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SATORI

J’ai méprisé mon corps toute ma vie : jusqu'à ce déclic - JDB#22

J’ai méprisé mon corps toute ma vie : jusqu'à ce déclic - JDB#22

54min |10/06/2025
Play
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Description

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LIENS UTILES



SUJETS DE L'ÉPISODE

  • L’immersion à Bali
    → Comment elle s’est passée, les obstacles rencontrés, les apprentissages en tant qu’organisateur, et la sensation d’être à sa place, dans sa zone de génie.

  • La relation à son corps
    → Un déclic fort pendant un atelier : se rendre compte à quel point on maltraite souvent notre corps, et choisir consciemment de l’aimer et de le traiter comme un allié.

  • La puissance du jeu
    → Comment le jeu crée de la joie, du flow, de la créativité, et pourquoi on devrait l’injecter dans sa vie pro aussi bien que perso.

  • L’importance des bases de données
    → Anecdote sur l’oubli d’un carnet crucial et la leçon : centraliser ses outils et savoirs dans une base digitale fiable (comme Notion).

  • Explorer l’univers des “riches”
    → Prise de conscience d’un jugement inconscient sur l’univers des high achievers, et volonté d’explorer ce monde avec curiosité, sans étiquette.

  • L’histoire inspirante d’Hervé
    → Un membre du Cercle des Solopreneurs qui a persisté avec sa chaîne YouTube autour du whisky écossais et qui a fini par avoir du succès.

