Speaker #0Bienvenue dans Sereine, le podcast qui remet ton bien-être au centre de ton attention, parce que même si ici on parle d'atteindre ses objectifs, de technique et astuces de coaching de vie, d'exploration de soi, de couple et de tout autre sujet, on garde bien en vue qu'il n'y a pas de recette universelle et surtout que, quoi que tu accomplisses ou non d'ailleurs, ce qui compte c'est la façon dont tu le fais, la façon dont tu te ressens. et juste que tu sois bien, sereine, vibrante sur ton chemin de vie. C'est tout ce que je te souhaite. Moi je m'appelle Laura Cardozo, je suis coach de vie et j'ai un grand plaisir à t'accompagner sur ce chemin vibrant grâce à ce podcast mais aussi grâce à mes services de coaching. Tu pourras aussi me retrouver sur Youtube si tu as envie d'en savoir encore plus et j'ai très grand plaisir à me retrouver avec toi pour parler de ces sujets. Perfectionniste, je vous aime, je me reconnais en vous et aujourd'hui on va parler de vous. Alors pour tous les autres qui peut-être ne se reconnaissent pas forcément, moi j'avoue que je pense très sincèrement que tout le monde a son petit côté perfectionniste et d'ailleurs dans les différentes difficultés qu'on va pouvoir évoquer au cours de cet épisode, je pense qu'il y a des choses sur lesquelles vous allez... tous pouvoir vous retrouver. Donc pas de panique, si dans votre tête vous dites Ah non, moi je ne suis pas quelqu'un qui fait attention à tous les détails, je n'ai pas cette peur-là, je suis fonceur, etc. Il y a quand même des petites choses où, à mon avis, vous allez vous retrouver. Donc restez à l'écoute. et perfectionniste je vous aime parce que je suis comme vous voilà c'est une déclaration d'amour pour moi-même aussi à mes propres erreurs, à mes propres défauts et surtout moi je trouve que c'est une qualité extraordinaire on est tous perfectionnistes à notre manière je pense, tiens il est 15h55 le 1er mai sur mon écran ça fait 11h55 donc voilà la déclaration d'amour est ponctuée par le ciel Non, qu'est-ce que je voulais vous dire ? Je trouve qu'il y a différentes, effectivement, façons d'être perfectionniste. Moi, chez moi, ça intervient. Sur la notion, tu sais, de beauté, je crois, d'harmonie, etc. J'ai un sens de l'esthétique qui m'est évidemment propre, comme à chacun. Et je peux passer des heures sur des visuels, sur des choses, en me Ah ouais, non, il y a... Ça colle pas exactement à l'énergie du projet, enfin je sais pas, je suis dans un truc où... Et je trouve que les perfectionnistes ou les gens comme nous qui sommes accrochés à ces petits détails, alors évidemment pas sur tout, parce que je crois qu'un vrai perfectionniste, il y a des choses qu'il va occulter, et d'autres sur lesquelles il va être très très très pointilleux. mais je crois que le monde avance bien aussi avec des gens comme nous qui sommes capables de faire attention à des petits détails que d'autres ne voient pas ou ne sentent pas, mais qui vont créer une différence énorme au final dans le ressenti, dans l'inconscient, dans ce genre de choses. Donc voilà, déjà, oui, cet épisode, il est là pour parler de certains défauts et de certains penchants et certaines choses, mais avec amour. parce que je me reconnais entièrement et puis surtout parce que j'aime les gens qui ont ce sens du détail j'aime les personnes qui vont comment dire au bout de la vision qu'ils avaient dans le sens où c'était cette vision là et ils ne vont pas forcément faire de compromis même si ce compromis serait de mettre un espace ou de ouais entre deux mots alors qu'en fait pas du tout le titre ressortira pas bien comme ça enfin voilà je sais que j'ai pu rendre complètement dingue ma mère quand elle écrivait son mémoire, parce qu'elle a relecture avec moi. Autant je suis quelqu'un qui, voilà, je pense que si vous regardez mes contenus, vous savez que je fais quand même des fautes d'orthographe. Autant la ponctuation, quoi. Enfin, il y a des trucs, il faut que ce soit sérieux, quand même. Je ne sais pas pourquoi je fais une fixette sur les trucs de ponctuation. Bref, ce n'est pas grave. Cela étant dit, allons voir un petit peu ce