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SATORI

L'impact de l'alcool sur ma clarté mentale, mes doutes et mon business - JDB#14

L'impact de l'alcool sur ma clarté mentale, mes doutes et mon business - JDB#14

1h03 |25/03/2025
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Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs

SUJETS ABORDÉS :

• Ma vision de la prise de risque entrepreneuriale

• Le piège de garder des portes ouvertes vers des chemins que l'on sait ne vouloir jamais prendre

• Se sentir bien vs Se sentir mieux que les autres : La différence qui change tout

• Créer une offre irrésistible - Les 7 critères pour développer une offre que mes clients ne peuvent pas refuser

• L'importance de m'engager totalement sans porte de sortie

• La puissance des "cerveaux collectifs" crée en colocations entre adultes partageant les mêmes ambitions

• Fun Fact : gage de conciergerie qui tourne mal


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ah, ce séjour à Bali me fait le plus grand bien. Je commence à avoir les batteries qui commencent à être bien rechargées. Bien rechargées. Je me suis bien remis au sport. Jiu-Jitsu, Muay Thai, basket, des fois muscu. Je fais du spa tous les jours. Quand même, Bali, c'est bon. Tu peux plus te perdre que t'es déjà perdu quand tu viens si tu sais pas ce que tu veux. Mais j'avoue, quand tu veux et que tu viens dans le menu à la carte, choisir tous les petits trucs sympas et que tu dis non à tout le reste, Oh qu'est-ce que c'est fantastique C'est fantastique D'ailleurs la petite aparté Ça m'a fait du bien, j'ai conjuré le sort De mes ligaments croisés Que je m'étais fait il y a deux ans à Bali Bizarrement quand je n'arrivais plus à tenir Tout le poids de la vie sur mes épaules Et que mon genou a lâché au basket Et j'ai conjuré le sort avec le même pote Que j'avais en face au basket Qui défendait sur moi au moment où je me suis fait les ligaments croisés Avec les mêmes baskets, c'était pas le même terrain Mais bref, plein de choses qui font que Je me sens en forme, je récupère du cardio, je fais du sport, je me sens bien. Et du coup j'ai plein de choses à te raconter dans ce nouveau journal de bord. Première chose, l'alcool. Je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Blum, ça faisait 6 mois que je n'avais pas bu d'alcool. Je vais t'expliquer, parce que spoiler alert, j'ai picolé. Et je vais t'expliquer ce que j'en ai retiré de ce moment-là, de reconsommer de l'alcool. Ensuite, je voudrais te parler de ma discussion que j'ai avec mon pote Dany sur est-ce qu'on est un bon entrepreneur et est-ce qu'on est fait pour être entrepreneur si on a une aversion au risque, c'est-à-dire qu'on n'aime pas prendre de risques. Mon pote Dany, c'est vraiment un mec brillant et un bon entrepreneur, mais est-ce qu'il l'est vraiment parce que lui a peur de prendre des risques ? Et bref, je te donnerai un petit peu le fil. de notre conversation et les leçons qu'on a tirées, la comparaison avec un autre pote qu'on connaît bien, qui lui prend beaucoup de risques, et voir comment tu te situes par rapport à eux, et surtout comment tu te situes par rapport à la prise de risque. Autre sujet, c'est pourquoi garder les portes ouvertes de choses que tu n'as pas envie de faire ? Ça va être vraiment un sujet pour moi qui... C'était vraiment ce que mon pote Sam m'avait dit, je me suis dit, c'est vrai, pourquoi on garde les portes ouvertes ? d'une thématique ou d'un chemin qu'on ne veut surtout pas prendre. C'est fou, par exemple, on va au bout de certaines études pour se dire « Oui, au cas où, j'aurai ce truc-là. » On garde la porte ouverte, c'est possible, alors qu'on sait très bien qu'on ne veut pas le prendre. Je creuserai ce sujet parce que c'est assez fou à quel point on perd du temps, de l'énergie et des années à garder vraiment de la charge mentale qu'on se met en plus à garder des portes ouvertes sur des chemins qu'on n'a pas envie de prendre. Je voudrais aussi parler du sujet de ce qui est fou dans la vie, c'est qu'on se sent bien souvent quand on se sent mieux par rapport à. Et ça pour moi, c'est une autre discussion que j'ai avec mon pote Sam, je trouve que c'est le cancer du cerveau, c'est le cancer de notre vie, c'est tout ce qu'on nous pousse à faire, c'est se sentir bien si on se sent mieux, si on est mieux que, donc par rapport à. Et du coup, ce n'est plus le sujet de avec nous-mêmes. et c'est vraiment un sujet que j'ai envie de creuser. Je voudrais aussi te partager, si en ce moment tu es en train d'avoir une offre avec des clients, comment créer une offre irrésistible, parce que là sur le cercle des solopreneurs, j'ai créé hier, grâce à mon super challenge de productivité que j'ai mis en place, qui m'a servi en premier à moi, qu'on a mis en place sur le cercle, en une journée j'ai fait 20 vidéos qui expliquent comment créer une offre irrésistible et je voudrais au moins te donner les grandes lignes et tout. tous les critères. Après, je ne pourrai pas te donner tous les exemples, mais en tout cas, te donner vraiment tous les critères qui font d'une offre qui devient irrésistible et que tes clients sont en train de se dire « mais je serais bête de ne pas l'acheter » . C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible. Ensuite, je voudrais te parler d'un thème qu'on ne parle pas beaucoup quand on a dépassé la vingtaine, mais c'est faire des colocs. En ce moment, maintenant, on dit « co-living » . C'est plus cool quand on est adulte. à Bali, je fais des co-living à Medellin. C'est-à-dire que je vis avec d'autres adultes qui ont une vie normale et qui ne font plus d'études. La puissance des colocs, je suis en train de le voir là avec mon pote Sam. Et surtout, ça m'a rappelé la puissance des colocs quand j'en avais fait aussi à Medellin avec mes potes Jerem et Germain, qui sont des gens incroyables et qui m'avaient reboosté. Et que surtout, il y a aussi, j'ai été choqué, des gens du Cercle, ça ne fait même pas un mois qu'ils se connaissent, ils se sont chauffés, ils ont fait une coloc en Espagne. Donc je voudrais te donner mon point de vue et mon retour d'expérience sur comment faire une bonne coloc et surtout quand tu es adulte et que tu as une vie et potentiellement que tu es aussi en couple et qu'est-ce que ça peut t'apporter. Et ensuite je voudrais terminer sur un sujet qui pour moi est essentiel avant de te parler du fun fact c'est... challenge-toi auprès de gens que tu estimes et brûle tes bateaux, c'est-à-dire enlève-toi la possibilité de t'échapper. Mets-toi dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que je vois la puissance d'une personne dans le cercle qui s'appelle Vanessa qui avait l'impossibilité physique de faire des face cam. Je l'ai challengée et il s'est passé des choses assez incroyables que je voudrais te parler. Et c'est vraiment par le fait qu'elle se retrouvait challengée dans un moment où je ne veux pas perdre mon honneur, etc. Bref. Je t'en parlerai dans ce sujet, c'est mets-toi dans des situations où tu n'as pas le choix, quand vraiment tu as besoin, quand tu bloques sur des sujets et que tu n'arrives pas à avancer. Évidemment, je terminerai par un petit fun fact, très drôle, qui est lié au dé, qui est lié au gage. J'en ai pris un assez drôle et je voudrais t'en parler. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. L'alcool, ah l'alcool ! On connaît bien le sujet, surtout si on est français à peu près, depuis qu'on est gamin. C'est le patrimoine ! Attention, petit verre de vin ! Du coup on connaît bien. Sauf que moi j'ai arrêté à peu près de boire depuis à peu près six mois, vraiment de façon anecdotique. Et là, moi samedi dernier, je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Bloom. Et alors c'est pas celle qui va picoler le plus, je pense qu'elle a pris un ou deux cocktails, sauf que son mec Chris Aude, mon pote Chris Lacchiesa, mon pote Sam... Alors mon pote Loris Monteux, non restez sages. Mais tu vois... Allez, une petite margarita, un petit truc. Et d'habitude, ces derniers mois, j'étais en mode, non, pas envie. Je suis content, j'ai vraiment atteint un niveau où c'est pas genre je me l'interdis. J'ai jamais dit j'arrête l'alcool, c'est juste, j'ai plus envie en fait. Un peu comme, tu vois, ce côté où c'est quand tu arrêtes, je sais pas, la viande pour raison écologique ou de santé. Au début, tu te dis, ah, non, j'arrête, mais j'en ai envie. Et à un moment, tu te dis, non, ça me tente plus. Ben, ça me tentait plus. Mais, en fait, moi, à la base, j'adore être bourré quand même. Je trouve ça génial. Euh, t'sais, l'ivresse, tout ça, je trouve ça génial d'être bourré. Mais, ben, pourquoi j'avais arrêté ? Ben, j'avais arrêté parce qu'en fait, c'était pas tant la gueule de bois du lendemain, c'était « arrêtez-moi la tête ! » « Non, à l'esco... » Non, c'est pas... Ça, à la rigueur, ça dure 24-48 heures. C'est un petit peu comme... En vrai, comme si tu fais une grosse séance de sport, t'as mal derrière 24-48 heures, pourtant tu refais du sport, parce que c'était cool. Bon, là, l'alcool, c'est cool d'une autre façon, mais... Justement... Pour moi, l'alcool, ça ne durait pas que 48 heures, la gueule de bois. C'était vraiment subtil et insidieux, l'impact que ça avait sur moi et surtout sur mon mental, sur mon cerveau. Je m'étais aperçu que... Je ne suis jamais quelqu'un qui est trop sorti dans ma vie, mais je n'ai jamais aimé trop l'ambiance de sortir, les trucs à Paris, dans la région parisienne ou en France. Sauf qu'en étant à Bali, il y a deux ans, et à Medellín, j'ai un petit peu rattrapé le retard. Je me suis aperçu que l'alcool me créait du doute. Tu sais ? J'étais plus aussi déterminé. Genre j'avais des appréhensions, j'étais plus aussi motivé, genre j'étais plus aussi déter, tu vois. Vraiment, t'étais déter, d'habitude avant j'étais déter. Et l'alcool, je cherchais, attends, est-ce que j'ai le jus là ? Est-ce que c'est la bonne stratégie ? Est-ce que c'est la bonne décision ? Tu sais, ça me mettait un voile de, waouh, je réfléchis, c'est nouveau, mais je réfléchis en fait en me questionnant, en doutant en fait, et non pas en me demandant quelle est la bonne solution pour avancer plus vite, mais juste je me dis, est-ce que je vais pouvoir le faire ? Et ça, je me suis dit, waouh, c'est un prix beaucoup plus cher que l'ivresse, qui est absolument génial pour moi. Je ne veux pas, en fait, douter. Je ne veux pas ce truc d'espèce de voile constant, qui est insidieux, qui est latent, que tu n'arrives pas au début à relier à l'alcool. Parce que, oh, c'est un petit verre. Oh, ce n'est pas grave. Ça détend, en vrai. Quand j'ai une journée un peu compliquée, j'ai une semaine chargée. Ouh, on a bien rigolé. Et en fait, on a bien rigolé. Ouais, j'avoue. Rangement, j'avoue. Et j'ai enlevé ça, en fait. J'en avais plus envie. Sauf que samedi soir, je suis avec les compères. Ah vas-y une margarita. Non pas envie. Allez. Et en fait moi, à la base si je bois de l'alcool c'est pour une énergie. J'ai jamais bu de l'alcool tu vois. Chez moi je m'ouvre une petite bière, un petit verre de vin. Je sais pas, c'est une énergie qui correspond à un moment de fête et que du coup l'alcool va amplifier ce moment. Et je trouve très cool. Et là le moment était très palpablement génial. Donc j'ai dit vas-y envoie une petite margarita, ça fait longtemps, j'aime bien les margaritas. Envoie la margarita. Voilà la margarita elle est arrivée. Et elle m'a envoyé direct sur Namek. J'étais là, j'étais bien, tu sais, alors si t'as déjà passé le soir avec moi, tu sais que je suis un peu chiant, parce que je suis super content quand je suis bourré. Et waouh, j'en ai pris une deuxième, parce que vu comment on était cinq, il y en a un qui a fait sa tournée, tu connais le problème. Une, deux, trois, alors là les deux premières elles m'ont envoyé, j'avais les genoux, comme s'il n'y avait plus de genoux, j'étais sur des ressorts moelleux. C'est coucou, tu rebondis un peu, tu es là, tu fais des conneries. C'était génial. J'ai passé une excellente soirée. J'avais juste oublié que le lendemain, à 10h, J'avais un paddle. Donc je me suis levé, je me réveille à 9h avec la gueule, avec un sable, arraché par la tête. Je me suis habillé, j'ai foncé au spa, à la gym où j'ai un abonnement. Bain froid, bain chaud, bain froid, bain chaud, 3 énergie balls et on est parti. Ok, ça a été. J'ai gagné le paddle en plus. Bon, pas trop grâce à moi, mais j'ai gagné le paddle. Ce que je veux dire, c'est que j'ai ressenti de nouveau cette sensation de... Est-ce que je vais pas me blesser au pas d'aile ? Est-ce que je vais gagner ? Putain, le reste de la journée, qu'est-ce que j'ai à faire ? Et tu sais, comme si ça, j'avais de nouveau, et surtout, je l'ai vraiment expérimenté et ressenti en étant à Bali, là, en étant super healthy, faire de la méditation, faire du yoga, faire du sport, bien manger, etc., avec des bonnes vibes, rigoler. Donc vraiment mental d'acier qui fait du bien. Et de nouveau me dire, oh, je me questionne. ou je doute ou je vois le j'envisage beaucoup les scénarios négatifs de chaque situation et quand je m'imagine dans le futur c'est pas genre est ce que d'un temps j'ai ça à faire après faut pas que j'oublie demain demain je trouve la motif de ou j'avais pu ça ou c'est l'alcool et ben ça m'a rappelé pourquoi je buvais plus je suis très content d'avoir picolé avec mes potes je suis très content aussi de me dire que je vais pas picolé avant un bout de temps À moins qu'il y ait une vraie sacrée ambiance de malade mental, mais ça arrive franchement rarement en vrai. Et que de toute façon, j'ai en vrai pas besoin de ça pour m'amuser du tout. C'est juste de temps en temps un truc différent. Et je te pose la question vraiment, c'est quoi ta consommation d'alcool en ce moment ? Et c'est quoi ta mentalité en ce moment ? Comment tu te sens dans ta tête ? Est-ce que tu as des voiles justement de doute, de questionnement ? Pas des questionnements qui vont dire, ok, ça c'est ça, mais ça, ça peut être mieux. Ou attends, je peux peut-être aussi faire ça, ça sera encore... plus rapide, mais que tu te dis, attends, est-ce que c'est pas du doute ? Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis capable ? Tu sais, tous ces questionnements négatifs qui te tirent vers le bas. Est-ce que t'en as en ce moment ? Et si t'en as en ce moment ? Est-ce que tu bois beaucoup d'alcool ? Et quand je dis beaucoup d'alcool, c'est au moins une fois par jour, régulièrement. Est-ce que t'ingères, est-ce que t'alimentes ton cerveau de finalement cette substance qui le rend faible, fragile, douteux et en questionnement ? Je trouve que c'était un bon rappel de me dire pourquoi j'avais arrêté. Et peut-être que toi, si encore une fois, tu as envie de te débarrasser d'un peu plus de doutes et de pensées négatives, ça peut être pas mal de commencer par là. Autre sujet maintenant, la prise de risque. Est-ce que tu aimes prendre des risques ? Parce que si ce n'est pas le cas, est-ce que tu peux être un bon freelance, un bon solopreneur, un bon entrepreneur, avoir ton activité ? C'est la question que je me suis posée quand je discutais avec mon... mon pote Dany, qui est un mec brillant qui habite à Bali, qui est dans le fitness, que j'adore, très smart, très bosseur, très technicien, mais il a peur du risque. Il a peur, tu sais, de « Ah, et si je perds tout ? Ah, et si je prends une mauvaise décision ? Ça me met dans la merde, etc. » Sauf que ça, c'est plus, en fait, une mentalité de personnes qui gardent leur argent et leur fortune plutôt qu'ils n'en font. D'ailleurs, c'est vraiment le concept que qui explique le livre « Psychology of Money » , la psychologie des entrepreneurs qui réussissent fort et qui font beaucoup d'argent, et l'opposé de celles qui savent conserver et fructifier l'argent. Parce que quand tu es entrepreneur, il faut prendre beaucoup de risques, et pour accélérer vite, et faire des paris que tu ne sais pas si ça va réussir, parce que la preuve, si tout le monde savait et que c'était sûr, tout le monde serait riche et tout le monde y arriverait. Et par contre, si tu continues d'avoir cette mentalité-là de toujours prise de risque, il y a un moment aussi... tu te plantes, c'est sûr. Et donc, tu perds tout. Et souvent, les mecs qui font beaucoup d'argent, ils ont tendance à tout perdre et tout refaire. Alors que quand tu es quelqu'un qui est plutôt quelqu'un qui gère du patrimoine, qui verrouille, là, c'est un très bon skill d'avoir peur du risque et même de les envisager tous. Si tu es un gestionnaire patrimoine et de fortune et que tu avais anticipé une pandémie mondiale à un moment donné, il te dit qu'est-ce qui se passe en cas où, tu es plutôt bon. Et c'est un peu ton taf. Et la preuve, c'est arrivé, on ne sait jamais. Et j'en parlais avec mon pote Dany, parce que justement, il est en train de se questionner dans son business. Je pense qu'il y a un moment aussi où il stagne, où il est très bon, mais où il stagne. Et en fait, je lui disais, mais je pense que ton problème, c'est que tu es dix fois meilleur que moi, tu vois, en entrepreneuriat, et en plus, tu es un peu guité de technicien. Donc avec l'IA, il y a moins que tu puisses vraiment t'amuser en ce moment. Mais le problème, c'est que tu as peur du risque. Donc en fait, les choses que tu sais devoir faire, tu ne vas pas les faire. C'est-à-dire, ou tu les fais à moitié, ou tu les fais sans prendre de risque. Ce qui fait que ce ne sont pas les bons moves. Parce que, regarde, là, en vrai, j'étais à Lisbonne avec... Un appart, j'avais des business, etc. J'ai rendu mon appart, j'ai vendu tout mes meubles en 48 heures, je suis parti à Bali. Et les 3-4 mois d'avant, j'ai shut down tous mes business et toutes mes funnels de vente pour juste créer le cercle de solopreneur. Parce que c'était un risque, parce que j'avais besoin de prendre du temps pour moi, pour comprendre la suite, pour me nourrir aussi d'un autre type de business qui m'amuse beaucoup plus, que je trouve plus humain. C'est une prise de risque. Parce que là, à l'instant T, je gagne beaucoup moins d'argent. Parce que c'est un truc que je mets en place, parce que je mise sur le calme, le silence, l'espace mental, et d'ailleurs je t'en reparlerai dans un autre journal de bord, mais que j'essaie de créer dans mon esprit pour... Je prends un risque pour me dire peut-être que je vais trouver une meilleure idée. Quand je dis meilleure, c'est pour moi, qui m'épanouit plus, qui me permet d'avancer plus vite, plus fort, et surtout, level up, tu vois ? Et pour ça, si je me raccroche toujours à tous les boulets que je traîne et que j'ai peur d'en lâcher un parce que je me dis... Ouais mais celui-là il me rapporte, je sais pas, il me rapporte 10, je peux pas lâcher parce qu'imagine je lâche 10, je sais pas si je vais pouvoir récupérer 10 derrière, ou même 20, tu vois, genre, ouais mais en fait tu sais pas, parce que si tu lâches 10, t'as plus rien dans les mains, ok, mais ça te permet de récupérer un truc dans ta main qui vaudra peut-être 100, 1000, 10 000, et c'est vraiment ça en fait, moi j'ai souvent pris des risques, j'ai souvent tout lâché, et à chaque fois ça m'a permis de level up, soit humainement, soit en termes business. J'étais directeur de clientèle en régie pub, je claque madame pour réaliser mon rêve, faire le tour du monde. Je lâche tout, je lâche un job très bien payé alors que je n'ai pas fait d'études. J'ai un statut, je suis propre, je suis bien installé dans le truc parisien, la pub, les régies pub, etc. Je claque madame. Et en fait, qu'est-ce qui s'est passé ? Il s'est passé un des trucs les plus beaux de ma vie, si ce n'est le plus beau. C'est-à-dire que j'ai réussi à avoir un job qui n'existait pas et dont je rêvais. C'est-à-dire... T'es payé pour voyager, tu donnes aux gens envie de voyager, t'es payé pour ça, t'es influenceur voyage. Et puis au moment où je suis encore au top, dans le top 2, 3, 4, 5, j'en sais rien, et que j'ai toujours des missions, que je fais toujours des trucs de ouf, j'arrête tout. J'arrête tout pour me dire, ok, je sens qu'il faut que je fasse autre chose. Je sens que j'ai besoin de grandir, d'évoluer, donc je prends un risque, j'arrête tout. Sans savoir trop ce que j'allais faire. Puis je pars à Bali, puis j'invite des potes, je me fais un peu mon think tank, mon grand brainstorming géant avec des potes, pendant 2-3 mois, et ok, je lance un business en ligne. Je lance un business en ligne, ok. C'est cool, j'apprends des choses, je fais de l'argent, je fais plus d'argent. Et derrière, en fait, ça ne fait plus de sens. Et là, boum, je shut down mes business, je lâche mon appart et je reviens aussi à Bali. C'est marrant, cette phase de réflexion, je reviens souvent à Bali. Et c'est des prises de risques à chaque fois parce que je ne sais jamais ce qui se passe sans le faire avant. C'est-à-dire que quand j'ai lâché l'influence voyage, je gagnais très bien ma vie. J'avais pas de... de temps pour moi, mais je faisais que des trucs que je kiffais, mais c'est juste qu'il fallait que je fasse autre chose. Donc j'ai monté un business, j'ai fait plus d'argent en CA, j'en ai fait beaucoup moins pour moi, parce que finalement, j'ai fait beaucoup de charges, j'avais une équipe extérieure, mais j'ai appris de fou sur le management, sur le business, sur le business en ligne, sur plein de choses, en fait, qui font que je suis devenu un meilleur être humain personnel et professionnel, et que là, je sens que j'ai paré, je stagnais, qu'il fallait que je me débarrasse de certaines choses. En termes business, c'est pareil aussi. Des fois, tu accumules, tu accumules, tu accumules, et en fait, tu accumules des trucs qui ne te servent pas tant que ça, qui te desservent plus qu'autre chose. Et qu'il faut faire l'effort de se dire, je me débarrasse de tout ça, je garde l'essentiel qui m'est... Tu vois, typiquement, quand je rends mon appart, c'était bien, j'avais un camp de base. Mais tous ces meubles que j'ai pris le temps d'acheter, qui sont stylés, que j'aime bien, est-ce que ça m'a été vraiment utile d'être une bonne personne et me sentir heureux ? Non, pas du tout en fait. Je peux en racheter, ce ne sont pas des meubles... Sur le moment, tu es là, tu as passé du temps, tu les aimes bien, mais... C'est juste parce que ça crée une espèce de forme de stabilité et que j'aime beaucoup. Mais Lisbonne, c'était 50% ce que je voulais. Donc ça veut dire que c'est 50% ce que je ne voulais pas. Et vu que j'aime bien vivre avec panache et avec intention, et pas par dépit de me dire « Ah, c'est à peu près ce que je veux » , ben non, c'est pas ce que je veux, c'est pas grave. Et j'y vais, je prends un risque. Et pourquoi je te dis tout ça ? C'est que je pense que Dany, aujourd'hui, s'il n'a pas réussi à la hauteur de ses connaissances, de sa force de travail et de sa technicité, c'est parce qu'il a peur de prendre des risques et du coup il avance. Il fait des tout petits pas. Sauf qu'en ce moment, la vie va à mille à l'heure. Et que du coup, il faut apprendre à aimer le risque. Parce que quand tu aimes le risque, moi j'adore ça en fait, j'adore l'inconnu, j'adore l'improvisation, j'adore les surprises. Ça me permet de... C'est ce que le voyage a développé. Dès que j'allais quelque part, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Il fallait que je filme, que je vive un truc, que je le retransmette. Mais ça, ça te permet de voir chaque situation non plus comme un problème, mais comme une opportunité. Et surtout d'aimer d'autant plus l'idée de ce que tu peux peut-être avoir plutôt que ce que tu as déjà. Et d'un côté, on dit souvent, c'est mieux vaut un tien que deux, tu l'auras. Donc mieux vaut en fait ce que t'as déjà là qu'un peut-être x2 de ce que t'as là mais que tu sais pas si tu vas... Bah ouais mais ça dépend en fait parce qu'il y a des moments dans la vie où il faut le tenter. Et si ça passe, parce que des fois ça ne passe pas, parce que c'est la vie et qu'à chaque fois que tu prends un risque tu ne réussis pas, c'est pas ça la vie. Et souvent il faut que tu prennes plusieurs fois des risques pour y arriver. Moi j'ai du bol, j'ai réussi à la hauteur à chaque fois de ce que je voulais, je me suis jamais planté. Parce que la prise de risque en vrai, quand tu lâches ton appart... que tu shut down tes business, « Oh merde, j'ai plus rien, j'ai presque plus d'argent qui rentre par rapport à avant. » Ok. J'ai fait un business quand même qui me fait largement payer mes factures, qui me fait en plus me sentir bien parce que j'ai un impact de ouf sur les gens, que ça leur apporte quelque chose. Donc jusque-là, tout va bien. Et en plus, j'ai des investissements et j'ai de l'argent de côté. Quel est le vrai risque ? Le vrai risque, il est dans mon égo. Ça pique mon égo de me dire « Ah, tout à coup, mon niveau de vie va baisser. Je ne peux plus me permettre peut-être de faire autant de trucs que je voulais. Je vois mes économies qui descendent. » Du coup, psychologiquement, je me sens à l'ouest. Non, je m'en fous, en fait. Ces phases-là de régression, entre guillemets, de reprise d'élan, elles sont là pour me permettre d'être sereinement en train de prendre des risques et du coup, de pouvoir atteindre des niveaux et choper des opportunités que les autres ne sont pas prêts à prendre. Et c'est pour ça que j'étais à chaque fois le mec qui se démerde pour avoir un job sans études et qui devient directeur de clientèle parce que j'y vais. J'y vais à fond, en fait. Et parce que j'obtiens le premier en France un job que tout le monde rêve, un influenceur voyage, parce que j'y vais. Parce que pendant deux ans et demi, j'étais sur mon canapé chez des potes, et je ne savais pas comment j'allais gagner de l'oseille, ou comment, et je me suis démerdé. Et j'ai réussi, j'ai pris des risques. J'aurais pu pendant deux ans et demi, sans savoir si j'allais devenir influenceur voyage, parce que le job n'existait pas, me dire, bon vas-y, c'est bon, ça va cinq minutes, les conneries, je reprends ma petite vie confortable d'avant. Non, j'ai fait ça. Donc la question elle est là en fait. Si tu es en freelance, si tu as un business, Est-ce que t'aimes le risque ? Est-ce que t'aimes le risque qui va te permettre de peut-être, je sais pas, trouver une forme d'offre, de business qui va te permettre de gagner plus et de travailler moins ? Mais peut-être sur l'instant, peut-être que ça va foirer et que t'auras plus de clients. Est-ce que t'aimes le risque pour lancer un nouveau projet et arrêter tout ce que t'as toujours fait jusque-là et qui est ton acquis pour faire quelque chose qui te fait plus vibrer, qui a peut-être encore plus de potentiel ? Est-ce que t'es capable de faire ça ? Ou est-ce que t'as peur ? Parce qu'en fait, tu te dis... Non, je le fais juste sur le temps qu'il me reste, les 20%. Mais les 80%, je garde pour être sûr qu'au moins là, je fais rentrer de l'argent, etc. Et tu ne prends pas de risque. Tu réussiras à hauteur de 20%, en fait. C'est-à-dire pas ouf. Donc la question est là, en fait. C'est quoi ta capacité à prendre des risques ? Et si elle est haute, et que tu sais te relever à chaque fois que tu te plantes, il y a des chances que bientôt tu réussisses. Ce qui m'emmène sur le sujet suivant, pourquoi est-ce qu'on garde les portes ouvertes de chemin ? qu'on sait pertinemment qu'on n'a pas envie de prendre. Tu sais, comme si genre, au cas où, ces études qu'on va jusqu'au bout, même si on sait très bien qu'on n'ouvra jamais ce métier, mais au cas où ça ne marche pas dans l'autre truc que j'aimerais bien faire, au moins j'aurai ce diplôme-là, qui va pouvoir me permettre d'être très malheureux le reste de ma vie dans ce métier que je n'aimerais pas. Super. Je garde un peu la porte ouverte avec une ex, tu sais, genre, on s'envoie des messages, parce que... En vrai, je veux pas me remettre avec, mais si vraiment je trouve personne, ok, je peux peut-être me remettre avec pour être sûr d'avoir une relation misérable et toxique tout le reste de ma vie, tu vois. Wow ! Qu'est-ce qui fait qu'on veut se rassurer avec des choses qui, on sait, nous rendent malheureux ? Pourquoi ? En quoi c'est rassurant ? C'était une réflexion que j'avais du coup avec mon pote Sam, parce que putain, au-delà de se foutre des gages, de jouer au dé, de faire du jiu-jitsu et tout, on a des discussions qui nous font sauter la cervelle. Et je t'en partage à chaque fois un petit peu, une infime partie de tout ce qu'on se dit. Mais j'ai trouvé ça ultra pertinent en fait. Je me suis dit, ok, en ce moment, quelles sont les portes que je garde ouvertes de chemin que je sais ne pas vouloir prendre ? Et je me suis dit déjà, il y en a une que j'ai refermée et que je suis plutôt fier, qui était celle de mon appart à Lisbonne. de vouloir m'ancrer absolument, donc j'ai testé Lisbonne, donc si j'ai testé c'est forcément une réussite, non, tu peux tester, c'est pas ça, c'est pas loin, mais c'est pas ça, donc ça j'étais content. Et je me suis posé cette question, j'ai un peu fait genre, ok, quelles sont les choses que je garde ouvertes, en ce moment j'ai quand même fermé plein de portes, plein plein de portes, et je suis très content de, j'ai fermé la porte du business de vente des formations, en fenelle de vente, etc, parce que... en ce moment, cette façon-là ne me convient plus. Et en fait, c'est ça, c'est fermer les portes au moment où ça ne fait pas de sens. Ne pas les garder ouvertes, parce que tu vas dire, oui, mais plus tard, ça fera du sens. Oui, mais en fait, tu évolues. jamais vraiment trop refait et en fait on le sait très bien pour reprendre l'exemple des ex des fois c'est bien c'est facile on peut retourner tu sais mais comme quand j'étais retourné à paris l'année dernière ah ouais putain c'est vrai que paris c'était cool quand même ça a changé c'est trois mois j'y vais et je comprends pourquoi je me suis barré parce que tu sais en fait au fond de toi et j'ai fait un petit bilan comme ça j'essayais de me dire mais quelles sont toutes les choses que je laisse ouvert que que j'entretiens et Et qu'en fait, ce n'est pas du tout la bonne façon que je l'entretiens. Peut-être qu'il faut que je le fasse évoluer d'une autre façon pour fermer la porte d'une approche pour en avoir une autre et que c'est une relation plus saine, que ce soit dans l'amitié, que ce soit dans le business, que ce soit dans des opportunités, que ce soit dans des lieux de vie. Mais c'est juste une réflexion que je voulais te partager, te demander, fais le bilan, fais un petit tour d'horizon. Quelles sont les portes en ce moment que tu gardes ouvertes de chemin que tu sais pertinemment que tu ne voudras jamais prendre ? Autre réflexion que j'ai au cours d'une discussion avec mon pote Sam, c'était souvent, on se sent bien quand on se sent mieux. Et vraiment, on a bloqué, on s'est dit, putain, mais c'est fou de se dire que la plupart du temps, on est foutu d'arriver à se sentir bien parce qu'on se sent mieux que quelqu'un, parce qu'on voit qu'on a plus que, qu'on a plus réussi, qu'on a plus d'argent, qu'on a plus de confort. Et que c'est rassurant, en fait. Ah ! Moi, je suis bien, moi, puisque j'ai quand même... Là, j'ai plus que cette pauvre personne. Ou que j'ai réussi parce que là, au moins, j'ai fait plus que la moyenne. Et je me suis dit, waouh ! C'est fou, quand même, de se dire que le fait de se sentir bien, la plupart du temps, sans qu'on s'en rende compte, c'est lié au monde extérieur et à la réussite des autres. C'est même pas lié à la nôtre, puisque c'est lié à... Comment notre réussite vient se positionner par rapport à la réussite, ou en tout cas le bien-être, ou à la vie des autres ? C'est quand même une belle formule pour être bien malheureux toute sa vie, cette merde-là. Au lieu de se dire, est-ce que moi je me sens bien en fait, avec ce que j'ai ou comment je veux l'être en fait, et que si les autres ils ont 100 fois plus que moi... Tant mieux, ça ne veut pas dire que je me sentirais moins bien. Si je suis bien, parce que, tiens, regarde, je suis à Bali. Je ne sais pas où je serai dans quatre semaines, concrètement, c'est le cas. Dans un mois, un mois et demi, je ne sais pas du tout ce que j'ai. J'ai baissé mon chiffre d'affaires de peut-être fois dix, au moins fois dix. Et que je prends soin de ma... Je poste quasiment plus sur les réseaux ou très peu. Je prends soin de ma santé. Est-ce que je me sens bien ? Oh putain, qu'est-ce que je me sens bien ? Ma charge mentale, elle est presque au minimum. J'ai de l'oseille pour faire ce que je veux. J'ai du temps pour moi. Je me sens archi bien. Et du coup, est-ce que le fait que d'autres personnes qui, sur les réseaux, sur mon secteur, vont faire x10 par rapport à moi, vont avoir x10 en termes... de biens immobiliers, de biens matériels, de richesses extérieures, d'expériences. Ils vont faire des expériences de ouf, peut-être plus ouf que moi, je ne sais pas. Est-ce que ça fait que mon bien-être, il est moins bien ? Est-ce que ça enlève de mon bien-être ? Non. Ça l'enlève si tout à coup, tu te demandes si ton bien-être, tu le remets sur une échelle de nulle attitude, ou de bien-attitude. Moi, je suis bien, en fait. Et en plus... avec ma petite expérience de la vie. Je sais très bien en plus que les gens qui ont des énormes chiffres d'affaires, déjà chiffre d'affaires c'est pas bénéfice les grands, je préfère vous le rappeler, tu peux faire un million si t'as 1900 000 en pub, c'est pas un énorme bénéfice tu vois. Et puis pour avoir fait beaucoup de cercles d'hommes ces derniers temps, de passer du temps avec des entrepreneurs depuis des années, je peux t'assurer que peu importe ton niveau social et ta réussite, en fait ça n'a rien à voir avec ton bonheur. Vraiment, ton bonheur intérieur, comment tu te sens vis-à-vis de toi-même, vis-à-vis de tes peurs, vis-à-vis de tes parents, vis-à-vis de tous les traumas que tu traînes en fonction de ton historique, ça n'a rien à voir en fait. C'est vraiment, ça va t'aider en fait, le travail et l'argent à faciliter certaines choses. C'est sûr que si tu as du mal à payer de la bouffe et un toit, clairement, ça va t'aider. Mais au-delà de ça, se sentir mieux que... C'est nul à chier parce qu'en fait tu t'apercevras que la plupart des gens se sentent pas bien déjà. C'est triste à dire, mais la plupart des gens ne se sentent pas bien. Ils sont torturés, ils ont des mal-être, ils n'ont pas une grande estime d'eux. Et souvent, ils font croire que pour s'auto-persuader, mais tu le vois en fait, qu'ils ne sont jamais assez, qu'ils doutent. Et crois-moi, j'en connais plein. Et il y a très très peu de gens, je me suis dit, « Waouh, je veux être cette meuf ou ce gars-là. » Genre, « Waouh, ancré, bien dans sa peau, il fait ce qu'il kiffe, ça marche bien, etc. » Il n'y en a quasiment pas. Parce qu'il y a toujours des trucs où je me dis, « Oh, ouais, en fait, c'est comme le podcast que je disais la dernière fois, est-ce que tu prendrais tout le package de sa réussite, qu'elle a l'air bien ? » Parce qu'en fait, tu ne sais pas, mais il a des douleurs chroniques, des maladies, ou alors en fait, il a un stress de ouf, etc. Donc, c'est vraiment de se dire, mais... Est-ce que tu te sens bien ? Oui ? Non ? Ok, non. Qu'est-ce qui te fait, toi, te sentir bien ? Moi, en ce moment, ce qui me fait me sentir bien, typiquement, c'est pas de parcourir le monde comme un taré et de rencontrer des gens et de faire des expériences qui peuvent même pas s'acheter tellement c'est formidable, parce que ça a été le cas et ça me rendait heureux, fois un million. Aujourd'hui, c'est pas le cas. Du coup, je vais pas me comparer à toute la jeune génération qui refait des trucs que je faisais avant en me disant... Et ça me traverse l'esprit, justement, des fois. Quand j'essaie de me sentir bien... en me sentant mieux. Tu vois, je me dis, ah putain, c'était bien le bon vieux temps, c'était cool. Je ne fais plus tous ces trucs-là. Du coup, ma vie, elle est... Tu sais, dans ces moments de doute, ma vie, elle n'est plus aussi bien qu'avant. Mais en fait, quand je me reconnecte à est-ce que je me sens bien, pas mieux, mais bien, je dis, ben, en fait, moi, ce que je veux, ce qui me fait me sentir bien, c'est pas de charge mentale. Parce que j'en ai eu tellement dans ma vie qui m'a tellement permis d'encaisser un stress monumental pour faire des choses... incroyablement insane qui me marquera et que peut-être personne pourra vivre et que c'est formidable cette vie mais aujourd'hui c'est pas ça donc en fait je m'en fous de me comparer ou d'essayer de me dire que lui il a plus ou mieux puisque en fait moi ce que je veux là c'est au contraire petite vie là où je me ressente sur moi grandir humainement spirituellement être bien avec moi même être l'homme que j'ai envie de devenir comme me connecter à la version héroïque de moi même quand je quand j'agis me dire Est-ce que c'est ça l'homme que je veux être ? Est-ce que c'est ça l'homme héroïque, la