  • Un petit fun fact de manifestation
    → L’anecdote légère et symbolique sur un scooter retapé « par magie » après avoir envoyé une intention claire à l’univers.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello ! Comment tu vas ? Je reviens tout juste de mon immersion, ma deuxième immersion que j'ai organisée à Bali. Je suis encore chargé d'émotions et du coup plein de choses à te partager dans ce nouveau journal de bord. Déjà le premier thème ce sera effectivement l'immersion, comment ça s'est passé, les conseils aussi que je vais te partager si tu crées des events, comment interagir, comment tenir l'espace. Je pense que c'est en plus quelque chose qui va se faire de plus en plus. que ce soit des immersions ou des expériences, je l'ai toujours dit, mais avec l'ère de l'IA et de l'informatique et de la réalité augmentée, on va aller vers de plus en plus de business qui vont être sur de l'expérience en présentiel. Donc j'essaie de te filer des tips sur ce sujet. Ensuite, deuxième sujet, c'est par rapport au rapport à mon corps. J'ai eu un clic pendant justement cette immersion et je voulais te le partager parce que je pense qu'on a tous un rapport particulier, souvent très dur avec son corps, et je voulais en parler. Troisième sujet, je voulais parler du jeu, la puissance du jeu dans la vie. Pareil, ça a été un thème qui est revenu assez souvent pendant l'immersion. Et moi aussi, qui suis un énorme fan de jeu, je voulais te partager des petits tips et surtout, comment tu pouvais l'implémenter. Parce que ça a une puissance et je te dirais pourquoi c'est très puissant aussi, scientifiquement, de mettre du jeu dans sa vie. Ensuite, l'autre sujet, c'est les bases de données. comment tu peux toujours mettre dans des bases de données ou enregistrer tes connaissances, tes contacts, et à quel point c'est ultra, ultra important, parce qu'il m'est arrivé une petite galère pendant l'immersion à cause de ça, et justement je voulais surtout pas que ça puisse t'arriver. Ensuite, ça va être le thème ensuite suivant, ça va être vraiment un univers dans lequel j'ai envie de me plonger, que je ne connais pas, parce que je connais les tribus papous, être eux. Être salarié, être influenceur voyage, être... J'ai découvert plein plein d'univers et quasiment presque tous et il m'en manque un seul que je vais essayer de découvrir et que je suis à la base quand même assez réticent, mais je vais t'en parler. Un univers, j'ai envie de dire, un univers de vie, voilà, sur Terre. Et évidemment, je te parlerai aussi d'une victoire, parce que ça fait toujours plaisir d'entendre des victoires, une super victoire qu'il y a eu sur le cercle des solopreneurs. J'espère que ce sera ta petite dose aussi d'inspiration. Que chacun puisse se prendre une petite injection de motifs et se dire « Putain, mais moi aussi, il faut que je me bouge, moi aussi je peux y arriver. » Et là, il y a une jolie histoire sur Hervé qui fait partie du cercle et que je voudrais te partager. Et évidemment, je terminerai avec un petit fun fact sur un truc léger, sur de la manifestation. C'est marrant, c'est sympa et ça me fait plaisir de te le partager. J'espère pour terminer ce journal de bord en beauté. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, mon immersion, comment ça s'est passé ? Comment ça s'est passé ? La vérité, c'est que c'était vraiment dingue d'avoir vu les transformations des entrepreneurs, des hommes qui sont venus dans l'immersion, des hommes qui avaient besoin de retrouver vraiment leur feu intérieur, de la clarté, se réaligner, d'arriver à laisser des choses de côté, parce qu'il y avait des choses qui étaient floues, il y avait un frein à main, il y avait un frein qui ne leur permettait pas de dérouler vraiment et d'être juste léger, et d'enchaîner leur vie, d'être bien. Et quand je vois, et c'était vraiment des mecs qui étaient en mode, voilà, bulldozer, voilà, machin, très dans le contrôle, et d'avoir vu autant de transformations sur le lâcher prise, de bienveillance envers soi-même, de s'apercevoir que, ok, ça c'est pas pour moi, et je le laisse et je suis ok, et c'est là où je dois foncer. Et de démystifier aussi des choses business, d'en avoir fait genre, ouais mais comment je vais épiler la seule couche, ah ouais, en fait c'est simple, dit comme ça, avec l'échange. Il y a eu vraiment des transformations qui m'ont touché. Et évidemment, moi, à chaque fois que je crée ces espaces-là, je suis aussi participant. Et je suis aussi, moi, le mec qui prend des claques. Je le partagerai dans les autres sujets du journal de bord, mais déjà, je voulais du coup te partager, parce que ce que je suis en train de te dire, c'est quand même formidable. J'ai vécu un moment incroyable. J'ai enfin retrouvé une activité où, tu vois, je suis dans ma zone de génie. Je ne vois pas le temps passer, où j'ai l'impression de jouer. C'est quand même formidable de se dire, en fait, je me dis, je suis payé à faire ça. Et là, je l'ai vraiment retrouvé. Quand je venais des formations en ligne, je l'avais eu au début, mais je l'avais vite reperdu parce que me manquait le fait d'être dehors. C'est con, mais dehors. Et d'être au contact de gens et de voyager, de bouger. Et je l'ai vraiment retrouvé. Et pourtant, et c'est pour ça que je voulais commencer par ce sujet, tout a été contre moi pendant cette immersion et pendant la préparation de cette immersion. Donc déjà, un, je voulais te dire, lâche jamais. Lâche jamais. surtout quand au début, quand c'est le début d'un business, il y a tout qui part en coup, il n'y a rien qui est comme tu veux, etc. Première chose... Je voulais, moi en général j'aime bien être 6-8, entre 6 et 8. On a été 4. Et 4, c'est la première fois où je le faisais avec si peu, et je me dis merde, j'ai peur que ça fasse un effet de, il n'y a pas l'effet de groupe, l'énergie, etc. En plus, j'avais réussi à ce qu'on soit 5, parce que ce qu'il y a c'est que j'ai aussi, il y a des gens que je n'ai pas accepté dans cette immersion, parce que je sentais qu'ils n'étaient pas encore sur la bonne vibe, sur les bonnes valeurs, prêts à vraiment s'engager à fond. Parce que tous les mecs qui étaient là, c'est des mecs qui étaient ultra dans le contrôle dans le... on va pas chercher les émotions, on va pas vraiment regarder la vraie vérité mais je sentais qu'ils en avaient envie et les intentions étaient là, elles étaient bonnes, les valeurs étaient là, d'autres non donc j'ai dû intentionnellement, parce que le casting pour moi est essentiel, refuser des gens ce qui fait que j'avais pas vraiment le nombre et je me disais merde ça va pas faire le truc, ça fait un peu cheap, merde, et puis l'ego qui fait mal et bon on arrive à 5 et malheureusement la 5ème personne a dû annuler au dernier moment pour cause de de décès familial et rentrer en France et en plus Ça a été dur parce que, vu que c'est pas sur invitation et que c'était un peu, j'ai organisé ça à peine trois semaines à l'avance, sur Bali. Donc c'est des gens, là j'avais déjà invité tous mes potes la dernière immersion, là c'était une nouvelle où je... Le seul truc que j'avais c'est sur des groupes Facebook ou peut-être du bouche à oreille, etc. Et en fait, déjà un, va jusqu'au bout, fais les choses et ne pense jamais à la place de ton client, donc c'est ce que j'ai fait. J'ai envoyé un message à chaque gars, je dis écoutez voilà les gars, on est quatre au lieu de... potentiellement genre à aimer 6, 7, 8 et est-ce que c'est ok pour vous si on le fait parce que j'ai peur je connais pas trop est-ce que c'est ok et ils m'ont tous dit bah et moi je pensais que ça allait faire genre ah bah ouais on est pas assez ça va pas être ouf ils m'ont dit ah bah non mais au contraire ça va être ultra premium on va être privilégié etc et finalement ils ont eu raison parce qu'en fait on avait des échanges ils m'ont dit moi ils ont tous dit en fait j'ai l'impression que c'était du one one et même dans les ateliers et les intervenances que j'ai fait venir pas mal d'intervenants sur différents sujets Ils étaient là, mais en fait, j'ai l'impression que c'est mon... une immersion juste à moi et en plus encore plus kiffant parce que j'ai quand même je peux matcher avec des mecs de façon intime et que ça donc donc j'y suis allé en fait j'y suis allé et c'est ça c'était le premier truc donc vas-y même si tu as l'impression que ça va pas deuxième chose vraiment fais toi si tu fais des événements en quelqu'un qui entre guillemets tu assistes parce que c'est la première fois où là j'avais personne qui m'aidait à gérer les petits à côté et waouh c'est trop c'est En fait, c'est dur, mais c'est surtout aussi, t'as l'impression que tu te fais un peu carotte ou l'organisation, genre, payer les prestats. Tu sais, les cristaux, dès qu'ils arrivaient, vu que c'était des cristaux différents, il fallait que je paye. Et au début, j'étais acheté l'Iban. Au début, j'avais été faire un aller-retour de 25 minutes pour aller chercher du cash. Tu irais genre 8 fois du cash parce que le redistributeur, il y avait un montant limité pour filer le montant. Enfin, l'enfer, tu sais, quand t'es dans ton immersion, tu dois tenir l'espace. Il y a ça, les intervenants, est-ce qu'ils sont bien à l'heure, est-ce que ceci, est-ce que... Et en fait, en plus, la valeur perçue, elle est moins bonne. Toi, tu es censé être là, le mec qui tient l'espace, et les petites choses comme ça, c'est quelqu'un qui doit s'en occuper. Donc je me suis dit, toujours prendre un ou une assistante pour vraiment aider sur ces petites choses d'à côté, pour pas que ça se voit, et pour que moi, je puisse rester concentré. Et ça vaut vraiment l'investissement, ça c'est clair et net. Autre chose aussi, il y a un truc tout con. Et ça, je reviens plus sur le début, sur quand t'as trouvé, tu sais, même quand c'est une activité qui a du mal au début et que tu sais pas si tu vas faire de l'argent. Et moi, c'est mon cas, tu vois. J'ai très peu d'argent, finalement, par rapport à avant. Mais, en fait, quand je le vois, quand je rentre en immersion, je me mets sur... Je deviens, je me mets sur... J'aime bien dire ce mot-là, mais je me mets sur une fréquence, la fréquence de l'homme que j'ai envie de devenir, tu vois. Et naturellement. Genre, j'ai pas à me forcer, ça me... C'est comme si le... la mission, le moment me permet naturellement de level up, d'augmenter ma fréquence. Et je me vois, j'aime être dans cette énergie-là, dans cet amour-là, cet ancrage, cette concentration. Et c'est naturel, je n'ai pas à me forcer. Et je le vois que dès que l'immersion est finie, il y a ce petit côté de... Le Alex est un petit peu plus fou, après on ne peut pas toujours être à fond, mais le Alex est un peu plus fou, un peu plus relâché, etc. et Et je perds un peu cet ancrage, ce leadership, ce charisme qui rebaisse un peu. Pourquoi je te dis ça ? C'est parce que quand tu trouves quelque chose qui fait vraiment du sens, un, tu es censé être dans ta zone de génie, donc les choses te paraissent faciles. Mais deux, quand tu te vois faire les choses, tu sais que tu es fier. Tu es fier de la version de toi-même que tu es en train d'être. Et ça, c'est important. Parce que si tu fais quelque chose, une activité, ou quand tu te regardes, Quand tu t'observes de l'intérieur, ou tu vois dans le regard des gens, ou même toi-même, t'es pas une version de toi dont t'es fier et où tu te dis putain c'est génial je suis en train de progresser mais j'ai plus l'impression de régresser c'est que soit c'est pas le bon business, ça c'est, il y a un mot, il faut se le dire, soit c'est que la façon de faire, de mettre en place ton business, n'est pas la bonne, soit en fait, toi-même, tu es sur le bon chemin, mais la façon de le faire, encore une fois, ne te correspond pas avec toi, tu as voulu créer des process qui ne sont pas toi, et là, moi, c'est tout l'inverse, et ça fait vraiment un bien fou de se voir comme ça et de se dire, wow ! J'adore qui je suis, j'adore l'état dans lequel je suis, j'aime... Evidemment, il y a toujours un peu de stress, qui est encore là, vu que ça reste les premières, j'en ai fait 4-5, parce que t'as envie que les gens repartent avec quelque chose, et vu que c'est pas une science exacte, surtout les immersions, je sais pas ni qui, ni dans quel atelier il va y avoir des clics, tu vois. J'en ai aucune idée. Et je leur dis au début, genre vraiment ça je leur dis. Mais du coup j'ai quand même envie que ça se passe, donc t'es là, tu dis bon... Et t'attends qu'il y ait des déclics et à chaque fois, boum, c'est en cascade. Et c'est toujours au moment où on s'y attend le moins, dans la personne où on s'y attend le moins. Evidemment ça arrive et c'est le jeu, c'est ça qui est beau, ça qui fait que les choses sont humaines. Dernière chose que j'ai vraiment envie de te dire aussi, c'est... Avant dernière chose, sur ce sujet, c'est demande des feedbacks à chaud. Pour deux choses. Un, fais toujours des testimonials. Là en plus c'était l'enfer. Genre au moment de partir, on devait faire un check-out du lieu, de la villa que j'avais loué, à 11h. On est parti à 13h. J'ai lâché un petit pour-licho au mec qui gérait la villa pour dire désolé. Parce que... Il y avait un atelier qui s'est prolongé, de l'intervenante, et je voulais pas, vu qu'elle avait un petit mot pour chacun en individuel, je voulais pas couper le truc. Et derrière je voulais des testimonials, donc des avis à chaud des participants. Et d'un côté, donc je l'ai fait, et il y avait la pluie, il y avait le truc, genre c'était genre à ce moment là il pleuvait donc les gens étaient dans la pièce, je disais faut pas faire de bruit, truc, machin, fin. C'était une galère, encore une fois, de devoir tout gérer et les gens... et en même temps faire le testimonial, et gérer le caméraman, et truc, et machin, je les ai eus. J'aurais pu les creuser plus longtemps, mais le timing était tellement short. Il y a un truc que j'avais fait aussi avant, je pense que c'est deux choses qu'il faut que tu demandes, c'est un, les feedbacks, pour que tu puisses les utiliser finalement comme meilleur argument de vente, donc des testimonials, mais aussi autour d'un moment off, et ça je le fais à chaque fois, de dire, ok, qu'est-ce qui vous a plu, qu'est-ce qui vous a moins plu. Et ça, t'es encore dedans, donc ça te pique l'ego. Ouais bah ça c'était pas ouf, ça aurait pu être mieux, moi ça ça m'a pas trop plu alors que toi peut-être il y avait un atelier où tu dis c'est trop cool et en fait ils ont dit ouais bon bah ouf. Bah c'est ça que tu dois le demander, tu dois le demander et c'est tellement dur quand t'as mis tout ton cœur, tout ton âme dans un truc et qu'on dise bah non en fait ça c'est pas ouf et plutôt le truc où tu t'en foutais quand tu l'as mis en place ils ont dit oh c'était incroyable. Et là, tu dis, OK. Parce que n'oublie pas, tu ne le fais pas pour toi, en fait. Si tu ne le fais que pour toi, c'est un hobby. Si tu le fais pour les gens aussi, c'est un métier, c'est une passion et c'est cool. Mais du coup, ça veut dire qu'il faut vraiment toujours... demander des feedbacks si tu fais du coaching demande à la fin du coaching qu'est ce que tu retiens qu'est ce que tu auras aimé en plus tu vois et c'est toi qui prends là ce moment là toujours si tu si tu es vraiment sur du service du freelancing ok qu'est ce que tu as aimé qu'est ce que tu as pas aimé qu'est ce que je peux améliorer tout le temps et si tu fais à chaque fois la fin de ton service et toi même tu vas vraiment monter en gamme de fou donc c'était vraiment c'est vraiment les choses que je voulais partager et dieu sait que c'était c'était intense C'est cette immersion et Dieu sait que c'était pas gagné. Et franchement, à 5 jours avant l'immersion, je me disais, vas-y, je vais annuler. Je vais annuler, j'ai pas assez de gens, je doutais de trucs. Et après, boum, au moment où j'avais loué la villa, je commençais à avoir l'annulation. Je me suis dit, oh putain, non, vas-y. Et après, je me suis dit, all in, vas-y, on y va. On y va à fond et je vais tout donner comme si on était, entre guillemets, 8 et que je l'avais vendu 25 000 euros. Alors que c'est pas le cas pour le moment. Peut-être un jour. Et vraiment, ça valait le coup parce que humainement, ça m'a fait du bien. J'ai apporté les changements à ces mecs-là qui sont venus. C'est la raison pour laquelle j'ai créé ces immersions. Et c'est surtout de te dire, connecte-toi toujours à ça. C'est quoi ma mission ? Et une fois que tu es dedans, ne lâche pas l'affaire. Parce que si tu le fais pour cette mission-là et non pas pour l'argent, malgré les obstacles, malgré peut-être la thune qui ne va pas tomber autant que tu veux au début, tu vas le faire. Alors que si tu te connectes juste sur la p***, le côté pratico-pratique du business plan qui n'est pas carré, tu vas t'arrêter. Donc connecte-toi à ça. J'espère que les différents petits tips que je viens de te partager pourront t'aider à aller jusqu'au bout. Autre sujet maintenant, qui est un sujet que je n'ai jamais abordé. C'est bizarre d'en parler, mais on est là sur un journal de bord. Il y a un des ateliers qui a été très puissant, que j'aime bien quand c'est possible, implémenté dans mes immersions. C'était avec une nouvelle intervenante, parce que c'était à Bali. Et d'habitude, je les faisais faites au Portugal, dans mes immersions au Portugal. Et bref, dans cet atelier, il y a un moment, elle a fait un truc que... que j'avais pas l'habitude sur cet atelier-là, elle nous fait passer un morceau d'Aloe Vera. Et elle nous dit, en conscience, passez-vous de l'Aloe Vera sur le corps et donnez de l'amour à votre corps comme si c'était votre enfant, en fait. Comme si c'était quelqu'un que vous aimiez profondément et que vous lui soigniez des plaies, des blessures. Et j'étais là, je passe l'Aloe Vera sur tout le corps, en plus c'était vraiment un moment puissant, je prends le temps et... Et en fait, je me suis vraiment aperçu, je me suis dit, mais je ne suis jamais gentil avec mon corps. Genre, mon corps, s'il est malade, je bouge pas. Genre, littéralement, c'est con, mais on dit la santé, c'est le truc numéro un dans la vie, c'est le cas. Mais qu'est-ce que ça veut dire en fait ? Ça veut dire que potentiellement, ton corps et ton cerveau, je dirais même, ton cerveau, tu restes, même quand t'es malade, tu restes à peu près conscient, même si t'es pas bien. On dit souvent qu'on est malade et qu'on est cloué au lit. On peut rien faire. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps ne bouge pas, il ne fait pas ce que tu lui demandes, et t'es pas en pleine capacité. Et je me dis, ça veut dire que le truc numéro un le plus important dans la vie, c'est vraiment que ton corps fonctionne parfaitement dans l'idée. Et je me dis, pour que le truc numéro un dans la vie le plus important, je suis jamais sympa avec lui, je suis jamais dans l'amour et la gratitude. Waouh ! Parce que j'étais là en train de me passer la Loewe. Et tu sais, vraiment, j'étais en mode... Ouais, comme c'était mon enfant, mon meilleur ami, où vraiment je suis en train de l'aider. Et j'ai dit, mais je suis toujours en train de voir mon corps comme, tu sais, l'élève qui fait jamais assez bien. Qui fait jamais assez bien. Allez ! Allez encore ! Putain, t'es pas assez musclé. Tu fais pas... Putain, j'ai mal. Pourquoi... Arrête d'avoir mal. Putain, j'arrive pas à aller plus vite. J'arrive pas... Tiens, ça me fait... Je n'arrive pas. Je sais pas, à sauter plus haut, à soulever plus lourd, à être là, je suis crevé, j'ai mal partout, putain, tu fais chier à avoir mal partout, tu fais chier à pas faire les perfs que je veux. Et ça fait vraiment genre comme le parent un peu agacé sur son enfant, au lieu de se dire, mec, on est dans la même team, allez mon gars, ça va aller, la prochaine fois on soulève plus lourd, allez détends-toi, t'as un peu mal, t'inquiète, je vais te masser, je vais te faire du truc. Et d'envoyer de l'amour, c'est-à-dire, t'inquiète pas je vois très bien ce que tu ressens on va y arriver on va y arriver c'est cool Et je me suis dit, j'ai jamais. En fait, je me suis vu avoir le comportement, tu sais, comme quand t'as une vieille bagnole, tu sais. T'aimes bien, mais t'es toujours, allez, putain, là, qui démarre pas, et qui casse ses petits trucs, et l'embrayage qui va pas, et t'es là, putain, et tu râles. Et en fait, tu lui tapes dedans comme un gros tas de ferraille. Et dans l'idée, je pense que je suis vachement comme ça avec mon corps. Je le regarde, je dis, putain, c'est exactement comme ça que je veux. Putain, j'ai encore mal aux genoux. Putain, vas-y, j'ai mal là. j'en t'agis j'arrive pas à faire mes tractions, j'ai plus de cardio bah ouais en fait je suis pas en train de l'épauler comme un enfant qui a besoin de grandir et de s'améliorer d'être là et de l'encadrer dans de l'amour je me suis dit wow à partir d'aujourd'hui je vais toujours essayer d'avoir au moins un ou deux moments par jour où en fait je suis avec mon corps en conscience, je vais le regarder comme si c'était une entité et je me suis dit bah soit c'est sous la douche parce que moi je me savonne avec un savon traditionnel de Marseille Et prendre le temps de dire merci, genre, ok comment ça va ? Ou est-ce que j'ai mal ? Ok on va aller, tu vois. Et pas être juste moi dans ma conscience, genre, oh, les sensations de mon corps me font du bien à mon cerveau. Non, c'est l'inverse, c'est mon cerveau qui va aller dans mon corps et dire comment tu te sens. Ou alors justement au sport, quand je fais du sport, quand il y a un effort, dire, allez, allez on y va, et non pas genre, allez putain, allez tu vas y arriver, genre, putain, merde, tu fais chier. Non, c'est genre, allez, allez on y va, tant pis, ce sera la prochaine fois. Et vraiment, cette Ausha m'a fait un clic parce que je me suis dit, le véhicule, la plus belle... En fait, c'est mon meilleur ami. Je dis souvent, il faut que je sois mon meilleur ami. Mais en fait, ça va déjà commencer par... En fait, on peut être plusieurs potes à l'intérieur de ce corps. Il peut y avoir l'esprit, il peut y avoir la personnalité, il peut y avoir le corps. Et je pense qu'il faut que je me comporte avec mon corps comme avec mon meilleur ami que j'aime profondément. Et ça va être le cas à partir d'aujourd'hui, j'espère. Faire des checks régulièrement pour me dire est-ce que j'y suis arrivé ou est-ce que je suis retombé dans les mauvais travers. Parce que ça change tout. Et on sait très bien en plus que les mots sont importants, les vibrations. On est fait de flotte à 80%. Et ça a été prouvé. L'eau, elle est chargée avec les ondes particulières qu'on lui envoie. Donc si tu es toujours envoyé des ondes pourries à ton corps, ton corps va être pourri en fait. Il aura beau lutter, un jour tu vas te blesser, un jour ton système immunitaire va te défoncer et tu vas te choper une merde. Ou pire. Mali auto-immune, cancer, truc comme ça. Bah ouais ! Donc moi, ça m'a vraiment fait un... Et comme je te dis, dans mes immersions, je suis le premier participant et ça m'a fait un magnifique déclic que j'avais envie de te partager pour te dire comment tu te comportes avec ton corps. C'est quoi la relation que tu as avec ton corps ? Je sais qu'il y a beaucoup de femmes qui m'écoutent. Et je sais que les hommes c'est dur, mais les femmes c'est encore pire. Tout, tout, tout. Très dur la relation au corps. C'est jamais assez bien, on aimerait... Puis en plus avec Instagram, donc demande-toi. Est-ce que tu as une relation de meilleur ami avec ton corps, avec qui vous allez vivre les plus folles aventures, et une aventure où il y a plein de problèmes et on les surmonte et c'est ça qui est beau ? Ou est-ce que tu es en mode... Tu sais ? La belle-mère de Blanche-Neige qui lui fait faire les pires trucs, qui est aigrie et qui... Alors ton corps, c'est Blanche-Neige, il est là. Enfin, Blanche-Neige, je sais plus, la belle au bois dormant, pardon. Et en fait, il est pur, ton corps. C'est juste toi, comment tu le traites, qui fait qu'il a des conséquences sur lui. Alors pose-toi cette question. C'est quoi la relation que t'as avec ton corps en ce moment ? Maintenant, sujet un petit peu plus léger, le jeu. Le jeu, c'est quelque chose qui... et naturel, qui est omniprésent de notre enfance, en tout cas, je te le souhaite que ça l'ait été, et pour moi qui ai vécu une enfance très solitaire, j'étais fils unique, mes parents, bah, ces parents à l'ancienne, ils étaient occupés, donc je jouais tout seul, j'avais pas le droit de sortir, donc j'étais très seul, mais je mettais du jeu, tu vois. J'avais du jeu dans ma vie, dans les petits trucs, les histoires que je m'invente, et c'est vraiment le truc qui disparaît, je trouve, souvent, en tout cas, étant adulte. Et moi qui adore le jeu, je m'en suis rendu compte, c'est quelque chose que j'essaie de garder au quotidien. Et les gens qui passent un peu de temps avec moi, ils le savent. Je suis toujours en train de « Allez, on met un jeu de dé, il y a un truc, vas-y, dégage des trucs, vas-y, on se met des challenges. » Parce que j'aime ça. Et ça a été prouvé aussi, il y a un livre qui s'appelle « Play » , donc « Jouer » , qui a été écrit. Et il y a eu beaucoup d'études sociologiques, comportementales et également médicales sur... la partie vraiment du cerveau, qu'est-ce qui se passe dans le cerveau quand on joue. Et déjà, il y a un truc, c'est que si tu regardes chez les mammifères, le jeu est partout. Chez tous les mammifères, le jeu existe. Pourquoi ? Parce que c'est la façon d'apprendre aux petits de l'espèce, d'apprendre et d'ancrer des comportements, de comprendre les comportements et de transmettre. Et si tu regardes bien, l'apprentissage chez nous, il est tout sauf drôle, marrant et dans le jeu. C'est l'inverse. On est au forceps, on est dans le sérieux. C'est les devoirs. Il faut faire les devoirs. Il faut apprendre des tables de multiplication. Il faut apprendre ce nouveau rapport, ce nouveau discours. Ça va être attention, ça va être important. Alors qu'en fait, ils ont prouvé que quand tu es dans le jeu, le cerveau sécrète plusieurs hormones. Là, je n'ai plus en tête. Mais qui permettent en fait la mémorisation beaucoup plus rapidement et la compréhension du cerveau beaucoup plus rapidement. sur ce qui est en train d'être nouveau. Et ça, en fait, quand tu comprends ça, t'es en train de dire, attends, si je veux ce résultat-là, que je suis en train de faire de façon un peu mécanique, si je mets du jeu, c'est comme si j'avais une seringue, une injection de mémorisation et de rapidité en plus. Mais pourquoi t'en priver, en fait ? Pourquoi t'en priver ? Et vraiment gamifier son business, son business, tout, la perte de poids, la mémorisation, en fait, c'est déjà un. Fucking shit, t'es beaucoup plus heureux, tu vois. Quand tu joues, t'es heureux, t'es léger, t'es en train de te marrer. Et à la base, c'est pour ça qu'on se lève le matin. On se lève parce qu'on a envie d'être heureux. On gagne notre thune parce qu'on veut faire des trucs avec qui nous rendent heureux. Peu importe ce que c'est, que ce soit acheter ou vivre ou peu importe, ou offrir. Et là, tu te dis, mais attends, même pour obtenir cette thune ou faire ces trucs qui me rendent heureux, je peux les faire. Juste le procès, il peut déjà me rendre heureux. c'est toujours pareil, on en revient à la quintessence de la vie, c'est faire les choses pour le p... plaisir de les faire et pas pour ce que tu en obtiens. Et par plaisir, quand tu fais quelque chose par plaisir, il y a souvent du jeu. En tout cas, ça accélère, ça augmente. C'est un peu le sel et le poivre de la vie. Et je me suis dit, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que justement, les mecs qui étaient à l'immersion, il y en a beaucoup qui sont genre, parce que, moi y compris, et pourtant j'adore le jeu, tu sais, le travail c'est dur. Pourtant, il y a des mecs qui gagnent beaucoup d'argent. Mais ils étaient encore dans... En fait, la vie ça doit être dur, le travail ça doit être dur, sinon c'est... je me sens un peu coupable, je me sens « ah je suis pas bon en fait » « putain j'ai fait beaucoup d'argent, je travaille trois heures et je me sens bien » « putain c'est pas normal, c'est pas ça la vie » « je dois travailler douze heures, je dois être épuisé, je dois être là, ok là je l'ai mérité » « c'est pas ça la vie en fait, ça c'est ce qu'on veut nous faire croire » « pour justement nous contrôler » « parce que quand t'es crevé, que t'es agacé, que t'as peur et que t'es dans les mauvaises énergies » On fait ce que tu veux de toi. Et puis l'inverse, quand tu es léger, quand tu es bien reposé. Quand tu es dans ta zone de génie, quand tu as joué, tu as une clairvoyance, tu as une conscience, tu as une compréhension des choses. et donc t'es un peu moins un pion qu'on peut manipuler que ce soit au sein d'une entreprise, d'un pays, d'un gouvernement, etc. Et je me suis dit, putain mais waouh, je vois tous ces mecs-là, il n'y a pas de jeu dans leur life. Et eux, ils ont pris conscience aussi en fait, c'est surtout eux qui ont pris conscience de ça. Je me suis dit, putain mais je prends tout au sérieux, je cérébralise tout, au lieu de descendre dans mon corps et de le ressentir. Et puis il n'y a rien qui est important, puis finalement quand tu enlèves tes freins et que tu as l'impression que tu es dans le flow, tu es dans la légèreté, puis finalement tu as la créativité qui vient. parce que du jeu vient beaucoup la créativité donc c'est pas le faire c'est que ton cerveau arrive à créer des choses qui n'existaient pas jusque là dans ta tête. Et c'est ça qu'il faut comprendre. C'est ça qui est fou. On veut souvent apprendre et faire, et bien le faire. Mais déjà, apprendre, il faut absorber un truc qu'il y a dans ton cerveau. Mais quand tu joues, un, tu mémorises, deux, tu exécutes mieux. Et en plus, à partir de ça, cette combinaison-là, tu vas créer des choses qui n'existaient pas dans ta tête, c'est-à-dire des idées, des concepts, des envies, de la motivation. Ça, ça n'existait pas. c'est ton cerveau qui est capable de le faire parce qu'il y a du jeu et moi évidemment premier effet miroir je suis aussi un participant de mes propres émissions j'ai mis putain mais j'adore le jeu mais dans mon business je le mets dans ma vie perso mais dans mon business j'ai eu tendance et là ça revient plus mais justement être dans l'entrepreneuriat de l'entrepreneuriat ça m'a vraiment écarté de toutes les belles choses que j'avais réussi à acquérir en tant qu'influenceur voyage parce que j'étais vraiment dans ma pure zone de génie métier passion etc et ça m'a écarté de Moi à l'instant présent ça m'a mis du stress J'ai eu la peur du manque Et quand je dis l'entrepreneuriat c'est Quand j'ai commencé à avoir ce business avec vendre des formations Avec une équipe, avec des objectifs etc Et je me suis dit mon business je mets plus de jeux Faudrait que je me dise Peu importe la façon de faire Ça peut être du jeu entre les trucs Genre hop tu fais un petit truc Après tu vas faire un petit jeu Un petit basket de bureau Des jeux de fléchettes Ou juste de... jouer, faire un truc avec quelqu'un à côté... Parce qu'ils ont même, justement dans ce fameux livre Play, je mettrai le lien dans la description, ils ont prouvé que les gens qui sont en réunion, qui font des pauses au bout d'une demi-heure, pour faire une petite pause un peu légère, jeu, discussion, on rigole, on machin, créer de la légèreté, ben doubler voire tripler les résultats de la réunion de ce qu'il en ressortait en fait. Parce que encore une fois, t'apaises le stress, t'enlèves le stress, tu crées du... de l'espace, du jeu, tu dobes ton cerveau et là, boum, il crée des idées grâce à ça. Donc pourquoi je te parle de ça, c'est parce que, est-ce que toi, t'es tombé dans la vie d'adulte et d'autant plus dans ta vie pro, dans un truc très sérieux ? Il faut y arriver, c'est important, c'est grave. Oui, j'ai une mission, oui j'adore ce que je fais, mais attention, mais machin. Où est-ce que justement, t'arrives à comprendre qu'en fait, le next level de l'éveil... de l'épanouissement et de la conscience, c'est d'arriver à faire des choses importantes avec de la légèreté, avec du jeu, avec de l'amusement. Parce qu'en fait, ceux que tu vois justement, que souvent t'admires, t'as l'impression que c'est des gens qui sont là, qui sont bien, qui sont légers, qui sont bien dans leur peau, et tu sais, ils ont l'air de s'amuser justement. Un sportif qui a l'air d'être dans le flow, il est là, il fait des trucs, t'as l'impression du mec, waouh ! Un artiste, pareil. Et en fait, quand quelqu'un, et limite ça t'agace quand tu vois quelqu'un aussi qui dans le boulot fait un truc, tac, tac, tac, tac, il s'est amusé, il a fait ça en trois secondes, c'est putain mais vas-y fais chier là. Parce que justement lui il a trouvé ça en fait. Il a trouvé ce, qu'en fait on te manque, on te fait à l'opposé de ce qui va te rendre bien meilleur, bien plus heureux et beaucoup plus reposé. Et c'est le jeu en fait. On est des mammifères et c'est une partie intégrante de notre apprentissage, de notre bien-être. et de s'améliorer en fait et surtout encore une fois du partage, de connexion. On connecte beaucoup plus, tu le vois. T'es dans une soirée, bon voilà, ça discute, il y a un jeu, tout à coup il y a des connexions qui se font, qui sont belles, qui sont simples et beaucoup plus pures. Donc ouais, je te le demande. Est-ce que tu mets du jeu dans ta vie perso et pro ou est-ce que t'es quelqu'un de sérieux et de chiant en fait ? Alors le prochain sujet, c'est un sujet beaucoup plus pratico-pratique et terre-à-terre. J'étais à l'immersion et j'allais guider un cercle d'hommes, comme je fais à chaque fois dans mes immersions, où là on est là vraiment pour parler des émotions, pour le partager sans masque, sans être coaché, sans être jugé ou en compétition avec les autres. Ça arrive, ce qui n'arrive jamais entre hommes, si tu ne crées pas cet espace de façon un peu plus artificielle. Et j'arrive pour, comme d'habitude, encadrer, avoir des questions que j'aime bien, des ateliers que j'aime bien faire durant le cercle d'hommes. J'ai cherché mon carnet dans lequel j'ai toutes mes petites notes, à travers tous les cercles d'hommes que j'ai pu faire, que j'ai peaufinés, etc. Et là, je me perçois que je tourne les pages. de façon de plus en plus rapide, vers l'avant, vers l'arrière, de plus en plus rapide et stressée. Je ne trouve pas les questions que j'utilise d'habitude. Où sont les pages et tous les trucs que j'ai recensés qui sont importants pour guider mes circuits ? Ah, d'accord. Oh là, attends, je continue. Je suis en train de m'apercevoir à littéralement neuf minutes du démarrage de l'atelier que ce n'est pas le bon carnet et que j'avais deux carnets et que c'est dans l'autre. Eh oui ! qui est au Portugal. Voilà. Et là, je suis un peu en panique, parce qu'en plus, c'est un peu juste avant de monter sur scène. T'as l'espèce de blanc. Tu connais ton texte, mais t'es un... Attends, merde, c'était quoi ? Qu'est-ce que je... OK, donc... Et voilà. Donc évidemment, j'ai réussi à me poser, à retrouver les questions sur le premier atelier. Du coup, le suivant, le jour d'après, j'ai dû recreuser un petit peu dans ma mémoire et des trucs que j'avais pu noter un peu ailleurs. pour arriver à faire un Cercle GOM qui a été vraiment incroyable. Mais pourquoi je te dis ça ? Parce que c'est nul. C'est nul de se dire, en 2025, où on peut être cloné sur Internet et la technologie est incroyable, et pas être foutu de mettre ces outils sur des bases de données que tu peux retrouver facilement. Parce qu'en gros, je suis quand même quelqu'un qui aime mettre les choses sur le carnet, ça m'apaise. J'avais vu ça justement sur... Sur une vidéo d'un scientifique spécialisé sur les TDAH, il disait que vous devriez vivre avec un carnet à côté de vous pour déposer. Et pas le téléphone, parce que le problème c'est que le téléphone, on ne dépose pas, ça stimule. Donc c'est encore pire. Là, le carnet, je le fais beaucoup, de déposer des idées, des choses, des trucs comme ça. Et évidemment, pendant les cercles d'hommes, en plus, on n'est pas sur le téléphone, donc on est sur des carnets. Mais j'ai eu la mauvaise idée, et du coup, j'ai plutôt pas eu l'idée, de tout reporter en fait. dans une base de données, surtout que moi j'utilise beaucoup Notion, la base de données, en gros, outils, immersion, et d'avoir tous les ateliers avec mes petites questions qui sont prêtes, par thématique, etc. Donc, j'aurais eu ça, peu importe, j'aurais perdu mon téléphone, mon ordi, etc. J'aurais pu me reconnecter et le retrouver partout dans le monde sur n'importe quel device, et c'est vers ça qu'il faut aller. Et vraiment, c'est un petit partage, un petit partage de galère. Mais surtout de prise de conscience, de me dire, chaque chose importante doit être dans une base. Alors, base de données, pour moi, c'est un mot qui me donne un peu la gerbe et la chair de poule. Mais depuis que j'utilise Notion, je me suis réconcilié avec ça. Une base de données, c'est juste une ligne avec une info, où sur la même ligne, tu peux attribuer plusieurs infos. Tu vois, la date, la thématique, plein de choses comme ça. Un prix, un truc, un machin, bref, une durée. C'est juste finalement, à une info, tu vas coller plein d'étiquettes, et grâce à ces étiquettes, tu vas pouvoir classer. ranger et retrouver et organiser plus facilement cette info là. C'est juste ça en fait, une base de données. Et du coup, quand tu fais un tableau en mode base de données avec une ligne, avec chaque question ou truc, ou alors cercle d'hommes ou truc, tous ces ateliers, bah en fait c'est simple. Et je l'ai pas fait et je me suis dit que là vraiment, il va falloir que je remette mon nez dans mon Notion pour vraiment avoir en fait un espace où je regroupe toutes mes bases de données et elles sont accessibles ici et que, et terminées en fait. Et dès que je fais quelque chose que j'apprends, qui est important, je le back-up à un endroit qui est sacré et je sais où c'est. On appelle ça beaucoup le deuxième cerveau, mais le deuxième cerveau ça a tendance à devenir une architecture assez complexe, de ramifications, de plein de trucs. Là je pense que c'est vraiment, si je peux te donner le type, c'est que tu crées un espace dans Notion qui est, surtout si tu l'utilises, où tu vas mettre en fait la racine, vraiment la base, tes bases de données, tu vas les ranger là par thème, et ensuite partout sur tes pages, ce que tu peux faire sur Notion, c'est que tu peux faire une vue liée, c'est-à-dire que tu peux faire apparaître finalement cette base de données là, c'est qu'un aperçu de cette base de données dans une autre page, c'est-à-dire qu'elle est hébergée au même endroit, toutes les bases de données sont au même endroit par thème, et après en fonction de comment tu as besoin, tu peux les faire apparaître sur telle ou telle page. Ça c'est sur Notion, mais le mot que je veux dire c'est, si tu as un truc important, le laisse pas en local, le laisse pas sur ton ordi, le laisse pas sur un morceau de feuille qui peut disparaître, etc. Parce que si ça plante, t'es dans la merde. Alors que l'avantage de le filer à Big Brother, c'est qu'il connaît déjà toute ta life, mais qu'au moins, si tu perds ta life, lui pourra te la retrouver. Donc ouais, check, fais un petit tour sur tous tes documents et savoir si les choses les plus importantes sont en ligne, assurées, backuppées et surtout trouvables. Parce que moi je suis très bon, j'y ai arrangé les trucs tellement bien que j'ai bien pu les retrouver. Parce que ça peut te sauver la mise au moment voulu. Maintenant on va parler exploration. exploration d'un nouveau monde que je ne connais pas encore sur Terre. C'est, je dirais, les... les high achievers, les riches, ceux qui ont vraiment réussi, on va dire, dans la partie financière ou professionnelle, mais du coup, souvent, le professionnel a amené beaucoup d'argent. Et finalement, c'est un univers que j'ai beaucoup, le mot ne me vient pas, mais j'ai beaucoup d'animosité envers cette sphère de vie, cet univers-là, parce que je me traîne encore un peu ce côté fils d'ouvrier, pour avoir fait plusieurs fois l'atelier Abondance. Toujours ça qui revient, en gros. Les riches, c'est les méchants. Si on est pauvre, c'est un peu parce que les riches ne nous donnent pas d'argent. C'est aussi, genre, si je deviens riche, je vais devenir con, aigri et voleur. Un peu ça qui revient, je te la fais ultra simple. Et du coup, forcément, j'ai beaucoup d'a priori que, bizarrement, j'avais pas en allant chez les papous. Je me suis pas dit, ah, ils vont manger, ces gars, ils sont sales, ils dorment sur de la paille, c'est dégueu. Enfin, genre, ils ont pas d'électricité, c'est des arriérés, ils sont teubés. Non. Je suis allé, j'ai pris tel qu'ils étaient, et j'ai exploré ce monde-là. Pareil pour l'univers du salariat, l'univers des créateurs de contenu, tous les différents univers que j'ai à peu près tous explorés de près ou de loin à travers le monde, à travers les couches sociales, à travers les ethnies que j'ai pu découvrir pendant mes 15 dernières années de voyage. Et bizarrement, je n'ai pas cette ouverture d'esprit-là sur le monde des riches. Je vais le simplifier comme ça. Et en fait, c'est un univers que, vu que pour moi, la liberté ultime, c'est vraiment être capable d'aller partout et de se sentir bien partout et de voir les choses comme un univers à découvrir. Et après, évidemment, il y a des préférences, mais je me suis dit que c'est vraiment un monde que je me suis interdit. Que je me suis dit que déjà, j'ai un peu de la... Ouais, je les aime pas les riches, tu vois, dans l'idée. Tu vois, c'est les riches, quoi. Salauds de riches. On dit les salauds de pauvres, mais les salauds de riches, tu vois. Et je trouve ça nul. Parce qu'en fait... C'est pas que je veux devenir riche ou être pote avec ces gens-là. Je veux avoir la capacité et l'ouverture d'esprit de me dire je veux aller découvrir cet univers et prendre autant de plaisir dans la découverte que j'ai pu le faire au fin fond de la jungle amazonienne, au fin fond de mon bureau sur mon open space, où c'était aussi une superbe expérience de vie. Ça ne me correspond pas du tout, mais je l'ai découvert. Et pendant plusieurs années. Et pendant l'immersion, c'était vraiment ça. Un de mes out-sites, c'était vraiment de dire comment je fais pour créer des immersions où je réunis justement des high achievers, des top profils. des CEO, des gens vraiment parce que je sais que c'est peut-être pas la partie business évidemment sur laquelle ils vont ressortir le plus même si justement on crée des hot-sites et donc des synergies, des cerveaux collectifs et tu réunis des cerveaux qui sont à peu près au même niveau de vie, au même niveau d'avancement professionnel, bah ça fait des popcorns, enfin franchement c'est toujours incroyable les échanges, donc si tu mets les mecs qui sont au même niveau, ils vont forcément s'apporter mais je sais que ces gens là ils sont souvent un peu un peu fucked up, tu vois c'est les pires c'est ceux qui à l'intérieur, en fait ils ont Ouais. Ils ont éteint leurs émotions et leurs ressentis pour juste être en mode guerrier tunnel et tout arracher en termes business. Et c'est OK. C'est OK. Justement, j'aimerais leur faire découvrir aussi autre chose. Savoir voyager un petit peu à l'intérieur d'eux-mêmes. Et je me suis aperçu de ça, c'est de me dire, merde, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que je me suis dit, je me mets des barrières. Genre, il n'y a aucun riche qui a été méchant avec moi ou qui m'a refusé l'entrée. où tu vois, j'ai beaucoup plus du 2 vu que je ne les vois pas, vu des gens de la vie de tous les jours que j'ai trouvé cons et chiants et pourtant je m'interdis de fréquenter ce milieu là, d'aller dans ce milieu là de vivre, de m'autoriser à alors que je peux avoir le budget, d'aller dans des très beaux hôtels me payer une première classe ou des choses comme ça, je ne le fais pas et je me suis dit wow vu que j'ai envie, parce que ça faisait aussi la stratégie business vu que j'ai envie de faire découvrir mes immersions à des top profils parce que intellectuellement aussi ça m'intéresse parce que c'est des gens qui ont craqué des codes sur leur discipline que je trouve super intéressant il est temps aussi pour moi d'aller explorer un univers sur terre que je ne connais pas et que j'ai encore une fois souvent diabolisé c'était ça le mot que je cherchais diabolisé et je pense que vu que la vie c'est un peu notre extérieur est juste la représentation de notre intérieur jusque là je voyais un peu les riches et comme des méchants ou des cons et j'en voyais aussi beaucoup Mais c'est un petit peu comme, tu vois ce que tu as envie de voir, le jour où tu as acheté une Clio rouge, putain t'as l'impression que personne n'en avait, et le jour où tu en achètes une, tu vois que des Clio rouges sur la route. Et je pense que justement mon but aujourd'hui c'est de commencer à me dire, mais en fait, attends, attends, si je me concentre bien, des mecs qui sont blindés, et qui sont des gars chambés, et qui ont réussi parce qu'ils ont fait des trucs géniaux, et qui sont généreux, j'en connais en fait, j'en connais. et puis en fait les riches ça peut être aussi des gens très généreux très smart, très cool Et du coup, c'est aussi cet univers-là que je veux découvrir. Et bref, pourquoi je te dis ça ? Parce que je me dis, on s'interdit souvent de... d'explorer des univers, des métiers, des projets, se donner la chance de contacter des gens parce qu'on n'est pas assez, parce qu'on n'est pas assez bon, on a peur de déplaire, on jalouse aussi la personne, et du coup, ça crée un mauvais truc, plutôt que d'être simplement dans un état d'esprit d'ouverture, d'exploration, comme on le fait dans le voyage. comme on le fait dans d'autres cultures. Mais vu que là, il y a un enjeu un peu personnel, business, je le vois en fait. Je me crie, j'ai tout ce que je n'ai pas dans ma vie de tous les jours, c'est-à-dire des a priori, des jugements, et je mets les gens dans des petites cases débiles. Donc, je te partage ça parce que justement, demande-toi ce que tu as besoin, vers ce vers quoi tu as besoin ou envie d'aller, mais inconsciemment, tu l'as mis dans une case. Une case de quelque chose qui... c'est pas pour toi, c'est trop grand, t'es pas assez bon, t'es pas assez bonne, c'est trop cher, c'est ceci. Comment tu fais pour enlever toutes ces étiquettes, l'enlever de ces cases, puis juste y aller, puis voir, puis expérimenter les choses ? Parce que moi, c'est ce que j'ai envie de faire. J'ai envie de me dire, et c'était des challenges qu'on m'a mis, c'est aller dans un hôtel de luxe, comprendre. Parce qu'en fait, si je veux potentiellement faire venir des CEOs, des gens qui ont vraiment réussi, des top achievers sur mes immersions, il faut déjà que je comprenne cet univers. d'une façon que je comprends un ouvrier, je comprends un cadre dans un open space, je comprends un mec qui est dans une tribu dans la jungle parce que je l'ai vécu, moi même j'ai vécu ça en fait je peux pas parce que j'ai jamais vécu, j'ai jamais pris la première classe, jamais été dans des hôtels vraiment de luxe tu vois où je me suis moi même payé les choses et des fois j'étais invité mais je faisais pas gaffe, mais là vraiment faire cette démarche là de comprendre de voir le et finalement d'explorer encore une fois un univers que je ne connais pas et que je diabolise et que j'aimerais gommer ça en fait. J'aimerais explorer. Je voulais te le partager parce que vraiment ça fait un shift pour moi de me dire bon bah on va aller voir les riches quoi. Mais tu vois même en te le disant j'ai encore cette... j'ai pas d'amour, j'ai pas de... on voit que j'ai plein d'étiquettes, j'ai plein d'a priori tu vois. Alors que j'ai jamais d'a priori sur toutes les autres choses que j'ai été... tu vois quand je vais en Iran tu vois j'ai dit ah c'est les russes, non. Je vais aller comme ça, je vais aller voir en Irak, quand je suis allé en Irak, je vais aller voir. J'avais pas d'a priori rien Puis bizarrement, c'est des gens incroyables, puis le pays est cool, puis ils ont leurs problèmes, puis ils ont leur stigmate, mais ouais, tu vois. Et en fait, j'ai envie de... C'est là où je trouve, je trouve ça beau l'entrepreneuriat, c'est encore une fois, je le dis tout le temps, mais c'est le meilleur outil de développement personnel, parce que ça te montre tout de suite là où sont tes pensées limitantes, là où sont tes barrières, là où sont tes plafonds de verre, là où sont tes points faibles. Et là, je l'ai vraiment mappé, identifié sur cette zone-là, cet univers dans la vie qui existe dans le monde, et j'ai plus envie d'être découvert. Encore une fois, pareil. J'ai pas envie d'être pote avec les papous, je vais pas traîner tous les jours avec mes potes papous. De la même façon, je vais pas non plus être là à vouloir traîner avec des riches, mais je vais être capable d'y aller, de prendre du plaisir, et sans jugement, et m'enrichir moi, et de le faire sans étiquette, et ouais, parce que c'est important. Donc pose-toi la question. Quel est l'univers, le projet, le thème, le challenge que tu te refuses de vivre, parce que tu l'as mis dans une boîte, et que tu le diabolises, ou que t'as peur, et que tu vas pas le cœur ouvert avec tout. toute l'ouverture d'esprit qui permettrait d'en retirer plein de bénéfices. Maintenant, je voudrais te partager une anecdote très inspirante, je trouve, une belle victoire. C'est Hervé Chevalet, qui est dans le cercle des solopreneurs, qui est un mec génial, qui est un Suisse. J'adore les Suisses. Et comme les Belges, il y a les francophones autour de nous, je les trouve vraiment charmés. Et Hervé, en fait, il est photographe, il est aussi filmmaker. Et il a lancé, en fait, il y a un an ou deux, je crois déjà. sa chaîne YouTube, Le Chardon, sur une thématique très nichée, qui est sa passion, qui est le whisky et l'Ecosse. Parce qu'il adore le whisky, il adore le whisky écossais, il adore l'Ecosse, bref, c'est quand même très niché. Et en fait, au début, il avait 27 vues. Les gens se foutaient de sa gueule aussi, parce que genre, mec, t'as 27 abonnés, 27 vues, c'est quoi ce truc ? Qu'au début, il a beau être filmmaker, photographe, se filmer soi, c'est un autre art d'être devant plutôt que derrière la caméra. Et il a fait la formation module de connaissance FASCAM Expert qu'il y a dans le cercle, auquel j'ai donné accès. Et en fait déjà, rien que là, il y a eu un jump technique, visuel incroyable. Avant, après, il a fait un poste justement sur la communauté qui était assez fou. C'était genre, tu es dans ta chambre tout moche, limite à, wow, tu es dans un studio. Alors que c'est quasiment le même endroit, sauf qu'il a appliqué toutes les techniques de filmmaker que j'ai mis dans le... dans le module de connaissance FASCAM Expert, il est présent sur le cercle, et ça lui a donné confiance, ça lui a donné goût, il s'est dit, putain, le résultat est plus joli, il y a un peu plus de vues, et puis il a commencé aussi à se dire tiens parce que c'est quelque chose que je pousse beaucoup, il a commencé à miser sur cette chaîne. Donc ça veut dire quoi ? Il a dit, je délègue le montage, parce que le montage, à côté de ça, je ne peux pas faire mes missions qui me permettent de gagner de l'argent, donc je vais le déléguer, et puis en fait, je vais moins me concentrer sur ce qu'il y a que moi qui puisse faire, c'est-à-dire être devant la caméra, parce que le montage, encore une fois, ça se délègue. Les vignettes aussi. Voilà, j'ai vu, il a fait des super vignettes maintenant, mais j'étais là, je me suis dit, waouh, tu vois, vraiment, genre, les vignettes, classe. et pourquoi je te dis ça ? Parce que il n'a pas lâché, il s'est... connecté vraiment à cette passion encore une fois cette envie de vraiment partager cette passion du whisky et de l'écosse et moi j'ai envie de l'encourager même peut-être un jour à avoir peut-être une chaîne que je sais pas peut-être sur le whisky ou peut-être même sur toutes les destinations du monde c'est whisky et voyage peut-être un jour je te fais un petit coucou si t'écoutes Hervé c'est bien de toujours commencer dans un business niché puis une fois qu'on a de l'intérêt de commencer à ouvrir parce qu'après il y a Il y a l'Irlande, il y aura peut-être le Japon qui sont très très forts, je ne suis pas un grand connaisseur de whisky mais... Et aujourd'hui c'est bête mais il a 3000 abonnés, ses deux dernières vidéos elles ont fait 18 000 et 36 000 vues et ça, et avant c'était vraiment, il y avait 300 vues, 400 vues, et ça en fait ça lui a permis aussi d'être monétisé. En fait à Yeah, genre YouTube il a dit c'est bon t'es monétisé. Et il se dit maintenant bah je peux gagner de l'argent aussi en faisant ma passion. Il a été aussi invité à un event sur le whisky. où je disais à un, il disait mais pourquoi tu filmes, c'est pour quel média ? Mais en fait j'ai ma chaîne YouTube, et le général il dit waouh ! Et il a vu l'admiration dans les yeux des gens qui étaient justement aussi passionnés. Et je trouve que c'est une magnifique victoire parce que c'est clairement l'exemple d'une personne qui a une passion, qui veut commencer sur YouTube, mais putain il y a tellement de gens, c'est tellement compliqué, et qui a juste commencé en fait, simplement, à se filmer, à tester des choses, et le faire en toute humilité, et puis... Et puis ça marche pas, et puis c'est dur au début, tu fais 200 vues, 300 vues, et puis après tu vas faire, oh, 3000 vues. Parce qu'en fait, avec le temps, ça s'accumule. Et puis en fait, ça laisse aussi à YouTube de voir si finalement, ils poussent de temps en temps, et que les gens, ils aiment bien, et puis pour voir si t'as une chaîne qui poste régulièrement, parce que YouTube, il pousse pas les gens qui arrivent sur une chaîne, enfin une vidéo est terminée, tu vois. Donc, surtout si c'est une chaîne récente. Et en fait, ça, ça a commencé à augmenter. 5000 vues. 14 000 vues et franchement je voudrais lui tirer mon chapeau parce que pour moi c'est le bel exemple de quelqu'un qui est resté connecté à ça qui n'a pas lâché l'affaire qui a eu des hauts et des bas évidemment des moments de se décourager mais à chaque fois boum il est reparti il a réinvesti le fait d'investir sur quelque chose où tu ne sais pas ce que tu peux avoir à retirer je trouve ça très courageux genre d'investir de l'argent sur un truc où tu sais pas vraiment comment ni combien tu vas gagner de l'argent mais parce que c'est ta passion et parce que c'est là en fait tu sais que tu es sur le bon chemin parce qu'en fait tu sais que Tu vois, moi, quand je suis devenu influenceur voyage, il n'y avait pas moyen à l'époque de gagner de l'argent comme ça, parce que ça n'existait pas. Mais j'investissais de l'argent et du temps parce que je voulais partager, juste par passion, de partager ce que j'aime. Et tu vois, la vie trouve toujours son chemin, comme dirait la grande phrase dans Jurassic Park. Et ça a toujours été le cas des gens que j'ai vus qui se connectaient à leur passion, qui trouvaient des solutions par passion, par envie de partager, et qui lâchaient pas et qui, en fait, à fort tuent. Parce que ce qui est beau, ce qui ne se rend peut-être pas compte, c'est qu'au-delà de ça, il est aussi devenu meilleur filmmaker. C'est qu'au-delà de ça, ce n'est pas tant sa chaîne qui a monté en puissance, c'est lui, c'est son business, c'est ses skills, c'est ses opportunités. Et on ne sait jamais combien de temps un chapitre va durer dans sa vie. Moi, je sais, mes immersions, j'y vais all-in, je ne gagne pas tant d'argent que ça, mais j'y vais parce que je me dis peut-être qu'il y a un top entrepreneur avec qui je vais vraiment matcher, qui va peut-être me proposer un projet, et boum ! Et peut-être qu'un jour on montrera une boîte qui vaudra plusieurs millions, j'en sais rien, et c'est même pas mon but, mais... Je ne me l'interdis pas. Et parce que je ne sais pas... En fait, tant que tu n'as pas vécu le chapitre 2, tu ne peux pas savoir ce qui va se passer au chapitre 3. La plupart des gens, ils veulent passer du chapitre 1 au 6. « Oh, vas-y, je vais directement là où ça gagne, où j'ai toutes les armées, où j'ai fini le jeu. » Ben non, en fait. Ce n'est pas comme ça que ça se passe. Ce serait nul. Imagine, tu arrives dans la salle de cinéma, tu as les cinq premières minutes, puis tu as la fin. Ben non. là c'est pareil. Donc vraiment, apprécie le process, lâche pas l'affaire et monte une chaîne entre guillemets Youtube comme Hervé parce que, et je mettrais le lien de sa chaîne qui s'appelle Le Chardon dans la description pour que tu ailles voir, pour que ça t'inspire, pour que tu vois qu'on n'a pas besoin d'être tu vois Mister Beast pour faire des vidéos Youtube et qu'au contraire les gens ils ont envie de simplicité, d'honnêteté, de transparence et d'authenticité et c'est tout ce qu'il a fait et je le félicite et j'espère vraiment ça va te donner une bonne dose pour te dire putain mais moi aussi il faut que j'arrête de reporter ce projet que j'ose pas faire, que je trouve nul, que du coup je l'autoflagelle le truc plutôt que le dire waouh c'est mon petit bébé Et c'est comme ma poterie que j'essaie de faire monter, qu'au début c'est un vieux tas de glaise, et à la fin j'ai une super poterie de ouf dont je suis trop fier. Donc fonce, vraiment. et maintenant pour finir ce journal de bord le petit fun fact, très simple Très simple, mais j'adore. En gros, depuis que je suis à Bali, à la base, j'avais voulu louer mon scoot, qui s'appelle, c'est un modèle N-Max, qu'il y a beaucoup à Bali, un peu puissant, mais c'est pas le plus gros, mais c'est celui que j'aime bien avoir et tout. Et la personne chez qui je le loue, elle me dit, ah, qui fait toujours des très bons prix, elle me dit, ah, en gros, bah désolé, j'ai pas ce modèle-là, je l'ai que dans deux semaines. Je dis, ah, vas-y, c'est pas grave, je vais redescendre sur le Vario, le modèle en dessous. Je... Voilà, comme ça, c'est bon. Sauf que je prends le truc et j'ai l'impression de retourner sur une mobilette. Genre vraiment. Et puis quand t'es à deux dessus, surtout que je passe pas mal de temps avec Camille Imbert, avec mon associé qui est à Bali, et en fait, dessus à deux, t'as l'impression que le truc va... Enfin voilà, pas confort quoi. Je me suis dit, et j'en parle à mon pote Sam, le fameux pote avec qui j'ai passé aussi un mois en coloc il y a un mois et demi, deux mois, et il me dit mais... « Mais man, pourquoi tu prends pas mon scoot ? Je suis pas là. Prends-le, je l'ai laissé chez un pote. » Et là, je fais « Ah bah ouais, mais grave, avec plaisir. » Et du coup, je rends le petit scoot, le fameux Vario, je vais prendre son scoot. Et tu vois, j'ai traîné avec lui, j'ai toujours été dessus pendant un mois, un mois et demi, parce qu'on prenait souvent un seul scoot au lieu d'en prendre deux. Et j'avais pas vu à quel point son scoot, il est déglingué, tu vois. Genre, tu sais, ça m'étonne même pas. Il a mis un cover sur le truc, il a même mis sa plaque, le gars est trop fort Genre il a mis ses initiales SK, il a acheté la plaque avec ses initiales dessus. Et avec 5555 pour avoir un lucky number chinois. Tu vois apparemment un truc chinois c'est un super lucky number. Donc très bien. Mais sauf que le truc il a des égratignures de partout, il a dû le faire tomber, j'en sais rien. Ça fait un peu maintenant tu sais la vieille Clio Thuné, la Ford Fiesta Thuné de Lille. Salut les Lillois. Tu sais, genre Guigui Tuning avec un désirable, c'est plus fou, tu vois, le résultat est plus dingue. Et à chaque fois que je le prends, je me dis « Putain, il est vraiment défoncé ce truc, c'est vraiment la... Il tourne le machin, mais... » Et ça fait plusieurs fois que je me disais, en fait, en échange du fait qu'ils me le prêtent, je lui ai dit « Je te ferai faire les niveaux, je l'emmènerai au garage, etc. » Et après, je me suis dit « En vrai, tant qu'à mettre 100-150 balles dans la location que j'ai « économisée » , autant les mettre et que ça puisse aider mon pote, tu vois, plutôt qu'essayer de les économiser. Et j'ai dit, putain, il faudrait peut-être que je le fasse, je sais pas, nettoyer ou enlever le truc, refaire faire un cover, mais j'avais entendu que ça coûtait 300 bahts, je me suis dit, bon, peut-être flemme un peu là, tu vois. Je rentre de l'immersion, en face de ma gesta, littéralement en face, vraiment. Il y a trois mecs qui bossent sur un scoot, je vois, et puis je vois qu'en fait, ils font un covering d'un scoot. Je m'arrête Je dis les gars Vous faites ça pour vous ? Est-ce que c'est possible de demander pour mon scoot ? Je dis pour quel scouts ? Je suis là et il me fait Oula, tu sais genre il dit Parce que vu qu'il y a des égratignures quand tu fais un covering Et que là tu sais le truc en plastique Il y a des éraflures, c'est pas lisse tu vois Donc en fait il dis Faut que je retire toute cette merde Potentiellement que je lisse un peu Les égratignures, faut que je remette Je dis tu peux pas faire Il me fait je sais combien Et en gros il me dit bah c'est 500 000 Donc 500 000 ça fait genre 30 balles Pour enlever tout le truc et 1,3 millions pour... Donc ça doit faire 80 euros pour tout le covering. Et là, je me suis dit, vas-y banco. Ce n'est pas les prix que j'avais entendus, donc je me suis dit, vas-y banco. Et du coup, je me suis dit, c'est fou. En fait, quand tu es bien, quand tu es dans ta zone, et je ne sais plus pourquoi, parce que j'y pensais à ce truc-là sur le trajet retour, parce que j'avais fait l'immersion à Ouboud, je regardais le scout, et puis j'y pensais en fait. Je pensais, il faudrait vraiment que je fasse ça pour ça, mais tout ça me ferait plaisir, tu vois, etc. J'arrive, et encore une fois, quand t'as vraiment envie de quelque chose, un truc aussi anodin, genre paf ! Non seulement c'est 2-3 fois moins cher que j'avais entendu, le truc est en face de chez moi, du coup j'ai repris son Insta, on a renégocié le truc, en plus je l'ai eu à un petit prix sympa, le gars il va arriver enfin. Et du coup je vais refaire le covering du scout de mon pote Sam, évidemment il s'en fout, je le dis là mais ça lui fera la surprise, Sam il n'écoute pas mon podcast. Et je lui enverrai la petite photo surprise, parce que j'ai dit, on va enlever le côté tuning, on va remettre un petit truc classe pour que ça lui aille. et je me suis dit encore une fois, wow, le pouvoir de l'intention et de la manifestation, il faut vraiment que je me concentre plus, parce que c'est sympa d'avoir des petits trucs aussi légers, mais autant amener des choses incroyables, parce que je pense que ça fonctionne de la même façon. Je te fais des gros bisous, je te dis à la semaine prochaine, et j'espère que ton journal de bord t'a plu, et j'espère que le retour du format long t'a fait kiffer. Bisous.

