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SATORI

Tu cogites beaucoup ? c'est que t'as peur !

Tu cogites beaucoup ? c'est que t'as peur !

12min |15/04/2025
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Tu cogites beaucoup ? c'est que t'as peur !

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12min |15/04/2025
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Transcription

  • Speaker #0

    Ah les vacances, c'était un concept que j'avais un peu laissé de côté depuis beaucoup trop longtemps. Je ne me souviens pas la dernière fois que j'ai pris des vacances, tu sais où tu vas quelque part et puis tu fais rien. Tu recharges les batteries, personne ne peut te joindre, toi tu cherches à joindre personne, tu es juste en train de profiter. C'est ce que je viens de faire pendant une semaine sur la petite île de Gili Hassan au sud de Lombok. Et wow, franchement c'est un bon concept. Les mecs qui ont inventé les vacances de base, en plus des week-ends, je trouve ça plutôt logique. Et je te ferai un petit feedback sur ce sujet. D'ailleurs, sur mon journal de bord, j'ai décidé, au lieu de faire un long journal de bord une fois par semaine, de diviser, vu qu'il y a plusieurs thèmes à chaque fois dans mon journal de bord, de publier un thème par jour de la semaine. thèmes par jour que j'ai à disposition. Pourquoi ? Parce que je me suis dit que c'est beaucoup plus simple de consommer le contenu, que c'est peut-être ton rendez-vous quotidien, que de toute façon c'est peut-être plus simple de savoir où t'en es si tu t'arrêtes et il y a peut-être aussi des thèmes que t'auras pas envie d'écouter. Bref, j'ai découpé ça par jour mais je vais quand même te dire ce qui va se passer quand même dans les thèmes qui vont être abordés cette semaine. Le premier c'est si toujours en train de cogiter, c'est certainement que tu es un peureux ou une peureuse dans ta vie. Et je t'expliquerai pourquoi et je t'expliquerai un peu comment y remédier. Ensuite, dans les jours qui vont suivre, je te parlerai d'un module de connaissances sur comment définir et trouver son client idéal, qui est un peu la quête de toute personne qui a un business et qui est un peu sérieux et que c'est un vrai casse-tête. J'ai fait un module de connaissances sur le sujet, sur le cercle des solopreneurs. Je te donnerai un maximum de... de valeur gratuitement sur ce podcast. Ensuite, je voudrais parler d'estime de soi et de comment l'augmenter et de comment arriver à jauger notre estime de soi de façon juste, parce qu'on est souvent en train de soit s'autoflageller, soit certains un peu trop se pumper. Je te parlerai aussi de dépassement de soi et de finalement comment arriver à se dépasser, arriver à atteindre un objectif qui te paraît trop grand. trop loin et je te donnerai des techniques parce que suite à une anecdote qui m'est arrivée pendant mes vacances et ça a été très beau ce qui m'est arrivé grâce à ça. J'aborderai aussi le thème de si tu cherches une réponse à une question depuis très longtemps et que tu n'arrives pas à trouver de réponse, je te donnerai quelques techniques que j'ai appliquées cette semaine pendant mes vacances qui devraient t'aider et ensuite je te parlerai de, je terminerai cette semaine aussi sur les thèmes de quand tu as un challenge, il y a une personne qui a du cercle des solopreneurs qui avait un challenge de faire rentrer 200 inscrits sur un mastermind un masterclass qu'elle allait faire en ligne et elle a réussi, je te donnerai sa stratégie et dernière chose de cette semaine aussi que j'aborderai dans les différents podcasts ce sera comment exécuter rapidement, facilement et à moindre prix n'importe quel projet et idée et de pouvoir tout de suite les mettre en place j'ai encore mis en place un projet en l'espace de un ou deux jours avec des potes entrepreneurs et voilà je voulais te partager ma façon de faire et mes process maintenant pour aborder le sujet du jour c'est si t'es quelqu'un qui cogite qui réfléchit beaucoup qui est toujours en train de penser à l'avenir de ce qu'il a fait dans le passé de demander si ça va le faire si tu cogites en gros ben t'es un peureux ou t'es une peureuse pourquoi parce que je me suis aperçu justement pendant ces vacances que J'étais vachement dans l'instant présent, que j'étais vachement ancré, en train de m'émerveiller de toutes les petites choses que je faisais, et que, clairement, ça m'était complètement égal de ce qui pouvait se passer ailleurs dans le monde, dans mon business, dans ma famille, entre mes amis, peu importe. Et je me suis dit, mais qu'est-ce qui se fait que justement... Là, tout de suite, je me sens ancré. Est-ce que c'est parce que je suis relaxé, parce que je suis détendu, est-ce que c'est parce que je n'ai plus de stress ? Mais en vrai, ce n'était pas du tout ça. C'est parce que tout à coup, j'avais eu le courage de me dire que ça n'a pas d'importance. Je n'ai pas peur de louper quelque chose. Je n'ai pas peur de mal faire. Je n'ai pas peur que ce n'est pas ici et maintenant que je devrais être ou je devrais faire quelque chose. Et je me suis aperçu qu'à chaque fois que j'étais... ces derniers mois, ces quelques dernières années, où j'étais beaucoup dans la cogitation, dans ma tête. Chose que je n'ai jamais vraiment été dans ma vie. Je dirais jusqu'à mes 37 ans, je n'ai jamais vraiment... Trop cogité, analysé, réfléchi. Moi, ça a toujours été, je le sens bien, j'y vais. J'en ai envie, j'y vais. Je n'aime pas, je ne le sens pas, je n'y vais pas. Terminé. Et puis, j'en parlais avec une coach. Je lui ai dit, je pense que l'entrepreneuriat, bizarrement, m'a fait sortir de cet état d'un instant présent, de me faire confiance, de faire confiance et d'être dans le courage de ressentir ce que je veux et de le faire avec mes tripes sans avoir peur. de mal faire, de ne pas être assez, de ne pas atteindre mes objectifs. Et que l'entrepreneuriat m'a obligé à me projeter en fait. Parce qu'il faut faire des plans, parce qu'il faut gérer des équipes, parce qu'il faut des process. Et j'étais toujours en train de me projeter dans le futur, projeter dans est-ce que c'est d'analyse aussi dans le passé, de rétrospective, est-ce que c'est bien fait, comment on peut faire mieux, etc. Et finalement, je me suis aperçu que ça m'a vraiment en fait rendu peureux. Et quand je dis peureux, c'est-à-dire que... Je ne me posais pas des questions, j'avais vraiment des doutes. Tu sais, le doute finalement, c'est... J'ai une différence pour moi entre la question positive, qui va être de la curiosité, qui va te demander ou tu vas dire, comment je peux faire mieux ? Il y a un côté dans la curiosité qui est beaucoup plus ancré dans le maintenant. Je peux faire. Tiens, mais tu réfléchis, mais tu réfléchis dans l'instant. Tu es vraiment dans cet instant où tu vas... Tu vas