramètres À un moment donné, je trouvais que je n'avais plus la bonne tête. Et je suis comme tout le monde, j'ai mon égo. En fait, il faut que je me plaise. Et quand je ne me plais pas, ça ne va pas. Après, il y a aussi mon emploi du temps. J'aimais bien faire des lives à des moments où j'étais seule à la maison. Donc disposée et seule à la maison. Parce que j'étais gênée si je n'étais pas seule. Et donc, il y a eu un moment de ma vie où j'étais moins seule. donc ça ne se correspondait pas et puis j'ai eu le décès de mon père il y a deux ans qui m'a mis comme une tristesse tu vois au fond de moi où moi devant la caméra j'ai remarqué même en faisant les reels qu'il y a eu des reels moi quand je les vois je vois qu'au fond de moi il y a un truc Il y a un truc triste, tu vois ? que je le fais quand même, mais voilà, si c'est pas des trucs qui explosent, à la limite c'est que inconsciemment les gens se rendent compte, je sais pas, tu vois. Donc en fait tout ça fait que comme j'essaye d'être authentique et de pas me forcer, je fais au mieux, tu vois. Je veux dire, je n'ai fait que m'adapter depuis toujours. Depuis que je suis à mon compte, je n'ai fait que m'adapter. Si je suis pas capable de faire des lives, je fais pas de lives. Ouais, c'est ça. Tu vois ?
- Speaker #0
C'est ça. Merci de nous partager ce moment un peu plus challengeant aussi. D'ailleurs, c'est des moments un peu compliqués quand on est entrepreneur aussi, parce que c'est comme si on n'avait pas le droit aussi d'avoir des moments un peu down, parce qu'il faut toujours produire, parce que notre argent dépend de ça. Comment tu as vécu peut-être un petit peu cette période sans vouloir te replonger ? Non,
- Speaker #1
non,
- Speaker #0
mais ça marche. Comment tu as vécu un peu cette période-là en disant « je suis entrepreneur, il faut quand même aussi que je tâche » .
- Speaker #1
En fait, les problèmes de la vie tu vois parce que ça peut être un décès un divorce un problème avec un enfant J'ai j'ai remarqué que tu peux partager un peu de vulnérabilité les gens sont toujours touchés et se sentent concernés mais tu dois pas partager trop oui oui c'est mon expérience Sinon ça sort du cadre et les gens finissent par se lasser. Que tu dises une fois que ça va pas, ok. Mais si tu le dis trop souvent, ça va gonfler les gens. Parce qu'il faut pas oublier que malgré tout les réseaux sociaux restent quand même des réseaux de distraction. Et donc les gens ils te suivent pas que parce que tu es intelligente quoi. Ils te suivent parce qu'ils aiment bien ce que tu publies etc. Donc ça reste quand même de la distraction légère. Donc, si pendant trois mois, tu dis que tu es au fond du trou, il vaut mieux t'abstenir. De toute façon, si tu disparais pendant quelques temps, personne ne va s'en apercevoir. Tu reviens, ce n'est pas la peine de dire que ça fait longtemps qu'on ne se voit pas. Personne ne s'en est rendu compte. Oui. Et ça, quand je l'ai compris, ça m'a beaucoup soulagée. Concernant le décès de mon père, je n'ai jamais eu autant de... de messages bienveillants, de likes, de commentaires et même de business le mois où il a été dans le coma et que j'ai perdu mon père. Et c'est pas du tout volontaire et j'avais fait très peu de communication dessus. Mais j'avais dû reporter un atelier que je faisais en distanciel. J'avais quand même signalé que mon papa était dans le coma, je lui faisais écouter de la musique, etc. Et faut croire que ça a touché beaucoup de gens. mais tu vois je me suis pas étalée après oui t'es restée un peu présente et en même temps t'as fait la part des choses t'as pas tout coupé t'es restée un peu présente mais t'as pas tout étalée j'essaye de pas être trop mais c'est ma je te dirais pas que c'est ma personnalité parce que ma personnalité ça aurait été de m'étaler davantage mais j'ai vraiment eu conscience je sais pas si j'ai raison ou tort mais je partage mon expérience j'ai eu conscience que je devais euh d'écrire ce qui m'arrivait, donc parfois j'ai des postes. J'aime aussi me dire que peut-être pour la postérité quelqu'un qui aura l'habitude, l'envie de regarder mes murs avec le temps à la loupe trouvera des éléments de ma vie privée. Je me dis mes enfants, mes petits enfants diront bah tiens mamie à cette époque là. Je me disais et donc parfois je parle de ma vie privée, de mes émotions. de mes difficultés aussi de difficultés que j'ai parfois au sein de ma famille de désaccords et j'en parle mais sans pathos et sans trop m'étaler juste pour dire moi aussi parfois c'est galère mais sans pathos
- Speaker #0
C'est bien. Ok, Olga. Bon, désolé, je vais te faire, allez, re-répéter un petit peu les choses de ta thématique. Mais c'est vrai que c'est un sujet qui est passionnant, la communication non-verbale, le langage du corps. Déjà, c'est quoi les bases de ton enseignement ? Enfin, qu'est-ce que tu dis ? Est-ce que les gens, je pense qu'ils arrivent tout de suite avec « Ah, je veux savoir si mon conjoint ment » ? Je ne sais pas vraiment pourquoi on achète des formations quand on n'est pas un pro, quand on n'est pas entrepreneur, mais quand les personnes, juste les particuliers, veulent savoir quelque chose, est-ce que c'est juste pour détecter des mensonges autour d'eux ?