Description

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LIENS UTILES



SUJETS DE L'ÉPISODE

  • L’immersion à Bali
    → Comment elle s’est passée, les obstacles rencontrés, les apprentissages en tant qu’organisateur, et la sensation d’être à sa place, dans sa zone de génie.

  • La relation à son corps
    → Un déclic fort pendant un atelier : se rendre compte à quel point on maltraite souvent notre corps, et choisir consciemment de l’aimer et de le traiter comme un allié.

  • La puissance du jeu
    → Comment le jeu crée de la joie, du flow, de la créativité, et pourquoi on devrait l’injecter dans sa vie pro aussi bien que perso.

  • L’importance des bases de données
    → Anecdote sur l’oubli d’un carnet crucial et la leçon : centraliser ses outils et savoirs dans une base digitale fiable (comme Notion).

  • Explorer l’univers des “riches”
    → Prise de conscience d’un jugement inconscient sur l’univers des high achievers, et volonté d’explorer ce monde avec curiosité, sans étiquette.

  • L’histoire inspirante d’Hervé
    → Un membre du Cercle des Solopreneurs qui a persisté avec sa chaîne YouTube autour du whisky écossais et qui a fini par avoir du succès.

  • Un petit fun fact de manifestation
    → L’anecdote légère et symbolique sur un scooter retapé « par magie » après avoir envoyé une intention claire à l’univers.



