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Simplifie

51. Survivre au mois de juin : comment traverser le tunnel de la fin d’année sans t’épuiser

51. Survivre au mois de juin : comment traverser le tunnel de la fin d’année sans t’épuiser

18min |08/06/2025
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Description

🎙 Juin sous pression ? Pour beaucoup de femmes actives et mamans, ce mois est un véritable tunnel : spectacles de fin d’année, kermesses, réunions, fatigue accumulée… et charge mentale à son maximum.

Dans cet épisode, je t’aide à reprendre le pouvoir sur ton mois de juin : déculpabiliser, supprimer le non essentiel, déléguer sans scrupule, faire plus simple, et surtout planifier des moments de récupération.

Un épisode à écouter pour ne pas t’oublier dans la tempête et commencer dès maintenant à alléger ton quotidien.


*****


*****


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


Je t'invite à me laisser une note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un commentaire pour expliquer ce que cet épisode t'a apporté. 

Si ce podcast te plait, ma lettre hebdomadaire te donnera l'inspiration supplémentaire !

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello

  • Speaker #1

    et bienvenue à toi dans Simplifie le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. Alors on va parler d'un mois qui est souvent vécu. Comme un mini décembre. Mais sans les guirlandes ni les chocolats, je parle bien sûr du mois de juin. Pourquoi est-ce qu'on va parler de ça aujourd'hui ? Tout simplement, je remercie Agnès qui est une de mes clientes qui m'a dit « Géraldine, il faut trop que tu nous fasses un épisode là-dessus. On est toutes dans le jus. » Et en fait, en vrai, ce n'est pas la seule qui m'en a parlé. Je sais que vous êtes toutes dans le jus pendant ce mois de juin et donc on va s'en parler. Entre les spectacles de fin d'année, les kermesses, les cadeaux maîtresses, les inscriptions aux activités, les bilans pro, les dossiers à finir avant l'été. Bref, c'est souvent un vrai tunnel. Et quand tu es une femme active et maman, c'est encore plus intense. Tu cours partout, tu portes pour tout le monde et tu termines souvent ce mois de juin sur les rotules. Alors aujourd'hui, j'ai envie de te proposer un épisode très concret pour t'aider. à simplifier, à t'alléger, à ralentir dans la tempête et surtout à ne pas t'oublier en route. Ok ? Donc, comme d'habitude, mets tes petites baskets. Aujourd'hui, moi, je suis dehors en train de profiter de l'air frais, du ciel bleu, des oiseaux qui chantent. Et puis, n'hésite pas à, du coup, toi aussi, aller faire un petit tour pour prendre l'air et prendre en même temps soin de toi. Alors, première chose que je voulais aborder avec toi, tu me connais maintenant. On part toujours, généralement, ensemble en mode déculpabilité. Déculpabilisation. Non, ce n'est pas toi le problème de ce mois de juin. Voilà. Tu te sens peut-être débordée. Si tu te sens débordée, si tu oublies plein de choses, si tu termines tes journées la tête en vrac, c'est pas que c'est toi le problème. C'est juste qu'il y a trop. Il y a trop de choses. Et pour te rassurer, je peux t'assurer que tu n'es pas la seule. Le nombre. Comme je te disais au début, le nombre d'entre vous qui sont dans la même situation, c'est... On connaît tout ça si on a des enfants, notamment. Ça vient rajouter aussi de la charge, mais en fait, on connaît tout ça. Et particulièrement, là j'ai envie de faire un gros hug virtuel à toutes les enseignantes. Toutes les enseignantes qui sont actuellement à l'école, qui sont dans peu importe les différents niveaux. Je sais qu'en plus, chez vous, il y a particulièrement une pression d'un point de vue professionnel. Donc, grosse, grosse pensée à vous. Donc, oui, tu n'es pas seule et tu n'as pas à culpabiliser. Parce que ce que tu vis, c'est objectivement du trop. D'accord ? Et le trop, c'est hyper compliqué à gérer. Voilà, tout simplement. Et moi, la première, je peux t'assurer que régulièrement, quand je passe par des périodes de trop, malgré tous mes efforts, il y a toujours un moment où je me dis « Oh purée ! » Et en fait, moi, je ne sais pas le gérer le trop. Et c'est pour ça qu'en fait, j'ai appris à simplifier ma vie, parce qu'en fait, je ne sais pas le gérer. Donc, c'est OK. Juste aller en mode, on se pose et on souffle un petit coup. Le mois de juin, c'est le combo idéal entre charge mentale familiale, entre pression professionnelle, entre enfance surexcitée, fatigue accumulée depuis l'année, depuis le mois de septembre. Et par-dessus tout ça, on rajoute la préparation des vacances. Juste l'horreur. Au milieu de tout ça, on continue d'essayer de faire bonne figure, d'assurer sur tous les fronts, de ne rien lâcher. Mais en fait, là, juste bonne nouvelle. Tu as le droit de dire stop. Tu as le droit de ne pas être disponible pour tout le monde. Et tu as le droit de faire moins et même de faire autrement. Et je te donne un exemple. Il y a une cliente l'autre jour qui me disait... J'ai pâté le goûter d'anniversaire de la classe et je me sens trop nulle. J'ai juste envie de te rassurer en te disant mais en fait juste t'es pas nulle, t'es juste humaine et tu es fatiguée. Ok tu fais de ton mieux. Voilà ça n'a rien à voir avec le fait d'être nulle ou d'être une mauvaise maman. Ça n'a rien à voir si tu savais le nombre de trucs que j'oublie. Pas plus tard que cette semaine ma fille avait Ma fille devait venir à l'école avec son vélo. Ils avaient un cours de vélo, il fallait que tous les élèves amènent les vélos. Il y avait toute une série de trucs à prévoir avec le vélo. Il fallait la chambre à air, il fallait le casque, il fallait la barre de céréales, il fallait les lunettes de soleil, il fallait la crème soleil ! Et bah résultat, j'ai réussi à penser au vélo et ça s'est arrêté là. Et du coup j'ai compté sur ma fille pour que, bah en fait, écoute elle se gère, voilà elle est en CM2, je dis bah écoute, elle pensera à ce à quoi elle peut penser mais moi j'y arrive pas parce qu'en fait il y a eu ça pour elle, il y a eu ça pour tous les trois autres, des tailles, des tas de mails, des maîtresses dans tous les sens qui font que moi à un moment donné, l'info, elle rentre plus. Voilà, surtout que bien sûr que je n'ai rien noté nulle part, donc forcément. Si ça reste dans ma tête, ça risque d'y rester un très long moment. Voilà. Donc non, t'es pas nul et tu fais de ton mieux et c'est OK. Alors, par contre, je veux vraiment que tu puisses l'entendre ça. C'est right now. C'est right now. C'est maintenant que ça se passe. Qu'est-ce qui se passe maintenant ? C'est le moment pour toi de simplifier. Ce mois de juin, tu peux décider qu'il ne sera pas comme d'habitude. OK ? C'est pas une fatalité de subir ce mois de juin. Et c'est quelque chose que tu peux décider de changer. Et l'idée là, c'est que je vais vraiment te donner des moyens concrets, pratiques ou pratiques, pour que tu puisses en fait traverser cette période sans t'épuiser, sans en fait répéter finalement tout ce que tu... Ces mois de juin, à répétition chaque année, je vais te proposer d'arriver à changer certains éléments. Tu peux choisir en fait de simplifier à fond ce mois de juin, pour te protéger et pour préserver ton énergie. Ça c'est un choix que j'ai fait moi maintenant depuis quelques années où du coup le mois de juin est plutôt un mois où je ne ressens pas de grands changements par rapport aux autres mois. Certes, il y a un peu plus de réunions, un peu plus d'activités, un peu plus de trucs à penser, mais en fait en vrai, j'ai décidé que je n'allais surtout pas et certainement pas me mettre de la pression pour toutes ces choses supplémentaires à gérer. J'ai décidé que j'allais faire ce que je peux en fonction de mes moyens et surtout j'ai décidé où est-ce que j'allais mettre mon énergie et mes... priorités. Donc pour ça, déjà la première chose à faire, c'est de te demander ok, pourquoi est-ce que j'accepte cette invitation ? Pourquoi est-ce que j'accepte de me rendre à tel endroit ? Pourquoi est-ce que je fais telle chose ? Chaque tâche que tu fais, vraiment, soit très intentionnelle dans cette question de pourquoi est-ce que je fais les choses ? Pourquoi est-ce que je vais au rendez-vous avec la maîtresse ? Pourquoi est-ce que je vais aux inscriptions, aux activités ? Et en fait, il y a peut-être un certain moment, tu vas te dire non mais ça n'a aucun sens. Mais en fait, je n'ai pas envie de le faire. Mais en fait, ce n'est pas important pour moi. Et ça va être l'occasion de réajuster et de faire des choix. Et en ça, ça, c'est vraiment le premier point que je voulais aborder avec toi pour t'aider à simplifier ce mois de juin. C'est de te poser cette question, mais qu'est-ce que je vais supprimer ? Qu'est-ce que je vais supprimer ? Je te donne des exemples. Ne pas aller à tous les spectacles de fin d'année. Voilà. Tu peux choisir un seul moment qui va être symbolique et qui va être important. Par exemple, ne pas faire de cadeaux aux maîtresses. Voilà, tout simplement. Ou ne pas faire de cadeaux, ou en faire qu'un seul individuel, tu vois. Au lieu de faire un cadeau individuel, tu en fais un collectif. Voilà, ça passe aussi très très bien. Et t'es même pas obligé de faire un cadeau, ça peut être très bien un petit message sincère, ça passe crème. Tu peux aussi, par exemple, supprimer des sorties qui ne t'apportent rien. Supprimer des repas de famille, supprimer des rendez-vous. C'est des petits détails que je te donne, mais tu vas en trouver plein d'autres. Mais regarde à qu'est-ce que tu peux supprimer. Ça c'est la première chose si tu veux simplifier ton mois de juin. La deuxième chose ça va être regarder à qu'est-ce que tu peux déléguer. Demande de l'aide. Tu ne peux pas tout gérer toute seule. Arrête de croire ça. Demande de l'aide. Délègue. Par exemple, laisse ton enfant préparer ses affaires, même si c'est pas parfait. Exactement ce que j'ai fait avec l'histoire du vélo pour ma fille. En fait, elle avait pas tout ce qu'il fallait et elle s'en est très bien sortie. Et le banco, c'est que du coup, elle s'est rendu compte qu'elle avait... plein de trucs qui lui manquaient et donc du coup, elle va y penser automatiquement la prochaine fois. Laisse-la