- Speaker #1
Figure-toi que c'est une bonne question parce que je ne sais pas. Je ne sais pas dans la mesure où je ne pose pas la question à mes clients. C'est-à-dire que mes clients suivent un webinaire suite auquel je fais une offre.
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
À saisir, bien sûr. Ça, c'est ce que j'ai appris aussi, puisqu'on est dans un podcast business. J'ai appris que si tu ne faisais pas d'offres limitées sur 48 heures, tu ne vends pas. Donc, ça ne sert à rien de dire j'ai une formation, elle est super, achète-la. À ce moment-là, les gens vont te dire bon, plus tard, j'ai piscine. Donc, voilà. Et je ne fais pas de... C'est vrai que je ne les connais pas. puisque moi j'ai choisi un type de business où je vends de manière écolo pour moi. C'est-à-dire que tu prends ou tu ne prends pas. Si tu prends, tout est automatique. Ce ne sont que des vidéos. Il n'y a pas de suivi. Je te donne des vidéos pour que tu apprennes. Tous les mois, ça se déclenche. Il y a aussi des vidéos tout de suite. Et tu peux quand même me poser des questions. C'est important. Il y a quand même une possibilité de communiquer avec moi. Mais je n'anime pas de zoo, je n'ai pas de rendez-vous tous les mois. En tout cas, pour l'instant, je ne l'ai pas fait. Et donc, pourquoi il y a les gens qui ont envie de comprendre les gens au-delà des mots ? En fait, le langage corporel, c'est comprendre comment se positionne le corps et comment fonctionnent les mouvements du corps. Tu comprends ça. Et ensuite, est-ce que ce que la personne paraît devant toi, ce qu'elle dit, est cohérent avec sa posture. Là par exemple, tu es à côté de moi, tu es en face de moi, on est toutes les deux les jambes croisées. Les jambes croisées, ce n'est pas un signe de fermeture, pas toujours, c'est souvent un signe aussi de cohésion. Tu vois par exemple, toi et moi, on est toutes les deux comme dans une bulle, tu es vers moi, moi je suis vers toi. Si tu me poses une question, et là en plus tu vois je suis vraiment penchée vers toi, tu vois j'ai cette posture penchée vers toi. admettons que tu me poses une question tu me poses une question qui me pose un problème bah peut-être que je vais changer de posture et je vais me mettre de l'autre côté c'est pas grave et là tu peux remarquer qu'il y a un changement de posture qui est un changement d'état d'esprit une difficulté Le fait que je parle avec toi j'ai l'air En tout cas, je pense que tu ressens le fait que j'ai envie de discuter avec toi, que je suis détendue avec toi et que je suis volontaire. Et ça, tu peux le voir aussi avec le mouvement de mes mains. C'est-à-dire que là, mes mains sont visibles. Et surtout, et je ne le fais pas exprès, c'est naturel. Et non seulement elles sont visibles, mais elles sont mobiles. C'est-à-dire qu'en fait, je discute avec toi de manière mobile. Et ça, c'est un signe de lâcher prise, en fait, du fait que je suis authentique. Et attention ! l'authenticité, ça ne veut pas dire tu vois, là je fais attention, donc j'ai une posture, tu vois, qui dit attention, sois attentive. Être authentique, ça ne veut pas dire être bienveillant, tu vois, dans la formation, c'est ça aussi que tu apprends, c'est-à-dire que avoir des mouvements de main, ça veut dire que la personne est en roue libre, ok, mais elle peut être authentiquement en colère, authentiquement débile aussi, tu vois, donc mais quand tu comprends, tu vois, comme le toutes ces mécaniques, tu es plus à même de savoir si la personne, elle est cohérente avec ce qu'elle paraît, avec ce qu'elle te dit, selon ton métier. Imagine que ton métier soit d'être coach, ou d'ailleurs tu accompagnes, ou thérapeute, ou avocat, ou commercial, et que tu as besoin aussi, parfois, de savoir si les personnes adhèrent à ton idée, si elles te comprennent. ou si elles n'osent pas te dire qu'elles n'ont pas compris, ça peut te permettre de désamorcer des conflits, de savoir quand poser la bonne question. Donc il y a des gens qui achètent mes formations, qui sont entrepreneurs, qui sont commerciaux, qui sont managers, qui sont avocats, qui sont thérapeutes.