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Transcription

  • Speaker #0

    Hello ! Comment tu vas ? Je reviens tout juste de mon immersion, ma deuxième immersion que j'ai organisée à Bali. Je suis encore chargé d'émotions et du coup plein de choses à te partager dans ce nouveau journal de bord. Déjà le premier thème ce sera effectivement l'immersion, comment ça s'est passé, les conseils aussi que je vais te partager si tu crées des events, comment interagir, comment tenir l'espace. Je pense que c'est en plus quelque chose qui va se faire de plus en plus. que ce soit des immersions ou des expériences, je l'ai toujours dit, mais avec l'ère de l'IA et de l'informatique et de la réalité augmentée, on va aller vers de plus en plus de business qui vont être sur de l'expérience en présentiel. Donc j'essaie de te filer des tips sur ce sujet. Ensuite, deuxième sujet, c'est par rapport au rapport à mon corps. J'ai eu un clic pendant justement cette immersion et je voulais te le partager parce que je pense qu'on a tous un rapport particulier, souvent très dur avec son corps, et je voulais en parler. Troisième sujet, je voulais parler du jeu, la puissance du jeu dans la vie. Pareil, ça a été un thème qui est revenu assez souvent pendant l'immersion. Et moi aussi, qui suis un énorme fan de jeu, je voulais te partager des petits tips et surtout, comment tu pouvais l'implémenter. Parce que ça a une puissance et je te dirais pourquoi c'est très puissant aussi, scientifiquement, de mettre du jeu dans sa vie. Ensuite, l'autre sujet, c'est les bases de données. comment tu peux toujours mettre dans des bases de données ou enregistrer tes connaissances, tes contacts, et à quel point c'est ultra, ultra important, parce qu'il m'est arrivé une petite galère pendant l'immersion à cause de ça, et justement je voulais surtout pas que ça puisse t'arriver. Ensuite, ça va être le thème ensuite suivant, ça va être vraiment un univers dans lequel j'ai envie de me plonger, que je ne connais pas, parce que je connais les tribus papous, être eux. Être salarié, être influenceur voyage, être... J'ai découvert plein plein d'univers et quasiment presque tous et il m'en manque un seul que je vais essayer de découvrir et que je suis à la base quand même assez réticent, mais je vais t'en parler. Un univers, j'ai envie de dire, un univers de vie, voilà, sur Terre. Et évidemment, je te parlerai aussi d'une victoire, parce que ça fait toujours plaisir d'entendre des victoires, une super victoire qu'il y a eu sur le cercle des solopreneurs. J'espère que ce sera ta petite dose aussi d'inspiration. Que chacun puisse se prendre une petite injection de motifs et se dire « Putain, mais moi aussi, il faut que je me bouge, moi aussi je peux y arriver. » Et là, il y a une jolie histoire sur Hervé qui fait partie du cercle et que je voudrais te partager. Et évidemment, je terminerai avec un petit fun fact sur un truc léger, sur de la manifestation. C'est marrant, c'est sympa et ça me fait plaisir de te le partager. J'espère pour terminer ce journal de bord en beauté. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, mon immersion, comment ça s'est passé ? Comment ça s'est passé ? La vérité, c'est que c'était vraiment dingue d'avoir vu les transformations des entrepreneurs, des hommes qui sont venus dans l'immersion, des hommes qui avaient besoin de retrouver vraiment leur feu intérieur, de la clarté, se réaligner, d'arriver à laisser des choses de côté, parce qu'il y avait des choses qui étaient floues, il y avait un frein à main, il y avait un frein qui ne leur permettait pas de dérouler vraiment et d'être juste léger, et d'enchaîner leur vie, d'être bien. Et quand je vois, et c'était vraiment des mecs qui étaient en mode, voilà, bulldozer, voilà, machin, très dans le contrôle, et d'avoir vu autant de transformations sur le lâcher prise, de bienveillance envers soi-même, de s'apercevoir que, ok, ça c'est pas pour moi, et je le laisse et je suis ok, et c'est là où je dois foncer. Et de démystifier aussi des choses business, d'en avoir fait genre, ouais mais comment je vais épiler la seule couche, ah ouais, en fait c'est simple, dit comme ça, avec l'échange. Il y a eu vraiment des transformations qui m'ont touché. Et évidemment, moi, à chaque fois que je crée ces espaces-là, je suis aussi participant. Et je suis aussi, moi, le mec qui prend des claques. Je le partagerai dans les autres sujets du journal de bord, mais déjà, je voulais du coup te partager, parce que ce que je suis en train de te dire, c'est quand même formidable. J'ai vécu un moment incroyable. J'ai enfin retrouvé une activité où, tu vois, je suis dans ma zone de génie. Je ne vois pas le temps passer, où j'ai l'impression de jouer. C'est quand même formidable de se dire, en fait, je me dis, je suis payé à faire ça. Et là, je l'ai vraiment retrouvé. Quand je venais des formations en ligne, je l'avais eu au début, mais je l'avais vite reperdu parce que me manquait le fait d'être dehors. C'est con, mais dehors. Et d'être au contact de gens et de voyager, de bouger. Et je l'ai vraiment retrouvé. Et pourtant, et c'est pour ça que je voulais commencer par ce sujet, tout a été contre moi pendant cette immersion et pendant la préparation de cette immersion. Donc déjà, un, je voulais te dire, lâche jamais. Lâche jamais. surtout quand au début, quand c'est le début d'un business, il y a tout qui part en coup, il n'y a rien qui est comme tu veux, etc. Première chose... Je voulais, moi en général j'aime bien être 6-8, entre 6 et 8. On a été 4. Et 4, c'est la première fois où je le faisais avec si peu, et je me dis merde, j'ai peur que ça fasse un effet de, il n'y a pas l'effet de groupe, l'énergie, etc. En plus, j'avais réussi à ce qu'on soit 5, parce que ce qu'il y a c'est que j'ai aussi, il y a des gens que je n'ai pas accepté dans cette immersion, parce que je sentais qu'ils n'étaient pas encore sur la bonne vibe, sur les bonnes valeurs, prêts à vraiment s'engager à fond. Parce que tous les mecs qui étaient là, c'est des mecs qui étaient ultra dans le contrôle dans le... on va pas chercher les émotions, on va pas vraiment regarder la vraie vérité mais je sentais qu'ils en avaient envie et les intentions étaient là, elles étaient bonnes, les valeurs étaient là, d'autres non donc j'ai dû intentionnellement, parce que le casting pour moi est essentiel, refuser des gens ce qui fait que j'avais pas vraiment le nombre et je me disais merde ça va pas faire le truc, ça fait un peu cheap, merde, et puis l'ego qui fait mal et bon on arrive à 5 et malheureusement la 5ème personne a dû annuler au dernier moment pour cause de de décès familial et rentrer en France et en plus Ça a été dur parce que, vu que c'est pas sur invitation et que c'était un peu, j'ai organisé ça à peine trois semaines à l'avance, sur Bali. Donc c'est des gens, là j'avais déjà invité tous mes potes la dernière immersion, là c'était une nouvelle où je... Le seul truc que j'avais c'est sur des groupes Facebook ou peut-être du bouche à oreille, etc. Et en fait, déjà un, va jusqu'au bout, fais les choses et ne pense jamais à la place de ton client, donc c'est ce que j'ai fait. J'ai envoyé un message à chaque gars, je dis écoutez voilà les gars, on est quatre au lieu de... potentiellement genre à aimer 6, 7, 8 et est-ce que c'est ok pour vous si on le fait parce que j'ai peur je connais pas trop est-ce que c'est ok et ils m'ont tous dit bah et moi je pensais que ça allait faire genre ah bah ouais on est pas assez ça va pas être ouf ils m'ont dit ah bah non mais au contraire ça va être ultra premium on va être privilégié etc et finalement ils ont eu raison parce qu'en fait on avait des échanges ils m'ont dit moi ils ont tous dit en fait j'ai l'impression que c'était du one one et même dans les ateliers et les intervenances que j'ai fait venir pas mal d'intervenants sur différents sujets Ils étaient là, mais en fait, j'ai l'impression que c'est mon... une immersion juste à moi et en plus encore plus kiffant parce que j'ai quand même je peux matcher avec des mecs de façon intime et que ça donc donc j'y suis allé en fait j'y suis allé et c'est ça c'était le premier truc donc vas-y même si tu as l'impression que ça va pas deuxième chose vraiment fais toi si tu fais des événements en quelqu'un qui entre guillemets tu assistes parce que c'est la première fois où là j'avais personne qui m'aidait à gérer les petits à côté et waouh c'est trop c'est En fait, c'est dur, mais c'est surtout aussi, t'as l'impression que tu te fais un peu carotte ou l'organisation, genre, payer les prestats. Tu sais, les cristaux, dès qu'ils arrivaient, vu que c'était des cristaux différents, il fallait que je paye. Et au début, j'étais acheté l'Iban. Au début, j'avais été faire un aller-retour de 25 minutes pour aller chercher du cash. Tu irais genre 8 fois du cash parce que le redistributeur, il y avait un montant limité pour filer le montant. Enfin, l'enfer, tu sais, quand t'es dans ton immersion, tu dois tenir l'espace. Il y a ça, les intervenants, est-ce qu'ils sont bien à l'heure, est-ce que ceci, est-ce que... Et en fait, en plus, la valeur perçue, elle est moins bonne. Toi, tu es censé être là, le mec qui tient l'espace, et les petites choses comme ça, c'est quelqu'un qui doit s'en occuper. Donc je me suis dit, toujours prendre un ou une assistante pour vraiment aider sur ces petites choses d'à côté, pour pas que ça se voit, et pour que moi, je puisse rester concentré. Et ça vaut vraiment l'investissement, ça c'est clair et net. Autre chose aussi, il y a un truc tout con. Et ça, je reviens plus sur le début, sur quand t'as trouvé, tu sais, même quand c'est une activité qui a du mal au début et que tu sais pas si tu vas faire de l'argent. Et moi, c'est mon cas, tu vois. J'ai très peu d'argent, finalement, par rapport à avant. Mais, en fait, quand je le vois, quand je rentre en immersion, je me mets sur... Je deviens, je me mets sur... J'aime bien dire ce mot-là, mais je me mets sur une fréquence, la fréquence de l'homme que j'ai envie de devenir, tu vois. Et naturellement. Genre, j'ai pas à me forcer, ça me... C'est comme si le... la mission, le moment me permet naturellement de level up, d'augmenter ma fréquence. Et je me vois, j'aime être dans cette énergie-là, dans cet amour-là, cet ancrage, cette concentration. Et c'est naturel, je n'ai pas à me forcer. Et je le vois que dès que l'immersion est finie, il y a ce petit côté de... Le Alex est un petit peu plus fou, après on ne peut pas toujours être à fond, mais le Alex est un peu plus fou, un peu plus relâché, etc. et Et je perds un peu cet ancrage, ce leadership, ce charisme qui rebaisse un peu. Pourquoi je te dis ça ? C'est parce que quand tu trouves quelque chose qui fait vraiment du sens, un, tu es censé être dans ta zone de génie, donc les choses te paraissent faciles. Mais deux, quand tu te vois faire les choses, tu sais que tu es fier. Tu es fier de la version de toi-même que tu es en train d'être. Et ça, c'est important. Parce que si tu fais quelque chose, une activité, ou quand tu te regardes, Quand tu t'observes de l'intérieur, ou tu vois dans le regard des gens, ou même toi-même, t'es pas une version de toi dont t'es fier et où tu te dis putain c'est génial je suis en train de progresser mais j'ai plus l'impression de régresser c'est que soit c'est pas le bon business, ça c'est, il y a un mot, il faut se le dire, soit c'est que la façon de faire, de mettre en place ton business, n'est pas la bonne, soit en fait, toi-même, tu es sur le bon chemin, mais la façon de le faire, encore une fois, ne te correspond pas avec toi, tu as voulu créer des process qui ne sont pas toi, et là, moi, c'est tout l'inverse, et ça fait vraiment un bien fou de se voir comme ça et de se dire, wow ! J'adore qui je suis, j'adore l'état dans lequel je suis, j'aime... Evidemment, il y a toujours un peu de stress, qui est encore là, vu que ça reste les premières, j'en ai fait 4-5, parce que t'as envie que les gens repartent avec quelque chose, et vu que c'est pas une science exacte, surtout les immersions, je sais pas ni qui, ni dans quel atelier il va y avoir des clics, tu vois. J'en ai aucune idée. Et je leur dis au début, genre vraiment ça je leur dis. Mais du coup j'ai quand même envie que ça se passe, donc t'es là, tu dis bon... Et t'attends qu'il y ait des déclics et à chaque fois, boum, c'est en cascade. Et c'est toujours au moment où on s'y attend le moins, dans la personne où on s'y attend le moins. Evidemment ça arrive et c'est le jeu, c'est ça qui est beau, ça qui fait que les choses sont humaines. Dernière chose que j'ai vraiment envie de te dire aussi, c'est... Avant dernière chose, sur ce sujet, c'est demande des feedbacks à chaud. Pour deux choses. Un, fais toujours des testimonials. Là en plus c'était l'enfer. Genre au moment de partir, on devait faire un check-out du lieu, de la villa que j'avais loué, à 11h. On est parti à 13h. J'ai lâché un petit pour-licho au mec qui gérait la villa pour dire désolé. Parce que... Il y avait un atelier qui s'est prolongé, de l'intervenante, et je voulais pas, vu qu'elle avait un petit mot pour chacun en individuel, je voulais pas couper le truc. Et derrière je voulais des testimonials, donc des avis à chaud des participants. Et d'un côté, donc je l'ai fait, et il y avait la pluie, il y avait le truc, genre c'était genre à ce moment là il pleuvait donc les gens étaient dans la pièce, je disais faut pas faire de bruit, truc, machin, fin. C'était une galère, encore une fois, de devoir tout gérer et les gens... et en même temps faire le testimonial, et gérer le caméraman, et truc, et machin, je les ai eus. J'aurais pu les creuser plus longtemps, mais le timing était tellement short. Il y a un truc que j'avais fait aussi avant, je pense que c'est deux choses qu'il faut que tu demandes, c'est un, les feedbacks, pour que tu puisses les utiliser finalement comme meilleur argument de vente, donc des testimonials, mais aussi autour d'un moment off, et ça je le fais à chaque fois, de dire, ok, qu'est-ce qui vous a plu, qu'est-ce qui vous a moins plu. Et ça, t'es encore dedans, donc ça te pique l'ego. Ouais bah ça c'était pas ouf, ça aurait pu être mieux, moi ça ça m'a pas trop plu alors que toi peut-être il y avait un atelier où tu dis c'est trop cool et en fait ils ont dit ouais bon bah ouf. Bah c'est ça que tu dois le demander, tu dois le demander et c'est tellement dur quand t'as mis tout ton cœur, tout ton âme dans un truc et qu'on dise bah non en fait ça c'est pas ouf et plutôt le truc où tu t'en foutais quand tu l'as mis en place ils ont dit oh c'était incroyable. Et là, tu dis, OK. Parce que n'oublie pas, tu ne le fais pas pour toi, en fait. Si tu ne le fais que pour toi, c'est un hobby. Si tu le fais pour les gens aussi, c'est un métier, c'est une passion et c'est cool. Mais du coup, ça veut dire qu'il faut vraiment toujours... demander des feedbacks si tu fais du coaching demande à la fin du coaching qu'est ce que tu retiens qu'est ce que tu auras aimé en plus tu vois et c'est toi qui prends là ce moment là toujours si tu si tu es vraiment sur du service du freelancing ok qu'est ce que tu as aimé qu'est ce que tu as pas aimé qu'est ce que je peux améliorer tout le temps et si tu fais à chaque fois la fin de ton service et toi même tu vas vraiment monter en gamme de fou donc c'était vraiment c'est vraiment les choses que je voulais partager et dieu sait que c'était c'était intense C'est cette immersion et Dieu sait que c'était pas gagné. Et franchement, à 5 jours avant l'immersion, je me disais, vas-y, je vais annuler. Je vais annuler, j'ai pas assez de gens, je doutais de trucs. Et après, boum, au moment où j'avais loué la villa, je commençais à avoir l'annulation. Je me suis dit, oh putain, non, vas-y. Et après, je me suis dit, all in, vas-y, on y va. On y va à fond et je vais tout donner comme si on était, entre guillemets, 8 et que je l'avais vendu 25 000 euros. Alors que c'est pas le cas pour le moment. Peut-être un jour. Et vraiment, ça valait le coup parce que humainement, ça m'a fait du bien. J'ai apporté les changements à ces mecs-là qui sont venus. C'est la raison pour laquelle j'ai créé ces immersions. Et c'est surtout de te dire, connecte-toi toujours à ça. C'est quoi ma mission ? Et une fois que tu es dedans, ne lâche pas l'affaire. Parce que si tu le fais pour cette mission-là et non pas pour l'argent, malgré les obstacles, malgré peut-être la thune qui ne va pas tomber autant que tu veux au début, tu vas le faire. Alors que si tu te connectes juste sur la p***, le côté pratico-pratique du business plan qui n'est pas carré, tu vas t'arrêter. Donc connecte-toi à ça. J'espère que les différents petits tips que je viens de te partager pourront t'aider à aller jusqu'au bout. Autre sujet maintenant, qui est un sujet que je n'ai jamais abordé. C'est bizarre d'en parler, mais on est là sur un journal de bord. Il y a un des ateliers qui a été très puissant, que j'aime bien quand c'est possible, implémenté dans mes immersions. C'était avec une nouvelle intervenante, parce que c'était à Bali. Et d'habitude, je les faisais faites au Portugal, dans mes immersions au Portugal. Et bref, dans cet atelier, il y a un moment, elle a fait un truc que... que j'avais pas l'habitude sur cet atelier-là, elle nous fait passer un morceau d'Aloe Vera. Et elle nous dit, en conscience, passez-vous de l'Aloe Vera sur le corps et donnez de l'amour à votre corps comme si c'était votre enfant, en fait. Comme si c'était quelqu'un que vous aimiez profondément et que vous lui soigniez des plaies, des blessures. Et j'étais là, je passe l'Aloe Vera sur tout le corps, en plus c'était vraiment un moment puissant, je prends le temps et... Et en fait, je me suis vraiment aperçu, je me suis dit, mais je ne suis jamais gentil avec mon corps. Genre, mon corps, s'il est malade, je bouge pas. Genre, littéralement, c'est con, mais on dit la santé, c'est le truc numéro un dans la vie, c'est le cas. Mais qu'est-ce que ça veut dire en fait ? Ça veut dire que potentiellement, ton corps et ton cerveau, je dirais même, ton cerveau, tu restes, même quand t'es malade, tu restes à peu près conscient, même si t'es pas bien. On dit souvent qu'on est malade et qu'on est cloué au lit. On peut rien faire. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps ne bouge pas, il ne fait pas ce que tu lui demandes, et t'es pas en pleine capacité. Et je me dis, ça veut dire que le truc numéro un le plus important dans la vie, c'est vraiment que ton corps fonctionne parfaitement dans l'idée. Et je me dis, pour que le truc numéro un dans la vie le plus important, je suis jamais sympa avec lui, je suis jamais dans l'amour et la gratitude. Waouh ! Parce que j'étais là en train de me passer la Loewe. Et tu sais, vraiment, j'étais en mode... Ouais, comme c'était mon enfant, mon meilleur ami, où vraiment je suis en train de l'aider. Et j'ai dit, mais je suis toujours en train de voir mon corps comme, tu sais, l'élève qui fait jamais assez bien. Qui fait jamais assez bien. Allez ! Allez encore ! Putain, t'es pas assez musclé. Tu fais pas... Putain, j'ai mal. Pourquoi... Arrête d'avoir mal. Putain, j'arrive pas à aller plus vite. J'arrive pas... Tiens, ça me fait... Je n'arrive pas. Je sais pas, à sauter plus haut, à soulever plus lourd, à être là, je suis crevé, j'ai mal partout, putain, tu fais chier à avoir mal partout, tu fais chier à pas faire les perfs que je veux. Et ça fait vraiment genre comme le parent un peu agacé sur son enfant, au lieu de se dire, mec, on est dans la même team, allez mon gars, ça va aller, la prochaine fois on soulève plus lourd, allez détends-toi, t'as un peu mal, t'inquiète, je vais te masser, je vais te faire du truc. Et d'envoyer de l'amour, c'est-à-dire, t'inquiète pas je vois très bien ce que tu ressens on va y arriver on va y arriver c'est cool Et je me suis dit, j'ai jamais. En fait, je me suis vu avoir le comportement, tu sais, comme quand t'as une vieille bagnole, tu sais. T'aimes bien, mais t'es toujours, allez, putain, là, qui démarre pas, et qui casse ses petits trucs, et l'embrayage qui va pas, et t'es là, putain, et tu râles. Et en fait, tu lui tapes dedans comme un gros tas de ferraille. Et dans l'idée, je pense que je suis vachement comme ça avec mon corps. Je le regarde, je dis, putain, c'est exactement comme ça que je veux. Putain, j'ai encore mal aux genoux. Putain, vas-y, j'ai mal là. j'en t'agis j'arrive pas à faire mes tractions, j'ai plus de cardio bah ouais en fait je suis pas en train de l'épauler comme un enfant qui a besoin de grandir et de s'améliorer d'être là et de l'encadrer dans de l'amour je me suis dit wow à partir d'aujourd'hui je vais toujours essayer d'avoir au moins un ou deux moments par jour où en fait je suis avec mon corps en conscience, je vais le regarder comme si c'était une entité et je me suis dit bah soit c'est sous la douche parce que moi je me savonne avec un savon traditionnel de Marseille Et prendre le temps de dire merci, genre, ok comment ça va ? Ou est-ce que j'ai mal ? Ok on va aller, tu vois. Et pas être juste moi dans ma conscience, genre, oh, les sensations de mon corps me font du bien à mon cerveau. Non, c'est l'inverse, c'est mon cerveau qui va aller dans mon corps et dire comment tu te sens. Ou alors justement au sport, quand je fais du sport, quand il y a un effort, dire, allez, allez on y va, et non pas genre, allez putain, allez tu vas y arriver, genre, putain, merde, tu fais chier. Non, c'est genre, allez, allez on y va, tant pis, ce sera la prochaine fois. Et vraiment, cette Ausha m'a fait un clic parce que je me suis dit, le véhicule, la plus belle... En fait, c'est mon meilleur ami. Je dis souvent, il faut que je sois mon meilleur ami. Mais en fait, ça va déjà commencer par... En fait, on peut être plusieurs potes à l'intérieur de ce corps. Il peut y avoir l'esprit, il peut y avoir la personnalité, il peut y avoir le corps. Et je pense qu'il faut que je me comporte avec mon corps comme avec mon meilleur ami que j'aime profondément. Et ça va être le cas à partir d'aujourd'hui, j'espère. Faire des checks régulièrement pour me dire est-ce que j'y suis arrivé ou est-ce que je suis retombé dans les mauvais travers. Parce que ça change tout. Et on sait très bien en plus que les mots sont importants, les vibrations. On est fait de flotte à 80%. Et ça a été prouvé. L'eau, elle est chargée avec les ondes particulières qu'on lui envoie. Donc si tu es toujours envoyé des ondes pourries à ton corps, ton corps va être pourri en fait. Il aura beau lutter, un jour tu vas te blesser, un jour ton système immunitaire va te défoncer et tu vas te choper une merde. Ou pire. Mali auto-immune, cancer, truc comme ça. Bah ouais ! Donc moi, ça m'a vraiment fait un... Et comme je te dis, dans mes immersions, je suis le premier participant et ça m'a fait un magnifique déclic que j'avais envie de te partager pour te dire comment tu te comportes avec ton corps. C'est quoi la relation que tu as avec ton corps ? Je sais qu'il y a beaucoup de femmes qui m'écoutent. Et je sais que les hommes c'est dur, mais les femmes c'est encore pire. Tout, tout, tout. Très dur la relation au corps. C'est jamais assez bien, on aimerait... Puis en plus avec Instagram, donc demande-toi. Est-ce que tu as une relation de meilleur ami avec ton corps, avec qui vous allez vivre les plus folles aventures, et une aventure où il y a plein de problèmes et on les surmonte et c'est ça qui est beau ? Ou est-ce que tu es en mode... Tu sais ? La belle-mère de Blanche-Neige qui lui fait faire les pires trucs, qui est aigrie et qui... Alors ton corps, c'est Blanche-Neige, il est là. Enfin, Blanche-Neige, je sais plus, la belle au bois dormant, pardon. Et en fait, il est pur, ton corps. C'est juste toi, comment tu le traites, qui fait qu'il a des conséquences sur lui. Alors pose-toi cette question. C'est quoi la relation que t'as avec ton corps en ce moment ? Maintenant, sujet un petit peu plus léger, le jeu. Le jeu, c'est quelque chose qui... et naturel, qui est omniprésent de notre enfance, en tout cas, je te le souhaite que ça l'ait été, et pour moi qui ai vécu une enfance très solitaire, j'étais fils unique, mes parents, bah, ces parents à l'ancienne, ils étaient occupés, donc je jouais tout seul, j'avais pas le droit de sortir, donc j'étais très seul, mais je mettais du jeu, tu vois. J'avais du jeu dans ma vie, dans les petits trucs, les histoires que je m'invente, et c'est vraiment le truc qui disparaît, je trouve, souvent, en tout cas, étant adulte. Et moi qui adore le jeu, je m'en suis rendu compte, c'est quelque chose que j'essaie de garder au quotidien. Et les gens qui passent un peu de temps avec moi, ils le savent. Je suis toujours en train de « Allez, on met un jeu de dé, il y a un truc, vas-y, dégage des trucs, vas-y, on se met des challenges. » Parce que j'aime ça. Et ça a été prouvé aussi, il y a un livre qui s'appelle « Play » , donc « Jouer » , qui a été écrit. Et il y a eu beaucoup d'études sociologiques, comportementales et également médicales sur... la partie vraiment du cerveau, qu'est-ce qui se passe dans le cerveau quand on joue. Et déjà, il y a un truc, c'est que si tu regardes chez les mammifères, le jeu est partout. Chez tous les mammifères, le jeu existe. Pourquoi ? Parce que c'est la façon d'apprendre aux petits de l'espèce, d'apprendre et d'ancrer des comportements, de comprendre les comportements et de transmettre. Et si tu regardes bien, l'apprentissage chez nous, il est tout sauf drôle, marrant et dans le jeu. C'est l'inverse. On est au forceps, on est dans le sérieux. C'est les devoirs. Il faut faire les devoirs. Il faut apprendre des tables de multiplication. Il faut apprendre ce nouveau rapport, ce nouveau discours. Ça va être attention, ça va être important. Alors qu'en fait, ils ont prouvé que quand tu es dans le jeu, le cerveau sécrète plusieurs hormones. Là, je n'ai plus en tête. Mais qui permettent en fait la mémorisation beaucoup plus rapidement et la compréhension du cerveau beaucoup plus rapidement. sur ce qui est en train d'être nouveau. Et ça, en fait, quand tu comprends ça, t'es en train de dire, attends, si je veux ce résultat-là, que je suis en train de faire de façon un peu mécanique, si je mets du jeu, c'est comme si j'avais une seringue, une injection de mémorisation et de rapidité en plus. Mais pourquoi t'en priver, en fait ? Pourquoi t'en priver ? Et vraiment gamifier son business, son business, tout, la perte de poids, la mémorisation, en fait, c'est déjà un. Fucking shit, t'es beaucoup plus heureux, tu vois. Quand tu joues, t'es heureux, t'es léger, t'es en train de te marrer. Et à la base, c'est pour ça qu'on se lève le matin. On se lève parce qu'on a envie d'être heureux. On gagne notre thune parce qu'on veut faire des trucs avec qui nous rendent heureux. Peu importe ce que c'est, que ce soit acheter ou vivre ou peu importe, ou offrir. Et là, tu te dis, mais attends, même pour obtenir cette thune ou faire ces trucs qui me rendent heureux, je peux les faire. Juste le procès, il peut déjà me rendre heureux. c'est toujours pareil, on en revient à la quintessence de la vie, c'est faire les choses pour le p... plaisir de les faire et pas pour ce que tu en obtiens. Et par plaisir, quand tu fais quelque chose par plaisir, il y a souvent du jeu. En tout cas, ça accélère, ça augmente. C'est un peu le sel et le poivre de la vie. Et je me suis dit, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que justement, les mecs qui étaient à l'immersion, il y en a beaucoup qui sont genre, parce que, moi y compris, et pourtant j'adore le jeu, tu sais, le travail c'est dur. Pourtant, il y a des mecs qui gagnent beaucoup d'argent. Mais ils étaient encore dans... En fait, la vie ça doit être dur, le travail ça doit être dur, sinon c'est... je me sens un peu coupable, je me sens « ah je suis pas bon en fait » « putain j'ai fait beaucoup d'argent, je travaille trois heures et je me sens bien » « putain c'est pas normal, c'est pas ça la vie » « je dois travailler douze heures, je dois être épuisé, je dois être là, ok là je l'ai mérité » « c'est pas ça la vie en fait, ça c'est ce qu'on veut nous faire croire » « pour justement nous contrôler » « parce que quand t'es crevé, que t'es agacé, que t'as peur et que t'es dans les mauvaises énergies » On fait ce que tu veux de toi. Et puis l'inverse, quand tu es léger, quand tu es bien reposé. Quand tu es dans ta zone de génie, quand tu as joué, tu as une clairvoyance, tu as une conscience, tu as une compréhension des choses. et donc t'es un peu moins un pion qu'on peut manipuler que ce soit au sein d'une entreprise, d'un pays, d'un gouvernement, etc. Et je me suis dit, putain mais waouh, je vois tous ces mecs-là, il n'y a pas de jeu dans leur life. Et eux, ils ont pris conscience aussi en fait, c'est surtout eux qui ont pris conscience de ça. Je me suis dit, putain mais je prends tout au sérieux, je cérébralise tout, au lieu de descendre dans mon corps et de le ressentir. Et puis il n'y a rien qui est important, puis finalement quand tu enlèves tes freins et que tu as l'impression que tu es dans le flow, tu es dans la légèreté, puis finalement tu as la créativité qui vient. parce que du jeu vient beaucoup la créativité donc c'est pas le faire c'est que ton cerveau arrive à créer des choses qui n'existaient pas jusque là dans ta tête. Et c'est ça qu'il faut comprendre. C'est ça qui est fou. On veut souvent apprendre et faire, et bien le faire. Mais déjà, apprendre, il faut absorber un truc qu'il y a dans ton cerveau. Mais quand tu joues, un, tu mémorises, deux, tu exécutes mieux. Et en plus, à partir de ça, cette combinaison-là, tu vas créer des choses qui n'existaient pas dans ta tête, c'est-à-dire des idées, des concepts, des envies, de la motivation. Ça, ça n'existait pas. c'est ton cerveau qui est capable de le faire parce qu'il y a du jeu et moi évidemment premier effet miroir je suis aussi un participant de mes propres émissions j'ai mis putain mais j'adore le jeu mais dans mon business je le mets dans ma vie perso mais dans mon business j'ai eu tendance et là ça revient plus mais justement être dans l'entrepreneuriat de l'entrepreneuriat ça m'a vraiment écarté de toutes les belles choses que j'avais réussi à acquérir en tant qu'influenceur voyage parce que j'étais vraiment dans ma pure zone de génie métier passion etc et ça m'a écarté de Moi à l'instant présent ça m'a mis du stress J'ai eu la peur du manque Et quand je dis l'entrepreneuriat c'est Quand j'ai commencé à avoir ce business avec vendre des formations Avec une équipe, avec des objectifs etc Et je me suis dit mon business je mets plus de jeux Faudrait que je me dise Peu importe la façon de faire Ça peut être du jeu entre les trucs Genre hop tu fais un petit truc Après tu vas faire un petit jeu Un petit basket de bureau Des jeux de fléchettes Ou juste de... jouer, faire un truc avec quelqu'un à côté... Parce qu'ils ont même, justement dans ce fameux livre Play, je mettrai le lien dans la description, ils ont prouvé que les gens qui sont en réunion, qui font des pauses au bout d'une demi-heure, pour faire une petite pause un peu légère, jeu, discussion, on rigole, on machin, créer de la légèreté, ben doubler voire tripler les résultats de la réunion de ce qu'il en ressortait en fait. Parce que encore une fois, t'apaises le stress, t'enlèves le stress, tu crées du... de l'espace, du jeu, tu dobes ton cerveau et là, boum, il crée des idées grâce à ça. Donc pourquoi je te parle de ça, c'est parce que, est-ce que toi, t'es tombé dans la vie d'adulte et d'autant plus dans ta vie pro, dans un truc très sérieux ? Il faut y arriver, c'est important, c'est grave. Oui, j'ai une mission, oui j'adore ce que je fais, mais attention, mais machin. Où est-ce que justement, t'arrives à comprendre qu'en fait, le next level de l'éveil... de l'épanouissement et de la conscience, c'est d'arriver à faire des choses importantes avec de la légèreté, avec du jeu, avec de l'amusement. Parce qu'en fait, ceux que tu vois justement, que souvent t'admires, t'as l'impression que c'est des gens qui sont là, qui sont bien, qui sont légers, qui sont bien dans leur peau, et tu sais, ils ont l'air de s'amuser justement. Un sportif qui a l'air d'être dans le flow, il est là, il fait des trucs, t'as l'impression du mec, waouh ! Un artiste, pareil. Et en fait, quand quelqu'un, et limite ça t'agace quand tu vois quelqu'un aussi qui dans le boulot fait un truc, tac, tac, tac, tac, il s'est amusé, il a fait ça en trois secondes, c'est putain mais vas-y fais chier là. Parce que justement lui il a trouvé ça en fait. Il a trouvé ce, qu'en fait on te manque, on te fait à l'opposé de ce qui va te rendre bien meilleur, bien plus heureux et beaucoup plus reposé. Et c'est le jeu en fait. On est des mammifères et c'est une partie intégrante de notre apprentissage, de notre bien-être. et de s'améliorer en fait et surtout encore une fois du partage, de connexion. On connecte beaucoup plus, tu le vois. T'es dans une soirée, bon voilà, ça discute, il y a un jeu, tout à coup il y a des connexions qui se font, qui sont belles, qui sont simples et beaucoup plus pures. Donc ouais, je te le demande. Est-ce que tu mets du jeu dans ta vie perso et pro ou est-ce que t'es quelqu'un de sérieux et de chiant en fait ? Alors le prochain sujet, c'est un sujet beaucoup plus pratico-pratique et terre-à-terre. J'étais à l'immersion et j'allais guider un cercle d'hommes, comme je fais à chaque fois dans mes immersions, où là on est là vraiment pour parler des émotions, pour le partager sans masque, sans être coaché, sans être jugé ou en compétition avec les autres. Ça arrive, ce qui n'arrive jamais entre hommes, si tu ne crées pas cet espace de façon un peu plus artificielle. Et j'arrive pour, comme d'habitude, encadrer, avoir des questions que j'aime bien, des ateliers que j'aime bien faire durant le cercle d'hommes. J'ai cherché mon carnet dans lequel j'ai toutes mes petites notes, à travers tous les cercles d'hommes que j'ai pu faire, que j'ai peaufinés, etc. Et là, je me perçois que je tourne les pages. de façon de plus en plus rapide, vers l'avant, vers l'arrière, de plus en plus rapide et stressée. Je ne trouve pas les questions que j'utilise d'habitude. Où sont les pages et tous les trucs que j'ai recensés qui sont importants pour guider mes circuits ? Ah, d'accord. Oh là, attends, je continue. Je suis en train de m'apercevoir à littéralement neuf minutes du démarrage de l'atelier que ce n'est pas le bon carnet et que j'avais deux carnets et que c'est dans l'autre. Eh oui ! qui est au Portugal. Voilà. Et là, je suis un peu en panique, parce qu'en plus, c'est un peu juste avant de monter sur scène. T'as l'espèce de blanc. Tu connais ton texte, mais t'es un... Attends, merde, c'était quoi ? Qu'est-ce que je... OK, donc... Et voilà. Donc évidemment, j'ai réussi à me poser, à retrouver les questions sur le premier atelier. Du coup, le suivant, le jour d'après, j'ai dû recreuser un petit peu dans ma mémoire et des trucs que j'avais pu noter un peu ailleurs. pour arriver à faire un Cercle GOM qui a été vraiment incroyable. Mais pourquoi je te dis ça ? Parce que c'est nul. C'est nul de se dire, en 2025, où on peut être cloné sur Internet et la technologie est incroyable, et pas être foutu de mettre ces outils sur des bases de données que tu peux retrouver facilement. Parce qu'en gros, je suis quand même quelqu'un qui aime mettre les choses sur le carnet, ça m'apaise. J'avais vu ça justement sur... Sur une vidéo d'un scientifique spécialisé sur les TDAH, il disait que vous devriez vivre avec un carnet à côté de vous pour déposer. Et pas le téléphone, parce que le problème c'est que le téléphone, on ne dépose pas, ça stimule. Donc c'est encore pire. Là, le carnet, je le fais beaucoup, de déposer des idées, des choses, des trucs comme ça. Et évidemment, pendant les cercles d'hommes, en plus, on n'est pas sur le téléphone, donc on est sur des carnets. Mais j'ai eu la mauvaise idée, et du coup, j'ai plutôt pas eu l'idée, de tout reporter en fait. dans une base de données, surtout que moi j'utilise beaucoup Notion, la base de données, en gros, outils, immersion, et d'avoir tous les ateliers avec mes petites questions qui sont prêtes, par thématique, etc. Donc, j'aurais eu ça, peu importe, j'aurais perdu mon téléphone, mon ordi, etc. J'aurais pu me reconnecter et le retrouver partout dans le monde sur n'importe quel device, et c'est vers ça qu'il faut aller. Et vraiment, c'est un petit partage, un petit partage de galère. Mais surtout de prise de conscience, de me dire, chaque chose importante doit être dans une base. Alors, base de données, pour moi, c'est un mot qui me donne un peu la gerbe et la chair de poule. Mais depuis que j'utilise Notion, je me suis réconcilié avec ça. Une base de données, c'est juste une ligne avec une info, où sur la même ligne, tu peux attribuer plusieurs infos. Tu vois, la date, la thématique, plein de choses comme ça. Un prix, un truc, un machin, bref, une durée. C'est juste finalement, à une info, tu vas coller plein d'étiquettes, et grâce à ces étiquettes, tu vas pouvoir classer. ranger et retrouver et organiser plus facilement cette info là. C'est juste ça en fait, une base de données. Et du coup, quand tu fais un tableau en mode base de données avec une ligne, avec chaque question ou truc, ou alors cercle d'hommes ou truc, tous ces ateliers, bah en fait c'est simple. Et je l'ai pas fait et je me suis dit que là vraiment, il va falloir que je remette mon nez dans mon Notion pour vraiment avoir en fait un espace où je regroupe toutes mes bases de données et elles sont accessibles ici et que, et terminées en fait. Et dès que je fais quelque chose que j'apprends, qui est important, je le back-up à un endroit qui est sacré et je sais où c'est. On appelle ça beaucoup le deuxième cerveau, mais le deuxième cerveau ça a tendance à devenir une architecture assez complexe, de ramifications, de plein de trucs. Là je pense que c'est vraiment, si je peux te donner le type, c'est que tu crées un espace dans Notion qui est, surtout si tu l'utilises, où tu vas mettre en fait la racine, vraiment la base, tes bases de données, tu vas les ranger là par thème, et ensuite partout sur tes pages, ce que tu peux faire sur Notion, c'est que tu peux faire une vue liée, c'est-à-dire que tu peux faire apparaître finalement cette base de données là, c'est qu'un aperçu de cette base de données dans une autre page, c'est-à-dire qu'elle est hébergée au même endroit, toutes les bases de données sont au même endroit par thème, et après en fonction de comment tu as besoin, tu peux les faire apparaître sur telle ou telle page. Ça c'est sur Notion, mais le mot que je veux dire c'est, si tu as un truc important, le laisse pas en local, le laisse pas sur ton ordi, le laisse pas sur un morceau de feuille qui peut disparaître, etc. Parce que si ça plante, t'es dans la merde. Alors que l'avantage de le filer à Big Brother, c'est qu'il connaît déjà toute ta life, mais qu'au moins, si tu perds ta life, lui pourra te la retrouver. Donc ouais, check, fais un petit tour sur tous tes documents et savoir si les choses les plus importantes sont en ligne, assurées, backuppées et surtout trouvables. Parce que moi je suis très bon, j'y ai arrangé les trucs tellement bien que j'ai bien pu les retrouver. Parce que ça peut te sauver la mise au moment voulu. Maintenant on va parler exploration. exploration d'un nouveau monde que je ne connais pas encore sur Terre. C'est, je dirais, les... les high achievers, les riches, ceux qui ont vraiment réussi, on va dire, dans la partie financière ou professionnelle, mais du coup, souvent, le professionnel a amené beaucoup d'argent. Et finalement, c'est un univers que j'ai beaucoup, le mot ne me vient pas, mais j'ai beaucoup d'animosité envers cette sphère de vie, cet univers-là, parce que je me traîne encore un peu ce côté fils d'ouvrier, pour avoir fait plusieurs fois l'atelier Abondance. Toujours ça qui revient, en gros. Les riches, c'est les méchants. Si on est pauvre, c'est un peu parce que les riches ne nous donnent pas d'argent. C'est aussi, genre, si je deviens riche, je vais devenir con, aigri et voleur. Un peu ça qui revient, je te la fais ultra simple. Et du coup, forcément, j'ai beaucoup d'a priori que, bizarrement, j'avais pas en allant chez les papous. Je me suis pas dit, ah, ils vont manger, ces gars, ils sont sales, ils dorment sur de la paille, c'est dégueu. Enfin, genre, ils ont pas d'électricité, c'est des arriérés, ils sont teubés. Non. Je suis allé, j'ai pris tel qu'ils étaient, et j'ai exploré ce monde-là. Pareil pour l'univers du salariat, l'univers des créateurs de contenu, tous les différents univers que j'ai à peu près tous explorés de près ou de loin à travers le monde, à travers les couches sociales, à travers les ethnies que j'ai pu découvrir pendant mes 15 dernières années de voyage. Et bizarrement, je n'ai pas cette ouverture d'esprit-là sur le monde des riches. Je vais le simplifier comme ça. Et en fait, c'est un univers que, vu que pour moi, la liberté ultime, c'est vraiment être capable d'aller partout et de se sentir bien partout et de voir les choses comme un univers à découvrir. Et après, évidemment, il y a des préférences, mais je me suis dit que c'est vraiment un monde que je me suis interdit. Que je me suis dit que déjà, j'ai un peu de la... Ouais, je les aime pas les riches, tu vois, dans l'idée. Tu vois, c'est les riches, quoi. Salauds de riches. On dit les salauds de pauvres, mais les salauds de riches, tu vois. Et je trouve ça nul. Parce qu'en fait... C'est pas que je veux devenir riche ou être pote avec ces gens-là. Je veux avoir la capacité et l'ouverture d'esprit de me dire je veux aller découvrir cet univers et prendre autant de plaisir dans la découverte que j'ai pu le faire au fin fond de la jungle amazonienne, au fin fond de mon bureau sur mon open space, où c'était aussi une superbe expérience de vie. Ça ne me correspond pas du tout, mais je l'ai découvert. Et pendant plusieurs années. Et pendant l'immersion, c'était vraiment ça. Un de mes out-sites, c'était vraiment de dire comment je fais pour créer des immersions où je réunis justement des high achievers, des top profils. des CEO, des gens vraiment parce que je sais que c'est peut-être pas la partie business évidemment sur laquelle ils vont ressortir le plus même si justement on crée des hot-sites et donc des synergies, des cerveaux collectifs et tu réunis des cerveaux qui sont à peu près au même niveau de vie, au même niveau d'avancement professionnel, bah ça fait des popcorns, enfin franchement c'est toujours incroyable les échanges, donc si tu mets les mecs qui sont au même niveau, ils vont forcément s'apporter mais je sais que ces gens là ils sont souvent un peu un peu fucked up, tu vois c'est les pires c'est ceux qui à l'intérieur, en fait ils ont Ouais. Ils ont éteint leurs émotions et leurs ressentis pour juste être en mode guerrier tunnel et tout arracher en termes business. Et c'est OK. C'est OK. Justement, j'aimerais leur faire découvrir aussi autre chose. Savoir voyager un petit peu à l'intérieur d'eux-mêmes. Et je me suis aperçu de ça, c'est de me dire, merde, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que je me suis dit, je me mets des barrières. Genre, il n'y a aucun riche qui a été méchant avec moi ou qui m'a refusé l'entrée. où tu vois, j'ai beaucoup plus du 2 vu que je ne les vois pas, vu des gens de la vie de tous les jours que j'ai trouvé cons et chiants et pourtant je m'interdis de fréquenter ce milieu là, d'aller dans ce milieu là de vivre, de m'autoriser à alors que je peux avoir le budget, d'aller dans des très beaux hôtels me payer une première classe ou des choses comme ça, je ne le fais pas et je me suis dit wow vu que j'ai envie, parce que ça faisait aussi la stratégie business vu que j'ai envie de faire découvrir mes immersions à des top profils parce que intellectuellement aussi ça m'intéresse parce que c'est des gens qui ont craqué des codes sur leur discipline que je trouve super intéressant il est temps aussi pour moi d'aller explorer un univers sur terre que je ne connais pas et que j'ai encore une fois souvent diabolisé c'était ça le mot que je cherchais diabolisé et je pense que vu que la vie c'est un peu notre extérieur est juste la représentation de notre intérieur jusque là je voyais un peu les riches et comme des méchants ou des cons et j'en voyais aussi beaucoup Mais c'est un petit peu comme, tu vois ce que tu as envie de voir, le jour où tu as acheté une Clio rouge, putain t'as l'impression que personne n'en avait, et le jour où tu en achètes une, tu vois que des Clio rouges sur la route. Et je pense que justement mon but aujourd'hui c'est de commencer à me dire, mais en fait, attends, attends, si je me concentre bien, des mecs qui sont blindés, et qui sont des gars chambés, et qui ont réussi parce qu'ils ont fait des trucs géniaux, et qui sont généreux, j'en connais en fait, j'en connais. et puis en fait les riches ça peut être aussi des gens très généreux très smart, très cool Et du coup, c'est aussi cet univers-là que je veux découvrir. Et bref, pourquoi je te dis ça ? Parce que je me dis, on s'interdit souvent de... d'explorer des univers, des métiers, des projets, se donner la chance de contacter des gens parce qu'on n'est pas assez, parce qu'on n'est pas assez bon, on a peur de déplaire, on jalouse aussi la personne, et du coup, ça crée un mauvais truc, plutôt que d'être simplement dans un état d'esprit d'ouverture, d'exploration, comme on le fait dans le voyage. comme on le fait dans d'autres cultures. Mais vu que là, il y a un enjeu un peu personnel, business, je le vois en fait. Je me crie, j'ai tout ce que je n'ai pas dans ma vie de tous les jours, c'est-à-dire des a priori, des jugements, et je mets les gens dans des petites cases débiles. Donc, je te partage ça parce que justement, demande-toi ce que tu as besoin, vers ce vers quoi tu as besoin ou envie d'aller, mais inconsciemment, tu l'as mis dans une case. Une case de quelque chose qui... c'est pas pour toi, c'est trop grand, t'es pas assez bon, t'es pas assez bonne, c'est trop cher, c'est ceci. Comment tu fais pour enlever toutes ces étiquettes, l'enlever de ces cases, puis juste y aller, puis voir, puis expérimenter les choses ? Parce que moi, c'est ce que j'ai envie de faire. J'ai envie de me dire, et c'était des challenges qu'on m'a mis, c'est aller dans un hôtel de luxe, comprendre. Parce qu'en fait, si je veux potentiellement faire venir des CEOs, des gens qui ont vraiment réussi, des top achievers sur mes immersions, il faut déjà que je comprenne cet univers. d'une façon que je comprends un ouvrier, je comprends un cadre dans un open space, je comprends un mec qui est dans une tribu dans la jungle parce que je l'ai vécu, moi même j'ai vécu ça en fait je peux pas parce que j'ai jamais vécu, j'ai jamais pris la première classe, jamais été dans des hôtels vraiment de luxe tu vois où je me suis moi même payé les choses et des fois j'étais invité mais je faisais pas gaffe, mais là vraiment faire cette démarche là de comprendre de voir le et finalement d'explorer encore une fois un univers que je ne connais pas et que je diabolise et que j'aimerais gommer ça en fait. J'aimerais explorer. Je voulais te le partager parce que vraiment ça fait un shift pour moi de me dire bon bah on va aller voir les riches quoi. Mais tu vois même en te le disant j'ai encore cette... j'ai pas d'amour, j'ai pas de... on voit que j'ai plein d'étiquettes, j'ai plein d'a priori tu vois. Alors que j'ai jamais d'a priori sur toutes les autres choses que j'ai été... tu vois quand je vais en Iran tu vois j'ai dit ah c'est les russes, non. Je vais aller comme ça, je vais aller voir en Irak, quand je suis allé en Irak, je vais aller voir. J'avais pas d'a priori rien Puis bizarrement, c'est des gens incroyables, puis le pays est cool, puis ils ont leurs problèmes, puis ils ont leur stigmate, mais ouais, tu vois. Et en fait, j'ai envie de... C'est là où je trouve, je trouve ça beau l'entrepreneuriat, c'est encore une fois, je le dis tout le temps, mais c'est le meilleur outil de développement personnel, parce que ça te montre tout de suite là où sont tes pensées limitantes, là où sont tes barrières, là où sont tes plafonds de verre, là où sont tes points faibles. Et là, je l'ai vraiment mappé, identifié sur cette zone-là, cet univers dans la vie qui existe dans le monde, et j'ai plus envie d'être découvert. Encore une fois, pareil. J'ai pas envie d'être pote avec les papous, je vais pas traîner tous les jours avec mes potes papous. De la même façon, je vais pas non plus être là à vouloir traîner avec des riches, mais je vais être capable d'y aller, de prendre du plaisir, et sans jugement, et m'enrichir moi, et de le faire sans étiquette, et ouais, parce que c'est important. Donc pose-toi la question. Quel est l'univers, le projet, le thème, le challenge que tu te refuses de vivre, parce que tu l'as mis dans une boîte, et que tu le diabolises, ou que t'as peur, et que tu vas pas le cœur ouvert avec tout. toute l'ouverture d'esprit qui permettrait d'en retirer plein de bénéfices. Maintenant, je voudrais te partager une anecdote très inspirante, je trouve, une belle victoire. C'est Hervé Chevalet, qui est dans le cercle des solopreneurs, qui est un mec génial, qui est un Suisse. J'adore les Suisses. Et comme les Belges, il y a les francophones autour de nous, je les trouve vraiment charmés. Et Hervé, en fait, il est photographe, il est aussi filmmaker. Et il a lancé, en fait, il y a un an ou deux, je crois déjà. sa chaîne YouTube, Le Chardon, sur une thématique très nichée, qui est sa passion, qui est le whisky et l'Ecosse. Parce qu'il adore le whisky, il adore le whisky écossais, il adore l'Ecosse, bref, c'est quand même très niché. Et en fait, au début, il avait 27 vues. Les gens se foutaient de sa gueule aussi, parce que genre, mec, t'as 27 abonnés, 27 vues, c'est quoi ce truc ? Qu'au début, il a beau être filmmaker, photographe, se filmer soi, c'est un autre art d'être devant plutôt que derrière la caméra. Et il a fait la formation module de connaissance FASCAM Expert qu'il y a dans le cercle, auquel j'ai donné accès. Et en fait déjà, rien que là, il y a eu un jump technique, visuel incroyable. Avant, après, il a fait un poste justement sur la communauté qui était assez fou. C'était genre, tu es dans ta chambre tout moche, limite à, wow, tu es dans un studio. Alors que c'est quasiment le même endroit, sauf qu'il a appliqué toutes les techniques de filmmaker que j'ai mis dans le... dans le module de connaissance FASCAM Expert, il est présent sur le cercle, et ça lui a donné confiance, ça lui a donné goût, il s'est dit, putain, le résultat est plus joli, il y a un peu plus de vues, et puis il a commencé aussi à se dire tiens parce que c'est quelque chose que je pousse beaucoup, il a commencé à miser sur cette chaîne. Donc ça veut dire quoi ? Il a dit, je délègue le montage, parce que le montage, à côté de ça, je ne peux pas faire mes missions qui me permettent de gagner de l'argent, donc je vais le déléguer, et puis en fait, je vais moins me concentrer sur ce qu'il y a que moi qui puisse faire, c'est-à-dire être devant la caméra, parce que le montage, encore une fois, ça se délègue. Les vignettes aussi. Voilà, j'ai vu, il a fait des super vignettes maintenant, mais j'étais là, je me suis dit, waouh, tu vois, vraiment, genre, les vignettes, classe. et pourquoi je te dis ça ? Parce que il n'a pas lâché, il s'est... connecté vraiment à cette passion encore une fois cette envie de vraiment partager cette passion du whisky et de l'écosse et moi j'ai envie de l'encourager même peut-être un jour à avoir peut-être une chaîne que je sais pas peut-être sur le whisky ou peut-être même sur toutes les destinations du monde c'est whisky et voyage peut-être un jour je te fais un petit coucou si t'écoutes Hervé c'est bien de toujours commencer dans un business niché puis une fois qu'on a de l'intérêt de commencer à ouvrir parce qu'après il y a Il y a l'Irlande, il y aura peut-être le Japon qui sont très très forts, je ne suis pas un grand connaisseur de whisky mais... Et aujourd'hui c'est bête mais il a 3000 abonnés, ses deux dernières vidéos elles ont fait 18 000 et 36 000 vues et ça, et avant c'était vraiment, il y avait 300 vues, 400 vues, et ça en fait ça lui a permis aussi d'être monétisé. En fait à Yeah, genre YouTube il a dit c'est bon t'es monétisé. Et il se dit maintenant bah je peux gagner de l'argent aussi en faisant ma passion. Il a été aussi invité à un event sur le whisky. où je disais à un, il disait mais pourquoi tu filmes, c'est pour quel média ? Mais en fait j'ai ma chaîne YouTube, et le général il dit waouh ! Et il a vu l'admiration dans les yeux des gens qui étaient justement aussi passionnés. Et je trouve que c'est une magnifique victoire parce que c'est clairement l'exemple d'une personne qui a une passion, qui veut commencer sur YouTube, mais putain il y a tellement de gens, c'est tellement compliqué, et qui a juste commencé en fait, simplement, à se filmer, à tester des choses, et le faire en toute humilité, et puis... Et puis ça marche pas, et puis c'est dur au début, tu fais 200 vues, 300 vues, et puis après tu vas faire, oh, 3000 vues. Parce qu'en fait, avec le temps, ça s'accumule. Et puis en fait, ça laisse aussi à YouTube de voir si finalement, ils poussent de temps en temps, et que les gens, ils aiment bien, et puis pour voir si t'as une chaîne qui poste régulièrement, parce que YouTube, il pousse pas les gens qui arrivent sur une chaîne, enfin une vidéo est terminée, tu vois. Donc, surtout si c'est une chaîne récente. Et en fait, ça, ça a commencé à augmenter. 5000 vues. 14 000 vues et franchement je voudrais lui tirer mon chapeau parce que pour moi c'est le bel exemple de quelqu'un qui est resté connecté à ça qui n'a pas lâché l'affaire qui a eu des hauts et des bas évidemment des moments de se décourager mais à chaque fois boum il est reparti il a réinvesti le fait d'investir sur quelque chose où tu ne sais pas ce que tu peux avoir à retirer je trouve ça très courageux genre d'investir de l'argent sur un truc où tu sais pas vraiment comment ni combien tu vas gagner de l'argent mais parce que c'est ta passion et parce que c'est là en fait tu sais que tu es sur le bon chemin parce qu'en fait tu sais que Tu vois, moi, quand je suis devenu influenceur voyage, il n'y avait pas moyen à l'époque de gagner de l'argent comme ça, parce que ça n'existait pas. Mais j'investissais de l'argent et du temps parce que je voulais partager, juste par passion, de partager ce que j'aime. Et tu vois, la vie trouve toujours son chemin, comme dirait la grande phrase dans Jurassic Park. Et ça a toujours été le cas des gens que j'ai vus qui se connectaient à leur passion, qui trouvaient des solutions par passion, par envie de partager, et qui lâchaient pas et qui, en fait, à fort tuent. Parce que ce qui est beau, ce qui ne se rend peut-être pas compte, c'est qu'au-delà de ça, il est aussi devenu meilleur filmmaker. C'est qu'au-delà de ça, ce n'est pas tant sa chaîne qui a monté en puissance, c'est lui, c'est son business, c'est ses skills, c'est ses opportunités. Et on ne sait jamais combien de temps un chapitre va durer dans sa vie. Moi, je sais, mes immersions, j'y vais all-in, je ne gagne pas tant d'argent que ça, mais j'y vais parce que je me dis peut-être qu'il y a un top entrepreneur avec qui je vais vraiment matcher, qui va peut-être me proposer un projet, et boum ! Et peut-être qu'un jour on montrera une boîte qui vaudra plusieurs millions, j'en sais rien, et c'est même pas mon but, mais... Je ne me l'interdis pas. Et parce que je ne sais pas... En fait, tant que tu n'as pas vécu le chapitre 2, tu ne peux pas savoir ce qui va se passer au chapitre 3. La plupart des gens, ils veulent passer du chapitre 1 au 6. « Oh, vas-y, je vais directement là où ça gagne, où j'ai toutes les armées, où j'ai fini le jeu. » Ben non, en fait. Ce n'est pas comme ça que ça se passe. Ce serait nul. Imagine, tu arrives dans la salle de cinéma, tu as les cinq premières minutes, puis tu as la fin. Ben non. là c'est pareil. Donc vraiment, apprécie le process, lâche pas l'affaire et monte une chaîne entre guillemets Youtube comme Hervé parce que, et je mettrais le lien de sa chaîne qui s'appelle Le Chardon dans la description pour que tu ailles voir, pour que ça t'inspire, pour que tu vois qu'on n'a pas besoin d'être tu vois Mister Beast pour faire des vidéos Youtube et qu'au contraire les gens ils ont envie de simplicité, d'honnêteté, de transparence et d'authenticité et c'est tout ce qu'il a fait et je le félicite et j'espère vraiment ça va te donner une bonne dose pour te dire putain mais moi aussi il faut que j'arrête de reporter ce projet que j'ose pas faire, que je trouve nul, que du coup je l'autoflagelle le truc plutôt que le dire waouh c'est mon petit bébé Et c'est comme ma poterie que j'essaie de faire monter, qu'au début c'est un vieux tas de glaise, et à la fin j'ai une super poterie de ouf dont je suis trop fier. Donc fonce, vraiment. et maintenant pour finir ce journal de bord le petit fun fact, très simple Très simple, mais j'adore. En gros, depuis que je suis à Bali, à la base, j'avais voulu louer mon scoot, qui s'appelle, c'est un modèle N-Max, qu'il y a beaucoup à Bali, un peu puissant, mais c'est pas le plus gros, mais c'est celui que j'aime bien avoir et tout. Et la personne chez qui je le loue, elle me dit, ah, qui fait toujours des très bons prix, elle me dit, ah, en gros, bah désolé, j'ai pas ce modèle-là, je l'ai que dans deux semaines. Je dis, ah, vas-y, c'est pas grave, je vais redescendre sur le Vario, le modèle en dessous. Je... Voilà, comme ça, c'est bon. Sauf que je prends le truc et j'ai l'impression de retourner sur une mobilette. Genre vraiment. Et puis quand t'es à deux dessus, surtout que je passe pas mal de temps avec Camille Imbert, avec mon associé qui est à Bali, et en fait, dessus à deux, t'as l'impression que le truc va... Enfin voilà, pas confort quoi. Je me suis dit, et j'en parle à mon pote Sam, le fameux pote avec qui j'ai passé aussi un mois en coloc il y a un mois et demi, deux mois, et il me dit mais... « Mais man, pourquoi tu prends pas mon scoot ? Je suis pas là. Prends-le, je l'ai laissé chez un pote. » Et là, je fais « Ah bah ouais, mais grave, avec plaisir. » Et du coup, je rends le petit scoot, le fameux Vario, je vais prendre son scoot. Et tu vois, j'ai traîné avec lui, j'ai toujours été dessus pendant un mois, un mois et demi, parce qu'on prenait souvent un seul scoot au lieu d'en prendre deux. Et j'avais pas vu à quel point son scoot, il est déglingué, tu vois. Genre, tu sais, ça m'étonne même pas. Il a mis un cover sur le truc, il a même mis sa plaque, le gars est trop fort Genre il a mis ses initiales SK, il a acheté la plaque avec ses initiales dessus. Et avec 5555 pour avoir un lucky number chinois. Tu vois apparemment un truc chinois c'est un super lucky number. Donc très bien. Mais sauf que le truc il a des égratignures de partout, il a dû le faire tomber, j'en sais rien. Ça fait un peu maintenant tu sais la vieille Clio Thuné, la Ford Fiesta Thuné de Lille. Salut les Lillois. Tu sais, genre Guigui Tuning avec un désirable, c'est plus fou, tu vois, le résultat est plus dingue. Et à chaque fois que je le prends, je me dis « Putain, il est vraiment défoncé ce truc, c'est vraiment la... Il tourne le machin, mais... » Et ça fait plusieurs fois que je me disais, en fait, en échange du fait qu'ils me le prêtent, je lui ai dit « Je te ferai faire les niveaux, je l'emmènerai au garage, etc. » Et après, je me suis dit « En vrai, tant qu'à mettre 100-150 balles dans la location que j'ai « économisée » , autant les mettre et que ça puisse aider mon pote, tu vois, plutôt qu'essayer de les économiser. Et j'ai dit, putain, il faudrait peut-être que je le fasse, je sais pas, nettoyer ou enlever le truc, refaire faire un cover, mais j'avais entendu que ça coûtait 300 bahts, je me suis dit, bon, peut-être flemme un peu là, tu vois. Je rentre de l'immersion, en face de ma gesta, littéralement en face, vraiment. Il y a trois mecs qui bossent sur un scoot, je vois, et puis je vois qu'en fait, ils font un covering d'un scoot. Je m'arrête Je dis les gars Vous faites ça pour vous ? Est-ce que c'est possible de demander pour mon scoot ? Je dis pour quel scouts ? Je suis là et il me fait Oula, tu sais genre il dit Parce que vu qu'il y a des égratignures quand tu fais un covering Et que là tu sais le truc en plastique Il y a des éraflures, c'est pas lisse tu vois Donc en fait il dis Faut que je retire toute cette merde Potentiellement que je lisse un peu Les égratignures, faut que je remette Je dis tu peux pas faire Il me fait je sais combien Et en gros il me dit bah c'est 500 000 Donc 500 000 ça fait genre 30 balles Pour enlever tout le truc et 1,3 millions pour... Donc ça doit faire 80 euros pour tout le covering. Et là, je me suis dit, vas-y banco. Ce n'est pas les prix que j'avais entendus, donc je me suis dit, vas-y banco. Et du coup, je me suis dit, c'est fou. En fait, quand tu es bien, quand tu es dans ta zone, et je ne sais plus pourquoi, parce que j'y pensais à ce truc-là sur le trajet retour, parce que j'avais fait l'immersion à Ouboud, je regardais le scout, et puis j'y pensais en fait. Je pensais, il faudrait vraiment que je fasse ça pour ça, mais tout ça me ferait plaisir, tu vois, etc. J'arrive, et encore une fois, quand t'as vraiment envie de quelque chose, un truc aussi anodin, genre paf ! Non seulement c'est 2-3 fois moins cher que j'avais entendu, le truc est en face de chez moi, du coup j'ai repris son Insta, on a renégocié le truc, en plus je l'ai eu à un petit prix sympa, le gars il va arriver enfin. Et du coup je vais refaire le covering du scout de mon pote Sam, évidemment il s'en fout, je le dis là mais ça lui fera la surprise, Sam il n'écoute pas mon podcast. Et je lui enverrai la petite photo surprise, parce que j'ai dit, on va enlever le côté tuning, on va remettre un petit truc classe pour que ça lui aille. et je me suis dit encore une fois, wow, le pouvoir de l'intention et de la manifestation, il faut vraiment que je me concentre plus, parce que c'est sympa d'avoir des petits trucs aussi légers, mais autant amener des choses incroyables, parce que je pense que ça fonctionne de la même façon. Je te fais des gros bisous, je te dis à la semaine prochaine, et j'espère que ton journal de bord t'a plu, et j'espère que le retour du format long t'a fait kiffer. Bisous.