gérer. Demande à ton conjoint de gérer une sortie, de gérer une réunion, parents, profs. Passe le relais à une collègue pour un dossier qui peut attendre. Diffère les délais. Vraiment, ose demander de l'aide dans cette période-là. Je pense que c'est vraiment la meilleure période de l'année. Pour ça, demande à une amie de te garder les enfants pour que tu puisses te décharger. Voilà, ouvre des solutions. autour de toi. Et puis, le troisième point que je voulais voir avec toi, pour t'aider à simplifier, c'est de faire autrement. Apprends à faire autrement pendant cette période, et à te simplifier la vie un maximum. S'il faut que t'achètes de surgelé 2, 3 fois, 4 fois, 5 fois, la semaine, on s'en fout, achète de surgelé, simplifie-toi la vie. Si tu veux acheter du tout prêt, t'achètes du tout prêt. Si tu veux faire un repas avec du pain, du fromage, des crudités, c'est OK. Ça s'appelle un pique-nique et c'est génial les pique-niques à la maison, c'est trop bien ! N'hésite pas, n'hésite pas, tu vois, à vraiment oser aller dans... Tout ce qui te prend du temps, tout ce qui te prend de l'énergie, comment est-ce que tu peux le réduire au minimum du minimum du minimum pour qu'en fait ça puisse juste ne pas te prendre toute cette énergie et que tu puisses la garder pour autre chose, ok ? Chaque fois que tu fais un geste pour simplifier ta vie, tu fais de la place pour toi. Et ça, c'est vraiment le point sur lequel je voulais aussi insister avec toi. Je voudrais t'inviter vraiment à faire de la place pour toi dans ce mois de juin. Tu veux survivre au mois de juin ? La condition sine qua non, c'est que tu fasses de la place pour toi. Et là je vais être très claire, ne crois pas que tu vas te reposer en vacances. Si tu n'as rien anticipé, tu vas arriver épuisé, irritable, au bord du craquage, et donc finalement tes vacances tu vas les passer à les récupérer du mois de juin. En mode, tu sais dans les phases de vacances il y a plusieurs phases, il y a la phase de down, de crash, où tu as tellement donné que du coup tu t'écroules, tu es très mal pendant au moins une semaine, la deuxième semaine... ça commence à aller un tout petit peu mieux, tu sens que là au niveau émotionnel ça va un peu mieux, tu récupères, tu commences à récupérer. Et généralement, si tu as la chance d'avoir trois semaines de vacances, la troisième semaine c'est là où ton énergie repart comme une flèche, tu as le temps d'emmagasiner plein d'énergie et tu arrives au mois de septembre hyper fraîche. Si tu n'as rien anticipé, si tu arrives fin juin complètement vidé, les vacances tu risques de ne pas récupérer grand chose. Donc ce que je te propose C'est en fait dans ce mois de juin de planifier des micro-moments de récupération, dès maintenant. Donc je te donne des exemples concrets. Allez, une petite pause café toute seule, sans écran, 15 minutes dehors, chaque jour. Voilà. Bloquer un soir par semaine où tu ne fais rien. Pas de logistique, pas de devoirs, pas de linge. Tu ne fais rien, ou en tout cas que des choses que tu aimes et qui te font plaisir. Autre idée, tu peux refuser une réunion inutile pour garder un créneau de respiration. Ose annuler au dernier moment. Ose le faire. Et pourquoi pas, j'en sais rien, tu vois, imagine une petite micro-sieste dans ta voiture, tu vois, à la pause déjeuner. Petite micro-sieste, vas-y, profite. En fait, ces petits moments-là, c'est vraiment le secret pour tenir et c'est surtout, le secret en fait, c'est de les planifier à l'avance parce que si tu ne les planifies pas, tu ne les prendras jamais en fait. Tu les prendras jamais, s'ils apparaissent pas dans ton agenda quelque part, tu les prendras jamais. Et c'est le moment, c'est le moment de protéger ces espaces, parce que tu en as besoin, tout simplement. Autre possibilité, je t'inviterais vraiment à mettre le focus sur tes week-ends, et à ce que le week-end tu puisses avoir des vrais espaces de récupération, d'une demi-journée, au moins dans le week-end où tu ne fais que des choses qui te font du bien, qui te font plaisir, où tu te reposes. Voilà, tu ne pourras pas finir ton mois de juin sans te reposer. Et je voudrais que tu déconstruises cette croyance que « Ah mais je vais devoir attendre la fin du mois de juin pour me reposer, c'est faux ! » C'est archi faux, tu peux le faire avant, par contre il faut que tu t'en donnes des moyens. Et il faut que tu le décides, ça c'est sûr. Pour le dernier point que je voulais aborder avec toi, c'est aussi te permettre de prendre conscience que juin, ça peut aussi être un mois un peu révélateur. Juin, c'est le mois où tout déborde. Et parfois, ce débordement, il peut t'aider à y voir clair. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est peut-être l'occasion de te poser les bonnes questions, à un moment donné. Par exemple, qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année ? Qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année en vrai ? Qui font que du coup t'arrives dans ce mois de juin où t'es au bout, t'es déjà à sèche. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Franchement, ose te poser cette question. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Et puis... Qu'est-ce que tu pourrais déjà décider de changer pour la rentrée prochaine ? Moi, je t'invite vraiment à oser regarder un peu en face cette année qui est passée et te dire, OK, en fait, c'est quoi le bilan de cette année ? Est-ce que finalement, il n'y a pas quelque chose qui vient se révéler ? Est-ce qu'en fait, je ne suis pas en train de réaliser que je suis en train de tout porter toute seule, tout le temps ? Que je suis en sur-responsabilisation surtout ? Que je suis en sur-adaptation dans tous les endroits dans lesquels je suis investie, dans ma vie familiale, dans ma vie professionnelle ? Est-ce que c'est pas l'occasion de juste admettre que bah oui en fait je sais pas me faire passer en priorité, que je sais pas faire ça, que je sais pas prendre soin de moi et que j'ai jamais peut-être su le faire, que je sais pas ce que j'ai envie dans ma vie et peut-être même qu'à un moment donné il y a beaucoup de choses qui n'ont plus de sens pour toi et que peut-être à la fin t'arrives à cette question mais je sais même plus qui je suis au final dans cette histoire tellement je suis épuisée par cette année qui vient de passer. Si t'arrives à ces questions là, bah alors il faut qu'on s'en parle. Parce qu'alors là, c'est probablement... un révélateur de T'as besoin d'aide, t'as besoin d'être accompagné, t'as besoin d'un cadre qui va te guider et t'aider à faire ce travail sur toi dont t'as besoin, pour sortir la tête de l'eau, pour prendre de la hauteur, pour t'aider à te poser les vraies questions que t'as besoin de te poser dans ta vie, pour t'aider à lever tous les freins, tous les blocages que tu as et qui t'empêchent d'avancer, et enfin t'aider à retrouver cette vie où tu respires, une vie que tu kiffes, une vie où même quand ça devient un peu intense, même quand t'y as du trop... Tout va bien, tu la traverses, tu surfes sur la vague. Voilà. Moi, le mois de juin, là, c'est du surf pour moi. Mais ce n'est pas le mois où je vais aller me noyer. Mais ça aussi, en fait, c'est possible pour toi. C'est aussi possible pour toi. Cette surcharge-là, tu peux la transformer en prise de conscience et puis en point de départ pour une vie qui est plus simple, plus choisie, plus légère. Alors du coup, si ça te parle... Juste reste connecté parce que je te fais un petit teasing mais dans quelques semaines, dans quelques semaines, on va vous annoncer une petite surprise, même une grande surprise. Donc reste connecté par rapport à ça, je pense qu'il y a quelque chose qui devrait t'intéresser qui va arriver dans pas pas longtemps du tout. Alors pour conclure avec toi, petit rappel, tu as le droit d'en faire moins, tu as le droit de choisir plus simple, et tu as le droit de t'écouter. Juin, ce n'est pas censé être un mois qui t'écrase. Et j'ai même envie de te lancer un petit défi pour finir. Et ce petit défi, c'est... Si tu décidais que le mois de juin, ça devient le mois de l'affirmation. Et le mois de l'affirmation de qui ? Le mois de l'affirmation de toi. Et si tu décidais qu'en fait, le mois de juin va être le mois où tu vas enfin t'affirmer. Alors je te propose ce défi. Un défi zéro culpabilité, zéro suradaptation, 100% de choix conscient. Ça donnerait quoi pour toi ? Ça donnerait par exemple une chose que tu vas décider de ne pas faire. Quelle est la chose que tu vas décider là maintenant tout de suite que tu ne vas pas faire ce mois de choix ? Une chose que tu vas faire autrement. Une chose que tu vas faire juste pour toi. Une chose sur laquelle tu vas oser dire non. Une chose sur laquelle etc. etc. Ok challenge toi. Et vraiment, mets-toi en mode, ok, le mois de juin, c'est le mois zéro culpabilité, c'est le mois de l'affirmation de moi. Je vais enfin oser dire non, je vais enfin oser ne pas faire de cadeaux aux maîtresses, je vais enfin oser ne pas aller à tous les spectacles, je vais enfin... Et tu continues la liste, ok ? Et si tu sens que ça coince, si tu sens qu'en fait tu peux pas, t'y arrives pas, c'est que là, il y a des choses à aller travailler, pour que tu puisses retrouver de la liberté. La liberté d'être, de faire ce que tu veux, ce qui a du sens pour toi, ce qui te fait plaisir, ce qui est connecté à tes valeurs fortes. C'est l'occasion d'aller travailler et tout ça. Je pense que je vais m'arrêter là. En tout cas, n'hésite pas à me faire des retours de ce petit défi du mois de juin pour toi, de quels fruits ça a pu porter dans ta vie. N'hésite pas à m'écrire par email à géraldinatpoletinperfait.com. Je serai vraiment hyper contente d'avoir vos retours et je vous lis chacune avec plaisir, vraiment. Et puis si tu veux continuer à recevoir des idées concrètes, des outils simples et du soutien pour simplifier ta vie, tu peux aussi t'inscrire à ma newsletter dans le lien qui est dans la description juste en dessous. Et comme ça, tu pourras être tenu au courant notamment de la surprise qui s'annonce pour le mois de juillet. Et bien avec ça, j'ai envie de te dire, prends soin de toi pour ce mois de juin. Vas-y en mode slow, zéro culpabilité et on se retrouve bientôt. Allez, ciao, ciao !

