- Speaker #0
Mesdames et messieurs, bonsoir, bonjour, vous êtes bienvenus sur le podcast Riche d'expérience avec mon acolyte et ami Nico Pestana sur les réseaux. Comment ça va Nico ?
- Speaker #1
Ça va très bien, on est à la veille de notre seconde édition des rencontres de Riche d'expérience, les rencontres RDX. Donc c'est demain, c'est quasiment full, donc on est très content. Les réservations sont terminées et ça s'annonce bien, en plus il fait beau. Ça va être sympa. Ça va être sympa. C'est vrai qu'on a eu pas grand... Enfin, pas beaucoup de temps pour préparer ça.
- Speaker #0
Ouais, on a fait ça, j'avoue, un peu à cause de moi, on a fait ça quasi en deux semaines. Merci beaucoup à toute la communauté, à tous vos amis qui vont participer. Et franchement, ça touche énormément parce qu'on se dit qu'il y a des gens qui comprennent le message qu'on veut passer. Il y a des gens qui comprennent, qui se disent « Ok, là les gars, au final, ils racontent pas que de la merde. Ils racontent des choses du vécu, de la vraie expérience, et ils vendent pas du rêve. » Comme, tu vois, les trois quarts des choses que tu peux voir et entendre sur Internet. Et nous, ça nous fait ultra plaisir, parce qu'il y a une certaine reconnaissance qui est en train de se mettre en place.
- Speaker #1
Ouais, et puis très bien, parce que ça nous permet de... C'est comme j'ai dit la dernière fois en visu, et puis... On va reconnaître d'autres personnes parce qu'il y a d'autres personnes qu'on ne connaît pas qui vont venir. Donc c'est très bien aussi pour la commune, pour que tout le monde puisse se rencontrer. Et puis voilà, discuter sur les mêmes projets, sur les mêmes thèmes, qui est l'immobilier, l'investissement. Et puis voilà, découvrir vraiment la vie des autres. Et quoi de mieux que de faire des rencontres et puis de passer un bon moment. C'est vrai que c'est sympa, c'est l'été. On va être dans un endroit assez sympa, un petit bullefer, boire un petit pot, on va discuter, on va être au soleil, c'est tout. Franchement,
- Speaker #0
cette semaine-là, je discutais avec des gens qui vont venir, avec des participants qui vont venir à notre rencontre. Et certains me disaient, putain, j'ai mis du temps avant de vraiment devenir fidèle du podcast. Parce que parfois, ce que nous, donc toi et moi, on dit, ça va à l'encontre de ce que d'autres disent. Et en fait, tu te rends compte qu'il y a certaines personnes qui sont encore réfractaires et qui ont des croyances limitantes parce que pour eux, ce qu'on dit, c'est trop long, ça ne va pas du rêve, etc. Alors qu'en fait, la réalité, c'est ça en fait. Ce n'est pas une partie de galère, mais si c'était simple, tout le monde le ferait. Comme à l'époque du LMNP, aux alentours de 2020, les banques étaient... totalement open, tout le monde a vendu du LMNP, les gens se sont engouffrés dedans, et aujourd'hui, bizarrement, la fiscalité, elle s'est renversée, et t'as les gens qui sont là à pleurer, parce qu'au final, ils vont devoir de l'argent aux banques. Et tu vois, nous, on a tout de suite dit, société, les gars, arrêtez de perdre votre temps, au début, tu peux le faire, un ou deux, mais arrêtez de perdre votre temps, si vous voulez vraiment créer quelque chose du patrimoine dans le futur. Il faut vraiment passer en société. Donc pour ça, franchement, merci beaucoup à tous.
- Speaker #1
C'est vrai que c'est vrai que c'est que on dit des choses concrètement, ça prend du temps, comme on l'a expliqué. Et oui, on n'est pas là pour vous raconter des conneries. J'ai encore écouté quelqu'un qui fait des formations ou autre sur ça, qui disait que... Airbnb, c'était fini, c'était de la merde. Arrêtez avec le Airbnb. Quoi dire ?
- Speaker #0
Oui, Flav.
- Speaker #1
Quand j'entends des choses comme ça, de dire et de faire la promotion comme quoi le Airbnb, ça ne sert plus à rien, que c'est de la merde, juste pour vendre une formation derrière sur un autre sujet, c'est une boucle sans fin. Ils sont obligés de se régénérer, de refaire des formations parce que sinon ils n'arrivent plus à vendre, c'est leur business. Et quand j'entends des choses comme ça, ça me fait la rage parce que c'est foutre des choses dans la tête aux gens qui ne sont vraiment pas bonnes. Donc le Airbnb, tout ce qui est location courte durée, c'est très bien quand on le fait bien. Quand on fait les bonnes choses, c'est comme tout, quand vous faites les bonnes choses correctement, ça se passe bien.
