Speaker #0Bienvenue dans Sereine, le podcast qui remet ton bien-être au centre de ton attention, parce que même si ici on parle d'atteindre ses objectifs, de technique et astuces de coaching de vie, d'exploration de soi, de couple et de tout autre sujet, on garde bien en vue qu'il n'y a pas de recette universelle et surtout que, quoi que tu accomplisses ou non d'ailleurs, ce qui compte c'est la façon dont tu le fais, la façon dont tu te ressens. et juste que tu sois bien, sereine, vibrante sur ton chemin de vie. C'est tout ce que je te souhaite. Moi je m'appelle Laura Cardozo, je suis coach de vie et j'ai un grand plaisir à t'accompagner sur ce chemin vibrant grâce à ce podcast mais aussi grâce à mes services de coaching. Tu pourras aussi me retrouver sur Youtube si tu as envie d'en savoir encore plus et j'ai très grand plaisir à me retrouver avec toi pour parler de ces sujets. Je vous retrouve enfin pour tourner cet épisode. Sachez que je suis navrée, je vous ai complètement oubliée. La semaine dernière, j'avais beaucoup de choses à faire, je recevais du monde. Et en fait, voilà, j'ai complètement oublié d'enregistrer le podcast jusqu'au dernier moment. Et puis après, je n'ai pas eu le temps de le refaire avant, donc je me suis dit... Pour me faire pardonner, je vais vous enregistrer deux épisodes cette semaine. Voilà, j'espère que ça vous ira comme ça et de toute façon, vous n'y pouvez rien et moi non plus. Donc c'est parti comme ça. Pour l'épisode du jour, j'ai vraiment voulu reprendre un de mes posts, une de mes publications en carousel que j'avais faite sur Instagram qui a eu l'air de beaucoup vous plaire. Elle a été beaucoup de fois enregistrée par rapport à mes autres publications. Et je trouvais ça important de partager avec vous mes erreurs et de vous les éviter au maximum. Donc comme vous l'avez vu dans le nom de ce podcast, on va parler aujourd'hui de comment j'ai retardé mes manifestations parce que je faisais constamment la même erreur. Et ça c'est un truc tout simple, il y a une règle à retenir de cet épisode mais je vais quand même vous expliquer un peu mieux la situation. Parce que ça va vous aider à éviter de tomber dans le cercle vicieux dans lequel j'étais en train de me mettre constamment. Bref. vous allez réussir à ça plus facilement, à atteindre vos objectifs et tout simplement vous allez être beaucoup plus en paix. Voilà, cette règle pour moi, elle m'a amené une paix d'esprit, elle m'a aidé à sortir de cette façon d'être que parfois je... En tout cas, je ne suis pas quelqu'un de compétitif, mais j'aime bien avoir des objectifs, j'aime bien avoir la sensation d'avancer dans ma vie. Et vous le savez, le mental il prend... Il n'a pas une vue complète de la situation, il n'a pas une vue avec une énorme prise de recul. Souvent dans notre mental on va être contrarié pour des choses qui se passent à l'instant T, sans voir que derrière il y a un enseignement, sans voir que derrière il y a des prises de conscience, sans voir qu'en fait tout se déroule très très bien et que tout se déroule pour le mieux pour nous mais... on a du mal à y croire souvent. Donc, pour vous illustrer un petit peu, et je suis sûre que vous allez vous reconnaître. Par exemple, moi l'année dernière, j'étais dans un état d'esprit où je pleurais beaucoup. J'étais assez triste parce qu'on avait ce projet pour la maison, je vous en ai beaucoup parlé, on avait ce projet d'acheter. Alors même que... A ce moment-là de ma vie, j'étais au soleil, dans le sud de la France. On venait d'avoir notre appartement avec mon chéri depuis quelques mois et on découvrait une nouvelle région. On n'avait vraiment rien pour se plaindre en réalité, tu vois. Mais ce qui se passe, c'est que moi l'année précédente, avant d'avoir trouvé cet appartement dans le sud de la France, je