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SATORI

Le conseil choc que m'a donné un millionnaire - JDB#13

Le conseil choc que m'a donné un millionnaire - JDB#13

56min |18/03/2025
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56min |18/03/2025
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Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs


SUJETS ABORDÉS :

  • Ma rencontre avec un riche et son conseil surprenant sur la générosité

  • Le passage à l'action et l'effet d'entraînement d'un groupe

  • Comment saisir les opportunités qui se présentent : L'importance des signes de la vie

  • Trouver son lieu idéal : Le dilemme entre vivre en ville ou en nature

  • Le piège de la comparaison avec les mauvais paramètres

  • Le jeu de dés comme pratique de manifestation et de contrôle des pensées




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, comment tu vas ? Comment s'est passée ta petite semaine ? Moi, je vais pas te le cacher, j'ai passé une semaine absolument délicieusement, incroyablement agréable. Franchement, Bali, quand tu y viens souvent parce que t'es perdu, t'es dans un moment de ta vie, tu sais pas, tu viens de te séparer, tu viens de quitter ton job, tu as besoin de soleil, t'es déprimé, et quand t'es vraiment perdu, tu sais pas quoi, tu peux te perdre encore plus, je sais. c'est ce qui m'est arrivé la dernière fois mais quand tu sais pourquoi tu viens holy shit quand même surtout Pérérénane c'est vraiment la zone où tu as encore ce côté un peu nature, isière, cool avec tous les petits trucs un peu sympas qu'on aime bien en tant qu'occidental dans cette zone et waouh c'était une semaine incroyable que je vais te raconter tout de suite dans ce nouveau journal de bord et cette semaine je vais te parler d'une rencontre que j'ai fait très bri... Très bref, vraiment j'étais à un café, il y avait un mec en face de moi et je lui ai posé la question genre, excusez-moi vous avez être une personne très expérimentée dans la vie et qu'est-ce que vous auriez aimé recevoir comme conseil dans votre quarantaine que vous n'avez pas reçu ? Et sa réponse m'a vraiment, vraiment étonné. Ensuite, je te parlerai d'une histoire qui s'est passée dans le cercle des solopreneurs et sur le passage à l'action. la puissance du passage à l'action par le groupe. Et j'étais moi-même, je suis un peu dépassé par ce qui se passe dans ce cercle. Et cette communauté, c'est tellement beau. Je suis un peu genre, OK, OK, vous vous êtes chauffé là, les gars. C'est bon, bah super, ça me va. Du coup, derrière, j'aimerais aussi te parler des signes de la vie, chose auquel je crois beaucoup. Et quand je dis signes de la vie, finalement, c'est saisir l'opportunité quand elle se présente sans se poser trop de questions. et que finalement l'opportunité arrive un peu quand on en a besoin, comment la reconnaître, comment la saisir, comment dire non. C'est de ça que j'aimerais te parler aussi dans ce nouveau journal de bord. Et puis ensuite j'enchaînerai sur ma journée, que j'ai passée dans des rizières classées au patrimoine de UNESCO, qui m'a fait vraiment me poser des questions sur mon lieu de vie, tiraillé entre la ville, la stimulation de la ville, la culture, les commodités. et la nature, là où je me sens bien, mais peut-être un peu plus isolé. Bref, c'est un débat que j'ai dans ma tête depuis des années. Je commence à y voir le bout et je voulais partager ces réflexions-là parce que peut-être que ça va résonner. Je voulais aussi te parler d'une réussite qu'il y a eu dans mon collectif et d'une qui a moins réussi, mais justement, qui n'a pas réussi sur des critères qui ne sont pas les bons. Parce que je sais que le problème... quand on est dans l'entrepreneuriat, peu importe son niveau, c'est qu'on se compare. Et en général, on ne se compare pas du tout avec les bons critères. Ce qui fait que c'est comme si tu faisais un bilan de ta société et que si tu ne prends pas les bons critères d'analyse, tu as l'impression que tu as fait une année de merde alors que ce n'est peut-être pas vrai. Parce qu'il faut savoir analyser les bons chiffres et les comparer aux bonnes années et aux bons KPI, donc vraiment les chiffres clés qui font du sens. Et évidemment, je terminerai par un petit fun fact très sympa. Ce sera sur la thématique du jeu de dés et tu vas voir que... Bref, je t'en dis pas plus, c'est parti pour ce nouveau journal de bord. Je suis à 7AM, le genre de petit café qu'on adore à Bali. Tu sais, les grandes baies vitrées, vitres teintées, il y a une petite ambiance tamisée, il y a des grands fauteuils, des grands canapés en cuir. On est dans vraiment ce petit café un peu modern design qu'on aime bien. Et je suis sur une table, mais tu sais, vu que j'étais tout seul, j'ai pas pu avoir les gros canapés pour les groupes. Je suis sur les tables un peu plus en hauteur, sur les grands tabourets de bar. Et en face de moi, il y a un homme, je dirais entre 60 et 70 ans, mais classe un peu. Petit bermuda, petit mocassin qui vont bien, la boule à zéro, mais juste les cheveux blancs, mais avec un petit millimètre de cheveux, des grosses lunettes noires, et son téléphone, et tu sens qu'il est absorbé, et tu sens que le mec, en fait, il connaît la vie. Il est à l'aise. Il est assuré, il a de l'aisance, il est... Il est préoccupé par ce qu'il fait, mais tu sais qu'il est préoccupé parce qu'il a aussi le contrôle de ce qu'il fait. Je ne sais pas, je ressentais un truc. Et en général, quand on voit des gens qui ont de l'expérience, qui ont de la valeur, qui ont accompli quelque chose qu'on aimerait ou qu'on n'a pas encore fait, je trouve ça incroyable de pouvoir avoir une conversation avec ces gens-là, mais en général, on n'ose pas en fait. On n'ose pas déranger, on n'ose pas, la personne est en train de faire quelque chose. Et moi c'est vraiment ce truc qu'on a ancré quand j'étais petit, que j'essaie de me débarrasser, c'est vraiment la peur de déranger. Alors que quand tu viens en vrai avec une belle énergie, un sourire, pourquoi pas un compliment pour amorcer la conversation, c'est rare que tu déranges. Au pire, on te dit qu'on n'est pas disponible, mais c'est pas un embêtement, c'est juste que là je ne peux pas. Et j'ai ça qui tourne dans ma tête parce que j'ai évidemment des années de voyage derrière moi et autant te dire que déranger et aller aux rencontres des tribus, des locaux, des expériences, des marchés, des ce que tu veux, j'en ai fait des dizaines et des dizaines et des dizaines de fois, c'était à chaque fois incroyable. Et à chaque fois, ce que je disais à mes potes, c'est à chaque fois que je me suis bougé le cul et que j'ai surmonté soit ma flemme, soit ma peur, il m'arrivait des choses incroyables. Et je dirais que ça fait un petit bout de temps que... je voyage plus avec autant d'intensité et comme n'importe quel muscle qui travaille plus, il perd un petit peu de sa forme, de sa pêche et de son panache. Et je suis là en train de me dire, j'ai trop envie de lui poser la question, je sens qu'il a de l'expérience, je sais pas, j'ai une question qui me vient en tête, je lui pose, je lui pose pas, dans la tête je me dis, si tu cogites, je me vois être un débutant, tu sais, c'est un peu comme si, je l'aborde cette fille, je l'aborde pas, j'ai peur, mais si je l'embête, mais si elle me recale, ouais mais en fait, si en fait t'es souriant et que c'est sympa et que... et puis qu'il y a un match, le pire, tu repars avec un rendez-vous et c'est peut-être la fin de ta vie, j'en sais rien. Et là, si tu sens qu'il y a quelqu'un qui peut t'apporter quelque chose, que tu y vas avec, encore une fois, la bonne énergie, le sourire, peut-être que la réponse qu'il va donner à la question qui te démange va peut-être changer ta vie. Et je me suis dit, bon, ok, je lève la tête, je fais, excusez-moi. Il était vraiment sur la table en face, en diagonale. Je dis, excusez-moi. Je dis en anglais, évidemment, mais je dis, vous avez l'air d'un homme plein d'expérience. Quel est le conseil que vous auriez aimé recevoir dans votre quarantaine, que vous n'avez pas reçu ? Il frise, il me regarde, il me dit « Waouh ! » Dans sa tête, je me dis « C'est quoi cette question ? » Mais en fait, il prend ce que j'ai aimé. Et c'est là où tu vois les gens de valeur. C'est que tu sens quand la question vient du cœur et que tu sens que tu ne la penses pas en « Salut, coucou, vous plaisez à Bali ? » Non, en fait, tu sais que le mec n'a pas le time. Vas-y, on y va. Il me regarde. Il réfléchit, il met les yeux sur le côté, vers le ciel. Il me donne une réponse auquel je ne m'attendais pas du tout. Il m'a dit, j'aurais aimé qu'on me dise de ne pas être aussi généreux que j'aurais pensé l'être. Que j'aurais aimé penser pouvoir l'être. Et je dis, je ne comprends pas, c'est-à-dire ? Il dit, en fait, je n'ai jamais eu de problème. à faire plein d'argent, des millions de dollars. Donc direct, je me dis, OK, c'est bien ce que je pensais. C'est un mec qui pèse, même si ça ne se voyait pas vestimentairement, mais dans ses yeux. Il me dit, j'ai toujours voulu être très généreux avec ma famille, avec mes amis, et j'aurais donné beaucoup. Et il m'a dit, d'une certaine façon, ils ne me l'ont jamais vraiment rendu à hauteur de ce que j'aurais aimé ou de ce que j'attendais d'une certaine façon. Et il m'a dit... Quand tu investis, parce que je lui ai dit, mais du coup, qu'est-ce qu'il faut faire ? Il m'a dit, mais quand tu investis ton argent déjà, arrête de... Il dit, moi j'ai toujours été très bon pour gagner de l'argent, mais encore une fois, très mauvais pour l'investir. Et en plus, j'étais très généreux, là où il ne fallait peut-être pas toujours. Il m'a dit, quand tu investis ton argent, investis-le avec des professionnels, dont c'est le job, tu les payes cher pour ça, mais tu sais ce que tu as derrière. Au lieu d'essayer de l'investir, encore une fois, avec ta famille, tes amis, à qui tu veux faire plaisir. Et en fait, le fait de vouloir faire plaisir, en plus de perdre de l'argent, ça crée des conflits. Donc tu pars d'une bonne intention, tu perds ton argent, tu potentiellement te frictionnes avec ta famille, alors que tout ce que tu voulais c'était être généreux et mettre ta famille et tes amis bien, dans une belle situation. Je dis ok, merci beaucoup. Et ce qui est marrant c'est que je me suis levé, parce que je vois qu'il se lève pour aller payer, je dis excusez-moi, est-ce que je peux vous offrir le café ? Il me fait non non. Je me suis dit non mais ça me fait plaisir pour payback justement d'une certaine façon, lui rendre aussi la générosité et pas faire comme peut-être ses proches. Il m'a dit non, c'est très très apprécié, merci mais c'est très gentil, au revoir. Et le mec boum, tu sens qu'il n'a pas le temps. Et ça, ça m'a fait cogiter parce que je me dis merde, je suis clairement le genre de gars, en plus j'ai le syndrome du sauveur, à donner. Je donne beaucoup et je dépense beaucoup plus facilement pour les autres que pour moi. Et je me suis dit mais d'un autre côté, quand tu donnes, c'est que t'es... pas trop sensé attendre quelque chose en retour parce que sinon c'est pas vraiment quelque chose que tu donnes et que je me suis dit bah c'est peut-être un peu pas ouf cette façon de penser et d'un côté je me suis dit aussi le problème c'est qu'un conscientement quand tu donnes beaucoup inconsciemment tu sais tu as envie qu'au moment où tu appuies un jour sur le bouton de dire là j'ai besoin de toi la personne en fait et soit là à hauteur de ce que tu en as besoin à ce moment là Et je pense que ça m'est très souvent arrivé effectivement de me dire « Waouh, j'ai beaucoup donné à cette personne, pro, perso, connaissance, amis très proches. » Et au moment où j'en ai besoin, c'est genre « Allez, 30% de ce que j'ai donné en temps, en énergie, et vraiment moins en implication. » Et je suis là genre « Ah ! » Ah ouais, après, ok, d'accord. Et t'es déçu, en fait, d'une certaine façon. Parce qu'à ce moment-là, tu le fais pas parce que tu veux quelque chose en retour. Mais si, à un moment, t'en as besoin, t'aimerais qu'il y ait le même retour, voire à même hauteur, voire quoi pas même plus, et accepter ça. Et je me suis dit, justement, ok, je pense qu'il y a quelque chose, en fait, à revoir dans le fait de donner, parce que j'ai tendance à, quand je donne beaucoup, c'est comme si, un peu, je me mettais toujours en dernier. Je donne d'abord beaucoup aux autres, mon temps, mon énergie. Et je pense que pour toutes les personnes qui écoutent ce petit journal de bord, qui ont tendance à être très dans le sauveur, d'être dévoué aux autres, de donner beaucoup, d'être dans la générosité, et qu'il y a peut-être parfois cette déception, je pense qu'en fait, ce n'est pas qu'il faut donner moins, je pense qu'il faut surtout se remettre au centre du débat. Je pense qu'il faut se remettre en priorité, pas parce que pour être égoïste, mais pour justement rééquilibrer les forces. Et si je pense qu'on s'y rééquilibre les forces et qu'on se donne plus à soi, ce qui n'a rien de toxique, parce que je n'ai pas dit que de ne plus donner aux autres, mais si on se redonne plus à soi, on a peut-être moins le temps de donner aux autres, et du coup, on est moins déçu de ce qu'ils peuvent donner en retour. Et il y a vraiment un truc que la vie m'a enseigné, c'est cette phrase très connue qui dit que les gens oublient très vite ce que tu as fait pour eux, par contre, ils n'oublient jamais la façon dont tu les as fait se faire sentir, en ta présence. et par tes mots et par tes actions. Et moi, je le vois. Je suis plutôt le genre de mec qui a des actions très généreuses et je suis en soutien moral, physique, financier. Et je peux avoir des mots très durs parce que je veux encore le bien. Mais du coup, pour faire avancer l'autre, je vais avoir des mots très durs. Donc, potentiellement, il va le ressentir genre « Oh, tu me fais me sentir mal ou nul ou pas assez. » Et du coup, ils ne retiennent que ça. Et ils oublient très vite tous les trucs que tu as fait pour eux. Mais ils n'oublient pas ce feeling. Parce que dans la vie, en fait, tout est émotion. Et acheter, c'est sous le coup de l'émotion. Des beaux souvenirs, c'est de l'émotion. Notre vie, si elle vaut la peine d'être vécue, c'est de se dire, est-ce que j'ai vécu des belles émotions ? Donc en fait, oublie les faits et positionne-toi plus sur de l'émotion déjà avec des gens. Qu'est-ce que tu leur donnes en émotionnel plutôt que leur donner peut-être financièrement avec ton temps ou ton argent ? Mais juste, à quel point tu vas les faire se sentir bien à ton contact ou qu'eux se sentent mieux grâce à toi ? Et de te dire que si tu as envie d'investir et que tu as un peu d'argent, si on suit les conseils de ce cher Tom, fais-le avec des professionnels dont c'est le métier. Et au moins, ton argent, une fois qu'il sera placé, si toi tu es bien et que tu as créé une certaine sécurité, stabilité, une rente, cet argent qui est vraiment le fruit de ces investissements, tu peux le perdre puisque tu as déjà verrouillé tes investissements. Et ça, après, tu peux le donner plutôt que donner le budget. de base que tu aurais aimé investir. Je pense que c'est plus cette démarche vers laquelle je vais aller, c'est me remettre en priorité, remettre mes investissements aussi pour moi, faire attention à mes dépenses et les verrouiller pour que le fruit de ces investissements puisse servir quelque chose de plus safe et au final, de ne pas avoir ce regret de me dire, mince, je n'ai pas eu le retour que je voulais. Parce que ces derniers temps, c'est le dernier exemple que je vais donner pour finir ce sujet, c'est... J'avais demandé à pas mal de potes de partager justement mon cercle des solopreneurs, qui est mon projet, mon dernier projet. C'est le seul que j'ai en ce moment professionnel et qui me tiennait vraiment à cœur. Et j'ai jamais rien demandé en fait à mes potes de pousser ou de partager, de potes entrepreneurs ou créateurs. Et parce que, je sais pas, cette fierté, ce truc, tu veux pas déranger. Et là je me suis dit, ça rentre en concurrence avec aucune des offres des personnes avec qui j'ai demandé. C'est des gens que j'avais souvent... beaucoup aidé ou beaucoup été présent et dans beaucoup de générosité et finalement la plupart de ceux qui m'ont fait qu'on accepte et et qui m'ont fait cette dédicace je me suis dit ah ils l'ont fait parce que ça se voyait que je te la fais genre je te vois pas de problème je te la fais mais genre tiens je te le fais vite fait alors que moi quand j'accepte de rendre un service j'y vais comme si c'était pour moi en fait et là j'avais été un peu déçu il y en a qui l'ont fait très très bien et qu'ils l'ont fait genre wow je suis vraiment cool ça ça fait plaisir Là, l'énergie circule. Là, je sens qu'on est dans un truc où on se nourrit tous les deux et c'est trop cool. Et je sais que je peux compter sur la personne. Et d'autres où justement, je me suis dit, ok, ok en fait. À moi de faire attention au robinet et de m'assurer avant d'aider les autres et de donner de mon temps, de mon énergie, de mon savoir, que moi, je me suis déjà largement nourri en fait. Et que je me suis mis en priorité et que je donne ce qui reste pour les autres. Parce qu'en fait, toute cette énergie, ce temps et cet argent et cette substance... que je ne mets pas dans moi, dans mon business, dans mon bien-être, dans mon développement, si je ne me mets pas en priorité et que je donne aux autres et que je vois que ce qui me rentre derrière... c'est moindre, je suis perdant sur tous les tableaux. La prochaine fois que tu as envie d'être généreux, que tu as envie de donner, demande-toi si tu le fais après t'être nourri, et demande-toi si tu le fais avec les bons leviers, qui sont peut-être le levier émotionnel au lieu du levier de l'argent. Maintenant, j'aimerais te parler de passage à l'action, d'effet de groupe et de dynamique de groupe. En gros, je vais te parler déjà de... Sophie Flamand qui dans le cercle des solopreneurs c'est la goutte. Genre tu sais il y a un système de points en terme de quand tu participes, quand tu mets des commentaires, quand tu as des likes sur les postes dans le cercle de ce que tu donnes dans la valeur, enfin tu vois dans ces échanges elle, elle a 2000 points ok donc ok 2000 points sauf que la deuxième qui déjà participe énormément à genre 800 points pour te dire à quel point la meuf elle participe de malade. Je te fais un bisou Sophie parce que c'est incroyable la dynamique qu'elle met dedans parce qu'en ce moment elle est dans un CDI Et son CDI le rend ouf. Elle veut justement lancer son activité et lancer notamment deux projets. Et un qui vient déjà sous l'impulsion du cercle de solopreneurs créé, c'est son ONG en Inde pour pouvoir aider des enfants en Inde. Parce qu'elle a passé du temps là-bas et elle adore. La meuf, en voyant un petit peu tous les posts qui se passent, de voir aussi que moi je suis parti à Bali sur un coup de tête, elle s'est dit mais attends, mais en fait il y a trop d'énergie, je ne peux plus être dans mon bureau. J'ai dit à mon patron il y a trois jours que je pars en Inde dans deux jours. Il m'a dit, d'accord. Elle est partie. Jusque-là, tout va bien. Tu te dis, bon, il y a une nana, elle s'est chauffée, elle était déjà super pas bien dans son job, et qu'elle a cet effet de groupe, et qu'elle se met dans ses... Très bien. Sauf que qu'est-ce qui se passe ? Il y a Luc Ramirez, qui est dans le cercle aussi. Photographe vidéaste, d'accord ? Et il habite aussi à Toulouse. Sophie devait faire un meet-up à Toulouse, mais elle s'est barrée avant. J'ai trouvé absolument génial. Elle m'a dit, excusez-moi, je pourrais pas être là. En fait, je pars en Inde. J'aime beaucoup trop cette punchline. Luc et Sophie qui habitent à Toulouse, en message privé, ils sont restés une heure au téléphone. Le mec a fait un poste, il dit, en fait, je me dis, tu sais, des fois, il faut se bouger les fesses, il faut sortir de sa zone de confort, il faut créer l'impulsion, il faut passer à l'action et pas se dire, et si, et si, et si, et si. Et si j'avais les conditions, et si j'avais le job, et si j'avais les finances, et si c'était le bon moment, et si après Noël, et si après le printemps, et si... Il m'a dit, ben là, en fait, j'ai pris un billet d'avion. Je pars en Inde au mois de mai, parce qu'avant, j'ai des trucs à régler avec des clients. Et je pars rencontrer aussi Sophie en Inde pour faire du contenu pour elle, pour son ONG. Et je me suis dit « Waouh ! » La puissance d'un effet de groupe, d'un effet de levier quand tu sens que tu n'es pas tout seul. Et qu'il y a aussi un effet de... Ça peut être un leader, une leadeuse, un effet de masse. Ou en fait, quand tu touches ce leader, quand tu touches cet effet de groupe, quand tu touches les gens qui vibrent à la fréquence que toi, t'as... parce que c'est tes valeurs, parce que c'est ta façon de voir la vie, tout à coup, bam ! Tu rentres vraiment en résonance avec les personnes qu'il y a autour. Et ça, c'est ultra puissant parce que je pense que Luc ne serait jamais chauffé s'il se dit « je vais faire ça tout seul, prendre des grosses décisions tout seul. » Je sais, c'est ce que je fais la plupart du temps, de passer de zéro à un. C'est comme une fusée. Ce qui demande le plus de carburant et d'énergie, c'est de... Faire sortir la fusée du sol et commencer à lui faire prendre de la vitesse. Et après c'est beaucoup moins, c'est 80, j'en avais dit 70% du kérosène qui est cramé au décollage. Parce que c'est ça le plus dur. Mais quand en fait le kérosène il vient des gens parce que t'es dans un groupe, parce que t'es bien entouré, parce qu'il y a déjà des gens qui sont en train de faire juste devant toi, ils ont un ou deux pas, du coup tu les vois encore. C'est pas des gens qui sont genre « Ah vas-y ils sont tombés, ils sont là-haut, vas-y j'ai la flemme, ils sont trop loin, ils sont trop forts. » Non ils sont juste là, viens ! « Euh vas-y d'accord, vas-y je viens ! » Et ça, c'est puissant. Parce que c'est exactement, je te rappelle, la raison pour laquelle j'étais venu à Bali. C'était pour venir passer du temps avec mon pote Sam et rentrer en résonance avec sa fréquence de pirate, de mec qui taffe, de mec qui prend soin de lui en termes physiques, mentaux, psychiques, spirituels, et avec qui je claque des barres de rire monumentales. Et bien en fait, c'est ouf. Parce que ça fait une semaine que je suis là. Et je suis un diapason, tu sais, qui est venu à côté d'un autre diapason qui vibrate. Tu sais ce que c'est qu'un diapason ? Tu sais, c'est l'espèce de petite fourche. en alu, en inox, je crois, que tu utilises pour accorder les guitares. Et souvent, c'est à l'ancienne, maintenant il y a des trucs électroniques, mais tu le tapais contre un meuble et ça faisait un espèce de « là » , je crois, et tu le mettais sur la guitare pour accorder ta guitare. Sauf qu'il y a une expérience assez folle, c'est que si tu tapes un diapason qui va faire un « là » , tu rapproches un diapason que tu n'as pas du tout tapé, qui est immobile à la base, si tu le mets à côté de ce diapason, de ce premier diapason qui est en train de vibrer parce que tu l'as frappé, le deuxième qui était immobile va rentrer en résonance, va absorber la résonance et va commencer à vibrer. Mais ça, ça, ça c'est la life en fait. Alors il y a mon pote Jérémy Pory, il va se foutre de ma gueule, il va dire mais j'arrête pas de dire mais tout est énergie tu vois. Là on est là, il y a une belle énergie, j'aime bien l'énergie, j'aime bien la vibration. Mais c'est ça la life, la théorie des cordes, la physique quantique, on sait très bien c'est que de l'énergie, c'est que de la vibration. On est à 80%, je crois que c'est 80% constitué de flotte, d'eau. Je sais pas si t'as déjà vu quand tu tapes du poing sur une table et qu'il y a un verre d'eau, je sais pas si t'as capté à quel point l'eau elle se charge de cette vibration, elle bouge. C'est pour ça que c'est ultra important de faire attention aux mots que tu prononces vis-à-vis de toi-même. de la façon dont tu t'entoures, de la musique, du contenu que tu consommes, parce que ça a une certaine vibration. Et le plus fort, évidemment, c'est quand tu es entouré de gens qui vibrent à un certain niveau, ça va t'élever. Et l'inverse est vrai. Si tu n'es qu'avec des gens, ils sont déprimés, ils sont là, ils fument, ils fument du bédo, ils prennent de la drogue, ils ne foutent rien, ou alors ils sont médisants, ou alors ils sont stressés. En fait, si c'est que des gens comme ça avec qui tu traînes, tu vas t'accorder, sans que tu le veuilles, et... à cette fréquence, et c'est pour ça qu'on dit que t'es la somme des 5 personnes à qui tu traînes le plus. Parce qu'en fait, ton corps, tu peux... En fait, c'est physiologique, c'est physique. Y'a pas que genre dans ton mental, c'est que toute ta biologie résonne dans cette fréquence. Et que là, le Luc, il a pris une fréquence, mon pote, de Sophie, c'est... Ok, vas-y, bah, billets pour en Inde, et c'est parti. Et moi, j'ai pris une fréquence de Sam, et Dieu sait que ça me fait du bien, et Dieu sait que c'était important et que je l'avais compris. Que moi, je vivrai breté... ... pas très haut ces derniers temps, en fait, j'ai... Ok, vu que je galère à vibrer un peu plus haut parce qu'il faut que je me nourrisse, je sais quoi ? Le carburant du kérosène de la fusée, je vais aller le chercher chez quelqu'un qui l'a déjà. Et boum ! Donc, demande-toi en ce moment à quel niveau tu vibres et surtout, à quel niveau les autres personnes avec qui tu passes du temps, elles vibrent. Et demande-toi en ce moment quelle est ta capacité de passage à l'action. Est-ce que c'est facile, est-ce que c'est pas facile ? Est-ce qu'il y a des choses que t'arrives pas à faire, que t'aimerais faire, que tu te retiens de faire ? Et demande-toi si les gens autour de toi, ils t'aident, en fait ils te facilitent ce passage à l'action, à te débloquer, ou au contraire, ils ralentissent et le rendent plus dur. Si c'est le cas, regarde dans ton entourage, si tu connais des gens qui peuvent être le kérosène de ta fusée. Et si c'est pas le cas, mais trouve-en ! Regarde, il y a le cercle des solopreneurs, tu viens, il y a des valeurs de fou, c'est les miennes. auxquels on est réunis autour de ça en fait. C'est pas de moi, c'est de mes valeurs et on les partage tous. C'est pas les miennes, c'est celles que j'ai et que finalement tout le monde a. Mais sinon si c'est pas ça, trouve-en autour de toi. Parce que c'est ultra important et c'est tellement puissant. Et c'est tellement galère de passer tout seul de 0 à 1. Maintenant parlons signe de la vie. Ok, alors moi j'ai jamais été quelqu'un de religieux, mais j'ai toujours été quelqu'un de spirituel. Depuis que je suis gamin, je sais pas, alors que pourtant à la maison c'est très athée. Mon père il n'aime pas la religion, ma mère elle a été forcée d'aller à l'église quand elle était gamine et de voir que les curés au Portugal ils roulaient en merco quand tout le monde était pauvre si tu veux elle n'est pas trop friendly avec la religion catholique et bizarrement je pourrais pas t'expliquer pourquoi j'ai toujours été genre j'ai l'impression que j'étais, je sais pas, guidé, protégé, qu'il y avait un truc plus grand que moi j'avais toujours des petits gris gris avec moi comme des portes bonheur mais comme un truc qui me reliait, qui me connectait à un truc plus grand J'avais toujours l'impression que je pensais à des choses et que c'est comme s'il y a un espèce de truc plus grand qui m'amenait ces choses-là au bout d'un moment. Et je me disais, hé mec, c'est ça, vas-y, tu vois. Et il y a une histoire que j'aime beaucoup sur les signes de la vie. C'est en fait, c'est un pêcheur. Il est dans l'océan et en fait, il essuie une tempête. Et son bateau se fait laminer en mille morceaux. Et il arrive à être sur un espèce de débris de bois sur lequel il flotte. Et il dit, s'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît, vraiment, s'il vous plaît, venez me sauver. Je suis un bon religieux, je prie tout le temps. S'il vous plaît, venez me sauver, venez me sauver. Et là, il y a un petit bateau de pêcheurs qui arrive. Il est là, il arrive. Il est là, il se dit, vas-y, vas-y, c'est bon, viens, monte. Et le mec dit, non, non, c'est bon. C'est bon, Dieu me sauvera, Dieu va me sauver. Il fait quoi ? Non, non, mais c'est bon, moi je reste là, Dieu va me sauver. Ok, bon bah ok, d'accord, comme tu sens. Et là, il dit, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi. Et là, il y a un moment, il y a une espèce d'énorme chalutier qui arrive. Énorme chalutier, sirene et tout, il voit le mec, il commence à enlever la boue, il fait, non, non, c'est bon, c'est bon, Dieu va me sauver, c'est bon, moi je reste là. C'est Dieu qui va me sauver, vous inquiétez pas. Ah quoi ? Mais non, venez, vous êtes malades, mais attends, prenez la boue. Non, non, non, c'est bon, ok. Il dit s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, j'étais un bon chrétien, je crois tout le temps en vous, j'ai été pieux, je suis quelqu'un de pur. Et là, il y a un bateau, c'est un cargo qui arrive. Alors là le truc le machin il est là Il est projot sur la gueule il lui envoie 4 trucs Et le mec Non je veux pas monter Dieu me sauvera Il dit non le gars se débat Le gars il le laisse Le gars est fou vas-y tant pis pour lui c'est sa vie Le mec finit évidemment par se noyer Il arrive tout en haut Il dit mais Dieu je comprends pas Comment vous avez pu me laisser mourir J'étais persuadé que vous alliez venir me sauver Et là Dieu il dit mais tu te fous de moi ou quoi Je t'ai envoyé un bateau de pêcheurs, un chalutier, un cargo, tu veux quoi ? Et en fait, c'est ça la life. C'est de se dire, il y a un moment donné, tu veux quelque chose. Mais quand ça se passe sous ton nez, quand il y a un petit truc, quand ça te trigger, quand tu vois quelque chose en fait, mais saisis-le en fait. Et l'univers, la manifestation, la visuelle, appelle-le comme tu veux. C'est pas un truc où c'est écrit en toutes lettres. Alex, c'est par ici que tu dois prendre la décision. T'inquiète pas, tout va bien se passer. Non, ça, c'est pas ça. Ça, c'est une consigne d'un exercice. Il y en a un à voir, ce qui est très chiant. C'est pas ça, c'est un escape game. C'est un escape game. C'est par là, t'as payé 50 balles, et tu repars et t'es content. La vie, c'est pas ça. La vie, c'est OK, tu veux quelque chose, et à partir du moment où t'es convaincu que tu veux quelque chose, la vie, elle se fait un malin plaisir à t'aider. Si tu doutes, elle t'apporte du doute. Si t'as peur et que t'es mal, bon, elle t'apporte une vie de merde. Et c'est ça qui est fort. Et en plus... Si tu t'intéresses un petit peu à la spiritualité, ou même tout simplement à l'univers, à la religion, à tout ça, soit tu vas aller prendre un peu des psychédéliques, tu vas aller prendre des champis, du LSD, de l'ayahuasca, et tu vas comprendre qu'effectivement, tu as l'impression qu'on fait partie d'un tout et qu'on est une espèce de petite particule qui est un des composants d'une des plus grandes particules. Et si tu vas du côté, au contraire, pré-cartésien, scientifique, physicien, bon ben... plus ça va et plus les calculs et leurs recherches montrent que potentiellement, on vit vraiment dans une simulation, que ce soit à travers la physique quantique et que ce soit à travers différentes théories qui disent que... Il y en a une théorie en ce moment qui est très populaire, alors controversée évidemment, mais populaire, qui dit que justement, imagine-toi, en fait, on vit dans une simulation et c'est obligatoire. Et que notre monde est juste la manifestation de notre permanente manifestation. Il dit, regarde, si par exemple, il prend une comparaison, on a été obligé de se créer ce monde pour vivre dans ce monde, dans cette manifestation, dans cette simulation, pardon, j'ai bien aimé cette théorie, et il dit, parce que, imagine à chaque fois que tu dois envoyer un email, que tu dois construire un ordinateur, créer le programme qui permet d'envoyer un email, c'est impossible en fait. Donc tu te crées une interface qui va te permettre d'interagir et de pouvoir envoyer des emails. Et il dit, la vie c'est un peu pareil. J'aime bien cette comparaison-là parce que ça permet vraiment de se dire, et j'aime bien d'un côté, parce que c'est toi qui as le complet pouvoir sur ce qui t'arrive. C'est ça en fait. Pour moi, ce n'est pas genre Dieu va t'aider, il va t'envoyer un cargo. C'est au contraire, c'est toi qui as décidé qu'il y avait un Dieu, donc tu t'es créé ça dans ta tête, et que ce Dieu pouvait t'envoyer un cargo, donc il y a un cargo. Mais ça veut dire que si tu prends cette façon-là, qu'elle est spirituelle ou pas, moi je m'en fous, mais c'est beau de se dire, c'est toi qui va shape, qui va vraiment former ta vie. ton succès, ce qui t'arrive, et il n'y a rien... Quand tu auras pris le contrôle de tes pensées et de ta vibration et de tes intentions, ce qui est le plus dur, parce qu'on est fait pour douter, on est fait pour avoir peur. Notre cerveau reptilien est un des caves et que plus tu avais peur, plus tu étais sur le qui-vive, plus tu avais de chances de survivre. Parce que, en fait, s'il y a un petit bruit de merde et que tu es là et que tu déguerpis, tu as plus de chances de survivre que le mec qui est là et qui s'en fout et qu'en fait, une chance sur deux, c'est un espèce de prédateur qui vient de bouffer la gueule, c'est pas ouf. Sauf que maintenant, ce n'est plus le cas. Et on a gardé ces réflexes de reptiliens d'avoir peur de tout pour nous permettre de survivre. Sauf qu'aujourd'hui, j'espère pour vous, en tout cas, vous êtes dans une situation où il n'y a pas la guerre et que vous n'êtes pas à mourir à chaque angle de rue ou à chaque pas que vous faites, ce qui était le cas dans la nature avant en mode survie. Ça veut dire que le challenge, il est de prendre contrôle sur ses pensées, ses émotions. Parce qu'en fait... c'est un émetteur ultra puissant de ton cerveau qui te crée ta réalité. Donc si tu te doutes et que tu as peur, ce qui est paramétré par défaut dans notre cerveau, les pensées négatives représentent je crois 80% de nos pensées au global, c'est un truc de ouf. Et si tu réussis à prendre le contrôle de ça, d'être dans la projection, et être convaincu que c'est ce que tu veux, donc tu vas potentiellement créer ce truc-là. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que je trouve que c'est un beau challenge. Parce que qu'on y croit ou pas... En fait, prendre le contrôle et toujours d'en essayer de se dire « voilà ce que je veux » et d'en être convaincu et de ne pas se laisser démordre par ça et de rester calme et serein et conscient dans son action, ses pensées et ses intentions. Je trouve ça quand même beaucoup plus formidable que de dire s'il vous plaît, attendre que ça se passe, d'avoir peur, de sentir la victime. Donc en fait, même si tu es cartésien, même si tu es ultra terre à terre, ça vaut le coup de faire ça. Et je vais donner une histoire sur les signes de la vie que j'ai trouvé génial. Je cherche en ce moment, il n'y a pas longtemps, je cherchais un coach en prise de parole et positionnement, body language et public speaking. Et j'avais fait un post sur LinkedIn et sur Insta pour avoir des recos. Et juste après avoir fait ce poste, j'ai une pote qui, que j'étais à Lisbonne encore à ce moment-là, qui me dit « De toute façon, trop cool, j'ai vu ton poste Alex, on dit d'ensemble ce soir. » Et j'ai une pote qui est aussi de passage avec moi à Lisbonne, je te la présenterai. Elle, c'est son taf en fait, elle est coach en prise de parole et positionnement public, etc. Et je me suis dit « Bon bah, trop bien ! » Et en fait, j'ai pas eu le temps d'y aller, parce que je devais faire mes bagages et me barrer pour aller à Bali. et du coup j'ai pas pu la rencontrer on a fait quand même un petit échange j'ai fait un petit appel découverte avec elle je me suis dit Ausha la meuf genre Ausha je pense qu'elle est pas mal tu sens qu'elle sait ce qu'elle fait tu sens qu'elle est pointue mais j'étais en mode en plus j'ai pas le temps je suis en speed et là j'étais à Bali il faut que je prenne la décision il faut que je review un peu les 42 recos qu'on m'a fait on m'a fait 42 recos tout le monde il y avait plein de gens qui m'ont tous dit Ah non mais cette personne là, ah vraiment tu peux y aller les yeux fermés, tiens cette personne là, vas-y, franchement les yeux fermés. J'ai dit mais ouvrez les yeux et juste donnez-moi une personne. Et en fait tout le monde a donné recours, donc j'ai review tous les profils. J'ai regardé la vibe, le truc, voir s'ils étaient pros aussi. Et je cherchais en fait bizarrement quelqu'un qui était plutôt plus âgé que moi, plutôt masculin. Parce que moi j'ai un gros problème, j'ai un énorme défaut. C'est que je suis très difficilement coachable parce que mon ego vient me faire chier, vient me jouer des tours. Et je me suis dit, il faut quand même quelqu'un là, où je sens que c'est un peu le gars un peu daron, qui va avoir de l'expérience, qui va avoir de la bouteille, et qui va me permettre de vraiment faire sauter ce truc où je ne suis pas bon en tant que personne coachable. Et je me suis dit, une femme, j'ai tendance à me positionner un peu en mode dominant, leader, etc. Parce que, surtout dans cette interaction-là, alors que j'aime beaucoup l'interaction, je bosse quasiment en majorité avec des femmes, parce que... J'aime beaucoup leur psychologie, leur douceur. Moi, ça m'apaise, ça me permet de voir les choses autrement, etc. Avec douceur. Sauf que là, ce n'est pas ce dont j'avais besoin. Donc, j'étais dans ce Ausha, tu vois. Je fais le tour des 42 personnes. Comment te dire ? Je fais le review de tout le monde et je reviens à cette personne. Et je me dis, bon, en fait, la vie quand même est bien faite. C'est-à-dire que quand je demande, le premier truc qui tombe d'une personne que j'aurais dû rencontrer directement le soir même, c'est de la voir. C'est la personne qu'on m'a recommandée en premier et que tout le reste, ça ne valait pas la peine. Je me suis dit « Waouh, c'est fou. Quand ça paraît trop gros, trop évident, on se méfie. » On demande. J'ai demandé. « Tiens, des fois, c'est trop. Des fois, il y a trop de flèches. C'est trop évident. » « Non, c'est un piège. C'est chelou. C'est trop simple. » Et on se dit que la vie, c'est trop simple. C'est ça qui est fou. Et quand c'est trop simple, on se méfie. Parce qu'on a tellement l'habitude de galérer, d'en chier, de... parce qu'on doute, parce qu'on a peur et du coup on attire le doute et la peur et la merde, que quand on est déter, qu'on est là, on est fluide et qu'on manifeste un truc ultra sharp, précis, on sait ce qu'on veut, on est déterminé et que ça arrive, c'est bizarre. Tu vois, il y a un piège. Et donc ce que je veux te dire par là, c'est prends le contrôle de tes émotions. Je ne sais pas si c'est le cas en ce moment. Si ce n'est pas le cas, vraiment prends le temps d'être... C'est quoi le plus d'émotions que tu as dans ta tête ? Est-ce que quand tu penses à un sujet, est-ce que t'as le doute ? Est-ce que t'as la peur ? Ou est-ce que t'as la conviction ? Est-ce que t'as l'énergie ? Est-ce que t'as l'envie ? Est-ce que t'as la motivation ? Est-ce que t'as la foi ? Et la foi pour moi c'est le truc le plus puissant. Et c'est pas le côté religieux. La foi c'est pour moi le... Ça va se faire. En fait t'es convaincu que ça va se faire. Et y'a pas d'autres possibilités. Et que là t'es en mode émetteur plus plus, simulation, hop là tata life, viens hop là, voilà. Dîner ce soir avec la personne que tu voulais. Oublie ton poste. Ça marche, bah ouais, et ça c'est puissant. Et si c'est pas le cas, je trouve que te dire que tu vis dans une simulation où tu vas créer ta réalité et où la vie va t'envoyer des signes, les signes c'est juste finalement la manifestation de ce que t'as voulu, et bien à toi d'accepter que c'est potentiellement bien en fait. Et de pas avoir peur que quand t'es sûr que c'était ça, et qu'il y a un train qui passe clignotant et qui a ton prénom dessus, monte dedans. Parce que je peux t'assurer que quand tu montes dedans... et que tu continues à faire conscience et que tu continues à avoir des pensées et des actions qui sont conscientes, saines et positives, la vie va prendre une autre tournure. Où habiter ? En ville ? ou en pleine nature. C'est un peu le dilemme que je me pose depuis des années, que la vraie vérité, quand je me sens bien apaisé, aligné, c'est quand je suis dans la forêt, sous des arbres, en pleine nature. Mais à chaque fois, la vraie vérité, je me dis que je ne peux pas vivre comme ça, de rencontrer des gens, il faut que ce soit pratique, je n'ai pas de petite famille, je ne suis pas célibataire. Je suis célibataire et je n'ai pas une petite famille pour me dire je crée mon petit cocon et puis ce n'est pas grave. Si je veux rencontrer des gens un peu et pas être là le vieil ami qui finit barbu comme ça, coupé du bois. Non. Donc je me dis, je vais en ville. Ok, en ville. C'est cool, il y a de la stimulation. Mais en fait, je suis toujours là genre ça manque de nature. Puis ça me, je ne sais pas, ça me surmerge. Il y a plein d'énergie. Plus ça, plus je suis sensible aux énergies, moi, donc plus il y a ce côté genre de toxicité de la ville. du mal-être de la ville avec tous ces vices, tous ces hauts et ces bas, il y a toutes les phases du puzzle dans une ville. Et en fait, je suis là en mode, ça ne me met pas bien. En fait, ça ne me met pas bien parce que j'ai habité à Lisbonne, qui est une ville géniale. J'adore Lisbonne, c'est super. Manque d'arbres, comparé à Medellín, que j'aime encore plus à cause de ça ou grâce à ça. Et du coup, je suis parti parce que je... justement je suis en mode, en fait la ville il y a beaucoup d'énergie, c'est pas mon délire tu vois quand même, où justement je me dis, si un peu, mais quand tu y habites c'est tout le temps, et puis je me dis, ça manque un peu d'apaisement, de nature, et puis vu que ces derniers temps je me renseigne pas mal sur le TDAH, je m'aperçois que ce qui naturellement les études scientifiques ont prouvé que naturellement, c'est le meilleur apaisement pour les TDAH c'est la nature, et donc autant te dire qu'en ville, moi je suis un écureuil, il y a des lumières partout, c'est parti tu vois genre... Tu vois, c'est compliqué pour moi de me concentrer, d'être bien, d'être focus en vrai, parce qu'il y a trop de trucs. Et je me dis, OK, OK, bon, bah, super. Mais je suis en train d'avoir ce déclic parce que justement, ce week-end, j'ai été dans les rizières de l'UNESCO de Jilaputui. Je n'arrive pas à le prononcer. Jilaputui, un truc comme ça. Bref, c'est à une heure au nord, vers Ubud. Et en fait, tu es là. C'est du vert, Et c'est pas vraiment de la vraie nature puisque bon bah c'est quand même de la culture, c'est pas de la forêt, c'est quand même des rizières, des montagnes et des vallées qui ont été façonnées à la main par l'homme. Mais t'as quand même ce vert, ça pousse, c'est pas des bâtiments, c'est quand même des plantes qui ont été mises là à la main, mais ça reste des plantes. Et on se baladait comme ça, tu sais genre au milieu des rizières, sur des petites tranchées comme ça. Bon j'en suis aperçu qu'on n'est pas trop droit de le faire normalement. Mais bon tu connais, j'ai un vrai problème, moi quand j'étais influenceur voyage j'ai mis un concept que j'arrêtais pas de répéter, c'est en fait faut rentrer dans le paysage. C'est un art d'observer comme ça, vas-y rentre dedans Bah si c'est de l'eau plonge, si c'est de la forêt Rentre là-dedans, si c'est du sable Bah roule-toi, tu vois Et s'il y a de la boue, vas-y mets les pieds dedans En plus après on a trouvé un spot Il y avait que des locaux dedans C'est mon pote qui avait déjà vu ce truc-là Tu loues pour un balle une grosse chambre à air Et tu descends la rivière au milieu des rizières T'étais là, oh il y a les volcans en fond Et tu sais on se regardait Il me fait ouais J'ai juste ça, ouais, ouais, ouais, c'est bon Et lui C'est pareil, c'est un mec, il est quand même dans une vie capitaliste, puisque c'est un mec qui est en train de créer un fonds d'investissement, son métier c'est de trader en bourse et d'aider justement des personnes qui investissent en bourse, parce qu'il investit lui-même, il a vraiment une société qui permet, du cas du conseil, de placement en bourse. Donc c'est clairement le pur produit du capitalisme. Et souvent quand on dit qu'on est le pur produit du capitalisme pour réussir, Il faut traîner dans le jus, dans la ville. Et moi, je me suis dit ça. Si j'ai envie d'être stimulé, si j'ai envie de trouver des gens, il faut que je sois un peu dans cet état d'esprit-là de la ville. C'est toujours ça. En vrai, c'est quand même cool les commodités de la ville. On ne va pas se le cacher. Si à chaque fois, je devais trouver à manger, je devais aller chasser, je pense que je perdrais quelques kilos. Et en fait, il y avait vraiment ce moment où je me suis dit « Ok, en fait, la ville... » J'y vais parce que je me dis que je réussirais mieux personnellement, peut-être professionnellement, plus d'opportunités, de stimulation. Peut-être que je trouverais aussi plus une personne avec qui passer le reste de ma vie parce qu'il y a plus de gens, donc j'ai peut-être plus de chances. Après, je me dis, mais en vrai, si je suis en pleine nature, je suis plus calme, donc je suis plus focus, donc je me régénère plus vite. Donc, en fait, je suis plus créatif, je travaille mieux, je me sens mieux. Ça sert virtu. Et puis, je me dis, tant qu'à trouver quelqu'un, même s'il y en a moins, en fait, vu que je suis spécial. Parce que j'ai une vie spéciale, en fait, je n'ai pas besoin d'avoir de matchs avec beaucoup de personnes. J'ai juste besoin de rencontrer une un jour, tu vois. Donc, ça se trouve, à se balader en forêt, et ça ira très bien. Et autant rencontrer les gens, que ce soit des amis, que ce soit un partenaire ou une partenaire, dans l'endroit, en fait, qui toi... ben là où tu as envie d'y aller en fait dans ton but plutôt que te dire ok je vais là il y a le plus de monde je rencontre des potes des professionnels des partenaires un chéri et puis après j'irai là où j'ai vraiment envie d'aller mais en fait c'est peut-être ça n'a pas matché en vrai alors que si tu es déjà là où tu veux être tu vas rencontrer des gens qui peut-être sont déjà dans le même parcours de vie que toi et tu dis ah mais ah t'es là aussi toi ouais je ouais exactement pour ça c'est ça et d'être vraiment tu vois sur cette chambre à air là Tu sais où t'es là, tu tournes sur toi-même tout doucement, t'as le paysage qui fait un 360, y'a du vert, y'a des volcans, t'es bien, t'es avec ton pote, t'y dis mais en fait mon pote je suis venu rencontrer dans ce milieu-là, et c'est un mec smart, et c'est un mec qui justement, comme je disais, me permet de, tu vois, en ce moment d'être dans une haute vibration, et puis je suis cool, je me sens apaisé, puis je suis créatif, puis en fait j'arrive à faire du bon taf dans le cercle des solopreneurs, y'a des belles choses qui se passent, bon, côté partenaire, y'a rien, Mais en fait, ce n'est pas grave. Parce que je me dis, c'est ça. Je crois que je me suis promis que je ne revivrais plus en ville. Et j'adore aussi la ville. Mais du coup, j'adore la ville pour me stimuler. Comme ce moment d'attraction, de stimulation, de parenthèse. Et que j'y verrais en pleine nature. Peut-être justement entre Bali et Medellín. Parce que pareil, vu que j'ai un peu la bougeotte. Ok, ce n'est pas grave, j'accepte que j'aurai plusieurs camps de base. Et que justement, quand j'ai besoin de faire de l'administratif, et de faire des trucs... Ah franco-français, et bah c'est pas grave, je viendrai un mois, deux mois, en France, en Europe, peu importe, et je viendrai prendre ma dose de ville versus l'inverse en fait. Parce qu'avant j'étais en mode, ok mon camp de base c'est le truc pratique en ville, mais après je vais me prendre ma dose de nature. Et là je me suis dit, fuck no, tu vois genre, là tu vois j'ouvre le rideau, quand je fais ça là regarde, tu vois, j'ouvre le rideau de la chambre, j'ai un mur de verdure. Et juste là je me lève le matin, j'ouvre mon rideau, je suis là genre, ah. C'est pour ça que j'ai vendu mes meubles en deux jours et que je me suis barré. Merci, ça me fait du bien. Et d'avoir été dans ces petites rizières ce week-end, ça m'a vraiment confié de me dire, arrête de forcer. Tu le sais au fond que toi, tu es un mec de la nature. J'ai juste peur de me faire chier ou de rencontrer personne. Alors que s'il y a bien un des petits avantages qu'a pu apporter le Covid, c'est l'ultra digitalisation du travail. D'autant plus, je l'étais déjà, mais... d'autant plus sur plein de choses, et que finalement, il y a d'autant plus de gens aussi qui retournent en pleine nature tout en pouvant faire leur métier qu'ils faisaient en ville. Donc d'autant plus de possibilités de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs, mais qui sont stimulants, qui professionnellement sont évolués, etc. Donc si tu te poses la question, que toi tu es un peu en mode, « Ouais, la ville c'est pratique, mais en vrai, moi c'est quoi ? » Va là où ça te fait kiffer, fais ta base là, et quand tu as besoin de, pour X raisons, kiffer, administratif, business, va en ville. Franchement, je te dis, ça fait un bien fou. Et maintenant, dernier sujet avant de finir sur le fun fact, c'est se comparer. Attention. Je vais te raconter deux petites histoires qui viennent de se passer dans mon collectif. C'est Charlotte, Charlotte Parot, qui est incroyable, qui vit de l'aquarelle. Moi, franchement, c'est l'incarnation de « Tu peux vivre de ta passion » . Juste terminer bonsoir. Qui a en plus quitté ce qui était fonctionnaire avant, donc cette sécurité-là pour vivre de ça. Et là, en gros, qu'est-ce qui se passe ? Elle a lancé sa communauté school, comme moi, avec une offre. Parce que pour les passionnés d'aquarelle, quand je dis que c'est des passionnés, c'est des gens qui ont envie, au lieu de se tuer à la salle de sport ou être devant des écrans, ils ont besoin de déconnecter de façon plus douce et plus saine. Ils ne font pas de la poterie, ils font de l'aquarelle. Il y en a de plus en plus. Je sais qu'il y a une grosse mode du tricot. Là, c'est l'aquarelle et je trouve ça fantastique. Et du coup, elle a lancé sa communauté. Donc elle, elle en fait quand même depuis, elle a sa communauté depuis au moins un ou deux ans. Facile, facile, ok ? Elle fait des postes, elle fait des ateliers à Annecy qui sont remplis. Et du coup, quand elle a lancé sa communauté en ligne, cette fois, donc sur School, comme moi, elle a fait un lancement et là, elle en est à 150 personnes. Genre, elle a plus de personnes dans sa communauté School que moi. Et sa communauté doit être à 27 ou 37 balles. J'ai trouvé ça, mais... Fantastique ! Comment te dire que même elle était là genre waouh c'est trop bien en plus c'est un abonnement recurring donc elle qui flippait un petit peu de se dire bah tu sais genre des fois elle remplit ses ateliers, elle aimerait bien avoir plus de visibilité fantastique ! Elle s'est même retrouvée, écoute bien pour te dire, dans le top 5 monde, monde de la plateforme school qui fait le plus justement de revenus sur les thèmes des hobbies donc des loisirs 5, le top 5 et t'imagines si à la fin du mois elle reste dans le top 5 Je crois qu'elle est redescendue à la 7ème place, mais elle était dans le top 5. Genre, elle a un mastermind tout frais payé par la plateforme Skool avec Hormozy. C'est une dinguerie monumentale. Je l'ai mis, j'ai essayé de le pousser aussi dans ma story. Je lui ai dit, franchement, essaie de dire à tous tes potes, on sait jamais. Mais... qu'il y a Youpa dans ce mastermind. Genre, waouh, réussite, même elle, ça s'est emballé. Tout le monde dans le collectif a partagé sa story, enfin, en story, son lancement pour dire allez-y, si quelqu'un aime l'aquarelle, franchement, pour 27 balles, faites-la kiffer. Aidez-la d'autant plus à être dans ce classement et à faire un super lancement. Génial. Et à côté, en même temps, il y avait une autre personne du collectif qui a lancé sa communauté, mais sur la décoration intérieure. Et c'est une personne qui s'est reconvertie récemment et qui, justement, a une communauté plus fraîche et avec une offre qui n'est pas encore bien prépositionnée. Parce qu'elle, elle la cherche. Qu'est-ce qui s'est passé ? Elle, au contraire, alors qu'elle fait... Franchement, elle doit avoir 20 000 ou 25 000 sur Insta, qu'elle fait beaucoup de vues. Elle a fait qu'une dizaine de personnes rentraient dans sa communauté. Donc forcément, je vois ça, je m'empresse de lui envoyer un message. Parce que je me dis... Parce que la deuxième personne qui... a fait un lancement qui est loupé. Comment te dire que c'est une personne, c'est une bosseuse, c'est une meuf géniale, c'est une meuf qui fait les choses avec le cœur, c'est une meuf en or, c'est une meuf qui se défonce, qui se remet en question, qui taffe, qui va trouver des... Tu vois, c'est le genre de personne qui, de toute façon, elle va réussir. Et la preuve, quand elle a commencé sur Insta, elle faisait que quelques vues, là, des fois, elle a claqué plusieurs millions sur certains contenus parce qu'elle a gardé cette régularité. Boum, ça a pété. Donc, c'est une meuf. Tu sais qu'elle réussit, elle va réussir. Mais là, au même moment, sa pote qui lance, elle cartonne, elle pas, forcément, je lui envoie un message, je lui dis s'il te plaît, ne compare pas ce qui n'est pas comparable, même si c'est tentant. Parce que Charlotte, elle, ça fait deux ans qu'elle est sur ce contenu-là, ce positionnement-là. Elle a déjà des contacts, elle a déjà plein de gens qui sont venus sur ses ateliers, elle a déjà un positionnement qui est clair, et toi, tu viens de te reconvertir, t'as lancé ça il y a... Ce nouveau positionnement, cette nouvelle activité, il y a 6 mois, un truc comme ça, à peine. Tu viens de faire du contenu, mais il n'y a pas encore ce rapport aussi peut-être de confiance. Et puis aussi, ton offre, est-ce que ça s'adapte aussi bien sur la communauté pour de l'aquarelle que pour du design d'intérieur ? Et si c'est le cas, peut-être que ce n'est pas ce que tu mets dedans. Et ça m'a vraiment rappelé, quand moi je m'étais lancé dans l'entrepreneuriat, j'avais une personne à ce moment-là avec mon équipe et c'était insane. Avant même d'avoir lancé mon propre business, on s'était mis sur le business d'une pote et c'était insane. Il y avait un croisement du time to market, c'était la première sur son créneau. Il y avait le Covid qui venait d'arriver, donc c'était la mode des formations en ligne. C'était en 2020, un truc comme ça. Et elle a fait un million de chiffre d'affaires en organique. Ça ne se voit plus, des 40% de taux de transformation sur la base mail, des trucs de fou. Un truc de fou ! Même nous on était là genre, wow, tu sais, allignement des as de la chance, de elle qui a fait un travail de fou, moi avec mon équipe qui a été bonne, etc. et qui ont eu de la chance. Et évidemment, derrière moi, quand je lance mon business, je me dis, c'est moi qui ai donné tous ces conseils, ça avec mon équipe, je vais au moins faire pareil. Et pas du tout. En plus j'avais une communauté, mais trois, quatre fois, cinq fois plus grande qu'elle. Avec 10 000, j'avais déjà 90 000 sur Insta et j'avais tous mes autres réseaux. Mais pas du tout en fait. Parce qu'elle, ça faisait un an qu'elle donnait du contenu gratuit, de qualité, en podcast, sur ses réseaux, qu'elle se positionnait. Donc au moment où elle a ouvert les vannes, les gens avaient une confiance aveugle, elles avaient vu la qualité du contenu, et qu'elle était positionnée, qu'elle était première. Boum, ça a tout cartonné. Moi, oui c'est sûr, j'avais des gros comptes, mais ça faisait dix ans que j'ai eu du voyage. Et là, j'étais plus sur du personal branding, la stratégie de création de contenu, de transformer un métier dans sa passion, et avoir de la visibilité sur les réseaux. Wow, les gens étaient... pas trop près. Oui, il y en a qui m'ont suivi. Genre, j'ai dû faire 150K, 200K la première année, ce qui est très bien. Mais c'est genre presque 10 fois, allez, 8 fois moins que mon ami. Et ça, en fait, au début, t'as ton égo qui en prend un gros coup, et ça fait du bien, en vrai, parce qu'au début, tu le vois pas, mais c'est une excellente leçon de se dire, compare pas ce qui est pas comparable. Au moment où tu en es, pourquoi tu en es. Et des fois, tu peux même être au même moment. Mais en fait, tu te dis pas que t'es... Des fois, c'est juste, t'as pas les... c'est pas que t'es moins bon, c'est que t'as pas trouvé le bon clic, la bonne offre la bonne façon de faire en fait et qu'il y en a un autre qui peut-être avant de se lancer a plus bossé son truc ou c'était peut-être plus évident peut-être que son marché est plus évident son offre est plus évidente, peut-être qu'elle a juste aussi permis de refaire des choses de personnes qui avaient déjà réussi elle l'a fait à sa sauce, toi tu veux créer un espèce de nouveau truc parce que tu te dis que c'est génial et que vu que t'es tout seul et ben y'a personne sur qui tu peux prendre exemple et du coup bah ... ça tombe un peu à l'eau. Donc, vraiment, c'est comme les deux histoires que je viens de te raconter. Si tu vois quelqu'un qui est en train de réussir, Et que toi tu réussis pas comme l'autre personne, tu dis putain mais si elle y arrive, pourquoi j'y arrive pas ? Compare pas, tu sais pas où elle en est, tu sais pas combien de fois elle a foiré, tu sais pas depuis combien de temps elle te donne du contenu assez positionné, avant d'avoir ouvert les vannes que t'as ouvert peut-être en même temps. Mais peut-être que toi c'est pas, encore une fois la bonne offre, la bonne cible en face, sur le bon réseau, de la bonne façon, et c'est ok en fait. Parce que au moins tu vas pouvoir cocher cette case et te dire, c'est pas comme ça que je dois le faire. C'est pas ma façon, c'est pas la bonne offre, c'est parce que les gens ils ont besoin et que c'est ok. Et surtout, te compare pas. C'est comme si tu te comparais à toi dans cinq ans. Regarde, si tu veux te sentir bien, compare-toi à toi, ton toi de toi-toi. Ça fait beaucoup de toi dans la même phrase. Mais dis à cinq ans, où est-ce que t'en étais ? Est-ce que tu te comparerais ? Bah non, en fait. T'étais peut-être encore en CDI, t'étais peut-être tes premiers euros, et là, tu gagnes super bien ta vie. T'étais peut-être chez toi alors que là, t'es digital nomad. Et tu te dis, ah ouais, mais pourtant, tu fais potentiellement le même métier, t'es la même personne. Mais il y a des trucs qui sont pas pareils, en fait. Et ça, il faut prendre la globalité avant de se comparer, parce que sinon, vraiment, tu vas sombrer, tu vas te désespérer, tu vas te dire que c'est nul, tu vas dire... Et d'un côté aussi, n'oublie pas, les gens qui réussissent aussi, qui disent qu'ils réussissent, c'est peut-être pas toujours le cas, premièrement. Et deuxièmement, si tu réussis et que tu sais pas pourquoi, ça dure pas longtemps. Et l'avantage quand tu te plantes, c'est que quand tu réussis, tu sais pourquoi t'as réussi. Parce que t'as trouvé la bonne formule, parce que t'as galéré avant. Et ta réussite, elle est beaucoup plus solide. Elle est beaucoup plus pérenne. Donc s'il te plaît, ne te compare pas. Et de toute façon, c'est la fameuse phrase. Soit on gagne, soit on apprend. Et maintenant, le petit fun fact. Alors, il faut savoir que depuis que je suis arrivé voir mon pote Sam à Bali, j'ai remis en place un truc que je faisais en permanence avec mon pote Loris Monteux quand j'étais en voyage en Irak. Parce qu'effectivement, quand tu n'as pas pu un pote depuis longtemps, allez, deux, trois premiers jours, tu te mets à jour. Tu racontes les trucs, ce que tu as appris, où tu as galéré, où tu as mangé, où c'était dur, où c'était génial, des anecdotes. Et puis à un moment donné, tu fais tous les repas. Parce que tu es en mode voyage ou en mode coloc, tu te vois tout le temps. Il n'y a plus tant de trucs à dire, ou pas tout le temps. Et là, en fait, on joue. Donc on joue, j'ai sorti les dés. Je ne sais pas si tu connais le 10 000. Le 10 000, c'est un jeu de dés. C'est le premier qui arrive à 10 000. C'est bien, tu as suivi. Qu'est-ce qui se passe ? Évidemment, moi, j'aime bien quand on joue et qu'il y a un petit enjeu. Je n'aime pas jouer de l'argent, mais j'aime bien qu'il y ait un enjeu. Et du coup, on joue. tous les repas. Donc finalement, il y a un peu d'argent, mais on joue les repas. Comment te dire que Sam, il a kiffé le jeu ? Et moi aussi, je kiffe ce jeu. Sauf que, comme je t'ai dit, pour moi, dans la vie, je trouve qu'on est un peu, et plus ça va, plus j'y crois, on est dans une simulation. Genre, je crée ma réalité, d'accord ? Qu'elle soit en bien ou en pas bien. Et des fois, quand je suis en pas bien, elle est vraiment pas bien. Et des fois, quand je suis bien, elle est vraiment très bien. Donc, j'essaie vraiment d'utiliser le jeu D en mode... En fait, j'appelle mes dés. Littéralement, je te dis, je lance les dés, je dis, j'annonce, je veux, je veux le manifester le bordel. C'est une simulation. Et évidemment, quand je te dis que je sors des mains de l'espace, de l'univers, de tous les trucs, là, on ne connaît pas trop les... J'en fais une victoire, deux victoires, trois... Et là, hier soir, parce que là, le mec... En fait, je ne paye plus les repas. Non, mais ça revient là, en fait. Je gagne tout le temps parce que je sors des mains où à la fin, je leur dis, « Ok, je dois faire 350, genre triple 3 et 5. » Et tu sais, j'envoie la main, je mets un triple 3 et 5. Je le regarde, le mec, je le vois, il tombe de quatre étages, il est dégoûté. Et moi, je suis là, il me dit, « T'es un enfant. » Il me dit, « Mais t'as une char... » Et je lui explique. Parce que ça doit foutre encore plus la rage à un mec qui est très cartésien quand même. Il est spirituel, mais il est cartésien. Et un mec, je lui dis, « Mais non, mais j'ai appelé l'aider. » tu comprends ? C'est moi qui les ai manifestés. Donc évidemment que je parle pas comme ça, mais je pense que quand je le dis dans ça, il m'entend comme ça. Mais si, mais c'est total. Parce que là, il y a la lune en sagittaire, donc forcément il y a eu un triple... Tu vois, je pense qu'il entend ça. Et que moi je lui dis, écoute, je pense qu'on est vibration, je pense qu'on est énergie, je pense qu'on crée notre réalité. Donc en fait, si j'ai peur de la main... En fait, souvent quand t'envoies ta main au dé, tu l'envoies et tu dis t'espère, donc c'est du doute. Parce que t'es pas certain. T'envoies rarement deux. Je suis convaincu, y'a aucun doute, je suis relâché, et je sais, et je fais confiance à la vie. Ça arrive pas ! T'es là en mode, allez, vas-y, s'il te plaît ! Ah, j'ai peur ! Et t'envoies de la peur, t'envoies du doute ! Et moi, j'envoie... J'essaie, en fait, je m'entraîne à contrôler mes pensées et mes émotions grâce au jeu de dés. Parce qu'à chaque fois que j'envoie une main, je suis en mode détendu et je visualise que c'est exactement ce que je veux, en toute détente. Et même si je perds, j'ai fait des remontadas, Et à chaque fois, j'envoie les chiffres, je les annonce, et évidemment que... Évidemment que je n'ai pas les dés que j'annonce à chaque fois. Evidemment que non, mais le pourcentage doit être au moins 10 fois plus élevé que la normale. Je te jure, c'est insane. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que ce qui est génial, c'est que les petits gages, à force, tu sais, on joue une partie, on a, voilà, on a joué une partie, j'ai gagné le repas. Après, il y a le dessert, ok. Mais des fois, on a envie de faire 2, 3, 4 parties, tu vois. Donc, il y a les gages. Eh ben là, j'ai eu quoi comme gage que j'ai gagné ? Pendant 24 heures, dès qu'il s'adresse à moi, à la fin de la phrase, il dit... votre majesté. Ça, c'est très agréable. Et la deuxième, c'est qu'à chaque fois qu'on se sépare, on fait un truc de notre côté, on se revoit, pendant 30 secondes, il doit me faire des compliments sur moi. Et ça, je peux te dire qu'au-delà de la simulation, d'aider de mon Hugues, tout ça, ça vaut quand même la peine de juste gagner parce que putain, ça fait plaisir. Allez, à la semaine prochaine.