qui, chez les perfectionnistes, fait qu'on a tendance à repousser un petit peu nos projets de cœur, ou à ne pas se lancer tout de suite, etc. Parce que, dans mon univers, là c'est de ça dont on va parler de plus en plus. Ça a toujours été un fil conducteur, mais là on va aller un petit peu plus loin. De nos rêves, de ces façons qu'on a, de ces mécanismes qu'on a parfois de s'auto-saboter, de ne pas se reconnaître, de ne pas s'offrir le meilleur. parce qu'on a des peurs à l'intérieur de nous. Voilà. Première chose que j'avais envie de dire, amis perfectionnistes, mettez votre énergie au bon endroit. Et là, je pense que c'est quelque chose qui va vous permettre à tous, perfectionnistes ou pas, de vous reconnaître et d'avancer vers la vie de vos rêves. Quand on met au point un nouveau service, quand on a un nouveau rêve, quand on a des nouvelles envies, On peut avoir tendance, comme on est des gens perfectionnistes, à mettre l'emphase sur des tout petits détails ou sur des choses qui sont extérieures au cœur du projet, qui sont du plus, qui donnent justement cette image de perfection, de légitimité, d'assurance, etc. Je vais vous donner un exemple très concret. Quand j'ai commencé sur les réseaux en 2016, en fait j'ai commencé ma carrière d'entrepreneur en 2016 en tant que professeur de yoga. Donc je sortais de ma formation, j'étais hyper au taquet, mais avec beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de crainte, beaucoup de peur, ce qui est ultra normal évidemment. Et à ce moment-là, j'ai décidé que pour me lancer, j'avais besoin d'un site internet, j'avais besoin d'un logo, j'avais besoin de flyers. Et en fait, avec le recul et même assez vite finalement, je me suis rendu compte que tout ça, c'était autant de choses qui me permettaient de repousser le moment qui allait vraiment me mettre face à mes clients. ça me donnait selon moi une assise, une image qui était beaucoup plus confortable, qui me donnait justement quelque chose de l'ordre de la légitimité, que je cherchais encore à l'époque, même si mes professeurs me disaient que j'avais vraiment ce truc, et que quand on me rencontrait, on savait que j'étais professeur de yoga. Très bien, moi j'avais du mal à l'assumer, j'avais du mal à le croire moi-même. Et du coup je m'étais concentrée sur tout ce qui me permettait de ne pas affronter ma peur de rencontrer l'autre, de lui proposer mes tarifs, de le voir me dire non. Pour quelqu'un qui est perfectionniste et donc qui a une petite tendance au contrôle quand même, on ne se ment pas entre nous. voir des projets refusés par d'autres, voir des refus, des critiques, des choses comme ça, ça peut être déstabilisant parce qu'on a l'impression d'avoir tellement tout contrôlé, d'avoir tellement tout sous contrôle que forcément les gens vont, dans notre intériorité, on se dit, comme j'ai tout contrôlé, c'est sûr, les gens vont venir avec moi, ils vont venir à mes cours, ils vont avoir envie, etc. Parce que évidemment, ce besoin de perfectionnisme, c'est aussi pas que un trait de caractère et quelque chose du genre on le fait et on le fait bien jusqu'au bout. C'est aussi quelque chose qui dénote ce dont je vous parlais juste avant, c'est-à-dire un manque de confiance par moment. Un manque de confiance dans ses capacités à y arriver, même si... En fait, à y arriver quoi qu'il arrive, finalement. et où du coup finalement tous ces détails, tout cet esprit de perfection, tout ce besoin que ça arrive au bon moment, que ça se passe bien, que les gens disent oui absolument etc, c'est du contrôle pour se prémunir d'un non, pour éviter un non, pour éviter un refus qui à notre ego à ce moment-là ferait mal, parce qu'on en connaît, en tout cas moi à ce moment-là, des gens qui me disaient non j'en veux pas de ton offre. je ne connaissais pas ça. Donc je voulais absolument me blinder sur ça et leur donner à tous, pour moi qui commençais, une image de quelqu'un qui était sérieuse. Comme si, par ma propre énergie, par ma propre façon de travailler, par ma propre façon de démarcher les gens, d'aller à leurs contacts, ce sérieux ne transparaissait pas et qu'il fallait mettre