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L'appel du large

Les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs

Les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs

55min |04/09/2025
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55min |04/09/2025
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Description

Tu te sens illégitime à vouloir devenir freelance ? Et si c'était justement bon signe ?


Cette semaine, je te parle d’un sujet qu’on vit tous en silence : le syndrome de l’imposteur.

Celui qui te fait croire que tu n’es pas légitime, pas assez expert, pas prêt. Et pourtant…


Dans cet épisode, on voit ensemble :

📌 Pourquoi tu n’as pas besoin d’attendre d’être « prêt » pour te lancer

📌 Comment j’ai transformé mes doutes en moteur

📌 Ce que cache vraiment ce qu’on appelle le « syndrome de l’imposteur »

📌 Pourquoi chercher à être motivé en permanence est une mauvaise idée

📌 Comment recentrer ton énergie sur l’essentiel : ta mission

📌 Le piège du hustle mode et de la comparaison constante

📌 En quoi la vulnérabilité peut booster ta carrière de freelance


Un épisode pour t’aider à avancer même quand tu doutes. Surtout quand tu doutes.


Tu as aimé cet épisode ?


🎒 Je suis Nicolas Dorfmann, entrepreneur nomade et fondateur de shaperoom. Avec shaperoom, je t’accompagne à te lancer en freelance en 90 jours en apprenant mon métier, celui de media buyer. Comment ça se concrétise ? Tu entres dans le shapecamp pendant 90 jours, tu apprends le métier de media buyer freelance et tu obtiens tes premiers clients. Ensuite, tu rejoindras ma communauté de freelances "les shapers" ! Tu veux en savoir plus ? C’est par ici : https://www.shaperoom.io/


💜 N'oublie pas de laisser un avis et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify si cet épisode t’a plu ou de le partager sur les réseaux sociaux. C’est la meilleure manière de donner de la force à shaperoom !


À propos de shaperoom 👇


Avec shaperoom, découvre comment réussir ta reconversion professionnelle pour devenir freelance et bâtir une vie alignée, libre et mobile.

Je t’accompagne pas à pas dans ta transition vers le freelancing en partageant des conseils concrets sur le métier de media buyer et sur comment obtenir tes premiers clients en freelance.


shaperoom t’ouvre la voie pour devenir freelance media buyer, apprendre la publicité en ligne, et quitter ton job en toute confiance.


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À propos de Nicolas Dorfmann 👇