vouloir créer quelque chose de beau. Et inversement, quand tu vas être dans la peur et dans le doute, c'est que tu te questionnes en te demandant est-ce que ça va le faire ? Donc en imaginant, en ayant peur que le scénario positif n'arrive pas. Et je me suis dit mais en fait, quand tu es dans l'instant présent, c'est que tu as le courage en fait de dire ok, le reste c'est pour le moment pas important. Le reste, je m'en fiche. J'ai décidé que tout de suite maintenant. C'est ça que je suis en train de faire, et peu importe qui m'envoie un message, peu importe ce qui se passe dans le monde, si j'ai des trucs à faire, si j'ai des tâches urgentes, peu importe. Si j'ai décidé que là je fais une pause au bord de la piscine, je le fais. Si j'ai décidé d'enregistrer des vidéos, je le fais. Et je suis à fond là-dedans, sans regarder mon téléphone, sans me dire « attends, j'ai oublié ceci » , sans cogiter ailleurs, parce qu'il n'y a rien de plus important dans ma vie à ce moment-là. Parce que j'ai eu le courage de me dire « je l'ai choisi » . c'est ça, point barre, on verra après et quand je reviens sur un truc beaucoup plus léger qui est aussi l'instant présent dans les vacances quand t'es là, que je regardais les plantes, les fleurs, quand j'étais en train de faire de l'apnée, que je regardais les coraux, les poissons j'étais pas en train de me dire mince putain il va falloir que j'envoie un mail à un tel il va falloir que après quand je rentre je mette telle stratégie pour faire rentrer plus de personnes dans le cercle, après je fasse de l'acquisition après j'oublie Il faudrait que je fasse l'immersion, que je prépare le programme. Je me suis dit, mais en fait, quand je suis comme ça, je suis dans la peur. Je suis un trouillard. J'ai peur que ça ne se passe pas bien. Je suis en train d'imaginer ce qui ne va pas. Quand je suis dans le courage, je suis dans l'instant présent. Je suis dans, ok, je réfléchis tout de suite maintenant. Je fais un choix et j'applique. Je peux faire plusieurs choix qui vont... s'opérer sur différents jours, semaines, heures futurs, mais OK, quand je fais un truc, je le fais maintenant. Et quand l'heure future arrive, je me dis, est-ce que c'est toujours la bonne décision ? Oui, non, on kick, on garde, on applique. Et c'est vraiment ça que je me suis dit, je me suis dit, waouh, mais en fait, quand je doute, quand je cogite, je suis juste un gros peureux en fait. Parce que si je n'ai pas peur, je m'en fous en fait du reste. Ce que je suis en train de faire là, c'est important. Quand je suis en train d'apprendre quelque chose, et que je cogite en me disant, est-ce que ça va vraiment me servir ? Est-ce que j'ai bien compris ? Est-ce que je vais réussir à l'appliquer ? Est-ce que ça va marcher la méthode ? Je suis dans la peur, je suis un gros peureux. Je ne suis pas vraiment dans l'instant en fait. Par contre, quand je suis courageux, je suis en train de lire quelque chose. Je lisais des choses justement sur le coaching, sur la dépolarisation, sur des choses intéressantes. J'ai quand même lu quelques petits supports pendant mes vacances, mais c'était vraiment léger sans mettre l'impression. Et justement, quand j'étais là, j'étais en mode, c'est super intéressant. Et ça me servira tant mieux, ça ne me dira pas tant pis. Là, j'ai envie de l'apprendre. Et je connecterai les points un jour où peut-être que ça fera du sens. Et que quand je suis en train de me reposer... En fait, je suis en train de me reposer, je ne suis pas en train de me demander si le travail s'accumule, si les mails sont en train de s'entasser dans ma boîte mail ou dans mes messages privés. J'ai le courage de me dire, en fait, ça m'est égal. En fait, ce n'est pas important. Et ça me faisait à chaque fois des flashbacks dans mon esprit de me dire, quand j'ai eu ces clics-là, je me suis dit, wow, ok. Tous ces moments dans ma vie où en fait j'étais bien, j'étais dans l'instant présent. C'est que j'étais vraiment en fait sans aucune peur. Je n'avais pas peur. J'étais dans le flow, j'étais dans la curiosité, j'étais dans la découverte, j'étais dans le faire, j'étais dans l'action. J'étais dans vraiment le courage. Mais pas le courage d'être là, d'aller contre une peur et inconsciemment si. C'est juste qu'au lieu de me battre contre une peur, je me focalise sur ce qui est bien, sur mon courage, sur ma curiosité, sur ce que je fais, sur mon choix. Et surtout, je suis en train de me dire, le reste je m'en fous. J'ai le courage de dire je m'en fous. Parce que c'est beaucoup plus dur de dire j'ai pris cette décision, je le fais. Tant pis, ce sera un échec, mais du coup ça veut dire un échec. J'ai peut-être appris une leçon, ce sera une victoire. Tant mieux, j'avance d'un pas, mais je ne suis pas à l'abri de refaire d'autres échecs. Mais ça c'est du courage en fait. C'est ça qui fait du bien dans la vie. Quand on est content de soi, quand on a du courage, quand on ne se laisse pas envahir par les peurs, par toutes ces pensées, par je devrais être ici, je devrais faire ça, on attend après si. Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis assez ? Est-ce que je vais... Oh mon Dieu, est-ce que... Et si j'y arrive pas ? Et que... Le courage en fait, ce qui est génial, c'est que ça rend heureux, même si à la fin t'y arrives pas. Parce que t'es dans la curiosité d'explorer des nouvelles choses, et c'est positif, dans la fierté d'avoir choisi quelque chose et de s'y tenir, et de le faire, sans douter, et du coup on est dans l'instant présent, et tout le reste n'est pas important. Donc si t'es quelqu'un qui cogite beaucoup, qui est toujours dans ta tête, qui est toujours en train de te projeter, bah regarde-toi dans une glace et dis-toi que t'es une grosse baltringue, un grand peureux, une grande peureuse, et que c'est ok en fait. Parce que ça a été le cas, mon cas, je me suis aperçu de ça, ces dernières années, je dis « waouh, j'étais un grand peureux, alors je me considérerais courageux et voilà, mais en fait, je me suis bouffé par des peurs, des doutes. » des choses qui fragilisaient mon esprit, ma confiance en moi, et surtout qui m'enlevaient du plus beau moment et du seul qui existe, c'est l'instant présent. Donc une fois que tu as pris conscience de ça, l'avantage c'est que tu peux faire quelque chose. Et c'est de te dire, ok en fait, est-ce que ces peurs sont fondées ? C'est quoi ces peurs ? C'est quoi les vraies choses ? Qu'est-ce qui me bouffe ? Qu'est-ce qui est vraiment important ? Est-ce que maintenant je ne peux pas décider d'être fier de moi, de prendre un choix et de m'y tenir, de faire le vide, et juste de me dire... Une chose après l'autre, point barre. Je peux t'assurer que quand je suis choisi d'être courageux et de tenir à tes choix, ça t'ancre dans un instant présent qui est enivrant et ça fait un bien fou.