- Speaker #0
Mais regarde, les habitudes des consommateurs se sont clairement rendues compte que les hôtels... Alors, je dénigre pas, je critique pas, mais que les hôtels, c'était... Regarde. moi qui ai des airbnb ou les gars la semaine ou les nanas c'est que des professionnels imagine leur employeur et leur donne 80 balles pour la nuit ok tu vas dans un airbnb tu t'en sors pour 60 balles les 20 balles de différence en fait ils se la mettent dans la potes donc ils ont bien compris l'intérêt d'aller vers un airbnb plutôt que d'aller vers dans un hôtel parce que eux aussi sont gagnants et là je t'ai parlé juste des professionnels moi c'est ce qui se passe Aujourd'hui, il y a une clientèle qui a intégré que le logement n'était pas forcément dans les hôtels, mais dans les Airbnb. Tu ne pourras pas arrêter ça du jour au lendemain. Là, la dynamique, elle est tellement lancée. Regarde, aujourd'hui, quand je me déplace et que je prends un Uber, grâce à toi, maintenant, dès que je fais le moindre truc et que je suis obligé, si je n'ai pas de transport, c'est Uber direct. Il y a une habitude. Donc, ce n'est pas terminé, les gars, là ou dans le monde.
- Speaker #1
Attends, mais loin de là, c'est juste le fait de... vouloir vendre une autre formation pour pouvoir faire de l'oseille et de critiquer ce qu'ils vendaient il y a 6 mois ou il y a 2 ans pour dire, voilà, c'est la merde les gars maintenant arrêtez, faites ça que je te vends ça à 3000 balles et dans 6 mois ça va être autre chose comme le marchand de biens,
- Speaker #0
comme la résidence principale on t'a vendu du rêve avec le marchand de biens ceux qui savent faire ok, on peut je vais prendre des pincettes On peut ne pas engager de frais sur certains secteurs en faisant du marchand de biens. On fera un podcast vraiment là-dessus parce que moi j'ai fait un truc et toi aussi tu fais des trucs. Mais c'est vraiment spécifique. Mais ceux qui disent qu'on fait du marchand de biens sans oseille, c'est des mythos. Il faut arrêter de croire les gens. Tu fais certaines opérations où tu vends et tu achètes et tu vends la même journée. Mais il faut certaines connaissances et si ça capote, tu es dans une...
- Speaker #1
ok bon passons nico parce que voilà de ça merci pour le podcast précédent c'est un podcast qu'on a fait tous les deux et ça a beaucoup beaucoup de retours étonnamment de retour a été un petit peu pas freestyle mais voilà on est avec médian on est on est assez on a si facile à la discussion et c'est vrai que on se dit un thème et puis on discute on prépare pas grand chose à l'avancé pour ce genre de podcast là parce que avec Mehdi on arrive à développer c'est des sujets qu'on aime bien et de temps en temps on en fait, donc ça a beaucoup plu, merci à tout le monde aux nouveaux abonnés sur Youtube, ça monte gentiment on a toujours des nouveaux abonnés donc c'est cool, donc voilà, juste pour vous remercier par rapport à ce podcast de la semaine dernière et cette semaine on va parler un peu de l'association C'est vrai que c'est un sujet qui est assez important, qui est assez délicat à la fois. Pourquoi vouloir s'associer ? Dans quelles conditions ? Et qu'est-ce que ça peut vous apporter ? C'est vrai que c'est un sujet qui est assez compliqué, mais qui est à la fois, je dirais, facile, mais qui peut vous faire progresser énormément. Donc il y a des choses à prendre en compte.
- Speaker #0
est-ce que pour toi l'association alors on va pas parler des grosses associations avec des grosses entreprises on va rester sur un budget une globalité 10-15 millions d'euros jusqu'à 10 millions d'euros pour que ce soit est-ce que pour toi il faut être ami ou il faut bien s'entendre avec ses associés en dehors de l'entreprise
- Speaker #1
Moi, tu vois, je vais te dire, moi j'ai toujours fait des affaires, je ne me suis jamais associé, c'est-à-dire que jusqu'à 2021, je m'étais toujours dit, je reste avec mon épouse, on a toujours fait ça ensemble, on ne veut pas d'associé, on veut vraiment diriger nous-mêmes, on a toujours fait ça ensemble, et j'ai toujours refusé, tu vois. Et je me suis associé il y a quelques années, et ça se passe très bien. C'est une découverte, ça se passe bien, il y a eu des bons comme des mauvaises choses, mais ce qui ressort c'est vraiment le cheminement en fait. Le cheminement, comment ça s'est passé, les liens que vous pouvez créer, ce que vous avez gagné, ce que vous avez perdu, et en fait c'est là que vous voyez vraiment la valeur des gens et comment l'association flou. fonctionne en fait et à partir de là tout dépend des personnes mais à partir de là vous savez si vous êtes prêt à être avec quelqu'un ou être tout seul faut savoir savoir s'associer à de bonnes personnes mais il dirait qu'à jamais de bonnes personnes
- Speaker #0
Tu vois, moi...
- Speaker #1
On va en parler, mais...