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SUJETS ABORDÉS :

  • Ma rencontre avec un riche et son conseil surprenant sur la générosité

  • Le passage à l'action et l'effet d'entraînement d'un groupe

  • Comment saisir les opportunités qui se présentent : L'importance des signes de la vie

  • Trouver son lieu idéal : Le dilemme entre vivre en ville ou en nature

  • Le piège de la comparaison avec les mauvais paramètres

  • Le jeu de dés comme pratique de manifestation et de contrôle des pensées




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Transcription

  • Speaker #0

    Salut, comment tu vas ? Comment s'est passée ta petite semaine ? Moi, je vais pas te le cacher, j'ai passé une semaine absolument délicieusement, incroyablement agréable. Franchement, Bali, quand tu y viens souvent parce que t'es perdu, t'es dans un moment de ta vie, tu sais pas, tu viens de te séparer, tu viens de quitter ton job, tu as besoin de soleil, t'es déprimé, et quand t'es vraiment perdu, tu sais pas quoi, tu peux te perdre encore plus, je sais. c'est ce qui m'est arrivé la dernière fois mais quand tu sais pourquoi tu viens holy shit quand même surtout Pérérénane c'est vraiment la zone où tu as encore ce côté un peu nature, isière, cool avec tous les petits trucs un peu sympas qu'on aime bien en tant qu'occidental dans cette zone et waouh c'était une semaine incroyable que je vais te raconter tout de suite dans ce nouveau journal de bord et cette semaine je vais te parler d'une rencontre que j'ai fait très bri... Très bref, vraiment j'étais à un café, il y avait un mec en face de moi et je lui ai posé la question genre, excusez-moi vous avez être une personne très expérimentée dans la vie et qu'est-ce que vous auriez aimé recevoir comme conseil dans votre quarantaine que vous n'avez pas reçu ? Et sa réponse m'a vraiment, vraiment étonné. Ensuite, je te parlerai d'une histoire qui s'est passée dans le cercle des solopreneurs et sur le passage à l'action. la puissance du passage à l'action par le groupe. Et j'étais moi-même, je suis un peu dépassé par ce qui se passe dans ce cercle. Et cette communauté, c'est tellement beau. Je suis un peu genre, OK, OK, vous vous êtes chauffé là, les gars. C'est bon, bah super, ça me va. Du coup, derrière, j'aimerais aussi te parler des signes de la vie, chose auquel je crois beaucoup. Et quand je dis signes de la vie, finalement, c'est saisir l'opportunité quand elle se présente sans se poser trop de questions. et que finalement l'opportunité arrive un peu quand on en a besoin, comment la reconnaître, comment la saisir, comment dire non. C'est de ça que j'aimerais te parler aussi dans ce nouveau journal de bord. Et puis ensuite j'enchaînerai sur ma journée, que j'ai passée dans des rizières classées au patrimoine de UNESCO, qui m'a fait vraiment me poser des questions sur mon lieu de vie, tiraillé entre la ville, la stimulation de la ville, la culture, les commodités. et la nature, là où je me sens bien, mais peut-être un peu plus isolé. Bref, c'est un débat que j'ai dans ma tête depuis des années. Je commence à y voir le bout et je voulais partager ces réflexions-là parce que peut-être que ça va résonner. Je voulais aussi te parler d'une réussite qu'il y a eu dans mon collectif et d'une qui a moins réussi, mais justement, qui n'a pas réussi sur des critères qui ne sont pas les bons. Parce que je sais que le problème... quand on est dans l'entrepreneuriat, peu importe son niveau, c'est qu'on se compare. Et en général, on ne se compare pas du tout avec les bons critères. Ce qui fait que c'est comme si tu faisais un bilan de ta société et que si tu ne prends pas les bons critères d'analyse, tu as l'impression que tu as fait une année de merde alors que ce n'est peut-être pas vrai. Parce qu'il faut savoir analyser les bons chiffres et les comparer aux bonnes années et aux bons KPI, donc vraiment les chiffres clés qui font du sens. Et évidemment, je terminerai par un petit fun fact très sympa. Ce sera sur la thématique du jeu de dés et tu vas voir que... Bref, je t'en dis pas plus, c'est parti pour ce nouveau journal de bord. Je suis à 7AM, le genre de petit café qu'on adore à Bali. Tu sais, les grandes baies vitrées, vitres teintées, il y a une petite ambiance tamisée, il y a des grands fauteuils, des grands canapés en cuir. On est dans vraiment ce petit café un peu modern design qu'on aime bien. Et je suis sur une table, mais tu sais, vu que j'étais tout seul, j'ai pas pu avoir les gros canapés pour les groupes. Je suis sur les tables un peu plus en hauteur, sur les grands tabourets de bar. Et en face de moi, il y a un homme, je dirais entre 60 et 70 ans, mais classe un peu. Petit bermuda, petit mocassin qui vont bien, la boule à zéro, mais juste les cheveux blancs, mais avec un petit millimètre de cheveux, des grosses lunettes noires, et son téléphone, et tu sens qu'il est absorbé, et tu sens que le mec, en fait, il connaît la vie. Il est à l'aise. Il est assuré, il a de l'aisance, il est... Il est préoccupé par ce qu'il fait, mais tu sais qu'il est préoccupé parce qu'il a aussi le contrôle de ce qu'il fait. Je ne sais pas, je ressentais un truc. Et en général, quand on voit des gens qui ont de l'expérience, qui ont de la valeur, qui ont accompli quelque chose qu'on aimerait ou qu'on n'a pas encore fait, je trouve ça incroyable de pouvoir avoir une conversation avec ces gens-là, mais en général, on n'ose pas en fait. On n'ose pas déranger, on n'ose pas, la personne est en train de faire quelque chose. Et moi c'est vraiment ce truc qu'on a ancré quand j'étais petit, que j'essaie de me débarrasser, c'est vraiment la peur de déranger. Alors que quand tu viens en vrai avec une belle énergie, un sourire, pourquoi pas un compliment pour amorcer la conversation, c'est rare que tu déranges. Au pire, on te dit qu'on n'est pas disponible, mais c'est pas un embêtement, c'est juste que là je ne peux pas. Et j'ai ça qui tourne dans ma tête parce que j'ai évidemment des années de voyage derrière moi et autant te dire que déranger et aller aux rencontres des tribus, des locaux, des expériences, des marchés, des ce que tu veux, j'en ai fait des dizaines et des dizaines et des dizaines de fois, c'était à chaque fois incroyable. Et à chaque fois, ce que je disais à mes potes, c'est à chaque fois que je me suis bougé le cul et que j'ai surmonté soit ma flemme, soit ma peur, il m'arrivait des choses incroyables. Et je dirais que ça fait un petit bout de temps que... je voyage plus avec autant d'intensité et comme n'importe quel muscle qui travaille plus, il perd un petit peu de sa forme, de sa pêche et de son panache. Et je suis là en train de me dire, j'ai trop envie de lui poser la question, je sens qu'il a de l'expérience, je sais pas, j'ai une question qui me vient en tête, je lui pose, je lui pose pas, dans la tête je me dis, si tu cogites, je me vois être un débutant, tu sais, c'est un peu comme si, je l'aborde cette fille, je l'aborde pas, j'ai peur, mais si je l'embête, mais si elle me recale, ouais mais en fait, si en fait t'es souriant et que c'est sympa et que... et puis qu'il y a un match, le pire, tu repars avec un rendez-vous et c'est peut-être la fin de ta vie, j'en sais rien. Et là, si tu sens qu'il y a quelqu'un qui peut t'apporter quelque chose, que tu y vas avec, encore une fois, la bonne énergie, le sourire, peut-être que la réponse qu'il va donner à la question qui te démange va peut-être changer ta vie. Et je me suis dit, bon, ok, je lève la tête, je fais, excusez-moi. Il était vraiment sur la table en face, en diagonale. Je dis, excusez-moi. Je dis en anglais, évidemment, mais je dis, vous avez l'air d'un homme plein d'expérience. Quel est le conseil que vous auriez aimé recevoir dans votre quarantaine, que vous n'avez pas reçu ? Il frise, il me regarde, il me dit « Waouh ! » Dans sa tête, je me dis « C'est quoi cette question ? » Mais en fait, il prend ce que j'ai aimé. Et c'est là où tu vois les gens de valeur. C'est que tu sens quand la question vient du cœur et que tu sens que tu ne la penses pas en « Salut, coucou, vous plaisez à Bali ? » Non, en fait, tu sais que le mec n'a pas le time. Vas-y, on y va. Il me regarde. Il réfléchit, il met les yeux sur le côté, vers le ciel. Il me donne une réponse auquel je ne m'attendais pas du tout. Il m'a dit, j'aurais aimé qu'on me dise de ne pas être aussi généreux que j'aurais pensé l'être. Que j'aurais aimé penser pouvoir l'être. Et je dis, je ne comprends pas, c'est-à-dire ? Il dit, en fait, je n'ai jamais eu de problème. à faire plein d'argent, des millions de dollars. Donc direct, je me dis, OK, c'est bien ce que je pensais. C'est un mec qui pèse, même si ça ne se voyait pas vestimentairement, mais dans ses yeux. Il me dit, j'ai toujours voulu être très généreux avec ma famille, avec mes amis, et j'aurais donné beaucoup. Et il m'a dit, d'une certaine façon, ils ne me l'ont jamais vraiment rendu à hauteur de ce que j'aurais aimé ou de ce que j'attendais d'une certaine façon. Et il m'a dit... Quand tu investis, parce que je lui ai dit, mais du coup, qu'est-ce qu'il faut faire ? Il m'a dit, mais quand tu investis ton argent déjà, arrête de... Il dit, moi j'ai toujours été très bon pour gagner de l'argent, mais encore une fois, très mauvais pour l'investir. Et en plus, j'étais très généreux, là où il ne fallait peut-être pas toujours. Il m'a dit, quand tu investis ton argent, investis-le avec des professionnels, dont c'est le job, tu les payes cher pour ça, mais tu sais ce que tu as derrière. Au lieu d'essayer de l'investir, encore une fois, avec ta famille, tes amis, à qui tu veux faire plaisir. Et en fait, le fait de vouloir faire plaisir, en plus de perdre de l'argent, ça crée des conflits. Donc tu pars d'une bonne intention, tu perds ton argent, tu potentiellement te frictionnes avec ta famille, alors que tout ce que tu voulais c'était être généreux et mettre ta famille et tes amis bien, dans une belle situation. Je dis ok, merci beaucoup. Et ce qui est marrant c'est que je me suis levé, parce que je vois qu'il se lève pour aller payer, je dis excusez-moi, est-ce que je peux vous offrir le café ? Il me fait non non. Je me suis dit non mais ça me fait plaisir pour payback justement d'une certaine façon, lui rendre aussi la générosité et pas faire comme peut-être ses proches. Il m'a dit non, c'est très très apprécié, merci mais c'est très gentil, au revoir. Et le mec boum, tu sens qu'il n'a pas le temps. Et ça, ça m'a fait cogiter parce que je me dis merde, je suis clairement le genre de gars, en plus j'ai le syndrome du sauveur, à donner. Je donne beaucoup et je dépense beaucoup plus facilement pour les autres que pour moi. Et je me suis dit mais d'un autre côté, quand tu donnes, c'est que t'es... pas trop sensé attendre quelque chose en retour parce que sinon c'est pas vraiment quelque chose que tu donnes et que je me suis dit bah c'est peut-être un peu pas ouf cette façon de penser et d'un côté je me suis dit aussi le problème c'est qu'un conscientement quand tu donnes beaucoup inconsciemment tu sais tu as envie qu'au moment où tu appuies un jour sur le bouton de dire là j'ai besoin de toi la personne en fait et soit là à hauteur de ce que tu en as besoin à ce moment là Et je pense que ça m'est très souvent arrivé effectivement de me dire « Waouh, j'ai beaucoup donné à cette personne, pro, perso, connaissance, amis très proches. » Et au moment où j'en ai besoin, c'est genre « Allez, 30% de ce que j'ai donné en temps, en énergie, et vraiment moins en implication. » Et je suis là genre « Ah ! » Ah ouais, après, ok, d'accord. Et t'es déçu, en fait, d'une certaine façon. Parce qu'à ce moment-là, tu le fais pas parce que tu veux quelque chose en retour. Mais si, à un moment, t'en as besoin, t'aimerais qu'il y ait le même retour, voire à même hauteur, voire quoi pas même plus, et accepter ça. Et je me suis dit, justement, ok, je pense qu'il y a quelque chose, en fait, à revoir dans le fait de donner, parce que j'ai tendance à, quand je donne beaucoup, c'est comme si, un peu, je me mettais toujours en dernier. Je donne d'abord beaucoup aux autres, mon temps, mon énergie. Et je pense que pour toutes les personnes qui écoutent ce petit journal de bord, qui ont tendance à être très dans le sauveur, d'être dévoué aux autres, de donner beaucoup, d'être dans la générosité, et qu'il y a peut-être parfois cette déception, je pense qu'en fait, ce n'est pas qu'il faut donner moins, je pense qu'il faut surtout se remettre au centre du débat. Je pense qu'il faut se remettre en priorité, pas parce que pour être égoïste, mais pour justement rééquilibrer les forces. Et si je pense qu'on s'y rééquilibre les forces et qu'on se donne plus à soi, ce qui n'a rien de toxique, parce que je n'ai pas dit que de ne plus donner aux autres, mais si on se redonne plus à soi, on a peut-être moins le temps de donner aux autres, et du coup, on est moins déçu de ce qu'ils peuvent donner en retour. Et il y a vraiment un truc que la vie m'a enseigné, c'est cette phrase très connue qui dit que les gens oublient très vite ce que tu as fait pour eux, par contre, ils n'oublient jamais la façon dont tu les as fait se faire sentir, en ta présence. et par tes mots et par tes actions. Et moi, je le vois. Je suis plutôt le genre de mec qui a des actions très généreuses et je suis en soutien moral, physique, financier. Et je peux avoir des mots très durs parce que je veux encore le bien. Mais du coup, pour faire avancer l'autre, je vais avoir des mots très durs. Donc, potentiellement, il va le ressentir genre « Oh, tu me fais me sentir mal ou nul ou pas assez. » Et du coup, ils ne retiennent que ça. Et ils oublient très vite tous les trucs que tu as fait pour eux. Mais ils n'oublient pas ce feeling. Parce que dans la vie, en fait, tout est émotion. Et acheter, c'est sous le coup de l'émotion. Des beaux souvenirs, c'est de l'émotion. Notre vie, si elle vaut la peine d'être vécue, c'est de se dire, est-ce que j'ai vécu des belles émotions ? Donc en fait, oublie les faits et positionne-toi plus sur de l'émotion déjà avec des gens. Qu'est-ce que tu leur donnes en émotionnel plutôt que leur donner peut-être financièrement avec ton temps ou ton argent ? Mais juste, à quel point tu vas les faire se sentir bien à ton contact ou qu'eux se sentent mieux grâce à toi ? Et de te dire que si tu as envie d'investir et que tu as un peu d'argent, si on suit les conseils de ce cher Tom, fais-le avec des professionnels dont c'est le métier. Et au moins, ton argent, une fois qu'il sera placé, si toi tu es bien et que tu as créé une certaine sécurité, stabilité, une rente, cet argent qui est vraiment le fruit de ces investissements, tu peux le perdre puisque tu as déjà verrouillé tes investissements. Et ça, après, tu peux le donner plutôt que donner le budget. de base que tu aurais aimé investir. Je pense que c'est plus cette démarche vers laquelle je vais aller, c'est me remettre en priorité, remettre mes investissements aussi pour moi, faire attention à mes dépenses et les verrouiller pour que le fruit de ces investissements puisse servir quelque chose de plus safe et au final, de ne pas avoir ce regret de me dire, mince, je n'ai pas eu le retour que je voulais. Parce que ces derniers temps, c'est le dernier exemple que je vais donner pour finir ce sujet, c'est... J'avais demandé à pas mal de potes de partager justement mon cercle des solopreneurs, qui est mon projet, mon dernier projet. C'est le seul que j'ai en ce moment professionnel et qui me tiennait vraiment à cœur. Et j'ai jamais rien demandé en fait à mes potes de pousser ou de partager, de potes entrepreneurs ou créateurs. Et parce que, je sais pas, cette fierté, ce truc, tu veux pas déranger. Et là je me suis dit, ça rentre en concurrence avec aucune des offres des personnes avec qui j'ai demandé. C'est des gens que j'avais souvent... beaucoup aidé ou beaucoup été présent et dans beaucoup de générosité et finalement la plupart de ceux qui m'ont fait qu'on accepte et et qui m'ont fait cette dédicace je me suis dit ah ils l'ont fait parce que ça se voyait que je te la fais genre je te vois pas de problème je te la fais mais genre tiens je te le fais vite fait alors que moi quand j'accepte de rendre un service j'y vais comme si c'était pour moi en fait et là j'avais été un peu déçu il y en a qui l'ont fait très très bien et qu'ils l'ont fait genre wow je suis vraiment cool ça ça fait plaisir Là, l'énergie circule. Là, je sens qu'on est dans un truc où on se nourrit tous les deux et c'est trop cool. Et je sais que je peux compter sur la personne. Et d'autres où justement, je me suis dit, ok, ok en fait. À moi de faire attention au robinet et de m'assurer avant d'aider les autres et de donner de mon temps, de mon énergie, de mon savoir, que moi, je me suis déjà largement nourri en fait. Et que je me suis mis en priorité et que je donne ce qui reste pour les autres. Parce qu'en fait, toute cette énergie, ce temps et cet argent et cette substance... que je ne mets pas dans moi, dans mon business, dans mon bien-être, dans mon développement, si je ne me mets pas en priorité et que je donne aux autres et que je vois que ce qui me rentre derrière... c'est moindre, je suis perdant sur tous les tableaux. La prochaine fois que tu as envie d'être généreux, que tu as envie de donner, demande-toi si tu le fais après t'être nourri, et demande-toi si tu le fais avec les bons leviers, qui sont peut-être le levier émotionnel au lieu du levier de l'argent. Maintenant, j'aimerais te parler de passage à l'action, d'effet de groupe et de dynamique de groupe. En gros, je vais te parler déjà de... Sophie Flamand qui dans le cercle des solopreneurs c'est la goutte. Genre tu sais il y a un système de points en terme de quand tu participes, quand tu mets des commentaires, quand tu as des likes sur les postes dans le cercle de ce que tu donnes dans la valeur, enfin tu vois dans ces échanges elle, elle a 2000 points ok donc ok 2000 points sauf que la deuxième qui déjà participe énormément à genre 800 points pour te dire à quel point la meuf elle participe de malade. Je te fais un bisou Sophie parce que c'est incroyable la dynamique qu'elle met dedans parce qu'en ce moment elle est dans un CDI Et son CDI le rend ouf. Elle veut justement lancer son activité et lancer notamment deux projets. Et un qui vient déjà sous l'impulsion du cercle de solopreneurs créé, c'est son ONG en Inde pour pouvoir aider des enfants en Inde. Parce qu'elle a passé du temps là-bas et elle adore. La meuf, en voyant un petit peu tous les posts qui se passent, de voir aussi que moi je suis parti à Bali sur un coup de tête, elle s'est dit mais attends, mais en fait il y a trop d'énergie, je ne peux plus être dans mon bureau. J'ai dit à mon patron il y a trois jours que je pars en Inde dans deux jours. Il m'a dit, d'accord. Elle est partie. Jusque-là, tout va bien. Tu te dis, bon, il y a une nana, elle s'est chauffée, elle était déjà super pas bien dans son job, et qu'elle a cet effet de groupe, et qu'elle se met dans ses... Très bien. Sauf que qu'est-ce qui se passe ? Il y a Luc Ramirez, qui est dans le cercle aussi. Photographe vidéaste, d'accord ? Et il habite aussi à Toulouse. Sophie devait faire un meet-up à Toulouse, mais elle s'est barrée avant. J'ai trouvé absolument génial. Elle m'a dit, excusez-moi, je pourrais pas être là. En fait, je pars en Inde. J'aime beaucoup trop cette punchline. Luc et Sophie qui habitent à Toulouse, en message privé, ils sont restés une heure au téléphone. Le mec a fait un poste, il dit, en fait, je me dis, tu sais, des fois, il faut se bouger les fesses, il faut sortir de sa zone de confort, il faut créer l'impulsion, il faut passer à l'action et pas se dire, et si, et si, et si, et si. Et si j'avais les conditions, et si j'avais le job, et si j'avais les finances, et si c'était le bon moment, et si après Noël, et si après le printemps, et si... Il m'a dit, ben là, en fait, j'ai pris un billet d'avion. Je pars en Inde au mois de mai, parce qu'avant, j'ai des trucs à régler avec des clients. Et je pars rencontrer aussi Sophie en Inde pour faire du contenu pour elle, pour son ONG. Et je me suis dit « Waouh ! » La puissance d'un effet de groupe, d'un effet de levier quand tu sens que tu n'es pas tout seul. Et qu'il y a aussi un effet de... Ça peut être un leader, une leadeuse, un effet de masse. Ou en fait, quand tu touches ce leader, quand tu touches cet effet de groupe, quand tu touches les gens qui vibrent à la fréquence que toi, t'as... parce que c'est tes valeurs, parce que c'est ta façon de voir la vie, tout à coup, bam ! Tu rentres vraiment en résonance avec les personnes qu'il y a autour. Et ça, c'est ultra puissant parce que je pense que Luc ne serait jamais chauffé s'il se dit « je vais faire ça tout seul, prendre des grosses décisions tout seul. » Je sais, c'est ce que je fais la plupart du temps, de passer de zéro à un. C'est comme une fusée. Ce qui demande le plus de carburant et d'énergie, c'est de... Faire sortir la fusée du sol et commencer à lui faire prendre de la vitesse. Et après c'est beaucoup moins, c'est 80, j'en avais dit 70% du kérosène qui est cramé au décollage. Parce que c'est ça le plus dur. Mais quand en fait le kérosène il vient des gens parce que t'es dans un groupe, parce que t'es bien entouré, parce qu'il y a déjà des gens qui sont en train de faire juste devant toi, ils ont un ou deux pas, du coup tu les vois encore. C'est pas des gens qui sont genre « Ah vas-y ils sont tombés, ils sont là-haut, vas-y j'ai la flemme, ils sont trop loin, ils sont trop forts. » Non ils sont juste là, viens ! « Euh vas-y d'accord, vas-y je viens ! » Et ça, c'est puissant. Parce que c'est exactement, je te rappelle, la raison pour laquelle j'étais venu à Bali. C'était pour venir passer du temps avec mon pote Sam et rentrer en résonance avec sa fréquence de pirate, de mec qui taffe, de mec qui prend soin de lui en termes physiques, mentaux, psychiques, spirituels, et avec qui je claque des barres de rire monumentales. Et bien en fait, c'est ouf. Parce que ça fait une semaine que je suis là. Et je suis un diapason, tu sais, qui est venu à côté d'un autre diapason qui vibrate. Tu sais ce que c'est qu'un diapason ? Tu sais, c'est l'espèce de petite fourche. en alu, en inox, je crois, que tu utilises pour accorder les guitares. Et souvent, c'est à l'ancienne, maintenant il y a des trucs électroniques, mais tu le tapais contre un meuble et ça faisait un espèce de « là » , je crois, et tu le mettais sur la guitare pour accorder ta guitare. Sauf qu'il y a une expérience assez folle, c'est que si tu tapes un diapason qui va faire un « là » , tu rapproches un diapason que tu n'as pas du tout tapé, qui est immobile à la base, si tu le mets à côté de ce diapason, de ce premier diapason qui est en train de vibrer parce que tu l'as frappé, le deuxième qui était immobile va rentrer en résonance, va absorber la résonance et va commencer à vibrer. Mais ça, ça, ça c'est la life en fait. Alors il y a mon pote Jérémy Pory, il va se foutre de ma gueule, il va dire mais j'arrête pas de dire mais tout est énergie tu vois. Là on est là, il y a une belle énergie, j'aime bien l'énergie, j'aime bien la vibration. Mais c'est ça la life, la théorie des cordes, la physique quantique, on sait très bien c'est que de l'énergie, c'est que de la vibration. On est à 80%, je crois que c'est 80% constitué de flotte, d'eau. Je sais pas si t'as déjà vu quand tu tapes du poing sur une table et qu'il y a un verre d'eau, je sais pas si t'as capté à quel point l'eau elle se charge de cette vibration, elle bouge. C'est pour ça que c'est ultra important de faire attention aux mots que tu prononces vis-à-vis de toi-même. de la façon dont tu t'entoures, de la musique, du contenu que tu consommes, parce que ça a une certaine vibration. Et le plus fort, évidemment, c'est quand tu es entouré de gens qui vibrent à un certain niveau, ça va t'élever. Et l'inverse est vrai. Si tu n'es qu'avec des gens, ils sont déprimés, ils sont là, ils fument, ils fument du bédo, ils prennent de la drogue, ils ne foutent rien, ou alors ils sont médisants, ou alors ils sont stressés. En fait, si c'est que des gens comme ça avec qui tu traînes, tu vas t'accorder, sans que tu le veuilles, et... à cette fréquence, et c'est pour ça qu'on dit que t'es la somme des 5 personnes à qui tu traînes le plus. Parce qu'en fait, ton corps, tu peux... En fait, c'est physiologique, c'est physique. Y'a pas que genre dans ton mental, c'est que toute ta biologie résonne dans cette fréquence. Et que là, le Luc, il a pris une fréquence, mon pote, de Sophie, c'est... Ok, vas-y, bah, billets pour en Inde, et c'est parti. Et moi, j'ai pris une fréquence de Sam, et Dieu sait que ça me fait du bien, et Dieu sait que c'était important et que je l'avais compris. Que moi, je vivrai breté... ... pas très haut ces derniers temps, en fait, j'ai... Ok, vu que je galère à vibrer un peu plus haut parce qu'il faut que je me nourrisse, je sais quoi ? Le carburant du kérosène de la fusée, je vais aller le chercher chez quelqu'un qui l'a déjà. Et boum ! Donc, demande-toi en ce moment à quel niveau tu vibres et surtout, à quel niveau les autres personnes avec qui tu passes du temps, elles vibrent. Et demande-toi en ce moment quelle est ta capacité de passage à l'action. Est-ce que c'est facile, est-ce que c'est pas facile ? Est-ce qu'il y a des choses que t'arrives pas à faire, que t'aimerais faire, que tu te retiens de faire ? Et demande-toi si les gens autour de toi, ils t'aident, en fait ils te facilitent ce passage à l'action, à te débloquer, ou au contraire, ils ralentissent et le rendent plus dur. Si c'est le cas, regarde dans ton entourage, si tu connais des gens qui peuvent être le kérosène de ta fusée. Et si c'est pas le cas, mais trouve-en ! Regarde, il y a le cercle des solopreneurs, tu viens, il y a des valeurs de fou, c'est les miennes. auxquels on est réunis autour de ça en fait. C'est pas de moi, c'est de mes valeurs et on les partage tous. C'est pas les miennes, c'est celles que j'ai et que finalement tout le monde a. Mais sinon si c'est pas ça, trouve-en autour de toi. Parce que c'est ultra important et c'est tellement puissant. Et c'est tellement galère de passer tout seul de 0 à 1. Maintenant parlons signe de la vie. Ok, alors moi j'ai jamais été quelqu'un de religieux, mais j'ai toujours été quelqu'un de spirituel. Depuis que je suis gamin, je sais pas, alors que pourtant à la maison c'est très athée. Mon père il n'aime pas la religion, ma mère elle a été forcée d'aller à l'église quand elle était gamine et de voir que les curés au Portugal ils roulaient en merco quand tout le monde était pauvre si tu veux elle n'est pas trop friendly avec la religion catholique et bizarrement je pourrais pas t'expliquer pourquoi j'ai toujours été genre j'ai l'impression que j'étais, je sais pas, guidé, protégé, qu'il y avait un truc plus grand que moi j'avais toujours des petits gris gris avec moi comme des portes bonheur mais comme un truc qui me reliait, qui me connectait à un truc plus grand J'avais toujours l'impression que je pensais à des choses et que c'est comme s'il y a un espèce de truc plus grand qui m'amenait ces choses-là au bout d'un moment. Et je me disais, hé mec, c'est ça, vas-y, tu vois. Et il y a une histoire que j'aime beaucoup sur les signes de la vie. C'est en fait, c'est un pêcheur. Il est dans l'océan et en fait, il essuie une tempête. Et son bateau se fait laminer en mille morceaux. Et il arrive à être sur un espèce de débris de bois sur lequel il flotte. Et il dit, s'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît, vraiment, s'il vous plaît, venez me sauver. Je suis un bon religieux, je prie tout le temps. S'il vous plaît, venez me sauver, venez me sauver. Et là, il y a un petit bateau de pêcheurs qui arrive. Il est là, il arrive. Il est là, il se dit, vas-y, vas-y, c'est bon, viens, monte. Et le mec dit, non, non, c'est bon. C'est bon, Dieu me sauvera, Dieu va me sauver. Il fait quoi ? Non, non, mais c'est bon, moi je reste là, Dieu va me sauver. Ok, bon bah ok, d'accord, comme tu sens. Et là, il dit, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi. Et là, il y a un moment, il y a une espèce d'énorme chalutier qui arrive. Énorme chalutier, sirene et tout, il voit le mec, il commence à enlever la boue, il fait, non, non, c'est bon, c'est bon, Dieu va me sauver, c'est bon, moi je reste là. C'est Dieu qui va me sauver, vous inquiétez pas. Ah quoi ? Mais non, venez, vous êtes malades, mais attends, prenez la boue. Non, non, non, c'est bon, ok. Il dit s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, j'étais un bon chrétien, je crois tout le temps en vous, j'ai été pieux, je suis quelqu'un de pur. Et là, il y a un bateau, c'est un cargo qui arrive. Alors là le truc le machin il est là Il est projot sur la gueule il lui envoie 4 trucs Et le mec Non je veux pas monter Dieu me sauvera Il dit non le gars se débat Le gars il le laisse Le gars est fou vas-y tant pis pour lui c'est sa vie Le mec finit évidemment par se noyer Il arrive tout en haut Il dit mais Dieu je comprends pas Comment vous avez pu me laisser mourir J'étais persuadé que vous alliez venir me sauver Et là Dieu il dit mais tu te fous de moi ou quoi Je t'ai envoyé un bateau de pêcheurs, un chalutier, un cargo, tu veux quoi ? Et en fait, c'est ça la life. C'est de se dire, il y a un moment donné, tu veux quelque chose. Mais quand ça se passe sous ton nez, quand il y a un petit truc, quand ça te trigger, quand tu vois quelque chose en fait, mais saisis-le en fait. Et l'univers, la manifestation, la visuelle, appelle-le comme tu veux. C'est pas un truc où c'est écrit en toutes lettres. Alex, c'est par ici que tu dois prendre la décision. T'inquiète pas, tout va bien se passer. Non, ça, c'est pas ça. Ça, c'est une consigne d'un exercice. Il y en a un à voir, ce qui est très chiant. C'est pas ça, c'est un escape game. C'est un escape game. C'est par là, t'as payé 50 balles, et tu repars et t'es content. La vie, c'est pas ça. La vie, c'est OK, tu veux quelque chose, et à partir du moment où t'es convaincu que tu veux quelque chose, la vie, elle se fait un malin plaisir à t'aider. Si tu doutes, elle t'apporte du doute. Si t'as peur et que t'es mal, bon, elle t'apporte une vie de merde. Et c'est ça qui est fort. Et en plus... Si tu t'intéresses un petit peu à la spiritualité, ou même tout simplement à l'univers, à la religion, à tout ça, soit tu vas aller prendre un peu des psychédéliques, tu vas aller prendre des champis, du LSD, de l'ayahuasca, et tu vas comprendre qu'effectivement, tu as l'impression qu'on fait partie d'un tout et qu'on est une espèce de petite particule qui est un des composants d'une des plus grandes particules. Et si tu vas du côté, au contraire, pré-cartésien, scientifique, physicien, bon ben... plus ça va et plus les calculs et leurs recherches montrent que potentiellement, on vit vraiment dans une simulation, que ce soit à travers la physique quantique et que ce soit à travers différentes théories qui disent que... Il y en a une théorie en ce moment qui est très populaire, alors controversée évidemment, mais populaire, qui dit que justement, imagine-toi, en fait, on vit dans une simulation et c'est obligatoire. Et que notre monde est juste la manifestation de notre permanente manifestation. Il dit, regarde, si par exemple, il prend une comparaison, on a été obligé de se créer ce monde pour vivre dans ce monde, dans cette manifestation, dans cette simulation, pardon, j'ai bien aimé cette théorie, et il dit, parce que, imagine à chaque fois que tu dois envoyer un email, que tu dois construire un ordinateur, créer le programme qui permet d'envoyer un email, c'est impossible en fait. Donc tu te crées une interface qui va te permettre d'interagir et de pouvoir envoyer des emails. Et il dit, la vie c'est un peu pareil. J'aime bien cette comparaison-là parce que ça permet vraiment de se dire, et j'aime bien d'un côté, parce que c'est toi qui as le complet pouvoir sur ce qui t'arrive. C'est ça en fait. Pour moi, ce n'est pas genre Dieu va t'aider, il va t'envoyer un cargo. C'est au contraire, c'est toi qui as décidé qu'il y avait un Dieu, donc tu t'es créé ça dans ta tête, et que ce Dieu pouvait t'envoyer un cargo, donc il y a un cargo. Mais ça veut dire que si tu prends cette façon-là, qu'elle est spirituelle ou pas, moi je m'en fous, mais c'est beau de se dire, c'est toi qui va shape, qui va vraiment former ta vie. ton succès, ce qui t'arrive, et il n'y a rien... Quand tu auras pris le contrôle de tes pensées et de ta vibration et de tes intentions, ce qui est le plus dur, parce qu'on est fait pour douter, on est fait pour avoir peur. Notre cerveau reptilien est un des caves et que plus tu avais peur, plus tu étais sur le qui-vive, plus tu avais de chances de survivre. Parce que, en fait, s'il y a un petit bruit de merde et que tu es là et que tu déguerpis, tu as plus de chances de survivre que le mec qui est là et qui s'en fout et qu'en fait, une chance sur deux, c'est un espèce de prédateur qui vient de bouffer la gueule, c'est pas ouf. Sauf que maintenant, ce n'est plus le cas. Et on a gardé ces réflexes de reptiliens d'avoir peur de tout pour nous permettre de survivre. Sauf qu'aujourd'hui, j'espère pour vous, en tout cas, vous êtes dans une situation où il n'y a pas la guerre et que vous n'êtes pas à mourir à chaque angle de rue ou à chaque pas que vous faites, ce qui était le cas dans la nature avant en mode survie. Ça veut dire que le challenge, il est de prendre contrôle sur ses pensées, ses émotions. Parce qu'en fait... c'est un émetteur ultra puissant de ton cerveau qui te crée ta réalité. Donc si tu te doutes et que tu as peur, ce qui est paramétré par défaut dans notre cerveau, les pensées négatives représentent je crois 80% de nos pensées au global, c'est un truc de ouf. Et si tu réussis à prendre le contrôle de ça, d'être dans la projection, et être convaincu que c'est ce que tu veux, donc tu vas potentiellement créer ce truc-là. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que je trouve que c'est un beau challenge. Parce que qu'on y croit ou pas... En fait, prendre le contrôle et toujours d'en essayer de se dire « voilà ce que je veux » et d'en être convaincu et de ne pas se laisser démordre par ça et de rester calme et serein et conscient dans son action, ses pensées et ses intentions. Je trouve ça quand même beaucoup plus formidable que de dire s'il vous plaît, attendre que ça se passe, d'avoir peur, de sentir la victime. Donc en fait, même si tu es cartésien, même si tu es ultra terre à terre, ça vaut le coup de faire ça. Et je vais donner une histoire sur les signes de la vie que j'ai trouvé génial. Je cherche en ce moment, il n'y a pas longtemps, je cherchais un coach en prise de parole et positionnement, body language et public speaking. Et j'avais fait un post sur LinkedIn et sur Insta pour avoir des recos. Et juste après avoir fait ce poste, j'ai une pote qui, que j'étais à Lisbonne encore à ce moment-là, qui me dit « De toute façon, trop cool, j'ai vu ton poste Alex, on dit d'ensemble ce soir. » Et j'ai une pote qui est aussi de passage avec moi à Lisbonne, je te la présenterai. Elle, c'est son taf en fait, elle est coach en prise de parole et positionnement public, etc. Et je me suis dit « Bon bah, trop bien ! » Et en fait, j'ai pas eu le temps d'y aller, parce que je devais faire mes bagages et me barrer pour aller à Bali. et du coup j'ai pas pu la rencontrer on a fait quand même un petit échange j'ai fait un petit appel découverte avec elle je me suis dit Ausha la meuf genre Ausha je pense qu'elle est pas mal tu sens qu'elle sait ce qu'elle fait tu sens qu'elle est pointue mais j'étais en mode en plus j'ai pas le temps je suis en speed et là j'étais à Bali il faut que je prenne la décision il faut que je review un peu les 42 recos qu'on m'a fait on m'a fait 42 recos tout le monde il y avait plein de gens qui m'ont tous dit Ah non mais cette personne là, ah vraiment tu peux y aller les yeux fermés, tiens cette personne là, vas-y, franchement les yeux fermés. J'ai dit mais ouvrez les yeux et juste donnez-moi une personne. Et en fait tout le monde a donné recours, donc j'ai review tous les profils. J'ai regardé la vibe, le truc, voir s'ils étaient pros aussi. Et je cherchais en fait bizarrement quelqu'un qui était plutôt plus âgé que moi, plutôt masculin. Parce que moi j'ai un gros problème, j'ai un énorme défaut. C'est que je suis très difficilement coachable parce que mon ego vient me faire chier, vient me jouer des tours. Et je me suis dit, il faut quand même quelqu'un là, où je sens que c'est un peu le gars un peu daron, qui va avoir de l'expérience, qui va avoir de la bouteille, et qui va me permettre de vraiment faire sauter ce truc où je ne suis pas bon en tant que personne coachable. Et je me suis dit, une femme, j'ai tendance à me positionner un peu en mode dominant, leader, etc. Parce que, surtout dans cette interaction-là, alors que j'aime beaucoup l'interaction, je bosse quasiment en majorité avec des femmes, parce que... J'aime beaucoup leur psychologie, leur douceur. Moi, ça m'apaise, ça me permet de voir les choses autrement, etc. Avec douceur. Sauf que là, ce n'est pas ce dont j'avais besoin. Donc, j'étais dans ce Ausha, tu vois. Je fais le tour des 42 personnes. Comment te dire ? Je fais le review de tout le monde et je reviens à cette personne. Et je me dis, bon, en fait, la vie quand même est bien faite. C'est-à-dire que quand je demande, le premier truc qui tombe d'une personne que j'aurais dû rencontrer directement le soir même, c'est de la voir. C'est la personne qu'on m'a recommandée en premier et que tout le reste, ça ne valait pas la peine. Je me suis dit « Waouh, c'est fou. Quand ça paraît trop gros, trop évident, on se méfie. » On demande. J'ai demandé. « Tiens, des fois, c'est trop. Des fois, il y a trop de flèches. C'est trop évident. » « Non, c'est un piège. C'est chelou. C'est trop simple. » Et on se dit que la vie, c'est trop simple. C'est ça qui est fou. Et quand c'est trop simple, on se méfie. Parce qu'on a tellement l'habitude de galérer, d'en chier, de... parce qu'on doute, parce qu'on a peur et du coup on attire le doute et la peur et la merde, que quand on est déter, qu'on est là, on est fluide et qu'on manifeste un truc ultra sharp, précis, on sait ce qu'on veut, on est déterminé et que ça arrive, c'est bizarre. Tu vois, il y a un piège. Et donc ce que je veux te dire par là, c'est prends le contrôle de tes émotions. Je ne sais pas si c'est le cas en ce moment. Si ce n'est pas le cas, vraiment prends le temps d'être... C'est quoi le plus d'émotions que tu as dans ta tête ? Est-ce que quand tu penses à un sujet, est-ce que t'as le doute ? Est-ce que t'as la peur ? Ou est-ce que t'as la conviction ? Est-ce que t'as l'énergie ? Est-ce que t'as l'envie ? Est-ce que t'as la motivation ? Est-ce que t'as la foi ? Et la foi pour moi c'est le truc le plus puissant. Et c'est pas le côté religieux. La foi c'est pour moi le... Ça va se faire. En fait t'es convaincu que ça va se faire. Et y'a pas d'autres possibilités. Et que là t'es en mode émetteur plus plus, simulation, hop là tata life, viens hop là, voilà. Dîner ce soir avec la personne que tu voulais. Oublie ton poste. Ça marche, bah ouais, et ça c'est puissant. Et si c'est pas le cas, je trouve que te dire que tu vis dans une simulation où tu vas créer ta réalité et où la vie va t'envoyer des signes, les signes c'est juste finalement la manifestation de ce que t'as voulu, et bien à toi d'accepter que c'est potentiellement bien en fait. Et de pas avoir peur que quand t'es sûr que c'était ça, et qu'il y a un train qui passe clignotant et qui a ton prénom dessus, monte dedans. Parce que je peux t'assurer que quand tu montes dedans... et que tu continues à faire conscience et que tu continues à avoir des pensées et des actions qui sont conscientes, saines et positives, la vie va prendre une autre tournure. Où habiter ? En ville ? ou en pleine nature. C'est un peu le dilemme que je me pose depuis des années, que la vraie vérité, quand je me sens bien apaisé, aligné, c'est quand je suis dans la forêt, sous des arbres, en pleine nature. Mais à chaque fois, la vraie vérité, je me dis que je ne peux pas vivre comme ça, de rencontrer des gens, il faut que ce soit pratique, je n'ai pas de petite famille, je ne suis pas célibataire. Je suis célibataire et je n'ai pas une petite famille pour me dire je crée mon petit cocon et puis ce n'est pas grave. Si je veux rencontrer des gens un peu et pas être là le vieil ami qui finit barbu comme ça, coupé du bois. Non. Donc je me dis, je vais en ville. Ok, en ville. C'est cool, il y a de la stimulation. Mais en fait, je suis toujours là genre ça manque de nature. Puis ça me, je ne sais pas, ça me surmerge. Il y a plein d'énergie. Plus ça, plus je suis sensible aux énergies, moi, donc plus il y a ce côté genre de toxicité de la ville. du mal-être de la ville avec tous ces vices, tous ces hauts et ces bas, il y a toutes les phases du puzzle dans une ville. Et en fait, je suis là en mode, ça ne me met pas bien. En fait, ça ne me met pas bien parce que j'ai habité à Lisbonne, qui est une ville géniale. J'adore Lisbonne, c'est super. Manque d'arbres, comparé à Medellín, que j'aime encore plus à cause de ça ou grâce à ça. Et du coup, je suis parti parce que je... justement je suis en mode, en fait la ville il y a beaucoup d'énergie, c'est pas mon délire tu vois quand même, où justement je me dis, si un peu, mais quand tu y habites c'est tout le temps, et puis je me dis, ça manque un peu d'apaisement, de nature, et puis vu que ces derniers temps je me renseigne pas mal sur le TDAH, je m'aperçois que ce qui naturellement les études scientifiques ont prouvé que naturellement, c'est le meilleur apaisement pour les TDAH c'est la nature, et donc autant te dire qu'en ville, moi je suis un écureuil, il y a des lumières partout, c'est parti tu vois genre... Tu vois, c'est compliqué pour moi de me concentrer, d'être bien, d'être focus en vrai, parce qu'il y a trop de trucs. Et je me dis, OK, OK, bon, bah, super. Mais je suis en train d'avoir ce déclic parce que justement, ce week-end, j'ai été dans les rizières de l'UNESCO de Jilaputui. Je n'arrive pas à le prononcer. Jilaputui, un truc comme ça. Bref, c'est à une heure au nord, vers Ubud. Et en fait, tu es là. C'est du vert, Et c'est pas vraiment de la vraie nature puisque bon bah c'est quand même de la culture, c'est pas de la forêt, c'est quand même des rizières, des montagnes et des vallées qui ont été façonnées à la main par l'homme. Mais t'as quand même ce vert, ça pousse, c'est pas des bâtiments, c'est quand même des plantes qui ont été mises là à la main, mais ça reste des plantes. Et on se baladait comme ça, tu sais genre au milieu des rizières, sur des petites tranchées comme ça. Bon j'en suis aperçu qu'on n'est pas trop droit de le faire normalement. Mais bon tu connais, j'ai un vrai problème, moi quand j'étais influenceur voyage j'ai mis un concept que j'arrêtais pas de répéter, c'est en fait faut rentrer dans le paysage. C'est un art d'observer comme ça, vas-y rentre dedans Bah si c'est de l'eau plonge, si c'est de la forêt Rentre là-dedans, si c'est du sable Bah roule-toi, tu vois Et s'il y a de la boue, vas-y mets les pieds dedans En plus après on a trouvé un spot Il y avait que des locaux dedans C'est mon pote qui avait déjà vu ce truc-là Tu loues pour un balle une grosse chambre à air Et tu descends la rivière au milieu des rizières T'étais là, oh il y a les volcans en fond Et tu sais on se regardait Il me fait ouais J'ai juste ça, ouais, ouais, ouais, c'est bon Et lui C'est pareil, c'est un mec, il est quand même dans une vie capitaliste, puisque c'est un mec qui est en train de créer un fonds d'investissement, son métier c'est de trader en bourse et d'aider justement des personnes qui investissent en bourse, parce qu'il investit lui-même, il a vraiment une société qui permet, du cas du conseil, de placement en bourse. Donc c'est clairement le pur produit du capitalisme. Et souvent quand on dit qu'on est le pur produit du capitalisme pour réussir, Il faut traîner dans le jus, dans la ville. Et moi, je me suis dit ça. Si j'ai envie d'être stimulé, si j'ai envie de trouver des gens, il faut que je sois un peu dans cet état d'esprit-là de la ville. C'est toujours ça. En vrai, c'est quand même cool les commodités de la ville. On ne va pas se le cacher. Si à chaque fois, je devais trouver à manger, je devais aller chasser, je pense que je perdrais quelques kilos. Et en fait, il y avait vraiment ce moment où je me suis dit « Ok, en fait, la ville... » J'y vais parce que je me dis que je réussirais mieux personnellement, peut-être professionnellement, plus d'opportunités, de stimulation. Peut-être que je trouverais aussi plus une personne avec qui passer le reste de ma vie parce qu'il y a plus de gens, donc j'ai peut-être plus de chances. Après, je me dis, mais en vrai, si je suis en pleine nature, je suis plus calme, donc je suis plus focus, donc je me régénère plus vite. Donc, en fait, je suis plus créatif, je travaille mieux, je me sens mieux. Ça sert virtu. Et puis, je me dis, tant qu'à trouver quelqu'un, même s'il y en a moins, en fait, vu que je suis spécial. Parce que j'ai une vie spéciale, en fait, je n'ai pas besoin d'avoir de matchs avec beaucoup de personnes. J'ai juste besoin de rencontrer une un jour, tu vois. Donc, ça se trouve, à se balader en forêt, et ça ira très bien. Et autant rencontrer les gens, que ce soit des amis, que ce soit un partenaire ou une partenaire, dans l'endroit, en fait, qui toi... ben là où tu as envie d'y aller en fait dans ton but plutôt que te dire ok je vais là il y a le plus de monde je rencontre des potes des professionnels des partenaires un chéri et puis après j'irai là où j'ai vraiment envie d'aller mais en fait c'est peut-être ça n'a pas matché en vrai alors que si tu es déjà là où tu veux être tu vas rencontrer des gens qui peut-être sont déjà dans le même parcours de vie que toi et tu dis ah mais ah t'es là aussi toi ouais je ouais exactement pour ça c'est ça et d'être vraiment tu vois sur cette chambre à air là Tu sais où t'es là, tu tournes sur toi-même tout doucement, t'as le paysage qui fait un 360, y'a du vert, y'a des volcans, t'es bien, t'es avec ton pote, t'y dis mais en fait mon pote je suis venu rencontrer dans ce milieu-là, et c'est un mec smart, et c'est un mec qui justement, comme je disais, me permet de, tu vois, en ce moment d'être dans une haute vibration, et puis je suis cool, je me sens apaisé, puis je suis créatif, puis en fait j'arrive à faire du bon taf dans le cercle des solopreneurs, y'a des belles choses qui se passent, bon, côté partenaire, y'a rien, Mais en fait, ce n'est pas grave. Parce que je me dis, c'est ça. Je crois que je me suis promis que je ne revivrais plus en ville. Et j'adore aussi la ville. Mais du coup, j'adore la ville pour me stimuler. Comme ce moment d'attraction, de stimulation, de parenthèse. Et que j'y verrais en pleine nature. Peut-être justement entre Bali et Medellín. Parce que pareil, vu que j'ai un peu la bougeotte. Ok, ce n'est pas grave, j'accepte que j'aurai plusieurs camps de base. Et que justement, quand j'ai besoin de faire de l'administratif, et de faire des trucs... Ah franco-français, et bah c'est pas grave, je viendrai un mois, deux mois, en France, en Europe, peu importe, et je viendrai prendre ma dose de ville versus l'inverse en fait. Parce qu'avant j'étais en mode, ok mon camp de base c'est le truc pratique en ville, mais après je vais me prendre ma dose de nature. Et là je me suis dit, fuck no, tu vois genre, là tu vois j'ouvre le rideau, quand je fais ça là regarde, tu vois, j'ouvre le rideau de la chambre, j'ai un mur de verdure. Et juste là je me lève le matin, j'ouvre mon rideau, je suis là genre, ah. C'est pour ça que j'ai vendu mes meubles en deux jours et que je me suis barré. Merci, ça me fait du bien. Et d'avoir été dans ces petites rizières ce week-end, ça m'a vraiment confié de me dire, arrête de forcer. Tu le sais au fond que toi, tu es un mec de la nature. J'ai juste peur de me faire chier ou de rencontrer personne. Alors que s'il y a bien un des petits avantages qu'a pu apporter le Covid, c'est l'ultra digitalisation du travail. D'autant plus, je l'étais déjà, mais... d'autant plus sur plein de choses, et que finalement, il y a d'autant plus de gens aussi qui retournent en pleine nature tout en pouvant faire leur métier qu'ils faisaient en ville. Donc d'autant plus de possibilités de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs, mais qui sont stimulants, qui professionnellement sont évolués, etc. Donc si tu te poses la question, que toi tu es un peu en mode, « Ouais, la ville c'est pratique, mais en vrai, moi c'est quoi ? » Va là où ça te fait kiffer, fais ta base là, et quand tu as besoin de, pour X raisons, kiffer, administratif, business, va en ville. Franchement, je te dis, ça fait un bien fou. Et maintenant, dernier sujet avant de finir sur le fun fact, c'est se comparer. Attention. Je vais te raconter deux petites histoires qui viennent de se passer dans mon collectif. C'est Charlotte, Charlotte Parot, qui est incroyable, qui vit de l'aquarelle. Moi, franchement, c'est l'incarnation de « Tu peux vivre de ta passion » . Juste terminer bonsoir. Qui a en plus quitté ce qui était fonctionnaire avant, donc cette sécurité-là pour vivre de ça. Et là, en gros, qu'est-ce qui se passe ? Elle a lancé sa communauté school, comme moi, avec une offre. Parce que pour les passionnés d'aquarelle, quand je dis que c'est des passionnés, c'est des gens qui ont envie, au lieu de se tuer à la salle de sport ou être devant des écrans, ils ont besoin de déconnecter de façon plus douce et plus saine. Ils ne font pas de la poterie, ils font de l'aquarelle. Il y en a de plus en plus. Je sais qu'il y a une grosse mode du tricot. Là, c'est l'aquarelle et je trouve ça fantastique. Et du coup, elle a lancé sa communauté. Donc elle, elle en fait quand même depuis, elle a sa communauté depuis au moins un ou deux ans. Facile, facile, ok ? Elle fait des postes, elle fait des ateliers à Annecy qui sont remplis. Et du coup, quand elle a lancé sa communauté en ligne, cette fois, donc sur School, comme moi, elle a fait un lancement et là, elle en est à 150 personnes. Genre, elle a plus de personnes dans sa communauté School que moi. Et sa communauté doit être à 27 ou 37 balles. J'ai trouvé ça, mais... Fantastique ! Comment te dire que même elle était là genre waouh c'est trop bien en plus c'est un abonnement recurring donc elle qui flippait un petit peu de se dire bah tu sais genre des fois elle remplit ses ateliers, elle aimerait bien avoir plus de visibilité fantastique ! Elle s'est même retrouvée, écoute bien pour te dire, dans le top 5 monde, monde de la plateforme school qui fait le plus justement de revenus sur les thèmes des hobbies donc des loisirs 5, le top 5 et t'imagines si à la fin du mois elle reste dans le top 5 Je crois qu'elle est redescendue à la 7ème place, mais elle était dans le top 5. Genre, elle a un mastermind tout frais payé par la plateforme Skool avec Hormozy. C'est une dinguerie monumentale. Je l'ai mis, j'ai essayé de le pousser aussi dans ma story. Je lui ai dit, franchement, essaie de dire à tous tes potes, on sait jamais. Mais... qu'il y a Youpa dans ce mastermind. Genre, waouh, réussite, même elle, ça s'est emballé. Tout le monde dans le collectif a partagé sa story, enfin, en story, son lancement pour dire allez-y, si quelqu'un aime l'aquarelle, franchement, pour 27 balles, faites-la kiffer. Aidez-la d'autant plus à être dans ce classement et à faire un super lancement. Génial. Et à côté, en même temps, il y avait une autre personne du collectif qui a lancé sa communauté, mais sur la décoration intérieure. Et c'est une personne qui s'est reconvertie récemment et qui, justement, a une communauté plus fraîche et avec une offre qui n'est pas encore bien prépositionnée. Parce qu'elle, elle la cherche. Qu'est-ce qui s'est passé ? Elle, au contraire, alors qu'elle fait... Franchement, elle doit avoir 20 000 ou 25 000 sur Insta, qu'elle fait beaucoup de vues. Elle a fait qu'une dizaine de personnes rentraient dans sa communauté. Donc forcément, je vois ça, je m'empresse de lui envoyer un message. Parce que je me dis... Parce que la deuxième personne qui... a fait un lancement qui est loupé. Comment te dire que c'est une personne, c'est une bosseuse, c'est une meuf géniale, c'est une meuf qui fait les choses avec le cœur, c'est une meuf en or, c'est une meuf qui se défonce, qui se remet en question, qui taffe, qui va trouver des... Tu vois, c'est le genre de personne qui, de toute façon, elle va réussir. Et la preuve, quand elle a commencé sur Insta, elle faisait que quelques vues, là, des fois, elle a claqué plusieurs millions sur certains contenus parce qu'elle a gardé cette régularité. Boum, ça a pété. Donc, c'est une meuf. Tu sais qu'elle réussit, elle va réussir. Mais là, au même moment, sa pote qui lance, elle cartonne, elle pas, forcément, je lui envoie un message, je lui dis s'il te plaît, ne compare pas ce qui n'est pas comparable, même si c'est tentant. Parce que Charlotte, elle, ça fait deux ans qu'elle est sur ce contenu-là, ce positionnement-là. Elle a déjà des contacts, elle a déjà plein de gens qui sont venus sur ses ateliers, elle a déjà un positionnement qui est clair, et toi, tu viens de te reconvertir, t'as lancé ça il y a... Ce nouveau positionnement, cette nouvelle activité, il y a 6 mois, un truc comme ça, à peine. Tu viens de faire du contenu, mais il n'y a pas encore ce rapport aussi peut-être de confiance. Et puis aussi, ton offre, est-ce que ça s'adapte aussi bien sur la communauté pour de l'aquarelle que pour du design d'intérieur ? Et si c'est le cas, peut-être que ce n'est pas ce que tu mets dedans. Et ça m'a vraiment rappelé, quand moi je m'étais lancé dans l'entrepreneuriat, j'avais une personne à ce moment-là avec mon équipe et c'était insane. Avant même d'avoir lancé mon propre business, on s'était mis sur le business d'une pote et c'était insane. Il y avait un croisement du time to market, c'était la première sur son créneau. Il y avait le Covid qui venait d'arriver, donc c'était la mode des formations en ligne. C'était en 2020, un truc comme ça. Et elle a fait un million de chiffre d'affaires en organique. Ça ne se voit plus, des 40% de taux de transformation sur la base mail, des trucs de fou. Un truc de fou ! Même nous on était là genre, wow, tu sais, allignement des as de la chance, de elle qui a fait un travail de fou, moi avec mon équipe qui a été bonne, etc. et qui ont eu de la chance. Et évidemment, derrière moi, quand je lance mon business, je me dis, c'est moi qui ai donné tous ces conseils, ça avec mon équipe, je vais au moins faire pareil. Et pas du tout. En plus j'avais une communauté, mais trois, quatre fois, cinq fois plus grande qu'elle. Avec 10 000, j'avais déjà 90 000 sur Insta et j'avais tous mes autres réseaux. Mais pas du tout en fait. Parce qu'elle, ça faisait un an qu'elle donnait du contenu gratuit, de qualité, en podcast, sur ses réseaux, qu'elle se positionnait. Donc au moment où elle a ouvert les vannes, les gens avaient une confiance aveugle, elles avaient vu la qualité du contenu, et qu'elle était positionnée, qu'elle était première. Boum, ça a tout cartonné. Moi, oui c'est sûr, j'avais des gros comptes, mais ça faisait dix ans que j'ai eu du voyage. Et là, j'étais plus sur du personal branding, la stratégie de création de contenu, de transformer un métier dans sa passion, et avoir de la visibilité sur les réseaux. Wow, les gens étaient... pas trop près. Oui, il y en a qui m'ont suivi. Genre, j'ai dû faire 150K, 200K la première année, ce qui est très bien. Mais c'est genre presque 10 fois, allez, 8 fois moins que mon ami. Et ça, en fait, au début, t'as ton égo qui en prend un gros coup, et ça fait du bien, en vrai, parce qu'au début, tu le vois pas, mais c'est une excellente leçon de se dire, compare pas ce qui est pas comparable. Au moment où tu en es, pourquoi tu en es. Et des fois, tu peux même être au même moment. Mais en fait, tu te dis pas que t'es... Des fois, c'est juste, t'as pas les... c'est pas que t'es moins bon, c'est que t'as pas trouvé le bon clic, la bonne offre la bonne façon de faire en fait et qu'il y en a un autre qui peut-être avant de se lancer a plus bossé son truc ou c'était peut-être plus évident peut-être que son marché est plus évident son offre est plus évidente, peut-être qu'elle a juste aussi permis de refaire des choses de personnes qui avaient déjà réussi elle l'a fait à sa sauce, toi tu veux créer un espèce de nouveau truc parce que tu te dis que c'est génial et que vu que t'es tout seul et ben y'a personne sur qui tu peux prendre exemple et du coup bah ... ça tombe un peu à l'eau. Donc, vraiment, c'est comme les deux histoires que je viens de te raconter. Si tu vois quelqu'un qui est en train de réussir, Et que toi tu réussis pas comme l'autre personne, tu dis putain mais si elle y arrive, pourquoi j'y arrive pas ? Compare pas, tu sais pas où elle en est, tu sais pas combien de fois elle a foiré, tu sais pas depuis combien de temps elle te donne du contenu assez positionné, avant d'avoir ouvert les vannes que t'as ouvert peut-être en même temps. Mais peut-être que toi c'est pas, encore une fois la bonne offre, la bonne cible en face, sur le bon réseau, de la bonne façon, et c'est ok en fait. Parce que au moins tu vas pouvoir cocher cette case et te dire, c'est pas comme ça que je dois le faire. C'est pas ma façon, c'est pas la bonne offre, c'est parce que les gens ils ont besoin et que c'est ok. Et surtout, te compare pas. C'est comme si tu te comparais à toi dans cinq ans. Regarde, si tu veux te sentir bien, compare-toi à toi, ton toi de toi-toi. Ça fait beaucoup de toi dans la même phrase. Mais dis à cinq ans, où est-ce que t'en étais ? Est-ce que tu te comparerais ? Bah non, en fait. T'étais peut-être encore en CDI, t'étais peut-être tes premiers euros, et là, tu gagnes super bien ta vie. T'étais peut-être chez toi alors que là, t'es digital nomad. Et tu te dis, ah ouais, mais pourtant, tu fais potentiellement le même métier, t'es la même personne. Mais il y a des trucs qui sont pas pareils, en fait. Et ça, il faut prendre la globalité avant de se comparer, parce que sinon, vraiment, tu vas sombrer, tu vas te désespérer, tu vas te dire que c'est nul, tu vas dire... Et d'un côté aussi, n'oublie pas, les gens qui réussissent aussi, qui disent qu'ils réussissent, c'est peut-être pas toujours le cas, premièrement. Et deuxièmement, si tu réussis et que tu sais pas pourquoi, ça dure pas longtemps. Et l'avantage quand tu te plantes, c'est que quand tu réussis, tu sais pourquoi t'as réussi. Parce que t'as trouvé la bonne formule, parce que t'as galéré avant. Et ta réussite, elle est beaucoup plus solide. Elle est beaucoup plus pérenne. Donc s'il te plaît, ne te compare pas. Et de toute façon, c'est la fameuse phrase. Soit on gagne, soit on apprend. Et maintenant, le petit fun fact. Alors, il faut savoir que depuis que je suis arrivé voir mon pote Sam à Bali, j'ai remis en place un truc que je faisais en permanence avec mon pote Loris Monteux quand j'étais en voyage en Irak. Parce qu'effectivement, quand tu n'as pas pu un pote depuis longtemps, allez, deux, trois premiers jours, tu te mets à jour. Tu racontes les trucs, ce que tu as appris, où tu as galéré, où tu as mangé, où c'était dur, où c'était génial, des anecdotes. Et puis à un moment donné, tu fais tous les repas. Parce que tu es en mode voyage ou en mode coloc, tu te vois tout le temps. Il n'y a plus tant de trucs à dire, ou pas tout le temps. Et là, en fait, on joue. Donc on joue, j'ai sorti les dés. Je ne sais pas si tu connais le 10 000. Le 10 000, c'est un jeu de dés. C'est le premier qui arrive à 10 000. C'est bien, tu as suivi. Qu'est-ce qui se passe ? Évidemment, moi, j'aime bien quand on joue et qu'il y a un petit enjeu. Je n'aime pas jouer de l'argent, mais j'aime bien qu'il y ait un enjeu. Et du coup, on joue. tous les repas. Donc finalement, il y a un peu d'argent, mais on joue les repas. Comment te dire que Sam, il a kiffé le jeu ? Et moi aussi, je kiffe ce jeu. Sauf que, comme je t'ai dit, pour moi, dans la vie, je trouve qu'on est un peu, et plus ça va, plus j'y crois, on est dans une simulation. Genre, je crée ma réalité, d'accord ? Qu'elle soit en bien ou en pas bien. Et des fois, quand je suis en pas bien, elle est vraiment pas bien. Et des fois, quand je suis bien, elle est vraiment très bien. Donc, j'essaie vraiment d'utiliser le jeu D en mode... En fait, j'appelle mes dés. Littéralement, je te dis, je lance les dés, je dis, j'annonce, je veux, je veux le manifester le bordel. C'est une simulation. Et évidemment, quand je te dis que je sors des mains de l'espace, de l'univers, de tous les trucs, là, on ne connaît pas trop les... J'en fais une victoire, deux victoires, trois... Et là, hier soir, parce que là, le mec... En fait, je ne paye plus les repas. Non, mais ça revient là, en fait. Je gagne tout le temps parce que je sors des mains où à la fin, je leur dis, « Ok, je dois faire 350, genre triple 3 et 5. » Et tu sais, j'envoie la main, je mets un triple 3 et 5. Je le regarde, le mec, je le vois, il tombe de quatre étages, il est dégoûté. Et moi, je suis là, il me dit, « T'es un enfant. » Il me dit, « Mais t'as une char... » Et je lui explique. Parce que ça doit foutre encore plus la rage à un mec qui est très cartésien quand même. Il est spirituel, mais il est cartésien. Et un mec, je lui dis, « Mais non, mais j'ai appelé l'aider. » tu comprends ? C'est moi qui les ai manifestés. Donc évidemment que je parle pas comme ça, mais je pense que quand je le dis dans ça, il m'entend comme ça. Mais si, mais c'est total. Parce que là, il y a la lune en sagittaire, donc forcément il y a eu un triple... Tu vois, je pense qu'il entend ça. Et que moi je lui dis, écoute, je pense qu'on est vibration, je pense qu'on est énergie, je pense qu'on crée notre réalité. Donc en fait, si j'ai peur de la main... En fait, souvent quand t'envoies ta main au dé, tu l'envoies et tu dis t'espère, donc c'est du doute. Parce que t'es pas certain. T'envoies rarement deux. Je suis convaincu, y'a aucun doute, je suis relâché, et je sais, et je fais confiance à la vie. Ça arrive pas ! T'es là en mode, allez, vas-y, s'il te plaît ! Ah, j'ai peur ! Et t'envoies de la peur, t'envoies du doute ! Et moi, j'envoie... J'essaie, en fait, je m'entraîne à contrôler mes pensées et mes émotions grâce au jeu de dés. Parce qu'à chaque fois que j'envoie une main, je suis en mode détendu et je visualise que c'est exactement ce que je veux, en toute détente. Et même si je perds, j'ai fait des remontadas, Et à chaque fois, j'envoie les chiffres, je les annonce, et évidemment que... Évidemment que je n'ai pas les dés que j'annonce à chaque fois. Evidemment que non, mais le pourcentage doit être au moins 10 fois plus élevé que la normale. Je te jure, c'est insane. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que ce qui est génial, c'est que les petits gages, à force, tu sais, on joue une partie, on a, voilà, on a joué une partie, j'ai gagné le repas. Après, il y a le dessert, ok. Mais des fois, on a envie de faire 2, 3, 4 parties, tu vois. Donc, il y a les gages. Eh ben là, j'ai eu quoi comme gage que j'ai gagné ? Pendant 24 heures, dès qu'il s'adresse à moi, à la fin de la phrase, il dit... votre majesté. Ça, c'est très agréable. Et la deuxième, c'est qu'à chaque fois qu'on se sépare, on fait un truc de notre côté, on se revoit, pendant 30 secondes, il doit me faire des compliments sur moi. Et ça, je peux te dire qu'au-delà de la simulation, d'aider de mon Hugues, tout ça, ça vaut quand même la peine de juste gagner parce que putain, ça fait plaisir. Allez, à la semaine prochaine.