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  • Speaker #0

    Ah les vacances, c'était un concept que j'avais un peu laissé de côté depuis beaucoup trop longtemps. Je ne me souviens pas la dernière fois que j'ai pris des vacances, tu sais où tu vas quelque part et puis tu fais rien. Tu recharges les batteries, personne ne peut te joindre, toi tu cherches à joindre personne, tu es juste en train de profiter. C'est ce que je viens de faire pendant une semaine sur la petite île de Gili Hassan au sud de Lombok. Et wow, franchement c'est un bon concept. Les mecs qui ont inventé les vacances de base, en plus des week-ends, je trouve ça plutôt logique. Et je te ferai un petit feedback sur ce sujet. D'ailleurs, sur mon journal de bord, j'ai décidé, au lieu de faire un long journal de bord une fois par semaine, de diviser, vu qu'il y a plusieurs thèmes à chaque fois dans mon journal de bord, de publier un thème par jour de la semaine. thèmes par jour que j'ai à disposition. Pourquoi ? Parce que je me suis dit que c'est beaucoup plus simple de consommer le contenu, que c'est peut-être ton rendez-vous quotidien, que de toute façon c'est peut-être plus simple de savoir où t'en es si tu t'arrêtes et il y a peut-être aussi des thèmes que t'auras pas envie d'écouter. Bref, j'ai découpé ça par jour mais je vais quand même te dire ce qui va se passer quand même dans les thèmes qui vont être abordés cette semaine. Le premier c'est si toujours en train de cogiter, c'est certainement que tu es un peureux ou une peureuse dans ta vie. Et je t'expliquerai pourquoi et je t'expliquerai un peu comment y remédier. Ensuite, dans les jours qui vont suivre, je te parlerai d'un module de connaissances sur comment définir et trouver son client idéal, qui est un peu la quête de toute personne qui a un business et qui est un peu sérieux et que c'est un vrai casse-tête. J'ai fait un module de connaissances sur le sujet, sur le cercle des solopreneurs. Je te donnerai un maximum de... de valeur gratuitement sur ce podcast. Ensuite, je voudrais parler d'estime de soi et de comment l'augmenter et de comment arriver à jauger notre estime de soi de façon juste, parce qu'on est souvent en train de soit s'autoflageller, soit certains un peu trop se pumper. Je te parlerai aussi de dépassement de soi et de finalement comment arriver à se dépasser, arriver à atteindre un objectif qui te paraît trop grand. trop loin et je te donnerai des techniques parce que suite à une anecdote qui m'est arrivée pendant mes vacances et ça a été très beau ce qui m'est arrivé grâce à ça. J'aborderai aussi le thème de si tu cherches une réponse à une question depuis très longtemps et que tu n'arrives pas à trouver de réponse, je te donnerai quelques techniques que j'ai appliquées cette semaine pendant mes vacances qui devraient t'aider et ensuite je te parlerai de, je terminerai cette semaine aussi sur les thèmes de quand tu as un challenge, il y a une personne qui a du cercle des solopreneurs qui avait un challenge de faire rentrer 200 inscrits sur un mastermind un masterclass qu'elle allait faire en ligne et elle a réussi, je te donnerai sa stratégie et dernière chose de cette semaine aussi que j'aborderai dans les différents podcasts ce sera comment exécuter rapidement, facilement et à moindre prix n'importe quel projet et idée et de pouvoir tout de suite les mettre en place j'ai encore mis en place un projet en l'espace de un ou deux jours avec des potes entrepreneurs et voilà je voulais te partager ma façon de faire et mes process maintenant pour aborder le sujet du jour c'est si t'es quelqu'un qui cogite qui réfléchit beaucoup qui est toujours en train de penser à l'avenir de ce qu'il a fait dans le passé de demander si ça va le faire si tu cogites en gros ben t'es un peureux ou t'es une peureuse pourquoi parce que je me suis aperçu justement pendant ces vacances que J'étais vachement dans l'instant présent, que j'étais vachement ancré, en train de m'émerveiller de toutes les petites choses que je faisais, et que, clairement, ça m'était complètement égal de ce qui pouvait se passer ailleurs dans le monde, dans mon business, dans ma famille, entre mes amis, peu importe. Et je me suis dit, mais qu'est-ce qui se fait que justement... Là, tout de suite, je me sens ancré. Est-ce que c'est parce que je suis relaxé, parce que je suis détendu, est-ce que c'est parce que je n'ai plus de stress ? Mais en vrai, ce n'était pas du tout ça. C'est parce que tout à coup, j'avais eu le courage de me dire que ça n'a pas d'importance. Je n'ai pas peur de louper quelque chose. Je n'ai pas peur de mal faire. Je n'ai pas peur que ce n'est pas ici et maintenant que je devrais être ou je devrais faire quelque chose. Et je me suis aperçu qu'à chaque fois que j'étais... ces derniers mois, ces quelques dernières années, où j'étais beaucoup dans la cogitation, dans ma tête. Chose que je n'ai jamais vraiment été dans ma vie. Je dirais jusqu'à mes 37 ans, je n'ai jamais vraiment... Trop cogité, analysé, réfléchi. Moi, ça a toujours été, je le sens bien, j'y vais. J'en ai envie, j'y vais. Je n'aime pas, je ne le sens pas, je n'y vais pas. Terminé. Et puis, j'en parlais avec une coach. Je lui ai dit, je pense que l'entrepreneuriat, bizarrement, m'a fait sortir de cet état d'un instant présent, de me faire confiance, de faire confiance et d'être dans le courage de ressentir ce que je veux et de le faire avec mes tripes sans avoir peur. de mal faire, de ne pas être assez, de ne pas atteindre mes objectifs. Et que l'entrepreneuriat m'a obligé à me projeter en fait. Parce qu'il faut faire des plans, parce qu'il faut gérer des équipes, parce qu'il faut des process. Et j'étais toujours en train de me projeter dans le futur, projeter dans est-ce que c'est d'analyse aussi dans le passé, de rétrospective, est-ce que c'est bien fait, comment on peut faire mieux, etc. Et finalement, je me suis aperçu que ça m'a vraiment en fait rendu peureux. Et quand je dis peureux, c'est-à-dire que... Je ne me posais pas des questions, j'avais vraiment des doutes. Tu sais, le doute finalement, c'est... J'ai une différence pour moi entre la question positive, qui va être de la curiosité, qui va te demander ou tu vas dire, comment je peux faire mieux ? Il y a un côté dans la curiosité qui est beaucoup plus ancré dans le maintenant. Je peux faire. Tiens, mais tu réfléchis, mais tu réfléchis dans l'instant. Tu es vraiment dans cet instant où tu vas... Tu vas vouloir créer quelque chose de beau. Et inversement, quand tu vas être dans la peur et dans le doute, c'est que tu te questionnes en te demandant est-ce que ça va le faire ? Donc