pleurais parce que je n'avais pas encore déménagé dans le sud. Pourtant, à ce moment-là de ma vie, je vivais de mon entreprise. J'avais tous les mois un chiffre d'affaires qui était convenable. Je vivais du coaching qui était vraiment devenu ma passion, etc. et pourtant je n'étais pas satisfaite. L'année d'avant, je pleurais parce que je n'avais pas encore développé cette activité de cœur justement du coaching, que je n'étais que sur le yoga et que je commençais à trouver ça un petit peu lourd, que je sentais qu'il me manquait quelque chose. Pourtant, ça faisait plusieurs années qu'avec mon chéri, on avait trouvé une dynamique économique, financière, qu'on était bien dans notre cocon, dans notre appartement. que j'avais développé mes cours de yoga, j'avais développé ma clientèle, mais les années d'avant, je pleurais. Pourquoi ? Parce qu'on n'avait pas notre cocon, j'avais pas ma clientèle. Tu vois ce que je veux dire ? Il y a toujours une raison. de se plaindre. Il y a toujours une raison, en tout cas j'avais toujours une raison de me plaindre, j'avais toujours une raison d'être triste, parce que, une fois un objectif de vie atteint, une fois quelque chose qui était complété sur ma liste, je passais au suivant. avec cette même énergie de manque, de j'ai pas, de c'est toujours pas là, pourquoi c'est pas là, pourquoi ça va pas à la vitesse que je veux. Et naturellement, tu vois, j'étais dans un cercle et dans un truc où j'étais éternellement insatisfaite. Je prenais même pas conscience, je prenais même pas le temps d'être bien dans la vie que j'avais là maintenant et dans la vie que j'avais souhaitée. Dans la vie que j'avais absolument voulu, j'étais en train de courir après autre chose. Ça fait penser, tu sais, aux enfants. Les enfants qui veulent absolument avoir un jouet et puis quand ils en voient un autre dans les mains du copain, en fait, ils s'intéressent beaucoup plus au jouet qu'il y a dans les mains du copain. c'était une course et on est assez nombreux à expérimenter ça ou à l'avoir expérimenté à un moment de notre vie. Je pense que quand on veut prouver, c'est encore pire. Quand on a ce truc de se dire, je veux prouver que j'y arrive, que je suis indépendante. En tout cas, moi, c'était les pensées que j'avais. Que je suis ceci, que je suis cela, par rapport à un tel qui, lui, vit sa vie tranquille. Voilà. Franchement, c'était... ça n'a aucun intérêt de vivre comme ça. Si vous vous reconnaissez, vous le savez, c'est juste extrêmement désagréable. Et j'étais vraiment ce poisson dans son bocal, ce hamster dans sa roue sans fin qui courait toute sa vie après quelque chose. parce que j'avais cette pensée, à la base de ce raisonnement, c'est quand j'aurai ceci, alors je serai enfin heureuse, je serai enfin en gratitude, je serai enfin contente, je serai enfin comblée. Sauf que les biens matériels, les avancements dans la vie, vous prenez une promotion, vous achetez votre maison, vous rencontrez quelqu'un, etc. on va bien se rendre compte que ces objectifs de vie là ne nous remplissent pas. Et ce qui était fou d'ailleurs à chaque fois, c'est que quand j'atteignais un objectif, j'étais heureuse pendant une semaine, deux semaines et après je replongeais. je replongeais parce que la suite n'allait pas assez vite. Parce qu'à l'intérieur de moi, je n'étais pas suffisamment ancrée, je n'étais pas suffisamment en sécurité, je n'étais pas suffisamment en amour de moi-même. Et il n'y a rien à l'extérieur qui pouvait m'offrir suffisamment de repos. Il n'y a que moi qui pouvait m'offrir cette capacité à être en paix dans l'instant présent, dans ce que j'avais, la gratitude de ce que j'avais, le bonheur de là où j'en étais et voir que ma vie était incroyable. Mais comme je ne le croyais pas... et que j'attendais toujours la suite parce que