Je suis media buyer depuis 2020, formé en agence media buying à Paris par deux anciens de Google. En 2021 j’ai quitté le salariat pour me lancer en freelance et créer une vie à ma mesure — libre, engagée, alignée. En 2023 je suis devenu 100% nomade pour réaliser mes rêves.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a un moment dans chaque vie où quelque chose appelle. Ce n'est pas un cri, mais plutôt une vibration sourde, un écho venu du large. C'est ce moment où tu sens que ta vie ne peut plus rester entre les murs d'un bureau, ni dans le cadre d'une existence qu'on t'a dessinée. Je suis Nicolas Dorfman, entrepreneur nomade et fondateur de Shape Room. J'ai quitté le salariat pour construire une vie libre, et j'aide aujourd'hui d'autres esprits en quête d'indépendance à faire de même. Dans ce podcast... Je te partage deux dimensions de ce voyage. Je te dévoile d'abord mon journal, le journal d'un esprit libre, où je questionne la société, notre éducation, la peur, le courage, et tout ce qui façonne ou freine notre liberté intérieure. Puis, quand le besoin d'ancrage se fait sentir, je t'emmène sur le chemin du concret. Comment devenir freelance médiabayer, apprendre la publicité en ligne, et faire de ton indépendance une réalité. Ce podcast est une invitation à écouter ta voix intérieure, à réapprendre à penser par toi-même et à répondre, toi aussi, à l'appel du large. Bienvenue dans l'appel du large. Si cette voix résonne en toi, abonne-toi pour suivre le voyage, laisse un like et un commentaire pour faire rayonner le message. Et je te souhaite une très bonne écoute. Bon les amis, sujet du jour important et en plus sujet un petit peu plus personnel aujourd'hui, c'est une vidéo un peu plus... Chill, un peu plus freestyle j'ai envie de dire. Alors certes j'ai toujours des petites notes parce que j'ai envie que mes contenus soient quand même qualitatifs et qu'il y ait franchement de la valeur qui en ressorte en fait de ces contenus le plus possible du moins. Mais là c'était pas trop préparé. Là j'ai sorti mon micro, il est 13h, il faut que j'aille manger d'ailleurs après. On est le 28 août, je suis à Paris, de retour dans la chambre de quand j'étais étudiant en fait. Enfin, je ne sais pas si on peut voir un peu derrière moi. D'ailleurs, je me suis acheté une petite light. Je ne sais pas si ça se voit juste derrière moi, là. Une petite light un peu bleue. Alors, j'ai des lumières qui m'éclairent, donc on ne voit pas trop. Mais petit investissement. Voilà, c'est un truc qui m'a coûté 20 euros. D'ailleurs, c'est une pote qui m'en a parlé. Alors du coup, je le précise. Vous pouvez l'avoir évidemment si vous êtes en format YouTube, format vidéo. Sinon, je vous le dis, pour ceux qui écoutent, j'ai acheté une petite light trop cool sur Amazon. Ça m'a coûté 20 euros. Juste à côté. Et puis en fait on peut mettre n'importe quelle couleur avec une application c'est assez simple Alors moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, ça se trouve vous connaissez déjà, peut-être, dans ce cas là bon bah tant mieux pour vous, moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, j'ai une pote qui me l'a montré, je trouvais ça trop stylé. Ah bah d'ailleurs j'ai le paquet juste à côté de moi, ça s'appelle comment ? Rainbow Projector Lamp, voilà, je sais pas si on peut le voir, mais franchement petit placement de produit, non mais franchement hyper cool, donc c'est cool parce que je peux mettre un peu les couleurs de Shape Room derrière, bon ça se voit pas trop. De toute façon, le but c'était quand même de cacher le bordel qu'il y a derrière moi parce que du coup, quand je reviens chez ma mère à Paris, c'est toujours un peu le bordel parce que je reste pas très longtemps, je prépare mes affaires pour la suite. D'ailleurs, dans à peu près 7 jours, mesdames, messieurs, je m'envole pour l'Indonésie. Vous savez pas à quel point je suis mécontent. Ça fait, je pense, je sais pas, alors 4 mois que j'attends ça. Là, je vais passer 6 mois en Indonésie. Je vous raconterai tout ça dans mes podcasts, vidéos YouTube, évidemment. Et d'ailleurs... franchement je vous le redis, je vous le dis pas souvent mais je vous le redis quand même n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram si vous avez des idées de sujets, des idées de vidéos quand je m'exprime sur certains sujets, si vous dites ah putain mais c'est dommage il a pas mentionné ça ou ah c'est dommage il parle pas de ça, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram vraiment parce qu'en fait là ça fait deux semaines que je reçois franchement de plus en plus de messages par rapport à mes vidéos YouTube et mes podcasts et en fait ça fait trop plaisir de voir que bah il y a des humains derrière en fait, il y a des humains derrière cette putain de caméra, il y a des humains derrière ce putain de micro et derrière surtout ces statistiques que je vois voilà toutes les semaines juste de savoir que ça vous plaît, que ça vous motive, que ça vous drive, que ça vous inspire, peu importe mais c'est un plaisir de fou donc je le dis dès l'intro, je pense que je le dirai à chaque fois écrivez moi sur instagram, ça me fait trop plaisir comme ça on peut échanger j'ai même quelqu'un qui m'a écrit qui s'appelle Laure je crois, si je me souviens bien ouais s'appelle Laure qui m'a écrit, qui va aussi à Bali, donc on va se voir là-bas. Enfin, voilà, moi c'est aussi pour ça que je fais tout ça, c'est aussi pour ça que j'écris, que je fais des podcasts, que je fais cet accompagnement qui s'appelle Shape Room, que je fais des vidéos YouTube, c'est aussi pour rencontrer des gens en fait. Alors évidemment, c'est pas que pour ça, mais ça me fait trop plaisir de vous voir que les sujets vous touchent, ça peut vous aider, vous inspirer, ou peu importe, parce que c'est le but de ces podcasts et de ces vidéos. Donc n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et aussi, si vous souhaitez me donner de la force, le mieux. que la meilleure chose possible c'est de noter ce podcast ou de mettre des commentaires sur YouTube ou de vous abonner à ma chaîne YouTube, de liker, partager. Alors non seulement ça me donne de la force, mais ça va aussi donner plus de rayonnement à ce que je dis. en podcast, YouTube, peu importe, ça donne plus de rayonnement aussi à ce que je souhaite transmettre à travers mon projet Shape Room et ça donne plus de force à tous mes freelances qui sont dans ma communauté parce que mine de rien derrière, ce que je souhaite c'est que cette communauté qui est grandissante aujourd'hui on est une vingtaine à terme je veux que ce soit la plus influente et la plus grande de France et donc au delà de juste dire ouais j'ai une communauté hyper forte, hyper influente en fait j'ai vraiment envie de véhiculer des bonnes valeurs et un bon message Parce qu'en gros, avec Shaperoom, je l'ai déjà dit dans certains épisodes, mais c'est toujours bien de le répéter, moi j'estime que j'ai une mission à travers Shaperoom. Et cette mission, c'est de rendre les gens libres et épanouis. Grâce à un métier, en l'occurrence le media buying, mais après j'aimerais diversifier les bootcamps que j'ai dans Shaperoom. Là aujourd'hui c'est du media buying, c'est de la publicité en ligne, donc t'apprends à devenir expert en publicité en ligne. Et grâce à ce métier, tu peux voyager, tu peux être à ton compte, tu peux vraiment te sentir utile, important, bien gagner ta vie. Voilà, choisir tes horaires, tes vacances, bref, on connaît la chanson. Et en fait, à travers ce style de vie, donc le style de vie de freelance, en fait, entrepreneur, en gros, les gens sont épanouis, sont vibrants, vivants, tu vois. Parce qu'au-delà de l'aspect vraiment purement stylé du truc, ouais, t'es à Bali, tu voyages, tu gagnes bien ta vie ou quoi que ce soit, t'as aussi des moments de down, t'as des moments de doute, t'as des coups de mousse qui est normal, comme d'ailleurs en ce moment pour moi. Et c'est pour ça qu'on va en parler dans le sujet de la vidéo, parce que, voilà. Là, il y a deux, trois jours un peu plus difficiles pour moi et j'en parle pas souvent. Et c'est pour ça que j'ai un peu improvisé ce podcast-là, parce que ça me semblait important de pouvoir aussi parler de sujets un peu plus durs, un peu plus compliqués pour moi. Je pense que c'est une place totalement légitime que je peux avoir sur le podcast ou sur YouTube. Ça me semble important de ne pas juste montrer les choses belles, voilà. Même si, bon, moi j'aime vous faire rêver les potes, on est là pour ça quand même. Mais bref, au-delà de ça, du coup... Se sentir vivant à travers des moments de coup de mou, parce que quand c'est difficile, tu te sens vivant en fait. Tant que c'est... Tu vois, c'est de l'émotion, tu vois. C'est cette incertitude dont je parlais dans un autre podcast, cette insécurité qui est là, en quelque sorte, mais qui fait qu'on se sent mais vivant, quoi. Et après, la victoire de demain n'est que plus belle. Et donc à travers ce style de vie, d'être freelance, etc., moi ce que je veux, c'est œuvrer pour un monde meilleur. Parce que quelqu'un qui est épanoui, qui se sent vibrant, vivant, et bien naturellement... Tu vas faire le bien autour de toi, tu vois. Tu vas rayonner. Parce qu'on sent que t'as une mission, on sent que t'es porté par un truc. T'as un style de vie qui te fait kiffer, en fait. Tu vois. On sent que t'es à ta place. Donc, je pense notamment à Mathias. Il y a une vidéo qu'on a faite ensemble, une interview, que vous pouvez retrouver sur la chaîne YouTube, qui est disposée sur le podcast. Je pense notamment à Tom Soa, qui a 18 ans. Je pense à Lucien aussi. Je pense à Sonia également. On va tourner le podcast demain, d'ailleurs. Donc, ça va sortir au cours en septembre. Enfin bref. Je sais plus où est-ce que j'en étais, mais tout ça pour dire que voilà, épisode un peu plus freestyle, un peu plus spécial, mais dans tous les cas, il y a quand même toujours de la valeur qui est apportée, ça me tient vraiment à cœur. Et aujourd'hui, le sujet, alors je sais pas quel sera le titre exactement, normalement ça va être un truc du style les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs, ok ? Et le but, c'est que, en fait, ma phrase d'accroche si tu veux pour l'épisode, c'est ce que tu as dedans. n'a rien à voir avec ce que tu crois valoir. Ça, ça va être mon hook. Voilà, ok ? Donc, restez bien accrochés. On va décortiquer tout ça ensemble. En gros, je vais vous introduire un petit peu ma situation actuelle, ce qui s'est passé dans les semaines précédentes. Et puis, après, on va attaquer le sujet du jour, en fait, qui est en rapport... Alors, il y a un peu deux piliers, si vous voulez, sur cette vidéo. Il va y avoir donc tout ce qui tourne autour de l'imposteur, en fait. On parle beaucoup du syndrome de l'imposteur, etc. Mais tout ça, c'est du fake. Ce n'est qu'un écran de fumée. Je vais vous expliquer pourquoi moi je vois la chose comme ça. Et je pense que ça pourra vraiment vous aider à traiter avec cette légitimité. On parle tout le temps d'être légitime sur un domaine pour se lancer en freelance, ce qui est normal. Mais en fait, on accorde beaucoup trop d'importance à ce sujet. Et je vais vous expliquer pourquoi. Pour moi, c'est une construction mentale. Bref, il y a ce premier pilier. Et deuxième pilier, ça va être tout ce qui est autour de la motivation. Ce truc de... ce hustle mode. qu'on voit souvent sur les réseaux, pour y arriver il faut travailler dur, pour y arriver il faut être discipliné, la morning routine, le truc, le machin, ce qui est en partie vrai, mais vous allez voir qu'on va tempérer le truc parce qu'il faut remettre l'église au milieu du village, putain, voilà, il faut se dire les choses et aujourd'hui c'est un sujet important parce que je pense qu'il y a pas mal de personnes qui vont écouter ce podcast et qui vont regarder cette vidéo, du moins je l'espère, de plus en plus, c'est pour ça donnez de la force, likez, commentez, partagez les potes, vraiment. et puis moi ça me permet aussi de savoir quel impact je peux avoir et encore une fois écrivez moi sur instagram et voilà le but c'est que ça aide énormément de personnes qui qui pensent à se lancer en freelance ou qui où ça se trouve toi en ce moment tu es en train de te lancer en freelance donc ça va vraiment t'aider je termine ma petite intro qui est bordélique je vous l'ai dit c'est freestyle là mais c'était un peu le c'était pas le but c'est le but mais voilà c'est aussi ça j'aime bien les sujets un peu enfin les podcasts un peu plus chill ou voilà y'a pas de tu vois trop de montage ou quoi que ce soit enfin après j'aime bien quand c'est clean un minimum mais ou juste je sors mon micro et je parle évidemment j'ai un sujet pas juste parler devant la caméra comme ça comme un débile et bref je vous mets un peu de contexte je suis revenu de vacances j'ai fait deux semaines de vacances d'ailleurs très stylé on a fait serbie monténégro bosnie bosnie herzégovine et puis on a fait un road trip en fait on a loué une voiture à budapest et on est descendu en serbie on a fait le monténégro on est passé par la bosnie et on a rendu la voiture à budapest d'ailleurs petit aparté sur ce sujet là on a loué une voiture et à un moment donné il ya la marche arrière qui avait du mal à s'enclencher je faisais un créneau Il y avait un petit poteau en face, et en gros, c'était légèrement en pente vers le poteau, et comme la marche arrière avait du mal à s'enclencher, quand je lâchais le frein, la voiture continuait à avancer, très légèrement, et à un moment donné, elle touche le poteau, mais on ne sent rien du tout. Bref, il y avait une mini gratinure, mais quand je dis une mini gratinure, c'est vraiment un truc, ça faisait 2 cm. On rend la voiture à Hertz, à Budapest. Bref, du coup le mec remarque la petite égratignure et je me suis dit, bon putain, il va rien se passer tu vois, je lui ai demandé et tout, comment ça se passe, il m'a dit bah j'envoie le truc au desk, à l'office là, au bureau, et c'est eux qui décident de leur côté. J'ai dit bon bah ok, d'accord, très bien, j'aurais bien aimé discuter mais, parce que je me suis dit, ça se trouve ils vont nous mettre une couille tu vois, parce que c'était vraiment une toute petite égratignure mais tu sais, dans ce genre de, quand tu loues une voiture c'est toujours un peu le stress de se dire, ah putain, si je fais une trace qu'est-ce qu'il va se passer. donc il envoie le truc au bureau et Le lendemain je crois ou deux jours après, je reçois un mail avec la facture. J'étais en mode putain, une facture. Je regarde donc, j'ouvre le PDF, je regarde la facture. Et là je vais tout de suite sur la ligne du bas parce que tu t'emballes, il coule du reste. Je vais à la ligne du bas. Et là je vois quoi ? Je vois 500 balles. 500 balles. J'étais en mode mais ils se foutent de ma gueule quoi. Genre à quel moment, mais c'est même pas une égratignure, c'est une petite trace tu sais. La voiture elle a touché littéralement. effleurer le poteau, tu vois, 500 balles du coup j'ai quand même répondu, j'ai dit les gars expliquez-moi juste deux secondes pourquoi je dois payer 500 balles, parce qu'il y avait juste la facture en mode voilà y'a des gratinures, paye connard enfin bref voilà petite anecdote, c'est donc du coup deux semaines hyper sympas j'ai pu couper, c'était cool, donc là c'était en août on est le 28 août, ça fait ça fait combien de temps que j'ai repris, ça fait une semaine ? Ouais, je sais même plus. Une semaine, un truc comme ça. Bref, et du coup, me voilà de retour. dans le projet, dans le shape room et je dois vous avouer qu'il y a eu une semaine trop bien où je me sentais bien etc et puis là je dois vous avouer que c'est plus compliqué. Alors pas d'un point de vue résultat, c'est en fait ce qui se passe avec les gens avec qui je bosse surtout au sein de l'agence où ça me peine beaucoup parce que, alors je vais pas évidemment tout vous raconter, il y a quand même des trucs qui doivent rester privés mais il y a des choses qui ont été dites et du coup qui vont se passer qui malheureusement ne contribue pas au chemin que je souhaite emprunter en fait. Ça ne va pas dans ma vision. Et nos chemins vont très certainement se séparer avec ces personnes en question avec qui je travaille. Et du coup ça me peine beaucoup parce que c'est des amis en vrai, c'est des potes à travers le business si vous voulez. Et tout ça pour vous dire que voilà, c'est pas tous les jours facile. Je ne suis pas juste digital nomade, je suis en freelance et je vous enseigne mon métier. J'ai aussi une agence, j'ai une communauté, donc un collectif. Il y a évidemment l'accompagnement avec du coaching, des exercices, une plateforme de vidéos, etc. Mais voilà, j'aime bien vous donner aussi les coulisses parce que ça me paraît important. Si vous me voyez sur Instagram, sur YouTube, à chaque fois je donne des conseils, je parle souvent de ma vie, je donne pas mal de trucs hyper positifs, mais je trouve intéressant de parler aussi de trucs un peu plus... un peu plus noir. Voyage en le monde, un rêve de nomade, Paris aux éclats des vagues, surfant les vagues, chassant le soleil, Nicolas Dorfman toujours en effet. Je vous disais, on va parler un peu d'imposteur d'une certaine manière et de la motivation. Vous allez voir qu'il y a plein de sujets qui s'entrecoupent. Et d'ailleurs, pour cet épisode-là, ce que je me suis dit, j'ai travaillé avec ChatGPT et je me suis dit, pose-moi des questions comme si on était en interview et moi, je vais y répondre. Donc, on va tester ce format. Et encore une fois, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Écrivez-moi sur Instagram si vous arrivez sur cette chaîne YouTube, sur cette vidéo, si tu arrives sur ce podcast. Déjà je vais me présenter rapidement mais n'hésite pas à voir mes réseaux sociaux sur Instagram c'est NicolasShapeRoom S H A P E R D O M Et m'écrire sur Insta et me dire si cet épisode te plaît, même si il y a des trucs qui te plaisent pas tu me dis ça c'était pas ouf pour telle raison Ça m'énerve de fou en vrai Aidez-moi les gars Je vais me présenter avant de continuer Je m'appelle Nicolas Dorfman, j'ai 27 ans Mon anniversaire était le 2 août Voilà, si vous souhaitez me souhaiter mon anniversaire n'hésitez pas encore une fois mes dm instagram sont ouverts donc j'ai fondé shaperoom il y a maintenant un peu plus d'un an j'ai proum qu'est ce que c'est il ya trois verticales une première c'est le bootcamp on appelle ça le shape camp parce que c'est pas n'importe lequel c'est le bootcamp de shaperoom dans laquelle donc dans lequel je t'apprends mon métier et je t'aide à te lancer en freelance de a à z c'est à dire que tu connais rien et bah tu as des cours sur le marketing digital sur le media buying la publicité en ligne tu as des exercices avec google ads facebook ads on t'apprend à devenir expert sur google ads Et Meta Ads, c'est Facebook et Instagram, si tu ne sais jamais, tu ne le sais pas. Et donc, on t'apprend le métier avec des exercices, des quiz, des vidéos de formation, des fiches recap, etc. Et ensuite, tu vas avoir la partie lancement. Donc, on va t'apprendre et t'accompagner surtout de A à Z pour poser ton offre, ton positionnement, savoir te démarquer. Ensuite, aller trouver tes clients, aller discuter avec eux. Et le plus important, c'est en fait, on va t'apprendre et t'accompagner à signer tes clients. C'est vraiment un accompagnement de A à Z. On te prend de zéro, entre guillemets. de zéro et on t'amène à 1. A 1, c'est au minimum ton premier client, au grand minimum. Et ensuite, la deuxième verticale, c'est mon collectif. Je t'en parlais tout à l'heure, la communauté. Donc, c'est une communauté de freelance, experts en publicité en ligne. Et c'est une continuité du Shapecamp. Donc, en fait, le Shapecamp t'amène de zéro à 1 et la communauté t'amène de 1 à 10. Et d'ailleurs, il y a des nouveautés qui vont arriver. On va lancer des mini formations, beaucoup plus avancées sur Google et sur Meta. On va également proposer un coaching personnalisé qu'on va appeler Road to 10K. parce qu'il y a des freelances qui ont envie d'aller jusqu'à 10 000 euros par mois. Et donc, on va faire un groupe personnalisé, restreint, avec peut-être 5 personnes dans ces eaux-là pour les accompagner. C'est moi qui vais les accompagner en perso de A à Z jusqu'à ce qu'ils tapent les 10 000 euros par mois. Donc, ce n'est pas une blague. Moi, je l'ai fait et donc je sais comment faire. Et donc, on va les accompagner jusqu'à là. Au-delà de ça, on va développer aussi des co-living, des co-working. On va faire plus de rencontres également. On va lancer un système d'ambassadeur aussi parce qu'en fait cette communauté c'est pas juste la mienne c'est aussi surtout la leur donc la croche de la leur c'est mes shaper, mes freelance. Voilà et la troisième verticale c'est mon agence donc celle dont je te parlais tout à l'heure aussi qui s'appelle ShapeAds avec laquelle on accompagne des entreprises à se développer en ligne grâce aux publicités en ligne notamment google et meta. Voilà les présentations sont faites je me permets de te rappeler que ma mission à travers ShapeRoom c'est de vrai pour un monde meilleur en rendant les gens libres et épanouis notamment grâce à cette communauté et ce bootcamp. Si Tu veux te lancer en freelance ou alors tu es en train de te lancer en ce moment même, mais tu galères, tu as du mal pour je ne sais quelle raison. À ce moment-là, tu te dis naturellement, ok, je dois être motivé, hustle mode, peut-être morning routine et tout, je n'en sais rien. Tu te dis, ouais, ça ne va pas être facile, donc je dois être solide. Il y a plein de choses à faire, peut-être que tu as une tout doux qui est énorme. Et surtout, tu te dis quelque part, je dois prouver qui je suis. Alors soit tu te dis consciemment, soit tu te dis inconsciemment, mais on a tous ce besoin de prouver en fait, de se sentir légitime. Et du coup ça se transmet par beaucoup d'éléments extérieurs. Donc en fait ces éléments extérieurs, c'est ta tout douce, c'est la motivation, donc c'est beaucoup de travail. Surtout en France on a cette culture de plus tu te bosses, plus tu fais des heures, plus tu fais d'heures de travail, plus t'es inconsciemment récompensé. Alors au taf c'est consciemment récompensé. Mais toi tu vas te dire ok j'ai beaucoup bossé je suis bien alors que c'est pas forcément une bonne idée si tu bosses je sais pas 10 heures par jour mais que tu bosses pas d'une manière smart en fait c'est débile ça sert à rien, vaut mieux bosser 6 heures et vraiment être avoir une bonne organisation tu vois et être smart et en fait surtout derrière tout ça tu vois derrière ce sentiment de vouloir être motivé de vouloir prouver tu vois de de se dire faut que je sois comme cette personne là parce qu'il y a aussi parfois ces éléments de comparaison sur linkedin ou je ne sais quoi On a toujours envie de ressembler en quelque chose, en quelqu'un. On voit sur Instagram aussi beaucoup de discours de motivation, mode hustle mode, voilà, tu vas te lever tous les jours, 7h, faire plus que les autres, gna gna gna. Mais en fait, derrière tout ça, se cache de vraies peurs. C'est, est-ce que ça va marcher ? Est-ce que je suis à la hauteur ? Est-ce que je vais réussir ? Et quand bien même je trouve un client, comment ça se passe ? Est-ce que ça va marcher ce que je vais faire ? Est-ce qu'il va être content de mon travail ? Tu vois ? Donc en fait, on va parler de... tout ça, ce qu'on va voir ensemble, c'est que en fait, ce qu'on va voir ensemble, c'est en quoi la valeur intérieure ne se mesure pas à la motivation constante. Ça, c'est déjà une première chose. deuxième chose qu'on va voir ensemble c'est en quoi les éléments extérieurs que tu construis, consciemment ou inconsciemment, ne sont que des écrans de fumée. Je te l'ai dit déjà en intro. Et finalement, est-ce que le syndrome de l'imposteur ne serait qu'une invention, une croyance, une arnaque en fait ? Et donc c'est pour ça que peut-être que le titre de cet épisode, je dis pas peut-être, mais j'aime bien cette phrase qui dit que les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs. Et oui, parce qu'on va attaquer tout ça, c'est hyper intéressant en fait. On a toujours l'impression de vouloir... passer d'une identité A à une identité B, de vouloir faire face à ce syndrome de l'imposteur, tout en étant motivé, organisé, tout se passe bien, tout roule. Et en fait, finalement, on essaye de vaincre ce syndrome de l'imposteur. Mais c'est, pour moi, ce n'est pas la bonne idée. On va décortiquer tout ça ensemble, Ausha bien, pose-toi dans ton canapé, dans ton fauteuil, ou je ne sais où, fais-toi kiffer, prends un petit verre d'eau, je ne sais quoi, n'oublie pas, encore une fois, Je te regarde droit dans les yeux mon pote Si tu aimes cet épisode, si tu aimes mes vidéos YouTube, abonne-toi s'il te plaît, ça me ferait un plaisir de fou. Abonne-toi à ma chaîne YouTube, abonne-toi au podcast, laisse un commentaire, laisse un avis, écris-moi sur Instagram, partage, donne de la force, ça me ferait vraiment plaisir. Et puis écoute, je te souhaite une très bonne écoute pour la suite du podcast et de la vidéo YouTube. Comme je te l'ai dit, j'ai bossé avec TGPT pour faire un petit tram interview. On va tester voir ce que ça donne. Je trouvais ça marrant de tester ça comme ça. Alors beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Première question de notre cher ami ChatGPT. N'hésitez pas, elle va vous marteler en fait, n'hésitez pas à m'envoyer un message sur Instagram pour vous dire si les questions de ChatGPT sont pertinentes. Donc beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que tu as cru ça au départ ? Oui carrément, comme tout le monde. Mais c'est ce que je vous disais tout à l'heure. En fait, on est blindé de vidéos comme ça et de podcasts de la sorte. C'est un peu du mindset à deux balles, tu vois. Il faut en vouloir plus que les autres, il faut en faire plus que les autres. Alors, il y a une petite part de vérité quand même, mais en fait, ça cache beaucoup de choses parce que ça, ces conseils-là qu'on peut voir à droite à gauche, c'est juste des conseils de surface. Il n'y a pas des conseils de fond, en fait. Donc oui, je pensais qu'il fallait être motivé en permanence. Et donc, en fait, le danger avec ça, c'est que si tu ne te sens pas motivé, Parce qu'en plus, la motivation, ça va, ça vient. C'est pas constant. Là où la discipline est constante. Mais au-delà de ça, en fait, quand tu te sens pas motivé, du coup, tu te dis, putain, j'y arriverai pas. Je suis pas motivé, je suis pas au niveau comme les autres qui ont l'air trop motivés. En plus, si tu traînes sur LinkedIn, tu vois que des posts. LinkedIn, ça commence à me saouler, les gars. Vraiment. C'est vraiment juste des vitrines, quoi. Les gens ne font que se vendre. Ce qui est normal dans un sens aussi tu vois Mais ça me pète un peu les couilles quoi, genre les mecs ils font que des posts, alors pas tous, attention je mets pas tout le monde dans le même panier, il y en a quand même beaucoup qui se vendent énormément, et donc ça c'est dangereux parce que si tu te lances en freelance, ou même si tu commences à te renseigner ou quoi que ce soit, bah t'es mis face à ces posts, et donc en fait le jour où t'es pas motivé, ou même si t'es débutant, disons t'es à la page 1, tu vas voir des mecs qui sont à la page 20, qui sont naturellement motivés ou je ne sais quoi, et donc bah ça va... Ça va te démotiver en fait, ça va te pousser un peu vers le bas, moi j'en ai des freelances qui me le disent, qui me disent putain mais ça me saoule quand je vois un tel, il crie ça, il a l'air d'être tellement chaud, moi qu'est-ce que je vois à côté tu vois. Et donc on a l'impression qu'on doit toujours être dans cette motivation constante pour build up et c'est dangereux parce qu'en fait le jour où tu n'as pas de motivation, tout s'effondre parce que ce n'est qu'un écran de fumée la motivation. Ce qu'il faut c'est le fond, c'est le why, c'est pourquoi tu fais ce que tu fais, c'est une vision tu vois. C'est pour ça que j'en parle beaucoup dans mes vidéos, mais également dans mon accompagnement. C'est d'avoir une vision qui est claire, alors pas forcément un truc super carré, etc. Mais de savoir où tu vas, qui tu veux devenir, quel style de vie tu veux avoir. Et de se recentrer d'une part sur soi, donc il y a le pourquoi pour toi, mais il y a aussi le pourquoi pour le monde qui t'entoure. Parce que tu vois ce que je te disais tout à l'heure, ce truc de vouloir être légitime, ce syndrome dans l'imposteur, toutes ces choses-là, et puis même la comparaison sur LinkedIn, en fait ce ne sont que des éléments extérieurs qui te renvoient à ta propre personne. Donc en fait... Ça veut intimement dire que tu es centré sur toi. T'es un peu nombriliste en fait. Et puis tous les êtres humains sont plus ou moins comme ça. On est tous centré sur nos besoins, sur notre image, machin. Mais c'est ça l'erreur. Parce qu'en fait, on a l'impression qu'on doit se vendre, qu'on doit prouver, qu'on doit être légitime. Mais en fait, à partir du moment où tu tournes ton attention vers les projets que tu vas accompagner, vers tes futurs clients ou je ne sais qui d'autre, là ça change ta perception des choses. Parce que tout n'est qu'une question de perception. En fait, toi, on t'a toujours vendu un prisme et tu dois te vendre, tu dois être motivé. Tu dois faire ci, tu dois faire ça. Mais en fait, tu tournes ton attention vers ton prospect, vers tes projets, les projets que tu veux accompagner, les clients que tu veux accompagner. Et là, tout change. tout change parce qu'en fait Tu n'es plus en train de te dire, je dois prouver, moi je, moi je, moi je dois me vendre, je dois faire ci, je dois faire ça, regarde l'autre, il est comme ça, moi je suis pas comme ça. Non, là t'es en train de te dire, bah y'a un mec qui a besoin de mon aide en fait. Et puis moi, même si t'es débutant, t'as forcément des skills, des compétences qui sont beaucoup plus développées que je ne sais qui d'autre. Je ne sais qui est l'autre client. Et moi c'est pareil avec chez Pro, moi je vois des écoles, je vois des formateurs qui ont plus d'expérience que moi, mais j'en ai rien à foutre. parce que moi j'ai une putain de mission en fait et je sais que ce que je connais là en ce moment, mes compétences Et mes vidéos YouTube, c'est pareil. Tu vois, je vois des vidéos qui sont incroyables. Moi, je suis en mode... Parfois, je me dis, mes vidéos, elles ne sont pas ouf. Mais en fait, je kiffe ce que je fais déjà. Et je sais que ça va aider des gens et ça aide déjà des gens. Et j'espère que ça t'aide aussi. Et en fait, dis-toi que si tu es à la page 2, par exemple, tu vas aider la personne qui est à la page 1. Tu n'es pas obligé d'être au niveau 20, en fait. Et toutes tes connaissances et tes compétences que tu as aujourd'hui, elles vont forcément aider des gens. il y a des gens qui ne connaissent pas tout ce que tu sais. Moi, je me posais les mêmes questions. Je me disais, putain, mais moi, je suis accompagné par un coach. Le mec, il est trop chaud. Et je me disais parfois, mais putain, moi je suis qui pour coacher, tu vois ? Mais en fait, vu ce que j'ai traversé, vu ce que je travaille, je suis coaché, je suis formé, etc., je connais plein de trucs en fait. Et à partir du moment où tu commences à transmettre, où tu commences à vraiment considérer l'autre personne, la personne qui est en face de toi, qui a besoin d'être, qui a besoin de toi, ben là finalement tu te rends compte que t'es chaud, en fait, que tu te rends compte que t'as des connaissances, t'as des compétences, et que ça peut marcher. mais je sais que c'est pas facile je sais que c'est pas facile mais je trouve que c'est parfois irresponsable de se dire, vu que je ne suis pas à 100%, parce que moi j'entends souvent ça, oui, oui, il faut que je connaisse toi à 100%, non, c'est pas possible, tu peux pas tout connaître à 100% de toute façon. Mais donc en fait, si tu te dis, vu que je suis pas à 100%, je peux pas aider, mais en fait tu laisses plein de personnes au bord du chemin. Et moi je trouve ça irresponsable personnellement. Donc tout ça pour répondre à ta question, MrChadJPT qui est juste derrière moi, enfin derrière la caméra, beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence, est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Oui. complètement voilà donc moi aussi je suis tombé dans ce truc là dans vouloir être motivé tout le temps et le truc c'est que bah la motivation constante ça n'existe pas il faut être discipliné et au delà de ça il faut avoir une vision et un pourquoi il faut aussi accepter que il y ait des moments comme moi aujourd'hui où vraiment énergie complètement down enfin je vous disais tout à l'heure avant d'allumer le micro j'étais devant mon ordi je regardais par la fenêtre là comme ça c'est pas facile quoi Voilà, et je me suis dit que c'était le bon moment pour justement enregistrer parce que ça peut peut-être résonner avec toi. Deuxième question, mais j'ai l'impression que c'est quasiment la même. Quand tu entends motivation constante, qu'est-ce que ça évoque pour toi ? Ah bah ça évoque ce que je viens de vous dire. Motivation constante, bullshit. Voilà ce que ça évoque pour moi. Motivation constante, ça n'existe pas. Il y a des moments de down. Et en fait... Le problème avec ce truc de motivation constante, d'être meilleur que les autres, d'en faire plus que les autres tout le temps, c'est justement, tu tombes... En fait, tu t'obliges à ne pas accepter tes moments de down, les moments où t'es pas bien, les moments où t'es fatigué, et c'est normal, en fait. C'est normal. Point. Et en fait, c'est justement des moments qui sont importants. Si tu les considères et si tu les vis à 100%, derrière, c'est comme si t'étais... Je me rappelle, ma cousine, elle m'avait donné une image que j'ai bien aimée. C'est comme si tu allais au fond de la piscine, tu vois. Et au fond de la piscine, tu remontes toujours forcément. Parle pas de ton corps, etc. Tu remontes, en fait. Et je trouvais ça hyper intéressant. Moi, j'estime qu'aujourd'hui, je suis un petit peu au fond de la piscine quand même. Mais ça va remonter, je le sais. En fait, dans ces moments-là, tu sais que tu as des techniques pour en sortir le plus rapidement possible. On va peut-être en parler. La méthode Scafa, je t'en parlerai. J'en ai déjà parlé dans une vidéo. Mais au-delà de vouloir en sortir vite, accepter le moment, le vivre pleinement, parce que c'est là où tu te sens vivant, tu vois. Et après, tu sais que ça va remonter en fait. Il y a toujours un moment donné où ça s'arrange, où les choses elles s'arrangent. Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire qu'il faut toujours être motivé pour avoir une chance de réussir ? Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire ça ? Bah, parce qu'en fait c'est notre éducation. Franchement, c'est notre éducation, c'est aussi ce qu'on voit sur les réseaux sociaux. Voilà quoi, c'est... En fait, en France, on est éduqué au try hard. On est éduqué surtout au work hard on va dire. Work hard, je mets un peu l'accent. On n'est pas éduqué à fail fast, tu vois, genre à échouer, à tester, à apprendre. Non, on est éduqué à plus tu bosses, mieux c'est. Peu importe ce que tu fais, moi je... C'est ça qui est fou quand même. Moi quand j'étais en entreprise, je ne comprenais pas ça. C'est-à-dire que les heures, c'était 9h30, 18h30. Si tu avais fini toutes tes tâches à 18h, moi je me rappelle une phrase de ma manager qui m'a dit... Non mais si t'raises 30 minutes, moi j'ai des tâches de 30 minutes si tu veux. Nique ta race ! En fait en France c'est fou, on n'accorde pas d'importance à l'être humain, à son bien-être, beaucoup moins que d'autres nationalités et en fait le repos fonctionne tout autant que ton huit heures de travail tu vois. En fait en France on ne considère pas la possibilité qu'une semaine peut rentrer en quatre jours tu vois alors que bien sûr que si ce n'est qu'une question de perception, ce n'est qu'une question de mental et d'organisation évidemment donc c'est cette éducation en fait et le truc c'est que comme c'est tellement ancré en nous on l'applique tous les jours même sans s'en rendre compte tu vois naturellement plus on bosse plus on va être rassuré et j'en parlais avec des potes tu vois parfois quand on bosse pas limite ça nous fait culpabiliser en fait on est là on est en mode putain mais je bosse pas je fais rien mais c'est ok genre c'est normal il y a des fois t'as besoin de repos il y a des fois t'as t'es fatigué et c'est normal et le repos est tout aussi important que tes moments où tu es dans le rush des moments tu bosses tu vois moi je le considère comme ça tu vois il faut vraiment ramener de l'importance il ya fabien oulicard famille oulicard que tu connais peut-être sur youtube qui est assez connu qui a fait pas mal de livres qui en parle qui dit que les moments tu te fais chier le moment tu fais rien en fait c'est tout aussi important que les moments où tu travailles à l'amont tu bosses parce qu'en fait ton cerveau il est au repos et en fait en arrière fond tu as le subconscient et même je pense aussi le conscient Je ne suis pas du tout expert sur le sujet, mais derrière, ça va bosser, ça va avancer. C'est comme il y a un biais qui existe, quand tu commences une tâche et que tu ne l'as pas finie, ton cerveau, il y pense toujours parce qu'il le met en mode en cours. Et donc, il travaille dessus, tu vois. Et donc, le fait de ne pas finir une tâche, ce n'est pas si grave parce que ton cerveau, il y travaille quand même, il va peut-être améliorer certaines choses. Tu vas peut-être y revenir plus tard. Tout ça pour dire que les moments de pause, les moments où tu ne fais rien, en fait, tu mets ton cerveau en pause, ça crée des connexions neuronales, ça te rend plus créatif, ça te rend plus productif Donc c'est tout aussi important. Tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer, même quand tu n'avais pas l'énergie ? Alors ça, carrément ouais. Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, carrément ouais. Alors je pense que la première fois que je l'ai ressenti, c'était au taf en fait. C'était au taf. Enfin au taf, quand j'étais en agence. J'ai un exemple précis en tête, mais un truc, ça m'a saoulé putain, rien que dans 10% ça me vénère Mais heureusement ça a changé pour moi, c'est cool quand même. Et donc si toi t'es salarié d'ailleurs, et que tu veux te lancer en freelance, t'hésite pas, j'ai un lien en description, et c'est le moment pub là. Non mais tu peux déjà te renseigner, tu peux voir l'accompagnement chez Eproum, et voir ce que c'est le media buying pour voir si ça t'intéresse. Parce que je vais te parler de quand j'étais en salarié, il y a un truc qui m'a saoulé de fou, j'étais en vacances au Mexique pendant 2 ou 3 semaines je crois, un truc comme ça, 3 semaines je crois. donc t'as le décalage horaire ok ? donc je fais 3 semaines de vacances au mois d'août, je reviens, je crois que c'est la 3ème semaine d'août Un truc comme ça. Je reviens, je fais tout mon taf et tout, je fais toutes mes tâches, et je me rappelle le jeudi midi, un truc comme jeudi matin, j'avais fini quasiment toutes mes tâches. Bref, du coup je demande aux autres s'ils ont besoin d'aide pour aider, pour faire des trucs, parce que bah évidemment, culture française, c'est 5 jours par semaine, et tu remplis tes 5 jours, même si c'est pas très smart, mais bon bref. Et en fait, la semaine suivante, après être rentré, alors du coup cette semaine quand je suis rentré, évidemment après le Mexique, dis-toi que je suis rentré le dimanche, Le lundi, je reprenais le taf. Donc j'étais forcément un peu fatigué, tu vois, t'es en décalage horaire. Surtout que quand tu fais ouest vers est, c'est fatigant. Tu vois, moi quand je vais à Bali par exemple ou en Asie, quoi, bah en fait, quand tu te couches vers genre 23h ou minuit, en gros ton corps, il pense que c'est l'après-midi, il pense que c'est une sieste. Parce que t'es en plus 6, plus 7. Donc en fait, quand j'étais au Mexique et que je suis rentré en France, j'étais en plus 6 en France. Donc c'était l'après-midi au Mexique et le soir en France. et donc en fait je me couche à 23 minuit Mais après, je me réveille au milieu de la nuit parce que mon corps, il pensait que c'était une sieste. Donc, tu dors deux heures et après, tu es réveillé, tu es en forme. Donc, le temps de te recaler, moi, il me faut généralement trois, quatre jours. Donc, tu es fatigué en fait parce que tu vas quand même au taf vu que tu es obligé d'y aller. En plus, c'est le tel travail. Du coup, évidemment, c'était tout un sujet. Donc, on ne considère même pas le fait que tu sois fatigué. Sinon, tu te démerdes, tu viens au boulot. Encore une fois, encore une autre très belle idée ça. donc du coup j'allais au boulot j'étais fatigué et donc Normalement, enfin naturellement, j'étais moins dynamique dans ma manière d'être, ce qui est normal. Enfin je veux dire, puis même dans mes tâches du coup, parce que j'étais fatigué, j'avais du mal à dormir. Parce que j'ai décidé de reprendre directement ce qu'était une heure, mais bon, voilà, tu prends trois semaines de vacances, bah t'es un peu obligé quelque part. C'est con putain, c'est vraiment débile quand tu y penses. Mais quand tu fais trois semaines de vacances, tu te sens un peu obligé de reprendre le taf direct. Et je m'en rappelle donc, après cette semaine compliquée, l'autre semaine, la deuxième semaine, J'étais recalé, j'ai un point que ma manageuse qui me dit ouais Nico moi il y a un truc qui m'a un peu interpellé la semaine dernière c'est que Je te sentais beaucoup moins dynamique que d'habitude. Et ça, voilà, j'aime pas trop parce que je te voyais un peu plus sur ton téléphone, je voyais que t'étais un peu plus fatigué, que tu faisais pas ce que tu devais faire, tu pouvais aller plus vite, tu pouvais faire plus, tu pouvais faire mieux. Quand j'ai entendu ça, je me suis dit mais... Mais on est où là ? Mais on est où putain ? On a pas le droit de vivre ? Tu sais, on a pas le droit d'être fatigué, on a pas le droit d'avoir des coups de mou tu vois ? Non, faut toujours être... Et vraiment, alors je lui ai pas dit ça, parce qu'à l'époque j'étais en alternance, c'était il y a quoi, il y a 4 ans maintenant ? Mais je lui ai dit écoute, je vais pas dire son nom, mais écoute, je reviens du Mexique, j'ai le décalage horaire, je suis fatigué, je suis peut-être moins dynamique, mais je fais ce que je peux. Je fais mes heures de travail, j'ai terminé mes tâches le jeudi matin, voilà, et après j'étais dispo pour aider les autres, donc pour moi ça me paraît ok. En plus c'était 3ème semaine d'août, quand t'es en agence de publicité en ligne. Pardon, mais il n'y a pas non plus 1000 sujets, tu vois. Et c'est ok, c'est normal des fois d'avoir des coups de mou, et d'être dans une période où tu fais moins, parce que voilà. Donc bon, elle ne voulait pas l'entendre, mais au-delà de ça, ça répond à la question de notre cher ami Tchadépété, tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer même quand tu n'avais pas l'énergie. C'était clairement ça, tu vois. Et puis évidemment, je l'ai encore aujourd'hui, parce que là c'est différent, c'est mon projet, mais pour Shaper Room parfois, oui j'ai envie de performer tout le temps tout le temps tout le temps parce que j'ai envie de faire grossir mon projet même quand je n'ai pas l'énergie et c'est pour ça que j'essaye énormément de tempérer de m'écouter bien voilà aujourd'hui fatigué et ben je vais moins performé et c'est et c'est ok et un mec sur youtube sur instagram il fait des vidéos parfois et je sais pas comment il s'appelle faut que je retrouve le nom et il parodie un peu les coachs ça me fait trop marrer et il fait et c'est ok et ça me fait trop marrer bref du coup dès que je le dis ça me fait penser à lui Quelles conséquences ça peut avoir de se juger uniquement sur son niveau de motivation ? C'est trop bien comme question, merci Tchadjépté, parce que quelles conséquences ça a de se juger uniquement par ça ? Et au-delà de la motivation, c'est aussi par notre niveau de performance, notre capacité à avancer, à faire les choses, à remplir notre tout doux. C'est ça, et ça c'est fou, parce qu'il faut absolument qu'on se détache de cet objectif de performance, de tout doux. Et en fait, il y a aussi des objectifs. Moi, je dis tout le temps, les objectifs ne sont pas faits pour être atteints. Un objectif, c'est un cap, c'est une direction. Alors si tu matches tes objectifs, si tu es au-dessus, tant mieux. Mais pour moi, si tu matches tes objectifs ou si tu es au-dessus, c'est qu'il y a un problème. C'est peut-être que ton objectif, il n'était pas assez élevé en fait. Et donc du coup, il faut arrêter de considérer qu'il faut tout le temps performer, il faut tout le temps être motivé, il faut tout le temps remplir ses objectifs. Ça ne marche pas parce que du coup le risque, les conséquences, c'est justement de ne pas être motivé, de dire qu'on est nul. Et en plus, ça a été prouvé scientifiquement de se répéter parfois qu'on est nul ou qu'on n'arrive pas à avancer ou je ne sais quoi, bah qu'en fait, ça joue en ta défaveur, tu vois. Alors l'idée, c'est pas d'être dans le déni, d'être en mode « oui, c'est bon, tout va bien » , mais c'est d'accepter et puis de dire que ça va aller mieux et que voilà, tu connais, t'as des cycles, la vie c'est un cycle, tu vois. Mais il faut tout autant considérer en fait les moments de doute, les moments compliqués, de non-motivation, que les moments où tu performes en fait. ils sont tout aussi importants, ils sont tout aussi nourrissants donc les conséquences c'est que tu... Tu deep down dans tes pensées, dans tes moments de down et tout. Et c'est ça les conséquences et le risque, c'est que ça joue en ta défaveur, alors que toi, ce que tu veux, c'est performer et avancer. Est-ce que tu peux nous raconter un moment concret où tu t'es dit, là, je ne suis pas assez motivé, je vais échouer ? En vrai, je ne pense pas. Par contre, quand j'étais en entreprise, ça m'est arrivé de me dire, je ne serai pas à la hauteur de ce qu'ils me demandent, donc je vais échouer. Je vais me faire virer. Alors qu'en vrai je faisais bien mon taf tu vois, on arrêtait pas de me juger sur mon paraître. C'était mon dynamisme machin, on me disait même quand on donne des trucs à faire on a l'impression que tu t'en fous, que t'as un comportement jamanfoutiste. Mais les gars, je faisais vraiment, je faisais les choses en âme et conscience, je travaillais bien, on me disait ouais tes clients tu les gères bien, il y a des bons résultats. Je faisais même des formations, j'étais en alternance, je donnais des formations à des gens qui arrivaient, en CDI d'ailleurs. Donc je comprenais pas tu vas y prendre après on me disait ouais t'es pas si dynamique t'es pas si présent tu fais trop de télétravail putain de merde quoi Quand on te donne un truc à faire, on a l'impression que tu t'en fous. Mais que dalle, c'était juste ma manière d'être. Donc là, je me suis dit, oui, je vais peut-être échouer à ne pas rester dans cette entreprise. Mais bon, finalement, je suis parti et c'était la plus belle décision de ma vie. Demain, on sera en freelance. Putain, c'était incroyable. Quatre mois après avoir quitté mon job, enfin quitté mon alternance, je faisais 10 000 euros. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte. Là, je me suis prouvé à moi-même que je n'étais pas du tout un clampin, pas du tout un mec chill. Et puis qui n'était pas dynamique quoi. Quatre mois après, je faisais 10 000 euros par mois. Je travaillais avec des clients, avec Nivea. des trucs de ouf comme ça tu vois Donc là, j'étais en mode, ok, en fait, je suis chaud, voilà. Et c'était quatre mois après, enfin, comme quoi la progression, elle peut être comme ça, tu vois. Et parfois, par contre, il faut du temps, ça c'est normal. Donc, comment tu as traversé ces moments de creux ? Comme aujourd'hui, tiens, voilà, on y arrive, comment j'ai traversé ces moments de creux ? Eh bien, c'est assez simple, je vais me répéter, mais comment tu les traverses ? Eh bien, c'est, tu donnes de l'attention, tu les vis. Parce qu'en fait, parfois, on a tendance à mettre ces moments de creux, ces moments de down, des moments de doute, etc., où t'es pas bien. Tu les mets de côté, tu les mets sous le tapis, tu vois. En mode comme de la poussière, en mode tu veux pas l'avoir. Pourquoi ? Parce qu'on est élevé dans ce truc de il faut toujours être au top, il faut toujours être le meilleur, il faut toujours être motivé, il faut toujours faire ci, faire ça, performer. Et donc, en fait, naturellement, tu te dis bah non, mais je devrais pas être comme ça, c'est pas normal. Vas-y, je me motive, allez, je me mets un coup de pied au cul. Et justement, ce truc de se mettre un coup de pied au cul, c'est une débilité. arrêtez-vous de faire ça de mettre des coupiers au cul, ça ne marche pas bien au contraire acceptez le truc, acceptez l'émotion, acceptez la situation, vivez là en fait accordez-y de l'attention parce que quand vous êtes au fond, quand vous êtes dans le creux c'est là où tout se joue en fait, si vous y mettez pas de l'attention ça va revenir ou alors vous allez rester un petit moment là dedans parce que vous êtes dans le déni tu vois au contraire au lieu de mettre la poussière sous le tapis vous soulevez le tapis ah ouais putain en fait y'a pas mal de poussière je vais peut-être regarder, je vais voir ce qui se passe et je vais nettoyer mais c'est comme ça qu'on traverse des moments de creux c'est comme des problèmes, je sais pas Des choses qui reviennent sans cesse, ça peut arriver, c'est comme, je sais pas si demain t'as un facteur qui tape à ta porte, mais que tu veux pas lui ouvrir, bah il va toujours taper, il va dire mec j'ai un colis pour toi en fait, tu vas répondre, je sais que t'es là tu vois, bah c'est pareil quand t'as des moments de doute etc, que tu veux pas regarder, bah là tu ouvres la porte, t'acceptes le facteur, t'as un colis, puis c'est un colis de merde, mais tant mieux, on l'accepte, on regarde, parce que c'est grâce à ça qu'ensuite vous allez remonter tu vois, encore une fois je vous reprends les images, j'adore les images, l'image de vous Croyez en mon expérience. Et là, c'est trop bien parce que je suis dans un moment de creux, donc je sais que ça va remonter. C'est pour ça que là, je vous parle. En vrai, ça va. Même si, bon, je suis content d'être derrière un micro et de parler, mais bon, c'était difficile quand même tout à l'heure. Et c'est normal, je l'accepte. Et c'est comme ça que pour moi, on traverse ces moments de creux. On accepte, on vit. Et la vision, le pourquoi, ça aide énormément. La vision, le pourquoi. pourquoi vous faites ce que vous faites et où est-ce que vous allez concrètement. C'est des fondations. ultra importante qu'est ce qui me compte vraiment quand la motivation n'est plus là et ben c'est ce que je vous disais c'est la vision c'est le pourquoi vous faites ce que vous faites le sens que vous y mettez c'est tout bête mais enfin et encore une fois c'est pas forcément trouver un sens de fou en mode je veux contribuer au monde et tout pas forcément peut tout simplement être moi je veux être chill dans ma vie je veux travailler trois jours par semaine et qu'on me laisse tranquille et que voilà je fasse mes vacances que je sois en vanne j'en sais rien ces trucs comme ça donc c'est La vision, le pourquoi, je dirais aussi votre entourage. Et je dirais entourage, donc vos amis, votre famille, etc. Parce que si vous souhaitez devenir freelance, si vous souhaitez vous lancer dans l'entrepreneuriat, entourez-vous de ces gens-là. Et après, il y a votre environnement naturel. Moi, je sais que quand je suis à Paris, c'est compliqué. Je ne sais pas pourquoi, franchement. Il y a une énergie ici qui ne me plaît pas. Et j'ai du mal à m'endormir, j'ai du mal à me réveiller, c'est bizarre. Donc ça, c'est aussi à considérer, évidemment. C'est pas pour rien qu'il y a plein de gens qui sont dans des endroits comme Bali ou d'autres... Pas que Bali évidemment, mais d'autres endroits comme ça. Ah, il y a une question que j'aime bien, et justement on parle de syndrome de l'imposteur. Alors, est-ce que tu dirais qu'on peut réussir même si on se sent parfois imposteur ? Alors là, mais carrément, carrément, enfin on y arrive sur ce sujet. Pour moi, ce syndrome de l'imposteur c'est un écran de fumée en fait. Parce que, t'es salarié, tu veux te lancer en freelance ? Tu as un changement d'identité, d'accord ? Donc c'est normal que tu ressentes cette non-légitimité, ce syndrome de l'imposteur comme on l'appelle. Et en plus, on met un énorme mot, syndrome, mais c'est juste que tu n'es pas encore arrivé à l'identité B, tu vois. Donc c'est normal que tu dises, est-ce que je vais être à la hauteur ? Pourquoi les entreprises vont travailler avec moi, etc. C'est normal, logique. Et moi, c'est pareil quand j'ai lancé Shaperoom, je me suis dit, mais attends, moi je vais être formateur, je vais être coach, qui suis-je ? et pour autant bon je suis pas arrivé encore là où je veux vraiment arriver mais ça réussit tu vois j'ai des là on est presque une trentaine d'élèves on y doit 25 un truc comme ça c'est fou l'année dernière j'en avais quatre je passe que vous vous en rendez compte quand même donc oui on peut réussir mais si on se sent imposteur carrément et justement je trouvais ça ça va être l'ouverture la fin de cet épisode en fait justement pour réussir pour moi il faut être imposteur en fait parce qu'encore une fois on disait les moments de down, les moments de doute etc, on met ça sous le tapis, on se donne un coup de pied au cul, on avance quand même, on est un peu dans le déni. et bah l'imposteur c'est pareil parce qu'en fait il y a ce, je vais pas dire syndrome Ce sentiment de non-légitimité, d'être imposteur, et en fait on veut le vaincre à chaque fois, on le met de côté, on veut pas l'accepter, on veut pas le regarder en face, parce que ça nous fait peur. Mais c'est comme quand t'es petit, tu sais t'as peur du monstre qui est sous le lit là, mais du coup t'as peur de le regarder en fait, t'as peur de voir ce qu'il y a sous le lit, tu te mets sous la couette, alors qu'en fait t'allumes la lumière, tu regardes sous le lit, tu sais qu'il y a rien. Le syndrome de l'imposteur c'est pareil Il faut le regarder Parce qu'en fait Et ça C'est très drôle parce que je l'ai appris avec une élève qui a terminé. Elle m'a dit, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. Je le répète, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. En fait, c'est ça, elle s'est mis dans la peau d'une impostrice. Je ne sais pas si elle se dit, dans la peau de l'imposteur en fait. C'est ça pour moi le hack, même si on ne va pas dire que c'est un hack, mais en fait c'est vraiment c'est un jeu de rôle C'est un peu ça, c'est un jeu. Et en plus, partir du principe que la vie est un jeu, c'est génial. C'est un jeu. Tu es en discussion avec ton prospect et tu es là. Limite, tu t'habilles bien. Limite, tu mets une chemise pour vraiment dire à ton cerveau « Je suis expert, je suis freelance. » Et en contrepartie, ça ne veut pas dire que tu dois oublier le sentiment que tu dois mettre de côté tout ce qui se passe, etc. Mais en fait, le fait de te conditionner, de dire à ton cerveau, d'envoyer l'information, d'y croire, de le faire, vraiment de se dire je suis expert en fait naturellement tu vas le devenir parce qu'on passe on passe tous par là tu vois moi le premier tout le monde on part tous de zéro pour arriver là où sont les plus grands il faut passer par cette étape là donc je vais continuer sur ces questions parce qu'elles sont intéressantes mais pour moi le syndrome de l'imposteur ce n'est qu'un écran de fumée en fait on devrait même pas dire imposteur je sais pas ce qu'on pourrait dire d'autre mais C'est ce sentiment de ne pas être légitime. En fait, il n'est pas question de ça, parce que du coup, tu es tourné vers toi, c'est ce que je disais au début. Le risque, c'est ça, c'est que tu te dis, je suis qui, moi, moi, je, moi, je, moi, je. Mais la personne en face de toi, elle en sait forcément moins que toi, parce que tu as forcément appris peut-être un métier ou je ne sais quoi. Je prends l'exemple de mes élèves. Ils prennent leur premier client en 3-4 mois, ils trouvent leur premier client. On a une moyenne entre 1 et 4. Donc on est environ à 2, 2,5 à chaque fois à la sortie du shape camp. Je disais qu'on est tourné vers nous-mêmes. Parce qu'en gros, mes élèves parfois me disent, oui mais moi je, moi je, moi je, moi je me sens pas comme ci, je me sens pas comme ça. Mais en fait en face de toi, même si ça fait que, guillemets, que 3-4 mois que tu travailles sur ce sujet, que tu t'exerces, etc. Mais t'en sais mais 1000 fois plus que la personne qui est en face de toi. A tel point que tu vois, moi je vois ce qui se passe. Mes élèves, quand ils sont... en interview, donc en prospection, etc., ils se rendent compte qu'ils sont trop chauds, en fait, quand ils font des audits sans mode. Mais en fait, je me rends compte que je sais, en un clin d'œil, je sais pourquoi ça va, pourquoi ça ne va pas. Il y en a un, il s'est placé sur un exercice assez difficile, c'était niveau média bailleur, deux ans d'expérience, genre vraiment. Mais le mec, il a réussi haut la main, haut la main. C'est fou ! Mais tout ça parce qu'en fait, ils y croient, tu vois. Ils se sont exercés, etc. Et ensuite, c'est OK, ils se mettent dans la peau. de l'expert et ça fonctionne de fou. Il n'y a pas d'imposteur parce qu'ils sont tournés vers leurs prospects, ils vont les aider en fait. Typiquement, il y a une freelance que j'ai formée qui a repris un client qui a été accompagné par une agence, mais l'agence faisait tellement mal le travail comme malheureusement beaucoup d'agences que du coup, l'entreprise s'est dit « je vais travailler avec elle, avec cette freelance parce qu'elle connaît la fille, ça fait quatre mois. Il y a quatre mois, elle ne connaissait rien. » Voilà. Ça ne veut pas dire que ce sentiment d'être un posteur n'existe pas. Il existe parce que vous vous êtes tourné vers vous, vous vous êtes tourné vers le moi-jeu, moi-jeu, moi-jeu, quelle image je renvoie, machin. Non, on s'en fout. Allez aider des gens. Il y a des entreprises qui ont besoin de vous, des projets qui ont besoin de vous. C'est ça qui est important. Et les ads, ça aide énormément la publicité. Alors, il y a plein d'autres choses, mais la publicité, ça aide énormément. Ça, c'est vraiment intéressant. Qu'est-ce qu'on devrait mesurer à la place de notre motivation pour savoir si on avance vraiment ? Pour moi, il y a deux choses. La première, c'est chaque petit pas. chaque petite victoire. C'est tout bête, mais l'année dernière, j'avais 4 clients. Alors, j'en voulais plus, évidemment. On en veut toujours plus, de toute façon. Mais 4 clients, c'était déjà une putain de victoire, tu vois. J'avais jamais fait un lancement, formation, etc. 4 clients, c'est une putain de victoire. Donc, c'est chaque petite victoire. Et même au-delà de ça, tu vois, c'est ok, j'ai une nouvelle offre, j'ai un nouveau prospect, un nouveau client, j'ai, je sais pas, un nouveau profil LinkedIn, j'en sais rien, peu importe, mais... chaque petite victoire il faut les célébrer parce que c'est ce qui va construire ta victoire de demain. C'est comme quand tu construis une maison, tu la construis pas en un clin d'œil, tu mets pièce après pièce, chaque pièce, chaque élément ajouté à cette maison. te rapproche de cet objectif-là. Donc ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est l'impact que tu peux avoir autour de toi. Donc c'est l'impact que tu peux avoir avec tes clients, l'impact que tu as aussi autour de toi, avec tes potes ou je ne sais quoi, parce que tu vas, si tu es en freelance, et que tu te lances, tu vois, et même au tout début, quand tu es tout premier client, tu as l'impression que tu es débutant, que c'est le début, mais tu ne te rends pas compte, tu as déjà un impact de fou sur tes clients, et un impact aussi sur les gens qui peuvent t'entourer parce que tu peux inspirer des gens. Donc pour moi... C'est ce qu'on devrait mesurer. On devrait mesurer chaque petite victoire, parce que c'est ça qui fait qu'on avance vers là où on veut aller, et l'impact qu'on a vraiment sur les business qu'on accompagne, sur les gens qu'on accompagne, sur les gens qu'on aide, les projets, et sur les gens qui nous entourent aussi, tu vois. Ça, je trouve que c'est très important, et j'y rajouterais peut-être une troisième chose qui est surtout la croissance personnelle. Voilà, ne pas juste se fier à ce qui se passe à l'extérieur, mais aussi à ce qui se passe à l'intérieur. Parce que dans tous les cas, pour changer son monde extérieur, il faut d'abord changer son monde intérieur. Et donc noter qu'il y a un changement intérieur, ça c'est aussi une putain de victoire. Donc il faut mesurer ça, au-delà de la motivation. Quelle question chacun devrait se poser ce soir en rentrant chez lui pour réfléchir différemment à sa valeur intérieure ? Je vais résumer ça en une phrase. A 20 ans, t'es le fruit de ton éducation. A 40 ans, t'es le fruit de tes décisions. Et à 70 ans, t'es le fruit de l'impact que tu as sur le monde. Voilà, je vais finir là-dessus parce que je trouve que cette phrase me permet d'apporter énormément de sens à ce que je viens de dire. Donc en fait, même si t'as genre 20 ans, tu vois, pour moi il faut penser long terme, il faut penser à l'impact que tu vas avoir sur le monde qui t'entoure. Que ce soit en B2B avec des entreprises, comme en B2C avec des particuliers, peu importe. Tu vois, pour moi c'est très important et ne pas négliger la phase des 40 ans où en fait t'es le fruit de tes décisions. Les décisions que tu vas prendre aujourd'hui, ça se trouve t'as déjà 40 ans, mais dans tous les cas il n'est pas trop tard. Les décisions que tu vas prendre au quotidien, pas forcément des grandes décisions, mais des décisions de tous les jours au quotidien, c'est ce qui va construire la victoire de demain et c'est ce qui va aussi te construire toi en tant qu'être humain. Et c'est ce qui va déterminer ta valeur intérieure, je trouve. C'est l'impact que tu as autour. Et en fait, ça revient au concept d'être tourné vers l'extérieur, tourné vers la personne qui est en face de toi ou les personnes qui sont en face de toi, qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de ton expérience. de qui tu es, et au-delà de ton expérience, au-delà de tes skills, c'est aussi toi, qui tu es toi en fait, tu vois. Moi quand les gens me rejoignent dans Sheproom, ils rejoignent pour leur projet, pour apprendre un métier, mais aussi pour moi, ils achètent un bout de Nicolas, comme ils vont acheter un bout de je ne sais qui, un bout de toi qui va te lancer en freelance en fait. Ils achètent de l'humain, tu vois. Ça c'est ultra important, et chaque être humain est différent. Et ça il faut le valoriser, parce qu'on a tous tendance à vouloir ressembler à je ne sais qui. vous avez une valeur intérieure qui est déjà présente vous n'avez pas besoin de la développer vous l'utilisez et ensuite elle va évidemment évoluer et donc je trouve ça très important pour finir cet épisode parce qu'on a toujours tendance à penser qu'on n'est pas assez, qu'on doit être comme ci comme ça, qu'on doit ressembler à je ne sais qui, donc il y a ce sens de l'imposteur on doit être motivé mais il y a déjà, en fait tout est en nous déjà il faut juste aller voir ce qui se passe, avancer avoir cette vision et ce pourquoi aussi comme je vous l'ai dit et tout va se mettre en place petit à petit brique après brique et ne pas aller trop vite le chemin le plus rapide c'est le chemin le plus long en réalité parce que si vous souhaitez construire un truc de fou ou même juste réussir en freelance il faut apprécier le chemin et le chemin il peut être long peut être long moi ça m'a mis presque un an avant de me lancer à 100% en freelance chez Iprum ça fait plus d'un an que je développe tu vois et pour moi ce n'est que le début Donc il faut aussi apprécier tous ces moments-là en fait, ces moments de down comme je le disais, et apprécier cette lenteur. Parce qu'on est toujours dans le « il faut aller vite, il faut aller vite, il faut aller vite, le marché il évolue vite » , « ah il y a un tel qui fait ça, il y a un tel qui fait ça » , on s'en bat les couilles. Ce qui est important c'est ce qui se passe à l'intérieur, l'impact que vous avez autour de vous, et vous n'avez pas besoin d'avoir un impact de fou malade. Si vous n'avez déjà que 4, 5 clients, c'est déjà très bien, c'est comme moi au début, j'avais que 4 clients mais j'étais déjà super content parce que ça se lançait tu tu vois. Alors évidemment, je voulais, t'en veux toujours plus, mais brique après brique, si vous partez, vous avez une vision, Pourquoi ? Ça va fonctionner. Il y a des piliers qui sont là, les fondations sont là, ça va fonctionner. Il faut juste y mettre de l'énergie, du temps, et à un moment donné, boom, just got paid. Ça va se déclencher. Comme quand j'ai quitté mon job et au bout de 4 mois j'ai gagné 10 000 euros, c'était genre impensable un an avant. Un an avant, je me lançais. Donc voilà, conclusion. Tout ça pour dire que les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs, tout simplement. Pourquoi ? Parce que... Il y a cette transformation naturelle, le cerveau s'imprègne de cette nouvelle identité. Parce que vous jouez un rôle, tout simplement. Et donc, il n'y a pas d'imposteur. Chaque personne évolue. Chaque personne n'est jamais à 100%, c'est normal. Même nos présidents, même les gens les plus grands de ce monde, tout le monde doute, tout le monde a peur, tout le monde évolue. C'est ça qui est beau d'ailleurs. Donc, les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs. Elon Musk, Mark Zuckerberg, quand ils ont commencé, c'était des putains d'imposteurs. Ils sont devenus ce qu'ils sont devenus. Voilà les amis, on va s'arrêter là. C'est la fin de cet épisode, j'espère qu'il vous aura plu. J'espère qu'il vous aide et qu'il vous donne de la motivation. parce que pour moi c'était un épisode important voilà on se retrouve pour un prochain épisode pour une prochaine Youtube Je vous l'ai dit, abonnez-vous, laissez un commentaire si ça vous plaît, laissez un like, partagez, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et on se retrouve à très bientôt pour d'autres épisodes et plein d'autres aventures. A très vite, ciao !