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LIENS UTILES



SUJETS DE L'ÉPISODE

  • L’immersion à Bali
    → Comment elle s’est passée, les obstacles rencontrés, les apprentissages en tant qu’organisateur, et la sensation d’être à sa place, dans sa zone de génie.

  • La relation à son corps
    → Un déclic fort pendant un atelier : se rendre compte à quel point on maltraite souvent notre corps, et choisir consciemment de l’aimer et de le traiter comme un allié.

  • La puissance du jeu
    → Comment le jeu crée de la joie, du flow, de la créativité, et pourquoi on devrait l’injecter dans sa vie pro aussi bien que perso.

  • L’importance des bases de données
    → Anecdote sur l’oubli d’un carnet crucial et la leçon : centraliser ses outils et savoirs dans une base digitale fiable (comme Notion).

  • Explorer l’univers des “riches”
    → Prise de conscience d’un jugement inconscient sur l’univers des high achievers, et volonté d’explorer ce monde avec curiosité, sans étiquette.

  • L’histoire inspirante d’Hervé
    → Un membre du Cercle des Solopreneurs qui a persisté avec sa chaîne YouTube autour du whisky écossais et qui a fini par avoir du succès.

  • Un petit fun fact de manifestation
    → L’anecdote légère et symbolique sur un scooter retapé « par magie » après avoir envoyé une intention claire à l’univers.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello ! Comment tu vas ? Je reviens tout juste de mon immersion, ma deuxième immersion que j'ai organisée à Bali. Je suis encore chargé d'émotions et du coup plein de choses à te partager dans ce nouveau journal de bord. Déjà le premier thème ce sera effectivement l'immersion, comment ça s'est passé, les conseils aussi que je vais te partager si tu crées des events, comment interagir, comment tenir l'espace. Je pense que c'est en plus quelque chose qui va se faire de plus en plus. que ce soit des immersions ou des expériences, je l'ai toujours dit, mais avec l'ère de l'IA et de l'informatique et de la réalité augmentée, on va aller vers de plus en plus de business qui vont être sur de l'expérience en présentiel. Donc j'essaie de te filer des tips sur ce sujet. Ensuite, deuxième sujet, c'est par rapport au rapport à mon corps. J'ai eu un clic pendant justement cette immersion et je voulais te le partager parce que je pense qu'on a tous un rapport particulier, souvent très dur avec son corps, et je voulais en parler. Troisième sujet, je voulais parler du jeu, la puissance du jeu dans la vie. Pareil, ça a été un thème qui est revenu assez souvent pendant l'immersion. Et moi aussi, qui suis un énorme fan de jeu, je voulais te partager des petits tips et surtout, comment tu pouvais l'implémenter. Parce que ça a une puissance et je te dirais pourquoi c'est très puissant aussi, scientifiquement, de mettre du jeu dans sa vie. Ensuite, l'autre sujet, c'est les bases de données. comment tu peux toujours mettre dans des bases de données ou enregistrer tes connaissances, tes contacts, et à quel point c'est ultra, ultra important, parce qu'il m'est arrivé une petite galère pendant l'immersion à cause de ça, et justement je voulais surtout pas que ça puisse t'arriver. Ensuite, ça va être le thème ensuite suivant, ça va être vraiment un univers dans lequel j'ai envie de me plonger, que je ne connais pas, parce que je connais les tribus papous, être eux. Être salarié, être influenceur voyage, être... J'ai découvert plein plein d'univers et quasiment presque tous et il m'en manque un seul que je vais essayer de découvrir et que je suis à la base quand même assez réticent, mais je vais t'en parler. Un univers, j'ai envie de dire, un univers de vie, voilà, sur Terre. Et évidemment, je te parlerai aussi d'une victoire, parce que ça fait toujours plaisir d'entendre des victoires, une super victoire qu'il y a eu sur le cercle des solopreneurs. J'espère que ce sera ta petite dose aussi d'inspiration. Que chacun puisse se prendre une petite injection de motifs et se dire « Putain, mais moi aussi, il faut que je me bouge, moi aussi je peux y arriver. » Et là, il y a une jolie histoire sur Hervé qui fait partie du cercle et que je voudrais te partager. Et évidemment, je terminerai avec un petit fun fact sur un truc léger, sur de la manifestation. C'est marrant, c'est sympa et ça me fait plaisir de te le partager. J'espère pour terminer ce journal de bord en beauté. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, mon immersion, comment ça s'est passé ? Comment ça s'est passé ? La vérité, c'est que c'était vraiment dingue d'avoir vu les transformations des entrepreneurs, des hommes qui sont venus dans l'immersion, des hommes qui avaient besoin de retrouver vraiment leur feu intérieur, de la clarté, se réaligner, d'arriver à laisser des choses de côté, parce qu'il y avait des choses qui étaient floues, il y avait un frein à main, il y avait un frein qui ne leur permettait pas de dérouler vraiment et d'être juste léger, et d'enchaîner leur vie, d'être bien. Et quand je vois, et c'était vraiment des mecs qui étaient en mode, voilà, bulldozer, voilà, machin, très dans le contrôle, et d'avoir vu autant de transformations sur le lâcher prise, de bienveillance envers soi-même, de s'apercevoir que, ok, ça c'est pas pour moi, et je le laisse et je suis ok, et c'est là où je dois foncer. Et de démystifier aussi des choses business, d'en avoir fait genre, ouais mais comment je vais épiler la seule couche, ah ouais, en fait c'est simple, dit comme ça, avec l'échange. Il y a eu vraiment des transformations qui m'ont touché. Et évidemment, moi, à chaque fois que je crée ces espaces-là, je suis aussi participant. Et je suis aussi, moi, le mec qui prend des claques. Je le partagerai dans les autres sujets du journal de bord, mais déjà, je voulais du coup te partager, parce que ce que je suis en train de te dire, c'est quand même formidable. J'ai vécu un moment incroyable. J'ai enfin retrouvé une activité où, tu vois, je suis dans ma zone de génie. Je ne vois pas le temps passer, où j'ai l'impression de jouer. C'est quand même formidable de se dire, en fait, je me dis, je suis payé à faire ça. Et là, je l'ai vraiment retrouvé. Quand je venais des formations en ligne, je l'avais eu au début, mais je l'avais vite reperdu parce que me manquait le fait d'être dehors. C'est con, mais dehors. Et d'être au contact de gens et de voyager, de bouger. Et je l'ai vraiment retrouvé. Et pourtant, et c'est pour ça que je voulais commencer par ce sujet, tout a été contre moi pendant cette immersion et pendant la préparation de cette immersion. Donc déjà, un, je voulais te dire, lâche jamais. Lâche jamais. surtout quand au début, quand c'est le début d'un business, il y a tout qui part en coup, il n'y a rien qui est comme tu veux, etc. Première chose... Je voulais, moi en général j'aime bien être 6-8, entre 6 et 8. On a été 4. Et 4, c'est la première fois où je le faisais avec si peu, et je me dis merde, j'ai peur que ça fasse un effet de, il n'y a pas l'effet de groupe, l'énergie, etc. En plus, j'avais réussi à ce qu'on soit 5, parce que ce qu'il y a c'est que j'ai aussi, il y a des gens que je n'ai pas accepté dans cette immersion, parce que je sentais qu'ils n'étaient pas encore sur la bonne vibe, sur les bonnes valeurs, prêts à vraiment s'engager à fond. Parce que tous les mecs qui étaient là, c'est des mecs qui étaient ultra dans le contrôle dans le... on va pas chercher les émotions, on va pas vraiment regarder la vraie vérité mais je sentais qu'ils en avaient envie et les intentions étaient là, elles étaient bonnes, les valeurs étaient là, d'autres non donc j'ai dû intentionnellement, parce que le casting pour moi est essentiel, refuser des gens ce qui fait que j'avais pas vraiment le nombre et je me disais merde ça va pas faire le truc, ça fait un peu cheap, merde, et puis l'ego qui fait mal et bon on arrive à 5 et malheureusement la 5ème personne a dû annuler au dernier moment pour cause de de décès familial et rentrer en France et en plus Ça a été dur parce que, vu que c'est pas sur invitation et que c'était un peu, j'ai organisé ça à peine trois semaines à l'avance, sur Bali. Donc c'est des gens, là j'avais déjà invité tous mes potes la dernière immersion, là c'était une nouvelle où je... Le seul truc que j'avais c'est sur des groupes Facebook ou peut-être du bouche à oreille, etc. Et en fait, déjà un, va jusqu'au bout, fais les choses et ne pense jamais à la place de ton client, donc c'est ce que j'ai fait. J'ai envoyé un message à chaque gars, je dis écoutez voilà les gars, on est quatre au lieu de... potentiellement genre à aimer 6, 7, 8 et est-ce que c'est ok pour vous si on le fait parce que j'ai peur je connais pas trop est-ce que c'est ok et ils m'ont tous dit bah et moi je pensais que ça allait faire genre ah bah ouais on est pas assez ça va pas être ouf ils m'ont dit ah bah non mais au contraire ça va être ultra premium on va être privilégié etc et finalement ils ont eu raison parce qu'en fait on avait des échanges ils m'ont dit moi ils ont tous dit en fait j'ai l'impression que c'était du one one et même dans les ateliers et les intervenances que j'ai fait venir pas mal d'intervenants sur différents sujets Ils étaient là, mais en fait, j'ai l'impression que c'est mon... une immersion juste à moi et en plus encore plus kiffant parce que j'ai quand même je peux matcher avec des mecs de façon intime et que ça donc donc j'y suis allé en fait j'y suis allé et c'est ça c'était le premier truc donc vas-y même si tu as l'impression que ça va pas deuxième chose vraiment fais toi si tu fais des événements en quelqu'un qui entre guillemets tu assistes parce que c'est la première fois où là j'avais personne qui m'aidait à gérer les petits à côté et waouh c'est trop c'est En fait, c'est dur, mais c'est surtout aussi, t'as l'impression que tu te fais un peu carotte ou l'organisation, genre, payer les prestats. Tu sais, les cristaux, dès qu'ils arrivaient, vu que c'était des cristaux différents, il fallait que je paye. Et au début, j'étais acheté l'Iban. Au début, j'avais été faire un aller-retour de 25 minutes pour aller chercher du cash. Tu irais genre 8 fois du cash parce que le redistributeur, il y avait un montant limité pour filer le montant. Enfin, l'enfer, tu sais, quand t'es dans ton immersion, tu dois tenir l'espace. Il y a ça, les intervenants, est-ce qu'ils sont bien à l'heure, est-ce que ceci, est-ce que... Et en fait, en plus, la valeur perçue, elle est moins bonne. Toi, tu es censé être là, le mec qui tient l'espace, et les petites choses comme ça, c'est quelqu'un qui doit s'en occuper. Donc je me suis dit, toujours prendre un ou une assistante pour vraiment aider sur ces petites choses d'à côté, pour pas que ça se voit, et pour que moi, je puisse rester concentré. Et ça vaut vraiment l'investissement, ça c'est clair et net. Autre chose aussi, il y a un truc tout con. Et ça, je reviens plus sur le début, sur quand t'as trouvé, tu sais, même quand c'est une activité qui a du mal au début et que tu sais pas si tu vas faire de l'argent. Et moi, c'est mon cas, tu vois. J'ai très peu d'argent, finalement, par rapport à avant. Mais, en fait, quand je le vois, quand je rentre en immersion, je me mets sur... Je deviens, je me mets sur... J'aime bien dire ce mot-là, mais je me mets sur une fréquence, la fréquence de l'homme que j'ai envie de devenir, tu vois. Et naturellement. Genre, j'ai pas à me forcer, ça me... C'est comme si le... la mission, le moment me permet naturellement de level up, d'augmenter ma fréquence. Et je me vois, j'aime être dans cette énergie-là, dans cet amour-là, cet ancrage, cette concentration. Et c'est naturel, je n'ai pas à me forcer. Et je le vois que dès que l'immersion est finie, il y a ce petit côté de... Le Alex est un petit peu plus fou, après on ne peut pas toujours être à fond, mais le Alex est un peu plus fou, un peu plus relâché, etc. et Et je perds un peu cet ancrage, ce leadership, ce charisme qui rebaisse un peu. Pourquoi je te dis ça ? C'est parce que quand tu trouves quelque chose qui fait vraiment du sens, un, tu es censé être dans ta zone de génie, donc les choses te paraissent faciles. Mais deux, quand tu te vois faire les choses, tu sais que tu es fier. Tu es fier de la version de toi-même que tu es en train d'être. Et ça, c'est important. Parce que si tu fais quelque chose, une activité, ou quand tu te regardes, Quand tu t'observes de l'intérieur, ou tu vois dans le regard des gens, ou même toi-même, t'es pas une version de toi dont t'es fier et où tu te dis putain c'est génial je suis en train de progresser mais j'ai plus l'impression de régresser c'est que soit c'est pas le bon business, ça c'est, il y a un mot, il faut se le dire, soit c'est que la façon de faire, de mettre en place ton business, n'est pas la bonne, soit en fait, toi-même, tu es sur le bon chemin, mais la façon de le faire, encore une fois, ne te correspond pas avec toi, tu as voulu créer des process qui ne sont pas toi, et là, moi, c'est tout l'inverse, et ça fait vraiment un bien fou de se voir comme ça et de se dire, wow ! J'adore qui je suis, j'adore l'état dans lequel je suis, j'aime... Evidemment, il y a toujours un peu de stress, qui est encore là, vu que ça reste les premières, j'en ai fait 4-5, parce que t'as envie que les gens repartent avec quelque chose, et vu que c'est pas une science exacte, surtout les immersions, je sais pas ni qui, ni dans quel atelier il va y avoir des clics, tu vois. J'en ai aucune idée. Et je leur dis au début, genre vraiment ça je leur dis. Mais du coup j'ai quand même envie que ça se passe, donc t'es là, tu dis bon... Et t'attends qu'il y ait des déclics et à chaque fois, boum, c'est en cascade. Et c'est toujours au moment où on s'y attend le moins, dans la personne où on s'y attend le moins. Evidemment ça arrive et c'est le jeu, c'est ça qui est beau, ça qui fait que les choses sont humaines. Dernière chose que j'ai vraiment envie de te dire aussi, c'est... Avant dernière chose, sur ce sujet, c'est demande des feedbacks à chaud. Pour deux choses. Un, fais toujours des testimonials. Là en plus c'était l'enfer. Genre au moment de partir, on devait faire un check-out du lieu, de la villa que j'avais loué, à 11h. On est parti à 13h. J'ai lâché un petit pour-licho au mec qui gérait la villa pour dire désolé. Parce que... Il y avait un atelier qui s'est prolongé, de l'intervenante, et je voulais pas, vu qu'elle avait un petit mot pour chacun en individuel, je voulais pas couper le truc. Et derrière je voulais des testimonials, donc des avis à chaud des participants. Et d'un côté, donc je l'ai fait, et il y avait la pluie, il y avait le truc, genre c'était genre à ce moment là il pleuvait donc les gens étaient dans la pièce, je disais faut pas faire de bruit, truc, machin, fin. C'était une galère, encore une fois, de devoir tout gérer et les gens... et en même temps faire le testimonial, et gérer le caméraman, et truc, et machin, je les ai eus. J'aurais pu les creuser plus longtemps, mais le timing était tellement short. Il y a un truc que j'avais fait aussi avant, je pense que c'est deux choses qu'il faut que tu demandes, c'est un, les feedbacks, pour que tu puisses les utiliser finalement comme meilleur argument de vente, donc des testimonials, mais aussi autour d'un moment off, et ça je le fais à chaque fois, de dire, ok, qu'est-ce qui vous a plu, qu'est-ce qui vous a moins plu. Et ça, t'es encore dedans, donc ça te pique l'ego. Ouais bah ça c'était pas ouf, ça aurait pu être mieux, moi ça ça m'a pas trop plu alors que toi peut-être il y avait un atelier où tu dis c'est trop cool et en fait ils ont dit ouais bon bah ouf. Bah c'est ça que tu dois le demander, tu dois le demander et c'est tellement dur quand t'as mis tout ton cœur, tout ton âme dans un truc et qu'on dise bah non en fait ça c'est pas ouf et plutôt le truc où tu t'en foutais quand tu l'as mis en place ils ont dit oh c'était incroyable. Et là, tu dis, OK. Parce que n'oublie pas, tu ne le fais pas pour toi, en fait. Si tu ne le fais que pour toi, c'est un hobby. Si tu le fais pour les gens aussi, c'est un métier, c'est une passion et c'est cool. Mais du coup, ça veut dire qu'il faut vraiment toujours... demander des feedbacks si tu fais du coaching demande à la fin du coaching qu'est ce que tu retiens qu'est ce que tu auras aimé en plus tu vois et c'est toi qui prends là ce moment là toujours si tu si tu es vraiment sur du service du freelancing ok qu'est ce que tu as aimé qu'est ce que tu as pas aimé qu'est ce que je peux améliorer tout le temps et si tu fais à chaque fois la fin de ton service et toi même tu vas vraiment monter en gamme de fou donc c'était vraiment c'est vraiment les choses que je voulais partager et dieu sait que c'était c'était intense C'est cette immersion et Dieu sait que c'était pas gagné. Et franchement, à 5 jours avant l'immersion, je me disais, vas-y, je vais annuler. Je vais annuler, j'ai pas assez de gens, je doutais de trucs. Et après, boum, au moment où j'avais loué la villa, je commençais à avoir l'annulation. Je me suis dit, oh putain, non, vas-y. Et après, je me suis dit, all in, vas-y, on y va. On y va à fond et je vais tout donner comme si on était, entre guillemets, 8 et que je l'avais vendu 25 000 euros. Alors que c'est pas le cas pour le moment. Peut-être un jour. Et vraiment, ça valait le coup parce que humainement, ça m'a fait du bien. J'ai apporté les changements à ces mecs-là qui sont venus. C'est la raison pour laquelle j'ai créé ces immersions. Et c'est surtout de te dire, connecte-toi toujours à ça. C'est quoi ma mission ? Et une fois que tu es dedans, ne lâche pas l'affaire. Parce que si tu le fais pour cette mission-là et non pas pour l'argent, malgré les obstacles, malgré peut-être la thune qui ne va pas tomber autant que tu veux au début, tu vas le faire. Alors que si tu te connectes juste sur la p***, le côté pratico-pratique du business plan qui n'est pas carré, tu vas t'arrêter. Donc connecte-toi à ça. J'espère que les différents petits tips que je viens de te partager pourront t'aider à aller jusqu'au bout. Autre sujet maintenant, qui est un sujet que je n'ai jamais abordé. C'est bizarre d'en parler, mais on est là sur un journal de bord. Il y a un des ateliers qui a été très puissant, que j'aime bien quand c'est possible, implémenté dans mes immersions. C'était avec une nouvelle intervenante, parce que c'était à Bali. Et d'habitude, je les faisais faites au Portugal, dans mes immersions au Portugal. Et bref, dans cet atelier, il y a un moment, elle a fait un truc que... que j'avais pas l'habitude sur cet atelier-là, elle nous fait passer un morceau d'Aloe Vera. Et elle nous dit, en conscience, passez-vous de l'Aloe Vera sur le corps et donnez de l'amour à votre corps comme si c'était votre enfant, en fait. Comme si c'était quelqu'un que vous aimiez profondément et que vous lui soigniez des plaies, des blessures. Et j'étais là, je passe l'Aloe Vera sur tout le corps, en plus c'était vraiment un moment puissant, je prends le temps et... Et en fait, je me suis vraiment aperçu, je me suis dit, mais je ne suis jamais gentil avec mon corps. Genre, mon corps, s'il est malade, je bouge pas. Genre, littéralement, c'est con, mais on dit la santé, c'est le truc numéro un dans la vie, c'est le cas. Mais qu'est-ce que ça veut dire en fait ? Ça veut dire que potentiellement, ton corps et ton cerveau, je dirais même, ton cerveau, tu restes, même quand t'es malade, tu restes à peu près conscient, même si t'es pas bien. On dit souvent qu'on est malade et qu'on est cloué au lit. On peut rien faire. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps ne bouge pas, il ne fait pas ce que tu lui demandes, et t'es pas en pleine capacité. Et je me dis, ça veut dire que le truc numéro un le plus important dans la vie, c'est vraiment que ton corps fonctionne parfaitement dans l'idée. Et je me dis, pour que le truc numéro un dans la vie le plus important, je suis jamais sympa avec lui, je suis jamais dans l'amour et la gratitude. Waouh ! Parce que j'étais là en train de me passer la Loewe. Et tu sais, vraiment, j'étais en mode... Ouais, comme c'était mon enfant, mon meilleur ami, où vraiment je suis en train de l'aider. Et j'ai dit, mais je suis toujours en train de voir mon corps comme, tu sais, l'élève qui fait jamais assez bien. Qui fait jamais assez bien. Allez ! Allez encore ! Putain, t'es pas assez musclé. Tu fais pas... Putain, j'ai mal. Pourquoi... Arrête d'avoir mal. Putain, j'arrive pas à aller plus vite. J'arrive pas... Tiens, ça me fait... Je n'arrive pas. Je sais pas, à sauter plus haut, à soulever plus lourd, à être là, je suis crevé, j'ai mal partout, putain, tu fais chier à avoir mal partout, tu fais chier à pas faire les perfs que je veux. Et ça fait vraiment genre comme le parent un peu agacé sur son enfant, au lieu de se dire, mec, on est dans la même team, allez mon gars, ça va aller, la prochaine fois on soulève plus lourd, allez détends-toi, t'as un peu mal, t'inquiète, je vais te masser, je vais te faire du truc. Et d'envoyer de l'amour, c'est-à-dire, t'inquiète pas je vois très bien ce que tu ressens on va y arriver on va y arriver c'est cool Et je me suis dit, j'ai jamais. En fait, je me suis vu avoir le comportement, tu sais, comme quand t'as une vieille bagnole, tu sais. T'aimes bien, mais t'es toujours, allez, putain, là, qui démarre pas, et qui casse ses petits trucs, et l'embrayage qui va pas, et t'es là, putain, et tu râles. Et en fait, tu lui tapes dedans comme un gros tas de ferraille. Et dans l'idée, je pense que je suis vachement comme ça avec mon corps. Je le regarde, je dis, putain, c'est exactement comme ça que je veux. Putain, j'ai encore mal aux genoux. Putain, vas-y, j'ai mal là. j'en t'agis j'arrive pas à faire mes tractions, j'ai plus de cardio bah ouais en fait je suis pas en train de l'épauler comme un enfant qui a besoin de grandir et de s'améliorer d'être là et de l'encadrer dans de l'amour je me suis dit wow à partir d'aujourd'hui je vais toujours essayer d'avoir au moins un ou deux moments par jour où en fait je suis avec mon corps en conscience, je vais le regarder comme si c'était une entité et je me suis dit bah soit c'est sous la douche parce que moi je me savonne avec un savon traditionnel de Marseille Et prendre le temps de dire merci, genre, ok comment ça va ? Ou est-ce que j'ai mal ? Ok on va aller, tu vois. Et pas être juste moi dans ma conscience, genre, oh, les sensations de mon corps me font du bien à mon cerveau. Non, c'est l'inverse, c'est mon cerveau qui va aller dans mon corps et dire comment tu te sens. Ou alors justement au sport, quand je fais du sport, quand il y a un effort, dire, allez, allez on y va, et non pas genre, allez putain, allez tu vas y arriver, genre, putain, merde, tu fais chier. Non, c'est genre, allez, allez on y va, tant pis, ce sera la prochaine fois. Et vraiment, cette Ausha m'a fait un clic parce que je me suis dit, le véhicule, la plus belle... En fait, c'est mon meilleur ami. Je dis souvent, il faut que je sois mon meilleur ami. Mais en fait, ça va déjà commencer par... En fait, on peut être plusieurs potes à l'intérieur de ce corps. Il peut y avoir l'esprit, il peut y avoir la personnalité, il peut y avoir le corps. Et je pense qu'il faut que je me comporte avec mon corps comme avec mon meilleur ami que j'aime profondément. Et ça va être le cas à partir d'aujourd'hui, j'espère. Faire des checks régulièrement pour me dire est-ce que j'y suis arrivé ou est-ce que je suis retombé dans les mauvais travers. Parce que ça change tout. Et on sait très bien en plus que les mots sont importants, les vibrations. On est fait de flotte à 80%. Et ça a été prouvé. L'eau, elle est chargée avec les ondes particulières qu'on lui envoie. Donc si tu es toujours envoyé des ondes pourries à ton corps, ton corps va être pourri en fait. Il aura beau lutter, un jour tu vas te blesser, un jour ton système immunitaire va te défoncer et tu vas te choper une merde. Ou pire. Mali auto-immune, cancer, truc comme ça. Bah ouais ! Donc moi, ça m'a vraiment fait un... Et comme je te dis, dans mes immersions, je suis le premier participant et ça m'a fait un magnifique déclic que j'avais envie de te partager pour te dire comment tu te comportes avec ton corps. C'est quoi la relation que tu as avec ton corps ? Je sais qu'il y a beaucoup de femmes qui m'écoutent. Et je sais que les hommes c'est dur, mais les femmes c'est encore pire. Tout, tout, tout. Très dur la relation au corps. C'est jamais assez bien, on aimerait... Puis en plus avec Instagram, donc demande-toi. Est-ce que tu as une relation de meilleur ami avec ton corps, avec qui vous allez vivre les plus folles aventures, et une aventure où il y a plein de problèmes et on les surmonte et c'est ça qui est beau ? Ou est-ce que tu es en mode... Tu sais ? La belle-mère de Blanche-Neige qui lui fait faire les pires trucs, qui est aigrie et qui... Alors ton corps, c'est Blanche-Neige, il est là. Enfin, Blanche-Neige, je sais plus, la belle au bois dormant, pardon. Et en fait, il est pur, ton corps. C'est juste toi, comment tu le traites, qui fait qu'il a des conséquences sur lui. Alors pose-toi cette question. C'est quoi la relation que t'as avec ton corps en ce moment ? Maintenant, sujet un petit peu plus léger, le jeu. Le jeu, c'est quelque chose qui... et naturel, qui est omniprésent de notre enfance, en tout cas, je te le souhaite que ça l'ait été, et pour moi qui ai vécu une enfance très solitaire, j'étais fils unique, mes parents, bah, ces parents à l'ancienne, ils étaient occupés, donc je jouais tout seul, j'avais pas le droit de sortir, donc j'étais très seul, mais je mettais du jeu, tu vois. J'avais du jeu dans ma vie, dans les petits trucs, les histoires que je m'invente, et c'est vraiment le truc qui disparaît, je trouve, souvent, en tout cas, étant adulte. Et moi qui adore le jeu, je m'en suis rendu compte, c'est quelque chose que j'essaie de garder au quotidien. Et les gens qui passent un peu de temps avec moi, ils le savent. Je suis toujours en train de « Allez, on met un jeu de dé, il y a un truc, vas-y, dégage des trucs, vas-y, on se met des challenges. » Parce que j'aime ça. Et ça a été prouvé aussi, il y a un livre qui s'appelle « Play » , donc « Jouer » , qui a été écrit. Et il y a eu beaucoup d'études sociologiques, comportementales et également médicales sur... la partie vraiment du cerveau, qu'est-ce qui se passe dans le cerveau quand on joue. Et déjà, il y a un truc, c'est que si tu regardes chez les mammifères, le jeu est partout. Chez tous les mammifères, le jeu existe. Pourquoi ? Parce que c'est la façon d'apprendre aux petits de l'espèce, d'apprendre et d'ancrer des comportements, de comprendre les comportements et de transmettre. Et si tu regardes bien, l'apprentissage chez nous, il est tout sauf drôle, marrant et dans le jeu. C'est l'inverse. On est au forceps, on est dans le sérieux. C'est les devoirs. Il faut faire les devoirs. Il faut apprendre des tables de multiplication. Il faut apprendre ce nouveau rapport, ce nouveau discours. Ça va être attention, ça va être important. Alors qu'en fait, ils ont prouvé que quand tu es dans le jeu, le cerveau sécrète plusieurs hormones. Là, je n'ai plus en tête. Mais qui permettent en fait la mémorisation beaucoup plus rapidement et la compréhension du cerveau beaucoup plus rapidement. sur ce qui est en train d'être nouveau. Et ça, en fait, quand tu comprends ça, t'es en train de dire, attends, si je veux ce résultat-là, que je suis en train de faire de façon un peu mécanique, si je mets du jeu, c'est comme si j'avais une seringue, une injection de mémorisation et de rapidité en plus. Mais pourquoi t'en priver, en fait ? Pourquoi t'en priver ? Et vraiment gamifier son business, son business, tout, la perte de poids, la mémorisation, en fait, c'est déjà un. Fucking shit, t'es beaucoup plus heureux, tu vois. Quand tu joues, t'es heureux, t'es léger, t'es en train de te marrer. Et à la base, c'est pour ça qu'on se lève le matin. On se lève parce qu'on a envie d'être heureux. On gagne notre thune parce qu'on veut faire des trucs avec qui nous rendent heureux. Peu importe ce que c'est, que ce soit acheter ou vivre ou peu importe, ou offrir. Et là, tu te dis, mais attends, même pour obtenir cette thune ou faire ces trucs qui me rendent heureux, je peux les faire. Juste le procès, il peut déjà me rendre heureux. c'est toujours pareil, on en revient à la quintessence de la vie, c'est faire les choses pour le p... plaisir de les faire et pas pour ce que tu en obtiens. Et par plaisir, quand tu fais quelque chose par plaisir, il y a souvent du jeu. En tout cas, ça accélère, ça augmente. C'est un peu le sel et le poivre de la vie. Et je me suis dit, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que justement, les mecs qui étaient à l'immersion, il y en a beaucoup qui sont genre, parce que, moi y compris, et pourtant j'adore le jeu, tu sais, le travail c'est dur. Pourtant, il y a des mecs qui gagnent beaucoup d'argent. Mais ils étaient encore dans... En fait, la vie ça doit être dur, le travail ça doit être dur, sinon c'est... je me sens un peu coupable, je me sens « ah je suis pas bon en fait » « putain j'ai fait beaucoup d'argent, je travaille trois heures et je me sens bien » « putain c'est pas normal, c'est pas ça la vie » « je dois travailler douze heures, je dois être épuisé, je dois être là, ok là je l'ai mérité » « c'est pas ça la vie en fait, ça c'est ce qu'on veut nous faire croire » « pour justement nous contrôler » « parce que quand t'es crevé, que t'es agacé, que t'as peur et que t'es dans les mauvaises énergies » On fait ce que tu veux de toi. Et puis l'inverse, quand tu es léger, quand tu es bien reposé. Quand tu es dans ta zone de génie, quand tu as joué, tu as une clairvoyance, tu as une conscience, tu as une compréhension des choses. et donc t'es un peu moins un pion qu'on peut manipuler que ce soit au sein d'une entreprise, d'un pays, d'un gouvernement, etc. Et je me suis dit, putain mais waouh, je vois tous ces mecs-là, il n'y a pas de jeu dans leur life. Et eux, ils ont pris conscience aussi en fait, c'est surtout eux qui ont pris conscience de ça. Je me suis dit, putain mais je prends tout au sérieux, je cérébralise tout, au lieu de descendre dans mon corps et de le ressentir. Et puis il n'y a rien qui est important, puis finalement quand tu enlèves tes freins et que tu as l'impression que tu es dans le flow, tu es dans la légèreté, puis finalement tu as la créativité qui vient. parce que du jeu vient beaucoup la créativité donc c'est pas le faire c'est que ton cerveau arrive à créer des choses qui n'existaient pas jusque là dans ta tête. Et c'est ça qu'il faut comprendre. C'est ça qui est fou. On veut souvent apprendre et faire, et bien le faire. Mais déjà, apprendre, il faut absorber un truc qu'il y a dans ton cerveau. Mais quand tu joues, un, tu mémorises, deux, tu exécutes mieux. Et en plus, à partir de ça, cette combinaison-là, tu vas créer des choses qui n'existaient pas dans ta tête, c'est-à-dire des idées, des concepts, des envies, de la motivation. Ça, ça n'existait pas. c'est ton cerveau qui est capable de le faire parce qu'il y a du jeu et moi évidemment premier effet miroir je suis aussi un participant de mes propres émissions j'ai mis putain mais j'adore le jeu mais dans mon business je le mets dans ma vie perso mais dans mon business j'ai eu tendance et là ça revient plus mais justement être dans l'entrepreneuriat de l'entrepreneuriat ça m'a vraiment écarté de toutes les belles choses que j'avais réussi à acquérir en tant qu'influenceur voyage parce que j'étais vraiment dans ma pure zone de génie métier passion etc et ça m'a écarté de Moi à l'instant présent ça m'a mis du stress J'ai eu la peur du manque Et quand je dis l'entrepreneuriat c'est Quand j'ai commencé à avoir ce business avec vendre des formations Avec une équipe, avec des objectifs etc Et je me suis dit mon business je mets plus de jeux Faudrait