version héroïque de moi-même ? Est-ce qu'elle ressemble à ça ? Ok, je vais méditer, je vais faire du sport, je vais beaucoup rigoler, je vais apprendre des choses, je vais avoir du temps pour moi, en fait. Parce que c'est la chose la plus précieuse qu'on bafoue. Ok, c'est ça en ce moment, me sentir bien. Mais si je comparais, encore une fois, si je me sens bien, si je me sens mieux que... Oh, il y a plein d'entrepreneurs. Putain, lui, il ne fait que travailler. Putain, lui, il a fait 2 millions ou il a fait 300 000 le mois dernier. Oh putain il fait trop bien du sport. Oh là là lui putain je suis à la salle de sport, il a plus de muscles, il a l'air d'être plus fit. Je suis malheureux, je rentre, laisse tomber c'est l'enfer. Alors que j'avais une vie chanmée. Donc en ce moment je suis en mode, wow, trop cool les muscles qu'il a. Putain ça me motive, peut-être que je me motive en plus à venir un peu plus à la salle. Wow. Les petits oiseaux, c'est trop cool. Ça me fait du bien de les regarder et de juste refaire. Il faudrait que je prenne plus le temps de m'asseoir et juste me reconnecter à la nature et marcher les pieds dans l'herbe, ce que je fais de plus en plus souvent. Ça fait un kiff de passer un moment avec des potes, de rigoler, de jouer au basket. Il faut que je le fasse plus. C'est tout. Et donc la question que je t'envoie, c'est en ce moment, est-ce que tu te sens bien ou est-ce que tu te sens bien parce que tu te sens mieux par rapport à ? Pose-toi la question. Maintenant, parlons un petit peu business. Comment créer une offre irrésistible ? Ça s'est tiré beaucoup aussi du livre de Lex Ormosi, The 100 Million Offer. L'offre à 100 millions de dollars. Une offre que, lorsqu'un client la verra, il dira qu'il serait bête de ne pas la saisir. C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible, c'est de se dire, pour toute la valeur qu'il y a dedans, je ferais vraiment... bête de ne pas la prendre, c'est débile de passer à côté d'une opportunité pareille. Hier, sur mon charge de productivité que j'ai lancé sur le cercle des solopreneurs, le premier jour c'était filmer tout le module de connaissances sur comment créer une offre irrésistible. J'ai fait les 20 vidéos, plus le support, et du coup je voulais quand même te donner, évidemment ce ne sera qu'un résumé, parce que je ne vais pas pouvoir te détailler les 20 vidéos, ça a pris un petit peu de temps, mais je voulais quand même te partager si en ce moment justement tu sens que... tu as du mal peut-être à vendre ton service, ton produit, ou que tu as peut-être envie de l'améliorer, de l'affiner, de le rendre encore plus irrésistible. Donc déjà, qu'est-ce qu'une offre ? Une offre, ce n'est pas un produit ou un service. C'est comme une expérience que tu vis. Et c'est quand tu es client, évidemment. Je vais te donner un exemple. Un bar, un cocktail, c'est que tu vends un produit. Par contre, une offre, ce serait, tu es un bar, tu vends un cocktail, une plus. Un cocktail acheté, un cocktail offert, plus des pop-corn salés à volonté, ça c'est quand même plus attrayant. Si t'es garagiste, ton produit et ton service c'est un changement de pare-brise. Ok, une offre ! Qu'est-ce que ça pourrait être ? C'est un changement de pare-brise, mais avec garantie que le changement se fait dans l'heure qui suit, et sans rendez-vous, avec un espace détente et avec un café gratuit. Waouh, ça c'est une offre. Ça c'est quelque chose qui va être plus attrayant, pour qu'on se dise, déjà, pourquoi j'en choisis ? Entre deux garagistes et deux bars, pourquoi je te choisis ? Parce qu'il y en a un qui a une offre, et pas juste une vente de produits ou services. Et comment on crée une bonne offre ? Déjà, une bonne offre, ça répond à un besoin existant et vérifié. Donc tu ne crées jamais une offre qui est, selon toi, ça peut être top. Tu demandes à tes prospects, tu demandes à tes anciens clients, tes futurs clients, tu leur demandes ce qu'ils veulent. Ensuite, il y a un autre truc, c'est qu'une offre est une transformation. C'est une solution à un problème. Quand tu vends quelque chose, un produit, un service, c'est une solution à un problème. Donc c'est une transformation. Donc demande-toi toujours, quand on vient chez toi, et c'est pareil pour le garagiste, la personne va aller du point A au point B. avec ton service. J'ai un pare-brise cassé et je repars avec un pare-brise qui est, et en plus je l'ai fait dans des conditions totalement agréables avec mon petit café, mon espace détente, et en moins d'une heure. Et c'est vraiment une transformation que tu vends. Donc quand tu crées une offre, demande-toi où est ton client et quel est son problème, sa situation initiale, et où tu l'emmènes grâce à ton offre. Ensuite, il faut que tu trouves quand tu veux créer une offre irrésistible une façon de te démarquer, un point différenciant. Souvent c'est une méthode. une approche un peu particulière, ça peut être aussi une ambiance, ça peut être des bonus en plus, ça peut être, tu vois, si tu vas dans un spa, tu sais que dans ce spa, il y a toujours le petit thé qui va bien, avec, je sais pas, une petite collation, fête maison, bio, etc. Des petites choses qui te démarquent, qui font que, ah, j'ai pas ça ailleurs, et que c'est très spécifique de là où tu vas. Donc c'est pour ça que quand tu crées, souvent dans les formations en ligne, dans les services en ligne, dans les services digitaux, chacun sa méthode la méthode de kraft webicraft la méthode digibus parce que en fait bon bah c'est ta méthode et c'est peut-être une méthode qui a 95% similaire à toutes les autres mais avec les 5% différenciants ça permet de différencier justement sur enfin qui a 95% similaire et que tu as 5% différenciants qui vont permettre de dire c'est toi c'est ton truc ta façon et c'est comme ça qu'on te on se rappelle de toi tu vois moi j'avais ma formation personnel branding s'appelait brandé au impact Il y a une vraie approche aussi pédagogique, tu vois. Pour ceux qui l'ont fait, ils sauront, c'était, il y avait des modules à savoir, des passages d'action, et chaque passage d'action, je m'y soumettais, et j'avais aussi, je montrais mon exemple. Et ça, ça les avait vraiment marqués les gens. Donc tu as vraiment une approche, tu vois, aussi pédagogique, ça peut être ça. À partir de ça, tu dois créer ton offre principale. Donc c'est ton service, donc concrètement, je ne sais pas, si tu es prof de fitness, ça va être perdre tes 10 kilos en 3 mois en étant musclé. etc. Donc c'est vraiment, ça peut être si t'es web designer ou copywriter, je sais pas, web designer ça va être ton site design clé en main en deux semaines, copywriter c'est ta séquence mail plus ta page de vente en trois semaines, etc. qui va générer, et qui aura 10% de taux de transfo, un truc comme ça. Et ensuite, le but c'est vraiment d'y mettre tout un cheptel aussi de petites offres qui vont faire, enfin de ... d'éléments qui vont faire que ce n'est pas juste un service ou un produit, mais bien une offre. Tous ces petits éléments, et je vais te le dire juste après. Une fois que tu as ton offre principale, s'il y a bien un truc, c'est que, par du principe que personne ne crée une offre parfaite du premier coup. Donc, dis-toi que ton offre, tu dois faire l'offre la plus simple, la plus rapide et la moins chère possible immédiatement. C'est obligatoire. Parce que si tu n'es pas foutu devant un truc simple, rapide et pas cher tout de suite à quelqu'un qui te connaît à peu près, Tu testes sur des amis, sur des anciens clients, etc. Comment tu veux faire ? Vendre un truc compliqué à des gens qui ne te connaissent pas et qui ne te font pas confiance. C'est impossible. Donc, une fois que tu as à peu près ta V1 de ton offre, teste-la. Teste-la, confronte-la, essaie-la, offre-la, prends des retours, optimise, teste, teste, teste, optimise, fais toujours ça. Donc, au début, tu l'offres gratuit. Au début, tu peux faire aussi des petits prix. Et après, tu essaies de le vendre en one-one et tu testes. Et une fois que tu commences à avoir un vrai truc, OK, là, c'est cool. Comment, une fois que tu as ta vraie offre, tu la rends justement, c'est cool. comment tu es pour une offre, et donc, pas un produit, un service, mais ton offre, tu la rends irrésistible. Plusieurs éléments. Un, il faut énoncer clairement les bénéfices. C'est tout con, mais genre, en fait, si je ne sais pas pourquoi je viens, et je peux essayer de donner quelques exemples que j'avais aussi notés sur les différentes choses, mais c'est énoncer clairement les bénéfices de ton offre, encore une fois, parce que toi, tu sais ton offre, tu sais ce qu'elle va apporter. Et en fait, tu es juste en train de dire, voilà, je vais te vendre un massage ayurvédique d'une heure. Ok, ce n'est pas une offre. En fait, les bénéfices, c'est en moins d'une heure. c'est réduction de 80% du stress, c'est plus de courbatures, c'est une mobilité retrouvée, c'est un moment de bien-être pour soi, c'est une petite musique qui va nous... Tu vois c'est tous ces avantages, tous ces bénéfices. Et quand tu énumères les bénéfices, pense toujours à deux choses. Les gens ils achètent pour deux grandes raisons majeures, c'est ils évitent la douleur. Donc en gros ils achètent pour résoudre un problème. Ben j'ai pas assez d'argent, j'achète une formation pour mieux vendre. pour avoir un copywriter parce que je ne vends pas assez ou gagner du plaisir ils achètent pour obtenir ce qu'ils désirent depuis longtemps j'achète je sais pas je prends un coach en prise de parole en public parce que en fait je désire mieux parler et être inspirant en public je prends un coach de séduction parce que ben en fait tous mes dates y foirent et que j'aimerais trouver quelqu'un donc j'ai ça et dis toi que ce qui est toujours plus puissant c'est quand les gens ils veulent éviter les bénéfices d'éviter une douleur qui devient insupportable c'est pour ça que dans le marketing on dit toujours Quel est le problème le plus brûlant qui empêche de dormir tes clients la nuit que tu peux résoudre ? Et c'est ça ton offre. Parce que c'est ça qui va faire que... En fait, c'est pareil. Si t'as des impôts et que t'es administratophobe et que t'as tout à remplir, si t'avais juste à appuyer sur un bouton pour qu'en un clin d'œil ce soit fait, tu serais prêt à payer combien ? Mais en fait, genre, vas-y, tu sais quoi ? Tu dis, vas-y, je mets 5000 balles alors que ça vaut 300. Mais t'es tellement en mode... Toi, en tant qu'administratophobe, c'est tellement un truc brûlant et horrible, t'es prêt à le faire. Donc c'est dans chaque... chaque profil client, il y a des points de douleur horribles qui les concernent eux, parce que c'est eux, et bien c'est ça que tu dois trouver. Et c'est dans ces bénéfices qu'il faut vraiment les énumérer. Ensuite, il y a vraiment pour rendre une offre irrésistible, c'est augmenter la valeur perçue. Augmenter la valeur perçue, c'est en fait, tu as une vieille paire de pompes qui traînent dans un placard, en fait elle n'a jamais été ouverte, ça vient d'un truc vintage, mais dans un vieux carton, bon bah ouais, tu en achètes 50 balles. En fait, la même paire, tu la mets sous cloche dans une vitrine après Trendy à Paris. elle vaut 600 balles, tu te dis « Oh, mais mon Dieu, mais elle est géniale, édition limitée, elle a les mêmes paires de pompes. » Tu vois, la valeur perçue. La plupart des gens, c'est jamais un problème de prix quand les gens ne veulent pas acheter, c'est que c'est souvent un problème de valeur. Ils disent que « Non, ça n'a pas la valeur que j'imagine. » Donc c'est à toi, si tu trouves que c'est trop cher, de montrer la vraie valeur et de te démerder pour qu'en fait, ils se disent « Waouh, mais ça a une valeur de ouf et ça ne vaut que 500 balles. » Et tu as l'impression que ça en vaut 5000. Autre chose, c'est prouve que ton offre, elle est honnête et bien intentionnée. Dans une offre irrésistible, c'est important de dire pourquoi tu le fais. Qu'est-ce qui fait que c'est quoi ta mission ? Typiquement, tu vends une formation en immobilier, toi tu te dis que tu veux que tout le monde puisse se créer des revenus complémentaires et avoir une vie décente que je n'ai pas pu avoir dans mon enfance. C'est pour ça que je fais ce produit. C'est la démarche, elle est honnête. D'autres, ça peut être le prof de cours de yoga qui est à 45 euros. Ils vont dire qu'on est convaincus que la pratique du yoga devrait être accessible à tous et on vous propose des tarifs adaptés. sur votre honnêteté de solidarité en fait c'est 45 euros mais ça peut être 40 30 ou 25 en fonction de ton niveau de revenus tu vois et est en fait tu tu tu ça permet vraiment de justifier te dire ok je comprends la démarche je comprends le prix parce qu'il encore une fois quelqu'un un des blocages des gens pour acheter c'est la confiance vis-à-vis de toi vis-à-vis de ton produit vis-à-vis de ta méthode tu vois donc c'est important de vraiment essayer de donner un maximum de confiance autre chose pour rendre une offre irrésistible faut que tu aies des témoignages tu montes sur scène tu dis que Je ne sais pas, moi je monte sur scène, je dis « Ouais, j'étais le premier influenceur voyageant en France, j'ai été récompensé, j'ai traversé voilà les pays et tout. » Waouh, le mec qui se la raconte. Tu as un mec qui dit la même chose avant que je monte sur scène, le même texte. Les gens vont dire « Waouh, trop cool, putain, trop bien le mec, il va être inspirant. » Tu vois, donc si tu as un argument, mieux vaut toujours que ce soit dit par quelqu'un qui sur le papier est désintéressé de le dire, et juste l'a vécu et est content de le partager. C'est beaucoup plus puissant. Autre, dans une offre irrésistible, on élimine les risques. Il faut toujours que ce soit toi qui prenne le risque. C'est-à-dire que moi en vrai, j'achète un produit. Je me dis, bah ouais, je vais mettre mon argent, mais est-ce que ça va vraiment répondre, encore une fois, à mes attentes ? Et est-ce que je ne vais pas perdre mon argent ? Est-ce que la méthode est bien ? Est-ce qu'en fait, le gars, il est pertinent, etc. ? Inverse le risque. Bah ouais, ok, garantie satisfaite ou remboursée, je ne sais pas, sous 14 jours. Ça peut être aussi de te dire que si, je ne sais pas, tu es copywriter, si par exemple, ton CA, il n'augmente pas avec ma séquence mail, je m'engage à refaire la séquence mail jusqu'à temps que tes taux d'ouverture et ton taux de C.I. l'augmentent. Prends le risque sur toi, et donc c'est bien parce que ça t'oblige à avoir une offre qui est carrée, qui est béton. Et du coup, si la personne en face se dit « De toute façon, j'achète, mais si ça ne me va pas, si je n'aime pas, ou si ça n'atteint pas les objectifs, je suis remboursé » , il n'y a pas de raison. Ça devient irrésistible. Il n'y a pas de raison que je ne le prenne pas. Et l'autre, c'est, un des deux derniers critères, c'est créer de l'urgence. C'est con mais on est des êtres humains et que ben si on peut le faire demain on le fera demain et demain ça veut dire jamais. Donc créer de l'urgence. Vraiment c'est ultra important de créer de l'urgence et de te dire bah quand tu crées de l'urgence ça peut être nombre de places limitées, ça peut être un compte à rebours, ça peut être des bonus que tu supprimes au fur et à mesure, ça peut être des coachings ou je sais pas des bonus en plus si tu prends tout de suite maintenant ou dans les dix premiers etc etc. Ultra important de créer de l'urgence, il y a plein de façons de créer de l'urgence. Ensuite, la dernière chose, c'est que ce soit facile à obtenir. Une offre irrésistible est facile à obtenir. Il n'y a pas de « oui, alors tu laisses ta carte bleue, ensuite on t'envoie un lien, il faut que tu télécharges l'appli, que tu crées un compte » . En fait, le master, ce ne sont pas forcément des gens que j'apprécie, mais là-dessus, de la livrabilité la plus facile du monde, c'est Amazon. Achat en un clic, livraison le lendemain. Terminé, bonsoir. Tu ne peux pas faire mieux. C'est tout, c'est chez toi, tu es en un clic. t'as même pas besoin de rentrer tes trucs, ils ont fait le truc en un clic. Donc demande-toi toujours comment tu peux en arriver là. C'est au moment où la personne veut acheter ton produit, tiens, si t'es en call, est-ce que tu peux leur envoyer un lien Stripe ? Et que quand le lien Stripe il est payé, est-ce qu'il y a un mail automatique qui envoie des accès à ta plateforme, à ton calendrier pour prendre le premier rendez-vous, pour le truc, le machin ? En fait, comment tout peut être tellement simple et fluide, on dit « Waouh, ça a l'air magique » . Et c'est vraiment ça que... Si tu veux un super bouche à oreille, un super onboarding, etc. et que ton offre aussi elle se propage, c'est « Ah non mais j'ai fait ça, c'est magique le truc, ça marche tout seul, c'est trop fluide, c'est trop agréable. » On en connaît des applis comme ça, des services où t'arrives, « Tout est fluide, tout est… » Et ça fait tellement du bien. Du coup, ça tu le recommandes. Donc voilà, j'essaie de te faire en extrêmement rapide, parce que j'ai des milliers d'exemples à te donner dans chacun des secteurs, de quelle formule aussi tu dois écrire, le bénéfice client, toutes ces choses-là. tous les exemples par secteur, mais voilà. Si tu as envie d'aller un petit peu plus loin et que tu sens que tu as besoin de bosser ton offre et de la rendre un peu plus irrésistible, je t'invite d'aller sur le cercle des solopreneurs. Le lien est en description du podcast et tu pourras aller bosser ce truc-là un peu plus en profondeur avec les 20 vidéos que j'ai. J'ai pris le temps de vraiment bien détailler pour vraiment t'aider à créer une offre qui se vende toute seule. Maintenant, se challenger et brûler ses bateaux, ne plus avoir le choix. se mettre frontale en défi par rapport à des gens qu'on estime, ça change tout, vraiment. J'en vois encore, je le fais régulièrement, moi, vis-à-vis des potes. Là, j'ai eu encore la situation sur un live, dans le coaching hebdo sur le cercle des solopreneurs. J'étais avec Vanessa, qui est sur Insta, bien dans ton... Hashtag bien dans ton... Enfin, pas hashtag, at bien dans ton corps. Elle, elle aide vraiment les femmes à se réconcilier avec... Et à aimer de nouveau leur corps. Et je trouve que c'est une mission fantastique avec malheureusement notre société qui pousse à tout l'inverse. Et on discute et elle me dit « moi là je vais lancer un défi de 7 jours pour encourager, pour aider les femmes à se réconcilier avec leur corps en 7 jours. Et j'aimerais avoir 200 inscrits, j'en suis à 70, 80, etc. » Donc on discute de différents leviers, de différentes stratégies. Et je lui dis « mais t'as créé quoi là du coup comme contenu sur les réseaux ? » « Bah j'ai fait un petit carousel, un truc, je suis pas dans... » J'ai été sérieuse là ? Je vais t'acquérir un carousel et pourquoi tu fais pas de facecam ? Oh les facecam je peux pas, c'est vraiment blocage, c'est ce que j'avais marqué dans mon poste de présentation quand j'étais arrivé dans le cercle, c'est vraiment le truc que je peux pas, ça me frie, je déteste ça, etc. Je fais déjà un, il y a un moment il faut que tu sois ton meilleur exemple, si tu dis à des femmes d'être bien dans leur corps, il faut au moins que tu sois bien toi, vis-à-vis de ta propre tête sur les réseaux en fait, tu vois ? Donc ça c'est un, c'est obligé, et deux... Est-ce que tu veux vraiment réussir à avoir tes deux ans inscrits, surtout que tu as une belle mission ? Tu vas faire un Reels par jour, tu mets juste là ta cam, et tu filmes avec ton téléphone, et tu joues sur une thématique que tu dirais en coaching, de personnes, de personnalités que tu as pu avoir, ou de problématiques que tu as eues en consultation, et de comment tu as réussi à résoudre, et boum, tu fais ça. Et si en plus, à la fin, tu fais un petit call to action sur... Et bah si tu sens que c'est aussi ta problématique, hésite pas à rejoindre le défi que je fais et que je commence dans une semaine. Le lien est à juste à taper défi et boum t'as un mini-chat qui est automatisé et ça envoie le lien d'inscription au défi. Paf ! Et là elle fait ouah ! Et donc on était dans des mini-rooms, elle me dit non mais... Elle dit je sais pas attends tu voulais que je te botte le cul parce qu'elle me dit ouais moi j'ai besoin d'un coup de cul là faut que j'y arrive. Je sais pas vas-y, est-ce que tu t'engages ? Elle me fait bah c'est chaud, c'est ton défi moi je m'en bats les couilles en fait. Tu veux y arriver ou pas ? Tu veux les aider ces femmes ? Tu veux réussir dans ton business ? Elle me fait ouais. Alors pourquoi tu le ferais pas en fait ? Explique moi même si tu le fais et que ça marche pas de toute façon en quoi ça serait négatif de le faire ? Elle dit ok je vais le faire et j'ai vu ses premières vidéos, elle le fait, elle doit être déjà à plus de je crois une centaine d'inscrits et elle se donne les moyens et en fait elle nous a remercié, elle nous a dit mais c'était mon blocage depuis des mois voire même des années en fait que je me dis qu'il faut que je le fasse, je n'y arrive pas et de me retrouver devant vous, d'avoir eu ce défi où tu n'as pas envie de décevoir les gens puis en fait ça fait du sens, il n'y a pas de raison de ne pas le faire ben je l'ai fait en fait et genre elle m'a dit, je crois que c'était le en plus maintenant j'ai le live, vu que je suis à Bali, je l'ai fait le matin elle m'a dit dans la journée même j'ai dû tourner une dizaine de vidéos, j'ai écrit plein de trucs parce que j'étais genre ok je peux pas en fait, j'ai pas le choix en fait j'ai dû en faire une par jour, en plus je lui ai dit si tu prends une journée, tu scriptes tout Tu prends une journée où tu filmes tout et après tu les montes et tu les diffuses au fur et à mesure et tu gères ça. Et bam ! Elle a tout arraché et je suis trop fier d'elle. Et ça, c'est un exemple. Ça me rappelle vraiment de se dire que c'est trop dur tout seul de se motiver. Et moi, je suis le premier. C'est genre Teddy Riner, il a trois coachs. Pourtant, c'est le champion multiple, je crois, le plus médaillé, titré du judo dans l'histoire du judo. Le gars, il a un coach technicité du judo. Il a un coach préparation physique et il a un coach de préparation mentale. Pourquoi ? Parce que tout seul, tu n'y arrives pas. Parce que, tu sais, te rendre accountable, c'est-à-dire prendre la pleine responsabilité, toujours ta réussite, mais en fait, c'est bien, mais c'est trop dur. Alors que quand ça repose aussi sur une énergie où tu es vis-à-vis des gens, que tu ne veux pas décevoir, parce que des fois, vis-à-vis de toi, tu dis « Ah, c'est pas grave, vas-y, je n'y arrive pas. » Et quand d'autres attendent après toi, quand d'autres te poussent, quand d'autres te motivent, Quand d'autres t'encouragent et te mettent la pression, mais laisse tomber. Ça te met quatre fusées dans l'arrière-train et mon gars, tu décolles. Et c'est ce que Vanessa, ça lui a fait en instant, en quelques minutes sur le live. Et je me dis, mais si toi, en ce moment, tu as un blocage, que tu as un blocage, peu importe sur ce que c'est d'ailleurs, appeler des clients, faire un projet qui te fait peur, partir, claquer ta DM, mettre en place une routine, mais prends des gens autour de toi qui ont les mêmes valeurs, qui sont dans la même vibe et... Crée-toi un challenge. Mets-toi un quintuple. Et le mieux, c'est d'avoir des gens qui en ont aussi. Parce qu'évidemment, ça motive et on se tire vers le haut. Si t'en as pas des potes comme ça, rejoins le cercle. Mais vraiment, mets-toi dans ces circonstances-là. Parce qu'il y a un truc magique qui s'opère dans notre putain de cerveau d'animaux sociaux qui font que quand tout n'est pas que sur nous, et qu'on veut pas décevoir, et qu'on se met dans un mouvement collectif, il y a une énergie qui se crée. Et boum, on enlève nos chaînes et on a des propulseurs. Donc vraiment je l'ai encore vu, donc demande-toi si en ce moment tu butes sur des choses que tu n'arrives pas à faire, et si c'est le cas, entoure-toi et ne te mets pas le choix, mets-toi un challenge avec d'autres personnes qui sont dans le même mood. Et maintenant dernier sujet avant d'attaquer le petit fun fact de la semaine, c'est la puissance des colocations. Les colocs. Maintenant on dit colliving, on vit together. Je me suis rendu compte de ça, on se fait une coloc mais en fait on se fait un colliving. Oh ouais, Coworking, Co-living, c'est vraiment plus stylé en fait, on est vraiment des nomades digitaux à travers le monde, on se réunit dans les mêmes... Mais en fait c'est ça en fait, c'est le même principe qu'une coloc, sauf qu'on l'a rendu un peu plus stylé en l'appelant Co-living. Mais wow, je suis venu ici à Bali justement pour passer du temps avec mon pote Sam. Si t'as écouté les journaux de bord précédents, c'était pour me mettre un peu en résonance avec lui parce qu'en ce moment... Lui, des potes niveau business, niveau santé, hygiène de vie mentale et physique. Et j'avais envie de rentrer en résonance. Et ce n'est pas comme si à Lisbonne ou même à Paris, où je n'avais pas de potes, qui étaient forts dans ce qu'ils font et qui raisonnaient. Oh, mais le truc, c'est que quand tu es dans une vie, je me suis aperçu, quand tu habites dans ta ville avec ton chez-toi, tu vas juste voir tes potes le temps d'un repas, d'un petit moment. Et t'as pas le temps de rentrer du tout en résonance, de te tirer vers le haut, de te challenger parce que tu passes pas assez de temps en fait. Et en fait je me suis dit, ça m'a rappelé là les moments que je passe avec Sam, mon pote Sam à Bali, ceux que je passais en coloc avec mes potes Jérémy Peuille et Jérémia Zilliox à Medellin où c'était un de nos best life, un de nos best moments de notre life parce que en fait on était toujours ensemble et que on t'a fait Mais en fait les autres étaient pas loin et que du coup on était toujours en mode la bonne intention, la rigolade, se motiver à faire du sport, se motiver à aller faire des choses, des découvertes, se motiver à faire des choses qui vont... On était toujours dans une vibration ultra positive, du coup on taclait le taf, on rigolait derrière et du coup ça nous enlevait le stress, la charge mentale, on faisait du sport, après on allait faire des petites vadrouilles le week-end, ça nous a érez l'esprit. Et là c'est pareil, avec mon pote Sam on est dans une guest house, on a notre chambre à côté donc c'est... C'est encore mieux, on a vraiment chacun notre espace, on bouffe tout le temps ensemble, on discute, on va faire du sport ensemble, on va se faire des sunsets, mais en fait à côté de ça, moi je taffe la journée, je vais méditer, je laisse du temps aussi pour moi, lui il a son boulot de trading, lui en plus il trade genre de 22h à 1h du mat. Et moi, du coup, c'est moi qui vais le réveiller le matin, on se prend le petit-déj. Et en fait, ça nous met dans une dynamique. Mais ça faisait longtemps, en fait, que j'avais pas le meilleur des deux mondes. C'est-à-dire mon espace à moi, mes moments à moi, pouvoir être tranquille, pouvoir bosser. Et en plus, dans une guest house, t'as pas tes autres potes qui viennent faire le con, je suis pas dans le salon, etc. Surtout quand t'as besoin de, comme là, enregistrer un podcast, être au calme. Mais à côté de ça, tu toques et boum ! Boum ! Tu vas avoir la conversation qui va te faire rire, mais qui va partir dans la conversation profonde, qui va faire sauter... la cervelle avec des réflexions qu'elle ne t'avait pas pensé ou tu vas parler d'un sujet de l'actualité qui va t'emmener sur une idée qui va t'emmener sur on a notre prochain voyage on a notre prochain projet, on a une prochaine opportunité et en fait je me dis et quand, là je parlais avec Camille donc la cofondatrice Camille Imbert la cofondatrice du cercle des solopreneurs avec moi elle disait mais t'as vu il y en a ils se sont motivés dans le cercle, ils sont partis faire une colloque en Espagne à 3-4 pour bosser pendant 30 jours et se rassembler et j'ai dit putain Déjà, je suis trop content. C'est exactement pour ça que j'ai créé ce cercle. Ils ont trop raison. Ils ont trop raison parce que franchement, ça change tout d'être en permanence avec des gens qui vibrent la même envie, le même but que toi. Et que t'es tout seul comme ça, comme un connard, ça revient au même que la procrastination et quand t'arrives pas à avancer. En fait, quand t'as les gens qui vont autour de toi « Allez, qu'il y a la petite blague, ça se décompresse, il y a un petit coup de mou, on y va, on va faire la petite activité. » qui va te remplir d'énergie, qui va te mettre de bonne humeur, mais après tu rentres, t'as envie de tout arracher sur ton taf, parce que tu sais que t'as que deux heures, et qu'après ces deux heures, vas-y on va au sunset, donc ça t'oblige à aller vite, et ça fait un bien fou, ça fait un bien fou, donc vraiment encore une fois, pareil, c'est si t'as jamais testé des co-living, on va appeler ça comme ça, des collocs entre potes, fais-le, pars à l'autre bout du monde, ou pars en pleine campagne en France, pas besoin, tu peux rester en Europe, et allez kiffer, et déterminez un peu vos objectifs, Et allez-y, et chacun peut l'avoir, encore une fois, c'est chacun son business, mais le fait qu'on soit ensemble, ça crée une espèce d'énergie de cerveau collectif qui motive tout le monde. C'est pour ça que les immersions aussi et les masterminds, ça apporte autant. Moi j'en ai fait l'année dernière pas mal, et là j'en ai organisé cette année. Je suis toujours étonné de te dire, qu'est-ce qui va se passer, est-ce qu'il y aura des résultats ? Mais en fait, il y a de la magie qui se passe quand on est tous ensemble, avec les mêmes valeurs, les mêmes envies. Il y a un truc qui ne s'explique pas. Et donc... Soit tu vas à un mastermind pour rencontrer des nouvelles personnes et aller bosser des choses que tu connais pas pour les apprendre, pour les développer. Soit tu passes un bon moment avec des gens que tu aimes bien ou que potentiellement tu peux bien aimer parce que les co-living, tu peux aller aussi vivre dans des co-living. Pour en avoir fait des co-living, quand tu vas dans ce qu'on appelle vraiment tu loues ta chambre et qu'il y a d'autres personnes comme toi qui sont là, chacun est dans son délire. Il n'y a pas cet effet cerveau collectif. Je trouve que chacun est un peu dans son tunnel de taf et en vrai ils veulent il veut juste être en mode digital et c'est pour ça que je t'encourage vraiment va, je sais pas si t'as des potes autour de toi, motive-les faites-vous un co-living quelque part parce que ça change tout et quand j'ai vu sur le cercle qu'ils se sont chauffés ils ont fait ça, je me suis dit mais ils ont tout compris vraiment, ils ont retiré le meilleur de ce projet je trouvais de ce cercle parce que c'est exactement pour ça et que c'est bien les échanges en ligne c'est très pratique, c'est très puissant la preuve pour Vanessa, bien dans ton corps, pour son défi ... d'essayer de briser son blocage sur le facecam, mais quand t'es en vrai, ça va au-delà en fait. Et moi je le vois en ce moment, le bien, les bienfaits que ça a sur mon état d'esprit, sur mon physique, je ferais beaucoup plus de sport, sur mon mental parce que je rigole, ça me nourrit, sur les idées, sur le fait... Wouaf, laisse tomber en fait, ça change tout. Donc si t'as jamais testé, fais-toi une petite coloc entre adultes, tu vas voir. On rigole bien et en vrai, tu level-ups en même temps en compte. Et dans le... la bonne humeur et le plaisir et ça ça change tout. Bon ! Petit fun fact, ok c'est le moment. Alors qu'est ce qui se passe ? Moi je suis là à Bali, évidemment on est à un repas avec mon pote Sam, on joue au dé, on joue aux dix milles et vu que mon pote Sam il en avait marre de se faire un peu racketter, pas racketter parce que je gagnais les parties du coup c'était celui qui gagnait qui se faisait inviter, je pense qu'il en avait marre de m'inviter, il me dit il me sort l'excuse mais pété genre ouais alors moi franchement... invité, je sais pas, ça me motive pas donc je vois j'arrive pas, enfin je gagne pas parce qu'en fait ouais si c'est que l'argent là je m'en fous ça me... Je le regarde, je lui dis casse toi, t'es juste vénère parce que tu m'invites tout le temps avec moi, ça me fait bien kiffer et ça économise mon budget, putain, mais j'ai dit ok, t'es une petite baltringue donc pas de problème, tu cherches des excuses, on... qu'est ce que tu veux comme gage ? J'espère qu'il écoutera ce podcast, je sais que c'est pas le cas, pour ça je le charge un peu mais si c'est le cas, bisous Sam, petite baltringue. Et il me dit vas-y on fait autre chose. On cherche des gages et on trouve les gages conciergerie. Tu as le droit à un service de conciergerie de la part de l'autre au moment où tu en as besoin. J'ai dit, c'est quoi ? OK. Sauf que... Au moment où, je sais pas, ce jour-là et le jour d'avant, j'avais une petite baisse de régime. Tu vois, dans ma manifestation, dans mon énergie, dans mon incarnation de ce que je voulais, dans le truc de faire un petit coup de mou. Et lui, je le sentais, vu que j'avais expliqué le principe de l'énergie, le gars, il commençait à envoyer des mains de ouf, et je le sentais qu'il n'y avait plus de doute, il était là. Et je commence à perdre. Et j'ai perdu pas mal de parties. Donc j'ai pris à un moment donné, il y avait plusieurs trucs, mais j'ai pris deux gages de conciergerie. Deux gages. J'ai dû perdre. Normalement, moi j'avais 5-6 parties d'affilée de gagnés. Je les ai repris dans la gueule. Et du coup, dedans, il y avait pas que ça, mais il y avait deux conciergeries. Donc j'étais un petit peu vénère. Tu te sens un peu comme un concierge, un esclave directement, qui peut, à tout moment, on te demande de... Tu sais, allez ! J'en ai déjà perdu un d'ailleurs. J'en ai un où c'était le matin, il fallait que j'aille lui chercher un expresso. On the rocks, un ice expresso. livré avant le petit paddle avant qu'on y aille donc moi je devais me lever plus tôt etc bref déjà je n'étais pas y'en mais j'en avais encore deux autres et à un moment je le vois on est sur son scoot parce que des fois on prend un seul scoot pour des raisons écologiques pour aller au même endroit et il me dit ça clignote il s'arrête il me fait man va me faire le plein et je dis oh le bâtard tu sais c'est vraiment le truc chiant tu dois aller faire le plein tu dois aller un peu plus loin pour aller choper la station service, t'as un peu plus de bornes, tu tapes le trafic, etc. Donc je prends les clés, je dis, vas-y, t'sais, t'sais, je dis, t'sais, son gage, faut toujours l'assumer avec honneur, je trouve. C'est aussi là où tu prouves ta valeur, tu vois. Et je dis, ok. Je dis, par contre, mec, je suis peut-être ton concierge, je suis pas ton sugar daddy, donc envoie le cash. Et je fais, je parie que t'as pas de cash sur toi, donc je peux pas faire le plein. Et il me regarde, il me fait, non, mais j'ai un deuxième gage, conciergerie. Voilà ma carte, tu vas me retirer du cash. Tu vas me faire le plein, tu me ramènes mon scoot, à tout à l'heure. J'ai fait, oh le bâtard ! Oh le bâtard ! Et c'était pas le pire dans tout ça. Parce que j'y vais avec le sum. J'y vais avec le méga sum, en vrai. J'y vais, mais tu sais, j'y vais, je le monte pas trop. Mais bon, ça se voit sur ma gueule, tu sais, comme quand tu parles comme ça, là, que t'es un peu vénère, mais que t'es fait genre que ça t'énerve pas. J'y vais. Je vais y retirer de l'argent, je galère, truc, machin, parce que c'était pas... Enfin bref, il voulait que je retire une somme, ça marchait pas, je retire plus, du coup. Je lui envoie un texto pour lui faire comprendre que si je retire plus, c'était le distributeur. Je vais mettre le plein. Il y avait une queue de bâtard. Une queue de bâtard. Donc j'attends, j'attends. Et je pars. Et là, une tempête. Une tempête mais monumentale. Je me suis fait rincer, tremper. Mais tu sais, quand t'es en scoot, les gouttes, ça pleut tellement fort, plus la vitesse, que ça te fait mal. T'as l'impression que tu prends des cailloux dans la tête. Avec Yoti dans le corps, tatata partout, j'étais là, j'ai fait putain mais pendant dix minutes comme ça, t'es là, attends. J'ai dit putain, et là tu rages, là tu rages, tu vois déjà que t'en avais marre, tu voulais pas faire ton gage. Là t'es là, putain merde, gage de merde, la prochaine fois je gagne au dé. Donc là t'es plus du tout aligné avec la belle manifestation, je crois moi, t'es en mode, t'es rageux. Et là c'est marrant, j'arrive dans sa porte, je toque, j'huit ans, les clés de son scoot, son cash, et lui il voit un mec mais trempé, il rigole. Je le check ce bâtard et je me casse. C'est ça de vouloir JOD. Et comme il disait, la route tourne-tourne. C'est parfois tu gagnes, parfois tu perds. Et c'est partout dans la vie, dans n'importe quel secteur. Et c'est ok. Et c'est pas parce que tu perds et que tu rages qu'il faut s'arrêter de vouloir gagner. A la semaine prochaine.