en imaginant, en ayant peur que le scénario positif n'arrive pas. Et je me suis dit mais en fait, quand tu es dans l'instant présent, c'est que tu as le courage en fait de dire ok, le reste c'est pour le moment pas important. Le reste, je m'en fiche. J'ai décidé que tout de suite maintenant. C'est ça que je suis en train de faire, et peu importe qui m'envoie un message, peu importe ce qui se passe dans le monde, si j'ai des trucs à faire, si j'ai des tâches urgentes, peu importe. Si j'ai décidé que là je fais une pause au bord de la piscine, je le fais. Si j'ai décidé d'enregistrer des vidéos, je le fais. Et je suis à fond là-dedans, sans regarder mon téléphone, sans me dire « attends, j'ai oublié ceci » , sans cogiter ailleurs, parce qu'il n'y a rien de plus important dans ma vie à ce moment-là. Parce que j'ai eu le courage de me dire « je l'ai choisi » . c'est ça, point barre, on verra après et quand je reviens sur un truc beaucoup plus léger qui est aussi l'instant présent dans les vacances quand t'es là, que je regardais les plantes, les fleurs, quand j'étais en train de faire de l'apnée, que je regardais les coraux, les poissons j'étais pas en train de me dire mince putain il va falloir que j'envoie un mail à un tel il va falloir que après quand je rentre je mette telle stratégie pour faire rentrer plus de personnes dans le cercle, après je fasse de l'acquisition après j'oublie Il faudrait que je fasse l'immersion, que je prépare le programme. Je me suis dit, mais en fait, quand je suis comme ça, je suis dans la peur. Je suis un trouillard. J'ai peur que ça ne se passe pas bien. Je suis en train d'imaginer ce qui ne va pas. Quand je suis dans le courage, je suis dans l'instant présent. Je suis dans, ok, je réfléchis tout de suite maintenant. Je fais un choix et j'applique. Je peux faire plusieurs choix qui vont... s'opérer sur différents jours, semaines, heures futurs, mais OK, quand je fais un truc, je le fais maintenant. Et quand l'heure future arrive, je me dis, est-ce que c'est toujours la bonne décision ? Oui, non, on kick, on garde, on applique. Et c'est vraiment ça que je me suis dit, je me suis dit, waouh, mais en fait, quand je doute, quand je cogite, je suis juste un gros peureux en fait. Parce que si je n'ai pas peur, je m'en fous en fait du reste. Ce que je suis en train de faire là, c'est important. Quand je suis en train d'apprendre quelque chose, et que je cogite en me disant, est-ce que ça va vraiment me servir ? Est-ce que j'ai bien compris ? Est-ce que je vais réussir à l'appliquer ? Est-ce que ça va marcher la méthode ? Je suis dans la peur, je suis un gros peureux. Je ne suis pas vraiment dans l'instant en fait. Par contre, quand je suis courageux, je suis en train de lire quelque chose. Je lisais des choses justement sur le coaching, sur la dépolarisation, sur des choses intéressantes. J'ai quand même lu quelques petits supports pendant mes vacances, mais c'était vraiment léger sans mettre l'impression. Et justement, quand j'étais là, j'étais en mode, c'est super intéressant. Et ça me servira tant mieux, ça ne me dira pas tant pis. Là, j'ai envie de l'apprendre. Et je connecterai les points un jour où peut-être que ça fera du sens. Et que quand je suis en train de me reposer... En fait, je suis en train de me reposer, je ne suis pas en train de me demander si le travail s'accumule, si les mails sont en train de s'entasser dans ma boîte mail ou dans mes messages privés. J'ai le courage de me dire, en fait, ça m'est égal. En fait, ce n'est pas important. Et ça me faisait à chaque fois des flashbacks dans mon esprit de me dire, quand j'ai eu ces clics-là, je me suis dit, wow, ok. Tous ces moments dans ma vie où en fait j'étais bien, j'étais dans l'instant présent. C'est que j'étais vraiment en fait sans aucune peur. Je n'avais pas peur. J'étais dans le flow, j'étais dans la curiosité, j'étais dans la découverte, j'étais dans le faire, j'étais dans l'action. J'étais dans vraiment le courage. Mais pas le courage d'être là, d'aller contre une peur et inconsciemment si. C'est juste qu'au lieu de me battre contre une peur, je me focalise sur ce qui est bien, sur mon courage, sur ma curiosité, sur ce que je fais, sur mon choix. Et surtout, je suis en train de me dire, le reste je m'en fous. J'ai le courage de dire je m'en fous. Parce que c'est beaucoup plus dur de dire j'ai pris cette décision, je le fais. Tant pis, ce sera un échec, mais du coup ça veut dire un échec. J'ai peut-être appris une leçon, ce sera une victoire. Tant mieux, j'avance d'un pas, mais je ne suis pas à l'abri de refaire d'autres échecs. Mais ça c'est du courage en fait. C'est ça qui fait du bien dans la vie. Quand on est content de soi, quand on a du courage, quand on ne se laisse pas envahir par les peurs, par toutes ces pensées, par je devrais être ici, je devrais faire ça, on attend après si. Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis assez ? Est-ce que je vais... Oh mon Dieu, est-ce que... Et si j'y arrive pas ? Et que... Le courage en fait, ce qui est génial, c'est que ça rend heureux, même si à la fin t'y arrives pas. Parce que t'es dans la curiosité d'explorer des nouvelles choses, et c'est positif, dans la fierté d'avoir choisi quelque chose et de s'y tenir, et de le faire, sans douter, et du coup on est dans l'instant présent, et tout le reste n'est pas important. Donc si t'es quelqu'un qui cogite beaucoup, qui est toujours dans ta tête, qui est toujours en train de te projeter, bah regarde-toi dans une glace et dis-toi que t'es une grosse baltringue, un grand peureux, une grande peureuse, et que c'est ok en fait. Parce que ça a été le cas, mon cas, je me suis aperçu de ça, ces dernières années, je dis « waouh, j'étais un grand peureux, alors je me considérerais courageux et voilà, mais en fait, je me suis bouffé par des peurs, des doutes. » des choses qui fragilisaient mon esprit, ma confiance en moi, et surtout qui m'enlevaient du plus beau moment et du seul qui existe, c'est l'instant présent. Donc une fois que tu as pris conscience de ça, l'avantage c'est que tu peux faire quelque chose. Et c'est de te dire, ok en fait, est-ce que ces peurs sont fondées ? C'est quoi ces peurs ? C'est quoi les vraies choses ? Qu'est-ce qui me bouffe ? Qu'est-ce qui est vraiment important ? Est-ce que maintenant je ne peux pas décider d'être fier de moi, de prendre un choix et de m'y tenir, de faire le vide, et juste de me dire... Une chose après l'autre, point barre. Je peux t'assurer que quand je suis choisi d'être courageux et de tenir à tes choix, ça t'ancre dans un instant présent qui est enivrant et ça fait un bien fou.