que je me dise Peu importe la façon de faire Ça peut être du jeu entre les trucs Genre hop tu fais un petit truc Après tu vas faire un petit jeu Un petit basket de bureau Des jeux de fléchettes Ou juste de... jouer, faire un truc avec quelqu'un à côté... Parce qu'ils ont même, justement dans ce fameux livre Play, je mettrai le lien dans la description, ils ont prouvé que les gens qui sont en réunion, qui font des pauses au bout d'une demi-heure, pour faire une petite pause un peu légère, jeu, discussion, on rigole, on machin, créer de la légèreté, ben doubler voire tripler les résultats de la réunion de ce qu'il en ressortait en fait. Parce que encore une fois, t'apaises le stress, t'enlèves le stress, tu crées du... de l'espace, du jeu, tu dobes ton cerveau et là, boum, il crée des idées grâce à ça. Donc pourquoi je te parle de ça, c'est parce que, est-ce que toi, t'es tombé dans la vie d'adulte et d'autant plus dans ta vie pro, dans un truc très sérieux ? Il faut y arriver, c'est important, c'est grave. Oui, j'ai une mission, oui j'adore ce que je fais, mais attention, mais machin. Où est-ce que justement, t'arrives à comprendre qu'en fait, le next level de l'éveil... de l'épanouissement et de la conscience, c'est d'arriver à faire des choses importantes avec de la légèreté, avec du jeu, avec de l'amusement. Parce qu'en fait, ceux que tu vois justement, que souvent t'admires, t'as l'impression que c'est des gens qui sont là, qui sont bien, qui sont légers, qui sont bien dans leur peau, et tu sais, ils ont l'air de s'amuser justement. Un sportif qui a l'air d'être dans le flow, il est là, il fait des trucs, t'as l'impression du mec, waouh ! Un artiste, pareil. Et en fait, quand quelqu'un, et limite ça t'agace quand tu vois quelqu'un aussi qui dans le boulot fait un truc, tac, tac, tac, tac, il s'est amusé, il a fait ça en trois secondes, c'est putain mais vas-y fais chier là. Parce que justement lui il a trouvé ça en fait. Il a trouvé ce, qu'en fait on te manque, on te fait à l'opposé de ce qui va te rendre bien meilleur, bien plus heureux et beaucoup plus reposé. Et c'est le jeu en fait. On est des mammifères et c'est une partie intégrante de notre apprentissage, de notre bien-être. et de s'améliorer en fait et surtout encore une fois du partage, de connexion. On connecte beaucoup plus, tu le vois. T'es dans une soirée, bon voilà, ça discute, il y a un jeu, tout à coup il y a des connexions qui se font, qui sont belles, qui sont simples et beaucoup plus pures. Donc ouais, je te le demande. Est-ce que tu mets du jeu dans ta vie perso et pro ou est-ce que t'es quelqu'un de sérieux et de chiant en fait ? Alors le prochain sujet, c'est un sujet beaucoup plus pratico-pratique et terre-à-terre. J'étais à l'immersion et j'allais guider un cercle d'hommes, comme je fais à chaque fois dans mes immersions, où là on est là vraiment pour parler des émotions, pour le partager sans masque, sans être coaché, sans être jugé ou en compétition avec les autres. Ça arrive, ce qui n'arrive jamais entre hommes, si tu ne crées pas cet espace de façon un peu plus artificielle. Et j'arrive pour, comme d'habitude, encadrer, avoir des questions que j'aime bien, des ateliers que j'aime bien faire durant le cercle d'hommes. J'ai cherché mon carnet dans lequel j'ai toutes mes petites notes, à travers tous les cercles d'hommes que j'ai pu faire, que j'ai peaufinés, etc. Et là, je me perçois que je tourne les pages. de façon de plus en plus rapide, vers l'avant, vers l'arrière, de plus en plus rapide et stressée. Je ne trouve pas les questions que j'utilise d'habitude. Où sont les pages et tous les trucs que j'ai recensés qui sont importants pour guider mes circuits ? Ah, d'accord. Oh là, attends, je continue. Je suis en train de m'apercevoir à littéralement neuf minutes du démarrage de l'atelier que ce n'est pas le bon carnet et que j'avais deux carnets et que c'est dans l'autre. Eh oui ! qui est au Portugal. Voilà. Et là, je suis un peu en panique, parce qu'en plus, c'est un peu juste avant de monter sur scène. T'as l'espèce de blanc. Tu connais ton texte, mais t'es un... Attends, merde, c'était quoi ? Qu'est-ce que je... OK, donc... Et voilà. Donc évidemment, j'ai réussi à me poser, à retrouver les questions sur le premier atelier. Du coup, le suivant, le jour d'après, j'ai dû recreuser un petit peu dans ma mémoire et des trucs que j'avais pu noter un peu ailleurs. pour arriver à faire un Cercle GOM qui a été vraiment incroyable. Mais pourquoi je te dis ça ? Parce que c'est nul. C'est nul de se dire, en 2025, où on peut être cloné sur Internet et la technologie est incroyable, et pas être foutu de mettre ces outils sur des bases de données que tu peux retrouver facilement. Parce qu'en gros, je suis quand même quelqu'un qui aime mettre les choses sur le carnet, ça m'apaise. J'avais vu ça justement sur... Sur une vidéo d'un scientifique spécialisé sur les TDAH, il disait que vous devriez vivre avec un carnet à côté de vous pour déposer. Et pas le téléphone, parce que le problème c'est que le téléphone, on ne dépose pas, ça stimule. Donc c'est encore pire. Là, le carnet, je le fais beaucoup, de déposer des idées, des choses, des trucs comme ça. Et évidemment, pendant les cercles d'hommes, en plus, on n'est pas sur le téléphone, donc on est sur des carnets. Mais j'ai eu la mauvaise idée, et du coup, j'ai plutôt pas eu l'idée, de tout reporter en fait. dans une base de données, surtout que moi j'utilise beaucoup Notion, la base de données, en gros, outils, immersion, et d'avoir tous les ateliers avec mes petites questions qui sont prêtes, par thématique, etc. Donc, j'aurais eu ça, peu importe, j'aurais perdu mon téléphone, mon ordi, etc. J'aurais pu me reconnecter et le retrouver partout dans le monde sur n'importe quel device, et c'est vers ça qu'il faut aller. Et vraiment, c'est un petit partage, un petit partage de galère. Mais surtout de prise de conscience, de me dire, chaque chose importante doit être dans une base. Alors, base de données, pour moi, c'est un mot qui me donne un peu la gerbe et la chair de poule. Mais depuis que j'utilise Notion, je me suis réconcilié avec ça. Une base de données, c'est juste une ligne avec une info, où sur la même ligne, tu peux attribuer plusieurs infos. Tu vois, la date, la thématique, plein de choses comme ça. Un prix, un truc, un machin, bref, une durée. C'est juste finalement, à une info, tu vas coller plein d'étiquettes, et grâce à ces étiquettes, tu vas pouvoir classer. ranger et retrouver et organiser plus facilement cette info là. C'est juste ça en fait, une base de données. Et du coup, quand tu fais un tableau en mode base de données avec une ligne, avec chaque question ou truc, ou alors cercle d'hommes ou truc, tous ces ateliers, bah en fait c'est simple. Et je l'ai pas fait et je me suis dit que là vraiment, il va falloir que je remette mon nez dans mon Notion pour vraiment avoir en fait un espace où je regroupe toutes mes bases de données et elles sont accessibles ici et que, et terminées en fait. Et dès que je fais quelque chose que j'apprends, qui est important, je le back-up à un endroit qui est sacré et je sais où c'est. On appelle ça beaucoup le deuxième cerveau, mais le deuxième cerveau ça a tendance à devenir une architecture assez complexe, de ramifications, de plein de trucs. Là je pense que c'est vraiment, si je peux te donner le type, c'est que tu crées un espace dans Notion qui est, surtout si tu l'utilises, où tu vas mettre en fait la racine, vraiment la base, tes bases de données, tu vas les ranger là par thème, et ensuite partout sur tes pages, ce que tu peux faire sur Notion, c'est que tu peux faire une vue liée, c'est-à-dire que tu peux faire apparaître finalement cette base de données là, c'est qu'un aperçu de cette base de données dans une autre page, c'est-à-dire qu'elle est hébergée au même endroit, toutes les bases de données sont au même endroit par thème, et après en fonction de comment tu as besoin, tu peux les faire apparaître sur telle ou telle page. Ça c'est sur Notion, mais le mot que je veux dire c'est, si tu as un truc important, le laisse pas en local, le laisse pas sur ton ordi, le laisse pas sur un morceau de feuille qui peut disparaître, etc. Parce que si ça plante, t'es dans la merde. Alors que l'avantage de le filer à Big Brother, c'est qu'il connaît déjà toute ta life, mais qu'au moins, si tu perds ta life, lui pourra te la retrouver. Donc ouais, check, fais un petit tour sur tous tes documents et savoir si les choses les plus importantes sont en ligne, assurées, backuppées et surtout trouvables. Parce que moi je suis très bon, j'y ai arrangé les trucs tellement bien que j'ai bien pu les retrouver. Parce que ça peut te sauver la mise au moment voulu. Maintenant on va parler exploration. exploration d'un nouveau monde que je ne connais pas encore sur Terre. C'est, je dirais, les... les high achievers, les riches, ceux qui ont vraiment réussi, on va dire, dans la partie financière ou professionnelle, mais du coup, souvent, le professionnel a amené beaucoup d'argent. Et finalement, c'est un univers que j'ai beaucoup, le mot ne me vient pas, mais j'ai beaucoup d'animosité envers cette sphère de vie, cet univers-là, parce que je me traîne encore un peu ce côté fils d'ouvrier, pour avoir fait plusieurs fois l'atelier Abondance. Toujours ça qui revient, en gros. Les riches, c'est les méchants. Si on est pauvre, c'est un peu parce que les riches ne nous donnent pas d'argent. C'est aussi, genre, si je deviens riche, je vais devenir con, aigri et voleur. Un peu ça qui revient, je te la fais ultra simple. Et du coup, forcément, j'ai beaucoup d'a priori que, bizarrement, j'avais pas en allant chez les papous. Je me suis pas dit, ah, ils vont manger, ces gars, ils sont sales, ils dorment sur de la paille, c'est dégueu. Enfin, genre, ils ont pas d'électricité, c'est des arriérés, ils sont teubés. Non. Je suis allé, j'ai pris tel qu'ils étaient, et j'ai exploré ce monde-là. Pareil pour l'univers du salariat, l'univers des créateurs de contenu, tous les différents univers que j'ai à peu près tous explorés de près ou de loin à travers le monde, à travers les couches sociales, à travers les ethnies que j'ai pu découvrir pendant mes 15 dernières années de voyage. Et bizarrement, je n'ai pas cette ouverture d'esprit-là sur le monde des riches. Je vais le simplifier comme ça. Et en fait, c'est un univers que, vu que pour moi, la liberté ultime, c'est vraiment être capable d'aller partout et de se sentir bien partout et de voir les choses comme un univers à découvrir. Et après, évidemment, il y a des préférences, mais je me suis dit que c'est vraiment un monde que je me suis interdit. Que je me suis dit que déjà, j'ai un peu de la... Ouais, je les aime pas les riches, tu vois, dans l'idée. Tu vois, c'est les riches, quoi. Salauds de riches. On dit les salauds de pauvres, mais les salauds de riches, tu vois. Et je trouve ça nul. Parce qu'en fait... C'est pas que je veux devenir riche ou être pote avec ces gens-là. Je veux avoir la capacité et l'ouverture d'esprit de me dire je veux aller découvrir cet univers et prendre autant de plaisir dans la découverte que j'ai pu le faire au fin fond de la jungle amazonienne, au fin fond de mon bureau sur mon open space, où c'était aussi une superbe expérience de vie. Ça ne me correspond pas du tout, mais je l'ai découvert. Et pendant plusieurs années. Et pendant l'immersion, c'était vraiment ça. Un de mes out-sites, c'était vraiment de dire comment je fais pour créer des immersions où je réunis justement des high achievers, des top profils. des CEO, des gens vraiment parce que je sais que c'est peut-être pas la partie business évidemment sur laquelle ils vont ressortir le plus même si justement on crée des hot-sites et donc des synergies, des cerveaux collectifs et tu réunis des cerveaux qui sont à peu près au même niveau de vie, au même niveau d'avancement professionnel, bah ça fait des popcorns, enfin franchement c'est toujours incroyable les échanges, donc si tu mets les mecs qui sont au même niveau, ils vont forcément s'apporter mais je sais que ces gens là ils sont souvent un peu un peu fucked up, tu vois c'est les pires c'est ceux qui à l'intérieur, en fait ils ont Ouais. Ils ont éteint leurs émotions et leurs ressentis pour juste être en mode guerrier tunnel et tout arracher en termes business. Et c'est OK. C'est OK. Justement, j'aimerais leur faire découvrir aussi autre chose. Savoir voyager un petit peu à l'intérieur d'eux-mêmes. Et je me suis aperçu de ça, c'est de me dire, merde, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que je me suis dit, je me mets des barrières. Genre, il n'y a aucun riche qui a été méchant avec moi ou qui m'a refusé l'entrée. où tu vois, j'ai beaucoup plus du 2 vu que je ne les vois pas, vu des gens de la vie de tous les jours que j'ai trouvé cons et chiants et pourtant je m'interdis de fréquenter ce milieu là, d'aller dans ce milieu là de vivre, de m'autoriser à alors que je peux avoir le budget, d'aller dans des très beaux hôtels me payer une première classe ou des choses comme ça, je ne le fais pas et je me suis dit wow vu que j'ai envie, parce que ça faisait aussi la stratégie business vu que j'ai envie de faire découvrir mes immersions à des top profils parce que intellectuellement aussi ça m'intéresse parce que c'est des gens qui ont craqué des codes sur leur discipline que je trouve super intéressant il est temps aussi pour moi d'aller explorer un univers sur terre que je ne connais pas et que j'ai encore une fois souvent diabolisé c'était ça le mot que je cherchais diabolisé et je pense que vu que la vie c'est un peu notre extérieur est juste la représentation de notre intérieur jusque là je voyais un peu les riches et comme des méchants ou des cons et j'en voyais aussi beaucoup Mais c'est un petit peu comme, tu vois ce que tu as envie de voir, le jour où tu as acheté une Clio rouge, putain t'as l'impression que personne n'en avait, et le jour où tu en achètes une, tu vois que des Clio rouges sur la route. Et je pense que justement mon but aujourd'hui c'est de commencer à me dire, mais en fait, attends, attends, si je me concentre bien, des mecs qui sont blindés, et qui sont des gars chambés, et qui ont réussi parce qu'ils ont fait des trucs géniaux, et qui sont généreux, j'en connais en fait, j'en connais. et puis en fait les riches ça peut être aussi des gens très généreux très smart, très cool Et du coup, c'est aussi cet univers-là que je veux découvrir. Et bref, pourquoi je te dis ça ? Parce que je me dis, on s'interdit souvent de... d'explorer des univers, des métiers, des projets, se donner la chance de contacter des gens parce qu'on n'est pas assez, parce qu'on n'est pas assez bon, on a peur de déplaire, on jalouse aussi la personne, et du coup, ça crée un mauvais truc, plutôt que d'être simplement dans un état d'esprit d'ouverture, d'exploration, comme on le fait dans le voyage. comme on le fait dans d'autres cultures. Mais vu que là, il y a un enjeu un peu personnel, business, je le vois en fait. Je me crie, j'ai tout ce que je n'ai pas dans ma vie de tous les jours, c'est-à-dire des a priori, des jugements, et je mets les gens dans des petites cases débiles. Donc, je te partage ça parce que justement, demande-toi ce que tu as besoin, vers ce vers quoi tu as besoin ou envie d'aller, mais inconsciemment, tu l'as mis dans une case. Une case de quelque chose qui... c'est pas pour toi, c'est trop grand, t'es pas assez bon, t'es pas assez bonne, c'est trop cher, c'est ceci. Comment tu fais pour enlever toutes ces étiquettes, l'enlever de ces cases, puis juste y aller, puis voir, puis expérimenter les choses ? Parce que moi, c'est ce que j'ai envie de faire. J'ai envie de me dire, et c'était des challenges qu'on m'a mis, c'est aller dans un hôtel de luxe, comprendre. Parce qu'en fait, si je veux potentiellement faire venir des CEOs, des gens qui ont vraiment réussi, des top achievers sur mes immersions, il faut déjà que je comprenne cet univers. d'une façon que je comprends un ouvrier, je comprends un cadre dans un open space, je comprends un mec qui est dans une tribu dans la jungle parce que je l'ai vécu, moi même j'ai vécu ça en fait je peux pas parce que j'ai jamais vécu, j'ai jamais pris la première classe, jamais été dans des hôtels vraiment de luxe tu vois où je me suis moi même payé les choses et des fois j'étais invité mais je faisais pas gaffe, mais là vraiment faire cette démarche là de comprendre de voir le et finalement d'explorer encore une fois un univers que je ne connais pas et que je diabolise et que j'aimerais gommer ça en fait. J'aimerais explorer. Je voulais te le partager parce que vraiment ça fait un shift pour moi de me dire bon bah on va aller voir les riches quoi. Mais tu vois même en te le disant j'ai encore cette... j'ai pas d'amour, j'ai pas de... on voit que j'ai plein d'étiquettes, j'ai plein d'a priori tu vois. Alors que j'ai jamais d'a priori sur toutes les autres choses que j'ai été... tu vois quand je vais en Iran tu vois j'ai dit ah c'est les russes, non. Je vais aller comme ça, je vais aller voir en Irak, quand je suis allé en Irak, je vais aller voir. J'avais pas d'a priori rien Puis bizarrement, c'est des gens incroyables, puis le pays est cool, puis ils ont leurs problèmes, puis ils ont leur stigmate, mais ouais, tu vois. Et en fait, j'ai envie de... C'est là où je trouve, je trouve ça beau l'entrepreneuriat, c'est encore une fois, je le dis tout le temps, mais c'est le meilleur outil de développement personnel, parce que ça te montre tout de suite là où sont tes pensées limitantes, là où sont tes barrières, là où sont tes plafonds de verre, là où sont tes points faibles. Et là, je l'ai vraiment mappé, identifié sur cette zone-là, cet univers dans la vie qui existe dans le monde, et j'ai plus envie d'être découvert. Encore une fois, pareil. J'ai pas envie d'être pote avec les papous, je vais pas traîner tous les jours avec mes potes papous. De la même façon, je vais pas non plus être là à vouloir traîner avec des riches, mais je vais être capable d'y aller, de prendre du plaisir, et sans jugement, et m'enrichir moi, et de le faire sans étiquette, et ouais, parce que c'est important. Donc pose-toi la question. Quel est l'univers, le projet, le thème, le challenge que tu te refuses de vivre, parce que tu l'as mis dans une boîte, et que tu le diabolises, ou que t'as peur, et que tu vas pas le cœur ouvert avec tout. toute l'ouverture d'esprit qui permettrait d'en retirer plein de bénéfices. Maintenant, je voudrais te partager une anecdote très inspirante, je trouve, une belle victoire. C'est Hervé Chevalet, qui est dans le cercle des solopreneurs, qui est un mec génial, qui est un Suisse. J'adore les Suisses. Et comme les Belges, il y a les francophones autour de nous, je les trouve vraiment charmés. Et Hervé, en fait, il est photographe, il est aussi filmmaker. Et il a lancé, en fait, il y a un an ou deux, je crois déjà. sa chaîne YouTube, Le Chardon, sur une thématique très nichée, qui est sa passion, qui est le whisky et l'Ecosse. Parce qu'il adore le whisky, il adore le whisky écossais, il adore l'Ecosse, bref, c'est quand même très niché. Et en fait, au début, il avait 27 vues. Les gens se foutaient de sa gueule aussi, parce que genre, mec, t'as 27 abonnés, 27 vues, c'est quoi ce truc ? Qu'au début, il a beau être filmmaker, photographe, se filmer soi, c'est un autre art d'être devant plutôt que derrière la caméra. Et il a fait la formation module de connaissance FASCAM Expert qu'il y a dans le cercle, auquel j'ai donné accès. Et en fait déjà, rien que là, il y a eu un jump technique, visuel incroyable. Avant, après, il a fait un poste justement sur la communauté qui était assez fou. C'était genre, tu es dans ta chambre tout moche, limite à, wow, tu es dans un studio. Alors que c'est quasiment le même endroit, sauf qu'il a appliqué toutes les techniques de filmmaker que j'ai mis dans le... dans le module de connaissance FASCAM Expert, il est présent sur le cercle, et ça lui a donné confiance, ça lui a donné goût, il s'est dit, putain, le résultat est plus joli, il y a un peu plus de vues, et puis il a commencé aussi à se dire tiens parce que c'est quelque chose que je pousse beaucoup, il a commencé à miser sur cette chaîne. Donc ça veut dire quoi ? Il a dit, je délègue le montage, parce que le montage, à côté de ça, je ne peux pas faire mes missions qui me permettent de gagner de l'argent, donc je vais le déléguer, et puis en fait, je vais moins me concentrer sur ce qu'il y a que moi qui puisse faire, c'est-à-dire être devant la caméra, parce que le montage, encore une fois, ça se délègue. Les vignettes aussi. Voilà, j'ai vu, il a fait des super vignettes maintenant, mais j'étais là, je me suis dit, waouh, tu vois, vraiment, genre, les vignettes, classe. et pourquoi je te dis ça ? Parce que il n'a pas lâché, il s'est... connecté vraiment à cette passion encore une fois cette envie de vraiment partager cette passion du whisky et de l'écosse et moi j'ai envie de l'encourager même peut-être un jour à avoir peut-être une chaîne que je sais pas peut-être sur le whisky ou peut-être même sur toutes les destinations du monde c'est whisky et voyage peut-être un jour je te fais un petit coucou si t'écoutes Hervé c'est bien de toujours commencer dans un business niché puis une fois qu'on a de l'intérêt de commencer à ouvrir parce qu'après il y a Il y a l'Irlande, il y aura peut-être le Japon qui sont très très forts, je ne suis pas un grand connaisseur de whisky mais... Et aujourd'hui c'est bête mais il a 3000 abonnés, ses deux dernières vidéos elles ont fait 18 000 et 36 000 vues et ça, et avant c'était vraiment, il y avait 300 vues, 400 vues, et ça en fait ça lui a permis aussi d'être monétisé. En fait à Yeah, genre YouTube il a dit c'est bon t'es monétisé. Et il se dit maintenant bah je peux gagner de l'argent aussi en faisant ma passion. Il a été aussi invité à un event sur le whisky. où je disais à un, il disait mais pourquoi tu filmes, c'est pour quel média ? Mais en fait j'ai ma chaîne YouTube, et le général il dit waouh ! Et il a vu l'admiration dans les yeux des gens qui étaient justement aussi passionnés. Et je trouve que c'est une magnifique victoire parce que c'est clairement l'exemple d'une personne qui a une passion, qui veut commencer sur YouTube, mais putain il y a tellement de gens, c'est tellement compliqué, et qui a juste commencé en fait, simplement, à se filmer, à tester des choses, et le faire en toute humilité, et puis... Et puis ça marche pas, et puis c'est dur au début, tu fais 200 vues, 300 vues, et puis après tu vas faire, oh, 3000 vues. Parce qu'en fait, avec le temps, ça s'accumule. Et puis en fait, ça laisse aussi à YouTube de voir si finalement, ils poussent de temps en temps, et que les gens, ils aiment bien, et puis pour voir si t'as une chaîne qui poste régulièrement, parce que YouTube, il pousse pas les gens qui arrivent sur une chaîne, enfin une vidéo est terminée, tu vois. Donc, surtout si c'est une chaîne récente. Et en fait, ça, ça a commencé à augmenter. 5000 vues. 14 000 vues et franchement je voudrais lui tirer mon chapeau parce que pour moi c'est le bel exemple de quelqu'un qui est resté connecté à ça qui n'a pas lâché l'affaire qui a eu des hauts et des bas évidemment des moments de se décourager mais à chaque fois boum il est reparti il a réinvesti le fait d'investir sur quelque chose où tu ne sais pas ce que tu peux avoir à retirer je trouve ça très courageux genre d'investir de l'argent sur un truc où tu sais pas vraiment comment ni combien tu vas gagner de l'argent mais parce que c'est ta passion et parce que c'est là en fait tu sais que tu es sur le bon chemin parce qu'en fait tu sais que Tu vois, moi, quand je suis devenu influenceur voyage, il n'y avait pas moyen à l'époque de gagner de l'argent comme ça, parce que ça n'existait pas. Mais j'investissais de l'argent et du temps parce que je voulais partager, juste par passion, de partager ce que j'aime. Et tu vois, la vie trouve toujours son chemin, comme dirait la grande phrase dans Jurassic Park. Et ça a toujours été le cas des gens que j'ai vus qui se connectaient à leur passion, qui trouvaient des solutions par passion, par envie de partager, et qui lâchaient pas et qui, en fait, à fort tuent. Parce que ce qui est beau, ce qui ne se rend peut-être pas compte, c'est qu'au-delà de ça, il est aussi devenu meilleur filmmaker. C'est qu'au-delà de ça, ce n'est pas tant sa chaîne qui a monté en puissance, c'est lui, c'est son business, c'est ses skills, c'est ses opportunités. Et on ne sait jamais combien de temps un chapitre va durer dans sa vie. Moi, je sais, mes immersions, j'y vais all-in, je ne gagne pas tant d'argent que ça, mais j'y vais parce que je me dis peut-être qu'il y a un top entrepreneur avec qui je vais vraiment matcher, qui va peut-être me proposer un projet, et boum ! Et peut-être qu'un jour on montrera une boîte qui vaudra plusieurs millions, j'en sais rien, et c'est même pas mon but, mais... Je ne me l'interdis pas. Et parce que je ne sais pas... En fait, tant que tu n'as pas vécu le chapitre 2, tu ne peux pas savoir ce qui va se passer au chapitre 3. La plupart des gens, ils veulent passer du chapitre 1 au 6. « Oh, vas-y, je vais directement là où ça gagne, où j'ai toutes les armées, où j'ai fini le jeu. » Ben non, en fait. Ce n'est pas comme ça que ça se passe. Ce serait nul. Imagine, tu arrives dans la salle de cinéma, tu as les cinq premières minutes, puis tu as la fin. Ben non. là c'est pareil. Donc vraiment, apprécie le process, lâche pas l'affaire et monte une chaîne entre guillemets Youtube comme Hervé parce que, et je mettrais le lien de sa chaîne qui s'appelle Le Chardon dans la description pour que tu ailles voir, pour que ça t'inspire, pour que tu vois qu'on n'a pas besoin d'être tu vois Mister Beast pour faire des vidéos Youtube et qu'au contraire les gens ils ont envie de simplicité, d'honnêteté, de transparence et d'authenticité et c'est tout ce qu'il a fait et je le félicite et j'espère vraiment ça va te donner une bonne dose pour te dire putain mais moi aussi il faut que j'arrête de reporter ce projet que j'ose pas faire, que je trouve nul, que du coup je l'autoflagelle le truc plutôt que le dire waouh c'est mon petit bébé Et c'est comme ma poterie que j'essaie de faire monter, qu'au début c'est un vieux tas de glaise, et à la fin j'ai une super poterie de ouf dont je suis trop fier. Donc fonce, vraiment. et maintenant pour finir ce journal de bord le petit fun fact, très simple Très simple, mais j'adore. En gros, depuis que je suis à Bali, à la base, j'avais voulu louer mon scoot, qui s'appelle, c'est un modèle N-Max, qu'il y a beaucoup à Bali, un peu puissant, mais c'est pas le plus gros, mais c'est celui que j'aime bien avoir et tout. Et la personne chez qui je le loue, elle me dit, ah, qui fait toujours des très bons prix, elle me dit, ah, en gros, bah désolé, j'ai pas ce modèle-là, je l'ai que dans deux semaines. Je dis, ah, vas-y, c'est pas grave, je vais redescendre sur le Vario, le modèle en dessous. Je... Voilà, comme ça, c'est bon. Sauf que je prends le truc et j'ai l'impression de retourner sur une mobilette. Genre vraiment. Et puis quand t'es à deux dessus, surtout que je passe pas mal de temps avec Camille Imbert, avec mon associé qui est à Bali, et en fait, dessus à deux, t'as l'impression que le truc va... Enfin voilà, pas confort quoi. Je me suis dit, et j'en parle à mon pote Sam, le fameux pote avec qui j'ai passé aussi un mois en coloc il y a un mois et demi, deux mois, et il me dit mais... « Mais man, pourquoi tu prends pas mon scoot ? Je suis pas là. Prends-le, je l'ai laissé chez un pote. » Et là, je fais « Ah bah ouais, mais grave, avec plaisir. » Et du coup, je rends le petit scoot, le fameux Vario, je vais prendre son scoot. Et tu vois, j'ai traîné avec lui, j'ai toujours été dessus pendant un mois, un mois et demi, parce qu'on prenait souvent un seul scoot au lieu d'en prendre deux. Et j'avais pas vu à quel point son scoot, il est déglingué, tu vois. Genre, tu sais, ça m'étonne même pas. Il a mis un cover sur le truc, il a même mis sa plaque, le gars est trop fort Genre il a mis ses initiales SK, il a acheté la plaque avec ses initiales dessus. Et avec 5555 pour avoir un lucky number chinois. Tu vois apparemment un truc chinois c'est un super lucky number. Donc très bien. Mais sauf que le truc il a des égratignures de partout, il a dû le faire tomber, j'en sais rien. Ça fait un peu maintenant tu sais la vieille Clio Thuné, la Ford Fiesta Thuné de Lille. Salut les Lillois. Tu sais, genre Guigui Tuning avec un désirable, c'est plus fou, tu vois, le résultat est plus dingue. Et à chaque fois que je le prends, je me dis « Putain, il est vraiment défoncé ce truc, c'est vraiment la... Il tourne le machin, mais... » Et ça fait plusieurs fois que je me disais, en fait, en échange du fait qu'ils me le prêtent, je lui ai dit « Je te ferai faire les niveaux, je l'emmènerai au garage, etc. » Et après, je me suis dit « En vrai, tant qu'à mettre 100-150 balles dans la location que j'ai « économisée » , autant les mettre et que ça puisse aider mon pote, tu vois, plutôt qu'essayer de les économiser. Et j'ai dit, putain, il faudrait peut-être que je le fasse, je sais pas, nettoyer ou enlever le truc, refaire faire un cover, mais j'avais entendu que ça coûtait 300 bahts, je me suis dit, bon, peut-être flemme un peu là, tu vois. Je rentre de l'immersion, en face de ma gesta, littéralement en face, vraiment. Il y a trois mecs qui bossent sur un scoot, je vois, et puis je vois qu'en fait, ils font un covering d'un scoot. Je m'arrête Je dis les gars Vous faites ça pour vous ? Est-ce que c'est possible de demander pour mon scoot ? Je dis pour quel scouts ? Je suis là et il me fait Oula, tu sais genre il dit Parce que vu qu'il y a des égratignures quand tu fais un covering Et que là tu sais le truc en plastique Il y a des éraflures, c'est pas lisse tu vois Donc en fait il dis Faut que je retire toute cette merde Potentiellement que je lisse un peu Les égratignures, faut que je remette Je dis tu peux pas faire Il me fait je sais combien Et en gros il me dit bah c'est 500 000 Donc 500 000 ça fait genre 30 balles Pour enlever tout le truc et 1,3 millions pour... Donc ça doit faire 80 euros pour tout le covering. Et là, je me suis dit, vas-y banco. Ce n'est pas les prix que j'avais entendus, donc je me suis dit, vas-y banco. Et du coup, je me suis dit, c'est fou. En fait, quand tu es bien, quand tu es dans ta zone, et je ne sais plus pourquoi, parce que j'y pensais à ce truc-là sur le trajet retour, parce que j'avais fait l'immersion à Ouboud, je regardais le scout, et puis j'y pensais en fait. Je pensais, il faudrait vraiment que je fasse ça pour ça, mais tout ça me ferait plaisir, tu vois, etc. J'arrive, et encore une fois, quand t'as vraiment envie de quelque chose, un truc aussi anodin, genre paf ! Non seulement c'est 2-3 fois moins cher que j'avais entendu, le truc est en face de chez moi, du coup j'ai repris son Insta, on a renégocié le truc, en plus je l'ai eu à un petit prix sympa, le gars il va arriver enfin. Et du coup je vais refaire le covering du scout de mon pote Sam, évidemment il s'en fout, je le dis là mais ça lui fera la surprise, Sam il n'écoute pas mon podcast. Et je lui enverrai la petite photo surprise, parce que j'ai dit, on va enlever le côté tuning, on va remettre un petit truc classe pour que ça lui aille. et je me suis dit encore une fois, wow, le pouvoir de l'intention et de la manifestation, il faut vraiment que je me concentre plus, parce que c'est sympa d'avoir des petits trucs aussi légers, mais autant amener des choses incroyables, parce que je pense que ça fonctionne de la même façon. Je te fais des gros bisous, je te dis à la semaine prochaine, et j'espère que ton journal de bord t'a plu, et j'espère que le retour du format long t'a fait kiffer. Bisous.