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🎙 Juin sous pression ? Pour beaucoup de femmes actives et mamans, ce mois est un véritable tunnel : spectacles de fin d’année, kermesses, réunions, fatigue accumulée… et charge mentale à son maximum.

Dans cet épisode, je t’aide à reprendre le pouvoir sur ton mois de juin : déculpabiliser, supprimer le non essentiel, déléguer sans scrupule, faire plus simple, et surtout planifier des moments de récupération.

Un épisode à écouter pour ne pas t’oublier dans la tempête et commencer dès maintenant à alléger ton quotidien.


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Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


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  • Speaker #1

    et bienvenue à toi dans Simplifie le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. Alors on va parler d'un mois qui est souvent vécu. Comme un mini décembre. Mais sans les guirlandes ni les chocolats, je parle bien sûr du mois de juin. Pourquoi est-ce qu'on va parler de ça aujourd'hui ? Tout simplement, je remercie Agnès qui est une de mes clientes qui m'a dit « Géraldine, il faut trop que tu nous fasses un épisode là-dessus. On est toutes dans le jus. » Et en fait, en vrai, ce n'est pas la seule qui m'en a parlé. Je sais que vous êtes toutes dans le jus pendant ce mois de juin et donc on va s'en parler. Entre les spectacles de fin d'année, les kermesses, les cadeaux maîtresses, les inscriptions aux activités, les bilans pro, les dossiers à finir avant l'été. Bref, c'est souvent un vrai tunnel. Et quand tu es une femme active et maman, c'est encore plus intense. Tu cours partout, tu portes pour tout le monde et tu termines souvent ce mois de juin sur les rotules. Alors aujourd'hui, j'ai envie de te proposer un épisode très concret pour t'aider. à simplifier, à t'alléger, à ralentir dans la tempête et surtout à ne pas t'oublier en route. Ok ? Donc, comme d'habitude, mets tes petites baskets. Aujourd'hui, moi, je suis dehors en train de profiter de l'air frais, du ciel bleu, des oiseaux qui chantent. Et puis, n'hésite pas à, du coup, toi aussi, aller faire un petit tour pour prendre l'air et prendre en même temps soin de toi. Alors, première chose que je voulais aborder avec toi, tu me connais maintenant. On part toujours, généralement, ensemble en mode déculpabilité. Déculpabilisation. Non, ce n'est pas toi le problème de ce mois de juin. Voilà. Tu te sens peut-être débordée. Si tu te sens débordée, si tu oublies plein de choses, si tu termines tes journées la tête en vrac, c'est pas que c'est toi le problème. C'est juste qu'il y a trop. Il y a trop de choses. Et pour te rassurer, je peux t'assurer que tu n'es pas la seule. Le nombre. Comme je te disais au début, le nombre d'entre vous qui sont dans la même situation, c'est... On connaît tout ça si on a des enfants, notamment. Ça vient rajouter aussi de la charge, mais en fait, on connaît tout ça. Et particulièrement, là j'ai envie de faire un gros hug virtuel à toutes les enseignantes. Toutes les enseignantes qui sont actuellement à l'école, qui sont dans peu importe les différents niveaux. Je sais qu'en plus, chez vous, il y a particulièrement une pression d'un point de vue professionnel. Donc, grosse, grosse pensée à vous. Donc, oui, tu n'es pas seule et tu n'as pas à culpabiliser. Parce que ce que tu vis, c'est objectivement du trop. D'accord ? Et le trop, c'est hyper compliqué à gérer. Voilà, tout simplement. Et moi, la première, je peux t'assurer que régulièrement, quand je passe par des périodes de trop, malgré tous mes efforts, il y a toujours un moment où je me dis « Oh purée ! » Et en fait, moi, je ne sais pas le gérer le trop. Et c'est pour ça qu'en fait, j'ai appris à simplifier ma vie, parce qu'en fait, je ne sais pas le gérer. Donc, c'est OK. Juste aller en mode, on se pose et on souffle un petit coup. Le mois de juin, c'est le combo idéal entre charge mentale familiale, entre pression professionnelle, entre enfance surexcitée, fatigue accumulée depuis l'année, depuis le mois de septembre. Et par-dessus tout ça, on rajoute la préparation des vacances. Juste l'horreur. Au milieu de tout ça, on continue d'essayer de faire bonne figure, d'assurer sur tous les fronts, de ne rien lâcher. Mais en fait, là, juste bonne nouvelle. Tu as le droit de dire stop. Tu as le droit de ne pas être disponible pour tout le monde. Et tu as le droit de faire moins et même de faire autrement. Et je te donne un exemple. Il y a une cliente l'autre jour qui me disait... J'ai pâté le goûter d'anniversaire de la classe et je me sens trop nulle. J'ai juste envie de te rassurer en te disant mais en fait juste t'es pas nulle, t'es juste humaine et tu es fatiguée. Ok tu fais de ton mieux. Voilà ça n'a rien à voir avec le fait d'être nulle ou d'être une mauvaise maman. Ça n'a rien à voir si tu savais le nombre de trucs que j'oublie. Pas plus tard que cette semaine ma fille avait Ma fille devait venir à l'école avec son vélo. Ils avaient un cours de vélo, il fallait que tous les élèves amènent les vélos. Il y avait toute une série de trucs à prévoir avec le vélo. Il fallait la chambre à air, il fallait le casque, il fallait la barre de céréales, il fallait les lunettes de soleil, il fallait la crème soleil ! Et bah résultat, j'ai réussi à penser au vélo et ça s'est arrêté là. Et du coup j'ai compté sur ma fille pour que, bah en fait, écoute elle se gère, voilà elle est en CM2, je dis bah écoute, elle pensera à ce à quoi elle peut penser mais moi j'y arrive pas parce qu'en fait il y a eu ça pour elle, il y a eu ça pour tous les trois autres, des tailles, des tas de mails, des maîtresses dans tous les sens qui font que moi à un moment donné, l'info, elle rentre plus. Voilà, surtout que bien sûr que je n'ai rien noté nulle part, donc forcément. Si ça reste dans ma tête, ça risque d'y rester un très long moment. Voilà. Donc non, t'es pas nul et tu fais de ton mieux et c'est OK. Alors, par contre, je veux vraiment que tu puisses l'entendre ça. C'est right now. C'est right now. C'est maintenant que ça se passe. Qu'est-ce qui se passe maintenant ? C'est le moment pour toi de simplifier. Ce mois de juin, tu peux décider qu'il ne sera pas comme d'habitude. OK ? C'est pas une fatalité de subir ce mois de juin. Et c'est quelque chose que tu peux décider de changer. Et l'idée là, c'est que je vais vraiment te donner des moyens concrets, pratiques ou pratiques, pour que tu puisses en fait traverser cette période sans t'épuiser, sans en fait répéter finalement tout ce que tu... Ces mois de juin, à répétition chaque année, je vais te proposer d'arriver à changer certains éléments. Tu peux choisir en fait de simplifier à fond ce mois de juin, pour te protéger et pour préserver ton énergie. Ça c'est un choix que j'ai fait moi maintenant depuis quelques années où du coup le mois de juin est plutôt un mois où je ne ressens pas de grands changements par rapport aux autres mois. Certes, il y a un peu plus de réunions, un peu plus d'activités, un peu plus de trucs à penser, mais en fait en vrai, j'ai décidé que je n'allais surtout pas et certainement pas me mettre de la pression pour toutes ces choses supplémentaires à gérer. J'ai décidé que j'allais faire ce que je peux en fonction de mes moyens et surtout j'ai décidé où est-ce que j'allais mettre mon énergie et mes... priorités. Donc pour ça, déjà la première chose à faire, c'est de te demander ok, pourquoi est-ce que j'accepte cette invitation ? Pourquoi est-ce que j'accepte de me rendre à tel endroit ? Pourquoi est-ce que je fais telle chose ? Chaque tâche que tu fais, vraiment, soit très intentionnelle dans cette question de pourquoi est-ce que je fais les choses ? Pourquoi est-ce que je vais au rendez-vous avec la maîtresse ? Pourquoi est-ce que je vais aux inscriptions, aux activités ? Et en fait, il y a peut-être un certain moment, tu vas te dire non mais ça n'a aucun sens. Mais en fait, je n'ai pas envie de le faire. Mais en fait, ce n'est pas important pour moi. Et ça va être l'occasion de réajuster et de faire des choix. Et en ça, ça, c'est vraiment le premier point que je voulais aborder avec toi pour t'aider à simplifier ce mois de juin. C'est de te poser cette question, mais qu'est-ce que je vais supprimer ? Qu'est-ce que je vais supprimer ? Je te donne des exemples. Ne pas aller à tous les spectacles de fin d'année. Voilà. Tu peux choisir un seul moment qui va être symbolique et qui va être important. Par exemple, ne pas faire de cadeaux aux maîtresses. Voilà, tout simplement. Ou ne pas faire de cadeaux, ou en faire qu'un seul individuel, tu vois. Au lieu de faire un cadeau individuel, tu en fais un collectif. Voilà, ça passe aussi très très bien. Et t'es même pas obligé de faire un cadeau, ça peut être très bien un petit message sincère, ça passe crème. Tu peux aussi, par exemple, supprimer des sorties qui ne t'apportent rien. Supprimer des repas de famille, supprimer des rendez-vous. C'est des petits détails que je te donne, mais tu vas en trouver plein d'autres. Mais regarde à qu'est-ce que tu peux supprimer. Ça c'est la première chose si tu veux simplifier ton mois de juin. La deuxième chose ça va être regarder à qu'est-ce que tu peux déléguer. Demande de l'aide. Tu ne peux pas tout gérer toute seule. Arrête de croire ça. Demande de l'aide. Délègue. Par exemple, laisse ton enfant préparer ses affaires, même si c'est pas parfait. Exactement ce que j'ai fait avec l'histoire du vélo pour ma fille. En fait, elle avait pas tout ce qu'il fallait et elle s'en est très bien sortie. Et le banco, c'est que du coup, elle s'est rendu compte qu'elle avait... plein de trucs qui lui manquaient et donc du coup, elle va y penser automatiquement la prochaine fois. Laisse-la gérer. Demande à ton conjoint de gérer une sortie, de gérer une réunion, parents, profs. Passe le relais à une collègue pour un dossier qui peut attendre. Diffère les délais. Vraiment, ose demander de l'aide dans cette période-là. Je pense