Description

Tu te sens illégitime à vouloir devenir freelance ? Et si c'était justement bon signe ?


Cette semaine, je te parle d’un sujet qu’on vit tous en silence : le syndrome de l’imposteur.

Celui qui te fait croire que tu n’es pas légitime, pas assez expert, pas prêt. Et pourtant…


Dans cet épisode, on voit ensemble :

📌 Pourquoi tu n’as pas besoin d’attendre d’être « prêt » pour te lancer

📌 Comment j’ai transformé mes doutes en moteur

📌 Ce que cache vraiment ce qu’on appelle le « syndrome de l’imposteur »

📌 Pourquoi chercher à être motivé en permanence est une mauvaise idée

📌 Comment recentrer ton énergie sur l’essentiel : ta mission

📌 Le piège du hustle mode et de la comparaison constante

📌 En quoi la vulnérabilité peut booster ta carrière de freelance


Un épisode pour t’aider à avancer même quand tu doutes. Surtout quand tu doutes.


Tu as aimé cet épisode ?


🎒 Je suis Nicolas Dorfmann, entrepreneur nomade et fondateur de shaperoom. Avec shaperoom, je t’accompagne à te lancer en freelance en 90 jours en apprenant mon métier, celui de media buyer. Comment ça se concrétise ? Tu entres dans le shapecamp pendant 90 jours, tu apprends le métier de media buyer freelance et tu obtiens tes premiers clients. Ensuite, tu rejoindras ma communauté de freelances "les shapers" ! Tu veux en savoir plus ? C’est par ici : https://www.shaperoom.io/


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À propos de shaperoom 👇


Avec shaperoom, découvre comment réussir ta reconversion professionnelle pour devenir freelance et bâtir une vie alignée, libre et mobile.

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À propos de Nicolas Dorfmann 👇