Description

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LIENS UTILES



SUJETS DE L'ÉPISODE

  • L’immersion à Bali
    → Comment elle s’est passée, les obstacles rencontrés, les apprentissages en tant qu’organisateur, et la sensation d’être à sa place, dans sa zone de génie.

  • La relation à son corps
    → Un déclic fort pendant un atelier : se rendre compte à quel point on maltraite souvent notre corps, et choisir consciemment de l’aimer et de le traiter comme un allié.

  • La puissance du jeu
    → Comment le jeu crée de la joie, du flow, de la créativité, et pourquoi on devrait l’injecter dans sa vie pro aussi bien que perso.

  • L’importance des bases de données
    → Anecdote sur l’oubli d’un carnet crucial et la leçon : centraliser ses outils et savoirs dans une base digitale fiable (comme Notion).

  • Explorer l’univers des “riches”
    → Prise de conscience d’un jugement inconscient sur l’univers des high achievers, et volonté d’explorer ce monde avec curiosité, sans étiquette.

  • L’histoire inspirante d’Hervé
    → Un membre du Cercle des Solopreneurs qui a persisté avec sa chaîne YouTube autour du whisky écossais et qui a fini par avoir du succès.

  • Un petit fun fact de manifestation
    → L’anecdote légère et symbolique sur un scooter retapé « par magie » après avoir envoyé une intention claire à l’univers.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello ! Comment tu vas ? Je reviens tout juste de mon immersion, ma deuxième immersion que j'ai organisée à Bali. Je suis encore chargé d'émotions et du coup plein de choses à te partager dans ce nouveau journal de bord. Déjà le premier thème ce sera effectivement l'immersion, comment ça s'est passé, les conseils aussi que je vais te partager si tu crées des events, comment interagir, comment tenir l'espace. Je pense que c'est en plus quelque chose qui va se faire de plus en plus. que ce soit des immersions ou des expériences, je l'ai toujours dit, mais avec l'ère de l'IA et de l'informatique et de la réalité augmentée, on va aller vers de plus en plus de business qui vont être sur de l'expérience en présentiel. Donc j'essaie de te filer des tips sur ce sujet. Ensuite, deuxième sujet, c'est par rapport au rapport à mon corps. J'ai eu un clic pendant justement cette immersion et je voulais te le partager parce que je pense qu'on a tous un rapport particulier, souvent très dur avec son corps, et je voulais en parler. Troisième sujet, je voulais parler du jeu, la puissance du jeu dans la vie. Pareil, ça a été un thème qui est revenu assez souvent pendant l'immersion. Et moi aussi, qui suis un énorme fan de jeu, je voulais te partager des petits tips et surtout, comment tu pouvais l'implémenter. Parce que ça a une puissance et je te dirais pourquoi c'est très puissant aussi, scientifiquement, de mettre du jeu dans sa vie. Ensuite, l'autre sujet, c'est les bases de données. comment tu peux toujours mettre dans des bases de données ou enregistrer tes connaissances, tes contacts, et à quel point c'est ultra, ultra important, parce qu'il m'est arrivé une petite galère pendant l'immersion à cause de ça, et justement je voulais surtout pas que ça puisse t'arriver. Ensuite, ça va être le thème ensuite suivant, ça va être vraiment un univers dans lequel j'ai envie de me plonger, que je ne connais pas, parce que je connais les tribus papous, être eux. Être salarié, être influenceur voyage, être... J'ai découvert plein plein d'univers et quasiment presque tous et il m'en manque un seul que je vais essayer de découvrir et que je suis à la base quand même assez réticent, mais je vais t'en parler. Un univers, j'ai envie de dire, un univers de vie, voilà, sur Terre. Et évidemment, je te parlerai aussi d'une victoire, parce que ça fait toujours plaisir d'entendre des victoires, une super victoire qu'il y a eu sur le cercle des solopreneurs. J'espère que ce sera ta petite dose aussi d'inspiration. Que chacun puisse se prendre une petite injection de motifs et se dire « Putain, mais moi aussi, il faut que je me bouge, moi aussi je peux y arriver. » Et là, il y a une jolie histoire sur Hervé qui fait partie du cercle et que je voudrais te partager. Et évidemment, je terminerai avec un petit fun fact sur un truc léger, sur de la manifestation. C'est marrant, c'est sympa et ça me fait plaisir de te le partager. J'espère pour terminer ce journal de bord en beauté. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, mon immersion, comment ça s'est passé ? Comment ça s'est passé ? La vérité, c'est que c'était vraiment dingue d'avoir vu les transformations des entrepreneurs, des hommes qui sont venus dans l'immersion, des hommes qui avaient besoin de retrouver vraiment leur feu intérieur, de la clarté, se réaligner, d'arriver à laisser des choses de côté, parce qu'il y avait des choses qui étaient floues, il y avait un frein à main, il y avait un frein qui ne leur permettait pas de dérouler vraiment et d'être juste léger, et d'enchaîner leur vie, d'être bien. Et quand je vois, et c'était vraiment des mecs qui étaient en mode, voilà, bulldozer, voilà, machin, très dans le contrôle, et d'avoir vu autant de transformations sur le lâcher prise, de bienveillance envers soi-même, de s'apercevoir que, ok, ça c'est pas pour moi, et je le laisse et je suis ok, et c'est là où je dois foncer. Et de démystifier aussi des choses business, d'en avoir fait genre, ouais mais comment je vais épiler la seule couche, ah ouais, en fait c'est simple, dit comme ça, avec l'échange. Il y a eu vraiment des transformations qui m'ont touché. Et évidemment, moi, à chaque fois que je crée ces espaces-là, je suis aussi participant. Et je suis aussi, moi, le mec qui prend des claques. Je le partagerai dans les autres sujets du journal de bord, mais déjà, je voulais du coup te partager, parce que ce que je suis en train de te dire, c'est quand même formidable. J'ai vécu un moment incroyable. J'ai enfin retrouvé une activité où, tu vois, je suis dans ma zone de génie. Je ne vois pas le temps passer, où j'ai l'impression de jouer. C'est quand même formidable de se dire, en fait, je me dis, je suis payé à faire ça. Et là, je l'ai vraiment retrouvé. Quand je venais des formations en ligne, je l'avais eu au début, mais je l'avais vite reperdu parce que me manquait le fait d'être dehors. C'est con, mais dehors. Et d'être au contact de gens et de voyager, de bouger. Et je l'ai vraiment retrouvé. Et pourtant, et c'est pour ça que je voulais commencer par ce sujet, tout a été contre moi pendant cette immersion et pendant la préparation de cette immersion. Donc déjà, un, je voulais te dire, lâche jamais. Lâche jamais. surtout quand au début, quand c'est le début d'un business, il y a tout qui part en coup, il n'y a rien qui est comme tu veux, etc. Première chose... Je voulais, moi en général j'aime bien être 6-8, entre 6 et 8. On a été 4. Et 4, c'est la première fois où je le faisais avec si peu, et je me dis merde, j'ai peur que ça fasse un effet de, il n'y a pas l'effet de groupe, l'énergie, etc. En plus, j'avais réussi à ce qu'on soit 5, parce que ce qu'il y a c'est que j'ai aussi, il y a des gens que je n'ai pas accepté dans cette immersion, parce que je sentais qu'ils n'étaient pas encore sur la bonne vibe, sur les bonnes valeurs, prêts à vraiment s'engager à fond. Parce que tous les mecs qui étaient là, c'est des mecs qui étaient ultra dans le contrôle dans le... on va pas chercher les émotions, on va pas vraiment regarder la vraie vérité mais je sentais qu'ils en avaient envie et les intentions étaient là, elles étaient bonnes, les valeurs étaient là, d'autres non donc j'ai dû intentionnellement, parce que le casting pour moi est essentiel, refuser des gens ce qui fait que j'avais pas vraiment le nombre et je me disais merde ça va pas faire le truc, ça fait un peu cheap, merde, et puis l'ego qui fait mal et bon on arrive à 5 et malheureusement la 5ème personne a dû annuler au dernier moment pour cause de de décès familial et rentrer en France et en plus Ça a été dur parce que, vu que c'est pas sur invitation et que c'était un peu, j'ai organisé ça à peine trois semaines à l'avance, sur Bali. Donc c'est des gens, là j'avais déjà invité tous mes potes la dernière immersion, là c'était une nouvelle où je... Le seul truc que j'avais c'est sur des groupes Facebook ou peut-être du bouche à oreille, etc. Et en fait, déjà un, va jusqu'au bout, fais les choses et ne pense jamais à la place de ton client, donc c'est ce que j'ai fait. J'ai envoyé un message à chaque gars, je dis écoutez voilà les gars, on est quatre au lieu de... potentiellement genre à aimer 6, 7, 8 et est-ce que c'est ok pour vous si on le fait parce que j'ai peur je connais pas trop est-ce que c'est ok et ils m'ont tous dit bah et moi je pensais que ça allait faire genre ah bah ouais on est pas assez ça va pas être ouf ils m'ont dit ah bah non mais au contraire ça va être ultra premium on va être privilégié etc et finalement ils ont eu raison parce qu'en fait on avait des échanges ils m'ont dit moi ils ont tous dit en fait j'ai l'impression que c'était du one one et même dans les ateliers et les intervenances que j'ai fait venir pas mal d'intervenants sur différents sujets Ils étaient là, mais en fait, j'ai l'impression que c'est mon... une immersion juste à moi et en plus encore plus kiffant parce que j'ai quand même je peux matcher avec des mecs de façon intime et que ça donc donc j'y suis allé en fait j'y suis allé et c'est ça c'était le premier truc donc vas-y même si tu as l'impression que ça va pas deuxième chose vraiment fais toi si tu fais des événements en quelqu'un qui entre guillemets tu assistes parce que c'est la première fois où là j'avais personne qui m'aidait à gérer les petits à côté et waouh c'est trop c'est En fait, c'est dur, mais c'est surtout aussi, t'as l'impression que tu te fais un peu carotte ou l'organisation, genre, payer les prestats. Tu sais, les cristaux, dès qu'ils arrivaient, vu que c'était des cristaux différents, il fallait que je paye. Et au début, j'étais acheté l'Iban. Au début, j'avais été faire un aller-retour de 25 minutes pour aller chercher du cash. Tu irais genre 8 fois du cash parce que le redistributeur, il y avait un montant limité pour filer le montant. Enfin, l'enfer, tu sais, quand t'es dans ton immersion, tu dois tenir l'espace. Il y a ça, les intervenants, est-ce qu'ils sont bien à l'heure, est-ce que ceci, est-ce que... Et en fait, en plus, la valeur perçue, elle est moins bonne. Toi, tu es censé être là, le mec qui tient l'espace, et les petites choses comme ça, c'est quelqu'un qui doit s'en occuper. Donc je me suis dit, toujours prendre un ou une assistante pour vraiment aider sur ces petites choses d'à côté, pour pas que ça se voit, et pour que moi, je puisse rester concentré. Et ça vaut vraiment l'investissement, ça c'est clair et net. Autre chose aussi, il y a un truc tout con. Et ça, je reviens plus sur le début, sur quand t'as trouvé, tu sais, même quand c'est une activité qui a du mal au début et que tu sais pas si tu vas faire de l'argent. Et moi, c'est mon cas, tu vois. J'ai très peu d'argent, finalement, par rapport à avant. Mais, en fait, quand je le vois, quand je rentre en immersion, je me mets sur... Je deviens, je me mets sur... J'aime bien dire ce mot-là, mais je me mets sur une fréquence, la fréquence de l'homme que j'ai envie de devenir, tu vois. Et naturellement. Genre, j'ai pas à me forcer, ça me... C'est comme si le... la mission, le moment me permet naturellement de level up, d'augmenter ma fréquence. Et je me vois, j'aime être dans cette énergie-là, dans cet amour-là, cet ancrage, cette concentration. Et c'est naturel, je n'ai pas à me forcer. Et je le vois que dès que l'immersion est finie, il y a ce petit côté de... Le Alex est un petit peu plus fou, après on ne peut pas toujours être à fond, mais le Alex est un peu plus fou, un peu plus relâché, etc. et Et je perds un peu cet ancrage, ce leadership, ce charisme qui rebaisse un peu. Pourquoi je te dis ça ? C'est parce que quand tu trouves quelque chose qui fait vraiment du sens, un, tu es censé être dans ta zone de génie, donc les choses te paraissent faciles. Mais deux, quand tu te vois faire les choses, tu sais que tu es fier. Tu es fier de la version de toi-même que tu es en train d'être. Et ça, c'est important. Parce que si tu fais quelque chose, une activité, ou quand tu te regardes, Quand tu t'observes de l'intérieur, ou tu vois dans le regard des gens, ou même toi-même, t'es pas une version de toi dont t'es fier et où tu te dis putain c'est génial je suis en train de progresser mais j'ai plus l'impression de régresser c'est que soit c'est pas le bon business, ça c'est, il y a un mot, il faut se le dire, soit c'est que la façon de faire, de mettre en place ton business, n'est pas la bonne, soit en fait, toi-même, tu es sur le bon chemin, mais la façon de le faire, encore une fois, ne te correspond pas avec toi, tu as voulu créer des process qui ne sont pas toi, et là, moi, c'est tout l'inverse, et ça fait vraiment un bien fou de se voir comme ça et de se dire, wow ! J'adore qui je suis, j'adore l'état dans lequel je suis, j'aime... Evidemment, il y a toujours un peu de stress, qui est encore là, vu que ça reste les premières, j'en ai fait 4-5, parce que t'as envie que les gens repartent avec quelque chose, et vu que c'est pas une science exacte, surtout les immersions, je sais pas ni qui, ni dans quel atelier il va y avoir des clics, tu vois. J'en ai aucune idée. Et je leur dis au début, genre vraiment ça je leur dis. Mais du coup j'ai quand même envie que ça se passe, donc t'es là, tu dis bon... Et t'attends qu'il y ait des déclics et à chaque fois, boum, c'est en cascade. Et c'est toujours au moment où on s'y attend le moins, dans la personne où on s'y attend le moins. Evidemment ça arrive et c'est le jeu, c'est ça qui est beau, ça qui fait que les choses sont humaines. Dernière chose que j'ai vraiment envie de te dire aussi, c'est... Avant dernière chose, sur ce sujet, c'est demande des feedbacks à chaud. Pour deux choses. Un, fais toujours des testimonials. Là en plus c'était l'enfer. Genre au moment de partir, on devait faire un check-out du lieu, de la villa que j'avais loué, à 11h. On est parti à 13h. J'ai lâché un petit pour-licho au mec qui gérait la villa pour dire désolé. Parce que... Il y avait un atelier qui s'est prolongé, de l'intervenante, et je voulais pas, vu qu'elle avait un petit mot pour chacun en individuel, je voulais pas couper le truc. Et derrière je voulais des testimonials, donc des avis à chaud des participants. Et d'un côté, donc je l'ai fait, et il y avait la pluie, il y avait le truc, genre c'était genre à ce moment là il pleuvait donc les gens étaient dans la pièce, je disais faut pas faire de bruit, truc, machin, fin. C'était une galère, encore une fois, de devoir tout gérer et les gens... et en même temps faire le testimonial, et gérer le caméraman, et truc, et machin, je les ai eus. J'aurais pu les creuser plus longtemps, mais le timing était tellement short. Il y a un truc que j'avais fait aussi avant, je pense que c'est deux choses qu'il faut que tu demandes, c'est un, les feedbacks, pour que tu puisses les utiliser finalement comme meilleur argument de vente, donc des testimonials, mais aussi autour d'un moment off, et ça je le fais à chaque fois, de dire, ok, qu'est-ce qui vous a plu, qu'est-ce qui vous a moins plu. Et ça, t'es encore dedans, donc ça te pique l'ego. Ouais bah ça c'était pas ouf, ça aurait pu être mieux, moi ça ça m'a pas trop plu alors que toi peut-être il y avait un atelier où tu dis c'est trop cool et en fait ils ont dit ouais bon bah ouf. Bah c'est ça que tu dois le demander, tu dois le demander et c'est tellement dur quand t'as mis tout ton cœur, tout ton âme dans un truc et qu'on dise bah non en fait ça c'est pas ouf et plutôt le truc où tu t'en foutais quand tu l'as mis en place ils ont dit oh c'était incroyable. Et là, tu dis, OK. Parce que n'oublie pas, tu ne le fais pas pour toi, en fait. Si tu ne le fais que pour toi, c'est un hobby. Si tu le fais pour les gens aussi, c'est un métier, c'est une passion et c'est cool. Mais du coup, ça veut dire qu'il faut vraiment toujours... demander des feedbacks si tu fais du coaching demande à la fin du coaching qu'est ce que tu retiens qu'est ce que tu auras aimé en plus tu vois et c'est toi qui prends là ce moment là toujours si tu si tu es vraiment sur du service du freelancing ok qu'est ce que tu as aimé qu'est ce que tu as pas aimé qu'est ce que je peux améliorer tout le temps et si tu fais à chaque fois la fin de ton service et toi même tu vas vraiment monter en gamme de fou donc c'était vraiment c'est vraiment les choses que je voulais partager et dieu sait que c'était c'était intense C'est cette immersion et Dieu sait que c'était pas gagné. Et franchement, à 5 jours avant l'immersion, je me disais, vas-y, je vais annuler. Je vais annuler, j'ai pas assez de gens, je doutais de trucs. Et après, boum, au moment où j'avais loué la villa, je commençais à avoir l'annulation. Je me suis dit, oh putain, non, vas-y. Et après, je me suis dit, all in, vas-y, on y va. On y va à fond et je vais tout donner comme si on était, entre guillemets, 8 et que je l'avais vendu 25 000 euros. Alors que c'est pas le cas pour le moment. Peut-être un jour. Et vraiment, ça valait le coup parce que humainement, ça m'a fait du bien. J'ai apporté les changements à ces mecs-là qui sont venus. C'est la raison pour laquelle j'ai créé ces immersions. Et c'est surtout de te dire, connecte-toi toujours à ça. C'est quoi ma mission ? Et une fois que tu es dedans, ne lâche pas l'affaire. Parce que si tu le fais pour cette mission-là et non pas pour l'argent, malgré les obstacles, malgré peut-être la thune qui ne va pas tomber autant que tu veux au début, tu vas le faire. Alors que si tu te connectes juste sur la p***, le côté pratico-pratique du business plan qui n'est pas carré, tu vas t'arrêter. Donc connecte-toi à ça. J'espère que les différents petits tips que je viens de te partager pourront t'aider à aller jusqu'au bout. Autre sujet maintenant, qui est un sujet que je n'ai jamais abordé. C'est bizarre d'en parler, mais on est là sur un journal de bord. Il y a un des ateliers qui a été très puissant, que j'aime bien quand c'est possible, implémenté dans mes immersions. C'était avec une nouvelle intervenante, parce que c'était à Bali. Et d'habitude, je les faisais faites au Portugal, dans mes immersions au Portugal. Et bref, dans cet atelier, il y a un moment, elle a fait un truc que... que j'avais pas l'habitude sur cet atelier-là, elle nous fait passer un morceau d'Aloe Vera. Et elle nous dit, en conscience, passez-vous de l'Aloe Vera sur le corps et donnez de l'amour à votre corps comme si c'était votre enfant, en fait. Comme si c'était quelqu'un que vous aimiez profondément et que vous lui soigniez des plaies, des blessures. Et j'étais là, je passe l'Aloe Vera sur tout le corps, en plus c'était vraiment un moment puissant, je prends le temps et... Et en fait, je me suis vraiment aperçu, je me suis dit, mais je ne suis jamais gentil avec mon corps. Genre, mon corps, s'il est malade, je bouge pas. Genre, littéralement, c'est con, mais on dit la santé, c'est le truc numéro un dans la vie, c'est le cas. Mais qu'est-ce que ça veut dire en fait ? Ça veut dire que potentiellement, ton corps et ton cerveau, je dirais même, ton cerveau, tu restes, même quand t'es malade, tu restes à peu près conscient, même si t'es pas bien. On dit souvent qu'on est malade et qu'on est cloué au lit. On peut rien faire. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps ne bouge pas, il ne fait pas ce que tu lui demandes, et t'es pas en pleine capacité. Et je me dis, ça veut dire que le truc numéro un le plus important dans la vie, c'est vraiment que ton corps fonctionne parfaitement dans l'idée. Et je me dis, pour que le truc numéro un dans la vie le plus important, je suis jamais sympa avec lui, je suis jamais dans l'amour et la gratitude. Waouh ! Parce que j'étais là en train de me passer la Loewe. Et tu sais, vraiment, j'étais en mode... Ouais, comme c'était mon enfant, mon meilleur ami, où vraiment je suis en train de l'aider. Et j'ai dit, mais je suis toujours en train de voir mon corps comme, tu sais, l'élève qui fait jamais assez bien. Qui fait jamais assez bien. Allez ! Allez encore ! Putain, t'es pas assez musclé. Tu fais pas... Putain, j'ai mal. Pourquoi... Arrête d'avoir mal. Putain, j'arrive pas à aller plus vite. J'arrive pas... Tiens, ça me fait... Je n'arrive pas. Je sais pas, à sauter plus haut, à soulever plus lourd, à être là, je suis crevé, j'ai mal partout, putain, tu fais chier à avoir mal partout, tu fais chier à pas faire les perfs que je veux. Et ça fait vraiment genre comme le parent un peu agacé sur son enfant, au lieu de se dire, mec, on est dans la même team, allez mon gars, ça va aller, la prochaine fois on soulève plus lourd, allez détends-toi, t'as un peu mal, t'inquiète, je vais te masser, je vais te faire du truc. Et d'envoyer de l'amour, c'est-à-dire, t'inquiète pas je vois très bien ce que tu ressens on va y arriver on va y arriver c'est cool Et je me suis dit, j'ai jamais. En fait, je me suis vu avoir le comportement, tu sais, comme quand t'as une vieille bagnole, tu sais. T'aimes bien, mais t'es toujours, allez, putain, là, qui démarre pas, et qui casse ses petits trucs, et l'embrayage qui va pas, et t'es là, putain, et tu râles. Et en fait, tu lui tapes dedans comme un gros tas de ferraille. Et dans l'idée, je pense que je suis vachement comme ça avec mon corps. Je le regarde, je dis, putain, c'est exactement comme ça que je veux. Putain, j'ai encore mal aux genoux. Putain, vas-y, j'ai mal là. j'en t'agis j'arrive pas à faire mes tractions, j'ai plus de cardio bah ouais en fait je suis pas en train de l'épauler comme un enfant qui a besoin de grandir et de s'améliorer d'être là et de l'encadrer dans de l'amour je me suis dit wow à partir d'aujourd'hui je vais toujours essayer d'avoir au moins un ou deux moments par jour où en fait je suis avec mon corps en conscience, je vais le regarder comme si c'était une entité et je me suis dit bah soit c'est sous la douche parce que moi je me savonne avec un savon traditionnel de Marseille Et prendre le temps de dire merci, genre, ok comment ça va ? Ou est-ce que j'ai mal ? Ok on va aller, tu vois. Et pas être juste moi dans ma conscience, genre, oh, les sensations de mon corps me font du bien à mon cerveau. Non, c'est l'inverse, c'est mon cerveau qui va aller dans mon corps et dire comment tu te sens. Ou alors justement au sport, quand je fais du sport, quand il y a un effort, dire, allez, allez on y va, et non pas genre, allez putain, allez tu vas y arriver, genre, putain, merde, tu fais chier. Non, c'est genre, allez, allez on y va, tant pis, ce sera la prochaine fois. Et vraiment, cette Ausha m'a fait un clic parce que je me suis dit, le véhicule, la plus belle... En fait, c'est mon meilleur ami. Je dis souvent, il faut que je sois mon meilleur ami. Mais en fait, ça va déjà commencer par... En fait, on peut être plusieurs potes à l'intérieur de ce corps. Il peut y avoir l'esprit, il peut y avoir la personnalité, il peut y avoir le corps. Et je pense qu'il faut que je me comporte avec mon corps comme avec mon meilleur ami que j'aime profondément. Et ça va être le cas à partir d'aujourd'hui, j'espère. Faire des checks régulièrement pour me dire est-ce que j'y suis arrivé ou est-ce que je suis retombé dans les mauvais travers. Parce que ça change tout. Et on sait très bien en plus que les mots sont importants, les vibrations. On est fait de flotte à 80%. Et ça a été prouvé. L'eau, elle est chargée avec les ondes particulières qu'on lui envoie. Donc si tu es toujours envoyé des ondes pourries à ton corps, ton corps va être pourri en fait. Il aura beau lutter, un jour tu vas te blesser, un jour ton système immunitaire va te défoncer et tu vas te choper une merde. Ou pire. Mali auto-immune, cancer, truc comme ça. Bah ouais ! Donc moi, ça m'a vraiment fait un... Et comme je te dis, dans mes immersions, je suis le premier participant et ça m'a fait un magnifique déclic que j'avais envie de te partager pour te dire comment tu te comportes avec ton corps. C'est quoi la relation que tu as avec ton corps ? Je sais qu'il y a beaucoup de femmes qui m'écoutent. Et je sais que les hommes c'est dur, mais les femmes c'est encore pire. Tout, tout, tout. Très dur la relation au corps. C'est jamais assez bien, on aimerait... Puis en plus avec Instagram, donc demande-toi. Est-ce que tu as une relation de meilleur ami avec ton corps, avec qui vous allez vivre les plus folles aventures, et une aventure où il y a plein de problèmes et on les surmonte et c'est ça qui est beau ? Ou est-ce que tu es en mode... Tu sais ? La belle-mère de Blanche-Neige qui lui fait faire les pires trucs, qui est aigrie et qui... Alors ton corps, c'est Blanche-Neige, il est là. Enfin, Blanche-Neige, je sais plus, la belle au bois dormant, pardon. Et en fait, il est pur, ton corps. C'est juste toi, comment tu le traites, qui fait qu'il a des conséquences sur lui. Alors pose-toi cette question. C'est quoi la relation que t'as avec ton corps en ce moment ? Maintenant, sujet un petit peu plus léger, le jeu. Le jeu, c'est quelque chose qui... et naturel, qui est omniprésent de notre enfance, en tout cas, je te le souhaite que ça l'ait été, et pour moi qui ai vécu une enfance très solitaire, j'étais fils unique, mes parents, bah, ces parents à l'ancienne, ils étaient occupés, donc je jouais tout seul, j'avais pas le droit de sortir, donc j'étais très seul, mais je mettais du jeu, tu vois. J'avais du jeu dans ma vie, dans les petits trucs, les histoires que je m'invente, et c'est vraiment le truc qui disparaît, je trouve, souvent, en tout cas, étant adulte. Et moi qui adore le jeu, je m'en suis rendu compte, c'est quelque chose que j'essaie de garder au quotidien. Et les gens qui passent un peu de temps avec moi, ils le savent. Je suis toujours en train de « Allez, on met un jeu de dé, il y a un truc, vas-y, dégage des trucs, vas-y, on se met des challenges. » Parce que j'aime ça. Et ça a été prouvé aussi, il y a un livre qui s'appelle « Play » , donc « Jouer » , qui a été écrit. Et il y a eu beaucoup d'études sociologiques, comportementales et également médicales sur... la partie vraiment du cerveau, qu'est-ce qui se passe dans le cerveau quand on joue. Et déjà, il y a un truc, c'est que si tu regardes chez les mammifères, le jeu est partout. Chez tous les mammifères, le jeu existe. Pourquoi ? Parce que c'est la façon d'apprendre aux petits de l'espèce, d'apprendre et d'ancrer des comportements, de comprendre les comportements et de transmettre. Et si tu regardes bien, l'apprentissage chez nous, il est tout sauf drôle, marrant et dans le jeu. C'est l'inverse. On est au forceps, on est dans le sérieux. C'est les devoirs. Il faut faire les devoirs. Il faut apprendre des tables de multiplication. Il faut apprendre ce nouveau rapport, ce nouveau discours. Ça va être attention, ça va être important. Alors qu'en fait, ils ont prouvé que quand tu es dans le jeu, le cerveau sécrète plusieurs hormones. Là, je n'ai plus en tête. Mais qui permettent en fait la mémorisation beaucoup plus rapidement et la compréhension du cerveau beaucoup plus rapidement. sur ce qui est en train d'être nouveau. Et ça, en fait, quand tu comprends ça, t'es en train de dire, attends, si je veux ce résultat-là, que je suis en train de faire de façon un peu mécanique, si je mets du jeu, c'est comme si j'avais une seringue, une injection de mémorisation et de rapidité en plus. Mais pourquoi t'en priver, en fait ? Pourquoi t'en priver ? Et vraiment gamifier son business, son business, tout, la perte de poids, la mémorisation, en fait, c'est déjà un. Fucking shit, t'es beaucoup plus heureux, tu vois. Quand tu joues, t'es heureux, t'es léger, t'es en train de te marrer. Et à la base, c'est pour ça qu'on se lève le matin. On se lève parce qu'on a envie d'être heureux. On gagne notre thune parce qu'on veut faire des trucs avec qui nous rendent heureux. Peu importe ce que c'est, que ce soit acheter ou vivre ou peu importe, ou offrir. Et là, tu te dis, mais attends, même pour obtenir cette thune ou faire ces trucs qui me rendent heureux, je peux les faire. Juste le procès, il peut déjà me rendre heureux. c'est toujours pareil, on en revient à la quintessence de la vie, c'est faire les choses pour le p... plaisir de les faire et pas pour ce que tu en obtiens. Et par plaisir, quand tu fais quelque chose par plaisir, il y a souvent du jeu. En tout cas, ça accélère, ça augmente. C'est un peu le sel et le poivre de la vie. Et je me suis dit, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que justement, les mecs qui étaient à l'immersion, il y en a beaucoup qui sont genre, parce que, moi y compris, et pourtant j'adore le jeu, tu sais, le travail c'est dur. Pourtant, il y a des mecs qui gagnent beaucoup d'argent. Mais ils étaient encore dans... En fait, la vie ça doit être dur, le travail ça doit être dur, sinon c'est... je me sens un peu coupable, je me sens « ah je suis pas bon en fait » « putain j'ai fait beaucoup d'argent, je travaille trois heures et je me sens bien » « putain c'est pas normal, c'est pas ça la vie » « je dois travailler douze heures, je dois être épuisé, je dois être là, ok là je l'ai mérité » « c'est pas ça la vie en fait, ça c'est ce qu'on veut nous faire croire » « pour justement nous contrôler » « parce que quand t'es crevé, que t'es agacé, que t'as peur et que t'es dans les mauvaises énergies » On fait ce que tu veux de toi. Et puis l'inverse, quand tu es léger, quand tu es bien reposé. Quand tu es dans ta zone de génie, quand tu as joué, tu as une clairvoyance, tu as une conscience, tu as une compréhension des choses. et donc t'es un peu moins un pion qu'on peut manipuler que ce soit au sein d'une entreprise, d'un pays, d'un gouvernement, etc. Et je me suis dit, putain mais waouh, je vois tous ces mecs-là, il n'y a pas de jeu dans leur life. Et eux, ils ont pris conscience aussi en fait, c'est surtout eux qui ont pris conscience de ça. Je me suis dit, putain mais je prends tout au sérieux, je cérébralise tout, au lieu de descendre dans mon corps et de le ressentir. Et puis il n'y a rien qui est important, puis finalement quand tu enlèves tes freins et que tu as l'impression que tu es dans le flow, tu es dans la légèreté, puis finalement tu as la créativité qui vient. parce que du jeu vient beaucoup la créativité donc c'est pas le faire c'est que ton cerveau arrive à créer des choses qui n'existaient pas jusque là dans ta tête. Et c'est ça qu'il faut comprendre. C'est ça qui est fou. On veut souvent apprendre et faire, et bien le faire. Mais déjà, apprendre, il faut absorber un truc qu'il y a dans ton cerveau. Mais quand tu joues, un, tu mémorises, deux, tu exécutes mieux. Et en plus, à partir de ça, cette combinaison-là, tu vas créer des choses qui n'existaient pas dans ta tête, c'est-à-dire des idées, des concepts, des envies, de la motivation. Ça, ça n'existait pas. c'est ton cerveau qui est capable de le faire parce qu'il y a du jeu et moi évidemment premier effet miroir je suis aussi un participant de mes propres émissions j'ai mis putain mais j'adore le jeu mais dans mon business je le mets dans ma vie perso mais dans mon business j'ai eu tendance et là ça revient plus mais justement être dans l'entrepreneuriat de l'entrepreneuriat ça m'a vraiment écarté de toutes les belles choses que j'avais réussi à acquérir en tant qu'influenceur voyage parce que j'étais vraiment dans ma pure zone de génie métier passion etc et ça m'a écarté de Moi à l'instant présent ça m'a mis du stress J'ai eu la peur du manque Et quand je dis l'entrepreneuriat c'est Quand j'ai commencé à avoir ce business avec vendre des formations Avec une équipe, avec des objectifs etc Et je me suis dit mon business je mets plus de jeux Faudrait que je me