que c'est vraiment la meilleure période de l'année. Pour ça, demande à une amie de te garder les enfants pour que tu puisses te décharger. Voilà, ouvre des solutions. autour de toi. Et puis, le troisième point que je voulais voir avec toi, pour t'aider à simplifier, c'est de faire autrement. Apprends à faire autrement pendant cette période, et à te simplifier la vie un maximum. S'il faut que t'achètes de surgelé 2, 3 fois, 4 fois, 5 fois, la semaine, on s'en fout, achète de surgelé, simplifie-toi la vie. Si tu veux acheter du tout prêt, t'achètes du tout prêt. Si tu veux faire un repas avec du pain, du fromage, des crudités, c'est OK. Ça s'appelle un pique-nique et c'est génial les pique-niques à la maison, c'est trop bien ! N'hésite pas, n'hésite pas, tu vois, à vraiment oser aller dans... Tout ce qui te prend du temps, tout ce qui te prend de l'énergie, comment est-ce que tu peux le réduire au minimum du minimum du minimum pour qu'en fait ça puisse juste ne pas te prendre toute cette énergie et que tu puisses la garder pour autre chose, ok ? Chaque fois que tu fais un geste pour simplifier ta vie, tu fais de la place pour toi. Et ça, c'est vraiment le point sur lequel je voulais aussi insister avec toi. Je voudrais t'inviter vraiment à faire de la place pour toi dans ce mois de juin. Tu veux survivre au mois de juin ? La condition sine qua non, c'est que tu fasses de la place pour toi. Et là je vais être très claire, ne crois pas que tu vas te reposer en vacances. Si tu n'as rien anticipé, tu vas arriver épuisé, irritable, au bord du craquage, et donc finalement tes vacances tu vas les passer à les récupérer du mois de juin. En mode, tu sais dans les phases de vacances il y a plusieurs phases, il y a la phase de down, de crash, où tu as tellement donné que du coup tu t'écroules, tu es très mal pendant au moins une semaine, la deuxième semaine... ça commence à aller un tout petit peu mieux, tu sens que là au niveau émotionnel ça va un peu mieux, tu récupères, tu commences à récupérer. Et généralement, si tu as la chance d'avoir trois semaines de vacances, la troisième semaine c'est là où ton énergie repart comme une flèche, tu as le temps d'emmagasiner plein d'énergie et tu arrives au mois de septembre hyper fraîche. Si tu n'as rien anticipé, si tu arrives fin juin complètement vidé, les vacances tu risques de ne pas récupérer grand chose. Donc ce que je te propose C'est en fait dans ce mois de juin de planifier des micro-moments de récupération, dès maintenant. Donc je te donne des exemples concrets. Allez, une petite pause café toute seule, sans écran, 15 minutes dehors, chaque jour. Voilà. Bloquer un soir par semaine où tu ne fais rien. Pas de logistique, pas de devoirs, pas de linge. Tu ne fais rien, ou en tout cas que des choses que tu aimes et qui te font plaisir. Autre idée, tu peux refuser une réunion inutile pour garder un créneau de respiration. Ose annuler au dernier moment. Ose le faire. Et pourquoi pas, j'en sais rien, tu vois, imagine une petite micro-sieste dans ta voiture, tu vois, à la pause déjeuner. Petite micro-sieste, vas-y, profite. En fait, ces petits moments-là, c'est vraiment le secret pour tenir et c'est surtout, le secret en fait, c'est de les planifier à l'avance parce que si tu ne les planifies pas, tu ne les prendras jamais en fait. Tu les prendras jamais, s'ils apparaissent pas dans ton agenda quelque part, tu les prendras jamais. Et c'est le moment, c'est le moment de protéger ces espaces, parce que tu en as besoin, tout simplement. Autre possibilité, je t'inviterais vraiment à mettre le focus sur tes week-ends, et à ce que le week-end tu puisses avoir des vrais espaces de récupération, d'une demi-journée, au moins dans le week-end où tu ne fais que des choses qui te font du bien, qui te font plaisir, où tu te reposes. Voilà, tu ne pourras pas finir ton mois de juin sans te reposer. Et je voudrais que tu déconstruises cette croyance que « Ah mais je vais devoir attendre la fin du mois de juin pour me reposer, c'est faux ! » C'est archi faux, tu peux le faire avant, par contre il faut que tu t'en donnes des moyens. Et il faut que tu le décides, ça c'est sûr. Pour le dernier point que je voulais aborder avec toi, c'est aussi te permettre de prendre conscience que juin, ça peut aussi être un mois un peu révélateur. Juin, c'est le mois où tout déborde. Et parfois, ce débordement, il peut t'aider à y voir clair. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est peut-être l'occasion de te poser les bonnes questions, à un moment donné. Par exemple, qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année ? Qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année en vrai ? Qui font que du coup t'arrives dans ce mois de juin où t'es au bout, t'es déjà à sèche. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Franchement, ose te poser cette question. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Et puis... Qu'est-ce que tu pourrais déjà décider de changer pour la rentrée prochaine ? Moi, je t'invite vraiment à oser regarder un peu en face cette année qui est passée et te dire, OK, en fait, c'est quoi le bilan de cette année ? Est-ce que finalement, il n'y a pas quelque chose qui vient se révéler ? Est-ce qu'en fait, je ne suis pas en train de réaliser que je suis en train de tout porter toute seule, tout le temps ? Que je suis en sur-responsabilisation surtout ? Que je suis en sur-adaptation dans tous les endroits dans lesquels je suis investie, dans ma vie familiale, dans ma vie professionnelle ? Est-ce que c'est pas l'occasion de juste admettre que bah oui en fait je sais pas me faire passer en priorité, que je sais pas faire ça, que je sais pas prendre soin de moi et que j'ai jamais peut-être su le faire, que je sais pas ce que j'ai envie dans ma vie et peut-être même qu'à un moment donné il y a beaucoup de choses qui n'ont plus de sens pour toi et que peut-être à la fin t'arrives à cette question mais je sais même plus qui je suis au final dans cette histoire tellement je suis épuisée par cette année qui vient de passer. Si t'arrives à ces questions là, bah alors il faut qu'on s'en parle. Parce qu'alors là, c'est probablement... un révélateur de T'as besoin d'aide, t'as besoin d'être accompagné, t'as besoin d'un cadre qui va te guider et t'aider à faire ce travail sur toi dont t'as besoin, pour sortir la tête de l'eau, pour prendre de la hauteur, pour t'aider à te poser les vraies questions que t'as besoin de te poser dans ta vie, pour t'aider à lever tous les freins, tous les blocages que tu as et qui t'empêchent d'avancer, et enfin t'aider à retrouver cette vie où tu respires, une vie que tu kiffes, une vie où même quand ça devient un peu intense, même quand t'y as du trop... Tout va bien, tu la traverses, tu surfes sur la vague. Voilà. Moi, le mois de juin, là, c'est du surf pour moi. Mais ce n'est pas le mois où je vais aller me noyer. Mais ça aussi, en fait, c'est possible pour toi. C'est aussi possible pour toi. Cette surcharge-là, tu peux la transformer en prise de conscience et puis en point de départ pour une vie qui est plus simple, plus choisie, plus légère. Alors du coup, si ça te parle... Juste reste connecté parce que je te fais un petit teasing mais dans quelques semaines, dans quelques semaines, on va vous annoncer une petite surprise, même une grande surprise. Donc reste connecté par rapport à ça, je pense qu'il y a quelque chose qui devrait t'intéresser qui va arriver dans pas pas longtemps du tout. Alors pour conclure avec toi, petit rappel, tu as le droit d'en faire moins, tu as le droit de choisir plus simple, et tu as le droit de t'écouter. Juin, ce n'est pas censé être un mois qui t'écrase. Et j'ai même envie de te lancer un petit défi pour finir. Et ce petit défi, c'est... Si tu décidais que le mois de juin, ça devient le mois de l'affirmation. Et le mois de l'affirmation de qui ? Le mois de l'affirmation de toi. Et si tu décidais qu'en fait, le mois de juin va être le mois où tu vas enfin t'affirmer. Alors je te propose ce défi. Un défi zéro culpabilité, zéro suradaptation, 100% de choix conscient. Ça donnerait quoi pour toi ? Ça donnerait par exemple une chose que tu vas décider de ne pas faire. Quelle est la chose que tu vas décider là maintenant tout de suite que tu ne vas pas faire ce mois de choix ? Une chose que tu vas faire autrement. Une chose que tu vas faire juste pour toi. Une chose sur laquelle tu vas oser dire non. Une chose sur laquelle etc. etc. Ok challenge toi. Et vraiment, mets-toi en mode, ok, le mois de juin, c'est le mois zéro culpabilité, c'est le mois de l'affirmation de moi. Je vais enfin oser dire non, je vais enfin oser ne pas faire de cadeaux aux maîtresses, je vais enfin oser ne pas aller à tous les spectacles, je vais enfin... Et tu continues la liste, ok ? Et si tu sens que ça coince, si tu sens qu'en fait tu peux pas, t'y arrives pas, c'est que là, il y a des choses à aller travailler, pour que tu puisses retrouver de la liberté. La liberté d'être, de faire ce que tu veux, ce qui a du sens pour toi, ce qui te fait plaisir, ce qui est connecté à tes valeurs fortes. C'est l'occasion d'aller travailler et tout ça. Je pense que je vais m'arrêter là. En tout cas, n'hésite pas à me faire des retours de ce petit défi du mois de juin pour toi, de quels fruits ça a pu porter dans ta vie. N'hésite pas à m'écrire par email à géraldinatpoletinperfait.com. Je serai vraiment hyper contente d'avoir vos retours et je vous lis chacune avec plaisir, vraiment. Et puis si tu veux continuer à recevoir des idées concrètes, des outils simples et du soutien pour simplifier ta vie, tu peux aussi t'inscrire à ma newsletter dans le lien qui est dans la description juste en dessous. Et comme ça, tu pourras être tenu au courant notamment de la surprise qui s'annonce pour le mois de juillet. Et bien avec ça, j'ai envie de te dire, prends soin de toi pour ce mois de juin. Vas-y en mode slow, zéro culpabilité et on se retrouve bientôt. Allez, ciao, ciao !