- Speaker #0
Moi, c'est comme toi, en fait. J'ai jamais voulu... On m'a proposé, mais j'ai jamais voulu m'associer parce que je voulais être le seul décisionnaire. Je voulais faire mes trucs et penser pas forcément... Enfin, je suis associé avec mon épouse. Mais en fait, je voulais tout le temps prendre les décisions. J'ai jamais voulu déléguer, à tort. Mais du coup, ce qui est bien, c'est que pendant les moments où c'est vraiment bas, en fait... tu es le seul décisionnaire. Donc tu vas avoir des actions qui font que toi, tu es le décisionnaire. Pourquoi je dis ça ? C'est parce que quand tout va mal, en fait, on va se révéler. On va savoir si on a un bon gestionnaire, si on a un bon chef d'entreprise. Alors que si tu es en association, si tu es avec quelqu'un et que tu n'as pas vu venir, que la personne a percé moyen, qu'elle dérape complètement, etc. Au final, là, tu es associé. C'est-à-dire que tu es associé. dans les meilleurs moments et pour le pire. Et pour le pire, on parle de bénéfice, on parle de déficit, de dette. Là, ça peut se... Donc, il faut vraiment être avec des gens qui sont câblés comme toi, niveau argent, parce que je le rappelle, les trois sources de conflits principales dans la vie, c'est les meufs, la famille et l'argent. Donc, il faut vraiment...
- Speaker #1
Est-ce qu'il faut après vous le mettre dans l'ordre ? Oui,
- Speaker #0
bien sûr !
- Speaker #1
Chacun a un ordre différent.
- Speaker #0
Totalement. Mais voilà, c'est toujours pareil. C'est toujours les meufs, la famille et la thune. Et là, tu vois, il y a des tests à faire. Moi, je sais qu'avec des gens, parfois, je fais exprès de donner, ou de payer, par exemple, un truc tout con, mais avec des gens avec qui je vais être amené à travailler, notamment les artisans, moi, très souvent, en fait, je donne. Et j'attends de voir si, tu vois, ils changent sur le chantier, ils prennent la confiance, etc. Et je sais que, par exemple, si j'amène, comme je fais très souvent sur les chantiers, moi j'amène les cafés, j'amène... Je les mets bien, les gens. Et je vois, en fait, j'observe si le chantier, il écrase, si, en fait, au fur et à mesure du déjour, les mecs, ils prennent plus la confiance, etc. Et là, je sais que si ça part comme ça, c'est que c'est pas forcément bon. Il faut soit que je recadre, ou soit vraiment aller next et quelqu'un d'autre. Dans l'association, c'est un peu comme ça. Et tu vois, là on va parler de nous. Quand en fait on s'est rencontrés, il y avait des valeurs qui étaient communes. Les valeurs de la famille, les valeurs de l'argent. On sait que tous les deux, on a tellement galéré, on a tellement fait ça en famille. Quand je dis famille, c'est avec nos femmes et nos parents, tu vois. Qu'au final, on s'est retrouvés sur cet équilibre-là. Et vas-y, j'arrête de parler. À toi Nico.
- Speaker #1
Je suis d'accord. Avant de développer un peu ça, je voudrais venir sur la base. Pourquoi on s'associe ? Il y a plusieurs manières, il y a plusieurs raisons. Je vois dans le fait de s'associer, pourquoi pas, tu as une connaissance, un ami qui vient, qui te propose un projet, parce que lui, il est en galère, il ne peut pas financièrement, ou qu'il est vraiment au taquet, donc il a besoin d'un apport financier, ou même d'une personne. A deux, c'est plus facile, donc il va vouloir s'associer avec vous. Vous avez aussi le fait que vous, par vous-même, vous ne pouvez plus investir parce que vous êtes au taquet d'endettement, vous êtes obligé de créer une société, et que les montants sont élevés, et que financièrement, c'est un peu compliqué. Et pour des très bons projets, on va essayer de trouver quelqu'un qui puisse vous amener soit de l'apport financier, soit des connaissances, mais surtout à... un confort et une stabilité auprès de les banques pour pouvoir lever la dette et pouvoir acheter ce que vous avez besoin d'acheter. Donc il y a ces solutions-là, ou vraiment diversifier un maximum, c'est-à-dire vraiment, vous avez plusieurs personnes que vous connaissez, qui font à peu près comme vous, et vous vous associez sur un projet avec une personne, un autre projet avec d'autres personnes, et ainsi de suite, vous diversifiez, même si c'est des petites sommes. ça vous fait prendre un petit peu de tous les côtés en fait. Et ce qui est bien, moi c'est ce que je ne voyais pas dans l'association, c'était ça. Je ne voyais pas ce qu'on pouvait avoir en retour grâce à ça. Et c'est vrai que c'était bien l'association parce que vous pouvez vous développer beaucoup plus rapidement. Certes, vous divisez les bénéfices, mais vous développez beaucoup plus rapidement, que ce soit dans le business ou l'immobilier, dans l'investissement ou autre. Donc c'est une bonne solution, ça peut être une très bonne solution. Après c'est vrai qu'avec Medi, on a les mêmes valeurs, chacun a ses qualités, chacun a ses défauts. Donc il ne faut pas qu'on soit tous les deux pareils, sinon ça ne sert à rien. Il faut que l'un compense l'autre, chacun apporte ses qualités. Mais c'est vrai qu'il faut vraiment être câblé et partir sur des bases strictes, c'est-à-dire vous mettez les choses à plat, vous partez en association, que ce soit avec quelqu'un que vous connaissez ou pas beaucoup, ou un ami ou de la famille, il faut que ce soit les bases. Il y a un coup dur, on est là. On gagne de l'argent, tout le monde est content, tout le monde sourit. Quand il y a un problème, vous êtes là, il faut assumer. Et derrière, il faut aller jusqu'au bout, il faut aller à la guerre. Donc il y a des choses à mettre en place. Mais l'association, ça peut être un très bon moyen de gagner un peu plus et surtout de vous développer très rapidement.