mon énergie dans un logo, un site internet, etc. J'en ai parlé très récemment dans un post Instagram, ça ne m'a pas aidé du tout à trouver des clients, ça m'a juste aidé à me cacher. Et bien sûr c'est pas grave et si vous êtes entrepreneur depuis quelques années, je suis sûre que vous avez aussi ce genre d'anecdotes et que vous avez déjà vécu ce genre de choses mais... C'était tellement dans mon esprit, en tout cas pour faire comme les autres, être au même niveau, etc. C'est là où on voit que mon besoin de légitimité, il n'était pas comblé, il n'était pas ancré en moi que j'étais légitime. Et donc j'avais ce besoin de donner une vitrine à... à mon savoir, à mes compétences, à mon professionnalisme, à mon entreprise. Quelque part, j'étais allée chercher des choses qui se font au niveau 10 de mon entreprise et de l'entrepreneuriat, alors que moi-même, j'étais au niveau 1 de ma confiance, j'étais dans mes premiers pas d'entrepreneur. Alors si vous débutez vous-même, au moment où vous m'écoutez, le meilleur conseil que je peux vous donner pour débuter, dites aux gens ce que vous faites. Coin barre. Et c'est d'ailleurs comme ça que j'ai trouvé ma première cliente. C'était d'ailleurs deux clientes en cours particulier dans la ville où j'habitais. C'était absolument parfait, à un tarif qui me contenait parfaitement. Grâce aux bouches à oreilles, j'ai simplement dit sur ma page Facebook Je suis devenue professeure de yoga, je donne des cours à tel endroit. Quelqu'un l'a partagé, quelqu'un qui avait d'ailleurs... J'avais de la chance parce que dans mon réseau, j'avais quelqu'un qui avait une... vraiment une grande communauté dans la ville, une grande envergure dans la ville. Et du coup, ça a été vu par ces personnes-là qui m'ont contactée par la suite. C'est juste ça. Mon site internet, c'était presque trop parce que... Les gens n'allaient pas forcément taper la recherche sur internet, mon site n'était pas forcément bien placé pour que les gens puissent me trouver de cette façon-là, ça me coûtait de l'argent, mon logo c'était pareil, mon logo ne m'apporte pas de clients. C'était une façon pour moi de dire, ah ça y est j'ai trouvé mon univers, etc. Mais j'aurais pu ne jamais payer le logo, me faire un logo gratuit sur Canva et c'était fini, tu vois. Non, j'avais besoin d'un truc plus pro, j'avais besoin de sentir le professionnalisme en moi, tu vois. Donc voilà, mon conseil ce serait, écrivez des mails à vos anciens collègues, à vos amis, à votre famille, demandez-leur de partager l'info, dites aux gens ce que vous faites, dites aux gens comment vous pouvez les aider quand vous les croisez dans la rue, quand, je sais pas, vous venez d'acheter quelque part, vous rencontrez vos voisins, vous posez la question, qu'est-ce que vous faites dans la vie, ah bah moi je fais ça, nanani, nanana, voilà. On ose, on dit les choses et on dit aux gens comment on peut les aider. et on laisse aussi la confiance se mettre en place et les choses se faire. On n'a pas forcément besoin d'un site vitrine, parce qu'en plus sur mon site je ne vendais rien, c'est pas comme si les gens pouvaient réserver des cours via mon site, c'était juste qu'ils avaient les informations. Donc pas forcément, avec le recul évidemment, pas forcément, j'étais pas à un niveau de connaissance, de notoriété dans ma ville où les gens allaient chercher des infos en tapant mon nom, en tapant mon activité, ils allaient tomber sur mon site, pas du tout. Mais voilà, j'avais mis mon énergie à cet endroit-là parce que la peur était trop grande de voir un refus, la peur était trop grande. Je crois vraiment que la peur, c'était ça, que les gens me disent non. Ça, c'est le premier point que je voulais voir avec vous. Et je pense que ça parle à beaucoup, beaucoup, beaucoup de gens. L'autre point, c'était quand on est perfectionniste, évidemment, le truc, c'est il faut que ce soit parfait. Il faut que ce soit au bon moment. On va parler de ça. Cette notion de perfection, elle n'est relative qu'à vous. Déjà, prenez-le en compte. C'est votre sentiment de perfection. Ensuite... C'est quoi le bon moment ? Juste, prenez deux