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  • Speaker #0

    Ah les vacances, c'était un concept que j'avais un peu laissé de côté depuis beaucoup trop longtemps. Je ne me souviens pas la dernière fois que j'ai pris des vacances, tu sais où tu vas quelque part et puis tu fais rien. Tu recharges les batteries, personne ne peut te joindre, toi tu cherches à joindre personne, tu es juste en train de profiter. C'est ce que je viens de faire pendant une semaine sur la petite île de Gili Hassan au sud de Lombok. Et wow, franchement c'est un bon concept. Les mecs qui ont inventé les vacances de base, en plus des week-ends, je trouve ça plutôt logique. Et je te ferai un petit feedback sur ce sujet. D'ailleurs, sur mon journal de bord, j'ai décidé, au lieu de faire un long journal de bord une fois par semaine, de diviser, vu qu'il y a plusieurs thèmes à chaque fois dans mon journal de bord, de publier un thème par jour de la semaine. thèmes par jour que j'ai à disposition. Pourquoi ? Parce que je me suis dit que c'est beaucoup plus simple de consommer le contenu, que c'est peut-être ton rendez-vous quotidien, que de toute façon c'est peut-être plus simple de savoir où t'en es si tu t'arrêtes et il y a peut-être aussi des thèmes que t'auras pas envie d'écouter. Bref, j'ai découpé ça par jour mais je vais quand même te dire ce qui va se passer quand même dans les thèmes qui vont être abordés cette semaine. Le premier c'est si toujours en train de cogiter, c'est certainement que tu es un peureux ou une peureuse dans ta vie. Et je t'expliquerai pourquoi et je t'expliquerai un peu comment y remédier. Ensuite, dans les jours qui vont suivre, je te parlerai d'un module de connaissances sur comment définir et trouver son client idéal, qui est un peu la quête de toute personne qui a un business et qui est un peu sérieux et que c'est un vrai casse-tête. J'ai fait un module de connaissances sur le sujet, sur le cercle des solopreneurs. Je te donnerai un maximum de... de valeur gratuitement sur ce podcast. Ensuite, je voudrais parler d'estime de soi et de comment l'augmenter et de comment arriver à jauger notre estime de soi de façon juste, parce qu'on est souvent en train de soit s'autoflageller, soit certains un peu trop se pumper. Je te parlerai aussi de dépassement de soi et de finalement comment arriver à se dépasser, arriver à atteindre un objectif qui te paraît trop grand. trop loin et je te donnerai des techniques parce que suite à une anecdote qui m'est arrivée pendant mes vacances et ça a été très beau ce qui m'est arrivé grâce à ça. J'aborderai aussi le thème de si tu cherches une réponse à une question depuis très longtemps et que tu n'arrives pas à trouver de réponse, je te donnerai quelques techniques que j'ai appliquées cette semaine pendant mes vacances qui devraient t'aider et ensuite je te parlerai de, je terminerai cette semaine aussi sur les thèmes de quand tu as un challenge, il y a une personne qui a du cercle des solopreneurs qui avait un challenge de faire rentrer 200 inscrits sur un mastermind un masterclass qu'elle allait faire en ligne et elle a réussi, je te donnerai sa stratégie et dernière chose de cette semaine aussi que j'aborderai dans les différents podcasts ce sera comment exécuter rapidement, facilement et à moindre prix n'importe quel projet et idée et de pouvoir tout de suite les mettre en place j'ai encore mis en place un projet en l'espace de un ou deux jours avec des potes entrepreneurs et voilà je voulais te partager ma façon de faire et mes process maintenant pour aborder le sujet du jour c'est si t'es quelqu'un qui cogite qui réfléchit beaucoup qui est toujours en train de penser à l'avenir de ce qu'il a fait dans le passé de demander si ça va le faire si tu cogites en gros ben t'es un peureux ou t'es une peureuse pourquoi parce que je me suis aperçu justement pendant ces vacances que J'étais vachement dans l'instant présent, que j'étais vachement ancré, en train de m'émerveiller de toutes les petites choses que je faisais, et que, clairement, ça m'était complètement égal de ce qui pouvait se passer ailleurs dans le monde, dans mon business, dans ma famille, entre mes amis, peu importe. Et je me suis dit, mais qu'est-ce qui se fait que justement... Là, tout de suite, je me sens ancré. Est-ce que c'est parce que je suis relaxé, parce que je suis détendu, est-ce que c'est parce que je n'ai plus de stress ? Mais en vrai, ce n'était pas du tout ça. C'est parce que tout à coup, j'avais eu le courage de me dire que ça n'a pas d'importance. Je n'ai pas peur de louper quelque chose. Je n'ai pas peur de mal faire. Je n'ai pas peur que ce n'est pas ici et maintenant que je devrais être ou je devrais faire quelque chose. Et je me suis aperçu qu'à chaque fois que j'étais... ces derniers mois, ces quelques dernières années, où j'étais beaucoup dans la cogitation, dans ma tête. Chose que je n'ai jamais vraiment été dans ma vie. Je dirais jusqu'à mes 37 ans, je n'ai jamais vraiment... Trop cogité, analysé, réfléchi. Moi, ça a toujours été, je le sens bien, j'y vais. J'en ai envie, j'y vais. Je n'aime pas, je ne le sens pas, je n'y vais pas. Terminé. Et puis, j'en parlais avec une coach. Je lui ai dit, je pense que l'entrepreneuriat, bizarrement, m'a fait sortir de cet état d'un instant présent, de me faire confiance, de faire confiance et d'être dans le courage de ressentir ce que je veux et de le faire avec mes tripes sans avoir peur. de mal faire, de ne pas être assez, de ne pas atteindre mes objectifs. Et que l'entrepreneuriat m'a obligé à me projeter en fait. Parce qu'il faut faire des plans, parce qu'il faut gérer des équipes, parce qu'il faut des process. Et j'étais toujours en train de me projeter dans le futur, projeter dans est-ce que c'est d'analyse aussi dans le passé, de rétrospective, est-ce que c'est bien fait, comment on peut faire mieux, etc. Et finalement, je me suis aperçu que ça m'a vraiment en fait rendu peureux. Et quand je dis peureux, c'est-à-dire que... Je ne me posais pas des questions, j'avais vraiment des doutes. Tu sais, le doute finalement, c'est... J'ai une différence pour moi entre la question positive, qui va être de la curiosité, qui va te demander ou tu vas dire, comment je peux faire mieux ? Il y a un côté dans la curiosité qui est beaucoup plus ancré dans le maintenant. Je peux faire. Tiens, mais tu réfléchis, mais tu réfléchis dans l'instant. Tu es vraiment dans cet instant où tu vas... Tu vas vouloir créer quelque chose de beau. Et inversement, quand tu vas être dans la peur et dans le doute, c'est que tu te questionnes en te demandant est-ce que ça va le faire ? Donc