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Description

🎙 Juin sous pression ? Pour beaucoup de femmes actives et mamans, ce mois est un véritable tunnel : spectacles de fin d’année, kermesses, réunions, fatigue accumulée… et charge mentale à son maximum.

Dans cet épisode, je t’aide à reprendre le pouvoir sur ton mois de juin : déculpabiliser, supprimer le non essentiel, déléguer sans scrupule, faire plus simple, et surtout planifier des moments de récupération.

Un épisode à écouter pour ne pas t’oublier dans la tempête et commencer dès maintenant à alléger ton quotidien.


*****


*****


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello

  • Speaker #1

    et bienvenue à toi dans Simplifie le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. Alors on va parler d'un mois qui est souvent vécu. Comme un mini décembre. Mais sans les guirlandes ni les chocolats, je parle bien sûr du mois de juin. Pourquoi est-ce qu'on va parler de ça aujourd'hui ? Tout simplement, je remercie Agnès qui est une de mes clientes qui m'a dit « Géraldine, il faut trop que tu nous fasses un épisode là-dessus. On est toutes dans le jus. » Et en fait, en vrai, ce n'est pas la seule qui m'en a parlé. Je sais que vous êtes toutes dans le jus pendant ce mois de juin et donc on va s'en parler. Entre les spectacles de fin d'année, les kermesses, les cadeaux maîtresses, les inscriptions aux activités, les bilans pro, les dossiers à finir avant l'été. Bref, c'est souvent un vrai tunnel. Et quand tu es une femme active et maman, c'est encore plus intense. Tu cours partout, tu portes pour tout le monde et tu termines souvent ce mois de juin sur les rotules. Alors aujourd'hui, j'ai envie de te proposer un épisode très concret pour t'aider. à simplifier, à t'alléger, à ralentir dans la tempête et surtout à ne pas t'oublier en route. Ok ? Donc, comme d'habitude, mets tes petites baskets. Aujourd'hui, moi, je suis dehors en train de profiter de l'air frais, du ciel bleu, des oiseaux qui chantent. Et puis, n'hésite pas à, du coup, toi aussi, aller faire un petit tour pour prendre l'air et prendre en même temps soin de toi. Alors, première chose que je voulais aborder avec toi, tu me connais maintenant. On part toujours, généralement, ensemble en mode déculpabilité. Déculpabilisation. Non, ce n'est pas toi le problème de ce mois de juin. Voilà. Tu te sens peut-être débordée. Si tu te sens débordée, si tu oublies plein de choses, si tu termines tes journées la tête en vrac, c'est pas que c'est toi le problème. C'est juste qu'il y a trop. Il y a trop de choses. Et pour te rassurer, je peux t'assurer que tu n'es pas la seule. Le nombre. Comme je te disais au début, le nombre d'entre vous qui sont dans la même situation, c'est... On connaît tout ça si on a des enfants, notamment. Ça vient rajouter aussi de la charge, mais en fait, on connaît tout ça. Et particulièrement, là j'ai envie de faire un gros hug virtuel à toutes les enseignantes. Toutes les enseignantes qui sont actuellement à l'école, qui sont dans peu importe les différents niveaux. Je sais qu'en plus, chez vous, il y a particulièrement une pression d'un point de vue professionnel. Donc, grosse, grosse pensée à vous. Donc, oui, tu n'es pas seule et tu n'as pas à culpabiliser. Parce que ce que tu vis, c'est objectivement du trop. D'accord ? Et le trop, c'est hyper compliqué à gérer. Voilà, tout simplement. Et moi, la première, je peux t'assurer que régulièrement, quand je passe par des périodes de trop, malgré tous mes efforts, il y a toujours un moment où je me dis « Oh purée ! » Et en fait, moi, je ne sais pas le gérer le trop. Et c'est pour ça qu'en fait, j'ai appris à simplifier ma vie, parce qu'en fait, je ne sais pas le gérer. Donc, c'est OK. Juste aller en mode, on se pose et on souffle un petit coup. Le mois de juin, c'est le combo idéal entre charge mentale familiale, entre pression professionnelle, entre enfance surexcitée, fatigue accumulée depuis l'année, depuis le mois de septembre. Et par-dessus tout ça, on rajoute la préparation des vacances. Juste l'horreur. Au milieu de tout ça, on continue d'essayer de faire bonne figure, d'assurer sur tous les fronts, de ne rien lâcher. Mais en fait, là, juste bonne nouvelle. Tu as le droit de dire stop. Tu as le droit de ne pas être disponible pour tout le monde. Et tu as le droit de faire moins et même de faire autrement. Et je te donne un exemple. Il y a une cliente l'autre jour qui me disait... J'ai pâté le goûter d'anniversaire de la classe et je me sens trop nulle. J'ai juste envie de te rassurer en te disant mais en fait juste t'es pas nulle, t'es juste humaine et tu es fatiguée. Ok tu fais de ton mieux. Voilà ça n'a rien à voir avec le fait d'être nulle ou d'être une mauvaise maman. Ça n'a rien à voir si tu savais le nombre de trucs que j'oublie. Pas plus tard que cette semaine ma fille avait Ma fille devait venir à l'école avec son vélo. Ils avaient un cours de vélo, il fallait que tous les élèves amènent les vélos. Il y avait toute une série de trucs à prévoir avec le vélo. Il fallait la chambre à air, il fallait le casque, il fallait la barre de céréales, il fallait les lunettes de soleil, il fallait la crème soleil ! Et bah résultat, j'ai réussi à penser au vélo et ça s'est arrêté là. Et du coup j'ai compté sur ma fille pour que, bah en fait, écoute elle se gère, voilà elle est en CM2, je dis bah écoute, elle pensera à ce à quoi elle peut penser mais moi j'y arrive pas parce qu'en fait il y a eu ça pour elle, il y a eu ça pour tous les trois autres, des tailles, des tas de mails, des maîtresses dans tous les sens qui font que moi à un moment donné, l'info, elle rentre plus. Voilà, surtout que bien sûr que je n'ai rien noté nulle part, donc forcément. Si ça reste dans ma tête, ça risque d'y rester un très long moment. Voilà. Donc non, t'es pas nul et tu fais de ton mieux et c'est OK. Alors, par contre, je veux vraiment que tu puisses l'entendre ça. C'est right now. C'est right now. C'est maintenant que ça se passe. Qu'est-ce qui se passe maintenant ? C'est le moment pour toi de simplifier. Ce mois de juin, tu peux décider qu'il ne sera pas comme d'habitude. OK ? C'est pas une fatalité de subir ce mois de juin. Et c'est quelque chose que tu peux décider de changer. Et l'idée là, c'est que je vais vraiment te donner des moyens concrets, pratiques ou pratiques, pour que tu puisses en fait traverser cette période sans t'épuiser, sans en fait répéter finalement tout ce que tu... Ces mois de juin, à répétition chaque année, je vais te proposer d'arriver à changer certains éléments. Tu peux choisir en fait de simplifier à fond ce mois de juin, pour te protéger et pour préserver ton énergie. Ça c'est un choix que j'ai fait moi maintenant depuis quelques années où du coup le mois de juin est plutôt un mois où je ne ressens pas de grands changements par rapport aux autres mois. Certes, il y a un peu plus de réunions, un peu plus d'activités, un peu plus de trucs à penser, mais en fait en vrai, j'ai décidé que je n'allais surtout pas et certainement pas me mettre de la pression pour toutes ces choses supplémentaires à gérer. J'ai décidé que j'allais faire ce que je peux en fonction de mes moyens et surtout j'ai décidé où est-ce que j'allais mettre mon énergie et mes... priorités. Donc pour ça, déjà la première chose à faire, c'est de te demander ok, pourquoi est-ce que j'accepte cette invitation ? Pourquoi est-ce que j'accepte de me rendre à tel endroit ? Pourquoi est-ce que je fais telle chose ? Chaque tâche que tu fais, vraiment, soit très intentionnelle dans cette question de pourquoi est-ce que je fais les choses ? Pourquoi est-ce que je vais au rendez-vous avec la maîtresse ? Pourquoi est-ce que je vais aux inscriptions, aux activités ? Et en fait, il y a peut-être un certain moment, tu vas te dire non mais ça n'a aucun sens. Mais en fait, je n'ai pas envie de le faire. Mais en fait, ce n'est pas important pour moi. Et ça va être l'occasion de réajuster et de faire des choix. Et en ça, ça, c'est vraiment le premier point que je voulais aborder avec toi pour t'aider à simplifier ce mois de juin. C'est de te poser cette question, mais qu'est-ce que je vais supprimer ? Qu'est-ce que je vais supprimer ? Je te donne des exemples. Ne pas aller à tous les spectacles de fin d'année. Voilà. Tu peux choisir un seul moment qui va être symbolique et qui va être important. Par exemple, ne pas faire de cadeaux aux maîtresses. Voilà, tout simplement. Ou ne pas faire de cadeaux, ou en faire qu'un seul individuel, tu vois. Au lieu de faire un cadeau individuel, tu en fais un collectif. Voilà, ça passe aussi très très bien. Et t'es même pas obligé de faire un cadeau, ça peut être très bien un petit message sincère, ça passe crème. Tu peux aussi, par exemple, supprimer des sorties qui ne t'apportent rien. Supprimer des repas de famille, supprimer des rendez-vous. C'est des petits détails que je te donne, mais tu vas en trouver plein d'autres. Mais regarde à qu'est-ce que tu peux supprimer. Ça c'est la première chose si tu veux simplifier ton mois de juin. La deuxième chose ça va être regarder à qu'est-ce que tu peux déléguer. Demande de l'aide. Tu ne peux pas tout gérer toute seule. Arrête de croire ça. Demande de l'aide. Délègue. Par exemple, laisse ton enfant préparer ses affaires, même si c'est pas parfait. Exactement ce que j'ai fait avec l'histoire du vélo pour ma fille. En fait, elle avait pas tout ce qu'il fallait et elle s'en est très bien sortie. Et le banco, c'est que du coup, elle s'est rendu compte qu'elle avait... plein de trucs qui lui manquaient et donc du coup, elle va y penser automatiquement la prochaine fois. Laisse-la gérer. Demande à ton conjoint de gérer une sortie, de gérer une réunion, parents, profs. Passe le relais à une collègue pour un dossier qui peut attendre. Diffère les délais. Vraiment, ose demander de l'aide dans cette période-là. Je pense que c'est vraiment la meilleure période