secondes. Je suis sûre que vous avez un projet en tête actuellement, un projet de cœur, quelque chose qui vous fait rêver. C'est quoi le bon moment ? Est-ce que le bon moment, c'est quand les enfants auront un certain âge ? Est-ce que le bon moment, c'est quand vous aurez atteint tel chiffre d'affaires ? Est-ce que c'est quand vous aurez fini les travaux à la maison ? Il y a des choses où effectivement, en termes de temps, le temps n'est pas forcément compressé, on ne peut pas forcément compresser le temps et faire rentrer encore plus de choses dans son agenda. Je peux l'entendre même si vous savez, à force de m'écouter, que les trois grandes objections de notre cerveau, pour se lancer dans quelque chose, pour démarrer quelque chose, c'est toujours l'argent, le temps et l'énergie qu'on a. Je peux entendre sur certaines choses. Parfois d'ailleurs, on ne ressent pas que c'est le bon moment et c'est des sensations intérieures absolument, comment dire, alignées. Et on est d'ailleurs très très bien avec le fait que ce ne soit pas le moment et on a hâte que ce soit le moment. Juste, ce n'est pas le moment. Ça c'est ok. Moi je vous parle de ce truc où vous dites Ouais, vous êtes... Ouais, je vous la fais. Je vous la fais. Vous êtes à un dîner avec des amis, à l'apéro, et puis on vous parle de ce fin de projet, et vous, vous répondez, ouais, je verrai, écoute, quand j'aurai le temps. Tu vois, quand tu commences à répondre comme ça, c'est que tu veux éviter quelque chose. Je ne sais pas si vous l'avez ressenti dans l'énergie de ma voix et tout, même si c'était un jeu d'acteur top. Je m'amuse beaucoup trop sur cet épisode, c'est fou. On se focus. Il y a quelque chose de l'ordre de... En fait, je repousse parce qu'à l'intérieur, j'ai très très peur et je ne suis pas sûre d'en être capable. Voilà, posons les mots tels qu'ils sont. Je ne suis pas sûre d'en être capable, donc j'attends que ce soit le bon moment. J'attends d'avoir suffisamment confiance. Mais je n'ose pas me l'avouer. J'attends... d'avoir suffisamment, je ne sais pas, l'énergie pour... J'attends un moment où je sentirai que quelqu'un aura sorti son panneau Let's go Laura, tu peux y aller ! Comme si l'univers m'avait fait un énorme, je ne sais pas, un énorme hug, un énorme arc-en-ciel qui veut dire Vas-y, là, c'est bon, c'est parti ! ça n'arrivera jamais. Vous pouvez... En fait, ça n'arrivera que le jour où vous, vous serez prêt à voir ce signe-là. Dans le sens où vous, vous serez prêt à interpréter un signe comme ça c'est le bon moment. Et qui finalement traduit à l'intérieur de vous que vous êtes prêt, que vous en sentez capable, que vous en avez envie, que vous avez décidé que c'était le moment pour vous. Je ne sais pas si vous sentez l'énorme différence. Dans tout ce que je raconte aujourd'hui, il n'y a rien de grave. Il n'y a que des mécanismes là qu'on est en train petit à petit de défaire, avec beaucoup d'amour, avec beaucoup d'attention. Parce que si je reprends votre logique de je le ferai quand ce sera le bon moment, peut-être que vous avez en tête que le bon moment ce sera quand vous vous sentirez suffisamment en confiance. Sachez que peut-être le jour où vous vous sentirez suffisamment en confiance, il y aura autour de vous, dans votre vie, un autre événement qui fera que peut-être... rationnellement, logiquement, ça ne sera pas le bon moment pour vous. Et vous vous direz, ah là là, si j'avais su, je l'aurais fait plus tôt parce que là, j'en ai vraiment envie de le faire, mais je n'ai juste pas le temps. Je ne peux juste pas, il vient de m'arriver une tuile, je ne peux pas. Donc je dois encore attendre. Et puis, dans trois semaines, votre mental, votre tuile, elle est passée, votre mental, il aura bougé encore. Et vous serez plus prête. Etc, etc. Les circonstances autour de vous, quoi qu'il arrive, elles vont bouger. Ce qui ne bougera pas, c'est à partir du moment où vous l'avez décidé. C'est fait. C'est acté. C'est pour vous. Et vous y allez. Ne dites pas que la problématique, c'est que ce n'est pas le bon moment pour vous. C'est que la vraie problématique derrière ça, c'est, pour les gens en tout