en imaginant, en ayant peur que le scénario positif n'arrive pas. Et je me suis dit mais en fait, quand tu es dans l'instant présent, c'est que tu as le courage en fait de dire ok, le reste c'est pour le moment pas important. Le reste, je m'en fiche. J'ai décidé que tout de suite maintenant. C'est ça que je suis en train de faire, et peu importe qui m'envoie un message, peu importe ce qui se passe dans le monde, si j'ai des trucs à faire, si j'ai des tâches urgentes, peu importe. Si j'ai décidé que là je fais une pause au bord de la piscine, je le fais. Si j'ai décidé d'enregistrer des vidéos, je le fais. Et je suis à fond là-dedans, sans regarder mon téléphone, sans me dire « attends, j'ai oublié ceci » , sans cogiter ailleurs, parce qu'il n'y a rien de plus important dans ma vie à ce moment-là. Parce que j'ai eu le courage de me dire « je l'ai choisi » . c'est ça, point barre, on verra après et quand je reviens sur un truc beaucoup plus léger qui est aussi l'instant présent dans les vacances quand t'es là, que je regardais les plantes, les fleurs, quand j'étais en train de faire de l'apnée, que je regardais les coraux, les poissons j'étais pas en train de me dire mince putain il va falloir que j'envoie un mail à un tel il va falloir que après quand je rentre je mette telle stratégie pour faire rentrer plus de personnes dans le cercle, après je fasse de l'acquisition après j'oublie Il faudrait que je fasse l'immersion, que je prépare le programme. Je me suis dit, mais en fait, quand je suis comme ça, je suis dans la peur. Je suis un trouillard. J'ai peur que ça ne se passe pas bien. Je suis en train d'imaginer ce qui ne va pas. Quand je suis dans le courage, je suis dans l'instant présent. Je suis dans, ok, je réfléchis tout de suite maintenant. Je fais un choix et j'applique. Je peux faire plusieurs choix qui vont... s'opérer sur différents jours, semaines, heures futurs, mais OK, quand je fais un truc, je le fais maintenant. Et quand l'heure future arrive, je me dis, est-ce que c'est toujours la bonne décision ? Oui, non, on kick, on garde, on applique. Et c'est vraiment ça que je me suis dit, je me suis dit, waouh, mais en fait, quand je doute, quand je cogite, je suis juste un gros peureux en fait. Parce que si je n'ai pas peur, je m'en fous en fait du reste. Ce que je suis en train de faire là, c'est important. Quand je suis en train d'apprendre quelque chose, et que je cogite en me disant, est-ce que ça va vraiment me servir ? Est-ce que j'ai bien compris ? Est-ce que je vais réussir à l'appliquer ? Est-ce que ça va marcher la méthode ? Je suis dans la peur, je suis un gros peureux. Je ne suis pas vraiment dans l'instant en fait. Par contre, quand je suis courageux, je suis en train de lire quelque chose. Je lisais des choses justement sur le coaching, sur la dépolarisation, sur des choses intéressantes. J'ai quand même lu quelques petits supports pendant mes vacances, mais c'était vraiment léger sans mettre l'impression. Et justement, quand j'étais là, j'étais en mode, c'est super intéressant. Et ça me servira tant mieux, ça ne me dira pas tant pis. Là, j'ai envie de l'apprendre. Et je connecterai les points un jour où peut-être que ça fera du sens. Et que quand je suis en train de me reposer... En fait, je suis en train de me reposer, je ne suis pas en train de me demander si le travail s'accumule, si les mails sont en train de s'entasser dans ma boîte mail ou dans mes messages privés. J'ai le courage de me dire, en fait, ça m'est égal. En fait, ce n'est pas important. Et ça me faisait à chaque fois des flashbacks dans mon esprit de me dire, quand j'ai eu ces clics-là, je me suis dit, wow, ok. Tous ces moments dans ma vie où en fait j'étais bien, j'étais dans l'instant présent. C'est que j'étais vraiment en fait sans aucune peur. Je n'avais pas peur. J'étais dans le flow, j'étais dans la curiosité, j'étais dans la découverte, j'étais dans le faire, j'étais dans l'action. J'étais dans vraiment le courage. Mais pas le courage d'être là, d'aller contre une peur et inconsciemment si. C'est juste qu'au lieu de me battre contre une peur, je me focalise sur ce qui est bien, sur mon courage, sur ma curiosité, sur ce que je fais, sur mon choix. Et surtout, je suis en train de me dire, le reste je m'en fous. J'ai le courage de dire je m'en fous. Parce que c'est beaucoup plus dur de dire j'ai pris cette décision, je le fais. Tant pis, ce sera un échec, mais du coup ça veut dire un échec. J'ai peut-être appris une leçon, ce sera une victoire. Tant mieux, j'avance d'un pas, mais je ne suis pas à l'abri de refaire d'autres échecs. Mais ça c'est du courage en fait. C'est ça qui fait du bien dans la vie. Quand on est content de soi, quand on a du courage, quand on ne se laisse pas envahir par les peurs, par toutes ces pensées, par je devrais être ici, je devrais faire ça, on attend après si. Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis assez ? Est-ce que je vais... Oh mon Dieu, est-ce que... Et si j'y arrive pas ? Et que... Le courage en fait, ce qui est génial, c'est que ça rend heureux, même si à la fin t'y arrives pas. Parce que t'es dans la curiosité d'explorer des nouvelles choses, et c'est positif, dans la fierté d'avoir choisi quelque chose et de s'y tenir, et de le faire, sans douter, et du coup on est dans l'instant présent, et tout le reste n'est pas important. Donc si t'es quelqu'un qui cogite beaucoup, qui est toujours dans ta tête, qui est toujours en train de te projeter, bah regarde-toi dans une glace et dis-toi que t'es une grosse baltringue, un grand peureux, une grande peureuse, et que c'est ok en fait. Parce que ça a été le cas, mon cas, je me suis aperçu de ça, ces dernières années, je dis « waouh, j'étais un grand peureux, alors je me considérerais courageux et voilà, mais en fait, je me suis bouffé par des peurs, des doutes. » des choses qui fragilisaient mon esprit, ma confiance en moi, et surtout qui m'enlevaient du plus beau moment et du seul qui existe, c'est l'instant présent. Donc une fois que tu as pris conscience de ça, l'avantage c'est que tu peux faire quelque chose. Et c'est de te dire, ok en fait, est-ce que ces peurs sont fondées ? C'est quoi ces peurs ? C'est quoi les vraies choses ? Qu'est-ce qui me bouffe ? Qu'est-ce qui est vraiment important ? Est-ce que maintenant je ne peux pas décider d'être fier de moi, de prendre un choix et de m'y tenir, de faire le vide, et juste de me dire... Une chose après l'autre, point barre. Je peux t'assurer que quand je suis choisi d'être courageux et de tenir à tes choix, ça t'ancre dans un instant présent qui est enivrant et ça fait un bien fou.