je voulais que ma vie représente quelque chose aux yeux de quelqu'un d'autre, ou que je voulais prouver à quelqu'un d'autre, ou que je voulais enfin me sentir en sécurité, et que je pensais que ça allait me faire sentir en sécurité, et bien c'était toujours finalement un bien. que j'allais acquérir ou une réputation que j'allais acquérir ou une validation que je pensais avoir qui ne comblait rien. Et ça, dans les premiers temps, c'est hyper dur à prendre dans la tronche parce que tu as tellement mis d'espoir là-dedans que ta vie tout d'un coup n'a plus de sens. Tu te dis mais attends, je voulais cet objectif-là mais je sais que cet objectif-là, mais maintenant que je l'ai, je sais que ça ne me comble pas. Et je l'ai fait plusieurs fois de suite donc je sais que ça ne me comblera jamais. Donc qu'est-ce que je veux vraiment ? Et là, ça prend du temps de se souvenir et de revenir pleinement à soi. Pleinement à ce truc de... En fait, ce que je veux vraiment, c'est me sentir bien, quoi qu'il arrive autour de moi, me sentir en sécurité, me savoir capable, me savoir puissante, me savoir que les dramas qui se passent dans ma tête, c'est que dans ma tête. et que autour de moi et en moi en réalité, tout va bien. Savoir que même quand je pleure, eh bien je vais apprendre suffisamment derrière, je vais en retirer quelque chose et je vais finir par me sentir bien. Et ça va contribuer à quelque chose parce qu'il n'y a rien qui arrive dans ma vie pour du mauvais. C'est forcément parce que derrière, il y a un développement, il y a une évolution. En tout cas ça c'est ma croyance profonde. Je pense que sans cette croyance profonde, je serais jamais sortie de ce cercle. Mais vraiment jamais. Je serais encore en train de courir après le prochain truc. Et ça veut pas dire qu'on a pas d'objectif. Moi, là qui vous parle, ça veut pas dire que j'ai pas d'objectif. J'ai juste arrêté de croire que... Alors, que quelque chose pouvait me rendre quelque chose. Un exemple, et là je parle évidemment aux femmes, et vous l'avez toutes certainement expérimenté. Vous l'avez vu ce vêtement, ce truc que vous voulez absolument, vous vous dites Ah ouais, quand je le rècherai trop frais, je me sentirai trop bien, non non non, je serai trop la meuf, in et tout. Et puis tu l'as. et puis en fait ta confiance en toi entre temps elle n'a pas remonté ton estime de toi entre le moment où tu as commandé le truc et maintenant où tu es contente de l'avoir sur tes épaules elle n'a pas remonté ton amour de toi, de ton corps, de qui tu es, de comment tu t'habilles, de ton style de l'énergie que tu dégages ça n'a pas changé depuis et ce vêtement n'a pas le pouvoir de changer ça ça peut te faire te sentir un peu plus à l'aise tu peux te sentir un peu plus jolie mais ça n'a pas le pouvoir de transformer à l'intérieur ce que tu es et qui tu es. Et donc il y a toujours ce truc un peu genre, ah ouais mais c'est vrai qu'en fait c'est juste un sweat quoi, c'est juste un vêtement en fait, c'est pas la clé de ma transformation, parce que la clé de la transformation, il n'y a rien ni personne d'autre que vous-même qui pouvez l'activer. Vous pouvez entrer en coaching avec quelqu'un et ne jamais activer cette clé, parce que ça vous fait peur, parce qu'on ne vous donne pas peut-être les bons outils, parce que vous décidez de ne pas actionner les outils. Bref, tout ça pour vous dire que la pensée qui crée la souffrance à la base de ça et qui nous fait rentrer dans un cercle, c'est quand j'aurai ceci, alors je deviendrai cela. Quand je serai plus comme ça, alors j'obtiendrai ceci. les deux, dans les deux sens, vous mélangez quoi qu'il en soit, c'est de la merde. Voilà, c'est que des trucs pourris qui en ressortent, parce que vous ne le faites pas depuis un espace de vous qui est en joie, en amour, quelque