Je suis media buyer depuis 2020, formé en agence media buying à Paris par deux anciens de Google. En 2021 j’ai quitté le salariat pour me lancer en freelance et créer une vie à ma mesure — libre, engagée, alignée. En 2023 je suis devenu 100% nomade pour réaliser mes rêves.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a un moment dans chaque vie où quelque chose appelle. Ce n'est pas un cri, mais plutôt une vibration sourde, un écho venu du large. C'est ce moment où tu sens que ta vie ne peut plus rester entre les murs d'un bureau, ni dans le cadre d'une existence qu'on t'a dessinée. Je suis Nicolas Dorfman, entrepreneur nomade et fondateur de Shape Room. J'ai quitté le salariat pour construire une vie libre, et j'aide aujourd'hui d'autres esprits en quête d'indépendance à faire de même. Dans ce podcast... Je te partage deux dimensions de ce voyage. Je te dévoile d'abord mon journal, le journal d'un esprit libre, où je questionne la société, notre éducation, la peur, le courage, et tout ce qui façonne ou freine notre liberté intérieure. Puis, quand le besoin d'ancrage se fait sentir, je t'emmène sur le chemin du concret. Comment devenir freelance médiabayer, apprendre la publicité en ligne, et faire de ton indépendance une réalité. Ce podcast est une invitation à écouter ta voix intérieure, à réapprendre à penser par toi-même et à répondre, toi aussi, à l'appel du large. Bienvenue dans l'appel du large. Si cette voix résonne en toi, abonne-toi pour suivre le voyage, laisse un like et un commentaire pour faire rayonner le message. Et je te souhaite une très bonne écoute. Bon les amis, sujet du jour important et en plus sujet un petit peu plus personnel aujourd'hui, c'est une vidéo un peu plus... Chill, un peu plus freestyle j'ai envie de dire. Alors certes j'ai toujours des petites notes parce que j'ai envie que mes contenus soient quand même qualitatifs et qu'il y ait franchement de la valeur qui en ressorte en fait de ces contenus le plus possible du moins. Mais là c'était pas trop préparé. Là j'ai sorti mon micro, il est 13h, il faut que j'aille manger d'ailleurs après. On est le 28 août, je suis à Paris, de retour dans la chambre de quand j'étais étudiant en fait. Enfin, je ne sais pas si on peut voir un peu derrière moi. D'ailleurs, je me suis acheté une petite light. Je ne sais pas si ça se voit juste derrière moi, là. Une petite light un peu bleue. Alors, j'ai des lumières qui m'éclairent, donc on ne voit pas trop. Mais petit investissement. Voilà, c'est un truc qui m'a coûté 20 euros. D'ailleurs, c'est une pote qui m'en a parlé. Alors du coup, je le précise. Vous pouvez l'avoir évidemment si vous êtes en format YouTube, format vidéo. Sinon, je vous le dis, pour ceux qui écoutent, j'ai acheté une petite light trop cool sur Amazon. Ça m'a coûté 20 euros. Juste à côté. Et puis en fait on peut mettre n'importe quelle couleur avec une application c'est assez simple Alors moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, ça se trouve vous connaissez déjà, peut-être, dans ce cas là bon bah tant mieux pour vous, moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, j'ai une pote qui me l'a montré, je trouvais ça trop stylé. Ah bah d'ailleurs j'ai le paquet juste à côté de moi, ça s'appelle comment ? Rainbow Projector Lamp, voilà, je sais pas si on peut le voir, mais franchement petit placement de produit, non mais franchement hyper cool, donc c'est cool parce que je peux mettre un peu les couleurs de Shape Room derrière, bon ça se voit pas trop. De toute façon, le but c'était quand même de cacher le bordel qu'il y a derrière moi parce que du coup, quand je reviens chez ma mère à Paris, c'est toujours un peu le bordel parce que je reste pas très longtemps, je prépare mes affaires pour la suite. D'ailleurs, dans à peu près 7 jours, mesdames, messieurs, je m'envole pour l'Indonésie. Vous savez pas à quel point je suis mécontent. Ça fait, je pense, je sais pas, alors 4 mois que j'attends ça. Là, je vais passer 6 mois en Indonésie. Je vous raconterai tout ça dans mes podcasts, vidéos YouTube, évidemment. Et d'ailleurs... franchement je vous le redis, je vous le dis pas souvent mais je vous le redis quand même n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram si vous avez des idées de sujets, des idées de vidéos quand je m'exprime sur certains sujets, si vous dites ah putain mais c'est dommage il a pas mentionné ça ou ah c'est dommage il parle pas de ça, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram vraiment parce qu'en fait là ça fait deux semaines que je reçois franchement de plus en plus de messages par rapport à mes vidéos YouTube et mes podcasts et en fait ça fait trop plaisir de voir que bah il y a des humains derrière en fait, il y a des humains derrière cette putain de caméra, il y a des humains derrière ce putain de micro et derrière surtout ces statistiques que je vois voilà toutes les semaines juste de savoir que ça vous plaît, que ça vous motive, que ça vous drive, que ça vous inspire, peu importe mais c'est un plaisir de fou donc je le dis dès l'intro, je pense que je le dirai à chaque fois écrivez moi sur instagram, ça me fait trop plaisir comme ça on peut échanger j'ai même quelqu'un qui m'a écrit qui s'appelle Laure je crois, si je me souviens bien ouais s'appelle Laure qui m'a écrit, qui va aussi à Bali, donc on va se voir là-bas. Enfin, voilà, moi c'est aussi pour ça que je fais tout ça, c'est aussi pour ça que j'écris, que je fais des podcasts, que je fais cet accompagnement qui s'appelle Shape Room, que je fais des vidéos YouTube, c'est aussi pour rencontrer des gens en fait. Alors évidemment, c'est pas que pour ça, mais ça me fait trop plaisir de vous voir que les sujets vous touchent, ça peut vous aider, vous inspirer, ou peu importe, parce que c'est le but de ces podcasts et de ces vidéos. Donc n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et aussi, si vous souhaitez me donner de la force, le mieux. que la meilleure chose possible c'est de noter ce podcast ou de mettre des commentaires sur YouTube ou de vous abonner à ma chaîne YouTube, de liker, partager. Alors non seulement ça me donne de la force, mais ça va aussi donner plus de rayonnement à ce que je dis. en podcast, YouTube, peu importe, ça donne plus de rayonnement aussi à ce que je souhaite transmettre à travers mon projet Shape Room et ça donne plus de force à tous mes freelances qui sont dans ma communauté parce que mine de rien derrière, ce que je souhaite c'est que cette communauté qui est grandissante aujourd'hui on est une vingtaine à terme je veux que ce soit la plus influente et la plus grande de France et donc au delà de juste dire ouais j'ai une communauté hyper forte, hyper influente en fait j'ai vraiment envie de véhiculer des bonnes valeurs et un bon message Parce qu'en gros, avec Shaperoom, je l'ai déjà dit dans certains épisodes, mais c'est toujours bien de le répéter, moi j'estime que j'ai une mission à travers Shaperoom. Et cette mission, c'est de rendre les gens libres et épanouis. Grâce à un métier, en l'occurrence le media buying, mais après j'aimerais diversifier les bootcamps que j'ai dans Shaperoom. Là aujourd'hui c'est du media buying, c'est de la publicité en ligne, donc t'apprends à devenir expert en publicité en ligne. Et grâce à ce métier, tu peux voyager, tu peux être à ton compte, tu peux vraiment te sentir utile, important, bien gagner ta vie. Voilà, choisir tes horaires, tes vacances, bref, on connaît la chanson. Et en fait, à travers ce style de vie, donc le style de vie de freelance, en fait, entrepreneur, en gros, les gens sont épanouis, sont vibrants, vivants, tu vois. Parce qu'au-delà de l'aspect vraiment purement stylé du truc, ouais, t'es à Bali, tu voyages, tu gagnes bien ta vie ou quoi que ce soit, t'as aussi des moments de down, t'as des moments de doute, t'as des coups de mousse qui est normal, comme d'ailleurs en ce moment pour moi. Et c'est pour ça qu'on va en parler dans le sujet de la vidéo, parce que, voilà. Là, il y a deux, trois jours un peu plus difficiles pour moi et j'en parle pas souvent. Et c'est pour ça que j'ai un peu improvisé ce podcast-là, parce que ça me semblait important de pouvoir aussi parler de sujets un peu plus durs, un peu plus compliqués pour moi. Je pense que c'est une place totalement légitime que je peux avoir sur le podcast ou sur YouTube. Ça me semble important de ne pas juste montrer les choses belles, voilà. Même si, bon, moi j'aime vous faire rêver les potes, on est là pour ça quand même. Mais bref, au-delà de ça, du coup... Se sentir vivant à travers des moments de coup de mou, parce que quand c'est difficile, tu te sens vivant en fait. Tant que c'est... Tu vois, c'est de l'émotion, tu vois. C'est cette incertitude dont je parlais dans un autre podcast, cette insécurité qui est là, en quelque sorte, mais qui fait qu'on se sent mais vivant, quoi. Et après, la victoire de demain n'est que plus belle. Et donc à travers ce style de vie, d'être freelance, etc., moi ce que je veux, c'est œuvrer pour un monde meilleur. Parce que quelqu'un qui est épanoui, qui se sent vibrant, vivant, et bien naturellement... Tu vas faire le bien autour de toi, tu vois. Tu vas rayonner. Parce qu'on sent que t'as une mission, on sent que t'es porté par un truc. T'as un style de vie qui te fait kiffer, en fait. Tu vois. On sent que t'es à ta place. Donc, je pense notamment à Mathias. Il y a une vidéo qu'on a faite ensemble, une interview, que vous pouvez retrouver sur la chaîne YouTube, qui est disposée sur le podcast. Je pense notamment à Tom Soa, qui a 18 ans. Je pense à Lucien aussi. Je pense à Sonia également. On va tourner le podcast demain, d'ailleurs. Donc, ça va sortir au cours en septembre. Enfin bref. Je sais plus où est-ce que j'en étais, mais tout ça pour dire que voilà, épisode un peu plus freestyle, un peu plus spécial, mais dans tous les cas, il y a quand même toujours de la valeur qui est apportée, ça me tient vraiment à cœur. Et aujourd'hui, le sujet, alors je sais pas quel sera le titre exactement, normalement ça va être un truc du style les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs, ok ? Et le but, c'est que, en fait, ma phrase d'accroche si tu veux pour l'épisode, c'est ce que tu as dedans. n'a rien à voir avec ce que tu crois valoir. Ça, ça va être mon hook. Voilà, ok ? Donc, restez bien accrochés. On va décortiquer tout ça ensemble. En gros, je vais vous introduire un petit peu ma situation actuelle, ce qui s'est passé dans les semaines précédentes. Et puis, après, on va attaquer le sujet du jour, en fait, qui est en rapport... Alors, il y a un peu deux piliers, si vous voulez, sur cette vidéo. Il va y avoir donc tout ce qui tourne autour de l'imposteur, en fait. On parle beaucoup du syndrome de l'imposteur, etc. Mais tout ça, c'est du fake. Ce n'est qu'un écran de fumée. Je vais vous expliquer pourquoi moi je vois la chose comme ça. Et je pense que ça pourra vraiment vous aider à traiter avec cette légitimité. On parle tout le temps d'être légitime sur un domaine pour se lancer en freelance, ce qui est normal. Mais en fait, on accorde beaucoup trop d'importance à ce sujet. Et je vais vous expliquer pourquoi. Pour moi, c'est une construction mentale. Bref, il y a ce premier pilier. Et deuxième pilier, ça va être tout ce qui est autour de la motivation. Ce truc de... ce hustle mode. qu'on voit souvent sur les réseaux, pour y arriver il faut travailler dur, pour y arriver il faut être discipliné, la morning routine, le truc, le machin, ce qui est en partie vrai, mais vous allez voir qu'on va tempérer le truc parce qu'il faut remettre l'église au milieu du village, putain, voilà, il faut se dire les choses et aujourd'hui c'est un sujet important parce que je pense qu'il y a pas mal de personnes qui vont écouter ce podcast et qui vont regarder cette vidéo, du moins je l'espère, de plus en plus, c'est pour ça donnez de la force, likez, commentez, partagez les potes, vraiment. et puis moi ça me permet aussi de savoir quel impact je peux avoir et encore une fois écrivez moi sur instagram et voilà le but c'est que ça aide énormément de personnes qui qui pensent à se lancer en freelance ou qui où ça se trouve toi en ce moment tu es en train de te lancer en freelance donc ça va vraiment t'aider je termine ma petite intro qui est bordélique je vous l'ai dit c'est freestyle là mais c'était un peu le c'était pas le but c'est le but mais voilà c'est aussi ça j'aime bien les sujets un peu enfin les podcasts un peu plus chill ou voilà y'a pas de tu vois trop de montage ou quoi que ce soit enfin après j'aime bien quand c'est clean un minimum mais ou juste je sors mon micro et je parle évidemment j'ai un sujet pas juste parler devant la caméra comme ça comme un débile et bref je vous mets un peu de contexte je suis revenu de vacances j'ai fait deux semaines de vacances d'ailleurs très stylé on a fait serbie monténégro bosnie bosnie herzégovine et puis on a fait un road trip en fait on a loué une voiture à budapest et on est descendu en serbie on a fait le monténégro on est passé par la bosnie et on a rendu la voiture à budapest d'ailleurs petit aparté sur ce sujet là on a loué une voiture et à un moment donné il ya la marche arrière qui avait du mal à s'enclencher je faisais un créneau Il y avait un petit poteau en face, et en gros, c'était légèrement en pente vers le poteau, et comme la marche arrière avait du mal à s'enclencher, quand je lâchais le frein, la voiture continuait à avancer, très légèrement, et à un moment donné, elle touche le poteau, mais on ne sent rien du tout. Bref, il y avait une mini gratinure, mais quand je dis une mini gratinure, c'est vraiment un truc, ça faisait 2 cm. On rend la voiture à Hertz, à Budapest. Bref, du coup le mec remarque la petite égratignure et je me suis dit, bon putain, il va rien se passer tu vois, je lui ai demandé et tout, comment ça se passe, il m'a dit bah j'envoie le truc au desk, à l'office là, au bureau, et c'est eux qui décident de leur côté. J'ai dit bon bah ok, d'accord, très bien, j'aurais bien aimé discuter mais, parce que je me suis dit, ça se trouve ils vont nous mettre une couille tu vois, parce que c'était vraiment une toute petite égratignure mais tu sais, dans ce genre de, quand tu loues une voiture c'est toujours un peu le stress de se dire, ah putain, si je fais une trace qu'est-ce qu'il va se passer. donc il envoie le truc au bureau et Le lendemain je crois ou deux jours après, je reçois un mail avec la facture. J'étais en mode putain, une facture. Je regarde donc, j'ouvre le PDF, je regarde la facture. Et là je vais tout de suite sur la ligne du bas parce que tu t'emballes, il coule du reste. Je vais à la ligne du bas. Et là je vois quoi ? Je vois 500 balles. 500 balles. J'étais en mode mais ils se foutent de ma gueule quoi. Genre à quel moment, mais c'est même pas une égratignure, c'est une petite trace tu sais. La voiture elle a touché littéralement. effleurer le poteau, tu vois, 500 balles du coup j'ai quand même répondu, j'ai dit les gars expliquez-moi juste deux secondes pourquoi je dois payer 500 balles, parce qu'il y avait juste la facture en mode voilà y'a des gratinures, paye connard enfin bref voilà petite anecdote, c'est donc du coup deux semaines hyper sympas j'ai pu couper, c'était cool, donc là c'était en août on est le 28 août, ça fait ça fait combien de temps que j'ai repris, ça fait une semaine ? Ouais, je sais même plus. Une semaine, un truc comme ça. Bref, et du coup, me voilà de retour. dans le projet, dans le shape room et je dois vous avouer qu'il y a eu une semaine trop bien où je me sentais bien etc et puis là je dois vous avouer que c'est plus compliqué. Alors pas d'un point de vue résultat, c'est en fait ce qui se passe avec les gens avec qui je bosse surtout au sein de l'agence où ça me peine beaucoup parce que, alors je vais pas évidemment tout vous raconter, il y a quand même des trucs qui doivent rester privés mais il y a des choses qui ont été dites et du coup qui vont se passer qui malheureusement ne contribue pas au chemin que je souhaite emprunter en fait. Ça ne va pas dans ma vision. Et nos chemins vont très certainement se séparer avec ces personnes en question avec qui je travaille. Et du coup ça me peine beaucoup parce que c'est des amis en vrai, c'est des potes à travers le business si vous voulez. Et tout ça pour vous dire que voilà, c'est pas tous les jours facile. Je ne suis pas juste digital nomade, je suis en freelance et je vous enseigne mon métier. J'ai aussi une agence, j'ai une communauté, donc un collectif. Il y a évidemment l'accompagnement avec du coaching, des exercices, une plateforme de vidéos, etc. Mais voilà, j'aime bien vous donner aussi les coulisses parce que ça me paraît important. Si vous me voyez sur Instagram, sur YouTube, à chaque fois je donne des conseils, je parle souvent de ma vie, je donne pas mal de trucs hyper positifs, mais je trouve intéressant de parler aussi de trucs un peu plus... un peu plus noir. Voyage en le monde, un rêve de nomade, Paris aux éclats des vagues, surfant les vagues, chassant le soleil, Nicolas Dorfman toujours en effet. Je vous disais, on va parler un peu d'imposteur d'une certaine manière et de la motivation. Vous allez voir qu'il y a plein de sujets qui s'entrecoupent. Et d'ailleurs, pour cet épisode-là, ce que je me suis dit, j'ai travaillé avec ChatGPT et je me suis dit, pose-moi des questions comme si on était en interview et moi, je vais y répondre. Donc, on va tester ce format. Et encore une fois, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Écrivez-moi sur Instagram si vous arrivez sur cette chaîne YouTube, sur cette vidéo, si tu arrives sur ce podcast. Déjà je vais me présenter rapidement mais n'hésite pas à voir mes réseaux sociaux sur Instagram c'est NicolasShapeRoom S H A P E R D O M Et m'écrire sur Insta et me dire si cet épisode te plaît, même si il y a des trucs qui te plaisent pas tu me dis ça c'était pas ouf pour telle raison Ça m'énerve de fou en vrai Aidez-moi les gars Je vais me présenter avant de continuer Je m'appelle Nicolas Dorfman, j'ai 27 ans Mon anniversaire était le 2 août Voilà, si vous souhaitez me souhaiter mon anniversaire n'hésitez pas encore une fois mes dm instagram sont ouverts donc j'ai fondé shaperoom il y a maintenant un peu plus d'un an j'ai proum qu'est ce que c'est il ya trois verticales une première c'est le bootcamp on appelle ça le shape camp parce que c'est pas n'importe lequel c'est le bootcamp de shaperoom dans laquelle donc dans lequel je t'apprends mon métier et je t'aide à te lancer en freelance de a à z c'est à dire que tu connais rien et bah tu as des cours sur le marketing digital sur le media buying la publicité en ligne tu as des exercices avec google ads facebook ads on t'apprend à devenir expert sur google ads Et Meta Ads, c'est Facebook et Instagram, si tu ne sais jamais, tu ne le sais pas. Et donc, on t'apprend le métier avec des exercices, des quiz, des vidéos de formation, des fiches recap, etc. Et ensuite, tu vas avoir la partie lancement. Donc, on va t'apprendre et t'accompagner surtout de A à Z pour poser ton offre, ton positionnement, savoir te démarquer. Ensuite, aller trouver tes clients, aller discuter avec eux. Et le plus important, c'est en fait, on va t'apprendre et t'accompagner à signer tes clients. C'est vraiment un accompagnement de A à Z. On te prend de zéro, entre guillemets. de zéro et on t'amène à 1. A 1, c'est au minimum ton premier client, au grand minimum. Et ensuite, la deuxième verticale, c'est mon collectif. Je t'en parlais tout à l'heure, la communauté. Donc, c'est une communauté de freelance, experts en publicité en ligne. Et c'est une continuité du Shapecamp. Donc, en fait, le Shapecamp t'amène de zéro à 1 et la communauté t'amène de 1 à 10. Et d'ailleurs, il y a des nouveautés qui vont arriver. On va lancer des mini formations, beaucoup plus avancées sur Google et sur Meta. On va également proposer un coaching personnalisé qu'on va appeler Road to 10K. parce qu'il y a des freelances qui ont envie d'aller jusqu'à 10 000 euros par mois. Et donc, on va faire un groupe personnalisé, restreint, avec peut-être 5 personnes dans ces eaux-là pour les accompagner. C'est moi qui vais les accompagner en perso de A à Z jusqu'à ce qu'ils tapent les 10 000 euros par mois. Donc, ce n'est pas une blague. Moi, je l'ai fait et donc je sais comment faire. Et donc, on va les accompagner jusqu'à là. Au-delà de ça, on va développer aussi des co-living, des co-working. On va faire plus de rencontres également. On va lancer un système d'ambassadeur aussi parce qu'en fait cette communauté c'est pas juste la mienne c'est aussi surtout la leur donc la croche de la leur c'est mes shaper, mes freelance. Voilà et la troisième verticale c'est mon agence donc celle dont je te parlais tout à l'heure aussi qui s'appelle ShapeAds avec laquelle on accompagne des entreprises à se développer en ligne grâce aux publicités en ligne notamment google et meta. Voilà les présentations sont faites je me permets de te rappeler que ma mission à travers ShapeRoom c'est de vrai pour un monde meilleur en rendant les gens libres et épanouis notamment grâce à cette communauté et ce bootcamp. Si Tu veux te lancer en freelance ou alors tu es en train de te lancer en ce moment même, mais tu galères, tu as du mal pour je ne sais quelle raison. À ce moment-là, tu te dis naturellement, ok, je dois être motivé, hustle mode, peut-être morning routine et tout, je n'en sais rien. Tu te dis, ouais, ça ne va pas être facile, donc je dois être solide. Il y a plein de choses à faire, peut-être que tu as une tout doux qui est énorme. Et surtout, tu te dis quelque part, je dois prouver qui je suis. Alors soit tu te dis consciemment, soit tu te dis inconsciemment, mais on a tous ce besoin de prouver en fait, de se sentir légitime. Et du coup ça se transmet par beaucoup d'éléments extérieurs. Donc en fait ces éléments extérieurs, c'est ta tout douce, c'est la motivation, donc c'est beaucoup de travail. Surtout en France on a cette culture de plus tu te bosses, plus tu fais des heures, plus tu fais d'heures de travail, plus t'es inconsciemment récompensé. Alors au taf c'est consciemment récompensé. Mais toi tu vas te dire ok j'ai beaucoup bossé je suis bien alors que c'est pas forcément une bonne idée si tu bosses je sais pas 10 heures par jour mais que tu bosses pas d'une manière smart en fait c'est débile ça sert à rien, vaut mieux bosser 6 heures et vraiment être avoir une bonne organisation tu vois et être smart et en fait surtout derrière tout ça tu vois derrière ce sentiment de vouloir être motivé de vouloir prouver tu vois de de se dire faut que je sois comme cette personne là parce qu'il y a aussi parfois ces éléments de comparaison sur linkedin ou je ne sais quoi On a toujours envie de ressembler en quelque chose, en quelqu'un. On voit sur Instagram aussi beaucoup de discours de motivation, mode hustle mode, voilà, tu vas te lever tous les jours, 7h, faire plus que les autres, gna gna gna. Mais en fait, derrière tout ça, se cache de vraies peurs. C'est, est-ce que ça va marcher ? Est-ce que je suis à la hauteur ? Est-ce que je vais réussir ? Et quand bien même je trouve un client, comment ça se passe ? Est-ce que ça va marcher ce que je vais faire ? Est-ce qu'il va être content de mon travail ? Tu vois ? Donc en fait, on va parler de... tout ça, ce qu'on va voir ensemble, c'est que en fait, ce qu'on va voir ensemble, c'est en quoi la valeur intérieure ne se mesure pas à la motivation constante. Ça, c'est déjà une première chose. deuxième chose qu'on va voir ensemble c'est en quoi les éléments extérieurs que tu construis, consciemment ou inconsciemment, ne sont que des écrans de fumée. Je te l'ai dit déjà en intro. Et finalement, est-ce que le syndrome de l'imposteur ne serait qu'une invention, une croyance, une arnaque en fait ? Et donc c'est pour ça que peut-être que le titre de cet épisode, je dis pas peut-être, mais j'aime bien cette phrase qui dit que les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs. Et oui, parce qu'on va attaquer tout ça, c'est hyper intéressant en fait. On a toujours l'impression de vouloir... passer d'une identité A à une identité B, de vouloir faire face à ce syndrome de l'imposteur, tout en étant motivé, organisé, tout se passe bien, tout roule. Et en fait, finalement, on essaye de vaincre ce syndrome de l'imposteur. Mais c'est, pour moi, ce n'est pas la bonne idée. On va décortiquer tout ça ensemble, Ausha bien, pose-toi dans ton canapé, dans ton fauteuil, ou je ne sais où, fais-toi kiffer, prends un petit verre d'eau, je ne sais quoi, n'oublie pas, encore une fois, Je te regarde droit dans les yeux mon pote Si tu aimes cet épisode, si tu aimes mes vidéos YouTube, abonne-toi s'il te plaît, ça me ferait un plaisir de fou. Abonne-toi à ma chaîne YouTube, abonne-toi au podcast, laisse un commentaire, laisse un avis, écris-moi sur Instagram, partage, donne de la force, ça me ferait vraiment plaisir. Et puis écoute, je te souhaite une très bonne écoute pour la suite du podcast et de la vidéo YouTube. Comme je te l'ai dit, j'ai bossé avec TGPT pour faire un petit tram interview. On va tester voir ce que ça donne. Je trouvais ça marrant de tester ça comme ça. Alors beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Première question de notre cher ami ChatGPT. N'hésitez pas, elle va vous marteler en fait, n'hésitez pas à m'envoyer un message sur Instagram pour vous dire si les questions de ChatGPT sont pertinentes. Donc beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que tu as cru ça au départ ? Oui carrément, comme tout le monde. Mais c'est ce que je vous disais tout à l'heure. En fait, on est blindé de vidéos comme ça et de podcasts de la sorte. C'est un peu du mindset à deux balles, tu vois. Il faut en vouloir plus que les autres, il faut en faire plus que les autres. Alors, il y a une petite part de vérité quand même, mais en fait, ça cache beaucoup de choses parce que ça, ces conseils-là qu'on peut voir à droite à gauche, c'est juste des conseils de surface. Il n'y a pas des conseils de fond, en fait. Donc oui, je pensais qu'il fallait être motivé en permanence. Et donc, en fait, le danger avec ça, c'est que si tu ne te sens pas motivé, Parce qu'en plus, la motivation, ça va, ça vient. C'est pas constant. Là où la discipline est constante. Mais au-delà de ça, en fait, quand tu te sens pas motivé, du coup, tu te dis, putain, j'y arriverai pas. Je suis pas motivé, je suis pas au niveau comme les autres qui ont l'air trop motivés. En plus, si tu traînes sur LinkedIn, tu vois que des posts. LinkedIn, ça commence à me saouler, les gars. Vraiment. C'est vraiment juste des vitrines, quoi. Les gens ne font que se vendre. Ce qui est normal dans un sens aussi tu vois Mais ça me pète un peu les couilles quoi, genre les mecs ils font que des posts, alors pas tous, attention je mets pas tout le monde dans le même panier, il y en a quand même beaucoup qui se vendent énormément, et donc ça c'est dangereux parce que si tu te lances en freelance, ou même si tu commences à te renseigner ou quoi que ce soit, bah t'es mis face à ces posts, et donc en fait le jour où t'es pas motivé, ou même si t'es débutant, disons t'es à la page 1, tu vas voir des mecs qui sont à la page 20, qui sont naturellement motivés ou je ne sais quoi, et donc bah ça va... Ça va te démotiver en fait, ça va te pousser un peu vers le bas, moi j'en ai des freelances qui me le disent, qui me disent putain mais ça me saoule quand je vois un tel, il crie ça, il a l'air d'être tellement chaud, moi qu'est-ce que je vois à côté tu vois. Et donc on a l'impression qu'on doit toujours être dans cette motivation constante pour build up et c'est dangereux parce qu'en fait le jour où tu n'as pas de motivation, tout s'effondre parce que ce n'est qu'un écran de fumée la motivation. Ce qu'il faut c'est le fond, c'est le why, c'est pourquoi tu fais ce que tu fais, c'est une vision tu vois. C'est pour ça que j'en parle beaucoup dans mes vidéos, mais également dans mon accompagnement. C'est d'avoir une vision qui est claire, alors pas forcément un truc super carré, etc. Mais de savoir où tu vas, qui tu veux devenir, quel style de vie tu veux avoir. Et de se recentrer d'une part sur soi, donc il y a le pourquoi pour toi, mais il y a aussi le pourquoi pour le monde qui t'entoure. Parce que tu vois ce que je te disais tout à l'heure, ce truc de vouloir être légitime, ce syndrome dans l'imposteur, toutes ces choses-là, et puis même la comparaison sur LinkedIn, en fait ce ne sont que des éléments extérieurs qui te renvoient à ta propre personne. Donc en fait... Ça veut intimement dire que tu es centré sur toi. T'es un peu nombriliste en fait. Et puis tous les êtres humains sont plus ou moins comme ça. On est tous centré sur nos besoins, sur notre image, machin. Mais c'est ça l'erreur. Parce qu'en fait, on a l'impression qu'on doit se vendre, qu'on doit prouver, qu'on doit être légitime. Mais en fait, à partir du moment où tu tournes ton attention vers les projets que tu vas accompagner, vers tes futurs clients ou je ne sais qui d'autre, là ça change ta perception des choses. Parce que tout n'est qu'une question de perception. En fait, toi, on t'a toujours vendu un prisme et tu dois te vendre, tu dois être motivé. Tu dois faire ci, tu dois faire ça. Mais en fait, tu tournes ton attention vers ton prospect, vers tes projets, les projets que tu veux accompagner, les clients que tu veux accompagner. Et là, tout change. tout change parce qu'en fait Tu n'es plus en train de te dire, je dois prouver, moi je, moi je, moi je dois me vendre, je dois faire ci, je dois faire ça, regarde l'autre, il est comme ça, moi je suis pas comme ça. Non, là t'es en train de te dire, bah y'a un mec qui a besoin de mon aide en fait. Et puis moi, même si t'es débutant, t'as forcément des skills, des compétences qui sont beaucoup plus développées que je ne sais qui d'autre. Je ne sais qui est l'autre client. Et moi c'est pareil avec chez Pro, moi je vois des écoles, je vois des formateurs qui ont plus d'expérience que moi, mais j'en ai rien à foutre. parce que moi j'ai une putain de mission en fait et je sais que ce que je connais là en ce moment, mes compétences Et mes vidéos YouTube, c'est pareil. Tu vois, je vois des vidéos qui sont incroyables. Moi, je suis en mode... Parfois, je me dis, mes vidéos, elles ne sont pas ouf. Mais en fait, je kiffe ce que je fais déjà. Et je sais que ça va aider des gens et ça aide déjà des gens. Et j'espère que ça t'aide aussi. Et en fait, dis-toi que si tu es à la page 2, par exemple, tu vas aider la personne qui est à la page 1. Tu n'es pas obligé d'être au niveau 20, en fait. Et toutes tes connaissances et tes compétences que tu as aujourd'hui, elles vont forcément aider des gens. il y a des gens qui ne connaissent pas tout ce que tu sais. Moi, je me posais les mêmes questions. Je me disais, putain, mais moi, je suis accompagné par un coach. Le mec, il est trop chaud. Et je me disais parfois, mais putain, moi je suis qui pour coacher, tu vois ? Mais en fait, vu ce que j'ai traversé, vu ce que je travaille, je suis coaché, je suis formé, etc., je connais plein de trucs en fait. Et à partir du moment où tu commences à transmettre, où tu commences à vraiment considérer l'autre personne, la personne qui est en face de toi, qui a besoin d'être, qui a besoin de toi, ben là finalement tu te rends compte que t'es chaud, en fait, que tu te rends compte que t'as des connaissances, t'as des compétences, et que ça peut marcher. mais je sais que c'est pas facile je sais que c'est pas facile mais je trouve que c'est parfois irresponsable de se dire, vu que je ne suis pas à 100%, parce que moi j'entends souvent ça, oui, oui, il faut que je connaisse toi à 100%, non, c'est pas possible, tu peux pas tout connaître à 100% de toute façon. Mais donc en fait, si tu te dis, vu que je suis pas à 100%, je peux pas aider, mais en fait tu laisses plein de personnes au bord du chemin. Et moi je trouve ça irresponsable personnellement. Donc tout ça pour répondre à ta question, MrChadJPT qui est juste derrière moi, enfin derrière la caméra, beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence, est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Oui. complètement voilà donc moi aussi je suis tombé dans ce truc là dans vouloir être motivé tout le temps et le truc c'est que bah la motivation constante ça n'existe pas il faut être discipliné et au delà de ça il faut avoir une vision et un pourquoi il faut aussi accepter que il y ait des moments comme moi aujourd'hui où vraiment énergie complètement down enfin je vous disais tout à l'heure avant d'allumer le micro j'étais devant mon ordi je regardais par la fenêtre là comme ça c'est pas facile quoi Voilà, et je me suis dit que c'était le bon moment pour justement enregistrer parce que ça peut peut-être résonner avec toi. Deuxième question, mais j'ai l'impression que c'est quasiment la même. Quand tu entends motivation constante, qu'est-ce que ça évoque pour toi ? Ah bah ça évoque ce que je viens de vous dire. Motivation constante, bullshit. Voilà ce que ça évoque pour moi. Motivation constante, ça n'existe pas. Il y a des moments de down. Et en fait... Le problème avec ce truc de motivation constante, d'être meilleur que les autres, d'en faire plus que les autres tout le temps, c'est justement, tu tombes... En fait, tu t'obliges à ne pas accepter tes moments de down, les moments où t'es pas bien, les moments où t'es fatigué, et c'est normal, en fait. C'est normal. Point. Et en fait, c'est justement des moments qui sont importants. Si tu les considères et si tu les vis à 100%, derrière, c'est comme si t'étais... Je me rappelle, ma cousine, elle m'avait donné une image que j'ai bien aimée. C'est comme si tu allais au fond de la piscine, tu vois. Et au fond de la piscine, tu remontes toujours forcément. Parle pas de ton corps, etc. Tu remontes, en fait. Et je trouvais ça hyper intéressant. Moi, j'estime qu'aujourd'hui, je suis un petit peu au fond de la piscine quand même. Mais ça va remonter, je le sais. En fait, dans ces moments-là, tu sais que tu as des techniques pour en sortir le plus rapidement possible. On va peut-être en parler. La méthode Scafa, je t'en parlerai. J'en ai déjà parlé dans une vidéo. Mais au-delà de vouloir en sortir vite, accepter le moment, le vivre pleinement, parce que c'est là où tu te sens vivant, tu vois. Et après, tu sais que ça va remonter en fait. Il y a toujours un moment donné où ça s'arrange, où les choses elles s'arrangent. Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire qu'il faut toujours être motivé pour avoir une chance de réussir ? Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire ça ? Bah, parce qu'en fait c'est notre éducation. Franchement, c'est notre éducation, c'est aussi ce qu'on voit sur les réseaux sociaux. Voilà quoi, c'est... En fait, en France, on est éduqué au try hard. On est éduqué surtout au work hard on va dire. Work hard, je mets un peu l'accent. On n'est pas éduqué à fail fast, tu vois, genre à échouer, à tester, à apprendre. Non, on est éduqué à plus tu bosses, mieux c'est. Peu importe ce que tu fais, moi je... C'est ça qui est fou quand même. Moi quand j'étais en entreprise, je ne comprenais pas ça. C'est-à-dire que les heures, c'était 9h30, 18h30. Si tu avais fini toutes tes tâches à 18h, moi je me rappelle une phrase de ma manager qui m'a dit... Non mais si t'raises 30 minutes, moi j'ai des tâches de 30 minutes si tu veux. Nique ta race ! En fait en France c'est fou, on n'accorde pas d'importance à l'être humain, à son bien-être, beaucoup moins que d'autres nationalités et en fait le repos fonctionne tout autant que ton huit heures de travail tu vois. En fait en France on ne considère pas la possibilité qu'une semaine peut rentrer en quatre jours tu vois alors que bien sûr que si ce n'est qu'une question de perception, ce n'est qu'une question de mental et d'organisation évidemment donc c'est cette éducation en fait et le truc c'est que comme c'est tellement ancré en nous on l'applique tous les jours même sans s'en rendre compte tu vois naturellement plus on bosse plus on va être rassuré et j'en parlais avec des potes tu vois parfois quand on bosse pas limite ça nous fait culpabiliser en fait on est là on est en mode putain mais je bosse pas je fais rien mais c'est ok genre c'est normal il y a des fois t'as besoin de repos il y a des fois t'as t'es fatigué et c'est normal et le repos est tout aussi important que tes moments où tu es dans le rush des moments tu bosses tu vois moi je le considère comme ça tu vois il faut vraiment ramener de l'importance il ya fabien oulicard famille oulicard que tu connais peut-être sur youtube qui est assez connu qui a fait pas mal de livres qui en parle qui dit que les moments tu te fais chier le moment tu fais rien en fait c'est tout aussi important que les moments où tu travailles à l'amont tu bosses parce qu'en fait ton cerveau il est au repos et en fait en arrière fond tu as le subconscient et même je pense aussi le conscient Je ne suis pas du tout expert sur le sujet, mais derrière, ça va bosser, ça va avancer. C'est comme il y a un biais qui existe, quand tu commences une tâche et que tu ne l'as pas finie, ton cerveau, il y pense toujours parce qu'il le met en mode en cours. Et donc, il travaille dessus, tu vois. Et donc, le fait de ne pas finir une tâche, ce n'est pas si grave parce que ton cerveau, il y travaille quand même, il va peut-être améliorer certaines choses. Tu vas peut-être y revenir plus tard. Tout ça pour dire que les moments de pause, les moments où tu ne fais rien, en fait, tu mets ton cerveau en pause, ça crée des connexions neuronales, ça te rend plus créatif, ça te rend plus productif Donc c'est tout aussi important. Tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer, même quand tu n'avais pas l'énergie ? Alors ça, carrément ouais. Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, carrément ouais. Alors je pense que la première fois que je l'ai ressenti, c'était au taf en fait. C'était au taf. Enfin au taf, quand j'étais en agence. J'ai un exemple précis en tête, mais un truc, ça m'a saoulé putain, rien que dans 10% ça me vénère Mais heureusement ça a changé pour moi, c'est cool quand même. Et donc si toi t'es salarié d'ailleurs, et que tu veux te lancer en freelance, t'hésite pas, j'ai un lien en description, et c'est le moment pub là. Non mais tu peux déjà te renseigner, tu peux voir l'accompagnement chez Eproum, et voir ce que c'est le media buying pour voir si ça t'intéresse. Parce que je vais te parler de quand j'étais en salarié, il y a un truc qui m'a saoulé de fou, j'étais en vacances au Mexique pendant 2 ou 3 semaines je crois, un truc comme ça, 3 semaines je crois. donc t'as le décalage horaire ok ? donc je fais 3 semaines de vacances au mois d'août, je reviens, je crois que c'est la 3ème semaine d'août Un truc comme ça. Je reviens, je fais tout mon taf et tout, je fais toutes mes tâches, et je me rappelle le jeudi midi, un truc comme jeudi matin, j'avais fini quasiment toutes mes tâches. Bref, du coup je demande aux autres s'ils ont besoin d'aide pour aider, pour faire des trucs, parce que bah évidemment, culture française, c'est 5 jours par semaine, et tu remplis tes 5 jours, même si c'est pas très smart, mais bon bref. Et en fait, la semaine suivante, après être rentré, alors du coup cette semaine quand je suis rentré, évidemment après le Mexique, dis-toi que je suis rentré le dimanche, Le lundi, je reprenais le taf. Donc j'étais forcément un peu fatigué, tu vois, t'es en décalage horaire. Surtout que quand tu fais ouest vers est, c'est fatigant. Tu vois, moi quand je vais à Bali par exemple ou en Asie, quoi, bah en fait, quand tu te couches vers genre 23h ou minuit, en gros ton corps, il pense que c'est l'après-midi, il pense que c'est une sieste. Parce que t'es en plus 6, plus 7. Donc en fait, quand j'étais au Mexique et que je suis rentré en France, j'étais en plus 6 en France. Donc c'était l'après-midi au Mexique et le soir en France. et donc en fait je me couche à 23 minuit Mais après, je me réveille au milieu de la nuit parce que mon corps, il pensait que c'était une sieste. Donc, tu dors deux heures et après, tu es réveillé, tu es en forme. Donc, le temps de te recaler, moi, il me faut généralement trois, quatre jours. Donc, tu es fatigué en fait parce que tu vas quand même au taf vu que tu es obligé d'y aller. En plus, c'est le tel travail. Du coup, évidemment, c'était tout un sujet. Donc, on ne considère même pas le fait que tu sois fatigué. Sinon, tu te démerdes, tu viens au boulot. Encore une fois, encore une autre très belle idée ça. donc du coup j'allais au boulot j'étais fatigué et donc Normalement, enfin naturellement, j'étais moins dynamique dans ma manière d'être, ce qui est normal. Enfin je veux dire, puis même dans mes tâches du coup, parce que j'étais fatigué, j'avais du mal à dormir. Parce que j'ai décidé de reprendre directement ce qu'était une heure, mais bon, voilà, tu prends trois semaines de vacances, bah t'es un peu obligé quelque part. C'est con putain, c'est vraiment débile quand tu y penses. Mais quand tu fais trois semaines de vacances, tu te sens un peu obligé de reprendre le taf direct. Et je m'en rappelle donc, après cette semaine compliquée, l'autre semaine, la deuxième semaine, J'étais recalé, j'ai un point que ma manageuse qui me dit ouais Nico moi il y a un truc qui m'a un peu interpellé la semaine dernière c'est que Je te sentais beaucoup moins dynamique que d'habitude. Et ça, voilà, j'aime pas trop parce que je te voyais un peu plus sur ton téléphone, je voyais que t'étais un peu plus fatigué, que tu faisais pas ce que tu devais faire, tu pouvais aller plus vite, tu pouvais faire plus, tu pouvais faire mieux. Quand j'ai entendu ça, je me suis dit mais... Mais on est où là ? Mais on est où putain ? On a pas le droit de vivre ? Tu sais, on a pas le droit d'être fatigué, on a pas le droit d'avoir des coups de mou tu vois ? Non, faut toujours être... Et vraiment, alors je lui ai pas dit ça, parce qu'à l'époque j'étais en alternance, c'était il y a quoi, il y a 4 ans maintenant ? Mais je lui ai dit écoute, je vais pas dire son nom, mais écoute, je reviens du Mexique, j'ai le décalage horaire, je suis fatigué, je suis peut-être moins dynamique, mais je fais ce que je peux. Je fais mes heures de travail, j'ai terminé mes tâches le jeudi matin, voilà, et après j'étais dispo pour aider les autres, donc pour moi ça me paraît ok. En plus c'était 3ème semaine d'août, quand t'es en agence de publicité en ligne. Pardon, mais il n'y a pas non plus 1000 sujets, tu vois. Et c'est ok, c'est normal des fois d'avoir des coups de mou, et d'être dans une période où tu fais moins, parce que voilà. Donc bon, elle ne voulait pas l'entendre, mais au-delà de ça, ça répond à la question de notre cher ami Tchadépété, tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer même quand tu n'avais pas l'énergie. C'était clairement ça, tu vois. Et puis évidemment, je l'ai encore aujourd'hui, parce que là c'est différent, c'est mon projet, mais pour Shaper Room parfois, oui j'ai envie de performer tout le temps tout le temps tout le temps parce que j'ai envie de faire grossir mon projet même quand je n'ai pas l'énergie et c'est pour ça que j'essaye énormément de tempérer de m'écouter bien voilà aujourd'hui fatigué et ben je vais moins performé et c'est et c'est ok et un mec sur youtube sur instagram il fait des vidéos parfois et je sais pas comment il s'appelle faut que je retrouve le nom et il parodie un peu les coachs ça me fait trop marrer et il fait et c'est ok et ça me fait trop marrer bref du coup dès que je le dis ça me fait penser à lui Quelles conséquences ça peut avoir de se juger uniquement sur son niveau de motivation ? C'est trop bien comme question, merci Tchadjépté, parce que quelles conséquences ça a de se juger uniquement par ça ? Et au-delà de la motivation, c'est aussi par notre niveau de performance, notre capacité à avancer, à faire les choses, à remplir notre tout doux. C'est ça, et ça c'est fou, parce qu'il faut absolument qu'on se détache de cet objectif de performance, de tout doux. Et en fait, il y a aussi des objectifs. Moi, je dis tout le temps, les objectifs ne sont pas faits pour être atteints. Un objectif, c'est un cap, c'est une direction. Alors si tu matches tes objectifs, si tu es au-dessus, tant mieux. Mais pour moi, si tu matches tes objectifs ou si tu es au-dessus, c'est qu'il y a un problème. C'est peut-être que ton objectif, il n'était pas assez élevé en fait. Et donc du coup, il faut arrêter de considérer qu'il faut tout le temps performer, il faut tout le temps être motivé, il faut tout le temps remplir ses objectifs. Ça ne marche pas parce que du coup le risque, les conséquences, c'est justement de ne pas être motivé, de dire qu'on est nul. Et en plus, ça a été prouvé scientifiquement de se répéter parfois qu'on est nul ou qu'on n'arrive pas à avancer ou je ne sais quoi, bah qu'en fait, ça joue en ta défaveur, tu vois. Alors l'idée, c'est pas d'être dans le déni, d'être en mode « oui, c'est bon, tout va bien » , mais c'est d'accepter et puis de dire que ça va aller mieux et que voilà, tu connais, t'as des cycles, la vie c'est un cycle, tu vois. Mais il faut tout autant considérer en fait les moments de doute, les moments compliqués, de non-motivation, que les moments où tu performes en fait. ils sont tout aussi importants, ils sont tout aussi nourrissants donc les conséquences c'est que tu... Tu deep down dans tes pensées, dans tes moments de down et tout. Et c'est ça les conséquences et le risque, c'est que ça joue en ta défaveur, alors que toi, ce que tu veux, c'est performer et avancer. Est-ce que tu peux nous raconter un moment concret où tu t'es dit, là, je ne suis pas assez motivé, je vais échouer ? En vrai, je ne pense pas. Par contre, quand j'étais en entreprise, ça m'est arrivé de me dire, je ne serai pas à la hauteur de ce qu'ils me demandent, donc je vais échouer. Je vais me faire virer. Alors qu'en vrai je faisais bien mon taf tu vois, on arrêtait pas de me juger sur mon paraître. C'était mon dynamisme machin, on me disait même quand on donne des trucs à faire on a l'impression que tu t'en fous, que t'as un comportement jamanfoutiste. Mais les gars, je faisais vraiment, je faisais les choses en âme et conscience, je travaillais bien, on me disait ouais tes clients tu les gères bien, il y a des bons résultats. Je faisais même des formations, j'étais en alternance, je donnais des formations à des gens qui arrivaient, en CDI d'ailleurs. Donc je comprenais pas tu vas y prendre après on me disait ouais t'es pas si dynamique t'es pas si présent tu fais trop de télétravail putain de merde quoi Quand on te donne un truc à faire, on a l'impression que tu t'en fous. Mais que dalle, c'était juste ma manière d'être. Donc là, je me suis dit, oui, je vais peut-être échouer à ne pas rester dans cette entreprise. Mais bon, finalement, je suis parti et c'était la plus belle décision de ma vie. Demain, on sera en freelance. Putain, c'était incroyable. Quatre mois après avoir quitté mon job, enfin quitté mon alternance, je faisais 10 000 euros. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte. Là, je me suis prouvé à moi-même que je n'étais pas du tout un clampin, pas du tout un mec chill. Et puis qui n'était pas dynamique quoi. Quatre mois après, je faisais 10 000 euros par mois. Je travaillais avec des clients, avec Nivea. des trucs de ouf comme ça tu vois Donc là, j'étais en mode, ok, en fait, je suis chaud, voilà. Et c'était quatre mois après, enfin, comme quoi la progression, elle peut être comme ça, tu vois. Et parfois, par contre, il faut du temps, ça c'est normal. Donc, comment tu as traversé ces moments de creux ? Comme aujourd'hui, tiens, voilà, on y arrive, comment j'ai traversé ces moments de creux ? Eh bien, c'est assez simple, je vais me répéter, mais comment tu les traverses ? Eh bien, c'est, tu donnes de l'attention, tu les vis. Parce qu'en fait, parfois, on a tendance à mettre ces moments de creux, ces moments de down, des moments de doute, etc., où t'es pas bien. Tu les mets de côté, tu les mets sous le tapis, tu vois. En mode comme de la poussière, en mode tu veux pas l'avoir. Pourquoi ? Parce qu'on est élevé dans ce truc de il faut toujours être au top, il faut toujours être le meilleur, il faut toujours être motivé, il faut toujours faire ci, faire ça, performer. Et donc, en fait, naturellement, tu te dis bah non, mais je devrais pas être comme ça, c'est pas normal. Vas-y, je me motive, allez, je me mets un coup de pied au cul. Et justement, ce truc de se mettre un coup de pied au cul, c'est une débilité. arrêtez-vous de faire ça de mettre des coupiers au cul, ça ne marche pas bien au contraire acceptez le truc, acceptez l'émotion, acceptez la situation, vivez là en fait accordez-y de l'attention parce que quand vous êtes au fond, quand vous êtes dans le creux c'est là où tout se joue en fait, si vous y mettez pas de l'attention ça va revenir ou alors vous allez rester un petit moment là dedans parce que vous êtes dans le déni tu vois au contraire au lieu de mettre la poussière sous le tapis vous soulevez le tapis ah ouais putain en fait y'a pas mal de poussière je vais peut-être regarder, je vais voir ce qui se passe et je vais nettoyer mais c'est comme ça qu'on traverse des moments de creux c'est comme des problèmes, je sais pas Des choses qui reviennent sans cesse, ça peut arriver, c'est comme, je sais pas si demain t'as un facteur qui tape à ta porte, mais que tu veux pas lui ouvrir, bah il va toujours taper, il va dire mec j'ai un colis pour toi en fait, tu vas répondre, je sais que t'es là tu vois, bah c'est pareil quand t'as des moments de doute etc, que tu veux pas regarder, bah là tu ouvres la porte, t'acceptes le facteur, t'as un colis, puis c'est un colis de merde, mais tant mieux, on l'accepte, on regarde, parce que c'est grâce à ça qu'ensuite vous allez remonter tu vois, encore une fois je vous reprends les images, j'adore les images, l'image de vous Croyez en mon expérience. Et là, c'est trop bien parce que je suis dans un moment de creux, donc je sais que ça va remonter. C'est pour ça que là, je vous parle. En vrai, ça va. Même si, bon, je suis content d'être derrière un micro et de parler, mais bon, c'était difficile quand même tout à l'heure. Et c'est normal, je l'accepte. Et c'est comme ça que pour moi, on traverse ces moments de creux. On accepte, on vit. Et la vision, le pourquoi, ça aide énormément. La vision, le pourquoi. pourquoi vous faites ce que vous faites et où est-ce que vous allez concrètement. C'est des fondations. ultra importante qu'est ce qui me compte vraiment quand la motivation n'est plus là et ben c'est ce que je vous disais c'est la vision c'est le pourquoi vous faites ce que vous faites le sens que vous y mettez c'est tout bête mais enfin et encore une fois c'est pas forcément trouver un sens de fou en mode je veux contribuer au monde et tout pas forcément peut tout simplement être moi je veux être chill dans ma vie je veux travailler trois jours par semaine et qu'on me laisse tranquille et que voilà je fasse mes vacances que je sois en vanne j'en sais rien ces trucs comme ça donc c'est La vision, le pourquoi, je dirais aussi votre entourage. Et je dirais entourage, donc vos amis, votre famille, etc. Parce que si vous souhaitez devenir freelance, si vous souhaitez vous lancer dans l'entrepreneuriat, entourez-vous de ces gens-là. Et après, il y a votre environnement naturel. Moi, je sais que quand je suis à Paris, c'est compliqué. Je ne sais pas pourquoi, franchement. Il y a une énergie ici qui ne me plaît pas. Et j'ai du mal à m'endormir, j'ai du mal à me réveiller, c'est bizarre. Donc ça, c'est aussi à considérer, évidemment. C'est pas pour rien qu'il y a plein de gens qui sont dans des endroits comme Bali ou d'autres... Pas que Bali évidemment, mais d'autres endroits comme ça. Ah, il y a une question que j'aime bien, et justement on parle de syndrome de l'imposteur. Alors, est-ce que tu dirais qu'on peut réussir même si on se sent parfois imposteur ? Alors là, mais carrément, carrément, enfin on y arrive sur ce sujet. Pour moi, ce syndrome de l'imposteur c'est un écran de fumée en fait. Parce que, t'es salarié, tu veux te lancer en freelance ? Tu as un changement d'identité, d'accord ? Donc c'est normal que tu ressentes cette non-légitimité, ce syndrome de l'imposteur comme on l'appelle. Et en plus, on met un énorme mot, syndrome, mais c'est juste que tu n'es pas encore arrivé à l'identité B, tu vois. Donc c'est normal que tu dises, est-ce que je vais être à la hauteur ? Pourquoi les entreprises vont travailler avec moi, etc. C'est normal, logique. Et moi, c'est pareil quand j'ai lancé Shaperoom, je me suis dit, mais attends, moi je vais être formateur, je vais être coach, qui suis-je ? et pour autant bon je suis pas arrivé encore là où je veux vraiment arriver mais ça réussit tu vois j'ai des là on est presque une trentaine d'élèves on y doit 25 un truc comme ça c'est fou l'année dernière j'en avais quatre je passe que vous vous en rendez compte quand même donc oui on peut réussir mais si on se sent imposteur carrément et justement je trouvais ça ça va être l'ouverture la fin de cet épisode en fait justement pour réussir pour moi il faut être imposteur en fait parce qu'encore une fois on disait les moments de down, les moments de doute etc, on met ça sous le tapis, on se donne un coup de pied au cul, on avance quand même, on est un peu dans le déni. et bah l'imposteur c'est pareil parce qu'en fait il y a ce, je vais pas dire syndrome Ce sentiment de non-légitimité, d'être imposteur, et en fait on veut le vaincre à chaque fois, on le met de côté, on veut pas l'accepter, on veut pas le regarder en face, parce que ça nous fait peur. Mais c'est comme quand t'es petit, tu sais t'as peur du monstre qui est sous le lit là, mais du coup t'as peur de le regarder en fait, t'as peur de voir ce qu'il y a sous le lit, tu te mets sous la couette, alors qu'en fait t'allumes la lumière, tu regardes sous le lit, tu sais qu'il y a rien. Le syndrome de l'imposteur c'est pareil Il faut le regarder Parce qu'en fait Et ça C'est très drôle parce que je l'ai appris avec une élève qui a terminé. Elle m'a dit, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. Je le répète, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. En fait, c'est ça, elle s'est mis dans la peau d'une impostrice. Je ne sais pas si elle se dit, dans la peau de l'imposteur en fait. C'est ça pour moi le hack, même si on ne va pas dire que c'est un hack, mais en fait c'est vraiment c'est un jeu de rôle C'est un peu ça, c'est un jeu. Et en plus, partir du principe que la vie est un jeu, c'est génial. C'est un jeu. Tu es en discussion avec ton prospect et tu es là. Limite, tu t'habilles bien. Limite, tu mets une chemise pour vraiment dire à ton cerveau « Je suis expert, je suis freelance. » Et en contrepartie, ça ne veut pas dire que tu dois oublier le sentiment que tu dois mettre de côté tout ce qui se passe, etc. Mais en fait, le fait de te conditionner, de dire à ton cerveau, d'envoyer l'information, d'y croire, de le faire, vraiment de se dire je suis expert en fait naturellement tu vas le devenir parce qu'on passe on passe tous par là tu vois moi le premier tout le monde on part tous de zéro pour arriver là où sont les plus grands il faut passer par cette étape là donc je vais continuer sur ces questions parce qu'elles sont intéressantes mais pour moi le syndrome de l'imposteur ce n'est qu'un écran de fumée en fait on devrait même pas dire imposteur je sais pas ce qu'on pourrait dire d'autre mais C'est ce sentiment de ne pas être légitime. En fait, il n'est pas question de ça, parce que du coup, tu es tourné vers toi, c'est ce que je disais au début. Le risque, c'est ça, c'est que tu te dis, je suis qui, moi, moi, je, moi, je, moi, je. Mais la personne en face de toi, elle en sait forcément moins que toi, parce que tu as forcément appris peut-être un métier ou je ne sais quoi. Je prends l'exemple de mes élèves. Ils prennent leur premier client en 3-4 mois, ils trouvent leur premier client. On a une moyenne entre 1 et 4. Donc on est environ à 2, 2,5 à chaque fois à la sortie du shape camp. Je disais qu'on est tourné vers nous-mêmes. Parce qu'en gros, mes élèves parfois me disent, oui mais moi je, moi je, moi je, moi je me sens pas comme ci, je me sens pas comme ça. Mais en fait en face de toi, même si ça fait que, guillemets, que 3-4 mois que tu travailles sur ce sujet, que tu t'exerces, etc. Mais t'en sais mais 1000 fois plus que la personne qui est en face de toi. A tel point que tu vois, moi je vois ce qui se passe. Mes élèves, quand ils sont... en interview, donc en prospection, etc., ils se rendent compte qu'ils sont trop chauds, en fait, quand ils font des audits sans mode. Mais en fait, je me rends compte que je sais, en un clin d'œil, je sais pourquoi ça va, pourquoi ça ne va pas. Il y en a un, il s'est placé sur un exercice assez difficile, c'était niveau média bailleur, deux ans d'expérience, genre vraiment. Mais le mec, il a réussi haut la main, haut la main. C'est fou ! Mais tout ça parce qu'en fait, ils y croient, tu vois. Ils se sont exercés, etc. Et ensuite, c'est OK, ils se mettent dans la peau. de l'expert et ça fonctionne de fou. Il n'y a pas d'imposteur parce qu'ils sont tournés vers leurs prospects, ils vont les aider en fait. Typiquement, il y a une freelance que j'ai formée qui a repris un client qui a été accompagné par une agence, mais l'agence faisait tellement mal le travail comme malheureusement beaucoup d'agences que du coup, l'entreprise s'est dit « je vais travailler avec elle, avec cette freelance parce qu'elle connaît la fille, ça fait quatre mois. Il y a quatre mois, elle ne connaissait rien. » Voilà. Ça ne veut pas dire que ce sentiment d'être un posteur n'existe pas. Il existe parce que vous vous êtes tourné vers vous, vous vous êtes tourné vers le moi-jeu, moi-jeu, moi-jeu, quelle image je renvoie, machin. Non, on s'en fout. Allez aider des gens. Il y a des entreprises qui ont besoin de vous, des projets qui ont besoin de vous. C'est ça qui est important. Et les ads, ça aide énormément la publicité. Alors, il y a plein d'autres choses, mais la publicité, ça aide énormément. Ça, c'est vraiment intéressant. Qu'est-ce qu'on devrait mesurer à la place de notre motivation pour savoir si on avance vraiment ? Pour moi, il y a deux choses. La première, c'est chaque petit pas. chaque petite victoire. C'est tout bête, mais l'année dernière, j'avais 4 clients. Alors, j'en voulais plus, évidemment. On en veut toujours plus, de toute façon. Mais 4 clients, c'était déjà une putain de victoire, tu vois. J'avais jamais fait un lancement, formation, etc. 4 clients, c'est une putain de victoire. Donc, c'est chaque petite victoire. Et même au-delà de ça, tu vois, c'est ok, j'ai une nouvelle offre, j'ai un nouveau prospect, un nouveau client, j'ai, je sais pas, un nouveau profil LinkedIn, j'en sais rien, peu importe, mais... chaque petite victoire il faut les célébrer parce que c'est ce qui va construire ta victoire de demain. C'est comme quand tu construis une maison, tu la construis pas en un clin d'œil, tu mets pièce après pièce, chaque pièce, chaque élément ajouté à cette maison. te rapproche de cet objectif-là. Donc ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est l'impact que tu peux avoir autour de toi. Donc c'est l'impact que tu peux avoir avec tes clients, l'impact que tu as aussi autour de toi, avec tes potes ou je ne sais quoi, parce que tu vas, si tu es en freelance, et que tu te lances, tu vois, et même au tout début, quand tu es tout premier client, tu as l'impression que tu es débutant, que c'est le début, mais tu ne te rends pas compte, tu as déjà un impact de fou sur tes clients, et un impact aussi sur les gens qui peuvent t'entourer parce que tu peux inspirer des gens. Donc pour moi... C'est ce qu'on devrait mesurer. On devrait mesurer chaque petite victoire, parce que c'est ça qui fait qu'on avance vers là où on veut aller, et l'impact qu'on a vraiment sur les business qu'on accompagne, sur les gens qu'on accompagne, sur les gens qu'on aide, les projets, et sur les gens qui nous entourent aussi, tu vois. Ça, je trouve que c'est très important, et j'y rajouterais peut-être une troisième chose qui est surtout la croissance personnelle. Voilà, ne pas juste se fier à ce qui se passe à l'extérieur, mais aussi à ce qui se passe à l'intérieur. Parce que dans tous les cas, pour changer son monde extérieur, il faut d'abord changer son monde intérieur. Et donc noter qu'il y a un changement intérieur, ça c'est aussi une putain de victoire. Donc il faut mesurer ça, au-delà de la motivation. Quelle question chacun devrait se poser ce soir en rentrant chez lui pour réfléchir différemment à sa valeur intérieure ? Je vais résumer ça en une phrase. A 20 ans, t'es le fruit de ton éducation. A 40 ans, t'es le fruit de tes décisions. Et à 70 ans, t'es le fruit de l'impact que tu as sur le monde. Voilà, je vais finir là-dessus parce que je trouve que cette phrase me permet d'apporter énormément de sens à ce que je viens de dire. Donc en fait, même si t'as genre 20 ans, tu vois, pour moi il faut penser long terme, il faut penser à l'impact que tu vas avoir sur le monde qui t'entoure. Que ce soit en B2B avec des entreprises, comme en B2C avec des particuliers, peu importe. Tu vois, pour moi c'est très important et ne pas négliger la phase des 40 ans où en fait t'es le fruit de tes décisions. Les décisions que tu vas prendre aujourd'hui, ça se trouve t'as déjà 40 ans, mais dans tous les cas il n'est pas trop tard. Les décisions que tu vas prendre au quotidien, pas forcément des grandes décisions, mais des décisions de tous les jours au quotidien, c'est ce qui va construire la victoire de demain et c'est ce qui va aussi te construire toi en tant qu'être humain. Et c'est ce qui va déterminer ta valeur intérieure, je trouve. C'est l'impact que tu as autour. Et en fait, ça revient au concept d'être tourné vers l'extérieur, tourné vers la personne qui est en face de toi ou les personnes qui sont en face de toi, qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de ton expérience. de qui tu es, et au-delà de ton expérience, au-delà de tes skills, c'est aussi toi, qui tu es toi en fait, tu vois. Moi quand les gens me rejoignent dans Sheproom, ils rejoignent pour leur projet, pour apprendre un métier, mais aussi pour moi, ils achètent un bout de Nicolas, comme ils vont acheter un bout de je ne sais qui, un bout de toi qui va te lancer en freelance en fait. Ils achètent de l'humain, tu vois. Ça c'est ultra important, et chaque être humain est différent. Et ça il faut le valoriser, parce qu'on a tous tendance à vouloir ressembler à je ne sais qui. vous avez une valeur intérieure qui est déjà présente vous n'avez pas besoin de la développer vous l'utilisez et ensuite elle va évidemment évoluer et donc je trouve ça très important pour finir cet épisode parce qu'on a toujours tendance à penser qu'on n'est pas assez, qu'on doit être comme ci comme ça, qu'on doit ressembler à je ne sais qui, donc il y a ce sens de l'imposteur on doit être motivé mais il y a déjà, en fait tout est en nous déjà il faut juste aller voir ce qui se passe, avancer avoir cette vision et ce pourquoi aussi comme je vous l'ai dit et tout va se mettre en place petit à petit brique après brique et ne pas aller trop vite le chemin le plus rapide c'est le chemin le plus long en réalité parce que si vous souhaitez construire un truc de fou ou même juste réussir en freelance il faut apprécier le chemin et le chemin il peut être long peut être long moi ça m'a mis presque un an avant de me lancer à 100% en freelance chez Iprum ça fait plus d'un an que je développe tu vois et pour moi ce n'est que le début Donc il faut aussi apprécier tous ces moments-là en fait, ces moments de down comme je le disais, et apprécier cette lenteur. Parce qu'on est toujours dans le « il faut aller vite, il faut aller vite, il faut aller vite, le marché il évolue vite » , « ah il y a un tel qui fait ça, il y a un tel qui fait ça » , on s'en bat les couilles. Ce qui est important c'est ce qui se passe à l'intérieur, l'impact que vous avez autour de vous, et vous n'avez pas besoin d'avoir un impact de fou malade. Si vous n'avez déjà que 4, 5 clients, c'est déjà très bien, c'est comme moi au début, j'avais que 4 clients mais j'étais déjà super content parce que ça se lançait tu tu vois. Alors évidemment, je voulais, t'en veux toujours plus, mais brique après brique, si vous partez, vous avez une vision, Pourquoi ? Ça va fonctionner. Il y a des piliers qui sont là, les fondations sont là, ça va fonctionner. Il faut juste y mettre de l'énergie, du temps, et à un moment donné, boom, just got paid. Ça va se déclencher. Comme quand j'ai quitté mon job et au bout de 4 mois j'ai gagné 10 000 euros, c'était genre impensable un an avant. Un an avant, je me lançais. Donc voilà, conclusion. Tout ça pour dire que les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs, tout simplement. Pourquoi ? Parce que... Il y a cette transformation naturelle, le cerveau s'imprègne de cette nouvelle identité. Parce que vous jouez un rôle, tout simplement. Et donc, il n'y a pas d'imposteur. Chaque personne évolue. Chaque personne n'est jamais à 100%, c'est normal. Même nos présidents, même les gens les plus grands de ce monde, tout le monde doute, tout le monde a peur, tout le monde évolue. C'est ça qui est beau d'ailleurs. Donc, les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs. Elon Musk, Mark Zuckerberg, quand ils ont commencé, c'était des putains d'imposteurs. Ils sont devenus ce qu'ils sont devenus. Voilà les amis, on va s'arrêter là. C'est la fin de cet épisode, j'espère qu'il vous aura plu. J'espère qu'il vous aide et qu'il vous donne de la motivation. parce que pour moi c'était un épisode important voilà on se retrouve pour un prochain épisode pour une prochaine Youtube Je vous l'ai dit, abonnez-vous, laissez un commentaire si ça vous plaît, laissez un like, partagez, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et on se retrouve à très bientôt pour d'autres épisodes et plein d'autres aventures. A très vite, ciao !