cas qui se... Voilà, on reprend la scène de l'apéro avec les amis. C'est... En fait, je ne m'en crois pas capable. je ne me crois pas vraiment capable de ça et je ne sais pas comment je vais y arriver. C'est un rêve qui me tient à cœur, mais c'est comme si je savais que je pouvais le faire, mais je ne crois pas que je peux le faire. Il y a une différence notable. Vous le savez à l'intérieur, votre âme, elle vous parle et elle vous dit Va là-dedans parce que c'est ça pour toi. Tu pourras aller au-delà de chaque problématique qui se présentera devant toi. mais votre mental, lui, bloque. Votre mental, il vous dit, non mais attends, un, c'est pas rationnel, deux, on n'a aucune preuve qu'on va y arriver, trois, là, en ce moment, c'est peut-être pas le mieux parce que tu comprends, il se passe ci, il se passe ça, machin. Voilà. Et c'est ça qui se passe. Et c'est ce discours-là à l'intérieur de croyance qui influence votre savoir à l'intérieur. C'est pas grave. On le fait tous. C'est juste que... Après, c'est une question de croyance. Personnellement, je crois que là où notre cœur dit d'aller, c'est souvent la bonne direction. Et ce n'est pas que le cœur. C'est le cœur, c'est l'âme, c'est la vibration, c'est le corps. Vous savez, ce truc... cette espèce d'énergie, de densité particulière qu'on peut ressentir parfois en soi, cet éveil, cette chaleur, comment je pourrais mettre des mots là-dessus, où vraiment, vraiment le signe il est, mais c'est pas un signe, c'est une décision souveraine de votre âme. Voilà, vous sentiez que c'est fait pour vous, quelle que soit l'expérience. Et juste... notre mental, lui, va mettre des barrières parce qu'il va se dire mais qui sommes-nous pour nous voir aussi grands ? Qui sommes-nous pour nous croire capables de choses aussi illimitées ? Qui sommes-nous pour croire que ? Alors qu'en fait, l'appel de votre âme, c'est de faire tout le chemin pour le croire, pour le vivre et pour le diffuser autour de vous que c'est une réalité possible. En tout cas, ce sont mes croyances, c'est qu'il n'y a aucun rêve qui est mis en nous, aucun désir avec une telle vibration, avec un tel sentiment d'alignement qui est mis dans notre cœur, pour qu'on ne le réalise pas parce qu'on n'en est pas capable. Je ne crois pas à cette cruauté de l'univers, c'est impossible dans ma tête. C'est justement la boussole, la direction. Et c'est à nous, humains, de nous aligner avec cette vibration. et de l'incarner. Parce qu'on est des très belles antennes et on sait recevoir cette énergie, on sait capter ce message de peut-être une version de nous qui l'a déjà fait, qui est déjà plus avancée dans le futur. On sait capter l'énergie, on sait capter le message, mais en soi, il faut faire le travail. de déconstruction du mental, enfin, de déconstruction de certaines croyances qui pèsent sur le mental parce qu'elles ne sont au fond que des pensées et que des croyances et qu'elles peuvent être revisitées à tout moment parce que le jeu de la vie, c'est ça. Et une fois qu'on a fait ce travail, on peut l'incarner, on peut le vivre. Et ça, pour notre mental, c'est énorme parce que c'est une crainte de se dire c'est encore plus que ce que je croyais être. C'est plus que ce que je croyais pouvoir faire. C'est plus que ce que je me suis toujours dit être capable de. Bah ouais. Je suis sûre que vous avez déjà vécu des moments comme ça. Moi, mon dernier moment comme ça, il était fou. Et pourtant, pour d'autres, c'est tout pourri. Mais pour moi, c'était juste que j'étais capable de courir sur mon tapis de course à la salle. Je savais dans mon cœur que j'étais capable, que j'en avais envie. Mais mon mental, il disait, ah non, une demi-heure, courir sur le tapis, t'en es incapable. Enfin, vraiment, je me disais des trucs comme ça. Et en même temps, j'avais ce double discours intérieur. Entre l'âme, entre le cœur qui avait envie, entre le mental qui disait oui et qui disait non. et quand tu dépasses ça, même si c'est un truc tout bête, quand tu dépasses ça et que tu te dis mais je suis tellement plus que ce que tu me racontes mental, souviens-toi, je suis tellement plus et ça va continuer