part vous le faites dans l'espoir que. et c'est dans l'espoir que cette action-là, elle porte dans son énergie le manque, elle hurle le manque, elle hurle à la vie, j'ai pas ça, il me faut, il me faut, je dois, j'ai pas, je manque. Qu'est-ce que la vie vous renvoie à ce moment-là ? Encore plus de je n'ai pas, je manque. Et pour être tout à fait honnête, Comme vous l'avez vu, ça ne m'a pas empêchée d'atteindre mes objectifs. Je ne dis pas que quand on est dans cette énergie-là, on ne peut pas atteindre ses objectifs. Ce n'est pas ce que je dis. Je dis juste que vous les atteignez dans une douleur et dans une vie qui n'est pas agréable. Et la vie, elle est trop courte pour être... Gâcher, ce n'est pas le mot que j'aime, mais vous comprenez l'idée. C'est trop dommage en fait de vivre comme ça. Alors, quand j'ai pris conscience de ça, et c'est relativement récent mine de rien, disons que c'est une prise de conscience qui a évolué année après année, où j'ai commencé à me lâcher la grappe, on va dire que ça fait à peu près deux ans que je suis un peu plus cool avec moi-même et que j'accepte d'entrer dans une énergie un petit peu différente et de ne pas rentrer dans des comparaisons, de ne pas rentrer dans un truc où je veux prouver à quelqu'un. Cela dit, ça fait vraiment depuis que je suis arrivée dans ce lieu de vie, dans ma maison, que je me suis dit non mais là on arrête de courir après tout et n'importe quoi. La maison c'est merveilleux, je suis très heureuse, mais je sais aussi que je pourrais en faire un truc absolument dégueulasse si je ne me responsabilise pas. C'est pour moi une bénédiction cette maison, je suis heureuse, je me sens heureuse. extrêmement bien, et je veux me remercier, et m'honorer, et honorer ce lieu de vie, et honorer l'ensemble des circonstances de ma vie qui m'ont amenée ici. Et je veux profiter. Je veux profiter de ce lieu. Je veux... C'est vraiment... Je crois que cette maison, elle m'a appris beaucoup de choses, en tout cas. Ouais, des fois, il y a des rencontres comme ça avec des lieux de vie. Et du coup, j'en suis arrivée là parce que je me suis donnée une règle. Je me suis dit la chose suivante. Alors attendez parce que je l'ai écrite dans mon poste et que j'aimerais vous la lire. Si la vie que j'ai aujourd'hui ressemble de près ou de loin à la vie que j'ai voulue un an ou deux ans auparavant lorsque je rêvais sur Pinterest, alors je vais l'aimer et la célébrer. pendant que je marche vers mes autres rêves. C'est la règle complète. Si la vie que j'ai aujourd'hui ressemble de près ou de loin... à la vie que j'ai voulue il y a un an ou deux, quand j'étais sur Pinterest. Pardon, j'ai perdu mon message. Alors je vais l'aimer et la célébrer pendant que je marche vers mes autres rêves. Vraiment, je pense beaucoup, beaucoup à ces versions de moi. et en plus, je le fais encore, qui fait des tableaux sur l'application Pinterest, qui rêve à sa vie. Et quand je vois que dans mes anciens tableaux, il y a des choses qui ressemblent, encore une fois, de près ou de loin, à la vie que j'ai aujourd'hui, je me dis, wow, meuf, mais t'es incroyable. Cette vie-là... tu la voulais tellement et tu l'as eu. Alors profites-en, parce que la version de toi qui a rêvé cette vie-là, elle aurait donné tellement. pour goûter à ce moment-là de sa vie, pour goûter juste à une parcelle de ce que tu as là maintenant, juste avoir un échantillon de ce que tu as là dans ta vie, des personnes qui sont dans ta vie, de la relation que tu as, de la maison, de la façon dont tu penses, de la façon dont tu te ressens et dont tu vibres dans la vie, elle aurait voulu avoir juste ce petit goût, cette petite confirmation que ça allait arriver. Et bien toi, tu la vis vraiment la vie là. Alors tu profites ma grande. et je m'engueule un petit peu en passant