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Tu te sens illégitime à vouloir devenir freelance ? Et si c'était justement bon signe ?


Cette semaine, je te parle d’un sujet qu’on vit tous en silence : le syndrome de l’imposteur.

Celui qui te fait croire que tu n’es pas légitime, pas assez expert, pas prêt. Et pourtant…


Dans cet épisode, on voit ensemble :

📌 Pourquoi tu n’as pas besoin d’attendre d’être « prêt » pour te lancer

📌 Comment j’ai transformé mes doutes en moteur

📌 Ce que cache vraiment ce qu’on appelle le « syndrome de l’imposteur »

📌 Pourquoi chercher à être motivé en permanence est une mauvaise idée

📌 Comment recentrer ton énergie sur l’essentiel : ta mission

📌 Le piège du hustle mode et de la comparaison constante

📌 En quoi la vulnérabilité peut booster ta carrière de freelance


Un épisode pour t’aider à avancer même quand tu doutes. Surtout quand tu doutes.


Tu as aimé cet épisode ?


🎒 Je suis Nicolas Dorfmann, entrepreneur nomade et fondateur de shaperoom. Avec shaperoom, je t’accompagne à te lancer en freelance en 90 jours en apprenant mon métier, celui de media buyer. Comment ça se concrétise ? Tu entres dans le shapecamp pendant 90 jours, tu apprends le métier de media buyer freelance et tu obtiens tes premiers clients. Ensuite, tu rejoindras ma communauté de freelances "les shapers" ! Tu veux en savoir plus ? C’est par ici : https://www.shaperoom.io/


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À propos de Nicolas Dorfmann 👇