de l'année. Pour ça, demande à une amie de te garder les enfants pour que tu puisses te décharger. Voilà, ouvre des solutions. autour de toi. Et puis, le troisième point que je voulais voir avec toi, pour t'aider à simplifier, c'est de faire autrement. Apprends à faire autrement pendant cette période, et à te simplifier la vie un maximum. S'il faut que t'achètes de surgelé 2, 3 fois, 4 fois, 5 fois, la semaine, on s'en fout, achète de surgelé, simplifie-toi la vie. Si tu veux acheter du tout prêt, t'achètes du tout prêt. Si tu veux faire un repas avec du pain, du fromage, des crudités, c'est OK. Ça s'appelle un pique-nique et c'est génial les pique-niques à la maison, c'est trop bien ! N'hésite pas, n'hésite pas, tu vois, à vraiment oser aller dans... Tout ce qui te prend du temps, tout ce qui te prend de l'énergie, comment est-ce que tu peux le réduire au minimum du minimum du minimum pour qu'en fait ça puisse juste ne pas te prendre toute cette énergie et que tu puisses la garder pour autre chose, ok ? Chaque fois que tu fais un geste pour simplifier ta vie, tu fais de la place pour toi. Et ça, c'est vraiment le point sur lequel je voulais aussi insister avec toi. Je voudrais t'inviter vraiment à faire de la place pour toi dans ce mois de juin. Tu veux survivre au mois de juin ? La condition sine qua non, c'est que tu fasses de la place pour toi. Et là je vais être très claire, ne crois pas que tu vas te reposer en vacances. Si tu n'as rien anticipé, tu vas arriver épuisé, irritable, au bord du craquage, et donc finalement tes vacances tu vas les passer à les récupérer du mois de juin. En mode, tu sais dans les phases de vacances il y a plusieurs phases, il y a la phase de down, de crash, où tu as tellement donné que du coup tu t'écroules, tu es très mal pendant au moins une semaine, la deuxième semaine... ça commence à aller un tout petit peu mieux, tu sens que là au niveau émotionnel ça va un peu mieux, tu récupères, tu commences à récupérer. Et généralement, si tu as la chance d'avoir trois semaines de vacances, la troisième semaine c'est là où ton énergie repart comme une flèche, tu as le temps d'emmagasiner plein d'énergie et tu arrives au mois de septembre hyper fraîche. Si tu n'as rien anticipé, si tu arrives fin juin complètement vidé, les vacances tu risques de ne pas récupérer grand chose. Donc ce que je te propose C'est en fait dans ce mois de juin de planifier des micro-moments de récupération, dès maintenant. Donc je te donne des exemples concrets. Allez, une petite pause café toute seule, sans écran, 15 minutes dehors, chaque jour. Voilà. Bloquer un soir par semaine où tu ne fais rien. Pas de logistique, pas de devoirs, pas de linge. Tu ne fais rien, ou en tout cas que des choses que tu aimes et qui te font plaisir. Autre idée, tu peux refuser une réunion inutile pour garder un créneau de respiration. Ose annuler au dernier moment. Ose le faire. Et pourquoi pas, j'en sais rien, tu vois, imagine une petite micro-sieste dans ta voiture, tu vois, à la pause déjeuner. Petite micro-sieste, vas-y, profite. En fait, ces petits moments-là, c'est vraiment le secret pour tenir et c'est surtout, le secret en fait, c'est de les planifier à l'avance parce que si tu ne les planifies pas, tu ne les prendras jamais en fait. Tu les prendras jamais, s'ils apparaissent pas dans ton agenda quelque part, tu les prendras jamais. Et c'est le moment, c'est le moment de protéger ces espaces, parce que tu en as besoin, tout simplement. Autre possibilité, je t'inviterais vraiment à mettre le focus sur tes week-ends, et à ce que le week-end tu puisses avoir des vrais espaces de récupération, d'une demi-journée, au moins dans le week-end où tu ne fais que des choses qui te font du bien, qui te font plaisir, où tu te reposes. Voilà, tu ne pourras pas finir ton mois de juin sans te reposer. Et je voudrais que tu déconstruises cette croyance que « Ah mais je vais devoir attendre la fin du mois de juin pour me reposer, c'est faux ! » C'est archi faux, tu peux le faire avant, par contre il faut que tu t'en donnes des moyens. Et il faut que tu le décides, ça c'est sûr. Pour le dernier point que je voulais aborder avec toi, c'est aussi te permettre de prendre conscience que juin, ça peut aussi être un mois un peu révélateur. Juin, c'est le mois où tout déborde. Et parfois, ce débordement, il peut t'aider à y voir clair. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est peut-être l'occasion de te poser les bonnes questions, à un moment donné. Par exemple, qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année ? Qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année en vrai ? Qui font que du coup t'arrives dans ce mois de juin où t'es au bout, t'es déjà à sèche. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Franchement, ose te poser cette question. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Et puis... Qu'est-ce que tu pourrais déjà décider de changer pour la rentrée prochaine ? Moi, je t'invite vraiment à oser regarder un peu en face cette année qui est passée et te dire, OK, en fait, c'est quoi le bilan de cette année ? Est-ce que finalement, il n'y a pas quelque chose qui vient se révéler ? Est-ce qu'en fait, je ne suis pas en train de réaliser que je suis en train de tout porter toute seule, tout le temps ? Que je suis en sur-responsabilisation surtout ? Que je suis en sur-adaptation dans tous les endroits dans lesquels je suis investie, dans ma vie familiale, dans ma vie professionnelle ? Est-ce que c'est pas l'occasion de juste admettre que bah oui en fait je sais pas me faire passer en priorité, que je sais pas faire ça, que je sais pas prendre soin de moi et que j'ai jamais peut-être su le faire, que je sais pas ce que j'ai envie dans ma vie et peut-être même qu'à un moment donné il y a beaucoup de choses qui n'ont plus de sens pour toi et que peut-être à la fin t'arrives à cette question mais je sais même plus qui je suis au final dans cette histoire tellement je suis épuisée par cette année qui vient de passer. Si t'arrives à ces questions là, bah alors il faut qu'on s'en parle. Parce qu'alors là, c'est probablement... un révélateur de T'as besoin d'aide, t'as besoin d'être accompagné, t'as besoin d'un cadre qui va te guider et t'aider à faire ce travail sur toi dont t'as besoin, pour sortir la tête de l'eau, pour prendre de la hauteur, pour t'aider à te poser les vraies questions que t'as besoin de te poser dans ta vie, pour t'aider à lever tous les freins, tous les blocages que tu as et qui t'empêchent d'avancer, et enfin t'aider à retrouver cette vie où tu respires, une vie que tu kiffes, une vie où même quand ça devient un peu intense, même quand t'y as du trop... Tout va bien, tu la traverses, tu surfes sur la vague. Voilà. Moi, le mois de juin, là, c'est du surf pour moi. Mais ce n'est pas le mois où je vais aller me noyer. Mais ça aussi, en fait, c'est possible pour toi. C'est aussi possible pour toi. Cette surcharge-là, tu peux la transformer en prise de conscience et puis en point de départ pour une vie qui est plus simple, plus choisie, plus légère. Alors du coup, si ça te parle... Juste reste connecté parce que je te fais un petit teasing mais dans quelques semaines, dans quelques semaines, on va vous annoncer une petite surprise, même une grande surprise. Donc reste connecté par rapport à ça, je pense qu'il y a quelque chose qui devrait t'intéresser qui va arriver dans pas pas longtemps du tout. Alors pour conclure avec toi, petit rappel, tu as le droit d'en faire moins, tu as le droit de choisir plus simple, et tu as le droit de t'écouter. Juin, ce n'est pas censé être un mois qui t'écrase. Et j'ai même envie de te lancer un petit défi pour finir. Et ce petit défi, c'est... Si tu décidais que le mois de juin, ça devient le mois de l'affirmation. Et le mois de l'affirmation de qui ? Le mois de l'affirmation de toi. Et si tu décidais qu'en fait, le mois de juin va être le mois où tu vas enfin t'affirmer. Alors je te propose ce défi. Un défi zéro culpabilité, zéro suradaptation, 100% de choix conscient. Ça donnerait quoi pour toi ? Ça donnerait par exemple une chose que tu vas décider de ne pas faire. Quelle est la chose que tu vas décider là maintenant tout de suite que tu ne vas pas faire ce mois de choix ? Une chose que tu vas faire autrement. Une chose que tu vas faire juste pour toi. Une chose sur laquelle tu vas oser dire non. Une chose sur laquelle etc. etc. Ok challenge toi. Et vraiment, mets-toi en mode, ok, le mois de juin, c'est le mois zéro culpabilité, c'est le mois de l'affirmation de moi. Je vais enfin oser dire non, je vais enfin oser ne pas faire de cadeaux aux maîtresses, je vais enfin oser ne pas aller à tous les spectacles, je vais enfin... Et tu continues la liste, ok ? Et si tu sens que ça coince, si tu sens qu'en fait tu peux pas, t'y arrives pas, c'est que là, il y a des choses à aller travailler, pour que tu puisses retrouver de la liberté. La liberté d'être, de faire ce que tu veux, ce qui a du sens pour toi, ce qui te fait plaisir, ce qui est connecté à tes valeurs fortes. C'est l'occasion d'aller travailler et tout ça. Je pense que je vais m'arrêter là. En tout cas, n'hésite pas à me faire des retours de ce petit défi du mois de juin pour toi, de quels fruits ça a pu porter dans ta vie. N'hésite pas à m'écrire par email à géraldinatpoletinperfait.com. Je serai vraiment hyper contente d'avoir vos retours et je vous lis chacune avec plaisir, vraiment. Et puis si tu veux continuer à recevoir des idées concrètes, des outils simples et du soutien pour simplifier ta vie, tu peux aussi t'inscrire à ma newsletter dans le lien qui est dans la description juste en dessous. Et comme ça, tu pourras être tenu au courant notamment de la surprise qui s'annonce pour le mois de juillet. Et bien avec ça, j'ai envie de te dire, prends soin de toi pour ce mois de juin. Vas-y en mode slow, zéro culpabilité et on se retrouve bientôt. Allez, ciao, ciao !