- Speaker #0
Après, tu vois, on va rentrer un peu plus dans les domaines techniques. L'association. en entreprise. Dans l'immobilier, vous avez la possibilité soit d'être associé dans une SCI ou soit d'être associé en fonction de ce que vous faites, SAS, SASU, enfin pas SASU, pardon, SAS ou SARL. Ça, c'est après, on ne va pas trop parler de ça. Les statuts des entreprises. Les statuts des entreprises, c'est ce qui va gérer, en fait, tout le fonctionnement de l'entreprise, le règlement intérieur, si je puis dire, on va rester vague. Par contre, il y a quelque chose, quand vous êtes plusieurs associés, il y a quelque chose qui va venir qui ne va pas être public. Les statuts d'une entreprise, donc le règlement, entre guillemets, intérieur de l'entreprise, et pour que les gens comprennent ce que va faire l'entreprise, la vente, etc., ou des travaux, peu importe, le domaine, tout est marqué dans ça. Ça, c'est public. À côté de ça, quand vous êtes plusieurs associés, il va y avoir un truc qui va s'appeler le pacte d'associés. Et le pacte d'associés, en fait, ça va être un peu la loi. Ouais, voilà, le règlement des échanges, que ce soit financiers, de titres, de qui va faire quoi, dans mes disques confidentiels. Donc c'est-à-dire que, par exemple, moi, Nico, voilà, Nico va faire plus les travaux, moi je vais plus faire tout ce qui est gestion, ainsi de suite. Ça, en fait, dans le pacte d'associés, vous allez tout de suite pouvoir le mettre en place. Et vous allez voir, je vais vous donner plusieurs clauses. qui va vous permettre, par exemple, si vous êtes les gens qui vont plus faire les travaux par rapport à d'autres qui vont arriver plus avec de l'argent, vous avez moyen par rapport à des clauses que vous allez mettre dans le pacte d'associés de pouvoir être rétribué et de pouvoir coucher des dividendes ou des bénéfices à la même hauteur que quelqu'un qui n'a mis que de l'argent et qui n'a pas apporté une connaissance, qui n'a pas apporté les travaux. Tu veux développer un peu là-dessus ou pas ?
- Speaker #1
Non, tu peux continuer.
- Speaker #0
Par exemple, il y a un truc qui est tout bête. Quand vous faites un pacte d'associés, vous allez faire ce qu'on appelle une clause d'agrément. Cette clause d'agrément, imaginez, nous on fait une société avec Nico, on n'est que deux. Et pour x ou y raison, moi je ne veux pas qu'il y ait un troisième associé qui rentre. Donc qu'est-ce que je vais faire ? Je vais mettre cette fameuse clause. La clause, elle va dire, ok Nico, je ne veux pas qu'il y ait de troisième associé. Et lui, dès le départ, il sera au courant. Mais après, bien sûr, on peut modifier, c'est évolutif, etc. Mais en tout cas, la clause, elle est là pour me protéger, moi, ou le protéger, lui. Ok, personne d'autre entre. Il y a la clause de préemption. Tout le monde connaît sur les bâtiments la préemption. Tu vois, la mairie, elle arrive. En fait, tu vends ta maison ou ton appartement. La mairie arrive, elle préempte. Et du coup, aux mêmes conditions que celles de ton acquéreur, en fait, elle récupère le bien. En fait, dans une société, c'est exactement pareil. La priorité, elle va être au... au fondateur de l'entreprise. Concrètement, avec Nico, on a une société. Nico, ou peu importe, quelqu'un d'autre veut entrer dans la société. Moi, je dis hop, hop, hop, Nico, tu vends pas ses parts à lui, tu les vends à moi, je suis prioritaire. Clause de préemption. Après, il y a une clause que moi, j'ai mise dans ma société pour mes filles. Et alors, pour les enfants. Quand vous avez une société et que, par exemple, après, l'objectif, c'est de leur donner la société, de leur donner... Plus tard, on fera une émission, un podcast sur les donations partages, etc. Parce que c'est super intéressant et il faut que vous sachiez, par rapport à la succession, l'intérêt que ça a. Donc, je reviens sur ma société. J'ai ma société, j'ai mes filles qui sont associées minoritaires dans ma société et j'en ai une qui a 18 ans. Elle va se trouver un mec. Et le mec, en fait, elle va se marier avec lui. et bien en fait moi je vais avoir une clause qui s'appelle la clause d'ignabilité tu connais ça ?