à s'expandre et ça va continuer à prendre de la place cette réalité-là, le mental ça le fait un peu paniquer. Parce qu'encore une fois le mental c'est pas vous. C'est ce que je disais dans certains épisodes anciens. Le mental, c'est comme un centre administratif, un centre de surveillance, un centre de traitement des données et des informations. Mais ce n'est pas vous. C'est un service au sein de votre entreprise corps-être-âme. C'est un service particulier qui a une place... vraiment importante, qu'il ne faut pas remiser au placard, qu'il faut choyer, qu'il faut aimer, qu'il faut regarder avec une espèce de bienveillance comme ça, de Ah, tu veux me limiter, qu'est-ce que tu es en train de croire ? Qu'est-ce que tu es en train de me raconter sur ce que je suis ? Qu'est-ce que tu es en train de me dire, là ? Genre, vraiment. et juste bah tiens en fait les pensées que t'as là moi je sens à l'intérieur que c'est pas les vrais que je suis en train de me limiter dans mon expansion, que mon âme elle est plus grande que ça mon énergie et ce que je suis amenée à vivre sur terre c'est plus grand que ce que tu me proposes viens on collabore on change un petit peu de trois chez Manorono on change un petit peu ça et je t'accompagne parce que je sens cher centre administratif cher mental que c'est un peu beaucoup pour toi là ce que je te demande donc allez je t'accompagne On régule le corps, on régule les émotions. On allège tout ça, on se soulage et on y va. Et on avance et on continue comme ça. Voilà. Je vous ai décrit le travail que je fais sur moi, le travail que je fais avec mes clients. Ça ressemble à ça. Les filles, franchement, si vous vous reconnaissez, commandez parce que je crois que c'est vraiment ça qu'on fait. Et c'est assez chouette. 16h16, tiens. C'est assez chouette, c'est assez cool. Voilà, qu'est-ce que je voulais vous dire encore ? Je crois que là, on a fait un bel état des lieux et que surtout, j'ai abordé les deux points que je voulais aborder avec vous. Sachez, je vous le dis en exclusivité, je vous l'annonce avant tout le monde et d'ailleurs, vous pourrez vous inscrire avant tout le monde. C'est ça qui est trop bien. Si vous êtes sur le podcast, vous allez regarder dans les notes du podcast. Je vais vous mettre un petit lien. Très bientôt ou presque très bientôt. Je vais aborder un peu plus en profondeur ces notions-là, je vais aborder plus de choses aussi dans une masterclass. Et cette masterclass, elle a un nom trop cool, elle s'appelle Pinterest to Reality, avec mon plus bel accent américain, Pinterest to Reality en franglais. Voilà, et l'idée c'est de parler, en fait j'ai envie de me parler quelque part à la moitié à quelques années ou à la mois encore par moment. et à toutes j'ai envie d'appeler les copines qui adorent le réseau social d'Instagram parce que, non pas Instagram de Pinterest parce que justement Pinterest c'est pas Instagram, c'est pas Twitter c'est pas X, c'est pas ces trucs là où c'est du négatif toute la journée, Pinterest c'est vraiment le réseau social du rêve de l'inspiration c'est très très porteur pour moi comme réseau et et J'ai envie d'appeler toutes les coops qui passent leur vie, si tu veux, à faire des tableaux par centaines pour coller à une énergie, pour ressentir quelque chose, pour faire leur tableau de visualisation, etc. Mais qui, en fait, finalement, ont l'impression que soit quand elles font ce tableau-là... c'est génial, mais trois jours après, elles ne passent pas à l'action pour le mettre en place, elles n'en font rien finalement, alors qu'elles sont en train de connecter à leurs rêves quand elles le font et qu'elles sentent cet alignement dont je vous parlais, cette vibration, cette densité si particulière qu'on ressent en soi à ce moment-là. Donc ça, c'est le premier cas. Le deuxième cas, c'est aussi quand... vous menez à bien ces projets, mais dans un état, dans un état de stress, dans un état de course, dans un état de si je ne l'ai pas, c'est horrible, etc. Et vraiment, que ce soit l'une ou l'autre, il n'y a pas de jugement, parce que j'ai vécu les deux, et surtout parce que pour avoir vécu les