Je suis media buyer depuis 2020, formé en agence media buying à Paris par deux anciens de Google. En 2021 j’ai quitté le salariat pour me lancer en freelance et créer une vie à ma mesure — libre, engagée, alignée. En 2023 je suis devenu 100% nomade pour réaliser mes rêves.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a un moment dans chaque vie où quelque chose appelle. Ce n'est pas un cri, mais plutôt une vibration sourde, un écho venu du large. C'est ce moment où tu sens que ta vie ne peut plus rester entre les murs d'un bureau, ni dans le cadre d'une existence qu'on t'a dessinée. Je suis Nicolas Dorfman, entrepreneur nomade et fondateur de Shape Room. J'ai quitté le salariat pour construire une vie libre, et j'aide aujourd'hui d'autres esprits en quête d'indépendance à faire de même. Dans ce podcast... Je te partage deux dimensions de ce voyage. Je te dévoile d'abord mon journal, le journal d'un esprit libre, où je questionne la société, notre éducation, la peur, le courage, et tout ce qui façonne ou freine notre liberté intérieure. Puis, quand le besoin d'ancrage se fait sentir, je t'emmène sur le chemin du concret. Comment devenir freelance médiabayer, apprendre la publicité en ligne, et faire de ton indépendance une réalité. Ce podcast est une invitation à écouter ta voix intérieure, à réapprendre à penser par toi-même et à répondre, toi aussi, à l'appel du large. Bienvenue dans l'appel du large. Si cette voix résonne en toi, abonne-toi pour suivre le voyage, laisse un like et un commentaire pour faire rayonner le message. Et je te souhaite une très bonne écoute. Bon les amis, sujet du jour important et en plus sujet un petit peu plus personnel aujourd'hui, c'est une vidéo un peu plus... Chill, un peu plus freestyle j'ai envie de dire. Alors certes j'ai toujours des petites notes parce que j'ai envie que mes contenus soient quand même qualitatifs et qu'il y ait franchement de la valeur qui en ressorte en fait de ces contenus le plus possible du moins. Mais là c'était pas trop préparé. Là j'ai sorti mon micro, il est 13h, il faut que j'aille manger d'ailleurs après. On est le 28 août, je suis à Paris, de retour dans la chambre de quand j'étais étudiant en fait. Enfin, je ne sais pas si on peut voir un peu derrière moi. D'ailleurs, je me suis acheté une petite light. Je ne sais pas si ça se voit juste derrière moi, là. Une petite light un peu bleue. Alors, j'ai des lumières qui m'éclairent, donc on ne voit pas trop. Mais petit investissement. Voilà, c'est un truc qui m'a coûté 20 euros. D'ailleurs, c'est une pote qui m'en a parlé. Alors du coup, je le précise. Vous pouvez l'avoir évidemment si vous êtes en format YouTube, format vidéo. Sinon, je vous le dis, pour ceux qui écoutent, j'ai acheté une petite light trop cool sur Amazon. Ça m'a coûté 20 euros. Juste à côté. Et puis en fait on peut mettre n'importe quelle couleur avec une application c'est assez simple Alors moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, ça se trouve vous connaissez déjà, peut-être, dans ce cas là bon bah tant mieux pour vous, moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, j'ai une pote qui me l'a montré, je trouvais ça trop stylé. Ah bah d'ailleurs j'ai le paquet juste à côté de moi, ça s'appelle comment ? Rainbow Projector Lamp, voilà, je sais pas si on peut le voir, mais franchement petit placement de produit, non mais franchement hyper cool, donc c'est cool parce que je peux mettre un peu les couleurs de Shape Room derrière, bon ça se voit pas trop. De toute façon, le but c'était quand même de cacher le bordel qu'il y a derrière moi parce que du coup, quand je reviens chez ma mère à Paris, c'est toujours un peu le bordel parce que je reste pas très longtemps, je prépare mes affaires pour la suite. D'ailleurs, dans à peu près 7 jours, mesdames, messieurs, je m'envole pour l'Indonésie. Vous savez pas à quel point je suis mécontent. Ça fait, je pense, je sais pas, alors 4 mois que j'attends ça. Là, je vais passer 6 mois en Indonésie. Je vous raconterai tout ça dans mes podcasts, vidéos YouTube, évidemment. Et d'ailleurs... franchement je vous le redis, je vous le dis pas souvent mais je vous le redis quand même n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram si vous avez des idées de sujets, des idées de vidéos quand je m'exprime sur certains sujets, si vous dites ah putain mais c'est dommage il a pas mentionné ça ou ah c'est dommage il parle pas de ça, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram vraiment parce qu'en fait là ça fait deux semaines que je reçois franchement de plus en plus de messages par rapport à mes vidéos YouTube et mes podcasts et en fait ça fait trop plaisir de voir que bah il y a des humains derrière en fait, il y a des humains derrière cette putain de caméra, il y a des humains derrière ce putain de micro et derrière surtout ces statistiques que je vois voilà toutes les semaines juste de savoir que ça vous plaît, que ça vous motive, que ça vous drive, que ça vous inspire, peu importe mais c'est un plaisir de fou donc je le dis dès l'intro, je pense que je le dirai à chaque fois écrivez moi sur instagram, ça me fait trop plaisir comme ça on peut échanger j'ai même quelqu'un qui m'a écrit qui s'appelle Laure je crois, si je me souviens bien ouais s'appelle Laure qui m'a écrit, qui va aussi à Bali, donc on va se voir là-bas. Enfin, voilà, moi c'est aussi pour ça que je fais tout ça, c'est aussi pour ça que j'écris, que je fais des podcasts, que je fais cet accompagnement qui s'appelle Shape Room, que je fais des vidéos YouTube, c'est aussi pour rencontrer des gens en fait. Alors évidemment, c'est pas que pour ça, mais ça me fait trop plaisir de vous voir que les sujets vous touchent, ça peut vous aider, vous inspirer, ou peu importe, parce que c'est le but de ces podcasts et de ces vidéos. Donc n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et aussi, si vous souhaitez me donner de la force, le mieux. que la meilleure chose possible c'est de noter ce podcast ou de mettre des commentaires sur YouTube ou de vous abonner à ma chaîne YouTube, de liker, partager. Alors non seulement ça me donne de la force, mais ça va aussi donner plus de rayonnement à ce que je dis. en podcast, YouTube, peu importe, ça donne plus de rayonnement aussi à ce que je souhaite transmettre à travers mon projet Shape Room et ça donne plus de force à tous mes freelances qui sont dans ma communauté parce que mine de rien derrière, ce que je souhaite c'est que cette communauté qui est grandissante aujourd'hui on est une vingtaine à terme je veux que ce soit la plus influente et la plus grande de France et donc au delà de juste dire ouais j'ai une communauté hyper forte, hyper influente en fait j'ai vraiment envie de véhiculer des bonnes valeurs et un bon message Parce qu'en gros, avec Shaperoom, je l'ai déjà dit dans certains épisodes, mais c'est toujours bien de le répéter, moi j'estime que j'ai une mission à travers Shaperoom. Et cette mission, c'est de rendre les gens libres et épanouis. Grâce à un métier, en l'occurrence le media buying, mais après j'aimerais diversifier les bootcamps que j'ai dans Shaperoom. Là aujourd'hui c'est du media buying, c'est de la publicité en ligne, donc t'apprends à devenir expert en publicité en ligne. Et grâce à ce métier, tu peux voyager, tu peux être à ton compte, tu peux vraiment te sentir utile, important, bien gagner ta vie. Voilà, choisir tes horaires, tes vacances, bref, on connaît la chanson. Et en fait, à travers ce style de vie, donc le style de vie de freelance, en fait, entrepreneur, en gros, les gens sont épanouis, sont vibrants, vivants, tu vois. Parce qu'au-delà de l'aspect vraiment purement stylé du truc, ouais, t'es à Bali, tu voyages, tu gagnes bien ta vie ou quoi que ce soit, t'as aussi des moments de down, t'as des moments de doute, t'as des coups de mousse qui est normal, comme d'ailleurs en ce moment pour moi. Et c'est pour ça qu'on va en parler dans le sujet de la vidéo, parce que, voilà. Là, il y a deux, trois jours un peu plus difficiles pour moi et j'en parle pas souvent. Et c'est pour ça que j'ai un peu improvisé ce podcast-là, parce que ça me semblait important de pouvoir aussi parler de sujets un peu plus durs, un peu plus compliqués pour moi. Je pense que c'est une place totalement légitime que je peux avoir sur le podcast ou sur YouTube. Ça me semble important de ne pas juste montrer les choses belles, voilà. Même si, bon, moi j'aime vous faire rêver les potes, on est là pour ça quand même. Mais bref, au-delà de ça, du coup... Se sentir vivant à travers des moments de coup de mou, parce que quand c'est difficile, tu te sens vivant en fait. Tant que c'est... Tu vois, c'est de l'émotion, tu vois. C'est cette incertitude dont je parlais dans un autre podcast, cette insécurité qui est là, en quelque sorte, mais qui fait qu'on se sent mais vivant, quoi. Et après, la victoire de demain n'est que plus belle. Et donc à travers ce style de vie, d'être freelance, etc., moi ce que je veux, c'est œuvrer pour un monde meilleur. Parce que quelqu'un qui est épanoui, qui se sent vibrant, vivant, et bien naturellement... Tu vas faire le bien autour de toi, tu vois. Tu vas rayonner. Parce qu'on sent que t'as une mission, on sent que t'es porté par un truc. T'as un style de vie qui te fait kiffer, en fait. Tu vois. On sent que t'es à ta place. Donc, je pense notamment à Mathias. Il y a une vidéo qu'on a faite ensemble, une interview, que vous pouvez retrouver sur la chaîne YouTube, qui est disposée sur le podcast. Je pense notamment à Tom Soa, qui a 18 ans. Je pense à Lucien aussi. Je pense à Sonia également. On va tourner le podcast demain, d'ailleurs. Donc, ça va sortir au cours en septembre. Enfin bref. Je sais plus où est-ce que j'en étais, mais tout ça pour dire que voilà, épisode un peu plus freestyle, un peu plus spécial, mais dans tous les cas, il y a quand même toujours de la valeur qui est apportée, ça me tient vraiment à cœur. Et aujourd'hui, le sujet, alors je sais pas quel sera le titre exactement, normalement ça va être un truc du style les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs, ok ? Et le but, c'est que, en fait, ma phrase d'accroche si tu veux pour l'épisode, c'est ce que tu as dedans. n'a rien à voir avec ce que tu crois valoir. Ça, ça va être mon hook. Voilà, ok ? Donc, restez bien accrochés. On va décortiquer tout ça ensemble. En gros, je vais vous introduire un petit peu ma situation actuelle, ce qui s'est passé dans les semaines précédentes. Et puis, après, on va attaquer le sujet du jour, en fait, qui est en rapport... Alors, il y a un peu deux piliers, si vous voulez, sur cette vidéo. Il va y avoir donc tout ce qui tourne autour de l'imposteur, en fait. On parle beaucoup du syndrome de l'imposteur, etc. Mais tout ça, c'est du fake. Ce n'est qu'un écran de fumée. Je vais vous expliquer pourquoi moi je vois la chose comme ça. Et je pense que ça pourra vraiment vous aider à traiter avec cette légitimité. On parle tout le temps d'être légitime sur un domaine pour se lancer en freelance, ce qui est normal. Mais en fait, on accorde beaucoup trop d'importance à ce sujet. Et je vais vous expliquer pourquoi. Pour moi, c'est une construction mentale. Bref, il y a ce premier pilier. Et deuxième pilier, ça va être tout ce qui est autour de la motivation. Ce truc de... ce hustle mode. qu'on voit souvent sur les réseaux, pour y arriver il faut travailler dur, pour y arriver il faut être discipliné, la morning routine, le truc, le machin, ce qui est en partie vrai, mais vous allez voir qu'on va tempérer le truc parce qu'il faut remettre l'église au milieu du village, putain, voilà, il faut se dire les choses et aujourd'hui c'est un sujet important parce que je pense qu'il y a pas mal de personnes qui vont écouter ce podcast et qui vont regarder cette vidéo, du moins je l'espère, de plus en plus, c'est pour ça donnez de la force, likez, commentez, partagez les potes, vraiment. et puis moi ça me permet aussi de savoir quel impact je peux avoir et encore une fois écrivez moi sur instagram et voilà le but c'est que ça aide énormément de personnes qui qui pensent à se lancer en freelance ou qui où ça se trouve toi en ce moment tu es en train de te lancer en freelance donc ça va vraiment t'aider je termine ma petite intro qui est bordélique je vous l'ai dit c'est freestyle là mais c'était un peu le c'était pas le but c'est le but mais voilà c'est aussi ça j'aime bien les sujets un peu enfin les podcasts un peu plus chill ou voilà y'a pas de tu vois trop de montage ou quoi que ce soit enfin après j'aime bien quand c'est clean un minimum mais ou juste je sors mon micro et je parle évidemment j'ai un sujet pas juste parler devant la caméra comme ça comme un débile et bref je vous mets un peu de contexte je suis revenu de vacances j'ai fait deux semaines de vacances d'ailleurs très stylé on a fait serbie monténégro bosnie bosnie herzégovine et puis on a fait un road trip en fait on a loué une voiture à budapest et on est descendu en serbie on a fait le monténégro on est passé par la bosnie et on a rendu la voiture à budapest d'ailleurs petit aparté sur ce sujet là on a loué une voiture et à un moment donné il ya la marche arrière qui avait du mal à s'enclencher je faisais un créneau Il y avait un petit poteau en face, et en gros, c'était légèrement en pente vers le poteau, et comme la marche arrière avait du mal à s'enclencher, quand je lâchais le frein, la voiture continuait à avancer, très légèrement, et à un moment donné, elle touche le poteau, mais on ne sent rien du tout. Bref, il y avait une mini gratinure, mais quand je dis une mini gratinure, c'est vraiment un truc, ça faisait 2 cm. On rend la voiture à Hertz, à Budapest. Bref, du coup le mec remarque la petite égratignure et je me suis dit, bon putain, il va rien se passer tu vois, je lui ai demandé et tout, comment ça se passe, il m'a dit bah j'envoie le truc au desk, à l'office là, au bureau, et c'est eux qui décident de leur côté. J'ai dit bon bah ok, d'accord, très bien, j'aurais bien aimé discuter mais, parce que je me suis dit, ça se trouve ils vont nous mettre une couille tu vois, parce que c'était vraiment une toute petite égratignure mais tu sais, dans ce genre de, quand tu loues une voiture c'est toujours un peu le stress de se dire, ah putain, si je fais une trace qu'est-ce qu'il va se passer. donc il envoie le truc au bureau et Le lendemain je crois ou deux jours après, je reçois un mail avec la facture. J'étais en mode putain, une facture. Je regarde donc, j'ouvre le PDF, je regarde la facture. Et là je vais tout de suite sur la ligne du bas parce que tu t'emballes, il coule du reste. Je vais à la ligne du bas. Et là je vois quoi ? Je vois 500 balles. 500 balles. J'étais en mode mais ils se foutent de ma gueule quoi. Genre à quel moment, mais c'est même pas une égratignure, c'est une petite trace tu sais. La voiture elle a touché littéralement. effleurer le poteau, tu vois, 500 balles du coup j'ai quand même répondu, j'ai dit les gars expliquez-moi juste deux secondes pourquoi je dois payer 500 balles, parce qu'il y avait juste la facture en mode voilà y'a des gratinures, paye connard enfin bref voilà petite anecdote, c'est donc du coup deux semaines hyper sympas j'ai pu couper, c'était cool, donc là c'était en août on est le 28 août, ça fait ça fait combien de temps que j'ai repris, ça fait une semaine ? Ouais, je sais même plus. Une semaine, un truc comme ça. Bref, et du coup, me voilà de retour. dans le projet, dans le shape room et je dois vous avouer qu'il y a eu une semaine trop bien où je me sentais bien etc et puis là je dois vous avouer que c'est plus compliqué. Alors pas d'un point de vue résultat, c'est en fait ce qui se passe avec les gens avec qui je bosse surtout au sein de l'agence où ça me peine beaucoup parce que, alors je vais pas évidemment tout vous raconter, il y a quand même des trucs qui doivent rester privés mais il y a des choses qui ont été dites et du coup qui vont se passer qui malheureusement ne contribue pas au chemin que je souhaite emprunter en fait. Ça ne va pas dans ma vision. Et nos chemins vont très certainement se séparer avec ces personnes en question avec qui je travaille. Et du coup ça me peine beaucoup parce que c'est des amis en vrai, c'est des potes à travers le business si vous voulez. Et tout ça pour vous dire que voilà, c'est pas tous les jours facile. Je ne suis pas juste digital nomade, je suis en freelance et je vous enseigne mon métier. J'ai aussi une agence, j'ai une communauté, donc un collectif. Il y a évidemment l'accompagnement avec du coaching, des exercices, une plateforme de vidéos, etc. Mais voilà, j'aime bien vous donner aussi les coulisses parce que ça me paraît important. Si vous me voyez sur Instagram, sur YouTube, à chaque fois je donne des conseils, je parle souvent de ma vie, je donne pas mal de trucs hyper positifs, mais je trouve intéressant de parler aussi de trucs un peu plus... un peu plus noir. Voyage en le monde, un rêve de nomade, Paris aux éclats des vagues, surfant les vagues, chassant le soleil, Nicolas Dorfman toujours en effet. Je vous disais, on va parler un peu d'imposteur d'une certaine manière et de la motivation. Vous allez voir qu'il y a plein de sujets qui s'entrecoupent. Et d'ailleurs, pour cet épisode-là, ce que je me suis dit, j'ai travaillé avec ChatGPT et je me suis dit, pose-moi des questions comme si on était en interview et moi, je vais y répondre. Donc, on va tester ce format. Et encore une fois, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Écrivez-moi sur Instagram si vous arrivez sur cette chaîne YouTube, sur cette vidéo, si tu arrives sur ce podcast. Déjà je vais me présenter rapidement mais n'hésite pas à voir mes réseaux sociaux sur Instagram c'est NicolasShapeRoom S H A P E R D O M Et m'écrire sur Insta et me dire si cet épisode te plaît, même si il y a des trucs qui te plaisent pas tu me dis ça c'était pas ouf pour telle raison Ça m'énerve de fou en vrai Aidez-moi les gars Je vais me présenter avant de continuer Je m'appelle Nicolas Dorfman, j'ai 27 ans Mon anniversaire était le 2 août Voilà, si vous souhaitez me souhaiter mon anniversaire n'hésitez pas encore une fois mes dm instagram sont ouverts donc j'ai fondé shaperoom il y a maintenant un peu plus d'un an j'ai proum qu'est ce que c'est il ya trois verticales une première c'est le bootcamp on appelle ça le shape camp parce que c'est pas n'importe lequel c'est le bootcamp de shaperoom dans laquelle donc dans lequel je t'apprends mon métier et je t'aide à te lancer en freelance de a à z c'est à dire que tu connais rien et bah tu as des cours sur le marketing digital sur le media buying la publicité en ligne tu as des exercices avec google ads facebook ads on t'apprend à devenir expert sur google ads Et Meta Ads, c'est Facebook et Instagram, si tu ne sais jamais, tu ne le sais pas. Et donc, on t'apprend le métier avec des exercices, des quiz, des vidéos de formation, des fiches recap, etc. Et ensuite, tu vas avoir la partie lancement. Donc, on va t'apprendre et t'accompagner surtout de A à Z pour poser ton offre, ton positionnement, savoir te démarquer. Ensuite, aller trouver tes clients, aller discuter avec eux. Et le plus important, c'est en fait, on va t'apprendre et t'accompagner à signer tes clients. C'est vraiment un accompagnement de A à Z. On te prend de zéro, entre guillemets. de zéro et on t'amène à 1. A 1, c'est au minimum ton premier client, au grand minimum. Et ensuite, la deuxième verticale, c'est mon collectif. Je t'en parlais tout à l'heure, la communauté. Donc, c'est une communauté de freelance, experts en publicité en ligne. Et c'est une continuité du Shapecamp. Donc, en fait, le Shapecamp t'amène de zéro à 1 et la communauté t'amène de 1 à 10. Et d'ailleurs, il y a des nouveautés qui vont arriver. On va lancer des mini formations, beaucoup plus avancées sur Google et sur Meta. On va également proposer un coaching personnalisé qu'on va appeler Road to 10K. parce qu'il y a des freelances qui ont envie d'aller jusqu'à 10 000 euros par mois. Et donc, on va faire un groupe personnalisé, restreint, avec peut-être 5 personnes dans ces eaux-là pour les accompagner. C'est moi qui vais les accompagner en perso de A à Z jusqu'à ce qu'ils tapent les 10 000 euros par mois. Donc, ce n'est pas une blague. Moi, je l'ai fait et donc je sais comment faire. Et donc, on va les accompagner jusqu'à là. Au-delà de ça, on va développer aussi des co-living, des co-working. On va faire plus de rencontres également. On va lancer un système d'ambassadeur aussi parce qu'en fait cette communauté c'est pas juste la mienne c'est aussi surtout la leur donc la croche de la leur c'est mes shaper, mes freelance. Voilà et la troisième verticale c'est mon agence donc celle dont je te parlais tout à l'heure aussi qui s'appelle ShapeAds avec laquelle on accompagne des entreprises à se développer en ligne grâce aux publicités en ligne notamment google et meta. Voilà les présentations sont faites je me permets de te rappeler que ma mission à travers ShapeRoom c'est de vrai pour un monde meilleur en rendant les gens libres et épanouis notamment grâce à cette communauté et ce bootcamp. Si Tu veux te lancer en freelance ou alors tu es en train de te lancer en ce moment même, mais tu galères, tu as du mal pour je ne sais quelle raison. À ce moment-là, tu te dis naturellement, ok, je dois être motivé, hustle mode, peut-être morning routine et tout, je n'en sais rien. Tu te dis, ouais, ça ne va pas être facile, donc je dois être solide. Il y a plein de choses à faire, peut-être que tu as une tout doux qui est énorme. Et surtout, tu te dis quelque part, je dois prouver qui je suis. Alors soit tu te dis consciemment, soit tu te dis inconsciemment, mais on a tous ce besoin de prouver en fait, de se sentir légitime. Et du coup ça se transmet par beaucoup d'éléments extérieurs. Donc en fait ces éléments extérieurs, c'est ta tout douce, c'est la motivation, donc c'est beaucoup de travail. Surtout en France on a cette culture de plus tu te bosses, plus tu fais des heures, plus tu fais d'heures de travail, plus t'es inconsciemment récompensé. Alors au taf c'est consciemment récompensé. Mais toi tu vas te dire ok j'ai beaucoup bossé je suis bien alors que c'est pas forcément une bonne idée si tu bosses je sais pas 10 heures par jour mais que tu bosses pas d'une manière smart en fait c'est débile ça sert à rien, vaut mieux bosser 6 heures et vraiment être avoir une bonne organisation tu vois et être smart et en fait surtout derrière tout ça tu vois derrière ce sentiment de vouloir être motivé de vouloir prouver tu vois de de se dire faut que je sois comme cette personne là parce qu'il y a aussi parfois ces éléments de comparaison sur linkedin ou je ne sais quoi On a toujours envie de ressembler en quelque chose, en quelqu'un. On voit sur Instagram aussi beaucoup de discours de motivation, mode hustle mode, voilà, tu vas te lever tous les jours, 7h, faire plus que les autres, gna gna gna. Mais en fait, derrière tout ça, se cache de vraies peurs. C'est, est-ce que ça va marcher ? Est-ce que je suis à la hauteur ? Est-ce que je vais réussir ? Et quand bien même je trouve un client, comment ça se passe ? Est-ce que ça va marcher ce que je vais faire ? Est-ce qu'il va être content de mon travail ? Tu vois ? Donc en fait, on va parler de... tout ça, ce qu'on va voir ensemble, c'est que en fait, ce qu'on va voir ensemble, c'est en quoi la valeur intérieure ne se mesure pas à la motivation constante. Ça, c'est déjà une première chose. deuxième chose qu'on va voir ensemble c'est en quoi les éléments extérieurs que tu construis, consciemment ou inconsciemment, ne sont que des écrans de fumée. Je te l'ai dit déjà en intro. Et finalement, est-ce que le syndrome de l'imposteur ne serait qu'une invention, une croyance, une arnaque en fait ? Et donc c'est pour ça que peut-être que le titre de cet épisode, je dis pas peut-être, mais j'aime bien cette phrase qui dit que les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs. Et oui, parce qu'on va attaquer tout ça, c'est hyper intéressant en fait. On a toujours l'impression de vouloir... passer d'une identité A à une identité B, de vouloir faire face à ce syndrome de l'imposteur, tout en étant motivé, organisé, tout se passe bien, tout roule. Et en fait, finalement, on essaye de vaincre ce syndrome de l'imposteur. Mais c'est, pour moi, ce n'est pas la bonne idée. On va décortiquer tout ça ensemble, Ausha bien, pose-toi dans ton canapé, dans ton fauteuil, ou je ne sais où, fais-toi kiffer, prends un petit verre d'eau, je ne sais quoi, n'oublie pas, encore une fois, Je te regarde droit dans les yeux mon pote Si tu aimes cet épisode, si tu aimes mes vidéos YouTube, abonne-toi s'il te plaît, ça me ferait un plaisir de fou. Abonne-toi à ma chaîne YouTube, abonne-toi au podcast, laisse un commentaire, laisse un avis, écris-moi sur Instagram, partage, donne de la force, ça me ferait vraiment plaisir. Et puis écoute, je te souhaite une très bonne écoute pour la suite du podcast et de la vidéo YouTube. Comme je te l'ai dit, j'ai bossé avec TGPT pour faire un petit tram interview. On va tester voir ce que ça donne. Je trouvais ça marrant de tester ça comme ça. Alors beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Première question de notre cher ami ChatGPT. N'hésitez pas, elle va vous marteler en fait, n'hésitez pas à m'envoyer un message sur Instagram pour vous dire si les questions de ChatGPT sont pertinentes. Donc beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que tu as cru ça au départ ? Oui carrément, comme tout le monde. Mais c'est ce que je vous disais tout à l'heure. En fait, on est blindé de vidéos comme ça et de podcasts de la sorte. C'est un peu du mindset à deux balles, tu vois. Il faut en vouloir plus que les autres, il faut en faire plus que les autres. Alors, il y a une petite part de vérité quand même, mais en fait, ça cache beaucoup de choses parce que ça, ces conseils-là qu'on peut voir à droite à gauche, c'est juste des conseils de surface. Il n'y a pas des conseils de fond, en fait. Donc oui, je pensais qu'il fallait être motivé en permanence. Et donc, en fait, le danger avec ça, c'est que si tu ne te sens pas motivé, Parce qu'en plus, la motivation, ça va, ça vient. C'est pas constant. Là où la discipline est constante. Mais au-delà de ça, en fait, quand tu te sens pas motivé, du coup, tu te dis, putain, j'y arriverai pas. Je suis pas motivé, je suis pas au niveau comme les autres qui ont l'air trop motivés. En plus, si tu traînes sur LinkedIn, tu vois que des posts. LinkedIn, ça commence à me saouler, les gars. Vraiment. C'est vraiment juste des vitrines, quoi. Les gens ne font que se vendre. Ce qui est normal dans un sens aussi tu vois Mais ça me pète un peu les couilles quoi, genre les mecs ils font que des posts, alors pas tous, attention je mets pas tout le monde dans le même panier, il y en a quand même beaucoup qui se vendent énormément, et donc ça c'est dangereux parce que si tu te lances en freelance, ou même si tu commences à te renseigner ou quoi que ce soit, bah t'es mis face à ces posts, et donc en fait le jour où t'es pas motivé, ou même si t'es débutant, disons t'es à la page 1, tu vas voir des mecs qui sont à la page 20, qui sont naturellement motivés ou je ne sais quoi, et donc bah ça va... Ça va te démotiver en fait, ça va te pousser un peu vers le bas, moi j'en ai des freelances qui me le disent, qui me disent putain mais ça me saoule quand je vois un tel, il crie ça, il a l'air d'être tellement chaud, moi qu'est-ce que je vois à côté tu vois. Et donc on a l'impression qu'on doit toujours être dans cette motivation constante pour build up et c'est dangereux parce qu'en fait le jour où tu n'as pas de motivation, tout s'effondre parce que ce n'est qu'un écran de fumée la motivation. Ce qu'il faut c'est le fond, c'est le why, c'est pourquoi tu fais ce que tu fais, c'est une vision tu vois. C'est pour ça que j'en parle beaucoup dans mes vidéos, mais également dans mon accompagnement. C'est d'avoir une vision qui est claire, alors pas forcément un truc super carré, etc. Mais de savoir où tu vas, qui tu veux devenir, quel style de vie tu veux avoir. Et de se recentrer d'une part sur soi, donc il y a le pourquoi pour toi, mais il y a aussi le pourquoi pour le monde qui t'entoure. Parce que tu vois ce que je te disais tout à l'heure, ce truc de vouloir être légitime, ce syndrome dans l'imposteur, toutes ces choses-là, et puis même la comparaison sur LinkedIn, en fait ce ne sont que des éléments extérieurs qui te renvoient à ta propre personne. Donc en fait... Ça veut intimement dire que tu es centré sur toi. T'es un peu nombriliste en fait. Et puis tous les êtres humains sont plus ou moins comme ça. On est tous centré sur nos besoins, sur notre image, machin. Mais c'est ça l'erreur. Parce qu'en fait, on a l'impression qu'on doit se vendre, qu'on doit prouver, qu'on doit être légitime. Mais en fait, à partir du moment où tu tournes ton attention vers les projets que tu vas accompagner, vers tes futurs clients ou je ne sais qui d'autre, là ça change ta perception des choses. Parce que tout n'est qu'une question de perception. En fait, toi, on t'a toujours vendu un prisme et tu dois te vendre, tu dois être motivé. Tu dois faire ci, tu dois faire ça. Mais en fait, tu tournes ton attention vers ton prospect, vers tes projets, les projets que tu veux accompagner, les clients que tu veux accompagner. Et là, tout change. tout change parce qu'en fait Tu n'es plus en train de te dire, je dois prouver, moi je, moi je, moi je dois me vendre, je dois faire ci, je dois faire ça, regarde l'autre, il est comme ça, moi je suis pas comme ça. Non, là t'es en train de te dire, bah y'a un mec qui a besoin de mon aide en fait. Et puis moi, même si t'es débutant, t'as forcément des skills, des compétences qui sont beaucoup plus développées que je ne sais qui d'autre. Je ne sais qui est l'autre client. Et moi c'est pareil avec chez Pro, moi je vois des écoles, je vois des formateurs qui ont plus d'expérience que moi, mais j'en ai rien à foutre. parce que moi j'ai une putain de mission en fait et je sais que ce que je connais là en ce moment, mes compétences Et mes vidéos YouTube, c'est pareil. Tu vois, je vois des vidéos qui sont incroyables. Moi, je suis en mode... Parfois, je me dis, mes vidéos, elles ne sont pas ouf. Mais en fait, je kiffe ce que je fais déjà. Et je sais que ça va aider des gens et ça aide déjà des gens. Et j'espère que ça t'aide aussi. Et en fait, dis-toi que si tu es à la page 2, par exemple, tu vas aider la personne qui est à la page 1. Tu n'es pas obligé d'être au niveau 20, en fait. Et toutes tes connaissances et tes compétences que tu as aujourd'hui, elles vont forcément aider des gens. il y a des gens qui ne connaissent pas tout ce que tu sais. Moi, je me posais les mêmes questions. Je me disais, putain, mais moi, je suis accompagné par un coach. Le mec, il est trop chaud. Et je me disais parfois, mais putain, moi je suis qui pour coacher, tu vois ? Mais en fait, vu ce que j'ai traversé, vu ce que je travaille, je suis coaché, je suis formé, etc., je connais plein de trucs en fait. Et à partir du moment où tu commences à transmettre, où tu commences à vraiment considérer l'autre personne, la personne qui est en face de toi, qui a besoin d'être, qui a besoin de toi, ben là finalement tu te rends compte que t'es chaud, en fait, que tu te rends compte que t'as des connaissances, t'as des compétences, et que ça peut marcher. mais je sais que c'est pas facile je sais que c'est pas facile mais je trouve que c'est parfois irresponsable de se dire, vu que je ne suis pas à 100%, parce que moi j'entends souvent ça, oui, oui, il faut que je connaisse toi à 100%, non, c'est pas possible, tu peux pas tout connaître à 100% de toute façon. Mais donc en fait, si tu te dis, vu que je suis pas à 100%, je peux pas aider, mais en fait tu laisses plein de personnes au bord du chemin. Et moi je trouve ça irresponsable personnellement. Donc tout ça pour répondre à ta question, MrChadJPT qui est juste derrière moi, enfin derrière la caméra, beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence, est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Oui. complètement voilà donc moi aussi je suis tombé dans ce truc là dans vouloir être motivé tout le temps et le truc c'est que bah la motivation constante ça n'existe pas il faut être discipliné et au delà de ça il faut avoir une vision et un pourquoi il faut aussi accepter que il y ait des moments comme moi aujourd'hui où vraiment énergie complètement down enfin je vous disais tout à l'heure avant d'allumer le micro j'étais devant mon ordi je regardais par la fenêtre là comme ça c'est pas facile quoi Voilà, et je me suis dit que c'était le bon moment pour justement enregistrer parce que ça peut peut-être résonner avec toi. Deuxième question, mais j'ai l'impression que c'est quasiment la même. Quand tu entends motivation constante, qu'est-ce que ça évoque pour toi ? Ah bah ça évoque ce que je viens de vous dire. Motivation constante, bullshit. Voilà ce que ça évoque pour moi. Motivation constante, ça n'existe pas. Il y a des moments de down. Et en fait... Le problème avec ce truc de motivation constante, d'être meilleur que les autres, d'en faire plus que les autres tout le temps, c'est justement, tu tombes... En fait, tu t'obliges à ne pas accepter tes moments de down, les moments où t'es pas bien, les moments où t'es fatigué, et c'est normal, en fait. C'est normal. Point. Et en fait, c'est justement des moments qui sont importants. Si tu les considères et si tu les vis à 100%, derrière, c'est comme si t'étais... Je me rappelle, ma cousine, elle m'avait donné une image que j'ai bien aimée. C'est comme si tu allais au fond de la piscine, tu vois. Et au fond de la piscine, tu remontes toujours forcément. Parle pas de ton corps, etc. Tu remontes, en fait. Et je trouvais ça hyper intéressant. Moi, j'estime qu'aujourd'hui, je suis un petit peu au fond de la piscine quand même. Mais ça va remonter, je le sais. En fait, dans ces moments-là, tu sais que tu as des techniques pour en sortir le plus rapidement possible. On va peut-être en parler. La méthode Scafa, je t'en parlerai. J'en ai déjà parlé dans une vidéo. Mais au-delà de vouloir en sortir vite, accepter le moment, le vivre pleinement, parce que c'est là où tu te sens vivant, tu vois. Et après, tu sais que ça va remonter en fait. Il y a toujours un moment donné où ça s'arrange, où les choses elles s'arrangent. Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire qu'il faut toujours être motivé pour avoir une chance de réussir ? Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire ça ? Bah, parce qu'en fait c'est notre éducation. Franchement, c'est notre éducation, c'est aussi ce qu'on voit sur les réseaux sociaux. Voilà quoi, c'est... En fait, en France, on est éduqué au try hard. On est éduqué surtout au work hard on va dire. Work hard, je mets un peu l'accent. On n'est pas éduqué à fail fast, tu vois, genre à échouer, à tester, à apprendre. Non, on est éduqué à plus tu bosses, mieux c'est. Peu importe ce que tu fais, moi je... C'est ça qui est fou quand même. Moi quand j'étais en entreprise, je ne comprenais pas ça. C'est-à-dire que les heures, c'était 9h30, 18h30. Si tu avais fini toutes tes tâches à 18h, moi je me rappelle une phrase de ma manager qui m'a dit... Non mais si t'raises 30 minutes, moi j'ai des tâches de 30 minutes si tu veux. Nique ta race ! En fait en France c'est fou, on n'accorde pas d'importance à l'être humain, à son bien-être, beaucoup moins que d'autres nationalités et en fait le repos fonctionne tout autant que ton huit heures de travail tu vois. En fait en France on ne considère pas la possibilité qu'une semaine peut rentrer en quatre jours tu vois alors que bien sûr que si ce n'est qu'une question de perception, ce n'est qu'une question de mental et d'organisation évidemment donc c'est cette éducation en fait et le truc c'est que comme c'est tellement ancré en nous on l'applique tous les jours même sans s'en rendre compte tu vois naturellement plus on bosse plus on va être rassuré et j'en parlais avec des potes tu vois parfois quand on bosse pas limite ça nous fait culpabiliser en fait on est là on est en mode putain mais je bosse pas je fais rien mais c'est ok genre c'est normal il y a des fois t'as besoin de repos il y a des fois t'as t'es fatigué et c'est normal et le repos est tout aussi important que tes moments où tu es dans le rush des moments tu bosses tu vois moi je le considère comme ça tu vois il faut vraiment ramener de l'importance il ya fabien oulicard famille oulicard que tu connais peut-être sur youtube qui est assez connu qui a fait pas mal de livres qui en parle qui dit que les moments tu te fais chier le moment tu fais rien en fait c'est tout aussi important que les moments où tu travailles à l'amont tu bosses parce qu'en fait ton cerveau il est au repos et en fait en arrière fond tu as le subconscient et même je pense aussi le conscient Je ne suis pas du tout expert sur le sujet, mais derrière, ça va bosser, ça va avancer. C'est comme il y a un biais qui existe, quand tu commences une tâche et que tu ne l'as pas finie, ton cerveau, il y pense toujours parce qu'il le met en mode en cours. Et donc, il travaille dessus, tu vois. Et donc, le fait de ne pas finir une tâche, ce n'est pas si grave parce que ton cerveau, il y travaille quand même, il va peut-être améliorer certaines choses. Tu vas peut-être y revenir plus tard. Tout ça pour dire que les moments de pause, les moments où tu ne fais rien, en fait, tu mets ton cerveau en pause, ça crée des connexions neuronales, ça te rend plus créatif, ça te rend plus productif Donc c'est tout aussi important. Tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer, même quand tu n'avais pas l'énergie ? Alors ça, carrément ouais. Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, carrément ouais. Alors je pense que la première fois que je l'ai ressenti, c'était au taf en fait. C'était au taf. Enfin au taf, quand j'étais en agence. J'ai un exemple précis en tête, mais un truc, ça m'a saoulé putain, rien que dans 10% ça me vénère Mais heureusement ça a changé pour moi, c'est cool quand même. Et donc si toi t'es salarié d'ailleurs, et que tu veux te lancer en freelance, t'hésite pas, j'ai un lien en description, et c'est le moment pub là. Non mais tu peux déjà te renseigner, tu peux voir l'accompagnement chez Eproum, et voir ce que c'est le media buying pour voir si ça t'intéresse. Parce que je vais te parler de quand j'étais en salarié, il y a un truc qui m'a saoulé de fou, j'étais en vacances au Mexique pendant 2 ou 3 semaines je crois, un truc comme ça, 3 semaines je crois. donc t'as le décalage horaire ok ? donc je fais 3 semaines de vacances au mois d'août, je reviens, je crois que c'est la 3ème semaine d'août Un truc comme ça. Je reviens, je fais tout mon taf et tout, je fais toutes mes tâches, et je me rappelle le jeudi midi, un truc comme jeudi matin, j'avais fini quasiment toutes mes tâches. Bref, du coup je demande aux autres s'ils ont besoin d'aide pour aider, pour faire des trucs, parce que bah évidemment, culture française, c'est 5 jours par semaine, et tu remplis tes 5 jours, même si c'est pas très smart, mais bon bref. Et en fait, la semaine suivante, après être rentré, alors du coup cette semaine quand je suis rentré, évidemment après le Mexique, dis-toi que je suis rentré le dimanche, Le lundi, je reprenais le taf. Donc j'étais forcément un peu fatigué, tu vois, t'es en décalage horaire. Surtout que quand tu fais ouest vers est, c'est fatigant. Tu vois, moi quand je vais à Bali par exemple ou en Asie, quoi, bah en fait, quand tu te couches vers genre 23h ou minuit, en gros ton corps, il pense que c'est l'après-midi, il pense que c'est une sieste. Parce que t'es en plus 6, plus 7. Donc en fait, quand j'étais au Mexique et que je suis rentré en France, j'étais en plus 6 en France. Donc c'était l'après-midi au Mexique et le soir en France. et donc en fait je me couche à 23 minuit Mais après, je me réveille au milieu de la nuit parce que mon corps, il pensait que c'était une sieste. Donc, tu dors deux heures et après, tu es réveillé, tu es en forme. Donc, le temps de te recaler, moi, il me faut généralement trois, quatre jours. Donc, tu es fatigué en fait parce que tu vas quand même au taf vu que tu es obligé d'y aller. En plus, c'est le tel travail. Du coup, évidemment, c'était tout un sujet. Donc, on ne considère même pas le fait que tu sois fatigué. Sinon, tu te démerdes, tu viens au boulot. Encore une fois, encore une autre très belle idée ça. donc du coup j'allais au boulot j'étais fatigué et donc Normalement, enfin naturellement, j'étais moins dynamique dans ma manière d'être, ce qui est normal. Enfin je veux dire, puis même dans mes tâches du coup, parce que j'étais fatigué, j'avais du mal à dormir. Parce que j'ai décidé de reprendre directement ce qu'était une heure, mais bon, voilà, tu prends trois semaines de vacances, bah t'es un peu obligé quelque part. C'est con putain, c'est vraiment débile quand tu y penses. Mais quand tu fais trois semaines de vacances, tu te sens un peu obligé de reprendre le taf direct. Et je m'en rappelle donc, après cette semaine compliquée, l'autre semaine, la deuxième semaine, J'étais recalé, j'ai un point que ma manageuse qui me dit ouais Nico moi il y a un truc qui m'a un peu interpellé la semaine dernière c'est que Je te sentais beaucoup moins dynamique que d'habitude. Et ça, voilà, j'aime pas trop parce que je te voyais un peu plus sur ton téléphone, je voyais que t'étais un peu plus fatigué, que tu faisais pas ce que tu devais faire, tu pouvais aller plus vite, tu pouvais faire plus, tu pouvais faire mieux. Quand j'ai entendu ça, je me suis dit mais... Mais on est où là ? Mais on est où putain ? On a pas le droit de vivre ? Tu sais, on a pas le droit d'être fatigué, on a pas le droit d'avoir des coups de mou tu vois ? Non, faut toujours être... Et vraiment, alors je lui ai pas dit ça, parce qu'à l'époque j'étais en alternance, c'était il y a quoi, il y a 4 ans maintenant ? Mais je lui ai dit écoute, je vais pas dire son nom, mais écoute, je reviens du Mexique, j'ai le décalage horaire, je suis fatigué, je suis peut-être moins dynamique, mais je fais ce que je peux. Je fais mes heures de travail, j'ai terminé mes tâches le jeudi matin, voilà, et après j'étais dispo pour aider les autres, donc pour moi ça me paraît ok. En plus c'était 3ème semaine d'août, quand t'es en agence de publicité en ligne. Pardon, mais il n'y a pas non plus 1000 sujets, tu vois. Et c'est ok, c'est normal des fois d'avoir des coups de mou, et d'être dans une période où tu fais moins, parce que voilà. Donc bon, elle ne voulait pas l'entendre, mais au-delà de ça, ça répond à la question de notre cher ami Tchadépété, tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer même quand tu n'avais pas l'énergie. C'était clairement ça, tu vois. Et puis évidemment, je l'ai encore aujourd'hui, parce que là c'est différent, c'est mon projet, mais pour Shaper Room parfois, oui j'ai envie de performer tout le temps tout le temps tout le temps parce que j'ai envie de faire grossir mon projet même quand je n'ai pas l'énergie et c'est pour ça que j'essaye énormément de tempérer de m'écouter bien voilà aujourd'hui fatigué et ben je vais moins performé et c'est et c'est ok et un mec sur youtube sur instagram il fait des vidéos parfois et je sais pas comment il s'appelle faut que je retrouve le nom et il parodie un peu les coachs ça me fait trop marrer et il fait et c'est ok et ça me fait trop marrer bref du coup dès que je le dis ça me fait penser à lui Quelles conséquences ça peut avoir de se juger uniquement sur son niveau de motivation ? C'est trop bien comme question, merci Tchadjépté, parce que quelles conséquences ça a de se juger uniquement par ça ? Et au-delà de la motivation, c'est aussi par notre niveau de performance, notre capacité à avancer, à faire les choses, à remplir notre tout doux. C'est ça, et ça c'est fou, parce qu'il faut absolument qu'on se détache de cet objectif de performance, de tout doux. Et en fait, il y a aussi des objectifs. Moi, je dis tout le temps, les objectifs ne sont pas faits pour être atteints. Un objectif, c'est un cap, c'est une direction. Alors si tu matches tes objectifs, si tu es au-dessus, tant mieux. Mais pour moi, si tu matches tes objectifs ou si tu es au-dessus, c'est qu'il y a un problème. C'est peut-être que ton objectif, il n'était pas assez élevé en fait. Et donc du coup, il faut arrêter de considérer qu'il faut tout le temps performer, il faut tout le temps être motivé, il faut tout le temps remplir ses objectifs. Ça ne marche pas parce que du coup le risque, les conséquences, c'est justement de ne pas être motivé, de dire qu'on est nul. Et en plus, ça a été prouvé scientifiquement de se répéter parfois qu'on est nul ou qu'on n'arrive pas à avancer ou je ne sais quoi, bah qu'en fait, ça joue en ta défaveur, tu vois. Alors l'idée, c'est pas d'être dans le déni, d'être en mode « oui, c'est bon, tout va bien » , mais c'est d'accepter et puis de dire que ça va aller mieux et que voilà, tu connais, t'as des cycles, la vie c'est un cycle, tu vois. Mais il faut tout autant considérer en fait les moments de doute, les moments compliqués, de non-motivation, que les moments où tu performes en fait. ils sont tout aussi importants, ils sont tout aussi nourrissants donc les conséquences c'est que tu... Tu deep down dans tes pensées, dans tes moments de down et tout. Et c'est ça les conséquences et le risque, c'est que ça joue en ta défaveur, alors que toi, ce que tu veux, c'est performer et avancer. Est-ce que tu peux nous raconter un moment concret où tu t'es dit, là, je ne suis pas assez motivé, je vais échouer ? En vrai, je ne pense pas. Par contre, quand j'étais en entreprise, ça m'est arrivé de me dire, je ne serai pas à la hauteur de ce qu'ils me demandent, donc je vais échouer. Je vais me faire virer. Alors qu'en vrai je faisais bien mon taf tu vois, on arrêtait pas de me juger sur mon paraître. C'était mon dynamisme machin, on me disait même quand on donne des trucs à faire on a l'impression que tu t'en fous, que t'as un comportement jamanfoutiste. Mais les gars, je faisais vraiment, je faisais les choses en âme et conscience, je travaillais bien, on me disait ouais tes clients tu les gères bien, il y a des bons résultats. Je faisais même des formations, j'étais en alternance, je donnais des formations à des gens qui arrivaient, en CDI d'ailleurs. Donc je comprenais pas tu vas y prendre après on me disait ouais t'es pas si dynamique t'es pas si présent tu fais trop de télétravail putain de merde quoi Quand on te donne un truc à faire, on a l'impression que tu t'en fous. Mais que dalle, c'était juste ma manière d'être. Donc là, je me suis dit, oui, je vais peut-être échouer à ne pas rester dans cette entreprise. Mais bon, finalement, je suis parti et c'était la plus belle décision de ma vie. Demain, on sera en freelance. Putain, c'était incroyable. Quatre mois après avoir quitté mon job, enfin quitté mon alternance, je faisais 10 000 euros. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte. Là, je me suis prouvé à moi-même que je n'étais pas du tout un clampin, pas du tout un mec chill. Et puis qui n'était pas dynamique quoi. Quatre mois après, je faisais 10 000 euros par mois. Je travaillais avec des clients, avec Nivea. des trucs de ouf comme ça tu vois Donc là, j'étais en mode, ok, en fait, je suis chaud, voilà. Et c'était quatre mois après, enfin, comme quoi la progression, elle peut être comme ça, tu vois. Et parfois, par contre, il faut du temps, ça c'est normal. Donc, comment tu as traversé ces moments de creux ? Comme aujourd'hui, tiens, voilà, on y arrive, comment j'ai traversé ces moments de creux ? Eh bien, c'est assez simple, je vais me répéter, mais comment tu les traverses ? Eh bien, c'est, tu donnes de l'attention, tu les vis. Parce qu'en fait, parfois, on a tendance à mettre ces moments de creux, ces moments de down, des moments de doute, etc., où t'es pas bien. Tu les mets de côté, tu les mets sous le tapis, tu vois. En mode comme de la poussière, en mode tu veux pas l'avoir. Pourquoi ? Parce qu'on est élevé dans ce truc de il faut toujours être au top, il faut toujours être le meilleur, il faut toujours être motivé, il faut toujours faire ci, faire ça, performer. Et donc, en fait, naturellement, tu te dis bah non, mais je devrais pas être comme ça, c'est pas normal. Vas-y, je me motive, allez, je me mets un coup de pied au cul. Et justement, ce truc de se mettre un coup de pied au cul, c'est une débilité. arrêtez-vous de faire ça de mettre des coupiers au cul, ça ne marche pas bien au contraire acceptez le truc, acceptez l'émotion, acceptez la situation, vivez là en fait accordez-y de l'attention parce que quand vous êtes au fond, quand vous êtes dans le creux c'est là où tout se joue en fait, si vous y mettez pas de l'attention ça va revenir ou alors vous allez rester un petit moment là dedans parce que vous êtes dans le déni tu vois au contraire au lieu de mettre la poussière sous le tapis vous soulevez le tapis ah ouais putain en fait y'a pas mal de poussière je vais peut-être regarder, je vais voir ce qui se passe et je vais nettoyer mais c'est comme ça qu'on traverse des moments de creux c'est comme des problèmes, je sais pas Des choses qui reviennent sans cesse, ça peut arriver, c'est comme, je sais pas si demain t'as un facteur qui tape à ta porte, mais que tu veux pas lui ouvrir, bah il va toujours taper, il va dire mec j'ai un colis pour toi en fait, tu vas répondre, je sais que t'es là tu vois, bah c'est pareil quand t'as des moments de doute etc, que tu veux pas regarder, bah là tu ouvres la porte, t'acceptes le facteur, t'as un colis, puis c'est un colis de merde, mais tant mieux, on l'accepte, on regarde, parce que c'est grâce à ça qu'ensuite vous allez remonter tu vois, encore une fois je vous reprends les images, j'adore les images, l'image de vous Croyez en mon expérience. Et là, c'est trop bien parce que je suis dans un moment de creux, donc je sais que ça va remonter. C'est pour ça que là, je vous parle. En vrai, ça va. Même si, bon, je suis content d'être derrière un micro et de parler, mais bon, c'était difficile quand même tout à l'heure. Et c'est normal, je l'accepte. Et c'est comme ça que pour moi, on traverse ces moments de creux. On accepte, on vit. Et la vision, le pourquoi, ça aide énormément. La vision, le pourquoi. pourquoi vous faites ce que vous faites et où est-ce que vous allez concrètement. C'est des fondations. ultra importante qu'est ce qui me compte vraiment quand la motivation n'est plus là et ben c'est ce que je vous disais c'est la vision c'est le pourquoi vous faites ce que vous faites le sens que vous y mettez c'est tout bête mais enfin et encore une fois c'est pas forcément trouver un sens de fou en mode je veux contribuer au monde et tout pas forcément peut tout simplement être moi je veux être chill dans ma vie je veux travailler trois jours par semaine et qu'on me laisse tranquille et que voilà je fasse mes vacances que je sois en vanne j'en sais rien ces trucs comme ça donc c'est La vision, le pourquoi, je dirais aussi votre entourage. Et je dirais entourage, donc vos amis, votre famille, etc. Parce que si vous souhaitez devenir freelance, si vous souhaitez vous lancer dans l'entrepreneuriat, entourez-vous de ces gens-là. Et après, il y a votre environnement naturel. Moi, je sais que quand je suis à Paris, c'est compliqué. Je ne sais pas pourquoi, franchement. Il y a une énergie ici qui ne me plaît pas. Et j'ai du mal à m'endormir, j'ai du mal à me réveiller, c'est bizarre. Donc ça, c'est aussi à considérer, évidemment. C'est pas pour rien qu'il y a plein de gens qui sont dans des endroits comme Bali ou d'autres... Pas que Bali évidemment, mais d'autres endroits comme ça. Ah, il y a une question que j'aime bien, et justement on parle de syndrome de l'imposteur. Alors, est-ce que tu dirais qu'on peut réussir même si on se sent parfois imposteur ? Alors là, mais carrément, carrément, enfin on y arrive sur ce sujet. Pour moi, ce syndrome de l'imposteur c'est un écran de fumée en fait. Parce que, t'es salarié, tu veux te lancer en freelance ? Tu as un changement d'identité, d'accord ? Donc c'est normal que tu ressentes cette non-légitimité, ce syndrome de l'imposteur comme on l'appelle. Et en plus, on met un énorme mot, syndrome, mais c'est juste que tu n'es pas encore arrivé à l'identité B, tu vois. Donc c'est normal que tu dises, est-ce que je vais être à la hauteur ? Pourquoi les entreprises vont travailler avec moi, etc. C'est normal, logique. Et moi, c'est pareil quand j'ai lancé Shaperoom, je me suis dit, mais attends, moi je vais être formateur, je vais être coach, qui suis-je ? et pour autant bon je suis pas arrivé encore là où je veux vraiment arriver mais ça réussit tu vois j'ai des là on est presque une trentaine d'élèves on y doit 25 un truc comme ça c'est fou l'année dernière j'en avais quatre je passe que vous vous en rendez compte quand même donc oui on peut réussir mais si on se sent imposteur carrément et justement je trouvais ça ça va être l'ouverture la fin de cet épisode en fait justement pour réussir pour moi il faut être imposteur en fait parce qu'encore une fois on disait les moments de down, les moments de doute etc, on met ça sous le tapis, on se donne un coup de pied au cul, on avance quand même, on est un peu dans le déni. et bah l'imposteur c'est pareil parce qu'en fait il y a ce, je vais pas dire syndrome Ce sentiment de non-légitimité, d'être imposteur, et en fait on veut le vaincre à chaque fois, on le met de côté, on veut pas l'accepter, on veut pas le regarder en face, parce que ça nous fait peur. Mais c'est comme quand t'es petit, tu sais t'as peur du monstre qui est sous le lit là, mais du coup t'as peur de le regarder en fait, t'as peur de voir ce qu'il y a sous le lit, tu te mets sous la couette, alors qu'en fait t'allumes la lumière, tu regardes sous le lit, tu sais qu'il y a rien. Le syndrome de l'imposteur c'est pareil Il faut le regarder Parce qu'en fait Et ça C'est très drôle parce que je l'ai appris avec une élève qui a terminé. Elle m'a dit, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. Je le répète, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. En fait, c'est ça, elle s'est mis dans la peau d'une impostrice. Je ne sais pas si elle se dit, dans la peau de l'imposteur en fait. C'est ça pour moi le hack, même si on ne va pas dire que c'est un hack, mais en fait c'est vraiment c'est un jeu de rôle C'est un peu ça, c'est un jeu. Et en plus, partir du principe que la vie est un jeu, c'est génial. C'est un jeu. Tu es en discussion avec ton prospect et tu es là. Limite, tu t'habilles bien. Limite, tu mets une chemise pour vraiment dire à ton cerveau « Je suis expert, je suis freelance. » Et en contrepartie, ça ne veut pas dire que tu dois oublier le sentiment que tu dois mettre de côté tout ce qui se passe, etc. Mais en fait, le fait de te conditionner, de dire à ton cerveau, d'envoyer l'information, d'y croire, de le faire, vraiment de se dire je suis expert en fait naturellement tu vas le devenir parce qu'on passe on passe tous par là tu vois moi le premier tout le monde on part tous de zéro pour arriver là où sont les plus grands il faut passer par cette étape là donc je vais continuer sur ces questions parce qu'elles sont intéressantes mais pour moi le syndrome de l'imposteur ce n'est qu'un écran de fumée en fait on devrait même pas dire imposteur je sais pas ce qu'on pourrait dire d'autre mais C'est ce sentiment de ne pas être légitime. En fait, il n'est pas question de ça, parce que du coup, tu es tourné vers toi, c'est ce que je disais au début. Le risque, c'est ça, c'est que tu te dis, je suis qui, moi, moi, je, moi, je, moi, je. Mais la personne en face de toi, elle en sait forcément moins que toi, parce que tu as forcément appris peut-être un métier ou je ne sais quoi. Je prends l'exemple de mes élèves. Ils prennent leur premier client en 3-4 mois, ils trouvent leur premier client. On a une moyenne entre 1 et 4. Donc on est environ à 2, 2,5 à chaque fois à la sortie du shape camp. Je disais qu'on est tourné vers nous-mêmes. Parce qu'en gros, mes élèves parfois me disent, oui mais moi je, moi je, moi je, moi je me sens pas comme ci, je me sens pas comme ça. Mais en fait en face de toi, même si ça fait que, guillemets, que 3-4 mois que tu travailles sur ce sujet, que tu t'exerces, etc. Mais t'en sais mais 1000 fois plus que la personne qui est en face de toi. A tel point que tu vois, moi je vois ce qui se passe. Mes élèves, quand ils sont... en interview, donc en prospection, etc., ils se rendent compte qu'ils sont trop chauds, en fait, quand ils font des audits sans mode. Mais en fait, je me rends compte que je sais, en un clin d'œil, je sais pourquoi ça va, pourquoi ça ne va pas. Il y en a un, il s'est placé sur un exercice assez difficile, c'était niveau média bailleur, deux ans d'expérience, genre vraiment. Mais le mec, il a réussi haut la main, haut la main. C'est fou ! Mais tout ça parce qu'en fait, ils y croient, tu vois. Ils se sont exercés, etc. Et ensuite, c'est OK, ils se mettent dans la peau. de l'expert et ça fonctionne de fou. Il n'y a pas d'imposteur parce qu'ils sont tournés vers leurs prospects, ils vont les aider en fait. Typiquement, il y a une freelance que j'ai formée qui a repris un client qui a été accompagné par une agence, mais l'agence faisait tellement mal le travail comme malheureusement beaucoup d'agences que du coup, l'entreprise s'est dit « je vais travailler avec elle, avec cette freelance parce qu'elle connaît la fille, ça fait quatre mois. Il y a quatre mois, elle ne connaissait rien. » Voilà. Ça ne veut pas dire que ce sentiment d'être un posteur n'existe pas. Il existe parce que vous vous êtes tourné vers vous, vous vous êtes tourné vers le moi-jeu, moi-jeu, moi-jeu, quelle image je renvoie, machin. Non, on s'en fout. Allez aider des gens. Il y a des entreprises qui ont besoin de vous, des projets qui ont besoin de vous. C'est ça qui est important. Et les ads, ça aide énormément la publicité. Alors, il y a plein d'autres choses, mais la publicité, ça aide énormément. Ça, c'est vraiment intéressant. Qu'est-ce qu'on devrait mesurer à la place de notre motivation pour savoir si on avance vraiment ? Pour moi, il y a deux choses. La première, c'est chaque petit pas. chaque petite victoire. C'est tout bête, mais l'année dernière, j'avais 4 clients. Alors, j'en voulais plus, évidemment. On en veut toujours plus, de toute façon. Mais 4 clients, c'était déjà une putain de victoire, tu vois. J'avais jamais fait un lancement, formation, etc. 4 clients, c'est une putain de victoire. Donc, c'est chaque petite victoire. Et même au-delà de ça, tu vois, c'est ok, j'ai une nouvelle offre, j'ai un nouveau prospect, un nouveau client, j'ai, je sais pas, un nouveau profil LinkedIn, j'en sais rien, peu importe, mais... chaque petite victoire il faut les célébrer parce que c'est ce qui va construire ta victoire de demain. C'est comme quand tu construis une maison, tu la construis pas en un clin d'œil, tu mets pièce après pièce, chaque pièce, chaque élément ajouté à cette maison. te rapproche de cet objectif-là. Donc ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est l'impact que tu peux avoir autour de toi. Donc c'est l'impact que tu peux avoir avec tes clients, l'impact que tu as aussi autour de toi, avec tes potes ou je ne sais quoi, parce que tu vas, si tu es en freelance, et que tu te lances, tu vois, et même au tout début, quand tu es tout premier client, tu as l'impression que tu es débutant, que c'est le début, mais tu ne te rends pas compte, tu as déjà un impact de fou sur tes clients, et un impact aussi sur les gens qui peuvent t'entourer parce que tu peux inspirer des gens. Donc pour moi... C'est ce qu'on devrait mesurer. On devrait mesurer chaque petite victoire, parce que c'est ça qui fait qu'on avance vers là où on veut aller, et l'impact qu'on a vraiment sur les business qu'on accompagne, sur les gens qu'on accompagne, sur les gens qu'on aide, les projets, et sur les gens qui nous entourent aussi, tu vois. Ça, je trouve que c'est très important, et j'y rajouterais peut-être une troisième chose qui est surtout la croissance personnelle. Voilà, ne pas juste se fier à ce qui se passe à l'extérieur, mais aussi à ce qui se passe à l'intérieur. Parce que dans tous les cas, pour changer son monde extérieur, il faut d'abord changer son monde intérieur. Et donc noter qu'il y a un changement intérieur, ça c'est aussi une putain de victoire. Donc il faut mesurer ça, au-delà de la motivation. Quelle question chacun devrait se poser ce soir en rentrant chez lui pour réfléchir différemment à sa valeur intérieure ? Je vais résumer ça en une phrase. A 20 ans, t'es le fruit de ton éducation. A 40 ans, t'es le fruit de tes décisions. Et à 70 ans, t'es le fruit de l'impact que tu as sur le monde. Voilà, je vais finir là-dessus parce que je trouve que cette phrase me permet d'apporter énormément de sens à ce que je viens de dire. Donc en fait, même si t'as genre 20 ans, tu vois, pour moi il faut penser long terme, il faut penser à l'impact que tu vas avoir sur le monde qui t'entoure. Que ce soit en B2B avec des entreprises, comme en B2C avec des particuliers, peu importe. Tu vois, pour moi c'est très important et ne pas négliger la phase des 40 ans où en fait t'es le fruit de tes décisions. Les décisions que tu vas prendre aujourd'hui, ça se trouve t'as déjà 40 ans, mais dans tous les cas il n'est pas trop tard. Les décisions que tu vas prendre au quotidien, pas forcément des grandes décisions, mais des décisions de tous les jours au quotidien, c'est ce qui va construire la victoire de demain et c'est ce qui va aussi te construire toi en tant qu'être humain. Et c'est ce qui va déterminer ta valeur intérieure, je trouve. C'est l'impact que tu as autour. Et en fait, ça revient au concept d'être tourné vers l'extérieur, tourné vers la personne qui est en face de toi ou les personnes qui sont en face de toi, qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de ton expérience. de qui tu es, et au-delà de ton expérience, au-delà de tes skills, c'est aussi toi, qui tu es toi en fait, tu vois. Moi quand les gens me rejoignent dans Sheproom, ils rejoignent pour leur projet, pour apprendre un métier, mais aussi pour moi, ils achètent un bout de Nicolas, comme ils vont acheter un bout de je ne sais qui, un bout de toi qui va te lancer en freelance en fait. Ils achètent de l'humain, tu vois. Ça c'est ultra important, et chaque être humain est différent. Et ça il faut le valoriser, parce qu'on a tous tendance à vouloir ressembler à je ne sais qui. vous avez une valeur intérieure qui est déjà présente vous n'avez pas besoin de la développer vous l'utilisez et ensuite elle va évidemment évoluer et donc je trouve ça très important pour finir cet épisode parce qu'on a toujours tendance à penser qu'on n'est pas assez, qu'on doit être comme ci comme ça, qu'on doit ressembler à je ne sais qui, donc il y a ce sens de l'imposteur on doit être motivé mais il y a déjà, en fait tout est en nous déjà il faut juste aller voir ce qui se passe, avancer avoir cette vision et ce pourquoi aussi comme je vous l'ai dit et tout va se mettre en place petit à petit brique après brique et ne pas aller trop vite le chemin le plus rapide c'est le chemin le plus long en réalité parce que si vous souhaitez construire un truc de fou ou même juste réussir en freelance il faut apprécier le chemin et le chemin il peut être long peut être long moi ça m'a mis presque un an avant de me lancer à 100% en freelance chez Iprum ça fait plus d'un an que je développe tu vois et pour moi ce n'est que le début Donc il faut aussi apprécier tous ces moments-là en fait, ces moments de down comme je le disais, et apprécier cette lenteur. Parce qu'on est toujours dans le « il faut aller vite, il faut aller vite, il faut aller vite, le marché il évolue vite » , « ah il y a un tel qui fait ça, il y a un tel qui fait ça » , on s'en bat les couilles. Ce qui est important c'est ce qui se passe à l'intérieur, l'impact que vous avez autour de vous, et vous n'avez pas besoin d'avoir un impact de fou malade. Si vous n'avez déjà que 4, 5 clients, c'est déjà très bien, c'est comme moi au début, j'avais que 4 clients mais j'étais déjà super content parce que ça se lançait tu tu vois. Alors évidemment, je voulais, t'en veux toujours plus, mais brique après brique, si vous partez, vous avez une vision, Pourquoi ? Ça va fonctionner. Il y a des piliers qui sont là, les fondations sont là, ça va fonctionner. Il faut juste y mettre de l'énergie, du temps, et à un moment donné, boom, just got paid. Ça va se déclencher. Comme quand j'ai quitté mon job et au bout de 4 mois j'ai gagné 10 000 euros, c'était genre impensable un an avant. Un an avant, je me lançais. Donc voilà, conclusion. Tout ça pour dire que les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs, tout simplement. Pourquoi ? Parce que... Il y a cette transformation naturelle, le cerveau s'imprègne de cette nouvelle identité. Parce que vous jouez un rôle, tout simplement. Et donc, il n'y a pas d'imposteur. Chaque personne évolue. Chaque personne n'est jamais à 100%, c'est normal. Même nos présidents, même les gens les plus grands de ce monde, tout le monde doute, tout le monde a peur, tout le monde évolue. C'est ça qui est beau d'ailleurs. Donc, les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs. Elon Musk, Mark Zuckerberg, quand ils ont commencé, c'était des putains d'imposteurs. Ils sont devenus ce qu'ils sont devenus. Voilà les amis, on va s'arrêter là. C'est la fin de cet épisode, j'espère qu'il vous aura plu. J'espère qu'il vous aide et qu'il vous donne de la motivation. parce que pour moi c'était un épisode important voilà on se retrouve pour un prochain épisode pour une prochaine Youtube Je vous l'ai dit, abonnez-vous, laissez un commentaire si ça vous plaît, laissez un like, partagez, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et on se retrouve à très bientôt pour d'autres épisodes et plein d'autres aventures. A très vite, ciao !

Description

Tu te sens illégitime à vouloir devenir freelance ? Et si c'était justement bon signe ?


Cette semaine, je te parle d’un sujet qu’on vit tous en silence : le syndrome de l’imposteur.