Description

🎙 Juin sous pression ? Pour beaucoup de femmes actives et mamans, ce mois est un véritable tunnel : spectacles de fin d’année, kermesses, réunions, fatigue accumulée… et charge mentale à son maximum.

Dans cet épisode, je t’aide à reprendre le pouvoir sur ton mois de juin : déculpabiliser, supprimer le non essentiel, déléguer sans scrupule, faire plus simple, et surtout planifier des moments de récupération.

Un épisode à écouter pour ne pas t’oublier dans la tempête et commencer dès maintenant à alléger ton quotidien.


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Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello

  • Speaker #1

    et bienvenue à toi dans Simplifie le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. Alors on va parler d'un mois qui est souvent vécu. Comme un mini décembre. Mais sans les guirlandes ni les chocolats, je parle bien sûr du mois de juin. Pourquoi est-ce qu'on va parler de ça aujourd'hui ? Tout simplement, je remercie Agnès qui est une de mes clientes qui m'a dit « Géraldine, il faut trop que tu nous fasses un épisode là-dessus. On est toutes dans le jus. » Et en fait, en vrai, ce n'est pas la seule qui m'en a parlé. Je sais que vous êtes toutes dans le jus pendant ce mois de juin et donc on va s'en parler. Entre les spectacles de fin d'année, les kermesses, les cadeaux maîtresses, les inscriptions aux activités, les bilans pro, les dossiers à finir avant l'été. Bref, c'est souvent un vrai tunnel. Et quand tu es une femme active et maman, c'est encore plus intense. Tu cours partout, tu portes pour tout le monde et tu termines souvent ce mois de juin sur les rotules. Alors aujourd'hui, j'ai envie de te proposer un épisode très concret pour t'aider. à simplifier, à t'alléger, à ralentir dans la tempête et surtout à ne pas t'oublier en route. Ok ? Donc, comme d'habitude, mets tes petites baskets. Aujourd'hui, moi, je suis dehors en train de profiter de l'air frais, du ciel bleu, des oiseaux qui chantent. Et puis, n'hésite pas à, du coup, toi aussi, aller faire un petit tour pour prendre l'air et prendre en même temps soin de toi. Alors, première chose que je voulais aborder avec toi, tu me connais maintenant. On part toujours, généralement, ensemble en mode déculpabilité. Déculpabilisation. Non, ce n'est pas toi le problème de ce mois de juin. Voilà. Tu te sens peut-être débordée. Si tu te sens débordée, si tu oublies plein de choses, si tu termines tes journées la tête en vrac, c'est pas que c'est toi le problème. C'est juste qu'il y a trop. Il y a trop de choses. Et pour te rassurer, je peux t'assurer que tu n'es pas la seule. Le nombre. Comme je te disais au début, le nombre d'entre vous qui sont dans la même situation, c'est... On connaît tout ça si on a des enfants, notamment. Ça vient rajouter aussi de la charge, mais en fait, on connaît tout ça. Et particulièrement, là j'ai envie de faire un gros hug virtuel à toutes les enseignantes. Toutes les enseignantes qui sont actuellement à l'école, qui sont dans peu importe les différents niveaux. Je sais qu'en plus, chez vous, il y a particulièrement une pression d'un point de vue professionnel. Donc, grosse, grosse pensée à vous. Donc, oui, tu n'es pas seule et tu n'as pas à culpabiliser. Parce que ce que tu vis, c'est objectivement du trop. D'accord ? Et le trop, c'est hyper compliqué à gérer. Voilà, tout simplement. Et moi, la première, je peux t'assurer que régulièrement, quand je passe par des périodes de trop, malgré tous mes efforts, il y a toujours un moment où je me dis « Oh purée ! » Et en fait, moi, je ne sais pas le gérer le trop. Et c'est pour ça qu'en fait, j'ai appris à simplifier ma vie, parce qu'en fait, je ne sais pas le gérer. Donc, c'est OK. Juste aller en mode, on se pose et on souffle un petit coup. Le mois de juin, c'est le combo idéal entre charge mentale familiale, entre pression professionnelle, entre enfance surexcitée, fatigue accumulée depuis l'année, depuis le mois de septembre. Et par-dessus tout ça, on rajoute la préparation des vacances. Juste l'horreur. Au milieu de tout ça, on continue d'essayer de faire bonne figure, d'assurer sur tous les fronts, de ne rien lâcher. Mais en fait, là, juste bonne nouvelle. Tu as le droit de dire stop. Tu as le droit de ne pas être disponible pour tout le monde. Et tu as le droit de faire moins et même de faire autrement. Et je te donne un exemple. Il y a une cliente l'autre jour qui me disait... J'ai pâté le goûter d'anniversaire de la classe et je me sens trop nulle. J'ai juste envie de te rassurer en te disant mais en fait juste t'es pas nulle, t'es juste humaine et tu es fatiguée. Ok tu fais de ton mieux. Voilà ça n'a rien à voir avec le fait d'être nulle ou d'être une mauvaise maman. Ça n'a rien à voir si tu savais le nombre de trucs que j'oublie. Pas plus tard que cette semaine ma fille avait Ma fille devait venir à l'école avec son vélo. Ils avaient un cours de vélo, il fallait que tous les élèves amènent les vélos. Il y avait toute une série de trucs à prévoir avec le vélo. Il fallait la chambre à air, il fallait le casque, il fallait la barre de céréales, il fallait les lunettes de soleil, il fallait la crème soleil ! Et bah résultat, j'ai réussi à penser au vélo et ça s'est arrêté là. Et du coup j'ai compté sur ma fille pour que, bah en fait, écoute elle se gère, voilà elle est en CM2, je dis bah écoute, elle pensera à ce à quoi elle peut penser mais moi j'y arrive pas parce qu'en fait il y a eu ça pour elle, il y a eu ça pour tous les trois autres, des tailles, des tas de mails, des maîtresses dans tous les sens qui font que moi à un moment donné, l'info, elle rentre plus. Voilà, surtout que bien sûr que je n'ai rien noté nulle part, donc forcément. Si ça reste dans ma tête, ça risque d'y rester un très long moment. Voilà. Donc non, t'es pas nul et tu fais de ton mieux et c'est OK. Alors, par contre, je veux vraiment que tu puisses l'entendre ça. C'est right now. C'est right now. C'est maintenant que ça se passe. Qu'est-ce qui se passe maintenant ? C'est le moment pour toi de simplifier. Ce mois de juin, tu peux décider qu'il ne sera pas comme d'habitude. OK ? C'est pas une fatalité de subir ce mois de juin. Et c'est quelque chose que tu peux décider de changer. Et l'idée là, c'est que je vais vraiment te donner des moyens concrets, pratiques ou pratiques, pour que tu puisses en fait traverser cette période sans t'épuiser, sans en fait répéter finalement tout ce que tu... Ces mois de juin, à répétition chaque année, je vais te proposer d'arriver à changer certains éléments. Tu peux choisir en fait de simplifier à fond ce mois de juin, pour te protéger et pour préserver ton énergie. Ça c'est un choix que j'ai fait moi maintenant depuis quelques années où du coup le mois de juin est plutôt un mois où je ne ressens pas de grands changements par rapport aux autres mois. Certes, il y a un peu plus de réunions, un peu plus d'activités, un peu plus de trucs à penser, mais en fait en vrai, j'ai décidé que je n'allais surtout pas et certainement pas me mettre de la pression pour toutes ces choses supplémentaires à gérer. J'ai décidé que j'allais faire ce que je peux en fonction de mes moyens et surtout j'ai décidé où est-ce que j'allais mettre mon énergie et mes... priorités. Donc pour ça, déjà la première chose à faire, c'est de te demander ok, pourquoi est-ce que j'accepte cette invitation ? Pourquoi est-ce que j'accepte de me rendre à tel endroit ? Pourquoi est-ce que je fais telle chose ? Chaque tâche que tu fais, vraiment, soit très intentionnelle dans cette question de pourquoi est-ce que je fais les choses ? Pourquoi est-ce que je vais au rendez-vous avec la maîtresse ? Pourquoi est-ce que je vais aux inscriptions, aux activités ? Et en fait, il y a peut-être un certain moment, tu vas te dire non mais ça n'a aucun sens. Mais en fait, je n'ai pas envie de le faire. Mais en fait, ce n'est pas important pour moi. Et ça va être l'occasion de réajuster et de faire des choix. Et en ça, ça, c'est vraiment le premier point que je voulais aborder avec toi pour t'aider à simplifier ce mois de juin. C'est de te poser cette question, mais qu'est-ce que je vais supprimer ? Qu'est-ce que je vais supprimer ? Je te donne des exemples. Ne pas aller à tous les spectacles de fin d'année. Voilà. Tu peux choisir un seul moment qui va être symbolique et qui va être important. Par exemple, ne pas faire de cadeaux aux maîtresses. Voilà, tout simplement. Ou ne pas faire de cadeaux, ou en faire qu'un seul individuel, tu vois. Au lieu de faire un cadeau individuel, tu en fais un collectif. Voilà, ça passe aussi très très bien. Et t'es même pas obligé de faire un cadeau, ça peut être très bien un petit message sincère, ça passe crème. Tu peux aussi, par exemple, supprimer des sorties qui ne t'apportent rien. Supprimer des repas de famille, supprimer des rendez-vous. C'est des petits détails que je te donne, mais tu vas en trouver plein d'autres. Mais regarde à qu'est-ce que tu peux supprimer. Ça c'est la première chose si tu veux simplifier ton mois de juin. La deuxième chose ça va être regarder à qu'est-ce que tu peux déléguer. Demande de l'aide. Tu ne peux pas tout gérer toute seule. Arrête de croire ça. Demande de l'aide. Délègue. Par exemple, laisse ton enfant préparer ses affaires, même si c'est pas parfait. Exactement ce que j'ai fait avec l'histoire du vélo pour ma fille. En fait, elle avait pas tout ce qu'il fallait et elle s'en est très bien sortie. Et le banco, c'est que du coup, elle s'est rendu compte qu'elle avait... plein de trucs qui lui manquaient et donc du coup, elle va y penser automatiquement la prochaine fois. Laisse-la gérer. Demande à ton conjoint de gérer une sortie, de gérer une réunion, parents, profs. Passe le relais à une collègue pour un dossier qui peut attendre. Diffère les délais. Vraiment, ose demander de l'aide dans cette période-là. Je pense que c'est vraiment la meilleure période de l'année. Pour ça, demande