deux, je sais que, quelle que soit la catégorie dans laquelle vous vous rangez, vous avez la même problématique, je pense, quelque part, la même... blessures, les mêmes croyances limitantes finalement, les mêmes expériences qui font qu'il y a ces blocages et que vous allez avoir tendance à vous auto-saboter, que vous allez avoir tendance à... vivre ça, non pas dans la paix, dans l'expansion, dans ce truc de c'est génial, je suis en train d'aller vers mon rêve, je suis en train de marcher vers ça, je suis en train de faire ce qu'il faut, mais c'est top ! Ah, et puis en plus ça se réalise, ah tiens ça s'est pas réalisé, comment je peux faire ? Qu'est-ce que j'ai pas vu encore ? Qu'est-ce que je peux amener pour y arriver ? Comment je peux rectifier ça ? Le prendre avec du jeu, avec de l'amusement, avec de la légèreté. C'est un challenge pour beaucoup, c'est parfois un challenge encore pour moi, mais je vais vous accompagner avec tout ce que j'ai compris, tout ce que je sais. Dans cette masterclass, elle est gratuite, elle aura lieu le 13 mai à 19h. Et en plus, il y aura un groupe privé pour l'animer, pour que les gens qui participent se rencontrent et que surtout après la masterclass, je puisse continuer à vous accompagner dans vos prises de conscience, dans les déblocages, dans la mise en place de certaines choses. ça me tient à coeur parce que je pense qu'avec cette masterclass pour beaucoup de personnes ça peut être un moment un peu mind blown, tu sais ce moment où tu fais OUH et il y a plein de choses qui ressortent. Et j'aime pas laisser les gens avec ces choses qui ressortent et où on sait pas quoi en faire. On sait pas comment on peut gérer ça. Donc le groupe, il est là pour aider, majoritairement après la masterclass, pour que les gens puissent... Vous puissiez poser votre question, en fait, vous puissiez dire ce que vous avez sur le cœur et que je puisse vous guider pendant une petite semaine pour pouvoir guérir, non, mais pour vous guider pour... aller vers un mieux-être par rapport à ce que vous avez découvert, aller vers un soulagement, etc. Et bien voilà, je vous mets le lien de la masterclass. Quoi d'autre ? Vous le savez, l'offre du Cercle, elle est terminée actuellement, tout simplement parce que lors de cette masterclass, je vous présenterai aussi ma toute nouvelle offre qui est la version 2.0 du Cercle, il va avoir un autre nom. punaise j'en ai des frissons pardon c'est tellement tellement fou tellement de joie pour moi, c'est tellement en vérité avec ce que j'ai envie de vous montrer, de moi, de mes services, etc. Bref, donc je vous présenterai ça aussi lors de la masterclass du 13, on ne va pas s'étaler dessus mais j'en parlerai un petit peu pour les personnes que ça intéresse. Voilà, donc j'ai besoin de travailler sur ça et c'est pour ça qu'actuellement je ferme les portes du cercle et de tous ces accompagnements de coaching de groupe en fait. Voilà, vous ne pouvez pas rejoindre mon monde à ce niveau-là pour l'instant. Simplement, les coachings privés, eux, continuent. Et les coachings privés, ils sont toujours... Ils vous permettent toujours d'accéder aux coachings de groupe. Voilà, c'est la seule petite nuance. Les coachings privés sont toujours à 1500 euros puisqu'on n'est plus sur la promo du mois d'avril. et à partir de maintenant, mes offres, je vous l'ai dit les dernières fois, elles ne sont plus accessibles à vie, tout simplement, parce que je trouve ça beaucoup plus aligné, beaucoup plus juste avec moi aujourd'hui. Et du coup, le coaching va vous donner un accès à l'année, plutôt. Un accès à l'année. à vos douze séances de coaching, pardon j'ai le cerveau qui a buggé, à vos douze séances de coaching, et aussi au coaching de groupe, et à tout ce qu'il y aura en plus, dans ce nouveau service qui ouvre officiellement, pour tout le monde au mois de mai, mais que vous, vous pourrez rejoindre un petit peu avant. Voilà, enfin pour ceux qui veulent sauter dans l'aventure coaching one-on-one, voilà, nos pressions, on y va si on est prêt. quand on s'en sent capable. Voilà. C'est pas une question de moment, c'est quand on s'en sent capable.