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SUJETS ABORDÉS :

• Ma vision de la prise de risque entrepreneuriale

• Le piège de garder des portes ouvertes vers des chemins que l'on sait ne vouloir jamais prendre

• Se sentir bien vs Se sentir mieux que les autres : La différence qui change tout

• Créer une offre irrésistible - Les 7 critères pour développer une offre que mes clients ne peuvent pas refuser

• L'importance de m'engager totalement sans porte de sortie

• La puissance des "cerveaux collectifs" crée en colocations entre adultes partageant les mêmes ambitions

• Fun Fact : gage de conciergerie qui tourne mal


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ah, ce séjour à Bali me fait le plus grand bien. Je commence à avoir les batteries qui commencent à être bien rechargées. Bien rechargées. Je me suis bien remis au sport. Jiu-Jitsu, Muay Thai, basket, des fois muscu. Je fais du spa tous les jours. Quand même, Bali, c'est bon. Tu peux plus te perdre que t'es déjà perdu quand tu viens si tu sais pas ce que tu veux. Mais j'avoue, quand tu veux et que tu viens dans le menu à la carte, choisir tous les petits trucs sympas et que tu dis non à tout le reste, Oh qu'est-ce que c'est fantastique C'est fantastique D'ailleurs la petite aparté Ça m'a fait du bien, j'ai conjuré le sort De mes ligaments croisés Que je m'étais fait il y a deux ans à Bali Bizarrement quand je n'arrivais plus à tenir Tout le poids de la vie sur mes épaules Et que mon genou a lâché au basket Et j'ai conjuré le sort avec le même pote Que j'avais en face au basket Qui défendait sur moi au moment où je me suis fait les ligaments croisés Avec les mêmes baskets, c'était pas le même terrain Mais bref, plein de choses qui font que Je me sens en forme, je récupère du cardio, je fais du sport, je me sens bien. Et du coup j'ai plein de choses à te raconter dans ce nouveau journal de bord. Première chose, l'alcool. Je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Blum, ça faisait 6 mois que je n'avais pas bu d'alcool. Je vais t'expliquer, parce que spoiler alert, j'ai picolé. Et je vais t'expliquer ce que j'en ai retiré de ce moment-là, de reconsommer de l'alcool. Ensuite, je voudrais te parler de ma discussion que j'ai avec mon pote Dany sur est-ce qu'on est un bon entrepreneur et est-ce qu'on est fait pour être entrepreneur si on a une aversion au risque, c'est-à-dire qu'on n'aime pas prendre de risques. Mon pote Dany, c'est vraiment un mec brillant et un bon entrepreneur, mais est-ce qu'il l'est vraiment parce que lui a peur de prendre des risques ? Et bref, je te donnerai un petit peu le fil. de notre conversation et les leçons qu'on a tirées, la comparaison avec un autre pote qu'on connaît bien, qui lui prend beaucoup de risques, et voir comment tu te situes par rapport à eux, et surtout comment tu te situes par rapport à la prise de risque. Autre sujet, c'est pourquoi garder les portes ouvertes de choses que tu n'as pas envie de faire ? Ça va être vraiment un sujet pour moi qui... C'était vraiment ce que mon pote Sam m'avait dit, je me suis dit, c'est vrai, pourquoi on garde les portes ouvertes ? d'une thématique ou d'un chemin qu'on ne veut surtout pas prendre. C'est fou, par exemple, on va au bout de certaines études pour se dire « Oui, au cas où, j'aurai ce truc-là. » On garde la porte ouverte, c'est possible, alors qu'on sait très bien qu'on ne veut pas le prendre. Je creuserai ce sujet parce que c'est assez fou à quel point on perd du temps, de l'énergie et des années à garder vraiment de la charge mentale qu'on se met en plus à garder des portes ouvertes sur des chemins qu'on n'a pas envie de prendre. Je voudrais aussi parler du sujet de ce qui est fou dans la vie, c'est qu'on se sent bien souvent quand on se sent mieux par rapport à. Et ça pour moi, c'est une autre discussion que j'ai avec mon pote Sam, je trouve que c'est le cancer du cerveau, c'est le cancer de notre vie, c'est tout ce qu'on nous pousse à faire, c'est se sentir bien si on se sent mieux, si on est mieux que, donc par rapport à. Et du coup, ce n'est plus le sujet de avec nous-mêmes. et c'est vraiment un sujet que j'ai envie de creuser. Je voudrais aussi te partager, si en ce moment tu es en train d'avoir une offre avec des clients, comment créer une offre irrésistible, parce que là sur le cercle des solopreneurs, j'ai créé hier, grâce à mon super challenge de productivité que j'ai mis en place, qui m'a servi en premier à moi, qu'on a mis en place sur le cercle, en une journée j'ai fait 20 vidéos qui expliquent comment créer une offre irrésistible et je voudrais au moins te donner les grandes lignes et tout. tous les critères. Après, je ne pourrai pas te donner tous les exemples, mais en tout cas, te donner vraiment tous les critères qui font d'une offre qui devient irrésistible et que tes clients sont en train de se dire « mais je serais bête de ne pas l'acheter » . C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible. Ensuite, je voudrais te parler d'un thème qu'on ne parle pas beaucoup quand on a dépassé la vingtaine, mais c'est faire des colocs. En ce moment, maintenant, on dit « co-living » . C'est plus cool quand on est adulte. à Bali, je fais des co-living à Medellin. C'est-à-dire que je vis avec d'autres adultes qui ont une vie normale et qui ne font plus d'études. La puissance des colocs, je suis en train de le voir là avec mon pote Sam. Et surtout, ça m'a rappelé la puissance des colocs quand j'en avais fait aussi à Medellin avec mes potes Jerem et Germain, qui sont des gens incroyables et qui m'avaient reboosté. Et que surtout, il y a aussi, j'ai été choqué, des gens du Cercle, ça ne fait même pas un mois qu'ils se connaissent, ils se sont chauffés, ils ont fait une coloc en Espagne. Donc je voudrais te donner mon point de vue et mon retour d'expérience sur comment faire une bonne coloc et surtout quand tu es adulte et que tu as une vie et potentiellement que tu es aussi en couple et qu'est-ce que ça peut t'apporter. Et ensuite je voudrais terminer sur un sujet qui pour moi est essentiel avant de te parler du fun fact c'est... challenge-toi auprès de gens que tu estimes et brûle tes bateaux, c'est-à-dire enlève-toi la possibilité de t'échapper. Mets-toi dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que je vois la puissance d'une personne dans le cercle qui s'appelle Vanessa qui avait l'impossibilité physique de faire des face cam. Je l'ai challengée et il s'est passé des choses assez incroyables que je voudrais te parler. Et c'est vraiment par le fait qu'elle se retrouvait challengée dans un moment où je ne veux pas perdre mon honneur, etc. Bref. Je t'en parlerai dans ce sujet, c'est mets-toi dans des situations où tu n'as pas le choix, quand vraiment tu as besoin, quand tu bloques sur des sujets et que tu n'arrives pas à avancer. Évidemment, je terminerai par un petit fun fact, très drôle, qui est lié au dé, qui est lié au gage. J'en ai pris un assez drôle et je voudrais t'en parler. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. L'alcool, ah l'alcool ! On connaît bien le sujet, surtout si on est français à peu près, depuis qu'on est gamin. C'est le patrimoine ! Attention, petit verre de vin ! Du coup on connaît bien. Sauf que moi j'ai arrêté à peu près de boire depuis à peu près six mois, vraiment de façon anecdotique. Et là, moi samedi dernier, je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Bloom. Et alors c'est pas celle qui va picoler le plus, je pense qu'elle a pris un ou deux cocktails, sauf que son mec Chris Aude, mon pote Chris Lacchiesa, mon pote Sam... Alors mon pote Loris Monteux, non restez sages. Mais tu vois... Allez, une petite margarita, un petit truc. Et d'habitude, ces derniers mois, j'étais en mode, non, pas envie. Je suis content, j'ai vraiment atteint un niveau où c'est pas genre je me l'interdis. J'ai jamais dit j'arrête l'alcool, c'est juste, j'ai plus envie en fait. Un peu comme, tu vois, ce côté où c'est quand tu arrêtes, je sais pas, la viande pour raison écologique ou de santé. Au début, tu te dis, ah, non, j'arrête, mais j'en ai envie. Et à un moment, tu te dis, non, ça me tente plus. Ben, ça me tentait plus. Mais, en fait, moi, à la base, j'adore être bourré quand même. Je trouve ça génial. Euh, t'sais, l'ivresse, tout ça, je trouve ça génial d'être bourré. Mais, ben, pourquoi j'avais arrêté ? Ben, j'avais arrêté parce qu'en fait, c'était pas tant la gueule de bois du lendemain, c'était « arrêtez-moi la tête ! » « Non, à l'esco... » Non, c'est pas... Ça, à la rigueur, ça dure 24-48 heures. C'est un petit peu comme... En vrai, comme si tu fais une grosse séance de sport, t'as mal derrière 24-48 heures, pourtant tu refais du sport, parce que c'était cool. Bon, là, l'alcool, c'est cool d'une autre façon, mais... Justement... Pour moi, l'alcool, ça ne durait pas que 48 heures, la gueule de bois. C'était vraiment subtil et insidieux, l'impact que ça avait sur moi et surtout sur mon mental, sur mon cerveau. Je m'étais aperçu que... Je ne suis jamais quelqu'un qui est trop sorti dans ma vie, mais je n'ai jamais aimé trop l'ambiance de sortir, les trucs à Paris, dans la région parisienne ou en France. Sauf qu'en étant à Bali, il y a deux ans, et à Medellín, j'ai un petit peu rattrapé le retard. Je me suis aperçu que l'alcool me créait du doute. Tu sais ? J'étais plus aussi déterminé. Genre j'avais des appréhensions, j'étais plus aussi motivé, genre j'étais plus aussi déter, tu vois. Vraiment, t'étais déter, d'habitude avant j'étais déter. Et l'alcool, je cherchais, attends, est-ce que j'ai le jus là ? Est-ce que c'est la bonne stratégie ? Est-ce que c'est la bonne décision ? Tu sais, ça me mettait un voile de, waouh, je réfléchis, c'est nouveau, mais je réfléchis en fait en me questionnant, en doutant en fait, et non pas en me demandant quelle est la bonne solution pour avancer plus vite, mais juste je me dis, est-ce que je vais pouvoir le faire ? Et ça, je me suis dit, waouh, c'est un prix beaucoup plus cher que l'ivresse, qui est absolument génial pour moi. Je ne veux pas, en fait, douter. Je ne veux pas ce truc d'espèce de voile constant, qui est insidieux, qui est latent, que tu n'arrives pas au début à relier à l'alcool. Parce que, oh, c'est un petit verre. Oh, ce n'est pas grave. Ça détend, en vrai. Quand j'ai une journée un peu compliquée, j'ai une semaine chargée. Ouh, on a bien rigolé. Et en fait, on a bien rigolé. Ouais, j'avoue. Rangement, j'avoue. Et j'ai enlevé ça, en fait. J'en avais plus envie. Sauf que samedi soir, je suis avec les compères. Ah vas-y une margarita. Non pas envie. Allez. Et en fait moi, à la base si je bois de l'alcool c'est pour une énergie. J'ai jamais bu de l'alcool tu vois. Chez moi je m'ouvre une petite bière, un petit verre de vin. Je sais pas, c'est une énergie qui correspond à un moment de fête et que du coup l'alcool va amplifier ce moment. Et je trouve très cool. Et là le moment était très palpablement génial. Donc j'ai dit vas-y envoie une petite margarita, ça fait longtemps, j'aime bien les margaritas. Envoie la margarita. Voilà la margarita elle est arrivée. Et elle m'a envoyé direct sur Namek. J'étais là, j'étais bien, tu sais, alors si t'as déjà passé le soir avec moi, tu sais que je suis un peu chiant, parce que je suis super content quand je suis bourré. Et waouh, j'en ai pris une deuxième, parce que vu comment on était cinq, il y en a un qui a fait sa tournée, tu connais le problème. Une, deux, trois, alors là les deux premières elles m'ont envoyé, j'avais les genoux, comme s'il n'y avait plus de genoux, j'étais sur des ressorts moelleux. C'est coucou, tu rebondis un peu, tu es là, tu fais des conneries. C'était génial. J'ai passé une excellente soirée. J'avais juste oublié que le lendemain, à 10h, J'avais un paddle. Donc je me suis levé, je me réveille à 9h avec la gueule, avec un sable, arraché par la tête. Je me suis habillé, j'ai foncé au spa, à la gym où j'ai un abonnement. Bain froid, bain chaud, bain froid, bain chaud, 3 énergie balls et on est parti. Ok, ça a été. J'ai gagné le paddle en plus. Bon, pas trop grâce à moi, mais j'ai gagné le paddle. Ce que je veux dire, c'est que j'ai ressenti de nouveau cette sensation de... Est-ce que je vais pas me blesser au pas d'aile ? Est-ce que je vais gagner ? Putain, le reste de la journée, qu'est-ce que j'ai à faire ? Et tu sais, comme si ça, j'avais de nouveau, et surtout, je l'ai vraiment expérimenté et ressenti en étant à Bali, là, en étant super healthy, faire de la méditation, faire du yoga, faire du sport, bien manger, etc., avec des bonnes vibes, rigoler. Donc vraiment mental d'acier qui fait du bien. Et de nouveau me dire, oh, je me questionne. ou je doute ou je vois le j'envisage beaucoup les scénarios négatifs de chaque situation et quand je m'imagine dans le futur c'est pas genre est ce que d'un temps j'ai ça à faire après faut pas que j'oublie demain demain je trouve la motif de ou j'avais pu ça ou c'est l'alcool et ben ça m'a rappelé pourquoi je buvais plus je suis très content d'avoir picolé avec mes potes je suis très content aussi de me dire que je vais pas picolé avant un bout de temps À moins qu'il y ait une vraie sacrée ambiance de malade mental, mais ça arrive franchement rarement en vrai. Et que de toute façon, j'ai en vrai pas besoin de ça pour m'amuser du tout. C'est juste de temps en temps un truc différent. Et je te pose la question vraiment, c'est quoi ta consommation d'alcool en ce moment ? Et c'est quoi ta mentalité en ce moment ? Comment tu te sens dans ta tête ? Est-ce que tu as des voiles justement de doute, de questionnement ? Pas des questionnements qui vont dire, ok, ça c'est ça, mais ça, ça peut être mieux. Ou attends, je peux peut-être aussi faire ça, ça sera encore... plus rapide, mais que tu te dis, attends, est-ce que c'est pas du doute ? Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis capable ? Tu sais, tous ces questionnements négatifs qui te tirent vers le bas. Est-ce que t'en as en ce moment ? Et si t'en as en ce moment ? Est-ce que tu bois beaucoup d'alcool ? Et quand je dis beaucoup d'alcool, c'est au moins une fois par jour, régulièrement. Est-ce que t'ingères, est-ce que t'alimentes ton cerveau de finalement cette substance qui le rend faible, fragile, douteux et en questionnement ? Je trouve que c'était un bon rappel de me dire pourquoi j'avais arrêté. Et peut-être que toi, si encore une fois, tu as envie de te débarrasser d'un peu plus de doutes et de pensées négatives, ça peut être pas mal de commencer par là. Autre sujet maintenant, la prise de risque. Est-ce que tu aimes prendre des risques ? Parce que si ce n'est pas le cas, est-ce que tu peux être un bon freelance, un bon solopreneur, un bon entrepreneur, avoir ton activité ? C'est la question que je me suis posée quand je discutais avec mon... mon pote Dany, qui est un mec brillant qui habite à Bali, qui est dans le fitness, que j'adore, très smart, très bosseur, très technicien, mais il a peur du risque. Il a peur, tu sais, de « Ah, et si je perds tout ? Ah, et si je prends une mauvaise décision ? Ça me met dans la merde, etc. » Sauf que ça, c'est plus, en fait, une mentalité de personnes qui gardent leur argent et leur fortune plutôt qu'ils n'en font. D'ailleurs, c'est vraiment le concept que qui explique le livre « Psychology of Money » , la psychologie des entrepreneurs qui réussissent fort et qui font beaucoup d'argent, et l'opposé de celles qui savent conserver et fructifier l'argent. Parce que quand tu es entrepreneur, il faut prendre beaucoup de risques, et pour accélérer vite, et faire des paris que tu ne sais pas si ça va réussir, parce que la preuve, si tout le monde savait et que c'était sûr, tout le monde serait riche et tout le monde y arriverait. Et par contre, si tu continues d'avoir cette mentalité-là de toujours prise de risque, il y a un moment aussi... tu te plantes, c'est sûr. Et donc, tu perds tout. Et souvent, les mecs qui font beaucoup d'argent, ils ont tendance à tout perdre et tout refaire. Alors que quand tu es quelqu'un qui est plutôt quelqu'un qui gère du patrimoine, qui verrouille, là, c'est un très bon skill d'avoir peur du risque et même de les envisager tous. Si tu es un gestionnaire patrimoine et de fortune et que tu avais anticipé une pandémie mondiale à un moment donné, il te dit qu'est-ce qui se passe en cas où, tu es plutôt bon. Et c'est un peu ton taf. Et la preuve, c'est arrivé, on ne sait jamais. Et j'en parlais avec mon pote Dany, parce que justement, il est en train de se questionner dans son business. Je pense qu'il y a un moment aussi où il stagne, où il est très bon, mais où il stagne. Et en fait, je lui disais, mais je pense que ton problème, c'est que tu es dix fois meilleur que moi, tu vois, en entrepreneuriat, et en plus, tu es un peu guité de technicien. Donc avec l'IA, il y a moins que tu puisses vraiment t'amuser en ce moment. Mais le problème, c'est que tu as peur du risque. Donc en fait, les choses que tu sais devoir faire, tu ne vas pas les faire. C'est-à-dire, ou tu les fais à moitié, ou tu les fais sans prendre de risque. Ce qui fait que ce ne sont pas les bons moves. Parce que, regarde, là, en vrai, j'étais à Lisbonne avec... Un appart, j'avais des business, etc. J'ai rendu mon appart, j'ai vendu tout mes meubles en 48 heures, je suis parti à Bali. Et les 3-4 mois d'avant, j'ai shut down tous mes business et toutes mes funnels de vente pour juste créer le cercle de solopreneur. Parce que c'était un risque, parce que j'avais besoin de prendre du temps pour moi, pour comprendre la suite, pour me nourrir aussi d'un autre type de business qui m'amuse beaucoup plus, que je trouve plus humain. C'est une prise de risque. Parce que là, à l'instant T, je gagne beaucoup moins d'argent. Parce que c'est un truc que je mets en place, parce que je mise sur le calme, le silence, l'espace mental, et d'ailleurs je t'en reparlerai dans un autre journal de bord, mais que j'essaie de créer dans mon esprit pour... Je prends un risque pour me dire peut-être que je vais trouver une meilleure idée. Quand je dis meilleure, c'est pour moi, qui m'épanouit plus, qui me permet d'avancer plus vite, plus fort, et surtout, level up, tu vois ? Et pour ça, si je me raccroche toujours à tous les boulets que je traîne et que j'ai peur d'en lâcher un parce que je me dis... Ouais mais celui-là il me rapporte, je sais pas, il me rapporte 10, je peux pas lâcher parce qu'imagine je lâche 10, je sais pas si je vais pouvoir récupérer 10 derrière, ou même 20, tu vois, genre, ouais mais en fait tu sais pas, parce que si tu lâches 10, t'as plus rien dans les mains, ok, mais ça te permet de récupérer un truc dans ta main qui vaudra peut-être 100, 1000, 10 000, et c'est vraiment ça en fait, moi j'ai souvent pris des risques, j'ai souvent tout lâché, et à chaque fois ça m'a permis de level up, soit humainement, soit en termes business. J'étais directeur de clientèle en régie pub, je claque madame pour réaliser mon rêve, faire le tour du monde. Je lâche tout, je lâche un job très bien payé alors que je n'ai pas fait d'études. J'ai un statut, je suis propre, je suis bien installé dans le truc parisien, la pub, les régies pub, etc. Je claque madame. Et en fait, qu'est-ce qui s'est passé ? Il s'est passé un des trucs les plus beaux de ma vie, si ce n'est le plus beau. C'est-à-dire que j'ai réussi à avoir un job qui n'existait pas et dont je rêvais. C'est-à-dire... T'es payé pour voyager, tu donnes aux gens envie de voyager, t'es payé pour ça, t'es influenceur voyage. Et puis au moment où je suis encore au top, dans le top 2, 3, 4, 5, j'en sais rien, et que j'ai toujours des missions, que je fais toujours des trucs de ouf, j'arrête tout. J'arrête tout pour me dire, ok, je sens qu'il faut que je fasse autre chose. Je sens que j'ai besoin de grandir, d'évoluer, donc je prends un risque, j'arrête tout. Sans savoir trop ce que j'allais faire. Puis je pars à Bali, puis j'invite des potes, je me fais un peu mon think tank, mon grand brainstorming géant avec des potes, pendant 2-3 mois, et ok, je lance un business en ligne. Je lance un business en ligne, ok. C'est cool, j'apprends des choses, je fais de l'argent, je fais plus d'argent. Et derrière, en fait, ça ne fait plus de sens. Et là, boum, je shut down mes business, je lâche mon appart et je reviens aussi à Bali. C'est marrant, cette phase de réflexion, je reviens souvent à Bali. Et c'est des prises de risques à chaque fois parce que je ne sais jamais ce qui se passe sans le faire avant. C'est-à-dire que quand j'ai lâché l'influence voyage, je gagnais très bien ma vie. J'avais pas de... de temps pour moi, mais je faisais que des trucs que je kiffais, mais c'est juste qu'il fallait que je fasse autre chose. Donc j'ai monté un business, j'ai fait plus d'argent en CA, j'en ai fait beaucoup moins pour moi, parce que finalement, j'ai fait beaucoup de charges, j'avais une équipe extérieure, mais j'ai appris de fou sur le management, sur le business, sur le business en ligne, sur plein de choses, en fait, qui font que je suis devenu un meilleur être humain personnel et professionnel, et que là, je sens que j'ai paré, je stagnais, qu'il fallait que je me débarrasse de certaines choses. En termes business, c'est pareil aussi. Des fois, tu accumules, tu accumules, tu accumules, et en fait, tu accumules des trucs qui ne te servent pas tant que ça, qui te desservent plus qu'autre chose. Et qu'il faut faire l'effort de se dire, je me débarrasse de tout ça, je garde l'essentiel qui m'est... Tu vois, typiquement, quand je rends mon appart, c'était bien, j'avais un camp de base. Mais tous ces meubles que j'ai pris le temps d'acheter, qui sont stylés, que j'aime bien, est-ce que ça m'a été vraiment utile d'être une bonne personne et me sentir heureux ? Non, pas du tout en fait. Je peux en racheter, ce ne sont pas des meubles... Sur le moment, tu es là, tu as passé du temps, tu les aimes bien, mais... C'est juste parce que ça crée une espèce de forme de stabilité et que j'aime beaucoup. Mais Lisbonne, c'était 50% ce que je voulais. Donc ça veut dire que c'est 50% ce que je ne voulais pas. Et vu que j'aime bien vivre avec panache et avec intention, et pas par dépit de me dire « Ah, c'est à peu près ce que je veux » , ben non, c'est pas ce que je veux, c'est pas grave. Et j'y vais, je prends un risque. Et pourquoi je te dis tout ça ? C'est que je pense que Dany, aujourd'hui, s'il n'a pas réussi à la hauteur de ses connaissances, de sa force de travail et de sa technicité, c'est parce qu'il a peur de prendre des risques et du coup il avance. Il fait des tout petits pas. Sauf qu'en ce moment, la vie va à mille à l'heure. Et que du coup, il faut apprendre à aimer le risque. Parce que quand tu aimes le risque, moi j'adore ça en fait, j'adore l'inconnu, j'adore l'improvisation, j'adore les surprises. Ça me permet de... C'est ce que le voyage a développé. Dès que j'allais quelque part, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Il fallait que je filme, que je vive un truc, que je le retransmette. Mais ça, ça te permet de voir chaque situation non plus comme un problème, mais comme une opportunité. Et surtout d'aimer d'autant plus l'idée de ce que tu peux peut-être avoir plutôt que ce que tu as déjà. Et d'un côté, on dit souvent, c'est mieux vaut un tien que deux, tu l'auras. Donc mieux vaut en fait ce que t'as déjà là qu'un peut-être x2 de ce que t'as là mais que tu sais pas si tu vas... Bah ouais mais ça dépend en fait parce qu'il y a des moments dans la vie où il faut le tenter. Et si ça passe, parce que des fois ça ne passe pas, parce que c'est la vie et qu'à chaque fois que tu prends un risque tu ne réussis pas, c'est pas ça la vie. Et souvent il faut que tu prennes plusieurs fois des risques pour y arriver. Moi j'ai du bol, j'ai réussi à la hauteur à chaque fois de ce que je voulais, je me suis jamais planté. Parce que la prise de risque en vrai, quand tu lâches ton appart... que tu shut down tes business, « Oh merde, j'ai plus rien, j'ai presque plus d'argent qui rentre par rapport à avant. » Ok. J'ai fait un business quand même qui me fait largement payer mes factures, qui me fait en plus me sentir bien parce que j'ai un impact de ouf sur les gens, que ça leur apporte quelque chose. Donc jusque-là, tout va bien. Et en plus, j'ai des investissements et j'ai de l'argent de côté. Quel est le vrai risque ? Le vrai risque, il est dans mon égo. Ça pique mon égo de me dire « Ah, tout à coup, mon niveau de vie va baisser. Je ne peux plus me permettre peut-être de faire autant de trucs que je voulais. Je vois mes économies qui descendent. » Du coup, psychologiquement, je me sens à l'ouest. Non, je m'en fous, en fait. Ces phases-là de régression, entre guillemets, de reprise d'élan, elles sont là pour me permettre d'être sereinement en train de prendre des risques et du coup, de pouvoir atteindre des niveaux et choper des opportunités que les autres ne sont pas prêts à prendre. Et c'est pour ça que j'étais à chaque fois le mec qui se démerde pour avoir un job sans études et qui devient directeur de clientèle parce que j'y vais. J'y vais à fond, en fait. Et parce que j'obtiens le premier en France un job que tout le monde rêve, un influenceur voyage, parce que j'y vais. Parce que pendant deux ans et demi, j'étais sur mon canapé chez des potes, et je ne savais pas comment j'allais gagner de l'oseille, ou comment, et je me suis démerdé. Et j'ai réussi, j'ai pris des risques. J'aurais pu pendant deux ans et demi, sans savoir si j'allais devenir influenceur voyage, parce que le job n'existait pas, me dire, bon vas-y, c'est bon, ça va cinq minutes, les conneries, je reprends ma petite vie confortable d'avant. Non, j'ai fait ça. Donc la question elle est là en fait. Si tu es en freelance, si tu as un business, Est-ce que t'aimes le risque ? Est-ce que t'aimes le risque qui va te permettre de peut-être, je sais pas, trouver une forme d'offre, de business qui va te permettre de gagner plus et de travailler moins ? Mais peut-être sur l'instant, peut-être que ça va foirer et que t'auras plus de clients. Est-ce que t'aimes le risque pour lancer un nouveau projet et arrêter tout ce que t'as toujours fait jusque-là et qui est ton acquis pour faire quelque chose qui te fait plus vibrer, qui a peut-être encore plus de potentiel ? Est-ce que t'es capable de faire ça ? Ou est-ce que t'as peur ? Parce qu'en fait, tu te dis... Non, je le fais juste sur le temps qu'il me reste, les 20%. Mais les 80%, je garde pour être sûr qu'au moins là, je fais rentrer de l'argent, etc. Et tu ne prends pas de risque. Tu réussiras à hauteur de 20%, en fait. C'est-à-dire pas ouf. Donc la question est là, en fait. C'est quoi ta capacité à prendre des risques ? Et si elle est haute, et que tu sais te relever à chaque fois que tu te plantes, il y a des chances que bientôt tu réussisses. Ce qui m'emmène sur le sujet suivant, pourquoi est-ce qu'on garde les portes ouvertes de chemin ? qu'on sait pertinemment qu'on n'a pas envie de prendre. Tu sais, comme si genre, au cas où, ces études qu'on va jusqu'au bout, même si on sait très bien qu'on n'ouvra jamais ce métier, mais au cas où ça ne marche pas dans l'autre truc que j'aimerais bien faire, au moins j'aurai ce diplôme-là, qui va pouvoir me permettre d'être très malheureux le reste de ma vie dans ce métier que je n'aimerais pas. Super. Je garde un peu la porte ouverte avec une ex, tu sais, genre, on s'envoie des messages, parce que... En vrai, je veux pas me remettre avec, mais si vraiment je trouve personne, ok, je peux peut-être me remettre avec pour être sûr d'avoir une relation misérable et toxique tout le reste de ma vie, tu vois. Wow ! Qu'est-ce qui fait qu'on veut se rassurer avec des choses qui, on sait, nous rendent malheureux ? Pourquoi ? En quoi c'est rassurant ? C'était une réflexion que j'avais du coup avec mon pote Sam, parce que putain, au-delà de se foutre des gages, de jouer au dé, de faire du jiu-jitsu et tout, on a des discussions qui nous font sauter la cervelle. Et je t'en partage à chaque fois un petit peu, une infime partie de tout ce qu'on se dit. Mais j'ai trouvé ça ultra pertinent en fait. Je me suis dit, ok, en ce moment, quelles sont les portes que je garde ouvertes de chemin que je sais ne pas vouloir prendre ? Et je me suis dit déjà, il y en a une que j'ai refermée et que je suis plutôt fier, qui était celle de mon appart à Lisbonne. de vouloir m'ancrer absolument, donc j'ai testé Lisbonne, donc si j'ai testé c'est forcément une réussite, non, tu peux tester, c'est pas ça, c'est pas loin, mais c'est pas ça, donc ça j'étais content. Et je me suis posé cette question, j'ai un peu fait genre, ok, quelles sont les choses que je garde ouvertes, en ce moment j'ai quand même fermé plein de portes, plein plein de portes, et je suis très content de, j'ai fermé la porte du business de vente des formations, en fenelle de vente, etc, parce que... en ce moment, cette façon-là ne me convient plus. Et en fait, c'est ça, c'est fermer les portes au moment où ça ne fait pas de sens. Ne pas les garder ouvertes, parce que tu vas dire, oui, mais plus tard, ça fera du sens. Oui, mais en fait, tu évolues. jamais vraiment trop refait et en fait on le sait très bien pour reprendre l'exemple des ex des fois c'est bien c'est facile on peut retourner tu sais mais comme quand j'étais retourné à paris l'année dernière ah ouais putain c'est vrai que paris c'était cool quand même ça a changé c'est trois mois j'y vais et je comprends pourquoi je me suis barré parce que tu sais en fait au fond de toi et j'ai fait un petit bilan comme ça j'essayais de me dire mais quelles sont toutes les choses que je laisse ouvert que que j'entretiens et Et qu'en fait, ce n'est pas du tout la bonne façon que je l'entretiens. Peut-être qu'il faut que je le fasse évoluer d'une autre façon pour fermer la porte d'une approche pour en avoir une autre et que c'est une relation plus saine, que ce soit dans l'amitié, que ce soit dans le business, que ce soit dans des opportunités, que ce soit dans des lieux de vie. Mais c'est juste une réflexion que je voulais te partager, te demander, fais le bilan, fais un petit tour d'horizon. Quelles sont les portes en ce moment que tu gardes ouvertes de chemin que tu sais pertinemment que tu ne voudras jamais prendre ? Autre réflexion que j'ai au cours d'une discussion avec mon pote Sam, c'était souvent, on se sent bien quand on se sent mieux. Et vraiment, on a bloqué, on s'est dit, putain, mais c'est fou de se dire que la plupart du temps, on est foutu d'arriver à se sentir bien parce qu'on se sent mieux que quelqu'un, parce qu'on voit qu'on a plus que, qu'on a plus réussi, qu'on a plus d'argent, qu'on a plus de confort. Et que c'est rassurant, en fait. Ah ! Moi, je suis bien, moi, puisque j'ai quand même... Là, j'ai plus que cette pauvre personne. Ou que j'ai réussi parce que là, au moins, j'ai fait plus que la moyenne. Et je me suis dit, waouh ! C'est fou, quand même, de se dire que le fait de se sentir bien, la plupart du temps, sans qu'on s'en rende compte, c'est lié au monde extérieur et à la réussite des autres. C'est même pas lié à la nôtre, puisque c'est lié à... Comment notre réussite vient se positionner par rapport à la réussite, ou en tout cas le bien-être, ou à la vie des autres ? C'est quand même une belle formule pour être bien malheureux toute sa vie, cette merde-là. Au lieu de se dire, est-ce que moi je me sens bien en fait, avec ce que j'ai ou comment je veux l'être en fait, et que si les autres ils ont 100 fois plus que moi... Tant mieux, ça ne veut pas dire que je me sentirais moins bien. Si je suis bien, parce que, tiens, regarde, je suis à Bali. Je ne sais pas où je serai dans quatre semaines, concrètement, c'est le cas. Dans un mois, un mois et demi, je ne sais pas du tout ce que j'ai. J'ai baissé mon chiffre d'affaires de peut-être fois dix, au moins fois dix. Et que je prends soin de ma... Je poste quasiment plus sur les réseaux ou très peu. Je prends soin de ma santé. Est-ce que je me sens bien ? Oh putain, qu'est-ce que je me sens bien ? Ma charge mentale, elle est presque au minimum. J'ai de l'oseille pour faire ce que je veux. J'ai du temps pour moi. Je me sens archi bien. Et du coup, est-ce que le fait que d'autres personnes qui, sur les réseaux, sur mon secteur, vont faire x10 par rapport à moi, vont avoir x10 en termes... de biens immobiliers, de biens matériels, de richesses extérieures, d'expériences. Ils vont faire des expériences de ouf, peut-être plus ouf que moi, je ne sais pas. Est-ce que ça fait que mon bien-être, il est moins bien ? Est-ce que ça enlève de mon bien-être ? Non. Ça l'enlève si tout à coup, tu te demandes si ton bien-être, tu le remets sur une échelle de nulle attitude, ou de bien-attitude. Moi, je suis bien, en fait. Et en plus... avec ma petite expérience de la vie. Je sais très bien en plus que les gens qui ont des énormes chiffres d'affaires, déjà chiffre d'affaires c'est pas bénéfice les grands, je préfère vous le rappeler, tu peux faire un million si t'as 1900 000 en pub, c'est pas un énorme bénéfice tu vois. Et puis pour avoir fait beaucoup de cercles d'hommes ces derniers temps, de passer du temps avec des entrepreneurs depuis des années, je peux t'assurer que peu importe ton niveau social et ta réussite, en fait ça n'a rien à voir avec ton bonheur. Vraiment, ton bonheur intérieur, comment tu te sens vis-à-vis de toi-même, vis-à-vis de tes peurs, vis-à-vis de tes parents, vis-à-vis de tous les traumas que tu traînes en fonction de ton historique, ça n'a rien à voir en fait. C'est vraiment, ça va t'aider en fait, le travail et l'argent à faciliter certaines choses. C'est sûr que si tu as du mal à payer de la bouffe et un toit, clairement, ça va t'aider. Mais au-delà de ça, se sentir mieux que... C'est nul à chier parce qu'en fait tu t'apercevras que la plupart des gens se sentent pas bien déjà. C'est triste à dire, mais la plupart des gens ne se sentent pas bien. Ils sont torturés, ils ont des mal-être, ils n'ont pas une grande estime d'eux. Et souvent, ils font croire que pour s'auto-persuader, mais tu le vois en fait, qu'ils ne sont jamais assez, qu'ils doutent. Et crois-moi, j'en connais plein. Et il y a très très peu de gens, je me suis dit, « Waouh, je veux être cette meuf ou ce gars-là. » Genre, « Waouh, ancré, bien dans sa peau, il fait ce qu'il kiffe, ça marche bien, etc. » Il n'y en a quasiment pas. Parce qu'il y a toujours des trucs où je me dis, « Oh, ouais, en fait, c'est comme le podcast que je disais la dernière fois, est-ce que tu prendrais tout le package de sa réussite, qu'elle a l'air bien ? » Parce qu'en fait, tu ne sais pas, mais il a des douleurs chroniques, des maladies, ou alors en fait, il a un stress de ouf, etc. Donc, c'est vraiment de se dire, mais... Est-ce que tu te sens bien ? Oui ? Non ? Ok, non. Qu'est-ce qui te fait, toi, te sentir bien ? Moi, en ce moment, ce qui me fait me sentir bien, typiquement, c'est pas de parcourir le monde comme un taré et de rencontrer des gens et de faire des expériences qui peuvent même pas s'acheter tellement c'est formidable, parce que ça a été le cas et ça me rendait heureux, fois un million. Aujourd'hui, c'est pas le cas. Du coup, je vais pas me comparer à toute la jeune génération qui refait des trucs que je faisais avant en me disant... Et ça me traverse l'esprit, justement, des fois. Quand j'essaie de me sentir bien... en me sentant mieux. Tu vois, je me dis, ah putain, c'était bien le bon vieux temps, c'était cool. Je ne fais plus tous ces trucs-là. Du coup, ma vie, elle est... Tu sais, dans ces moments de doute, ma vie, elle n'est plus aussi bien qu'avant. Mais en fait, quand je me reconnecte à est-ce que je me sens bien, pas mieux, mais bien, je dis, ben, en fait, moi, ce que je veux, ce qui me fait me sentir bien, c'est pas de charge mentale. Parce que j'en ai eu tellement dans ma vie qui m'a tellement permis d'encaisser un stress monumental pour faire des choses... incroyablement insane qui me marquera et que peut-être personne pourra vivre et que c'est formidable cette vie mais aujourd'hui c'est pas ça donc en fait je m'en fous de me comparer ou d'essayer de me dire que lui il a plus ou mieux puisque en fait moi ce que je veux là c'est au contraire petite vie là où je me ressente sur moi grandir humainement spirituellement être bien avec moi même être l'homme que j'ai envie de devenir comme me connecter à la version héroïque de moi même quand je quand j'agis me dire Est-ce que c'est ça l'homme que je veux être ? Est-ce que c'est ça l'homme héroïque, la version héroïque de moi-même ? Est-ce qu'elle ressemble à ça ? Ok, je vais méditer, je vais faire du sport, je vais beaucoup rigoler, je vais