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, comment tu vas ? Comment s'est passée ta petite semaine ? Moi, je vais pas te le cacher, j'ai passé une semaine absolument délicieusement, incroyablement agréable. Franchement, Bali, quand tu y viens souvent parce que t'es perdu, t'es dans un moment de ta vie, tu sais pas, tu viens de te séparer, tu viens de quitter ton job, tu as besoin de soleil, t'es déprimé, et quand t'es vraiment perdu, tu sais pas quoi, tu peux te perdre encore plus, je sais. c'est ce qui m'est arrivé la dernière fois mais quand tu sais pourquoi tu viens holy shit quand même surtout Pérérénane c'est vraiment la zone où tu as encore ce côté un peu nature, isière, cool avec tous les petits trucs un peu sympas qu'on aime bien en tant qu'occidental dans cette zone et waouh c'était une semaine incroyable que je vais te raconter tout de suite dans ce nouveau journal de bord et cette semaine je vais te parler d'une rencontre que j'ai fait très bri... Très bref, vraiment j'étais à un café, il y avait un mec en face de moi et je lui ai posé la question genre, excusez-moi vous avez être une personne très expérimentée dans la vie et qu'est-ce que vous auriez aimé recevoir comme conseil dans votre quarantaine que vous n'avez pas reçu ? Et sa réponse m'a vraiment, vraiment étonné. Ensuite, je te parlerai d'une histoire qui s'est passée dans le cercle des solopreneurs et sur le passage à l'action. la puissance du passage à l'action par le groupe. Et j'étais moi-même, je suis un peu dépassé par ce qui se passe dans ce cercle. Et cette communauté, c'est tellement beau. Je suis un peu genre, OK, OK, vous vous êtes chauffé là, les gars. C'est bon, bah super, ça me va. Du coup, derrière, j'aimerais aussi te parler des signes de la vie, chose auquel je crois beaucoup. Et quand je dis signes de la vie, finalement, c'est saisir l'opportunité quand elle se présente sans se poser trop de questions. et que finalement l'opportunité arrive un peu quand on en a besoin, comment la reconnaître, comment la saisir, comment dire non. C'est de ça que j'aimerais te parler aussi dans ce nouveau journal de bord. Et puis ensuite j'enchaînerai sur ma journée, que j'ai passée dans des rizières classées au patrimoine de UNESCO, qui m'a fait vraiment me poser des questions sur mon lieu de vie, tiraillé entre la ville, la stimulation de la ville, la culture, les commodités. et la nature, là où je me sens bien, mais peut-être un peu plus isolé. Bref, c'est un débat que j'ai dans ma tête depuis des années. Je commence à y voir le bout et je voulais partager ces réflexions-là parce que peut-être que ça va résonner. Je voulais aussi te parler d'une réussite qu'il y a eu dans mon collectif et d'une qui a moins réussi, mais justement, qui n'a pas réussi sur des critères qui ne sont pas les bons. Parce que je sais que le problème... quand on est dans l'entrepreneuriat, peu importe son niveau, c'est qu'on se compare. Et en général, on ne se compare pas du tout avec les bons critères. Ce qui fait que c'est comme si tu faisais un bilan de ta société et que si tu ne prends pas les bons critères d'analyse, tu as l'impression que tu as fait une année de merde alors que ce n'est peut-être pas vrai. Parce qu'il faut savoir analyser les bons chiffres et les comparer aux bonnes années et aux bons KPI, donc vraiment les chiffres clés qui font du sens. Et évidemment, je terminerai par un petit fun fact très sympa. Ce sera sur la thématique du jeu de dés et tu vas voir que... Bref, je t'en dis pas plus, c'est parti pour ce nouveau journal de bord. Je suis à 7AM, le genre de petit café qu'on adore à Bali. Tu sais, les grandes baies vitrées, vitres teintées, il y a une petite ambiance tamisée, il y a des grands fauteuils, des grands canapés en cuir. On est dans vraiment ce petit café un peu modern design qu'on aime bien. Et je suis sur une table, mais tu sais, vu que j'étais tout seul, j'ai pas pu avoir les gros canapés pour les groupes. Je suis sur les tables un peu plus en hauteur, sur les grands tabourets de bar. Et en face de moi, il y a un homme, je dirais entre 60 et 70 ans, mais classe un peu. Petit bermuda, petit mocassin qui vont bien, la boule à zéro, mais juste les cheveux blancs, mais avec un petit millimètre de cheveux, des grosses lunettes noires, et son téléphone, et tu sens qu'il est absorbé, et tu sens que le mec, en fait, il connaît la vie. Il est à l'aise. Il est assuré, il a de l'aisance, il est... Il est préoccupé par ce qu'il fait, mais tu sais qu'il est préoccupé parce qu'il a aussi le contrôle de ce qu'il fait. Je ne sais pas, je ressentais un truc. Et en général, quand on voit des gens qui ont de l'expérience, qui ont de la valeur, qui ont accompli quelque chose qu'on aimerait ou qu'on n'a pas encore fait, je trouve ça incroyable de pouvoir avoir une conversation avec ces gens-là, mais en général, on n'ose pas en fait. On n'ose pas déranger, on n'ose pas, la personne est en train de faire quelque chose. Et moi c'est vraiment ce truc qu'on a ancré quand j'étais petit, que j'essaie de me débarrasser, c'est vraiment la peur de déranger. Alors que quand tu viens en vrai avec une belle énergie, un sourire, pourquoi pas un compliment pour amorcer la conversation, c'est rare que tu déranges. Au pire, on te dit qu'on n'est pas disponible, mais c'est pas un embêtement, c'est juste que là je ne peux pas. Et j'ai ça qui tourne dans ma tête parce que j'ai évidemment des années de voyage derrière moi et autant te dire que déranger et aller aux rencontres des tribus, des locaux, des expériences, des marchés, des ce que tu veux, j'en ai fait des dizaines et des dizaines et des dizaines de fois, c'était à chaque fois incroyable. Et à chaque fois, ce que je disais à mes potes, c'est à chaque fois que je me suis bougé le cul et que j'ai surmonté soit ma flemme, soit ma peur, il m'arrivait des choses incroyables. Et je dirais que ça fait un petit bout de temps que... je voyage plus avec autant d'intensité et comme n'importe quel muscle qui travaille plus, il perd un petit peu de sa forme, de sa pêche et de son panache. Et je suis là en train de me dire, j'ai trop envie de lui poser la question, je sens qu'il a de l'expérience, je sais pas, j'ai une question qui me vient en tête, je lui pose, je lui pose pas, dans la tête je me dis, si tu cogites, je me vois être un débutant, tu sais, c'est un peu comme si, je l'aborde cette fille, je l'aborde pas, j'ai peur, mais si je l'embête, mais si elle me recale, ouais mais en fait, si en fait t'es souriant et que c'est sympa et que... et puis qu'il y a un match, le pire, tu repars avec un rendez-vous et c'est peut-être la fin de ta vie, j'en sais rien. Et là, si tu sens qu'il y a quelqu'un qui peut t'apporter quelque chose, que tu y vas avec, encore une fois, la bonne énergie, le sourire, peut-être que la réponse qu'il va donner à la question qui te démange va peut-être changer ta vie. Et je me suis dit, bon, ok, je lève la tête, je fais, excusez-moi. Il était vraiment sur la table en face, en diagonale. Je dis, excusez-moi. Je dis en anglais, évidemment, mais je dis, vous avez l'air d'un homme plein d'expérience. Quel est le conseil que vous auriez aimé recevoir dans votre quarantaine, que vous n'avez pas reçu ? Il frise, il me regarde, il me dit « Waouh ! » Dans sa tête, je me dis « C'est quoi cette question ? » Mais en fait, il prend ce que j'ai aimé. Et c'est là où tu vois les gens de valeur. C'est que tu sens quand la question vient du cœur et que tu sens que tu ne la penses pas en « Salut, coucou, vous plaisez à Bali ? » Non, en fait, tu sais que le mec n'a pas le time. Vas-y, on y va. Il me regarde. Il réfléchit, il met les yeux sur le côté, vers le ciel. Il me donne une réponse auquel je ne m'attendais pas du tout. Il m'a dit, j'aurais aimé qu'on me dise de ne pas être aussi généreux que j'aurais pensé l'être. Que j'aurais aimé penser pouvoir l'être. Et je dis, je ne comprends pas, c'est-à-dire ? Il dit, en fait, je n'ai jamais eu de problème. à faire plein d'argent, des millions de dollars. Donc direct, je me dis, OK, c'est bien ce que je pensais. C'est un mec qui pèse, même si ça ne se voyait pas vestimentairement, mais dans ses yeux. Il me dit, j'ai toujours voulu être très généreux avec ma famille, avec mes amis, et j'aurais donné beaucoup. Et il m'a dit, d'une certaine façon, ils ne me l'ont jamais vraiment rendu à hauteur de ce que j'aurais aimé ou de ce que j'attendais d'une certaine façon. Et il m'a dit... Quand tu investis, parce que je lui ai dit, mais du coup, qu'est-ce qu'il faut faire ? Il m'a dit, mais quand tu investis ton argent déjà, arrête de... Il dit, moi j'ai toujours été très bon pour gagner de l'argent, mais encore une fois, très mauvais pour l'investir. Et en plus, j'étais très généreux, là où il ne fallait peut-être pas toujours. Il m'a dit, quand tu investis ton argent, investis-le avec des professionnels, dont c'est le job, tu les payes cher pour ça, mais tu sais ce que tu as derrière. Au lieu d'essayer de l'investir, encore une fois, avec ta famille, tes amis, à qui tu veux faire plaisir. Et en fait, le fait de vouloir faire plaisir, en plus de perdre de l'argent, ça crée des conflits. Donc tu pars d'une bonne intention, tu perds ton argent, tu potentiellement te frictionnes avec ta famille, alors que tout ce que tu voulais c'était être généreux et mettre ta famille et tes amis bien, dans une belle situation. Je dis ok, merci beaucoup. Et ce qui est marrant c'est que je me suis levé, parce que je vois qu'il se lève pour aller payer, je dis excusez-moi, est-ce que je peux vous offrir le café ? Il me fait non non. Je me suis dit non mais ça me fait plaisir pour payback justement d'une certaine façon, lui rendre aussi la générosité et pas faire comme peut-être ses proches. Il m'a dit non, c'est très très apprécié, merci mais c'est très gentil, au revoir. Et le mec boum, tu sens qu'il n'a pas le temps. Et ça, ça m'a fait cogiter parce que je me dis merde, je suis clairement le genre de gars, en plus j'ai le syndrome du sauveur, à donner. Je donne beaucoup et je dépense beaucoup plus facilement pour les autres que pour moi. Et je me suis dit mais d'un autre côté, quand tu donnes, c'est que t'es... pas trop sensé attendre quelque chose en retour parce que sinon c'est pas vraiment quelque chose que tu donnes et que je me suis dit bah c'est peut-être un peu pas ouf cette façon de penser et d'un côté je me suis dit aussi le problème c'est qu'un conscientement quand tu donnes beaucoup inconsciemment tu sais tu as envie qu'au moment où tu appuies un jour sur le bouton de dire là j'ai besoin de toi la personne en fait et soit là à hauteur de ce que tu en as besoin à ce moment là Et je pense que ça m'est très souvent arrivé effectivement de me dire « Waouh, j'ai beaucoup donné à cette personne, pro, perso, connaissance, amis très proches. » Et au moment où j'en ai besoin, c'est genre « Allez, 30% de ce que j'ai donné en temps, en énergie, et vraiment moins en implication. » Et je suis là genre « Ah ! » Ah ouais, après, ok, d'accord. Et t'es déçu, en fait, d'une certaine façon. Parce qu'à ce moment-là, tu le fais pas parce que tu veux quelque chose en retour. Mais si, à un moment, t'en as besoin, t'aimerais qu'il y ait le même retour, voire à même hauteur, voire quoi pas même plus, et accepter ça. Et je me suis dit, justement, ok, je pense qu'il y a quelque chose, en fait, à revoir dans le fait de donner, parce que j'ai tendance à, quand je donne beaucoup, c'est comme si, un peu, je me mettais toujours en dernier. Je donne d'abord beaucoup aux autres, mon temps, mon énergie. Et je pense que pour toutes les personnes qui écoutent ce petit journal de bord, qui ont tendance à être très dans le sauveur, d'être dévoué aux autres, de donner beaucoup, d'être dans la générosité, et qu'il y a peut-être parfois cette déception, je pense qu'en fait, ce n'est pas qu'il faut donner moins, je pense qu'il faut surtout se remettre au centre du débat. Je pense qu'il faut se remettre en priorité, pas parce que pour être égoïste, mais pour justement rééquilibrer les forces. Et si je pense qu'on s'y rééquilibre les forces et qu'on se donne plus à soi, ce qui n'a rien de toxique, parce que je n'ai pas dit que de ne plus donner aux autres, mais si on se redonne plus à soi, on a peut-être moins le temps de donner aux autres, et du coup, on est moins déçu de ce qu'ils peuvent donner en retour. Et il y a vraiment un truc que la vie m'a enseigné, c'est cette phrase très connue qui dit que les gens oublient très vite ce que tu as fait pour eux, par contre, ils n'oublient jamais la façon dont tu les as fait se faire sentir, en ta présence. et par tes mots et par tes actions. Et moi, je le vois. Je suis plutôt le genre de mec qui a des actions très généreuses et je suis en soutien moral, physique, financier. Et je peux avoir des mots très durs parce que je veux encore le bien. Mais du coup, pour faire avancer l'autre, je vais avoir des mots très durs. Donc, potentiellement, il va le ressentir genre « Oh, tu me fais me sentir mal ou nul ou pas assez. » Et du coup, ils ne retiennent que ça. Et ils oublient très vite tous les trucs que tu as fait pour eux. Mais ils n'oublient pas ce feeling. Parce que dans la vie, en fait, tout est émotion. Et acheter, c'est sous le coup de l'émotion. Des beaux souvenirs, c'est de l'émotion. Notre vie, si elle vaut la peine d'être vécue, c'est de se dire, est-ce que j'ai vécu des belles émotions ? Donc en fait, oublie les faits et positionne-toi plus sur de l'émotion déjà avec des gens. Qu'est-ce que tu leur donnes en émotionnel plutôt que leur donner peut-être financièrement avec ton temps ou ton argent ? Mais juste, à quel point tu vas les faire se sentir bien à ton contact ou qu'eux se sentent mieux grâce à toi ? Et de te dire que si tu as envie d'investir et que tu as un peu d'argent, si on suit les conseils de ce cher Tom, fais-le avec des professionnels dont c'est le métier. Et au moins, ton argent, une fois qu'il sera placé, si toi tu es bien et que tu as créé une certaine sécurité, stabilité, une rente, cet argent qui est vraiment le fruit de ces investissements, tu peux le perdre puisque tu as déjà verrouillé tes investissements. Et ça, après, tu peux le donner plutôt que donner le budget. de base que tu aurais aimé investir. Je pense que c'est plus cette démarche vers laquelle je vais aller, c'est me remettre en priorité, remettre mes investissements aussi pour moi, faire attention à mes dépenses et les verrouiller pour que le fruit de ces investissements puisse servir quelque chose de plus safe et au final, de ne pas avoir ce regret de me dire, mince, je n'ai pas eu le retour que je voulais. Parce que ces derniers temps, c'est le dernier exemple que je vais donner pour finir ce sujet, c'est... J'avais demandé à pas mal de potes de partager justement mon cercle des solopreneurs, qui est mon projet, mon dernier projet. C'est le seul que j'ai en ce moment professionnel et qui me tiennait vraiment à cœur. Et j'ai jamais rien demandé en fait à mes potes de pousser ou de partager, de potes entrepreneurs ou créateurs. Et parce que, je sais pas, cette fierté, ce truc, tu veux pas déranger. Et là je me suis dit, ça rentre en concurrence avec aucune des offres des personnes avec qui j'ai demandé. C'est des gens que j'avais souvent... beaucoup aidé ou beaucoup été présent et dans beaucoup de générosité et finalement la plupart de ceux qui m'ont fait qu'on accepte et et qui m'ont fait cette dédicace je me suis dit ah ils l'ont fait parce que ça se voyait que je te la fais genre je te vois pas de problème je te la fais mais genre tiens je te le fais vite fait alors que moi quand j'accepte de rendre un service j'y vais comme si c'était pour moi en fait et là j'avais été un peu déçu il y en a qui l'ont fait très très bien et qu'ils l'ont fait genre wow je suis vraiment cool ça ça fait plaisir Là, l'énergie circule. Là, je sens qu'on est dans un truc où on se nourrit tous les deux et c'est trop cool. Et je sais que je peux compter sur la personne. Et d'autres où justement, je me suis dit, ok, ok en fait. À moi de faire attention au robinet et de m'assurer avant d'aider les autres et de donner de mon temps, de mon énergie, de mon savoir, que moi, je me suis déjà largement nourri en fait. Et que je me suis mis en priorité et que je donne ce qui reste pour les autres. Parce qu'en fait, toute cette énergie, ce temps et cet argent et cette substance... que je ne mets pas dans moi, dans mon business, dans mon bien-être, dans mon développement, si je ne me mets pas en priorité et que je donne aux autres et que je vois que ce qui me rentre derrière... c'est moindre, je suis perdant sur tous les tableaux. La prochaine fois que tu as envie d'être généreux, que tu as envie de donner, demande-toi si tu le fais après t'être nourri, et demande-toi si tu le fais avec les bons leviers, qui sont peut-être le levier émotionnel au lieu du levier de l'argent. Maintenant, j'aimerais te parler de passage à l'action, d'effet de groupe et de dynamique de groupe. En gros, je vais te parler déjà de... Sophie Flamand qui dans le cercle des solopreneurs c'est la goutte. Genre tu sais il y a un système de points en terme de quand tu participes, quand tu mets des commentaires, quand tu as des likes sur les postes dans le cercle de ce que tu donnes dans la valeur, enfin tu vois dans ces échanges elle, elle a 2000 points ok donc ok 2000 points sauf que la deuxième qui déjà participe énormément à genre 800 points pour te dire à quel point la meuf elle participe de malade. Je te fais un bisou Sophie parce que c'est incroyable la dynamique qu'elle met dedans parce qu'en ce moment elle est dans un CDI Et son CDI le rend ouf. Elle veut justement lancer son activité et lancer notamment deux projets. Et un qui vient déjà sous l'impulsion du cercle de solopreneurs créé, c'est son ONG en Inde pour pouvoir aider des enfants en Inde. Parce qu'elle a passé du temps là-bas et elle adore. La meuf, en voyant un petit peu tous les posts qui se passent, de voir aussi que moi je suis parti à Bali sur un coup de tête, elle s'est dit mais attends, mais en fait il y a trop d'énergie, je ne peux plus être dans mon bureau. J'ai dit à mon patron il y a trois jours que je pars en Inde dans deux jours. Il m'a dit, d'accord. Elle est partie. Jusque-là, tout va bien. Tu te dis, bon, il y a une nana, elle s'est chauffée, elle était déjà super pas bien dans son job, et qu'elle a cet effet de groupe, et qu'elle se met dans ses... Très bien. Sauf que qu'est-ce qui se passe ? Il y a Luc Ramirez, qui est dans le cercle aussi. Photographe vidéaste, d'accord ? Et il habite aussi à Toulouse. Sophie devait faire un meet-up à Toulouse, mais elle s'est barrée avant. J'ai trouvé absolument génial. Elle m'a dit, excusez-moi, je pourrais pas être là. En fait, je pars en Inde. J'aime beaucoup trop cette punchline. Luc et Sophie qui habitent à Toulouse, en message privé, ils sont restés une heure au téléphone. Le mec a fait un poste, il dit, en fait, je me dis, tu sais, des fois, il faut se bouger les fesses, il faut sortir de sa zone de confort, il faut créer l'impulsion, il faut passer à l'action et pas se dire, et si, et si, et si, et si. Et si j'avais les conditions, et si j'avais le job, et si j'avais les finances, et si c'était le bon moment, et si après Noël, et si après le printemps, et si... Il m'a dit, ben là, en fait, j'ai pris un billet d'avion. Je pars en Inde au mois de mai, parce qu'avant, j'ai des trucs à régler avec des clients. Et je pars rencontrer aussi Sophie en Inde pour faire du contenu pour elle, pour son ONG. Et je me suis dit « Waouh ! » La puissance d'un effet de groupe, d'un effet de levier quand tu sens que tu n'es pas tout seul. Et qu'il y a aussi un effet de... Ça peut être un leader, une leadeuse, un effet de masse. Ou en fait, quand tu touches ce leader, quand tu touches cet effet de groupe, quand tu touches les gens qui vibrent à la fréquence que toi, t'as... parce que c'est tes valeurs, parce que c'est ta façon de voir la vie, tout à coup, bam ! Tu rentres vraiment en résonance avec les personnes qu'il y a autour. Et ça, c'est ultra puissant parce que je pense que Luc ne serait jamais chauffé s'il se dit « je vais faire ça tout seul, prendre des grosses décisions tout seul. » Je sais, c'est ce que je fais la plupart du temps, de passer de zéro à un. C'est comme une fusée. Ce qui demande le plus de carburant et d'énergie, c'est de... Faire sortir la fusée du sol et commencer à lui faire prendre de la vitesse. Et après c'est beaucoup moins, c'est 80, j'en avais dit 70% du kérosène qui est cramé au décollage. Parce que c'est ça le plus dur. Mais quand en fait le kérosène il vient des gens parce que t'es dans un groupe, parce que t'es bien entouré, parce qu'il y a déjà des gens qui sont en train de faire juste devant toi, ils ont un ou deux pas, du coup tu les vois encore. C'est pas des gens qui sont genre « Ah vas-y ils sont tombés, ils sont là-haut, vas-y j'ai la flemme, ils sont trop loin, ils sont trop forts. » Non ils sont juste là, viens ! « Euh vas-y d'accord, vas-y je viens ! » Et ça, c'est puissant. Parce que c'est exactement, je te rappelle, la raison pour laquelle j'étais venu à Bali. C'était pour venir passer du temps avec mon pote Sam et rentrer en résonance avec sa fréquence de pirate, de mec qui taffe, de mec qui prend soin de lui en termes physiques, mentaux, psychiques, spirituels, et avec qui je claque des barres de rire monumentales. Et bien en fait, c'est ouf. Parce que ça fait une semaine que je suis là. Et je suis un diapason, tu sais, qui est venu à côté d'un autre diapason qui vibrate. Tu sais ce que c'est qu'un diapason ? Tu sais, c'est l'espèce de petite fourche. en alu, en inox, je crois, que tu utilises pour accorder les guitares. Et souvent, c'est à l'ancienne, maintenant il y a des trucs électroniques, mais tu le tapais contre un meuble et ça faisait un espèce de « là » , je crois, et tu le mettais sur la guitare pour accorder ta guitare. Sauf qu'il y a une expérience assez folle, c'est que si tu tapes un diapason qui va faire un « là » , tu rapproches un diapason que tu n'as pas du tout tapé, qui est immobile à la base, si tu le mets à côté de ce diapason, de ce premier diapason qui est en train de vibrer parce que tu l'as frappé, le deuxième qui était immobile va rentrer en résonance, va absorber la résonance et va commencer à vibrer. Mais ça, ça, ça c'est la life en fait. Alors il y a mon pote Jérémy Pory, il va se foutre de ma gueule, il va dire mais j'arrête pas de dire mais tout est énergie tu vois. Là on est là, il y a une belle énergie, j'aime bien l'énergie, j'aime bien la vibration. Mais c'est ça la life, la théorie des cordes, la physique quantique, on sait très bien c'est que de l'énergie, c'est que de la vibration. On est à 80%, je crois que c'est 80% constitué de flotte, d'eau. Je sais pas si t'as déjà vu quand tu tapes du poing sur une table et qu'il y a un verre d'eau, je sais pas si t'as capté à quel point l'eau elle se charge de cette vibration, elle bouge. C'est pour ça que c'est ultra important de faire attention aux mots que tu prononces vis-à-vis de toi-même. de la façon dont tu t'entoures, de la musique, du contenu que tu consommes, parce que ça a une certaine vibration. Et le plus fort, évidemment, c'est quand tu es entouré de gens qui vibrent à un certain niveau, ça va t'élever. Et l'inverse est vrai. Si tu n'es qu'avec des gens, ils sont déprimés, ils sont là, ils fument, ils fument du bédo, ils prennent de la drogue, ils ne foutent rien, ou alors ils sont médisants, ou alors ils sont stressés. En fait, si c'est que des gens comme ça avec qui tu traînes, tu vas t'accorder, sans que tu le veuilles, et... à cette fréquence, et c'est pour ça qu'on dit que t'es la somme des 5 personnes à qui tu traînes le plus. Parce qu'en fait, ton corps, tu peux... En fait, c'est physiologique, c'est physique. Y'a pas que genre dans ton mental, c'est que toute ta biologie résonne dans cette fréquence. Et que là, le Luc, il a pris une fréquence, mon pote, de Sophie, c'est... Ok, vas-y, bah, billets pour en Inde, et c'est parti. Et moi, j'ai pris une fréquence de Sam, et Dieu sait que ça me fait du bien, et Dieu sait que c'était important et que je l'avais compris. Que moi, je vivrai breté... ... pas très haut ces derniers temps, en fait, j'ai... Ok, vu que je galère à vibrer un peu plus haut parce qu'il faut que je me nourrisse, je sais quoi ? Le carburant du kérosène de la fusée, je vais aller le chercher chez quelqu'un qui l'a déjà. Et boum ! Donc, demande-toi en ce moment à quel niveau tu vibres et surtout, à quel niveau les autres personnes avec qui tu passes du temps, elles vibrent. Et demande-toi en ce moment quelle est ta capacité de passage à l'action. Est-ce que c'est facile, est-ce que c'est pas facile ? Est-ce qu'il y a des choses que t'arrives pas à faire, que t'aimerais faire, que tu te retiens de faire ? Et demande-toi si les gens autour de toi, ils t'aident, en fait ils te facilitent ce passage à l'action, à te débloquer, ou au contraire, ils ralentissent et le rendent plus dur. Si c'est le cas, regarde dans ton entourage, si tu connais des gens qui peuvent être le kérosène de ta fusée. Et si c'est pas le cas, mais trouve-en ! Regarde, il y a le cercle des solopreneurs, tu viens, il y a des valeurs de fou, c'est les miennes. auxquels on est réunis autour de ça en fait. C'est pas de moi, c'est de mes valeurs et on les partage tous. C'est pas les miennes, c'est celles que j'ai et que finalement tout le monde a. Mais sinon si c'est pas ça, trouve-en autour de toi. Parce que c'est ultra important et c'est tellement puissant. Et c'est tellement galère de passer tout seul de 0 à 1. Maintenant parlons signe de la vie. Ok, alors moi j'ai jamais été quelqu'un de religieux, mais j'ai toujours été quelqu'un de spirituel. Depuis que je suis gamin, je sais pas, alors que pourtant à la maison c'est très athée. Mon père il n'aime pas la religion, ma mère elle a été forcée d'aller à l'église quand elle était gamine et de voir que les curés au Portugal ils roulaient en merco quand tout le monde était pauvre si tu veux elle n'est pas trop friendly avec la religion catholique et bizarrement je pourrais pas t'expliquer pourquoi j'ai toujours été genre j'ai l'impression que j'étais, je sais pas, guidé, protégé, qu'il y avait un truc plus grand que moi j'avais toujours des petits gris gris avec moi comme des portes bonheur mais comme un truc qui me reliait, qui me connectait à un truc plus grand J'avais toujours l'impression que je pensais à des choses et que c'est comme s'il y a un espèce de truc plus grand qui m'amenait ces choses-là au bout d'un moment. Et je me disais, hé mec, c'est ça, vas-y, tu vois. Et il y a une histoire que j'aime beaucoup sur les signes de la vie. C'est en fait, c'est un pêcheur. Il est dans l'océan et en fait, il essuie une tempête. Et son bateau se fait laminer en mille morceaux. Et il arrive à être sur un espèce de débris de bois sur lequel il flotte. Et il dit, s'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît, vraiment, s'il vous plaît, venez me sauver. Je suis un bon religieux, je prie tout le temps. S'il vous plaît, venez me sauver, venez me sauver. Et là, il y a un petit bateau de pêcheurs qui arrive. Il est là, il arrive. Il est là, il se dit, vas-y, vas-y, c'est bon, viens, monte. Et le mec dit, non, non, c'est bon. C'est bon, Dieu me sauvera, Dieu va me sauver. Il fait quoi ? Non, non, mais c'est bon, moi je reste là, Dieu va me sauver. Ok, bon bah ok, d'accord, comme tu sens. Et là, il dit, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi. Et là, il y a un moment, il y a une espèce d'énorme chalutier qui arrive. Énorme chalutier, sirene et tout, il voit le mec, il commence à enlever la boue, il fait, non, non, c'est bon, c'est bon, Dieu va me sauver, c'est bon, moi je reste là. C'est Dieu qui va me sauver, vous inquiétez pas. Ah quoi ? Mais non, venez, vous êtes malades, mais attends, prenez la boue. Non, non, non, c'est bon, ok. Il dit s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, j'étais un bon chrétien, je crois tout le temps en vous, j'ai été pieux, je suis quelqu'un de pur. Et là, il y a un bateau, c'est un cargo qui arrive. Alors là le truc le machin il est là Il est projot sur la gueule il lui envoie 4 trucs Et le mec Non je veux pas monter Dieu me sauvera Il dit non le gars se débat Le gars il le laisse Le gars est fou vas-y tant pis pour lui c'est sa vie Le mec finit évidemment par se noyer Il arrive tout en haut Il dit mais Dieu je comprends pas Comment vous avez pu me laisser mourir J'étais persuadé que vous alliez venir me sauver Et là Dieu il dit mais tu te fous de moi ou quoi Je t'ai envoyé un bateau de pêcheurs, un chalutier, un cargo, tu veux quoi ? Et en fait, c'est ça la life. C'est de se dire, il y a un moment donné, tu veux quelque chose. Mais quand ça se passe sous ton nez, quand il y a un petit truc, quand ça te trigger, quand tu vois quelque chose en fait, mais saisis-le en fait. Et l'univers, la manifestation, la visuelle, appelle-le comme tu veux. C'est pas un truc où c'est écrit en toutes lettres. Alex, c'est par ici que tu dois prendre la décision. T'inquiète pas, tout va bien se passer. Non, ça, c'est pas ça. Ça, c'est une consigne d'un exercice. Il y en a un à voir, ce qui est très chiant. C'est pas ça, c'est un escape game. C'est un escape game. C'est par là, t'as payé 50 balles, et tu repars et t'es content. La vie, c'est pas ça. La vie, c'est OK, tu veux quelque chose, et à partir du moment où t'es convaincu que tu veux quelque chose, la vie, elle se fait un malin plaisir à t'aider. Si tu doutes, elle t'apporte du doute. Si t'as peur et que t'es mal, bon, elle t'apporte une vie de merde. Et c'est ça qui est fort. Et en plus... Si tu t'intéresses un petit peu à la spiritualité, ou même tout simplement à l'univers, à la religion, à tout ça, soit tu vas aller prendre un peu des psychédéliques, tu vas aller prendre des champis, du LSD, de l'ayahuasca, et tu vas comprendre qu'effectivement, tu as l'impression qu'on fait partie d'un tout et qu'on est une espèce de petite particule qui est un des composants d'une des plus grandes particules. Et si tu vas du côté, au contraire, pré-cartésien, scientifique, physicien, bon ben... plus ça va et plus les calculs et leurs recherches montrent que potentiellement, on vit vraiment dans une simulation, que ce soit à travers la physique quantique et que ce soit à travers différentes théories qui disent que... Il y en a une théorie en ce moment qui est très populaire, alors controversée évidemment, mais populaire, qui dit que justement, imagine-toi, en fait, on vit dans une simulation et c'est obligatoire. Et que notre monde est juste la manifestation de notre permanente manifestation. Il dit, regarde, si par exemple, il prend une comparaison, on a été obligé de se créer ce monde pour vivre dans ce monde, dans cette manifestation, dans cette simulation, pardon, j'ai bien aimé cette théorie, et il dit, parce que, imagine à chaque fois que tu dois envoyer un email, que tu dois construire un ordinateur, créer le programme qui permet d'envoyer un email, c'est impossible en fait. Donc tu te crées une interface qui va te permettre d'interagir et de pouvoir envoyer des emails. Et il dit, la vie c'est un peu pareil. J'aime bien cette comparaison-là parce que ça permet vraiment de se dire, et j'aime bien d'un côté, parce que c'est toi qui as le complet pouvoir sur ce qui t'arrive. C'est ça en fait. Pour moi, ce n'est pas genre Dieu va t'aider, il va t'envoyer un cargo. C'est au contraire, c'est toi qui as décidé qu'il y avait un Dieu, donc tu t'es créé ça dans ta tête, et que ce Dieu pouvait t'envoyer un cargo, donc il y a un cargo. Mais ça veut dire que si tu prends cette façon-là, qu'elle est spirituelle ou pas, moi je m'en fous, mais c'est beau de se dire, c'est toi qui va shape, qui va vraiment former ta vie. ton succès, ce qui t'arrive, et il n'y a rien... Quand tu auras pris le contrôle de tes pensées et de ta vibration et de tes intentions, ce qui est le plus dur, parce qu'on est fait pour douter, on est fait pour avoir peur. Notre cerveau reptilien est un des caves et que plus tu avais peur, plus tu étais sur le qui-vive, plus tu avais de chances de survivre. Parce que, en fait, s'il y a un petit bruit de merde et que tu es là et que tu déguerpis, tu as plus de chances de survivre que le mec qui est là et qui s'en fout et qu'en fait, une chance sur deux, c'est un espèce de prédateur qui vient de bouffer la gueule, c'est pas ouf. Sauf que maintenant, ce n'est plus le cas. Et on a gardé ces réflexes de reptiliens d'avoir peur de tout pour nous permettre de survivre. Sauf qu'aujourd'hui, j'espère pour vous, en tout cas, vous êtes dans une situation où il n'y a pas la guerre et que vous n'êtes pas à mourir à chaque angle de rue ou à chaque pas que vous faites, ce qui était le cas dans la nature avant en mode survie. Ça veut dire que le challenge, il est de prendre contrôle sur ses pensées, ses émotions. Parce qu'en fait... c'est un émetteur ultra puissant de ton cerveau qui te crée ta réalité. Donc si tu te doutes et que tu as peur, ce qui est paramétré par défaut dans notre cerveau, les pensées négatives représentent je crois 80% de nos pensées au global, c'est un truc de ouf. Et si tu réussis à prendre le contrôle de ça, d'être dans la projection, et être convaincu que c'est ce que tu veux, donc tu vas potentiellement créer ce truc-là. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que je trouve que c'est un beau challenge. Parce que qu'on y croit ou pas... En fait, prendre le contrôle et toujours d'en essayer de se dire « voilà ce que je veux » et d'en être convaincu et de ne pas se laisser démordre par ça et de rester calme et serein et conscient dans son action, ses pensées et ses intentions. Je trouve ça quand même beaucoup plus formidable que de dire s'il vous plaît, attendre que ça se passe, d'avoir peur, de sentir la victime. Donc en fait, même si tu es cartésien, même si tu es ultra terre à terre, ça vaut le coup de faire ça. Et je vais donner une histoire sur les signes de la vie que j'ai trouvé génial. Je cherche en ce moment, il n'y a pas longtemps, je cherchais un coach en prise de parole et positionnement, body language et public speaking. Et j'avais fait un post sur LinkedIn et sur Insta pour avoir des recos. Et juste après avoir fait ce poste, j'ai une pote qui, que j'étais à Lisbonne encore à ce moment-là, qui me dit « De toute façon, trop cool, j'ai vu ton poste Alex, on dit d'ensemble ce soir. » Et j'ai une pote qui est aussi de passage avec moi à Lisbonne, je te la présenterai. Elle, c'est son taf en fait, elle est coach en prise de parole et positionnement public, etc. Et je me suis dit « Bon bah, trop bien ! » Et en fait, j'ai pas eu le temps d'y aller, parce que je devais faire mes bagages et me barrer pour aller à Bali. et du coup j'ai pas pu la rencontrer on a fait quand même un petit échange j'ai fait un petit appel découverte avec elle je me suis dit Ausha la meuf genre Ausha je pense qu'elle est pas mal tu sens qu'elle sait ce qu'elle fait tu sens qu'elle est pointue mais j'étais en mode en plus j'ai pas le temps je suis en speed et là j'étais à Bali il faut que je prenne la décision il faut que je review un peu les 42 recos qu'on m'a fait on m'a fait 42 recos tout le monde il y avait plein de gens qui m'ont tous dit Ah non mais cette personne là, ah vraiment tu peux y aller les yeux fermés, tiens cette personne là, vas-y, franchement les yeux fermés. J'ai dit mais ouvrez les yeux et juste donnez-moi une personne. Et en fait tout le monde a donné recours, donc j'ai review tous les profils. J'ai regardé la vibe, le truc, voir s'ils étaient pros aussi. Et je cherchais en fait bizarrement quelqu'un qui était plutôt plus âgé que moi, plutôt masculin. Parce que moi j'ai un gros problème, j'ai un énorme défaut. C'est que je suis très difficilement coachable parce que mon ego vient me faire chier, vient me jouer des tours. Et je me suis dit, il faut quand même quelqu'un là, où je sens que c'est un peu le gars un peu daron, qui va avoir de l'expérience, qui va avoir de la bouteille, et qui va me permettre de vraiment faire sauter ce truc où je ne suis pas bon en tant que personne coachable. Et je me suis dit, une femme, j'ai tendance à me positionner un peu en mode dominant, leader, etc. Parce que, surtout dans cette interaction-là, alors que j'aime beaucoup l'interaction, je bosse quasiment en majorité avec des femmes, parce que... J'aime beaucoup leur psychologie, leur douceur. Moi, ça m'apaise, ça me permet de voir les choses autrement, etc. Avec douceur. Sauf que là, ce n'est pas ce dont j'avais besoin. Donc, j'étais dans ce Ausha, tu vois. Je fais le tour des 42 personnes. Comment te dire ? Je fais le review de tout le monde et je reviens à cette personne. Et je me dis, bon, en fait, la vie quand même est bien faite. C'est-à-dire que quand je demande, le premier truc qui tombe d'une personne que j'aurais dû rencontrer directement le soir même, c'est de la voir. C'est la personne qu'on m'a recommandée en premier et que tout le reste, ça ne valait pas la peine. Je me suis dit « Waouh, c'est fou. Quand ça paraît trop gros, trop évident, on se méfie. » On demande. J'ai demandé. « Tiens, des fois, c'est trop. Des fois, il y a trop de flèches. C'est trop évident. » « Non, c'est un piège. C'est chelou. C'est trop simple. » Et on se dit que la vie, c'est trop simple. C'est ça qui est fou. Et quand c'est trop simple, on se méfie. Parce qu'on a tellement l'habitude de galérer, d'en chier, de... parce qu'on doute, parce qu'on a peur et du coup on attire le doute et la peur et la merde, que quand on est déter, qu'on est là, on est fluide et qu'on manifeste un truc ultra sharp, précis, on sait ce qu'on veut, on est déterminé et que ça arrive, c'est bizarre. Tu vois, il y a un piège. Et donc ce que je veux te dire par là, c'est prends le contrôle de tes émotions. Je ne sais pas si c'est le cas en ce moment. Si ce n'est pas le cas, vraiment prends le temps d'être... C'est quoi le plus d'émotions que tu as dans ta tête ? Est-ce que quand tu penses à un sujet, est-ce que t'as le doute ? Est-ce que t'as la peur ? Ou est-ce que t'as la conviction ? Est-ce que t'as l'énergie ? Est-ce que t'as l'envie ? Est-ce que t'as la motivation ? Est-ce que t'as la foi ? Et la foi pour moi c'est le truc le plus puissant. Et c'est pas le côté religieux. La foi c'est pour moi le... Ça va se faire. En fait t'es convaincu que ça va se faire. Et y'a pas d'autres possibilités. Et que là t'es en mode émetteur plus plus, simulation, hop là tata life, viens hop là, voilà. Dîner ce soir avec la personne que tu voulais. Oublie ton poste. Ça marche, bah ouais, et ça c'est puissant. Et si c'est pas le cas, je trouve que te dire que tu vis dans une simulation où tu vas créer ta réalité et où la vie va t'envoyer des signes, les signes c'est juste finalement la manifestation de ce que t'as voulu, et bien à toi d'accepter que c'est potentiellement bien en fait. Et de pas avoir peur que quand t'es sûr que c'était ça, et qu'il y a un train qui passe clignotant et qui a ton prénom dessus, monte dedans. Parce que je peux t'assurer que quand tu montes dedans... et que tu continues à faire conscience et que tu continues à avoir des pensées et des actions qui sont conscientes, saines et positives, la vie va prendre une autre tournure. Où habiter ? En ville ? ou en pleine nature. C'est un peu le dilemme que je me pose depuis des années, que la vraie vérité, quand je me sens bien apaisé, aligné, c'est quand je suis dans la forêt, sous des arbres, en pleine nature. Mais à chaque fois, la vraie vérité, je me dis que je ne peux pas vivre comme ça, de rencontrer des gens, il faut que ce soit pratique, je n'ai pas de petite famille, je ne suis pas célibataire. Je suis célibataire et je n'ai pas une petite famille pour me dire je crée mon petit cocon et puis ce n'est pas grave. Si je veux rencontrer des gens un peu et pas être là le vieil ami qui finit barbu comme ça, coupé du bois. Non. Donc je me dis, je vais en ville. Ok, en ville. C'est cool, il y a de la stimulation. Mais en fait, je suis toujours là genre ça manque de nature. Puis ça me, je ne sais pas, ça me surmerge. Il y a plein d'énergie. Plus ça, plus je suis sensible aux énergies, moi, donc plus il y a ce côté genre de toxicité de la ville. du mal-être de la ville avec tous ces vices, tous ces hauts et ces bas, il y a toutes les phases du puzzle dans une ville. Et en fait, je suis là en mode, ça ne me met pas bien. En fait, ça ne me met pas bien parce que j'ai habité à Lisbonne, qui est une ville géniale. J'adore Lisbonne, c'est super. Manque d'arbres, comparé à Medellín, que j'aime encore plus à cause de ça ou grâce à ça. Et du coup, je suis parti parce que je... justement je suis en mode, en fait la ville il y a beaucoup d'énergie, c'est pas mon délire tu vois quand même, où justement je me dis, si un peu, mais quand tu y habites c'est tout le temps, et puis je me dis, ça manque un peu d'apaisement, de nature, et puis vu que ces derniers temps je me renseigne pas mal sur le TDAH, je m'aperçois que ce qui naturellement les études scientifiques ont prouvé que naturellement, c'est le meilleur apaisement pour les TDAH c'est la nature, et donc autant te dire qu'en ville, moi je suis un écureuil, il y a des lumières partout, c'est parti tu vois genre... Tu vois, c'est compliqué pour moi de me concentrer, d'être bien, d'être focus en vrai, parce qu'il y a trop de trucs. Et je me dis, OK, OK, bon, bah, super. Mais je suis en train d'avoir ce déclic parce que justement, ce week-end, j'ai été dans les rizières de l'UNESCO de Jilaputui. Je n'arrive pas à le prononcer. Jilaputui, un truc comme ça. Bref, c'est à une heure au nord, vers Ubud. Et en fait, tu es là. C'est du vert, Et c'est pas vraiment de la vraie nature puisque bon bah c'est quand même de la culture, c'est pas de la forêt, c'est quand même des rizières, des montagnes et des vallées qui ont été façonnées à la main par l'homme. Mais t'as quand même ce vert, ça pousse, c'est pas des bâtiments, c'est quand même des plantes qui ont été mises là à la main, mais ça reste des plantes. Et on se baladait comme ça, tu sais genre au milieu des rizières, sur des petites tranchées comme ça. Bon j'en suis aperçu qu'on n'est pas trop droit de le faire normalement. Mais bon tu connais, j'ai un vrai problème, moi quand j'étais influenceur voyage j'ai mis un concept que j'arrêtais pas de répéter, c'est en fait faut rentrer dans le paysage. C'est un art d'observer comme ça, vas-y rentre dedans Bah si c'est de l'eau plonge, si c'est de la forêt Rentre là-dedans, si c'est du sable Bah roule-toi, tu vois Et s'il y a de la boue, vas-y mets les pieds dedans En plus après on a trouvé un spot Il y avait que des locaux dedans C'est mon pote qui avait déjà vu ce truc-là Tu loues pour un balle une grosse chambre à air Et tu descends la rivière au milieu des rizières T'étais là, oh il y a les volcans en fond Et tu sais on se regardait Il me fait ouais J'ai juste ça, ouais, ouais, ouais, c'est bon Et lui C'est pareil, c'est un mec, il est quand même dans une vie capitaliste, puisque c'est un mec qui est en train de créer un fonds d'investissement, son métier c'est de trader en bourse et d'aider justement des personnes qui investissent en bourse, parce qu'il investit lui-même, il a vraiment une société qui permet, du cas du conseil, de placement en bourse. Donc c'est clairement le pur produit du capitalisme. Et souvent quand on dit qu'on est le pur produit du capitalisme pour réussir, Il faut traîner dans le jus, dans la ville. Et moi, je me suis dit ça. Si j'ai envie d'être stimulé, si j'ai envie de trouver des gens, il faut que je sois un peu dans cet état d'esprit-là de la ville. C'est toujours ça. En vrai, c'est quand même cool les commodités de la ville. On ne va pas se le cacher. Si à chaque fois, je devais trouver à manger, je devais aller chasser, je pense que je perdrais quelques kilos. Et en fait, il y avait vraiment ce moment où je me suis dit « Ok, en fait, la ville... » J'y vais parce que je me dis que je réussirais mieux personnellement, peut-être professionnellement, plus d'opportunités, de stimulation. Peut-être que je trouverais aussi plus une personne avec qui passer le reste de ma vie parce qu'il y a plus de gens, donc j'ai peut-être plus de chances. Après, je me dis, mais en vrai, si je suis en pleine nature, je suis plus calme, donc je suis plus focus, donc je me régénère plus vite. Donc, en fait, je suis plus créatif, je travaille mieux, je me sens mieux. Ça sert virtu. Et puis, je me dis, tant qu'à trouver quelqu'un, même s'il y en a moins, en fait, vu que je suis spécial. Parce que j'ai une vie spéciale, en fait, je n'ai pas besoin d'avoir de matchs avec beaucoup de personnes. J'ai juste besoin de rencontrer une un jour, tu vois. Donc, ça se trouve, à se balader en forêt, et ça ira très bien. Et autant rencontrer les gens, que ce soit des amis, que ce soit un partenaire ou une partenaire, dans l'endroit, en fait, qui toi... ben là où tu as envie d'y aller en fait dans ton but plutôt que te dire ok je vais là il y a le plus de monde je rencontre des potes des professionnels des partenaires un chéri et puis après j'irai là où j'ai vraiment envie d'aller mais en fait c'est peut-être ça n'a pas matché en vrai alors que si tu es déjà là où tu veux être tu vas rencontrer des gens qui peut-être sont déjà dans le même parcours de vie que toi et tu dis ah mais ah t'es là aussi toi ouais je ouais exactement pour ça c'est ça et d'être vraiment tu vois sur cette chambre à air là Tu sais où t'es là, tu tournes sur toi-même tout doucement, t'as le paysage qui fait un 360, y'a du vert, y'a des volcans, t'es bien, t'es avec ton pote, t'y dis mais en fait mon pote je suis venu rencontrer dans ce milieu-là, et c'est un mec smart, et c'est un mec qui justement, comme je disais, me permet de, tu vois, en ce moment d'être dans une haute vibration, et puis je suis cool, je me sens apaisé, puis je suis créatif, puis en fait j'arrive à faire du bon taf dans le cercle des solopreneurs, y'a des belles choses qui se passent, bon, côté partenaire, y'a rien, Mais en fait, ce n'est pas grave. Parce que je me dis, c'est ça. Je crois que je me suis promis que je ne revivrais plus en ville. Et j'adore aussi la ville. Mais du coup, j'adore la ville pour me stimuler. Comme ce moment d'attraction, de stimulation, de parenthèse. Et que j'y verrais en pleine nature. Peut-être justement entre Bali et Medellín. Parce que pareil, vu que j'ai un peu la bougeotte. Ok, ce n'est pas grave, j'accepte que j'aurai plusieurs camps de base. Et que justement, quand j'ai besoin de faire de l'administratif, et de faire des trucs... Ah franco-français, et bah c'est pas grave, je viendrai un mois, deux mois, en France, en Europe, peu importe, et je viendrai prendre ma dose de ville versus l'inverse en fait. Parce qu'avant j'étais en mode, ok mon camp de base c'est le truc pratique en ville, mais après je vais me prendre ma dose de nature. Et là je me suis dit, fuck no, tu vois genre, là tu vois j'ouvre le rideau, quand je fais ça là regarde, tu vois, j'ouvre le rideau de la chambre, j'ai un mur de verdure. Et juste là je me lève le matin, j'ouvre mon rideau, je suis là genre, ah. C'est pour ça que j'ai vendu mes meubles en deux jours et que je me suis barré. Merci, ça me fait du bien. Et d'avoir été dans ces petites rizières ce week-end, ça m'a vraiment confié de me dire, arrête de forcer. Tu le sais au fond que toi, tu es un mec de la nature. J'ai juste peur de me faire chier ou de rencontrer personne. Alors que s'il y a bien un des petits avantages qu'a pu apporter le Covid, c'est l'ultra digitalisation du travail. D'autant plus, je l'étais déjà, mais... d'autant plus sur plein de choses, et que finalement, il y a d'autant plus de gens aussi qui retournent en pleine nature tout en pouvant faire leur métier qu'ils faisaient en ville. Donc d'autant plus de possibilités de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs, mais qui sont stimulants, qui professionnellement sont évolués, etc. Donc si tu te poses la question, que toi tu es un peu en mode, « Ouais, la ville c'est pratique, mais en vrai, moi c'est quoi ? » Va là où ça te fait kiffer, fais ta base là, et quand tu as besoin de, pour X raisons, kiffer, administratif, business, va en ville. Franchement, je te dis, ça fait un bien fou. Et maintenant, dernier sujet avant de finir sur le fun fact, c'est se comparer. Attention. Je vais te raconter deux petites histoires qui viennent de se passer dans mon collectif. C'est Charlotte, Charlotte Parot, qui est incroyable, qui vit de l'aquarelle. Moi, franchement, c'est l'incarnation de « Tu peux vivre de ta passion » . Juste terminer bonsoir. Qui a en plus quitté ce qui était fonctionnaire avant, donc cette sécurité-là pour vivre de ça. Et là, en gros, qu'est-ce qui se passe ? Elle a lancé sa communauté school, comme moi, avec une offre. Parce que pour les passionnés d'aquarelle, quand je dis que c'est des passionnés, c'est des gens qui ont envie, au lieu de se tuer à la salle de sport ou être devant des écrans, ils ont besoin de déconnecter de façon plus douce et plus saine. Ils ne font pas de la poterie, ils font de l'aquarelle. Il y en a de plus en plus. Je sais qu'il y a une grosse mode du tricot. Là, c'est l'aquarelle et je trouve ça fantastique. Et du coup, elle a lancé sa communauté. Donc elle, elle en fait quand même depuis, elle a sa communauté depuis au moins un ou deux ans. Facile, facile, ok ? Elle fait des postes, elle fait des ateliers à Annecy qui sont remplis. Et du coup, quand elle a lancé sa communauté en ligne, cette fois, donc sur School, comme moi, elle a fait un lancement et là, elle en est à 150 personnes. Genre, elle a plus de personnes dans sa communauté School que moi. Et sa communauté doit être à 27 ou 37 balles. J'ai trouvé ça, mais... Fantastique ! Comment te dire que même elle était là genre waouh c'est trop bien en plus c'est un abonnement recurring donc elle qui flippait un petit peu de se dire bah tu sais genre des fois elle remplit ses ateliers, elle aimerait bien avoir plus de visibilité fantastique ! Elle s'est même retrouvée, écoute bien pour te dire, dans le top 5 monde, monde de la plateforme school qui fait le plus justement de revenus sur les thèmes des hobbies donc des loisirs 5, le top 5 et t'imagines si à la fin du mois elle reste dans le top 5 Je crois qu'elle est redescendue à la 7ème place, mais elle était dans le top 5. Genre, elle a un mastermind tout frais payé par la plateforme Skool avec Hormozy. C'est une dinguerie monumentale. Je l'ai mis, j'ai essayé de le pousser aussi dans ma story. Je lui ai dit, franchement, essaie de dire à tous tes potes, on sait jamais. Mais... qu'il y a Youpa dans ce mastermind. Genre, waouh, réussite, même elle, ça s'est emballé. Tout le monde dans le collectif a partagé sa story, enfin, en story, son lancement pour dire allez-y, si quelqu'un aime l'aquarelle, franchement, pour 27 balles, faites-la kiffer. Aidez-la d'autant plus à être dans ce classement et à faire un super lancement. Génial. Et à côté, en même temps, il y avait une autre personne du collectif qui a lancé sa communauté, mais sur la décoration intérieure. Et c'est une personne qui s'est reconvertie récemment et qui, justement, a une communauté plus fraîche et avec une offre qui n'est pas encore bien prépositionnée. Parce qu'elle, elle la cherche. Qu'est-ce qui s'est passé ? Elle, au contraire, alors qu'elle fait... Franchement, elle doit avoir 20 000 ou 25 000 sur Insta, qu'elle fait beaucoup de vues. Elle a fait qu'une dizaine de personnes rentraient dans sa communauté. Donc forcément, je vois ça, je m'empresse de lui envoyer un message. Parce que je me dis... Parce que la deuxième personne qui... a fait un lancement qui est loupé. Comment te dire que c'est une personne, c'est une bosseuse, c'est une meuf géniale, c'est une meuf qui fait les choses avec le cœur, c'est une meuf en or, c'est une meuf qui se défonce, qui se remet en question, qui taffe, qui va trouver des... Tu vois, c'est le genre de personne qui, de toute façon, elle va réussir. Et la preuve, quand elle a commencé sur Insta, elle faisait que quelques vues, là, des fois, elle a claqué plusieurs millions sur certains contenus parce qu'elle a gardé cette régularité. Boum, ça a pété. Donc, c'est une meuf. Tu sais qu'elle réussit, elle va réussir. Mais là, au même moment, sa pote qui lance, elle cartonne, elle pas, forcément, je lui envoie un message, je lui dis s'il te plaît, ne compare pas ce qui n'est pas comparable, même si c'est tentant. Parce que Charlotte, elle, ça fait deux ans qu'elle est sur ce contenu-là, ce positionnement-là. Elle a déjà des contacts, elle a déjà plein de gens qui sont venus sur ses ateliers, elle a déjà un positionnement qui est clair, et toi, tu viens de te reconvertir, t'as lancé ça il y a... Ce nouveau positionnement, cette nouvelle activité, il y a 6 mois, un truc comme ça, à peine. Tu viens de faire du contenu, mais il n'y a pas encore ce rapport aussi peut-être de confiance. Et puis aussi, ton offre, est-ce que ça s'adapte aussi bien sur la communauté pour de l'aquarelle que pour du design d'intérieur ? Et si c'est le cas, peut-être que ce n'est pas ce que tu mets dedans. Et ça m'a vraiment rappelé, quand moi je m'étais lancé dans l'entrepreneuriat, j'avais une personne à ce moment-là avec mon équipe et c'était insane. Avant même d'avoir lancé mon propre business, on s'était mis sur le business d'une pote et c'était insane. Il y avait un croisement du time to market, c'était la première sur son créneau. Il y avait le Covid qui venait d'arriver, donc c'était la mode des formations en ligne. C'était en 2020, un truc comme ça. Et elle a fait un million de chiffre d'affaires en organique. Ça ne se voit plus, des 40% de taux de transformation sur la base mail, des trucs de fou. Un truc de fou ! Même nous on était là genre, wow, tu sais, allignement des as de la chance, de elle qui a fait un travail de fou, moi avec mon équipe qui a été bonne, etc. et qui ont eu de la chance. Et évidemment, derrière moi, quand je lance mon business, je me dis, c'est moi qui ai donné tous ces conseils, ça avec mon équipe, je vais au moins faire pareil. Et pas du tout. En plus j'avais une communauté, mais trois, quatre fois, cinq fois plus grande qu'elle. Avec 10 000, j'avais déjà 90 000 sur Insta et j'avais tous mes autres réseaux. Mais pas du tout en fait. Parce qu'elle, ça faisait un an qu'elle donnait du contenu gratuit, de qualité, en podcast, sur ses réseaux, qu'elle se positionnait. Donc au moment où elle a ouvert les vannes, les gens avaient une confiance aveugle, elles avaient vu la qualité du contenu, et qu'elle était positionnée, qu'elle était première. Boum, ça a tout cartonné. Moi, oui c'est sûr, j'avais des gros comptes, mais ça faisait dix ans que j'ai eu du voyage. Et là, j'étais plus sur du personal branding, la stratégie de création de contenu, de transformer un métier dans sa passion, et avoir de la visibilité sur les réseaux. Wow, les gens étaient... pas trop près. Oui, il y en a qui m'ont suivi. Genre, j'ai dû faire 150K, 200K la première année, ce qui est très bien. Mais c'est genre presque 10 fois, allez, 8 fois moins que mon ami. Et ça, en fait, au début, t'as ton égo qui en prend un gros coup, et ça fait du bien, en vrai, parce qu'au début, tu le vois pas, mais c'est une excellente leçon de se dire, compare pas ce qui est pas comparable. Au moment où tu en es, pourquoi tu en es. Et des fois, tu peux même être au même moment. Mais en fait, tu te dis pas que t'es... Des fois, c'est juste, t'as pas les... c'est pas que t'es moins bon, c'est que t'as pas trouvé le bon clic, la bonne offre la bonne façon de faire en fait et qu'il y en a un autre qui peut-être avant de se lancer a plus bossé son truc ou c'était peut-être plus évident peut-être que son marché est plus évident son offre est plus évidente, peut-être qu'elle a juste aussi permis de refaire des choses de personnes qui avaient déjà réussi elle l'a fait à sa sauce, toi tu veux créer un espèce de nouveau truc parce que tu te dis que c'est génial et que vu que t'es tout seul et ben y'a personne sur qui tu peux prendre exemple et du coup bah ... ça tombe un peu à l'eau. Donc, vraiment, c'est comme les deux histoires que je viens de te raconter. Si tu vois quelqu'un qui est en train de réussir, Et que toi tu réussis pas comme l'autre personne, tu dis putain mais si elle y arrive, pourquoi j'y arrive pas ? Compare pas, tu sais pas où elle en est, tu sais pas combien de fois elle a foiré, tu sais pas depuis combien de temps elle te donne du contenu assez positionné, avant d'avoir ouvert les vannes que t'as ouvert peut-être en même temps. Mais peut-être que toi c'est pas, encore une fois la bonne offre, la bonne cible en face, sur le bon réseau, de la bonne façon, et c'est ok en fait. Parce que au moins tu vas pouvoir cocher cette case et te dire, c'est pas comme ça que je dois le faire. C'est pas ma façon, c'est pas la bonne offre, c'est parce que les gens ils ont besoin et que c'est ok. Et surtout, te compare pas. C'est comme si tu te comparais à toi dans cinq ans. Regarde, si tu veux te sentir bien, compare-toi à toi, ton toi de toi-toi. Ça fait beaucoup de toi dans la même phrase. Mais dis à cinq ans, où est-ce que t'en étais ? Est-ce que tu te comparerais ? Bah non, en fait. T'étais peut-être encore en CDI, t'étais peut-être tes premiers euros, et là, tu gagnes super bien ta vie. T'étais peut-être chez toi alors que là, t'es digital nomad. Et tu te dis, ah ouais, mais pourtant, tu fais potentiellement le même métier, t'es la même personne. Mais il y a des trucs qui sont pas pareils, en fait. Et ça, il faut prendre la globalité avant de se comparer, parce que sinon, vraiment, tu vas sombrer, tu vas te désespérer, tu vas te dire que c'est nul, tu vas dire... Et d'un côté aussi, n'oublie pas, les gens qui réussissent aussi, qui disent qu'ils réussissent, c'est peut-être pas toujours le cas, premièrement. Et deuxièmement, si tu réussis et que tu sais pas pourquoi, ça dure pas longtemps. Et l'avantage quand tu te plantes, c'est que quand tu réussis, tu sais pourquoi t'as réussi. Parce que t'as trouvé la bonne formule, parce que t'as galéré avant. Et ta réussite, elle est beaucoup plus solide. Elle est beaucoup plus pérenne. Donc s'il te plaît, ne te compare pas. Et de toute façon, c'est la fameuse phrase. Soit on gagne, soit on apprend. Et maintenant, le petit fun fact. Alors, il faut savoir que depuis que je suis arrivé voir mon pote Sam à Bali, j'ai remis en place un truc que je faisais en permanence avec mon pote Loris Monteux quand j'étais en voyage en Irak. Parce qu'effectivement, quand tu n'as pas pu un pote depuis longtemps, allez, deux, trois premiers jours, tu te mets à jour. Tu racontes les trucs, ce que tu as appris, où tu as galéré, où tu as mangé, où c'était dur, où c'était génial, des anecdotes. Et puis à un moment donné, tu fais tous les repas. Parce que tu es en mode voyage ou en mode coloc, tu te vois tout le temps. Il n'y a plus tant de trucs à dire, ou pas tout le temps. Et là, en fait, on joue. Donc on joue, j'ai sorti les dés. Je ne sais pas si tu connais le 10 000. Le 10 000, c'est un jeu de dés. C'est le premier qui arrive à 10 000. C'est bien, tu as suivi. Qu'est-ce qui se passe ? Évidemment, moi, j'aime bien quand on joue et qu'il y a un petit enjeu. Je n'aime pas jouer de l'argent, mais j'aime bien qu'il y ait un enjeu. Et du coup, on joue. tous les repas. Donc finalement, il y a un peu d'argent, mais on joue les repas. Comment te dire que Sam, il a kiffé le jeu ? Et moi aussi, je kiffe ce jeu. Sauf que, comme je t'ai dit, pour moi, dans la vie, je trouve qu'on est un peu, et plus ça va, plus j'y crois, on est dans une simulation. Genre, je crée ma réalité, d'accord ? Qu'elle soit en bien ou en pas bien. Et des fois, quand je suis en pas bien, elle est vraiment pas bien. Et des fois, quand je suis bien, elle est vraiment très bien. Donc, j'essaie vraiment d'utiliser le jeu D en mode... En fait, j'appelle mes dés. Littéralement, je te dis, je lance les dés, je dis, j'annonce, je veux, je veux le manifester le bordel. C'est une simulation. Et évidemment, quand je te dis que je sors des mains de l'espace, de l'univers, de tous les trucs, là, on ne connaît pas trop les... J'en fais une victoire, deux victoires, trois... Et là, hier soir, parce que là, le mec... En fait, je ne paye plus les repas. Non, mais ça revient là, en fait. Je gagne tout le temps parce que je sors des mains où à la fin, je leur dis, « Ok, je dois faire 350, genre triple 3 et 5. » Et tu sais, j'envoie la main, je mets un triple 3 et 5. Je le regarde, le mec, je le vois, il tombe de quatre étages, il est dégoûté. Et moi, je suis là, il me dit, « T'es un enfant. » Il me dit, « Mais t'as une char... » Et je lui explique. Parce que ça doit foutre encore plus la rage à un mec qui est très cartésien quand même. Il est spirituel, mais il est cartésien. Et un mec, je lui dis, « Mais non, mais j'ai appelé l'aider. » tu comprends ? C'est moi qui les ai manifestés. Donc évidemment que je parle pas comme ça, mais je pense que quand je le dis dans ça, il m'entend comme ça. Mais si, mais c'est total. Parce que là, il y a la lune en sagittaire, donc forcément il y a eu un triple... Tu vois, je pense qu'il entend ça. Et que moi je lui dis, écoute, je pense qu'on est vibration, je pense qu'on est énergie, je pense qu'on crée notre réalité. Donc en fait, si j'ai peur de la main... En fait, souvent quand t'envoies ta main au dé, tu l'envoies et tu dis t'espère, donc c'est du doute. Parce que t'es pas certain. T'envoies rarement deux. Je suis convaincu, y'a aucun doute, je suis relâché, et je sais, et je fais confiance à la vie. Ça arrive pas ! T'es là en mode, allez, vas-y, s'il te plaît ! Ah, j'ai peur ! Et t'envoies de la peur, t'envoies du doute ! Et moi, j'envoie... J'essaie, en fait, je m'entraîne à contrôler mes pensées et mes émotions grâce au jeu de dés. Parce qu'à chaque fois que j'envoie une main, je suis en mode détendu et je visualise que c'est exactement ce que je veux, en toute détente. Et même si je perds, j'ai fait des remontadas, Et à chaque fois, j'envoie les chiffres, je les annonce, et évidemment que... Évidemment que je n'ai pas les dés que j'annonce à chaque fois. Evidemment que non, mais le pourcentage doit être au moins 10 fois plus élevé que la normale. Je te jure, c'est insane. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que ce qui est génial, c'est que les petits gages, à force, tu sais, on joue une partie, on a, voilà, on a joué une partie, j'ai gagné le repas. Après, il y a le dessert, ok. Mais des fois, on a envie de faire 2, 3, 4 parties, tu vois. Donc, il y a les gages. Eh ben là, j'ai eu quoi comme gage que j'ai gagné ? Pendant 24 heures, dès qu'il s'adresse à moi, à la fin de la phrase, il dit... votre majesté. Ça, c'est très agréable. Et la deuxième, c'est qu'à chaque fois qu'on se sépare, on fait un truc de notre côté, on se revoit, pendant 30 secondes, il doit me faire des compliments sur moi. Et ça, je peux te dire qu'au-delà de la simulation, d'aider de mon Hugues, tout ça, ça vaut quand même la peine de juste gagner parce que putain, ça fait plaisir. Allez, à la semaine prochaine.