- Speaker #1
oh j'ai arrêté le mot
- Speaker #0
En fait, j'ai mis cette clause-là dans ma société pour ne pas que son mec vienne foutre la merde dans mes parts. Parce que s'il est marié et qu'il est marié sous le régime de la communauté, et que moi, après, je transfère encore plus de parts à ma fille, après le mariage, je peux éventuellement peut-être... Donc moi, hop, c'est bloqué. C'est je suis là, ma fille a ça, et c'est verrouillé. Et ça, ça peut aussi faire partie des associés. Je fais une petite pause sur les clauses.
- Speaker #1
C'est vrai que la clause, après, tu peux en mettre.
- Speaker #0
Tu peux en mettre, voilà. Il y a un truc qui vient sortir que je vais... C'est super intéressant, mais je vais...
- Speaker #1
Mais ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que quand vous vous associez avec quelqu'un que vous ne connaissez pas forcément bien, parce que comme Mehdi, nous, on s'est rencontrés à un événement, ça peut arriver que vous rencontriez quelqu'un et il a un projet. Ah bah ouais. vous vous entendez super bien, mais vous ne nous connaissez pas. Vous nous connaissez dans la bulle où vous vous êtes rencontrés. Le mieux pour moi, c'est des conseils que je donne, qui sont assez pertinents. Si vous voulez vraiment vous associer avec quelqu'un et que vous ne le connaissez pas forcément depuis longtemps, vous ne l'avez jamais vu dans la vraie vie, vous partez 3-4 jours en week-end, même si vous êtes plusieurs associés. Partez à 2, 3, si vous êtes 3 ou même 4. Partez en week-end, passez un week-end ensemble. Le mieux, c'est de partir un peu à la dure, type un peu camping. Vous allez faire une randonnée, vous dormez à la belle étoile, à la Dermac. Et vous allez voir comment ça se passe. C'est vrai qu'on n'a pas le confort. Au niveau nourriture, on ne peut pas manger tout ce qu'on veut. On est fatigué ou autre. Là, vous allez voir la vraie personnalité des gens. Avec la fatigue, ça va ressortir. Et c'est là que vous allez pouvoir vous rendre compte dans la difficulté si la personne est câblée un peu comme vous, si elle va aller au charbon et qu'elle va se démener pour pouvoir passer le bon week-end, et que même si c'est fatiguant ou autre, voilà, elle va tout donner. Si c'est le contraire, ça commence à rechigner, à pignoler pour le moindre petit problème. Ça risque d'être compliqué quand il y aura des gros problèmes d'argent. Parce que les problèmes qui vont se passer, c'est les problèmes d'argent. ne cherchez pas. S'il y a des problèmes d'argent, c'est là que vous voyez la vraie nature des gens. Donc ça, c'est important parce que ça peut aller très loin, ça peut vous mettre vraiment dans la merde financièrement. Donc faites attention avec qui vous vous associez, parce que comme dans les bons et les mauvaises à côté, il y a un gouffre entre les deux. Quand tout va bien, c'est nickel, quand ça va mal, il y en a beaucoup qui boitent.
- Speaker #0
Si vous faites du locatif et que, par exemple, vous êtes trois et que dans les trois, il y en a deux qui sont nerveux et un qui est plutôt calme, n'allez pas mettre les deux nerveux dans la gestion locative parce que ça va créer des conflits avec les locataires. Mettez plutôt la personne qui est relativement calme, qui ne se vexe pas, etc. Parce que la gestion locative, que ce soit du commercial ou que ce soit du résidentiel, les locataires ne sont pas forcément toujours bienveillants. Donc si vous envoyez tout de suite les nerveux, à part créer tout de suite une situation conflictuelle, essayez aussi par rapport au caractère de vos associés de trouver qui fait quoi. Là par exemple Nico, lui c'est les travaux, mais moi aussi j'en fais des travaux. Après lui il ne va pas se fracasser non plus dans certains trucs. Par exemple de la démol, je ne vais pas envoyer Nico sur de la démol. Si vraiment c'est un projet que nous on fait, si on délègue toute la partie travaux bien évidemment. Mais voilà, à un moment, il faut être aussi... C'est pas parce que lui fait tous les travaux que lui s'occupe des travaux, que je vais laisser tout faire. Ça, il faut aussi pas créer de conflits dans ce sens-là. C'est super important d'avoir de l'empathie pour ses associés, de comprendre, en fait, les moments de saturation. Parce que tu vois, il y a des moments aussi dans la vie privée qui vont arriver, qui vont peut-être affecter ce que toi, tu vas avoir comme relation en tant qu'associé. Ça, il faut être vachement alerte. Parce qu'une association, c'est un mariage, les gars. Ou mesdames. C'est un mariage. Donc, il faut vraiment... Voilà. Et pareil pour la comptabilité. La comptabilité, si vous avez un associé qui s'occupe de la comptabilité, il ne faut pas lui mettre de pression. La comptabilité, c'est quelque chose... La fiscalité, etc., ça change tout le temps. Donc, la confiance n'exclut pas le contrôle. Mais vous devez aussi, en tant qu'associé, avoir un œil sur les chiffres.