parce que sinon c'est pas drôle mais c'est ça on a tellement l'habitude de courir et moi j'ai été j'ai grandi en région parisienne donc autant vous dire que les gens il y a vraiment cette énergie là très forte quand on vit à Paris ou en région parisienne c'est la course, il faut y aller, il faut avancer il faut pas se laisser devancer par les autres c'est tellement pas pour moi c'est tellement pas pour moi, ça me désaligne tellement cette pensée que aujourd'hui je me dis je profite j'honore, je remercie et là vous voyez je suis en train de vous parler il y a un vent de malade dehors il a plu toute la journée mais il y a un énorme soleil qui passe à travers le Vélux qui est derrière moi je le vois passer à travers la fenêtre qui est peut-être à 3-4 mètres de moi et et ce vent et cette lumière dans, entre guillemets, dans ma maison, tu vois, c'est ça la vie. C'est ça la gratitude que je ressens, c'est ça l'énergie à laquelle je veux me connecter tous les jours, qui ne m'empêchera pas de rêver à d'autres choses. Mais je ne veux pas me plaindre de ce que j'ai là. Je ne veux pas pleurer comme si je ne pouvais pas vivre autrement. Moi, ma vie, si elle ne bouge pas d'un iota, là, je suis heureuse. même s'il y a des choses qui ne me conviennent pas à 100%, si ma vie là, elle ne bouge pas d'un iota, pendant les 10 prochaines années, ce n'est pas grave. Là, je suis heureuse. J'aime ce que j'ai. J'ai envie de le cultiver, j'ai envie de l'élever encore, j'ai envie de lui donner encore. Je ne peux pas vous exprimer ça encore, mais j'ai envie que ça prenne encore plus de place dans ma vie. J'adore ça, j'adore cette vie. et je vous souhaite d'ouvrir les yeux sur ce que vous avez, sur la période que vous êtes en train de vivre, et vous dire ouais c'est vrai c'est trop bien. Parce que je peux vous assurer que même quand on aime la vie là où on est, il y a des moments où, je ne sais pas, juste tu ouvres ton téléphone et tu regardes tes anciennes photos, et tu te dis ah c'était vraiment sympa, ah j'étais quand même super mignonne à cette époque, c'était joli quand j'avais cette couleur. Et toi à cette époque là, tu étais en train de te dire putain j'étais trop moche, c'est trop nul, il faut que je fasse ci, il faut que je fasse ça, il faut que j'avance. mais il y a une version de toi qui, dans le futur, je ne dis pas que tu vas regretter ça, tu vas juste te dire, j'aurais dû en profiter un peu plus. Si j'avais pu me rendre compte de ce que c'était la vie à ce moment-là. Qu'est-ce qu'on était bien. Qu'est-ce que c'était chouette ça. Cette relation-là, c'était sympa. Ah c'est bête, on s'est perdu de vue, on n'a pas continué, mais les moments qu'on a partagés, c'était bien. Moi, c'est le message principal que j'ai envie de vous offrir ici. Savourez, aimez ce parcours. Et ça ne vous empêche pas de marcher vers la suite. Je vais vous montrer, enfin vous montrer, je vais vous expliquer comment je fais moi. Actuellement, je ne dis pas que... En tout cas... Comment dire ? Je ne dis pas que c'est la sacro-sainte parole et que vous devez faire absolument comme ça. Je vous dis juste comment j'ai l'impression que ça fonctionne et que ça va fonctionner pour moi. Parce que de toute façon, il faut savoir que j'ai cette certitude que quoi qu'il arrive, j'y arrive. Voilà. Quoi qu'il arrive, j'ai envie d'un truc, je ne sais pas comment, je ne sais pas à quel pourcentage ça va être ressemblant à ce que j'ai dans ma tête, mais je sais que je vais y arriver. Je sais qu'à un moment, ça va le faire. je vous souhaite d'avoir cette croyance et si vous ne l'avez pas, venez la travailler avec moi en coaching. En gros, je vais me concentrer sur le présent pour avoir des choses dans mon futur, pour débloquer des nouvelles choses, pour voir mon présent grandir et pour cultiver