Description

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SUJETS ABORDÉS :

  • Ma rencontre avec un riche et son conseil surprenant sur la générosité

  • Le passage à l'action et l'effet d'entraînement d'un groupe

  • Comment saisir les opportunités qui se présentent : L'importance des signes de la vie

  • Trouver son lieu idéal : Le dilemme entre vivre en ville ou en nature

  • Le piège de la comparaison avec les mauvais paramètres

  • Le jeu de dés comme pratique de manifestation et de contrôle des pensées




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Transcription

  • Speaker #0

    Salut, comment tu vas ? Comment s'est passée ta petite semaine ? Moi, je vais pas te le cacher, j'ai passé une semaine absolument délicieusement, incroyablement agréable. Franchement, Bali, quand tu y viens souvent parce que t'es perdu, t'es dans un moment de ta vie, tu sais pas, tu viens de te séparer, tu viens de quitter ton job, tu as besoin de soleil, t'es déprimé, et quand t'es vraiment perdu, tu sais pas quoi, tu peux te perdre encore plus, je sais. c'est ce qui m'est arrivé la dernière fois mais quand tu sais pourquoi tu viens holy shit quand même surtout Pérérénane c'est vraiment la zone où tu as encore ce côté un peu nature, isière, cool avec tous les petits trucs un peu sympas qu'on aime bien en tant qu'occidental dans cette zone et waouh c'était une semaine incroyable que je vais te raconter tout de suite dans ce nouveau journal de bord et cette semaine je vais te parler d'une rencontre que j'ai fait très bri... Très bref, vraiment j'étais à un café, il y avait un mec en face de moi et je lui ai posé la question genre, excusez-moi vous avez être une personne très expérimentée dans la vie et qu'est-ce que vous auriez aimé recevoir comme conseil dans votre quarantaine que vous n'avez pas reçu ? Et sa réponse m'a vraiment, vraiment étonné. Ensuite, je te parlerai d'une histoire qui s'est passée dans le cercle des solopreneurs et sur le passage à l'action. la puissance du passage à l'action par le groupe. Et j'étais moi-même, je suis un peu dépassé par ce qui se passe dans ce cercle. Et cette communauté, c'est tellement beau. Je suis un peu genre, OK, OK, vous vous êtes chauffé là, les gars. C'est bon, bah super, ça me va. Du coup, derrière, j'aimerais aussi te parler des signes de la vie, chose auquel je crois beaucoup. Et quand je dis signes de la vie, finalement, c'est saisir l'opportunité quand elle se présente sans se poser trop de questions. et que finalement l'opportunité arrive un peu quand on en a besoin, comment la reconnaître, comment la saisir, comment dire non. C'est de ça que j'aimerais te parler aussi dans ce nouveau journal de bord. Et puis ensuite j'enchaînerai sur ma journée, que j'ai passée dans des rizières classées au patrimoine de UNESCO, qui m'a fait vraiment me poser des questions sur mon lieu de vie, tiraillé entre la ville, la stimulation de la ville, la culture, les commodités. et la nature, là où je me sens bien, mais peut-être un peu plus isolé. Bref, c'est un débat que j'ai dans ma tête depuis des années. Je commence à y voir le bout et je voulais partager ces réflexions-là parce que peut-être que ça va résonner. Je voulais aussi te parler d'une réussite qu'il y a eu dans mon collectif et d'une qui a moins réussi, mais justement, qui n'a pas réussi sur des critères qui ne sont pas les bons. Parce que je sais que le problème... quand on est dans l'entrepreneuriat, peu importe son niveau, c'est qu'on se compare. Et en général, on ne se compare pas du tout avec les bons critères. Ce qui fait que c'est comme si tu faisais un bilan de ta société et que si tu ne prends pas les bons critères d'analyse, tu as l'impression que tu as fait une année de merde alors que ce n'est peut-être pas vrai. Parce qu'il faut savoir analyser les bons chiffres et les comparer aux bonnes années et aux bons KPI, donc vraiment les chiffres clés qui font du sens. Et évidemment, je terminerai par un petit fun fact très sympa. Ce sera sur la thématique du jeu de dés et tu vas voir que... Bref, je t'en dis pas plus, c'est parti pour ce nouveau journal de bord. Je suis à 7AM, le genre de petit café qu'on adore à Bali. Tu sais, les grandes baies vitrées, vitres teintées, il y a une petite ambiance tamisée, il y a des grands fauteuils, des grands canapés en cuir. On est dans vraiment ce petit café un peu modern design qu'on aime bien. Et je suis sur une table, mais tu sais, vu que j'étais tout seul, j'ai pas pu avoir les gros canapés pour les groupes. Je suis sur les tables un peu plus en hauteur, sur les grands tabourets de bar. Et en face de moi, il y a un homme, je dirais entre 60 et 70 ans, mais classe un peu. Petit bermuda, petit mocassin qui vont bien, la boule à zéro, mais juste les cheveux blancs, mais avec un petit millimètre de cheveux, des grosses lunettes noires, et son téléphone, et tu sens qu'il est absorbé, et tu sens que le mec, en fait, il connaît la vie. Il est à l'aise. Il est assuré, il a de l'aisance, il est... Il est préoccupé par ce qu'il fait, mais tu sais qu'il est préoccupé parce qu'il a aussi le contrôle de ce qu'il fait. Je ne sais pas, je ressentais un truc. Et en général, quand on voit des gens qui ont de l'expérience, qui ont de la valeur, qui ont accompli quelque chose qu'on aimerait ou qu'on n'a pas encore fait, je trouve ça incroyable de pouvoir avoir une conversation avec ces gens-là, mais en général, on n'ose pas en fait. On n'ose pas déranger, on n'ose pas, la personne est en train de faire quelque chose. Et moi c'est vraiment ce truc qu'on a ancré quand j'étais petit, que j'essaie de me débarrasser, c'est vraiment la peur de déranger. Alors que quand tu viens en vrai avec une belle énergie, un sourire, pourquoi pas un compliment pour amorcer la conversation, c'est rare que tu déranges. Au pire, on te dit qu'on n'est pas disponible, mais c'est pas un embêtement, c'est juste que là je ne peux pas. Et j'ai ça qui tourne dans ma tête parce que j'ai évidemment des années de voyage derrière moi et autant te dire que déranger et aller aux rencontres des tribus, des locaux, des expériences, des marchés, des ce que tu veux, j'en ai fait des dizaines et des dizaines et des dizaines de fois, c'était à chaque fois incroyable. Et à chaque fois, ce que je disais à mes potes, c'est à chaque fois que je me suis bougé le cul et que j'ai surmonté soit ma flemme, soit ma peur, il m'arrivait des choses incroyables. Et je dirais que ça fait un petit bout de temps que... je voyage plus avec autant d'intensité et comme n'importe quel muscle qui travaille plus, il perd un petit peu de sa forme, de sa pêche et de son panache. Et je suis là en train de me dire, j'ai trop envie de lui poser la question, je sens qu'il a de l'expérience, je sais pas, j'ai une question qui me vient en tête, je lui pose, je lui pose pas, dans la tête je me dis, si tu cogites, je me vois être un débutant, tu sais, c'est un peu comme si, je l'aborde cette fille, je l'aborde pas, j'ai peur, mais si je l'embête, mais si elle me recale, ouais mais en fait, si en fait t'es souriant et que c'est sympa et que... et puis qu'il y a un match, le pire, tu repars avec un rendez-vous et c'est peut-être la fin de ta vie, j'en sais rien. Et là, si tu sens qu'il y a quelqu'un qui peut t'apporter quelque chose, que tu y vas avec, encore une fois, la bonne énergie, le sourire, peut-être que la réponse qu'il va donner à la question qui te démange va peut-être changer ta vie. Et je me suis dit, bon, ok, je lève la tête, je fais, excusez-moi. Il était vraiment sur la table en face, en diagonale. Je dis, excusez-moi. Je dis en anglais, évidemment, mais je dis, vous avez l'air d'un homme plein d'expérience. Quel est le conseil que vous auriez aimé recevoir dans votre quarantaine, que vous n'avez pas reçu ? Il frise, il me regarde, il me dit « Waouh ! » Dans sa tête, je me dis « C'est quoi cette question ? » Mais en fait, il prend ce que j'ai aimé. Et c'est là où tu vois les gens de valeur. C'est que tu sens quand la question vient du cœur et que tu sens que tu ne la penses pas en « Salut, coucou, vous plaisez à Bali ? » Non, en fait, tu sais que le mec n'a pas le time. Vas-y, on y va. Il me regarde. Il réfléchit, il met les yeux sur le côté, vers le ciel. Il me donne une réponse auquel je ne m'attendais pas du tout. Il m'a dit, j'aurais aimé qu'on me dise de ne pas être aussi généreux que j'aurais pensé l'être. Que j'aurais aimé penser pouvoir l'être. Et je dis, je ne comprends pas, c'est-à-dire ? Il dit, en fait, je n'ai jamais eu de problème. à faire plein d'argent, des millions de dollars. Donc direct, je me dis, OK, c'est bien ce que je pensais. C'est un mec qui pèse, même si ça ne se voyait pas vestimentairement, mais dans ses yeux. Il me dit, j'ai toujours voulu être très généreux avec ma famille, avec mes amis, et j'aurais donné beaucoup. Et il m'a dit, d'une certaine façon, ils ne me l'ont jamais vraiment rendu à hauteur de ce que j'aurais aimé ou de ce que j'attendais d'une certaine façon. Et il m'a dit... Quand tu investis, parce que je lui ai dit, mais du coup, qu'est-ce qu'il faut faire ? Il m'a dit, mais quand tu investis ton argent déjà, arrête de... Il dit, moi j'ai toujours été très bon pour gagner de l'argent, mais encore une fois, très mauvais pour l'investir. Et en plus, j'étais très généreux, là où il ne fallait peut-être pas toujours. Il m'a dit, quand tu investis ton argent, investis-le avec des professionnels, dont c'est le job, tu les payes cher pour ça, mais tu sais ce que tu as derrière. Au lieu d'essayer de l'investir, encore une fois, avec ta famille, tes amis, à qui tu veux faire plaisir. Et en fait, le fait de vouloir faire plaisir, en plus de perdre de l'argent, ça crée des conflits. Donc tu pars d'une bonne intention, tu perds ton argent, tu potentiellement te frictionnes avec ta famille, alors que tout ce que tu voulais c'était être généreux et mettre ta famille et tes amis bien, dans une belle situation. Je dis ok, merci beaucoup. Et ce qui est marrant c'est que je me suis levé, parce que je vois qu'il se lève pour aller payer, je dis excusez-moi, est-ce que je peux vous offrir le café ? Il me fait non non. Je me suis dit non mais ça me fait plaisir pour payback justement d'une certaine façon, lui rendre aussi la générosité et pas faire comme peut-être ses proches. Il m'a dit non, c'est très très apprécié, merci mais c'est très gentil, au revoir. Et le mec boum, tu sens qu'il n'a pas le temps. Et ça, ça m'a fait cogiter parce que je me dis merde, je suis clairement le genre de gars, en plus j'ai le syndrome du sauveur, à donner. Je donne beaucoup et je dépense beaucoup plus facilement pour les autres que pour moi. Et je me suis dit mais d'un autre côté, quand tu donnes, c'est que t'es... pas trop sensé attendre quelque chose en retour parce que sinon c'est pas vraiment quelque chose que tu donnes et que je me suis dit bah c'est peut-être un peu pas ouf cette façon de penser et d'un côté je me suis dit aussi le problème c'est qu'un conscientement quand tu donnes beaucoup inconsciemment tu sais tu as envie qu'au moment où tu appuies un jour sur le bouton de dire là j'ai besoin de toi la personne en fait et soit là à hauteur de ce que tu en as besoin à ce moment là Et je pense que ça m'est très souvent arrivé effectivement de me dire « Waouh, j'ai beaucoup donné à cette personne, pro, perso, connaissance, amis très proches. » Et au moment où j'en ai besoin, c'est genre « Allez, 30% de ce que j'ai donné en temps, en énergie, et vraiment moins en implication. » Et je suis là genre « Ah ! » Ah ouais, après, ok, d'accord. Et t'es déçu, en fait, d'une certaine façon. Parce qu'à ce moment-là, tu le fais pas parce que tu veux quelque chose en retour. Mais si, à un moment, t'en as besoin, t'aimerais qu'il y ait le même retour, voire à même hauteur, voire quoi pas même plus, et accepter ça. Et je me suis dit, justement, ok, je pense qu'il y a quelque chose, en fait, à revoir dans le fait de donner, parce que j'ai tendance à, quand je donne beaucoup, c'est comme si, un peu, je me mettais toujours en dernier. Je donne d'abord beaucoup aux autres, mon temps, mon énergie. Et je pense que pour toutes les personnes qui écoutent ce petit journal de bord, qui ont tendance à être très dans le sauveur, d'être dévoué aux autres, de donner beaucoup, d'être dans la générosité, et qu'il y a peut-être parfois cette déception, je pense qu'en fait, ce n'est pas qu'il faut donner moins, je pense qu'il faut surtout se remettre au centre du débat. Je pense qu'il faut se remettre en priorité, pas parce que pour être égoïste, mais pour justement rééquilibrer les forces. Et si je pense qu'on s'y rééquilibre les forces et qu'on se donne plus à soi, ce qui n'a rien de toxique, parce que je n'ai pas dit que de ne plus donner aux autres, mais si on se redonne plus à soi, on a peut-être moins le temps de donner aux autres, et du coup, on est moins déçu de ce qu'ils peuvent donner en retour. Et il y a vraiment un truc que la vie m'a enseigné, c'est cette phrase très connue qui dit que les gens oublient très vite ce que tu as fait pour eux, par contre, ils n'oublient jamais la façon dont tu les as fait se faire sentir, en ta présence. et par tes mots et par tes actions. Et moi, je le vois. Je suis plutôt le genre de mec qui a des actions très généreuses et je suis en soutien moral, physique, financier. Et je peux avoir des mots très durs parce que je veux encore le bien. Mais du coup, pour faire avancer l'autre, je vais avoir des mots très durs. Donc, potentiellement, il va le ressentir genre « Oh, tu me fais me sentir mal ou nul ou pas assez. » Et du coup, ils ne retiennent que ça. Et ils oublient très vite tous les trucs que tu as fait pour eux. Mais ils n'oublient pas ce feeling. Parce que dans la vie, en fait, tout est émotion. Et acheter, c'est sous le coup de l'émotion. Des beaux souvenirs, c'est de l'émotion. Notre vie, si elle vaut la peine d'être vécue, c'est de se dire, est-ce que j'ai vécu des belles émotions ? Donc en fait, oublie les faits et positionne-toi plus sur de l'émotion déjà avec des gens. Qu'est-ce que tu leur donnes en émotionnel plutôt que leur donner peut-être financièrement avec ton temps ou ton argent ? Mais juste, à quel point tu vas les faire se sentir bien à ton contact ou qu'eux se sentent mieux grâce à toi ? Et de te dire que si tu as envie d'investir et que tu as un peu d'argent, si on suit les conseils de ce cher Tom, fais-le avec des professionnels dont c'est le métier. Et au moins, ton argent, une fois qu'il sera placé, si toi tu es bien et que tu as créé une certaine sécurité, stabilité, une rente, cet argent qui est vraiment le fruit de ces investissements, tu peux le perdre puisque tu as déjà verrouillé tes investissements. Et ça, après, tu peux le donner plutôt que donner le budget. de base que tu aurais aimé investir. Je pense que c'est plus cette démarche vers laquelle je vais aller, c'est me remettre en priorité, remettre mes investissements aussi pour moi, faire attention à mes dépenses et les verrouiller pour que le fruit de ces investissements puisse servir quelque chose de plus safe et au final, de ne pas avoir ce regret de me dire, mince, je n'ai pas eu le retour que je voulais. Parce que ces derniers temps, c'est le dernier exemple que je vais donner pour finir ce sujet, c'est... J'avais demandé à pas mal de potes de partager justement mon cercle des solopreneurs, qui est mon projet, mon dernier projet. C'est le seul que j'ai en ce moment professionnel et qui me tiennait vraiment à cœur. Et j'ai jamais rien demandé en fait à mes potes de pousser ou de partager, de potes entrepreneurs ou créateurs. Et parce que, je sais pas, cette fierté, ce truc, tu veux pas déranger. Et là je me suis dit, ça rentre en concurrence avec aucune des offres des personnes avec qui j'ai demandé. C'est des gens que j'avais souvent... beaucoup aidé ou beaucoup été présent et dans beaucoup de générosité et finalement la plupart de ceux qui m'ont fait qu'on accepte et et qui m'ont fait cette dédicace je me suis dit ah ils l'ont fait parce que ça se voyait que je te la fais genre je te vois pas de problème je te la fais mais genre tiens je te le fais vite fait alors que moi quand j'accepte de rendre un service j'y vais comme si c'était pour moi en fait et là j'avais été un peu déçu il y en a qui l'ont fait très très bien et qu'ils l'ont fait genre wow je suis vraiment cool ça ça fait plaisir Là, l'énergie circule. Là, je sens qu'on est dans un truc où on se nourrit tous les deux et c'est trop cool. Et je sais que je peux compter sur la personne. Et d'autres où justement, je me suis dit, ok, ok en fait. À moi de faire attention au robinet et de m'assurer avant d'aider les autres et de donner de mon temps, de mon énergie, de mon savoir, que moi, je me suis déjà largement nourri en fait. Et que je me suis mis en priorité et que je donne ce qui reste pour les autres. Parce qu'en fait, toute cette énergie, ce temps et cet argent et cette substance... que je ne mets pas dans moi, dans mon business, dans mon bien-être, dans mon développement, si je ne me mets pas en priorité et que je donne aux autres et que je vois que ce qui me rentre derrière... c'est moindre, je suis perdant sur tous les tableaux. La prochaine fois que tu as envie d'être généreux, que tu as envie de donner, demande-toi si tu le fais après t'être nourri, et demande-toi si tu le fais avec les bons leviers, qui sont peut-être le levier émotionnel au lieu du levier de l'argent. Maintenant, j'aimerais te parler de passage à l'action, d'effet de groupe et de dynamique de groupe. En gros, je vais te parler déjà de... Sophie Flamand qui dans le cercle des solopreneurs c'est la goutte. Genre tu sais il y a un système de points en terme de quand tu participes, quand tu mets des commentaires, quand tu as des likes sur les postes dans le cercle de ce que tu donnes dans la valeur, enfin tu vois dans ces échanges elle, elle a 2000 points ok donc ok 2000 points sauf que la deuxième qui déjà participe énormément à genre 800 points pour te dire à quel point la meuf elle participe de malade. Je te fais un bisou Sophie parce que c'est incroyable la dynamique qu'elle met dedans parce qu'en ce moment elle est dans un CDI Et son CDI le rend ouf. Elle veut justement lancer son activité et lancer notamment deux projets. Et un qui vient déjà sous l'impulsion du cercle de solopreneurs créé, c'est son ONG en Inde pour pouvoir aider des enfants en Inde. Parce qu'elle a passé du temps là-bas et elle adore. La meuf, en voyant un petit peu tous les posts qui se passent, de voir aussi que moi je suis parti à Bali sur un coup de tête, elle s'est dit mais attends, mais en fait il y a trop d'énergie, je ne peux plus être dans mon bureau. J'ai dit à mon patron il y a trois jours que je pars en Inde dans deux jours. Il m'a dit, d'accord. Elle est partie. Jusque-là, tout va bien. Tu te dis, bon, il y a une nana, elle s'est chauffée, elle était déjà super pas bien dans son job, et qu'elle a cet effet de groupe, et qu'elle se met dans ses... Très bien. Sauf que qu'est-ce qui se passe ? Il y a Luc Ramirez, qui est dans le cercle aussi. Photographe vidéaste, d'accord ? Et il habite aussi à Toulouse. Sophie devait faire un meet-up à Toulouse, mais elle s'est barrée avant. J'ai trouvé absolument génial. Elle m'a dit, excusez-moi, je pourrais pas être là. En fait, je pars en Inde. J'aime beaucoup trop cette punchline. Luc et Sophie qui habitent à Toulouse, en message privé, ils sont restés une heure au téléphone. Le mec a fait un poste, il dit, en fait, je me dis, tu sais, des fois, il faut se bouger les fesses, il faut sortir de sa zone de confort, il faut créer l'impulsion, il faut passer à l'action et pas se dire, et si, et si, et si, et si. Et si j'avais les conditions, et si j'avais le job, et si j'avais les finances, et si c'était le bon moment, et si après Noël, et si après le printemps, et si... Il m'a dit, ben là, en fait, j'ai pris un billet d'avion. Je pars en Inde au mois de mai, parce qu'avant, j'ai des trucs à régler avec des clients. Et je pars rencontrer aussi Sophie en Inde pour faire du contenu pour elle, pour son ONG. Et je me suis dit « Waouh ! » La puissance d'un effet de groupe, d'un effet de levier quand tu sens que tu n'es pas tout seul. Et qu'il y a aussi un effet de... Ça peut être un leader, une leadeuse, un effet de masse. Ou en fait, quand tu touches ce leader, quand tu touches cet effet de groupe, quand tu touches les gens qui vibrent à la fréquence que toi, t'as... parce que c'est tes valeurs, parce que c'est ta façon de voir la vie, tout à coup, bam ! Tu rentres vraiment en résonance avec les personnes qu'il y a autour. Et ça, c'est ultra puissant parce que je pense que Luc ne serait jamais chauffé s'il se dit « je vais faire ça tout seul, prendre des grosses décisions tout seul. » Je sais, c'est ce que je fais la plupart du temps, de passer de zéro à un. C'est comme une fusée. Ce qui demande le plus de carburant et d'énergie, c'est de... Faire sortir la fusée du sol et commencer à lui faire prendre de la vitesse. Et après c'est beaucoup moins, c'est 80, j'en avais dit 70% du kérosène qui est cramé au décollage. Parce que c'est ça le plus dur. Mais quand en fait le kérosène il vient des gens parce que t'es dans un groupe, parce que t'es bien entouré, parce qu'il y a déjà des gens qui sont en train de faire juste devant toi, ils ont un ou deux pas, du coup tu les vois encore. C'est pas des gens qui sont genre « Ah vas-y ils sont tombés, ils sont là-haut, vas-y j'ai la flemme, ils sont trop loin, ils sont trop forts. » Non ils sont juste là, viens ! « Euh vas-y d'accord, vas-y je viens ! » Et ça, c'est puissant. Parce que c'est exactement, je te rappelle, la raison pour laquelle j'étais venu à Bali. C'était pour venir passer du temps avec mon pote Sam et rentrer en résonance avec sa fréquence de pirate, de mec qui taffe, de mec qui prend soin de lui en termes physiques, mentaux, psychiques, spirituels, et avec qui je claque des barres de rire monumentales. Et bien en fait, c'est ouf. Parce que ça fait une semaine que je suis là. Et je suis un diapason, tu sais, qui est venu à côté d'un autre diapason qui vibrate. Tu sais ce que c'est qu'un diapason ? Tu sais, c'est l'espèce de petite fourche. en alu, en inox, je crois, que tu utilises pour accorder les guitares. Et souvent, c'est à l'ancienne, maintenant il y a des trucs électroniques, mais tu le tapais contre un meuble et ça faisait un espèce de « là » , je crois, et tu le mettais sur la guitare pour accorder ta guitare. Sauf qu'il y a une expérience assez folle, c'est que si tu tapes un diapason qui va faire un « là » , tu rapproches un diapason que tu n'as pas du tout tapé, qui est immobile à la base, si tu le mets à côté de ce diapason, de ce premier diapason qui est en train de vibrer parce que tu l'as frappé, le deuxième qui était immobile va rentrer en résonance, va absorber la résonance et va commencer à vibrer. Mais ça, ça, ça c'est la life en fait. Alors il y a mon pote Jérémy Pory, il va se foutre de ma gueule, il va dire mais j'arrête pas de dire mais tout est énergie tu vois. Là on est là, il y a une belle énergie, j'aime bien l'énergie, j'aime bien la vibration. Mais c'est ça la life, la théorie des cordes, la physique quantique, on sait très bien c'est que de l'énergie, c'est que de la vibration. On est à 80%, je crois que c'est 80% constitué de flotte, d'eau. Je sais pas si t'as déjà vu quand tu tapes du poing sur une table et qu'il y a un verre d'eau, je sais pas si t'as capté à quel point l'eau elle se charge de cette vibration, elle bouge. C'est pour ça que c'est ultra important de faire attention aux mots que tu prononces vis-à-vis de toi-même. de la façon dont tu t'entoures, de la musique, du contenu que tu consommes, parce que ça a une certaine vibration. Et le plus fort, évidemment, c'est quand tu es entouré de gens qui vibrent à un certain niveau, ça va t'élever. Et l'inverse est vrai. Si tu n'es qu'avec des gens, ils sont déprimés, ils sont là, ils fument, ils fument du bédo, ils prennent de la drogue, ils ne foutent rien, ou alors ils sont médisants, ou alors ils sont stressés. En fait, si c'est que des gens comme ça avec qui tu traînes, tu vas t'accorder, sans que tu le veuilles, et... à cette fréquence, et c'est pour ça qu'on dit que t'es la somme des 5 personnes à qui tu traînes le plus. Parce qu'en fait, ton corps, tu peux... En fait, c'est physiologique, c'est physique. Y'a pas que genre dans ton mental, c'est que toute ta biologie résonne dans cette fréquence. Et que là, le Luc, il a pris une fréquence, mon pote, de Sophie, c'est... Ok, vas-y, bah, billets pour en Inde, et c'est parti. Et moi, j'ai pris une fréquence de Sam, et Dieu sait que ça me fait du bien, et Dieu sait que c'était important et que je l'avais compris. Que moi, je vivrai breté... ... pas très haut ces derniers temps, en fait, j'ai... Ok, vu que je galère à vibrer un peu plus haut parce qu'il faut que je me nourrisse, je sais quoi ? Le carburant du kérosène de la fusée, je vais aller le chercher chez quelqu'un qui l'a déjà. Et boum ! Donc, demande-toi en ce moment à quel niveau tu vibres et surtout, à quel niveau les autres personnes avec qui tu passes du temps, elles vibrent. Et demande-toi en ce moment quelle est ta capacité de passage à l'action. Est-ce que c'est facile, est-ce que c'est pas facile ? Est-ce qu'il y a des choses que t'arrives pas à faire, que t'aimerais faire, que tu te retiens de faire ? Et demande-toi si les gens autour de toi, ils t'aident, en fait ils te facilitent ce passage à l'action, à te débloquer, ou au contraire, ils ralentissent et le rendent plus dur. Si c'est le cas, regarde dans ton entourage, si tu connais des gens qui peuvent être le kérosène de ta fusée. Et si c'est pas le cas, mais trouve-en ! Regarde, il y a le cercle des solopreneurs, tu viens, il y a des valeurs de fou, c'est les miennes. auxquels on est réunis autour de ça en fait. C'est pas de moi, c'est de mes valeurs et on les partage tous. C'est pas les miennes, c'est celles que j'ai et que finalement tout le monde a. Mais sinon si c'est pas ça, trouve-en autour de toi. Parce que c'est ultra important et c'est tellement puissant. Et c'est tellement galère de passer tout seul de 0 à 1. Maintenant parlons signe de la vie. Ok, alors moi j'ai jamais été quelqu'un de religieux, mais j'ai toujours été quelqu'un de spirituel. Depuis que je suis gamin, je sais pas, alors que pourtant à la maison c'est très athée. Mon père il n'aime pas la religion, ma mère elle a été forcée d'aller à l'église quand elle était gamine et de voir que les curés au Portugal ils roulaient en merco quand tout le monde était pauvre si tu veux elle n'est pas trop friendly avec la religion catholique et bizarrement je pourrais pas t'expliquer pourquoi j'ai toujours été genre j'ai l'impression que j'étais, je sais pas, guidé, protégé, qu'il y avait un truc plus grand que moi j'avais toujours des petits gris gris avec moi comme des portes bonheur mais comme un truc qui me reliait, qui me connectait à un truc plus grand J'avais toujours l'impression que je pensais à des choses et que c'est comme s'il y a un espèce de truc plus grand qui m'amenait ces choses-là au bout d'un moment. Et je me disais, hé mec, c'est ça, vas-y, tu vois. Et il y a une histoire que j'aime beaucoup sur les signes de la vie. C'est en fait, c'est un pêcheur. Il est dans l'océan et en fait, il essuie une tempête. Et son bateau se fait laminer en mille morceaux. Et il arrive à être sur un espèce de débris de bois sur lequel il flotte. Et il dit, s'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît Dieu, venez me sauver. S'il vous plaît, vraiment, s'il vous plaît, venez me sauver. Je suis un bon religieux, je prie tout le temps. S'il vous plaît, venez me sauver, venez me sauver. Et là, il y a un petit bateau de pêcheurs qui arrive. Il est là, il arrive. Il est là, il se dit, vas-y, vas-y, c'est bon, viens, monte. Et le mec dit, non, non, c'est bon. C'est bon, Dieu me sauvera, Dieu va me sauver. Il fait quoi ? Non, non, mais c'est bon, moi je reste là, Dieu va me sauver. Ok, bon bah ok, d'accord, comme tu sens. Et là, il dit, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi. Et là, il y a un moment, il y a une espèce d'énorme chalutier qui arrive. Énorme chalutier, sirene et tout, il voit le mec, il commence à enlever la boue, il fait, non, non, c'est bon, c'est bon, Dieu va me sauver, c'est bon, moi je reste là. C'est Dieu qui va me sauver, vous inquiétez pas. Ah quoi ? Mais non, venez, vous êtes malades, mais attends, prenez la boue. Non, non, non, c'est bon, ok. Il dit s'il vous plaît Dieu, sauvez-moi, j'étais un bon chrétien, je crois tout le temps en vous, j'ai été pieux, je suis quelqu'un de pur. Et là, il y a un bateau, c'est un cargo qui arrive. Alors là le truc le machin il est là Il est projot sur la gueule il lui envoie 4 trucs Et le mec Non je veux pas monter Dieu me sauvera Il dit non le gars se débat Le gars il le laisse Le gars est fou vas-y tant pis pour lui c'est sa vie Le mec finit évidemment par se noyer Il arrive tout en haut Il dit mais Dieu je comprends pas Comment vous avez pu me laisser mourir J'étais persuadé que vous alliez venir me sauver Et là Dieu il dit mais tu te fous de moi ou quoi Je t'ai envoyé un bateau de pêcheurs, un chalutier, un cargo, tu veux quoi ? Et en fait, c'est ça la life. C'est de se dire, il y a un moment donné, tu veux quelque chose. Mais quand ça se passe sous ton nez, quand il y a un petit truc, quand ça te trigger, quand tu vois quelque chose en fait, mais saisis-le en fait. Et l'univers, la manifestation, la visuelle, appelle-le comme tu veux. C'est pas un truc où c'est écrit en toutes lettres. Alex, c'est par ici que tu dois prendre la décision. T'inquiète pas, tout va bien se passer. Non, ça, c'est pas ça. Ça, c'est une consigne d'un exercice. Il y en a un à voir, ce qui est très chiant. C'est pas ça, c'est un escape game. C'est un escape game. C'est par là, t'as payé 50 balles, et tu repars et t'es content. La vie, c'est pas ça. La vie, c'est OK, tu veux quelque chose, et à partir du moment où t'es convaincu que tu veux quelque chose, la vie, elle se fait un malin plaisir à t'aider. Si tu doutes, elle t'apporte du doute. Si t'as peur et que t'es mal, bon, elle t'apporte une vie de merde. Et c'est ça qui est fort. Et en plus... Si tu t'intéresses un petit peu à la spiritualité, ou même tout simplement à l'univers, à la religion, à tout ça, soit tu vas aller prendre un peu des psychédéliques, tu vas aller prendre des champis, du LSD, de l'ayahuasca, et tu vas comprendre qu'effectivement, tu as l'impression qu'on fait partie d'un tout et qu'on est une espèce de petite particule qui est un des composants d'une des plus grandes particules. Et si tu vas du côté, au contraire, pré-cartésien, scientifique, physicien, bon ben... plus ça va et plus les calculs et leurs recherches montrent que potentiellement, on vit vraiment dans une simulation, que ce soit à travers la physique quantique et que ce soit à travers différentes théories qui disent que... Il y en a une théorie en ce moment qui est très populaire, alors controversée évidemment, mais populaire, qui dit que justement, imagine-toi, en fait, on vit dans une simulation et c'est obligatoire. Et que notre monde est juste la manifestation de notre permanente manifestation. Il dit, regarde, si par exemple, il prend une comparaison, on a été obligé de se créer ce monde pour vivre dans ce monde, dans cette manifestation, dans cette simulation, pardon, j'ai bien aimé cette théorie, et il dit, parce que, imagine à chaque fois que tu dois envoyer un email, que tu dois construire un ordinateur, créer le programme qui permet d'envoyer un email, c'est impossible en fait. Donc tu te crées une interface qui va te permettre d'interagir et de pouvoir envoyer des emails. Et il dit, la vie c'est un peu pareil. J'aime bien cette comparaison-là parce que ça permet vraiment de se dire, et j'aime bien d'un côté, parce que c'est toi qui as le complet pouvoir sur ce qui t'arrive. C'est ça en fait. Pour moi, ce n'est pas genre Dieu va t'aider, il va t'envoyer un cargo. C'est au contraire, c'est toi qui as décidé qu'il y avait un Dieu, donc tu t'es créé ça dans ta tête, et que ce Dieu pouvait t'envoyer un cargo, donc il y a un cargo. Mais ça veut dire que si tu prends cette façon-là, qu'elle est spirituelle ou pas, moi je m'en fous, mais c'est beau de se dire, c'est toi qui va shape, qui va vraiment former ta vie. ton succès, ce qui t'arrive, et il n'y a rien... Quand tu auras pris le contrôle de tes pensées et de ta vibration et de tes intentions, ce qui est le plus dur, parce qu'on est fait pour douter, on est fait pour avoir peur. Notre cerveau reptilien est un des caves et que plus tu avais peur, plus tu étais sur le qui-vive, plus tu avais de chances de survivre. Parce que, en fait, s'il y a un petit bruit de merde et que tu es là et que tu déguerpis, tu as plus de chances de survivre que le mec qui est là et qui s'en fout et qu'en fait, une chance sur deux, c'est un espèce de prédateur qui vient de bouffer la gueule, c'est pas ouf. Sauf que maintenant, ce n'est plus le cas. Et on a gardé ces réflexes de reptiliens d'avoir peur de tout pour nous permettre de survivre. Sauf qu'aujourd'hui, j'espère pour vous, en tout cas, vous êtes dans une situation où il n'y a pas la guerre et que vous n'êtes pas à mourir à chaque angle de rue ou à chaque pas que vous faites, ce qui était le cas dans la nature avant en mode survie. Ça veut dire que le challenge, il est de prendre contrôle sur ses pensées, ses émotions. Parce qu'en fait... c'est un émetteur ultra puissant de ton cerveau qui te crée ta réalité. Donc si tu te doutes et que tu as peur, ce qui est paramétré par défaut dans notre cerveau, les pensées négatives représentent je crois 80% de nos pensées au global, c'est un truc de ouf. Et si tu réussis à prendre le contrôle de ça, d'être dans la projection, et être convaincu que c'est ce que tu veux, donc tu vas potentiellement créer ce truc-là. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que je trouve que c'est un beau challenge. Parce que qu'on y croit ou pas... En fait, prendre le contrôle et toujours d'en essayer de se dire « voilà ce que je veux » et d'en être convaincu et de ne pas se laisser démordre par ça et de rester calme et serein et conscient dans son action, ses pensées et ses intentions. Je trouve ça quand même beaucoup plus formidable que de dire s'il vous plaît, attendre que ça se passe, d'avoir peur, de sentir la victime. Donc en fait, même si tu es cartésien, même si tu es ultra terre à terre, ça vaut le coup de faire ça. Et je vais donner une histoire sur les signes de la vie que j'ai trouvé génial. Je cherche en ce moment, il n'y a pas longtemps, je cherchais un coach en prise de parole et positionnement, body language et public speaking. Et j'avais fait un post sur LinkedIn et sur Insta pour avoir des recos. Et juste après avoir fait ce poste, j'ai une pote qui, que j'étais à Lisbonne encore à ce moment-là, qui me dit « De toute façon, trop cool, j'ai vu ton poste Alex, on dit d'ensemble ce soir. » Et j'ai une pote qui est aussi de passage avec moi à Lisbonne, je te la présenterai. Elle, c'est son taf en fait, elle est coach en prise de parole et positionnement public, etc. Et je me suis dit « Bon bah, trop bien ! » Et en fait, j'ai pas eu le temps d'y aller, parce que je devais faire mes bagages et me barrer pour aller à Bali. et du coup j'ai pas pu la rencontrer on a fait quand même un petit échange j'ai fait un petit appel découverte avec elle je me suis dit Ausha la meuf genre Ausha je pense qu'elle est pas mal tu sens qu'elle sait ce qu'elle fait tu sens qu'elle est pointue mais j'étais en mode en plus j'ai pas le temps je suis en speed et là j'étais à Bali il faut que je prenne la décision il faut que je review un peu les 42 recos qu'on m'a fait on m'a fait 42 recos tout le monde il y avait plein de gens qui m'ont tous dit Ah non mais cette personne là, ah vraiment tu peux y aller les yeux fermés, tiens cette personne là, vas-y, franchement les yeux fermés. J'ai dit mais ouvrez les yeux et juste donnez-moi une personne. Et en fait tout le monde a donné recours, donc j'ai review tous les profils. J'ai regardé la vibe, le truc, voir s'ils étaient pros aussi. Et je cherchais en fait bizarrement quelqu'un qui était plutôt plus âgé que moi, plutôt masculin. Parce que moi j'ai un gros problème, j'ai un énorme défaut. C'est que je suis très difficilement coachable parce que mon ego vient me faire chier, vient me jouer des tours. Et je me suis dit, il faut quand même quelqu'un là, où je sens que c'est un peu le gars un peu daron, qui va avoir de l'expérience, qui va avoir de la bouteille, et qui va me permettre de vraiment faire sauter ce truc où je ne suis pas bon en tant que personne coachable. Et je me suis dit, une femme, j'ai tendance à me positionner un peu en mode dominant, leader, etc. Parce que, surtout dans cette interaction-là, alors que j'aime beaucoup l'interaction, je bosse quasiment en majorité avec des femmes, parce que... J'aime beaucoup leur psychologie, leur douceur. Moi, ça m'apaise, ça me permet de voir les choses autrement, etc. Avec douceur. Sauf que là, ce n'est pas ce dont j'avais besoin. Donc, j'étais dans ce Ausha, tu vois. Je fais le tour des 42 personnes. Comment te dire ? Je fais le review de tout le monde et je reviens à cette personne. Et je me dis, bon, en fait, la vie quand même est bien faite. C'est-à-dire que quand je demande, le premier truc qui tombe d'une personne que j'aurais dû rencontrer directement le soir même, c'est de la voir. C'est la personne qu'on m'a recommandée en premier et que tout le reste, ça ne valait pas la peine. Je me suis dit « Waouh, c'est fou. Quand ça paraît trop gros, trop évident, on se méfie. » On demande. J'ai demandé. « Tiens, des fois, c'est trop. Des fois, il y a trop de flèches. C'est trop évident. » « Non, c'est un piège. C'est chelou. C'est trop simple. » Et on se dit que la vie, c'est trop simple. C'est ça qui est fou. Et quand c'est trop simple, on se méfie. Parce qu'on a tellement l'habitude de galérer, d'en chier, de... parce qu'on doute, parce qu'on a peur et du coup on attire le doute et la peur et la merde, que quand on est déter, qu'on est là, on est fluide et qu'on manifeste un truc ultra sharp, précis, on sait ce qu'on veut, on est déterminé et que ça arrive, c'est bizarre. Tu vois, il y a un piège. Et donc ce que je veux te dire par là, c'est prends le contrôle de tes émotions. Je ne sais pas si c'est le cas en ce moment. Si ce n'est pas le cas, vraiment prends le temps d'être... C'est quoi le plus d'émotions que tu as dans ta tête ? Est-ce que quand tu penses à un sujet, est-ce que t'as le doute ? Est-ce que t'as la peur ? Ou est-ce que t'as la conviction ? Est-ce que t'as l'énergie ? Est-ce que t'as l'envie ? Est-ce que t'as la motivation ? Est-ce que t'as la foi ? Et la foi pour moi c'est le truc le plus puissant. Et c'est pas le côté religieux. La foi c'est pour moi le... Ça va se faire. En fait t'es convaincu que ça va se faire. Et y'a pas d'autres possibilités. Et que là t'es en mode émetteur plus plus, simulation, hop là tata life, viens hop là, voilà. Dîner ce soir avec la personne que tu voulais. Oublie ton poste. Ça marche, bah ouais, et ça c'est puissant. Et si c'est pas le cas, je trouve que te dire que tu vis dans une simulation où tu vas créer ta réalité et où la vie va t'envoyer des signes, les signes c'est juste finalement la manifestation de ce que t'as voulu, et bien à toi d'accepter que c'est potentiellement bien en fait. Et de pas avoir peur que quand t'es sûr que c'était ça, et qu'il y a un train qui passe clignotant et qui a ton prénom dessus, monte dedans. Parce que je peux t'assurer que quand tu montes dedans... et que tu continues à faire conscience et que tu continues à avoir des pensées et des actions qui sont conscientes, saines et positives, la vie va prendre une autre tournure. Où habiter ? En ville ? ou en pleine nature. C'est un peu le dilemme que je me pose depuis des années, que la vraie vérité, quand je me sens bien apaisé, aligné, c'est quand je suis dans la forêt, sous des arbres, en pleine nature. Mais à chaque fois, la vraie vérité, je me dis que je ne peux pas vivre comme ça, de rencontrer des gens, il faut que ce soit pratique, je n'ai pas de petite famille, je ne suis pas célibataire. Je suis célibataire et je n'ai pas une petite famille pour me dire je crée mon petit cocon et puis ce n'est pas grave. Si je veux rencontrer des gens un peu et pas être là le vieil ami qui finit barbu comme ça, coupé du bois. Non. Donc je me dis, je vais en ville. Ok, en ville. C'est cool, il y a de la stimulation. Mais en fait, je suis toujours là genre ça manque de nature. Puis ça me, je ne sais pas, ça me surmerge. Il y a plein d'énergie. Plus ça, plus je suis sensible aux énergies, moi, donc plus il y a ce côté genre de toxicité de la ville. du mal-être de la ville avec tous ces vices, tous ces hauts et ces bas, il y a toutes les phases du puzzle dans une ville. Et en fait, je suis là en mode, ça ne me met pas bien. En fait, ça ne me met pas bien parce que j'ai habité à Lisbonne, qui est une ville géniale. J'adore Lisbonne, c'est super. Manque d'arbres, comparé à Medellín, que j'aime encore plus à cause de ça ou grâce à ça. Et du coup, je suis parti parce que je... justement je suis en mode, en fait la ville il y a beaucoup d'énergie, c'est pas mon délire tu vois quand même, où justement je me dis, si un peu, mais quand tu y habites c'est tout le temps, et puis je me dis, ça manque un peu d'apaisement, de nature, et puis vu que ces derniers temps je me renseigne pas mal sur le TDAH, je m'aperçois que ce qui naturellement les études scientifiques ont prouvé que naturellement, c'est le meilleur apaisement pour les TDAH c'est la nature, et donc autant te dire qu'en ville, moi je suis un écureuil, il y a des lumières partout, c'est parti tu vois genre... Tu vois, c'est compliqué pour moi de me concentrer, d'être bien, d'être focus en vrai, parce qu'il y a trop de trucs. Et je me dis, OK, OK, bon, bah, super. Mais je suis en train d'avoir ce déclic parce que justement, ce week-end, j'ai été dans les rizières de l'UNESCO de Jilaputui. Je n'arrive pas à le prononcer. Jilaputui, un truc comme ça. Bref, c'est à une heure au nord, vers Ubud. Et en fait, tu es là. C'est du vert, Et c'est pas vraiment de la vraie nature puisque bon bah c'est quand même de la culture, c'est pas de la forêt, c'est quand même des rizières, des montagnes et des vallées qui ont été façonnées à la main par l'homme. Mais t'as quand même ce vert, ça pousse, c'est pas des bâtiments, c'est quand même des plantes qui ont été mises là à la main, mais ça reste des plantes. Et on se baladait comme ça, tu sais genre au milieu des rizières, sur des petites tranchées comme ça. Bon j'en suis aperçu qu'on n'est pas trop droit de le faire normalement. Mais bon tu connais, j'ai un vrai problème, moi quand j'étais influenceur voyage j'ai mis un concept que j'arrêtais pas de répéter, c'est en fait faut rentrer dans le paysage. C'est un art d'observer comme ça, vas-y rentre dedans Bah si c'est de l'eau plonge, si c'est de la forêt Rentre là-dedans, si c'est du sable Bah roule-toi, tu vois Et s'il y a de la boue, vas-y mets les pieds dedans En plus après on a trouvé un spot Il y avait que des locaux dedans C'est mon pote qui avait déjà vu ce truc-là Tu loues pour un balle une grosse chambre à air Et tu descends la rivière au milieu des rizières T'étais là, oh il y a les volcans en fond Et tu sais on se regardait Il me fait ouais J'ai juste ça, ouais, ouais, ouais, c'est bon Et lui C'est pareil, c'est un mec, il est quand même dans une vie capitaliste, puisque c'est un mec qui est en train de créer un fonds d'investissement, son métier c'est de trader en bourse et d'aider justement des personnes qui investissent en bourse, parce qu'il investit lui-même, il a vraiment une société qui permet, du cas du conseil, de placement en bourse. Donc c'est clairement le pur produit du capitalisme. Et souvent quand on dit qu'on est le pur produit du capitalisme pour réussir, Il faut traîner dans le jus, dans la ville. Et moi, je me suis dit ça. Si j'ai envie d'être stimulé, si j'ai envie de trouver des gens, il faut que je sois un peu dans cet état d'esprit-là de la ville. C'est toujours ça. En vrai, c'est quand même cool les commodités de la ville. On ne va pas se le cacher. Si à chaque fois, je devais trouver à manger, je devais aller chasser, je pense que je perdrais quelques kilos. Et en fait, il y avait vraiment ce moment où je me suis dit « Ok, en fait, la ville... » J'y vais parce que je me dis que je réussirais mieux personnellement, peut-être professionnellement, plus d'opportunités, de stimulation. Peut-être que je trouverais aussi plus une personne avec qui passer le reste de ma vie parce qu'il y a plus de gens, donc j'ai peut-être plus de chances. Après, je me dis, mais en vrai, si je suis en pleine nature, je suis plus calme, donc je suis plus focus, donc je me régénère plus vite. Donc, en fait, je suis plus créatif, je travaille mieux, je me sens mieux. Ça sert virtu. Et puis, je me dis, tant qu'à trouver quelqu'un, même s'il y en a moins, en fait, vu que je suis spécial. Parce que j'ai une vie spéciale, en fait, je n'ai pas besoin d'avoir de matchs avec beaucoup de personnes. J'ai juste besoin de rencontrer une un jour, tu vois. Donc, ça se trouve, à se balader en forêt, et ça ira très bien. Et autant rencontrer les gens, que ce soit des amis, que ce soit un partenaire ou une partenaire, dans l'endroit, en fait, qui toi... ben là où tu as envie d'y aller en fait dans ton but plutôt que te dire ok je vais là il y a le plus de monde je rencontre des potes des professionnels des partenaires un chéri et puis après j'irai là où j'ai vraiment envie d'aller mais en fait c'est peut-être ça n'a pas matché en vrai alors que si tu es déjà là où tu veux être tu vas rencontrer des gens qui peut-être sont déjà dans le même parcours de vie que toi et tu dis ah mais ah t'es là aussi toi ouais je ouais exactement pour ça c'est ça et d'être vraiment tu vois sur cette chambre à air là Tu sais où t'es là, tu tournes sur toi-même tout doucement, t'as le paysage qui fait un 360, y'a du vert, y'a des volcans, t'es bien, t'es avec ton pote, t'y dis mais en fait mon pote je suis venu rencontrer dans ce milieu-là, et c'est un mec smart, et c'est un mec qui justement, comme je disais, me permet de, tu vois, en ce moment d'être dans une haute vibration, et puis je suis cool, je me sens apaisé, puis je suis créatif, puis en fait j'arrive à faire du bon taf dans le cercle des solopreneurs, y'a des belles choses qui se passent, bon, côté partenaire, y'a rien, Mais en fait, ce n'est pas grave. Parce que je me dis, c'est ça. Je crois que je me suis promis que je ne revivrais plus en ville. Et j'adore aussi la ville. Mais du coup, j'adore la ville pour me stimuler. Comme ce moment d'attraction, de stimulation, de parenthèse. Et que j'y verrais en pleine nature. Peut-être justement entre Bali et Medellín. Parce que pareil, vu que j'ai un peu la bougeotte. Ok, ce n'est pas grave, j'accepte que j'aurai plusieurs camps de base. Et que justement, quand j'ai besoin de faire de l'administratif, et de faire des trucs... Ah franco-français, et bah c'est pas grave, je viendrai un mois, deux mois, en France, en Europe, peu importe, et je viendrai prendre ma dose de ville versus l'inverse en fait. Parce qu'avant j'étais en mode, ok mon camp de base c'est le truc pratique en ville, mais après je vais me prendre ma dose de nature. Et là je me suis dit, fuck no, tu vois genre, là tu vois j'ouvre le rideau, quand je fais ça là regarde, tu vois, j'ouvre le rideau de la chambre, j'ai un mur de verdure. Et juste là je me lève le matin, j'ouvre mon rideau, je suis là genre, ah. C'est pour ça que j'ai vendu mes meubles en deux jours et que je me suis barré. Merci, ça me fait du bien. Et d'avoir été dans ces petites rizières ce week-end, ça m'a vraiment confié de me dire, arrête de forcer. Tu le sais au fond que toi, tu es un mec de la nature. J'ai juste peur de me faire chier ou de rencontrer personne. Alors que s'il y a bien un des petits avantages qu'a pu apporter le Covid, c'est l'ultra digitalisation du travail. D'autant plus, je l'étais déjà, mais... d'autant plus sur plein de choses, et que finalement, il y a d'autant plus de gens aussi qui retournent en pleine nature tout en pouvant faire leur métier qu'ils faisaient en ville. Donc d'autant plus de possibilités de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs, mais qui sont stimulants, qui professionnellement sont évolués, etc. Donc si tu te poses la question, que toi tu es un peu en mode, « Ouais, la ville c'est pratique, mais en vrai, moi c'est quoi ? » Va là où ça te fait kiffer, fais ta base là, et quand tu as besoin de, pour X raisons, kiffer, administratif, business, va en ville. Franchement, je te dis, ça fait un bien fou. Et maintenant, dernier sujet avant de finir sur le fun fact, c'est se comparer. Attention. Je vais te raconter deux petites histoires qui viennent de se passer dans mon collectif. C'est Charlotte, Charlotte Parot, qui est incroyable, qui vit de l'aquarelle. Moi, franchement, c'est l'incarnation de « Tu peux vivre de ta passion » . Juste terminer bonsoir. Qui a en plus quitté ce qui était fonctionnaire avant, donc cette sécurité-là pour vivre de ça. Et là, en gros, qu'est-ce qui se passe ? Elle a lancé sa communauté school, comme moi, avec une offre. Parce que pour les passionnés d'aquarelle, quand je dis que c'est des passionnés, c'est des gens qui ont envie, au lieu de se tuer à la salle de sport ou être devant des écrans, ils ont besoin de déconnecter de façon plus douce et plus saine. Ils ne font pas de la poterie, ils font de l'aquarelle. Il y en a de plus en plus. Je sais qu'il y a une grosse mode du tricot. Là, c'est l'aquarelle et je trouve ça fantastique. Et du coup, elle a lancé sa communauté. Donc elle, elle en fait quand même depuis, elle a sa communauté depuis au moins un ou deux ans. Facile, facile, ok ? Elle fait des postes, elle fait des ateliers à Annecy qui sont remplis. Et du coup, quand elle a lancé sa communauté en ligne, cette fois, donc sur School, comme moi, elle a fait un lancement et là, elle en est à 150 personnes. Genre, elle a plus de personnes dans sa communauté School que moi. Et sa communauté doit être à 27 ou 37 balles. J'ai trouvé ça, mais... Fantastique ! Comment te dire que même elle était là genre waouh c'est trop bien en plus c'est un abonnement recurring donc elle qui flippait un petit peu de se dire bah tu sais genre des fois elle remplit ses ateliers, elle aimerait bien avoir plus de visibilité fantastique ! Elle s'est même retrouvée, écoute bien pour te dire, dans le top 5 monde, monde de la plateforme school qui fait le plus justement de revenus sur les thèmes des hobbies donc des loisirs 5, le top 5 et t'imagines si à la fin du mois elle reste dans le top 5 Je crois qu'elle est redescendue à la 7ème place, mais elle était dans le top 5. Genre, elle a un mastermind tout frais payé par la plateforme Skool avec Hormozy. C'est une dinguerie monumentale. Je l'ai mis, j'ai essayé de le pousser aussi dans ma story. Je lui ai dit, franchement, essaie de dire à tous tes potes, on sait jamais. Mais... qu'il y a Youpa dans ce mastermind. Genre, waouh, réussite, même elle, ça s'est emballé. Tout le monde dans le collectif a partagé sa story, enfin, en story, son lancement pour dire allez-y, si quelqu'un aime l'aquarelle, franchement, pour 27 balles, faites-la kiffer. Aidez-la d'autant plus à être dans ce classement et à faire un super lancement. Génial. Et à côté, en même temps, il y avait une autre personne du collectif qui a lancé sa communauté, mais sur la décoration intérieure. Et c'est une personne qui s'est reconvertie récemment et qui, justement, a une communauté plus fraîche et avec une offre qui n'est pas encore bien prépositionnée. Parce qu'elle, elle la cherche. Qu'est-ce qui s'est passé ? Elle, au contraire, alors qu'elle fait... Franchement, elle doit avoir 20 000 ou 25 000 sur Insta, qu'elle fait beaucoup de vues. Elle a fait qu'une dizaine de personnes rentraient dans sa communauté. Donc forcément, je vois ça, je m'empresse de lui envoyer un message. Parce que je me dis... Parce que la deuxième personne qui... a fait un lancement qui est loupé. Comment te dire que c'est une personne, c'est une bosseuse, c'est une meuf géniale, c'est une meuf qui fait les choses avec le cœur, c'est une meuf en or, c'est une meuf qui se défonce, qui se remet en question, qui taffe, qui va trouver des... Tu vois, c'est le genre de personne qui, de toute façon, elle va réussir. Et la preuve, quand elle a commencé sur Insta, elle faisait que quelques vues, là, des fois, elle a claqué plusieurs millions sur certains contenus parce qu'elle a gardé cette régularité. Boum, ça a pété. Donc, c'est une meuf. Tu sais qu'elle réussit, elle va réussir. Mais là, au même moment, sa pote qui lance, elle cartonne, elle pas, forcément, je lui envoie un message, je lui dis s'il te plaît, ne compare pas ce qui n'est pas comparable, même si c'est tentant. Parce que Charlotte, elle, ça fait deux ans qu'elle est sur ce contenu-là, ce positionnement-là. Elle a déjà des contacts, elle a déjà plein de gens qui sont venus sur ses ateliers, elle a déjà un positionnement qui est clair, et toi, tu viens de te reconvertir, t'as lancé ça il y a... Ce nouveau positionnement, cette nouvelle activité, il y a 6 mois, un truc comme ça, à peine. Tu viens de faire du contenu, mais il n'y a pas encore ce rapport aussi peut-être de confiance. Et puis aussi, ton offre, est-ce que ça s'adapte aussi bien sur la communauté pour de l'aquarelle que pour du design d'intérieur ? Et si c'est le cas, peut-être que ce n'est pas ce que tu mets dedans. Et ça m'a vraiment rappelé, quand moi je m'étais lancé dans l'entrepreneuriat, j'avais une personne à ce moment-là avec mon équipe et c'était insane. Avant même d'avoir lancé mon propre business, on s'était mis sur le business d'une pote et c'était insane. Il y avait un croisement du time to market, c'était la première sur son créneau. Il y avait le Covid qui venait d'arriver, donc c'était la mode des formations en ligne. C'était en 2020, un truc comme ça. Et elle a fait un million de chiffre d'affaires en organique. Ça ne se voit plus, des 40% de taux de transformation sur la base mail, des trucs de fou. Un truc de fou ! Même nous on était là genre, wow, tu sais, allignement des as de la chance, de elle qui a fait un travail de fou, moi avec mon équipe qui a été bonne, etc. et qui ont eu de la chance. Et évidemment, derrière moi, quand je lance mon business, je me dis, c'est moi qui ai donné tous ces conseils, ça avec mon équipe, je vais au moins faire pareil. Et pas du tout. En plus j'avais une communauté, mais trois, quatre fois, cinq fois plus grande qu'elle. Avec 10 000, j'avais déjà 90 000 sur Insta et j'avais tous mes autres réseaux. Mais pas du tout en fait. Parce qu'elle, ça faisait un an qu'elle donnait du contenu gratuit, de qualité, en podcast, sur ses réseaux, qu'elle se positionnait. Donc au moment où elle a ouvert les vannes, les gens avaient une confiance aveugle, elles avaient vu la qualité du contenu, et qu'elle était positionnée, qu'elle était première. Boum, ça a tout cartonné. Moi, oui c'est sûr, j'avais des gros comptes, mais ça faisait dix ans que j'ai eu du voyage. Et là, j'étais plus sur du personal branding, la stratégie de création de contenu, de transformer un métier dans sa passion, et avoir de la visibilité sur les réseaux. Wow, les gens étaient... pas trop près. Oui, il y en a qui m'ont suivi. Genre, j'ai dû faire 150K, 200K la première année, ce qui est très bien. Mais c'est genre presque 10 fois, allez, 8 fois moins que mon ami. Et ça, en fait, au début, t'as ton égo qui en prend un gros coup, et ça fait du bien, en vrai, parce qu'au début, tu le vois pas, mais c'est une excellente leçon de se dire, compare pas ce qui est pas comparable. Au moment où tu en es, pourquoi tu en es. Et des fois, tu peux même être au même moment. Mais en fait, tu te dis pas que t'es... Des fois, c'est juste, t'as pas les... c'est pas que t'es moins bon, c'est que t'as pas trouvé le bon clic, la bonne offre la bonne façon de faire en fait et qu'il y en a un autre qui peut-être avant de se lancer a plus bossé son truc ou c'était peut-être plus évident peut-être que son marché est plus évident son offre est plus évidente, peut-être qu'elle a juste aussi permis de refaire des choses de personnes qui avaient déjà réussi elle l'a fait à sa sauce, toi tu veux créer un espèce de nouveau truc parce que tu te dis que c'est génial et que vu que t'es tout seul et ben y'a personne sur qui tu peux prendre exemple et du coup bah ... ça tombe un peu à l'eau. Donc, vraiment, c'est comme les deux histoires que je viens de te raconter. Si tu vois quelqu'un qui est en train de réussir, Et que toi tu réussis pas comme l'autre personne, tu dis putain mais si elle y arrive, pourquoi j'y arrive pas ? Compare pas, tu sais pas où elle en est, tu sais pas combien de fois elle a foiré, tu sais pas depuis combien de temps elle te donne du contenu assez positionné, avant d'avoir ouvert les vannes que t'as ouvert peut-être en même temps. Mais peut-être que toi c'est pas, encore une fois la bonne offre, la bonne cible en face, sur le bon réseau, de la bonne façon, et c'est ok en fait. Parce que au moins tu vas pouvoir cocher cette case et te dire, c'est pas comme ça que je dois le faire. C'est pas ma façon, c'est pas la bonne offre, c'est parce que les gens ils ont besoin et que c'est ok. Et surtout, te compare pas. C'est comme si tu te comparais à toi dans cinq ans. Regarde, si tu veux te sentir bien, compare-toi à toi, ton toi de toi-toi. Ça fait beaucoup de toi dans la même phrase. Mais dis à cinq ans, où est-ce que t'en étais ? Est-ce que tu te comparerais ? Bah non, en fait. T'étais peut-être encore en CDI, t'étais peut-être tes premiers euros, et là, tu gagnes super bien ta vie. T'étais peut-être chez toi alors que là, t'es digital nomad. Et tu te dis, ah ouais, mais pourtant, tu fais potentiellement le même métier, t'es la même personne. Mais il y a des trucs qui sont pas pareils, en fait. Et ça, il faut prendre la globalité avant de se comparer, parce que sinon, vraiment, tu vas sombrer, tu vas te désespérer, tu vas te dire que c'est nul, tu vas dire... Et d'un côté aussi, n'oublie pas, les gens qui réussissent aussi, qui disent qu'ils réussissent, c'est peut-être pas toujours le cas, premièrement. Et deuxièmement, si tu réussis et que tu sais pas pourquoi, ça dure pas longtemps. Et l'avantage quand tu te plantes, c'est que quand tu réussis, tu sais pourquoi t'as réussi. Parce que t'as trouvé la bonne formule, parce que t'as galéré avant. Et ta réussite, elle est beaucoup plus solide. Elle est beaucoup plus pérenne. Donc s'il te plaît, ne te compare pas. Et de toute façon, c'est la fameuse phrase. Soit on gagne, soit on apprend. Et maintenant, le petit fun fact. Alors, il faut savoir que depuis que je suis arrivé voir mon pote Sam à Bali, j'ai remis en place un truc que je faisais en permanence avec mon pote Loris Monteux quand j'étais en voyage en Irak. Parce qu'effectivement, quand tu n'as pas pu un pote depuis longtemps, allez, deux, trois premiers jours, tu te mets à jour. Tu racontes les trucs, ce que tu as appris, où tu as galéré, où tu as mangé, où c'était dur, où c'était génial, des anecdotes. Et puis à un moment donné, tu fais tous les repas. Parce que tu es en mode voyage ou en mode coloc, tu te vois tout le temps. Il n'y a plus tant de trucs à dire, ou pas tout le temps. Et là, en fait, on joue. Donc on joue, j'ai sorti les dés. Je ne sais pas si tu connais le 10 000. Le 10 000, c'est un jeu de dés. C'est le premier qui arrive à 10 000. C'est bien, tu as suivi. Qu'est-ce qui se passe ? Évidemment, moi, j'aime bien quand on joue et qu'il y a un petit enjeu. Je n'aime pas jouer de l'argent, mais j'aime bien qu'il y ait un enjeu. Et du coup, on joue. tous les repas. Donc finalement, il y a un peu d'argent, mais on joue les repas. Comment te dire que Sam, il a kiffé le jeu ? Et moi aussi, je kiffe ce jeu. Sauf que, comme je t'ai dit, pour moi, dans la vie, je trouve qu'on est un peu, et plus ça va, plus j'y crois, on est dans une simulation. Genre, je crée ma réalité, d'accord ? Qu'elle soit en bien ou en pas bien. Et des fois, quand je suis en pas bien, elle est vraiment pas bien. Et des fois, quand je suis bien, elle est vraiment très bien. Donc, j'essaie vraiment d'utiliser le jeu D en mode... En fait, j'appelle mes dés. Littéralement, je te dis, je lance les dés, je dis, j'annonce, je veux, je veux le manifester le bordel. C'est une simulation. Et évidemment, quand je te dis que je sors des mains de l'espace, de l'univers, de tous les trucs, là, on ne connaît pas trop les... J'en fais une victoire, deux victoires, trois... Et là, hier soir, parce que là, le mec... En fait, je ne paye plus les repas. Non, mais ça revient là, en fait. Je gagne tout le temps parce que je sors des mains où à la fin, je leur dis, « Ok, je dois faire 350, genre triple 3 et 5. » Et tu sais, j'envoie la main, je mets un triple 3 et 5. Je le regarde, le mec, je le vois, il tombe de quatre étages, il est dégoûté. Et moi, je suis là, il me dit, « T'es un enfant. » Il me dit, « Mais t'as une char... » Et je lui explique. Parce que ça doit foutre encore plus la rage à un mec qui est très cartésien quand même. Il est spirituel, mais il est cartésien. Et un mec, je lui dis, « Mais non, mais j'ai appelé l'aider. » tu comprends ? C'est moi qui les ai manifestés. Donc évidemment que je parle pas comme ça, mais je pense que quand je le dis dans ça, il m'entend comme ça. Mais si, mais c'est total. Parce que là, il y a la lune en sagittaire, donc forcément il y a eu un triple... Tu vois, je pense qu'il entend ça. Et que moi je lui dis, écoute, je pense qu'on est vibration, je pense qu'on est énergie, je pense qu'on crée notre réalité. Donc en fait, si j'ai peur de la main... En fait, souvent quand t'envoies ta main au dé, tu l'envoies et tu dis t'espère, donc c'est du doute. Parce que t'es pas certain. T'envoies rarement deux. Je suis convaincu, y'a aucun doute, je suis relâché, et je sais, et je fais confiance à la vie. Ça arrive pas ! T'es là en mode, allez, vas-y, s'il te plaît ! Ah, j'ai peur ! Et t'envoies de la peur, t'envoies du doute ! Et moi, j'envoie... J'essaie, en fait, je m'entraîne à contrôler mes pensées et mes émotions grâce au jeu de dés. Parce qu'à chaque fois que j'envoie une main, je suis en mode détendu et je visualise que c'est exactement ce que je veux, en toute détente. Et même si je perds, j'ai fait des remontadas, Et à chaque fois, j'envoie les chiffres, je les annonce, et évidemment que... Évidemment que je n'ai pas les dés que j'annonce à chaque fois. Evidemment que non, mais le pourcentage doit être au moins 10 fois plus élevé que la normale. Je te jure, c'est insane. Et pourquoi je te dis ça ? Parce que ce qui est génial, c'est que les petits gages, à force, tu sais, on joue une partie, on a, voilà, on a joué une partie, j'ai gagné le repas. Après, il y a le dessert, ok. Mais des fois, on a envie de faire 2, 3, 4 parties, tu vois. Donc, il y a les gages. Eh ben là, j'ai eu quoi comme gage que j'ai gagné ? Pendant 24 heures, dès qu'il s'adresse à moi, à la fin de la phrase, il dit... votre majesté. Ça, c'est très agréable. Et la deuxième, c'est qu'à chaque fois qu'on se sépare, on fait un truc de notre côté, on se revoit, pendant 30 secondes, il doit me faire des compliments sur moi. Et ça, je peux te dire qu'au-delà de la simulation, d'aider de mon Hugues, tout ça, ça vaut quand même la peine de juste gagner parce que putain, ça fait plaisir. Allez, à la semaine prochaine.

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