- Speaker #1
C'est très important. C'est ce qu'il faut faire, il faut vraiment avoir un oeil sur tout. De toute manière, la clé, c'est la gestion, la gestion humaine avec son associé et la gestion stable. Et c'est ça le plus important. Si vous mettez les choses au clair dès le début, qui fait quoi dès le départ, il n'y aura pas de problème. Vous mettez les choses au clair, s'il se passe tel ou tel problème, qu'est-ce qui peut arriver les plus graves ? Je vous dis bien encore les plus graves. En fonction de ce que vous investissez, si par exemple vous investissez 100, ça coûte 100, il faut vous dire que s'il y a un problème, ça va nous coûter 100. Est-ce que je suis capable derrière moi d'assumer la moitié ? Ça, c'est très important à prendre en compte. C'est vraiment très important parce que des fois, on ne pense pas. C'est vrai que quand tu pars sur des projets, tu penses au positif. Tu vois ce que je veux dire ? Tu te dis, bon, ça, je vais gagner tant. J'ai 30 % de rentabilité. Ça va me faire tant. Si je refais remonter les débits, enfin voilà. Tu calcules, tu te dis, bon, j'aurai ça dans la poche, c'est cool. Mais on ne pense jamais au négatif, au problème. Et moi, j'ai toujours tendance. à penser toujours au problème parce que le problème pensez à la sortie exactement parce que le positif ça sera toujours bien quoi qu'il arrive tu seras toujours content tu vas sourire le négatif on y pense moins il faut toujours penser au négatif toujours penser au problème qu'on peut avoir en fonction de ce que vous allez faire comme projet c'est
- Speaker #0
très important vous avez la clause d'exclusion La clause d'exclusion, c'est une clause qui va vous permettre de mettre à la porte un associé. Après, je vous laisse vous renseigner, mais quand vous êtes plusieurs, deux, trois, éventuellement plus, en fait, s'il y en a un qui fait de la merde et qui peut mettre en péril, en danger la société, grâce à la clause d'exclusion, avec certains critères, vous allez pouvoir, en lui rachetant ses parts, en l'obligeant en fait de racheter ses parts, hop, allez, il se barre. Pensez à la sortie. Et pour ça, vous avez plusieurs clauses. Vous avez la clause, on va le dire en américain, parce qu'en fait, en anglais, parce que cette clause-là, il n'y en a pas beaucoup qui la mettent, et pourtant, elle est ultra importante. C'est la buy or sell. Donc, imaginons que ça se passe mal avec un de vos associés, vous l'obligez à vendre ses parts ou à vous racheter vos parts. Et comme ça, l'association s'arrête net. C'est soit ils rachètent, soit ils vendent. Il n'y a pas d'autre solution. Et ça s'appelle en anglais « buy or sell » . Vous avez aussi la possibilité, si vous vendez votre société, et qu'il y a des associés qui sont minoritaires, etc., vous avez, alors celle-là, c'est une sortie forcée. Vous avez la sortie forcée. En fait, si vous êtes actionnaire majoritaire dans une société et que vous avez des petits actionnaires, eux, ils ne pourront pas vous bloquer. Par contre, ils auront... le prix de vente sera en accord avec ce que eux vont toucher. Ce que vous allez toucher, eux, par rapport à leur part, ils vont toucher pareil, aux mêmes conditions. Pas pareil, mais aux mêmes conditions. Il y a plein de clauses qu'il faut intégrer dans un pacte d'associés pour vraiment vous protéger, que ce soit à l'entrée, pendant et à la sortie. Petit tips pour les actionnaires minoritaires. Je répète, des gens qui vont arriver, qui vont s'associer avec que... Les profils, ça va être genre, il y en a un qui ramène l'argent et l'autre qui va tout faire mais qui ramène zéro aux ailes. Vous avez ce qu'on appelle les clauses antidilution et la répartition des bénéfices. Ces clauses-là, elles vont obliger l'actionnaire majoritaire de ne pas pouvoir diluer le capital. C'est-à-dire, en fait, lui, s'il veut, si ça fonctionne bien au bout de quelques temps et qu'il veut, en fait, augmenter ses parts, son capital. En fait, ça ne va pas diluer, ça ne va pas baisser votre part de capital, parce que lui va prendre plus de part dans la société. Je ne sais pas si j'arrive à me faire comprendre, mais... Et pareil, pour la cause que j'ai citée, la répartition de bénéfices. L'actionnaire majoritaire, il va être dans l'obligation de vous verser, de faire, de valider le montant, vu qu'il est majoritaire dans la société, de valider le montant des dividendes, pour que vous touchiez une partie avantageuse des bénéfices, même si à la base, vous n'avez pas mis d'argent. Donc ces deux clauses, il faut les noter si vous n'apportez pas autant d'argent dans le capital que l'autre.