- Speaker #0
Pour mieux comprendre l'autre. Et ce n'est pas non plus que dans la sphère privée, par exemple, où on a envie de comprendre. Et il y a aussi dans la sphère, donc c'est beaucoup vu, beaucoup entendu, dans la criminologie, c'est ça ? Où en fait, on peut détecter des mensonges, ou alors la personne qui s'agite et donc est dans un état de stress, et du coup, ses mouvements le trahissent un petit peu, ça serait ça ?
- Speaker #1
Alors, je... Je n'ai pas compris ton enchaînement de questions, mais ce n'est pas grave. Tu as parlé de criminologie. Il y a aussi des personnes qui achètent mes formations. Parfois, j'ai des retours et je sais que leur métier, c'est être enquêteur. J'ai découvert que les détectives existaient encore. Les détectives qui venaient ? Oui, je ne savais pas. Donc, voilà. Et donc, tu me parles de...
- Speaker #0
Non, je disais, oui. ... de personnes qui sont nerveuses. Oui, je disais, les gens n'achètent pas ça, donc en premier temps que dans la sphère privée. Et je disais, en fait, est-ce que c'est vraiment qu'un mythe, entre guillemets, qu'on s'intéresse à cette thématique-là pour les mensonges ou la criminologie, le stress, les angoisses ? Moi, c'est vrai que c'est un truc que je vois un petit peu dans les formations de prise de parole en public pour leur montrer qu'en fait, leur non-verbal traduit leur stress sur scène et qu'on voit... tous les micro-mouvements qu'ils peuvent faire. Mais finalement, ce que tu dis, c'est au-delà, pour tous ces gens qui achètent tes formations, c'est aussi comprendre mieux son client, en fait.
- Speaker #1
Ça peut être comprendre mieux son client, comprendre mieux son patient, comprendre mieux son enfant. Il paraît que ça, c'est quelque chose que je ne me rendais pas compte, c'est mes clients qui m'ont dit, ça permet aussi de mieux se comprendre soi-même. C'est-à-dire, parfois, avec... plus attentive aux réactions que tu as ou le corps sait avant toi certaines choses donc tu vas faire attention donc mieux comprendre son patient donc mieux comprendre son enfant etc c'est vrai que tu as raison les émotions ce que tu ressens quand tu ressens du stress ça se voit donc ce qui est intéressant aussi c'est de connaître d'avoir des tips pour essayer de paraître le plus confiant possible lorsque c'est nécessaire. Donc dans ma formation, je ne t'apprends pas à devenir quelqu'un d'autre, mais il est évident que quand tu as conscience du langage corporel, tu es mieux armé ou tu es plus susceptible de savoir comment t'aider pour paraître plus confiante. Oui. Parce que... On sait aujourd'hui que tu peux adopter certaines postures qui vont engranger une image et aussi engranger un meilleur état d'esprit que si tu restes dans ton stress.
- Speaker #0
Oui, c'est ça. C'est vraiment passionnant. On ne va pas forcément avoir le temps de décrypter tous les mouvements, mais je vous invite vraiment à suivre Olga parce que déjà sur tes réseaux sociaux, tu en donnes beaucoup des tips et tu donnes beaucoup déjà de clés pour détecter certaines choses, certains mouvements, certaines... Ensuite, si on veut aller plus loin, donc si je comprends bien, il y a cette formation qui existe. Du coup, on peut d'abord récupérer un webinaire, c'est ça ?
- Speaker #1
Alors, en fait, oui. Alors, tout est dans le lien de la bio Instagram. Je pense que c'est peut-être le lien le plus important pour comprendre tout ce que je propose. Et effectivement, il y a un lien pour s'inscrire à la newsletter, un lien pour s'inscrire au webinaire gratuit. Du coup, tu tombes dans la newsletter automatiquement. Et c'est à travers ce webinaire, j'ai trouvé que c'était mieux de proposer la formation après ce webinaire parce que ça permet aussi de me connaître. Ouais, c'est ça. Tu vois ? Donc, il y a des gens qui adorent et d'autres moins. On ne peut pas faire à tout le monde, c'est comme ça. Ah oui,
- Speaker #0
et tu es aussi auteur de plusieurs livres.