encore plus la gratitude et l'amour que je ressens là maintenant pour la vie que j'ai et donc laisser de la place pour... tout ce que j'ai envie d'avoir par la suite encore, de manifester, de rencontrer, de créer, etc., je vais m'aimer. D'abord, je m'aime. Et je me dis, waouh, c'est toi qui as réussi ça. Tu as réussi ça. Je reconnais que c'est une création, une co-création, mais je reconnais ma responsabilité dans cet achievement. Désolée, j'ai le mot en anglais. Et je vais aimer ce que j'ai créé. Par exemple, si je parle de la maison, je vais aimer et je vais regarder chaque mur qu'on a peint en me disant Waouh, c'est incroyable, franchement c'est trop fort. C'est vrai qu'il y a des petits défauts, que je ne suis pas peintre, que j'aurais peut-être pu repasser ici, que là on voit encore un petit peu le gris pastel, c'est difficile de couvrir avec du blanc-mont. Mais waouh, c'est trop bien, c'est canon, c'est tellement la vision que j'avais, c'est beau. C'est ce que je crée, j'aime, j'aime cette création, j'aime cette maison. j'aime que la vie m'ait pas donné la première maison que j'avais vue et qui pourtant semblait parfaite et qui pourtant on aurait pu et puis en fait on a pas pu merci parce que cette maison je l'aime et que je m'y sens bien et même si j'ai des problèmes de propriétaire de trucs qui marchent pas comme ça devrait merci merci merci pour cette maison j'aime cette maison de tout mon cœur la troisième règle c'est je vais ressentir de la gratitude comme je te le dis et ça va un peu pour moi l'amour et la gratitude c'est des choses qui sont très très proches merci merci merci merci je peux t'assurer que si tu passes si là tu passes une mauvaise journée que tu fermes les yeux et que tu fais comme moi pendant une minute merci merci merci Il y a des choses comme ça qui vont te remonter à l'esprit, des choses pour lesquelles tu as vraiment de la gratitude. Et ton énergie, d'un seul coup, elle va... comment dire ? Ton cœur va s'ouvrir et ton énergie va se projeter vers, entre guillemets, une autre chose. Et tu vas te concentrer sur ce que tu as, sur ce qui est magique, sur ce qui est beau. Et pas sur ce truc que tu voudrais absolument pour essayer de compléter ça. Je vais me concentrer aussi sur... le mélange de travail et de magie qui m'a menée à ça. Je vais me concentrer sur, bah tiens, comment j'ai équilibré mes énergies, comment j'ai travaillé ce truc où à la fois j'ai mis en place les actions et à la fois j'ai lâché prise, en ayant vraiment confiance, en ayant vraiment la certitude que quoi qu'il arrive, ça allait le faire. Comment j'ai réussi un peu plus à me lâcher la grappe et comment c'est à la fois un peu magique, tu vois, ça de se dire, mais... je fais les choses, je mets en place les actions, parfois ça réussit, parfois ça rate, mais quand ça réussit, tu comprends pourquoi ça avait raté avant, tu comprends que ça devait rater avant pour réussir à cette étape-là, et pour t'amener exactement ce dont tu avais besoin. Et je prends vraiment le temps d'honorer, de me concentrer, de remercier aussi cet aspect-là, cette compréhension-là de la vie en tout cas. Et puis dernière chose, celle qui peut-être t'intéresse le plus pour le coup, je vais très très simplement autoriser la suite à se présenter à moi. Quand ce sera juste. Vraiment je vais avoir en ce moment ces prières de je m'autorise à recevoir, je m'autorise à réussir, je m'autorise à ce que ce soit facile, je m'autorise, je me donne le droit, je me donne l'autorisation. et quand j'ai ces mots-là, j'autorise aussi la vie quelque part à me surprendre, et j'ouvre les bras à ce qui peut arriver en ayant les deux pieds fermement ancrés et fermement dans la gratitude par rapport à ce qui est. Venez, je n'ai pas peur, je suis bien, je suis heureuse, tout va bien, tout va