- Speaker #1
Après, vous pouvez faire le pacte d'associés via un avocat.
- Speaker #0
Oui,
- Speaker #1
bien sûr. Vous faites accompagner par un avocat. Et pour le bien des associés, vous me mettre plus de choses que pas assez. Là, c'est vraiment le conseil qu'on vous donne. Après, au niveau de l'association... Combien de personnes avec qui vous pouvez vous associer sur un projet ? C'est vrai que c'est une question qui est assez pertinente parce qu'on ne sait pas trop. Moi, je ne sais pas si ça vaut le coup d'être à plusieurs, au-delà de trois. 4
- Speaker #0
Je ne sais pas.
- Speaker #1
C'est beaucoup, là. Ça commence à faire...
- Speaker #0
Je ne sais pas. Deux, deux, deux. Deux, voire trois sur un projet, voilà. T'as un projet qui est un peu complexe. Pourquoi pas deux ? Enfin, deux, c'est le minimum.
- Speaker #1
Réservation, mec. Get la réservation.
- Speaker #0
On ne voit pas, là. Je ne vois pas. Tu ne vois pas ? Vas-y, monte, monte, monte. Monte un peu. Non, attends, j'ai... C'est bien, ça.
- Speaker #1
Punaise, mon gars. Alors, écoutez, les amis. Voilà, le Airbnb ne marche pas. Je viens d'obtenir une réservation pour 1164,15 euros. Bon, écoute, voilà, champagne. Pendant le podcast. Alors là, franchement, ceux qui ne me croient pas, allez sur YouTube. J'ai montré, là, je viens juste d'avoir la réservation. Je suis comme un ouf.
- Speaker #0
C'est bon, ça.
- Speaker #1
Ah, super.
- Speaker #0
Voilà.
- Speaker #1
Désolé.
- Speaker #0
Je vais laisser les dépanneurs. Oui, toi, d'après toi, on vient d'associer Max. Vraiment, Max.
- Speaker #1
Alors, je suis partagé. Pourquoi ? Parce que de plus en plus de formateurs IMO et de plus en plus de trucs, tu sais, en fait, ils vont monter, ils vont chercher les projets. Et après, ça va faire comme certains qui se financent par, en fait, ils créent une société, ils trouvent un projet et puis derrière, en fait, ils ouvrent le capital ou du moins des parts soit à des élèves de formation. ou voilà comme ça tu vois et toi tu peux rentrer soit au capital ou soit acheter des ou de lever de la fin le la personne qui fait l'opération elle a de la dette tu vois être en bourse sous intérêt un peu comme officiel toi t'es la banque en fait donc je suis partagé moi je pense que sincèrement 2 3 max au delà et chacun chacun ses compétences et tu peux pas il faut pas créer de On mélange pas certains trucs. T'es dit, vraiment, tu vois, moi, je pars du principe où quand ça part en gris, si tu te retrouves avec des gens qui perdent leur... Enfin, moi, je stresse rarement, tu vois. Quelqu'un qui perd son calme, etc., il va te rajouter plus de problèmes que de solutions, tu vois. Donc...
- Speaker #0
Je suis d'accord avec toi. Trois, c'est vraiment le max.
- Speaker #1
Ouais, c'est vraiment le max.
- Speaker #0
Vraiment sur un projet, voilà, un projet précis, voilà, le montant, il est peut-être un petit peu élevé. Pourquoi pas, tu vois, mais juste sur un projet. Après, c'est vrai que... Peut-être qu'il y a des gens qui nous écoutent qui sont associés à plusieurs et que tout se passe bien. Mais c'est vrai qu'en binôme, c'est très bien. Quand t'es trois, il faut vraiment bien connaître les personnes. Il faut vraiment être bien...
- Speaker #1
L'avantage d'être trois, c'est qu'il n'y a pas de 50-50. Ça, vraiment, c'est cool. Mais après, tu vois, vu qu'on est... Nous, ce n'est pas pareil. Après, il y a des gens qui vont s'associer à 10, 15. En fait, si sur les 10, 15, tu n'en as que deux qui gèrent et que les autres, c'est juste des apporteurs d'oseille, bon, vas-y. Oui,
- Speaker #0
c'est vrai que c'est vrai.
- Speaker #1
Ce que je veux, moi, tu vois, ce n'est pas ce que je veux. Moi, je veux en fait que l'investissement de chacun soit à hauteur du projet. C'est-à-dire que ce n'est pas parce que tu amènes de l'oseille que tu vas avoir des exigences, mais que derrière, en fait, tu es sur ton canapé, tu attends que ça tombe. Moi, ça, je n'arrive pas à concevoir.