- Speaker #1
Il y a des livres sur Amazon. Wow ! Le troisième qui sort bientôt. Alors là, nous, on est en janvier 2025. Ouais. Parce que ton podcast va être vu longtemps. Donc, peut-être que quand les gens regarderont ce livre-là...
- Speaker #0
Le livre sera sorti.
- Speaker #1
Le livre sera sorti et j'espère en écrire d'autres. C'est des livres qui font entre 50 et 120 pages. Ça, ça dépend, tu vois. Donc, c'est des livres quand même qui sont courts et qui vont vite au grain.
- Speaker #0
C'était dans tes idées d'entrepreneur, ça, d'écrire des livres ou pas forcément ? Ou c'est venu aussi sur le tas ?
- Speaker #1
C'est venu comme ça, les opportunités, l'envie de ne pas mettre tous mes os dans le même panier, de diversifier mes revenus. Oui, dans ce côté entrepreneur, j'ai le souci de me dire si ça, ça ne marche pas, j'aimerais bien avoir une autre source de revenus. Et si ça, ça ne marche pas, qu'est-ce que je peux ? Et essayer de diversifier les choses. Oui, ok. J'ai vraiment envie. Et puis c'est... C'est une demande aussi, tu vois, il y a des gens qui aiment bien avoir des livres, pas de stabilité, tout ça. C'est pas avec ça qu'on fait beaucoup d'argent.
- Speaker #0
Mais...
- Speaker #1
Si tu deviens Harry Potter, enfin...
- Speaker #0
Mais du coup, ça va dans la visibilité aussi, ce truc-là de transmettre aussi.
- Speaker #1
Tu es autopublié. Donc, c'est pas pareil, tu vois, que quand tu es Juno, etc. Ah oui, c'est vrai. Même si tu gagnes pas de thunes, parce qu'il vaut mieux à la limite être autopublié pour gagner de la plus d'argent. Ouais, c'est vrai. L'argent, il est pour toi. plutôt que de gagner quelques centimes ou un euro maxi quand tu es chez un éditeur. Mais c'est sûr qu'en France, on a ce schéma, quand tu es chez un éditeur, tout de suite, tu es à la FNAC, donc tu peux faire ta photo avec ton livre à la FNAC. Tu vois, c'est bon pour l'ego, mais voilà.
- Speaker #0
Mais quand tu as écrit un premier livre, tu ne te dis pas, je ne vais plus avoir d'idée pour les deux autres ? Enfin là, parce que du coup, tu as écrit celui-là, tu ne savais pas que tu allais écrire le troisième ?
- Speaker #1
Eh bien non. Tu veux que je te dise comment ils sont, mes livres ? Moi ? Regarde, le premier, je donne que des clés de lecture sur le non-verbal. D'accord. Il est très court, mais c'est des super clés. C'est décoder le langage du corps. Ouais. Donc, c'est que ça. Le deuxième, je donne des clés pour comprendre le corps, lire le corps, mais aussi en prendre soin. D'accord. Et là, je parle aussi de développement personnel et de tout ce que j'ai compris avec le corps. Les messages, les tatouages, les massages, l'hypnose. Wow. Tu vois, je parle de ça et aussi de confiance de soi. Trop bien. Voilà, donc ça c'est lire le corps et en prendre soin. Et le troisième, j'ai pas encore le titre, mais il est centré uniquement sur la gestuelle des hommes lorsque tu les rencontres dans le cadre d'une relation amoureuse. Waouh,
- Speaker #0
génial ! Ah, trop hâte ! On va suivre tes actualités. Donc c'est Olga Sesko sur Instagram et sur les autres réseaux sociaux. Si on veut te suivre, je vais mettre tous les liens dans la biographie. Est-ce que tu as une citation, un mantra, une punchline que tu te répètes ou que tu répètes aux gens autour de toi tous les jours qui t'inspirent, quelque chose qui t'inspire comme ça ?
- Speaker #1
Écoute, j'en ai pas là, mais j'ai envie de dire aux gens qui nous écoutent de faire un commentaire sous ta vidéo pour nous proposer des thèmes, des questions, nous poser des questions aussi, de refaire un autre podcast. J'adore discuter avec toi. Je suis très heureuse d'avoir été invitée. Et surtout, que les gens se rendent compte que pour recevoir, il faut donner. Et donner, c'est un minimum, c'est commenter.
- Speaker #0
Merci, merci Olga. Merci pour ta présence, c'était top.
- Speaker #1
De rien.