apprendre des choses, je vais avoir du temps pour moi, en fait. Parce que c'est la chose la plus précieuse qu'on bafoue. Ok, c'est ça en ce moment, me sentir bien. Mais si je comparais, encore une fois, si je me sens bien, si je me sens mieux que... Oh, il y a plein d'entrepreneurs. Putain, lui, il ne fait que travailler. Putain, lui, il a fait 2 millions ou il a fait 300 000 le mois dernier. Oh putain il fait trop bien du sport. Oh là là lui putain je suis à la salle de sport, il a plus de muscles, il a l'air d'être plus fit. Je suis malheureux, je rentre, laisse tomber c'est l'enfer. Alors que j'avais une vie chanmée. Donc en ce moment je suis en mode, wow, trop cool les muscles qu'il a. Putain ça me motive, peut-être que je me motive en plus à venir un peu plus à la salle. Wow. Les petits oiseaux, c'est trop cool. Ça me fait du bien de les regarder et de juste refaire. Il faudrait que je prenne plus le temps de m'asseoir et juste me reconnecter à la nature et marcher les pieds dans l'herbe, ce que je fais de plus en plus souvent. Ça fait un kiff de passer un moment avec des potes, de rigoler, de jouer au basket. Il faut que je le fasse plus. C'est tout. Et donc la question que je t'envoie, c'est en ce moment, est-ce que tu te sens bien ou est-ce que tu te sens bien parce que tu te sens mieux par rapport à ? Pose-toi la question. Maintenant, parlons un petit peu business. Comment créer une offre irrésistible ? Ça s'est tiré beaucoup aussi du livre de Lex Ormosi, The 100 Million Offer. L'offre à 100 millions de dollars. Une offre que, lorsqu'un client la verra, il dira qu'il serait bête de ne pas la saisir. C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible, c'est de se dire, pour toute la valeur qu'il y a dedans, je ferais vraiment... bête de ne pas la prendre, c'est débile de passer à côté d'une opportunité pareille. Hier, sur mon charge de productivité que j'ai lancé sur le cercle des solopreneurs, le premier jour c'était filmer tout le module de connaissances sur comment créer une offre irrésistible. J'ai fait les 20 vidéos, plus le support, et du coup je voulais quand même te donner, évidemment ce ne sera qu'un résumé, parce que je ne vais pas pouvoir te détailler les 20 vidéos, ça a pris un petit peu de temps, mais je voulais quand même te partager si en ce moment justement tu sens que... tu as du mal peut-être à vendre ton service, ton produit, ou que tu as peut-être envie de l'améliorer, de l'affiner, de le rendre encore plus irrésistible. Donc déjà, qu'est-ce qu'une offre ? Une offre, ce n'est pas un produit ou un service. C'est comme une expérience que tu vis. Et c'est quand tu es client, évidemment. Je vais te donner un exemple. Un bar, un cocktail, c'est que tu vends un produit. Par contre, une offre, ce serait, tu es un bar, tu vends un cocktail, une plus. Un cocktail acheté, un cocktail offert, plus des pop-corn salés à volonté, ça c'est quand même plus attrayant. Si t'es garagiste, ton produit et ton service c'est un changement de pare-brise. Ok, une offre ! Qu'est-ce que ça pourrait être ? C'est un changement de pare-brise, mais avec garantie que le changement se fait dans l'heure qui suit, et sans rendez-vous, avec un espace détente et avec un café gratuit. Waouh, ça c'est une offre. Ça c'est quelque chose qui va être plus attrayant, pour qu'on se dise, déjà, pourquoi j'en choisis ? Entre deux garagistes et deux bars, pourquoi je te choisis ? Parce qu'il y en a un qui a une offre, et pas juste une vente de produits ou services. Et comment on crée une bonne offre ? Déjà, une bonne offre, ça répond à un besoin existant et vérifié. Donc tu ne crées jamais une offre qui est, selon toi, ça peut être top. Tu demandes à tes prospects, tu demandes à tes anciens clients, tes futurs clients, tu leur demandes ce qu'ils veulent. Ensuite, il y a un autre truc, c'est qu'une offre est une transformation. C'est une solution à un problème. Quand tu vends quelque chose, un produit, un service, c'est une solution à un problème. Donc c'est une transformation. Donc demande-toi toujours, quand on vient chez toi, et c'est pareil pour le garagiste, la personne va aller du point A au point B. avec ton service. J'ai un pare-brise cassé et je repars avec un pare-brise qui est, et en plus je l'ai fait dans des conditions totalement agréables avec mon petit café, mon espace détente, et en moins d'une heure. Et c'est vraiment une transformation que tu vends. Donc quand tu crées une offre, demande-toi où est ton client et quel est son problème, sa situation initiale, et où tu l'emmènes grâce à ton offre. Ensuite, il faut que tu trouves quand tu veux créer une offre irrésistible une façon de te démarquer, un point différenciant. Souvent c'est une méthode. une approche un peu particulière, ça peut être aussi une ambiance, ça peut être des bonus en plus, ça peut être, tu vois, si tu vas dans un spa, tu sais que dans ce spa, il y a toujours le petit thé qui va bien, avec, je sais pas, une petite collation, fête maison, bio, etc. Des petites choses qui te démarquent, qui font que, ah, j'ai pas ça ailleurs, et que c'est très spécifique de là où tu vas. Donc c'est pour ça que quand tu crées, souvent dans les formations en ligne, dans les services en ligne, dans les services digitaux, chacun sa méthode la méthode de kraft webicraft la méthode digibus parce que en fait bon bah c'est ta méthode et c'est peut-être une méthode qui a 95% similaire à toutes les autres mais avec les 5% différenciants ça permet de différencier justement sur enfin qui a 95% similaire et que tu as 5% différenciants qui vont permettre de dire c'est toi c'est ton truc ta façon et c'est comme ça qu'on te on se rappelle de toi tu vois moi j'avais ma formation personnel branding s'appelait brandé au impact Il y a une vraie approche aussi pédagogique, tu vois. Pour ceux qui l'ont fait, ils sauront, c'était, il y avait des modules à savoir, des passages d'action, et chaque passage d'action, je m'y soumettais, et j'avais aussi, je montrais mon exemple. Et ça, ça les avait vraiment marqués les gens. Donc tu as vraiment une approche, tu vois, aussi pédagogique, ça peut être ça. À partir de ça, tu dois créer ton offre principale. Donc c'est ton service, donc concrètement, je ne sais pas, si tu es prof de fitness, ça va être perdre tes 10 kilos en 3 mois en étant musclé. etc. Donc c'est vraiment, ça peut être si t'es web designer ou copywriter, je sais pas, web designer ça va être ton site design clé en main en deux semaines, copywriter c'est ta séquence mail plus ta page de vente en trois semaines, etc. qui va générer, et qui aura 10% de taux de transfo, un truc comme ça. Et ensuite, le but c'est vraiment d'y mettre tout un cheptel aussi de petites offres qui vont faire, enfin de ... d'éléments qui vont faire que ce n'est pas juste un service ou un produit, mais bien une offre. Tous ces petits éléments, et je vais te le dire juste après. Une fois que tu as ton offre principale, s'il y a bien un truc, c'est que, par du principe que personne ne crée une offre parfaite du premier coup. Donc, dis-toi que ton offre, tu dois faire l'offre la plus simple, la plus rapide et la moins chère possible immédiatement. C'est obligatoire. Parce que si tu n'es pas foutu devant un truc simple, rapide et pas cher tout de suite à quelqu'un qui te connaît à peu près, Tu testes sur des amis, sur des anciens clients, etc. Comment tu veux faire ? Vendre un truc compliqué à des gens qui ne te connaissent pas et qui ne te font pas confiance. C'est impossible. Donc, une fois que tu as à peu près ta V1 de ton offre, teste-la. Teste-la, confronte-la, essaie-la, offre-la, prends des retours, optimise, teste, teste, teste, optimise, fais toujours ça. Donc, au début, tu l'offres gratuit. Au début, tu peux faire aussi des petits prix. Et après, tu essaies de le vendre en one-one et tu testes. Et une fois que tu commences à avoir un vrai truc, OK, là, c'est cool. Comment, une fois que tu as ta vraie offre, tu la rends justement, c'est cool. comment tu es pour une offre, et donc, pas un produit, un service, mais ton offre, tu la rends irrésistible. Plusieurs éléments. Un, il faut énoncer clairement les bénéfices. C'est tout con, mais genre, en fait, si je ne sais pas pourquoi je viens, et je peux essayer de donner quelques exemples que j'avais aussi notés sur les différentes choses, mais c'est énoncer clairement les bénéfices de ton offre, encore une fois, parce que toi, tu sais ton offre, tu sais ce qu'elle va apporter. Et en fait, tu es juste en train de dire, voilà, je vais te vendre un massage ayurvédique d'une heure. Ok, ce n'est pas une offre. En fait, les bénéfices, c'est en moins d'une heure. c'est réduction de 80% du stress, c'est plus de courbatures, c'est une mobilité retrouvée, c'est un moment de bien-être pour soi, c'est une petite musique qui va nous... Tu vois c'est tous ces avantages, tous ces bénéfices. Et quand tu énumères les bénéfices, pense toujours à deux choses. Les gens ils achètent pour deux grandes raisons majeures, c'est ils évitent la douleur. Donc en gros ils achètent pour résoudre un problème. Ben j'ai pas assez d'argent, j'achète une formation pour mieux vendre. pour avoir un copywriter parce que je ne vends pas assez ou gagner du plaisir ils achètent pour obtenir ce qu'ils désirent depuis longtemps j'achète je sais pas je prends un coach en prise de parole en public parce que en fait je désire mieux parler et être inspirant en public je prends un coach de séduction parce que ben en fait tous mes dates y foirent et que j'aimerais trouver quelqu'un donc j'ai ça et dis toi que ce qui est toujours plus puissant c'est quand les gens ils veulent éviter les bénéfices d'éviter une douleur qui devient insupportable c'est pour ça que dans le marketing on dit toujours Quel est le problème le plus brûlant qui empêche de dormir tes clients la nuit que tu peux résoudre ? Et c'est ça ton offre. Parce que c'est ça qui va faire que... En fait, c'est pareil. Si t'as des impôts et que t'es administratophobe et que t'as tout à remplir, si t'avais juste à appuyer sur un bouton pour qu'en un clin d'œil ce soit fait, tu serais prêt à payer combien ? Mais en fait, genre, vas-y, tu sais quoi ? Tu dis, vas-y, je mets 5000 balles alors que ça vaut 300. Mais t'es tellement en mode... Toi, en tant qu'administratophobe, c'est tellement un truc brûlant et horrible, t'es prêt à le faire. Donc c'est dans chaque... chaque profil client, il y a des points de douleur horribles qui les concernent eux, parce que c'est eux, et bien c'est ça que tu dois trouver. Et c'est dans ces bénéfices qu'il faut vraiment les énumérer. Ensuite, il y a vraiment pour rendre une offre irrésistible, c'est augmenter la valeur perçue. Augmenter la valeur perçue, c'est en fait, tu as une vieille paire de pompes qui traînent dans un placard, en fait elle n'a jamais été ouverte, ça vient d'un truc vintage, mais dans un vieux carton, bon bah ouais, tu en achètes 50 balles. En fait, la même paire, tu la mets sous cloche dans une vitrine après Trendy à Paris. elle vaut 600 balles, tu te dis « Oh, mais mon Dieu, mais elle est géniale, édition limitée, elle a les mêmes paires de pompes. » Tu vois, la valeur perçue. La plupart des gens, c'est jamais un problème de prix quand les gens ne veulent pas acheter, c'est que c'est souvent un problème de valeur. Ils disent que « Non, ça n'a pas la valeur que j'imagine. » Donc c'est à toi, si tu trouves que c'est trop cher, de montrer la vraie valeur et de te démerder pour qu'en fait, ils se disent « Waouh, mais ça a une valeur de ouf et ça ne vaut que 500 balles. » Et tu as l'impression que ça en vaut 5000. Autre chose, c'est prouve que ton offre, elle est honnête et bien intentionnée. Dans une offre irrésistible, c'est important de dire pourquoi tu le fais. Qu'est-ce qui fait que c'est quoi ta mission ? Typiquement, tu vends une formation en immobilier, toi tu te dis que tu veux que tout le monde puisse se créer des revenus complémentaires et avoir une vie décente que je n'ai pas pu avoir dans mon enfance. C'est pour ça que je fais ce produit. C'est la démarche, elle est honnête. D'autres, ça peut être le prof de cours de yoga qui est à 45 euros. Ils vont dire qu'on est convaincus que la pratique du yoga devrait être accessible à tous et on vous propose des tarifs adaptés. sur votre honnêteté de solidarité en fait c'est 45 euros mais ça peut être 40 30 ou 25 en fonction de ton niveau de revenus tu vois et est en fait tu tu tu ça permet vraiment de justifier te dire ok je comprends la démarche je comprends le prix parce qu'il encore une fois quelqu'un un des blocages des gens pour acheter c'est la confiance vis-à-vis de toi vis-à-vis de ton produit vis-à-vis de ta méthode tu vois donc c'est important de vraiment essayer de donner un maximum de confiance autre chose pour rendre une offre irrésistible faut que tu aies des témoignages tu montes sur scène tu dis que Je ne sais pas, moi je monte sur scène, je dis « Ouais, j'étais le premier influenceur voyageant en France, j'ai été récompensé, j'ai traversé voilà les pays et tout. » Waouh, le mec qui se la raconte. Tu as un mec qui dit la même chose avant que je monte sur scène, le même texte. Les gens vont dire « Waouh, trop cool, putain, trop bien le mec, il va être inspirant. » Tu vois, donc si tu as un argument, mieux vaut toujours que ce soit dit par quelqu'un qui sur le papier est désintéressé de le dire, et juste l'a vécu et est content de le partager. C'est beaucoup plus puissant. Autre, dans une offre irrésistible, on élimine les risques. Il faut toujours que ce soit toi qui prenne le risque. C'est-à-dire que moi en vrai, j'achète un produit. Je me dis, bah ouais, je vais mettre mon argent, mais est-ce que ça va vraiment répondre, encore une fois, à mes attentes ? Et est-ce que je ne vais pas perdre mon argent ? Est-ce que la méthode est bien ? Est-ce qu'en fait, le gars, il est pertinent, etc. ? Inverse le risque. Bah ouais, ok, garantie satisfaite ou remboursée, je ne sais pas, sous 14 jours. Ça peut être aussi de te dire que si, je ne sais pas, tu es copywriter, si par exemple, ton CA, il n'augmente pas avec ma séquence mail, je m'engage à refaire la séquence mail jusqu'à temps que tes taux d'ouverture et ton taux de C.I. l'augmentent. Prends le risque sur toi, et donc c'est bien parce que ça t'oblige à avoir une offre qui est carrée, qui est béton. Et du coup, si la personne en face se dit « De toute façon, j'achète, mais si ça ne me va pas, si je n'aime pas, ou si ça n'atteint pas les objectifs, je suis remboursé » , il n'y a pas de raison. Ça devient irrésistible. Il n'y a pas de raison que je ne le prenne pas. Et l'autre, c'est, un des deux derniers critères, c'est créer de l'urgence. C'est con mais on est des êtres humains et que ben si on peut le faire demain on le fera demain et demain ça veut dire jamais. Donc créer de l'urgence. Vraiment c'est ultra important de créer de l'urgence et de te dire bah quand tu crées de l'urgence ça peut être nombre de places limitées, ça peut être un compte à rebours, ça peut être des bonus que tu supprimes au fur et à mesure, ça peut être des coachings ou je sais pas des bonus en plus si tu prends tout de suite maintenant ou dans les dix premiers etc etc. Ultra important de créer de l'urgence, il y a plein de façons de créer de l'urgence. Ensuite, la dernière chose, c'est que ce soit facile à obtenir. Une offre irrésistible est facile à obtenir. Il n'y a pas de « oui, alors tu laisses ta carte bleue, ensuite on t'envoie un lien, il faut que tu télécharges l'appli, que tu crées un compte » . En fait, le master, ce ne sont pas forcément des gens que j'apprécie, mais là-dessus, de la livrabilité la plus facile du monde, c'est Amazon. Achat en un clic, livraison le lendemain. Terminé, bonsoir. Tu ne peux pas faire mieux. C'est tout, c'est chez toi, tu es en un clic. t'as même pas besoin de rentrer tes trucs, ils ont fait le truc en un clic. Donc demande-toi toujours comment tu peux en arriver là. C'est au moment où la personne veut acheter ton produit, tiens, si t'es en call, est-ce que tu peux leur envoyer un lien Stripe ? Et que quand le lien Stripe il est payé, est-ce qu'il y a un mail automatique qui envoie des accès à ta plateforme, à ton calendrier pour prendre le premier rendez-vous, pour le truc, le machin ? En fait, comment tout peut être tellement simple et fluide, on dit « Waouh, ça a l'air magique » . Et c'est vraiment ça que... Si tu veux un super bouche à oreille, un super onboarding, etc. et que ton offre aussi elle se propage, c'est « Ah non mais j'ai fait ça, c'est magique le truc, ça marche tout seul, c'est trop fluide, c'est trop agréable. » On en connaît des applis comme ça, des services où t'arrives, « Tout est fluide, tout est… » Et ça fait tellement du bien. Du coup, ça tu le recommandes. Donc voilà, j'essaie de te faire en extrêmement rapide, parce que j'ai des milliers d'exemples à te donner dans chacun des secteurs, de quelle formule aussi tu dois écrire, le bénéfice client, toutes ces choses-là. tous les exemples par secteur, mais voilà. Si tu as envie d'aller un petit peu plus loin et que tu sens que tu as besoin de bosser ton offre et de la rendre un peu plus irrésistible, je t'invite d'aller sur le cercle des solopreneurs. Le lien est en description du podcast et tu pourras aller bosser ce truc-là un peu plus en profondeur avec les 20 vidéos que j'ai. J'ai pris le temps de vraiment bien détailler pour vraiment t'aider à créer une offre qui se vende toute seule. Maintenant, se challenger et brûler ses bateaux, ne plus avoir le choix. se mettre frontale en défi par rapport à des gens qu'on estime, ça change tout, vraiment. J'en vois encore, je le fais régulièrement, moi, vis-à-vis des potes. Là, j'ai eu encore la situation sur un live, dans le coaching hebdo sur le cercle des solopreneurs. J'étais avec Vanessa, qui est sur Insta, bien dans ton... Hashtag bien dans ton... Enfin, pas hashtag, at bien dans ton corps. Elle, elle aide vraiment les femmes à se réconcilier avec... Et à aimer de nouveau leur corps. Et je trouve que c'est une mission fantastique avec malheureusement notre société qui pousse à tout l'inverse. Et on discute et elle me dit « moi là je vais lancer un défi de 7 jours pour encourager, pour aider les femmes à se réconcilier avec leur corps en 7 jours. Et j'aimerais avoir 200 inscrits, j'en suis à 70, 80, etc. » Donc on discute de différents leviers, de différentes stratégies. Et je lui dis « mais t'as créé quoi là du coup comme contenu sur les réseaux ? » « Bah j'ai fait un petit carousel, un truc, je suis pas dans... » J'ai été sérieuse là ? Je vais t'acquérir un carousel et pourquoi tu fais pas de facecam ? Oh les facecam je peux pas, c'est vraiment blocage, c'est ce que j'avais marqué dans mon poste de présentation quand j'étais arrivé dans le cercle, c'est vraiment le truc que je peux pas, ça me frie, je déteste ça, etc. Je fais déjà un, il y a un moment il faut que tu sois ton meilleur exemple, si tu dis à des femmes d'être bien dans leur corps, il faut au moins que tu sois bien toi, vis-à-vis de ta propre tête sur les réseaux en fait, tu vois ? Donc ça c'est un, c'est obligé, et deux... Est-ce que tu veux vraiment réussir à avoir tes deux ans inscrits, surtout que tu as une belle mission ? Tu vas faire un Reels par jour, tu mets juste là ta cam, et tu filmes avec ton téléphone, et tu joues sur une thématique que tu dirais en coaching, de personnes, de personnalités que tu as pu avoir, ou de problématiques que tu as eues en consultation, et de comment tu as réussi à résoudre, et boum, tu fais ça. Et si en plus, à la fin, tu fais un petit call to action sur... Et bah si tu sens que c'est aussi ta problématique, hésite pas à rejoindre le défi que je fais et que je commence dans une semaine. Le lien est à juste à taper défi et boum t'as un mini-chat qui est automatisé et ça envoie le lien d'inscription au défi. Paf ! Et là elle fait ouah ! Et donc on était dans des mini-rooms, elle me dit non mais... Elle dit je sais pas attends tu voulais que je te botte le cul parce qu'elle me dit ouais moi j'ai besoin d'un coup de cul là faut que j'y arrive. Je sais pas vas-y, est-ce que tu t'engages ? Elle me fait bah c'est chaud, c'est ton défi moi je m'en bats les couilles en fait. Tu veux y arriver ou pas ? Tu veux les aider ces femmes ? Tu veux réussir dans ton business ? Elle me fait ouais. Alors pourquoi tu le ferais pas en fait ? Explique moi même si tu le fais et que ça marche pas de toute façon en quoi ça serait négatif de le faire ? Elle dit ok je vais le faire et j'ai vu ses premières vidéos, elle le fait, elle doit être déjà à plus de je crois une centaine d'inscrits et elle se donne les moyens et en fait elle nous a remercié, elle nous a dit mais c'était mon blocage depuis des mois voire même des années en fait que je me dis qu'il faut que je le fasse, je n'y arrive pas et de me retrouver devant vous, d'avoir eu ce défi où tu n'as pas envie de décevoir les gens puis en fait ça fait du sens, il n'y a pas de raison de ne pas le faire ben je l'ai fait en fait et genre elle m'a dit, je crois que c'était le en plus maintenant j'ai le live, vu que je suis à Bali, je l'ai fait le matin elle m'a dit dans la journée même j'ai dû tourner une dizaine de vidéos, j'ai écrit plein de trucs parce que j'étais genre ok je peux pas en fait, j'ai pas le choix en fait j'ai dû en faire une par jour, en plus je lui ai dit si tu prends une journée, tu scriptes tout Tu prends une journée où tu filmes tout et après tu les montes et tu les diffuses au fur et à mesure et tu gères ça. Et bam ! Elle a tout arraché et je suis trop fier d'elle. Et ça, c'est un exemple. Ça me rappelle vraiment de se dire que c'est trop dur tout seul de se motiver. Et moi, je suis le premier. C'est genre Teddy Riner, il a trois coachs. Pourtant, c'est le champion multiple, je crois, le plus médaillé, titré du judo dans l'histoire du judo. Le gars, il a un coach technicité du judo. Il a un coach préparation physique et il a un coach de préparation mentale. Pourquoi ? Parce que tout seul, tu n'y arrives pas. Parce que, tu sais, te rendre accountable, c'est-à-dire prendre la pleine responsabilité, toujours ta réussite, mais en fait, c'est bien, mais c'est trop dur. Alors que quand ça repose aussi sur une énergie où tu es vis-à-vis des gens, que tu ne veux pas décevoir, parce que des fois, vis-à-vis de toi, tu dis « Ah, c'est pas grave, vas-y, je n'y arrive pas. » Et quand d'autres attendent après toi, quand d'autres te poussent, quand d'autres te motivent, Quand d'autres t'encouragent et te mettent la pression, mais laisse tomber. Ça te met quatre fusées dans l'arrière-train et mon gars, tu décolles. Et c'est ce que Vanessa, ça lui a fait en instant, en quelques minutes sur le live. Et je me dis, mais si toi, en ce moment, tu as un blocage, que tu as un blocage, peu importe sur ce que c'est d'ailleurs, appeler des clients, faire un projet qui te fait peur, partir, claquer ta DM, mettre en place une routine, mais prends des gens autour de toi qui ont les mêmes valeurs, qui sont dans la même vibe et... Crée-toi un challenge. Mets-toi un quintuple. Et le mieux, c'est d'avoir des gens qui en ont aussi. Parce qu'évidemment, ça motive et on se tire vers le haut. Si t'en as pas des potes comme ça, rejoins le cercle. Mais vraiment, mets-toi dans ces circonstances-là. Parce qu'il y a un truc magique qui s'opère dans notre putain de cerveau d'animaux sociaux qui font que quand tout n'est pas que sur nous, et qu'on veut pas décevoir, et qu'on se met dans un mouvement collectif, il y a une énergie qui se crée. Et boum, on enlève nos chaînes et on a des propulseurs. Donc vraiment je l'ai encore vu, donc demande-toi si en ce moment tu butes sur des choses que tu n'arrives pas à faire, et si c'est le cas, entoure-toi et ne te mets pas le choix, mets-toi un challenge avec d'autres personnes qui sont dans le même mood. Et maintenant dernier sujet avant d'attaquer le petit fun fact de la semaine, c'est la puissance des colocations. Les colocs. Maintenant on dit colliving, on vit together. Je me suis rendu compte de ça, on se fait une coloc mais en fait on se fait un colliving. Oh ouais, Coworking, Co-living, c'est vraiment plus stylé en fait, on est vraiment des nomades digitaux à travers le monde, on se réunit dans les mêmes... Mais en fait c'est ça en fait, c'est le même principe qu'une coloc, sauf qu'on l'a rendu un peu plus stylé en l'appelant Co-living. Mais wow, je suis venu ici à Bali justement pour passer du temps avec mon pote Sam. Si t'as écouté les journaux de bord précédents, c'était pour me mettre un peu en résonance avec lui parce qu'en ce moment... Lui, des potes niveau business, niveau santé, hygiène de vie mentale et physique. Et j'avais envie de rentrer en résonance. Et ce n'est pas comme si à Lisbonne ou même à Paris, où je n'avais pas de potes, qui étaient forts dans ce qu'ils font et qui raisonnaient. Oh, mais le truc, c'est que quand tu es dans une vie, je me suis aperçu, quand tu habites dans ta ville avec ton chez-toi, tu vas juste voir tes potes le temps d'un repas, d'un petit moment. Et t'as pas le temps de rentrer du tout en résonance, de te tirer vers le haut, de te challenger parce que tu passes pas assez de temps en fait. Et en fait je me suis dit, ça m'a rappelé là les moments que je passe avec Sam, mon pote Sam à Bali, ceux que je passais en coloc avec mes potes Jérémy Peuille et Jérémia Zilliox à Medellin où c'était un de nos best life, un de nos best moments de notre life parce que en fait on était toujours ensemble et que on t'a fait Mais en fait les autres étaient pas loin et que du coup on était toujours en mode la bonne intention, la rigolade, se motiver à faire du sport, se motiver à aller faire des choses, des découvertes, se motiver à faire des choses qui vont... On était toujours dans une vibration ultra positive, du coup on taclait le taf, on rigolait derrière et du coup ça nous enlevait le stress, la charge mentale, on faisait du sport, après on allait faire des petites vadrouilles le week-end, ça nous a érez l'esprit. Et là c'est pareil, avec mon pote Sam on est dans une guest house, on a notre chambre à côté donc c'est... C'est encore mieux, on a vraiment chacun notre espace, on bouffe tout le temps ensemble, on discute, on va faire du sport ensemble, on va se faire des sunsets, mais en fait à côté de ça, moi je taffe la journée, je vais méditer, je laisse du temps aussi pour moi, lui il a son boulot de trading, lui en plus il trade genre de 22h à 1h du mat. Et moi, du coup, c'est moi qui vais le réveiller le matin, on se prend le petit-déj. Et en fait, ça nous met dans une dynamique. Mais ça faisait longtemps, en fait, que j'avais pas le meilleur des deux mondes. C'est-à-dire mon espace à moi, mes moments à moi, pouvoir être tranquille, pouvoir bosser. Et en plus, dans une guest house, t'as pas tes autres potes qui viennent faire le con, je suis pas dans le salon, etc. Surtout quand t'as besoin de, comme là, enregistrer un podcast, être au calme. Mais à côté de ça, tu toques et boum ! Boum ! Tu vas avoir la conversation qui va te faire rire, mais qui va partir dans la conversation profonde, qui va faire sauter... la cervelle avec des réflexions qu'elle ne t'avait pas pensé ou tu vas parler d'un sujet de l'actualité qui va t'emmener sur une idée qui va t'emmener sur on a notre prochain voyage on a notre prochain projet, on a une prochaine opportunité et en fait je me dis et quand, là je parlais avec Camille donc la cofondatrice Camille Imbert la cofondatrice du cercle des solopreneurs avec moi elle disait mais t'as vu il y en a ils se sont motivés dans le cercle, ils sont partis faire une colloque en Espagne à 3-4 pour bosser pendant 30 jours et se rassembler et j'ai dit putain Déjà, je suis trop content. C'est exactement pour ça que j'ai créé ce cercle. Ils ont trop raison. Ils ont trop raison parce que franchement, ça change tout d'être en permanence avec des gens qui vibrent la même envie, le même but que toi. Et que t'es tout seul comme ça, comme un connard, ça revient au même que la procrastination et quand t'arrives pas à avancer. En fait, quand t'as les gens qui vont autour de toi « Allez, qu'il y a la petite blague, ça se décompresse, il y a un petit coup de mou, on y va, on va faire la petite activité. » qui va te remplir d'énergie, qui va te mettre de bonne humeur, mais après tu rentres, t'as envie de tout arracher sur ton taf, parce que tu sais que t'as que deux heures, et qu'après ces deux heures, vas-y on va au sunset, donc ça t'oblige à aller vite, et ça fait un bien fou, ça fait un bien fou, donc vraiment encore une fois, pareil, c'est si t'as jamais testé des co-living, on va appeler ça comme ça, des collocs entre potes, fais-le, pars à l'autre bout du monde, ou pars en pleine campagne en France, pas besoin, tu peux rester en Europe, et allez kiffer, et déterminez un peu vos objectifs, Et allez-y, et chacun peut l'avoir, encore une fois, c'est chacun son business, mais le fait qu'on soit ensemble, ça crée une espèce d'énergie de cerveau collectif qui motive tout le monde. C'est pour ça que les immersions aussi et les masterminds, ça apporte autant. Moi j'en ai fait l'année dernière pas mal, et là j'en ai organisé cette année. Je suis toujours étonné de te dire, qu'est-ce qui va se passer, est-ce qu'il y aura des résultats ? Mais en fait, il y a de la magie qui se passe quand on est tous ensemble, avec les mêmes valeurs, les mêmes envies. Il y a un truc qui ne s'explique pas. Et donc... Soit tu vas à un mastermind pour rencontrer des nouvelles personnes et aller bosser des choses que tu connais pas pour les apprendre, pour les développer. Soit tu passes un bon moment avec des gens que tu aimes bien ou que potentiellement tu peux bien aimer parce que les co-living, tu peux aller aussi vivre dans des co-living. Pour en avoir fait des co-living, quand tu vas dans ce qu'on appelle vraiment tu loues ta chambre et qu'il y a d'autres personnes comme toi qui sont là, chacun est dans son délire. Il n'y a pas cet effet cerveau collectif. Je trouve que chacun est un peu dans son tunnel de taf et en vrai ils veulent il veut juste être en mode digital et c'est pour ça que je t'encourage vraiment va, je sais pas si t'as des potes autour de toi, motive-les faites-vous un co-living quelque part parce que ça change tout et quand j'ai vu sur le cercle qu'ils se sont chauffés ils ont fait ça, je me suis dit mais ils ont tout compris vraiment, ils ont retiré le meilleur de ce projet je trouvais de ce cercle parce que c'est exactement pour ça et que c'est bien les échanges en ligne c'est très pratique, c'est très puissant la preuve pour Vanessa, bien dans ton corps, pour son défi ... d'essayer de briser son blocage sur le facecam, mais quand t'es en vrai, ça va au-delà en fait. Et moi je le vois en ce moment, le bien, les bienfaits que ça a sur mon état d'esprit, sur mon physique, je ferais beaucoup plus de sport, sur mon mental parce que je rigole, ça me nourrit, sur les idées, sur le fait... Wouaf, laisse tomber en fait, ça change tout. Donc si t'as jamais testé, fais-toi une petite coloc entre adultes, tu vas voir. On rigole bien et en vrai, tu level-ups en même temps en compte. Et dans le... la bonne humeur et le plaisir et ça ça change tout. Bon ! Petit fun fact, ok c'est le moment. Alors qu'est ce qui se passe ? Moi je suis là à Bali, évidemment on est à un repas avec mon pote Sam, on joue au dé, on joue aux dix milles et vu que mon pote Sam il en avait marre de se faire un peu racketter, pas racketter parce que je gagnais les parties du coup c'était celui qui gagnait qui se faisait inviter, je pense qu'il en avait marre de m'inviter, il me dit il me sort l'excuse mais pété genre ouais alors moi franchement... invité, je sais pas, ça me motive pas donc je vois j'arrive pas, enfin je gagne pas parce qu'en fait ouais si c'est que l'argent là je m'en fous ça me... Je le regarde, je lui dis casse toi, t'es juste vénère parce que tu m'invites tout le temps avec moi, ça me fait bien kiffer et ça économise mon budget, putain, mais j'ai dit ok, t'es une petite baltringue donc pas de problème, tu cherches des excuses, on... qu'est ce que tu veux comme gage ? J'espère qu'il écoutera ce podcast, je sais que c'est pas le cas, pour ça je le charge un peu mais si c'est le cas, bisous Sam, petite baltringue. Et il me dit vas-y on fait autre chose. On cherche des gages et on trouve les gages conciergerie. Tu as le droit à un service de conciergerie de la part de l'autre au moment où tu en as besoin. J'ai dit, c'est quoi ? OK. Sauf que... Au moment où, je sais pas, ce jour-là et le jour d'avant, j'avais une petite baisse de régime. Tu vois, dans ma manifestation, dans mon énergie, dans mon incarnation de ce que je voulais, dans le truc de faire un petit coup de mou. Et lui, je le sentais, vu que j'avais expliqué le principe de l'énergie, le gars, il commençait à envoyer des mains de ouf, et je le sentais qu'il n'y avait plus de doute, il était là. Et je commence à perdre. Et j'ai perdu pas mal de parties. Donc j'ai pris à un moment donné, il y avait plusieurs trucs, mais j'ai pris deux gages de conciergerie. Deux gages. J'ai dû perdre. Normalement, moi j'avais 5-6 parties d'affilée de gagnés. Je les ai repris dans la gueule. Et du coup, dedans, il y avait pas que ça, mais il y avait deux conciergeries. Donc j'étais un petit peu vénère. Tu te sens un peu comme un concierge, un esclave directement, qui peut, à tout moment, on te demande de... Tu sais, allez ! J'en ai déjà perdu un d'ailleurs. J'en ai un où c'était le matin, il fallait que j'aille lui chercher un expresso. On the rocks, un ice expresso. livré avant le petit paddle avant qu'on y aille donc moi je devais me lever plus tôt etc bref déjà je n'étais pas y'en mais j'en avais encore deux autres et à un moment je le vois on est sur son scoot parce que des fois on prend un seul scoot pour des raisons écologiques pour aller au même endroit et il me dit ça clignote il s'arrête il me fait man va me faire le plein et je dis oh le bâtard tu sais c'est vraiment le truc chiant tu dois aller faire le plein tu dois aller un peu plus loin pour aller choper la station service, t'as un peu plus de bornes, tu tapes le trafic, etc. Donc je prends les clés, je dis, vas-y, t'sais, t'sais, je dis, t'sais, son gage, faut toujours l'assumer avec honneur, je trouve. C'est aussi là où tu prouves ta valeur, tu vois. Et je dis, ok. Je dis, par contre, mec, je suis peut-être ton concierge, je suis pas ton sugar daddy, donc envoie le cash. Et je fais, je parie que t'as pas de cash sur toi, donc je peux pas faire le plein. Et il me regarde, il me fait, non, mais j'ai un deuxième gage, conciergerie. Voilà ma carte, tu vas me retirer du cash. Tu vas me faire le plein, tu me ramènes mon scoot, à tout à l'heure. J'ai fait, oh le bâtard ! Oh le bâtard ! Et c'était pas le pire dans tout ça. Parce que j'y vais avec le sum. J'y vais avec le méga sum, en vrai. J'y vais, mais tu sais, j'y vais, je le monte pas trop. Mais bon, ça se voit sur ma gueule, tu sais, comme quand tu parles comme ça, là, que t'es un peu vénère, mais que t'es fait genre que ça t'énerve pas. J'y vais. Je vais y retirer de l'argent, je galère, truc, machin, parce que c'était pas... Enfin bref, il voulait que je retire une somme, ça marchait pas, je retire plus, du coup. Je lui envoie un texto pour lui faire comprendre que si je retire plus, c'était le distributeur. Je vais mettre le plein. Il y avait une queue de bâtard. Une queue de bâtard. Donc j'attends, j'attends. Et je pars. Et là, une tempête. Une tempête mais monumentale. Je me suis fait rincer, tremper. Mais tu sais, quand t'es en scoot, les gouttes, ça pleut tellement fort, plus la vitesse, que ça te fait mal. T'as l'impression que tu prends des cailloux dans la tête. Avec Yoti dans le corps, tatata partout, j'étais là, j'ai fait putain mais pendant dix minutes comme ça, t'es là, attends. J'ai dit putain, et là tu rages, là tu rages, tu vois déjà que t'en avais marre, tu voulais pas faire ton gage. Là t'es là, putain merde, gage de merde, la prochaine fois je gagne au dé. Donc là t'es plus du tout aligné avec la belle manifestation, je crois moi, t'es en mode, t'es rageux. Et là c'est marrant, j'arrive dans sa porte, je toque, j'huit ans, les clés de son scoot, son cash, et lui il voit un mec mais trempé, il rigole. Je le check ce bâtard et je me casse. C'est ça de vouloir JOD. Et comme il disait, la route tourne-tourne. C'est parfois tu gagnes, parfois tu perds. Et c'est partout dans la vie, dans n'importe quel secteur. Et c'est ok. Et c'est pas parce que tu perds et que tu rages qu'il faut s'arrêter de vouloir gagner. A la semaine prochaine.