Celui qui te fait croire que tu n’es pas légitime, pas assez expert, pas prêt. Et pourtant…


Dans cet épisode, on voit ensemble :

📌 Pourquoi tu n’as pas besoin d’attendre d’être « prêt » pour te lancer

📌 Comment j’ai transformé mes doutes en moteur

📌 Ce que cache vraiment ce qu’on appelle le « syndrome de l’imposteur »

📌 Pourquoi chercher à être motivé en permanence est une mauvaise idée

📌 Comment recentrer ton énergie sur l’essentiel : ta mission

📌 Le piège du hustle mode et de la comparaison constante

📌 En quoi la vulnérabilité peut booster ta carrière de freelance


Un épisode pour t’aider à avancer même quand tu doutes. Surtout quand tu doutes.


Tu as aimé cet épisode ?


🎒 Je suis Nicolas Dorfmann, entrepreneur nomade et fondateur de shaperoom. Avec shaperoom, je t’accompagne à te lancer en freelance en 90 jours en apprenant mon métier, celui de media buyer. Comment ça se concrétise ? Tu entres dans le shapecamp pendant 90 jours, tu apprends le métier de media buyer freelance et tu obtiens tes premiers clients. Ensuite, tu rejoindras ma communauté de freelances "les shapers" ! Tu veux en savoir plus ? C’est par ici : https://www.shaperoom.io/


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À propos de shaperoom 👇


Avec shaperoom, découvre comment réussir ta reconversion professionnelle pour devenir freelance et bâtir une vie alignée, libre et mobile.

Je t’accompagne pas à pas dans ta transition vers le freelancing en partageant des conseils concrets sur le métier de media buyer et sur comment obtenir tes premiers clients en freelance.


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À propos de Nicolas Dorfmann 👇