- Speaker #0
mais après chacun fait comme il veut sinon tu prends des CPI et là ce sera pareil chacun fait comme il veut après c'est vrai qu'on a beaucoup qui sont forts là-dedans et qui ont juste besoin d'un apporteur financier donc il va y avoir un associé lui va apporter le financement il y a des clauses qui seront dans le pack d'associés et c'est l'autre associé qui gère tout je pense que ça se fait beaucoup aussi mais pas à 15 non à 15 Non, parce que tu auras toujours une ou deux personnes qui ne vont rien faire. Et qui vont polluer les eaux. Donc voilà, après, moi, je sais que le maximum, 3. Après, 2, c'est très bien. 2, c'est bien. Pour vous développer, pour aller plus vite, c'est bien. Il faut s'associer pour certains projets. Après, vous pouvez faire des projets minimes au début, des petits projets pour voir comment ça se passe. Si ça va bien se passer déjà au niveau des vieux associés.
- Speaker #1
Faites du simple au début. Ne vous compliquez pas la vie. Tu vois, il y a des gens qui se compliquent trop la vie. Faites du simple. Un truc que vous allez pouvoir scaler, que vous allez pouvoir reproduire de façon totalement simple et safe. Et vous le faites deux, trois fois. Une fois que vous avez appris, vous passez à l'étape du dessus. Ainsi de suite, ainsi de suite. Ne vous lancez pas dans des trucs de compliqués, de divisions, de machins. Faites du simple, du basique, comme Aurel San le dit. Plus c'est simple. C'est quoi déjà ? Tellement les cons. Le simple,
- Speaker #0
le basique. Le simple,
- Speaker #1
le basique. Faites du simple.
- Speaker #0
Exactement, le plus simple et après vous verrez en fonction de... ou des business, comment ça se passe. Vraiment, il faut y aller crescendo. Moi, c'est ce que je conseillerais. Vraiment. C'est ce que je conseillerais.
- Speaker #1
Écoute, oui, total. Je pense qu'on a fait le tour.
- Speaker #0
Oui, voilà. On a voulu parler un peu de ça. Je pense que ce n'est pas trop mal. C'est vrai que c'est un sujet qui est assez récurrent parce qu'on voit beaucoup de personnes, même autour de nous, qui s'associent beaucoup. Donc, Donc... Après, il y a des choses à mettre en place. Et moi, je pense que le mieux, vraiment, c'est de privilégier le dialogue. Toujours privilégier le dialogue. Écoutez les personnes. Si vous êtes en désaccord, vous mettez les choses à la place.
- Speaker #1
On est souvent en désaccord.
- Speaker #0
Oui, on est souvent en désaccord. Mais souvent, non. Ça arrive de temps en temps.
- Speaker #1
Je veux dire, ça arrive de temps en temps. Mais au final, on a le droit. Non, on continue des choses. En fait, nous, on est tous les deux dans la com, donc c'est vrai que... Voilà. Bon, voilà. Bon podcast. Semaine prochaine, on part en vacances. Quand je dis en vacances, c'est qu'on part pas en vacances physiquement. Mais Nico, vous avez parlé d'un truc sur le dernier podcast. Eh bien, nous, on met en action. Donc, semaine prochaine, est-ce qu'on dit le pays ou pas ?
- Speaker #0
On peut dire le pays. Voilà. Enfin, je te dis. Voilà. Chaque semaine avant, on dira le pays où on va.
- Speaker #1
Exactement. Semaine prochaine, on part au Portugal. Donc avec Nico, on a une bonne connaissance qui est agent immobilier franco-portugaise, qui fait du luxe en France et qui fait du Portugal. Et du coup, elle va un petit peu nous parler de comment acheter, comment trouver des pépites au Portugal et aussi en France, vu qu'elle est dans le secteur de Courchevel. Donc voilà, donc Elisabeth sera notre invitée. Et puis, pour tout ça, je vous remercie beaucoup. N'oubliez pas, on peut encore ouvrir quelques places, on ne sait jamais. Si vous voulez venir et qu'on est jeudi, demain, c'est le 11 juillet, commune de Ferrer-en-Brie, dans le 77, près de Disney. On n'est plus devant. Et je crois qu'il va nous rester une ou deux places jusqu'à demain.
- Speaker #0
Il va rester quelques places. Donc voilà, si vous écoutez le podcast et que vous voulez venir, envoyez un petit DM. On pourra prendre une ou deux réserves en plus. Ça, il n'y a pas de problème. Mais il va falloir être rapide. Et pour tout ça, on vous remercie d'avoir écouté jusqu'à la fin. N'hésitez pas à nous envoyer un petit DM pour l'événement demain si vous voulez venir. Comme d'habitude, des petites notes sur chaque plateforme. Un petit pouce sur YouTube. Un petit commentaire, ça fait toujours plaisir. Et on se dit à la semaine prochaine. On va voyager un petit peu. On va aller au soleil, au bord de la mer. Et on va parler un peu immobilier au Portugal. Voir comment on fait, comment on investit, quel papier, comment ça se passe. notaire, pas notaire, avocat, pas avocat, on va tout vous expliquer comment investir au Portugal. Merci à vous, passez une bonne soirée, une bonne journée, et nous on se dit à demain, les Rencontres RDX. Je vous dis bonne journée et à bientôt.
- Speaker #1
Bye bye les amis.