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SUJETS ABORDÉS :

• Ma vision de la prise de risque entrepreneuriale

• Le piège de garder des portes ouvertes vers des chemins que l'on sait ne vouloir jamais prendre

• Se sentir bien vs Se sentir mieux que les autres : La différence qui change tout

• Créer une offre irrésistible - Les 7 critères pour développer une offre que mes clients ne peuvent pas refuser

• L'importance de m'engager totalement sans porte de sortie

• La puissance des "cerveaux collectifs" crée en colocations entre adultes partageant les mêmes ambitions

• Fun Fact : gage de conciergerie qui tourne mal


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ah, ce séjour à Bali me fait le plus grand bien. Je commence à avoir les batteries qui commencent à être bien rechargées. Bien rechargées. Je me suis bien remis au sport. Jiu-Jitsu, Muay Thai, basket, des fois muscu. Je fais du spa tous les jours. Quand même, Bali, c'est bon. Tu peux plus te perdre que t'es déjà perdu quand tu viens si tu sais pas ce que tu veux. Mais j'avoue, quand tu veux et que tu viens dans le menu à la carte, choisir tous les petits trucs sympas et que tu dis non à tout le reste, Oh qu'est-ce que c'est fantastique C'est fantastique D'ailleurs la petite aparté Ça m'a fait du bien, j'ai conjuré le sort De mes ligaments croisés Que je m'étais fait il y a deux ans à Bali Bizarrement quand je n'arrivais plus à tenir Tout le poids de la vie sur mes épaules Et que mon genou a lâché au basket Et j'ai conjuré le sort avec le même pote Que j'avais en face au basket Qui défendait sur moi au moment où je me suis fait les ligaments croisés Avec les mêmes baskets, c'était pas le même terrain Mais bref, plein de choses qui font que Je me sens en forme, je récupère du cardio, je fais du sport, je me sens bien. Et du coup j'ai plein de choses à te raconter dans ce nouveau journal de bord. Première chose, l'alcool. Je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Blum, ça faisait 6 mois que je n'avais pas bu d'alcool. Je vais t'expliquer, parce que spoiler alert, j'ai picolé. Et je vais t'expliquer ce que j'en ai retiré de ce moment-là, de reconsommer de l'alcool. Ensuite, je voudrais te parler de ma discussion que j'ai avec mon pote Dany sur est-ce qu'on est un bon entrepreneur et est-ce qu'on est fait pour être entrepreneur si on a une aversion au risque, c'est-à-dire qu'on n'aime pas prendre de risques. Mon pote Dany, c'est vraiment un mec brillant et un bon entrepreneur, mais est-ce qu'il l'est vraiment parce que lui a peur de prendre des risques ? Et bref, je te donnerai un petit peu le fil. de notre conversation et les leçons qu'on a tirées, la comparaison avec un autre pote qu'on connaît bien, qui lui prend beaucoup de risques, et voir comment tu te situes par rapport à eux, et surtout comment tu te situes par rapport à la prise de risque. Autre sujet, c'est pourquoi garder les portes ouvertes de choses que tu n'as pas envie de faire ? Ça va être vraiment un sujet pour moi qui... C'était vraiment ce que mon pote Sam m'avait dit, je me suis dit, c'est vrai, pourquoi on garde les portes ouvertes ? d'une thématique ou d'un chemin qu'on ne veut surtout pas prendre. C'est fou, par exemple, on va au bout de certaines études pour se dire « Oui, au cas où, j'aurai ce truc-là. » On garde la porte ouverte, c'est possible, alors qu'on sait très bien qu'on ne veut pas le prendre. Je creuserai ce sujet parce que c'est assez fou à quel point on perd du temps, de l'énergie et des années à garder vraiment de la charge mentale qu'on se met en plus à garder des portes ouvertes sur des chemins qu'on n'a pas envie de prendre. Je voudrais aussi parler du sujet de ce qui est fou dans la vie, c'est qu'on se sent bien souvent quand on se sent mieux par rapport à. Et ça pour moi, c'est une autre discussion que j'ai avec mon pote Sam, je trouve que c'est le cancer du cerveau, c'est le cancer de notre vie, c'est tout ce qu'on nous pousse à faire, c'est se sentir bien si on se sent mieux, si on est mieux que, donc par rapport à. Et du coup, ce n'est plus le sujet de avec nous-mêmes. et c'est vraiment un sujet que j'ai envie de creuser. Je voudrais aussi te partager, si en ce moment tu es en train d'avoir une offre avec des clients, comment créer une offre irrésistible, parce que là sur le cercle des solopreneurs, j'ai créé hier, grâce à mon super challenge de productivité que j'ai mis en place, qui m'a servi en premier à moi, qu'on a mis en place sur le cercle, en une journée j'ai fait 20 vidéos qui expliquent comment créer une offre irrésistible et je voudrais au moins te donner les grandes lignes et tout. tous les critères. Après, je ne pourrai pas te donner tous les exemples, mais en tout cas, te donner vraiment tous les critères qui font d'une offre qui devient irrésistible et que tes clients sont en train de se dire « mais je serais bête de ne pas l'acheter » . C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible. Ensuite, je voudrais te parler d'un thème qu'on ne parle pas beaucoup quand on a dépassé la vingtaine, mais c'est faire des colocs. En ce moment, maintenant, on dit « co-living » . C'est plus cool quand on est adulte. à Bali, je fais des co-living à Medellin. C'est-à-dire que je vis avec d'autres adultes qui ont une vie normale et qui ne font plus d'études. La puissance des colocs, je suis en train de le voir là avec mon pote Sam. Et surtout, ça m'a rappelé la puissance des colocs quand j'en avais fait aussi à Medellin avec mes potes Jerem et Germain, qui sont des gens incroyables et qui m'avaient reboosté. Et que surtout, il y a aussi, j'ai été choqué, des gens du Cercle, ça ne fait même pas un mois qu'ils se connaissent, ils se sont chauffés, ils ont fait une coloc en Espagne. Donc je voudrais te donner mon point de vue et mon retour d'expérience sur comment faire une bonne coloc et surtout quand tu es adulte et que tu as une vie et potentiellement que tu es aussi en couple et qu'est-ce que ça peut t'apporter. Et ensuite je voudrais terminer sur un sujet qui pour moi est essentiel avant de te parler du fun fact c'est... challenge-toi auprès de gens que tu estimes et brûle tes bateaux, c'est-à-dire enlève-toi la possibilité de t'échapper. Mets-toi dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que je vois la puissance d'une personne dans le cercle qui s'appelle Vanessa qui avait l'impossibilité physique de faire des face cam. Je l'ai challengée et il s'est passé des choses assez incroyables que je voudrais te parler. Et c'est vraiment par le fait qu'elle se retrouvait challengée dans un moment où je ne veux pas perdre mon honneur, etc. Bref. Je t'en parlerai dans ce sujet, c'est mets-toi dans des situations où tu n'as pas le choix, quand vraiment tu as besoin, quand tu bloques sur des sujets et que tu n'arrives pas à avancer. Évidemment, je terminerai par un petit fun fact, très drôle, qui est lié au dé, qui est lié au gage. J'en ai pris un assez drôle et je voudrais t'en parler. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. L'alcool, ah l'alcool ! On connaît bien le sujet, surtout si on est français à peu près, depuis qu'on est gamin. C'est le patrimoine ! Attention, petit verre de vin ! Du coup on connaît bien. Sauf que moi j'ai arrêté à peu près de boire depuis à peu près six mois, vraiment de façon anecdotique. Et là, moi samedi dernier, je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Bloom. Et alors c'est pas celle qui va picoler le plus, je pense qu'elle a pris un ou deux cocktails, sauf que son mec Chris Aude, mon pote Chris Lacchiesa, mon pote Sam... Alors mon pote Loris Monteux, non restez sages. Mais tu vois... Allez, une petite margarita, un petit truc. Et d'habitude, ces derniers mois, j'étais en mode, non, pas envie. Je suis content, j'ai vraiment atteint un niveau où c'est pas genre je me l'interdis. J'ai jamais dit j'arrête l'alcool, c'est juste, j'ai plus envie en fait. Un peu comme, tu vois, ce côté où c'est quand tu arrêtes, je sais pas, la viande pour raison écologique ou de santé. Au début, tu te dis, ah, non, j'arrête, mais j'en ai envie. Et à un moment, tu te dis, non, ça me tente plus. Ben, ça me tentait plus. Mais, en fait, moi, à la base, j'adore être bourré quand même. Je trouve ça génial. Euh, t'sais, l'ivresse, tout ça, je trouve ça génial d'être bourré. Mais, ben, pourquoi j'avais arrêté ? Ben, j'avais arrêté parce qu'en fait, c'était pas tant la gueule de bois du lendemain, c'était « arrêtez-moi la tête ! » « Non, à l'esco... » Non, c'est pas... Ça, à la rigueur, ça dure 24-48 heures. C'est un petit peu comme... En vrai, comme si tu fais une grosse séance de sport, t'as mal derrière 24-48 heures, pourtant tu refais du sport, parce que c'était cool. Bon, là, l'alcool, c'est cool d'une autre façon, mais... Justement... Pour moi, l'alcool, ça ne durait pas que 48 heures, la gueule de bois. C'était vraiment subtil et insidieux, l'impact que ça avait sur moi et surtout sur mon mental, sur mon cerveau. Je m'étais aperçu que... Je ne suis jamais quelqu'un qui est trop sorti dans ma vie, mais je n'ai jamais aimé trop l'ambiance de sortir, les trucs à Paris, dans la région parisienne ou en France. Sauf qu'en étant à Bali, il y a deux ans, et à Medellín, j'ai un petit peu rattrapé le retard. Je me suis aperçu que l'alcool me créait du doute. Tu sais ? J'étais plus aussi déterminé. Genre j'avais des appréhensions, j'étais plus aussi motivé, genre j'étais plus aussi déter, tu vois. Vraiment, t'étais déter, d'habitude avant j'étais déter. Et l'alcool, je cherchais, attends, est-ce que j'ai le jus là ? Est-ce que c'est la bonne stratégie ? Est-ce que c'est la bonne décision ? Tu sais, ça me mettait un voile de, waouh, je réfléchis, c'est nouveau, mais je réfléchis en fait en me questionnant, en doutant en fait, et non pas en me demandant quelle est la bonne solution pour avancer plus vite, mais juste je me dis, est-ce que je vais pouvoir le faire ? Et ça, je me suis dit, waouh, c'est un prix beaucoup plus cher que l'ivresse, qui est absolument génial pour moi. Je ne veux pas, en fait, douter. Je ne veux pas ce truc d'espèce de voile constant, qui est insidieux, qui est latent, que tu n'arrives pas au début à relier à l'alcool. Parce que, oh, c'est un petit verre. Oh, ce n'est pas grave. Ça détend, en vrai. Quand j'ai une journée un peu compliquée, j'ai une semaine chargée. Ouh, on a bien rigolé. Et en fait, on a bien rigolé. Ouais, j'avoue. Rangement, j'avoue. Et j'ai enlevé ça, en fait. J'en avais plus envie. Sauf que samedi soir, je suis avec les compères. Ah vas-y une margarita. Non pas envie. Allez. Et en fait moi, à la base si je bois de l'alcool c'est pour une énergie. J'ai jamais bu de l'alcool tu vois. Chez moi je m'ouvre une petite bière, un petit verre de vin. Je sais pas, c'est une énergie qui correspond à un moment de fête et que du coup l'alcool va amplifier ce moment. Et je trouve très cool. Et là le moment était très palpablement génial. Donc j'ai dit vas-y envoie une petite margarita, ça fait longtemps, j'aime bien les margaritas. Envoie la margarita. Voilà la margarita elle est arrivée. Et elle m'a envoyé direct sur Namek. J'étais là, j'étais bien, tu sais, alors si t'as déjà passé le soir avec moi, tu sais que je suis un peu chiant, parce que je suis super content quand je suis bourré. Et waouh, j'en ai pris une deuxième, parce que vu comment on était cinq, il y en a un qui a fait sa tournée, tu connais le problème. Une, deux, trois, alors là les deux premières elles m'ont envoyé, j'avais les genoux, comme s'il n'y avait plus de genoux, j'étais sur des ressorts moelleux. C'est coucou, tu rebondis un peu, tu es là, tu fais des conneries. C'était génial. J'ai passé une excellente soirée. J'avais juste oublié que le lendemain, à 10h, J'avais un paddle. Donc je me suis levé, je me réveille à 9h avec la gueule, avec un sable, arraché par la tête. Je me suis habillé, j'ai foncé au spa, à la gym où j'ai un abonnement. Bain froid, bain chaud, bain froid, bain chaud, 3 énergie balls et on est parti. Ok, ça a été. J'ai gagné le paddle en plus. Bon, pas trop grâce à moi, mais j'ai gagné le paddle. Ce que je veux dire, c'est que j'ai ressenti de nouveau cette sensation de... Est-ce que je vais pas me blesser au pas d'aile ? Est-ce que je vais gagner ? Putain, le reste de la journée, qu'est-ce que j'ai à faire ? Et tu sais, comme si ça, j'avais de nouveau, et surtout, je l'ai vraiment expérimenté et ressenti en étant à Bali, là, en étant super healthy, faire de la méditation, faire du yoga, faire du sport, bien manger, etc., avec des bonnes vibes, rigoler. Donc vraiment mental d'acier qui fait du bien. Et de nouveau me dire, oh, je me questionne. ou je doute ou je vois le j'envisage beaucoup les scénarios négatifs de chaque situation et quand je m'imagine dans le futur c'est pas genre est ce que d'un temps j'ai ça à faire après faut pas que j'oublie demain demain je trouve la motif de ou j'avais pu ça ou c'est l'alcool et ben ça m'a rappelé pourquoi je buvais plus je suis très content d'avoir picolé avec mes potes je suis très content aussi de me dire que je vais pas picolé avant un bout de temps À moins qu'il y ait une vraie sacrée ambiance de malade mental, mais ça arrive franchement rarement en vrai. Et que de toute façon, j'ai en vrai pas besoin de ça pour m'amuser du tout. C'est juste de temps en temps un truc différent. Et je te pose la question vraiment, c'est quoi ta consommation d'alcool en ce moment ? Et c'est quoi ta mentalité en ce moment ? Comment tu te sens dans ta tête ? Est-ce que tu as des voiles justement de doute, de questionnement ? Pas des questionnements qui vont dire, ok, ça c'est ça, mais ça, ça peut être mieux. Ou attends, je peux peut-être aussi faire ça, ça sera encore... plus rapide, mais que tu te dis, attends, est-ce que c'est pas du doute ? Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis capable ? Tu sais, tous ces questionnements négatifs qui te tirent vers le bas. Est-ce que t'en as en ce moment ? Et si t'en as en ce moment ? Est-ce que tu bois beaucoup d'alcool ? Et quand je dis beaucoup d'alcool, c'est au moins une fois par jour, régulièrement. Est-ce que t'ingères, est-ce que t'alimentes ton cerveau de finalement cette substance qui le rend faible, fragile, douteux et en questionnement ? Je trouve que c'était un bon rappel de me dire pourquoi j'avais arrêté. Et peut-être que toi, si encore une fois, tu as envie de te débarrasser d'un peu plus de doutes et de pensées négatives, ça peut être pas mal de commencer par là. Autre sujet maintenant, la prise de risque. Est-ce que tu aimes prendre des risques ? Parce que si ce n'est pas le cas, est-ce que tu peux être un bon freelance, un bon solopreneur, un bon entrepreneur, avoir ton activité ? C'est la question que je me suis posée quand je discutais avec mon... mon pote Dany, qui est un mec brillant qui habite à Bali, qui est dans le fitness, que j'adore, très smart, très bosseur, très technicien, mais il a peur du risque. Il a peur, tu sais, de « Ah, et si je perds tout ? Ah, et si je prends une mauvaise décision ? Ça me met dans la merde, etc. » Sauf que ça, c'est plus, en fait, une mentalité de personnes qui gardent leur argent et leur fortune plutôt qu'ils n'en font. D'ailleurs, c'est vraiment le concept que qui explique le livre « Psychology of Money » , la psychologie des entrepreneurs qui réussissent fort et qui font beaucoup d'argent, et l'opposé de celles qui savent conserver et fructifier l'argent. Parce que quand tu es entrepreneur, il faut prendre beaucoup de risques, et pour accélérer vite, et faire des paris que tu ne sais pas si ça va réussir, parce que la preuve, si tout le monde savait et que c'était sûr, tout le monde serait riche et tout le monde y arriverait. Et par contre, si tu continues d'avoir cette mentalité-là de toujours prise de risque, il y a un moment aussi... tu te plantes, c'est sûr. Et donc, tu perds tout. Et souvent, les mecs qui font beaucoup d'argent, ils ont tendance à tout perdre et tout refaire. Alors que quand tu es quelqu'un qui est plutôt quelqu'un qui gère du patrimoine, qui verrouille, là, c'est un très bon skill d'avoir peur du risque et même de les envisager tous. Si tu es un gestionnaire patrimoine et de fortune et que tu avais anticipé une pandémie mondiale à un moment donné, il te dit qu'est-ce qui se passe en cas où, tu es plutôt bon. Et c'est un peu ton taf. Et la preuve, c'est arrivé, on ne sait jamais. Et j'en parlais avec mon pote Dany, parce que justement, il est en train de se questionner dans son business. Je pense qu'il y a un moment aussi où il stagne, où il est très bon, mais où il stagne. Et en fait, je lui disais, mais je pense que ton problème, c'est que tu es dix fois meilleur que moi, tu vois, en entrepreneuriat, et en plus, tu es un peu guité de technicien. Donc avec l'IA, il y a moins que tu puisses vraiment t'amuser en ce moment. Mais le problème, c'est que tu as peur du risque. Donc en fait, les choses que tu sais devoir faire, tu ne vas pas les faire. C'est-à-dire, ou tu les fais à moitié, ou tu les fais sans prendre de risque. Ce qui fait que ce ne sont pas les bons moves. Parce que, regarde, là, en vrai, j'étais à Lisbonne avec... Un appart, j'avais des business, etc. J'ai rendu mon appart, j'ai vendu tout mes meubles en 48 heures, je suis parti à Bali. Et les 3-4 mois d'avant, j'ai shut down tous mes business et toutes mes funnels de vente pour juste créer le cercle de solopreneur. Parce que c'était un risque, parce que j'avais besoin de prendre du temps pour moi, pour comprendre la suite, pour me nourrir aussi d'un autre type de business qui m'amuse beaucoup plus, que je trouve plus humain. C'est une prise de risque. Parce que là, à l'instant T, je gagne beaucoup moins d'argent. Parce que c'est un truc que je mets en place, parce que je mise sur le calme, le silence, l'espace mental, et d'ailleurs je t'en reparlerai dans un autre journal de bord, mais que j'essaie de créer dans mon esprit pour... Je prends un risque pour me dire peut-être que je vais trouver une meilleure idée. Quand je dis meilleure, c'est pour moi, qui m'épanouit plus, qui me permet d'avancer plus vite, plus fort, et surtout, level up, tu vois ? Et pour ça, si je me raccroche toujours à tous les boulets que je traîne et que j'ai peur d'en lâcher un parce que je me dis... Ouais mais celui-là il me rapporte, je sais pas, il me rapporte 10, je peux pas lâcher parce qu'imagine je lâche 10, je sais pas si je vais pouvoir récupérer 10 derrière, ou même 20, tu vois, genre, ouais mais en fait tu sais pas, parce que si tu lâches 10, t'as plus rien dans les mains, ok, mais ça te permet de récupérer un truc dans ta main qui vaudra peut-être 100, 1000, 10 000, et c'est vraiment ça en fait, moi j'ai souvent pris des risques, j'ai souvent tout lâché, et à chaque fois ça m'a permis de level up, soit humainement, soit en termes business. J'étais directeur de clientèle en régie pub, je claque madame pour réaliser mon rêve, faire le tour du monde. Je lâche tout, je lâche un job très bien payé alors que je n'ai pas fait d'études. J'ai un statut, je suis propre, je suis bien installé dans le truc parisien, la pub, les régies pub, etc. Je claque madame. Et en fait, qu'est-ce qui s'est passé ? Il s'est passé un des trucs les plus beaux de ma vie, si ce n'est le plus beau. C'est-à-dire que j'ai réussi à avoir un job qui n'existait pas et dont je rêvais. C'est-à-dire... T'es payé pour voyager, tu donnes aux gens envie de voyager, t'es payé pour ça, t'es influenceur voyage. Et puis au moment où je suis encore au top, dans le top 2, 3, 4, 5, j'en sais rien, et que j'ai toujours des missions, que je fais toujours des trucs de ouf, j'arrête tout. J'arrête tout pour me dire, ok, je sens qu'il faut que je fasse autre chose. Je sens que j'ai besoin de grandir, d'évoluer, donc je prends un risque, j'arrête tout. Sans savoir trop ce que j'allais faire. Puis je pars à Bali, puis j'invite des potes, je me fais un peu mon think tank, mon grand brainstorming géant avec des potes, pendant 2-3 mois, et ok, je lance un business en ligne. Je lance un business en ligne, ok. C'est cool, j'apprends des choses, je fais de l'argent, je fais plus d'argent. Et derrière, en fait, ça ne fait plus de sens. Et là, boum, je shut down mes business, je lâche mon appart et je reviens aussi à Bali. C'est marrant, cette phase de réflexion, je reviens souvent à Bali. Et c'est des prises de risques à chaque fois parce que je ne sais jamais ce qui se passe sans le faire avant. C'est-à-dire que quand j'ai lâché l'influence voyage, je gagnais très bien ma vie. J'avais pas de... de temps pour moi, mais je faisais que des trucs que je kiffais, mais c'est juste qu'il fallait que je fasse autre chose. Donc j'ai monté un business, j'ai fait plus d'argent en CA, j'en ai fait beaucoup moins pour moi, parce que finalement, j'ai fait beaucoup de charges, j'avais une équipe extérieure, mais j'ai appris de fou sur le management, sur le business, sur le business en ligne, sur plein de choses, en fait, qui font que je suis devenu un meilleur être humain personnel et professionnel, et que là, je sens que j'ai paré, je stagnais, qu'il fallait que je me débarrasse de certaines choses. En termes business, c'est pareil aussi. Des fois, tu accumules, tu accumules, tu accumules, et en fait, tu accumules des trucs qui ne te servent pas tant que ça, qui te desservent plus qu'autre chose. Et qu'il faut faire l'effort de se dire, je me débarrasse de tout ça, je garde l'essentiel qui m'est... Tu vois, typiquement, quand je rends mon appart, c'était bien, j'avais un camp de base. Mais tous ces meubles que j'ai pris le temps d'acheter, qui sont stylés, que j'aime bien, est-ce que ça m'a été vraiment utile d'être une bonne personne et me sentir heureux ? Non, pas du tout en fait. Je peux en racheter, ce ne sont pas des meubles... Sur le moment, tu es là, tu as passé du temps, tu les aimes bien, mais... C'est juste parce que ça crée une espèce de forme de stabilité et que j'aime beaucoup. Mais Lisbonne, c'était 50% ce que je voulais. Donc ça veut dire que c'est 50% ce que je ne voulais pas. Et vu que j'aime bien vivre avec panache et avec intention, et pas par dépit de me dire « Ah, c'est à peu près ce que je veux » , ben non, c'est pas ce que je veux, c'est pas grave. Et j'y vais, je prends un risque. Et pourquoi je te dis tout ça ? C'est que je pense que Dany, aujourd'hui, s'il n'a pas réussi à la hauteur de ses connaissances, de sa force de travail et de sa technicité, c'est parce qu'il a peur de prendre des risques et du coup il avance. Il fait des tout petits pas. Sauf qu'en ce moment, la vie va à mille à l'heure. Et que du coup, il faut apprendre à aimer le risque. Parce que quand tu aimes le risque, moi j'adore ça en fait, j'adore l'inconnu, j'adore l'improvisation, j'adore les surprises. Ça me permet de... C'est ce que le voyage a développé. Dès que j'allais quelque part, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Il fallait que je filme, que je vive un truc, que je le retransmette. Mais ça, ça te permet de voir chaque situation non plus comme un problème, mais comme une opportunité. Et surtout d'aimer d'autant plus l'idée de ce que tu peux peut-être avoir plutôt que ce que tu as déjà. Et d'un côté, on dit souvent, c'est mieux vaut un tien que deux, tu l'auras. Donc mieux vaut en fait ce que t'as déjà là qu'un peut-être x2 de ce que t'as là mais que tu sais pas si tu vas... Bah ouais mais ça dépend en fait parce qu'il y a des moments dans la vie où il faut le tenter. Et si ça passe, parce que des fois ça ne passe pas, parce que c'est la vie et qu'à chaque fois que tu prends un risque tu ne réussis pas, c'est pas ça la vie. Et souvent il faut que tu prennes plusieurs fois des risques pour y arriver. Moi j'ai du bol, j'ai réussi à la hauteur à chaque fois de ce que je voulais, je me suis jamais planté. Parce que la prise de risque en vrai, quand tu lâches ton appart... que tu shut down tes business, « Oh merde, j'ai plus rien, j'ai presque plus d'argent qui rentre par rapport à avant. » Ok. J'ai fait un business quand même qui me fait largement payer mes factures, qui me fait en plus me sentir bien parce que j'ai un impact de ouf sur les gens, que ça leur apporte quelque chose. Donc jusque-là, tout va bien. Et en plus, j'ai des investissements et j'ai de l'argent de côté. Quel est le vrai risque ? Le vrai risque, il est dans mon égo. Ça pique mon égo de me dire « Ah, tout à coup, mon niveau de vie va baisser. Je ne peux plus me permettre peut-être de faire autant de trucs que je voulais. Je vois mes économies qui descendent. » Du coup, psychologiquement, je me sens à l'ouest. Non, je m'en fous, en fait. Ces phases-là de régression, entre guillemets, de reprise d'élan, elles sont là pour me permettre d'être sereinement en train de prendre des risques et du coup, de pouvoir atteindre des niveaux et choper des opportunités que les autres ne sont pas prêts à prendre. Et c'est pour ça que j'étais à chaque fois le mec qui se démerde pour avoir un job sans études et qui devient directeur de clientèle parce que j'y vais. J'y vais à fond, en fait. Et parce que j'obtiens le premier en France un job que tout le monde rêve, un influenceur voyage, parce que j'y vais. Parce que pendant deux ans et demi, j'étais sur mon canapé chez des potes, et je ne savais pas comment j'allais gagner de l'oseille, ou comment, et je me suis démerdé. Et j'ai réussi, j'ai pris des risques. J'aurais pu pendant deux ans et demi, sans savoir si j'allais devenir influenceur voyage, parce que le job n'existait pas, me dire, bon vas-y, c'est bon, ça va cinq minutes, les conneries, je reprends ma petite vie confortable d'avant. Non, j'ai fait ça. Donc la question elle est là en fait. Si tu es en freelance, si tu as un business, Est-ce que t'aimes le risque ? Est-ce que t'aimes le risque qui va te permettre de peut-être, je sais pas, trouver une forme d'offre, de business qui va te permettre de gagner plus et de travailler moins ? Mais peut-être sur l'instant, peut-être que ça va foirer et que t'auras plus de clients. Est-ce que t'aimes le risque pour lancer un nouveau projet et arrêter tout ce que t'as toujours fait jusque-là et qui est ton acquis pour faire quelque chose qui te fait plus vibrer, qui a peut-être encore plus de potentiel ? Est-ce que t'es capable de faire ça ? Ou est-ce que t'as peur ? Parce qu'en fait, tu te dis... Non, je le fais juste sur le temps qu'il me reste, les 20%. Mais les 80%, je garde pour être sûr qu'au moins là, je fais rentrer de l'argent, etc. Et tu ne prends pas de risque. Tu réussiras à hauteur de 20%, en fait. C'est-à-dire pas ouf. Donc la question est là, en fait. C'est quoi ta capacité à prendre des risques ? Et si elle est haute, et que tu sais te relever à chaque fois que tu te plantes, il y a des chances que bientôt tu réussisses. Ce qui m'emmène sur le sujet suivant, pourquoi est-ce qu'on garde les portes ouvertes de chemin ? qu'on sait pertinemment qu'on n'a pas envie de prendre. Tu sais, comme si genre, au cas où, ces études qu'on va jusqu'au bout, même si on sait très bien qu'on n'ouvra jamais ce métier, mais au cas où ça ne marche pas dans l'autre truc que j'aimerais bien faire, au moins j'aurai ce diplôme-là, qui va pouvoir me permettre d'être très malheureux le reste de ma vie dans ce métier que je n'aimerais pas. Super. Je garde un peu la porte ouverte avec une ex, tu sais, genre, on s'envoie des messages, parce que... En vrai, je veux pas me remettre avec, mais si vraiment je trouve personne, ok, je peux peut-être me remettre avec pour être sûr d'avoir une relation misérable et toxique tout le reste de ma vie, tu vois. Wow ! Qu'est-ce qui fait qu'on veut se rassurer avec des choses qui, on sait, nous rendent malheureux ? Pourquoi ? En quoi c'est rassurant ? C'était une réflexion que j'avais du coup avec mon pote Sam, parce que putain, au-delà de se foutre des gages, de jouer au dé, de faire du jiu-jitsu et tout, on a des discussions qui nous font sauter la cervelle. Et je t'en partage à chaque fois un petit peu, une infime partie de tout ce qu'on se dit. Mais j'ai trouvé ça ultra pertinent en fait. Je me suis dit, ok, en ce moment, quelles sont les portes que je garde ouvertes de chemin que je sais ne pas vouloir prendre ? Et je me suis dit déjà, il y en a une que j'ai refermée et que je suis plutôt fier, qui était celle de mon appart à Lisbonne. de vouloir m'ancrer absolument, donc j'ai testé Lisbonne, donc si j'ai testé c'est forcément une réussite, non, tu peux tester, c'est pas ça, c'est pas loin, mais c'est pas ça, donc ça j'étais content. Et je me suis posé cette question, j'ai un peu fait genre, ok, quelles sont les choses que je garde ouvertes, en ce moment j'ai quand même fermé plein de portes, plein plein de portes, et je suis très content de, j'ai fermé la porte du business de vente des formations, en fenelle de vente, etc, parce que... en ce moment, cette façon-là ne me convient plus. Et en fait, c'est ça, c'est fermer les portes au moment où ça ne fait pas de sens. Ne pas les garder ouvertes, parce que tu vas dire, oui, mais plus tard, ça fera du sens. Oui, mais en fait, tu évolues. jamais vraiment trop refait et en fait on le sait très bien pour reprendre l'exemple des ex des fois c'est bien c'est facile on peut retourner tu sais mais comme quand j'étais retourné à paris l'année dernière ah ouais putain c'est vrai que paris c'était cool quand même ça a changé c'est trois mois j'y vais et je comprends pourquoi je me suis barré parce que tu sais en fait au fond de toi et j'ai fait un petit bilan comme ça j'essayais de me dire mais quelles sont toutes les choses que je laisse ouvert que que j'entretiens et Et qu'en fait, ce n'est pas du tout la bonne façon que je l'entretiens. Peut-être qu'il faut que je le fasse évoluer d'une autre façon pour fermer la porte d'une approche pour en avoir une autre et que c'est une relation plus saine, que ce soit dans l'amitié, que ce soit dans le business, que ce soit dans des opportunités, que ce soit dans des lieux de vie. Mais c'est juste une réflexion que je voulais te partager, te demander, fais le bilan, fais un petit tour d'horizon. Quelles sont les portes en ce moment que tu gardes ouvertes de chemin que tu sais pertinemment que tu ne voudras jamais prendre ? Autre réflexion que j'ai au cours d'une discussion avec mon pote Sam, c'était souvent, on se sent bien quand on se sent mieux. Et vraiment, on a bloqué, on s'est dit, putain, mais c'est fou de se dire que la plupart du temps, on est foutu d'arriver à se sentir bien parce qu'on se sent mieux que quelqu'un, parce qu'on voit qu'on a plus que, qu'on a plus réussi, qu'on a plus d'argent, qu'on a plus de confort. Et que c'est rassurant, en fait. Ah ! Moi, je suis bien, moi, puisque j'ai quand même... Là, j'ai plus que cette pauvre personne. Ou que j'ai réussi parce que là, au moins, j'ai fait plus que la moyenne. Et je me suis dit, waouh ! C'est fou, quand même, de se dire que le fait de se sentir bien, la plupart du temps, sans qu'on s'en rende compte, c'est lié au monde extérieur et à la réussite des autres. C'est même pas lié à la nôtre, puisque c'est lié à... Comment notre réussite vient se positionner par rapport à la réussite, ou en tout cas le bien-être, ou à la vie des autres ? C'est quand même une belle formule pour être bien malheureux toute sa vie, cette merde-là. Au lieu de se dire, est-ce que moi je me sens bien en fait, avec ce que j'ai ou comment je veux l'être en fait, et que si les autres ils ont 100 fois plus que moi... Tant mieux, ça ne veut pas dire que je me sentirais moins bien. Si je suis bien, parce que, tiens, regarde, je suis à Bali. Je ne sais pas où je serai dans quatre semaines, concrètement, c'est le cas. Dans un mois, un mois et demi, je ne sais pas du tout ce que j'ai. J'ai baissé mon chiffre d'affaires de peut-être fois dix, au moins fois dix. Et que je prends soin de ma... Je poste quasiment plus sur les réseaux ou très peu. Je prends soin de ma santé. Est-ce que je me sens bien ? Oh putain, qu'est-ce que je me sens bien ? Ma charge mentale, elle est presque au minimum. J'ai de l'oseille pour faire ce que je veux. J'ai du temps pour moi. Je me sens archi bien. Et du coup, est-ce que le fait que d'autres personnes qui, sur les réseaux, sur mon secteur, vont faire x10 par rapport à moi, vont avoir x10 en termes... de biens immobiliers, de biens matériels, de richesses extérieures, d'expériences. Ils vont faire des expériences de ouf, peut-être plus ouf que moi, je ne sais pas. Est-ce que ça fait que mon bien-être, il est moins bien ? Est-ce que ça enlève de mon bien-être ? Non. Ça l'enlève si tout à coup, tu te demandes si ton bien-être, tu le remets sur une échelle de nulle attitude, ou de bien-attitude. Moi, je suis bien, en fait. Et en plus... avec ma petite expérience de la vie. Je sais très bien en plus que les gens qui ont des énormes chiffres d'affaires, déjà chiffre d'affaires c'est pas bénéfice les grands, je préfère vous le rappeler, tu peux faire un million si t'as 1900 000 en pub, c'est pas un énorme bénéfice tu vois. Et puis pour avoir fait beaucoup de cercles d'hommes ces derniers temps, de passer du temps avec des entrepreneurs depuis des années, je peux t'assurer que peu importe ton niveau social et ta réussite, en fait ça n'a rien à voir avec ton bonheur. Vraiment, ton bonheur intérieur, comment tu te sens vis-à-vis de toi-même, vis-à-vis de tes peurs, vis-à-vis de tes parents, vis-à-vis de tous les traumas que tu traînes en fonction de ton historique, ça n'a rien à voir en fait. C'est vraiment, ça va t'aider en fait, le travail et l'argent à faciliter certaines choses. C'est sûr que si tu as du mal à payer de la bouffe et un toit, clairement, ça va t'aider. Mais au-delà de ça, se sentir mieux que... C'est nul à chier parce qu'en fait tu t'apercevras que la plupart des gens se sentent pas bien déjà. C'est triste à dire, mais la plupart des gens ne se sentent pas bien. Ils sont torturés, ils ont des mal-être, ils n'ont pas une grande estime d'eux. Et souvent, ils font croire que pour s'auto-persuader, mais tu le vois en fait, qu'ils ne sont jamais assez, qu'ils doutent. Et crois-moi, j'en connais plein. Et il y a très très peu de gens, je me suis dit, « Waouh, je veux être cette meuf ou ce gars-là. » Genre, « Waouh, ancré, bien dans sa peau, il fait ce qu'il kiffe, ça marche bien, etc. » Il n'y en a quasiment pas. Parce qu'il y a toujours des trucs où je me dis, « Oh, ouais, en fait, c'est comme le podcast que je disais la dernière fois, est-ce que tu prendrais tout le package de sa réussite, qu'elle a l'air bien ? » Parce qu'en fait, tu ne sais pas, mais il a des douleurs chroniques, des maladies, ou alors en fait, il a un stress de ouf, etc. Donc, c'est vraiment de se dire, mais... Est-ce que tu te sens bien ? Oui ? Non ? Ok, non. Qu'est-ce qui te fait, toi, te sentir bien ? Moi, en ce moment, ce qui me fait me sentir bien, typiquement, c'est pas de parcourir le monde comme un taré et de rencontrer des gens et de faire des expériences qui peuvent même pas s'acheter tellement c'est formidable, parce que ça a été le cas et ça me rendait heureux, fois un million. Aujourd'hui, c'est pas le cas. Du coup, je vais pas me comparer à toute la jeune génération qui refait des trucs que je faisais avant en me disant... Et ça me traverse l'esprit, justement, des fois. Quand j'essaie de me sentir bien... en me sentant mieux. Tu vois, je me dis, ah putain, c'était bien le bon vieux temps, c'était cool. Je ne fais plus tous ces trucs-là. Du coup, ma vie, elle est... Tu sais, dans ces moments de doute, ma vie, elle n'est plus aussi bien qu'avant. Mais en fait, quand je me reconnecte à est-ce que je me sens bien, pas mieux, mais bien, je dis, ben, en fait, moi, ce que je veux, ce qui me fait me sentir bien, c'est pas de charge mentale. Parce que j'en ai eu tellement dans ma vie qui m'a tellement permis d'encaisser un stress monumental pour faire des choses... incroyablement insane qui me marquera et que peut-être personne pourra vivre et que c'est formidable cette vie mais aujourd'hui c'est pas ça donc en fait je m'en fous de me comparer ou d'essayer de me dire que lui il a plus ou mieux puisque en fait moi ce que je veux là c'est au contraire petite vie là où je me ressente sur moi grandir humainement spirituellement être bien avec moi même être l'homme que j'ai envie de devenir comme me connecter à la version héroïque de moi même quand je quand j'agis me dire Est-ce que c'est ça l'homme que je veux être ? Est-ce que c'est ça l'homme héroïque, la version héroïque de moi-même ? Est-ce qu'elle ressemble à ça ? Ok, je vais méditer, je vais faire du sport, je vais beaucoup rigoler, je vais