Je suis media buyer depuis 2020, formé en agence media buying à Paris par deux anciens de Google. En 2021 j’ai quitté le salariat pour me lancer en freelance et créer une vie à ma mesure — libre, engagée, alignée. En 2023 je suis devenu 100% nomade pour réaliser mes rêves.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a un moment dans chaque vie où quelque chose appelle. Ce n'est pas un cri, mais plutôt une vibration sourde, un écho venu du large. C'est ce moment où tu sens que ta vie ne peut plus rester entre les murs d'un bureau, ni dans le cadre d'une existence qu'on t'a dessinée. Je suis Nicolas Dorfman, entrepreneur nomade et fondateur de Shape Room. J'ai quitté le salariat pour construire une vie libre, et j'aide aujourd'hui d'autres esprits en quête d'indépendance à faire de même. Dans ce podcast... Je te partage deux dimensions de ce voyage. Je te dévoile d'abord mon journal, le journal d'un esprit libre, où je questionne la société, notre éducation, la peur, le courage, et tout ce qui façonne ou freine notre liberté intérieure. Puis, quand le besoin d'ancrage se fait sentir, je t'emmène sur le chemin du concret. Comment devenir freelance médiabayer, apprendre la publicité en ligne, et faire de ton indépendance une réalité. Ce podcast est une invitation à écouter ta voix intérieure, à réapprendre à penser par toi-même et à répondre, toi aussi, à l'appel du large. Bienvenue dans l'appel du large. Si cette voix résonne en toi, abonne-toi pour suivre le voyage, laisse un like et un commentaire pour faire rayonner le message. Et je te souhaite une très bonne écoute. Bon les amis, sujet du jour important et en plus sujet un petit peu plus personnel aujourd'hui, c'est une vidéo un peu plus... Chill, un peu plus freestyle j'ai envie de dire. Alors certes j'ai toujours des petites notes parce que j'ai envie que mes contenus soient quand même qualitatifs et qu'il y ait franchement de la valeur qui en ressorte en fait de ces contenus le plus possible du moins. Mais là c'était pas trop préparé. Là j'ai sorti mon micro, il est 13h, il faut que j'aille manger d'ailleurs après. On est le 28 août, je suis à Paris, de retour dans la chambre de quand j'étais étudiant en fait. Enfin, je ne sais pas si on peut voir un peu derrière moi. D'ailleurs, je me suis acheté une petite light. Je ne sais pas si ça se voit juste derrière moi, là. Une petite light un peu bleue. Alors, j'ai des lumières qui m'éclairent, donc on ne voit pas trop. Mais petit investissement. Voilà, c'est un truc qui m'a coûté 20 euros. D'ailleurs, c'est une pote qui m'en a parlé. Alors du coup, je le précise. Vous pouvez l'avoir évidemment si vous êtes en format YouTube, format vidéo. Sinon, je vous le dis, pour ceux qui écoutent, j'ai acheté une petite light trop cool sur Amazon. Ça m'a coûté 20 euros. Juste à côté. Et puis en fait on peut mettre n'importe quelle couleur avec une application c'est assez simple Alors moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, ça se trouve vous connaissez déjà, peut-être, dans ce cas là bon bah tant mieux pour vous, moi j'ai découvert ça il y a pas longtemps, j'ai une pote qui me l'a montré, je trouvais ça trop stylé. Ah bah d'ailleurs j'ai le paquet juste à côté de moi, ça s'appelle comment ? Rainbow Projector Lamp, voilà, je sais pas si on peut le voir, mais franchement petit placement de produit, non mais franchement hyper cool, donc c'est cool parce que je peux mettre un peu les couleurs de Shape Room derrière, bon ça se voit pas trop. De toute façon, le but c'était quand même de cacher le bordel qu'il y a derrière moi parce que du coup, quand je reviens chez ma mère à Paris, c'est toujours un peu le bordel parce que je reste pas très longtemps, je prépare mes affaires pour la suite. D'ailleurs, dans à peu près 7 jours, mesdames, messieurs, je m'envole pour l'Indonésie. Vous savez pas à quel point je suis mécontent. Ça fait, je pense, je sais pas, alors 4 mois que j'attends ça. Là, je vais passer 6 mois en Indonésie. Je vous raconterai tout ça dans mes podcasts, vidéos YouTube, évidemment. Et d'ailleurs... franchement je vous le redis, je vous le dis pas souvent mais je vous le redis quand même n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram si vous avez des idées de sujets, des idées de vidéos quand je m'exprime sur certains sujets, si vous dites ah putain mais c'est dommage il a pas mentionné ça ou ah c'est dommage il parle pas de ça, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram vraiment parce qu'en fait là ça fait deux semaines que je reçois franchement de plus en plus de messages par rapport à mes vidéos YouTube et mes podcasts et en fait ça fait trop plaisir de voir que bah il y a des humains derrière en fait, il y a des humains derrière cette putain de caméra, il y a des humains derrière ce putain de micro et derrière surtout ces statistiques que je vois voilà toutes les semaines juste de savoir que ça vous plaît, que ça vous motive, que ça vous drive, que ça vous inspire, peu importe mais c'est un plaisir de fou donc je le dis dès l'intro, je pense que je le dirai à chaque fois écrivez moi sur instagram, ça me fait trop plaisir comme ça on peut échanger j'ai même quelqu'un qui m'a écrit qui s'appelle Laure je crois, si je me souviens bien ouais s'appelle Laure qui m'a écrit, qui va aussi à Bali, donc on va se voir là-bas. Enfin, voilà, moi c'est aussi pour ça que je fais tout ça, c'est aussi pour ça que j'écris, que je fais des podcasts, que je fais cet accompagnement qui s'appelle Shape Room, que je fais des vidéos YouTube, c'est aussi pour rencontrer des gens en fait. Alors évidemment, c'est pas que pour ça, mais ça me fait trop plaisir de vous voir que les sujets vous touchent, ça peut vous aider, vous inspirer, ou peu importe, parce que c'est le but de ces podcasts et de ces vidéos. Donc n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et aussi, si vous souhaitez me donner de la force, le mieux. que la meilleure chose possible c'est de noter ce podcast ou de mettre des commentaires sur YouTube ou de vous abonner à ma chaîne YouTube, de liker, partager. Alors non seulement ça me donne de la force, mais ça va aussi donner plus de rayonnement à ce que je dis. en podcast, YouTube, peu importe, ça donne plus de rayonnement aussi à ce que je souhaite transmettre à travers mon projet Shape Room et ça donne plus de force à tous mes freelances qui sont dans ma communauté parce que mine de rien derrière, ce que je souhaite c'est que cette communauté qui est grandissante aujourd'hui on est une vingtaine à terme je veux que ce soit la plus influente et la plus grande de France et donc au delà de juste dire ouais j'ai une communauté hyper forte, hyper influente en fait j'ai vraiment envie de véhiculer des bonnes valeurs et un bon message Parce qu'en gros, avec Shaperoom, je l'ai déjà dit dans certains épisodes, mais c'est toujours bien de le répéter, moi j'estime que j'ai une mission à travers Shaperoom. Et cette mission, c'est de rendre les gens libres et épanouis. Grâce à un métier, en l'occurrence le media buying, mais après j'aimerais diversifier les bootcamps que j'ai dans Shaperoom. Là aujourd'hui c'est du media buying, c'est de la publicité en ligne, donc t'apprends à devenir expert en publicité en ligne. Et grâce à ce métier, tu peux voyager, tu peux être à ton compte, tu peux vraiment te sentir utile, important, bien gagner ta vie. Voilà, choisir tes horaires, tes vacances, bref, on connaît la chanson. Et en fait, à travers ce style de vie, donc le style de vie de freelance, en fait, entrepreneur, en gros, les gens sont épanouis, sont vibrants, vivants, tu vois. Parce qu'au-delà de l'aspect vraiment purement stylé du truc, ouais, t'es à Bali, tu voyages, tu gagnes bien ta vie ou quoi que ce soit, t'as aussi des moments de down, t'as des moments de doute, t'as des coups de mousse qui est normal, comme d'ailleurs en ce moment pour moi. Et c'est pour ça qu'on va en parler dans le sujet de la vidéo, parce que, voilà. Là, il y a deux, trois jours un peu plus difficiles pour moi et j'en parle pas souvent. Et c'est pour ça que j'ai un peu improvisé ce podcast-là, parce que ça me semblait important de pouvoir aussi parler de sujets un peu plus durs, un peu plus compliqués pour moi. Je pense que c'est une place totalement légitime que je peux avoir sur le podcast ou sur YouTube. Ça me semble important de ne pas juste montrer les choses belles, voilà. Même si, bon, moi j'aime vous faire rêver les potes, on est là pour ça quand même. Mais bref, au-delà de ça, du coup... Se sentir vivant à travers des moments de coup de mou, parce que quand c'est difficile, tu te sens vivant en fait. Tant que c'est... Tu vois, c'est de l'émotion, tu vois. C'est cette incertitude dont je parlais dans un autre podcast, cette insécurité qui est là, en quelque sorte, mais qui fait qu'on se sent mais vivant, quoi. Et après, la victoire de demain n'est que plus belle. Et donc à travers ce style de vie, d'être freelance, etc., moi ce que je veux, c'est œuvrer pour un monde meilleur. Parce que quelqu'un qui est épanoui, qui se sent vibrant, vivant, et bien naturellement... Tu vas faire le bien autour de toi, tu vois. Tu vas rayonner. Parce qu'on sent que t'as une mission, on sent que t'es porté par un truc. T'as un style de vie qui te fait kiffer, en fait. Tu vois. On sent que t'es à ta place. Donc, je pense notamment à Mathias. Il y a une vidéo qu'on a faite ensemble, une interview, que vous pouvez retrouver sur la chaîne YouTube, qui est disposée sur le podcast. Je pense notamment à Tom Soa, qui a 18 ans. Je pense à Lucien aussi. Je pense à Sonia également. On va tourner le podcast demain, d'ailleurs. Donc, ça va sortir au cours en septembre. Enfin bref. Je sais plus où est-ce que j'en étais, mais tout ça pour dire que voilà, épisode un peu plus freestyle, un peu plus spécial, mais dans tous les cas, il y a quand même toujours de la valeur qui est apportée, ça me tient vraiment à cœur. Et aujourd'hui, le sujet, alors je sais pas quel sera le titre exactement, normalement ça va être un truc du style les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs, ok ? Et le but, c'est que, en fait, ma phrase d'accroche si tu veux pour l'épisode, c'est ce que tu as dedans. n'a rien à voir avec ce que tu crois valoir. Ça, ça va être mon hook. Voilà, ok ? Donc, restez bien accrochés. On va décortiquer tout ça ensemble. En gros, je vais vous introduire un petit peu ma situation actuelle, ce qui s'est passé dans les semaines précédentes. Et puis, après, on va attaquer le sujet du jour, en fait, qui est en rapport... Alors, il y a un peu deux piliers, si vous voulez, sur cette vidéo. Il va y avoir donc tout ce qui tourne autour de l'imposteur, en fait. On parle beaucoup du syndrome de l'imposteur, etc. Mais tout ça, c'est du fake. Ce n'est qu'un écran de fumée. Je vais vous expliquer pourquoi moi je vois la chose comme ça. Et je pense que ça pourra vraiment vous aider à traiter avec cette légitimité. On parle tout le temps d'être légitime sur un domaine pour se lancer en freelance, ce qui est normal. Mais en fait, on accorde beaucoup trop d'importance à ce sujet. Et je vais vous expliquer pourquoi. Pour moi, c'est une construction mentale. Bref, il y a ce premier pilier. Et deuxième pilier, ça va être tout ce qui est autour de la motivation. Ce truc de... ce hustle mode. qu'on voit souvent sur les réseaux, pour y arriver il faut travailler dur, pour y arriver il faut être discipliné, la morning routine, le truc, le machin, ce qui est en partie vrai, mais vous allez voir qu'on va tempérer le truc parce qu'il faut remettre l'église au milieu du village, putain, voilà, il faut se dire les choses et aujourd'hui c'est un sujet important parce que je pense qu'il y a pas mal de personnes qui vont écouter ce podcast et qui vont regarder cette vidéo, du moins je l'espère, de plus en plus, c'est pour ça donnez de la force, likez, commentez, partagez les potes, vraiment. et puis moi ça me permet aussi de savoir quel impact je peux avoir et encore une fois écrivez moi sur instagram et voilà le but c'est que ça aide énormément de personnes qui qui pensent à se lancer en freelance ou qui où ça se trouve toi en ce moment tu es en train de te lancer en freelance donc ça va vraiment t'aider je termine ma petite intro qui est bordélique je vous l'ai dit c'est freestyle là mais c'était un peu le c'était pas le but c'est le but mais voilà c'est aussi ça j'aime bien les sujets un peu enfin les podcasts un peu plus chill ou voilà y'a pas de tu vois trop de montage ou quoi que ce soit enfin après j'aime bien quand c'est clean un minimum mais ou juste je sors mon micro et je parle évidemment j'ai un sujet pas juste parler devant la caméra comme ça comme un débile et bref je vous mets un peu de contexte je suis revenu de vacances j'ai fait deux semaines de vacances d'ailleurs très stylé on a fait serbie monténégro bosnie bosnie herzégovine et puis on a fait un road trip en fait on a loué une voiture à budapest et on est descendu en serbie on a fait le monténégro on est passé par la bosnie et on a rendu la voiture à budapest d'ailleurs petit aparté sur ce sujet là on a loué une voiture et à un moment donné il ya la marche arrière qui avait du mal à s'enclencher je faisais un créneau Il y avait un petit poteau en face, et en gros, c'était légèrement en pente vers le poteau, et comme la marche arrière avait du mal à s'enclencher, quand je lâchais le frein, la voiture continuait à avancer, très légèrement, et à un moment donné, elle touche le poteau, mais on ne sent rien du tout. Bref, il y avait une mini gratinure, mais quand je dis une mini gratinure, c'est vraiment un truc, ça faisait 2 cm. On rend la voiture à Hertz, à Budapest. Bref, du coup le mec remarque la petite égratignure et je me suis dit, bon putain, il va rien se passer tu vois, je lui ai demandé et tout, comment ça se passe, il m'a dit bah j'envoie le truc au desk, à l'office là, au bureau, et c'est eux qui décident de leur côté. J'ai dit bon bah ok, d'accord, très bien, j'aurais bien aimé discuter mais, parce que je me suis dit, ça se trouve ils vont nous mettre une couille tu vois, parce que c'était vraiment une toute petite égratignure mais tu sais, dans ce genre de, quand tu loues une voiture c'est toujours un peu le stress de se dire, ah putain, si je fais une trace qu'est-ce qu'il va se passer. donc il envoie le truc au bureau et Le lendemain je crois ou deux jours après, je reçois un mail avec la facture. J'étais en mode putain, une facture. Je regarde donc, j'ouvre le PDF, je regarde la facture. Et là je vais tout de suite sur la ligne du bas parce que tu t'emballes, il coule du reste. Je vais à la ligne du bas. Et là je vois quoi ? Je vois 500 balles. 500 balles. J'étais en mode mais ils se foutent de ma gueule quoi. Genre à quel moment, mais c'est même pas une égratignure, c'est une petite trace tu sais. La voiture elle a touché littéralement. effleurer le poteau, tu vois, 500 balles du coup j'ai quand même répondu, j'ai dit les gars expliquez-moi juste deux secondes pourquoi je dois payer 500 balles, parce qu'il y avait juste la facture en mode voilà y'a des gratinures, paye connard enfin bref voilà petite anecdote, c'est donc du coup deux semaines hyper sympas j'ai pu couper, c'était cool, donc là c'était en août on est le 28 août, ça fait ça fait combien de temps que j'ai repris, ça fait une semaine ? Ouais, je sais même plus. Une semaine, un truc comme ça. Bref, et du coup, me voilà de retour. dans le projet, dans le shape room et je dois vous avouer qu'il y a eu une semaine trop bien où je me sentais bien etc et puis là je dois vous avouer que c'est plus compliqué. Alors pas d'un point de vue résultat, c'est en fait ce qui se passe avec les gens avec qui je bosse surtout au sein de l'agence où ça me peine beaucoup parce que, alors je vais pas évidemment tout vous raconter, il y a quand même des trucs qui doivent rester privés mais il y a des choses qui ont été dites et du coup qui vont se passer qui malheureusement ne contribue pas au chemin que je souhaite emprunter en fait. Ça ne va pas dans ma vision. Et nos chemins vont très certainement se séparer avec ces personnes en question avec qui je travaille. Et du coup ça me peine beaucoup parce que c'est des amis en vrai, c'est des potes à travers le business si vous voulez. Et tout ça pour vous dire que voilà, c'est pas tous les jours facile. Je ne suis pas juste digital nomade, je suis en freelance et je vous enseigne mon métier. J'ai aussi une agence, j'ai une communauté, donc un collectif. Il y a évidemment l'accompagnement avec du coaching, des exercices, une plateforme de vidéos, etc. Mais voilà, j'aime bien vous donner aussi les coulisses parce que ça me paraît important. Si vous me voyez sur Instagram, sur YouTube, à chaque fois je donne des conseils, je parle souvent de ma vie, je donne pas mal de trucs hyper positifs, mais je trouve intéressant de parler aussi de trucs un peu plus... un peu plus noir. Voyage en le monde, un rêve de nomade, Paris aux éclats des vagues, surfant les vagues, chassant le soleil, Nicolas Dorfman toujours en effet. Je vous disais, on va parler un peu d'imposteur d'une certaine manière et de la motivation. Vous allez voir qu'il y a plein de sujets qui s'entrecoupent. Et d'ailleurs, pour cet épisode-là, ce que je me suis dit, j'ai travaillé avec ChatGPT et je me suis dit, pose-moi des questions comme si on était en interview et moi, je vais y répondre. Donc, on va tester ce format. Et encore une fois, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Écrivez-moi sur Instagram si vous arrivez sur cette chaîne YouTube, sur cette vidéo, si tu arrives sur ce podcast. Déjà je vais me présenter rapidement mais n'hésite pas à voir mes réseaux sociaux sur Instagram c'est NicolasShapeRoom S H A P E R D O M Et m'écrire sur Insta et me dire si cet épisode te plaît, même si il y a des trucs qui te plaisent pas tu me dis ça c'était pas ouf pour telle raison Ça m'énerve de fou en vrai Aidez-moi les gars Je vais me présenter avant de continuer Je m'appelle Nicolas Dorfman, j'ai 27 ans Mon anniversaire était le 2 août Voilà, si vous souhaitez me souhaiter mon anniversaire n'hésitez pas encore une fois mes dm instagram sont ouverts donc j'ai fondé shaperoom il y a maintenant un peu plus d'un an j'ai proum qu'est ce que c'est il ya trois verticales une première c'est le bootcamp on appelle ça le shape camp parce que c'est pas n'importe lequel c'est le bootcamp de shaperoom dans laquelle donc dans lequel je t'apprends mon métier et je t'aide à te lancer en freelance de a à z c'est à dire que tu connais rien et bah tu as des cours sur le marketing digital sur le media buying la publicité en ligne tu as des exercices avec google ads facebook ads on t'apprend à devenir expert sur google ads Et Meta Ads, c'est Facebook et Instagram, si tu ne sais jamais, tu ne le sais pas. Et donc, on t'apprend le métier avec des exercices, des quiz, des vidéos de formation, des fiches recap, etc. Et ensuite, tu vas avoir la partie lancement. Donc, on va t'apprendre et t'accompagner surtout de A à Z pour poser ton offre, ton positionnement, savoir te démarquer. Ensuite, aller trouver tes clients, aller discuter avec eux. Et le plus important, c'est en fait, on va t'apprendre et t'accompagner à signer tes clients. C'est vraiment un accompagnement de A à Z. On te prend de zéro, entre guillemets. de zéro et on t'amène à 1. A 1, c'est au minimum ton premier client, au grand minimum. Et ensuite, la deuxième verticale, c'est mon collectif. Je t'en parlais tout à l'heure, la communauté. Donc, c'est une communauté de freelance, experts en publicité en ligne. Et c'est une continuité du Shapecamp. Donc, en fait, le Shapecamp t'amène de zéro à 1 et la communauté t'amène de 1 à 10. Et d'ailleurs, il y a des nouveautés qui vont arriver. On va lancer des mini formations, beaucoup plus avancées sur Google et sur Meta. On va également proposer un coaching personnalisé qu'on va appeler Road to 10K. parce qu'il y a des freelances qui ont envie d'aller jusqu'à 10 000 euros par mois. Et donc, on va faire un groupe personnalisé, restreint, avec peut-être 5 personnes dans ces eaux-là pour les accompagner. C'est moi qui vais les accompagner en perso de A à Z jusqu'à ce qu'ils tapent les 10 000 euros par mois. Donc, ce n'est pas une blague. Moi, je l'ai fait et donc je sais comment faire. Et donc, on va les accompagner jusqu'à là. Au-delà de ça, on va développer aussi des co-living, des co-working. On va faire plus de rencontres également. On va lancer un système d'ambassadeur aussi parce qu'en fait cette communauté c'est pas juste la mienne c'est aussi surtout la leur donc la croche de la leur c'est mes shaper, mes freelance. Voilà et la troisième verticale c'est mon agence donc celle dont je te parlais tout à l'heure aussi qui s'appelle ShapeAds avec laquelle on accompagne des entreprises à se développer en ligne grâce aux publicités en ligne notamment google et meta. Voilà les présentations sont faites je me permets de te rappeler que ma mission à travers ShapeRoom c'est de vrai pour un monde meilleur en rendant les gens libres et épanouis notamment grâce à cette communauté et ce bootcamp. Si Tu veux te lancer en freelance ou alors tu es en train de te lancer en ce moment même, mais tu galères, tu as du mal pour je ne sais quelle raison. À ce moment-là, tu te dis naturellement, ok, je dois être motivé, hustle mode, peut-être morning routine et tout, je n'en sais rien. Tu te dis, ouais, ça ne va pas être facile, donc je dois être solide. Il y a plein de choses à faire, peut-être que tu as une tout doux qui est énorme. Et surtout, tu te dis quelque part, je dois prouver qui je suis. Alors soit tu te dis consciemment, soit tu te dis inconsciemment, mais on a tous ce besoin de prouver en fait, de se sentir légitime. Et du coup ça se transmet par beaucoup d'éléments extérieurs. Donc en fait ces éléments extérieurs, c'est ta tout douce, c'est la motivation, donc c'est beaucoup de travail. Surtout en France on a cette culture de plus tu te bosses, plus tu fais des heures, plus tu fais d'heures de travail, plus t'es inconsciemment récompensé. Alors au taf c'est consciemment récompensé. Mais toi tu vas te dire ok j'ai beaucoup bossé je suis bien alors que c'est pas forcément une bonne idée si tu bosses je sais pas 10 heures par jour mais que tu bosses pas d'une manière smart en fait c'est débile ça sert à rien, vaut mieux bosser 6 heures et vraiment être avoir une bonne organisation tu vois et être smart et en fait surtout derrière tout ça tu vois derrière ce sentiment de vouloir être motivé de vouloir prouver tu vois de de se dire faut que je sois comme cette personne là parce qu'il y a aussi parfois ces éléments de comparaison sur linkedin ou je ne sais quoi On a toujours envie de ressembler en quelque chose, en quelqu'un. On voit sur Instagram aussi beaucoup de discours de motivation, mode hustle mode, voilà, tu vas te lever tous les jours, 7h, faire plus que les autres, gna gna gna. Mais en fait, derrière tout ça, se cache de vraies peurs. C'est, est-ce que ça va marcher ? Est-ce que je suis à la hauteur ? Est-ce que je vais réussir ? Et quand bien même je trouve un client, comment ça se passe ? Est-ce que ça va marcher ce que je vais faire ? Est-ce qu'il va être content de mon travail ? Tu vois ? Donc en fait, on va parler de... tout ça, ce qu'on va voir ensemble, c'est que en fait, ce qu'on va voir ensemble, c'est en quoi la valeur intérieure ne se mesure pas à la motivation constante. Ça, c'est déjà une première chose. deuxième chose qu'on va voir ensemble c'est en quoi les éléments extérieurs que tu construis, consciemment ou inconsciemment, ne sont que des écrans de fumée. Je te l'ai dit déjà en intro. Et finalement, est-ce que le syndrome de l'imposteur ne serait qu'une invention, une croyance, une arnaque en fait ? Et donc c'est pour ça que peut-être que le titre de cet épisode, je dis pas peut-être, mais j'aime bien cette phrase qui dit que les plus grands succès viennent de ceux qui se sentent imposteurs. Et oui, parce qu'on va attaquer tout ça, c'est hyper intéressant en fait. On a toujours l'impression de vouloir... passer d'une identité A à une identité B, de vouloir faire face à ce syndrome de l'imposteur, tout en étant motivé, organisé, tout se passe bien, tout roule. Et en fait, finalement, on essaye de vaincre ce syndrome de l'imposteur. Mais c'est, pour moi, ce n'est pas la bonne idée. On va décortiquer tout ça ensemble, Ausha bien, pose-toi dans ton canapé, dans ton fauteuil, ou je ne sais où, fais-toi kiffer, prends un petit verre d'eau, je ne sais quoi, n'oublie pas, encore une fois, Je te regarde droit dans les yeux mon pote Si tu aimes cet épisode, si tu aimes mes vidéos YouTube, abonne-toi s'il te plaît, ça me ferait un plaisir de fou. Abonne-toi à ma chaîne YouTube, abonne-toi au podcast, laisse un commentaire, laisse un avis, écris-moi sur Instagram, partage, donne de la force, ça me ferait vraiment plaisir. Et puis écoute, je te souhaite une très bonne écoute pour la suite du podcast et de la vidéo YouTube. Comme je te l'ai dit, j'ai bossé avec TGPT pour faire un petit tram interview. On va tester voir ce que ça donne. Je trouvais ça marrant de tester ça comme ça. Alors beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Première question de notre cher ami ChatGPT. N'hésitez pas, elle va vous marteler en fait, n'hésitez pas à m'envoyer un message sur Instagram pour vous dire si les questions de ChatGPT sont pertinentes. Donc beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence. Est-ce que tu as cru ça au départ ? Oui carrément, comme tout le monde. Mais c'est ce que je vous disais tout à l'heure. En fait, on est blindé de vidéos comme ça et de podcasts de la sorte. C'est un peu du mindset à deux balles, tu vois. Il faut en vouloir plus que les autres, il faut en faire plus que les autres. Alors, il y a une petite part de vérité quand même, mais en fait, ça cache beaucoup de choses parce que ça, ces conseils-là qu'on peut voir à droite à gauche, c'est juste des conseils de surface. Il n'y a pas des conseils de fond, en fait. Donc oui, je pensais qu'il fallait être motivé en permanence. Et donc, en fait, le danger avec ça, c'est que si tu ne te sens pas motivé, Parce qu'en plus, la motivation, ça va, ça vient. C'est pas constant. Là où la discipline est constante. Mais au-delà de ça, en fait, quand tu te sens pas motivé, du coup, tu te dis, putain, j'y arriverai pas. Je suis pas motivé, je suis pas au niveau comme les autres qui ont l'air trop motivés. En plus, si tu traînes sur LinkedIn, tu vois que des posts. LinkedIn, ça commence à me saouler, les gars. Vraiment. C'est vraiment juste des vitrines, quoi. Les gens ne font que se vendre. Ce qui est normal dans un sens aussi tu vois Mais ça me pète un peu les couilles quoi, genre les mecs ils font que des posts, alors pas tous, attention je mets pas tout le monde dans le même panier, il y en a quand même beaucoup qui se vendent énormément, et donc ça c'est dangereux parce que si tu te lances en freelance, ou même si tu commences à te renseigner ou quoi que ce soit, bah t'es mis face à ces posts, et donc en fait le jour où t'es pas motivé, ou même si t'es débutant, disons t'es à la page 1, tu vas voir des mecs qui sont à la page 20, qui sont naturellement motivés ou je ne sais quoi, et donc bah ça va... Ça va te démotiver en fait, ça va te pousser un peu vers le bas, moi j'en ai des freelances qui me le disent, qui me disent putain mais ça me saoule quand je vois un tel, il crie ça, il a l'air d'être tellement chaud, moi qu'est-ce que je vois à côté tu vois. Et donc on a l'impression qu'on doit toujours être dans cette motivation constante pour build up et c'est dangereux parce qu'en fait le jour où tu n'as pas de motivation, tout s'effondre parce que ce n'est qu'un écran de fumée la motivation. Ce qu'il faut c'est le fond, c'est le why, c'est pourquoi tu fais ce que tu fais, c'est une vision tu vois. C'est pour ça que j'en parle beaucoup dans mes vidéos, mais également dans mon accompagnement. C'est d'avoir une vision qui est claire, alors pas forcément un truc super carré, etc. Mais de savoir où tu vas, qui tu veux devenir, quel style de vie tu veux avoir. Et de se recentrer d'une part sur soi, donc il y a le pourquoi pour toi, mais il y a aussi le pourquoi pour le monde qui t'entoure. Parce que tu vois ce que je te disais tout à l'heure, ce truc de vouloir être légitime, ce syndrome dans l'imposteur, toutes ces choses-là, et puis même la comparaison sur LinkedIn, en fait ce ne sont que des éléments extérieurs qui te renvoient à ta propre personne. Donc en fait... Ça veut intimement dire que tu es centré sur toi. T'es un peu nombriliste en fait. Et puis tous les êtres humains sont plus ou moins comme ça. On est tous centré sur nos besoins, sur notre image, machin. Mais c'est ça l'erreur. Parce qu'en fait, on a l'impression qu'on doit se vendre, qu'on doit prouver, qu'on doit être légitime. Mais en fait, à partir du moment où tu tournes ton attention vers les projets que tu vas accompagner, vers tes futurs clients ou je ne sais qui d'autre, là ça change ta perception des choses. Parce que tout n'est qu'une question de perception. En fait, toi, on t'a toujours vendu un prisme et tu dois te vendre, tu dois être motivé. Tu dois faire ci, tu dois faire ça. Mais en fait, tu tournes ton attention vers ton prospect, vers tes projets, les projets que tu veux accompagner, les clients que tu veux accompagner. Et là, tout change. tout change parce qu'en fait Tu n'es plus en train de te dire, je dois prouver, moi je, moi je, moi je dois me vendre, je dois faire ci, je dois faire ça, regarde l'autre, il est comme ça, moi je suis pas comme ça. Non, là t'es en train de te dire, bah y'a un mec qui a besoin de mon aide en fait. Et puis moi, même si t'es débutant, t'as forcément des skills, des compétences qui sont beaucoup plus développées que je ne sais qui d'autre. Je ne sais qui est l'autre client. Et moi c'est pareil avec chez Pro, moi je vois des écoles, je vois des formateurs qui ont plus d'expérience que moi, mais j'en ai rien à foutre. parce que moi j'ai une putain de mission en fait et je sais que ce que je connais là en ce moment, mes compétences Et mes vidéos YouTube, c'est pareil. Tu vois, je vois des vidéos qui sont incroyables. Moi, je suis en mode... Parfois, je me dis, mes vidéos, elles ne sont pas ouf. Mais en fait, je kiffe ce que je fais déjà. Et je sais que ça va aider des gens et ça aide déjà des gens. Et j'espère que ça t'aide aussi. Et en fait, dis-toi que si tu es à la page 2, par exemple, tu vas aider la personne qui est à la page 1. Tu n'es pas obligé d'être au niveau 20, en fait. Et toutes tes connaissances et tes compétences que tu as aujourd'hui, elles vont forcément aider des gens. il y a des gens qui ne connaissent pas tout ce que tu sais. Moi, je me posais les mêmes questions. Je me disais, putain, mais moi, je suis accompagné par un coach. Le mec, il est trop chaud. Et je me disais parfois, mais putain, moi je suis qui pour coacher, tu vois ? Mais en fait, vu ce que j'ai traversé, vu ce que je travaille, je suis coaché, je suis formé, etc., je connais plein de trucs en fait. Et à partir du moment où tu commences à transmettre, où tu commences à vraiment considérer l'autre personne, la personne qui est en face de toi, qui a besoin d'être, qui a besoin de toi, ben là finalement tu te rends compte que t'es chaud, en fait, que tu te rends compte que t'as des connaissances, t'as des compétences, et que ça peut marcher. mais je sais que c'est pas facile je sais que c'est pas facile mais je trouve que c'est parfois irresponsable de se dire, vu que je ne suis pas à 100%, parce que moi j'entends souvent ça, oui, oui, il faut que je connaisse toi à 100%, non, c'est pas possible, tu peux pas tout connaître à 100% de toute façon. Mais donc en fait, si tu te dis, vu que je suis pas à 100%, je peux pas aider, mais en fait tu laisses plein de personnes au bord du chemin. Et moi je trouve ça irresponsable personnellement. Donc tout ça pour répondre à ta question, MrChadJPT qui est juste derrière moi, enfin derrière la caméra, beaucoup de gens pensent que pour réussir, il faut être motivé en permanence, est-ce que toi aussi tu as cru ça au départ ? Oui. complètement voilà donc moi aussi je suis tombé dans ce truc là dans vouloir être motivé tout le temps et le truc c'est que bah la motivation constante ça n'existe pas il faut être discipliné et au delà de ça il faut avoir une vision et un pourquoi il faut aussi accepter que il y ait des moments comme moi aujourd'hui où vraiment énergie complètement down enfin je vous disais tout à l'heure avant d'allumer le micro j'étais devant mon ordi je regardais par la fenêtre là comme ça c'est pas facile quoi Voilà, et je me suis dit que c'était le bon moment pour justement enregistrer parce que ça peut peut-être résonner avec toi. Deuxième question, mais j'ai l'impression que c'est quasiment la même. Quand tu entends motivation constante, qu'est-ce que ça évoque pour toi ? Ah bah ça évoque ce que je viens de vous dire. Motivation constante, bullshit. Voilà ce que ça évoque pour moi. Motivation constante, ça n'existe pas. Il y a des moments de down. Et en fait... Le problème avec ce truc de motivation constante, d'être meilleur que les autres, d'en faire plus que les autres tout le temps, c'est justement, tu tombes... En fait, tu t'obliges à ne pas accepter tes moments de down, les moments où t'es pas bien, les moments où t'es fatigué, et c'est normal, en fait. C'est normal. Point. Et en fait, c'est justement des moments qui sont importants. Si tu les considères et si tu les vis à 100%, derrière, c'est comme si t'étais... Je me rappelle, ma cousine, elle m'avait donné une image que j'ai bien aimée. C'est comme si tu allais au fond de la piscine, tu vois. Et au fond de la piscine, tu remontes toujours forcément. Parle pas de ton corps, etc. Tu remontes, en fait. Et je trouvais ça hyper intéressant. Moi, j'estime qu'aujourd'hui, je suis un petit peu au fond de la piscine quand même. Mais ça va remonter, je le sais. En fait, dans ces moments-là, tu sais que tu as des techniques pour en sortir le plus rapidement possible. On va peut-être en parler. La méthode Scafa, je t'en parlerai. J'en ai déjà parlé dans une vidéo. Mais au-delà de vouloir en sortir vite, accepter le moment, le vivre pleinement, parce que c'est là où tu te sens vivant, tu vois. Et après, tu sais que ça va remonter en fait. Il y a toujours un moment donné où ça s'arrange, où les choses elles s'arrangent. Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire qu'il faut toujours être motivé pour avoir une chance de réussir ? Pourquoi est-ce que tu penses qu'on est nombreux à croire ça ? Bah, parce qu'en fait c'est notre éducation. Franchement, c'est notre éducation, c'est aussi ce qu'on voit sur les réseaux sociaux. Voilà quoi, c'est... En fait, en France, on est éduqué au try hard. On est éduqué surtout au work hard on va dire. Work hard, je mets un peu l'accent. On n'est pas éduqué à fail fast, tu vois, genre à échouer, à tester, à apprendre. Non, on est éduqué à plus tu bosses, mieux c'est. Peu importe ce que tu fais, moi je... C'est ça qui est fou quand même. Moi quand j'étais en entreprise, je ne comprenais pas ça. C'est-à-dire que les heures, c'était 9h30, 18h30. Si tu avais fini toutes tes tâches à 18h, moi je me rappelle une phrase de ma manager qui m'a dit... Non mais si t'raises 30 minutes, moi j'ai des tâches de 30 minutes si tu veux. Nique ta race ! En fait en France c'est fou, on n'accorde pas d'importance à l'être humain, à son bien-être, beaucoup moins que d'autres nationalités et en fait le repos fonctionne tout autant que ton huit heures de travail tu vois. En fait en France on ne considère pas la possibilité qu'une semaine peut rentrer en quatre jours tu vois alors que bien sûr que si ce n'est qu'une question de perception, ce n'est qu'une question de mental et d'organisation évidemment donc c'est cette éducation en fait et le truc c'est que comme c'est tellement ancré en nous on l'applique tous les jours même sans s'en rendre compte tu vois naturellement plus on bosse plus on va être rassuré et j'en parlais avec des potes tu vois parfois quand on bosse pas limite ça nous fait culpabiliser en fait on est là on est en mode putain mais je bosse pas je fais rien mais c'est ok genre c'est normal il y a des fois t'as besoin de repos il y a des fois t'as t'es fatigué et c'est normal et le repos est tout aussi important que tes moments où tu es dans le rush des moments tu bosses tu vois moi je le considère comme ça tu vois il faut vraiment ramener de l'importance il ya fabien oulicard famille oulicard que tu connais peut-être sur youtube qui est assez connu qui a fait pas mal de livres qui en parle qui dit que les moments tu te fais chier le moment tu fais rien en fait c'est tout aussi important que les moments où tu travailles à l'amont tu bosses parce qu'en fait ton cerveau il est au repos et en fait en arrière fond tu as le subconscient et même je pense aussi le conscient Je ne suis pas du tout expert sur le sujet, mais derrière, ça va bosser, ça va avancer. C'est comme il y a un biais qui existe, quand tu commences une tâche et que tu ne l'as pas finie, ton cerveau, il y pense toujours parce qu'il le met en mode en cours. Et donc, il travaille dessus, tu vois. Et donc, le fait de ne pas finir une tâche, ce n'est pas si grave parce que ton cerveau, il y travaille quand même, il va peut-être améliorer certaines choses. Tu vas peut-être y revenir plus tard. Tout ça pour dire que les moments de pause, les moments où tu ne fais rien, en fait, tu mets ton cerveau en pause, ça crée des connexions neuronales, ça te rend plus créatif, ça te rend plus productif Donc c'est tout aussi important. Tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer, même quand tu n'avais pas l'énergie ? Alors ça, carrément ouais. Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, carrément ouais. Alors je pense que la première fois que je l'ai ressenti, c'était au taf en fait. C'était au taf. Enfin au taf, quand j'étais en agence. J'ai un exemple précis en tête, mais un truc, ça m'a saoulé putain, rien que dans 10% ça me vénère Mais heureusement ça a changé pour moi, c'est cool quand même. Et donc si toi t'es salarié d'ailleurs, et que tu veux te lancer en freelance, t'hésite pas, j'ai un lien en description, et c'est le moment pub là. Non mais tu peux déjà te renseigner, tu peux voir l'accompagnement chez Eproum, et voir ce que c'est le media buying pour voir si ça t'intéresse. Parce que je vais te parler de quand j'étais en salarié, il y a un truc qui m'a saoulé de fou, j'étais en vacances au Mexique pendant 2 ou 3 semaines je crois, un truc comme ça, 3 semaines je crois. donc t'as le décalage horaire ok ? donc je fais 3 semaines de vacances au mois d'août, je reviens, je crois que c'est la 3ème semaine d'août Un truc comme ça. Je reviens, je fais tout mon taf et tout, je fais toutes mes tâches, et je me rappelle le jeudi midi, un truc comme jeudi matin, j'avais fini quasiment toutes mes tâches. Bref, du coup je demande aux autres s'ils ont besoin d'aide pour aider, pour faire des trucs, parce que bah évidemment, culture française, c'est 5 jours par semaine, et tu remplis tes 5 jours, même si c'est pas très smart, mais bon bref. Et en fait, la semaine suivante, après être rentré, alors du coup cette semaine quand je suis rentré, évidemment après le Mexique, dis-toi que je suis rentré le dimanche, Le lundi, je reprenais le taf. Donc j'étais forcément un peu fatigué, tu vois, t'es en décalage horaire. Surtout que quand tu fais ouest vers est, c'est fatigant. Tu vois, moi quand je vais à Bali par exemple ou en Asie, quoi, bah en fait, quand tu te couches vers genre 23h ou minuit, en gros ton corps, il pense que c'est l'après-midi, il pense que c'est une sieste. Parce que t'es en plus 6, plus 7. Donc en fait, quand j'étais au Mexique et que je suis rentré en France, j'étais en plus 6 en France. Donc c'était l'après-midi au Mexique et le soir en France. et donc en fait je me couche à 23 minuit Mais après, je me réveille au milieu de la nuit parce que mon corps, il pensait que c'était une sieste. Donc, tu dors deux heures et après, tu es réveillé, tu es en forme. Donc, le temps de te recaler, moi, il me faut généralement trois, quatre jours. Donc, tu es fatigué en fait parce que tu vas quand même au taf vu que tu es obligé d'y aller. En plus, c'est le tel travail. Du coup, évidemment, c'était tout un sujet. Donc, on ne considère même pas le fait que tu sois fatigué. Sinon, tu te démerdes, tu viens au boulot. Encore une fois, encore une autre très belle idée ça. donc du coup j'allais au boulot j'étais fatigué et donc Normalement, enfin naturellement, j'étais moins dynamique dans ma manière d'être, ce qui est normal. Enfin je veux dire, puis même dans mes tâches du coup, parce que j'étais fatigué, j'avais du mal à dormir. Parce que j'ai décidé de reprendre directement ce qu'était une heure, mais bon, voilà, tu prends trois semaines de vacances, bah t'es un peu obligé quelque part. C'est con putain, c'est vraiment débile quand tu y penses. Mais quand tu fais trois semaines de vacances, tu te sens un peu obligé de reprendre le taf direct. Et je m'en rappelle donc, après cette semaine compliquée, l'autre semaine, la deuxième semaine, J'étais recalé, j'ai un point que ma manageuse qui me dit ouais Nico moi il y a un truc qui m'a un peu interpellé la semaine dernière c'est que Je te sentais beaucoup moins dynamique que d'habitude. Et ça, voilà, j'aime pas trop parce que je te voyais un peu plus sur ton téléphone, je voyais que t'étais un peu plus fatigué, que tu faisais pas ce que tu devais faire, tu pouvais aller plus vite, tu pouvais faire plus, tu pouvais faire mieux. Quand j'ai entendu ça, je me suis dit mais... Mais on est où là ? Mais on est où putain ? On a pas le droit de vivre ? Tu sais, on a pas le droit d'être fatigué, on a pas le droit d'avoir des coups de mou tu vois ? Non, faut toujours être... Et vraiment, alors je lui ai pas dit ça, parce qu'à l'époque j'étais en alternance, c'était il y a quoi, il y a 4 ans maintenant ? Mais je lui ai dit écoute, je vais pas dire son nom, mais écoute, je reviens du Mexique, j'ai le décalage horaire, je suis fatigué, je suis peut-être moins dynamique, mais je fais ce que je peux. Je fais mes heures de travail, j'ai terminé mes tâches le jeudi matin, voilà, et après j'étais dispo pour aider les autres, donc pour moi ça me paraît ok. En plus c'était 3ème semaine d'août, quand t'es en agence de publicité en ligne. Pardon, mais il n'y a pas non plus 1000 sujets, tu vois. Et c'est ok, c'est normal des fois d'avoir des coups de mou, et d'être dans une période où tu fais moins, parce que voilà. Donc bon, elle ne voulait pas l'entendre, mais au-delà de ça, ça répond à la question de notre cher ami Tchadépété, tu as déjà ressenti cette pression de devoir performer même quand tu n'avais pas l'énergie. C'était clairement ça, tu vois. Et puis évidemment, je l'ai encore aujourd'hui, parce que là c'est différent, c'est mon projet, mais pour Shaper Room parfois, oui j'ai envie de performer tout le temps tout le temps tout le temps parce que j'ai envie de faire grossir mon projet même quand je n'ai pas l'énergie et c'est pour ça que j'essaye énormément de tempérer de m'écouter bien voilà aujourd'hui fatigué et ben je vais moins performé et c'est et c'est ok et un mec sur youtube sur instagram il fait des vidéos parfois et je sais pas comment il s'appelle faut que je retrouve le nom et il parodie un peu les coachs ça me fait trop marrer et il fait et c'est ok et ça me fait trop marrer bref du coup dès que je le dis ça me fait penser à lui Quelles conséquences ça peut avoir de se juger uniquement sur son niveau de motivation ? C'est trop bien comme question, merci Tchadjépté, parce que quelles conséquences ça a de se juger uniquement par ça ? Et au-delà de la motivation, c'est aussi par notre niveau de performance, notre capacité à avancer, à faire les choses, à remplir notre tout doux. C'est ça, et ça c'est fou, parce qu'il faut absolument qu'on se détache de cet objectif de performance, de tout doux. Et en fait, il y a aussi des objectifs. Moi, je dis tout le temps, les objectifs ne sont pas faits pour être atteints. Un objectif, c'est un cap, c'est une direction. Alors si tu matches tes objectifs, si tu es au-dessus, tant mieux. Mais pour moi, si tu matches tes objectifs ou si tu es au-dessus, c'est qu'il y a un problème. C'est peut-être que ton objectif, il n'était pas assez élevé en fait. Et donc du coup, il faut arrêter de considérer qu'il faut tout le temps performer, il faut tout le temps être motivé, il faut tout le temps remplir ses objectifs. Ça ne marche pas parce que du coup le risque, les conséquences, c'est justement de ne pas être motivé, de dire qu'on est nul. Et en plus, ça a été prouvé scientifiquement de se répéter parfois qu'on est nul ou qu'on n'arrive pas à avancer ou je ne sais quoi, bah qu'en fait, ça joue en ta défaveur, tu vois. Alors l'idée, c'est pas d'être dans le déni, d'être en mode « oui, c'est bon, tout va bien » , mais c'est d'accepter et puis de dire que ça va aller mieux et que voilà, tu connais, t'as des cycles, la vie c'est un cycle, tu vois. Mais il faut tout autant considérer en fait les moments de doute, les moments compliqués, de non-motivation, que les moments où tu performes en fait. ils sont tout aussi importants, ils sont tout aussi nourrissants donc les conséquences c'est que tu... Tu deep down dans tes pensées, dans tes moments de down et tout. Et c'est ça les conséquences et le risque, c'est que ça joue en ta défaveur, alors que toi, ce que tu veux, c'est performer et avancer. Est-ce que tu peux nous raconter un moment concret où tu t'es dit, là, je ne suis pas assez motivé, je vais échouer ? En vrai, je ne pense pas. Par contre, quand j'étais en entreprise, ça m'est arrivé de me dire, je ne serai pas à la hauteur de ce qu'ils me demandent, donc je vais échouer. Je vais me faire virer. Alors qu'en vrai je faisais bien mon taf tu vois, on arrêtait pas de me juger sur mon paraître. C'était mon dynamisme machin, on me disait même quand on donne des trucs à faire on a l'impression que tu t'en fous, que t'as un comportement jamanfoutiste. Mais les gars, je faisais vraiment, je faisais les choses en âme et conscience, je travaillais bien, on me disait ouais tes clients tu les gères bien, il y a des bons résultats. Je faisais même des formations, j'étais en alternance, je donnais des formations à des gens qui arrivaient, en CDI d'ailleurs. Donc je comprenais pas tu vas y prendre après on me disait ouais t'es pas si dynamique t'es pas si présent tu fais trop de télétravail putain de merde quoi Quand on te donne un truc à faire, on a l'impression que tu t'en fous. Mais que dalle, c'était juste ma manière d'être. Donc là, je me suis dit, oui, je vais peut-être échouer à ne pas rester dans cette entreprise. Mais bon, finalement, je suis parti et c'était la plus belle décision de ma vie. Demain, on sera en freelance. Putain, c'était incroyable. Quatre mois après avoir quitté mon job, enfin quitté mon alternance, je faisais 10 000 euros. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte. Là, je me suis prouvé à moi-même que je n'étais pas du tout un clampin, pas du tout un mec chill. Et puis qui n'était pas dynamique quoi. Quatre mois après, je faisais 10 000 euros par mois. Je travaillais avec des clients, avec Nivea. des trucs de ouf comme ça tu vois Donc là, j'étais en mode, ok, en fait, je suis chaud, voilà. Et c'était quatre mois après, enfin, comme quoi la progression, elle peut être comme ça, tu vois. Et parfois, par contre, il faut du temps, ça c'est normal. Donc, comment tu as traversé ces moments de creux ? Comme aujourd'hui, tiens, voilà, on y arrive, comment j'ai traversé ces moments de creux ? Eh bien, c'est assez simple, je vais me répéter, mais comment tu les traverses ? Eh bien, c'est, tu donnes de l'attention, tu les vis. Parce qu'en fait, parfois, on a tendance à mettre ces moments de creux, ces moments de down, des moments de doute, etc., où t'es pas bien. Tu les mets de côté, tu les mets sous le tapis, tu vois. En mode comme de la poussière, en mode tu veux pas l'avoir. Pourquoi ? Parce qu'on est élevé dans ce truc de il faut toujours être au top, il faut toujours être le meilleur, il faut toujours être motivé, il faut toujours faire ci, faire ça, performer. Et donc, en fait, naturellement, tu te dis bah non, mais je devrais pas être comme ça, c'est pas normal. Vas-y, je me motive, allez, je me mets un coup de pied au cul. Et justement, ce truc de se mettre un coup de pied au cul, c'est une débilité. arrêtez-vous de faire ça de mettre des coupiers au cul, ça ne marche pas bien au contraire acceptez le truc, acceptez l'émotion, acceptez la situation, vivez là en fait accordez-y de l'attention parce que quand vous êtes au fond, quand vous êtes dans le creux c'est là où tout se joue en fait, si vous y mettez pas de l'attention ça va revenir ou alors vous allez rester un petit moment là dedans parce que vous êtes dans le déni tu vois au contraire au lieu de mettre la poussière sous le tapis vous soulevez le tapis ah ouais putain en fait y'a pas mal de poussière je vais peut-être regarder, je vais voir ce qui se passe et je vais nettoyer mais c'est comme ça qu'on traverse des moments de creux c'est comme des problèmes, je sais pas Des choses qui reviennent sans cesse, ça peut arriver, c'est comme, je sais pas si demain t'as un facteur qui tape à ta porte, mais que tu veux pas lui ouvrir, bah il va toujours taper, il va dire mec j'ai un colis pour toi en fait, tu vas répondre, je sais que t'es là tu vois, bah c'est pareil quand t'as des moments de doute etc, que tu veux pas regarder, bah là tu ouvres la porte, t'acceptes le facteur, t'as un colis, puis c'est un colis de merde, mais tant mieux, on l'accepte, on regarde, parce que c'est grâce à ça qu'ensuite vous allez remonter tu vois, encore une fois je vous reprends les images, j'adore les images, l'image de vous Croyez en mon expérience. Et là, c'est trop bien parce que je suis dans un moment de creux, donc je sais que ça va remonter. C'est pour ça que là, je vous parle. En vrai, ça va. Même si, bon, je suis content d'être derrière un micro et de parler, mais bon, c'était difficile quand même tout à l'heure. Et c'est normal, je l'accepte. Et c'est comme ça que pour moi, on traverse ces moments de creux. On accepte, on vit. Et la vision, le pourquoi, ça aide énormément. La vision, le pourquoi. pourquoi vous faites ce que vous faites et où est-ce que vous allez concrètement. C'est des fondations. ultra importante qu'est ce qui me compte vraiment quand la motivation n'est plus là et ben c'est ce que je vous disais c'est la vision c'est le pourquoi vous faites ce que vous faites le sens que vous y mettez c'est tout bête mais enfin et encore une fois c'est pas forcément trouver un sens de fou en mode je veux contribuer au monde et tout pas forcément peut tout simplement être moi je veux être chill dans ma vie je veux travailler trois jours par semaine et qu'on me laisse tranquille et que voilà je fasse mes vacances que je sois en vanne j'en sais rien ces trucs comme ça donc c'est La vision, le pourquoi, je dirais aussi votre entourage. Et je dirais entourage, donc vos amis, votre famille, etc. Parce que si vous souhaitez devenir freelance, si vous souhaitez vous lancer dans l'entrepreneuriat, entourez-vous de ces gens-là. Et après, il y a votre environnement naturel. Moi, je sais que quand je suis à Paris, c'est compliqué. Je ne sais pas pourquoi, franchement. Il y a une énergie ici qui ne me plaît pas. Et j'ai du mal à m'endormir, j'ai du mal à me réveiller, c'est bizarre. Donc ça, c'est aussi à considérer, évidemment. C'est pas pour rien qu'il y a plein de gens qui sont dans des endroits comme Bali ou d'autres... Pas que Bali évidemment, mais d'autres endroits comme ça. Ah, il y a une question que j'aime bien, et justement on parle de syndrome de l'imposteur. Alors, est-ce que tu dirais qu'on peut réussir même si on se sent parfois imposteur ? Alors là, mais carrément, carrément, enfin on y arrive sur ce sujet. Pour moi, ce syndrome de l'imposteur c'est un écran de fumée en fait. Parce que, t'es salarié, tu veux te lancer en freelance ? Tu as un changement d'identité, d'accord ? Donc c'est normal que tu ressentes cette non-légitimité, ce syndrome de l'imposteur comme on l'appelle. Et en plus, on met un énorme mot, syndrome, mais c'est juste que tu n'es pas encore arrivé à l'identité B, tu vois. Donc c'est normal que tu dises, est-ce que je vais être à la hauteur ? Pourquoi les entreprises vont travailler avec moi, etc. C'est normal, logique. Et moi, c'est pareil quand j'ai lancé Shaperoom, je me suis dit, mais attends, moi je vais être formateur, je vais être coach, qui suis-je ? et pour autant bon je suis pas arrivé encore là où je veux vraiment arriver mais ça réussit tu vois j'ai des là on est presque une trentaine d'élèves on y doit 25 un truc comme ça c'est fou l'année dernière j'en avais quatre je passe que vous vous en rendez compte quand même donc oui on peut réussir mais si on se sent imposteur carrément et justement je trouvais ça ça va être l'ouverture la fin de cet épisode en fait justement pour réussir pour moi il faut être imposteur en fait parce qu'encore une fois on disait les moments de down, les moments de doute etc, on met ça sous le tapis, on se donne un coup de pied au cul, on avance quand même, on est un peu dans le déni. et bah l'imposteur c'est pareil parce qu'en fait il y a ce, je vais pas dire syndrome Ce sentiment de non-légitimité, d'être imposteur, et en fait on veut le vaincre à chaque fois, on le met de côté, on veut pas l'accepter, on veut pas le regarder en face, parce que ça nous fait peur. Mais c'est comme quand t'es petit, tu sais t'as peur du monstre qui est sous le lit là, mais du coup t'as peur de le regarder en fait, t'as peur de voir ce qu'il y a sous le lit, tu te mets sous la couette, alors qu'en fait t'allumes la lumière, tu regardes sous le lit, tu sais qu'il y a rien. Le syndrome de l'imposteur c'est pareil Il faut le regarder Parce qu'en fait Et ça C'est très drôle parce que je l'ai appris avec une élève qui a terminé. Elle m'a dit, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. Je le répète, je me suis mis dans la peau d'une experte freelance en médias bailleurs. En fait, c'est ça, elle s'est mis dans la peau d'une impostrice. Je ne sais pas si elle se dit, dans la peau de l'imposteur en fait. C'est ça pour moi le hack, même si on ne va pas dire que c'est un hack, mais en fait c'est vraiment c'est un jeu de rôle C'est un peu ça, c'est un jeu. Et en plus, partir du principe que la vie est un jeu, c'est génial. C'est un jeu. Tu es en discussion avec ton prospect et tu es là. Limite, tu t'habilles bien. Limite, tu mets une chemise pour vraiment dire à ton cerveau « Je suis expert, je suis freelance. » Et en contrepartie, ça ne veut pas dire que tu dois oublier le sentiment que tu dois mettre de côté tout ce qui se passe, etc. Mais en fait, le fait de te conditionner, de dire à ton cerveau, d'envoyer l'information, d'y croire, de le faire, vraiment de se dire je suis expert en fait naturellement tu vas le devenir parce qu'on passe on passe tous par là tu vois moi le premier tout le monde on part tous de zéro pour arriver là où sont les plus grands il faut passer par cette étape là donc je vais continuer sur ces questions parce qu'elles sont intéressantes mais pour moi le syndrome de l'imposteur ce n'est qu'un écran de fumée en fait on devrait même pas dire imposteur je sais pas ce qu'on pourrait dire d'autre mais C'est ce sentiment de ne pas être légitime. En fait, il n'est pas question de ça, parce que du coup, tu es tourné vers toi, c'est ce que je disais au début. Le risque, c'est ça, c'est que tu te dis, je suis qui, moi, moi, je, moi, je, moi, je. Mais la personne en face de toi, elle en sait forcément moins que toi, parce que tu as forcément appris peut-être un métier ou je ne sais quoi. Je prends l'exemple de mes élèves. Ils prennent leur premier client en 3-4 mois, ils trouvent leur premier client. On a une moyenne entre 1 et 4. Donc on est environ à 2, 2,5 à chaque fois à la sortie du shape camp. Je disais qu'on est tourné vers nous-mêmes. Parce qu'en gros, mes élèves parfois me disent, oui mais moi je, moi je, moi je, moi je me sens pas comme ci, je me sens pas comme ça. Mais en fait en face de toi, même si ça fait que, guillemets, que 3-4 mois que tu travailles sur ce sujet, que tu t'exerces, etc. Mais t'en sais mais 1000 fois plus que la personne qui est en face de toi. A tel point que tu vois, moi je vois ce qui se passe. Mes élèves, quand ils sont... en interview, donc en prospection, etc., ils se rendent compte qu'ils sont trop chauds, en fait, quand ils font des audits sans mode. Mais en fait, je me rends compte que je sais, en un clin d'œil, je sais pourquoi ça va, pourquoi ça ne va pas. Il y en a un, il s'est placé sur un exercice assez difficile, c'était niveau média bailleur, deux ans d'expérience, genre vraiment. Mais le mec, il a réussi haut la main, haut la main. C'est fou ! Mais tout ça parce qu'en fait, ils y croient, tu vois. Ils se sont exercés, etc. Et ensuite, c'est OK, ils se mettent dans la peau. de l'expert et ça fonctionne de fou. Il n'y a pas d'imposteur parce qu'ils sont tournés vers leurs prospects, ils vont les aider en fait. Typiquement, il y a une freelance que j'ai formée qui a repris un client qui a été accompagné par une agence, mais l'agence faisait tellement mal le travail comme malheureusement beaucoup d'agences que du coup, l'entreprise s'est dit « je vais travailler avec elle, avec cette freelance parce qu'elle connaît la fille, ça fait quatre mois. Il y a quatre mois, elle ne connaissait rien. » Voilà. Ça ne veut pas dire que ce sentiment d'être un posteur n'existe pas. Il existe parce que vous vous êtes tourné vers vous, vous vous êtes tourné vers le moi-jeu, moi-jeu, moi-jeu, quelle image je renvoie, machin. Non, on s'en fout. Allez aider des gens. Il y a des entreprises qui ont besoin de vous, des projets qui ont besoin de vous. C'est ça qui est important. Et les ads, ça aide énormément la publicité. Alors, il y a plein d'autres choses, mais la publicité, ça aide énormément. Ça, c'est vraiment intéressant. Qu'est-ce qu'on devrait mesurer à la place de notre motivation pour savoir si on avance vraiment ? Pour moi, il y a deux choses. La première, c'est chaque petit pas. chaque petite victoire. C'est tout bête, mais l'année dernière, j'avais 4 clients. Alors, j'en voulais plus, évidemment. On en veut toujours plus, de toute façon. Mais 4 clients, c'était déjà une putain de victoire, tu vois. J'avais jamais fait un lancement, formation, etc. 4 clients, c'est une putain de victoire. Donc, c'est chaque petite victoire. Et même au-delà de ça, tu vois, c'est ok, j'ai une nouvelle offre, j'ai un nouveau prospect, un nouveau client, j'ai, je sais pas, un nouveau profil LinkedIn, j'en sais rien, peu importe, mais... chaque petite victoire il faut les célébrer parce que c'est ce qui va construire ta victoire de demain. C'est comme quand tu construis une maison, tu la construis pas en un clin d'œil, tu mets pièce après pièce, chaque pièce, chaque élément ajouté à cette maison. te rapproche de cet objectif-là. Donc ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est l'impact que tu peux avoir autour de toi. Donc c'est l'impact que tu peux avoir avec tes clients, l'impact que tu as aussi autour de toi, avec tes potes ou je ne sais quoi, parce que tu vas, si tu es en freelance, et que tu te lances, tu vois, et même au tout début, quand tu es tout premier client, tu as l'impression que tu es débutant, que c'est le début, mais tu ne te rends pas compte, tu as déjà un impact de fou sur tes clients, et un impact aussi sur les gens qui peuvent t'entourer parce que tu peux inspirer des gens. Donc pour moi... C'est ce qu'on devrait mesurer. On devrait mesurer chaque petite victoire, parce que c'est ça qui fait qu'on avance vers là où on veut aller, et l'impact qu'on a vraiment sur les business qu'on accompagne, sur les gens qu'on accompagne, sur les gens qu'on aide, les projets, et sur les gens qui nous entourent aussi, tu vois. Ça, je trouve que c'est très important, et j'y rajouterais peut-être une troisième chose qui est surtout la croissance personnelle. Voilà, ne pas juste se fier à ce qui se passe à l'extérieur, mais aussi à ce qui se passe à l'intérieur. Parce que dans tous les cas, pour changer son monde extérieur, il faut d'abord changer son monde intérieur. Et donc noter qu'il y a un changement intérieur, ça c'est aussi une putain de victoire. Donc il faut mesurer ça, au-delà de la motivation. Quelle question chacun devrait se poser ce soir en rentrant chez lui pour réfléchir différemment à sa valeur intérieure ? Je vais résumer ça en une phrase. A 20 ans, t'es le fruit de ton éducation. A 40 ans, t'es le fruit de tes décisions. Et à 70 ans, t'es le fruit de l'impact que tu as sur le monde. Voilà, je vais finir là-dessus parce que je trouve que cette phrase me permet d'apporter énormément de sens à ce que je viens de dire. Donc en fait, même si t'as genre 20 ans, tu vois, pour moi il faut penser long terme, il faut penser à l'impact que tu vas avoir sur le monde qui t'entoure. Que ce soit en B2B avec des entreprises, comme en B2C avec des particuliers, peu importe. Tu vois, pour moi c'est très important et ne pas négliger la phase des 40 ans où en fait t'es le fruit de tes décisions. Les décisions que tu vas prendre aujourd'hui, ça se trouve t'as déjà 40 ans, mais dans tous les cas il n'est pas trop tard. Les décisions que tu vas prendre au quotidien, pas forcément des grandes décisions, mais des décisions de tous les jours au quotidien, c'est ce qui va construire la victoire de demain et c'est ce qui va aussi te construire toi en tant qu'être humain. Et c'est ce qui va déterminer ta valeur intérieure, je trouve. C'est l'impact que tu as autour. Et en fait, ça revient au concept d'être tourné vers l'extérieur, tourné vers la personne qui est en face de toi ou les personnes qui sont en face de toi, qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de ton expérience. de qui tu es, et au-delà de ton expérience, au-delà de tes skills, c'est aussi toi, qui tu es toi en fait, tu vois. Moi quand les gens me rejoignent dans Sheproom, ils rejoignent pour leur projet, pour apprendre un métier, mais aussi pour moi, ils achètent un bout de Nicolas, comme ils vont acheter un bout de je ne sais qui, un bout de toi qui va te lancer en freelance en fait. Ils achètent de l'humain, tu vois. Ça c'est ultra important, et chaque être humain est différent. Et ça il faut le valoriser, parce qu'on a tous tendance à vouloir ressembler à je ne sais qui. vous avez une valeur intérieure qui est déjà présente vous n'avez pas besoin de la développer vous l'utilisez et ensuite elle va évidemment évoluer et donc je trouve ça très important pour finir cet épisode parce qu'on a toujours tendance à penser qu'on n'est pas assez, qu'on doit être comme ci comme ça, qu'on doit ressembler à je ne sais qui, donc il y a ce sens de l'imposteur on doit être motivé mais il y a déjà, en fait tout est en nous déjà il faut juste aller voir ce qui se passe, avancer avoir cette vision et ce pourquoi aussi comme je vous l'ai dit et tout va se mettre en place petit à petit brique après brique et ne pas aller trop vite le chemin le plus rapide c'est le chemin le plus long en réalité parce que si vous souhaitez construire un truc de fou ou même juste réussir en freelance il faut apprécier le chemin et le chemin il peut être long peut être long moi ça m'a mis presque un an avant de me lancer à 100% en freelance chez Iprum ça fait plus d'un an que je développe tu vois et pour moi ce n'est que le début Donc il faut aussi apprécier tous ces moments-là en fait, ces moments de down comme je le disais, et apprécier cette lenteur. Parce qu'on est toujours dans le « il faut aller vite, il faut aller vite, il faut aller vite, le marché il évolue vite » , « ah il y a un tel qui fait ça, il y a un tel qui fait ça » , on s'en bat les couilles. Ce qui est important c'est ce qui se passe à l'intérieur, l'impact que vous avez autour de vous, et vous n'avez pas besoin d'avoir un impact de fou malade. Si vous n'avez déjà que 4, 5 clients, c'est déjà très bien, c'est comme moi au début, j'avais que 4 clients mais j'étais déjà super content parce que ça se lançait tu tu vois. Alors évidemment, je voulais, t'en veux toujours plus, mais brique après brique, si vous partez, vous avez une vision, Pourquoi ? Ça va fonctionner. Il y a des piliers qui sont là, les fondations sont là, ça va fonctionner. Il faut juste y mettre de l'énergie, du temps, et à un moment donné, boom, just got paid. Ça va se déclencher. Comme quand j'ai quitté mon job et au bout de 4 mois j'ai gagné 10 000 euros, c'était genre impensable un an avant. Un an avant, je me lançais. Donc voilà, conclusion. Tout ça pour dire que les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs, tout simplement. Pourquoi ? Parce que... Il y a cette transformation naturelle, le cerveau s'imprègne de cette nouvelle identité. Parce que vous jouez un rôle, tout simplement. Et donc, il n'y a pas d'imposteur. Chaque personne évolue. Chaque personne n'est jamais à 100%, c'est normal. Même nos présidents, même les gens les plus grands de ce monde, tout le monde doute, tout le monde a peur, tout le monde évolue. C'est ça qui est beau d'ailleurs. Donc, les plus grands succès viennent de ceux qui sont imposteurs. Elon Musk, Mark Zuckerberg, quand ils ont commencé, c'était des putains d'imposteurs. Ils sont devenus ce qu'ils sont devenus. Voilà les amis, on va s'arrêter là. C'est la fin de cet épisode, j'espère qu'il vous aura plu. J'espère qu'il vous aide et qu'il vous donne de la motivation. parce que pour moi c'était un épisode important voilà on se retrouve pour un prochain épisode pour une prochaine Youtube Je vous l'ai dit, abonnez-vous, laissez un commentaire si ça vous plaît, laissez un like, partagez, n'hésitez pas à m'écrire sur Instagram, et on se retrouve à très bientôt pour d'autres épisodes et plein d'autres aventures. A très vite, ciao !

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