Transcription

  • Speaker #0

    Ah les vacances, c'était un concept que j'avais un peu laissé de côté depuis beaucoup trop longtemps. Je ne me souviens pas la dernière fois que j'ai pris des vacances, tu sais où tu vas quelque part et puis tu fais rien. Tu recharges les batteries, personne ne peut te joindre, toi tu cherches à joindre personne, tu es juste en train de profiter. C'est ce que je viens de faire pendant une semaine sur la petite île de Gili Hassan au sud de Lombok. Et wow, franchement c'est un bon concept. Les mecs qui ont inventé les vacances de base, en plus des week-ends, je trouve ça plutôt logique. Et je te ferai un petit feedback sur ce sujet. D'ailleurs, sur mon journal de bord, j'ai décidé, au lieu de faire un long journal de bord une fois par semaine, de diviser, vu qu'il y a plusieurs thèmes à chaque fois dans mon journal de bord, de publier un thème par jour de la semaine. thèmes par jour que j'ai à disposition. Pourquoi ? Parce que je me suis dit que c'est beaucoup plus simple de consommer le contenu, que c'est peut-être ton rendez-vous quotidien, que de toute façon c'est peut-être plus simple de savoir où t'en es si tu t'arrêtes et il y a peut-être aussi des thèmes que t'auras pas envie d'écouter. Bref, j'ai découpé ça par jour mais je vais quand même te dire ce qui va se passer quand même dans les thèmes qui vont être abordés cette semaine. Le premier c'est si toujours en train de cogiter, c'est certainement que tu es un peureux ou une peureuse dans ta vie. Et je t'expliquerai pourquoi et je t'expliquerai un peu comment y remédier. Ensuite, dans les jours qui vont suivre, je te parlerai d'un module de connaissances sur comment définir et trouver son client idéal, qui est un peu la quête de toute personne qui a un business et qui est un peu sérieux et que c'est un vrai casse-tête. J'ai fait un module de connaissances sur le sujet, sur le cercle des solopreneurs. Je te donnerai un maximum de... de valeur gratuitement sur ce podcast. Ensuite, je voudrais parler d'estime de soi et de comment l'augmenter et de comment arriver à jauger notre estime de soi de façon juste, parce qu'on est souvent en train de soit s'autoflageller, soit certains un peu trop se pumper. Je te parlerai aussi de dépassement de soi et de finalement comment arriver à se dépasser, arriver à atteindre un objectif qui te paraît trop grand. trop loin et je te donnerai des techniques parce que suite à une anecdote qui m'est arrivée pendant mes vacances et ça a été très beau ce qui m'est arrivé grâce à ça. J'aborderai aussi le thème de si tu cherches une réponse à une question depuis très longtemps et que tu n'arrives pas à trouver de réponse, je te donnerai quelques techniques que j'ai appliquées cette semaine pendant mes vacances qui devraient t'aider et ensuite je te parlerai de, je terminerai cette semaine aussi sur les thèmes de quand tu as un challenge, il y a une personne qui a du cercle des solopreneurs qui avait un challenge de faire rentrer 200 inscrits sur un mastermind un masterclass qu'elle allait faire en ligne et elle a réussi, je te donnerai sa stratégie et dernière chose de cette semaine aussi que j'aborderai dans les différents podcasts ce sera comment exécuter rapidement, facilement et à moindre prix n'importe quel projet et idée et de pouvoir tout de suite les mettre en place j'ai encore mis en place un projet en l'espace de un ou deux jours avec des potes entrepreneurs et voilà je voulais te partager ma façon de faire et mes process maintenant pour aborder le sujet du jour c'est si t'es quelqu'un qui cogite qui réfléchit beaucoup qui est toujours en train de penser à l'avenir de ce qu'il a fait dans le passé de demander si ça va le faire si tu cogites en gros ben t'es un peureux ou t'es une peureuse pourquoi parce que je me suis aperçu justement pendant ces vacances que J'étais vachement dans l'instant présent, que j'étais vachement ancré, en train de m'émerveiller de toutes les petites choses que je faisais, et que, clairement, ça m'était complètement égal de ce qui pouvait se passer ailleurs dans le monde, dans mon business, dans ma famille, entre mes amis, peu importe. Et je me suis dit, mais qu'est-ce qui se fait que justement... Là, tout de suite, je me sens ancré. Est-ce que c'est parce que je suis relaxé, parce que je suis détendu, est-ce que c'est parce que je n'ai plus de stress ? Mais en vrai, ce n'était pas du tout ça. C'est parce que tout à coup, j'avais eu le courage de me dire que ça n'a pas d'importance. Je n'ai pas peur de louper quelque chose. Je n'ai pas peur de mal faire. Je n'ai pas peur que ce n'est pas ici et maintenant que je devrais être ou je devrais faire quelque chose. Et je me suis aperçu qu'à chaque fois que j'étais... ces derniers mois, ces quelques dernières années, où j'étais beaucoup dans la cogitation, dans ma tête. Chose que je n'ai jamais vraiment été dans ma vie. Je dirais jusqu'à mes 37 ans, je n'ai jamais vraiment... Trop cogité, analysé, réfléchi. Moi, ça a toujours été, je le sens bien, j'y vais. J'en ai envie, j'y vais. Je n'aime pas, je ne le sens pas, je n'y vais pas. Terminé. Et puis, j'en parlais avec une coach. Je lui ai dit, je pense que l'entrepreneuriat, bizarrement, m'a fait sortir de cet état d'un instant présent, de me faire confiance, de faire confiance et d'être dans le courage de ressentir ce que je veux et de le faire avec mes tripes sans avoir peur. de mal faire, de ne pas être assez, de ne pas atteindre mes objectifs. Et que l'entrepreneuriat m'a obligé à me projeter en fait. Parce qu'il faut faire des plans, parce qu'il faut gérer des équipes, parce qu'il faut des process. Et j'étais toujours en train de me projeter dans le futur, projeter dans est-ce que c'est d'analyse aussi dans le passé, de rétrospective, est-ce que c'est bien fait, comment on peut faire mieux, etc. Et finalement, je me suis aperçu que ça m'a vraiment en fait rendu peureux. Et quand je dis peureux, c'est-à-dire que... Je ne me posais pas des questions, j'avais vraiment des doutes. Tu sais, le doute finalement, c'est... J'ai une différence pour moi entre la question positive, qui va être de la curiosité, qui va te demander ou tu vas dire, comment je peux faire mieux ? Il y a un côté dans la curiosité qui est beaucoup plus ancré dans le maintenant. Je peux faire. Tiens, mais tu réfléchis, mais tu réfléchis dans l'instant. Tu es vraiment dans cet instant où tu vas... Tu vas vouloir créer quelque chose de beau. Et inversement, quand tu vas être dans la peur et dans le doute, c'est que tu te questionnes en te demandant est-ce que ça va le faire ? Donc en imaginant, en ayant peur que le scénario