apprendre des choses, je vais avoir du temps pour moi, en fait. Parce que c'est la chose la plus précieuse qu'on bafoue. Ok, c'est ça en ce moment, me sentir bien. Mais si je comparais, encore une fois, si je me sens bien, si je me sens mieux que... Oh, il y a plein d'entrepreneurs. Putain, lui, il ne fait que travailler. Putain, lui, il a fait 2 millions ou il a fait 300 000 le mois dernier. Oh putain il fait trop bien du sport. Oh là là lui putain je suis à la salle de sport, il a plus de muscles, il a l'air d'être plus fit. Je suis malheureux, je rentre, laisse tomber c'est l'enfer. Alors que j'avais une vie chanmée. Donc en ce moment je suis en mode, wow, trop cool les muscles qu'il a. Putain ça me motive, peut-être que je me motive en plus à venir un peu plus à la salle. Wow. Les petits oiseaux, c'est trop cool. Ça me fait du bien de les regarder et de juste refaire. Il faudrait que je prenne plus le temps de m'asseoir et juste me reconnecter à la nature et marcher les pieds dans l'herbe, ce que je fais de plus en plus souvent. Ça fait un kiff de passer un moment avec des potes, de rigoler, de jouer au basket. Il faut que je le fasse plus. C'est tout. Et donc la question que je t'envoie, c'est en ce moment, est-ce que tu te sens bien ou est-ce que tu te sens bien parce que tu te sens mieux par rapport à ? Pose-toi la question. Maintenant, parlons un petit peu business. Comment créer une offre irrésistible ? Ça s'est tiré beaucoup aussi du livre de Lex Ormosi, The 100 Million Offer. L'offre à 100 millions de dollars. Une offre que, lorsqu'un client la verra, il dira qu'il serait bête de ne pas la saisir. C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible, c'est de se dire, pour toute la valeur qu'il y a dedans, je ferais vraiment... bête de ne pas la prendre, c'est débile de passer à côté d'une opportunité pareille. Hier, sur mon charge de productivité que j'ai lancé sur le cercle des solopreneurs, le premier jour c'était filmer tout le module de connaissances sur comment créer une offre irrésistible. J'ai fait les 20 vidéos, plus le support, et du coup je voulais quand même te donner, évidemment ce ne sera qu'un résumé, parce que je ne vais pas pouvoir te détailler les 20 vidéos, ça a pris un petit peu de temps, mais je voulais quand même te partager si en ce moment justement tu sens que... tu as du mal peut-être à vendre ton service, ton produit, ou que tu as peut-être envie de l'améliorer, de l'affiner, de le rendre encore plus irrésistible. Donc déjà, qu'est-ce qu'une offre ? Une offre, ce n'est pas un produit ou un service. C'est comme une expérience que tu vis. Et c'est quand tu es client, évidemment. Je vais te donner un exemple. Un bar, un cocktail, c'est que tu vends un produit. Par contre, une offre, ce serait, tu es un bar, tu vends un cocktail, une plus. Un cocktail acheté, un cocktail offert, plus des pop-corn salés à volonté, ça c'est quand même plus attrayant. Si t'es garagiste, ton produit et ton service c'est un changement de pare-brise. Ok, une offre ! Qu'est-ce que ça pourrait être ? C'est un changement de pare-brise, mais avec garantie que le changement se fait dans l'heure qui suit, et sans rendez-vous, avec un espace détente et avec un café gratuit. Waouh, ça c'est une offre. Ça c'est quelque chose qui va être plus attrayant, pour qu'on se dise, déjà, pourquoi j'en choisis ? Entre deux garagistes et deux bars, pourquoi je te choisis ? Parce qu'il y en a un qui a une offre, et pas juste une vente de produits ou services. Et comment on crée une bonne offre ? Déjà, une bonne offre, ça répond à un besoin existant et vérifié. Donc tu ne crées jamais une offre qui est, selon toi, ça peut être top. Tu demandes à tes prospects, tu demandes à tes anciens clients, tes futurs clients, tu leur demandes ce qu'ils veulent. Ensuite, il y a un autre truc, c'est qu'une offre est une transformation. C'est une solution à un problème. Quand tu vends quelque chose, un produit, un service, c'est une solution à un problème. Donc c'est une transformation. Donc demande-toi toujours, quand on vient chez toi, et c'est pareil pour le garagiste, la personne va aller du point A au point B. avec ton service. J'ai un pare-brise cassé et je repars avec un pare-brise qui est, et en plus je l'ai fait dans des conditions totalement agréables avec mon petit café, mon espace détente, et en moins d'une heure. Et c'est vraiment une transformation que tu vends. Donc quand tu crées une offre, demande-toi où est ton client et quel est son problème, sa situation initiale, et où tu l'emmènes grâce à ton offre. Ensuite, il faut que tu trouves quand tu veux créer une offre irrésistible une façon de te démarquer, un point différenciant. Souvent c'est une méthode. une approche un peu particulière, ça peut être aussi une ambiance, ça peut être des bonus en plus, ça peut être, tu vois, si tu vas dans un spa, tu sais que dans ce spa, il y a toujours le petit thé qui va bien, avec, je sais pas, une petite collation, fête maison, bio, etc. Des petites choses qui te démarquent, qui font que, ah, j'ai pas ça ailleurs, et que c'est très spécifique de là où tu vas. Donc c'est pour ça que quand tu crées, souvent dans les formations en ligne, dans les services en ligne, dans les services digitaux, chacun sa méthode la méthode de kraft webicraft la méthode digibus parce que en fait bon bah c'est ta méthode et c'est peut-être une méthode qui a 95% similaire à toutes les autres mais avec les 5% différenciants ça permet de différencier justement sur enfin qui a 95% similaire et que tu as 5% différenciants qui vont permettre de dire c'est toi c'est ton truc ta façon et c'est comme ça qu'on te on se rappelle de toi tu vois moi j'avais ma formation personnel branding s'appelait brandé au impact Il y a une vraie approche aussi pédagogique, tu vois. Pour ceux qui l'ont fait, ils sauront, c'était, il y avait des modules à savoir, des passages d'action, et chaque passage d'action, je m'y soumettais, et j'avais aussi, je montrais mon exemple. Et ça, ça les avait vraiment marqués les gens. Donc tu as vraiment une approche, tu vois, aussi pédagogique, ça peut être ça. À partir de ça, tu dois créer ton offre principale. Donc c'est ton service, donc concrètement, je ne sais pas, si tu es prof de fitness, ça va être perdre tes 10 kilos en 3 mois en étant musclé. etc. Donc c'est vraiment, ça peut être si t'es web designer ou copywriter, je sais pas, web designer ça va être ton site design clé en main en deux semaines, copywriter c'est ta séquence mail plus ta page de vente en trois semaines, etc. qui va générer, et qui aura 10% de taux de transfo, un truc comme ça. Et ensuite, le but c'est vraiment d'y mettre tout un cheptel aussi de petites offres qui vont faire, enfin de ... d'éléments qui vont faire que ce n'est pas juste un service ou un produit, mais bien une offre. Tous ces petits éléments, et je vais te le dire juste après. Une fois que tu as ton offre principale, s'il y a bien un truc, c'est que, par du principe que personne ne crée une offre parfaite du premier coup. Donc, dis-toi que ton offre, tu dois faire l'offre la plus simple, la plus rapide et la moins chère possible immédiatement. C'est obligatoire. Parce que si tu n'es pas foutu devant un truc simple, rapide et pas cher tout de suite à quelqu'un qui te connaît à peu près, Tu testes sur des amis, sur des anciens clients, etc. Comment tu veux faire ? Vendre un truc compliqué à des gens qui ne te connaissent pas et qui ne te font pas confiance. C'est impossible. Donc, une fois que tu as à peu près ta V1 de ton offre, teste-la. Teste-la, confronte-la, essaie-la, offre-la, prends des retours, optimise, teste, teste, teste, optimise, fais toujours ça. Donc, au début, tu l'offres gratuit. Au début, tu peux faire aussi des petits prix. Et après, tu essaies de le vendre en one-one et tu testes. Et une fois que tu commences à avoir un vrai truc, OK, là, c'est cool. Comment, une fois que tu as ta vraie offre, tu la rends justement, c'est cool. comment tu es pour une offre, et donc, pas un produit, un service, mais ton offre, tu la rends irrésistible. Plusieurs éléments. Un, il faut énoncer clairement les bénéfices. C'est tout con, mais genre, en fait, si je ne sais pas pourquoi je viens, et je peux essayer de donner quelques exemples que j'avais aussi notés sur les différentes choses, mais c'est énoncer clairement les bénéfices de ton offre, encore une fois, parce que toi, tu sais ton offre, tu sais ce qu'elle va apporter. Et en fait, tu es juste en train de dire, voilà, je vais te vendre un massage ayurvédique d'une heure. Ok, ce n'est pas une offre. En fait, les bénéfices, c'est en moins d'une heure. c'est réduction de 80% du stress, c'est plus de courbatures, c'est une mobilité retrouvée, c'est un moment de bien-être pour soi, c'est une petite musique qui va nous... Tu vois c'est tous ces avantages, tous ces bénéfices. Et quand tu énumères les bénéfices, pense toujours à deux choses. Les gens ils achètent pour deux grandes raisons majeures, c'est ils évitent la douleur. Donc en gros ils achètent pour résoudre un problème. Ben j'ai pas assez d'argent, j'achète une formation pour mieux vendre. pour avoir un copywriter parce que je ne vends pas assez ou gagner du plaisir ils achètent pour obtenir ce qu'ils désirent depuis longtemps j'achète je sais pas je prends un coach en prise de parole en public parce que en fait je désire mieux parler et être inspirant en public je prends un coach de séduction parce que ben en fait tous mes dates y foirent et que j'aimerais trouver quelqu'un donc j'ai ça et dis toi que ce qui est toujours plus puissant c'est quand les gens ils veulent éviter les bénéfices d'éviter une douleur qui devient insupportable c'est pour ça que dans le marketing on dit toujours Quel est le problème le plus brûlant qui empêche de dormir tes clients la nuit que tu peux résoudre ? Et c'est ça ton offre. Parce que c'est ça qui va faire que... En fait, c'est pareil. Si t'as des impôts et que t'es administratophobe et que t'as tout à remplir, si t'avais juste à appuyer sur un bouton pour qu'en un clin d'œil ce soit fait, tu serais prêt à payer combien ? Mais en fait, genre, vas-y, tu sais quoi ? Tu dis, vas-y, je mets 5000 balles alors que ça vaut 300. Mais t'es tellement en mode... Toi, en tant qu'administratophobe, c'est tellement un truc brûlant et horrible, t'es prêt à le faire. Donc c'est dans chaque... chaque profil client, il y a des points de douleur horribles qui les concernent eux, parce que c'est eux, et bien c'est ça que tu dois trouver. Et c'est dans ces bénéfices qu'il faut vraiment les énumérer. Ensuite, il y a vraiment pour rendre une offre irrésistible, c'est augmenter la valeur perçue. Augmenter la valeur perçue, c'est en fait, tu as une vieille paire de pompes qui traînent dans un placard, en fait elle n'a jamais été ouverte, ça vient d'un truc vintage, mais dans un vieux carton, bon bah ouais, tu en achètes 50 balles. En fait, la même paire, tu la mets sous cloche dans une vitrine après Trendy à Paris. elle vaut 600 balles, tu te dis « Oh, mais mon Dieu, mais elle est géniale, édition limitée, elle a les mêmes paires de pompes. » Tu vois, la valeur perçue. La plupart des gens, c'est jamais un problème de prix quand les gens ne veulent pas acheter, c'est que c'est souvent un problème de valeur. Ils disent que « Non, ça n'a pas la valeur que j'imagine. » Donc c'est à toi, si tu trouves que c'est trop cher, de montrer la vraie valeur et de te démerder pour qu'en fait, ils se disent « Waouh, mais ça a une valeur de ouf et ça ne vaut que 500 balles. » Et tu as l'impression que ça en vaut 5000. Autre chose, c'est prouve que ton offre, elle est honnête et bien intentionnée. Dans une offre irrésistible, c'est important de dire pourquoi tu le fais. Qu'est-ce qui fait que c'est quoi ta mission ? Typiquement, tu vends une formation en immobilier, toi tu te dis que tu veux que tout le monde puisse se créer des revenus complémentaires et avoir une vie décente que je n'ai pas pu avoir dans mon enfance. C'est pour ça que je fais ce produit. C'est la démarche, elle est honnête. D'autres, ça peut être le prof de cours de yoga qui est à 45 euros. Ils vont dire qu'on est convaincus que la pratique du yoga devrait être accessible à tous et on vous propose des tarifs adaptés. sur votre honnêteté de solidarité en fait c'est 45 euros mais ça peut être 40 30 ou 25 en fonction de ton niveau de revenus tu vois et est en fait tu tu tu ça permet vraiment de justifier te dire ok je comprends la démarche je comprends le prix parce qu'il encore une fois quelqu'un un des blocages des gens pour acheter c'est la confiance vis-à-vis de toi vis-à-vis de ton produit vis-à-vis de ta méthode tu vois donc c'est important de vraiment essayer de donner un maximum de confiance autre chose pour rendre une offre irrésistible faut que tu aies des témoignages tu montes sur scène tu dis que Je ne sais pas, moi je monte sur scène, je dis « Ouais, j'étais le premier influenceur voyageant en France, j'ai été récompensé, j'ai traversé voilà les pays et tout. » Waouh, le mec qui se la raconte. Tu as un mec qui dit la même chose avant que je monte sur scène, le même texte. Les gens vont dire « Waouh, trop cool, putain, trop bien le mec, il va être inspirant. » Tu vois, donc si tu as un argument, mieux vaut toujours que ce soit dit par quelqu'un qui sur le papier est désintéressé de le dire, et juste l'a vécu et est content de le partager. C'est beaucoup plus puissant. Autre, dans une offre irrésistible, on élimine les risques. Il faut toujours que ce soit toi qui prenne le risque. C'est-à-dire que moi en vrai, j'achète un produit. Je me dis, bah ouais, je vais mettre mon argent, mais est-ce que ça va vraiment répondre, encore une fois, à mes attentes ? Et est-ce que je ne vais pas perdre mon argent ? Est-ce que la méthode est bien ? Est-ce qu'en fait, le gars, il est pertinent, etc. ? Inverse le risque. Bah ouais, ok, garantie satisfaite ou remboursée, je ne sais pas, sous 14 jours. Ça peut être aussi de te dire que si, je ne sais pas, tu es copywriter, si par exemple, ton CA, il n'augmente pas avec ma séquence mail, je m'engage à refaire la séquence mail jusqu'à temps que tes taux d'ouverture et ton taux de C.I. l'augmentent. Prends le risque sur toi, et donc c'est bien parce que ça t'oblige à avoir une offre qui est carrée, qui est béton. Et du coup, si la personne en face se dit « De toute façon, j'achète, mais si ça ne me va pas, si je n'aime pas, ou si ça n'atteint pas les objectifs, je suis remboursé » , il n'y a pas de raison. Ça devient irrésistible. Il n'y a pas de raison que je ne le prenne pas. Et l'autre, c'est, un des deux derniers critères, c'est créer de l'urgence. C'est con mais on est des êtres humains et que ben si on peut le faire demain on le fera demain et demain ça veut dire jamais. Donc créer de l'urgence. Vraiment c'est ultra important de créer de l'urgence et de te dire bah quand tu crées de l'urgence ça peut être nombre de places limitées, ça peut être un compte à rebours, ça peut être des bonus que tu supprimes au fur et à mesure, ça peut être des coachings ou je sais pas des bonus en plus si tu prends tout de suite maintenant ou dans les dix premiers etc etc. Ultra important de créer de l'urgence, il y a plein de façons de créer de l'urgence. Ensuite, la dernière chose, c'est que ce soit facile à obtenir. Une offre irrésistible est facile à obtenir. Il n'y a pas de « oui, alors tu laisses ta carte bleue, ensuite on t'envoie un lien, il faut que tu télécharges l'appli, que tu crées un compte » . En fait, le master, ce ne sont pas forcément des gens que j'apprécie, mais là-dessus, de la livrabilité la plus facile du monde, c'est Amazon. Achat en un clic, livraison le lendemain. Terminé, bonsoir. Tu ne peux pas faire mieux. C'est tout, c'est chez toi, tu es en un clic. t'as même pas besoin de rentrer tes trucs, ils ont fait le truc en un clic. Donc demande-toi toujours comment tu peux en arriver là. C'est au moment où la personne veut acheter ton produit, tiens, si t'es en call, est-ce que tu peux leur envoyer un lien Stripe ? Et que quand le lien Stripe il est payé, est-ce qu'il y a un mail automatique qui envoie des accès à ta plateforme, à ton calendrier pour prendre le premier rendez-vous, pour le truc, le machin ? En fait, comment tout peut être tellement simple et fluide, on dit « Waouh, ça a l'air magique » . Et c'est vraiment ça que... Si tu veux un super bouche à oreille, un super onboarding, etc. et que ton offre aussi elle se propage, c'est « Ah non mais j'ai fait ça, c'est magique le truc, ça marche tout seul, c'est trop fluide, c'est trop agréable. » On en connaît des applis comme ça, des services où t'arrives, « Tout est fluide, tout est… » Et ça fait tellement du bien. Du coup, ça tu le recommandes. Donc voilà, j'essaie de te faire en extrêmement rapide, parce que j'ai des milliers d'exemples à te donner dans chacun des secteurs, de quelle formule aussi tu dois écrire, le bénéfice client, toutes ces choses-là. tous les exemples par secteur, mais voilà. Si tu as envie d'aller un petit peu plus loin et que tu sens que tu as besoin de bosser ton offre et de la rendre un peu plus irrésistible, je t'invite d'aller sur le cercle des solopreneurs. Le lien est en description du podcast et tu pourras aller bosser ce truc-là un peu plus en profondeur avec les 20 vidéos que j'ai. J'ai pris le temps de vraiment bien détailler pour vraiment t'aider à créer une offre qui se vende toute seule. Maintenant, se challenger et brûler ses bateaux, ne plus avoir le choix. se mettre frontale en défi par rapport à des gens qu'on estime, ça change tout, vraiment. J'en vois encore, je le fais régulièrement, moi, vis-à-vis des potes. Là, j'ai eu encore la situation sur un live, dans le coaching hebdo sur le cercle des solopreneurs. J'étais avec Vanessa, qui est sur Insta, bien dans ton... Hashtag bien dans ton... Enfin, pas hashtag, at bien dans ton corps. Elle, elle aide vraiment les femmes à se réconcilier avec... Et à aimer de nouveau leur corps. Et je trouve que c'est une mission fantastique avec malheureusement notre société qui pousse à tout l'inverse. Et on discute et elle me dit « moi là je vais lancer un défi de 7 jours pour encourager, pour aider les femmes à se réconcilier avec leur corps en 7 jours. Et j'aimerais avoir 200 inscrits, j'en suis à 70, 80, etc. » Donc on discute de différents leviers, de différentes stratégies. Et je lui dis « mais t'as créé quoi là du coup comme contenu sur les réseaux ? » « Bah j'ai fait un petit carousel, un truc, je suis pas dans... » J'ai été sérieuse là ? Je vais t'acquérir un carousel et pourquoi tu fais pas de facecam ? Oh les facecam je peux pas, c'est vraiment blocage, c'est ce que j'avais marqué dans mon poste de présentation quand j'étais arrivé dans le cercle, c'est vraiment le truc que je peux pas, ça me frie, je déteste ça, etc. Je fais déjà un, il y a un moment il faut que tu sois ton meilleur exemple, si tu dis à des femmes d'être bien dans leur corps, il faut au moins que tu sois bien toi, vis-à-vis de ta propre tête sur les réseaux en fait, tu vois ? Donc ça c'est un, c'est obligé, et deux... Est-ce que tu veux vraiment réussir à avoir tes deux ans inscrits, surtout que tu as une belle mission ? Tu vas faire un Reels par jour, tu mets juste là ta cam, et tu filmes avec ton téléphone, et tu joues sur une thématique que tu dirais en coaching, de personnes, de personnalités que tu as pu avoir, ou de problématiques que tu as eues en consultation, et de comment tu as réussi à résoudre, et boum, tu fais ça. Et si en plus, à la fin, tu fais un petit call to action sur... Et bah si tu sens que c'est aussi ta problématique, hésite pas à rejoindre le défi que je fais et que je commence dans une semaine. Le lien est à juste à taper défi et boum t'as un mini-chat qui est automatisé et ça envoie le lien d'inscription au défi. Paf ! Et là elle fait ouah ! Et donc on était dans des mini-rooms, elle me dit non mais... Elle dit je sais pas attends tu voulais que je te botte le cul parce qu'elle me dit ouais moi j'ai besoin d'un coup de cul là faut que j'y arrive. Je sais pas vas-y, est-ce que tu t'engages ? Elle me fait bah c'est chaud, c'est ton défi moi je m'en bats les couilles en fait. Tu veux y arriver ou pas ? Tu veux les aider ces femmes ? Tu veux réussir dans ton business ? Elle me fait ouais. Alors pourquoi tu le ferais pas en fait ? Explique moi même si tu le fais et que ça marche pas de toute façon en quoi ça serait négatif de le faire ? Elle dit ok je vais le faire et j'ai vu ses premières vidéos, elle le fait, elle doit être déjà à plus de je crois une centaine d'inscrits et elle se donne les moyens et en fait elle nous a remercié, elle nous a dit mais c'était mon blocage depuis des mois voire même des années en fait que je me dis qu'il faut que je le fasse, je n'y arrive pas et de me retrouver devant vous, d'avoir eu ce défi où tu n'as pas envie de décevoir les gens puis en fait ça fait du sens, il n'y a pas de raison de ne pas le faire ben je l'ai fait en fait et genre elle m'a dit, je crois que c'était le en plus maintenant j'ai le live, vu que je suis à Bali, je l'ai fait le matin elle m'a dit dans la journée même j'ai dû tourner une dizaine de vidéos, j'ai écrit plein de trucs parce que j'étais genre ok je peux pas en fait, j'ai pas le choix en fait j'ai dû en faire une par jour, en plus je lui ai dit si tu prends une journée, tu scriptes tout Tu prends une journée où tu filmes tout et après tu les montes et tu les diffuses au fur et à mesure et tu gères ça. Et bam ! Elle a tout arraché et je suis trop fier d'elle. Et ça, c'est un exemple. Ça me rappelle vraiment de se dire que c'est trop dur tout seul de se motiver. Et moi, je suis le premier. C'est genre Teddy Riner, il a trois coachs. Pourtant, c'est le champion multiple, je crois, le plus médaillé, titré du judo dans l'histoire du judo. Le gars, il a un coach technicité du judo. Il a un coach préparation physique et il a un coach de préparation mentale. Pourquoi ? Parce que tout seul, tu n'y arrives pas. Parce que, tu sais, te rendre accountable, c'est-à-dire prendre la pleine responsabilité, toujours ta réussite, mais en fait, c'est bien, mais c'est trop dur. Alors que quand ça repose aussi sur une énergie où tu es vis-à-vis des gens, que tu ne veux pas décevoir, parce que des fois, vis-à-vis de toi, tu dis « Ah, c'est pas grave, vas-y, je n'y arrive pas. » Et quand d'autres attendent après toi, quand d'autres te poussent, quand d'autres te motivent, Quand d'autres t'encouragent et te mettent la pression, mais laisse tomber. Ça te met quatre fusées dans l'arrière-train et mon gars, tu décolles. Et c'est ce que Vanessa, ça lui a fait en instant, en quelques minutes sur le live. Et je me dis, mais si toi, en ce moment, tu as un blocage, que tu as un blocage, peu importe sur ce que c'est d'ailleurs, appeler des clients, faire un projet qui te fait peur, partir, claquer ta DM, mettre en place une routine, mais prends des gens autour de toi qui ont les mêmes valeurs, qui sont dans la même vibe et... Crée-toi un challenge. Mets-toi un quintuple. Et le mieux, c'est d'avoir des gens qui en ont aussi. Parce qu'évidemment, ça motive et on se tire vers le haut. Si t'en as pas des potes comme ça, rejoins le cercle. Mais vraiment, mets-toi dans ces circonstances-là. Parce qu'il y a un truc magique qui s'opère dans notre putain de cerveau d'animaux sociaux qui font que quand tout n'est pas que sur nous, et qu'on veut pas décevoir, et qu'on se met dans un mouvement collectif, il y a une énergie qui se crée. Et boum, on enlève nos chaînes et on a des propulseurs. Donc vraiment je l'ai encore vu, donc demande-toi si en ce moment tu butes sur des choses que tu n'arrives pas à faire, et si c'est le cas, entoure-toi et ne te mets pas le choix, mets-toi un challenge avec d'autres personnes qui sont dans le même mood. Et maintenant dernier sujet avant d'attaquer le petit fun fact de la semaine, c'est la puissance des colocations. Les colocs. Maintenant on dit colliving, on vit together. Je me suis rendu compte de ça, on se fait une coloc mais en fait on se fait un colliving. Oh ouais, Coworking, Co-living, c'est vraiment plus stylé en fait, on est vraiment des nomades digitaux à travers le monde, on se réunit dans les mêmes... Mais en fait c'est ça en fait, c'est le même principe qu'une coloc, sauf qu'on l'a rendu un peu plus stylé en l'appelant Co-living. Mais wow, je suis venu ici à Bali justement pour passer du temps avec mon pote Sam. Si t'as écouté les journaux de bord précédents, c'était pour me mettre un peu en résonance avec lui parce qu'en ce moment... Lui, des potes niveau business, niveau santé, hygiène de vie mentale et physique. Et j'avais envie de rentrer en résonance. Et ce n'est pas comme si à Lisbonne ou même à Paris, où je n'avais pas de potes, qui étaient forts dans ce qu'ils font et qui raisonnaient. Oh, mais le truc, c'est que quand tu es dans une vie, je me suis aperçu, quand tu habites dans ta ville avec ton chez-toi, tu vas juste voir tes potes le temps d'un repas, d'un petit moment. Et t'as pas le temps de rentrer du tout en résonance, de te tirer vers le haut, de te challenger parce que tu passes pas assez de temps en fait. Et en fait je me suis dit, ça m'a rappelé là les moments que je passe avec Sam, mon pote Sam à Bali, ceux que je passais en coloc avec mes potes Jérémy Peuille et Jérémia Zilliox à Medellin où c'était un de nos best life, un de nos best moments de notre life parce que en fait on était toujours ensemble et que on t'a fait Mais en fait les autres étaient pas loin et que du coup on était toujours en mode la bonne intention, la rigolade, se motiver à faire du sport, se motiver à aller faire des choses, des découvertes, se motiver à faire des choses qui vont... On était toujours dans une vibration ultra positive, du coup on taclait le taf, on rigolait derrière et du coup ça nous enlevait le stress, la charge mentale, on faisait du sport, après on allait faire des petites vadrouilles le week-end, ça nous a érez l'esprit. Et là c'est pareil, avec mon pote Sam on est dans une guest house, on a notre chambre à côté donc c'est... C'est encore mieux, on a vraiment chacun notre espace, on bouffe tout le temps ensemble, on discute, on va faire du sport ensemble, on va se faire des sunsets, mais en fait à côté de ça, moi je taffe la journée, je vais méditer, je laisse du temps aussi pour moi, lui il a son boulot de trading, lui en plus il trade genre de 22h à 1h du mat. Et moi, du coup, c'est moi qui vais le réveiller le matin, on se prend le petit-déj. Et en fait, ça nous met dans une dynamique. Mais ça faisait longtemps, en fait, que j'avais pas le meilleur des deux mondes. C'est-à-dire mon espace à moi, mes moments à moi, pouvoir être tranquille, pouvoir bosser. Et en plus, dans une guest house, t'as pas tes autres potes qui viennent faire le con, je suis pas dans le salon, etc. Surtout quand t'as besoin de, comme là, enregistrer un podcast, être au calme. Mais à côté de ça, tu toques et boum ! Boum ! Tu vas avoir la conversation qui va te faire rire, mais qui va partir dans la conversation profonde, qui va faire sauter... la cervelle avec des réflexions qu'elle ne t'avait pas pensé ou tu vas parler d'un sujet de l'actualité qui va t'emmener sur une idée qui va t'emmener sur on a notre prochain voyage on a notre prochain projet, on a une prochaine opportunité et en fait je me dis et quand, là je parlais avec Camille donc la cofondatrice Camille Imbert la cofondatrice du cercle des solopreneurs avec moi elle disait mais t'as vu il y en a ils se sont motivés dans le cercle, ils sont partis faire une colloque en Espagne à 3-4 pour bosser pendant 30 jours et se rassembler et j'ai dit putain Déjà, je suis trop content. C'est exactement pour ça que j'ai créé ce cercle. Ils ont trop raison. Ils ont trop raison parce que franchement, ça change tout d'être en permanence avec des gens qui vibrent la même envie, le même but que toi. Et que t'es tout seul comme ça, comme un connard, ça revient au même que la procrastination et quand t'arrives pas à avancer. En fait, quand t'as les gens qui vont autour de toi « Allez, qu'il y a la petite blague, ça se décompresse, il y a un petit coup de mou, on y va, on va faire la petite activité. » qui va te remplir d'énergie, qui va te mettre de bonne humeur, mais après tu rentres, t'as envie de tout arracher sur ton taf, parce que tu sais que t'as que deux heures, et qu'après ces deux heures, vas-y on va au sunset, donc ça t'oblige à aller vite, et ça fait un bien fou, ça fait un bien fou, donc vraiment encore une fois, pareil, c'est si t'as jamais testé des co-living, on va appeler ça comme ça, des collocs entre potes, fais-le, pars à l'autre bout du monde, ou pars en pleine campagne en France, pas besoin, tu peux rester en Europe, et allez kiffer, et déterminez un peu vos objectifs, Et allez-y, et chacun peut l'avoir, encore une fois, c'est chacun son business, mais le fait qu'on soit ensemble, ça crée une espèce d'énergie de cerveau collectif qui motive tout le monde. C'est pour ça que les immersions aussi et les masterminds, ça apporte autant. Moi j'en ai fait l'année dernière pas mal, et là j'en ai organisé cette année. Je suis toujours étonné de te dire, qu'est-ce qui va se passer, est-ce qu'il y aura des résultats ? Mais en fait, il y a de la magie qui se passe quand on est tous ensemble, avec les mêmes valeurs, les mêmes envies. Il y a un truc qui ne s'explique pas. Et donc... Soit tu vas à un mastermind pour rencontrer des nouvelles personnes et aller bosser des choses que tu connais pas pour les apprendre, pour les développer. Soit tu passes un bon moment avec des gens que tu aimes bien ou que potentiellement tu peux bien aimer parce que les co-living, tu peux aller aussi vivre dans des co-living. Pour en avoir fait des co-living, quand tu vas dans ce qu'on appelle vraiment tu loues ta chambre et qu'il y a d'autres personnes comme toi qui sont là, chacun est dans son délire. Il n'y a pas cet effet cerveau collectif. Je trouve que chacun est un peu dans son tunnel de taf et en vrai ils veulent il veut juste être en mode digital et c'est pour ça que je t'encourage vraiment va, je sais pas si t'as des potes autour de toi, motive-les faites-vous un co-living quelque part parce que ça change tout et quand j'ai vu sur le cercle qu'ils se sont chauffés ils ont fait ça, je me suis dit mais ils ont tout compris vraiment, ils ont retiré le meilleur de ce projet je trouvais de ce cercle parce que c'est exactement pour ça et que c'est bien les échanges en ligne c'est très pratique, c'est très puissant la preuve pour Vanessa, bien dans ton corps, pour son défi ... d'essayer de briser son blocage sur le facecam, mais quand t'es en vrai, ça va au-delà en fait. Et moi je le vois en ce moment, le bien, les bienfaits que ça a sur mon état d'esprit, sur mon physique, je ferais beaucoup plus de sport, sur mon mental parce que je rigole, ça me nourrit, sur les idées, sur le fait... Wouaf, laisse tomber en fait, ça change tout. Donc si t'as jamais testé, fais-toi une petite coloc entre adultes, tu vas voir. On rigole bien et en vrai, tu level-ups en même temps en compte. Et dans le... la bonne humeur et le plaisir et ça ça change tout. Bon ! Petit fun fact, ok c'est le moment. Alors qu'est ce qui se passe ? Moi je suis là à Bali, évidemment on est à un repas avec mon pote Sam, on joue au dé, on joue aux dix milles et vu que mon pote Sam il en avait marre de se faire un peu racketter, pas racketter parce que je gagnais les parties du coup c'était celui qui gagnait qui se faisait inviter, je pense qu'il en avait marre de m'inviter, il me dit il me sort l'excuse mais pété genre ouais alors moi franchement... invité, je sais pas, ça me motive pas donc je vois j'arrive pas, enfin je gagne pas parce qu'en fait ouais si c'est que l'argent là je m'en fous ça me... Je le regarde, je lui dis casse toi, t'es juste vénère parce que tu m'invites tout le temps avec moi, ça me fait bien kiffer et ça économise mon budget, putain, mais j'ai dit ok, t'es une petite baltringue donc pas de problème, tu cherches des excuses, on... qu'est ce que tu veux comme gage ? J'espère qu'il écoutera ce podcast, je sais que c'est pas le cas, pour ça je le charge un peu mais si c'est le cas, bisous Sam, petite baltringue. Et il me dit vas-y on fait autre chose. On cherche des gages et on trouve les gages conciergerie. Tu as le droit à un service de conciergerie de la part de l'autre au moment où tu en as besoin. J'ai dit, c'est quoi ? OK. Sauf que... Au moment où, je sais pas, ce jour-là et le jour d'avant, j'avais une petite baisse de régime. Tu vois, dans ma manifestation, dans mon énergie, dans mon incarnation de ce que je voulais, dans le truc de faire un petit coup de mou. Et lui, je le sentais, vu que j'avais expliqué le principe de l'énergie, le gars, il commençait à envoyer des mains de ouf, et je le sentais qu'il n'y avait plus de doute, il était là. Et je commence à perdre. Et j'ai perdu pas mal de parties. Donc j'ai pris à un moment donné, il y avait plusieurs trucs, mais j'ai pris deux gages de conciergerie. Deux gages. J'ai dû perdre. Normalement, moi j'avais 5-6 parties d'affilée de gagnés. Je les ai repris dans la gueule. Et du coup, dedans, il y avait pas que ça, mais il y avait deux conciergeries. Donc j'étais un petit peu vénère. Tu te sens un peu comme un concierge, un esclave directement, qui peut, à tout moment, on te demande de... Tu sais, allez ! J'en ai déjà perdu un d'ailleurs. J'en ai un où c'était le matin, il fallait que j'aille lui chercher un expresso. On the rocks, un ice expresso. livré avant le petit paddle avant qu'on y aille donc moi je devais me lever plus tôt etc bref déjà je n'étais pas y'en mais j'en avais encore deux autres et à un moment je le vois on est sur son scoot parce que des fois on prend un seul scoot pour des raisons écologiques pour aller au même endroit et il me dit ça clignote il s'arrête il me fait man va me faire le plein et je dis oh le bâtard tu sais c'est vraiment le truc chiant tu dois aller faire le plein tu dois aller un peu plus loin pour aller choper la station service, t'as un peu plus de bornes, tu tapes le trafic, etc. Donc je prends les clés, je dis, vas-y, t'sais, t'sais, je dis, t'sais, son gage, faut toujours l'assumer avec honneur, je trouve. C'est aussi là où tu prouves ta valeur, tu vois. Et je dis, ok. Je dis, par contre, mec, je suis peut-être ton concierge, je suis pas ton sugar daddy, donc envoie le cash. Et je fais, je parie que t'as pas de cash sur toi, donc je peux pas faire le plein. Et il me regarde, il me fait, non, mais j'ai un deuxième gage, conciergerie. Voilà ma carte, tu vas me retirer du cash. Tu vas me faire le plein, tu me ramènes mon scoot, à tout à l'heure. J'ai fait, oh le bâtard ! Oh le bâtard ! Et c'était pas le pire dans tout ça. Parce que j'y vais avec le sum. J'y vais avec le méga sum, en vrai. J'y vais, mais tu sais, j'y vais, je le monte pas trop. Mais bon, ça se voit sur ma gueule, tu sais, comme quand tu parles comme ça, là, que t'es un peu vénère, mais que t'es fait genre que ça t'énerve pas. J'y vais. Je vais y retirer de l'argent, je galère, truc, machin, parce que c'était pas... Enfin bref, il voulait que je retire une somme, ça marchait pas, je retire plus, du coup. Je lui envoie un texto pour lui faire comprendre que si je retire plus, c'était le distributeur. Je vais mettre le plein. Il y avait une queue de bâtard. Une queue de bâtard. Donc j'attends, j'attends. Et je pars. Et là, une tempête. Une tempête mais monumentale. Je me suis fait rincer, tremper. Mais tu sais, quand t'es en scoot, les gouttes, ça pleut tellement fort, plus la vitesse, que ça te fait mal. T'as l'impression que tu prends des cailloux dans la tête. Avec Yoti dans le corps, tatata partout, j'étais là, j'ai fait putain mais pendant dix minutes comme ça, t'es là, attends. J'ai dit putain, et là tu rages, là tu rages, tu vois déjà que t'en avais marre, tu voulais pas faire ton gage. Là t'es là, putain merde, gage de merde, la prochaine fois je gagne au dé. Donc là t'es plus du tout aligné avec la belle manifestation, je crois moi, t'es en mode, t'es rageux. Et là c'est marrant, j'arrive dans sa porte, je toque, j'huit ans, les clés de son scoot, son cash, et lui il voit un mec mais trempé, il rigole. Je le check ce bâtard et je me casse. C'est ça de vouloir JOD. Et comme il disait, la route tourne-tourne. C'est parfois tu gagnes, parfois tu perds. Et c'est partout dans la vie, dans n'importe quel secteur. Et c'est ok. Et c'est pas parce que tu perds et que tu rages qu'il faut s'arrêter de vouloir gagner. A la semaine prochaine.