à une amie de te garder les enfants pour que tu puisses te décharger. Voilà, ouvre des solutions. autour de toi. Et puis, le troisième point que je voulais voir avec toi, pour t'aider à simplifier, c'est de faire autrement. Apprends à faire autrement pendant cette période, et à te simplifier la vie un maximum. S'il faut que t'achètes de surgelé 2, 3 fois, 4 fois, 5 fois, la semaine, on s'en fout, achète de surgelé, simplifie-toi la vie. Si tu veux acheter du tout prêt, t'achètes du tout prêt. Si tu veux faire un repas avec du pain, du fromage, des crudités, c'est OK. Ça s'appelle un pique-nique et c'est génial les pique-niques à la maison, c'est trop bien ! N'hésite pas, n'hésite pas, tu vois, à vraiment oser aller dans... Tout ce qui te prend du temps, tout ce qui te prend de l'énergie, comment est-ce que tu peux le réduire au minimum du minimum du minimum pour qu'en fait ça puisse juste ne pas te prendre toute cette énergie et que tu puisses la garder pour autre chose, ok ? Chaque fois que tu fais un geste pour simplifier ta vie, tu fais de la place pour toi. Et ça, c'est vraiment le point sur lequel je voulais aussi insister avec toi. Je voudrais t'inviter vraiment à faire de la place pour toi dans ce mois de juin. Tu veux survivre au mois de juin ? La condition sine qua non, c'est que tu fasses de la place pour toi. Et là je vais être très claire, ne crois pas que tu vas te reposer en vacances. Si tu n'as rien anticipé, tu vas arriver épuisé, irritable, au bord du craquage, et donc finalement tes vacances tu vas les passer à les récupérer du mois de juin. En mode, tu sais dans les phases de vacances il y a plusieurs phases, il y a la phase de down, de crash, où tu as tellement donné que du coup tu t'écroules, tu es très mal pendant au moins une semaine, la deuxième semaine... ça commence à aller un tout petit peu mieux, tu sens que là au niveau émotionnel ça va un peu mieux, tu récupères, tu commences à récupérer. Et généralement, si tu as la chance d'avoir trois semaines de vacances, la troisième semaine c'est là où ton énergie repart comme une flèche, tu as le temps d'emmagasiner plein d'énergie et tu arrives au mois de septembre hyper fraîche. Si tu n'as rien anticipé, si tu arrives fin juin complètement vidé, les vacances tu risques de ne pas récupérer grand chose. Donc ce que je te propose C'est en fait dans ce mois de juin de planifier des micro-moments de récupération, dès maintenant. Donc je te donne des exemples concrets. Allez, une petite pause café toute seule, sans écran, 15 minutes dehors, chaque jour. Voilà. Bloquer un soir par semaine où tu ne fais rien. Pas de logistique, pas de devoirs, pas de linge. Tu ne fais rien, ou en tout cas que des choses que tu aimes et qui te font plaisir. Autre idée, tu peux refuser une réunion inutile pour garder un créneau de respiration. Ose annuler au dernier moment. Ose le faire. Et pourquoi pas, j'en sais rien, tu vois, imagine une petite micro-sieste dans ta voiture, tu vois, à la pause déjeuner. Petite micro-sieste, vas-y, profite. En fait, ces petits moments-là, c'est vraiment le secret pour tenir et c'est surtout, le secret en fait, c'est de les planifier à l'avance parce que si tu ne les planifies pas, tu ne les prendras jamais en fait. Tu les prendras jamais, s'ils apparaissent pas dans ton agenda quelque part, tu les prendras jamais. Et c'est le moment, c'est le moment de protéger ces espaces, parce que tu en as besoin, tout simplement. Autre possibilité, je t'inviterais vraiment à mettre le focus sur tes week-ends, et à ce que le week-end tu puisses avoir des vrais espaces de récupération, d'une demi-journée, au moins dans le week-end où tu ne fais que des choses qui te font du bien, qui te font plaisir, où tu te reposes. Voilà, tu ne pourras pas finir ton mois de juin sans te reposer. Et je voudrais que tu déconstruises cette croyance que « Ah mais je vais devoir attendre la fin du mois de juin pour me reposer, c'est faux ! » C'est archi faux, tu peux le faire avant, par contre il faut que tu t'en donnes des moyens. Et il faut que tu le décides, ça c'est sûr. Pour le dernier point que je voulais aborder avec toi, c'est aussi te permettre de prendre conscience que juin, ça peut aussi être un mois un peu révélateur. Juin, c'est le mois où tout déborde. Et parfois, ce débordement, il peut t'aider à y voir clair. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est peut-être l'occasion de te poser les bonnes questions, à un moment donné. Par exemple, qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année ? Qu'est-ce que t'as trop pris sur toi cette année en vrai ? Qui font que du coup t'arrives dans ce mois de juin où t'es au bout, t'es déjà à sèche. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Franchement, ose te poser cette question. Qu'est-ce que tu veux plus jamais vivre comme ça ? Et puis... Qu'est-ce que tu pourrais déjà décider de changer pour la rentrée prochaine ? Moi, je t'invite vraiment à oser regarder un peu en face cette année qui est passée et te dire, OK, en fait, c'est quoi le bilan de cette année ? Est-ce que finalement, il n'y a pas quelque chose qui vient se révéler ? Est-ce qu'en fait, je ne suis pas en train de réaliser que je suis en train de tout porter toute seule, tout le temps ? Que je suis en sur-responsabilisation surtout ? Que je suis en sur-adaptation dans tous les endroits dans lesquels je suis investie, dans ma vie familiale, dans ma vie professionnelle ? Est-ce que c'est pas l'occasion de juste admettre que bah oui en fait je sais pas me faire passer en priorité, que je sais pas faire ça, que je sais pas prendre soin de moi et que j'ai jamais peut-être su le faire, que je sais pas ce que j'ai envie dans ma vie et peut-être même qu'à un moment donné il y a beaucoup de choses qui n'ont plus de sens pour toi et que peut-être à la fin t'arrives à cette question mais je sais même plus qui je suis au final dans cette histoire tellement je suis épuisée par cette année qui vient de passer. Si t'arrives à ces questions là, bah alors il faut qu'on s'en parle. Parce qu'alors là, c'est probablement... un révélateur de T'as besoin d'aide, t'as besoin d'être accompagné, t'as besoin d'un cadre qui va te guider et t'aider à faire ce travail sur toi dont t'as besoin, pour sortir la tête de l'eau, pour prendre de la hauteur, pour t'aider à te poser les vraies questions que t'as besoin de te poser dans ta vie, pour t'aider à lever tous les freins, tous les blocages que tu as et qui t'empêchent d'avancer, et enfin t'aider à retrouver cette vie où tu respires, une vie que tu kiffes, une vie où même quand ça devient un peu intense, même quand t'y as du trop... Tout va bien, tu la traverses, tu surfes sur la vague. Voilà. Moi, le mois de juin, là, c'est du surf pour moi. Mais ce n'est pas le mois où je vais aller me noyer. Mais ça aussi, en fait, c'est possible pour toi. C'est aussi possible pour toi. Cette surcharge-là, tu peux la transformer en prise de conscience et puis en point de départ pour une vie qui est plus simple, plus choisie, plus légère. Alors du coup, si ça te parle... Juste reste connecté parce que je te fais un petit teasing mais dans quelques semaines, dans quelques semaines, on va vous annoncer une petite surprise, même une grande surprise. Donc reste connecté par rapport à ça, je pense qu'il y a quelque chose qui devrait t'intéresser qui va arriver dans pas pas longtemps du tout. Alors pour conclure avec toi, petit rappel, tu as le droit d'en faire moins, tu as le droit de choisir plus simple, et tu as le droit de t'écouter. Juin, ce n'est pas censé être un mois qui t'écrase. Et j'ai même envie de te lancer un petit défi pour finir. Et ce petit défi, c'est... Si tu décidais que le mois de juin, ça devient le mois de l'affirmation. Et le mois de l'affirmation de qui ? Le mois de l'affirmation de toi. Et si tu décidais qu'en fait, le mois de juin va être le mois où tu vas enfin t'affirmer. Alors je te propose ce défi. Un défi zéro culpabilité, zéro suradaptation, 100% de choix conscient. Ça donnerait quoi pour toi ? Ça donnerait par exemple une chose que tu vas décider de ne pas faire. Quelle est la chose que tu vas décider là maintenant tout de suite que tu ne vas pas faire ce mois de choix ? Une chose que tu vas faire autrement. Une chose que tu vas faire juste pour toi. Une chose sur laquelle tu vas oser dire non. Une chose sur laquelle etc. etc. Ok challenge toi. Et vraiment, mets-toi en mode, ok, le mois de juin, c'est le mois zéro culpabilité, c'est le mois de l'affirmation de moi. Je vais enfin oser dire non, je vais enfin oser ne pas faire de cadeaux aux maîtresses, je vais enfin oser ne pas aller à tous les spectacles, je vais enfin... Et tu continues la liste, ok ? Et si tu sens que ça coince, si tu sens qu'en fait tu peux pas, t'y arrives pas, c'est que là, il y a des choses à aller travailler, pour que tu puisses retrouver de la liberté. La liberté d'être, de faire ce que tu veux, ce qui a du sens pour toi, ce qui te fait plaisir, ce qui est connecté à tes valeurs fortes. C'est l'occasion d'aller travailler et tout ça. Je pense que je vais m'arrêter là. En tout cas, n'hésite pas à me faire des retours de ce petit défi du mois de juin pour toi, de quels fruits ça a pu porter dans ta vie. N'hésite pas à m'écrire par email à géraldinatpoletinperfait.com. Je serai vraiment hyper contente d'avoir vos retours et je vous lis chacune avec plaisir, vraiment. Et puis si tu veux continuer à recevoir des idées concrètes, des outils simples et du soutien pour simplifier ta vie, tu peux aussi t'inscrire à ma newsletter dans le lien qui est dans la description juste en dessous. Et comme ça, tu pourras être tenu au courant notamment de la surprise qui s'annonce pour le mois de juillet. Et bien avec ça, j'ai envie de te dire, prends soin de toi pour ce mois de juin. Vas-y en mode slow, zéro culpabilité et on se retrouve bientôt. Allez, ciao, ciao !

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