bien. J'ouvre mes bras et je me fais confiance et je me donne le droit de recevoir davantage. parce que le bonheur peut se multiplier, qu'il n'y a pas de mal à ça, parce que je suis extrêmement heureuse là et je sais que ce n'est pas fini, le bonheur pour moi. Et c'est tout. C'est juste, je connecte à cette énergie d'abondance, de lumière, de beauté, parfois de sacrifice, évidemment, parfois de tristesse qu'il y a pu avoir et qu'il y a pu mener là. je me connecte à ce que j'ai là. Et cette énergie, quand tu t'y connectes à ce que tu as et que tu es vraiment dans la gratitude et que tu te dis Ma vie, mais elle est incroyable ! Et je me suis dit encore ça ce matin. Ce matin, j'étais sur mon tapis de course et j'avais envie de pleurer. Je me disais Ma vie, mais qu'est-ce que j'aime ma vie ! Et l'énergie de ça, elle est extrêmement puissante. Elle est à l'opposé de quand tu pleures parce que tu n'as pas ce que tu veux. et que tu cries le manque et que tu cries l'incomplétude et que tu cries la douleur de ne pas être ce que tu veux. Et l'enseignement que j'ai à offrir aux gens, c'est celui-là. C'est exactement ce qu'on vient de dire et plein d'autres choses encore parce que je crois que j'enseigne sur plein de sujets différents. Qu'on parle de l'aspect boulot ou qu'on se parle ensemble de l'aspect privé en coaching. Soyez dans la gratitude de l'étape dans laquelle vous êtes. Elle vous apprend plein de choses cette étape. Soyez dans la confiance et dans la certitude que ça va aller pour vous. Et que quoi qu'il arrive, vous avez les armes, vous avez les compétences, les capacités. Et que même si vous ne les avez pas aujourd'hui, vous avez les capacités et les compétences pour les apprendre et pour en devenir des maîtres au fur et à mesure. Donnez de la valeur au temps. Donnez de la valeur à... si je ne l'ai pas aujourd'hui, ce n'est pas grave parce que ma vie, elle est cool. Si je ne l'ai pas aujourd'hui, ce n'est pas grave parce que je saurais faire au fur et à mesure avec ce que je sais maîtriser. Lâchez un peu la pression dans votre capacité à manifester, dans la rapidité avec laquelle ça doit se manifester selon votre mental. Lâchez tout ça, que ce soit pour le pro ou pour le perso. Oh tiens, j'ai une araignée ! Alors là, il y en a qui crient. Et moi, je suis fascinée parce que ça fait deux jours que j'ai des araignées qui pendent comme ça à des objets que j'aime. Voilà, par exemple, c'est à mon micro. Et sinon, c'était juste au-dessus de mon sac de sport parce que j'adore aller au sport. Et je me dis, tiens, il y a un message avec les araignées en ce moment. C'est des êtres incroyables. J'ai appris à ne plus avoir peur d'elles. Ah voilà, elle est remontée. Bon, bah d'accord, si tu es bien, je te laisse sur mon micro. et bah écoutez je crois qu'elle me dit que vous avez compris le message et que c'est tout bon pour vous, j'espère que c'est le cas si vous avez des questions faut jamais hésiter à venir m'écrire à me dire voilà ton podcast je l'ai écouté il y a un truc qui me chiffonne parce que si ça vous chiffonne moi je peux venir vous aider en message mais je peux aussi enregistrer un nouvel épisode et mettre les choses plus claires me rendre compte un petit peu de quelles sont vos difficultés dans la compréhension de ce que j'expose par rapport à vos vies, qu'est-ce qui est en lutte un petit peu. Et puis bien sûr, si c'est trop en lutte, vous avez les coachings, que ce soit en coaching unique à 100 euros la séance ou le coaching avec l'ensemble du package. Vous avez le droit au coaching privé, vous avez le droit au coaching de groupe, vous avez le droit au programme pour 1500 euros. Quoi qu'il en soit, je vous laisse écouter le prochain épisode et puis je vous dis à tout bientôt, prenez bien soin de vous et... Ciao ciao, je vous aime fort.