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SUJETS ABORDÉS :

• Ma vision de la prise de risque entrepreneuriale

• Le piège de garder des portes ouvertes vers des chemins que l'on sait ne vouloir jamais prendre

• Se sentir bien vs Se sentir mieux que les autres : La différence qui change tout

• Créer une offre irrésistible - Les 7 critères pour développer une offre que mes clients ne peuvent pas refuser

• L'importance de m'engager totalement sans porte de sortie

• La puissance des "cerveaux collectifs" crée en colocations entre adultes partageant les mêmes ambitions

• Fun Fact : gage de conciergerie qui tourne mal


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ah, ce séjour à Bali me fait le plus grand bien. Je commence à avoir les batteries qui commencent à être bien rechargées. Bien rechargées. Je me suis bien remis au sport. Jiu-Jitsu, Muay Thai, basket, des fois muscu. Je fais du spa tous les jours. Quand même, Bali, c'est bon. Tu peux plus te perdre que t'es déjà perdu quand tu viens si tu sais pas ce que tu veux. Mais j'avoue, quand tu veux et que tu viens dans le menu à la carte, choisir tous les petits trucs sympas et que tu dis non à tout le reste, Oh qu'est-ce que c'est fantastique C'est fantastique D'ailleurs la petite aparté Ça m'a fait du bien, j'ai conjuré le sort De mes ligaments croisés Que je m'étais fait il y a deux ans à Bali Bizarrement quand je n'arrivais plus à tenir Tout le poids de la vie sur mes épaules Et que mon genou a lâché au basket Et j'ai conjuré le sort avec le même pote Que j'avais en face au basket Qui défendait sur moi au moment où je me suis fait les ligaments croisés Avec les mêmes baskets, c'était pas le même terrain Mais bref, plein de choses qui font que Je me sens en forme, je récupère du cardio, je fais du sport, je me sens bien. Et du coup j'ai plein de choses à te raconter dans ce nouveau journal de bord. Première chose, l'alcool. Je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Blum, ça faisait 6 mois que je n'avais pas bu d'alcool. Je vais t'expliquer, parce que spoiler alert, j'ai picolé. Et je vais t'expliquer ce que j'en ai retiré de ce moment-là, de reconsommer de l'alcool. Ensuite, je voudrais te parler de ma discussion que j'ai avec mon pote Dany sur est-ce qu'on est un bon entrepreneur et est-ce qu'on est fait pour être entrepreneur si on a une aversion au risque, c'est-à-dire qu'on n'aime pas prendre de risques. Mon pote Dany, c'est vraiment un mec brillant et un bon entrepreneur, mais est-ce qu'il l'est vraiment parce que lui a peur de prendre des risques ? Et bref, je te donnerai un petit peu le fil. de notre conversation et les leçons qu'on a tirées, la comparaison avec un autre pote qu'on connaît bien, qui lui prend beaucoup de risques, et voir comment tu te situes par rapport à eux, et surtout comment tu te situes par rapport à la prise de risque. Autre sujet, c'est pourquoi garder les portes ouvertes de choses que tu n'as pas envie de faire ? Ça va être vraiment un sujet pour moi qui... C'était vraiment ce que mon pote Sam m'avait dit, je me suis dit, c'est vrai, pourquoi on garde les portes ouvertes ? d'une thématique ou d'un chemin qu'on ne veut surtout pas prendre. C'est fou, par exemple, on va au bout de certaines études pour se dire « Oui, au cas où, j'aurai ce truc-là. » On garde la porte ouverte, c'est possible, alors qu'on sait très bien qu'on ne veut pas le prendre. Je creuserai ce sujet parce que c'est assez fou à quel point on perd du temps, de l'énergie et des années à garder vraiment de la charge mentale qu'on se met en plus à garder des portes ouvertes sur des chemins qu'on n'a pas envie de prendre. Je voudrais aussi parler du sujet de ce qui est fou dans la vie, c'est qu'on se sent bien souvent quand on se sent mieux par rapport à. Et ça pour moi, c'est une autre discussion que j'ai avec mon pote Sam, je trouve que c'est le cancer du cerveau, c'est le cancer de notre vie, c'est tout ce qu'on nous pousse à faire, c'est se sentir bien si on se sent mieux, si on est mieux que, donc par rapport à. Et du coup, ce n'est plus le sujet de avec nous-mêmes. et c'est vraiment un sujet que j'ai envie de creuser. Je voudrais aussi te partager, si en ce moment tu es en train d'avoir une offre avec des clients, comment créer une offre irrésistible, parce que là sur le cercle des solopreneurs, j'ai créé hier, grâce à mon super challenge de productivité que j'ai mis en place, qui m'a servi en premier à moi, qu'on a mis en place sur le cercle, en une journée j'ai fait 20 vidéos qui expliquent comment créer une offre irrésistible et je voudrais au moins te donner les grandes lignes et tout. tous les critères. Après, je ne pourrai pas te donner tous les exemples, mais en tout cas, te donner vraiment tous les critères qui font d'une offre qui devient irrésistible et que tes clients sont en train de se dire « mais je serais bête de ne pas l'acheter » . C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible. Ensuite, je voudrais te parler d'un thème qu'on ne parle pas beaucoup quand on a dépassé la vingtaine, mais c'est faire des colocs. En ce moment, maintenant, on dit « co-living » . C'est plus cool quand on est adulte. à Bali, je fais des co-living à Medellin. C'est-à-dire que je vis avec d'autres adultes qui ont une vie normale et qui ne font plus d'études. La puissance des colocs, je suis en train de le voir là avec mon pote Sam. Et surtout, ça m'a rappelé la puissance des colocs quand j'en avais fait aussi à Medellin avec mes potes Jerem et Germain, qui sont des gens incroyables et qui m'avaient reboosté. Et que surtout, il y a aussi, j'ai été choqué, des gens du Cercle, ça ne fait même pas un mois qu'ils se connaissent, ils se sont chauffés, ils ont fait une coloc en Espagne. Donc je voudrais te donner mon point de vue et mon retour d'expérience sur comment faire une bonne coloc et surtout quand tu es adulte et que tu as une vie et potentiellement que tu es aussi en couple et qu'est-ce que ça peut t'apporter. Et ensuite je voudrais terminer sur un sujet qui pour moi est essentiel avant de te parler du fun fact c'est... challenge-toi auprès de gens que tu estimes et brûle tes bateaux, c'est-à-dire enlève-toi la possibilité de t'échapper. Mets-toi dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que je vois la puissance d'une personne dans le cercle qui s'appelle Vanessa qui avait l'impossibilité physique de faire des face cam. Je l'ai challengée et il s'est passé des choses assez incroyables que je voudrais te parler. Et c'est vraiment par le fait qu'elle se retrouvait challengée dans un moment où je ne veux pas perdre mon honneur, etc. Bref. Je t'en parlerai dans ce sujet, c'est mets-toi dans des situations où tu n'as pas le choix, quand vraiment tu as besoin, quand tu bloques sur des sujets et que tu n'arrives pas à avancer. Évidemment, je terminerai par un petit fun fact, très drôle, qui est lié au dé, qui est lié au gage. J'en ai pris un assez drôle et je voudrais t'en parler. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. L'alcool, ah l'alcool ! On connaît bien le sujet, surtout si on est français à peu près, depuis qu'on est gamin. C'est le patrimoine ! Attention, petit verre de vin ! Du coup on connaît bien. Sauf que moi j'ai arrêté à peu près de boire depuis à peu près six mois, vraiment de façon anecdotique. Et là, moi samedi dernier, je suis à l'anniversaire de ma pote Chloé Bloom. Et alors c'est pas celle qui va picoler le plus, je pense qu'elle a pris un ou deux cocktails, sauf que son mec Chris Aude, mon pote Chris Lacchiesa, mon pote Sam... Alors mon pote Loris Monteux, non restez sages. Mais tu vois... Allez, une petite margarita, un petit truc. Et d'habitude, ces derniers mois, j'étais en mode, non, pas envie. Je suis content, j'ai vraiment atteint un niveau où c'est pas genre je me l'interdis. J'ai jamais dit j'arrête l'alcool, c'est juste, j'ai plus envie en fait. Un peu comme, tu vois, ce côté où c'est quand tu arrêtes, je sais pas, la viande pour raison écologique ou de santé. Au début, tu te dis, ah, non, j'arrête, mais j'en ai envie. Et à un moment, tu te dis, non, ça me tente plus. Ben, ça me tentait plus. Mais, en fait, moi, à la base, j'adore être bourré quand même. Je trouve ça génial. Euh, t'sais, l'ivresse, tout ça, je trouve ça génial d'être bourré. Mais, ben, pourquoi j'avais arrêté ? Ben, j'avais arrêté parce qu'en fait, c'était pas tant la gueule de bois du lendemain, c'était « arrêtez-moi la tête ! » « Non, à l'esco... » Non, c'est pas... Ça, à la rigueur, ça dure 24-48 heures. C'est un petit peu comme... En vrai, comme si tu fais une grosse séance de sport, t'as mal derrière 24-48 heures, pourtant tu refais du sport, parce que c'était cool. Bon, là, l'alcool, c'est cool d'une autre façon, mais... Justement... Pour moi, l'alcool, ça ne durait pas que 48 heures, la gueule de bois. C'était vraiment subtil et insidieux, l'impact que ça avait sur moi et surtout sur mon mental, sur mon cerveau. Je m'étais aperçu que... Je ne suis jamais quelqu'un qui est trop sorti dans ma vie, mais je n'ai jamais aimé trop l'ambiance de sortir, les trucs à Paris, dans la région parisienne ou en France. Sauf qu'en étant à Bali, il y a deux ans, et à Medellín, j'ai un petit peu rattrapé le retard. Je me suis aperçu que l'alcool me créait du doute. Tu sais ? J'étais plus aussi déterminé. Genre j'avais des appréhensions, j'étais plus aussi motivé, genre j'étais plus aussi déter, tu vois. Vraiment, t'étais déter, d'habitude avant j'étais déter. Et l'alcool, je cherchais, attends, est-ce que j'ai le jus là ? Est-ce que c'est la bonne stratégie ? Est-ce que c'est la bonne décision ? Tu sais, ça me mettait un voile de, waouh, je réfléchis, c'est nouveau, mais je réfléchis en fait en me questionnant, en doutant en fait, et non pas en me demandant quelle est la bonne solution pour avancer plus vite, mais juste je me dis, est-ce que je vais pouvoir le faire ? Et ça, je me suis dit, waouh, c'est un prix beaucoup plus cher que l'ivresse, qui est absolument génial pour moi. Je ne veux pas, en fait, douter. Je ne veux pas ce truc d'espèce de voile constant, qui est insidieux, qui est latent, que tu n'arrives pas au début à relier à l'alcool. Parce que, oh, c'est un petit verre. Oh, ce n'est pas grave. Ça détend, en vrai. Quand j'ai une journée un peu compliquée, j'ai une semaine chargée. Ouh, on a bien rigolé. Et en fait, on a bien rigolé. Ouais, j'avoue. Rangement, j'avoue. Et j'ai enlevé ça, en fait. J'en avais plus envie. Sauf que samedi soir, je suis avec les compères. Ah vas-y une margarita. Non pas envie. Allez. Et en fait moi, à la base si je bois de l'alcool c'est pour une énergie. J'ai jamais bu de l'alcool tu vois. Chez moi je m'ouvre une petite bière, un petit verre de vin. Je sais pas, c'est une énergie qui correspond à un moment de fête et que du coup l'alcool va amplifier ce moment. Et je trouve très cool. Et là le moment était très palpablement génial. Donc j'ai dit vas-y envoie une petite margarita, ça fait longtemps, j'aime bien les margaritas. Envoie la margarita. Voilà la margarita elle est arrivée. Et elle m'a envoyé direct sur Namek. J'étais là, j'étais bien, tu sais, alors si t'as déjà passé le soir avec moi, tu sais que je suis un peu chiant, parce que je suis super content quand je suis bourré. Et waouh, j'en ai pris une deuxième, parce que vu comment on était cinq, il y en a un qui a fait sa tournée, tu connais le problème. Une, deux, trois, alors là les deux premières elles m'ont envoyé, j'avais les genoux, comme s'il n'y avait plus de genoux, j'étais sur des ressorts moelleux. C'est coucou, tu rebondis un peu, tu es là, tu fais des conneries. C'était génial. J'ai passé une excellente soirée. J'avais juste oublié que le lendemain, à 10h, J'avais un paddle. Donc je me suis levé, je me réveille à 9h avec la gueule, avec un sable, arraché par la tête. Je me suis habillé, j'ai foncé au spa, à la gym où j'ai un abonnement. Bain froid, bain chaud, bain froid, bain chaud, 3 énergie balls et on est parti. Ok, ça a été. J'ai gagné le paddle en plus. Bon, pas trop grâce à moi, mais j'ai gagné le paddle. Ce que je veux dire, c'est que j'ai ressenti de nouveau cette sensation de... Est-ce que je vais pas me blesser au pas d'aile ? Est-ce que je vais gagner ? Putain, le reste de la journée, qu'est-ce que j'ai à faire ? Et tu sais, comme si ça, j'avais de nouveau, et surtout, je l'ai vraiment expérimenté et ressenti en étant à Bali, là, en étant super healthy, faire de la méditation, faire du yoga, faire du sport, bien manger, etc., avec des bonnes vibes, rigoler. Donc vraiment mental d'acier qui fait du bien. Et de nouveau me dire, oh, je me questionne. ou je doute ou je vois le j'envisage beaucoup les scénarios négatifs de chaque situation et quand je m'imagine dans le futur c'est pas genre est ce que d'un temps j'ai ça à faire après faut pas que j'oublie demain demain je trouve la motif de ou j'avais pu ça ou c'est l'alcool et ben ça m'a rappelé pourquoi je buvais plus je suis très content d'avoir picolé avec mes potes je suis très content aussi de me dire que je vais pas picolé avant un bout de temps À moins qu'il y ait une vraie sacrée ambiance de malade mental, mais ça arrive franchement rarement en vrai. Et que de toute façon, j'ai en vrai pas besoin de ça pour m'amuser du tout. C'est juste de temps en temps un truc différent. Et je te pose la question vraiment, c'est quoi ta consommation d'alcool en ce moment ? Et c'est quoi ta mentalité en ce moment ? Comment tu te sens dans ta tête ? Est-ce que tu as des voiles justement de doute, de questionnement ? Pas des questionnements qui vont dire, ok, ça c'est ça, mais ça, ça peut être mieux. Ou attends, je peux peut-être aussi faire ça, ça sera encore... plus rapide, mais que tu te dis, attends, est-ce que c'est pas du doute ? Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis capable ? Tu sais, tous ces questionnements négatifs qui te tirent vers le bas. Est-ce que t'en as en ce moment ? Et si t'en as en ce moment ? Est-ce que tu bois beaucoup d'alcool ? Et quand je dis beaucoup d'alcool, c'est au moins une fois par jour, régulièrement. Est-ce que t'ingères, est-ce que t'alimentes ton cerveau de finalement cette substance qui le rend faible, fragile, douteux et en questionnement ? Je trouve que c'était un bon rappel de me dire pourquoi j'avais arrêté. Et peut-être que toi, si encore une fois, tu as envie de te débarrasser d'un peu plus de doutes et de pensées négatives, ça peut être pas mal de commencer par là. Autre sujet maintenant, la prise de risque. Est-ce que tu aimes prendre des risques ? Parce que si ce n'est pas le cas, est-ce que tu peux être un bon freelance, un bon solopreneur, un bon entrepreneur, avoir ton activité ? C'est la question que je me suis posée quand je discutais avec mon... mon pote Dany, qui est un mec brillant qui habite à Bali, qui est dans le fitness, que j'adore, très smart, très bosseur, très technicien, mais il a peur du risque. Il a peur, tu sais, de « Ah, et si je perds tout ? Ah, et si je prends une mauvaise décision ? Ça me met dans la merde, etc. » Sauf que ça, c'est plus, en fait, une mentalité de personnes qui gardent leur argent et leur fortune plutôt qu'ils n'en font. D'ailleurs, c'est vraiment le concept que qui explique le livre « Psychology of Money » , la psychologie des entrepreneurs qui réussissent fort et qui font beaucoup d'argent, et l'opposé de celles qui savent conserver et fructifier l'argent. Parce que quand tu es entrepreneur, il faut prendre beaucoup de risques, et pour accélérer vite, et faire des paris que tu ne sais pas si ça va réussir, parce que la preuve, si tout le monde savait et que c'était sûr, tout le monde serait riche et tout le monde y arriverait. Et par contre, si tu continues d'avoir cette mentalité-là de toujours prise de risque, il y a un moment aussi... tu te plantes, c'est sûr. Et donc, tu perds tout. Et souvent, les mecs qui font beaucoup d'argent, ils ont tendance à tout perdre et tout refaire. Alors que quand tu es quelqu'un qui est plutôt quelqu'un qui gère du patrimoine, qui verrouille, là, c'est un très bon skill d'avoir peur du risque et même de les envisager tous. Si tu es un gestionnaire patrimoine et de fortune et que tu avais anticipé une pandémie mondiale à un moment donné, il te dit qu'est-ce qui se passe en cas où, tu es plutôt bon. Et c'est un peu ton taf. Et la preuve, c'est arrivé, on ne sait jamais. Et j'en parlais avec mon pote Dany, parce que justement, il est en train de se questionner dans son business. Je pense qu'il y a un moment aussi où il stagne, où il est très bon, mais où il stagne. Et en fait, je lui disais, mais je pense que ton problème, c'est que tu es dix fois meilleur que moi, tu vois, en entrepreneuriat, et en plus, tu es un peu guité de technicien. Donc avec l'IA, il y a moins que tu puisses vraiment t'amuser en ce moment. Mais le problème, c'est que tu as peur du risque. Donc en fait, les choses que tu sais devoir faire, tu ne vas pas les faire. C'est-à-dire, ou tu les fais à moitié, ou tu les fais sans prendre de risque. Ce qui fait que ce ne sont pas les bons moves. Parce que, regarde, là, en vrai, j'étais à Lisbonne avec... Un appart, j'avais des business, etc. J'ai rendu mon appart, j'ai vendu tout mes meubles en 48 heures, je suis parti à Bali. Et les 3-4 mois d'avant, j'ai shut down tous mes business et toutes mes funnels de vente pour juste créer le cercle de solopreneur. Parce que c'était un risque, parce que j'avais besoin de prendre du temps pour moi, pour comprendre la suite, pour me nourrir aussi d'un autre type de business qui m'amuse beaucoup plus, que je trouve plus humain. C'est une prise de risque. Parce que là, à l'instant T, je gagne beaucoup moins d'argent. Parce que c'est un truc que je mets en place, parce que je mise sur le calme, le silence, l'espace mental, et d'ailleurs je t'en reparlerai dans un autre journal de bord, mais que j'essaie de créer dans mon esprit pour... Je prends un risque pour me dire peut-être que je vais trouver une meilleure idée. Quand je dis meilleure, c'est pour moi, qui m'épanouit plus, qui me permet d'avancer plus vite, plus fort, et surtout, level up, tu vois ? Et pour ça, si je me raccroche toujours à tous les boulets que je traîne et que j'ai peur d'en lâcher un parce que je me dis... Ouais mais celui-là il me rapporte, je sais pas, il me rapporte 10, je peux pas lâcher parce qu'imagine je lâche 10, je sais pas si je vais pouvoir récupérer 10 derrière, ou même 20, tu vois, genre, ouais mais en fait tu sais pas, parce que si tu lâches 10, t'as plus rien dans les mains, ok, mais ça te permet de récupérer un truc dans ta main qui vaudra peut-être 100, 1000, 10 000, et c'est vraiment ça en fait, moi j'ai souvent pris des risques, j'ai souvent tout lâché, et à chaque fois ça m'a permis de level up, soit humainement, soit en termes business. J'étais directeur de clientèle en régie pub, je claque madame pour réaliser mon rêve, faire le tour du monde. Je lâche tout, je lâche un job très bien payé alors que je n'ai pas fait d'études. J'ai un statut, je suis propre, je suis bien installé dans le truc parisien, la pub, les régies pub, etc. Je claque madame. Et en fait, qu'est-ce qui s'est passé ? Il s'est passé un des trucs les plus beaux de ma vie, si ce n'est le plus beau. C'est-à-dire que j'ai réussi à avoir un job qui n'existait pas et dont je rêvais. C'est-à-dire... T'es payé pour voyager, tu donnes aux gens envie de voyager, t'es payé pour ça, t'es influenceur voyage. Et puis au moment où je suis encore au top, dans le top 2, 3, 4, 5, j'en sais rien, et que j'ai toujours des missions, que je fais toujours des trucs de ouf, j'arrête tout. J'arrête tout pour me dire, ok, je sens qu'il faut que je fasse autre chose. Je sens que j'ai besoin de grandir, d'évoluer, donc je prends un risque, j'arrête tout. Sans savoir trop ce que j'allais faire. Puis je pars à Bali, puis j'invite des potes, je me fais un peu mon think tank, mon grand brainstorming géant avec des potes, pendant 2-3 mois, et ok, je lance un business en ligne. Je lance un business en ligne, ok. C'est cool, j'apprends des choses, je fais de l'argent, je fais plus d'argent. Et derrière, en fait, ça ne fait plus de sens. Et là, boum, je shut down mes business, je lâche mon appart et je reviens aussi à Bali. C'est marrant, cette phase de réflexion, je reviens souvent à Bali. Et c'est des prises de risques à chaque fois parce que je ne sais jamais ce qui se passe sans le faire avant. C'est-à-dire que quand j'ai lâché l'influence voyage, je gagnais très bien ma vie. J'avais pas de... de temps pour moi, mais je faisais que des trucs que je kiffais, mais c'est juste qu'il fallait que je fasse autre chose. Donc j'ai monté un business, j'ai fait plus d'argent en CA, j'en ai fait beaucoup moins pour moi, parce que finalement, j'ai fait beaucoup de charges, j'avais une équipe extérieure, mais j'ai appris de fou sur le management, sur le business, sur le business en ligne, sur plein de choses, en fait, qui font que je suis devenu un meilleur être humain personnel et professionnel, et que là, je sens que j'ai paré, je stagnais, qu'il fallait que je me débarrasse de certaines choses. En termes business, c'est pareil aussi. Des fois, tu accumules, tu accumules, tu accumules, et en fait, tu accumules des trucs qui ne te servent pas tant que ça, qui te desservent plus qu'autre chose. Et qu'il faut faire l'effort de se dire, je me débarrasse de tout ça, je garde l'essentiel qui m'est... Tu vois, typiquement, quand je rends mon appart, c'était bien, j'avais un camp de base. Mais tous ces meubles que j'ai pris le temps d'acheter, qui sont stylés, que j'aime bien, est-ce que ça m'a été vraiment utile d'être une bonne personne et me sentir heureux ? Non, pas du tout en fait. Je peux en racheter, ce ne sont pas des meubles... Sur le moment, tu es là, tu as passé du temps, tu les aimes bien, mais... C'est juste parce que ça crée une espèce de forme de stabilité et que j'aime beaucoup. Mais Lisbonne, c'était 50% ce que je voulais. Donc ça veut dire que c'est 50% ce que je ne voulais pas. Et vu que j'aime bien vivre avec panache et avec intention, et pas par dépit de me dire « Ah, c'est à peu près ce que je veux » , ben non, c'est pas ce que je veux, c'est pas grave. Et j'y vais, je prends un risque. Et pourquoi je te dis tout ça ? C'est que je pense que Dany, aujourd'hui, s'il n'a pas réussi à la hauteur de ses connaissances, de sa force de travail et de sa technicité, c'est parce qu'il a peur de prendre des risques et du coup il avance. Il fait des tout petits pas. Sauf qu'en ce moment, la vie va à mille à l'heure. Et que du coup, il faut apprendre à aimer le risque. Parce que quand tu aimes le risque, moi j'adore ça en fait, j'adore l'inconnu, j'adore l'improvisation, j'adore les surprises. Ça me permet de... C'est ce que le voyage a développé. Dès que j'allais quelque part, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Il fallait que je filme, que je vive un truc, que je le retransmette. Mais ça, ça te permet de voir chaque situation non plus comme un problème, mais comme une opportunité. Et surtout d'aimer d'autant plus l'idée de ce que tu peux peut-être avoir plutôt que ce que tu as déjà. Et d'un côté, on dit souvent, c'est mieux vaut un tien que deux, tu l'auras. Donc mieux vaut en fait ce que t'as déjà là qu'un peut-être x2 de ce que t'as là mais que tu sais pas si tu vas... Bah ouais mais ça dépend en fait parce qu'il y a des moments dans la vie où il faut le tenter. Et si ça passe, parce que des fois ça ne passe pas, parce que c'est la vie et qu'à chaque fois que tu prends un risque tu ne réussis pas, c'est pas ça la vie. Et souvent il faut que tu prennes plusieurs fois des risques pour y arriver. Moi j'ai du bol, j'ai réussi à la hauteur à chaque fois de ce que je voulais, je me suis jamais planté. Parce que la prise de risque en vrai, quand tu lâches ton appart... que tu shut down tes business, « Oh merde, j'ai plus rien, j'ai presque plus d'argent qui rentre par rapport à avant. » Ok. J'ai fait un business quand même qui me fait largement payer mes factures, qui me fait en plus me sentir bien parce que j'ai un impact de ouf sur les gens, que ça leur apporte quelque chose. Donc jusque-là, tout va bien. Et en plus, j'ai des investissements et j'ai de l'argent de côté. Quel est le vrai risque ? Le vrai risque, il est dans mon égo. Ça pique mon égo de me dire « Ah, tout à coup, mon niveau de vie va baisser. Je ne peux plus me permettre peut-être de faire autant de trucs que je voulais. Je vois mes économies qui descendent. » Du coup, psychologiquement, je me sens à l'ouest. Non, je m'en fous, en fait. Ces phases-là de régression, entre guillemets, de reprise d'élan, elles sont là pour me permettre d'être sereinement en train de prendre des risques et du coup, de pouvoir atteindre des niveaux et choper des opportunités que les autres ne sont pas prêts à prendre. Et c'est pour ça que j'étais à chaque fois le mec qui se démerde pour avoir un job sans études et qui devient directeur de clientèle parce que j'y vais. J'y vais à fond, en fait. Et parce que j'obtiens le premier en France un job que tout le monde rêve, un influenceur voyage, parce que j'y vais. Parce que pendant deux ans et demi, j'étais sur mon canapé chez des potes, et je ne savais pas comment j'allais gagner de l'oseille, ou comment, et je me suis démerdé. Et j'ai réussi, j'ai pris des risques. J'aurais pu pendant deux ans et demi, sans savoir si j'allais devenir influenceur voyage, parce que le job n'existait pas, me dire, bon vas-y, c'est bon, ça va cinq minutes, les conneries, je reprends ma petite vie confortable d'avant. Non, j'ai fait ça. Donc la question elle est là en fait. Si tu es en freelance, si tu as un business, Est-ce que t'aimes le risque ? Est-ce que t'aimes le risque qui va te permettre de peut-être, je sais pas, trouver une forme d'offre, de business qui va te permettre de gagner plus et de travailler moins ? Mais peut-être sur l'instant, peut-être que ça va foirer et que t'auras plus de clients. Est-ce que t'aimes le risque pour lancer un nouveau projet et arrêter tout ce que t'as toujours fait jusque-là et qui est ton acquis pour faire quelque chose qui te fait plus vibrer, qui a peut-être encore plus de potentiel ? Est-ce que t'es capable de faire ça ? Ou est-ce que t'as peur ? Parce qu'en fait, tu te dis... Non, je le fais juste sur le temps qu'il me reste, les 20%. Mais les 80%, je garde pour être sûr qu'au moins là, je fais rentrer de l'argent, etc. Et tu ne prends pas de risque. Tu réussiras à hauteur de 20%, en fait. C'est-à-dire pas ouf. Donc la question est là, en fait. C'est quoi ta capacité à prendre des risques ? Et si elle est haute, et que tu sais te relever à chaque fois que tu te plantes, il y a des chances que bientôt tu réussisses. Ce qui m'emmène sur le sujet suivant, pourquoi est-ce qu'on garde les portes ouvertes de chemin ? qu'on sait pertinemment qu'on n'a pas envie de prendre. Tu sais, comme si genre, au cas où, ces études qu'on va jusqu'au bout, même si on sait très bien qu'on n'ouvra jamais ce métier, mais au cas où ça ne marche pas dans l'autre truc que j'aimerais bien faire, au moins j'aurai ce diplôme-là, qui va pouvoir me permettre d'être très malheureux le reste de ma vie dans ce métier que je n'aimerais pas. Super. Je garde un peu la porte ouverte avec une ex, tu sais, genre, on s'envoie des messages, parce que... En vrai, je veux pas me remettre avec, mais si vraiment je trouve personne, ok, je peux peut-être me remettre avec pour être sûr d'avoir une relation misérable et toxique tout le reste de ma vie, tu vois. Wow ! Qu'est-ce qui fait qu'on veut se rassurer avec des choses qui, on sait, nous rendent malheureux ? Pourquoi ? En quoi c'est rassurant ? C'était une réflexion que j'avais du coup avec mon pote Sam, parce que putain, au-delà de se foutre des gages, de jouer au dé, de faire du jiu-jitsu et tout, on a des discussions qui nous font sauter la cervelle. Et je t'en partage à chaque fois un petit peu, une infime partie de tout ce qu'on se dit. Mais j'ai trouvé ça ultra pertinent en fait. Je me suis dit, ok, en ce moment, quelles sont les portes que je garde ouvertes de chemin que je sais ne pas vouloir prendre ? Et je me suis dit déjà, il y en a une que j'ai refermée et que je suis plutôt fier, qui était celle de mon appart à Lisbonne. de vouloir m'ancrer absolument, donc j'ai testé Lisbonne, donc si j'ai testé c'est forcément une réussite, non, tu peux tester, c'est pas ça, c'est pas loin, mais c'est pas ça, donc ça j'étais content. Et je me suis posé cette question, j'ai un peu fait genre, ok, quelles sont les choses que je garde ouvertes, en ce moment j'ai quand même fermé plein de portes, plein plein de portes, et je suis très content de, j'ai fermé la porte du business de vente des formations, en fenelle de vente, etc, parce que... en ce moment, cette façon-là ne me convient plus. Et en fait, c'est ça, c'est fermer les portes au moment où ça ne fait pas de sens. Ne pas les garder ouvertes, parce que tu vas dire, oui, mais plus tard, ça fera du sens. Oui, mais en fait, tu évolues. jamais vraiment trop refait et en fait on le sait très bien pour reprendre l'exemple des ex des fois c'est bien c'est facile on peut retourner tu sais mais comme quand j'étais retourné à paris l'année dernière ah ouais putain c'est vrai que paris c'était cool quand même ça a changé c'est trois mois j'y vais et je comprends pourquoi je me suis barré parce que tu sais en fait au fond de toi et j'ai fait un petit bilan comme ça j'essayais de me dire mais quelles sont toutes les choses que je laisse ouvert que que j'entretiens et Et qu'en fait, ce n'est pas du tout la bonne façon que je l'entretiens. Peut-être qu'il faut que je le fasse évoluer d'une autre façon pour fermer la porte d'une approche pour en avoir une autre et que c'est une relation plus saine, que ce soit dans l'amitié, que ce soit dans le business, que ce soit dans des opportunités, que ce soit dans des lieux de vie. Mais c'est juste une réflexion que je voulais te partager, te demander, fais le bilan, fais un petit tour d'horizon. Quelles sont les portes en ce moment que tu gardes ouvertes de chemin que tu sais pertinemment que tu ne voudras jamais prendre ? Autre réflexion que j'ai au cours d'une discussion avec mon pote Sam, c'était souvent, on se sent bien quand on se sent mieux. Et vraiment, on a bloqué, on s'est dit, putain, mais c'est fou de se dire que la plupart du temps, on est foutu d'arriver à se sentir bien parce qu'on se sent mieux que quelqu'un, parce qu'on voit qu'on a plus que, qu'on a plus réussi, qu'on a plus d'argent, qu'on a plus de confort. Et que c'est rassurant, en fait. Ah ! Moi, je suis bien, moi, puisque j'ai quand même... Là, j'ai plus que cette pauvre personne. Ou que j'ai réussi parce que là, au moins, j'ai fait plus que la moyenne. Et je me suis dit, waouh ! C'est fou, quand même, de se dire que le fait de se sentir bien, la plupart du temps, sans qu'on s'en rende compte, c'est lié au monde extérieur et à la réussite des autres. C'est même pas lié à la nôtre, puisque c'est lié à... Comment notre réussite vient se positionner par rapport à la réussite, ou en tout cas le bien-être, ou à la vie des autres ? C'est quand même une belle formule pour être bien malheureux toute sa vie, cette merde-là. Au lieu de se dire, est-ce que moi je me sens bien en fait, avec ce que j'ai ou comment je veux l'être en fait, et que si les autres ils ont 100 fois plus que moi... Tant mieux, ça ne veut pas dire que je me sentirais moins bien. Si je suis bien, parce que, tiens, regarde, je suis à Bali. Je ne sais pas où je serai dans quatre semaines, concrètement, c'est le cas. Dans un mois, un mois et demi, je ne sais pas du tout ce que j'ai. J'ai baissé mon chiffre d'affaires de peut-être fois dix, au moins fois dix. Et que je prends soin de ma... Je poste quasiment plus sur les réseaux ou très peu. Je prends soin de ma santé. Est-ce que je me sens bien ? Oh putain, qu'est-ce que je me sens bien ? Ma charge mentale, elle est presque au minimum. J'ai de l'oseille pour faire ce que je veux. J'ai du temps pour moi. Je me sens archi bien. Et du coup, est-ce que le fait que d'autres personnes qui, sur les réseaux, sur mon secteur, vont faire x10 par rapport à moi, vont avoir x10 en termes... de biens immobiliers, de biens matériels, de richesses extérieures, d'expériences. Ils vont faire des expériences de ouf, peut-être plus ouf que moi, je ne sais pas. Est-ce que ça fait que mon bien-être, il est moins bien ? Est-ce que ça enlève de mon bien-être ? Non. Ça l'enlève si tout à coup, tu te demandes si ton bien-être, tu le remets sur une échelle de nulle attitude, ou de bien-attitude. Moi, je suis bien, en fait. Et en plus... avec ma petite expérience de la vie. Je sais très bien en plus que les gens qui ont des énormes chiffres d'affaires, déjà chiffre d'affaires c'est pas bénéfice les grands, je préfère vous le rappeler, tu peux faire un million si t'as 1900 000 en pub, c'est pas un énorme bénéfice tu vois. Et puis pour avoir fait beaucoup de cercles d'hommes ces derniers temps, de passer du temps avec des entrepreneurs depuis des années, je peux t'assurer que peu importe ton niveau social et ta réussite, en fait ça n'a rien à voir avec ton bonheur. Vraiment, ton bonheur intérieur, comment tu te sens vis-à-vis de toi-même, vis-à-vis de tes peurs, vis-à-vis de tes parents, vis-à-vis de tous les traumas que tu traînes en fonction de ton historique, ça n'a rien à voir en fait. C'est vraiment, ça va t'aider en fait, le travail et l'argent à faciliter certaines choses. C'est sûr que si tu as du mal à payer de la bouffe et un toit, clairement, ça va t'aider. Mais au-delà de ça, se sentir mieux que... C'est nul à chier parce qu'en fait tu t'apercevras que la plupart des gens se sentent pas bien déjà. C'est triste à dire, mais la plupart des gens ne se sentent pas bien. Ils sont torturés, ils ont des mal-être, ils n'ont pas une grande estime d'eux. Et souvent, ils font croire que pour s'auto-persuader, mais tu le vois en fait, qu'ils ne sont jamais assez, qu'ils doutent. Et crois-moi, j'en connais plein. Et il y a très très peu de gens, je me suis dit, « Waouh, je veux être cette meuf ou ce gars-là. » Genre, « Waouh, ancré, bien dans sa peau, il fait ce qu'il kiffe, ça marche bien, etc. » Il n'y en a quasiment pas. Parce qu'il y a toujours des trucs où je me dis, « Oh, ouais, en fait, c'est comme le podcast que je disais la dernière fois, est-ce que tu prendrais tout le package de sa réussite, qu'elle a l'air bien ? » Parce qu'en fait, tu ne sais pas, mais il a des douleurs chroniques, des maladies, ou alors en fait, il a un stress de ouf, etc. Donc, c'est vraiment de se dire, mais... Est-ce que tu te sens bien ? Oui ? Non ? Ok, non. Qu'est-ce qui te fait, toi, te sentir bien ? Moi, en ce moment, ce qui me fait me sentir bien, typiquement, c'est pas de parcourir le monde comme un taré et de rencontrer des gens et de faire des expériences qui peuvent même pas s'acheter tellement c'est formidable, parce que ça a été le cas et ça me rendait heureux, fois un million. Aujourd'hui, c'est pas le cas. Du coup, je vais pas me comparer à toute la jeune génération qui refait des trucs que je faisais avant en me disant... Et ça me traverse l'esprit, justement, des fois. Quand j'essaie de me sentir bien... en me sentant mieux. Tu vois, je me dis, ah putain, c'était bien le bon vieux temps, c'était cool. Je ne fais plus tous ces trucs-là. Du coup, ma vie, elle est... Tu sais, dans ces moments de doute, ma vie, elle n'est plus aussi bien qu'avant. Mais en fait, quand je me reconnecte à est-ce que je me sens bien, pas mieux, mais bien, je dis, ben, en fait, moi, ce que je veux, ce qui me fait me sentir bien, c'est pas de charge mentale. Parce que j'en ai eu tellement dans ma vie qui m'a tellement permis d'encaisser un stress monumental pour faire des choses... incroyablement insane qui me marquera et que peut-être personne pourra vivre et que c'est formidable cette vie mais aujourd'hui c'est pas ça donc en fait je m'en fous de me comparer ou d'essayer de me dire que lui il a plus ou mieux puisque en fait moi ce que je veux là c'est au contraire petite vie là où je me ressente sur moi grandir humainement spirituellement être bien avec moi même être l'homme que j'ai envie de devenir comme me connecter à la version héroïque de moi même quand je quand j'agis me dire Est-ce que c'est ça l'homme que je veux être ? Est-ce que c'est ça l'homme héroïque, la version héroïque de moi-même ? Est-ce qu'elle ressemble à ça ? Ok, je vais méditer, je vais faire du sport, je vais beaucoup rigoler, je vais apprendre des choses, je vais