dise Peu importe la façon de faire Ça peut être du jeu entre les trucs Genre hop tu fais un petit truc Après tu vas faire un petit jeu Un petit basket de bureau Des jeux de fléchettes Ou juste de... jouer, faire un truc avec quelqu'un à côté... Parce qu'ils ont même, justement dans ce fameux livre Play, je mettrai le lien dans la description, ils ont prouvé que les gens qui sont en réunion, qui font des pauses au bout d'une demi-heure, pour faire une petite pause un peu légère, jeu, discussion, on rigole, on machin, créer de la légèreté, ben doubler voire tripler les résultats de la réunion de ce qu'il en ressortait en fait. Parce que encore une fois, t'apaises le stress, t'enlèves le stress, tu crées du... de l'espace, du jeu, tu dobes ton cerveau et là, boum, il crée des idées grâce à ça. Donc pourquoi je te parle de ça, c'est parce que, est-ce que toi, t'es tombé dans la vie d'adulte et d'autant plus dans ta vie pro, dans un truc très sérieux ? Il faut y arriver, c'est important, c'est grave. Oui, j'ai une mission, oui j'adore ce que je fais, mais attention, mais machin. Où est-ce que justement, t'arrives à comprendre qu'en fait, le next level de l'éveil... de l'épanouissement et de la conscience, c'est d'arriver à faire des choses importantes avec de la légèreté, avec du jeu, avec de l'amusement. Parce qu'en fait, ceux que tu vois justement, que souvent t'admires, t'as l'impression que c'est des gens qui sont là, qui sont bien, qui sont légers, qui sont bien dans leur peau, et tu sais, ils ont l'air de s'amuser justement. Un sportif qui a l'air d'être dans le flow, il est là, il fait des trucs, t'as l'impression du mec, waouh ! Un artiste, pareil. Et en fait, quand quelqu'un, et limite ça t'agace quand tu vois quelqu'un aussi qui dans le boulot fait un truc, tac, tac, tac, tac, il s'est amusé, il a fait ça en trois secondes, c'est putain mais vas-y fais chier là. Parce que justement lui il a trouvé ça en fait. Il a trouvé ce, qu'en fait on te manque, on te fait à l'opposé de ce qui va te rendre bien meilleur, bien plus heureux et beaucoup plus reposé. Et c'est le jeu en fait. On est des mammifères et c'est une partie intégrante de notre apprentissage, de notre bien-être. et de s'améliorer en fait et surtout encore une fois du partage, de connexion. On connecte beaucoup plus, tu le vois. T'es dans une soirée, bon voilà, ça discute, il y a un jeu, tout à coup il y a des connexions qui se font, qui sont belles, qui sont simples et beaucoup plus pures. Donc ouais, je te le demande. Est-ce que tu mets du jeu dans ta vie perso et pro ou est-ce que t'es quelqu'un de sérieux et de chiant en fait ? Alors le prochain sujet, c'est un sujet beaucoup plus pratico-pratique et terre-à-terre. J'étais à l'immersion et j'allais guider un cercle d'hommes, comme je fais à chaque fois dans mes immersions, où là on est là vraiment pour parler des émotions, pour le partager sans masque, sans être coaché, sans être jugé ou en compétition avec les autres. Ça arrive, ce qui n'arrive jamais entre hommes, si tu ne crées pas cet espace de façon un peu plus artificielle. Et j'arrive pour, comme d'habitude, encadrer, avoir des questions que j'aime bien, des ateliers que j'aime bien faire durant le cercle d'hommes. J'ai cherché mon carnet dans lequel j'ai toutes mes petites notes, à travers tous les cercles d'hommes que j'ai pu faire, que j'ai peaufinés, etc. Et là, je me perçois que je tourne les pages. de façon de plus en plus rapide, vers l'avant, vers l'arrière, de plus en plus rapide et stressée. Je ne trouve pas les questions que j'utilise d'habitude. Où sont les pages et tous les trucs que j'ai recensés qui sont importants pour guider mes circuits ? Ah, d'accord. Oh là, attends, je continue. Je suis en train de m'apercevoir à littéralement neuf minutes du démarrage de l'atelier que ce n'est pas le bon carnet et que j'avais deux carnets et que c'est dans l'autre. Eh oui ! qui est au Portugal. Voilà. Et là, je suis un peu en panique, parce qu'en plus, c'est un peu juste avant de monter sur scène. T'as l'espèce de blanc. Tu connais ton texte, mais t'es un... Attends, merde, c'était quoi ? Qu'est-ce que je... OK, donc... Et voilà. Donc évidemment, j'ai réussi à me poser, à retrouver les questions sur le premier atelier. Du coup, le suivant, le jour d'après, j'ai dû recreuser un petit peu dans ma mémoire et des trucs que j'avais pu noter un peu ailleurs. pour arriver à faire un Cercle GOM qui a été vraiment incroyable. Mais pourquoi je te dis ça ? Parce que c'est nul. C'est nul de se dire, en 2025, où on peut être cloné sur Internet et la technologie est incroyable, et pas être foutu de mettre ces outils sur des bases de données que tu peux retrouver facilement. Parce qu'en gros, je suis quand même quelqu'un qui aime mettre les choses sur le carnet, ça m'apaise. J'avais vu ça justement sur... Sur une vidéo d'un scientifique spécialisé sur les TDAH, il disait que vous devriez vivre avec un carnet à côté de vous pour déposer. Et pas le téléphone, parce que le problème c'est que le téléphone, on ne dépose pas, ça stimule. Donc c'est encore pire. Là, le carnet, je le fais beaucoup, de déposer des idées, des choses, des trucs comme ça. Et évidemment, pendant les cercles d'hommes, en plus, on n'est pas sur le téléphone, donc on est sur des carnets. Mais j'ai eu la mauvaise idée, et du coup, j'ai plutôt pas eu l'idée, de tout reporter en fait. dans une base de données, surtout que moi j'utilise beaucoup Notion, la base de données, en gros, outils, immersion, et d'avoir tous les ateliers avec mes petites questions qui sont prêtes, par thématique, etc. Donc, j'aurais eu ça, peu importe, j'aurais perdu mon téléphone, mon ordi, etc. J'aurais pu me reconnecter et le retrouver partout dans le monde sur n'importe quel device, et c'est vers ça qu'il faut aller. Et vraiment, c'est un petit partage, un petit partage de galère. Mais surtout de prise de conscience, de me dire, chaque chose importante doit être dans une base. Alors, base de données, pour moi, c'est un mot qui me donne un peu la gerbe et la chair de poule. Mais depuis que j'utilise Notion, je me suis réconcilié avec ça. Une base de données, c'est juste une ligne avec une info, où sur la même ligne, tu peux attribuer plusieurs infos. Tu vois, la date, la thématique, plein de choses comme ça. Un prix, un truc, un machin, bref, une durée. C'est juste finalement, à une info, tu vas coller plein d'étiquettes, et grâce à ces étiquettes, tu vas pouvoir classer. ranger et retrouver et organiser plus facilement cette info là. C'est juste ça en fait, une base de données. Et du coup, quand tu fais un tableau en mode base de données avec une ligne, avec chaque question ou truc, ou alors cercle d'hommes ou truc, tous ces ateliers, bah en fait c'est simple. Et je l'ai pas fait et je me suis dit que là vraiment, il va falloir que je remette mon nez dans mon Notion pour vraiment avoir en fait un espace où je regroupe toutes mes bases de données et elles sont accessibles ici et que, et terminées en fait. Et dès que je fais quelque chose que j'apprends, qui est important, je le back-up à un endroit qui est sacré et je sais où c'est. On appelle ça beaucoup le deuxième cerveau, mais le deuxième cerveau ça a tendance à devenir une architecture assez complexe, de ramifications, de plein de trucs. Là je pense que c'est vraiment, si je peux te donner le type, c'est que tu crées un espace dans Notion qui est, surtout si tu l'utilises, où tu vas mettre en fait la racine, vraiment la base, tes bases de données, tu vas les ranger là par thème, et ensuite partout sur tes pages, ce que tu peux faire sur Notion, c'est que tu peux faire une vue liée, c'est-à-dire que tu peux faire apparaître finalement cette base de données là, c'est qu'un aperçu de cette base de données dans une autre page, c'est-à-dire qu'elle est hébergée au même endroit, toutes les bases de données sont au même endroit par thème, et après en fonction de comment tu as besoin, tu peux les faire apparaître sur telle ou telle page. Ça c'est sur Notion, mais le mot que je veux dire c'est, si tu as un truc important, le laisse pas en local, le laisse pas sur ton ordi, le laisse pas sur un morceau de feuille qui peut disparaître, etc. Parce que si ça plante, t'es dans la merde. Alors que l'avantage de le filer à Big Brother, c'est qu'il connaît déjà toute ta life, mais qu'au moins, si tu perds ta life, lui pourra te la retrouver. Donc ouais, check, fais un petit tour sur tous tes documents et savoir si les choses les plus importantes sont en ligne, assurées, backuppées et surtout trouvables. Parce que moi je suis très bon, j'y ai arrangé les trucs tellement bien que j'ai bien pu les retrouver. Parce que ça peut te sauver la mise au moment voulu. Maintenant on va parler exploration. exploration d'un nouveau monde que je ne connais pas encore sur Terre. C'est, je dirais, les... les high achievers, les riches, ceux qui ont vraiment réussi, on va dire, dans la partie financière ou professionnelle, mais du coup, souvent, le professionnel a amené beaucoup d'argent. Et finalement, c'est un univers que j'ai beaucoup, le mot ne me vient pas, mais j'ai beaucoup d'animosité envers cette sphère de vie, cet univers-là, parce que je me traîne encore un peu ce côté fils d'ouvrier, pour avoir fait plusieurs fois l'atelier Abondance. Toujours ça qui revient, en gros. Les riches, c'est les méchants. Si on est pauvre, c'est un peu parce que les riches ne nous donnent pas d'argent. C'est aussi, genre, si je deviens riche, je vais devenir con, aigri et voleur. Un peu ça qui revient, je te la fais ultra simple. Et du coup, forcément, j'ai beaucoup d'a priori que, bizarrement, j'avais pas en allant chez les papous. Je me suis pas dit, ah, ils vont manger, ces gars, ils sont sales, ils dorment sur de la paille, c'est dégueu. Enfin, genre, ils ont pas d'électricité, c'est des arriérés, ils sont teubés. Non. Je suis allé, j'ai pris tel qu'ils étaient, et j'ai exploré ce monde-là. Pareil pour l'univers du salariat, l'univers des créateurs de contenu, tous les différents univers que j'ai à peu près tous explorés de près ou de loin à travers le monde, à travers les couches sociales, à travers les ethnies que j'ai pu découvrir pendant mes 15 dernières années de voyage. Et bizarrement, je n'ai pas cette ouverture d'esprit-là sur le monde des riches. Je vais le simplifier comme ça. Et en fait, c'est un univers que, vu que pour moi, la liberté ultime, c'est vraiment être capable d'aller partout et de se sentir bien partout et de voir les choses comme un univers à découvrir. Et après, évidemment, il y a des préférences, mais je me suis dit que c'est vraiment un monde que je me suis interdit. Que je me suis dit que déjà, j'ai un peu de la... Ouais, je les aime pas les riches, tu vois, dans l'idée. Tu vois, c'est les riches, quoi. Salauds de riches. On dit les salauds de pauvres, mais les salauds de riches, tu vois. Et je trouve ça nul. Parce qu'en fait... C'est pas que je veux devenir riche ou être pote avec ces gens-là. Je veux avoir la capacité et l'ouverture d'esprit de me dire je veux aller découvrir cet univers et prendre autant de plaisir dans la découverte que j'ai pu le faire au fin fond de la jungle amazonienne, au fin fond de mon bureau sur mon open space, où c'était aussi une superbe expérience de vie. Ça ne me correspond pas du tout, mais je l'ai découvert. Et pendant plusieurs années. Et pendant l'immersion, c'était vraiment ça. Un de mes out-sites, c'était vraiment de dire comment je fais pour créer des immersions où je réunis justement des high achievers, des top profils. des CEO, des gens vraiment parce que je sais que c'est peut-être pas la partie business évidemment sur laquelle ils vont ressortir le plus même si justement on crée des hot-sites et donc des synergies, des cerveaux collectifs et tu réunis des cerveaux qui sont à peu près au même niveau de vie, au même niveau d'avancement professionnel, bah ça fait des popcorns, enfin franchement c'est toujours incroyable les échanges, donc si tu mets les mecs qui sont au même niveau, ils vont forcément s'apporter mais je sais que ces gens là ils sont souvent un peu un peu fucked up, tu vois c'est les pires c'est ceux qui à l'intérieur, en fait ils ont Ouais. Ils ont éteint leurs émotions et leurs ressentis pour juste être en mode guerrier tunnel et tout arracher en termes business. Et c'est OK. C'est OK. Justement, j'aimerais leur faire découvrir aussi autre chose. Savoir voyager un petit peu à l'intérieur d'eux-mêmes. Et je me suis aperçu de ça, c'est de me dire, merde, pourquoi je te parle de ça ? C'est parce que je me suis dit, je me mets des barrières. Genre, il n'y a aucun riche qui a été méchant avec moi ou qui m'a refusé l'entrée. où tu vois, j'ai beaucoup plus du 2 vu que je ne les vois pas, vu des gens de la vie de tous les jours que j'ai trouvé cons et chiants et pourtant je m'interdis de fréquenter ce milieu là, d'aller dans ce milieu là de vivre, de m'autoriser à alors que je peux avoir le budget, d'aller dans des très beaux hôtels me payer une première classe ou des choses comme ça, je ne le fais pas et je me suis dit wow vu que j'ai envie, parce que ça faisait aussi la stratégie business vu que j'ai envie de faire découvrir mes immersions à des top profils parce que intellectuellement aussi ça m'intéresse parce que c'est des gens qui ont craqué des codes sur leur discipline que je trouve super intéressant il est temps aussi pour moi d'aller explorer un univers sur terre que je ne connais pas et que j'ai encore une fois souvent diabolisé c'était ça le mot que je cherchais diabolisé et je pense que vu que la vie c'est un peu notre extérieur est juste la représentation de notre intérieur jusque là je voyais un peu les riches et comme des méchants ou des cons et j'en voyais aussi beaucoup Mais c'est un petit peu comme, tu vois ce que tu as envie de voir, le jour où tu as acheté une Clio rouge, putain t'as l'impression que personne n'en avait, et le jour où tu en achètes une, tu vois que des Clio rouges sur la route. Et je pense que justement mon but aujourd'hui c'est de commencer à me dire, mais en fait, attends, attends, si je me concentre bien, des mecs qui sont blindés, et qui sont des gars chambés, et qui ont réussi parce qu'ils ont fait des trucs géniaux, et qui sont généreux, j'en connais en fait, j'en connais. et puis en fait les riches ça peut être aussi des gens très généreux très smart, très cool Et du coup, c'est aussi cet univers-là que je veux découvrir. Et bref, pourquoi je te dis ça ? Parce que je me dis, on s'interdit souvent de... d'explorer des univers, des métiers, des projets, se donner la chance de contacter des gens parce qu'on n'est pas assez, parce qu'on n'est pas assez bon, on a peur de déplaire, on jalouse aussi la personne, et du coup, ça crée un mauvais truc, plutôt que d'être simplement dans un état d'esprit d'ouverture, d'exploration, comme on le fait dans le voyage. comme on le fait dans d'autres cultures. Mais vu que là, il y a un enjeu un peu personnel, business, je le vois en fait. Je me crie, j'ai tout ce que je n'ai pas dans ma vie de tous les jours, c'est-à-dire des a priori, des jugements, et je mets les gens dans des petites cases débiles. Donc, je te partage ça parce que justement, demande-toi ce que tu as besoin, vers ce vers quoi tu as besoin ou envie d'aller, mais inconsciemment, tu l'as mis dans une case. Une case de quelque chose qui... c'est pas pour toi, c'est trop grand, t'es pas assez bon, t'es pas assez bonne, c'est trop cher, c'est ceci. Comment tu fais pour enlever toutes ces étiquettes, l'enlever de ces cases, puis juste y aller, puis voir, puis expérimenter les choses ? Parce que moi, c'est ce que j'ai envie de faire. J'ai envie de me dire, et c'était des challenges qu'on m'a mis, c'est aller dans un hôtel de luxe, comprendre. Parce qu'en fait, si je veux potentiellement faire venir des CEOs, des gens qui ont vraiment réussi, des top achievers sur mes immersions, il faut déjà que je comprenne cet univers. d'une façon que je comprends un ouvrier, je comprends un cadre dans un open space, je comprends un mec qui est dans une tribu dans la jungle parce que je l'ai vécu, moi même j'ai vécu ça en fait je peux pas parce que j'ai jamais vécu, j'ai jamais pris la première classe, jamais été dans des hôtels vraiment de luxe tu vois où je me suis moi même payé les choses et des fois j'étais invité mais je faisais pas gaffe, mais là vraiment faire cette démarche là de comprendre de voir le et finalement d'explorer encore une fois un univers que je ne connais pas et que je diabolise et que j'aimerais gommer ça en fait. J'aimerais explorer. Je voulais te le partager parce que vraiment ça fait un shift pour moi de me dire bon bah on va aller voir les riches quoi. Mais tu vois même en te le disant j'ai encore cette... j'ai pas d'amour, j'ai pas de... on voit que j'ai plein d'étiquettes, j'ai plein d'a priori tu vois. Alors que j'ai jamais d'a priori sur toutes les autres choses que j'ai été... tu vois quand je vais en Iran tu vois j'ai dit ah c'est les russes, non. Je vais aller comme ça, je vais aller voir en Irak, quand je suis allé en Irak, je vais aller voir. J'avais pas d'a priori rien Puis bizarrement, c'est des gens incroyables, puis le pays est cool, puis ils ont leurs problèmes, puis ils ont leur stigmate, mais ouais, tu vois. Et en fait, j'ai envie de... C'est là où je trouve, je trouve ça beau l'entrepreneuriat, c'est encore une fois, je le dis tout le temps, mais c'est le meilleur outil de développement personnel, parce que ça te montre tout de suite là où sont tes pensées limitantes, là où sont tes barrières, là où sont tes plafonds de verre, là où sont tes points faibles. Et là, je l'ai vraiment mappé, identifié sur cette zone-là, cet univers dans la vie qui existe dans le monde, et j'ai plus envie d'être découvert. Encore une fois, pareil. J'ai pas envie d'être pote avec les papous, je vais pas traîner tous les jours avec mes potes papous. De la même façon, je vais pas non plus être là à vouloir traîner avec des riches, mais je vais être capable d'y aller, de prendre du plaisir, et sans jugement, et m'enrichir moi, et de le faire sans étiquette, et ouais, parce que c'est important. Donc pose-toi la question. Quel est l'univers, le projet, le thème, le challenge que tu te refuses de vivre, parce que tu l'as mis dans une boîte, et que tu le diabolises, ou que t'as peur, et que tu vas pas le cœur ouvert avec tout. toute l'ouverture d'esprit qui permettrait d'en retirer plein de bénéfices. Maintenant, je voudrais te partager une anecdote très inspirante, je trouve, une belle victoire. C'est Hervé Chevalet, qui est dans le cercle des solopreneurs, qui est un mec génial, qui est un Suisse. J'adore les Suisses. Et comme les Belges, il y a les francophones autour de nous, je les trouve vraiment charmés. Et Hervé, en fait, il est photographe, il est aussi filmmaker. Et il a lancé, en fait, il y a un an ou deux, je crois déjà. sa chaîne YouTube, Le Chardon, sur une thématique très nichée, qui est sa passion, qui est le whisky et l'Ecosse. Parce qu'il adore le whisky, il adore le whisky écossais, il adore l'Ecosse, bref, c'est quand même très niché. Et en fait, au début, il avait 27 vues. Les gens se foutaient de sa gueule aussi, parce que genre, mec, t'as 27 abonnés, 27 vues, c'est quoi ce truc ? Qu'au début, il a beau être filmmaker, photographe, se filmer soi, c'est un autre art d'être devant plutôt que derrière la caméra. Et il a fait la formation module de connaissance FASCAM Expert qu'il y a dans le cercle, auquel j'ai donné accès. Et en fait déjà, rien que là, il y a eu un jump technique, visuel incroyable. Avant, après, il a fait un poste justement sur la communauté qui était assez fou. C'était genre, tu es dans ta chambre tout moche, limite à, wow, tu es dans un studio. Alors que c'est quasiment le même endroit, sauf qu'il a appliqué toutes les techniques de filmmaker que j'ai mis dans le... dans le module de connaissance FASCAM Expert, il est présent sur le cercle, et ça lui a donné confiance, ça lui a donné goût, il s'est dit, putain, le résultat est plus joli, il y a un peu plus de vues, et puis il a commencé aussi à se dire tiens parce que c'est quelque chose que je pousse beaucoup, il a commencé à miser sur cette chaîne. Donc ça veut dire quoi ? Il a dit, je délègue le montage, parce que le montage, à côté de ça, je ne peux pas faire mes missions qui me permettent de gagner de l'argent, donc je vais le déléguer, et puis en fait, je vais moins me concentrer sur ce qu'il y a que moi qui puisse faire, c'est-à-dire être devant la caméra, parce que le montage, encore une fois, ça se délègue. Les vignettes aussi. Voilà, j'ai vu, il a fait des super vignettes maintenant, mais j'étais là, je me suis dit, waouh, tu vois, vraiment, genre, les vignettes, classe. et pourquoi je te dis ça ? Parce que il n'a pas lâché, il s'est... connecté vraiment à cette passion encore une fois cette envie de vraiment partager cette passion du whisky et de l'écosse et moi j'ai envie de l'encourager même peut-être un jour à avoir peut-être une chaîne que je sais pas peut-être sur le whisky ou peut-être même sur toutes les destinations du monde c'est whisky et voyage peut-être un jour je te fais un petit coucou si t'écoutes Hervé c'est bien de toujours commencer dans un business niché puis une fois qu'on a de l'intérêt de commencer à ouvrir parce qu'après il y a Il y a l'Irlande, il y aura peut-être le Japon qui sont très très forts, je ne suis pas un grand connaisseur de whisky mais... Et aujourd'hui c'est bête mais il a 3000 abonnés, ses deux dernières vidéos elles ont fait 18 000 et 36 000 vues et ça, et avant c'était vraiment, il y avait 300 vues, 400 vues, et ça en fait ça lui a permis aussi d'être monétisé. En fait à Yeah, genre YouTube il a dit c'est bon t'es monétisé. Et il se dit maintenant bah je peux gagner de l'argent aussi en faisant ma passion. Il a été aussi invité à un event sur le whisky. où je disais à un, il disait mais pourquoi tu filmes, c'est pour quel média ? Mais en fait j'ai ma chaîne YouTube, et le général il dit waouh ! Et il a vu l'admiration dans les yeux des gens qui étaient justement aussi passionnés. Et je trouve que c'est une magnifique victoire parce que c'est clairement l'exemple d'une personne qui a une passion, qui veut commencer sur YouTube, mais putain il y a tellement de gens, c'est tellement compliqué, et qui a juste commencé en fait, simplement, à se filmer, à tester des choses, et le faire en toute humilité, et puis... Et puis ça marche pas, et puis c'est dur au début, tu fais 200 vues, 300 vues, et puis après tu vas faire, oh, 3000 vues. Parce qu'en fait, avec le temps, ça s'accumule. Et puis en fait, ça laisse aussi à YouTube de voir si finalement, ils poussent de temps en temps, et que les gens, ils aiment bien, et puis pour voir si t'as une chaîne qui poste régulièrement, parce que YouTube, il pousse pas les gens qui arrivent sur une chaîne, enfin une vidéo est terminée, tu vois. Donc, surtout si c'est une chaîne récente. Et en fait, ça, ça a commencé à augmenter. 5000 vues. 14 000 vues et franchement je voudrais lui tirer mon chapeau parce que pour moi c'est le bel exemple de quelqu'un qui est resté connecté à ça qui n'a pas lâché l'affaire qui a eu des hauts et des bas évidemment des moments de se décourager mais à chaque fois boum il est reparti il a réinvesti le fait d'investir sur quelque chose où tu ne sais pas ce que tu peux avoir à retirer je trouve ça très courageux genre d'investir de l'argent sur un truc où tu sais pas vraiment comment ni combien tu vas gagner de l'argent mais parce que c'est ta passion et parce que c'est là en fait tu sais que tu es sur le bon chemin parce qu'en fait tu sais que Tu vois, moi, quand je suis devenu influenceur voyage, il n'y avait pas moyen à l'époque de gagner de l'argent comme ça, parce que ça n'existait pas. Mais j'investissais de l'argent et du temps parce que je voulais partager, juste par passion, de partager ce que j'aime. Et tu vois, la vie trouve toujours son chemin, comme dirait la grande phrase dans Jurassic Park. Et ça a toujours été le cas des gens que j'ai vus qui se connectaient à leur passion, qui trouvaient des solutions par passion, par envie de partager, et qui lâchaient pas et qui, en fait, à fort tuent. Parce que ce qui est beau, ce qui ne se rend peut-être pas compte, c'est qu'au-delà de ça, il est aussi devenu meilleur filmmaker. C'est qu'au-delà de ça, ce n'est pas tant sa chaîne qui a monté en puissance, c'est lui, c'est son business, c'est ses skills, c'est ses opportunités. Et on ne sait jamais combien de temps un chapitre va durer dans sa vie. Moi, je sais, mes immersions, j'y vais all-in, je ne gagne pas tant d'argent que ça, mais j'y vais parce que je me dis peut-être qu'il y a un top entrepreneur avec qui je vais vraiment matcher, qui va peut-être me proposer un projet, et boum ! Et peut-être qu'un jour on montrera une boîte qui vaudra plusieurs millions, j'en sais rien, et c'est même pas mon but, mais... Je ne me l'interdis pas. Et parce que je ne sais pas... En fait, tant que tu n'as pas vécu le chapitre 2, tu ne peux pas savoir ce qui va se passer au chapitre 3. La plupart des gens, ils veulent passer du chapitre 1 au 6. « Oh, vas-y, je vais directement là où ça gagne, où j'ai toutes les armées, où j'ai fini le jeu. » Ben non, en fait. Ce n'est pas comme ça que ça se passe. Ce serait nul. Imagine, tu arrives dans la salle de cinéma, tu as les cinq premières minutes, puis tu as la fin. Ben non. là c'est pareil. Donc vraiment, apprécie le process, lâche pas l'affaire et monte une chaîne entre guillemets Youtube comme Hervé parce que, et je mettrais le lien de sa chaîne qui s'appelle Le Chardon dans la description pour que tu ailles voir, pour que ça t'inspire, pour que tu vois qu'on n'a pas besoin d'être tu vois Mister Beast pour faire des vidéos Youtube et qu'au contraire les gens ils ont envie de simplicité, d'honnêteté, de transparence et d'authenticité et c'est tout ce qu'il a fait et je le félicite et j'espère vraiment ça va te donner une bonne dose pour te dire putain mais moi aussi il faut que j'arrête de reporter ce projet que j'ose pas faire, que je trouve nul, que du coup je l'autoflagelle le truc plutôt que le dire waouh c'est mon petit bébé Et c'est comme ma poterie que j'essaie de faire monter, qu'au début c'est un vieux tas de glaise, et à la fin j'ai une super poterie de ouf dont je suis trop fier. Donc fonce, vraiment. et maintenant pour finir ce journal de bord le petit fun fact, très simple Très simple, mais j'adore. En gros, depuis que je suis à Bali, à la base, j'avais voulu louer mon scoot, qui s'appelle, c'est un modèle N-Max, qu'il y a beaucoup à Bali, un peu puissant, mais c'est pas le plus gros, mais c'est celui que j'aime bien avoir et tout. Et la personne chez qui je le loue, elle me dit, ah, qui fait toujours des très bons prix, elle me dit, ah, en gros, bah désolé, j'ai pas ce modèle-là, je l'ai que dans deux semaines. Je dis, ah, vas-y, c'est pas grave, je vais redescendre sur le Vario, le modèle en dessous. Je... Voilà, comme ça, c'est bon. Sauf que je prends le truc et j'ai l'impression de retourner sur une mobilette. Genre vraiment. Et puis quand t'es à deux dessus, surtout que je passe pas mal de temps avec Camille Imbert, avec mon associé qui est à Bali, et en fait, dessus à deux, t'as l'impression que le truc va... Enfin voilà, pas confort quoi. Je me suis dit, et j'en parle à mon pote Sam, le fameux pote avec qui j'ai passé aussi un mois en coloc il y a un mois et demi, deux mois, et il me dit mais... « Mais man, pourquoi tu prends pas mon scoot ? Je suis pas là. Prends-le, je l'ai laissé chez un pote. » Et là, je fais « Ah bah ouais, mais grave, avec plaisir. » Et du coup, je rends le petit scoot, le fameux Vario, je vais prendre son scoot. Et tu vois, j'ai traîné avec lui, j'ai toujours été dessus pendant un mois, un mois et demi, parce qu'on prenait souvent un seul scoot au lieu d'en prendre deux. Et j'avais pas vu à quel point son scoot, il est déglingué, tu vois. Genre, tu sais, ça m'étonne même pas. Il a mis un cover sur le truc, il a même mis sa plaque, le gars est trop fort Genre il a mis ses initiales SK, il a acheté la plaque avec ses initiales dessus. Et avec 5555 pour avoir un lucky number chinois. Tu vois apparemment un truc chinois c'est un super lucky number. Donc très bien. Mais sauf que le truc il a des égratignures de partout, il a dû le faire tomber, j'en sais rien. Ça fait un peu maintenant tu sais la vieille Clio Thuné, la Ford Fiesta Thuné de Lille. Salut les Lillois. Tu sais, genre Guigui Tuning avec un désirable, c'est plus fou, tu vois, le résultat est plus dingue. Et à chaque fois que je le prends, je me dis « Putain, il est vraiment défoncé ce truc, c'est vraiment la... Il tourne le machin, mais... » Et ça fait plusieurs fois que je me disais, en fait, en échange du fait qu'ils me le prêtent, je lui ai dit « Je te ferai faire les niveaux, je l'emmènerai au garage, etc. » Et après, je me suis dit « En vrai, tant qu'à mettre 100-150 balles dans la location que j'ai « économisée » , autant les mettre et que ça puisse aider mon pote, tu vois, plutôt qu'essayer de les économiser. Et j'ai dit, putain, il faudrait peut-être que je le fasse, je sais pas, nettoyer ou enlever le truc, refaire faire un cover, mais j'avais entendu que ça coûtait 300 bahts, je me suis dit, bon, peut-être flemme un peu là, tu vois. Je rentre de l'immersion, en face de ma gesta, littéralement en face, vraiment. Il y a trois mecs qui bossent sur un scoot, je vois, et puis je vois qu'en fait, ils font un covering d'un scoot. Je m'arrête Je dis les gars Vous faites ça pour vous ? Est-ce que c'est possible de demander pour mon scoot ? Je dis pour quel scouts ? Je suis là et il me fait Oula, tu sais genre il dit Parce que vu qu'il y a des égratignures quand tu fais un covering Et que là tu sais le truc en plastique Il y a des éraflures, c'est pas lisse tu vois Donc en fait il dis Faut que je retire toute cette merde Potentiellement que je lisse un peu Les égratignures, faut que je remette Je dis tu peux pas faire Il me fait je sais combien Et en gros il me dit bah c'est 500 000 Donc 500 000 ça fait genre 30 balles Pour enlever tout le truc et 1,3 millions pour... Donc ça doit faire 80 euros pour tout le covering. Et là, je me suis dit, vas-y banco. Ce n'est pas les prix que j'avais entendus, donc je me suis dit, vas-y banco. Et du coup, je me suis dit, c'est fou. En fait, quand tu es bien, quand tu es dans ta zone, et je ne sais plus pourquoi, parce que j'y pensais à ce truc-là sur le trajet retour, parce que j'avais fait l'immersion à Ouboud, je regardais le scout, et puis j'y pensais en fait. Je pensais, il faudrait vraiment que je fasse ça pour ça, mais tout ça me ferait plaisir, tu vois, etc. J'arrive, et encore une fois, quand t'as vraiment envie de quelque chose, un truc aussi anodin, genre paf ! Non seulement c'est 2-3 fois moins cher que j'avais entendu, le truc est en face de chez moi, du coup j'ai repris son Insta, on a renégocié le truc, en plus je l'ai eu à un petit prix sympa, le gars il va arriver enfin. Et du coup je vais refaire le covering du scout de mon pote Sam, évidemment il s'en fout, je le dis là mais ça lui fera la surprise, Sam il n'écoute pas mon podcast. Et je lui enverrai la petite photo surprise, parce que j'ai dit, on va enlever le côté tuning, on va remettre un petit truc classe pour que ça lui aille. et je me suis dit encore une fois, wow, le pouvoir de l'intention et de la manifestation, il faut vraiment que je me concentre plus, parce que c'est sympa d'avoir des petits trucs aussi légers, mais autant amener des choses incroyables, parce que je pense que ça fonctionne de la même façon. Je te fais des gros bisous, je te dis à la semaine prochaine, et j'espère que ton journal de bord t'a plu, et j'espère que le retour du format long t'a fait kiffer. Bisous.

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