positif n'arrive pas. Et je me suis dit mais en fait, quand tu es dans l'instant présent, c'est que tu as le courage en fait de dire ok, le reste c'est pour le moment pas important. Le reste, je m'en fiche. J'ai décidé que tout de suite maintenant. C'est ça que je suis en train de faire, et peu importe qui m'envoie un message, peu importe ce qui se passe dans le monde, si j'ai des trucs à faire, si j'ai des tâches urgentes, peu importe. Si j'ai décidé que là je fais une pause au bord de la piscine, je le fais. Si j'ai décidé d'enregistrer des vidéos, je le fais. Et je suis à fond là-dedans, sans regarder mon téléphone, sans me dire « attends, j'ai oublié ceci » , sans cogiter ailleurs, parce qu'il n'y a rien de plus important dans ma vie à ce moment-là. Parce que j'ai eu le courage de me dire « je l'ai choisi » . c'est ça, point barre, on verra après et quand je reviens sur un truc beaucoup plus léger qui est aussi l'instant présent dans les vacances quand t'es là, que je regardais les plantes, les fleurs, quand j'étais en train de faire de l'apnée, que je regardais les coraux, les poissons j'étais pas en train de me dire mince putain il va falloir que j'envoie un mail à un tel il va falloir que après quand je rentre je mette telle stratégie pour faire rentrer plus de personnes dans le cercle, après je fasse de l'acquisition après j'oublie Il faudrait que je fasse l'immersion, que je prépare le programme. Je me suis dit, mais en fait, quand je suis comme ça, je suis dans la peur. Je suis un trouillard. J'ai peur que ça ne se passe pas bien. Je suis en train d'imaginer ce qui ne va pas. Quand je suis dans le courage, je suis dans l'instant présent. Je suis dans, ok, je réfléchis tout de suite maintenant. Je fais un choix et j'applique. Je peux faire plusieurs choix qui vont... s'opérer sur différents jours, semaines, heures futurs, mais OK, quand je fais un truc, je le fais maintenant. Et quand l'heure future arrive, je me dis, est-ce que c'est toujours la bonne décision ? Oui, non, on kick, on garde, on applique. Et c'est vraiment ça que je me suis dit, je me suis dit, waouh, mais en fait, quand je doute, quand je cogite, je suis juste un gros peureux en fait. Parce que si je n'ai pas peur, je m'en fous en fait du reste. Ce que je suis en train de faire là, c'est important. Quand je suis en train d'apprendre quelque chose, et que je cogite en me disant, est-ce que ça va vraiment me servir ? Est-ce que j'ai bien compris ? Est-ce que je vais réussir à l'appliquer ? Est-ce que ça va marcher la méthode ? Je suis dans la peur, je suis un gros peureux. Je ne suis pas vraiment dans l'instant en fait. Par contre, quand je suis courageux, je suis en train de lire quelque chose. Je lisais des choses justement sur le coaching, sur la dépolarisation, sur des choses intéressantes. J'ai quand même lu quelques petits supports pendant mes vacances, mais c'était vraiment léger sans mettre l'impression. Et justement, quand j'étais là, j'étais en mode, c'est super intéressant. Et ça me servira tant mieux, ça ne me dira pas tant pis. Là, j'ai envie de l'apprendre. Et je connecterai les points un jour où peut-être que ça fera du sens. Et que quand je suis en train de me reposer... En fait, je suis en train de me reposer, je ne suis pas en train de me demander si le travail s'accumule, si les mails sont en train de s'entasser dans ma boîte mail ou dans mes messages privés. J'ai le courage de me dire, en fait, ça m'est égal. En fait, ce n'est pas important. Et ça me faisait à chaque fois des flashbacks dans mon esprit de me dire, quand j'ai eu ces clics-là, je me suis dit, wow, ok. Tous ces moments dans ma vie où en fait j'étais bien, j'étais dans l'instant présent. C'est que j'étais vraiment en fait sans aucune peur. Je n'avais pas peur. J'étais dans le flow, j'étais dans la curiosité, j'étais dans la découverte, j'étais dans le faire, j'étais dans l'action. J'étais dans vraiment le courage. Mais pas le courage d'être là, d'aller contre une peur et inconsciemment si. C'est juste qu'au lieu de me battre contre une peur, je me focalise sur ce qui est bien, sur mon courage, sur ma curiosité, sur ce que je fais, sur mon choix. Et surtout, je suis en train de me dire, le reste je m'en fous. J'ai le courage de dire je m'en fous. Parce que c'est beaucoup plus dur de dire j'ai pris cette décision, je le fais. Tant pis, ce sera un échec, mais du coup ça veut dire un échec. J'ai peut-être appris une leçon, ce sera une victoire. Tant mieux, j'avance d'un pas, mais je ne suis pas à l'abri de refaire d'autres échecs. Mais ça c'est du courage en fait. C'est ça qui fait du bien dans la vie. Quand on est content de soi, quand on a du courage, quand on ne se laisse pas envahir par les peurs, par toutes ces pensées, par je devrais être ici, je devrais faire ça, on attend après si. Est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je suis assez ? Est-ce que je vais... Oh mon Dieu, est-ce que... Et si j'y arrive pas ? Et que... Le courage en fait, ce qui est génial, c'est que ça rend heureux, même si à la fin t'y arrives pas. Parce que t'es dans la curiosité d'explorer des nouvelles choses, et c'est positif, dans la fierté d'avoir choisi quelque chose et de s'y tenir, et de le faire, sans douter, et du coup on est dans l'instant présent, et tout le reste n'est pas important. Donc si t'es quelqu'un qui cogite beaucoup, qui est toujours dans ta tête, qui est toujours en train de te projeter, bah regarde-toi dans une glace et dis-toi que t'es une grosse baltringue, un grand peureux, une grande peureuse, et que c'est ok en fait. Parce que ça a été le cas, mon cas, je me suis aperçu de ça, ces dernières années, je dis « waouh, j'étais un grand peureux, alors je me considérerais courageux et voilà, mais en fait, je me suis bouffé par des peurs, des doutes. » des choses qui fragilisaient mon esprit, ma confiance en moi, et surtout qui m'enlevaient du plus beau moment et du seul qui existe, c'est l'instant présent. Donc une fois que tu as pris conscience de ça, l'avantage c'est que tu peux faire quelque chose. Et c'est de te dire, ok en fait, est-ce que ces peurs sont fondées ? C'est quoi ces peurs ? C'est quoi les vraies choses ? Qu'est-ce qui me bouffe ? Qu'est-ce qui est vraiment important ? Est-ce que maintenant je ne peux pas décider d'être fier de moi, de prendre un choix et de m'y tenir, de faire le vide, et juste de me dire... Une chose après l'autre, point barre. Je peux t'assurer que quand je suis choisi d'être courageux et de tenir à tes choix, ça t'ancre dans un instant présent qui est enivrant et ça fait un bien fou.

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