avoir du temps pour moi, en fait. Parce que c'est la chose la plus précieuse qu'on bafoue. Ok, c'est ça en ce moment, me sentir bien. Mais si je comparais, encore une fois, si je me sens bien, si je me sens mieux que... Oh, il y a plein d'entrepreneurs. Putain, lui, il ne fait que travailler. Putain, lui, il a fait 2 millions ou il a fait 300 000 le mois dernier. Oh putain il fait trop bien du sport. Oh là là lui putain je suis à la salle de sport, il a plus de muscles, il a l'air d'être plus fit. Je suis malheureux, je rentre, laisse tomber c'est l'enfer. Alors que j'avais une vie chanmée. Donc en ce moment je suis en mode, wow, trop cool les muscles qu'il a. Putain ça me motive, peut-être que je me motive en plus à venir un peu plus à la salle. Wow. Les petits oiseaux, c'est trop cool. Ça me fait du bien de les regarder et de juste refaire. Il faudrait que je prenne plus le temps de m'asseoir et juste me reconnecter à la nature et marcher les pieds dans l'herbe, ce que je fais de plus en plus souvent. Ça fait un kiff de passer un moment avec des potes, de rigoler, de jouer au basket. Il faut que je le fasse plus. C'est tout. Et donc la question que je t'envoie, c'est en ce moment, est-ce que tu te sens bien ou est-ce que tu te sens bien parce que tu te sens mieux par rapport à ? Pose-toi la question. Maintenant, parlons un petit peu business. Comment créer une offre irrésistible ? Ça s'est tiré beaucoup aussi du livre de Lex Ormosi, The 100 Million Offer. L'offre à 100 millions de dollars. Une offre que, lorsqu'un client la verra, il dira qu'il serait bête de ne pas la saisir. C'est vraiment ça le but d'une offre irrésistible, c'est de se dire, pour toute la valeur qu'il y a dedans, je ferais vraiment... bête de ne pas la prendre, c'est débile de passer à côté d'une opportunité pareille. Hier, sur mon charge de productivité que j'ai lancé sur le cercle des solopreneurs, le premier jour c'était filmer tout le module de connaissances sur comment créer une offre irrésistible. J'ai fait les 20 vidéos, plus le support, et du coup je voulais quand même te donner, évidemment ce ne sera qu'un résumé, parce que je ne vais pas pouvoir te détailler les 20 vidéos, ça a pris un petit peu de temps, mais je voulais quand même te partager si en ce moment justement tu sens que... tu as du mal peut-être à vendre ton service, ton produit, ou que tu as peut-être envie de l'améliorer, de l'affiner, de le rendre encore plus irrésistible. Donc déjà, qu'est-ce qu'une offre ? Une offre, ce n'est pas un produit ou un service. C'est comme une expérience que tu vis. Et c'est quand tu es client, évidemment. Je vais te donner un exemple. Un bar, un cocktail, c'est que tu vends un produit. Par contre, une offre, ce serait, tu es un bar, tu vends un cocktail, une plus. Un cocktail acheté, un cocktail offert, plus des pop-corn salés à volonté, ça c'est quand même plus attrayant. Si t'es garagiste, ton produit et ton service c'est un changement de pare-brise. Ok, une offre ! Qu'est-ce que ça pourrait être ? C'est un changement de pare-brise, mais avec garantie que le changement se fait dans l'heure qui suit, et sans rendez-vous, avec un espace détente et avec un café gratuit. Waouh, ça c'est une offre. Ça c'est quelque chose qui va être plus attrayant, pour qu'on se dise, déjà, pourquoi j'en choisis ? Entre deux garagistes et deux bars, pourquoi je te choisis ? Parce qu'il y en a un qui a une offre, et pas juste une vente de produits ou services. Et comment on crée une bonne offre ? Déjà, une bonne offre, ça répond à un besoin existant et vérifié. Donc tu ne crées jamais une offre qui est, selon toi, ça peut être top. Tu demandes à tes prospects, tu demandes à tes anciens clients, tes futurs clients, tu leur demandes ce qu'ils veulent. Ensuite, il y a un autre truc, c'est qu'une offre est une transformation. C'est une solution à un problème. Quand tu vends quelque chose, un produit, un service, c'est une solution à un problème. Donc c'est une transformation. Donc demande-toi toujours, quand on vient chez toi, et c'est pareil pour le garagiste, la personne va aller du point A au point B. avec ton service. J'ai un pare-brise cassé et je repars avec un pare-brise qui est, et en plus je l'ai fait dans des conditions totalement agréables avec mon petit café, mon espace détente, et en moins d'une heure. Et c'est vraiment une transformation que tu vends. Donc quand tu crées une offre, demande-toi où est ton client et quel est son problème, sa situation initiale, et où tu l'emmènes grâce à ton offre. Ensuite, il faut que tu trouves quand tu veux créer une offre irrésistible une façon de te démarquer, un point différenciant. Souvent c'est une méthode. une approche un peu particulière, ça peut être aussi une ambiance, ça peut être des bonus en plus, ça peut être, tu vois, si tu vas dans un spa, tu sais que dans ce spa, il y a toujours le petit thé qui va bien, avec, je sais pas, une petite collation, fête maison, bio, etc. Des petites choses qui te démarquent, qui font que, ah, j'ai pas ça ailleurs, et que c'est très spécifique de là où tu vas. Donc c'est pour ça que quand tu crées, souvent dans les formations en ligne, dans les services en ligne, dans les services digitaux, chacun sa méthode la méthode de kraft webicraft la méthode digibus parce que en fait bon bah c'est ta méthode et c'est peut-être une méthode qui a 95% similaire à toutes les autres mais avec les 5% différenciants ça permet de différencier justement sur enfin qui a 95% similaire et que tu as 5% différenciants qui vont permettre de dire c'est toi c'est ton truc ta façon et c'est comme ça qu'on te on se rappelle de toi tu vois moi j'avais ma formation personnel branding s'appelait brandé au impact Il y a une vraie approche aussi pédagogique, tu vois. Pour ceux qui l'ont fait, ils sauront, c'était, il y avait des modules à savoir, des passages d'action, et chaque passage d'action, je m'y soumettais, et j'avais aussi, je montrais mon exemple. Et ça, ça les avait vraiment marqués les gens. Donc tu as vraiment une approche, tu vois, aussi pédagogique, ça peut être ça. À partir de ça, tu dois créer ton offre principale. Donc c'est ton service, donc concrètement, je ne sais pas, si tu es prof de fitness, ça va être perdre tes 10 kilos en 3 mois en étant musclé. etc. Donc c'est vraiment, ça peut être si t'es web designer ou copywriter, je sais pas, web designer ça va être ton site design clé en main en deux semaines, copywriter c'est ta séquence mail plus ta page de vente en trois semaines, etc. qui va générer, et qui aura 10% de taux de transfo, un truc comme ça. Et ensuite, le but c'est vraiment d'y mettre tout un cheptel aussi de petites offres qui vont faire, enfin de ... d'éléments qui vont faire que ce n'est pas juste un service ou un produit, mais bien une offre. Tous ces petits éléments, et je vais te le dire juste après. Une fois que tu as ton offre principale, s'il y a bien un truc, c'est que, par du principe que personne ne crée une offre parfaite du premier coup. Donc, dis-toi que ton offre, tu dois faire l'offre la plus simple, la plus rapide et la moins chère possible immédiatement. C'est obligatoire. Parce que si tu n'es pas foutu devant un truc simple, rapide et pas cher tout de suite à quelqu'un qui te connaît à peu près, Tu testes sur des amis, sur des anciens clients, etc. Comment tu veux faire ? Vendre un truc compliqué à des gens qui ne te connaissent pas et qui ne te font pas confiance. C'est impossible. Donc, une fois que tu as à peu près ta V1 de ton offre, teste-la. Teste-la, confronte-la, essaie-la, offre-la, prends des retours, optimise, teste, teste, teste, optimise, fais toujours ça. Donc, au début, tu l'offres gratuit. Au début, tu peux faire aussi des petits prix. Et après, tu essaies de le vendre en one-one et tu testes. Et une fois que tu commences à avoir un vrai truc, OK, là, c'est cool. Comment, une fois que tu as ta vraie offre, tu la rends justement, c'est cool. comment tu es pour une offre, et donc, pas un produit, un service, mais ton offre, tu la rends irrésistible. Plusieurs éléments. Un, il faut énoncer clairement les bénéfices. C'est tout con, mais genre, en fait, si je ne sais pas pourquoi je viens, et je peux essayer de donner quelques exemples que j'avais aussi notés sur les différentes choses, mais c'est énoncer clairement les bénéfices de ton offre, encore une fois, parce que toi, tu sais ton offre, tu sais ce qu'elle va apporter. Et en fait, tu es juste en train de dire, voilà, je vais te vendre un massage ayurvédique d'une heure. Ok, ce n'est pas une offre. En fait, les bénéfices, c'est en moins d'une heure. c'est réduction de 80% du stress, c'est plus de courbatures, c'est une mobilité retrouvée, c'est un moment de bien-être pour soi, c'est une petite musique qui va nous... Tu vois c'est tous ces avantages, tous ces bénéfices. Et quand tu énumères les bénéfices, pense toujours à deux choses. Les gens ils achètent pour deux grandes raisons majeures, c'est ils évitent la douleur. Donc en gros ils achètent pour résoudre un problème. Ben j'ai pas assez d'argent, j'achète une formation pour mieux vendre. pour avoir un copywriter parce que je ne vends pas assez ou gagner du plaisir ils achètent pour obtenir ce qu'ils désirent depuis longtemps j'achète je sais pas je prends un coach en prise de parole en public parce que en fait je désire mieux parler et être inspirant en public je prends un coach de séduction parce que ben en fait tous mes dates y foirent et que j'aimerais trouver quelqu'un donc j'ai ça et dis toi que ce qui est toujours plus puissant c'est quand les gens ils veulent éviter les bénéfices d'éviter une douleur qui devient insupportable c'est pour ça que dans le marketing on dit toujours Quel est le problème le plus brûlant qui empêche de dormir tes clients la nuit que tu peux résoudre ? Et c'est ça ton offre. Parce que c'est ça qui va faire que... En fait, c'est pareil. Si t'as des impôts et que t'es administratophobe et que t'as tout à remplir, si t'avais juste à appuyer sur un bouton pour qu'en un clin d'œil ce soit fait, tu serais prêt à payer combien ? Mais en fait, genre, vas-y, tu sais quoi ? Tu dis, vas-y, je mets 5000 balles alors que ça vaut 300. Mais t'es tellement en mode... Toi, en tant qu'administratophobe, c'est tellement un truc brûlant et horrible, t'es prêt à le faire. Donc c'est dans chaque... chaque profil client, il y a des points de douleur horribles qui les concernent eux, parce que c'est eux, et bien c'est ça que tu dois trouver. Et c'est dans ces bénéfices qu'il faut vraiment les énumérer. Ensuite, il y a vraiment pour rendre une offre irrésistible, c'est augmenter la valeur perçue. Augmenter la valeur perçue, c'est en fait, tu as une vieille paire de pompes qui traînent dans un placard, en fait elle n'a jamais été ouverte, ça vient d'un truc vintage, mais dans un vieux carton, bon bah ouais, tu en achètes 50 balles. En fait, la même paire, tu la mets sous cloche dans une vitrine après Trendy à Paris. elle vaut 600 balles, tu te dis « Oh, mais mon Dieu, mais elle est géniale, édition limitée, elle a les mêmes paires de pompes. » Tu vois, la valeur perçue. La plupart des gens, c'est jamais un problème de prix quand les gens ne veulent pas acheter, c'est que c'est souvent un problème de valeur. Ils disent que « Non, ça n'a pas la valeur que j'imagine. » Donc c'est à toi, si tu trouves que c'est trop cher, de montrer la vraie valeur et de te démerder pour qu'en fait, ils se disent « Waouh, mais ça a une valeur de ouf et ça ne vaut que 500 balles. » Et tu as l'impression que ça en vaut 5000. Autre chose, c'est prouve que ton offre, elle est honnête et bien intentionnée. Dans une offre irrésistible, c'est important de dire pourquoi tu le fais. Qu'est-ce qui fait que c'est quoi ta mission ? Typiquement, tu vends une formation en immobilier, toi tu te dis que tu veux que tout le monde puisse se créer des revenus complémentaires et avoir une vie décente que je n'ai pas pu avoir dans mon enfance. C'est pour ça que je fais ce produit. C'est la démarche, elle est honnête. D'autres, ça peut être le prof de cours de yoga qui est à 45 euros. Ils vont dire qu'on est convaincus que la pratique du yoga devrait être accessible à tous et on vous propose des tarifs adaptés. sur votre honnêteté de solidarité en fait c'est 45 euros mais ça peut être 40 30 ou 25 en fonction de ton niveau de revenus tu vois et est en fait tu tu tu ça permet vraiment de justifier te dire ok je comprends la démarche je comprends le prix parce qu'il encore une fois quelqu'un un des blocages des gens pour acheter c'est la confiance vis-à-vis de toi vis-à-vis de ton produit vis-à-vis de ta méthode tu vois donc c'est important de vraiment essayer de donner un maximum de confiance autre chose pour rendre une offre irrésistible faut que tu aies des témoignages tu montes sur scène tu dis que Je ne sais pas, moi je monte sur scène, je dis « Ouais, j'étais le premier influenceur voyageant en France, j'ai été récompensé, j'ai traversé voilà les pays et tout. » Waouh, le mec qui se la raconte. Tu as un mec qui dit la même chose avant que je monte sur scène, le même texte. Les gens vont dire « Waouh, trop cool, putain, trop bien le mec, il va être inspirant. » Tu vois, donc si tu as un argument, mieux vaut toujours que ce soit dit par quelqu'un qui sur le papier est désintéressé de le dire, et juste l'a vécu et est content de le partager. C'est beaucoup plus puissant. Autre, dans une offre irrésistible, on élimine les risques. Il faut toujours que ce soit toi qui prenne le risque. C'est-à-dire que moi en vrai, j'achète un produit. Je me dis, bah ouais, je vais mettre mon argent, mais est-ce que ça va vraiment répondre, encore une fois, à mes attentes ? Et est-ce que je ne vais pas perdre mon argent ? Est-ce que la méthode est bien ? Est-ce qu'en fait, le gars, il est pertinent, etc. ? Inverse le risque. Bah ouais, ok, garantie satisfaite ou remboursée, je ne sais pas, sous 14 jours. Ça peut être aussi de te dire que si, je ne sais pas, tu es copywriter, si par exemple, ton CA, il n'augmente pas avec ma séquence mail, je m'engage à refaire la séquence mail jusqu'à temps que tes taux d'ouverture et ton taux de C.I. l'augmentent. Prends le risque sur toi, et donc c'est bien parce que ça t'oblige à avoir une offre qui est carrée, qui est béton. Et du coup, si la personne en face se dit « De toute façon, j'achète, mais si ça ne me va pas, si je n'aime pas, ou si ça n'atteint pas les objectifs, je suis remboursé » , il n'y a pas de raison. Ça devient irrésistible. Il n'y a pas de raison que je ne le prenne pas. Et l'autre, c'est, un des deux derniers critères, c'est créer de l'urgence. C'est con mais on est des êtres humains et que ben si on peut le faire demain on le fera demain et demain ça veut dire jamais. Donc créer de l'urgence. Vraiment c'est ultra important de créer de l'urgence et de te dire bah quand tu crées de l'urgence ça peut être nombre de places limitées, ça peut être un compte à rebours, ça peut être des bonus que tu supprimes au fur et à mesure, ça peut être des coachings ou je sais pas des bonus en plus si tu prends tout de suite maintenant ou dans les dix premiers etc etc. Ultra important de créer de l'urgence, il y a plein de façons de créer de l'urgence. Ensuite, la dernière chose, c'est que ce soit facile à obtenir. Une offre irrésistible est facile à obtenir. Il n'y a pas de « oui, alors tu laisses ta carte bleue, ensuite on t'envoie un lien, il faut que tu télécharges l'appli, que tu crées un compte » . En fait, le master, ce ne sont pas forcément des gens que j'apprécie, mais là-dessus, de la livrabilité la plus facile du monde, c'est Amazon. Achat en un clic, livraison le lendemain. Terminé, bonsoir. Tu ne peux pas faire mieux. C'est tout, c'est chez toi, tu es en un clic. t'as même pas besoin de rentrer tes trucs, ils ont fait le truc en un clic. Donc demande-toi toujours comment tu peux en arriver là. C'est au moment où la personne veut acheter ton produit, tiens, si t'es en call, est-ce que tu peux leur envoyer un lien Stripe ? Et que quand le lien Stripe il est payé, est-ce qu'il y a un mail automatique qui envoie des accès à ta plateforme, à ton calendrier pour prendre le premier rendez-vous, pour le truc, le machin ? En fait, comment tout peut être tellement simple et fluide, on dit « Waouh, ça a l'air magique » . Et c'est vraiment ça que... Si tu veux un super bouche à oreille, un super onboarding, etc. et que ton offre aussi elle se propage, c'est « Ah non mais j'ai fait ça, c'est magique le truc, ça marche tout seul, c'est trop fluide, c'est trop agréable. » On en connaît des applis comme ça, des services où t'arrives, « Tout est fluide, tout est… » Et ça fait tellement du bien. Du coup, ça tu le recommandes. Donc voilà, j'essaie de te faire en extrêmement rapide, parce que j'ai des milliers d'exemples à te donner dans chacun des secteurs, de quelle formule aussi tu dois écrire, le bénéfice client, toutes ces choses-là. tous les exemples par secteur, mais voilà. Si tu as envie d'aller un petit peu plus loin et que tu sens que tu as besoin de bosser ton offre et de la rendre un peu plus irrésistible, je t'invite d'aller sur le cercle des solopreneurs. Le lien est en description du podcast et tu pourras aller bosser ce truc-là un peu plus en profondeur avec les 20 vidéos que j'ai. J'ai pris le temps de vraiment bien détailler pour vraiment t'aider à créer une offre qui se vende toute seule. Maintenant, se challenger et brûler ses bateaux, ne plus avoir le choix. se mettre frontale en défi par rapport à des gens qu'on estime, ça change tout, vraiment. J'en vois encore, je le fais régulièrement, moi, vis-à-vis des potes. Là, j'ai eu encore la situation sur un live, dans le coaching hebdo sur le cercle des solopreneurs. J'étais avec Vanessa, qui est sur Insta, bien dans ton... Hashtag bien dans ton... Enfin, pas hashtag, at bien dans ton corps. Elle, elle aide vraiment les femmes à se réconcilier avec... Et à aimer de nouveau leur corps. Et je trouve que c'est une mission fantastique avec malheureusement notre société qui pousse à tout l'inverse. Et on discute et elle me dit « moi là je vais lancer un défi de 7 jours pour encourager, pour aider les femmes à se réconcilier avec leur corps en 7 jours. Et j'aimerais avoir 200 inscrits, j'en suis à 70, 80, etc. » Donc on discute de différents leviers, de différentes stratégies. Et je lui dis « mais t'as créé quoi là du coup comme contenu sur les réseaux ? » « Bah j'ai fait un petit carousel, un truc, je suis pas dans... » J'ai été sérieuse là ? Je vais t'acquérir un carousel et pourquoi tu fais pas de facecam ? Oh les facecam je peux pas, c'est vraiment blocage, c'est ce que j'avais marqué dans mon poste de présentation quand j'étais arrivé dans le cercle, c'est vraiment le truc que je peux pas, ça me frie, je déteste ça, etc. Je fais déjà un, il y a un moment il faut que tu sois ton meilleur exemple, si tu dis à des femmes d'être bien dans leur corps, il faut au moins que tu sois bien toi, vis-à-vis de ta propre tête sur les réseaux en fait, tu vois ? Donc ça c'est un, c'est obligé, et deux... Est-ce que tu veux vraiment réussir à avoir tes deux ans inscrits, surtout que tu as une belle mission ? Tu vas faire un Reels par jour, tu mets juste là ta cam, et tu filmes avec ton téléphone, et tu joues sur une thématique que tu dirais en coaching, de personnes, de personnalités que tu as pu avoir, ou de problématiques que tu as eues en consultation, et de comment tu as réussi à résoudre, et boum, tu fais ça. Et si en plus, à la fin, tu fais un petit call to action sur... Et bah si tu sens que c'est aussi ta problématique, hésite pas à rejoindre le défi que je fais et que je commence dans une semaine. Le lien est à juste à taper défi et boum t'as un mini-chat qui est automatisé et ça envoie le lien d'inscription au défi. Paf ! Et là elle fait ouah ! Et donc on était dans des mini-rooms, elle me dit non mais... Elle dit je sais pas attends tu voulais que je te botte le cul parce qu'elle me dit ouais moi j'ai besoin d'un coup de cul là faut que j'y arrive. Je sais pas vas-y, est-ce que tu t'engages ? Elle me fait bah c'est chaud, c'est ton défi moi je m'en bats les couilles en fait. Tu veux y arriver ou pas ? Tu veux les aider ces femmes ? Tu veux réussir dans ton business ? Elle me fait ouais. Alors pourquoi tu le ferais pas en fait ? Explique moi même si tu le fais et que ça marche pas de toute façon en quoi ça serait négatif de le faire ? Elle dit ok je vais le faire et j'ai vu ses premières vidéos, elle le fait, elle doit être déjà à plus de je crois une centaine d'inscrits et elle se donne les moyens et en fait elle nous a remercié, elle nous a dit mais c'était mon blocage depuis des mois voire même des années en fait que je me dis qu'il faut que je le fasse, je n'y arrive pas et de me retrouver devant vous, d'avoir eu ce défi où tu n'as pas envie de décevoir les gens puis en fait ça fait du sens, il n'y a pas de raison de ne pas le faire ben je l'ai fait en fait et genre elle m'a dit, je crois que c'était le en plus maintenant j'ai le live, vu que je suis à Bali, je l'ai fait le matin elle m'a dit dans la journée même j'ai dû tourner une dizaine de vidéos, j'ai écrit plein de trucs parce que j'étais genre ok je peux pas en fait, j'ai pas le choix en fait j'ai dû en faire une par jour, en plus je lui ai dit si tu prends une journée, tu scriptes tout Tu prends une journée où tu filmes tout et après tu les montes et tu les diffuses au fur et à mesure et tu gères ça. Et bam ! Elle a tout arraché et je suis trop fier d'elle. Et ça, c'est un exemple. Ça me rappelle vraiment de se dire que c'est trop dur tout seul de se motiver. Et moi, je suis le premier. C'est genre Teddy Riner, il a trois coachs. Pourtant, c'est le champion multiple, je crois, le plus médaillé, titré du judo dans l'histoire du judo. Le gars, il a un coach technicité du judo. Il a un coach préparation physique et il a un coach de préparation mentale. Pourquoi ? Parce que tout seul, tu n'y arrives pas. Parce que, tu sais, te rendre accountable, c'est-à-dire prendre la pleine responsabilité, toujours ta réussite, mais en fait, c'est bien, mais c'est trop dur. Alors que quand ça repose aussi sur une énergie où tu es vis-à-vis des gens, que tu ne veux pas décevoir, parce que des fois, vis-à-vis de toi, tu dis « Ah, c'est pas grave, vas-y, je n'y arrive pas. » Et quand d'autres attendent après toi, quand d'autres te poussent, quand d'autres te motivent, Quand d'autres t'encouragent et te mettent la pression, mais laisse tomber. Ça te met quatre fusées dans l'arrière-train et mon gars, tu décolles. Et c'est ce que Vanessa, ça lui a fait en instant, en quelques minutes sur le live. Et je me dis, mais si toi, en ce moment, tu as un blocage, que tu as un blocage, peu importe sur ce que c'est d'ailleurs, appeler des clients, faire un projet qui te fait peur, partir, claquer ta DM, mettre en place une routine, mais prends des gens autour de toi qui ont les mêmes valeurs, qui sont dans la même vibe et... Crée-toi un challenge. Mets-toi un quintuple. Et le mieux, c'est d'avoir des gens qui en ont aussi. Parce qu'évidemment, ça motive et on se tire vers le haut. Si t'en as pas des potes comme ça, rejoins le cercle. Mais vraiment, mets-toi dans ces circonstances-là. Parce qu'il y a un truc magique qui s'opère dans notre putain de cerveau d'animaux sociaux qui font que quand tout n'est pas que sur nous, et qu'on veut pas décevoir, et qu'on se met dans un mouvement collectif, il y a une énergie qui se crée. Et boum, on enlève nos chaînes et on a des propulseurs. Donc vraiment je l'ai encore vu, donc demande-toi si en ce moment tu butes sur des choses que tu n'arrives pas à faire, et si c'est le cas, entoure-toi et ne te mets pas le choix, mets-toi un challenge avec d'autres personnes qui sont dans le même mood. Et maintenant dernier sujet avant d'attaquer le petit fun fact de la semaine, c'est la puissance des colocations. Les colocs. Maintenant on dit colliving, on vit together. Je me suis rendu compte de ça, on se fait une coloc mais en fait on se fait un colliving. Oh ouais, Coworking, Co-living, c'est vraiment plus stylé en fait, on est vraiment des nomades digitaux à travers le monde, on se réunit dans les mêmes... Mais en fait c'est ça en fait, c'est le même principe qu'une coloc, sauf qu'on l'a rendu un peu plus stylé en l'appelant Co-living. Mais wow, je suis venu ici à Bali justement pour passer du temps avec mon pote Sam. Si t'as écouté les journaux de bord précédents, c'était pour me mettre un peu en résonance avec lui parce qu'en ce moment... Lui, des potes niveau business, niveau santé, hygiène de vie mentale et physique. Et j'avais envie de rentrer en résonance. Et ce n'est pas comme si à Lisbonne ou même à Paris, où je n'avais pas de potes, qui étaient forts dans ce qu'ils font et qui raisonnaient. Oh, mais le truc, c'est que quand tu es dans une vie, je me suis aperçu, quand tu habites dans ta ville avec ton chez-toi, tu vas juste voir tes potes le temps d'un repas, d'un petit moment. Et t'as pas le temps de rentrer du tout en résonance, de te tirer vers le haut, de te challenger parce que tu passes pas assez de temps en fait. Et en fait je me suis dit, ça m'a rappelé là les moments que je passe avec Sam, mon pote Sam à Bali, ceux que je passais en coloc avec mes potes Jérémy Peuille et Jérémia Zilliox à Medellin où c'était un de nos best life, un de nos best moments de notre life parce que en fait on était toujours ensemble et que on t'a fait Mais en fait les autres étaient pas loin et que du coup on était toujours en mode la bonne intention, la rigolade, se motiver à faire du sport, se motiver à aller faire des choses, des découvertes, se motiver à faire des choses qui vont... On était toujours dans une vibration ultra positive, du coup on taclait le taf, on rigolait derrière et du coup ça nous enlevait le stress, la charge mentale, on faisait du sport, après on allait faire des petites vadrouilles le week-end, ça nous a érez l'esprit. Et là c'est pareil, avec mon pote Sam on est dans une guest house, on a notre chambre à côté donc c'est... C'est encore mieux, on a vraiment chacun notre espace, on bouffe tout le temps ensemble, on discute, on va faire du sport ensemble, on va se faire des sunsets, mais en fait à côté de ça, moi je taffe la journée, je vais méditer, je laisse du temps aussi pour moi, lui il a son boulot de trading, lui en plus il trade genre de 22h à 1h du mat. Et moi, du coup, c'est moi qui vais le réveiller le matin, on se prend le petit-déj. Et en fait, ça nous met dans une dynamique. Mais ça faisait longtemps, en fait, que j'avais pas le meilleur des deux mondes. C'est-à-dire mon espace à moi, mes moments à moi, pouvoir être tranquille, pouvoir bosser. Et en plus, dans une guest house, t'as pas tes autres potes qui viennent faire le con, je suis pas dans le salon, etc. Surtout quand t'as besoin de, comme là, enregistrer un podcast, être au calme. Mais à côté de ça, tu toques et boum ! Boum ! Tu vas avoir la conversation qui va te faire rire, mais qui va partir dans la conversation profonde, qui va faire sauter... la cervelle avec des réflexions qu'elle ne t'avait pas pensé ou tu vas parler d'un sujet de l'actualité qui va t'emmener sur une idée qui va t'emmener sur on a notre prochain voyage on a notre prochain projet, on a une prochaine opportunité et en fait je me dis et quand, là je parlais avec Camille donc la cofondatrice Camille Imbert la cofondatrice du cercle des solopreneurs avec moi elle disait mais t'as vu il y en a ils se sont motivés dans le cercle, ils sont partis faire une colloque en Espagne à 3-4 pour bosser pendant 30 jours et se rassembler et j'ai dit putain Déjà, je suis trop content. C'est exactement pour ça que j'ai créé ce cercle. Ils ont trop raison. Ils ont trop raison parce que franchement, ça change tout d'être en permanence avec des gens qui vibrent la même envie, le même but que toi. Et que t'es tout seul comme ça, comme un connard, ça revient au même que la procrastination et quand t'arrives pas à avancer. En fait, quand t'as les gens qui vont autour de toi « Allez, qu'il y a la petite blague, ça se décompresse, il y a un petit coup de mou, on y va, on va faire la petite activité. » qui va te remplir d'énergie, qui va te mettre de bonne humeur, mais après tu rentres, t'as envie de tout arracher sur ton taf, parce que tu sais que t'as que deux heures, et qu'après ces deux heures, vas-y on va au sunset, donc ça t'oblige à aller vite, et ça fait un bien fou, ça fait un bien fou, donc vraiment encore une fois, pareil, c'est si t'as jamais testé des co-living, on va appeler ça comme ça, des collocs entre potes, fais-le, pars à l'autre bout du monde, ou pars en pleine campagne en France, pas besoin, tu peux rester en Europe, et allez kiffer, et déterminez un peu vos objectifs, Et allez-y, et chacun peut l'avoir, encore une fois, c'est chacun son business, mais le fait qu'on soit ensemble, ça crée une espèce d'énergie de cerveau collectif qui motive tout le monde. C'est pour ça que les immersions aussi et les masterminds, ça apporte autant. Moi j'en ai fait l'année dernière pas mal, et là j'en ai organisé cette année. Je suis toujours étonné de te dire, qu'est-ce qui va se passer, est-ce qu'il y aura des résultats ? Mais en fait, il y a de la magie qui se passe quand on est tous ensemble, avec les mêmes valeurs, les mêmes envies. Il y a un truc qui ne s'explique pas. Et donc... Soit tu vas à un mastermind pour rencontrer des nouvelles personnes et aller bosser des choses que tu connais pas pour les apprendre, pour les développer. Soit tu passes un bon moment avec des gens que tu aimes bien ou que potentiellement tu peux bien aimer parce que les co-living, tu peux aller aussi vivre dans des co-living. Pour en avoir fait des co-living, quand tu vas dans ce qu'on appelle vraiment tu loues ta chambre et qu'il y a d'autres personnes comme toi qui sont là, chacun est dans son délire. Il n'y a pas cet effet cerveau collectif. Je trouve que chacun est un peu dans son tunnel de taf et en vrai ils veulent il veut juste être en mode digital et c'est pour ça que je t'encourage vraiment va, je sais pas si t'as des potes autour de toi, motive-les faites-vous un co-living quelque part parce que ça change tout et quand j'ai vu sur le cercle qu'ils se sont chauffés ils ont fait ça, je me suis dit mais ils ont tout compris vraiment, ils ont retiré le meilleur de ce projet je trouvais de ce cercle parce que c'est exactement pour ça et que c'est bien les échanges en ligne c'est très pratique, c'est très puissant la preuve pour Vanessa, bien dans ton corps, pour son défi ... d'essayer de briser son blocage sur le facecam, mais quand t'es en vrai, ça va au-delà en fait. Et moi je le vois en ce moment, le bien, les bienfaits que ça a sur mon état d'esprit, sur mon physique, je ferais beaucoup plus de sport, sur mon mental parce que je rigole, ça me nourrit, sur les idées, sur le fait... Wouaf, laisse tomber en fait, ça change tout. Donc si t'as jamais testé, fais-toi une petite coloc entre adultes, tu vas voir. On rigole bien et en vrai, tu level-ups en même temps en compte. Et dans le... la bonne humeur et le plaisir et ça ça change tout. Bon ! Petit fun fact, ok c'est le moment. Alors qu'est ce qui se passe ? Moi je suis là à Bali, évidemment on est à un repas avec mon pote Sam, on joue au dé, on joue aux dix milles et vu que mon pote Sam il en avait marre de se faire un peu racketter, pas racketter parce que je gagnais les parties du coup c'était celui qui gagnait qui se faisait inviter, je pense qu'il en avait marre de m'inviter, il me dit il me sort l'excuse mais pété genre ouais alors moi franchement... invité, je sais pas, ça me motive pas donc je vois j'arrive pas, enfin je gagne pas parce qu'en fait ouais si c'est que l'argent là je m'en fous ça me... Je le regarde, je lui dis casse toi, t'es juste vénère parce que tu m'invites tout le temps avec moi, ça me fait bien kiffer et ça économise mon budget, putain, mais j'ai dit ok, t'es une petite baltringue donc pas de problème, tu cherches des excuses, on... qu'est ce que tu veux comme gage ? J'espère qu'il écoutera ce podcast, je sais que c'est pas le cas, pour ça je le charge un peu mais si c'est le cas, bisous Sam, petite baltringue. Et il me dit vas-y on fait autre chose. On cherche des gages et on trouve les gages conciergerie. Tu as le droit à un service de conciergerie de la part de l'autre au moment où tu en as besoin. J'ai dit, c'est quoi ? OK. Sauf que... Au moment où, je sais pas, ce jour-là et le jour d'avant, j'avais une petite baisse de régime. Tu vois, dans ma manifestation, dans mon énergie, dans mon incarnation de ce que je voulais, dans le truc de faire un petit coup de mou. Et lui, je le sentais, vu que j'avais expliqué le principe de l'énergie, le gars, il commençait à envoyer des mains de ouf, et je le sentais qu'il n'y avait plus de doute, il était là. Et je commence à perdre. Et j'ai perdu pas mal de parties. Donc j'ai pris à un moment donné, il y avait plusieurs trucs, mais j'ai pris deux gages de conciergerie. Deux gages. J'ai dû perdre. Normalement, moi j'avais 5-6 parties d'affilée de gagnés. Je les ai repris dans la gueule. Et du coup, dedans, il y avait pas que ça, mais il y avait deux conciergeries. Donc j'étais un petit peu vénère. Tu te sens un peu comme un concierge, un esclave directement, qui peut, à tout moment, on te demande de... Tu sais, allez ! J'en ai déjà perdu un d'ailleurs. J'en ai un où c'était le matin, il fallait que j'aille lui chercher un expresso. On the rocks, un ice expresso. livré avant le petit paddle avant qu'on y aille donc moi je devais me lever plus tôt etc bref déjà je n'étais pas y'en mais j'en avais encore deux autres et à un moment je le vois on est sur son scoot parce que des fois on prend un seul scoot pour des raisons écologiques pour aller au même endroit et il me dit ça clignote il s'arrête il me fait man va me faire le plein et je dis oh le bâtard tu sais c'est vraiment le truc chiant tu dois aller faire le plein tu dois aller un peu plus loin pour aller choper la station service, t'as un peu plus de bornes, tu tapes le trafic, etc. Donc je prends les clés, je dis, vas-y, t'sais, t'sais, je dis, t'sais, son gage, faut toujours l'assumer avec honneur, je trouve. C'est aussi là où tu prouves ta valeur, tu vois. Et je dis, ok. Je dis, par contre, mec, je suis peut-être ton concierge, je suis pas ton sugar daddy, donc envoie le cash. Et je fais, je parie que t'as pas de cash sur toi, donc je peux pas faire le plein. Et il me regarde, il me fait, non, mais j'ai un deuxième gage, conciergerie. Voilà ma carte, tu vas me retirer du cash. Tu vas me faire le plein, tu me ramènes mon scoot, à tout à l'heure. J'ai fait, oh le bâtard ! Oh le bâtard ! Et c'était pas le pire dans tout ça. Parce que j'y vais avec le sum. J'y vais avec le méga sum, en vrai. J'y vais, mais tu sais, j'y vais, je le monte pas trop. Mais bon, ça se voit sur ma gueule, tu sais, comme quand tu parles comme ça, là, que t'es un peu vénère, mais que t'es fait genre que ça t'énerve pas. J'y vais. Je vais y retirer de l'argent, je galère, truc, machin, parce que c'était pas... Enfin bref, il voulait que je retire une somme, ça marchait pas, je retire plus, du coup. Je lui envoie un texto pour lui faire comprendre que si je retire plus, c'était le distributeur. Je vais mettre le plein. Il y avait une queue de bâtard. Une queue de bâtard. Donc j'attends, j'attends. Et je pars. Et là, une tempête. Une tempête mais monumentale. Je me suis fait rincer, tremper. Mais tu sais, quand t'es en scoot, les gouttes, ça pleut tellement fort, plus la vitesse, que ça te fait mal. T'as l'impression que tu prends des cailloux dans la tête. Avec Yoti dans le corps, tatata partout, j'étais là, j'ai fait putain mais pendant dix minutes comme ça, t'es là, attends. J'ai dit putain, et là tu rages, là tu rages, tu vois déjà que t'en avais marre, tu voulais pas faire ton gage. Là t'es là, putain merde, gage de merde, la prochaine fois je gagne au dé. Donc là t'es plus du tout aligné avec la belle manifestation, je crois moi, t'es en mode, t'es rageux. Et là c'est marrant, j'arrive dans sa porte, je toque, j'huit ans, les clés de son scoot, son cash, et lui il voit un mec mais trempé, il rigole. Je le check ce bâtard et je me casse. C'est ça de vouloir JOD. Et comme il disait, la route tourne-tourne. C'est parfois tu gagnes, parfois tu perds. Et c'est partout dans la vie, dans n'importe quel secteur. Et c'est ok. Et c'est pas parce que tu perds et que tu rages qu'il faut s'arrêter de vouloir gagner. A la semaine prochaine.

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